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Théâtre de Quat'Sous
Saison 2003-2004

INCENDIES

Du 12 avril au 22 mai 2004

Texte et mise en scène de Wajdi Mouawad

Avec Annick Bergeron, Éric Bernier, Gérald Gagnon, Reda Guerinik,


Andrée Lachapelle, Marie-Claude Langlois, Isabelle Leblanc,
Isabelle Roy, Richard Thériault
PAGE 4

Théâtre de Quat'Sous
100 avenue des Pins Est
Montréal (Québec) H2W 1N7

ADMINISTRATION
Téléphone : 514.845.6928
Télécopieur : 514.845.1316

Adresse électronique : infoOcruatsous . com


Site internet : www.auatsous.corn

BILLETTERIE
Téléphone : 514.845.7277

Une communication d'orangetango


Illustrations Lino

Le Théâtre de Quat'Sous remercie


le Conseil des arts et des lettres du Québec,
le Conseil des Arts du Canada et le Conseil des arts de Montréal
pour leur soutien financier.

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MOT DE L'AUTEUR ET DU METTEUR EN SCÈNE


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LE SECRET DU SILENCE

Le silence était une grâce. Il y a longtemps, quand j'étais encore tout


à fait enfant, je ne parlais pas. Rien. Pas un mot. Pas maman ni papa,
pas miam-miam, pas lolo ni glouglou ni rien. Rien. On s'est bien
inquiété à mon sujet (autisme, surdité). Et puis non. Rien. «Il ne
parle pas. Ça ne semble tout simplement pas l'intéresser.» Tel fut le
verdict du médecin. Il n'avait pas tort. Je préférais regarder le vol
des oiseaux. Jouer avec les lacets de ma chaussure.

Les choses ont bien changé depuis l'enfance et l'enfance, oui, est
devenue un couteau planté dans la gorge. Souvent, en souvenir de cette
période bénie, je me demande ce que j'ai bien pu cesser de comprendre
pour m'être mis- à parler. Un vrai moulin. Robinet d'enfer, parole
articulée, bien articulée, mâchée, mâchouillée et dans les quatre
langues; arabe, français québécois et anglais. Un bordel monumental,
un foutoir de tous les noms : les québécois me demandent si je suis
libanais, les libanais se demandent si je suis français et les français
se demandent si je suis libanais ou québécois et moi, je ne vois pas
l'utilité de tout cela. Comme s'il ne s'agissait pas de moi, mais de
quelqu'un d'autre que moi, un autre qui me ressemble beaucoup, qui a mon
nom et mon âge et qui, par le plus grand des hasards, vit dans ma peau.

Simplement, parfois, il vous prend l'envie de pleurer. Parce que le


hasard est trop violent. Mon ami, celui qui m'a sauvé la vie, François,
me l'a bien dit : «L'esprit est une machine infernale qui, sans arrêt
et sans rien demander, chie des idées, des images, des mots et des
phrases, un vrai tapis roulant impossible à arrêter, impossible à
freiner», on voudrait crier «Silence, faites le silence, le silence».
On essaie. J'essaie. Je me tais alors je veux mourir. Alors je me remets
à parler. Un shoot. Une seringue à l'héroïne des mots, une dose de
bruits, de phrases bien foutues, une ligne de littérature sniffée en
cocaïne, un crack d'images bien ciselées, une dose, même l'overdose est
préférable au silence, vite, vite, avant de crever.

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\lors, parfois, à bout de forces, on se retrouve à contempler ces
morceaux étranges (mots, idées, images) sortis tout droit de l'enfance
^sanguinolente, comme un poumon sur le plancher d'un autobus bondé de
monde un jour de pluie,et on y voit, dans chacun de ces mots, dans
:hacune de ces images, son histoire éparpillée, son histoire
mise en pièces.

trouver la force de se pencher. Avec humour et sérieux, ramasser


phaque morceau, consoler chaque image, guérir chaque idée, remettre
zant soit peu les choses en place, comme un casse-tête dont on a perdu
L'image puis, à la fin, relever la tête, et voir que cette tentative
le cohérence est devenue une histoire. Une pièce de théâtre. Willy
Protagoras enfermé dans les toilettes, Journée de Noces chez les
Promagnons, Alphonse, Les Mains d'Edwige au moment de la naissance,
Littoral, Rêves, Incendies et bientôt Forêts et Ciels.

^ force de raconter les histoires nées de ce ramassis de mots,,


peut-être je saurai retrouver ce secret qui me donnait la force de me
taire alors que j'étais encore enfant au soleil de mes origines.
Voilà pourquoi je quitte le Quat'Sous, parce que ce que j'avais à y
trouver, le silence des autres, la parole des autres, m'a rendu riche
d'une eau qui me permettra d'arpenter plus longtemps encore la route
âpre du retour.

Wajdi Mouawad
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HISTOIRE D'UN GROUPE

La source de toute histoire est ancrée loin, très loin dans


l'Antiquité. Cette idée est tout aussi vraie lorsqu'un peuple tente de
trouver l'origine de son origine. Et elle reste encore tout aussi vraie
lorsqu'on cherche à raconter l'histoire d'un simple groupe. Raconter
une histoire, c'est lui trouver son début.

L'origine d'Incendies se construit dans la rage de dire l'inconcevable


et dans la force des liens tissés.

Il est au coeur du processus de création d'Incendies, une confiance.


Une confiance faite à ce que l'on raconte, plus qu'a ce que l'on dit.
Pour l'atteindre il fallait prendre le temps. À l'été 2002, les
comédiens et les concepteurs se sont assis autour d'une table. Ils ont
ouvert des cartes, des livres, regardé des films. Ils ont questionné le
sens, personnel à chacun, de monter sur une scène pour y porter une
parole, et celui de l'histoire qu'ils avaient décidé de raconter
ensemble. Qu'est-ce que la réconciliation? La reconstruction? Le pardon
? La filiation? Quel est encore le sens de l'Autre? À l'automne 2002,
les premières scènes sont arrivées. Elles ont été discutées,
commentées, retravaillées. Puis les comédiens et les concepteurs ont
quitté la table.

Jusqu'au tout dernier mois les scènes ont été écrites à mesure des
répétitions, mais il fallait avant en avoir ancré le sens dans le corps
de chacun pour pouvoir se permettre de l'oublier et lui faire une
confiance absolue. Et accorder une confiance entière aussi à ce qu'il
sera désormais impossible de voir, de sentir, de prévoir. Une confiance
aveugle au point aveugle. Pour pouvoir garder jusqu'à la toute dernière
minute la tête dans le guidon. Et faire de la rencontre avec le public
un instant de clairvoyance.
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COMEDIENS ET COMEDIENNES

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ANNICK BERGERON
MÈRE DE NAWAL 14 ANS ET NAWAL 3 5 ANS
Incendies est le premier lieu de rencontre avec Annick. Depuis dix ans,
Wajdi voit Annick sur les scènes montréalaises. Il ne la qualifiait
jamais «extraordinaire, Incroyable, etc.», parce qu'il ne voyait jamais
la comédienne, il voyait des personnages. Au moment de constituer l'équipe
d'Incendies, il voulait voir le personnage qu'elle donnerait au projet.

ERIC BERNIER
NI HAD
C'est par Isabelle Leblanc qu'Éric a été présenté à Wajdi. Willy
Protagoras enfermé dans les toilettes fut le lieu de rencontre. Il fut
ensuite de l'aventure de Rêves, et de celle de Six personnages en quête
d'auteur au Théâtre de Quat'Sous à l'automne 2001.

GERALD GAGNON
ANTOINE DUCHARME ET MULTIPLES PERSONNAGES
Gérald Gagnon était de l'équipe de Macbeth, l'été 1992. Il avait
accepté ce projet produit sans un sous et joué tard dans la nuit dans
un stationnement déserté. Pour Wajdi cela en faisait un grand compagnon
de route. Plus tard, il fut du voyage de Rêves. L'année suivante dans i
le Mouton et la Baleine.

REDA GUERINIK
SIMON ET WAHAB
Reda était assis sur un escalier. Wajdi marchait. Wajdi est passé
devant Reda. Reda a appelé Wajdi. Il lui a dit : «J'aimerais travailler
avec toi». Wajdi a dit : «Passe au Quat'Sous, on s'en parlera». Ils
s'en sont parlés.

ANDRÉE LACHAPELLE
NAWAL 60 ANS
C'est à l'École nationale de théâtre qu'Andrée et Wajdi se sont
rencontrés. Andrée enseignait à Wajdi. La lecture. Mais, aux dires de
Wajdi, elle y parlait surtout de l'éthique du métier autour de
croissants qu'elle ne manquait jamais d'apporter. Elle fut avec Gérald,
Marie-Claude et Isabelle Leblanc du voyage de Rêves lors de sa reprise
pour la tournée européenne. Il tombait sous le sens de l'inviter au
voyage d'Incendies.
MARIE-CLAUDE LANGLOIS
SAWDA ET ELHAME + CHANT
À l'École nationale de théâtre, Marie-Claude et Wajdi étaient
dans la même classe. Marie-Claude était, elle aussi, de l'aventure de
Macbeth, puis de celle de Rêves. Wajdi dit parfois que s'il était une
fille, il serait Marie-Claude.

ISABELLE LEBLANC
JEANNE
La complicité artistique d'Isabelle et Wajdi remonte à l'École nationale
de théâtre. Il y a donc 14 ans qu'Isabelle et Wajdi avancent ensemble :
au sein de projets académiques d'abord, puis au sein du Théâtre Ô
Parleur, qu'ils ont créé et dirigé ensemble. Isabelle a été de tous les
projets, elle était au coeur même du voyage de Littoral, et de celui
d'Incendies comme une évidence.

ISABELLE ROY
NAWAL 14 ANS
C'est également à l'École nationale de théâtre qu'Isabelle et Wajdi se
sont rencontrés, mais cette fois-ci parce que Wajdi enseignait à la
classe d'Isabelle. Le travail de fin de session s'est fait autour d'un
texte de Francis Monty : Déclownestration. C'est là que ça a commencé.

RICHARD THERIAULT
HERMILE LEBEL ET MULTIPLES PERSONNAGES
Au printemps 2002, Wajdi mettait en scène Les Trois Soeurs au Théâtre
du Trident à Québec. Richard y jouait Salioni. Lors de la reprise à
Limoges, Wajdi y jouait Touzenbach. Comme Salioni tue Touzenbach,
Richard a tué Wajdi plusieurs soirs de suite. En lui donnant le rôle
d'Hermile Lebel, Wajdi a voulu le remercier, rares sont les gens qui
vous apprennent à mourir.
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I CONCEPTEURS ET CONCEPTRICES
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ALAIN ROY
ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE ET RÉGIE
Alain Roy est sans aucun doute la personne qui a fait le plus
d'assistances à la mise en scène et de régies au Théâtre de Quat'Sous.
C'est donc au Quat'Sous qu'a eu lieu la rencontre. Six personnages en
quête d'auteur a été leur première collaboration. Incendies en est la
suite logique.

ISABELLE LARIVIÈRE
DÉCOR ET COSTUMES
Comme Richard, Isabelle est de Québec. Alors que Wajdi mettait en scène
Les Troyennes à Québec, Isabelle Larivière a été proposée comme
scénographe par Marie-Thérèse Fortin, directrice artistique du Théâtre
du Trident. Depuis elle est de toutes les créations.

ERIC CHAMPOUX
LUMIÈRES
C'est depuis Littoral qu'Éric éclaire les idées de Wajdi. Justement
parce qu'il a refusé cette création-1 à, estimant que le travail était
trop gros, pour un temps trop court, pour lui. C'est en constatant à
quel point il avait raison que Wajdi a décidé d'en faire un compagnon
de route.

MICHEL F. CÔTÉ
DIRECTION MUSICALE ET CONCEPTION SONORE
MUSIQUE EN COLLABORATION AVEC LES COMÉDIENS
Michel F. est un marcheur et, on l'a dit, Wajdi aussi. Michel F.
connaissait le travail de Wajdi et Wajdi celui de Michel F. Ensemble
ils ont donc marché. Ils ont parlé en marchant. Ils ont marché leurs
idées ensemble. Il y a maintenant longtemps que le premier, inventeur-
musicien- traficoteur, fond ses conceptions sonores au coeur des
créations du second.
MARIE-EVE LEMIEUX
)ACCESSOIRES
Pour des raisons différentes, par des chemins différents, Alexandre
[Brunet et Catherine La Frenière connaissaient Marie-Ève. Ils s'en sont
parlés. Ils l'ont présentée à Isabelle.

ANGELO BARSETTI
L MAQUILLAGE S ET COIFFURES
; Le Quat'Sous aime dire en souriant qu'Angelo y est en résidence tant il
: est de toutes les aventures. Tant et si bien qu'imaginer une production
>dont il ne serait pas devient difficile. En ce qui concerne Incendies,
c'était juste impensable.
ICATHERINE LA FRENIÈRE
ïDIRECTION DE PRODUCTION
'Directrice de production du Quat'Sous de janvier 2001 à janvier 2004,
Catherine y a soutenu inconditionnellement les projets qui y sont nés
‘et qui y ont vécu. Elle est donc entrée de plain-pied dans la création
id'Incendies s'inscrivant au coeur du processus.

ALEXANDRE BRUNET
DIRECTION TECHNIQUE
Dans l'esprit comme dans l'expérience, et aussi parce qu'il a été en
tournée souvent et depuis longtemps, Alexandre est apparu, au moment de
la recherche d'un directeur technique, comme une évidence.

ESTELLE SAVASTA
SUIVI DU TEXTE
Alors qu'elle travaillait au Théâtre International de Langue Française à
Paris, Estelle a été traînée de force à une représentation de Littoral
au Théâtre 71 de Malakoff par Gabriel Garran. Elle a eu un choc et elle
a appelé Wajdi en longue distance pour lui dire. Elle a dit aussi :
«J'aimerais travailler sur un projet artistique avec vous». Un tout
petit peu plus tard, Wajdi est venu à Paris. Voilà.
PAGE 16 PEINTURE SCENIQUE
Longue-Vue
Gilles Rochon
Coupeurs
EQUIPE DE PRODUCTION Charles Licha, Anne-Marie Veevaete,
Julio Metia, Annick Crosato.
Musiciens en studio Entraîneur de boxe
Luzio Altobelli (accordéon) Paul Evans
Jean Derome (flûtes et saxophones)
Bernard Falaise (guitare électrique) TECHNICIENS
La Valse est une musique Erik Palardy
de Michel F. Côté, Bernard Falaise Isabelle Lapointe
et Jean Derome. Julie Touchette
Yannick Dufour
CONSTRUCTION DU PLANCHER Jean-François Rousseau
ET DES PANNEAUX Réal Dorval
Atelier L'établi Philippe Beaumont
Nadyne Deschênes (chef d'atelier)
Jean-François Lachance (menuisier)
Mathieu Sinnerty (menuisier)
Dominique Podeur (menuisier)
Gildas Berthelot (menuisier)
Céramiste plancher
Stéphane Ross

CONFECTION DE LA TOILE
Prisme 3
Martin Ferland
(directeur des opérations)
Jean-Phi1ippe Charbonneau
(chargé de projets)
Hilaire Savard
(chef d'atelier)
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L'EQUIPE DU PUAT/SOUS

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PAGE 18 Responsable de l'entretien
Frédéric Boisjoly

Guichetiers
Directeur artistique Nicholas Dawson
et codirecteur général Emilie Jobin
Wajdi Mouawad
Équipe d'accueil
Directrice administrative et Éric d'Alo
codirectrice générale Guillaume Girard
Maryse Beauchesne Simon Caplette Charette

Directeur de production Alliées


Éric Gautron Maryse Warda et Manon Oligny

Directeur technique Graphisme


Nicolas Jobin Orangetango

Responsable des relations Comité de lecture


avec le public Didier Airaudo, Jean Dion
Louisette Charland Mathieu Gatien, Diane Jean,
Marie-Claude Langlois et
Responsable des communications Wajdi Mouawad
& adjoint à la direction artisti
Mathieu Gatien

Adjointe à la direction
administrative
France Villeneuve

Attachée de presse
Johanne Brunet

Responsable de la billetterie
Benoit Hénault

Gérante de salle
Amélie Groleau
CONSEIL D7ADMINISTRATION PAGE 19

Président
Shérif Laoun
Gérant Georges Laoun opticien NOUS TENONS A REMERCIER
CHALEUREUSEMENT...
Vice-président
Roger Michaud Claire Champagne, Librairie
Vice-président et directeur Gallimard
régional Banque Intesa Canada Mario Meunier et toute son équipe
Fleuriste Pourquoi pas
Secrétaire-trésorier Mario Mercier, Marie-Noëlle
Maryse Beauchesne Turcotte et toute l'équipe
Codirectrice générale Théâtre d'orangetango
de Quat'Sous Lina Sicuro et Francine Picard,
À l'Affiche
ADMINISTRATEURS Isabelle Jalbert et Beaudoin Wart
Publicité Sauvage
Pierre Bernard Pierre Bernard
Metteur en scène

Mérédith Caron
Conceptrice de costumes

Denise Guilbault
Directrice artistique,
interprétation, section française,
École nationale de théâtre

Stéphane Hébert
Avocat Pouliot Mercure

Lucie Rozon
Vice-présidente Groupe
Juste pour rire

Le Théâtre de Quat'Sous est membre


de Théâtres Associés Inc.
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LE PUAT'SOUS C'EST AUSSI

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LE SINGULIER CENACLE

Après une représentation, les spectateurs sont invités à revenir dans


la salle, sous la tiédeur des projecteurs à peine éteints, afin de
constituer le Singulier Cénacle. Pourquoi «singulier»? Parce qu'il
n'arrive qu'une fois par production? Parce qu'il est animé par un seul
tenancier, Antoine Laprise? Parce que les spectateurs peuvent y
échanger leurs commentaires et discuter ferme sur les enjeux de la
pièce qu'ils viennent de voir? Ou encore parce qu'on y fait des'
rencontres singulières lorsque des invités se pointent? Un peu tout ça
En coûte-t-il quelque chose pour faire partie de ce Cercle d'avant
minuit? Non, bien entendu, c'est gratuit!

INCENDIES > Le mercredi 12 mai 2004


LES PENSÉES EN BATAILLE DE LA LIBRAIRIE GALLIMARD

Complices depuis déjà quelque temps, la Librairie Gallimard et le


Théâtre de Quat'Sous partagent ensemble la passion des mots et de la
pensée. Organiser des rencontres à la librairie, c'est donc fouiller
les étages de ce lieu chaleureux à la recherche de bouquins de toutes
sortes, c'est parfois faire lire par nos artistes de la saison des
textes de théâtre et de littérature, c'est discuter théâtre entre nous
et avec vous. En signe de notre amitié, un présentoir d'oeuvres reliées
de près aux thèmes explorés par nos pièces sera installé chez
Gallimard, histoire d'inspirer la lecture d'ouvrages qui vivent plus
longtemps que le temps d'une représentation mais qui, en revanche,
n'ont pas droit à la scène. Animées par Wajdi Mouawad, Les Pensées en
bataille de la Librairie Gallimard auront lieu :

INCENDIES > Le samedi 24 avril 2004 à 13h30


«L'art puise son salut dans l'acte par lequel l'esprit se prolonge en lui
et ce n'est pas par réversion qu'il reste fidèle au frisson; il est bien
plus son héritage. » — T.W. Adormo LE THÉÂTRE. VOIX DE RAISON ET DE PASSION

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Archambault
6360, rue Jean-Talon Est, bureau 203, Saint-Léonard (Québec)
Tél. : (514) 253-8884 _ Fax : (514) 253-4599

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4012, rue Saint-Denis (coin Duluth) (514) 844-1919

1368, rue Sherbrooke Ouest (coin Crescent)dans l'édifice du


Musée des beaux-arts (514) 985-0015

600, rue Jean-Talon Est, métro Jean-Talon (514) 272-3816

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