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FRANÇAIS :

CHAPITRE 2 Bel-Ami :
Question :
Situe se passage dans l’œuvre.
Fait l’analyse narratologique de ce passage.
Quel thème sont aborder dans ce passage ? Justifier en relève les champs et les
réseaux lexicaux.
Quelle vision de George Duroy est donner dans ce texte ?
Quelle vision de Madelaine forestier est donner dans ce texte ?

1. Ce passage se situe à la frontière de son entré dans la presse et grâce à cela la haute
société.
2. le narrateur a une fonction omnisciente sur le texte
3. les thèmes sont le romantique,

Comment rédiger un paragraphe de commentaire


Antithèse : le spectacle était épouvantable et charmant, Gavroche fusille, taquinaient la
fusillade.
Par ailleurs dans cette extrais Victor Hugo nous offre un spectacle a la fois tragique et drôle.
En effet, d’es la première ligne le narrateur nous affirme que le spectacle et à la fois tragique
est drôle « Gavroche fusillé, taquinait la fusillade. » (l.1et2) « on le visais sans cesse, on le
manque toujours »(l.4et5).

Comment analyser un texte littéraire :

1. a la première lecture, le cœur : l’intuition, le ressenti immédiat.


2. a la deuxième lecture, les yeux : l’observation des choix d’écriture.
3. enfin la lecture tête : l’interprétation des choix de l’auteur en vue des l’effets.

Mise en application
Voici un extrait des misérables de Victor Hugo. La petite cosette a été envoyé seule dans le
foret a la nuit tombée pour aller chercher de l’eau au puits.
Un froid soufflait de la pleine. Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles,
sans aucune de ces vague et fraiche lueur d’été. De grand branchage s’y dresser
affreusement. Des buissons chétif et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes
herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles.

1. l’auteur essaye de faire passer un message de peur la menace l’engoisse...


2. champs lexicaux de la nature, froid
3. pose narrative, le narrateur est omniscient

Pour la rentre :
Reconstruire la parti yeux accentuée l’analyse tête et construire au moins deux paragraphes
d’analyse concernant ce texte.
L’extrait provient du roman bel ami de Maupassant qui est un écrivain naturaliste du 20eme
siècle et le texte évoque la toute première visite du héro George Duroy. Sa premier visite un
homme influent du monde George forestier. Sa première rencontre remet un enjeu
considérable pour Duroy. Son entre dans le monde et sa réussite sociale.

Problématique : Comment le narrateur évoque t’il la succession contradictoire des états


d’âme des personnages.
Pour répondre à cette problématique nous allons premièrement voir la façon d’on le
personnage se dévalorise puis comment il reprend confiance en lui et enfin comment
Le concierge avait répondu cela d'une voix aimable où apparaissait une considération pour
son locataire. Et Georges Duroy monta l'escalier. Il était un peu gêné, intimidé, mal à l'aise. Il
portait un habit pour la première fois de sa vie, et l'ensemble de sa toilette l'inquiétait. Il la
sentait défectueuse en tout, par les bottines non vernies, mais assez fines cependant, car il
avait la coquetterie du pied, par la chemise de quatre francs cinquante achetée le matin
même au Louvre, et dont le plastron trop mince se cassait déjà. Ses autres chemises, celles
de tous les jours, ayant des avaries plus ou moins graves, il n'avait pu utiliser même la moins
abîmée. Son pantalon, un peu trop large, dessinait mal la jambe, semblait s'enrouler autour
du mollet, avait cette apparence fripée que prennent les vêtements d'occasion sur les
membres qu'ils recouvrent par aventure. Seul, l'habit n'allait pas mal, s'étant trouvé à peu
près juste pour la taille.
Il montait lentement les marches, le cœur battant, l'esprit anxieux, harcelé surtout par la crainte
d'être ridicule et, soudain, il aperçut en face de lui un monsieur en grande toilette qui le regardait. Ils
se trouvaient si près l'un de l'autre que Duroy fit un mouvement en arrière, puis il demeura stupéfait
c'était lui-même, reflété par une haute glace en pied qui formait sur le palier du premier une longue
perspective de galerie. Un élan de joie le fit tressaillir, tant il se jugea mieux qu'il n'aurait cru. N'ayant
chez lui que son petit miroir à barbe, il n'avait pu se contempler entièrement, et comme il n'y voyait
que fort mal les diverses parties de sa toilette improvisée, il s'exagérait les imperfections, s'affolait à
l'idée d'être grotesque.

Mais voilà qu'en s'apercevant brusquement dans la glace, il ne s'était même pas reconnu ; il
s'était pris pour un autre, pour un homme du monde, qu'il avait trouvé fort bien, fort chic,
au premier coup d'œil. Et maintenant, en se regardant avec soin, il reconnaissait que,
vraiment, l'ensemble était satisfaisant. Alors il s'étudia comme font les acteurs pour
apprendre leurs rôles. Il se sourit, se tendit la main, fit des gestes, exprima des sentiments :
l’étonnement, le plaisir, l'approbation ; et il chercha les degrés du sourire et les intentions de
l'oeil, pour se montrer galant auprès des dames, leur faire comprendre qu'on les admire et
qu'on les désire.
Une porte d'ouvrit dans l'escalier. Il eut peur d'être surpris et il se mit à monter plus vite et
avec la crainte d'avoir été vu, minaudant ainsi, par quelque invité de son ami. En arrivant au
second étage, il aperçut une autre glace et il ralentit sa marche pour se regarder passer. Sa
tournure lui parut vraiment élégante. Il marchait bien. Et une confiance immodérée en lui-
même emplit son âme. Certes, il réussirait avec cette figure-là et son désir d'arriver, et la
résolution qu'il se connaissait et l'indépendance de son esprit. Il avait envie de courir, de
sauter en gravissant le dernier étage. Il s'arrêta devant la troisième, frisa sa moustache d'un
mouvement qui lui était familier, ôta son chapeau pour rajuster sa chevelure, et murmura à
mi-voix, comme il le faisait souvent :
"Voilà une excellente invention." Puis, tendant la main vers le timbre, il sonna. La porte
s'ouvrit presque aussitôt, et il se trouva en présence d'un valet en habit noir, grave, rasé, si
parfait de tenue que Duroy se troubla de nouveau sans comprendre d'où lui venait cette
vague émotion : d'une inconsciente comparaison, peut-être, entre la coupe de leurs
vêtements.
Dans cette deuxième partie Duroy s’observe attentivement dans un miroir, stupéfait de lui-
même
Cœur :
- il est décrit comme un journal centré sur l’argent
- il a l’air manipulateur

Yeux :
-champ lexicale de l’argent

Tête :
Manipulation du patron
Un journal qui ne parle que d’argent

La dissertation :
A la lecture de Bel-Ami de Maupassant, pensez-vous que George Duroy est un héro

Arguments en faveur de Georges Duroy comme héros :


1. Ascension sociale : Georges Duroy ne part de rien et parvient à gravir les échelons sociaux en
utilisant son charme et son intelligence. Certains peuvent voir cette ascension comme un acte
héroïque.
2. Détermination : Duroy est déterminé à réussir et à améliorer sa situation. Sa persévérance peut
être interprétée comme une qualité héroïque.
3. Manipulation : Bien que controversé, on peut considérer son habileté à manipuler les autres pour
atteindre ses objectifs comme un trait de caractère typique d'un héros romanesque.

Arguments en faveur de Georges Duroy comme anti-héros :


1. Moralité douteuse : Duroy n'hésite pas à trahir et à manipuler les gens pour parvenir à ses fins.
Son manque de moralité peut le faire paraitre plus comme un anti-héros.
2. Égoïsme : Sa concentration sur ses propres intérêts, même au détriment des autres, peut être vu
comme un trait négatif qui va à l'encontre des qualités traditionnelles d'un héros.
3. Relations superficielles : Les relations de George Duroy y semblent souvent basées sur des intérêts
personnels plutôt que sur des sentiments authentiques, ce qui peut nuire à
Fiche thématique Bel-Ami :
1. L’amour : Les femmes sont présentées comme un moyen d’ascension sociale
pour Duroy1. Il est rarement question d’amour mais toujours de désir (désir
physique et/ou désir d’une vie riche)1. Les femmes importantes dans le roman
sont Rachel, Madeleine Forestier, Clotilde de Marelle, Virginie Walter et
Suzanne Walter1. Chacune de ces femmes a participé à l’ascension de Duroy,
lui apportant soit l’entrée dans la société parisienne, soit la richesse 1. Clotilde
de Marelle, sa première maîtresse, est une femme riche et insouciante, qui
aime cependant Duroy d’un amour sincère 1.
2. L’argent : Dès la première page du roman, le thème de l’argent est
présent1. Duroy est sans le sou et n’a qu’un désir, s’enrichir 1. C’est son objectif
et il y travaille tout au long du roman1. Le rêve de richesse de Duroy s’amplifie
au fur et à mesure qu’il côtoie la société parisienne 1. Duroy s’enrichit par deux
moyens : son travail et ses relations avec des femmes 1. Son mariage avec
Madeleine Forestier lui permet de s’enrichir, puis l’ouverture au milieu
politique et journalistique lui offre de nouveaux contacts 1. Mme Walter lui
permet aussi de s’enrichir en l’informant d’une affaire en bourse qui lui
rapporte 70 000 francs1. Enfin, le mariage avec Suzanne Walter est la
consécration : la dot de la jeune fille est de 10 millions de francs

Ce qui fait l’art de Bel-Ami de Maupassant c’est la précision du temp et du lieu qui sont
parfaitement décris.
En effet Maupassant nous décrit parfaitement l’hypocrisie des parisien et le paysage, il nous
décrit les rues animées avec les cafés des gens des haut société, les bureaux de presse et
même les vêtements que porte les gens aux alentour, leur coutume et les décors. En plus de
décrire le lieu et l’époque, il décrit les milieux sociaux à qui il appartienne

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Question : pourquoi le titre est les dieux du carnage ?


Le titre les dieux du carnage est à la fois hyperbolique et oxymorique comme une métaphore
pour désignées l’intrigue de l’histoire.
Que nous inspire la première de couverture ?

Quel est la fonction du texte en italique ?


Quel élément compose les cordes ?
A quel évènement la première réplique fait elle référence ?
En quoi cette première réplique permet-elle de comprendre le but de cette rencontre ?
Quel indice nous montre que les quatre personnages font preuve de politesse et respecte ?
Comment appelle-t-on le début d’une pièce de théâtre et selon vous pourquoi est-il un aussi
importante ?
Pourquoi peut-on parler de douze énonciations pour une pièce de théâtre ?

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