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TEISSIER Thomas Université de Créteil-Paris XII

MADET Nicolas
Licence IUP SIAL

COMPTE-RENDU DE TP DE SPECTROPHOTOMETRIE:

Infrarouge

Année universitaire 2003/2004


Sommaire.

I OBJECTIF........................................................................................................................ 3
II MATERIEL. ..................................................................................................................... 3
II.1 SPECTROMETRE DISPERSIF. ......................................................................................... 3
II.1.1 Principe. ............................................................................................................. 3
II.1.2 Avantages. .......................................................................................................... 4
II.1.3 Inconvénients...................................................................................................... 4
II.2 SPECTROMETRE A TRANSFORMEE DE FOURIER (IRTF OU FTIR)................................. 5
II.2.1 Principe. [1] ....................................................................................................... 5
II.2.2 Le Principe de la Transformée de Fourier [1] .................................................. 6
II.2.3 Avantages. .......................................................................................................... 6
II.2.4 Inconvénients...................................................................................................... 6
II.3 AUTRES MATERIELS. ................................................................................................... 6
II.3.1 Informatique. ...................................................................................................... 6
II.3.2 Fenêtres.............................................................................................................. 6
II.3.3 Matériaux et produits. ........................................................................................ 6
III MANIPULATIONS ET INTERPRETATIONS. ...................................................... 7
III.1 LES PARAMETRES. ....................................................................................................... 7
III.1.1 L’apodisation. .................................................................................................... 7
III.1.2 La résolution. ..................................................................................................... 7
III.1.3 Le nombre de scans. ........................................................................................... 7
III.2 NOTION DE REFERENCE............................................................................................... 8
III.2.1 Observations....................................................................................................... 8
III.2.2 Interprétation. .................................................................................................... 8
III.3 ETUDE DES PARAMETRES DU SPECTROMETRE FTIR. ................................................... 8
III.3.1 La résolution. ..................................................................................................... 8
III.3.2 L’apodisation. .................................................................................................... 9
III.3.3 Conclusion.......................................................................................................... 9
III.4 COMPARAISON DES TECHNIQUES D’IRTF ET D’IR DISPERSIF. ..................................... 9
III.5 DOMAINES D’UTILISATION DE DIFFERENTS MATERIAUX OU SOLVANTS. ...................... 9

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Les données acquises par les spectrophotomètres constituent des spectres. Il s’agit
d’ensemble d’un grand nombre de variables exploitables en analyse chimique quantitative
moyennant l’établissement de modèles de calibrage par des méthodes chimiométriques.
L’avantage de cette méthode d’analyse instrumentale est utilisée dans l’industrie
alimentaire et pharmaceutique pour l’identification des substances de base (analyse
qualitative) et le contrôle de qualité des produits finis (analyse quantitative).
La spectroscopie moyen infrarouge (IR) a été longtemps utilisée uniquement pour
l’élucidation de structure des molécules. Depuis près de vingt ans grâce à l’avènement des
spectrophotomètres à interféromètre de Michelson et à transformée de Fourier (TF)
l’utilisation de la spectroscopie IR s’est généralisée aussi en analyse quantitative. Le dosage
des constituants du lait tel qu’il s’est développé dans les laboratoires de contrôle laitier est un
exemple révélateur des capacités de la technique dans l’analyse rapide et le contrôle de qualité
systématique des produits agroalimentaires. [1 : mon rapport]

I Objectif.
Cette manipulation a pour objectif de nous initier à l’appareillage infrarouge et aux
différents paramètres et réglages impliqués pour cette technique, et d’analyser les spectres de
produits en condition de routine.
Nous utiliserons donc pour la plus grande partie de ce TP un spectromètre infrarouge à
transformée de Fourier (FTIR) pour étudier les paramètres de ce type d’appareil et analyser
les spectres, et un spectromètre dispersif pour comparer ces deux méthodes de spectrométrie.

II Matériel.
II.1 Spectromètre dispersif.
Ce type d’appareil n’est presque plus fabriqué mais pour des raisons historiques reste
encore très présents dans les laboratoires.

II.1.1 Principe.
La spectroscopie proche IR est basée sur l’absorption de radiations lumineuses par la
matière. Le principe de fonctionnement général des appareils peut être décomposé comme
suit :
• Le faisceau lumineux issu d’une source proche IR est envoyé sur un disperseur, qui
fournit le spectre de cette lumière.
• Après la traversée du disperseur, il y a irradiation de l’échantillon à analyser.
• 2 modes possibles : réflexion (totale ou atténuée) ou transmission suivant que le
faisceau incident se réfléchit ou traverse l’échantillon.
• Réception du faisceau réfléchi ou transmis sur des capteurs, conversion en signal :
le spectre NIRS est alors obtenu.
[2 : http://membres.lycos.fr/nirspectroscopy/principal/accueil.htm (ENSCR : NIRS)]

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transmission

réflexion

II.1.2 Avantages.
• Peu ou pas de préparation de l’échantillon.
- Analyse non destructrice.
- Analyse en transmission sur des échantillons relativement épais.
- Analyse en réflexion sans contact (peu d’influence de CO2 ou de H2O).
• Analyse rapide multicomposant.
• Coût de l’analyse peu élevé.
• Cellule de mesure résistante et assez bon marché (verre ou quartz).
• Gamme importante d’appareils robustes pour l’analyse en ligne.
• Possibilités d’analyse de produits toxiques ou dangereux à distance (plus de 100 m en
utilisant les fibres optiques).
• Amortissement de l’investissement généralement rapide.
• Méthode puissante pour l’étude de la liaison hydrogène.
• Méthode de choix pour le contrôle industriel, analyse et monitoring in situ en temps
réel.

II.1.3 Inconvénients.

• La taille des particules ainsi que l’orientation modifient les spectres (même problème
qu’en IR moyen).
• Manque de bibliothèques de spectres diversifiés.
• Comme l’IRTF dans le proche infrarouge, n’est généralement pas une technique
d’analyse de traces.
• Analyse longue : 20min par échantillon.

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II.2 Spectromètre à transformée de Fourier (IRTF ou FTIR).
La spectrométrie FTIR a connu un essor considérable au cours de ces 15 dernières
années grâce à la rapide évolution de l’informatique.

II.2.1 Principe. [1]


Comparée aux techniques traditionnelles, l’interférométrie est une méthode très
compétitive. Toutes les fréquences de la source infrarouge sont traitées ensemble sans
sélection préalable, ce qui permet de capter le spectre entier en moins d’une seconde.
Contrairement aux méthodes d’analyse par réaction colorée ou enzymatique qui
réagissent ave une molécule donnée, l’analyse par infrarouge est une méthode d’analyse
structurale qui révèle la nature des liaisons entre atomes dans une molécule. Les composés
organiques ont en effet la particularité de posséder des liaisons inter-atomiques qui entrent en
vibration sous l’action d’un rayonnement infrarouge à des longueurs d’onde caractéristiques.
Ce phénomène s’accompagne d’une consommation d’énergie lumineuse à la longueur d’onde
considérée. L’IRTF permet de mesurer les absorbances d’énergie des liaisons chimiques
(fonctions alcool, acides, méthyles, méthylène…) de tous les composants présents dans les
produits analysés et de les corréler à leurs concentrations, puisque l’intensité de l’absorption
est directement proportionnelle à la concentration de la molécule considérée.

La longueur d’onde d’absorption va dépendre de la liaison elle-même(C-H, C-O,


C-C,…) mais aussi de l’environnement moléculaire dans lequel elle se trouve. Ainsi, une
molécule donnée va présenter plusieurs longueurs d’onde d’absorption caractéristiques dans
le spectre infrarouge. Le spectre infrarouge d’une solution organique comme le vin ou le moût
présente donc des absorptions, à certaines longueurs d’onde, caractéristiques des différentes
molécules présentes. Cet appareil permet la détection de nombreux paramètres.

En se basant sur le principe des interférences lumineuses, qui modulent l’amplitude d’un
signal comme une fonction de la différence de trajet entre deux sources interférentes, un
interféromètre enregistre l’intensité de la lumière captée par le détecteur comme une fonction
de la différence de trajet générée par le déplacement d’un miroir mobile. La mesure du
déplacement minime de ce miroir est effectuée au moyen d’un rayon laser qui suit le même
trajet que le rayon infrarouge.

Cependant, à ce niveau, l’interférogramme


se réfère à la position du miroir mobile et non à la
longueur d’onde qui est intéressante.

Le rayon infrarouge de la source I.R. frappe


le séparateur de rayons qui envoie la moitié du
rayon à un miroir fixe et l’autre moitié à un miroir
mobile. De ces miroirs, les rayons I.R. se reflètent
et se recombinent avant d’atteindre le détecteur.
Toutes les fréquences I.R. voyagent en même
temps dans l’interféromètre et des déplacements
rapides de courte distance du miroir permettent la
formation simultanée de la totalité du spectre I.R.

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II.2.2 Le Principe de la Transformée de Fourier [1]

Le Principe de Transformation de Fourier (TF) se base sur le fait que chaque fonction
peut être décomposée en une somme de fonctions sinusoïdales, chaque fonction sinusoïdale
étant définie par deux valeurs: sa fréquence (longueur d’ondes) et son amplitude (intensité).
La Transformation de Fourier est une procédure mathématique qui permet de
décomposer un interférogramme en une somme de fonctions sinusoïdales, représentant
chacune une onde donnée. La fréquence et l’amplitude de ces ondes sont calculées à partir des
données de l’interférogramme.

En quelques secondes, l’interférogramme est recueilli par le spectromètre, traité par le


calcul de transformation de Fourier et converti pour donner le spectre entier de l’échantillon.
A partir de là, nous revenons à la théorie générale de la spectrométrie, de l’intensité
lumineuse, de la transmission, de l’absorption et de leur relation avec les éléments constitutifs
d’un échantillon spécifique.

II.2.3 Avantages.
• Rapidité de l’analyse : 30 secondes par échantillon.
• Idem que dans I.1.2.

II.2.4 Inconvénients.
Cf. I.2.3 (sauf lenteur).

II.3 Autres matériels.


II.3.1 Informatique.
Le spectromètre est relié via une carte d’acquisition de données à un ordinateur (PC)
disposant du logiciel Spectrum pour l’acquisition et l’analyse des données.

II.3.2 Fenêtres.
Nous disposons de fenêtres de cristaux de NaCl, de CaF2 et de cristaux de KBr que l’on
place sur un support adapté.

II.3.3 Matériaux et produits.


• Filtre de verre interne.
• Film de polystyrène interne.
• Film de polyéthylène.
• Huile de Nujol.
• CCl4
• Solutions notées A,B,D,E,F,G,H de dodécane, butanol, butanal, butan-2-one
acide 3-phénylbutanoïque, acétonitrile, , acétate d’éthyle, de toluène (dans un ordre
inconnu) et une inconnue.

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III Manipulations et interprétations.
III.1 Les paramètres.
III.1.1 L’apodisation.

La différence de chemin optique finie de l’interféromètre conduit à une fonction


instrumentale qui possède des lobes alternativement négatifs et positifs autour du pic principal
Si la largeur des lobes (1/2L) est grande par rapport à la largeur de la raie d’absorption, leur
effet est visible et peut être gênant. Dans ce cas il peut être souhaitable de réduire leur effet en
appliquant une fonction d’apodisation à l’interférogramme.
Une fonction d’apodisation décroît de manière continue vers 0 pour éviter le passage
brutal du signal à 0 lorsque le miroir mobile est en fin de course. Il existe plusieurs fonctions
d’apodisation courantes dont les fonctions de Norton et Beer [1976]. Quelque soit la fonction
utilisée, l’apodisation conduit à un élargissement des raies spectrales et donc à une moins
bonne résolution. [3 : www.oma.be/ESACII/Documents/these_BBarret.pdf]

III.1.2 La résolution.
C’est un paramètre très important qui définira la précision du signal enregistré. C’est à
dire que plus la résolution est grande, plus le spectre est bien défini. On observera alors le
maximum de détail de l’enregistrement. Mais une résolution trop grande peut conduire à une
trop importante masse d’informations qui rend à première vue le spectre illisible. La
résolution (en cm-1) est donc un paramètre que l’on règlera selon le type de précision
d’analyse que l’on désire : routine ou expérimentale. L’appareil effectue une mesure tous les
X cm-1 du spectre infrarouge. X est défini en début de mesure par l’expérimentateur.

III.1.3 Le nombre de scans.


L’appareil effectue n fois l’enregistrement du spectre selon le désir de l’utilisateur et le
logiciel fait une moyenne des n spectres enregistrés.

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III.2 Notion de Référence.
On enregistre la référence en laissant le compartiment vide avec les paramètres
suivants :
. Apodisation forte
. Résolution : 4cm-1
. Nombre de scans : 4

Pour simplifier, on enregistre le spectre IR de l’air (annexe 1). Cela permet de définir le
bruit de fond de l’appareil, c’est à dire les enregistrements parasites qu’effectue
inévitablement le spectromètre à cause de la présence de molécules de l’air interagissant avec
les rayons IR émis.

III.2.1 Observations.
On observe un spectre dont la ligne de base est instable et en pente. Plusieurs bandes
sont enregistrées, la première constituée de nombreux pics est située de 4000 à 3500 cm-1, la
deuxième de 3 pics aux alentours de 3000 cm-1, un grand pic à 2300 cm-1, une large bande de
nombreux pics de 1800 à 1300cm-1 et quelques pics ponctuels sur une pende décroissante à
1100 cm-1, 900 cm-1 et 600 cm-1 .

III.2.2 Interprétation.
de 4000 à 3500 cm-1 : présence de vapeurs d’eau dans l’air
2300 cm-1 : présence de CO2 dans l’air
de 1800 à 1300cm-1 : présence de vapeurs d’eau.

Les 3 pics aux alentours de 3000 cm-1, et les 3 derniers à 1100 cm-1, 900 cm-1 et
600 cm-1, peuvent être dus à une ou des vapeurs de produits organiques utilisés pour les TP
dans le laboratoire.

Nous pouvons en conclure qu’il est important de connaître cette référence car ces
molécules parasiterons les mesures sur nos échantillons. Les résultats obtenus doivent donc
tenir compte des conditions initiales et environnementales de la mesure. La référence permet
donc à l’appareil d’évaluer le bruit de fond.

III.3 Etude des paramètres du spectromètre FTIR.


On enregistre les spectres de référence (air) et d’un filtre interne de polystyrène en
gardant constant 2 paramètres sur 3 (apodisation et nombre de scans, ou résolution et nombre
de scans) en modifiant le 3ème(respectivement résolution ou apodisation).

III.3.1 La résolution.
Une forte apodisation et un nombre de 4 scans sont fixés, on fait varié la résolution de la
mesure de 64 à 16 puis 1 cm-1 .
On observe sur les courbes que plus la résolution est grande (la plus grande est 1 cm-1)
plus la précision du spectre est élevé, c’est à dire que le nombre de pics est plus élevé. Pour
une même longueur d’onde, le pic est défini soit par une « vague » à 64 cm-1, soit par une
« vallée » et des pics plus affirmés à 16 cm-1, soit par une « vallée » et des pics très
« accidentés » encore plus affirmés à 1 cm-1. (voir annexes 2 et 3).

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III.3.2 L’apodisation.
Une résolution de 4 cm-1 et un nombre de 4scans sont fixés, on fait varier l’importance
de l’apodisation sur la mesure de forte à faible puis nulle.
D’après les courbes enregistrées (annexes 4 et 5), on observe que plus l’apodisation est
forte plus les pics diminuent de hauteur et sont applatis.
Ce paramètre joue donc aussi sur la précision de la mesure.

III.3.3 Conclusion.
L’apodisation influe selon les ordonnées et la résolution selon les abscisses.

III.4 Comparaison des techniques d’IRTF et d’IR dispersif.


On enregistre le spectre d’un film de polystyrène dans les conditions suivantes en IRTF:
- 1 scan
- forte apodisation
- résolution = 4 cm-1
puis le spectre du même filtre est enregistré sur l’appareil dispersif.
(Annexes 5 et 6).
On remarque dans un 1er temps en comparant les 2 graphes que la mesure par IRTF
semble plus précise que celle par dispersion. En effet, pour une bande à une même longueur
d’onde donnée, celle-ci est définie par plus de pics par l’IRTF que par la méthode dispersive.
Exemple : à 1600 cm-1, le spectre en IR dispersif est donné par 1 pic tandis que pour
l’IRTF on a une multitude de pics.
Dans un 2ème temps, on remarque qu’une bande à 2300 cm-1 est présente et bien
prononcée sur la courbe de l’IRTF mais est définie sur la courbe de l’analyse dispersive par
un artefact.
C’est la bande caractéristique du CO2.
L’appareil IRTF est donc plus précis puisqu’il est capable de détecter le CO2 en faible
quantité dans l’air (0,05%) et pas l’appareil IR dispersif.

III.5 Domaines d’utilisation de différents matériaux ou solvants.


On enregistre les spectres dans les conditions suivantes en IRTF:
- 4 scans
- forte apodisation
- résolution = 4 cm-1
des matériaux et solvants suivants :
- filtre de verre interne à l’appareil
- fenêtre de NaCl
- fenêtre de KBr
- fenêtre de CaF2
- film de polyéthylène
- huile de Nujol entre 2 pastilles de NaCl
- Chloroforme dans une cellule de 0,2mm d’épaisseur.

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On observe sur les courbes tracées en annexes 8 et 9 pour :

Conclusion sur
Matériau ou solvant Caractéristiques du spectre
l’utilisation en IFTR
Large bande d’absorption de 3700 à 2000
Inutilisable car absorbe
filtre de verre interne cm-1 puis saturation continue de
trop dans l’IR
l’appareil.
Lligne de base stable, pas de pics
fenêtre de NaCl d’absorptions significatifs sur tout le Type de cellule adéquat
spectre IR.
Ligne de base moins stable et bruit de
fond plus important que pour NaCl, pas
Type de cellule adéquat
fenêtre de KBr de pics d’absorptions significatifs sur
jusqu’à 700 cm-1
tout le spectre IR et début de saturation
du signal à partir de 700 cm-1.
Ligne de base stable, pas de pics
d’absorptions significatifs sur tout le Saturation trop rapide
Fenêtre de CaF2
spectre IR mais début de saturation du donc inutilisable.
signal à partir de 1500 cm-1.
Ligne de base en pente au début, pics Absorption dans l’IR
Fim de polyéthylène d’absorption à 2950, 1450 et 600 cm-1, donc cellules
donc absorption dans l’IR. inutilisables.
Ligne de base instable, forte absorption
aux alentours de 3000 cm-1 puis de 1500 Solvant inutilisable car
Huile de Nujol
à 750 cm-1 avec des variations trop d’absorption
d’intensité.
Ligne de base stable mais quelques pics
d’absorption sont présents à 3000 cm-1 de Solvant adéquat mais il
Chloroforme faibles intensités donc non significatifs, à faut tenir compte de ses
1200 et à 650 cm-1 on trouve des pics pics caractéristiques.
d’absorption importantes.

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