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COVID-19 Guerre ouverte contre les peuples (2023) de EUSÈBE RIOCHÉ

(extrait AMGF)

Préface
[…] Comme le dit un grand psychanalyste contemporain, Christian Dubuis-Santini : « Un covidiot, c'est quelqu'un qui
croit qu'un gouvernement peut lutter contre un virus. » 17
[…] La médecine basée sur les faits, qu'il vaudrait mieux qualifier de médecine basée sur les statistiques, a
complètement abandonné l'idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d'interpréter les données. 17
[…] C'est donc un livre politique, c'est-à-dire philosophique et épistémologique, éthique et métaphysique . D'où le
sous-titre, qui pointe bien quel fut l'enjeu réel de la crise-du-Covid, programmée depuis des décennies par ces
« malades qui nous rendent malades » (bravo, en passant, à l'appellation populaire très bien sentie de
« plandémie »).17
[…] « On entend dire partout », surtout pendant la séquence « covidocratique » comme je l'appelle désormais, « que
la médecine est une science : il n'y a rien de plus faux ! La médecine est un art, l'art de soigner dans le but de
guérir. » 18
[…] aller droit à la conclusion : le rouleau-compresseur « covidocratique » a été le cheval de Troie d'une destruction
tout à fait délibérée de l'hôpital public et de la santé adjectivée de même. […] Aucun record n'est battu. Le véritable
fléau est organisationnel : l'hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système en panique a lâché
le volant, s'est vautré dans le fossé puis a fait porter le chapeau à un virus banal. » 19
[…] Jean Castex, le burlesque Premier ministre qui a « géré » la séquence « covidocratique » comme un éléphant
dans un magasin de porcelaine, était déjà préposé, en coulisses, à la destruction de l'hôpital public pendant l'ère
Sarkozy. Aujourd'hui, on l'a chargé de la responsabilité de détruire le système des transports en commun ; 19
[…] la question, cruciale dans la modernité conceptuelle depuis Kant, de la subsomption. C'est-à-dire la capacité à
classer le cas particulier sous un concept général qui en efface les spécificités, la singularité. […] qu'il ne peut y avoir
de médecine que du singulier : l'inverse diamétral de ce que « pensent » les gourous du transhumanisme, savoir
qu'on peut numériser et sérialiser la médecine ; l'administrer comme une technologie (les métaphores des
« vaccins », par les PDG de Pfizer ou de Moderna, comme constituant l'équivalent strict, pour le corps humain, de ce
que sont les logiciels pour les ordinateurs, aurait dû alerter la population au voyant rouge. Il n'en a
malheureusement rien été.) 19
[…] « Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France du 14 décembre 2022 [83) présente les
principales causes de mortalité en France en 2020 comparativement aux années antérieures. Ses conclusions sont les
mêmes : toutes les causes de décès hors "COVID-19" sont en chute libre ! La mortalité de la tuberculose a diminué
d'un tiers, celle des hépatites virales a presque été divisée par deux, le SIDA ne tue plus, ni le cancer, en disparition
programmée. Le diabète n'est plus un souci vital, les fous ne se suicident plus, les crises cardiaques et les AVC sont
un vieux souvenir, il n'y a plus de grippe ni de pneumonie, les accidents d'automobile se contentent d'égratigner et la
noyade est en passe d'être éradiquée. La "COVID- 19" est miraculeuse !
Par le passé, aucun médecin ne se serait permis de dire d'un cancéreux en phase terminal ou d'un centenaire
cacochyme qu'il serait mort de la grippe, sous prétexte qu'il aurait manifesté de la toux ou un peu de fièvre avant de
mourir: on les aurait déclarés mort du cancer, mort de vieillesse. 20
[…] les « quatre stratégies » supposées « lutter contre le virus », contre toute évidence raisonnable : le port
généralisé du masque ; le couvre-feu ; le confinement ; la vaccination de masse. « À l’exception de la vaccination,
aucune de ces prétendues stratégies de gestion épidémique n'est connue de la littérature médicale. 21
[…] en revue, par chapitres distincts, l'euthanasie des vieillards en EHPAD par l'administration de Rivotril ; le masque
obligatoire (le « bâillon », dit-il 6) et ses conséquences ruineuses, notamment sur les enfants et les adolescents ; le
confinement 7 et ses ravages, matériels comme psychologiques ; le couvre-feu, appliqué pour la première fois en
France depuis Vichy et la guerre d'Algérie, si évidemment vésanique (le virus n'a pas d'heures préférentielles de
circulation) ; enfin la vaccination, seule mesure à pouvoir être « rationnellement » présentée comme sanitaire
(même si tous les spécialistes disent que vacciner pendant une épidémie, c'est de la démence), et leurs effets (dit
improprement « secondaires ») encore beaucoup plus funestes (notamment, mais là c'est ma seule parole qui est
engagée, la stérilisation d'une partie substantielle des générations jeunes et adolescentes, ce que je n'ai pas peur
d'appeler génocide par procuration) […] en poussière la benoîte fiction selon laquelle ces mesures auraient été utiles
à quoi que ce soit. Elles ont été au contraire délibérément mises en œuvre pour faire le plus de mal possible à la
population, sans être pris la main dans le sac (et ceux qui pointent du doigt le roi kleptomane et génocidaire nu sont

1
bien évidemment affublés de l'épithète « complotistes » : par les temps qui courent, la vraie Légion d'honneur).
22
[…] Christian Dubuis-Santini appelle quant à lui les masques chirurgicaux des « guenilles faciales ».
Qu'un très grand écrivain, Guillaume Basquin, orthographie « CONfinement », dans son chef-d’œuvre L'histoire
splendide (Tinbad, Paris, 2022). 22 note 6 & 7
[…] Pasolini : celui-ci, homosexuel, grand poète et cinéaste, catholique et communiste tout à la fois, a démissionné
avec pertes et fracas du Parti communiste italien, le jour où celui-ci a promulgué la législation du divorce. Pasolini
leur envoya ceci à la figure : le fait que le dernier rempart contre le capitalisme, c'était la famille. On sait ce qu'il reste
du Parti communiste italien aujourd'hui. 23
[…] Eusèbe : « Nous le savions depuis près d'un siècle et nous voilà convaincus. Le Mal absolu n'a jamais été le
nazisme, retiré comme une verrue disgracieuse sur un organisme alors en pleine croissance. Il était en fait la
résurgence d'un cancer profond aujourd'hui généralisé, métastasé dans toutes les institutions de la société. La
diabolisation du nazisme n'a servi aux sociétés occidentales qu'à se bander les yeux devant leur propre nature n'est
pas du nazisme, donc c'est tolérable. » 23-24.
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Actifs de banques centrales & Milliardaires


[…] Les chefs d'État, pour financer l'effort de guerre, pour acheter des armes, payer les soldes des militaires et
soutenir I’économie de crise, ont fait tourner la planche à billets à tour de bras. En termes techniques, on ne parle
pas de monnaie de singe mais des actifs des banques centrales.164
[…] On ne s'étonne pas de constater une explosion des actifs des banques centrales pendant les guerres mondiales,
qui représentent alors jusqu'à 60 % du PIB des pays les plus engagés dans les conflits.

[…] le troisième pic de la figure, le plus imposant de tous. Il commence en 2008 : c'est l'année du début de la
Troisième Guerre mondiale. Les actifs des banques centrales s'envolent depuis 2008 pour atteindre, aux dernières
nouvelles, en 2020, presque 70 % du PIB dans les pays riches. 165
[…] L'année 2008 pour le XXIe siècle est l'équivalent de 1929 pour le XXe : elle marque l'effondrement du système
financier mondial. […] La France a peu souffert de la crise financière de 2008 car ses institutions de protection sociale
héritées du combat des communistes du Conseil national de la résistance ont tenu bon : la sécurité sociale, la retraite
par répartition, les allocations familiales et autres financements du bien public ont évité au pays la banqueroute, et
les capitalistes ultralibéraux détestent la France pour cela. Mais le reste du monde a souffert. Aux États-Unis, des
centaines de milliers de personnes se sont mises à dormir dans des tentes à côté de leur ancienne maison, vide,
qu'elles ne pouvaient plus rembourser. Un monde absurde et cruel est né puis s'est développé monstrueusement.
[…] Aujourd'hui, il s'attaque à la vie même des gens : euthanasie des inutiles, suicides remboursés par l'État ... Au
Canada, où il a été légalisé en 2016, des milliers de personnes, plus de 10 000 par an aujourd'hui, y meurent de la
main des autorités dans l'indifférence générale [121].

2
167

166
[…] Ils pillent nos richesses. Ils nous volent nos vies, nos libertés, notre sécurité et notre dignité. Ils se gavent de
fausse monnaie qu'ils dépensent comme de la vraie. Mais qui sont-ils ? Les milliardaires bien sûr ! Sans compter ceux
qui travaillent durs pour le devenir ... Les milliardaires sont le sommet de l'iceberg, la partie visible de la richesse
obscène. Le nombre d'ultra-riches ne fait qu'augmenter depuis le début du XXIe siècle, alors que la pauvreté s'étend
sur toute la planète. […] l'explosion de la quantité de milliardaires : ils étaient 338 en 2001, ils sont 2 668 en 2022.
167
[…] Le patrimoine des milliardaires a tout autant augmenté depuis le début du XXIe siècle, malgré les crises, grâce à
elles en fait. En dollars constant de 2021, donc avec correction de l'inflation, leur capital cumulé a été multiplié par
6 ! Sans inflation, je le répète ! Il est passé de 1 860 milliards de dollars à 11 780 milliards de dollars. 167
[…] La Banque centrale européenne est principalement dirigée par son directoire, dont les membres sont nommés
par les chefs d'État de la zone euro. Il est appuyé par le conseil des gouverneurs, composé de ce même directoire et
des gouverneurs des banques centrales nationales. Ce sont donc les gouvernements des États membres qui sont in
fine responsables des décisions prises. Par exemple, quand Bernard ARNAUD a racheté le joaillier Tiffany pour 14,3
milliards d'euros [89], il n'a pas déboursé un seul centime : il a tout emprunté à la BCE [68), et à taux négatif s'il vous
plaît ! […] Mais pour les riches comme Bernard ARNAUD, c'est bien différent : le taux est négatif, donc ils
remboursent moins que ce qu'on leur prête ! De l'argent gratuit en somme. Bernard ARNAUD est à la veille de 2023
l'homme le plus riche de la planète avec un empire fondé sur ... le luxe, le marché de la richesse par un nanti pour les
nantis. 168
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

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Assassinat d’état & Rivotril
[…] les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la « COVID-19 » meurent en
masse en suivant cinq stratégies simultanées :
- refuser l'accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c'est-à-dire les personnes âgées ;
- refuser l'accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
- conseiller des traitements inutiles ;
- interdire les traitements efficaces ;
- tuer au lieu de soigner.
L'intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l'administration de poisons
mortels aux patients et en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. 70
[…] Derrière la « COVID-19 » se cache une crapulerie désinhibée. Des crimes ont été commis en toute connaissance
de cause. Les refus de soins dans les hôpitaux français sont organisés volontairement, officiellement, et se retrouvent
décrits dans les recommandations des autorités de santé. Les recommandations de I ARS île-de-France concernant la
« COVID-19 » [19], datant du 20 mars 2020, définissent les règles à appliquer pour décider qui sera soigné en hôpital
et qui ne le sera pas. Le document n'évoque pas verbatim le terme de refus de soins car la chose est condamnée par
la loi : il fait donc mention de « limitations des traitements » ou de « retraits de traitements ». En lieu et place de la
prise en charge curative ordinaire, il préconise la « prise en charge palliative aiguë » en ces termes : « Le droit à une
analgésie proportionnée, à une sédation proportionnée ou profonde et continue maintenue jusqu'au décès
prévenant toute souffrance doit être garanti. »
Or, l'euthanasie est définie par le dictionnaire de l'Académie (9e édition) comme suit : « EUTHANASIE, n. f. : Mort,
douce et sans douleur, survenant de façon spontanée, sans autre intervention éventuelle que l'administration
d'analgésiques. » L'ARS île-de-France garantit donc, hors de tout cadre juridique, le droit à l'euthanasie, pourtant
illégal en France. Il encourage même à créer des centres d'euthanasie 73
[…] L'ARS île-de-France, avant même le début de la « première vague », décide qu'il n'y aura pas de place pour tous
les malades à l'hôpital et qu'il faudra donc faire un tri. Mais elle note que malgré tout il faudra se donner les moyens
d'ouvrir des centres d'euthanasie. Elle utilise le terme de « bumping » pour désigner le fait de priver un patient des
soins qu'il recevait pour laisser sa place à un autre patient jugé digne d'être sauvé : « La troisième possibilité pour
éviter de fa ire perdre une chance au patient nécessitant une admission en réanimation serait de fa ire sortir un
patient déjà présent en réanimation pour libérer une place (bumping). »
L'équipe médicale se retrouve alors à décider qui mérite de vivre et qui a le devoir de mourir. […] Quant aux critères
de tri, ils sont fondés non pas sur un diagnostic médical précis mais sur un tableau numéroté de 1 à 9 hiérarchisant
des impressions allant de « personnes robustes, actives » à « dépendance complète » en passant par « empêche de
faire des courses ». Chaque niveau est illustré par une petite représentation graphique du patient. Le malade au

stade le plus critique, 9 - en phase terminale, ressemble à ceci :


Le texte précise bien : « la décision reste de la responsabilité d'un seul médecin », après concertation avec l'équipe
médicale afin de diluer la responsabilité dans la « collégialité ». Le respect des volontés du patient et de la famille est
laissé à leur libre appréciation. 74
[…] ces recommandations ne sont pas spécifiques à la « COVID-19 » : « Dans ce contexte, ces principes décisionnels
s'appliquent aussi bien aux patients C0VID qu'aux patients non-C0VID. Les données cliniques et de contexte pris en
compte ne sont pas spécifiques aux patients
C0VID {comme âge, fragilité, comorbidités…), mais leur poids sur la nature de la décision prise pourrait l'être selon
les situations. » C'est donc bien une stratégie générale de santé publique qui est ainsi définie, peut-être même une
vision de la société dans laquelle la mort planifiée des inutiles, car trop vieux ou trop coûteux, serait tolérée,
encouragée même. 75
[…] Les recommandations de I ARS Île-de-France, conformes à la définition de l'euthanasie, sont accompagnées d'un
décret du Gouvernement français daté du 23 mars 2020 (196) autorisant exceptionnellement, hors AMM,
l'administration d'un sédatif puissant aux « patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2
dont l'état clinique le justifie ». La drogue en question est le Rivotril (Clonazépam) sous forme injectable. Sa notice
officielle (259) précise pourtant qu'elle n'est absolument pas indiquée dans les cas d'infection par coronavirus.
[…] La notice du VIDAL précise en outre [259] : « Il convient d'utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »
4
Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la « COVID-19 » : - insuffisance
cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ; - dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt
respiratoire.
Il faut se rendre à l'évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de « C COVID-19 », au
point qu'on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les
rédacteurs du décret du 23 mars 2020. En effet, le Rivotril n'est pas un analgésique. 76

[…]
[…] Le décret du 23 mars 2020 limitait l'usage exceptionnel du Rivotril jusqu'au 15 avril 2020. Hors, la figure 38
montre que la surconsommation massive de Rivotril continue bien après cette date et suit la courbe globale de
mortalité du pays, y compris pendant les périodes officiellement exemptes de « COVID-19 ». La raison, la voici :
l'arrêté du 26 mai 2020 [255) autorise maintenant la prescription de Clonazépam (c'est-à-dire de Rivotril sous toutes
ses formes) par tout médecin, même non spécialiste, et hors autorisation de mise sur le marché. Il interdit en même
temps la prescription d'hydroxychloroquine dans les cas de « COVID-19 », alors que ce produit est un bon candidat
pour lutter contre les infections respiratoires, tandis que son innocuité est avérée par une consommation massive et
continue depuis 60 ans.77
[…] Tout laisse à penser que les politiques de refus de soins et d'euthanasie f ont partie d'un même plan assumé. […]
l'euthanasie est devenue par simple décision de l'exécutif une pratique autorisée pour s'occuper des problèmes de
santé des personnes âgées. Il est tout de même utile d'insister sur la terminologie. Au sens strict, l'euthanasie
suppose une antalgie, alors que le Rivotril n'est pas antalgique : il est utilisé uniquement pour tuer. 78
[…] l'Assemblée nationale a créé le 17 mars 2020 la mission d'information de la Conférence des présidents sur
l'impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l'épidémie de « C COVID-19 ». […] Olivier
YOUINOU, infirmier de son état, prononça ces mots : « On a mis en place à l'Assistance publique des groupes
d'intervention rapide (GIR). Vous imaginez, rien que sur le plan lexical, ce que cela peut vouloir dire: on n'est pas
tellement dans le champ hospitalier. Les équipes hospitalières intervenaient dans les EHPAD pour mettre en place un
protocole préétabli, faisant notamment appel au Rivotril, pour des personnes âgées présentant une dépression
respiratoire. » […] Ces GIR sont des équipes de professionnels chargées d'injecter - rapidement - un poison mortel
aux victimes désignées. 78
[…] Julien BOROWCZYK: « Sous quelles prescriptions les injections étaient-elles réalisées et par qui ? »
Astrid PETIT: « Ce pouvait être l'infirmière qui, surtout la nuit, décrivait par téléphone l'état clinique du patient au
médecin pour ajuster une prescription. » La condamnation à mort par téléphone, […]. Pour les GIR, ces brigades de la
mort, un appel téléphonique suffisait, parfois un simple mot sur la porte, au mieux un médecin qui avait parlé à
quelqu'un qui avait demandé à un autre de confier finalement à du personnel non médical - et non formé - la tâche
de condamner à mort un vieillard laissé dans l'ignorance, lui et sa famille, du sort qu'on lui réservait. Le prétexte
officiel était la saturation des hôpitaux ; mais nous savons que c'est faux. 78
[…] Éric CIOTTI, rapporteur de la mission parlementaire : « J'aimerais que l'on approfondisse ce point, car ce que vous
dites est extrêmement grave. Des milliers de vies humaines sont concernées. Vous nous dites que, dans ces
protocoles, aucun médecin n'est intervenu, sauf par téléphone. »
Effectivement, des milliers de vies sont concernées, des dizaines de milliers même. L'affaire est extrêmement grave,
tellement importante qu'elle n'est pas mentionnée dans le rapport final de la mission [13) : pas un mot sur les GIR ! Il
n'y aura ni enquête ni approfondissement. L'affaire est enterrée par un odieux mensonge : « L'usage du rivotril dans
le cadre de soins palliatifs est néanmoins demeuré soumis aux protocoles définis par la société française
d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) pour la prise en charge palliative de la détresse respiratoire. » Le
rapport évoque pudiquement des équipes mobiles de gériatrie et de soins palliatifs chargées d'appuyer un personnel

5
débordé dans les soins des cas les plus graves. Alors qu'elle avait auditionné les témoins et collecté les preuves,
l'Assemblée nationale a menti à son peuple pour couvrir un crime de masse. 81
[…] L'euthanasie, quand elle est active, est un assassinat. Mais quand elle est passive, il faut obligatoirement l'accord
explicite du patient, ou de la famille s'il n'a plus sa conscience, puis la délibération d'un collège où interviennent les
proches et plusieurs médecins. À défaut, l'euthanasie passive est aussi un meurtre. Le produit concerné dans ce
témoignage est le Midazolam, un tranquillisant commun en soins palliatifs, c'est pourquoi l'euthanasie est dite
passive. Dans le cas du Rivotril, mortel en cas d'insuffisance respiratoire, on aurait eu affaire à une euthanasie active.
82
[…] Le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 [196) consacre dans la loi la destruction des droits civiques des citoyens
sous prétexte officiel de « COVID-19 ». Il est complété par le décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 [197), qui est le
premier décret à autoriser exceptionnellement l'injection de Rivotril à des patients que le produit tuerait à coup sûr :
« Par dérogation à l'article L. 5121 -12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous
forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de
la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont L'état clinique le
justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention "Prescription Hors AMM dans le cadre du
covid-19". » Le texte du décret précise bien que l'autorisation exceptionnelle de tuer sera valide jusqu'au 15 avril
2020. Cependant, le décret n° 2020-423 du 14 avril 2020 (198) complète le décret n° 2020-293 ; en particulier, il
repousse la date limite d'utilisation hors AMM du Rivotril du 15 avril 2020 au 11 mai 2020. 83-84

La mortalité par « COVID-19 » en EHPAD commence exactement le jour où le décret 2020-293 a été publié au Journal
officiel. Pourtant linéaire, elle subit un décrochage notable précisément le jour où le décret-Rivotril 2020-360 a été
mis en application. De plus, la mortalité s'effondre brutalement le jour où son application s'arrête, soit le 15 avril
2020. Puis elle perdure mollement pour commencer à baisser nettement exactement le 11 mai 2020, date de
péremption du décret 2020-423. Elle s'efface enfin complètement quelques jours après. 84
[…] l'exception du Rivotril a été reconduite sans interruption par des décrets successifs ne spécifiant plus aucune
date limite :
- décret n° 2020-548 du 11 mai 2020, réactive l'exception Rivotril (199) ;
- décret n° 2020-663 du 31 mai 2020, poursuit l'exception Rivotril (200) ;
- décret n° 2020-860 du 10 juillet 2020, abroge1 l'exception Rivotril (37) ;
- décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020, réinstaure l'exception Rivotril (38) ;
- décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020, poursuit l'exception Rivotril 85

1
Le hiatus introduit par l'abrogation décrétée le 10 juillet est un leurre, car c'est un arrêté ministériel qui prend le relais exactement le même jour
en des termes similaires, quelques mots assassins noyés dans le fatras illisible d'une logorrhée administrative (256) […] Puis, à partir du
1er juin 2021, c'est encore un arrêté qui pérennise le droit de tuer sur simple suspicion de « C COVID-19 » (2 5 7].

6
[…]
[…] Il faut tenir compte d'un fait difficile à évaluer : de nombreuses personnes âgées euthanasiées seraient sans
doute mortes naturellement quelques semaines ou quelques mois plus tard si on ne les avait pas piquées. […] une
piqûre de Rivotril suffit pour achever un malade, parfois deux si le moribond se révèle trop bien portant . Au total, le
Rivotril surconsommé de mars 2020 à octobre 2022 représente potentiellement un peu plus de 62 000 euthanasies,
soit de quoi expliquer environ deux tiers des décès attribués à la « COVID-19 » […] On remarque une
surconsommation continue et très élevée de Rivotril pendant l'été 2020 : il s'agissait de faire des réserves pour
l'hiver suivant afin de ne pas tomber en pénurie de poison, ce qui aurait gâché la panique . […] Il y a bien sûr d'autres
produits susceptibles d'être prescrits en soins palliatifs ; mais ils ne sont pas aussi efficaces que le Rivotril pour
achever un malade. Ce sont principalement des psycholeptiques ou des tranquillisants comme par exemple le
Valium. 87

[…]
[…] l'usage immodéré du Valium injectable a explosé depuis mars 2020 et n'a plus jamais retrouvé un niveau normal.

7
[…]
[…] Le Midazolam est exclusivement délivré par les pharmacies hospitalières. Ce point est crucial ! En effet, les bases
de données ouvertes concernant la consommation de médicaments excluent les pharmacies hospitalières de leur
recensement. Ce qui se passe au sein de l'hôpital est pour ainsi dire secret défense. Le grand public ne saura jamais
ce qu'il s'y trame. Si le Midazolam avait été utilisé pour euthanasier les personnes âgées en lieu et place du Rivotril
ou du Valium, la surconsommation massive engendrée ne serait pas apparue dans les données accessibles au public
[…]. il n'y avait plus de Midazolam ! A l'instar de la pénurie de masques en mars 2020, l'amateurisme et
l'imprévoyance de l'État ont provoqué un manque insupportable capable de mettre en péril le plan
d'extermination des indésirables décidé en haut lieu. Cette pénurie est attestée par le rapport de la mission
« COVID-19 » de l'Assemblée nationale (13) : « Dès la mi-mars, l'agence nationale de sécurité du médicament et
des produits de santé {ANSM) a signalé au centre de crise sanitaire l'existence de tensions très importantes
pesant sur les molécules utilisées en réanimation. L'ANSM a notamment alerté sur le risque de pénuries pesant
sur cinq molécules principales: les curares (atracurium, cisatracurium, rocuronium) et les hypnotiques
(midazolam et propofol). Ces médicaments ont été utilisés dans des volumes inédits durant le pic de
l'épidémie pour les soins de réanimation mais ont également dans d'autres cadres (le midazolam a par exemple
été utilisé pour les soins palliatifs alors que les curares et le propofol l'ont été en chirurgie). » 89-90
[…] tous les pays dits occidentaux, en fait tous les pays ayant accepté la fable de la « COVID-19 » ont organisé ce
genre de purge. S'il n'y avait plus de Midazolam pour la France, c'est parce que les stocks ont été engloutis par
les autres pays bien plus prévoyants, bien mieux organisés. Aux États-Unis, la FDA a rapporté des tensions sur
l'approvisionnement en Midazolam dès mars 2020 [210). La Grande-Bretagne, la Perfide Albion, a carrément
détourné des stocks entiers de Midazolam destinés à la France pour assurer ses propres besoins (268). 90
[…] Le témoignage de John O'LOONEY, directeur de pompes funèbres à Milton Keynes dans le Buckinghamshire, en
Angleterre […] Il n'a cependant constaté aucune hausse de mortalité dans la population générale pendant les
« vagues de C COVID-19 » dans sa pratique […] Quand il devait récupérer la dépouille d'une personne âgée en
maison de retraite, il remarquait systématiquement des poches et des seringues de Midazolam à côté du lit et
trouvait cela très perturbant. […] « Alors pour moi, qui suis une petite entreprise familiale de pompes funèbres, être
subitement appelé chaque nuit pendant près de trois semaines exclusivement dans des maisons de retraite et nulle
part ailleurs est probablement aussi rare que de gagner à la loterie plusieurs fois en trois semaines. Cela n'arrive tout
simplement pas, c'est impossible. Je m'empresse d'ajouter que toutes ces personnes étaient étiquetées "COVID" ».
91-92
[…] À l'instar de la France, la Grande-Bretagne a édicté des protocoles d'exception dans le cadre de la « COVID-19 ».
Le protocole NG163 [171] a été publié le 3 avril 2020 par le National lnstitute for Health and Care Excellence […]
programme ! Les soins préconisés en cas de « COVID-19 » sont :
- aérer la pièce ;
- pratiquer la relaxation ;
- une cuillerée de miel pour la toux ;
8
- du Paracétamol pour les états fiévreux ;
- Lorazepam (tranquillisant), morphine, puis Midazolam.
[…] ! Il tolère le Paracétamol, qui est pourtant un dangereux hépatotoxique, première cause iatrogène de greffe du
foie. Pour le reste, on gave les patients de tranquillisants puis on les achève au Midazolam. 93
[…] Le protocole NG163 a été remplacé par le protocole NG191 [170) le 23 mars 2021. Il est complété par un
protocole de fin de vie plus ancien, le NG31 [169). Les préconisations sont essentiellement les mêmes. Elles incluent
en plus l'interdiction d'avoir recours à l'hydroxychloroquine, à l'ivermectine, à la vitamine D, et déconseillent les
antibiotiques et les anti-inflammatoires. C'est une interdiction pure et simple de soigner ; c'est tout simplement
criminel. Bien évidemment, les pires poisons sont recommandés : le Remdésivir, produit inefficace qui détruit les
reins [59, 262), le Ritonavir et le Molnupinavir, deux antiviaux ruineux et dangereux [275], au mieux inutiles [208].
83
[…] La « COVID-19 » n'est qu'une fable destinée à couvrir un géronticide. 94
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Boomers
[…] En 2006, les premiers baby boomers ont atteint l'âge de 60 ans, bien décidés à vivre encore longtemps ; le papy
boom a commencé peu après. L'augmentation du nombre de morts causée par l'allongement de la vie masque les
progrès accomplis dans la protection de la santé et leurs conséquences positives sur l'espérance de vie. Il y a plus de
morts parce que nous vivons plus longtemps. 33
[…] l'espérance de vie des personnes mortes avant l'âge de 80 ans ne varie plus depuis 2014, et elle n'a pratiquement
pas varié en 2020. En revanche, la figure 7 dévoile l'origine de cette perte d'espérance de vie globale : il s'agit de celle
des personnes de plus de 80 ans. Autrement dit, en 2020, la baisse d'espérance de vie n'a touché significativement
que les personnes très âgées. Durant l'année 2020, la « COVID-19 » n'a visiblement concerné que les personnes
ayant l'âge de mourir de vieillesse. 36
[…] La quasi-totalité de la mortalité de 2020 a donc concerné des personnes dont l'âge était supérieur à l'espérance
de vie. […] Il n'y a pas de définition objective de la mort causée par la vieillesse. On meurt toujours de
dysfonctionnements organiques, et ces derniers sont de mieux en mieux pris en charge de manière à toujours faire
augmenter l'espérance de vie : elle est passée de 78 ans et demi à 81 ans et demi entre 2000 et 2020. 37
[…] La grippe tue les personnes affaiblies en leur imposant un stress dépassant leurs capacités d'adaptation. 39
L'année 2020 s'est même payée le luxe d'avoir été celle avec le moins de décès en dessous de 50 ans, et ce sans
même tenir compte de l'augmentation naturelle de la population […] qu'elle n'a pas eu plus d'influence sur les décès
des moins de 60 ans, ni même des moins de 70 ans. […] Il n'y a statistiquement aucune différence statistique entre
mourir de la « COVID-19 » et mourir de vieillesse. 40
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Complotisme & Délire psychotique


[…] On assiste donc peu à peu à une psychiatrisation de l'opposition politique, à la stérilisation du débat par
diagnostic médical : vous ne pensez pas comme moi, c'est donc que vous êtes un malade mental. 191
[…] De grandes figures médiatiques comme Luc FERRY, soi-disant philosophe, ont commencé à assimiler le
complotisme - c'est-à-dire à l'opposition politique - à une forme de paranoïa narcissique [79]. La revue de
vulgarisation Cerveau & Psycho a consacré plusieurs articles au complotisme, assimilé à une sorte de délire
psychotique [41], en particulier dans son numéro 130 « Rester serein dans un monde incertain ». […] L'adversaire
démocratique au sein du débat n'existe plus ; il n'est plus sujet actif dans la vie républicaine, à égalité avec les autres
participants, mais objet passif entre les mains des doctrinaires qui s'imaginent détenir la vérité absolue. Le
professeurJean-Bernard FOURTILLAN, expert en chimie pharmaceutique et en pharmacocinétique, s'est retrouvé
interné en hôpital psychiatrique pour avoir osé partager des analyses relevant de sa spécialité [231] . […] font. Le
professeur de science politique Lance DEHAVEN-SMITH a mené une enquête sociologique et historique sur la genèse
et l'usage du terme « complotiste » (« conspiracy theory » en version originale) [65). La découverte éclaire la réalité
par sa cohérence : ce sobriquet infamant a été conçu par les spécialistes de la CIA en 1967 pour décrédibiliser tout
personne réfutant les conclusions de la commission Warren sur l'assassinat du président KENNEDY. Avant cette date,
ce terme n'avait jamais été utilisé, ni dans les médias, ni dans la conversation courante. 191
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

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Confinement
[…] Le confinement est un dispositif totalement inconnu de la littérature médicale avant le début du XXI e siècle. Il
ressemble à un dévoiement des méthodes déjà connues, comme par exemple la quarantaine qui n'était pourtant pas
spécialement efficace. […]. Des établissements appelés lazarets accueillaient les personnes à isoler pour un temps
déterminé, à l'origine quarante jours, d'où le nom quarantaine. À l'exact opposé, le confinement rassemble et
concentre indistinctement les malades et les bien-portants. […]. la quarantaine à grande échelle ne sert à rien et n'a
jamais fonctionné ; elle est même dangereuse car elle désorganise profondément le corps social et donc sa capacité
de répondre à l'urgence. […]. La distanciation sociale ne dispose d'aucune étude pour la soutenir, et par conséquent
l'interdiction des rassemblements n'a aucune base rationnelle. 103
[…] Mais d'un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. 105
[…] C'est en 2006, à la demande de Georges W. BUSH, alors président des États-Unis d'Amérique, que deux
médecins, Richard HATCHETT et Carter MECHER, ont commencé à promouvoir le confinement comme solution
essentielle aux pandémies futures. 105
[…] Les taux de contamination attribués au « SARS-CoV-2 » ont été mesurés dans différentes catégories de
population par tests sérologiques. Les contaminés ne tombaient par forcément malades, mais tous étaient réputés
avoir croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées
révèlent ces anticorps dans une proportion de 6,3 %, tandis que les travailleurs sont 5,3 % dans le même cas. Une
différence de 1 % sur 6,3 % est significative ; le confinement accentue la prévalence des marqueurs attribués au
« SARSCoV-2 ». Du point de vue de la théorie virale, le confinement est une mauvaise pratique.106
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Suède & Norvège


[…] On remarque un écart de 4,97 % sur la moyenne et de 2,14 % sur le maximum. La Suède a un maximum
légèrement plus élevé tandis que la France a une moyenne sensiblement plus haute. Sur l'année 2020, la Suède a
souffert d'une mortalité de 9,43 %, et pour la France ce taux est de 9,95 %. Globalement, même si la France a
souffert de la plus mauvaise situation, la différence entre les deux pays est insignifiante . En 2020, il n'y a eu
objectivement aucune différence entre la France et la Suède en matière de mortalité. Le confinement français n'a
visiblement rien changé du tout. Notons tout de même qu'en Suède 53 % des plus de 70 ans décédés officiellement
de la « COVID-19 » sont morts en maison de retraite et non à l'hôpital [241]. La moitié des plus de 70 ans n'ont donc
pas bénéficié d'une prise en charge hospitalière : ils ont été laissés à l'abandon, sans soins.
[…] la Suède a refusé l'accès aux soins à de nombreuses personnes âgées en les excluant des populations devant
avoir un accès prioritaire aux soins. Environ 20 % d'entre elles n'ont même pas été auscultées par un médecin. […] le
facteur déterminant dan la maîtrise de la mortalité dans le contexte de la « COVID-19 » est la qualité de la prise en
charge médicale. 108
La Suède a une population qualitativement similaire à celle de la Norvège ; mais ces deux pays n'ont pas appliqué les
mêmes politiques de soins. La Norvège n'a pas confiné et n'a pas abandonné ses anciens. 108
[…].et à l'instar de la Corée du Sud, la Norvège a testé les cas potentiels, puis a isolé les malades pour les soigner, soit
exactement ce que la médecine moderne préconise de faire depuis longtemps pour n'importe quelle grippe. […]. 4,7
décès pour 100 000, l'un des taux les plus bas d'Europe, alors qu'en Suède cette mortalité est de 55 .6 pour 100 000,
soit 11,8 fois plus élevée. À titre de comparaison, la France a souffert de 44.3 décès pour 100 000, soit 9,4 fois plus
élevée qu'en Norvège. Aussi, il est étonnant de considérer la Suède comme un contre-exemple des politiques
sanitaires ubiquitaires alors qu'à l'instar de tous les autres pays COVIDistes la Suède a appelé à la distanciation
sociale et a écarté les personnes âgées de l'accès aux soins. En réalité, le bon élève européen, personne n'en a parlé :
il s'agit de la Norvège 109

10
110

111
[…] La Suède fait figure d'exception car elle a peu confiné ; mais elle a tout de même subi une forte
mortalité estampillée « COVID-19 ». 112
[…] Les conclusions font apparaître deux faits majeurs : - le confinement n'a aucun impact sur la
dynamique attribuée à la « COVID-19 » ;
- le confinement a des conséquences très significatives sur la mortalité : plus les pays confinent, plus
leur mortalité « COVID-19 » est élevée.
En moyenne, les pays qui ont confiné ont subi une mortalité deux fois plus élevée que ceux qui se sont
abstenus de le faire 119
[…] Le confinement s'inscrit toujours dans une politique globale qui inclut par la force des choses des
abandons de soins, car quand on est assigné à résidence, l'accès aux structures de soins devient bien
plus difficile ; il est même parfois interdit de fait. 121
[…] On constate donc une mortalité élevée sur les périodes de confinement, quel que soit le moment
de l'année. 124
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Couvre-feux
[…] que le couvre-feu oblige les travailleurs à s'entasser aux mêmes heures dans les transports en commun, puis à
effectuer en masse leurs courses au même moment, passant aisément un quart d'heure à touche-touche devant la
caisse enregistreuse du marchand avant de pouvoir à nouveau s'agglutiner dans un bus ou un métro pour rentrer en
catastrophe chez eux à l'heure indiquée par les autorités. 163
11
[…] Le couvre-feu est donc aussi bien en théorie qu'en pratique un dispositif purement martial d'oppression des
foules. […] Il faut à tout prix sidérer les masses. Voilà à quoi sert un couvre-feu. 164
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Doxa du Covid
[…] sociologue Laurent MUCCHIELLI a baptisé la doxa du COVID, analysée en détail dans deux ouvrages [165,
166). Une doxa est un ensemble d'opinions reçues sans discussions ni débats, imposées comme évidentes par la
force des traditions, par les préjugés populaires ou, comme dans le cas de la « COVID-19 », révélées par la voix des
autorités. L'auteur décompose la doxa du COVID en quatre affirmations distinctes qui s'enchaînent en une
structure ayant les apparences de la logique : - une pandémie virale menace la survie de l'humanité ; - il n'existe
aucun traitement capable de la guérir ; - il faut donc se protéger par l'isolement social ; - en attendant le vaccin qui
délivrera la planète. 177

Épidémie & Découpage calendaire


[…] Imaginez qu'une année se retrouve avec un pic le 7 janvier et un autre le 24 décembre : deux pics dans la même
année, c'est dramatique ! Maintenant décalez le premier pic du 7 janvier au 24 décembre de l'année précédente, et
de même avancez le pic du 24 décembre au 7 janvier de l'année suivante : vous obtenez une année des plus calmes
uniquement à cause d'un choix arbitraire de découpage des périodes. L'année calendaire est le plus mauvais
découpage possible pour étudier la mortalité saisonnière. Il faut choisir comme début du décompte des décès une
date où il ne se passe jamais rien, par exemple le 1er juillet. 125
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

États & Trahison des peuples


[…] Même Qohélet, !'Ecclésiaste, le sage parmi les sages, nous prévenait du prix à payer : « Car le sort de l'homme et
celui de la bête sont pour eux un même sort ; comme meurt l'un, ainsi meurt l'autre, ils ont tous un même souffle, et
la supériorité de l'homme sur la bête est nulle ; car tout est vanité. » 26
[…]. L'État qui prétend nous protéger nous a en fait abandonné. Il a cessé de prendre soin de notre santé. Pire
encore, il s'est mis dans l'idée de nous éliminer, nous les inutiles, nous les assistés. Il nous inflige des rituels sadiques
pour éprouver notre fidélité : il nous confine, nous masque, nous pique et nous affame en nous assurant que le pire
des fléaux nous attend si nous lui désobéissons. Son but informulé n'est même pas le sien : il œuvre sur commande.
L'État est un larbin. Ses maîtres véritables ont arrêté de longue date notre ultime destinée. […] La première a débuté
le 16 mars 2020 et s'est arrêtée à la fin de la même année. Les personnes âgées y ont été euthanasiées en masse à la
fois pour habituer le peuple à embrasser l'indignité physique et pour lui faire accepter la suite du plan. La seconde
phase a débuté avec les campagnes généralisées d'injections de produits mutagènes faussement dénommés
« vaccins », solutions de complaisance à un problème fabriqué. 27
[…] Loin d'être limitée à la France, la trahison des peuples est mondiale. […] la France sera mon seul terrain d'étude,
sauf exceptions. Les données analysées sont toutes issues de sources officielles : INSEE, DREES, OCDE, Santé
publique, ministères divers et autres administrations. 27
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Finance (la) & le Vieillissement des populations


[…] De quoi parle-t-on, que fait-on dans les salons feutrés des élites ? On joue à se faire peur avec le risque de
longévité. La chose est bien connue des actuaires et des assureurs. Elle fait frémir d'horreur les investisseurs. Les
sociétés BlackRock, Vanguard, State Street et compagnie sont les principaux investisseurs de la planète en fonds
cotés en bourse. Ces multinationales tentaculaires ont des parts dans toutes les sociétés du monde ou presque, avec
la haute main sur des dizaines de milliers de milliards de dollars d'actifs : prenez un 1 avec treize zéros derrière et
vous serez encore en dessous du total. La fortune cumulée des milliardaires n'est que peu de choses en comparaison
des sommes contrôlées par ces mastodontes. La puissance de ces institutions s'étend sur toute la planète ; elle est
délirante, au-delà des possibilités des États les plus puissants. […] : l'autre moitié est contrôlée par les fonds de
pension, qui gèrent la retraite des vieux par capitalisation, un titan de la même envergue. Les fonds de pensions les
plus importants sont gérés par les États, devenus complices de la haute finance spéculative. Ces deux léviathans
s'accordent sur un point : le risque de longévité est peut-être la pire calamité qu'ils vont avoir à combattre. Leur
terreur est telle qu'ils ont fini par entrer en guerre contre cet ennemi qui menace leur existence : nos trop longues

12
vies. […] Le risque de longévité est peu connu en France car on y jouit d'une retraite par répartition (le Diable pour
les néolibéraux). Quand on a l'habitude des retraites par capitalisation, on comprend mieux de quoi il s'agit. 169
[…] Le fonds de pension fait donc fructifier ce capital afin de verser une rente au retraité . Mais ce capital est dans la
quasi-totalité des cas bien trop faible pour couvrir les besoins minimaux d'une personne uniquement via les intérêts :
il faut rogner le capital. Ainsi, au bout d'un certain temps, il n'y a plus d'argent, et pour tenir ses engagements le
fonds de pension est obligé de payer la rente de sa poche ... et perd de l'argent. La survie du pensionné au-delà de
cet âge limite est appelé risque de longévité, car le fonds ne fait alors plus aucun profit. 170
[…] Ils ont bien compris que le baby boom qui a suivi la Seconde Guerre mondiale allait provoquer 60 ans plus tard
une tempête grise. Ils s'en frottaient les mains, car un vieux ça rapporte mine de rien : c'est bourré d'économies, ça
trouve le temps de voyager, de consommer, ça tombe malade tout le temps ... L'économie de la gériatrie allait
connaître un coup de turbo : c'était le moment d'investir et ils ont investi. 170
[…] l'un des porte-parole majeurs de l'intelligentsia ultralibérale : Jacques ATTALI. Ce personnage ne mérite pas tant
d'égards ; mais depuis longtemps il a transcendé sa nature humaine pour devenir le symbole de la doxa financière y
compris dans ses aspects les plus spirituels. Après tout, il n'avait qu'à pas se mettre tant en avant dans les médias aux
ordres des ultra-riches. Il se révèle alors bien commode pour sonder les angoisses du petit cercle fermé des fous de
la finance […]. […] et nous voilà informés des fantasmes et des craintes du clan des possédants. Dès 1981, on tendait
le micro à Jacques ATTALI pour qu'il promeuve les concepts qui font aujourd'hui l'actualité : « Mais dès qu'on
dépasse 60/65 ans, l'homme vit plus longtemps qu'il ne produit et il coûte alors cher à la société. D'où je crois que
dans la logique même de la société industrielle, l'objectif ne va plus être de rallonger l'espérance de vie, mais de fa
ire en sorte qu'à l'intérieur d'une même durée de vie déterminée, l'homme vive le mieux possible mais de telle sorte
que les dépenses de santé seront les plus réduites possibles en termes de coûts pour la collectivité. » - L’'Avenir de la
vie, page 273 (218) « […] Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront
d'éliminer la vie lorsqu'elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de
pratique courante. Je pense donc que l'euthanasie, qu'elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une
des règles de la société future. » - L 'Avenir de la vie, pages 274- 275 (218) 198
[…] Ce que Jacques ATTALI dépeint ad nauseam comme une fatalité, c'est en réalité la société qui nous attend si nous
laissons faire les ultralibéraux dont il est le héraut, le serviteur zélé. 202
[…] Le capitalismes' étire aussi loin qu'il peut et se métastase invariablement en état policier, en dictature et en
totalitarisme, puisqu'au final tout devient propriété, tout appartient à quelqu'un, absolument tout, et il faut que sur
la moindre parcelle de la planète cette possession arbitraire soit protégée. 200
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Crises financières & Pandémies


[…] toutes les crises financières majeures - celles non voulues par les élites - sont toujours suivies d'une « pandémie
mondiale ». En 1998 a été organisée l'arnaque de la grippe aviaire, juste après la crise des marchés obligataires de
1998 qui a failli détruire le système financier mondial. En 2003, c'est l'épidémie de SRAS qui suit le krach boursier de
2002, celui qu'on a appelé le « krach boursier rampant » : la société Enron n'y a pas survécu, la plus grande faillite de
toute l'histoire américaine, de la fraude jusqu'au plus haut niveau, un scandale qu'il fallait faire oublier. En 2009 s'est
terminée la crise des subprimes qu'on a cru être la Der des Ders. Dans la foulée, dès le printemps de la même année,
on a imposé une pseudo-pandémie H1 N1 avec propagande vaccinale au Pandemrix toxique rendant les gens
narcoleptiques. Les « pandémies » servent de parachute de secours à la haute finance depuis plus de 20 ans.

13
Les « pandémies » opportunes sont marquées en gris foncé. A chaque fois que la fortune moyenne des milliardaires
se met à bien trop baisser, les ultra-riches provoquent une « pandémie ». Et tout de suite la fortune revient. En
2016, il aurait pu se passer quelque chose ; mais c'était l'année des élections présidentielles aux États-Unis : ça
n'était pas le moment de jouer. […] Les largesses des banques centrales ont un prix, car tout cet argent gratuit, c'est
de la dette. Les milliardaires n'empruntent pas directement aux banques centrales la monnaie de singe qui fait leur
fortune. Ils passent par tout un réseau compliqué d'intermédiaires bancaires qui prennent chacun leur commission
au passage. Mais, ce faisant, le système se paralyse de l'intérieur. […] Qu'un seul de la bande fasse faillite et tout le
système s'effondre. […] Il a donc fallu inventer un prétexte pour perfuser directement les investisseurs privés avec
l'argent public via des aides de l'État et des emprunts à taux négatifs. Ce prétexte, c'est forcément une pandémie :
la « COVID-19 ». Et comme l'économie est exsangue, foutue, les élites n'ont plus le choix : il faut instaurer une
dictature pour garantir des rentrées d'argent à hauteur de leurs dettes, directement du compte bancaire du citoyen
vers celui de l'actionnaire sans même passer par la consommation commerciale, devenue un prétexte inutile. 171
[…] Heureusement, aucune élection n'était prévue dans les pays du G8 cette année-là : c'était donc le bon moment
pour tenter le tout pour le tout. Et ça a marché : grâce à la « COVID-19 » les riches n'ont jamais été aussi riches ! Et
les pauvres – vous - jamais aussi pauvres. Mais on pouvait encore mieux faire, par exemple on pouvait augmenter les
prix - donc les bénéfices - tout en gelant les salaires - donc les charges-, puis trouver un prétexte, n'importe lequel :
les Russes, le climat, peu importe. Et là c'est le jackpot ! Pour eux bien sûr, car pour nous c'est la crise du siècle. Tant
que nous serons vivants, nous serons une menace pour les ultra-riches. Le risque de longévité n'est donc plus
autorisé : il faut que les gens meurent avant 80 ans, point.
[…] On déclare alors toxiques des médicaments massivement consommés depuis des décennies sans avoir jamais tué
personne simplement parce qu'ils ont le malheur d'être efficaces contre la « COVID-19 ». Par contre, le Doliprane, un
poison pour le foie occasionnant des lésions graves, parfois mortelles même à dose thérapeutique, est prescrit
systématiquement en cas de « COVID-19 ». Ce produit est bien évidemment parfaitement inefficace contre les
infections respiratoires aiguës. C'est pour cela aussi qu'en pleine « pandémie » le premier réflexe du Gouvernement
français a été de fermer des lits d'hôpitaux - 5 700 en 2020 - et de réformer les retraites. À bas la retraite par
répartition qui échappe à la rapacité des fonds de pensions ! La retraite par répartition résout automatiquement le
risque de longévité par la solidarité intergénérationnelle. Mais voilà, cette retraite est financée par ... des cotisations
patronales. Ce sont in fine les investisseurs qui paient pour le peuple. C'est équivalent à un risque de longévité
généralisé à tous les plus de 65 ans, le pire scénario imaginable pour un néolibéral. […] Le vaccin fait partie
intégrante de la gestion du risque de longévité. Il faut à la fois que le travailleur survive jusqu'à 65-70 ans pour
engraisser l'assurance-vie et aussi qu'il décède dès 80 ans passés. Pour le décès, c'est réglé : pandémie, euthanasie,
le système est rôdé. Mais pour sa survie le travailleur sera traité suivant les méthodes éprouvées en médecine
vétérinaire : antibiotiques et vaccins administrés en masse, obligatoires et réguliers. Comme cela on garantit la survie
des esclaves au plus faible coût, à l'instar des vaches à lait et des poulets en batterie, juste ce qu'il faut pour qu'ils
soient rentables. Nul besoin de médecins de ville : au moindre cas détecté, on injecte en masse et on conserve
quelques hôpitaux pour les cas d'urgence. En fait, la simple survie de l'employé est suffisante pour engraisser le
Capital, C'est pour cela que les laboratoires et les gouvernements se fichent des effets indésirables des vaccins : ils
savent - ou croient savoir - quelle proportion de personnes mourront et quelles maladies elles auront. Ils supposent
que les vaccins causeront majoritairement des dégâts non létaux qui n'impacteront pas outre mesure les capacités

14
minimales de travail. Ils espèrent surtout qu'ils écourteront l'espérance de vie d'une vingtaine d'années, plaçant l'âge
de la mort à 65 ans, l'âge idéal pour crever selon les investisseurs institutionnels.
Les vaccins n'ont pas été conçus pour tuer mais pour rapporter de l'argent et imposer une vision vétérinaire de la
médecine. Ne vous inquiétez pas, vos maîtres ne veulent pas vous assassiner, ils souhaitent juste que vous ayez envie
de mourir dès qu'ils n'auront plus besoin de vous. 172
[…] Leurs profits sont planifiés sur des dizaines d'années. La seule solution pour conserver une rentabilité minimale
de 5 % tout au long de leur existence, c'est de contrôler la vie des gens dans ses moindres détails afin d'éliminer
toute surprise, afin de garantir tous les investissements, y compris les rentes viagères. Dans un monde où le
déterminisme est absolu, nécessairement la liberté est interdite et la mort programmée. C'est ce qu'on nomme le
totalitarisme, la version la plus efficace du capitalisme néolibéral.
- « Seule une mondialisation maîtrisée et civilisée permettra L'émergence d'une société internationale
respectueuse des cultures et des identités, des hommes et des pays. Une société internationale où les
échanges ne se feront pas au seul profit de quelques uns, mais pour le bénéfice de tous. Il incombe à la
communauté internationale d'élaborer les règles de ce nouvel ordre mondial. Règles économiques, bien sûr,
la crise financière en a montré l'urgence. » - Jacques CHIRAC, 7 décembre 1998 [44).
- « La crise mondiale, il faut que nous lui apportions une réponse mondiale. J'en appelle à tous les
gouvernements. Aucun d'entre nous n'en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que
font les autres. Aucun. Nous avons besoin du dynamisme de chacun pour deux choses. La première : trouver
un nouveau système de régulation. Ce sera l'enjeu du Sommet de Londres. Je puis vous dire une chose:
l'Europe aura une position commune et forte. Je puis vous dire une deuxième chose: nous n'accepterons pas
un Sommet qui ne décidera pas. Je puis vous dire une troisième chose: on ira ensemble vers ce nouvel ordre
mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer. » - Nicolas SARKOZY, 16 janvier 2009 [227)
- « Le second principe de notre politique étrangère, c'est de contribuer à la construction d'un nouvel ordre
international. Sur le plan commercial, la crise qui a touché les pays développés mais qui a des conséquences
sur l'ensemble de la planète avait empêché tout progrès dans les négociations commerciales. Ma conviction,
c'est que la reprise de l'économie mondiale qui est aujourd'hui évidente sera d'autant plus forte que les
échanges seront facilités. » - François HOLLANDE, 17 janvier 2014 [104)
- « Nous pouvons bâtir le nouvel ordre mondial du XXIe siècle en le fondant sur Une nouvelle espèce de
multilatéralisme, plus responsable et plus efficace. Cela requiert plus que jamais l'engagement des États-
Unis, puisque votre rôle a été décisif pour créer et conserver le monde libre tel qu'on le connaît aujourd'hui.
Ce sont les États Unis qui ont inventé cette théorie. Vous êtes ceux qui, aujourd'hui, doivent aider à la
préserver et à la réinventer. » - Emmanuel MACRON, 25 avril 2018 [17) 173-174
Le nouvel ordre mondial n'est pas un secret ni même un complot : c'est une politique officielle, assumée. […] Au
Forum économique mondial, tout cela est annoncé, débattu en détail au vu et au su de tous. Il s'agit simplement de
planifier l'application de notions techniques connues des financiers, des assureurs, des banquiers et des actuaires .
[…] Tous les documents prennent soin de ne pas pointer du doigt l'éléphant dans le placard : que faire des inutiles ?
Dans la France du milieu du XXe siècle, 45 % de la population active était paysanne. Aujourd'hui, ce pourcentage n'est
plus que de 3,6 %. Meurt-on de faim en France ? Bien au contraire : le pays est en excédent agricole permanent !
Alors il faut se rendre à l'évidence que 41,4 % de la population active n'est pas nécessaire aux activités vitales. 175
[…] Dans le monde des grands prédateurs, on s'entrecraint plus qu'on ne s'entraide. S'il y avait un plan, il serait bien
vite abâtardi par les plus cupides, toujours prêts à sacrifier la communauté pour leurs intérêts personnels. C'est pour
cela que les riches sont organisés en familles autour de patriarches : Mulliez, Bouygues, Bettencourt, Dassault ... Elles
n'ont rien à envier aux mafias. Mais leurs vices sont pour nous des vertus, car ceux-ci précipiteront la chute finale.
176
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Hôpitaux
[…] Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas d'infections respiratoires,
la mort en dehors de l'hôpital signifie un abandon de soins. 41
[…] le taux de mortalité hors de l'hôpital de gens qui auraient dû être pris en charge par l'appareil de santé publique.
Ce taux d'abandons de soins est extrêmement précis : sur tout le XXIe siècle jusqu'en 2019, il ne dévie quasiment pas
sur des périodes de 3 années consécutives. […] Autrement dit, les courbes représentant les décès à l'hôpital et en
dehors sont quasiment superposables. Ceci est même le cas sur toute la période 2000-2015 […]. 41

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[…] Dans la France de ce début de XXIe siècle, le taux d'abandons de soins caractérise la qualité du système de santé
publique et l'efficacité de l'organisation des soins. 42
[…] la canicule de 2003 correspond à un petit pic d'abandons de soins, significatif mais relativement faible : bien que
surpris, l'appareil de santé public a su réagir à peu près correctement à la situation. […] Mais ces événements sont
insignifiants en comparaison de l'augmentation régulière et très importante des abandons de soins depuis 2014. Ils
ont atteint des hauteurs himalayennes en 2020 ! 43

[…] Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 12 et la figure
13 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l'exception de 2012) et que depuis
2013 leur dette dépasse 50 % de leurs ressources stables. […] le manque de lits d'hôpitaux, dont le nombre diminue
depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd'hui moins de 6 lits pour 1 000 habitants, alors qu'il était de 11 lits en
1980. En 40 ans, le nombre de lits d'hôpitaux a été divisé par 2 ! […] Le système de santé publique français est en
chute libre depuis 2014. En 2020, il a violemment touché le fond. […] L'organisation des soins en France se dégrade
petit à petit, visiblement depuis le courant de l'année 2014 si on en croit l'augmentation aberrante du nombre de
morts hors de l'hôpital par rapport à ceux décédés à l'hôpital. La figure 16 est éloquente : les courbes de décès dans

16
et hors de l'hôpital sont quasiment superposables jusqu'en 2014. A partir de là, elles commencent à se séparer au
détriment des décès à l'hôpital. On meurt de plus en plus dénués de soins hospitaliers. 46

[…] De mars à fin décembre 2020, les abandons de soins relativement à la période 2017-2019 représentaient 29 947
personnes, autant dire 30 000. Cela ne signifie pas que l'on aurait sauvé tous ces gens si leur accès aux soins avait été
équivalent à celui des années précédentes. Les malades meurent aussi à l'hôpital ; mais en général ils y survivent
bien mieux qu'à domicile. 48
[…] On découvre que, sans les abandons de soins, les infections saisonnières de la première moitié de l'année 2020
auraient eu une gravité de l'ordre des grippes de 2016 et 2017, la plus grave de ces dernières années ayant été celle
de 2015. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s'impose : les maladies s'étant
déclarées pendant la première moitié de 2020 ont la magnitude de maladies de saison dans la norme. Aucun record
n'est battu. Le véritable fléau est organisationnel : l'hôpital public est démantelé depuis des années. 48
[…] des autorités, qui n'ont à aucun moment jugé bon d'augmenter les capacités des hôpitaux, bien au contraire : les
suppressions de lits d'hôpitaux et de postes de personnels soignants ont continué même en pleine crise de la
« COVID-19 ». Citons pour l'exemple : - 150 lits supprimés au CHRU de Tours [261] ; - 120 lits supprimés à l'hôpital du
Vinatier à Lyon [30] ; - temps partiels forcés et postes supprimés au CHU de Saint-Étienne [21 5] ; - 15 lits supprimés
à l'hôpital de Besançon [103]. 56
[…] 89 % des morts de la « COVID-19 » avaient plus de 70 ans. Or, les statistiques de Santé publique France montrent
sans le moindre doute que les plus de 70 ans ont été chassés des services de réanimation pendant le pic épidémique
de la « première vague ». La population des plus de 70 ans en réanimation représentait 42 % des réanimés au début
du premier confinement le 18 mars 2020. Au pic épidémique, cette proportion avait baissé de 10 %, POURQUOI
SOIGNER QUAND ON PEUT TUER ? pour remonter lentement une fois le pic passé. 56

[…] Affirmer qu'on dispose de lits de réanimation ne signifie rien tant qu'on n'a pas précisé l'environnement médical,
dont le médecin spécialiste est le centre. On devrait donc plutôt s'interroger sur le nombre de médecins et
d'infirmiers plutôt que d'inventorier le mobilier hospitalier sans distinctions. 58

17
[…] Lors de la « première vague », le maximum d'occupation des lits de réanimation a eu lieu le 8 avril 2020 avec
6 975 lits occupés, soit 45 % des lits hors USIC et UNV et 36 % des lits toutes spécialités confondues. Le système de
soins intensifs français était donc loin d'être saturé. 59
[…] Au final, sur l'année 2020, seulement 2 % de l'activité hospitalière a été consacrée à la « COVID-19 ». C'est une
moyenne bien entendu. Mais pendant les « vagues » de « COVID-19 », l'hôpital public était-il saturé ? Toujours pas !
La « COVID-19 », au plus fort de son activité, a représenté au maximum 7,5 % de l'occupation hospitalière. 59
[…] il y a eu de nombreux hôpitaux saturés par les malades estampillés « COVID-19 » pendant la « première vague ».
Cela peut paraître paradoxal ; mais en fait l'explication est très simple : le système de santé a été organisé de façon à
ce que, sur les 1 342 hôpitaux publics [70), quelques dizaines seulement soient submergés de malades, 38 pour être
précis. Cette organisation s'appelle le plan ORSAN REB, un sigle signifiant : organisation de la réponse du système de
santé en situations sanitaires exceptionnelles (ORSAN), risques épidémiques et biologiques (REB). Il s'agit du plan
officiel du ministère de la Santé destiné à réagir aux épidémies majeures. 59
[…] ... Très vite, les centres désignés pour gérer les cas de « COVID-19 » se sont trouvés assiégés par tout ce que le
pays comptait de grippes, de rhumes, de bronchites et autres infections respiratoires très communes en hiver. Le
guide ne prévoyait que 38 établissements sur 1 342 pour prendre en charge ce raz-de-marée hivernal : seulement
2,8 % des hôpitaux ont été chargés d'accueillir tout ce qui ressemblait à une maladie de saison ! Ces 38 hôpitaux se
sont immédiatement retrouvés saturés et ont fait les choux gras des journaux et des chaînes de télévision . Les
médecins de ville ont reçu la consigne d'envoyer les patients suspects dans ces centres au lieu de les soigner comme
d'habitude. Les médecins ont ainsi docilement obéi à un plan visiblement destiné à saboter l'organisation
hospitalière et médicale. 60
[…] En effet, là où avant 2019 les soins étaient prodigués dès l'accueil du malade, après 2019 il était demandé au
patient de rester à domicile le temps que les tests diagnostiques - parfois longs et hasardeux - soient menés afin de
le classer administrativement dans la case idoine. Pendant ce temps, son état était libre de se dégrader jusqu'à
l'emmener au seuil de la mort, voire au-delà. 60
Le tableau suivant résume la bascule méthodologique qui a provoqué le désastre :

60
[…] Le fait qu'il y ait eu des abandons de soins massifs alors que les hôpitaux étaient peu sollicités apparaîtrait
comme odieux à n'importe qui, absurde même : pourquoi sous-exploiter un système de santé qui est déjà fortement
sous-dimensionné ? Peut-être bien pour le réduire encore plus. 61
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Instruction & Infantilisme


[…] pendant qu'il abâtardit l'instruction publique, tout juste bonne à produire des consommateurs crétinisés, le
gouvernement travaille à interdire l'éducation à domicile et la limite aujourd'hui pour des raisons sibyllines [136] . En
fait, le but est le même : retirer aux parents le droit de décider des choix essentiels touchant à la vie de leurs enfants
au profit des autorités étatiques, seules habilitées à exercer le pouvoir parental. Nous ne sommes plus dans une
société patriarcale, ni même matriarcale : nous sommes dans une société infantilisée. 179
[…] Le wokisme, ce néopuritanisme exporté d'Amérique, participe à l'infantilisation de la population. Ce qui relevait
autrefois de la vie privée, de l'intimité, du choix personnel, est devenu aujourd'hui une culture. Les médias nous
imposent une vision moraliste de la sexualité dépossédée de son rôle procréatif, réduite à un passe-temps
essentiellement récréatif, la restreignant d'autorité à une activité de loisir sans autre
but que l'hédonisme. Il n'y a aucun mal à se faire du bien ; ici l'abus consiste à imposer
une idéologie destinée à remplacer la réalité, à transformer la sexualité, autrefois
sacralisée, à défaut respectée, en un Soma, une drogue bon marché destinée à
contrôler une population atomisée. La famille, source de pouvoir, de liberté, donc de
rébellion, constitue une menace pour tout ordre établi : elle ne doit plus constituer le
cœur de la société. Son fondement même doit être réduit à une activité de
consommateur au service de l'industrie délivrant le produit consommé. Cette idéologie

18
atteint aujourd'hui les limites de la décence à travers la sexualisation des enfants. Pendant l'année 2022, l'entreprise
de mode Balenciaga a outrepassé cette mission édificatrice des masses en présentant des publicités obscènes
mettant en scène des enfants en bas âge (60]. Elles ont été déplacardées très vite. Déjà auparavant, l'entreprise de
vidéo à la demande Netflix avait mis à disposition sur sa plateforme un film intitulé Mignonnes [Cuties] mettant en
scène des danses lascives exécutées par de très jeunes adolescentes très dénudées. Netflix, encouragé par une
récompense reçue par ce film de la part de l'intelligentsia culturelle américaine au festival de Sundance, a préparé
une affiche de promotion tellement tendancieuse qu'elle a été accusée de promouvoir la pédophilie (84]. Elle a été
immédiatement retirée. […]. Ces œuvres de propagande ne sont pas destinées à sexualiser les enfants mais à châtrer
les adultes. La sexualité doit devenir un jeu et rien que cela : un jeu d'enfants. […] L'État exige en fait l'autorité
absolue, y compris parentale. Il ne veut plus avoir à gérer d'adultes : ils sont bien trop dangereux ! 179
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)
Communautarisme
[…] Le communautarisme qui nous paraît si incongru dans la France du XXIe siècle se révèle sous la lumière crue du
« COVID-19 ». L'idée est toujours la même : atomiser la population pour mieux la contrôler ; mais elle va aujourd'hui
bien au-delà. Les médias et le gouvernement n'ont de cesse de mener des combats d'arrière-garde déjà remportés
depuis longtemps. Pourquoi a-t-on dû attendre l'égalité homme-femme pour que le féminisme soit obligé de se
manifester avec autant de vacarme ? Pourquoi les droits des homosexuels se mettent-ils à être défendus alors qu'ils
sont acceptés depuis des décennies au point d'inonder la culture populaire ? Qu'attendent des autorités les
communautés noires, blanches, jaunes, rouges ou vertes ? L'égalité ? Elles l'ont depuis plus d'un siècle ! Bien sûr, il y
aura toujours un fait divers par-ci par-là : il y en aura toujours ! Brûler une poignée de sorcières n'a pas protégé le
christianisme, loin de là. Le but ultime est de transmuter le droit en caprice, de créer une hiérarchie de castes dont
les droits seraient décidés puis attribués suivant ce que l'on est, par l'essence individuelle et non plus par les vertus
républicaines de la Constitution. Nous ne sommes plus égaux en droits ; nos privilèges dépendent désormais de
notre caste. Cet objectif politique a été révélé par un déni de droit flagrant pourtant accepté par ceux qui décident
de l'apparence de la société. Les personnels soignants non vaccinés ont perdu leurs droits civiques le 15 septembre
2022. Mais quel était donc leur tort ? Quelle loi ont-ils enfreinte ? Aucune ! La Constitution consacre explicitement
leur droit, notre droit universel à disposer de notre corps, notre droit à travailler, notre droit à la dignité et notre
droit à la vie. Comment peut-on être puni pour avoir exercé ses droits les plus fondamentaux ? La réponse est
confondante de simplicité : les non-vaccinés sont aujourd'hui des intouchables ! Ils forment une catégorie de
personnes à laquelle le droit ne s'applique plus car ce ne sont plus des citoyens, 180-181

COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Masque
[…] l'OMS, en avril 2021, déconseillait encore le port du masque en collectivité pour contrôler les flambées de grippe
(264) […] « Le fait de mal utiliser un masque peut en réalité accroître le risque de transmission au Lieu de le réduire
[…]. L'OMS concède une utilité en intérieur ; mais on va voir que cela relève de la croyance. […] Oui, même quand on
est chirurgien en plein milieu d'un bloc opératoire, le nez au-dessus d'un ventre grand ouvert, le masque ne protège
absolument pas son patient des infections. Son effet est nul ! 95
[…] Une étude de 19752 conclut que le masque n'a aucun effet sur la contamination du bloc opératoire, la simple
présence des personnes en son sein y étant la source majeure de contaminants. Peu de temps après, en 1981, une
deuxième étude (182) a suivi pendant six mois des opérations sans masques, et aucune augmentation des infections
n'a été constatée. Un article publié en 2001 a étudié le cas de 72 patients (133) ayant subi des opérations
chirurgicales et les conclusions sont les mêmes : le port du masque ne change rien au taux d'infection des patients,
alors que ce dernier est fonction du nombre de personnes présentes dans le bloc. En 1991, une étude (253) précise
que jamais le masque facial n'a montré une quelconque efficacité dans la lutte contre les infections post-opératoires.
Elle a mis en place un protocole de 115 semaines, soit environ deux ans et trois mois, portant sur 3 088 opérations.
Or, la conclusion ne dévie pas de l'état de l'art : aucune différence. […] En 2010, une étude (263) portant sur 811
patients a relevé un taux d'infections de 11,5 % pour les opérations avec masques et de 9 % pour celles sans
masques. Les masques favoriseraient-ils les maladies postopératoires ? En fait non, car la différence n'est pas
significative. […] la ventilation forcée du bloc opératoire emmènerait l'air expiré par les praticiens hors du champ
stérile. Avec cette aspiration, le masque semble ne servir à rien, et ils décrivent son usage comme, je cite : « un rituel

2
RITTER Merrill A., EITZEN Harold, FRENCH Morris L., HART Jack B., « The operating room environment as affected by people and the surgical
face mask », Clinical Orthopaedics and Related Research, volume 111, pages 147- 150 (septembre 1975), (https://do1.org/10.1097/00003086-
197509000-00020).

19
inutile ». […] En réalité, ils évitent aux praticiens de recevoir dans la figure les fluides contaminés de leurs patients.
Outre les masques, les chirurgiens portent des lunettes de protection. 96
[…] Un article d'octobre 2020, donc post- « COVID-19 », affirme que le masque n'aurait aucune conséquences sur
l'oxygénation des personnes âgées [42). De l'aveu des auteurs eux-mêmes, la cohorte est trop petite pour atteindre
un niveau de précision suffisant pour conclure quoi que ce soit : l'intervalle de confiance statistique est alors inférieur
à l'erreur de la mesure du taux d'oxygénation. Mais l'article fait état de taux de saturation descendant jusqu'à 92 %,
alors que la limite d'alerte est de 90 % chez les personnes âgées et de 94 % chez les enfants. 97
[…] Les expérimentateurs ont distribué des masques chirurgicaux, certains verts d'autres bleus, et des masques en
coton, parfois rouges parfois violets. Les masques chirurgicaux, au lieu de faire diminuer le taux de malades, l'ont fait
monter de 0,04%, tandis que les masques en tissu l'ont fait diminuer de 1,53 %. Pareil pour les plus de 60 ans : le
masque en tissu est bien plus efficace pour eux. Mais ça n'est pas tout : si vous portez un masque en tissu rouge, le
taux augmente à 3,45 %, alors que si vous commettez la bêtise de vous affubler d'un masque chirurgical vert, votre
protection chute en dessous des 1,6 %. Le masque violet, en revanche, n'a aucun effet : c'est comme ne rien porter.
[…] Les chercheurs qui ont réalisé cette étude sont des clowns ! […] distanciation. Le nombre de malades et la
différence entre les porteurs de masques et les autres est tout simplement trop faible pour mesurer un quelconque
effet. 98-99
[…] Un article de 2008 montre que le port du masque par les chirurgiens fait diminuer le taux d'oxygène dans leur
sang pendant les opérations longues, surtout chez les plus de 35 ans [24). Un autre article, de 2018, montre que le
port du masque induit une augmentation de la fréquence respiratoire et de la profondeur des inspirations afin de
compenser la perte d'oxygène occasionnée [193). 100
[…] le port abusif du masque provoque chez un très grand nombre de sujets, pourtant jeunes et en bonne santé, des
migraines (58 %), des lésions de la peau (90 %), de l'acné (53 %), des troubles de la cognition (99 %), de la
sécheresse des yeux (97 %) et de la bouche (91 %) ainsi que des saignements de nez (95 %). Des cas d'hyperthermies
sont rapportés. La baisse du niveau d'oxygène dans l'air respiré est encore une fois confirmée. Un autre article
précise les problèmes psychologiques causés par le masque (228). 100
[…] On se demande comment il pourrait en être autrement. La simple idée qu'un bout de tissu synthétique puisse
arrêter un corpuscule organique de 0,1 microns alors que la plus petite de ses mailles dépasse les 3 microns : autant
essayer d'arrêter un moustique avec du grillage de chantier ! 101
[…] Le plus ridicule réside non pas dans le masque mais dans la manière dont il est porté : ses bords ne sont
absolument pas étanches et sont même béants chez la plupart des porteurs. Les masques, même FFP2, sont aussi
efficaces contre d'éventuels virus que des portes de sécurité soudées à des maisons aux fenêtres grandes ouvertes
contre des voleurs. Même un masque parfait laisse passer au mieux entre 80 % et 99 % des objets qu'il est censé
filtrer, comme l'atteste les normes EN 14683 et NF EN 149 définissant les propriétés essentielles des masques
chirurgicaux et autres masques de protection professionnels. Une fuite de 1 % pour un dispositif de filtrage, c'est
gigantesque ! […] 101
[…] Si vous souhaitez sérieusement vous mettre à l'abri du virus-croquemitaine, voilà ce qu'il vous faut : une
combinaison hazmat intégrale niveau A en port permanent avec appareil respiratoire isolant, la seule validée par les
virologues pour se protéger des virus, et encore, pas toujours avec succès. Tout autre gadget est parfaitement
inutile. 102
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Peur & Choc


[…] En 2007, la journaliste Naomi KLEIN a publié un livre devenu un classique : La Stratégie du choc [131]. L'ouvrage
décrit avec détails et exemples comment les gouvernements, les corporations et toutes les autres entités
capitalistiques instrumentalisent les crises pour imposer des politiques en accord avec la doctrine ultralibérale . Que
ce soit à la faveur d'une catastrophe naturelle, d'une crise économique, d'un attentat ou d'un coup d'État, la réponse
des autorités ultralibérales est toujours la même : imposer leur vision du monde à une population stupéfiée par le
choc. Les exemples sont nombreux : l'ouragan Katrina en 1997, le tsunami de 2004, les coups d'État de PINOCHET au
Chili et de SOEHARTO en Indonésie, la chute du mur de Berlin, l'effondrement de l'URSS, la fin de l'apartheid en
Afrique du Sud, les attentats du 11 septembre 2001, etc. Nous pouvons maintenant ajouter à la liste le « COVID-19 ».
203
[…] Immédiatement dans la foulée de la pandémie du siècle, le président du Forum économique mondial Klaus
SCHWAB, en compagnie de Thierry MALLERET, a publié la réponse explicite de l'intelligentsia économique à la
« COVID-19 » : Covid-19 : La Grande Réinitialisation [229]. Les auteurs ne se cachent même pas : il s'agit précisément

20
d'appliquer cyniquement la stratégie du choc, de mettre en place un nouvel ordre mondial pour relever le défi du
siècle des pandémies. 2003
[…] Ce plan de réorganisation de la planète entière est soutenu bien évidemment par le Forum économique mondial,
mais aussi en particulier par Joe BIDEN, président des États-Unis, Boris JOHNSON, ex-Premier ministre du Royaume-
Uni, Justin TRUDEAU, Premier ministre du Canada et par le roi d'Angleterre Charles Ill. 204
[…] N'imaginez surtout pas que les peuples pourraient bénéficier d'une quelconque souveraineté : pour les auteurs,
ils sont le mal, car le nationalisme est incompatible avec la démocratie, contradictoire avec la mondialisation. L'État,
au contraire, est vertueux car il maîtrise les élans du peuple. Les États locaux seraient fédérés par un gouvernement
global, chef d'orchestre de toute l'humanité. La Grande Réinitialisation, c'est un État fort, omniprésent, voire
omnipotent, régissant tous les aspects de la vie humaine. En ce sens elle est totalitaire. 204
[…] L'État donnerait à chacun une aumône conditionnée à son obéissance et ça serait à peu près tout. Les bureaux,
les hôpitaux, les restaurants, les cinémas, tous les lieux de services à la communauté disparaîtraient au profit
d'installations à domicile : télétravail, soins à distance par téléconsultation, home-cinémas […]. Le prétexte qu'aurait
l'État pour imposer sa volonté serait de lutter contre les crises qui menaceraient la survie de la planète,
principalement la « COVID-19 » et le réchauffement climatique. […] Pour le réchauffement climatique, il suffirait de
forcer le peuple à la frugalité, voire à la misère heureuse, pour empêcher le Soleil de briller et la mer de déborder. Il
est tout de même étonnant que tous les prosélytes du péril climatique se soient achetés des villas gigantesques au
bord de la mer, là où elles devraient déjà être sous l'eau, là où elles le seront de toute manière en 2030, comme les
dernières recherches le prouvent sans aucune contestation possible : en 2030, le niveau des mers aura augmenté de
4 mètres [61] à 25 mètres [95]. 205
[…] Le but de la société serait la lutte contre des fléaux existentiels qui justifieraient un combat permanent. Sous ce
prétexte, la vie privée disparaîtrait ainsi que la propriété privée. Cette organisation sociale correspond à la virgule
près à un système politique dont tout le monde connaît le nom mais dont rares connaissent la définition exacte. Il
s'agit du fascisme. […] Tout comme Klaus SCHWAB, Benito MUSSOLINI recherchait une voie de sortie du capitalisme
distincte du communisme, une troisième voie que les théoriciens de la Grande Réinitialisation nomment « le
capitalisme des parties prenantes ». C'est-à-dire une mise des entreprises - les parties prenantes - au service du bien
commun défini par l'État. 205
[…] les 8 « prédictions » du Forum économique mondial pour la planète (271) :
- vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux ; ce que vous désirerez, vous le louerez et tout sera livré
par drones ;
- les États-Unis ne seront plus la première puissance mondiale, une poignée de pays domineront la planète ;
- nous ne transplanterons plus d'organes, nous les imprimerons ;
- vous mangerez beaucoup moins de viande ;
- un milliard de personnes seront déplacées par le changement climatique et il faudra accueillir et intégrer les
réfugiés ;
- il y aura un prix unique sur les hydrocarbures et les pollueurs devront payer pour émettre du CO2 ;
- il faudra vous préparer à aller sur Mars et les scientifiques vous aideront à y rester en bonne santé ;
- les valeurs occidentales ont atteint leur point de rupture et ne seront plus que des souvenirs à chérir. 206-
207
[…] La première des « prédictions », en fait une promesse, était déjà tellement insupportable que les responsables
du Forum, par la voix d'un de ses directeurs Adrian MONCK, ont tenté de faire croire qu'il s'agissait d'une fake news
créée par un site antisémite [162). […] Pourtant, la phrase exacte est toujours présente dans leur vidéo
promotionnelle, datée et signée : « You'll own nothing. And you'll be happy3. ». Le Forum pousse le bouchon encore
plus loin dans un article publié sur le site de Forbes et signé par Ida AUKEN, ex-ministre de l'Environnement du
Danemark et Young Global Leader du Forum économique mondial : « Bienvenue en 2030 : je ne possède plus rien, je
n'ai plus de vie privée et la vie n'a jamais été aussi belle !4 » . 207
[…]. George ORWELL, dans son roman 1984, décrit une société autoritaire qui n'a rien à envier à la Grande
Réinitialisation. Dans la rhétorique du pouvoir, les injonctions paradoxales sont la norme : « La guerre c'est la paix »,
exactement ce qui est organisé en Ukraine depuis 2022 ; « La liberté c'est l'esclavage », et c'est précisément le sort
de ceux qui refusent l'émancipation par la vaccination ; « L'ignorance c'est la force », ne cherchez rien à savoir par
vous-mêmes […] 207

3
World Economie Forum, « 8 predictions for the world in 2030 », (12 novembre 2016), (https://www.weforum.org/agenda/2016/11/8-
pred1ct1ons-for-the-world-1n-2030/).
4
AUKEN Ida, « Welcome To 2030: I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better », Forbes (10 novembre 2016),
(https://www.liberation.fr/planete/2018/04/25/au-congres-americain-macron-appelle-a-batir-le-nouvel-ordre-mond1al-du-XXIe-siecle_1645865/).

21
[…] L'État laïc interdit l'expression religieuse sur le terrain républicain tandis qu'Israël, État juif, est présenté comme
l'exemple à suivre pour toute démocratie. Les crèches sont interdites à Noël mais les hannoukiot5 géantes poussent
dans toutes les villes. 208
[…] Les expériences de Salomon ASCH sur la soumission à la pression sociale [11) et de Stanley MILGRAM [156) sur la
soumission à l'autorité sont les plus connues et n'ont jamais été prises en défaut. Elles montrent comment n'importe
quel individu peut être conduit librement à croire, dire et faire absolument n'importe quoi, même ce qu'il y a de plus
fou, de plus cruel. Des hommes, des foules, des peuples entiers peuvent être mis en branle vers le précipice au son
de ce flutiau de Hamelin joué par les Maîtres du Monde. Moins de 5 % des êtres humains sont insensibles à cet
effroyable empire sur les esprits. Ces évidences pourtant enseignées au quatre coins du monde dans les meilleures
écoles restent lettre morte car tout le monde s'imagine faire partie de cette élite de surhommes libres penseurs ; […]
210
[…] L'humain est un animal social au même titre que l'abeille ou la fourmi. La religion est ce produit des lois de la
nature qui cimente l'humanité depuis l'aube des temps. Le sens de ce mot prend son origine dans le latin « religare »
qui signifie relier. La religion est ce qui relie les gens entre eux. […] La religion n'est pas plus un problème que
n'importe quel outil de cuisine. 211
[…] Même la République une et indivisible qui fonde aujourd'hui la société civile française prend racine dans des
principes sacrés structurant rien de moins que l'humain, sa destinée et ses droits à la revendiquer, sacralisés sous
l'égide de l'Être suprême. Le mythe fondateur de la République française est résumé dans la Déclaration des droits
de l'homme et du citoyen ; la nature des liens qui unissent ses fidèles y est énoncée. La version la plus aboutie est
celle du 24 juin 1793 [48), bien trop tôt réécrite par les despotes de la Terreur puis interdite par le dictateur
Napoléon 1er. […]
« Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules
causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et
inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le
but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait
toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le
législateur l'objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l'Être suprême, la
déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen. »
« Article 33. - La résistance à l'oppression est la conséquence des autres Droits de l'homme. »
« Article 34. - Il y a oppression contre le corps social lorsqu'un seul de ses membres est opprimé. Il y a
oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé. »
« Article 35. - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour
chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » 211
[…] On nous nourrit depuis au sein du « Plus jamais Ça ! », et pourtant : « Ça », c'est maintenant ! […] Pourtant le
diable qui susurrait à l'oreille du futur Führer n'était pas surnaturel. Adolf HITLER, dès les années 1920, était un
admirateur de la ségrégation états-unienne qui traitait les amérindiens et les noirs comme des sous-races, il était
enthousiasmé par les politiques de stérilisation forcée qui se menaient aux États-Unis - les pionniers en la matière-,
et il était un avide lecteur de Henri FORD, le théoricien de l'industrialisation, l'entrepreneur prolifique, le baron
médiatique mais aussi l'eugéniste convaincu et l'antisémite maladif, éditeur et auteur du livre Le Juif International :
le principal problème du Monde [82], suivi de trois autres tomes tous en majesté dans la bibliothèque du dictateur
allemand [148]. Joseph GOEBBELS était un admirateur d'Edward BERNAYS, le père de la propagande politique. Dès
1932, le futur ministre de la Propagande du régime Nazi a décidé d'appliquer « des méthodes américaines et à
l'échelle américaine » [243) pour faire élire Adolf HITLER, avec succès. Les troupes nazies fanatisées étaient gavées
d'amphétamines, shootées à la Pervitine… tout comme les armées de tous les pays du monde, comme l'armée
britannique droguée à la Benzedrine [46). Encore aujourd'hui, la Dexedrine combat la fatigue du pilote de l'US Air
Force [151] à l'instar du Modafinil qui maintient éveillé le soldat français [138). 214

5
Une hanoukkia (hébreu : ‫ַח ֻנִּכָּיה‬, plur. hannoukiot) est un chandelier à neuf branches dont une branche particulière est appelée ‫ׁשמׁש‬,
shamash ou Schammes (de) (serviteur). Ce chandelier est utilisé par les Juifs lors de la célébration de Hanoucca, la fête des Lumières, qui
commémore la victoire des Maccabées sur les légions syriennes séleucides. Le nom de Hanoukkia donné à cette « ménorah de Hanoucca » est
apparu à la fin du XIXe siècle à Jérusalem, dans la bouche de l'épouse de Eliezer Ben-Yehuda, qui est connu pour avoir ressuscité l'hébreu en tant
que langue vivante. […] pour être valides elles doivent toutefois respecter une règle : les 8 bougies doivent être bien alignées et régulièrement
espacées, et la neuvième décalée par rapport aux autres. Les bougies peuvent également être remplacées par des lampes à huile, ou même par
des lampes à gaz de camping lors des allumages sur les places publiques. […] La fête de Hanoucca célèbre la réinauguration du Temple de
Jérusalem, après sa libération à la suite de la victoire des Maccabées […]. La fête de Hanoucca symbolise aussi la victoire de la lumière contre les
ténèbres et l'obscurantisme ; chaque flamme de chaque hanoukkia est une lumière dans la nuit. En souvenir du « miracle » de la petite fiole qui
brûla huit jours, la hanoukkia possède huit branches de même hauteur. Une autre raison est donnée au nombre de huit branches : cela permet
de distinguer la hanoukkia de la menorah car, selon la halakha, il est interdit de reproduire à l’identique la menorah comme elle était dans le
Temple, à cause de son caractère saint. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hanoukkia

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[…] A cette époque, le modèle du progrès, le représentant du monde futur était Henri FORD, divinisé dans le roman
de HUXLEY6 : les croyants n'y prient pas « Notre Seigneur », « Our Lord », mais « Our Ford ». […]. Nous ne prions pas
FORD mais son abstraction : la puissance parfaite de la technoscience dépassant toute volonté humaine. En 1931 la
télévision était une curiosité de laboratoire ; mais aujourd'hui c'est elle notre messe consensuelle et superficielle,
déjà détrônée par YouTube et les « réseaux sociaux », régentés, censurés par les multinationales de la pensée. La
caste des costard-cravate nous donne des ordres contradictoires, scientifiquement justifiés par celle des blouses
blanches. Le reste, les travailleurs, les chômeurs et autres laissés pour compte, sont destinés à justifier l'existence de
leurs supérieurs. L'infantilisation de la population, l'apologie d'une sexualité de loisir non productive, l'extrême-
droitisation de la famille et la ringardisation des relations homme-femme traditionnelles nous plongent directement
dans les mœurs du Meilleur des Mondes. Il ne manque plus que la conception des enfants en usine, qui ne saurait
tarder car l'utérus artificiel est déjà à l'état de prototype au quatre coins du monde [124]. 216
[…] Le Mal absolu n'a jamais été le nazisme, retiré comme une verrue disgracieuse sur un organisme alors en pleine
croissance. Il était en fait la résurgence d'un cancer profond aujourd'hui généralisé, métastasé dans toutes les
institutions de la société. La diabolisation du nazisme n'a servi aux sociétés occidentales qu'à se bander les yeux
devant leur propre nature. Une doxa s'est imposée : nous avons vaincu le Mal absolu et nous ferons tout pour qu'il
ne revienne pas. En sacralisant l'idiosyncrasie nazie, tout ce qui lui est inférieur, ne serait-ce que d'un millimètre, est
devenu autorisé : piquer comme des chiens les personnes âgées, injecter des poisons à toute une population, ce
n'est pas du nazisme, donc c'est tolérable. 217-218
Quand Rémi TELL, sur la chaîne de télévision LCI, a fort justement dénoncé la violation du Code de Nuremberg par les
politiques d'injections expérimentales, son micro a été immédiatement coupé. […] « Et là, à un moment donné, si
vous comparez la campagne de vaccination à l'Allemagne nazie, on va couper la conversation. Je suis désolé, vous
êtes allé trop loin. » 218
[…]Vera SHARAV, survivante de !'Holocauste. Cette femme d'un âge vénérable a osé critiquer la fable de la « COVID-
19 » et dénoncer le retour de la Bête qu'elle a bien connue : elle est aujourd'hui considérée comme une révisionniste
antisémite par les bien-pensants, au même titre que RASSINIER ou FAURISSON (127). 218
[…]. La haine du mal reste de la haine et les pervers le savent bien, eux qui accusent de tous les maux ceux qui
s'opposent à leurs sinistres desseins. Entre les mains des élites corrompues, le devoir de mémoire constitue l'alibi qui
permet le retour du pire. La Grande Réinitialisation, nourrie de l'hypocrisie anti-nazie, est quant à elle la convergence
des pires : elle est à la fois un fascisme autoritaire classique, dénoncé par George ORWELL dans 1984, mais elle est
aussi l'effroyable dystopie du Meilleur des Mondes. 218
[…] Par la force des choses, le « COVID-19 » a contraint l'intelligence humaine à entrer en clandestinité. 219
[…] Enfin, les « complotistes », les « antivax », les « antisciences », sont traités comme des sauvages, qualifiés
d'« amish » par Emmanuel MACRON7 ; certains, comme les soignants non transformés génétiquement, sont déjà au
ban de la société. […] La drogue est devenue indispensable à la survie des sociétés occidentales. La France est l'un
des premiers consommateurs d'antidépresseurs et d'anxiolytiques, derrière les États-Unis, la Chine et le Japon [163].
[…] la première épidémie d'amphétamines a débuté en 1933 aux États-Unis […]. […] environ 7 % des Américains
consomment de I'Adderall, de la Ritaline ou tout autre stimulant du système nerveux central […]. […] 130 Américains
meurent chaque jour d'avoir abusé de dérivés de l'opium, drogue bien connue dont est issue l'héroïne. 216
[…] au Canada où les candidats à l'euthanasie envoient à leurs proches des cartons d'invitation pour célébrer leur
départ définitif. 217
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Médecin& idées reçues


[…] On prétend que les médecins accomplissent a minima neuf années d'études. C'est encore faux. En France, les
études de médecine sont constituées de trois « cycles », qui n'ont rien à voir avec les cycles universitaires. Le
premier « cycle » correspond au diplôme de formation générale en sciences médicales (DFGSM) nécessaire pour être
admis en second « cycle ». Ce sont trois années d'études à temps plein. Le second « cycle » permet d'obtenir le
diplôme de formation approfondie en sciences médicales (DFASM) qui se répare en trois années, dont une et demie
6
Aldous HUXLEY n'a rien d'un prophète. La famille HUXLEY est riche, puissante et influente. Son frère n'était autre que Sir Julian HUXLEY,
chevalier de Sa Majesté, directeur de l'UNESCO et fondateur du WWF. Il était aussi président de la Société britannique d'eugénisme. Il côtoyait
régulièrement ses pairs, aristocrates élitistes, eugénistes forcenés, futuristes délirants et autres fous de pouvoir. Aldous HUXLEY n'a pas eu
d'autre effort à fournir que de tendre l'oreille pendant les repas de famille et d'assister benoîtement aux discussions des amis de son frère, tous
aussi riches, puissants et influents que lui. L'auteur du Meilleur des Mondes n'a pas seulement écrit un roman : il a révélé le plan des élites
hégémoniques de son temps, dont les héritiers récitent aujourd'hui le catéchisme de la Grande Réinitialisation.217
7
AFP, « Macron défend la 5G, ironisant sur le "modèle Amish" et le "retour à la lampe à huile" », La Tribune (15 septembre 2020)
https://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/macron-defend-la-5g-ironisant-sur-le-modele-amish-et-le-retour-a-la-lampe-a-huile-
857207.html

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en stage hospitalier. C'est une formation en alternance sous statut de salarié, des études à mi-temps avec une
pratique professionnelle. Enfin, le troisième « cycle » permet l'obtention du diplôme d'études spécialisées (DES)
grâce auquel le futur médecin acquiert sa spécialité : médecine générale, psychiatrie, pédiatrie, etc. Il dure quatre
ans ou plus, mais ne contient que 200 heures d'études, soit environ trois mois, le reste étant dédié à une pratique
médicale salariée. Pendant ce troisième « cycle », le futur médecin prépare puis soutient une « thèse d'exercice », en
réalité une sorte de mémoire de master, afin d'avoir l'autorisation d'être inscrit à !'Ordre des médecins. Cette
soutenance est de nos jours plus un rituel qu'autre chose. En résumé, la préparation du futur médecin correspond à
un peu moins de cinq années d'études et à au moins quatre années de perfectionnement sur le terrain. 194-
195
[…] La médecine est un art : l'art de soigner. Ce n'est pas l'art de guérir, car l'habileté du médecin a ses limites
naturelles et le patient est actif dans sa guérison. Selon les catégories aristotéliciennes des procès, la médecine est
une poiésis car le soin a pour but la guérison, il n'est pas une fin en soi. Le soin peu prendre la forme d'une technè,
d'un ensemble de savoir-faire dont la pharmacologie fait partie. La médecine peut s'appuyer sur des savoirs
scientifiques ; Mais elle n'est en aucun cas une epistémé, un savoir général, car le patient est un être singulier,
concret, complexe, mystérieux, unique donc précieux. Le médecin n'est pas un théoricien mais un praticien. 196
[…] Un virologiste n'est pas un médecin ; il fait des études de sciences biologiques puis passe un doctorat en
virologie. Un épidémiologiste n'est pas un médecin ; il fait des études de biologie et de statistiques puis passe un
doctorat d'épidémiologie. Un pharmacien n'est pas un médecin ; il fait des études de pharmacie. 196
[…] La vaccination pendant les études de médecine, c'est une demi-journée de cours magistral, quelques
consultations, quelques piqûres et c'est tout. Pour avoir un avis de spécialiste sur un vaccin expérimental, il faut
consulter un immunologiste, un épidémiologiste ou un pharmacien ; mais le médecin sera de peu d'utilité. Quand le
médecin se trouve rémunéré par des industries douteuses comme par exemple Pfizer, on atteint un tout autre
niveau : le conflit d'intérêts. 196
[…] à une poignée d'exceptions près, ils ont tous la main dans le pot de confiture ! Les conflits d'intérêts sont
devenus la norme et les registres du type Transparence ne consignent qu'une faible partie d'entre eux. 197
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Média & Propriétaire


[…] la quasi totalité des médias français appartient à l'État, à des banques ou à des personnes fortunées . En France,
plus de 80 % des médias sont la propriété de 9 milliardaires : Bernard ARNAULT, Patrick DRAHI, Xavier NIEL, Daniel
KRETINSKY, la famille DASSAULT, héritiers de feu Serge DASSAULT, François PINAULT, Martin BOUYGUES, Arnaud
LAGARDÈRE et Vincent BOLLORÉ. 178
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Médecine & Logique


[…] En médecine, malheureusement, la primauté de la logique sur les statistiques n'est plus considérée. La médecine
basée sur les faits, qu'il vaudrait mieux qualifier de médecine basée sur les statistiques, a complètement abandonné
l'idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d'interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n'importe
quoi et elle le sait. John IOANNIDIS, professeur de médecine à l'université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en
publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. »
[123]. La communauté des chercheurs ose désormais avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié
en 2016 un article signalant l'impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant accomplies
dans les règles de l'art [21], citant par exemple un taux d'échec ahurissant de 89 % en oncologie [26], la discipline
médicale traitant des cancers. 34
[…] L'enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni
d'épistémologie à l'attention des scientifiques : ces derniers ne savent plus ce qu'est la science, d'où elle vient ni sur
quoi elle s'appuie. 34
[…] On entend dire partout que la médecine est une science : il n'y a rien de plus faux ! La médecine est un art, l'art
de soigner dans le but de guérir. Elle s'appuie sur de nombreuses sciences comme par exemple la biochimie ou la
physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l'humain qui vient consulter un médecin à un ensemble de
paramètres standardisés. Une thérapie qui soignera l'un tuera peut-être l'autre. Le savoir-faire, le talent et même
l'instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Le praticien est une
sorte d'ingénieur de la santé ; mais il n'est pas un scientifique. 34
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

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Non-consultation médicale
[…] La brochure reproduite dans la figure 19 résume les gestes qu'il fallait
appliquer. il n'en fallait pas plus pour dissuader la population de consulter un
médecin ou de se rendre aux urgences en cas de malaise. La toux et la fièvre
ne sont absolument pas des symptômes spécifiques à une quelconque
maladie. Une crise cardiaque s'accompagne à l'occasion d'une toux que l'on
nomme toux cardiaque. Le cœur n'est plus capable de pomper correctement
le sang, qui se met à stagner dans les poumons et provoque un épanchement
de fluides dans les bronches. La toux s'ensuit. La fièvre également se retrouve
dans d'innombrables affections parfois dangereuses ; elle est en particulier
une conséquence très fréquente d'un accident vasculaire cérébral. Dissuader
les patients de consulter en cas de toux ou de fièvre est criminel. 49
[…] Le point épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France du 7
mai 2020 [220) signale une forte baisse des consultations pour cardiopathies
ischémiques et pour AVC pendant la période épidémique, […] Par rapport à
avril 2019, les hospitalisations pour AVC en avril 2020 ont diminué de 18 %
dans le Grand-Est et de 9 % en Occitanie. 50
[…] Cette sous-mortalité réactionnelle touche principalement les personnes
jeunes : la mortalité saisonnière ne les concerne pas ; mais les risques
d'infarctus, d'AVC ou de cancers les touchent. À cause des abandons de soins
de ces personnes pendant la « première vague », les temps d'après ont connu
un déficit de malades, puisque ces derniers étaient alors déjà morts. 51
[…] il faudrait disposer des statistiques de mortalité par causes médicales. Depuis 1968, l'Institut national de la santé
et de la recherche médicale (lnserm) tient une base de données nationale des causes de décès en France. Cette
mission est remplie par le centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépiDc). Malheureusement, les
données sont réservées aux professionnels et ne sont ainsi pas accessibles au grand public sinon sous la forme de
compte-rendus rédigés par les rares chercheurs autorisés. 53
[…] Par le passé, aucun médecin ne se serait permis de dire d'un cancéreux en phase terminale ou d'un centenaire
cacochyme qu'il serait mort de la grippe sous prétexte qu'il aurait manifesté de la toux ou un peu de fièvre avant de
mourir : on les aurait déclarés mort du cancer, mort de vieillesse. La « COVID-19 » a totalement changé la pratique
de la sémiologie, l'art de diagnostiquer. Vous êtes COVIDés avant tout !54
[…] L'Italie n'est pas plus originale : l'Institut supérieur de santé italien a publié dans une note que 97 % des décédés
de la « COVID-19 » avaient également de nombreuses comorbidités [96). Les décédés souffraient en moyenne non
pas d'une, ni de deux, pas même de trois mais de quatre maladies simultanées ! La principale comorbidité est le
grand âge. La moyenne d'âge des morts de la « COVID-19 » est très proche de l'espérance de vie, souvent même
supérieure, y compris en France, partout en fait. Il est impossible de distinguer un mort de la « COVID-19 » d'un mort
de vieillesse ou de n'importe quelle autre maladie grave. […] En réalité, très peu de personnes sont mortes en 2020,
et pourtant nombreuses sont celles qui ont été tuées au lieu d'être soignées. 55
[…] La consommation d'antibiotiques a augmenté en mars pour atteindre une valeurs' élevant à 1,7 % au-dessus de
la moyenne de 2018-2019. Cependant, elles' est immédiatement effondrée en avril-mai pour descendre jusqu'à 26 %
en dessous de cette moyenne. Elle est remontée en juin pour se stabiliser à 30 % sous la moyenne. L'effondrement a
lieu précisément pendant la période épidémique. Les niveaux sont très significativement inférieurs à ceux de l'hiver
de 2018-2019 : 37 % d'écart. Ce sont en fait les valeurs les plus basses depuis au moins le 1er janvier 2017. 62
[…] L'étude des cas hospitaliers de « COVID-19 » fait état d'un nombre significatif de co-infections fongiques [102).
On devrait donc s'attendre à une surconsommation passagère d'antifongiques pendant la période épidémique. Or, à
l'instar des antibiotiques, la consommation augmente en mars puis diminue en plein pic épidémique. La
consommation moyenne d'antifongiques est inférieure de 10 % à celle de l'hiver 2018-2019. 64
[…] La littérature scientifique fait état de thromboses fréquentes chez les patients atteints de la « COVID-19 » et le
HCSP en fait mention dans un rapport [102). On devrait donc s'attendre à une surconsommation
d'antithrombotiques. Or, c'est encore le même profil de consommation qui se manifeste : brusque augmentation
puis brusque diminution pour atteindre en plein pic épidémique des records historiques de sous-prescription. 65
[…] La corticothérapie est déconseillée par le HCSP alors qu'elle est aujourd'hui reconnue comme efficace par l'OMS
[266). Malgré les avis du HCSP, les prescriptions ont augmenté en mars, puis elles se sont effondrées en avril-mai. La
période de la « première vague » voit la prise de corticoïdes chuter de 44 % par rapport à l'hiver 2018-2019. 66

25
[…] L'avis du HCSP du 5 mars 2020 [99) désigne trois traitements spécifiques potentiels pour traiter les infections au
« SARS-CoV-2 » : le Remdesivir, l'association Lopinavir-Ritonavir et la chloroquine. Le Remdesivir a bénéficié d'une
autorisation de mise sur le marché conditionnel le 3 juillet 2020, soit bien après la fin de la période épidémique. Ce
produit s'est révélé inefficace et même toxique aussi bien pendant les essais thérapeutiques [262) que pendant le
traitement des patients ordinaires [59). Les prescriptions de Lopinavir-Ritonavir ont augmenté en mars-avril, sans
doute suite aux avis des autorités sur ce produit, qui s'est révélé inefficace [208). Les prescriptions de chloroquine
ont fait un bond en mars : sa consommation a augmenté de 64 % par rapport à la moyenne de 2018-2019. Il faut
noter que la chloroquine a un index thérapeutique étroit, c'est-à-dire que la dose toxique est proche de la dose
thérapeutique. Son usage en tant qu'antiviral nécessitant des doses élevées, il devient vite toxique aux doses
recommandées dans le cas de la « COVID-19 ». Parmi les complications, on compte des rétinopathies (atteinte de la
rétine), des troubles du rythme cardiaque (torsade de pointe, fibrillation ventriculaire) et aussi de l'hypoxémie
(baisse du taux d'oxygène dans le sang) [233]. La chloroquine serait donc plutôt nuisible aux patients. C'est pour cela
qu'à la place a été proposée l'hydroxychloroquine, qui a les mêmes effets que la chloroquine sans en avoir la toxicité.
La confusion entre ces deux molécules est un aveu d'incompétence de la part de l'intégralité des praticiens et des
chercheurs. […] La rumeur construite autour de la prétendue toxicité de l'hydroxychloroquine a pour origine la
confusion de cette molécule, anodine, avec la chloroquine, toxique à relativement faible dose. L'avis complémentaire
du HCSP du 23 mars 2020 [100) mentionne l'hydroxychloroquine à la place de la chloroquine, tout en lui attribuant
incorrectement la toxicité de la chloroquine. […] La consommation de ces deux molécules a toutefois augmenté en
mars ; mais comme le traitement a été interdit dans le cas de la « COVID-19 » malgré son efficacité avérée [255],
cette consommation a très rapidement baissé pour atteindre un niveau assez bas en mai. 66-68
[…] les autorités sanitaires ont fait la promotion de traitements inutiles, voire dangereux, tout en dissuadant les
médecins de faire appel aux traitements efficaces et anodins, allant jusqu'à les faire interdire. En parallèle, ces
mêmes autorités ont dès le 20 mars 2020 préconisé l'application de soins palliatifs en lieu et place des soins destinés
à soigner la « COVID-19 » [19]. Les deux préparations préconisées pour tuer les malades sont le Valium et le Rivotril
dans leurs versions injectables. 69
[…] une surprescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de
31 % entre mars et mai par rapport à la moyenne de 2018-2019. Quand au Rivotril injectable, sa consommation a
explosé, multipliée par 3 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 62 % supérieure à la moyenne de 2018-
2019. 70

COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

OMS
[…] Depuis plus de vingt ans, l'Organisation mondiale de la santé nous promet la pandémie du siècle. Elle nous a
proposé des grippes aviaires, porcines, des virus H SN 1, H 1 N 1, tout un bestiaire qui est passé inaperçu dans les
courbes de mortalité. […] le « SARS-CoV-2 ». Au moment des faits, il était réputé sévir en Chine dans la région de
Hubei, faisant prétendument 4 512 morts sur une population de près de 60 millions d'habitants. La Chine subit
environ 180 000 décès par infections respiratoires tous les ans pour 1,5 milliards d'habitants. Faites le calcul : la
« COVID-19 » de Wuhan était selon toute apparence 2 fois moins dangereuse que n'importe quelle infection
respiratoire. […] La saison grippale [en France] 2019-2020 s'avérait quasi inexistante. 35
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

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Science & Scientisme
La science, la vraie, est un anarchisme. Le scientisme est tout le contraire. Si on accepte les mots de Paul RICOEUR :
« La tolérance n'est pas une concession que je fais à l'autre, elle est la reconnaissance du principe qu'une partie de la
vérité m'échappe. » Or, par la vertu de la preuve- la sacro-sainte preuve scientifique-, rien de ce qui est vrai
n'échappe au scientisme. Aussi, quelle que soit l'opinion dissidente, celle-ci est incompatible avec la vérité. C'est le
fondement de l'autoritarisme, la rançon de l'intolérance. 181-182
[…] Alfred WEGENER est mort en 1931, congelé sur un glacier au Groenland, tentant de démonter aux scientistes de
son époque sa théorie de la dérive des continents, tous persuadés qu'ils avaient affaire à un hurluberlu. Quarante
ans plus tard il accédait au génie, sa théorie enfin acceptée. Il a osé prêcher le faux et il a révélé le vrai au prix de sa
vie. En 1938, les scientistes ont donné à Enrico FERMI le prix Nobel de physique pour avoir découvert deux nouveaux
éléments atomiques… qui n'ont jamais existé. En 1936, Egas MONIZ a inventé la lobotomie, une pratique barbare
consistant essentiellement à détruire le cerveau de patients psychiatriques, les laissant ainsi à l'état de légumes. Les
trois quarts des lobotomies étaient réalisées sur des femmes pour soigner les pseudo-maladies sexistes de l'époque,
comme l'hystérie ou la nymphomanie. En 1949, après quelques dizaines de milliers de pauvres victimes charcutées,
les scientistes lui ont attribué le prix Nobel de médecine. Aucun de ces deux prix Nobel n'a été retiré ni invalidé car la
vérité du scientisme est éternelle. 182
[…] Dans le scientisme, la spoliation de la gloire se fait par la fraude scientifique, activité aussi vieille que la science
elle-même. La pression de la réussite pousse naturellement à la tricherie. William BROAD et Nicholas WADE ont
publié en 1982 un livre devenu classique [32), mieux connu en France sous le titre La Souris truquée - Enquête sur la
fraude scientifique. […] Même les savants anciens les plus renommés se sont rendus coupables d'entorses à la
rigueur : GALILÉE, NEWTON, DALTON, DARWIN, MENDEL, PASTEUR et bien d'autres. 184
[…] Le British Medical Journal, peut-être la revue de recherche médicale la plus cotée au monde, a publié en 2005 un
article intitulé : « Les journaux médicaux sont corrompus par leur dépendance aux entreprises pharmaceutiques »
[132). Le titre a le mérite d'aller droit au but. Le contenu est encore plus édifiant : « Les journaux médicaux ne sont
rien de plus q"'une extension du service marketing des sociétés pharmaceutiques" parce qu'une large proportion de
leurs revenus proviennent des publicités pour les médicaments et de rééditions d'essais financés par ces sociétés,
affirme Richard Smith, ancien éditeur du BMJ. ». Cette affirmation n'émane pas du premier quidam venu : Richard
SMITH était éditeur du British Medical Journal et chef exécutif de la société éditrice, le BMJ Group. 184
[…] Le Lancet, peut-être le journal médical le plus réputé à l'exception du BMJ, a publié en 2019, la veille de la
« COVID-19 », un article tout aussi ravageur que les précédents : « La corruption dans la santé mondiale : le secret de
Polichinelle » [88). L'auteure n'est pas n'importe qui : Patricia J. GARCIA, professeure de santé publique à l'université
Cayetano Heredia, membre de l'Académie nationale de médecine des États-Unis et ancienne ministre de la Santé du
Pérou. 185
[…] L'affaire porte aujourd'hui le nom de Lancetgate. Un groupe de professeurs véreux financé par une fondation
médicale corrompue a commandé une étude trafiquée à une entreprise nommée Surgisphere, une coquille vide
radiée à de nombreuses reprises, dirigé par un margoulin notoire avec pour directrice des ventes une actrice
pornographique surnommée « Skye Daniels ». Le but était de faire croire que l'hydroxychloroquine, une molécule
prescrite en masse depuis 70 ans à des milliards d'individus, était mortelle pour 10 % des patients souffrant de
« COVID-19 », et qu'elle provoquait ordinairement de graves atteintes cardiaques. […] C'est donc une fraude
destinée à organiser un défaut de soin massif en refusant l'accès à une molécule thérapeutique prometteuse. 185
[…] L'essai Solidarity, annoncé en mars 2020 par l'OMS, est un exemple typique de fraude en vue de prouver la doxa
du COV/D [265) : 52 pays impliqués, 600 hôpitaux réquisitionnés, 14 200 patients testés et 2 000 chercheurs
impliqués. Leur protocole, comme attendu, était extrêmement mauvais. Parmi les quatre molécules testées, trois
étaient déjà connues pour être inefficaces et ruineuses : le funeste Remdésivir, le Lopinavir et l'lnterferon.
L'ivermectine a d'emblée été exclue de la liste. Il restait l'hydroxychloroquine à décrédibiliser, et ce fut aussi simple
que brutal. 186
[…] Le deuxième essai géant mené pour prétendument tester les molécules thérapeutiques contre la « COVID-19 »
s'appelle Recovery. Démarré en avril 2020, avec au final 48 341 patients, il égale en taille l'essai Solidarity ; mais il en
partage les mêmes biais : les molécules testées ont été sélectionnées parmi les plus inefficaces, et celles qui sont
efficaces ont été sabotées. Parmi les poudres de perlimpinpin, on trouve : I'Aspirine, le Baricitinib, la colchicine, du
plasma de convalescent, de la Dexamethasone, du Dyméthyl-Fumarate, du Lopinavir-Ritonavir, des anticorps
monoclonaux combinés et du Tocilizumab. L'ivermectine, encore une fois, est exclue car trop efficace : impossible
d'en saboter les bénéfices. Les molécules prometteuses testées étaient l'hydroxychloroquine et l'azithromycine [209).
Mais voici la première arnaque : ces deux molécules ont été testées séparément au lieu d'être administrées en
bithérapie, ce qui les rendait inutiles. La seconde arnaque est d'avoir donné des doses bien trop faibles
27
d'hydroxychloroquine car choisies sur la base de la pharmacocinétique de la chloroquine, molécule différente toxique
aux doses efficaces. La troisième arnaque est d'avoir appliqué un traitement précoce à des patients hospitalisés,
donc déjà trop malades pour recevoir le protocole initial. Les essais Solidarity et Recovery se révèlent être des clones,
des copiés-collés avec les mêmes objectifs : faire triompher la doxa du COVID. […] le protocole de l'essai préconise en
dose de charge une prise de 2,4 grammes d'hydroxychloroquine répartie sur 24 heures. Or le seuil de toxicité de
l'hydroxychloroquine est de 2 grammes, comme précisé par la Société française de médecine d'urgence (SFMU) sur
son site [62). […] Les responsables de l'essai Recovery, des médecins, ont donc tenté d'empoisonner sciemment leurs
cobayes afin de faire croire à la toxicité du traitement de la « COVID-19 » par l'hydroxychloroquine. 186-187
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Socialisme
[…] Dans une société socialiste, il faut que le peuple décide et trouve un moyen de transcender les divergences qui le
traversent. Les philosophes des temps passés, à l'inverse des intellectuels qui encombrent les téléviseurs, ont déjà
guéri cette schizophrénie essentielle du peuple : « une société qui se reconnaît divisée, c'est-à-dire traversée par des
contradictions d'intérêts, et qui se fixe comme modalité d'associer à parts égales chaque citoyen dans l'expression,
l'analyse, la délibération et l'arbitrage de ces contradictions », écrivait Paul RICOEUR, une telle société « est
démocratique ». À l'inverse du capitalisme, le socialisme tend vers la démocratie, et au-delà vers son ultime limite :
l'anarchie, la forme la plus élevée de l'ordre, celui où tous les individus sont pleinement libres de choisir le but
informulé de tous les membres de la société. Cette utopie, cette asymptote inaccessible […]. 200
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Sociologie des possédants


[…] Seulement 11 % des milliardaires sont des femmes, et parmi elles 72 % sont ex-épouses ou filles de milliardaires,
divorcées ou héritières. Chez les hommes en revanche, donc 88,3 % des ultra-riches, 76 % ont acquis leur fortune
hors des liens familiaux directs [81]. L'étude sociologique Sociologie de la bourgeoisie du couple PINÇON-CHARLOT
nous éclaire sur les mœurs secrètes des nantis [202]. Les femmes des riches ne travaillent pas, elles restent à la
maison pour s'occuper de la vie domestique, et ce n'est pas une mince affaire ! Il faut organiser les soirées
mondaines, préparer les pique-niques et les rallyes pour marier les enfants à de bons partis, régenter les demeures
princières, donner les ordres aux domestiques, vérifier l'éclat de l'argenterie, pomponner l'image du clan familial
avec des activités « caritatives », et j'en passe. Les femmes de riches forment une sorte de sororité informelle et
travaillent de conserve au maintien de leur classe sociale, en particulier en arrangeant des rencontres romantiques
entre leurs enfants. Il ne faudrait pas que la fortune se dilue par des amours ancillaires. Plus les maris sont fortunés,
plus leurs femmes font des bébés. Ce fait est confirmé par une étude de L'INSEE [120) : les femmes de riches ont le
plus haut taux de fécondité de toutes les femmes nées en France. 208-209
[…] Rien n'était officiel avant le 21 août 2017, date à laquelle une charte décrivant le rôle de la Première Dame a été
publiée [204). 209
[…] L'égalité des sexes ne concerne que la populace. Les femmes, qui autrefois étaient libérées du travail
capitalistique, sont aujourd'hui obligées pour survivre de se salarier comme les hommes pour enrichir leur patron.
[…] Le résultat du plein emploi forcé est l'explosion des dépressions féminines : 2 dépressifs sur 3 sont des femmes et
elles font davantage de burn-outs, 23 % en plus. Les hommes ont d'autres instincts, une autre utilité qui implique
d'autres types de souffrances : 96 % des prisonniers sont des hommes. 209-210
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Statistique & Standardisation


[…] Les spécialistes parlent de standardisation : une statistique standardisée fait abstraction des informations
parasites qui pervertissent les mesures et parfois génèrent des contresens. […] pourquoi on standardise les décès
sous la forme d'une mortalité, c'est-à-dire le nombre de décès divisé par le nombre d'habitants. De même, une
mortalité de 10 % dans une maison de retraite, ça n'est pas extraordinaire car leur population est très âgée et
souvent malade. 33
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Statistique & Biais


[…] les biais qui peuvent déformer les conclusions d'une statistique : en baissant absolument tous les salaires, on
peut tout de même truander pour faire augmenter artificiellement le salaire moyen. Même l'arithmétique la plus

28
basique est une arme entre les mains des manipulateurs de foules ; […] Les biais sont légions en statistiques. La
littérature cite fréquemment l'effet Yule-Simpson [239, 273] dans ce genre de contexte. Il illustre le fait qu'une
tendance globale peut aller à l'inverse de toutes les tendances locales, […]. Ainsi, dans le service public, le non-
remplacement des fonctionnaires qui partent à la retraite et le gel des rémunérations ont à peu près les mêmes
effets que dans notre entreprise fictive : le revenu moyen augmente tandis que toutes les rémunérations baissent.
29-30
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Sur-infection & Épidémies


[…] On sait que plus de 95 % des décès lors de la grippe espagnole de 1918 étaient en réalité causés par des
surinfections bactériennes (235] et que la majorité des décès lors des grandes épidémies sont le fait de surinfections
(164]. Encore aujourd'hui, les complications bactériennes sont responsables de 30 % de la mortalité lors des
épidémies de grippe [101]. 61
[…] La grippe de 2018-2019 a fait officiellement 8 100 morts [122], dont 30 % sont attribuables à une surinfection
bactérienne, soit 2 430 morts. Le nombre absolu de surinfections bactériennes à traiter dans le cas de la « COVID-
19 » lors de la « première vague » devrait être plus élevé de 19 % par rapport à la grippe de 2018-2019. 61
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Vaccination
[…] Les vaccins sont réputés susceptibles d'aggraver la maladie via un mécanisme impliquant des anticorps
facilitants, qui rendent alors potentiellement mortelles des maladies bénignes. Tester à la va-vite puis injecter sans
discernement ce genre de produits à toute une population alors que les tests ne sont pas terminés relève de la folie
criminelle. L'exemple du vaccin Denvaxia, qui a dû être interdit en catastrophe à cause des fièvres hémorragiques
mortelles qu'il provoquait, est resté dans les mémoires. […] Il expliquerait peut-être le regain de mortalité observé
en France depuis le début de l'année 2021. Vacciner en pleine épidémie est déjà une folie car les vaccins abaissent
les défenses immunitaires pendant plusieurs semaines après leur administration. 126
[…] Parmi les victimes officielles de la « C COVID-19 », les moins de 60 ans représentent 5 % des décès, et donc 95 %
des morts ont plus de 60 ans. Les plus de 80 ans représentent plus de 60 % des décès causés officiellement par la
« COVID-19 ». On devrait donc s'attendre à une telle représentation des âges dans la population ayant servi à valider
le vaccin Pfizer/BioNTech. Or voici ce qu'il en est ([7], page 76) :

[…] la proportion des plus de 85 ans dans l'étude Pfizer/BioNTech représente moins de 0,03 % de la cohorte,
seulement 10 personnes, alors que cette classe d'âge rassemble presque les deux tiers des décès de la « COVID-19 ».
Qui plus est, seulement 5 d'entre eux ont réellement reçu le produit à tester. Les plus de 75 ans représentent moins
de 5 % des cobayes alors que cette classe d'âge est la cible quasi exclusive de la « COVID-19 ». Il est statistiquement
impossible d'inférer une efficacité à partir d'une telle population. 128
[…] La population-cible du vaccin a été exclue des tests d'efficacité. […] bref, toute les personnes susceptibles
de tomber malades ont été exclues de l'étude ([7], pages 67-68). Les cobayes ont été recrutés en priorité parmi les
populations jugées susceptibles de propager le virus, donc des travailleurs, alors que l'étude porte sur l'efficacité , la
sûreté, la tolérabilité et l'immunogénicité, mais pas sur l'infectiosité ([7], pages 69-70). 129
Test PCR
[…] un test RT-PCR est pratiqué. Comme la méthodologie n'est pas spécifiée, il ne vaut à peu près rien du tout . La
sensibilité d'un tel test n'est pas constante et dépend fortement du nombre de cycles d'amplifications pratiqués ;
mais ces derniers ne sont pas quantifiés. A partir d'un certain nombre de cycles, en général à partir de 30-35, le test
RT-PCR est susceptible de répondre positivement avec un très grand nombre de faux-positifs. Les amorces des tests
ne sont pas précisées ; les fragments d'ARN sur lesquels ils sont étalonnés ne sont pas décrits. Les tests RT-PC R sont
incapables de différencier la présence de virus actifs de celle de fragments d'ARN inoffensifs, ces derniers pouvant
persister dans l'organisme pendant de longues périodes. 129

29
[…] Ajoutons que la souche Wuhan qui a servi à préparer le vaccin est réputée n'être plus en circulation depuis mai
2020 et qu'il n'y a aucune raison apparente pour que le produit soit efficace sur les innombrables variants évoqués
par la suite. 130
[…] De toute manière, le protocole de recherche est défini de telle manière que les morts sont supposés avoir
succombé à autre chose qu'à un vaccin. Par exemple, si un cobaye était mort d'une crise cardiaque, il aurait été
réputé mort du cœur, pas du vaccin, même si cette crise cardiaque avait été provoquée ou facilitée par la
vaccination. 131
[…] Les effets graves et sévères sont extrêmement peu nombreux, donc statistiquement ininterprétables. Cependant,
ils doivent alerter les autorités réglementaires, car un seul mort à cause du produit testé dans un essai clinique
portant sur des personnes jeunes et bien portantes doit stopper toute tentative de commercialisation. 132
[…] Nous rappelons que l'autorisation de mise sur le marché du Comirnaty a été délivrée uniquement sur la base des
documents fournis par le fabricant. 133
CAHUZAC
[…] Il était déjà condamné dans une précédente affaire concernant du travail dissimulé : dispense de peine, casier
judiciaire nettoyé. Peu après il fut élu député, puis nommé ministre. Banal ! Mais un ministre du budget qui fraudait
le fisc, c'était trop gros pour être enterré. De la prison ? Quelle prison ? Le prix de la haute trahison, le voici : un
bracelet sous le doux soleil de Corse. Tout cela, c'est du spectacle. La véritable révélation est celle-ci : l'argent
frauduleux caché à l'étranger par Jérôme CAHUZAC était issu de versements occultes des laboratoires Pfizer afin de
financer les activités politiques du Parti Socialiste et de son représentant de l'époque, Michel ROCARD (75]. 134

137
[…] Le Vaxzevria, interdit dans plusieurs pays, manifeste effectivement une dangerosité accrue en
particulier chez les jeunes adultes. Les autres semblent partager grossièrement la même dangerosité.
137

[…] La veille de la pharmacovigilance française n'est pas parfaite. Une étude de 2002 rapporte un taux de déclaration
spontanée d'effets indésirables de seulement 5 % (25]. Autrement dit, la pharmacovigilance ne détecte
habituellement qu'un effet indésirable sur 20 : il faudrait multiplier par 20 le nombre d'effets indésirables pour avoir
un résultat en accord avec la réalité ! […] Au total, les personnes vaccinées ont au moins 1 chance sur 31 de subir un
dommage vaccinal. 138

[…] 138

30
[…] Par rapport à la période allant du 1er juillet 2017 au 26 décembre 2020, la surmortalité est passée d'une
moyenne de - 18 décès par jour à 61 décès par jour, occasionnant du 2 7 décembre 2020 au 1er novembre 2021 une
surmortalité comprise entre 22 365 et 29 133 décès. 139
[…] Tout étudiant en médecine vous le dira : il ne faut jamais vacciner en période épidémique. La vaccination affaiblit
temporairement l'organisme et abaisse la vigueur du patient pendant une à plusieurs semaines, parfois en le rendant
franchement malade. 142
[…]. Que se passe-t-il quand on vaccine massivement une population fragile, aux portes de la saison froide, pour une
maladie qui n'existe plus ? La figure 63 vous présente le résultat : on observe la plus soudaine et la plus forte
surmortalité de toute la décennie ! 147
[…] On a vendu des vaccins « anti-grippaux » pour faire de l'argent au mépris de la santé des gens. Les vaccins « anti-
grippaux » sont entièrement remboursés pour les plus de 65 ans, une aubaine aux frais du contribuable ! 148

[…]. 148
[…] Autrement dit, le vaccin contre la grippe serait susceptible de favoriser les infections à coronavirus. C'est du
moins la conclusion d'une recherche effectuée de 2017 à 2018 sur les personnels du département de la Défense des
États-Unis [269] : les personnes vaccinées contre la grippe auraient 36 % de risques supplémentaires d'être infectées
par un coronavirus (intervalle de confiance à 95 % entre 14 % et 63 %).
[…] Le VIDAL précise que l'Efluelda, comme les autres vaccins, mettent 2 à 3 semaines à agir. Avant ce délai, la
majorité des effets indésirables se manifestent. C'est bien ce que l'on remarque dans la figure 63 : les plus de 60 ans
meurent en masse dans ce délai de 3 semaines après leur injection. La figure 40 et la figure 42 montrent que le
Rivotril et le Valium servant à euthanasier ont vu leur surconsommation déjà élevée encore augmenter e ntre
novembre 2020 et janvier 2021, précisément la période où les effets secondaires des vaccins « anti-grippaux »
étaient prépondérants. Être diagnostiqué « COVID-19 », ça ne pardonne pas ! 149

31
[…].
[…] La vaccination « antiCOVID-19 » provoque des effets dérangeants qui poussent les autorités à taire l'étrangeté de
l'actualité. Au Canada, un an après que les funestes injections ont débuté, I' Alberta a eu l'impudeur de dévoiler une
statistique difficile à justifier [57) : la mort subite est devenue la première cause de mortalité chez l'adulte ! Autrefois
à 522 morts sur une année, les morts subites dans cette région d'Amérique ont explosé, atteignant 3 362 en 2021,
environ 6 fois plus que les années précédentes.153
[…] L'étude EPIPHARE sur l'incidence des myocardites et des péricardites post-vaccinales [143], malgré un calcul
alambiqué destiné à noyer le poisson, n'arrive pas à cacher que le risque de souffrir d'une myocardite est multiplié au
moins par 8 suite à la seconde injection de vaccin. La pharmacovigilance sur le vaccin Comirnaty nous apprend que
sur une période de près d'un an, du 27 décembre 2020 au 11 novembre 2021, 468 cas de myocardites graves ont été
recensés contre 3 cas non graves. Autant dire qu'une myocardite post-vaccinale est toujours grave et peut laisser des
séquelles allant de l'insuffisance cardiaque chronique à la nécessité d'une transplantation. […] car les AVC sont 2 fois
plus nombreux et les thromboses veineuses profondes 3 fois plus nombreuses. 154
[…] Mais 9 mois après le début de la vaccination de leurs mamans, la surmortalité infantile s'est mise à augmenter
significativement et dangereusement. 154

[…]
155
[…] la pharmacovigilance sur le Comirnaty [54) nous apprend que ce vaccin occasionne des dégâts aux organes de
reproduction et au sein. De plus, les femmes enceintes ou en période périnatale ont fait remonter en un an 213 cas
graves et 30 anomalies congénitales, soit probablement plus de 4 000 cas graves réels et 600 bébés malformés dans
toute la France. […] Les données collectées par le VAERS, la pharmacovigilance des États-Unis pour les vaccins,
montrent que 3 379 fausses-couches et morti-naissances ont été enregistrées en 2021 et 1 445 en 2022. Le vaccin
est indiqué comme étant directement en cause [149). À l'échelle de la France, cela représenterait environ 680 petites
victimes en 2021. […] L'effet le plus dramatique de la vaccination « anti-COVID-19 » est peut-être à venir, silencieux

32
jusqu'à ce qu'une femme vaccinée en âge de procréer tente de concevoir, et alors… Et alors les victimes se fédèrent
pour fonder une association appelée Où est mon cycle ? [184). Elles dévoilent la réalité des effets indésirables des
vaccins et les conséquences sur leur vie de femme : règles absentes ou hémorragiques, caillots sanguins, douleurs
permanentes, hystérectomie, donc stérilisation définitive. 156
[…] La Fédération internationale de football association (FIFA) tient officiellement depuis
2014 un registre des morts subites parmi ses joueurs. Les données sont donc très fiables à partir de cette date.
156

[…]
[…] Si cette moyenne est de 2, comme de 2001 à 2004, la probabilité de constater plus de 6 morts en une année est
de 1 chance sur 221, ce qui est très peu. Un tel événement ne peut donc pas être attribué au hasard 157
[…] Selon le professeur Martin JUNEAU, cardiologue à l'Institut de cardiologie de Montréal, la mort cardiaque subite
est un événement très rare qui touche principalement les seniors [128). La prévalence de la mort subite par
défaillance cardiaque est d'environ 50 décès pour 100 000 personnes (taux calculé dans la zone métropolitaine de
Montréal). Sur les quelque 129 000 joueurs professionnels de football licenciés de la FIFA, on comptait donc en
moyenne, avant
2006, environ 1,5 mort subite pour 100 000 joueurs. Entre 2006 et 2020, ce taux est monté à 3,76 pour 100 000, ce
qui a été jugé assez alarmant pour diligenter un suivi systématique de la santé cardiaque des joueurs. En 2021, ce
taux a explosé à 16,3 pour 100 000. 158

[…] Le triathlon est un sport dans lequel on enchaîne trois épreuves à la suite : au niveau olympique, il s'agit de 1 500
mètres de natation, 40 kilomètres à vélo puis 10 kilomètres de course à pied. C'est l'un des sports qui demandent le
plus d'efforts au système cardiovasculaire ; on y observe forcément plus de morts subites cardiaques que dans la
plupart des autres sports. En temps normal, les footballeurs ont les mêmes risques d'avoir un arrêt du cœur que les
compétiteurs de triathlon, environ 1,5 pour 100 000. Un taux de 3, 76 pour 100 000 donnait aux joueurs de la FIFA la
santé de sportifs ayant 40-49, le double de leur âge. Or, le taux de morts subites cardiaques des joueurs de la FIFA a
dépassé en 2021 celui des compétiteurs de triathlon de plus de 60 ans. […] En temps normal, les footballeurs ont
les mêmes risques d'avoir un arrêt du cœur que les compétiteurs de triathlon, environ 1,5 pour 100 000. Un taux de
3, 76 pour 100 000 donnait aux joueurs de la FIFA la santé de sportifs ayant 40-49, le double de leur âge. Or, le taux
de morts subites cardiaques des joueurs de la FIFA a dépassé en 2021 celui des compétiteurs de triathlon de plus de
60 ans. 158-159
[…] Mais l'écrasante majorité ne remarquera rien de spécial, peut-être une fatigue persistante. 159
[…] Le tableau suivant résume l'évolution de la surmortalité quotidienne moyenne avant et après le 1er janvier 2021
jusqu'au 1er janvier 2022.

33
159-160
[…] le zèle de l'ONS, l'Office for National Statistics, l'homologue de l'INSEE outre-Manche. Ils ont tout fait pour
protéger les intérêts des COVIDolâtres […] finalement découvert l'origine de l'arnaque, car c'en est une. Quand on
analyse finement les données, on observe de bien étranges choses. Pendant la première campagne de vaccination, il
y a eu une brusque augmentation des décès chez ... les non-vaccinés et uniquement chez eux. Puis, lors de la
campagne de rappel vaccinal, il y a eu la même surmortalité chez ... les primo-vaccinés et uniquement chez eux.
Idem pour la saison des boosters : ce sont les deux fois vaccinés qui sont morts le plus. À chaque fois qu'on vaccinait
une population, c'était le groupe de la campagne d'avant qui mourrait au même moment. C'est votre voisin qui se
fait piquer et c'est vous qui avez les effets indésirables ! Il y a bien sûr un biais, découvert par ces chercheurs : les
vaccinés ne sont considérés vaccinés que trois semaines après leur injection ! Durant ce délai, s'ils meurent, ils sont
comptabilisés parmi les non-vaccinés. 161
[…] La même escroquerie a été organisée par la Suède pendant ses campagnes de vaccination de 2021. 162
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

Vaccin & Obligation


[…] Le Danemark par exemple n'impose aucune vaccination, et sa population est en excellente santé depuis des
décennies. Il en va de même pour l'Allemagne, l'Autriche, l'Espagne, la Finlande, le Luxembourg, la Norvège, la
Suède, le Royaume-Uni, etc. 176
COVID-19 GUERRE OUVERTE CONTRE LES PEUPLES (2023) DE EUSÈBE RIOCHÉ (EXTRAIT AMGF)

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