PRIX MONTALEMBERT 2008 DU PREMIER ROMAN DE FEMME

Le Prix Montalembert du premier roman de femme est né de la rencontre entre la

recherche et les professionnels de l’édition, autour de la création littéraire
féminine contemporaine francophone*.
Il est co-organisé par l’hôtel Montalembert, haut lieu du Paris littéraire, et l’unité
de recherche « Ecritures de la modernité » (CNRS/Université de la Sorbonne
Nouvelle).

L’organisation du prix Montalembert

L’édition 2008 est organisée par Dominique Simon, chargée de communication au CNRS,
membre de l’unité de recherche « Ecritures de la modernité »,  Myriam Kournaf, directeur de
l’hôtel Montalembert et son équipe, avec le soutien de la journaliste Anne Éveillard.

Les livres en compétition**

Les livres en compétition pour l’édition 2008 sont des premiers romans écrits par des femmes, en
langue française, et publiés entre septembre 2007 et mars 2008.

Ils sont sélectionnés par les doctorants du centre de recherches en études féminines et de genres,
dirigé par Mireille Calle-Gruber. Le centre est une composante d’« Écritures de la modernité »,
dont plusieurs chercheurs comme Anne Simon (CNRS), Audrey Lasserre (doctorante), et Michel
Collot (Directeur), ont contribué à la réussite de cette initiative.

Le jury de l’édition 2008

Après Marc Lévy (2006), puis Irène Frain (2007) le jury 2008 est présidé par Philippe Tesson.
Il est composé des écrivains Irène Frain, Tatiana de Rosnay et Justine Lévy, de la chef
d’entreprise Apollonia Poilâne, et d’Anaïs Frantz, doctorante.

Les quatre livres de la sélection finale** du jury sont :

« Corps volatils » de Jakuta Alikavosovic

« La Donation » de Florence Noiville
« Pas ce soir, je dîne chez mon père » de Marion Ruggieri
« Regard Persan » de Sara Yalda

La lauréate de l’édition 2008, qui succèdera ainsi à Léonora Miano pour « L’Intérieur de la
nuit » (Plon) et à Emily Tanimura pour « La Tentation de l’après » (Gallimard), sera connue le
jeudi 19 juin à 20 heures.

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 PRIX MONTALEMBERT 2008 DU PREMIER ROMAN DE FEMME

* La création du prix Montalembert

Dominique Simon, chargée de communication au CNRS et Fabrice Bonardi, auteur et chargé

de mission au Conseil supérieur de la recherche et de la technologie, dont la complicité littéraire
s’est renforcée autour de la création du Concours de la « nouvelle George Sand » en 2004,
s’efforcent depuis de soutenir la jeune création littéraire.

L’impressionnant succès d’un café­débat réunissant en janvier 2006 à l’Entrepôt (Paris 14ème) 
chercheurs et auteurs autour du « premier roman » les a convaincus de pérenniser l’initiative en 
créant   un   prix   littéraire.   Leur   rencontre   avec  Myriam   Kournaf,  directrice   de   l’hôtel 
Montalembert, et Anne Eveillard a permis de fonder la même année le Prix Montalembert.

Afin   de   soutenir   la   « Nouvelle   George   Sand »,  le   prix   Montalembert   et   d’autres   initiatives, 
Dominique Simon et Fabrice Bonardi ont fondé l’association « les écrits viennent ».

Un prix ambitieux…

Les objectifs qui ont sous-tendu la création du Prix Montalembert sont de montrer les liens entre
recherche et création littéraire et artistique contemporaine, et de soutenir la création littéraire en
langue française et en particulier la création littéraire féminine. Le Prix doit aussi favoriser le
rapprochement entre les acteurs de la recherche en littérature - en particulier les doctorants - et
les professionnels de l’édition, journalistes et personnalités du monde littéraire. Il met par ailleurs
en évidence le rôle dynamique de l’équipe de recherche Écritures de la modernité, qui associe
l’université Paris 3 Sorbonne nouvelle et le CNRS.

** La sélection 2008

Parmi la vingtaine de romans retenus par le comité de lecture créé par « Ecritures de la
modernité », le jury avait d’abord sélectionnés les romans suivants :

« Corps volatils » de Jakuta Alikavozovic ;

« Sponsors » de Géraldine Beigbeder
« Je suis morte et je n’ai rien appris » de Solenn Colleter ;
« Telle une abeille » d’Isabelle Girard
« La vie sur terre » de Dorothée Janin ;
« L’Obscur » de Jeanne Labrune ;
« La Donation » de Florence Noiville
« Pas ce soir, je dîne chez mon père » de Marion Ruggieri
« Regard Persan » de Sara Yalda

Dominique Simon, Chargée de communication au CNRS, est membre d’ « écritures de la modernité ».

Contact : dominique.simon@univ-paris3.fr

Fabrice Bonardi, auteur de l’ombre au tableau (l’Harmattan 2005), est chargé de mission au Conseil

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supérieur de la recherche et de la technologie

Infos et contact : www.bonardi-fabrice.com ; fabricebonardi@hotmail.com

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