MCD

Modèle Conceptuel de Données
Objectif Approche intuitive Définitions et formalisme Occurrence Identifiant Cardinalités CIF Finalisation
Objectif
Les données sont les éléments constituant le système
d’information. Ces éléments n’ont de sens que dans le
contexte étudié.
Avec l’étude de l’existant, nous avons un ensemble de données
et des liens qui existent entre les données
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Objectif
Les données donneront naissance aux propriétés (attributs)
qui sont les constituants de base de la modélisation des
données.
L’objectif du Modèle Conceptuel des Données (MCD) est
de représenter l’ensemble des données et des liens qui
existent entre elles grâce à un schéma.
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Le MCD appelé aussi modèle entité/association s’articule autour

de trois grands concepts :
La propriété ou l’attribut
L’entité définie par des propriétés.
La relation ou l’association qui exprime un lien entre des
entités.
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Approche intuitive : exemple

Dans un établissement scolaire, nous avons recensé les données
suivantes :
Adresse élève
Classification matière
Niveau classe
Nom classe
Nom élève
Nom matière
Nom professeur
Nombre d’élèves d’une classe
Nombre d’heures d’une matière enseignées par un professeur dans une classe
Moyenne d’un élève dans une matière
Prénom élève
Prénom professeur
Type professeur
RG1 : Un élève appartient à une classe
RG2 : élève, matière → moyenne
Comment représenter l’ensemble de ces données dans un schéma ?
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Nous avons regroupé les données qui permettent de définir une

entité. Nous avons ainsi obtenu les entités :
CLASSE,
MATIERE,
PROFESSEUR
ELEVE
On dira que l’entité ELEVE est définie par les propriétés nom
élève , prénom élève et adresse élève .
Problème : il reste des données par exemple moyenne . Une

moyenne seule n’a pas de sens (15 ?). Je ne peux pas ajouter cette
moyenne à l’entité ELEVE ni à l’entité MATIERE.
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Cette propriété moyenne n’a de sens que lorsque je

connais l’élève qui a obtenu cette moyenne et la matière
dans laquelle il l’a obtenue.
Nous allons donc créer une relation entre ELEVE et
MATIERE Avoir pour note qui aura comme propriété
moyenne d’un élève dans une matière .
La propriété Nombre d’heures d’une matière enseignées par un

professeur dans une classe sera portée par une relation qui
associera les entités MATIERE, PROFESSEUR et CLASSE.
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La règle de gestion Un élève appartient à une classe sera

exprimée par une relation entre les entités ELEVE et CLASSE.
Cette relation ne portera pas de propriété.
Cette représentation schématique correspond à un MCD.
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Définitions et formalisme
propriété : c’est le plus petit élément logique d’information

manipulé par l’entreprise.
entité : c’est un objet pourvu d’une existence propre, concret
ou abstrait, mais qui présente un intérêt pour le système
d’information étudié
relation : c’est la représentation d’une association entre
plusieurs entités. Elle n’a pas d’existence propre, celle-ci est
conditionnée par celle des entités qu’elle associe. Elle peut
avoir des propriétés ou non.
Ce formalisme permet de visualiser rapidement les entités et les

relations dégagées par le concepteur
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Exemple type d’une relation
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Remarques
On doit pouvoir donner un nom facilement à chaque entité.
Ce nom revient souvent dans la description du SI par les
utilisateurs
Une entité est décrite grâce à des propriétés
Chaque entité a au moins une propriété
Une même propriété ne doit figurer que sur un objet (entité
ou relation)
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Remarques
Une relation peut ne pas avoir de propriété.
Une relation peut associer plusieurs fois la même entité.
En général, les noms des entités sont des noms et le nom
des relations des verbes .
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Occurrence
Définition
Une occurrence est une valeur possible pour la notion dont il
est question.
L’occurrence d’une propriété est une valeur possible pour
cette propriété. Le nombre d’occurrences d’une propriété peut
être fini ou infini.
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Une occurrence d’une entité est un ensemble ayant une

existence propre d’occurrences de ses propriétés (une occurrence
par propriété).
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Remarques
Certaines occurrences de propriété peuvent être identiques
sur des occurrences différentes d’une même entité.
Toutes les propriétés d’une entité doivent avoir une
signification quelque soit l’occurrence de l’entité.
Aucune propriété ne peut prendre plus d’une valeur pour une
occurrence donnée d’une entité. Une entité ne doit pas
comporter de propriété répétitive.
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Exemple : à l’université chaque enseignant est en poste dans un

des départements.
Les enseignants vacataires ne sont pas en poste dans un
département. La propriété Nom département est sans
signification pour ces enseignants.
Certains enseignants sont en poste sur plusieurs composantes
(25% DEG, 75% lettres) dans ce cas la propriété est dite
répétitive.
Dans les 2 cas le MCD est FAUX
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Pour les propriétés sans signification, il faut créer une autre entité.
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Pour les propriétés répétitives il faut étudier le nombre maximum

de fois que la propriété peut être répétée. Si ce nombre est petit
(2, 3) on peut dupliquer la propriété.
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Sinon, si le nombre maximum de répétitions est grand ou non

connu, il faut créer une nouvelle entité comme pour les propriétés
sans signification.
Cette solution est la meilleure conceptuellement, dans la plupart

des cas.
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Occurrence relation
L’occurrence d’une relation est constituée :
d’une et une seule occurrence de chacune des entités que la
relation associe.
de l’occurrence des propriétés portées par la relation
correspondant à l’occurrence choisie des entités.
Exemple avec la relation suivante :
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Exemple
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(Dubois, Mathématique, 6) ; (Dubois, Français, 14) ; (Durand,

Français, 8) ; (Dupond, Français, 15) ; (Dupond, Mathématiques,
12)
Un élève peut ne pas être noté.

Une matière peut ne pas avoir été notée.
On ne peut conserver au plus qu’une note par élève et par
matière. (Dans la définition il a été dit que pour une occurrence de
la relation, il ne pouvait y avoir qu’une et une seule occurrence de
chacune des propriétés portées par la relation.)
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Comment faire pour conserver plusieurs notes par élève dans une
même matière ?
Solution 1 : dupliquer la propriété autant de fois qu’il peut y avoir

de notes pour un élève par matière.
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Solution 2 : analyser la cause de cette répétitivité et introduire un

objet la traduisant. Quelle information peut distinguer deux notes
obtenues par un élève dans une même matière ?
Le type du devoir
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La date où a été obtenue la note
La solution 2 est préférable dans la majorité des cas
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Remarque : une entité ne peut pas faire partie d’une relation

de façon optionnelle. Par exemple on ne peut pas conserver la
moyenne d’un élève avec la modélisation précédente.
Solution : ajouter une propriété moyenne à l’entité élève
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Notion d’identifiant
Identifiant
Toutes les occurrences d’une entité doivent être distinctes
par au moins une propriété.
Définition : un identifiant d’une entité est une propriété ou
un ensemble de propriétés de cette entité, permettant de
caractériser chacune de ses occurrences de façon unique
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Le concepteur doit se poser la question de l’identifiant.

Du fait de l’existence propre des entités, il sera toujours
possible de trouver un identifiant
Si celui-ci n’existe pas dans la liste des propriétés, il faudra
soit l’ajouter dans les propriétés, soit remettre en question la
modélisation
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Choix de l’identifiant : exemple

Si plusieurs identifiants existent dans une entité, on retiendra celui
qui est les plus adapté au domaine étudié.
l’entreprise donne un code unique à chaque employé.
chaque employé dispose d’un téléphone portable avec son
propre numéro
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Trois identifiants sont possibles : Numéro sécu, Code interne,

numéro de téléphone portable, (et peut- être même le couple
(nom, prénom)).
On ne doit pas utiliser le Numéro de sécu.
Le numéro de téléphone portable est possible si tous les
employés possèdent bien un portable.
Le code interne a été créé pour identifier les employés dans
cette entreprise.
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Identifiant d’une relation

Définition : l’identifiant d’une relation est le produit cartésien
(la concaténation) des identifiants des entités que la relation
associe
Il est nécessaire de s’assurer que l’identifiant d’une relation en
est bien un
Exemple : un élève peut avoir plusieurs notes dans une même

matière mais à des dates différentes
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(Toto, Maths, 15, 10/10/2003), (Toto, Maths, 12, 25/10/2003),

(Toto, Anglais, 14, 11/10/2003), (Durand, Anglais, 8,
11/10/2003), (Toto, Droit, 5, 25/10/2003)
2 relations possibles
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Les occurrences de la relation avoir pour note sont

correctes pour les 2 MCD.
Dans le premier cas, la relation a pour identifiant : (nom ele,
nom mat). Problème, ce n’est pas un identifiant pour la
relation car il existe 2 occurrences différentes de la relation qui
ont une valeur identique sur cet identifiant, le MCD est donc
faux.
La relation est identifiée par (nom ele, nom mat, date), c’est
le deuxième MCD qui est correct.
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Cardinalités
Cardinalités
Les cardinalités d’une entité dans une relation mesurent le
minimum et le maximum de sa participation à la relation
On peut utiliser la représentation en épaisseur du MCD
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Chaque élève participe combien de fois à la relation avoir

pour note ? On ne conserve que le min et le max.
Chaque matière est notée combien de fois ? (min,max)
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On obtient les cardinalités 0-2 pour ELEVE et 1-3 pour MATIERE.
Dans la pratique, il n’y a jamais la représentation en épaisseur de

toutes les occurences. Il faudra faire une estimation, en particulier
pour le maximum. Si celui-ci n’a pas de valeur précise on note n
.
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Un ELEVE aura combien de notes au minimum et au maximum ? 0

pour le minimum et un certain nombre non fixé pour le maximum
d’où n .
Une MATIERE sera notée combien de fois ? 0-n (Pour tous les
élèves).
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Cardinalités les plus fréquentes

La majorité des cardinalités sont les suivantes
0-1 : participe au plus une fois à la relation
1-1 : chaque entité participe une et une seule fois à la relation
1-n : chaque entité participe au moins une fois à la relation
0-n : chaque entité peut participer ou non plusieurs fois à la
relation
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Contrainte d’intégrité fonctionnelle
Définition
Une contrainte d’intégrité fonctionnelle (CIF) sur plusieurs entités
associées au sein d’une même relation, exprime que l’une des
entités est totalement identifiée par la connaissance des autres
Exemple : la relation d’appartenance entre un élève et une classe.

Le nom de la classe peut être vu comme une propriété d’un élève.
Une entité CLASSE est créée, il y a donc une CIF d’ELEVE vers
CLASSE
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Formalisme :
Remarques : Pour une relation de dimension 2, l’existence d’une

CIF est révélée par la présence d’une cardinalité 1- 1 (ou 0-1).
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Il peut y avoir des CIF entre plus de 2 entités. Pour les détecter, il
faut étudier les règles de gestion
CIF > 2 entités
CIF1 une classe, pour une matière a toujours le même
professeur.
CIF2 un professeur a au plus une matière par classe.
CIF3 un professeur n’enseigne pas deux fois la même matière
à des classes différentes.
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CIF
Les CIFs sont simplement l’expression des règles de gestions,mais
analysées à un niveau plus fin. Cela nous permet de nous
rapprocher d’un modèle acceptable par la machine
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Finalisation
Finalisation
Avec un MCD nous disposons de l’ensemble des données
manipulées par l’entreprise
Le MCD va servir à automatiser une partie du S.I. Il faut qu’il
soit le plus propre possible
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vérification du modèle
Les règles du formalisme doivent être respectées
Les propriétés ne seront pas codées
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Absence de propriété répétitive ou sans signification.

Règle : à une occurrence d’une entité (ou d’une relation) doit
correspondre une et une seule occurrence de chaque propriété.
Personne
Nom
Prénom
Date de naissance
Matière enseignée
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Existence d’un identifiant pour les entités et les relations.

Règle : Une occurrence d’une entité (ou d’une relation) peut-être
identifiée de façon unique grâce à l’occurrence de son identifiant.
Etudiant
Nom
Prénom
Date de naissance
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Dépendance pleine des entités dans les relations

Règle : Les propriétés portées par une relation doivent dépendre de
la totalité des entités associées par la relation.
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Respect des règles de gestion

Règle : L’ensemble des RG dégagées pendant l’étude de l’existant,
doit avoir été traduit dans le MCD. En particulier on vérifiera que
les cardinalités sont bien conformes aux RG
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La normalisation du modèle
Ici, il n’y a plus de règles strictes à vérifier, il faut réfléchir à une
modélisation qui évite le plus possible la redondance d’information
tout en restant fidèle aux règles de gestion.
52/58
Élémentarité des propriétés

Toutes les propriétés doivent être élémentaires par rapport aux
choix de gestion. Par exemple pour représenter une adresse :
La propriété : Adresse
Les propriétés :
Numéro
Adresse
Nom de rue
Code postal
Nom ville
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Dépendance pleine de l’identifiant

Une propriété portée par une entité (ou une relation) doit
dépendre de la totalité de l’identifiant de cette entité (ou
relation).
Exemple : une classe est reconnue par une filière et un numéro
de groupe. Elle possède un nombre d’élèves et des
conditions d’accès qui sont communes à toutes les classes
d’une même filière.
54/58
La décomposition du modèle
Il faut éviter de faire des relations de grande dimension. Il faut
chercher dans ce cas à les diminuer par la présence de CIF.
55/58
La quantification du modèle
C’est une estimation de la place que va occuper la base de données
correspondant au MCD
56/58
Conclusion
Construction d’un MCD

identifier les propriétés
dégager des entités
attribuer les propriétés
Définir les associations (avec leurs propriétés)
Noter les CIF
57/58
Bibliographie
Cours Base de données J.Chambin
Cours J.M. Couvreur
58/58

MCD

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Modèle Conceptuel de Données

Le MCD appelé aussi modèle entité/association s’articule autour

Approche intuitive : exemple

Nous avons regroupé les données qui permettent de définir une

Problème : il reste des données par exemple  moyenne . Une

Cette propriété  moyenne  n’a de sens que lorsque je

La propriété  Nombre d’heures d’une matière enseignées par un

La règle de gestion  Un élève appartient à une classe  sera

Cette représentation schématique correspond à un MCD.

propriété : c’est le plus petit élément logique d’information

Ce formalisme permet de visualiser rapidement les entités et les

Exemple type d’une relation

Une occurrence d’une entité est un ensemble ayant une

Exemple : à l’université chaque enseignant est en poste dans un

Pour les propriétés répétitives il faut étudier le nombre maximum

Sinon, si le nombre maximum de répétitions est grand ou non

Cette solution est la meilleure conceptuellement, dans la plupart

Exemple avec la relation suivante :

(Dubois, Mathématique, 6) ; (Dubois, Français, 14) ; (Durand,

Un élève peut ne pas être noté.

Solution 1 : dupliquer la propriété autant de fois qu’il peut y avoir

Solution 2 : analyser la cause de cette répétitivité et introduire un

La date où a été obtenue la note

La solution 2 est préférable dans la majorité des cas

Remarque : une entité ne peut pas faire partie d’une relation

Le concepteur doit se poser la question de l’identifiant.

Choix de l’identifiant : exemple

Trois identifiants sont possibles : Numéro sécu, Code interne,

Identifiant d’une relation

Exemple : un élève peut avoir plusieurs notes dans une même

(Toto, Maths, 15, 10/10/2003), (Toto, Maths, 12, 25/10/2003),

Les occurrences de la relation  avoir pour note  sont

On peut utiliser la représentation en épaisseur du MCD

Chaque élève participe combien de fois à la relation  avoir

On obtient les cardinalités 0-2 pour ELEVE et 1-3 pour MATIERE.

Dans la pratique, il n’y a jamais la représentation en épaisseur de

Un ELEVE aura combien de notes au minimum et au maximum ? 0

Cardinalités les plus fréquentes

Contrainte d’intégrité fonctionnelle

Exemple : la relation d’appartenance entre un élève et une classe.

Remarques : Pour une relation de dimension 2, l’existence d’une

Absence de propriété répétitive ou sans signification.

Existence d’un identifiant pour les entités et les relations.

Dépendance pleine des entités dans les relations

Respect des règles de gestion

Élémentarité des propriétés

Dépendance pleine de l’identifiant

d’une même filière.

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Les occurrences de la relation avoir pour note sont

Chaque élève participe combien de fois à la relation avoir