Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Professeur, NYU
Membre, Académie Française
Nommée pour le Prix Nobel
Assia Djebar
• Née dans la bourgeoisie.
• Une des premières femmes algériennes instruites en France.
• Pendant ses études elle a commencé à écrire:
• 1957: Première roman “La Soif”, sur le colonialisme de France en Algérie.
• Elle a pris un “nom de plume”
• Le changement de nom de crainte que sa famille ne lui accepterait pas.
• Le changement de son date de naissance, et coupage de ses cheveux.
Le drapeau
vert: espoir, bonheur
blanc: paix, honnêteté
rouge: signe muselman
“Il n’y a pas d’exil” -- D’ou vient-il?
• Un des histoires de son plus grand oeuvre:
“Les Femmes d’Alger dans Leur appartement “
• C’est l’histoire d’une famille exilée d’algerie, qui était riche en algerie, mais
pauvre à Tunis.
• C’est un jour ordinaire sauf qu’une des filles recevra une proposition de
mariage disposé.
• Au même temps, pendant le jour entièr, les voisins pleurent les lamentations
de la mort de leur fils.
• La famille discutent la mort, le mariage, l’exil, et les roles des femmes, tout le
temps avec le bruit de prières, de deuil, et des chants des voisins
• Aprés les femmes de mariage sont parties, la narratrice ne veut pas se marier.
Élements d’analyse du text
– Le Post-colonialisme: théorie littéraire, qui fournit des outils critiques
permettant d'analyser les écrits produits par les auteurs issus des pays qui ont
une histoire de colonisation.
– La Structure: Narration franc, dans le présent, et avec passé simple et
imparfait. Je remarque que le récit est simple, mais le contenu ext complexe!
• Métaphor—ligne 252:
“…dans les couloirs déserts du passé…”
• L’ironie—ligne 306:
“Je connaissais mon rôle pour l’avoir déjà joué; rester ainsi muette, paupières baissés et me
laisser examiner avec patience jusqu’à la fin: c’était simple. Toute est simple, pour une fille
qu’on va marier.”
Vocabulaire à retinir
Questions eventuelles
• Pourquoi la mère répete-t-elle la phrase:
“Que Dieu nous garde toujours à l’abri!”