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Conseils pratiques et méthodologiques pour la Biologie Cellulaire
Pour ce qui est de la méthode de travail, il est primordial –le programme étant très complet – de ne
su tout, su tout pas p e d e de eta d da s l app e tissage des ou s. Les o aissa es s a u ule t t s
ite & pa ailleu s, il est sou e t p i o dial de ie o aît e u ou s a a t d a o de le p o hai .
Par ailleurs, les schémas sont importants, car ils aident à une compréhension facile de certains points
de cours difficiles à assimiler avec seulement du texte. Ne les négligez donc pas. Il en va de même pour les
photographies en microscopie électronique par exemple, car au concours, les professeurs peuvent par
e e ple e ett e u e et de a de à uoi ela o espo d…
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Introduction à la biologie cellulaire
Décembre 2010
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Introduction à la biologie cellulaire
Décembre 2012
A. Une mitochondrie.
B. Un desmosome.
C. Le réticulum endoplasmique granuleux.
D. L appa eil de Golgi.
E. Un hémi-desmosome.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
A. Une mitochondrie.
B. Un desmosome.
C. Le réticulum endoplasmique granuleux.
D. L appa eil de Golgi.
E. Un hémi-desmosome.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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La membrane plasmique
Décembre 2010
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La membrane plasmique
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La membrane plasmique
Décembre 2011
A. Est une enveloppe en monocouche phospholipidique associée à des protéines et des glucides.
B. Est une bicouche phospholipidique asymétrique continue qui sépare deux compartiments, le cytoplasme et le
milieu extracellulaire.
C. Elle pe et d a oi la e o positio ol ulai e e t e le ilieu i t a- et extracellulaire.
D. Les molécules hydrophiles passent plus facilement la membrane plasmique que les molécules hydrophobes.
E. Les motifs glucidiques sont portés par des protéines intrinsèques sur la face cytosolique de la membrane
cytoplasmique.
A. Une protéine transmembranaire est exprimée à la surface membranaire grâce à un ancrage par un lipide.
B. Les protéines extrinsèques sont statiques e jouent de façon exclusive le rôle de canaux ioniques.
C. L a e GPI gl os l-phosphatidylinositol) comporte des motifs glucodiques de type galactose.
D. Une protéine extrinsèque est toujours extracellulaire.
E. Les zo es d i se tio des p ot i es i t i s ues so t des gio s h d opho es i hes e otifs leu i e/ aline
pe etta t d ta li des liaiso s h d opho es a e lipides e a ai es.
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La membrane plasmique
A. Les protéines transmembranaires sont des protéines extrinsèques qui comportent plusieurs passages
membranaires hydrophiles en hélices alpha et des boucles intra- et extracellulaires hydrophobes.
B. L a age pa u lipide est possi le pa des liaiso s o o ale tes a e u a ide g as.
C. La gl piatio o espo d à l additio d u otif glycosyl-phosphatidylinositol sur la région N-te i ale d u e
protéine.
D. La phospholipase C peut li e l a e GPI.
E. Le gl o al est l e se le des p ot i es asso i es à des otifs su es pa des liaiso s o o ale tes.
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La membrane plasmique
Décembre 2012
A. Plus la membrane est riche en acides gras saturés, plus la fluidité membranaire est importante.
B. Plus les haî es d a ides g as satu s so t lo gues, plus la fluidit e a ai e est importante.
C. Plus les haî es d a ides g as i satu s so t lo gues, plus la fluidit e a ai e est duite.
D. Plus la membrane est riche en acides gras insaturés, plus la fluidité membranaire est importante.
E. Les acides gras à chaînes carboxyliques à doubles liaisons stabilisent de la membrane.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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La membrane plasmique
Décembre 2013
A. Ce sont des bicouches asymétriques. Parmi leurs composants, on trouve des phospholipides, des protéines et
des glucides.
B. La composition de la membrane plasmique est la même quel que soit le type cellulaire.
C. La composition de la membrane interne du noyau est identique à celle de la membrane externe de la
mitochondrie.
D. Les membranes cellulaires ont une perméabilité non sélective. Elles permettent donc le passage des molécules
hydrophobes et hydrophiles.
E. Les phospholipides sont des molécules hydrophobes. Ce sont les lipides les moins représentés dans la
composition de la membrane plasmique.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
A. Les phospholipides sont des molécules amphiphiles qui comportent deux extrémités polaires.
B. La phosphatidylethanolamine est un phospholipide qui contient une serine associée à un phosphate lié au
glycérol au niveau de la tête polaire.
C. Un taux élevé en acides gras insaturés dans la membrane augment sa fluidité et un taux élevé en cholestérol
la rigidifie.
D. Les phospholipides membranaires sont statiques et ne subissent aucun mouvement.
E. Les galactocérébroside est un glycolipide non glycosylée entrant dans la structure des gaines des nerfs.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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La membrane plasmique
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Introduction aux transports membranaires
Décembre 2010
A. Seules les grosses molécules peuvent traverser la membrane plasmique sans intervention des protéines.
B. La liaison préalable à un récepteur e a ai e est i dispe sa le à l e t e d u e ol ule da s u e ellule.
C. Les a is es de t a spo t e a ai e essite t toujou s de l ATP.
D. Des protéines membranaires à activité ATPasique peuvent être impliquées dans le transport membranaire.
E. Le passage des ions par les canaux ioniques est un exemple typique du transport actif.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
Décembre 2011
A. O pa le d u ipo t lo s ue plusieurs composés sont transportés en même temps dans a même direction.
B. Les protéines de transport réalisent le passage des molécules plus rapidement que les canaux ioniques.
C. Da s le t a spo t passif le passage s effe tue jus u à attei d e l uili e des o e t atio s de pa t et d aut e
de la membrane.
D. La po pe Na+/K+ e pulse Na+ ho s de la ellule et fait e t e K+, elle est pas le t og i ue.
E. L eau peut t a e se e o e plus ite la e a e g â e au a uapo i es.
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Introduction aux transports membranaires
Décembre 2013
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Les transports membranaires sans déplacement de membrane
Décembre 2010
Décembre 2011
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Les transports membranaires sans déplacement de membrane
Décembre 2012
La pompe Na+/K+ :
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Les transports membranaires avec déplacement de membrane
Décembre 2010
A. L h pe holest ol ie fa iliale peut s e pli ue pa des utatio s au i eau des epteu s des LDL do t
l e do tose est a oli e-dépendante.
B. La phago tose s effe tue g â e à des a teau de a oli e et pe et d i te alise des pa ti ules LDL.
C. Les récepteurs du complément et des fragments Fc des immunoglobulines permettent de phagocyter les
agents pathogènes par les macrophages et les molynucléaires neutrophiles.
D. L e o tose pe et l ha ge de a o ol ules du ilieu e t a ellulai e ers le milieu intracellulaire.
E. La li atio de l hista i e pa les asto tes est u e e o tose spo ta e.
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Les transports membranaires avec déplacement de membrane
Décembre 2013
A. Le cholestérol est transporté sous formé couplé aux LDL. Il est ingéré par la cellule par un mécanisme
d e do tose lath i e-dépendante.
B. L e do tose cvéoline-dépendante concerne toutes les cellules sauf les cellules endothéliales.
C. Le transfert de macromolécules par reancytose implique la formation de vésicules clathrine-dépendantes et
passe pa l e doso e.
D. La li atio de l a t l holi e pa les eu ones cholinergiques est possible grâce à une exocytose spontanée.
E. La li atio de l hista i e pa u asto te est u ph o e a oli e-dépendant.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le noyau cellulaire
Décembre 2010
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Le noyau cellulaire
Décembre 2011
A. Les snRNP (small nuclear ribonucleoproteins) sont importées du cytosol vers le noyau.
B. Un nucléosome est composé de huit protéines histo es et de pai es de ases d ADN, l histo e H pe et
l asso iatio de plusieu s u l oso es.
C. L tat de phospho latio des histo es gule l a ti it t a s iptio elle de la h o ati e.
D. L a t latio des otifs l si es des histo es pe et de do e une charge négative aux histones et ainsi de
aisse la fo e de liaiso à l ADN.
E. La matrice nucléaire se désagrège au début de la mitose suite à la phosphorylation des lamines.
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Le noyau cellulaire
20) Co e a t l ha ge u l o-plasmique :
A. Seules les protéines ayant un signal de localisation nucléaire (NLS) sont transportées vers le noyau.
B. Le signal NLS est une petite séquence peptidique (8-10 a.a) riche en lysine chargée négativement.
C. Le sig al d e po t NES pe et de e o aît e u e p ot i e u l ai e et de l o ie te e s le toplas e.
D. Le sig al NLS est e o u pa l i po ti e alpha.
E. Dans le cytoplasme, le facteur Ran GEF change Ran-GDP et Ran-GTP.
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Le noyau cellulaire
Décembre 2012
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Le noyau cellulaire
Décembre 2013
A. Le transport de molécules au travers des pores nucléaires peut se faire uniquement du cytoplasme vers
l i t ieu du o au.
B. Les A‘N et les ADN so t des g osses ol ules et t a e se t do l e eloppe u l ai e pa le a al lat al du
pore nucléaire.
C. Le signal de localisatio u l ai e est espo sa le du t a spo t d u e p ot i e de l i t ieu du o au e s le
cytosol.
D. La lamina nucléaire est une protéine de la matrice extracellulaire.
E. Les pores nucléaires sont constitués par des protéines intrinsèques.
F. Aucune des propositio s p de tes est e a te.
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Récepteurs et médiateurs
Décembre 2010
A. Les protéines G activent des effecteurs primaires intracellulaires, qui peuvent être, par exemple, des enzymes
intracellulaires ou des canaux ioniques.
B. Les protéines G sont responsables e la transduction du signal extracellulaire en une cascade de signalisation
intracellulaire.
C. Les protéines G sont les effecteurs primaires de la cascade de signalisation.
D. Les Récepteurs Couples aux Protéines G (ou ‘CPG so t sou e t p se ts sous fo e d ho o-dimères ou
d h t o-dimères au niveau de la membrane plasmique.
E. L a ti atio des ‘CPG peut i dui e des phopho latio s de p ot i es i t a ellulai es.
F. Ne des réponses précédentes est fausse.
A. Les hormones stéroïdes font partie des molécules informatives ou ligands liposolubles.
B. Les ho o es st oïdes a ti e t u epteu i t a ellulai e ui se fi e su des gio s i les de l ADN.
C. Les hormones stéroïdes sont transportées dans le sang par des transporteurs spécifiques.
D. Les hormones stéroïdes entrent dans les cellules par diffusion à travers la bicouche lipidique.
E. Certaines molécules informatives liposolubles se lient à des récepteurs membranaires.
F. Les molécules informatives liposolubles ne peuvent pas induire de réponses cellulaires lentes faisant appel à
des odifi atio s de l e p essio des g es.
G. Une des réponses précédentes est fausse.
A. Les molécules agonistes et antagonistes se fixent sur le même récepteur que le ligand endogène.
B. Il existe des agonistes et des antagonistes de signaux hydrosolubles et liposolubles.
C. Une molécule antagoniste se fixe sur le même récepteur que le ligand endogène et déclenche une réponse
opposée à celle déclenchée par le ligand endogène.
D. Une molécule antagoniste se fixe sur le même récepteur que le ligand endogène et ne déclenche pas de
réponse.
E. Le curare est une antagoniste des récepteurs cholinergiques nicotiniques.
F. Une des réponses précédentes est fausse.
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Récepteurs et médiateurs
Décembre 2011
A. La communication endocrine permet la communication entre cellules éloignées les unes des autres.
B. La communication paracrine utilise la circulation sanguine pour véhiculer des signaux de communication.
La communication endocrine permet la communication entre neurones.
C. La communication endocrine est basée sur des messages particuliers appelés hormones.
D. La communication autocrine est de type synaptique.
A. Les signaux hydrosolubles agissent grâce à des récepteurs spécifiques de la membrane plasmique.
B. Les signaux hydrosolubles ont une durée de vie courte.
C. Les signaux hydrosolubles diffusent à travers la membrane plasmique.
D. Les signaux liposolubles sont responsables de réponses rapides et de courtes durées.
E. Parmi les signaux liposolubles, on trouve, par exemple, les hormones stéroïdes.
A. Les molécules hydrosolubles ou liposolubles qui se fixent sur des récepteurs spécifiques sont les ligands de ces
récepteurs.
B. Une molécule agoniste déclenche une réponse analogue à celle déclenchée par le ligand endogène.
C. Une molécule antagoniste se fixe sur le même récepteur que le ligand endogène, ne déclenche pas de réponse
et empêche le ligand endogène de se fixer.
D. Les récepteurs canaux ionotropes sont non ligands-dépendants : leur ouverture est déclenchée par une
stimulation mécanique.
E. La i oti e, l ago iste du epteu de l a t l holi e i oti i ue, i duit la po se i e se de elle de
l a t l holi e.
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Récepteurs et médiateurs
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Récepteurs et médiateurs
Décembre 2012
A. Les neurotransmetteurs agissent sur des récepteurs membranaires pré- et post- synaptiques.
B. Les récepteurs membranaires des neurotransmetteurs sont exclusivement des récepteurs canaux.
C. Certains récepteurs membranaires peuvent avoir une activité enzymatique intrinsèque.
D. Certains récepteurs membranaires peuvent être des canaux ioniques.
E. Les récepteurs membranaires sont des protéines traversant une ou plusieurs fois la membrane plasmique.
F. Une des réponses précédentes est fausse.
A. Les signaux gazeux de communications à distance sont par exemple le NO et le CO. Ainsi utilisés dans des
conditions physiologiques, ils ne sont pas toxiques.
B. Les récepteurs gazeux ont une durée de vie longue.
C. Les sig au hi i ues, u ils soie t liposolu les, h d osolu les ou gazeu , lo s u ils se fi e t s des ellules
prennent le nom de récepteurs.
D. U liga d e peut t e u e dog e.
E. La i oti e est u a tago iste de l a t l holi e.
F. Aucu e des p opositio s p de tes est e a te.
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Récepteurs et médiateurs
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Récepteurs et médiateurs
Décembre 2013
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La matrice extra-cellulaire
Décembre 2010
A. Les ol ules de ollag e fi illai e s asso ient entre elles dans le cytoplasme pour former une fibrille de
collagène qui sera ensuite excrétée.
B. La haî e alpha et la haî e eta du ollag e s asso ie t da s le toplas e pou fo e u e dou le h li e
qui sera ensuite excrétée.
C. Dès que la fibrille du ollag e est e t e, l h d o latio des p oli es et des leu i es a lieu afi d a ti e la
fibrille de collagène.
D. Lo s du d eloppe e t du s o ut, la a e e e ita i e C e pe et plus l h d o latio des sidus de
proline et de lysine des chaînes alpha et ta du ollag e. L asso iatio des haî es alpha et eta du ollag e
e peu e t plus s asso ie pou fo e u e dou le h li e.
E. Il e iste des ollag es asso i s au fi illes de ollag e ui fa ilite t l o ga isatio de es de i es.
F. Aucune des po ses p de tes est e a te.
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La matrice extra-cellulaire
A. Les filaments intermédiaires qui composent la matrice extracellulaire interagissent avec les intégrines par
l i te diai e d u e s ue e sp ifi ue : la séquence RGD.
B. L lasti e est u e p ot i e haute e t h d opho e ui i te agit di e te e t a e les fila e ts i te diai es
de la matrice extracellulaire.
C. L lasti e est u e p ot i e haute e t h d ophile ui i te agit di ectement avec les filaments intermédiaires
de la matrice extracellulaire.
D. Les métalloprotéases matricielles vont intervenir dans la dégradation des filaments intermédiaires de la
matrice extracellulaire.
E. Les métalloprotéases matricielles vont intervenir dans la dégradation du collagène, de la lamine et de la
fibronectine.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
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La matrice extra-cellulaire
Décembre 2011
A. La MEC est composée de macromolécules : des polysaccharides et des protéines fibreuses de structure et
d adh e e.
B. La ellule s a o he à sa MEC g â e à des ol ules de su fa e de t pe s le ti es et adh i es.
C. Les polysaccharides de la MEC sont exclusivement des glycosaminoglycanes GAG.
D. Les GAG so t o pos s d u e p titio d u t t asa ha ide : acide glucoronique, acide idurnique, N-
acétylglucosamine (NAGlc) et un N-acétylgalactosamine (NAGal).
E. Le chondroïne-sulfate est un protéoglycane de la MEC.
A. Les glycosaminoglycanes (GAG) de la MEC sont hydrophobes et ont une charge globale positive.
B. Les p otogl a es so t o pos es d u œu p ot i ue su le uel u lia t t t asa ha idi ue g effe u
monosaccharide.
C. L agg a e est u p ot ogl a e de la MEC a o da te da s les tissus o jo tifs o t ai e e t à la d o i e.
D. La molécule de tropocollagène, unité de structure du collagène, est un tétramère composé de quatre hélices
alpha qui peuvent être identiques ou non.
E. Le collagène IV est le principal constituant de la lame basale. Des anomalies de sa fabrication peuvent aboutir
à des maladies rénales type glomérulonéphrites.
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La matrice extra-cellulaire
Décembre 2012
A. Protéine-kinase.
B. Lipase.
C. O-glycosidase.
D. ATPase.
E. Sérine-protéase.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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La matrice extra-cellulaire
Décembre 2013
A. Les collagènes.
B. Les glycoprotéines.
C. Les intégrines.
D. Les polysaccharides et les glycosaminoglycanes.
E. Les protéoglycanes.
F. Une des réponses précédentes est fausse.
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Le système endomembanaire
Décembre 2010
A. La re-entrée dans le réticulum endoplasmique se fait grâce à des vésicules de retour, où interviennent des
récepteurs KDEL.
B. Le réticulum endoplasmique rugueux est le lieu de synthèse des protéines mitochondriales.
C. Toutes les cellules ont un réticulum endoplasmique, ce qui est indispensable à leur survie.
D. Le réticulum endoplasmique participe à la maturation des ARNm.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le système endomembranaire
Décembre 2011
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Le système endomembranaire
Décembre 2012
A. Les protéines destinées aux mitochondries, aux chloroplastes, aux peroxysomes et au noyau possèdent toutes
des séquences-signal spécifiques mises en place lors de la protéosynthèse dans le réticulum endoplasmique
rugueux.
B. Les lysosomes assurent uniquement la digestion de substances u particules endocytées ou phagocytées par la
cellule.
C. Les lysosomes utilisent les réseaux microtubulaires pour leurs déplacements dans la cellule.
D. Les O-gl os latio s o e e t toutes les p ot i es et se fo t pa liaiso d u e N-acétylglucosamine liée à
une sérine ou une thréonine.
E. Aucune des p opositio s p de tes est e a te.
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Le système endomembranaire
Décembre 2013
A. Les protéines destinées aux peroxysomes sont adressées correctement grâce à un signal mannose-6-
phosphate.
B. La séquence KDEL permet la translocation des protéines dans le réticulum endoplasmique au cours de la
synthèse protéique.
C. L appa eil de Golgi utilise le seau de i otu ules pou se positio e da s le toplas e de la ellule.
D. Les protéines v-Rab et t-Rav jouent un rôle majeur dans le transport vésiculaire car elles permettent la fusion
des vésicules avec un compartiment accepteur.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le cytosquelette
Décembre 2010
A. Les fila e ts i te diai es sulte t d asse lages de p ot i es fi illai es, o e les i otu ules.
B. Les fila e ts i te diai es s asse le t d a o d e di es pa all les, puis e t t a es pa all les.
C. Les d pla e e ts du s st e e do e a ai e s appuie t su les i otu ules et i ofila e ts du
cytosquelette.
D. Les éléments du cytosquelette forment un squelette statique dans le cytoplasme cellulaire.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le cytosquelette
Décembre 2011
6) A propos du cytosquelette :
A. Les p ot i es d a ti e F peu e t s auto-assembler pour créer des longs filaments appelés actine G.
B. Les phalloïdi es lo ue t la pol isatio de l a ti e.
C. L a ti e joue u ôle ajeu au ou s de la di isio ellulai e e pe etta t la fo atio de l a eau
contractile au cours de la prophase.
D. Les fila e ts d a tine, la myosine et les filaments intermédiaires de desmine jouent un rôle majeur dans la
structure et la fonction des cellules musculaires.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
7) A propos du cytosquelette :
A. Certaines protéines associées aux microtubules jouent le rôle de moteurs molécules ; est le as des ki si es
ui se d pla e t e s e t it + des i otu ules.
B. Les fila e ts i te diai es, do t l asse lage essite l h d ol se de l ATP, so t i po ta ts pour
l a hite tu e et la sista e des ellules.
C. Les cellules eucaryotes contiennent un seul type de filaments intermédiaires : les lamines au niveau du noyau
ou d aut es fila e ts i te diai es sp ifi ues du t pe ellulai e tudi .
D. Les filaments intermédiaires sont composés de 13 protofilaments.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le cytosquelette
Décembre 2012
3) A propos du cytosquelette :
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Le cytosquelette
Décembre 2013
5) A propos du cytosquelette :
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Les jonctions cellulaires
Décembre 2010
A. Les cadhérines.
B. Les intégrines.
C. Les sélectines.
D. Certains membres de la famille des immunoglobulines.
E. Les desmosomes.
F. Une des réponses précédentes est fausse.
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Les jonctions cellulaires
Décembre 2011
A. Les jonctions cellulaires sont des zones spécialisées, visibles en microscopie optique, entre deux cellules
voisines ou entre la cellule et sa matrice extracellulaire.
B. Les jonctions serrées sont appelées aussi zonula adherens.
C. Les contacts focaux et els hémidesmosomes sont les principales joncions intercellulaires.
D. Les jonctions entre la cellule et la matrice extracellulaire impliquent principalement des intégrines.
E. Les cadhérines sont des composantes de la matrice extracellulaire.
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Les jonctions cellulaires
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Les jonctions cellulaires
Décembre 2012
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Les jonctions cellulaires
Décembre 2013
Questions 4 à 6 :
La figure ci-dessus représente une cellule observée au microscope à fluorescence. Pour cette expérience, les auteurs
ont utilisé une protéine de fusion GFP-a ti e pou a ue l l e t d sig pa la fl he .
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Les jonctions cellulaires
A. Des cadhérines.
B. Des sélectines.
C. Des intégrines.
D. Des occludines.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
A. La matrice extracellulaire.
B. Un acide nucléique.
C. Une desmoglobine.
D. Une desmogléine.
E. Le cytosquelette.
F. Aucune des propositio s p de tes est e a te.
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La mitochondrie
Décembre 2010
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La mitochondrie
Décembre 2011
A. O t u e fo e a ia le e fo tio du t pe ellulai e et de l a ti it .
B. One une localisation identique dans la cellule quel que soit le type cellulaire.
C. Ont une structure visible en microscopie optique.
D. Ont une membrane interne pauvre en protéines mais riche en cardiolipine.
E. Ont une ½ vie courte et sont renouvelées en 6 à 10 jours.
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La mitochondrie
Décembre 2012
8) Les mitochondries :
Décembre 2013
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HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 54
L’apoptose
Décembre 2010
34) Vous disposez de deux cultures cellulaires : culture 1 et culture 2. Ces deux cultures cellulaires sont soumises
au e t aite e t pa hi ioth apie. Vous d idez d a al se si l u e des deu ultu es ellulai es est
sensible à l apoptose i duite pa ette hi ioth apie. Pou ela ous d idez d effe tue l a al se do t le
résultat est présenté ci-dessus.
Pou ha ue ultu e ous effe tuez u e e t a tio d u o posa t ellulai e. Cet e t ait de o posa t
cellulaire est déposé da s u gel d aga ose et sou is à u ou a t le t i ue.
Echantillons :
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L’apopotose
5. L ADN.
6. Les ARN messagers de la cellule.
7. Les protéines membranaires de la cellule.
8. Les protéines nucléaires de la cellule.
A. 1+5
B. 1+7
C. 3+8
D. 2+6
E. 3+5
F. 4+6
G. Au u e des o i aiso s p de tes est e a te.
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L’apopotose
Décembre 2011
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L’apopotose
Décembre 2012
12) Co e a t l apoptose :
13) Co e a t l apoptose :
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L’apopotose
Décembre 2013
Décembre 2012
A. U e utatio da s u des deu e e plai es all les d u p oto-oncogène peut suffire à provoquer la perte
de contrôle de la croissance par la cellule.
B. Une mutation dans un des deux e e plai es all les d u g e supp esseu de tu eu peut suffi e à
provoquer la perte de contrôle de la croissance par la cellule.
C. Les gènes des protéines « suppresseur de tumeur » ne sont présents que dans les cellules cancéreuses.
D. Pour un même type de tissu, les cellules cancéreuses prolifèrent plus vite que les cellules non cancéreuses.
Les cellules cancéreuses ont une phase G1 du cycle cellulaire augmentée par rapport à la phase G1 du cycle
cellulaire des cellules non cancéreuses.
E. Aucune des propositio s p de tes est e a te.
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Le cancer
Décembre 2013
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Les cellules souches
Décembre 2010
A. Les ellules sou hes o t la p op i t de s auto-renouveler pour un nombre illimité de divisions cellulaires.
B. Les cellules souches ont un caractère différencié.
C. Il e iste pas de ellule souche cancéreuse.
D. Il e iste pas de ellule sou he e o ai e.
E. Les ellules sou hes adultes ou so ati ues so t à l o igi e de tous les t pes ellulai es de l o ga is e elles
sont pluripotentes.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
A. Une niche est définie comme un site histologique où les cellules souches pluripotentes se transforment en iPs
(=induction of Pluripotent Stem celles).
B. Les iPS (=induction of Pluripotent Stem cells) sont des cellules souches obtenues à partir de cellules somatiques
différenciées.
C. La niche régule exclusivement les divisions cellulaires asymétriques des cellules souches pluripotentes.
D. La niche régule exclusivement les divisions cellulaires symétriques des cellules souches pluripotentes.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Les cellules-souches
Décembre 2013
24) Les cellules pouvant donner les différentes lignées cellulaires constituant un individu excepté les annexes
embryonnaires sont dite :
A. Totipotentes.
B. Pluripotentes.
C. Multipotentes.
D. Unipotentes.
E. Somatiques.
F. Au u e p opositio est e a te.
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La différenciation
Décembre 2010
Décembre 2011
A. Les ellules sou hes e o ai es so t à l o igi e de tous les t pes ellulai es de l o ga is e : elles sont
unipotentes.
B. Il existe des cellules souches embryonnaires et des cellules souches adultes.
C. La division cellulaire des cellules souches est toujours symétrique.
D. La i he ellulai e est u site histologi ue sp ifi ue d u e gio d u tissu. C est da s la i he ellulaire que
les cellules souches vont toujours se différencier.
E. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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La différenciation
Décembre 2012
Décembre 2013
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Les cellules-souches
Décembre 2012
A. U e ellule sou he est apa le de s auto e ou ele et de p odui e des ellules diff e i es.
B. U e ellule u ipote te e peut pas s auto e ou elle .
C. La di isio ellulai e d u e ellule utipote te peut do er toutes les cellules de lignées cellulaires
constituant un individu.
D. Précurseurs et cellules souches adultes sont synonymes.
E. Les iPS sont actuellement considérées comme des cellules souches totipotentes.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le cycle cellulaire
Décembre 2010
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Le cycle cellulaire
Décembre 2011
29) Le MPF :
A. 1+4.
B. 1+5.
C. 1+3.
D. 2+3.
E. 2+4.
F. 2+5.
G. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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Le cycle cellulaire
Décembre 2012
A. Les cyclines sont des protéines formées et dégradées au cours du cycle cellulaire sont la concentration varie
en fonction des phases du cycle cellulaire.
B. U e li e i te ie t sp ifi ue e t u au i eau d u e seule phase du le ellulai e.
C. U e CDK i te ie t sp ifi ue e t u au i eau d u e seule phase du le ellulai e.
D. Da s l e p ie e de la d ou e te du MPF, o a i je t des p ot i es u l ai es d o o tes de g e ouilles
stimulés par la progestérone dans des ovocytes de grenouille non stimulés et bloqués en prophase de la
méiose I.
E. Da s l e p ie e de la d ou e te du MPF, o a i je t des p ot i es u l ai es d o o tes de g e ouille
stimulés par la progestérone dans des ovocytes de grenouille non trimulés et bloqués en métaphase de la
méiose I.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
38) La MPF :
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Le cycle cellulaire
A. L ADN.
B. Les oncogènes.
C. Les proto-oncogènes.
D. MyoD.
E. Les cyclines.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
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Le cycle cellulaire
Décembre 2013
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ED : Le cycle cellulaire
Décembre 2010
Questions 1 à 8 :
Dans son laboratoire URI 24, le Professeur Mickael Sully t a aille su la oi e et l i tellige e. Les
chercheurs qui travaillent avec lui sur le sujet sont le Docteur Catherine Neytiri et le Docteur François Spellman. Tous
ensemble, ils travaillent sur le cycle cellulaire de cellules saines ((dites normales) non cancéreuses : les ellules Na i.
Ces he heu s ie e t de d ou i u e su sta e ui pou ait i flue e le le ellulai e des ellules Na i. Cette
su sta e est l u o ta iu .
1000
Nombre de cellules
100
10
1
20 40 60 80 100 120 140
temps en heures
Figure 1 : Cour e de roissa e des ellules Na’vi repr se t e par le o re de ellules e fo tio du te ps
en heures. Ces cellules sont cultivées dans un milieu de culture complet en absence de tout traitement.
A. 10 heures.
B. 20 heures.
C. 30 heures.
D. 40 heures.
E. 50 heures.
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ED : Le cycle cellulaire
Le Professeur Mickael Sully demande à l uipe du la o atoi e Pa do a U‘I d effe tue u e tai
o e d a al ses su les ellules Na i.
Une mesure simple effectuée par comptage au microscope a permis de déterminer que dans la culture des
ellules Na i o t ou e ellules e itose a u es pou ellules o se es.
Figure 2 : A al se du le ellulaire des ellules Na’vi e pri e par le o re de ellules Na’vi e fo tio de
la fluorescence incorporée (PI) au sein de chaque cellule.
2) Quel et l i de itoti ue ?
A. 0,1%.
B. 0,2%.
C. 10%.
D. 20%.
E. 40%.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
A. 1h.
B. 2h.
C. 4h.
D. 6h.
E. 8h.
F. 10h.
G. Au u e des po ses p de tes est e a te.
A. 1h.
B. 2h.
C. 4h.
D. 6h.
E. 8h.
F. 10h.
G. Au u e des po ses p de tes est e a te.
A. 1h.
B. 2h.
C. 4h.
D. 6h.
E. 8h.
F. 10h.
G. Aucune des réponses p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
A. 1%.
B. 10%.
C. 20%.
D. 30%.
E. 40%.
F. 50%.
G. Au u e des po ses p de tes est e a te.
7) Le professeur Mickael Sully demande alors aux membres de son équipe de teste l i flue e de l u o ta iu
su le le ellulai e des ellules Na i.
Pou ela l u o ta iu est ajout au ilieu de ultu e o plet des ellules Na i.
Les graphiques ci-dessous ep se te t le le ellulai e des ellules Na i a a t T0) et 24h00 après (T24h)
l ajout de l u o ta iu da s le ilieu de ultu e.
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ED : Le cycle cellulaire
8) Jaloux des résultats des recherches des membres du laboratoire Pandora URI 24, le Professeur Quaritch qui
tra aille da s le âti e t oisi , d ide de p ofite de l a se e des he heu s du la o atoi e Pa do a U‘I
pou pla e u age t to i ue, le To uk da s la ultu e des ellules Na i.
U e a al se e to t ie de flu a t alis e su les ellules Na i traitées par le Toruk pendant 12 h. Les
cellules ne sont pas perméabilisées. Elles sont ensuite remises en suspension puis traitées au Propidium
Iodide ou Iodure de Propidium (PI) (rouge) et par un anticorps anto-annexine V couplé au fluorochrome FITC
(vert). Les résultats sont présentés dans le graphique et dans le tableau ci-dessous (figure 3 et 4).
Figure 3 : A al se par to trie de flu des ellules Na’vi trait es par la su sta e Toruk pe da t heures.
Quelle conclusion allez- ous p opose pou ette e p ie e ua t à l effet du To uk su les ellules Na i ?
Décembre 2011
30) Vous e t ep e ez d esti e la du e du le ellulai e des ellules Yoda. La durée globale du cycle cellulaire
de ces cellules Yoda a été mesurée à partir de la vitesse de croissance de ces cellules. La vitesse de croissance
a été déterminée en comptant le nombre de cellules présentes en fonction du temps. 10 000 cellules Yoda
so t e se e es et ises e ultu e au d ut de l e p ie e. Les sultats e p i e tau so t p se t s
dans le tableau 1.
A. 6 heures.
B. 12 heures.
C. 20 heures.
D. 40 heures.
E. 60 heures.
F. 80 heures.
G. Au u e des po ses p opos es est e a te.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 80
ED : Le cycle cellulaire
31) Pour déterminer la durée des différentes phases du cycle cellulaire de ces cellules en culture, la technique
d i o po atio de t idi e t iti e a t utilis e. La p e i e itose a u e a pu t e o se e deu
heu es ap s l i o po atio de la th idi e t iti e. Si heu es ap s l i o po atio de la th idi e t iti e,
o a pu o se e l appa itio de la de i e itose a u e. U e a al se e to t e de flu o t e ue
% des ellules o t u e ua tit d ADN st i te e t o p ise e t e et .
A. 1 heures.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 4 heures.
E. 5 heures.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
Décembre 2012
Figure de la question 26 : Analyse par cytométrie de flux des cellules BAT avant (figure A) et après traitement
par la substance Twilight pendant 6h (Figure B).
Quelle conclusion allez- ous p opose pou ette e p ie e ua t à l effet de la su sta e twilight sur les
cellules BAT ?
A. La molécule Twilight induit la prolifération des cellules BAT en augmentant la durée de la phase G1.
B. La molécule Twilight induit la prolifération des cellules BAT en réduisant la durée de la phase G1.
C. La molécule Twilight induit a mort cellulaire des cellules BAT.
D. La ol ule T ilight a au u effet su le cycle cellulaire des cellules BAT.
E. La ol ule T ilight p o o ue l a t e hase G du le ellulai e des ellules BAT.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
Expérience 1 : Les cellules BAR ont été cultivées dans un milieu de culture complet couramment utilisé dans le
la o atoi e. Lo s ue la oissa e a d a à t= h , le o e de ellules pa su fa e est d te i à diff e ts
temps selon le tableau ci-dessous :
A. 1 heure.
B. 10 heures.
C. 20 heures.
D. 40 heures.
E. 80 heures.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
Expérience 2 : Pour déter i e a du e des diff e tes phases du le ellulai e des ellules e ultu e, l ADN des
ellules est sp ifi ue e t e du fluo es e t pa u fluo o h o e l iodu e de p opoidiu . Da s les o ditio s
utilisées, la fluorescence est proportionnelle à la ua tit d ADN o te u da s ha ue o au. Cette fluo es e e est
individuellement mesurée sur un grand nombre de cellules avec un cytomètre de flux, dans lequel les cellules passent
une par une devant un détecteur. Une analyse au cytomètre de flux montre que un quart (1/4) des cellules ont une
ua tit d ADN st i te e t o p ise e t e et .
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 4 heures.
E. 5 heures.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 83
ED : Le cycle cellulaire
Expérience 3 : Une mesure simple effectuée par comptage au microscope a permis de déterminer la durée de la
mitose de cette population cellulaire qui est de 2h.
A. 0,1%.
B. 2%.
C. 10%.
D. 20%.
E. 30%.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
A. 5 heures.
B. 10 heures.
C. 20 heures.
D. 40 heures.
E. 50 heures.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 4 heures.
E. 5 heures.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 84
ED : Le cycle cellulaire
32) Bella décide de tester le venin Twilight sur une autre lignée de cellules humaines non cancéreuses : les
cellules WOLF.
Elle a e sa possessio ue deu a ti o ps oupl s à des fluo o h o es : l a ti o ps a ti-Tooth couplé au
fluorophore PE et un anticorps anti-Hair couplé au fluoropho e FITC. D ap s l histog a e i-dessous, dans
quel quadrant se trouvent les cellules WOLF exprimant à la fois les protéines Tooth et Hair ?
Figure de la question 32 :
A. 1
B. 2
C. 3
D. 4
E. Au u e des po ses p de tes est e a te.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 85
ED : Le cycle cellulaire
Décembre 2013
Questions 31 à 40 :
Le professeur Odin effectue des recherches sur la prolifération des cellules Loki. Le professeur Odin décide de
teste l i flue e d u e ou elle ol ule le tesseract sur la progression du cycle cellulaire des cellules Loki. Dans un
premier temps, il décide de caractériser ces cellules. Pour cela, il traite ces cellules Loki en culture avec du tesseract
pendant 24h00.
Les ellules Tho e p i e t i Asga d i Jotu hei et les ellules Sif e p i e t pas l Asga d ais e p i e t le
Jotunheim.
Les sultats de l a al se e to t ie du lange de ces quatre populations cellulaires sont représentés par la figure
1 ci-dessous.
Figure 1 : Analyse par cytométrie de flux des cellules présentes dans le mélange des 4 populations cellulaires.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 86
ED : Le cycle cellulaire
Expérience 2 : Dans un deuxième temps, chaque population cellulaire présentée ci-dessus (population 1 à 4 de
l a al se e to t e e flu est ulti e s pa e t da s u ilieu de ultu e o plet. Les ellules pousse t e
formant un tapis cellulaire au fond des boîtes de culture. Lorsque la croissance a démarré (à temps=0h), le nombre de
ellules pa su fa e est d te i à diff e ts te ps pou ha ue populatio ellulai e populatio à de l a al se
en cytométrie en flux). Les résultats sont présentés dans les tableaux ci-dessous :
Population 1 :
Population 2 :
Population 3 :
Population 4 :
1) Quelle est la durée du cycle des cellules Loki avant traitement par le tesseract ?
A. 80h.
B. 40h.
C. 30h.
D. 20h.
E. 10h.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
2) Quelle est la durée du cycle des cellules Loki après traitement par le tesseract ?
A. 80h.
B. 40h.
C. 30h.
D. 20h.
E. 10h.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
Expérience 3 : Pour déterminer la durée des différentes phases du cycle cellulaire des cellules Loki en culture avant et
ap s t aite e t a e le tesse a t, l ADN es ellules est sp ifi ue e t e du fluo es e t pa u fluo o h o e. Da s
les o ditio s utilis es, la fluo es e e es p opo tio elle à la ua tit d ADN o te u dans chaque noyau. Cette
fluorescence est individuellement mesurée sur un grand nombre de cellules avec un cytomètre en flux dans lequel les
cellules passent une par une devant un détecter. Une analyse au cytomètre de flux montre que un quart (1/4) des
cellules Loki, a a t et ap s t aite e t a e le tesse a t, o t u e ua tit d ADN st i te e t o p ise e t e et
et que 20% des cellules Loki avant et après traitement avec le tesseract sont en phase G2 du cycle cellulaire.
3) La durée de la phase S des cellules Loki avant traitement par le tesseract est de :
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 4 heures.
D. 5 heures.
E. 10 heures.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
4) La durée de la phase S des cellules Loki après traitement par le tesseract est de :
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 4 heures.
D. 5 heures.
E. 10 heures.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
5) La durée de la phase G2 des cellules Loki avant traitement par le tesseract est de :
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 4 heures.
E. 8 heures.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
6) La durée de la phase G2 des cellules Loki après traitement par le tesseract est de :
A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 4 heures.
E. 8 heures.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
Expérience 4 : Une mesure simple effectuée par comptage au microscope des cultures de cellules Loki avant et après
t aite e t a e le tesse a t a pe is de d te i e l i de itoti ue de ette population cellulaire. Cet index
mitotique des cultures de cellules Loki avant et après traitement avec le tesseract est de 110%/
7) La durée de la mitose de la culture des cellules Loki avant traitement par le tesseract est de :
A. 2h.
B. 4h.
C. 6h.
D. 8h.
E. 10h.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
8) La durée de la mitose de la culture des cellules Loki après traitement par le tesseract est de :
A. 2h.
B. 4h.
C. 6h.
D. 8h.
E. 10h.
F. Aucune des réponses précédentes est e a te.
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ED : Le cycle cellulaire
9) La durée de la phase G1 du cycle cellulaire de la culture des cellules Loki avant traitement par le tesseract
est de :
A. 2h.
B. 4h.
C. 6h.
D. 9h.
E. 18h.
F. Au u e des po ses p de tes est e a te.
10) La durée de la phase G1 du cycle cellulaire de la culture des cellules Loki après traitement par le tesseract
est de :
A. 2h.
B. 4h.
C. 6h.
D. 9h.
E. 18h.
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
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ED : Techniques d’études de la cellule
Décembre 2010
10) Vous décidez de voir si une cellule exprime ou non un marqueur protéique au niveau de la membrane
plasmique ou dans le cytoplasme, vous pouvez pour cela utiliser :
A. Un marquage avec un anticorps couplé à un fluorochrome est dirigé contre le marqueur protéique. La
préparation sera observée avec un microscope confocal.
B. Un marquage avec un anticorps couplé à un fluorochrome et dirigé contre le marqueur protéique A. La
préparation sera observée avec un microscope à fluorescence.
C. Un marquage avec un anticorps couplé à un fluorochrome et dirigé contre le marqueur protéique A. La
préparation sera observée avec un microscope contraste de phase.
D. Un marquage avec un anticorps couplé à un fluorochrome et dirigé contre le marqueur protéique A. La
préparation pourra être analysée par un cytomètre en flux (FACS).
E. Une des réponses précédentes est fausse.
Décembre 2011
32) Co e a t l o d e des tapes de la p pa atio d u ha tillo pou la i os opie opti ue, i di uez la
réponse exacte.
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ED : Techniques d’études de la cellule
Décembre 2012
A. Lo s d e p ie es de ultu e ellulai e, pou d ta he les ellules de la oite de plastique, on utilise des agents
chélateurs de calcium pour inactiver les cadhérines des hémi-desmosomes.
B. Lo s d e p ie es de ultu e ellulai e, pou d ta he les ellules de la oîte de plasti ue, o utilise des age ts
chélateurs de magnésium pour inactiver les cadhérines des hémi-desmosomes.
C. Les p ot i es e a ai es i te e a t da s l adh e e ellulai es so t toujou s p ot i es e t i s ues.
D. Les adh i es so t des p ot i es e a ai es de l adh e e ellulai es asso i es au fi es d lasti e du
cytosquelette.
E. Les adh i es des poi ts d adh sio fo au so t a ti es pa le al iu .
F. Au u e des p opositio s p de tes est e a te.
Décembre 2013
A. C est u e te h i ue i u o-enzymatique.
B. Cette te h i ue pe et la d te tio de p ot i es à l aide d a ti o ps sp ifi ues.
C. Les anticorps peuvent être couplés à des enzymes.
D. Cette te h i ue pe et de d fi i la ua tit d u e p ot i e p se te da s u li uide iologi ue.
E. Une des réponses précédentes est fausse.
HTTP://ANNALES-PACES-AMIENS.E-MONSITE.COM 94