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Pollution atmosphérique

Sommaire

La pollution atmosphérique

1. Définitions
2. Types de pollution (évoquées ici)
2.1. Pollution atmosphérique par les fumées de combustion
2.2. Pollution de l’air par les particules solides (poussières)
3. Réglementation pour les fumées de combustion
3.1. Captage et évacuation des émissions
3.2. Déclaration des émissions
3.3. Exécution des mesures
3.4. Conditions de rejets
3.5. Surveillance des rejets
3.6. Valeurs limites
4. Réglementation pour les particules solides (poussières) dans l’air
5. Nos propositions
5.1. Analyses des fumées de combustion
5.2. Mesures des particules solides (poussières dans l’air)
1. Définitions

Pollution atmosphérique : l’émission dans la couche atmosphérique de gaz, fumées ou de

substances de nature à incommoder les populations, à compromettre la santé ou la sécurité

publique ou à nuire à la production agricole, à la conservation des constructions monuments ou

au caractère des sites et des écosystèmes naturels.

Effluents gazeux : l’air évacué, les fumées et les autres polluants atmosphériques émis par les

installations.

Émission : rejet d’un effluent gazeux mesuré à la source

Combustible : Produit à l’état solide, liquide ou gazeux capable de brûler ou de se détruire ou de

se combiner avec un autre corps ou par toute fission ou fusion en produisant une quantité de

chaleur.
2. Types de pollutions atmosphériques (évoquées ici)

Pollution atmosphérique par les fumées de combustion:


C’est la pollution par les fumées issues des chaudières, brûleurs, turbines, moteurs, process et
autres émetteurs de gaz.
Cette pollution se retrouve principalement dans les usines

Pollution de l’air par les particules solides (poussières) :


C’est la pollution par les fumées issues des chaudières, brûleurs, turbines, moteurs, process et
autres émetteurs de gaz.
Cette pollution se retrouve principalement dans les chantiers de génie civil, dans les carrières,
dans des activités industrielles spécifiques (cimenterie, aciérie, métallurgie, etc.)
3. Réglementation pour les fumées de combustion

3.1. Captage et évacuation des émissions

Les émissions sont captées aussi complètement et aussi près que possible de leur source, et
évacuées de telle sorte qu’il n’en résulte pas d’émissions excessives.
L’exploitant doit prendre toutes les dispositions nécessaires dans la conception et l’exploitation
des installations pour réduire de l’air à la source.
Leur rejet s’effectuera en général au dessus des toits, par une cheminée ou un conduit
d’évacuation.
3.2. Déclaration des émissions

Quiconque exploite ou entend construire une installation qui émet des polluants atmosphériques doit fournir à

l’autorité compétente des renseignements sur :

a. La nature et la quantité des émissions

b. Le lieu de rejet, la hauteur à partir du sol à laquelle il apparaît et ses variations dans le temps

c. Toute autre caractéristique du rejet, nécessaire pour évaluer les émissions.


3.3. Exécution des mesures

Les mesures doivent être effectuées suivant des méthodes d’analyse sur la pollution

atmosphérique reconnue (Normes Françaises).

Le détenteur de l’installation soumise au contrôle doit aménager et rendre accessible les

emplacements pour les mesures.

Les valeurs mesurées et les valeurs calculées, les méthodes utilisées ainsi que les conditions

d’exploitation de l’installation pendant les mesures sont consignées dans un rapport tenu par le

détenteur de l’installation.
3.4. Conditions de rejets

Les points de rejet dans le milieu naturel doivent être en nombre aussi réduit que possible.

Les ouvrages de rejet doivent permettre une bonne diffusion des effluents dans le milieu

récepteur.

L’emplacement des conduits doit être tel qu’il ne puisse à aucun moment y avoir un siphonage

des effluents rejetés dans les conduits ou prises d’air avoisinants. Les contours des conduits ne

doivent pas présenter de points anguleux et la variation de la section des conduits au voisinage

du débouché doit être continue et lente.

Sur chaque canalisation de rejet d’effluent un point de prélèvement d’échantillons et des points

de mesures doivent être prévus (débit, température, concentration en polluant,….).


3.4. Conditions de rejets

Ces points doivent être implantés dans une section dont les caractéristiques (rectitude de la

conduite à l’amont, qualité des parois, régime d’écoulement, etc.) permettent de réaliser des

mesures représentatives de manière à ce que la vitesse n’y soit pas sensiblement ralentie par

des seuils ou obstacles situés à l’aval et que l’effluent soit suffisamment homogène.

Ces points doivent être aménagés de manière à être aisément accessibles et permettre des

interventions en toute sécurité. Toutes les dispositions doivent également être prises pour

faciliter l’intervention d’organismes extérieurs à la demande de l’autorité compétente.


3.5. Surveillance des rejets

Les mesures sont effectuées sous la responsabilité de l’exploitant et à ses frais.

Un arrêté d’autorisation peut, pour certains polluants spécifiques et certains procédés,

prévoir le remplacement de certaines mesures de surveillance par le suivi en continu d’un

paramètre représentatif du polluant. Dans ce cas, des mesures de contrôle et d’étalonnage

sont réalisées périodiquement, à une fréquence fixée en accord avec l’autorité administrative

compétente, par un organisme extérieur compétent.


3.5. Surveillance des rejets

Lorsque les quantités de polluants rejetés sont supérieures aux valeurs limites, l’administration

en charge de l’environnement doit fixer la liste des paramètres à mesurer et la fréquence des

mesures ainsi que les conditions de prélèvement. Ces mesures devront être effectuées au moins

une fois par an par un organisme agrée ou choisi par l’autorité administrative compétente.

Par ailleurs, l’autorité administrative compétente peut demander à tout moment la réalisation,

inopinée ou non, de prélèvement et analyses d’effluents gazeux. Les frais occasionnés sont à la

charge de l’exploitant.
3.6. Valeurs limites

Valeurs limites pour les groupes électrogènes


3.6. Valeurs limites

Valeurs limites pour les turbines


3.6. Valeurs limites

Valeurs limites pour les chaudières


3.6. Valeurs limites

Valeurs limites pour les chaudières


4. Réglementation pour les poussières dans l’air

Arrêté N° 039/MTPS/IMT du 26 Novembre 1984 fixant les mesures d’hygiène et de

sécurité sur les lieux de travail

Norme NF X 43-007 : Qualité de l'air - Air ambiant - Détermination de la masse des

retombées atmosphériques sèches - Prélèvement sur plaquettes de dépôts -

Préparation et traitement

Valeurs limites: 30 g/m2/mois


5. Nos propositions

5.1. Pour les fumées de combustion

Analyse des fumées de combustion avec deux (02) objectifs à savoir:


Cette analyse vise deux objectifs à savoir un objectif environnemental et un
objectif technique.
a) Objectif environnemental

Les résultats obtenus sont comparés aux seuils réglementaires de rejets


atmosphériques en vigueur au Cameroun.
b) Objectif technique (pour les chaudières)

À l’issue des résultats obtenus (valeurs de certains paramètres), l’on pourra


déterminer les causes d’un dysfonctionnement, les conséquences et les
améliorations possibles.
5.1. Pour les poussières dans l’air

Pose de plaquettes DIEM (plaquette de dépôt décrite dans la norme

NF X 43-007), l’objectif étant un suivi des retombées de poussières

pendant une certaine période (quelques jours). Il s’agit de plaquettes

métalliques recouvertes d’enduit hydrophobe et disposées

horizontalement dans l’air extérieur. Les poussières véhiculées dans

l’air adhèrent aux surfaces enduites des plaquettes. Après une durée

d’exposition choisie, fonction des conditions d’empoussièrement du

site, les plaquettes sont lavées au solvant pour récupérer l’enduit et

les poussières. L’enduit dissout est ensuite éliminé par filtration. Les

poussières sont séchées puis pesées.


SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL
Chiffres de l’OIT
1. DÉFINITIONS
1.1 Santé au travail: branche de de la santé publique 1.2 sécurité au travail est une démarche

dont le but est d’encourager et de maintenir le plus haut pluridisciplinaire qui vise à supprimer ou à réduire les

degré de bien-être physique, mental et social des risques d’accidents susceptibles de se produire lors de

travailleurs, dans tous les métiers. Elle vise en outre à l’exercice d’une activité professionnelle.

prévenir toute atteinte à la santé en raison des

conditions de travail et des facteurs de risque, et à 1.5 Système de gestion de la santé et sécurité au

adapter le travail au travailleur en fonction de ses travail: C’est un ensemble d’éléments en interaction dont

aptitudes et capacités. l’objet est d’établir une politique et des objectifs de sécurité

et de santé au travail ; ce sont aussi les mécanismes et


1.3 Risques professionnels: c’est la probabilité selon
actions nécessaires pour atteindre ces objectifs. Ils sont
laquelle l’exposition à un facteur environnemental
intrinsèquement liés au concept de responsabilité sociale des
dangereux, au travail peut causer une maladie ou une
entreprises visant à faire prendre conscience de la nécessité
lésion.
d’offrir de bonnes conditions de travail, afin d’améliorer

1.4 Danger: C’est toute menace d’accident ou d’atteinte d’une part la qualité de vie des travailleurs, et d’autre part

à la santé. de promouvoir la compétitivité des entreprises sur le

marché.
2. LA RÉGLEMENTATION
EN MATIÈRE DE SANTÉ ET
SÉCURITÉ AU TRAVAIL
1. LE CADRE JURIDIQUE

Le cadre juridique de la santé et de la sécurité


au travail est établi dans : le titre VI et les
articles 95 à 103 du code du travail et l’arrêté
N° 039 /MTPS /IMT du 26 novembre 1984
fixant les mesures générales de santé et de
sécurité sur les lieux de travail.

Le code du travail stipule que les conditions de santé et de sécurité sur le lieu du travail
sont définies par arrêté du ministère chargé du Travail, pris après avis de la Commission
nationale de santé et de sécurité au travail. Ces arrêtés assurent aux travailleurs, tout en
prenant en considération les conditions et contingences locales, des normes de santé et
de sécurité conformes à celles recommandées par l’Organisation Internationale du Travail
(OIT) et d’autres organismes techniques reconnus sur le plan international.
Sur le plan de la santé, le code de travail (Article 98) stipule le suivant : « Que toute
entreprise ou tout établissement de quelque nature que ce soit, public ou privé, laïc ou
religieux, civil ou militaire, y compris ceux rattachés à l’exercice de professions libérales
et ceux dépendant d’associations ou de syndicats professionnels, doit organiser un service
médical et sanitaire au profit de ses travailleurs ».
2. INSTITUTIONS PROFESSIONNELLES

Le code du travail du Cameroun a prévu trois institutions professionnelles chargées de


traiter des questions relatives aux conditions de travail. notamment :

INSTITUTIONS MISSIONS
- Étudier les problèmes concernant les conditions de travail, l’emploi, l’orientation
et la formation professionnelle, le mouvement des mains d’œuvre, la
COMMISSION NATIONALE
prévoyance sociale, etc.
CONSULTATIVE DU TRAVAIL
- Émettre les avis et de formuler des propositions sur la législation et la
réglementation
- Émettre toutes suggestions et tous avis sur la législation et la réglementation à
intervenir en ces matières ;
- Formuler toutes recommandations à l’usage des employeurs et des travailleurs,
des organismes assureurs et des divers départements ministériels, concernant
COMMISSION NATIONALE DE la protection de la santé des travailleurs ;
SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL - Faire toutes propositions concernant l’homologation des machines dangereuses
et les procédés de fabrication susceptibles de comporter des risques pour la
santé des travailleurs ;
- Effectuer ou participer à tous les travaux à caractère scientifique entrant dans
son champ d’activité.
Responsable de la mise en place des politiques gouvernementales en matière
d’assurance sociale.
LA CAISSE NATIONALE DE
La Caisse Nationale de Prévoyance Sociale accorde les prestations suivantes:
PRÉVOYANCE SOCIALE
prestations familiales, pensions vieillesse, d’invalidité et de décès; indemnisation en
cas d’accident du travail et de maladie professionnelle.
3. LE COMITÉ DE SANTÉ ET DE SÉCURITÉ AU TRAVAIL

Organisme consultatif intégré à un établissement ou à Cadre juridique


une entreprise visant à promouvoir le dialogue et la Conformément à l’article 98 du code du travail, la base
concertation entre l’employeur et les travailleurs dans le juridique pour le Comité d’Hygiène et de Sécurité au travail
domaine de la santé et de la sécurité au travail. (CHST) est l’ordonnance No. 039/MTPS/IMT en date du 26
Novembre 1984 définissant les conditions d’hygiène et de
sécurité au travail.
Réunions du comité
Conformément aux dispositions du chapitre III, article 8 de
Le comité se réunit:
l’ordonnance susnommée, un CHST sera constitué au sein de
- Au moins une fois par trimestre : l’inspecteur du
tout établissement comptant au moins 50 travailleurs dont
travail doit être informé du jour et de l’heure de la
l’activité comporte des risques tels que décrits ci-dessous:
réunion pour pouvoir éventuellement y assister ;
- Catégorie A :Risque faible
- A la suite de chaque accident ou maladie
- Catégorie B : Risque moyen
professionnelle graves ;
- Catégorie C : Risque important (les entreprises/
- Sur demande motivée de deux de ses membres.
établissements de cette catégorie doivent avoir un
CHST, quelque soit le nombre de leurs travailleurs.)
4. Droits et responsabilités fondamentaux en matière de
SST applicables dans le contexte du COVID-19/OIT
Employeurs Travailleurs et leurs représentants

- Recevoir une information et une formation appropriées dans le


domaine de la sécurité et de la santé au travail (C155, art. 19
(c,d));
- Faire en sorte que, dans la mesure où cela est raisonnable et - Se retirer d’une situation de travail dont ils ont un motif
pratiquement réalisable, les lieux de travail, les machines, les raisonnable de penser qu’elle présente un péril imminent et
matériels, les procédés de travail et les agents placés sous grave pour leur vie ou leur santé et être protégés contre des
leur contrôle ne présentent pas de risque pour la santé (C155, art. conséquences injustifiées (C155, art. 13);
16 (1,2)); - Être consultés et coopérer avec l’employeur dans le domaine de la
- Fournir, en cas de besoin, un équipement de protection approprié sécurité et de l’hygiène du travail (C155, art. 19 (a, b, e));
(C155, art. 16 (3)), sans frais pour le travailleur (R164, paragr. 10 - Prendre un soin raisonnable de leur propre sécurité et de celle
(e)); des autres personnes susceptibles d’être affectées par leurs
- Prévoir, en cas de besoin, des mesures permettant de faire face actions ou leurs omissions au travail (R164, paragr. 16 (a));
aux situations d’urgence et aux accidents (C155, art. 18); - Se conformer aux instructions pour la sécurité et la santé au
- Faire en sorte que les travailleurs et leurs représentants soient travail (R164, paragr. 16 (b));
consultés, informés et formés dans le domaine de la sécurité et de - Utiliser correctement les dispositifs de sécurité et les équipements
la santé au travail (C155, art. 19). de protection (R164, paragr. 16 (c));
- Signaler toute situation pouvant présenter un risque, et tout
accident ou atteinte à la santé survenant au travail ou ayant un
rapport avec celui-ci (R164, paragr. 16 (d, e))
3. LES RISQUES
PROFESSIONNELS
Les situations de risque les plus fréquentes
1. LES RISQUES PROFESSIONNELS

Risques Facteurs Métiers à risque Symptômes et effets sur la


santé
Agrochimiques, gaz, vapeurs, poussières, Industrie du bois, industrie Irritations cutanées, brulures, maux de
brumes, fumées, etc, métallurgique, industrie agricole tête, nausées, vomissements,
Risques chimiques intoxication chroniques pouvant
toucher le système nerveux, le foie ou
le système respiratoire.
Virus, bactéries, champignons, rickettsies, Industrie agro-alimentaire, Allergies (cutanées, rhinites ou
Risques biologiques parasites, vecteurs, etc. industrie agricole, industrie du asthme), infections cutanées ou
bois, vétérinaire pulmonaires, maladie de lyme.
Manutention de charges, postures fixes L’ensemble des métiers Inconfort, fatigue, douleur
pendant plus de 2h, mouvements TMS pouvant affecter les différentes
Risques ergonomiques répétitifs, utilisation d’équipements de articulations
travail qui limite les changements de
position, etc.
Risques Facteurs Métiers à risque Symptômes et effets sur
la santé
tous les facteurs liés aux objets, machines, équipements, Industrie du bois, Coupures ou brulures,
outils, pouvant causer des accidents du travail, que ce coincement ou écrasement des
soit en raison du manque de maintenance préventive doigts ou des mains, blessures
et/ou corrective, de l’absence d’un dispositif de sécurité graves (amputation d’un
Risques mécaniques
dans un système de transmission de force, de parties membre)
mobiles, saillantes dans un objet, de l’absence d’outils
appropriés ou d’éléments de protection individuelle.

Travail sur un escabeau/échelle en ayant les bras Industrie de la construction, Douleur, entorse/fracture
chargés(Ex. pour manipuler les marchandises), préposé (e) au nettoyage des
Risques de chutes de équipement inadapté à la tâche/ mauvais état, absence revêtements extérieures,
hauteur et de plain- d’EPI, etc. préposée aux marchandises
pied Déplacements à effectuer les bras chargés, chaussures L’ensemble des métiers
inadéquates pour la tâche (absence de semelles
antidérapantes), etc.
Risques Facteurs Métiers à risque Symptômes et effets sur la santé
Bruit (absence d’équipement de Fabrication de produits Bruit (surdité, fatigue auditive, stress);
protection auditive, équipement en métalliques, industrie du températures (douleur, fatigue,
mauvais état/inadapté); bois, hypothermie, engelures, déshydratation,
Risques physiques: Bruit,
Températures ( vêtement ou coup de chaleur, malaise); vibrations
vibrations, rayonnements ionisants
équipement de travail inadapté, (douleurs au dos, hernie discale et
(haute et basse fréquence),
vent, humidité) arthrose; engourdissements, raideur dans
températures extrêmes (froideur,
Vibrations (mauvais ajustement du les mains, troubles circulatoires, etc.)
chaleur), pressions différenciées,
siège, posture inconfortable durant
etc.
la conduite, présence de froid et
d’humidité, nécessité d’exercer une
force sur l’outil…)
Mauvaise organisation du travail L’ensemble des métiers Anxiété, troubles du sommeil, fatigue,
(rotation, pauses), surcharge consommation d’alcool/drogue, troubles
Risques psychosociaux
mentale, stress, cumul de psychiques, problèmes de santé mentale
différentes situations, etc.
Matériel de stockage inadapté à la Manutentionnaire, préposée Heurts, écrasements des mains ou des
Risques liés aux chutes
charge, produits stockés de façon aux marchandises pieds, fractures
d’objets
instable
Risques Facteurs Métiers à risque Symptômes et effets sur la
santé
Utilisation d’appareils électriques L’ensemble des métiers Brulures, électrisation voire électrocution
vétustes, travail dans un local où
Risques électriques l’installation électrique est défectueuse,
travail à proximité d’une machine en
maintenance
Taches à effectuer: dans une chambre Anoxie en raison du manque d’oxygène,
Risques liés au travail en
froide, à l’intérieur d’un silo… intoxication à la suite de l’inhalation de
espace clos
substances toxiques
Risques d’incendie ou Présence de matières combustibles Inflammation, explosion
d’explosion
2. L’AVENIR DE LA SÉCURITÉ ET DE LA SANTÉ AU TRAVAIL

Comment le domaine de la SST répond à ces défis et


opportunités transformationnels?

- L’anticipation des nouveaux risques;

- Une gestion pluridisciplinaire de la SST;

- Renforcement des compétences en matière de SST;

- Élargir ses horizons;

- Prôner une SST centrer sur l’humain;


3. LE MANAGEMENT SST À L’HEURE DU DIGITAL…

Le digital améliore l’efficacité des processus


opérationnels de l’entreprise.

L’efficacité opérationnelle consiste à effectuer les


mêmes activités que ses concurrents, mais mieux.
L'efficacité opérationnelle comprend un certain nombre
de pratiques qui permettent à un entreprise de mieux
utiliser ses intrants, par exemple, en réduisant les
défauts dans ses produits ou en développant de
meilleurs produits plus rapidement. En revanche, le
positionnement stratégique signifie effectuer des
activités différentes de celles de ses concurrents ou
exécuter des activités similaires de différentes
manières. " [Michael PORTER, Competitive
Strategy]
4. NOS OFFRES
SERVICES: EN PLUS:
 Évaluation des risques professionnels  Fourniture des équipements de protection

(document unique); individuelle;


 Signalisation et signalétique;  Fourniture des masques (chirurgicaux,

 Sécurité incendie; ffp2,…)


 Établissement de plan d’urgence;  Fourniture des gels hydroalcooliques;

 Audit HSE tierce partie;  Analyse du bruit et des fumées, des

 Veille réglementaire SST via une solution poussières.

logicielle.

FORMATIONS:
 Élaboration des tableaux de bord;
 Mise à niveau des systèmes de
management QSE;
 Gestion des déchets
 Manipulation logicielle des métiers de
l’ingénierie.
ÉTUDES ENVIRONNEMENTALES

 Traitement des eaux usées;


 Gestion des déchets (expertise et
accompagnement);
 Etudes de dangers;
 Etudes d’impacts/audits environnemental et social;
 Permis environnemental;
 Notice d’impact environnemental;
 Études de modélisation des effets
dangereux/catastrophes (déversement, pollution
atmosphérique, explosion, incendie)

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