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Exercice 1 p125

1. Dans le spectre d’absorption d’une solution de pigments extraits d’une feuille, on observe que la lumière a
été absorbée entre 400 et 500 nm environ et entre 650 et 750 nm, ce qui correspond au bleu et au rouge. Par
contre, la couleur verte n’a pas été absorbée.
D’après cette observation, on peut définir un pigment comme une substance colorée absorbant certaines
longueurs d’onde de la lumière.
2. Les longueurs d’onde pouvant permettre la photosynthèse sont celles absorbées par les pigments de feuilles,
donc entre 400 et 500 nm, et entre 650 et 750 nm.
3. Les pigments de la feuille n’absorbent pas les longueurs d’onde correspondant à la couleur verte, entre 500
et 600 nm, ces longueurs d’onde sont réfléchies, la feuille apparaît donc verte.

Exercice 5 p126

Entre juin et décembre 2016, les zones de forte production primaire ne sont pas les mêmes. En effet, en
décembre, la production primaire se situe essentiellement dans l’hémisphère sud et dans la zone équatoriale,
tandis qu’en juin, la production est également très forte dans les hautes latitudes nord, en Amérique et en
Eurasie.
Ces différences de répartition s’expliquent par la variation de l’énergie solaire reçue en fonction des saisons :
l’énergie solaire reçue est plus importante en décembre dans l’hémisphère sud et en juin dans l’hémisphère
nord à cause de l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre par rapport au plan de l’écliptique. La zone
équatoriale est bien ensoleillée quel que soit le mois de l’année.

Exercice 3 p125

1. d’énergie solaire permet la production de d’énergie chimique par le producteur primaire, donc
le rendement écologique est de .
2. Ensuite le rendement énergétique de chaque niveau de consommateur est de par rapport au niveau
écologique précédent.
3. Sur les d’énergie absorbés par les producteurs primaires, seuls sont convertis en matière organique
et ce à chaque niveau. Ainsi seulement de l’énergie solaire est absorbée par les consommateurs
tertiaires. L’énergie d’origine solaire se dissipe donc le long des chaînes alimentaires : la majeure partie est
perdue (sous forme de chaleur ou dans les déchets non assimilés).

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