Histoire

A partir du 5ème siècle avant J-C, au tout début des guerres

médiques, l’Empire perse est étendu sur toute l’Asie mineure.
Les cités grecques sont attaqués en Turquie actuelle. Sparte et
Athènes décident de réagir, ils forment une alliance avec d’autres
cités grecques pour concurrencer et affronter les Perses.
Une guerre éclata entre 10000 Athéniens et 50000 Perses, elle sera
nommée «la Bataille de Marathon».
D’un côté, les Hoplites qui sont aussi appelés les fantassins
(soldats à pied) sont lourdement armés et possèdent une armure
très importante et très lourdes.
De l’autre côté, l’armée Perse possède eux aussi leurs soldats
d’élites et ils sont nommés «Les Immortels». Les Immortels
Perses étaient une unité militaire d’élite, de dix mille hommes, les
Immortels représentaient l’ultime force des troupes de l’Empire
servaient de garde de l’empereur.
«Immortels» est leurs noms car chaque soldat mort est remplacé
pour préserver le nombre de 10000 Immortels.
Cette Bataille fut remportée contre toute attente par les Hoplites,
après une superbe stratégie de Miltiade qui dirige l’armée. Sa
stratégie fut simple «Atteindre les Immortels», et il arriva à faire
l’exploit de vaincre l’armée Perse. Une victoire qui devint
mythique grâce à cette ingénieuse stratégie militaire.
Le Bilan fut désastreux pour les Perses : car 6000 Perses perdit la
vie contre 197 Hoplites.
Dix ans après la grande et célèbre défaite de son père Darius à la
Bataille de Marathon, le roi Xerxès avait pour projet d’annexer la
Grèce à son empire, l’Empire perse. Cependant, il souhaita éviter
une nouvelle guerre entre les Perses et les Grecs qui lui aurait
coûté énormément d’argent et d’hommes. Des ambassadeurs
perses furent donc envoyés pour demander la soumission aux cités
grecques. D’après la légende qui fut transmise par Hérodote, les
Spartiates auraient jeté les émissaires perses au fond d’un puits.
En 481 av J.C, différents chefs de cités grecques formèrent une
sorte d’alliance afin de résister tous ensemble à l’invasion du
peuple perse. La guerre était alors inévitable.