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Larbi Ben Mhidi voit le jour en 1923 à Aîn Mlila, à Douar Kouakhi. Son père était le
gardien et le protecteur d’un mausolée dédié à un ancêtre marabout portant le nom de
Si Larbi. En plus de l’apprentissage coranique, il fréquente l’école française et obtient
un certificat d’études primaires .Deux écoles nourrissent son patriotisme : les Scouts
Musulmans Algériens et l’équipe de football de Biskra(…)
Avant le déclenchement de la révolution, il est chef de la willaya IV .Il participe ensuite au
congrès de la Soummam en 1956(…) Suite à la grève des huit jours, il est arrêté en février
1957. Dans la nuit du 03 au 04 mars de la même année, le courageux Mhidi est lâchement
exécuté dans sa cellule.
D’après K.Mammeri « Larbi Ben Mhidi, Un symbole national
»
Compréhension de l’écrit :
Production écrite :
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Bon courage
PEM :Mansour Farid Niveau : 3AM
Ecris le récit de vie de Abdel Hamid Ibn Badis ,à partir desa fiche biographique :
1889 : Naissance de Ben Badis à Constantine dans une famille bourgeoise.
1908 : Départ en Tunisie pour poursuivre ses études à l’université Zeitouna.
19 31 : président de “l’Association des Oulémas musulmans algériens”.
16 avril 1940 : décès de Ben Badis.
Boite à outils :
Naitre, partir, être, mourir.
-une figure emblématique du mouvement réformiste musulman en Algérie.
- un éducateur et réformateur religieux.
Classe : 3 AM ….. Composition de Français n°2 Date : 05/ 03/ 20142Heures
Algérie:La grande maison (1952), L’incendie (1954), Le métier à tisser (1957). Avant de
se consacrer pleinement à sa vie d’écrivain, Dib fait mille métiers: instituteur, comptable,
journaliste à Alger Républicain. Ses activités militantes irritent les autorités coloniales qui l’expulsent d’Algérie
en 1959.
Mohamed Dib, écrivain et explorateur au souffle long et lumineux, a interrompu «sa traversée de la langue
française» et est décédé au printemps 2003, laissant les littératures algériennes et françaises orphelines d’un
de leurs grands auteurs.
Nom : ..........................
Prénom: .......................
Date et Lieu de naissance : .....................
Date de décès : ............................
Oeuvres: ..............................
4)Choisis la bonne réponse :
6) Remplace le mot souligné par un substitut lexical: " Dib fait mille métiers"
A partir de la fiche suivante, écris le récit de vie de l'écrivain algérien de langue française
Mouloud Feraoun.
Profession:
Oeuvres et récompenses:
1950 :« Le fils du pauvre», premier roman autobiographique ( le Grand Prix Littéraire de la Ville d'Alger).
Critères de réussite :
Questions :
I) Compréhension de l'écrit : 14pts
1\ De qui parle-t-on dans ce texte ? (1pt)
*……………………………………………………………………………….
2/De quelle nationalité est notre personnage? (1pt)
*………………………………………………………………………….
5/Relève du texte deux noms de métier puis donne leurs verbes : (2pts)
6 /Complète ce tableau en te référant au texte par les substituts qui désignent « Derradji» :
_............................................ _..................................................
7)Conjugue les verbes soulignés au présent de l’indicatif : (2pts)
*Sa carrière de journaliste a commencé ( ………………………….) à la télévision algérienne .
« ………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………..
« ……………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………… »
*A partir des dates relevées du texte ci-dessus établis la fiche d’identité (la fiche biographique) du
commentateur sportif « Hafid Derradji »:
Fiche d’identité
*Nationalité :………………….……..
Texte2 :
Samedi dernier, j’ai accompagné mon père au souk pour acheter le mouton de L'Aïd. En
entrant dans le marché, j'ai vu une grande foule de paysans, venus de Ain Béni MATHAR et
de DAHRA dans de vieux camions surchargés de moutons.
C’étaient des gens de grande taille, vêtus de belle djellabas de laine blanche, la tête coiffée
de turbans jaunes. Ils tenaient à la main une canne pour conduire le troupeau et pour lutter
contre les voleurs. Chacun tenait une ficelle attachée à un ou plusieurs moutons. On
entendait une grande clameur de voix hautes et aiguës d’hommes et de moutons mélangées.
Une mauvaise odeur d'écurie se dégageait du lieu. On sentait le mélange de la sueur, du foin
et de la crotte des bêtes.
Mon père allait, venait, regardait attentivement toutes les bêtes. Il tâtait un gros mouton qui
attira son attention par ses cornes monumentales et sa couleur brune. Il marchandait le prix
avec le vendeur pendant une heure, avant de décider enfin de prendre la bête. Malgré la
fatigue et la mauvaise odeur, j’étais fou de joie à l’occasion de la fête.
Texte3 :
Il y a des événements dans notre vie qui nous ont marqués à jamais, des anecdotes
d'école, de rue, des moments inoubliables qui se sont incrustés et malgré le temps,
ils sont toujours là et nous font rire ou pleurer! Moi, c'est comme tout le monde,
j'ai de bons et de mauvais souvenirs, les bons, c'étaient en été chez mes grands parents
à Jijel, les mauvais, tout le reste de l'année dans ma ville natale.
Dans le temps ma grand-mère cultivait des légumes, et comme j’aimais les
carottes, je me souviens, je mangeais le légume et je réimplante la tige pour
que personne ne s’en aperçoive. Quand ma grand-mère avait remarquée ça, elle
était furieuse et elle a dit : « Que Dieu emporte celui qui a fait ça ». Alors j’ai eu la peur de ma vie et je lui ai
répondu : Vous êtes bien cruelle, vous aurez pu dire tout simplement « Que Dieu pardonne celui qui a fait ça ».
"Tina,Souvenir d'enfance"
Texte 4 :
Je suis née à quatre heures du matin, le 9 janvier 1908, dans une chambre aux meubles
laqués de blanc, qui donnait sur le boulevard Raspail. Sur les photos de famille prises l'été
suivant, on voit de jeunes dames en robes longues, aux chapeaux empanachés de plumes
d'autruche, des messieurs coiffés de canotiers1 et de panamas2 qui sourient à un bébé : ce sont
mes parents, mon grand-père, des oncles, des tantes, et c'est moi. Mon père avait trente ans,
ma mère vingt et un, et j'étais leur premier enfant. Je tourne une page de l'album ; maman tient
dans ses bras un bébé qui n'est pas moi ; je porte une jupe plissée, un béret, j'ai deux ans et
demi, et ma soeur vient de naître. J'en fus, paraît-il, jalouse, mais pendant peu de temps. Aussi
loin que je m'en souvienne, j'étais fière d'être l'aînée : la première. Déguisée en chaperon rouge,
portant dans mon panier galette et pot de beurre, je me sentais plus intéressante qu'un
nourrisson cloué dans son berceau. J'avais une petite sœur : ce poupon ne m'en avait pas.
Simone de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée (1958).
Texte 5 :
J'avais 6 ans, j'étais au CP. La directrice de l’école est venue me chercher dans la classe avec un air grave. Il fallait que je
rentre à la maison. Ma grande sœur était venue me chercher. Je me souviens des vêtements que je portais et de mon
incompréhension du moment mêlée d'une innocence qui faisait que je ne me rendais compte de rien. Ma sœur
m'attendait dans la cours. Elle m'a pris la main et n'a rien dit, je n'ai rien demandé, j'ai baissé la tête. Nous sommes
rentrées à pieds à la maison. Il n'y avait personne.
Puis ma maman et mon frère sont rentrés très tard le soir. Mon papa n’était pas avec eux. Et moi je ne voulais rien
entendre, je ne voulais que le silence et surtout je ne voulais pas comprendre. Parce que comprendre c'était entrer de
plein fouet dans le monde des adultes et je ne voulais pas.
Mon père venait de faire un accident de voiture dans l'après-midi et était dans le coma.
Je n'ai pas vu mon père pendant un an (interdit aux enfants), je gardais toujours sa photo sous mon oreiller ... au bout
de deux ans, mon père est rentré à la maison. Je crois que c'était le plus beau jour de ma vie ... même s'il n'était plus
tout à fait comme avant ...
Aujourd’hui mon père n'est plus là mais je pense à lui tous les jours, il m'accompagne partout ... c'est mon modèle ... et
comme la chanson de Lynda Lemay, je me dis encore que "le plus fort c'est mon père."
Texte2 :
Samedi dernier, j’ai accompagné mon père au souk pour acheter le mouton de L'Aïd. En
entrant dans le marché, j'ai vu une grande foule de paysans, venus de Ain Béni MATHAR et
de DAHRA dans de vieux camions surchargés de moutons.
C’étaient des gens de grande taille, vêtus de belle djellabas de laine blanche, la tête coiffée
de turbans jaunes. Ils tenaient à la main une canne pour conduire le troupeau et pour lutter
contre les voleurs. Chacun tenait une ficelle attachée à un ou plusieurs moutons. On
entendait une grande clameur de voix hautes et aiguës d’hommes et de moutons mélangées.
Une mauvaise odeur d'écurie se dégageait du lieu. On sentait le mélange de la sueur, du foin
et de la crotte des bêtes.
Mon père allait, venait, regardait attentivement toutes les bêtes. Il tâtait un gros mouton qui
attira son attention par ses cornes monumentales et sa couleur brune. Il marchandait le prix
avec le vendeur pendant une heure, avant de décider enfin de prendre la bête. Malgré la
fatigue et la mauvaise odeur, j’étais fou de joie à l’occasion de la fête.
Texte3 :
Il y a des événements dans notre vie qui nous ont marqués à jamais, des anecdotes
d'école, de rue, des moments inoubliables qui se sont incrustés et malgré le temps,
ils sont toujours là et nous font rire ou pleurer! Moi, c'est comme tout le monde,
j'ai de bons et de mauvais souvenirs, les bons, c'étaient en été chez mes grands parents
à Jijel, les mauvais, tout le reste de l'année dans ma ville natale.
Dans le temps ma grand-mère cultivait des légumes, et comme j’aimais les
carottes, je me souviens, je mangeais le légume et je réimplante la tige pour
que personne ne s’en aperçoive. Quand ma grand-mère avait remarquée ça, elle
était furieuse et elle a dit : « Que Dieu emporte celui qui a fait ça ». Alors j’ai eu la peur de ma vie et je lui ai
répondu : Vous êtes bien cruelle, vous aurez pu dire tout simplement « Que Dieu pardonne celui qui a fait ça ».
"Tina,Souvenir d'enfance"
Texte 4 :
Je suis née à quatre heures du matin, le 9 janvier 1908, dans une chambre aux meubles
laqués de blanc, qui donnait sur le boulevard Raspail. Sur les photos de famille prises l'été
suivant, on voit de jeunes dames en robes longues, aux chapeaux empanachés de plumes
d'autruche, des messieurs coiffés de canotiers1 et de panamas2 qui sourient à un bébé : ce sont
mes parents, mon grand-père, des oncles, des tantes, et c'est moi. Mon père avait trente ans,
ma mère vingt et un, et j'étais leur premier enfant. Je tourne une page de l'album ; maman tient
dans ses bras un bébé qui n'est pas moi ; je porte une jupe plissée, un béret, j'ai deux ans et
demi, et ma soeur vient de naître. J'en fus, paraît-il, jalouse, mais pendant peu de temps. Aussi
loin que je m'en souvienne, j'étais fière d'être l'aînée : la première. Déguisée en chaperon rouge,
portant dans mon panier galette et pot de beurre, je me sentais plus intéressante qu'un
nourrisson cloué dans son berceau. J'avais une petite sœur : ce poupon ne m'en avait pas.
Simone de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée (1958).
Texte 5 :
J'avais 6 ans, j'étais au CP. La directrice de l’école est venue me chercher dans la classe avec un air grave. Il fallait que je
rentre à la maison. Ma grande sœur était venue me chercher. Je me souviens des vêtements que je portais et de mon
incompréhension du moment mêlée d'une innocence qui faisait que je ne me rendais compte de rien. Ma sœur
m'attendait dans la cours. Elle m'a pris la main et n'a rien dit, je n'ai rien demandé, j'ai baissé la tête. Nous sommes
rentrées à pieds à la maison. Il n'y avait personne.
Puis ma maman et mon frère sont rentrés très tard le soir. Mon papa n’était pas avec eux. Et moi je ne voulais rien
entendre, je ne voulais que le silence et surtout je ne voulais pas comprendre. Parce que comprendre c'était entrer de
plein fouet dans le monde des adultes et je ne voulais pas.
Mon père venait de faire un accident de voiture dans l'après-midi et était dans le coma.
Je n'ai pas vu mon père pendant un an (interdit aux enfants), je gardais toujours sa photo sous mon oreiller ... au bout
de deux ans, mon père est rentré à la maison. Je crois que c'était le plus beau jour de ma vie ... même s'il n'était plus
tout à fait comme avant ...
Aujourd’hui mon père n'est plus là mais je pense à lui tous les jours, il m'accompagne partout ... c'est mon modèle ... et
comme la chanson de Lynda Lemay, je me dis encore que "le plus fort c'est mon père."