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(a) X 2 +2X+5
X 2 −3X+2
(d) 2X
X 2 +1 (g) 3X−1
X 2 (X+1)2 (c) Déterminer les zéros de Pn .
(b) (e) (h)
2
X +1 1 1
(X−1)(X−2)(X−3) X 2 +X+1 X 4 +X 2 +1
(c) 1
X(X−1)2 (f) 4
(X 2 +1)2 (i) 3
(X 3 −1)2 Exercice 16 [ 02018 ] [Correction]
Soit
1
F = .
Exercice 12 [ 02676 ] [Correction] (X − 1)3 (X + 1)3
Décomposer en éléments simples dans C(X) la fraction rationnelle (a) Quelle relation existe entre la partie polaire de F en 1 et celle en −1.
X n−1 (b) Former la décomposition en éléments simples de la fraction F .
.
Xn − 1 (c) En déduire un couple (U, V ) ∈ R[X]2 tel que :
simples
Exercice 17 [ 02019 ] [Correction]
Exercice 13 [ 02015 ] [Correction] On pose ωk = e2ikπ/n avec k ∈ {0, . . . , n − 1} et n ≥ 2.
Soit la fraction Réduire au même dénominateur
1
F = . n−1
X(X + 1) 1
.
X
F =
(a) Réaliser la décomposition en éléments simples de F . k=0
X − ωk
(b) En déduire une simplication pour n ≥ 1 de nk=1 k(k+1)
1
.
P
F (n) =
Pn
. (a) Pour p ∈ {0, 1, . . . , n − 1}, exprimer la décomposition en éléments simples de
(X 2 + 1)n+1 X p /Q à l'aide des Q0 (zk ).
Montrer 2
Z 1 Z 1
Exercice 22 [ 02372 ] [Correction] P (x) dx .
2
P (x) dx = (n + 1)2
Soit P ∈ Rn [X] scindé à racines simples (x1 , . . . , xn ). Montrer 0 0
n
P 00 (xk )
= 0.
X
P 0 (xk )
k=1
avec (ak ) suite de complexe nulle au-delà d'un certain rang. P (n) − yn Q(n) = 0 avec F (n) = yn ∈ Q
La relation P (ωX) = P (X) donne
dénit une équation
+∞
X +∞
X
ak ω k X k = ak X k a0 + na1 + · · · + np ap − yn b0 − · · · − yn nq bq = 0.
k=0 k=0
puis Le système formé par ses équations est compatible (dans C) et à coecients
∀k ∈ N, ak ω k = ak . rationnels. Par application de la méthode de Gauss (par exemple), on peut
armer que ce système possède une solution rationnelle. Il existe donc
Par suite ak = 0 pour tout k 6= 0 [n]. En posant b` = an` et Q =
P+∞
`=0 b` X `
on obtient α0 , α1 , . . . , αp , β0 , β1 , . . . , βq ∈ Q
P (X) = Q(X n ).
tels que pour
(b) La réduction au même dénominateur de la fraction p q
αk X k ∈ Q[X] et S =
X X
R= β` X ` ∈ Q[X]
n−1 k
X X +ω k=0 `=0
F =
k=0
X − ωk on ait
R(n) − yn S(n) = 0
donne
F =
P
avec deg P = n. pour chacun de p + q + 1 naturels n initialement considéré. On a alors pour ces n,
Xn −1
P (n)S(n) = Q(n)R(n)
Comme F (ωX) = F (X) on obtient
P (ωX) P (X) et donc le polynôme
= n P S − QR
Xn − 1 X −1
Diusion autorisée à titre entièrement gratuit uniquement - dD
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 3 novembre 2017 Corrections 5
B2
0
.
deg(P S − QR) ≤ p + q Si A ou B sont constants : c'est assez rapide
Sinon : deg F 0 < deg F − 1 =⇒ deg(A0 B − AB 0 ) < deg A0 B = deg AB 0 donc
donc coe(A0 B) = coe(AB 0 ) d'où deg A = deg B puis deg F = 0.
P S = QR
puis Exercice7 : [énoncé]
R
F = ∈ Q(X). Soit V = F ∈ K(X) deg F < 0 . V ⊂ K(X), 0 ∈ V et ∀λ, µ ∈ K, ∀F, G ∈ V ,
S deg(λF + µG) ≤ max(deg F, deg G) < 0 donc λF + µG ∈ V . V est un sous-espace
vectoriel.
Clairement V ∩ K[X] = {0}.
Exercice 4 : [énoncé] De plus ∀F ∈ K(X), F = P + G avec P = Ent(F ) ∈ K[X] et G ∈ V .
La dérivée d'un produit est la somme des produits obtenus en ne dérivant qu'un
facteur :
n
Exercice 8 : [énoncé]
(X − λj ).
X Y
P0 = Déterminons les racines communes à X p − 1 et X q − 1. Soit ω un telle racines.
k=1 1≤j≤n
j6=k On a ω p = ω q = 1. Puisque p et q sont premiers entre eux, il existe u, v ∈ Z tels
que pu + qv = 1.
En divisant par P , on fait apparaître F : On a alors ω = ω pu+qv = (ω p )u (ω q )v = 1. Inversement, 1 est racine commune.
n De plus, notons que toutes les racines de X p − 1 et X q − 1 sont simples.
P0 1 Les racines de F sont les racines p ème de l'unité autres que 1. Elles sont simples.
= F.
X
=
P X − λk
k=1 Les pôles de F sont les racines q ème de l'unité autres que 1. Ils sont simples.
1 n'est ni pôle, ni racine.
G et H se déduisent par dérivation et élévation au carré.
En dérivant F on fait apparaître −G : Exercice 9 : [énoncé]
Notons P/Q le représentant irréductible de F .
(a) Soit a zéro de multiplicité α ≥ 1. On a P = (X − a)α P̂ avec P̂ (a) 6= 0 et
0
P0 P 02 − P P 00
G=− = . Q(a) 6= 0.
P P2
(a) X 2 +2X+5
X 2 −3X+2 =1− 8
X−1 + 13
X−2
(b) X 2 +1 1
(X−1)(X−2)(X−3) = X−1 − X−2 + X−3
5 5
Exercice 13 : [énoncé]
(c) 1 1 1
X(X−1)2 = X + (X−1)2 − X−1
1
(a) On obtient
X +1−X 1 1
(d) 2X 1
X 2 +1 = X−i + X+i
1
F = = − .
√ √ X(X + 1) X X +1
(e) 1
= − i/ 3
+ i/ 3
(b) Par télescopage
2
X +X+1 X−j X−j 2
(f) 4 1 i 1
(X 2 +1)2 = − (X−i)2 − X−i − (X+i)2 + X+i
i
n n
(g) 3X−1 1 5 4
X 2 (X+1)2 = − X 2 + X − (X+1)2 − (X+1)
5 X 1
=
X1
−
1
=1−
1
=
n
.
2 2 k(k + 1) k k+1 n+1 n+1
(h) X 4 +X
1
2 +1 = X−j + X−j 2 − X+j − X+j 2 .
(1−j)/6 (1−j )/6 (1−j)/6 (1−j )/6 k=1 k=1
1. Par ce raisonnement, on voit que les multiplicités des pôles d'une fraction dérivée sont au 1 1 1/2 1/2
= − −
moins égales à 2.
X(X 2 + 1) X X − i (X + i)
Exercice 23 : [énoncé]
Exercice 20 : [énoncé]
Considérons la fraction rationnelle
(a) On a
n n
1 1 X λi xi
.
X
= = F (X) = 1 −
P λ(X − x1 ) . . . (X − xn ) X − xi i=1
ai + X
i=1
avec
1 La satisfaction du système équivaut aux équations
λi = .
P 0 (xi )
F (α1 ) = . . . = F (αn ) = 0.
(b) En évaluant en 0
n
1 1 En réduisant F au même dénominateur
.
X
=−
i=1
xi P 0 (xi ) P (0) n
P
avec P unitaire, deg P = n et Q = (X + ai ).
Y
F =
Q i=1
Exercice 21 : [énoncé]
Les équations F (α1 ) = . . . = F (αn ) = 0 signient alors
(a) On a
n
P 00 P 00 X λi P = (X − α1 ) . . . (X − αn ).
= =
P λ(X − x1 ) . . . (X − xn ) i=1
X − xi
La décomposition en éléments simples F donne alors
P 00 (xi )
avec λi = P 0 (xi ) . Qn
(−1)n (αk + ai )
(b) Puisque deg XP 00
< 0 on a xi = Qn k=1
.
k − ai )
P (a
n k=1,k6=i
λi = 0.
X
i=1
Exercice 24 : [énoncé]
(a) En notant x1 , . . . , xn les racines réelles de P , on a On calcule ak en multipliant par X − ωk puis en évaluant en ωk :
P 0 (x) X 1
n
Xp ωkp
= . ak = Y = Y .
P (x) x − xk (X − ωj ) X=ωk (ωk − ωj )
k=1
j6=k j6=k
En dérivant, on obtient
P (x)P 00 (x) − P 0 (x)2 X n
1 Le dénominateur du quotient précédent correspond à 0
X n − 1 (ωk ) .
= −
P (x)2 (x − xk )2
k=1
En eet, par dérivation d'un produit en la somme des produits obtenus où l'on
dérive un seul facteur :
ce qui permet de conclure. n−1 0 n−1
(b) Notons x1 < . . . < xp les racines réelles de P de multiplicités α1 , . . . , αp ∈ N∗ .
0
(X − ωj ).
Y X Y
n
X −1 = (X − ωk ) =
Puisque P ne possède pas de racines complexes, on a k=0 k=0 0≤j≤n−1
j6=k
α1 + · · · + αp = deg P .
En évaluant en ωk , tous les produits s'annulent sauf celui d'indice k :
Par application du théorème de Rolle, P 0 possède une racine dans chacun des 0
intervalles ]x1 ; x2 [, . . . , ]xp−1 ; xp [ et de plus x1 , . . . , xp sont racines de P 0 de (ωk − ωj ).
Y
Xn − 1 =
multiplicités α1 − 1, . . . , αp − 1 (en acceptant de dire qu'une racine de X=ωk
0≤j≤n−1
multiplicité 0, n'est pas racine). Puisque j6=k
n−1
En développant par linéarité puis en simpliant les termes nuls, on obtient
(X − ωk ).
Y
Xn − 1 = Z 1 Z 1
P (x) dx.
2
k=0 P (x) dx = a0
0 0
La décomposition en éléments simples de la fraction s'écrit alors D'autre part, pour tout k ∈ J1 ; nK,
p n−1
X ak 1 1
avec ak ∈ C.
X Z Z
= xk P (x) dx = a0 xk + a1 xk+1 + · · · + an xn+k dx
Xn − 1 X − ωk
k=0 0 0
Les équations (??) assurent que Q s'annule en 1, 2, . . . , n et, puisqu'il s'agit d'un
polynôme de degré inférieur à n, on peut l'écrire
Q = λ(X − 1)(X − 2) . . . (X − n) avec λ ∈ R.
On a
Q λ(−2)(−3) . . . (−n − 1)
a0 = = = (−1)n λ(n + 1)
(X + 2) . . . (X + n + 1) X=−1 1 × 2 × ··· × n
et, nalement,
Z 1 Z 1 Z 1 2
P (x) dx .
2
P (x) dx = (−1)n (n + 1)λ P (x) dx = (n + 1) 2
0 0 0