Vous êtes sur la page 1sur 1

Gustave Courbet née le 10 juin 1819 à Ornans et il est mort le 31 decembre 1877 à

La Tour de Peilz en Suisse.


Il est peintre ainsi que sculteur français et il est le chef de file du courant réaliste.
Le réalisme est un mouvement artistique apparue en France et en Grande Bretagne
au milieu du 19eme siecle il se caractérise par une quête de réel, une représentation
brutale de la vie quotidienne et l’exploration de thèmes sociaux.
Il s’agit d’une époque sensible au contexte social, les artistes ne se rangent pas du
côté de la classe ouvrière mais il se détache de la bourgeoisie qui rejette la nouvelle
forme d’art.

"Un enterrement à Ornans" est une huile sur toile il s’agit d’un type de peinture qui
sèche lentement et qui se compose de particules de pigments. Dimension 315x668 ,
réalisé en 1849, actuellement conservé au Musée d'Orsay, Paris.
L'œuvre est une peinture figurative qui dépeint une scène réaliste d'obsèques dans
le village d'Ornans. Courbet choisit de mettre en avant les habitants locaux plutôt que
des figures idéalisées, défiant ainsi les conventions artistiques de son époque.
Courbet capture le quotidien avec l’omniprsécense du noir ainsi que du blanc
et l'émotion à travers des détails soigneusement rendus, utilisant des tons chauds et
froids pour créer des contrastes visuels. Les personnages sont représentés dans
diverses réactions face à la mort, et la composition complexe souligne la diversité
des sentiments présents lors de la cérémonie funéraire.

Il y a 27 personnages il s’agit de tous les habitant d’Ornans que Courbet avait posé un a un
dans son atelier.
Comme a l’église les hommes à gauche et les femmes a droites ils sont séparée, les femmes
portent des coiffes blanches et des capuches noires plusieurs tiennent un mouchoir pour
pleurer la mort.
Le curé habillé en grande pompe, costume funèbre et a ses côtés le fossoyeur.
Dans le tableau se mêlent les thêmes de la mort et celui de la religion, un rite funéraire
occupant une place fondamentale car il soude le chagrin de la communauté villagoise.

Vous aimerez peut-être aussi