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Mars 2007
DÉNI DE RESPONSABILITÉ
Citect Pty Ltd n’offre aucune représentation ou garantie concernant le présent manuel et, dans la mesure autorisée par la loi, limite expressément
toute garantie implicite à son remplacement. Citect Pty Ltd se réserve en outre le droit de réviser cette publication à tout moment sans avoir à en
aviser quiconque.
COPYRIGHT
© Copyright 2007 Citect Pty Ltd. Tous droits réservés.
MARQUES DE COMMERCE
Citect Pty. Limited a fait tout son possible pour fournir des informations sur les marques de commerce des noms de société, produits et services cités
dans le présent manuel.
Citect, CitectHMI et CitectSCADA sont des marques déposées de Citect Pty Ltd.
IBM, IBM PC et IBM PC AT sont des marques déposées de International Business Machines Corporation.
MS-DOS, Windows, Windows NT, Microsoft et Excel sont des marques de commerce ou des marques déposées de Microsoft Corporation, aux États-
Unis et/ou dans d’autres pays.
Digiboard, PC/Xi et COM/Xi sont des marques de commerce de Digi International Inc..
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Tous les autres noms de marques ou de produits mentionnés dans ce document sont des marques de commerce ou des marques déposées de leurs
propriétaires respectifs.
REMARQUE GÉNÉRALE
Certains noms de produits cités dans le présent manuel sont utilisés à des fins d’identification uniquement et peuvent être des marques de commerce
de leurs propriétaires respectifs.
À propos de CitectSCADA
Outils CitectSCADA
Outils de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
Outils d’exécution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
Pilotes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
Scénarios typiques
Système autonome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Système d’E/S distribué . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Système client-serveur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Système de serveurs redondants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
Système de contrôle à clusters . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
Sous-système de contrôle fiable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
2 Contenu
Accès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 428
Introducing CSV_Include
Where to Find Information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 901
Pages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 929
Pages graphiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 930
Exécution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 930
Tendances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 931
Contrôles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 932
Alarmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 933
Divers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 935
À propos de CitectSCADA
Assistance technique
Veuillez noter les points suivants concernant l’Assistance technique disponible
pour votre produit CitectSCADA.
Assistance Citect
Des contrats de maintenance et d’assistance Citect sont disponibles pour
protéger votre investissement logiciel CitectSCADA. Pour souscrire un tel
contrat, dont le prix dépend du prix de catalogue de votre système
CitectSCADA, contactez votre représentant local Citect.
Citect offre toute une gamme de services d’assistance; pour en savoir plus,
consultez http://www.citect.com/support ou votre représentant Citect. Après
avoir reçu votre commande pour un contrat de maintenance et d’assistance,
vous recevrez un numéro de site et une liste de tous les numéros de série des clés
de protection, que vous devez communiquer lorsque vous contactez l’Assistance
Citect. Un numéro de site ou de clé de protection permet à l’équipe d’Assistance
Citect de fournir des services de qualité en effectuant un suivi de vos demandes
de services clients.
Avant d’appeler l’Assistance Citect
Remplissez le formulaire de demande d’assistance CitectSCADA et CitectHMI
sur le site web Citect à http://www.citect.com.
Si vous ne savez quelles coordonnées utiliser, envoyez un message à
support@citect.com.
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Coordonnées
Amériques Les coordonnées de Citect en Amérique du Nord sont les suivantes :
Adresse 30000 Mill Creek Avenue, Suite 300, Alpharetta, GA 30022, USA.
Téléphone 888-CITECT-1 (888-248-3281) ou 770-521-7511
Service commercial (email) sales-americas@citect.com
Service d’assistance (email) support-americas@citect.com
Outil de migration L’outil de migration est une application indépendante que vous devriez lancer
manuellement après avoir exécuté la mise à niveau automatique et après avoir
préparé votre projet en vue de sa migration finale. Cet outil tient compte des
modifications critiques apportées dans la version 7.
Variables locales Les variables locales permettent de stocker des données en mémoire lorsque
vous lancez votre système superviseur. Elles sont créées au démarrage du
système et ne gardent pas leur valeur lorsque vous l’arrêtez.
Les variables locales sont utiles lorsque chaque processus doit avoir une copie
des données. Chaque processus a sa propre copie de chaque variable locale
configurée dans le projet et les valeurs de la variable locale sont uniquement
disponibles dans le processus qui les a écrites.
Voir aussi Configuration des variables locales
Publication des Les périphériques d’alarme étaient précédemment définis comme des
propriétés des alarmes périphériques en entrant « Alarme » dans le champ Protocole. La fonction de ses
périphériques est maintenant configurée sur un serveur d’alarmes en affectant la
valeur Vrai à la propriété « Publication des propriétés des alarmes ».
Voir aussi Définition d’un serveur d’alarmes
Modes mémoire et Les périphériques d’E/S peuvent dorénavant être configurés pour fonctionner en
persistant mode mémoire ou en mode persistant :
Mode mémoire
Un périphérique d’E/S fonctionnant dans ce mode est créé en mémoire et ses
valeurs sont stockées en mémoire en phase d’exécution.
Les périphériques utilisant ce mode ne sont connectés à aucun équipement
et écrivent leurs valeurs dans une antémémoire. Le mode mémoire est utile
lorsque vous configurez un système pour la première fois car il permet de le
tester avant de le connecter à un périphérique d’E/S physique.
Remarque : Le mode mémoire remplace les périphériques d’E/S en mémoire
qui ne sont plus pris en charge. Les périphériques configurés dans
CitectSCADA en tant que périphériques d’E/S en mémoire seront convertis
en variables locales lors de la mise à niveau vers la version 7.0.
Mode persistant
Lorsqu’un périphérique d’E/S fonctionne en mode persistant, la valeur de
chaque variable de ce périphérique est stockée sur le disque dur de
l’ordinateur. Cela signifie que les dernières valeurs sont immédiatement
disponibles lorsque vous redémarrez votre système après une défaillance ou
un arrêt.
Le mode persistant est utile pour sauvegarder des informations d’état ou
des données prédéfinies requises dès le démarrage du système.
Voir aussi Utilisation des modes mémoire et persistant
Modifications en ligne La version 7.0 permet de modifier les communications d’E/S, les tags, les
alarmes, les tendances, les rapports, les accumulateurs et les graphiques sans
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Modèle éditeur- CitectSCADA utilise dorénavant un modèle d’acquisition des données de type
souscripteur Éditeur-souscripteur. Les ordinateurs clients souscrivent à des tags configurés et
sont avisés lorsque les valeurs des tags changent. Les fonctions Cicode peuvent
également être déclenchées par la modification d’un tag, éliminant ainsi le
besoin d’interrogation tout en améliorant l’efficacité du système CitectSCADA.
Voir aussi TagSubscribe
TagUnsubscribe
Prise en charge des Les précédentes versions de CitectSCADA prenaient en charge les réseaux
réseaux redondants redondants par le biais de NetBIOS. À partir de la version 7.0, les utilisateurs
peuvent spécifier plusieurs adresses IP pour chaque serveur et offrir ainsi une
prise en charge native de la redondance des réseaux.
Configuration des Dans la version 7.0, la topologie du projet est intégrée à celui-ci et la
réseaux fondée sur les configuration du réseau peut être réalisée à l’aide de l’Éditeur de projets. Les
serveurs et leurs adresses IP sont configurés dans la boîte de dialogue Adresses
projets
réseaux de l’Éditeur de projets.
Cela signifie que les ordinateurs physiques du système peuvent être facilement
remplacés. Toute nouvelle machine pourra immédiatement assumer le rôle de
celui qu’elle remplace tant que son adresse IP ou son nom d’ordinateur restent
inchangés.
Fonctions Cicode de la Les sections suivantes détaillent les modifications apportées aux fonctions
version 7.0 Cicode de la version 7.0 de CitectSCADA :
Nouvelles fonctions
Fonctions abandonnées
Fonctions modifiées
Nouvelles fonctions
Les fonctions suivantes ont été ajoutées à la version 7.0 :
Fonctions diverses
AccControl Contrôle les accumulateurs, par exemple heures de fonctionnement d’un
moteur.
AccumBrowseClose Ferme une session de navigation des accumulateurs.
AccumBrowseFirst Récupère le premier accumulateur.
AccumBrowseGetField Récupère le champ indiqué par la position du curseur dans la session de
navigation.
AccumBrowseNext Récupère l’accumulateur suivant dans la session de navigation.
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Fonctions de clusters
ClusterActivate Permet à l’utilisateur d’activer un cluster inactif.
ClusterDeactivate Permet à l’utilisateur de désactiver un cluster actif.
ClusterFirst Permet à l’utilisateur de récupérer le premier cluster configuré dans le projet.
ClusterIsActive Permet à l’utilisateur de déterminer si un cluster est actif.
ClusterNext Permet à l’utilisateur de récupérer le cluster suivant configuré dans le projet.
ClusterServerTypes Permet à l’utilisateur de déterminer quels serveurs sont définis pour un
cluster donné.
ClusterStatus Permet à l’utilisateur de déterminer l’état de connexion entre un client et un
serveur sur un cluster.
ClusterSwapActive Permet à l’utilisateur de désactiver un cluster actif tout en activant un cluster
inactif.
Fonctions de tendance
TrnBrowseClose Ferme une session de navigation des tendances.
TrnBrowseFirst Récupère la première tendance.
TrnBrowseGetField Récupère le champ indiqué par la position du curseur dans la session de
navigation.
TrnBrowseNext Récupère la tendance suivante dans la session de navigation.
TrnBrowseNumRecords Retourne le nombre d’enregistrements dans la session de navigation
courante.
TrnBrowseOpen Ouvre une session de navigation des tendances.
TrnBrowsePrev Récupère la tendance précédente dans la session de navigation.
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Fonctions de rapports
RepGetCluster Récupère le nom du cluster sur lequel est exécuté le rapport.
Fonctions abandonnées
Les fonctions suivantes ne sont plus prises en charge à compter de la version 7.0.
Si votre projet les utilise, une erreur sera produite lors de sa compilation.
Fonctions d’affichage
DspCol Affiche une couleur à un point d’animation (AN).
Fonctions de tâches
ReRead Oblige CitectSCADA à relire les données du périphérique d’E/S associées à
la tâche Cicode courante.
Fonctions modifiées
Les fonctions suivantes ont été modifiées pour utiliser les clusters :
Fonctions d’alarme
AlarmAck Acquitte les alarmes.
AlarmActive Détermine si des alarmes sont actives dans la zone de l’utilisateur.
AlarmClear Supprime les alarmes acquittées et inactives dans la liste des alarmes
actives.
AlarmDelete Supprime des entrées de l’historique d’alarme.
AlarmDisable Désactive des alarmes.
AlarmDsp Affiche des alarmes.
AlarmDspLast Affiche les alarmes non acquittées les plus récentes.
AlarmEnable Active des alarmes.
AlarmNotifyVarChange Active une alarme numérique ou analogique horodatée.
Fonctions diverses
AccControl Contrôle les accumulateurs, par exemple heures de fonctionnement d’un
moteur.
Shutdown Arrête CitectSCADA.
Fonctions de rapports
RepGetControl Récupère des informations de contrôle des rapports.
Report Exécute un rapport.
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Fonctions de tâches
MsgOpen Ouvre une session de messages avec un serveur ou client CitectSCADA.
Fonctions de tendance
TrendDspCursorTag Affiche le nom de tag de la plume courante.
TrnEventSetTable Définit des données de tendance à partir d’un tableau pour un tag de
tendance donné.
TrnEventSetTableMS Définit des données de tendance d’événement et des données temporelles
(millisecondes comprises) pour un tag de tendance donné.
TrnFlush Envoie la tendance sur disque.
TrnGetDefScale Récupère les échelles minimales et maximales de travail d’un tag de
tendance.
TrnGetPen Récupère le tag de tendance d’une plume.
TrnGetTable Stocke des données de tendance dans un tableau.
TrnInfo Récupère les valeurs configurées d’un tag de tendance.
TrnNew Crée une nouvelle tendance en phase d’exécution.
TrnSelect Définit une page pour une tendance.
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Pour mettre votre projet à niveau pour l’utiliser avec la version 7.0 de
CitectSCADA, vous devrez :
Configurer les périphériques d’E/S
Avant de procéder à la mise à niveau, vérifier que tous les périphériques
d’E/S sont convenablement configurés pour exécuter le projet.
Définir des clusters
Des clusters peuvent dorénavant être définis. Le projet doit être configuré
pour utiliser au moins un cluster.
Configurer les adresses de réseau
Les adresses de réseau et les ports des ordinateurs devant être utilisés
comme serveurs sont dorénavant définis dans le projet.
Configurer les serveurs
Les serveurs d’alarmes, de rapports, de tendances et d’E/S sont dorénavant
définis dans le projet.
Configurer les tags pour utiliser le clustering
Les alarmes, les rapports, les tendances, les tags SPC et les accumulateurs
peuvent dorénavant être configurés pour être exécutés dans un cluster
spécifique.
Remarque : Si vous utilisez la Version 5.5 de CitectSCADA, veillez à convertir
vos projets au format de la version 6.x avant de passer à la version 7.0.
Voir aussi Procédures de mise à niveau
Configurer les Le processus de mise à niveau veille à ce que la fonctionnalité de votre projet soit
périphériques d’E/S compatible avec la version 7.0. Il est possible que des parties de la configuration
de votre projet soient modifiées lors de la mise à niveau. Il est donc important de
vérifier que votre projet est configuré comme vous le désirez avant de procéder
à la mise à niveau.
En particulier, les périphériques d’E/S en mémoire définis dans votre projet
(utilisant le port MEMORY) seront configurés dans le projet mis à niveau
comme des variables locales, car ces périphériques ne sont plus pris en charge.
Les variables locales offrent la même fonctionnalité que les périphériques d’E/S
en mémoire sans nécessiter de configuration particulière.
Toutefois, cela signifie également que si des périphériques d’E/S sont
temporairement définis comme des périphériques d’E/S en mémoire à des fins
de test ou de simulation, ceux-ci seront incorrectement configurés comme
variables locales lors du processus de mise à niveau. Veillez donc à configurer
correctement ces périphériques avant de procéder à la mise à niveau vers la
version 7.0.
Pour cela, lisez d’abord les informations fournies aux rubriques Configuration
des variables locales et Utilisation des modes mémoire et persistant. Elles
fournissent des détails sur les variables locales et les autres options de
périphériques d’E/S qui remplacent les périphériques d’E/S en mémoire, de
sorte que vous puissiez sélectionner et configurer correctement votre projet.
Voir aussi Exécuter l’installateur Citect
Pour configurer une variable locale :
Utilisation des modes mémoire et persistant
Exécuter l’installateur Pour lancer la mise à niveau, exécutez l’installateur de la version 7.0 de
Citect CitectSCADA. Celui-ci vous guidera à travers plusieurs étapes jusqu’à ce que
l’installation soit terminée.
Remarque : Veillez à désinstaller la version 6.x avant d’installer la version 7.0,
car CitectSCADA ne permet pas l’exécution parallèle de versions différentes.
Par ailleurs, pour utiliser les projets Example et CSV_Example de la version 7.0,
il est recommandé d’effacer les projets Example et CSV_Example existants à
l’aide de l’Explorateur Citect avant de lancer l’installation.
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Lancer CitectSCADA Une mise à niveau automatique de vos projets CitectSCADA sera exécutée
lorsque vous lancez CitectSCADA pour la première fois.
1 Pour lancer CitectSCADA, cliquez sur Démarrer | Tous les programmes |
Citect | CitectSCADA 7 | CitectSCADA Explorer 7. Le message suivant
apparaît :
Définir des clusters Vous devez au moins définir un cluster même si vous n’avez pas l’intention d’en
utiliser dans votre projet. Tous les tags et serveurs utiliseront le cluster ainsi
défini.
1 Dans l’Éditeur de projets, sélectionnez Serveurs | Clusters. La boîte de dia-
logue cluster apparaît :
Configurer les adresses Dans l’Éditeur de projets, configurez l’adresse de réseau de chaque machine
de réseau devant être utilisée en tant que serveur du projet.
1 Dans l’Éditeur de projets, sélectionnez Serveurs | Adresses de réseau. La
boîte de dialogue Adresses de réseau apparaît :
2 Dans le champ Nom, tapez un nom pour l’adresse de réseau que vous
configurez (16 caractères maximum). Ce nom doit être unique au projet et ne
doit pas contenir d’espaces.
3 Dans le champ Adresse, tapez l’adresse IP ou le nom d’ordinateur de la
machine que vous configurez.
4 Dans le champ Commentaire, tapez tout commentaire utile. Cette propriété
est facultative et n’est pas utilisée en phase d’exécution.
5 Cliquez sur Ajouter.
Voir aussi Configurer les serveurs
Configurer les serveurs Tous les serveurs primaires et auxiliaires d’alarmes, de rapports, de tendances et
d’E/S sont dorénavant définis à l’aide de l’Éditeur de projets. Vous devez pour
cela spécifier une adresse de réseau et un cluster pour chaque serveur.
Configurer un serveur d’alarmes
Configurer un serveur de rapports
Configurer un serveur de tendances
Configurer un serveur d’E/S
Configurer les tags Si vous utilisez plusieurs clusters vous pouvez configurer les alarmes, les
pour utiliser le rapports, les tendances, les tags SPC et les accumulateurs pour qu’ils utilisent
des clusters spécifiques. L’Éditeur de projets permet dorénavant de spécifier le
clustering
cluster associé à chaque tag.
Configurer les tags d’alarmes pour utiliser le clustering
Configurer les tags de rapports pour utiliser le clustering
Configurer les tags de tendances pour utiliser le clustering
Configurer les tags SPC pour utiliser le clustering
Configurer les accumulateurs pour utiliser le clustering
Pour chaque rapport, dans le champ Nom du cluster, sélectionnez le cluster qui
exécutera le rapport. Ce champ peut rester vide si votre projet ne contient qu’un
seul cluster. Les rapports utiliseront alors ce cluster.
Si le projet contient plusieurs clusters et si vous ne sélectionnez pas de nom de
cluster dans cette boîte de dialogue, CitectSCADA estimera que le rapport
fonctionnera sur tous les clusters définis.
Cliquez sur Remplacer pour sauvegarder les modifications.
Voir aussi Configurer les tags de tendances pour utiliser le clustering
33
Pour chaque tag SPC, dans le champ Nom du cluster, sélectionnez le cluster qui
exécutera le tag SPC. Ce champ peut rester vide si votre projet ne contient qu’un
seul cluster. Les tags SPC utiliseront alors ce cluster.
Si le projet contient plusieurs clusters et si vous ne sélectionnez pas de nom de
cluster dans cette boîte de dialogue, CitectSCADA estimera que le tag
fonctionnera sur tous les clusters définis.
Cliquez sur Remplacer pour sauvegarder les modifications.
Voir aussi Configurer les accumulateurs pour utiliser le clustering
Compiler le projet Après avoir configuré votre projet, compilez-le et veillez à ce qu’il n’y ait aucune
erreur.
Dépannage Les problèmes suivants devraient être pris en compte lors de la mise à niveau
vers la version 7.0 de CitectSCADA :
Fonctions abandonnées et supprimées
Erreurs de compilation
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Erreurs de compilation
La compilation générera un certain nombre d’erreurs si votre projet n’a pas été
configuré pour fonctionner avec la version 7.0. Celles-ci peuvent comprendre
des avertissements concernant des fonctions abandonnées ou supprimées ainsi
que l’erreur « Aucun cluster défini ». Pour éviter cette erreur, définissez un
cluster dans le projet.
À propos de CitectSCADA
Déploiement de CitectSCADA
Le projet est ensuite déployé sur une architecture de réseau client-serveur. Les
serveurs gèrent la communication avec les équipements et collectent les données
de production tandis que les clients permettent aux opérateurs et gestionnaires
d’évaluer et d’interagir avec le système.
Cette architecture permet d’adapter CitectSCADA à n’importe quel scénario de
production, de manière totalement évolutive et en prenant en charge les clusters
de serveurs et la redondance du système.
40
Outils CitectSCADA
Outils de configuration
Les outils suivants permettent de configurer des éléments de projets et des
ordinateurs devant utiliser CitectSCADA :
Assistant de configuration de Assistant permettant de personnaliser la configuration
l’ordinateur d’un ordinateur et de définir son rôle et sa fonction
Éditeur de projets Citect Application utilisée pour créer et gérer les données de
configuration de votre projet : tags, alarmes, éléments
de système, éléments de communication, etc.
Outils d’exécution
Les outils suivants permettent d’exécuter, de surveiller et de piloter les projets
en phase d’exécution :
CitectSCADA Client Web Affiche un projet CitectSCADA dans un navigateur
Pilotes
CitectSCADA peut communiquer avec toute une gamme de périphériques d’E/
S, dont les automates, les contrôleurs de boucle et les systèmes de commande
distribués.
Les périphériques d’E/S peuvent être locaux (connectés directement à un
serveur d’E/S CitectSCADA) ou distants (connectés à CitectSCADA par des
moyens de communication tels qu’une ligne téléphonique).
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Les éléments que vous définissez pour votre projet CitectSCADA sont ajoutés au
fur et à mesure dans le dossier correspondant. La sélection d’un objet dans un de
46
ces dossiers lance l’élément sélectionné dans l’outil nécessaire pour modifier ses
propriétés.
Voir aussi Éléments graphiques
Tags
Alarmes
Éléments système
Éléments de communication
Éléments des serveurs d’E/S
Cicode / CitectVBA
Éléments graphiques
Les éléments graphiques d’un projet CitectSCADA sont utilisés pour créer les
écrans affichés sur les clients de visualisation. Ils sont décrits dans le tableau ci-
dessous :
Pages Base des écrans
Lorsque vous créez des pages de projets dans l’Éditeur graphique, les éléments
inclus sont ajoutés dans le sous-répertoire correspondant du dossier Graphics
du projet courant.
Tags
Les tags permettent d’identifier les points de l’infrastructure que vous surveillez
et contrôlez avec CitectSCADA. Le nom que vous donnez à un tag devient une
étiquette pour une adresse de registre, de sorte qu’il puisse être intuitivement
appliqué aux pages graphiques et en cas d’alarme.
Trois types de tags sont inclus dans le dossier Tags de l’Explorateur Citect :
Alarmes
Les alarmes permettent d’identifier des conditions dans un système
CitectSCADA nécessitant une intervention. CitectSCADA prend en charge sept
types d’alarmes :
Numériques
Avancées
Éléments système
Les éléments système d’un projet CitectSCADA permettent de personnaliser, de
gérer et de suivre votre système superviseur. Ils comprennent :
Éléments de communication
Les éléments de communication d’un projet CitectSCADA correspondent à la
représentation configurée du matériel de communication de votre système. Ils
comprennent :
Cicode / CitectVBA
CitectSCADA offre deux langages de programmation permettant de contrôler et
de manipuler les éléments de CitectSCADA :
Scénarios typiques
Système autonome
Une installation autonome de CitectSCADA exécute tous les éléments des
serveurs et clients d’un système sur un même ordinateur. Ces éléments
comprennent :
Serveur d’E/S
Serveur d’alarmes
Serveur de tendances
Serveur de rapports
Client de visualisation
Ceci permet d’exécuter CitectSCADA sous la forme d’un petit système
indépendant.
Remarque : Vous pouvez exécuter les éléments des serveurs et clients d’un
système autonome comme un système monoprocessus ou multiprocessus. La
configuration monoprocessus est uniquement recommandée comme solution à
court terme ou pour effectuer des démonstrations et tester des projets.
Ce modèle est également utile dans les installations contenant des périphériques
avec un port série ou des capacités de communication limitées. En plaçant dans
chaque installation les serveurs d’E/S devant communiquer avec ces
périphériques, vous pouvez circonscrire les limites de communication et
améliorer la performance générale.
Malgré la distribution géographique des serveurs d’E/S sur plusieurs sites, ce
type de système peut être configuré comme un système de clusters unique, car
un cluster peut prendre en charge de nombreux serveurs d’E/S.
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Système client-serveur
L’architecture client-serveur de CitectSCADA permet aux éléments d’un
système d’être distribués sur plusieurs ordinateurs en réseau, en créant un
système offrant une souplesse géographique et une performance accrue.
Chaque élément est simplement identifié dans le projet CitectSCADA à l’aide
d’une adresse, de sorte que son emplacement et ses besoins matériels puissent
être considérés indépendamment.
57
Chaque site est représenté dans le projet par un cluster distinct, regroupant ses
serveurs primaires et auxiliaires. Les clients de chaque site sont uniquement
intéressés par le cluster local tandis que les clients de la salle de contrôle centrale
peuvent visualiser tous les clusters.
Le déploiement d’un scénario de ce type est relativement simple car chaque site
peut être adressé indépendamment au sein de son propre cluster. Seuls des
clients de visualisation sont nécessaires dans la salle de contrôle.
61
chaque client de visualisation. Cela signifie que le Site A peut être surveillé
depuis le Site B, et vice versa, en cas de défaillance du système sur l’un de ces
sites.
Système répliqué
Lorsqu’un système de production comprend plusieurs sites identiques, vous
pouvez surveiller l’intégralité du système à partir d’un même client de
visualisation à condition que ce client se connecte à un seul site à la fois.
L’effort nécessaire pour configurer un système répliqué est sensiblement réduit
car le client utilise les mêmes pages graphiques pour surveiller les différents
sites. Cela signifie toutefois que chaque site doit avoir la même architecture, avec
les mêmes adresses de tags.
65
66
Pour configurer un système répliqué, vous devez adresser les différents serveurs
associés à chaque site au sein d’un même projet. On utilise pour cela les clusters
car chaque site peut être configuré comme un cluster ayant ses propres serveurs.
Vous devez ensuite adresser les variables de vos pages graphiques pour qu’elles
puissent communiquer avec n’importe quel cluster.
Si vous ne spécifiez pas de cluster lorsque vous adressez un tag, CitectSCADA
essayera de le trouver dans les clusters avec lesquels il est connecté. Cela signifie
que le client de visualisation peut interroger n’importe quel site répliqué en se
connectant à un cluster spécifique.
Utilisation de CitectSCADA
Cette section contient des informations sur CitectSCADA ainsi que les
rubriques suivantes
Planification d’un projet
Administration de projets
Protection des projets CitectSCADA
Affectation de tags à des variables de processus
Définition et dessin de pages graphiques
Utilisation des objets
Comprendre les types d’objets
Définition des propriétés communes des objets
Définition des commandes
Configuration et traitement des alarmes
Configuration des événements
Utilisation des accumulateurs
Enregistrement et représentation des données de tendance
Comprendre la maîtrise statistique des processus
Production de rapports
Utilisation des paramètres de sécurité
Utilisation des macros
Utilisation des périphériques
Échange de données avec d’autres applications
Utilisation des Génies et Super Génies
Chapitre 1: Planification d’un projet
Géographie
Agencement physique de votre installation, notamment s’il couvre plusieurs
sites géographiques ou plusieurs zones spécifiques de fonctionnalité, tels que
plusieurs chaînes de production fonctionnant en parallèle.
Machines
Matériel (machines, connexion physique et périphérique) de votre installation
qui sera surveillé et contrôlé par votre système CitectSCADA.
Configuration du réseau
Configuration actuelle du réseau qui prendra en charge votre système
CitectSCADA et ses communications avec les équipements de votre installation.
Comprend notamment les protocoles utilisés ainsi que la performance et la
sécurité du système.
Voir aussi Besoins opérationnels
Besoins opérationnels
La définition d’un ensemble de besoins opérationnels pour votre projet
CitectSCADA permet de dresser une liste détaillée des besoins et objectifs
devant être satisfaits par votre système pour surveiller et contrôler efficacement
la production.
Les aspects à considérer sont les suivants :
Architecture
Sécurité
Fiabilité
Surveillance
Collecte de données
Zones de contrôle
Selon la façon dont votre installation est structurée, vous pouvez définir dans
votre projet des zones fonctionnelles (réception, expédition, traitement, etc.) ou
géographiques. Les zones de contrôle fonctionnent en parallèle avec la sécurité
71
CitectSCADA fondée sur les utilisateurs pour gérer efficacement le contrôle des
processus de production.
Définition des zones
Surveillance La surveillance est l’une des principales fonctions du système SCADA et doit
être étudiée dans le contexte de l’interaction requise entre le personnel et les
processus de production.
Vous devez entre autres vous demander si la fourniture des données est
chronologiquement critique. Par exemple, les conditions d’alarme devraient être
présentées en temps réel tandis que les données de tendance peuvent être
fournies avec un léger retard et les données de maintenance peuvent être
accumulées et visualisées au besoin.
Le système peut également nécessiter une surveillance à différents niveaux, des
opérateurs au personnel des salles de contrôle gérant des processus sur
l’ensemble d’une installation. Pour chaque niveau de surveillance, recensez les
données devant être présentées ainsi que les erreurs et problèmes devant être
indiqués.
Collecte de données Pensez aux types de données que vous devez collecter sur les processus de
production ainsi qu’à la façon dont elles seront utilisées. En fonction de vos
besoins, CitectSCADA peut collecter des données sur :
La production
Les approvisionnements nécessaires
Le traitement par lots
L’état et la performance du matériel
La planification de la maintenance
La performance des processus
72
Modèles de pages Les modèles de pages sont des pages prédéfinies que vous pouvez utiliser pour
construire les écrans d’affichage (pages graphiques) de votre projet. Les modèles
permettent de créer des pages rapidement en donnant à votre système de
supervision une esthétique cohérente. Ils peuvent comprendre des outils de
navigation et de soutien standard communs à toutes les pages. CitectSCADA est
livré avec plusieurs modèles standard mais vous pouvez également créer les
vôtres en fonction des besoins de votre système.
Voir aussi Utilisation des modèles de page
Génies et super génies Les génies sont comme des modèles d’objets que vous pouvez placer sur des
pages graphiques pour simplifier la configuration de nombreux périphériques
semblables. Ils regroupent des éléments fonctionnels et graphiques et présentent
des données sur les périphériques en utilisant des chaînes de substitution
configurables pour des tags ou des expressions spécifiques. Ces données sont
ensuite présentées en phase d’exécution.
Les Super génies sont des génies pouvant transmettre des données spécifiques à
un périphérique en phase d’exécution. Ils permettent de créer des contrôles
dynamiques, comme des interrupteurs contextuels pouvant être utilisés pour
contrôler de nombreux périphériques.
73
Projets inclus Si votre environnement de production est vaste, vous pouvez simplifier la
configuration et la gestion de votre système CitectSCADA en créant votre projet
sous forme de plusieurs projets « inclus » de plus petite dimension.
Les projets inclus peuvent fonctionner indépendamment tout en partageant les
ressources disponibles et en s’intégrant de manière transparente en phase
d’exécution. Ils permettent de créer et de tester des parties fonctionnelles ou
physiques d’une installation et de les intégrer petit à petit à votre projet. Les
opérations de maintenance peuvent également être gérées en minimisant les
impacts sur la production.
Pour plus d’informations, voir Inclusion de projets.
Redondance La redondance peut être mise en œuvre à différents niveaux de votre système
CitectSCADA en fonction de la fiabilité requise de votre projet. Plusieurs types
de redondance sont disponibles :
Redondance de périphériques
Plusieurs chemins d’accès à un périphérique peuvent être configurés dans
CitectSCADA. En cas de panne sur le chemin primaire, les données peuvent
alors être surveillées en utilisant le chemin secondaire ou auxiliaire.
Redondance de serveurs
Des serveurs primaires et auxiliaires d’alarmes, de rapports et de tendances
peuvent être configurés de sorte qu’une demande ne pouvant être traitée par un
serveur primaire puisse être acheminée vers un serveur auxiliaire.
74
Redondance de réseaux
Pour éviter les interruptions dues à des problèmes de réseau, un réseau local
redondant peut être mis en place pour fournir un autre chemin d’accès à un
serveur en cas de besoin.
Voir aussi Mise en œuvre de la redondance dans votre système
Projets Vous devez d’abord créer un nouveau projet CitectSCADA puis vous
familiariser avec les méthodes de stockage, d’inclusion et d’archivage du projet.
Avant d’exécuter le projet, la compilation vous alertera de toute erreur de
configuration.
Voir aussi Création d’un projet CitectSCADA
Administration de projets
Compilation du projet
Configuration de la CitectSCADA peut être configuré pour communiquer avec des périphériques
communication avec les d’E/S de divers fabricants. Pour établir une communication avec un
périphérique d’E/S :
périphériques d’E/S
Installez le pilote du périphérique
Configurez le matériel et les logiciels requis par le périphérique.
Définissez un projet de test pour tester la voie de communication.
Configurez un tag de variable pour chaque point de données du
périphérique d’E/S avec lequel vous voulez communiquer
Configurez le périphérique dans votre projet, manuellement ou à l’aide
de l’Assistant de communication express.
Voir aussi Utilisation de l’Assistant Express Communications
Communication avec les périphériques d’E/S
Affectation de tags à des variables de processus
Éléments graphiques Les éléments graphiques permettent aux opérateurs de visualiser et d’interagir
avec le système superviseur. Les pages graphiques peuvent être conçues pour
fournir des options de surveillance et de contrôle aux opérateurs travaillant dans
différentes zones ou à différents niveaux.
75
Pour créer des éléments graphiques répondant à vos besoins opérationnels, vous
devez savoir créer des pages graphiques, utiliser des modèles de pages et
configurer des objets graphiques comme les génies et les supers génies.
Voir aussi Définition et dessin de pages graphiques
Utilisation des Génies et Super Génies
Utilisation des objets
Définition des propriétés communes des objets.
Comprendre les types d’objets
Collecte de données La collecte de données dans CitectSCADA revêt deux principaux aspects :
Tendances - Le système de tendance permet de collecter et de surveiller des
données concernant votre installation. En fonction de vos besoins, les
données peuvent être collectées périodiquement ou lorsqu’un événement
spécifique se produit. Les données peuvent alors être sauvegardées sur
disque en vue d’une analyse ultérieure, affichées sur un graphe ou insérées
dans un rapport. Pour utiliser les tendances dans votre système, vous
devrez savoir configurer les tags de tendances et afficher les données de
tendance dans un graphe ou un rapport.
Rapports - Les rapports fournissent des informations sur l’état de votre
installation et de vos processus. Vous pouvez configurer les rapports avec
les informations suivantes pour veiller à ce qu’ils répondent à vos besoins
opérationnels :
Période/Déclencheur : Les rapports peuvent être générés à la demande,
périodiquement ou lorsque certains événements se produisent.
76
Utilisateurs et zones Vous pouvez configurer la sécurité de votre système CitectSCADA à l’aide des
deux fonctionnalités suivantes :
Utilisateurs - Les comptes utilisateurs permettent de limiter l’accès à votre
système superviseur. Tous les utilisateurs doivent se connecter au système
avec un nom d’utilisateur et un mot de passe pour pouvoir y accéder. Les
comptes utilisateurs peuvent être définis pour des individus ou des groupes
d’utilisateurs.
Zones - Les zones permettent de définir des limites géographiques ou
fonctionnelles dans votre système. Vous pouvez ainsi contrôler l’accès des
utilisateurs à différentes parties du projet ainsi que les tâches qu’ils peuvent
exécuter.
Voir aussi Utilisation des paramètres de sécurité
Éléments du système CitectSCADA comprend les éléments suivants, qui offrent d’autres possibilités
de surveillance, de contrôle et une interaction avec l’utilisateur :
Commandes et contrôles - Les commandes clavier configurables et les
curseurs permettent aux opérateurs d’interagir avec le système superviseur.
Événements - Les événements (tels que les tags de variables ou les
expressions) peuvent être configurés pour déclencher une action spécifique,
comme une commande.
Accumulateurs - Les accumulateurs enregistrent les données
incrémentielles acquises en phase d’exécution. Les données accumulées sont
stockées sous forme de tags de variables dans un périphérique d’E/S et sont
régulièrement actualisées tant que le déclencheur est actif.
Maîtrise statistique des processus - Permet de mesurer la qualité en
collectant et interprétant les variables de processus associées à un produit.
Macros - Des substitutions peuvent être configurées dans l’ensemble du
système pour remplacer des commandes et des expressions fréquemment
exécutées.
Périphériques - Des données CitectSCADA de haut niveau (rapports,
journaux, etc.) peuvent être transférées vers d’autres éléments du système
(imprimantes, bases de données, fichiers, etc.).
77
Déploiement
Après avoir construit votre projet, vous devez configurer chaque ordinateur de
votre système CitectSCADA. Les données de configuration sont stockées sur
chaque ordinateur dans le fichier citect.ini. Elles comprennent :
Le rôle de l’ordinateur dans le réseau Citect
Le projet en cours d’exécution
La configuration de l’UC
Les événements Citect activés pour chaque composant
78
CitectSCADA est une application axée sur les projets. Cette section de l’aide
décrit les tâches administratives associées à la création, au stockage et à la
maintenance de vos projets. Elle comprend les rubriques suivantes :
Gestion de projets
Archivage de projets
Inclusion de projets
Travail avec l’Éditeur de projets
Utilisation de Chercher et Remplacer dans un projet
Gestion de projets
Cette section explique comment l’Explorateur Citect peut administrer vos
projets. Elle comprend les rubriques suivantes :
Création d’un projet
Édition des propriétés d’un projet existant
Copie de projets
Impression des détails sur les projets
Suppression d’un projet
Liaison de projets
Édition des propriétés Pour éditer les propriétés d’un projet existant :
d’un projet existant 1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez un projet dans la liste.
3 Cliquez sur le bouton Propriétés ou sélectionnez Propriétés du projet dans
le menu Fichier.
4 Éditez les propriétés dans la boîte de dialogue Propriétés du projet. Cliquez
sur Aide pour obtenir des détails sur les champs.
5 Cliquez sur OK pour sauvegarder vos modifications ou sur Annuler.
Remarque : Vous pouvez remplacer les valeurs par défaut de vos pages lors de
leur création ou à tout moment ultérieur.
(Paramètres par défaut de la page) [Modèle] Style
Style (apparence) des pages graphiques dans le système superviseur. Le style
sélectionné sera appliqué à toutes les nouvelles pages ajoutées au projet. Vous
pouvez modifier le style des pages et des modèles existants en accédant aux
propriétés de page depuis l’Éditeur graphique.
La majorité des utilisateurs préfèrent le style Standard. Vous pouvez visualiser
les styles prédéfinis dans le projet Include en sélectionnant Graphiques |
Modèles.
Remarque : Vous pouvez remplacer les valeurs par défaut de vos pages lors de
leur création ou à tout moment ultérieur.
(Paramètres par défaut de la page) [Modèle] Montrer la barre de titre
84
Détermine si la barre de titre apparaît à l’écran (en haut de la page). Cette barre
contient le nom de la fenêtre, les boutons d’agrandissement, de réduction et de
fermeture (à droite de la barre de titre) et le bouton du menu Système (à gauche
de la barre de titre).
Pour afficher une page en plein écran (sans barre de titre), ses dimensions
doivent être égales ou supérieures à celles de l’écran. Si la page est plus petite
que l’écran, la barre de titre reste affichée même si le mode plein écran est activé.
Il existe des modèles standards pour les deux cas de figure.
Remarque : Vous pouvez remplacer les valeurs par défaut de vos pages lors de
leur création ou à tout moment ultérieur.
(Paramètres par défaut de la page) Couleur d’arrière-plan
Couleur affichée en arrière-plan de la page graphique.
Copie de projets Vous pouvez copier le contenu d’un projet dans un projet existant ou nouveau.
Pour copier un projet :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez l’icône Copier ou l’élément Copier projet vers du menu
Fichier.
3 Dans la boîte de dialogue Copie de projets, sélectionnez le projet source
dans la liste déroulante Nom projet.
4 Sélectionnez un projet de destination existant dans lequel effectuer la copie
ou sélectionnez un nouveau projet.
5 Cliquez sur OK pour copier le projet ou sur Annuler.
Voir aussi Boîte de dialogue Copie de projets
Nouveau projet : Le projet source est copié sous un nouveau nom dans un
nouvel emplacement. Un nouveau projet doit avoir un nouveau nom (non
utilisé par un autre projet) respectant les règles suivantes.
[Vers] Nom
Nom du projet de destination dans lequel la copie est effectuée.
Lorsque vous effectuez une copie dans un projet existant, sélectionnez ce projet
dans la liste déroulante.
Lorsque vous effectuez une copie dans un nouveau projet, donnez-lui un
nouveau nom unique. Le nom du projet est limité à 64 caractères et peut contenir
n’importe quel caractère à l’exception du point-virgule (;) et du guillemet simple
(’). Le nom du projet étant un identifiant unique, CitectSCADA ne permet pas de
créer ou de restaurer un projet ayant le même nom.
Vous pouvez le modifier ultérieurement en utilisant la boîte de dialogue
Propriétés du projet.
Lorsque la copie est effectuée dans un répertoire contenant un projet existant,
vous pouvez choisir d’effacer au préalable son contenu, y compris ses sous-
répertoires, en cochant les cases Effacer le contenu de l’emplacement avant de copier
et Effacer le contenu des sous-répertoires. Ceci permet d’éviter que des fichiers
résiduels n’interfèrent avec le projet copié. Si vous n’effacez pas ce répertoire
avant la copie, seuls les fichiers communs du projet de destination seront
écrasés.
[Vers] Effacer l’emplacement avant de copier
Efface le contenu du projet de destination existant avant de copier le projet
source dans le répertoire de destination. Ceci permet d’éviter que des fichiers
résiduels n’interfèrent avec le projet copié.
[Vers] Effacer les sous-répertoires
Efface le contenu de tous les sous-répertoires du projet de destination existant
avant de copier le projet source dans le répertoire de destination. Ceci permet
d’éviter que des fichiers résiduels n’interfèrent avec le projet copié.
Emplacement
86
Vérifiez que le nom et l’emplacement du projet sont corrects. Cliquez sur Oui
pour copier le projet ou sur Non pour annuler.
Impression des détails Vous pouvez imprimer les éléments de configuration (enregistrements de base
sur les projets de données, fichiers Cicode, etc.) du projet courant. CitectSCADA effectue
l’impression sur l’imprimante par défaut configurée par Windows.
Pour imprimer les détails de la base de données d’un projet :
1 Ouvrez l’Éditeur de projets Citect
1 Sélectionnez Imprimer dans le menu Fichier.
2 Utilisez la liste Sélection Impression pour choisir les éléments à imprimer.
3 Cliquez sur OK pour lancer l’impression ou sur Annuler pour abandonner.
Avant d’imprimer la totalité de la base de données, faites un essai avec quelques
enregistrements. Vous pouvez modifier la police ainsi que la taille des caractères
et des pages par défaut en sélectionnant Options dans le menu Outils. Pour les
autres options d’impression, consultez votre documentation Windows.
Voir aussi Boîte de dialogue Impression (détails d’un projet)
Liaison de projets Les installations CitectSCADA peuvent partager le même projet sur plusieurs
ordinateurs d’un même réseau. Un projet créé sur un ordinateur peut être Lien à
d’autres ordinateurs du même réseau si le projet réside sur un lecteur partagé ou
un lecteur réseau. Une fois lié, le projet distant apparaîtra dans l’Explorateur
Citect local et pourra être modifié et compilé sur le réseau. Il n’existe qu’une
seule version du projet, qui se trouve toujours sur l’ordinateur sur lequel il a été
créé.
Attention ! La création d’un lien vers un projet fournit au développeur un accès
total au projet, même depuis un ordinateur distant connecté au réseau. Notez à
ce sujet qu’il est possible de supprimer un projet lié, même s’il se trouve sur un
ordinateur distant du réseau. Plutôt que de supprimer un projet sur le réseau, il
est recommandé de supprimer le lien vers ce projet.
88
Les projets liés ne sont pas inclus dans la compilation d’autres projets à moins
qu’ils n’aient été spécifiquement inclus dans ce projet dans l’Éditeur de projets.
Pour plus de détails, voir Inclusion de projets.
Pour lier un projet :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter un lien ou sélectionnez Ajouter un lien de
projet dans le menu Fichier.
3 Utilisez la boîte de dialogue Sélection du répertoire du projet pour
sélectionner l’emplacement de votre projet.
4 Cliquez sur OK pour lier le projet ou sur Annuler.
Si le nouveau projet porte le même nom qu’un projet existant, le système vous
demandera de le modifier avant de poursuivre. Éditez les propriétés dans la
boîte de dialogue Propriétés du projet.
Pour supprimer un lien vers un projet :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez un projet dans la liste.
3 Cliquez sur le bouton Supprimer un lien ou sélectionnez Supprimer un
lien de projet dans le menu Fichier.
4 Un message de confirmation apparaît. Cliquez sur Oui pour supprimer le
lien ou sur Non pour annuler.
Voir aussi Inclusion de projets
Archivage de projets
Après avoir configuré votre système CitectSCADA, sauvegardez (ou archivez)
votre projet. Vous éviterez ainsi la perte de données de configuration en cas de
défaillance matérielle.
Remarque : Lorsque vous développez un projet, adoptez une stratégie de
sauvegarde régulière. Avant de faire une sauvegarde, vérifiez que vous avez
rafraîchi tous les tags liés de votre projet.
CitectSCADA permet de sauvegarder un projet sur un disque local (disque dur),
sur le réseau ou sur un support amovible (disquette, mémoire flash).
Cette section contient des informations sur les tâches d’archivage suivantes :
Sauvegarde d’un projet
Sauvegarde des fichiers INI
Configuration d’une sauvegarde avec cryptage du mot de passe
89
Sauvegarde d’un projet Le programme de sauvegarde CitectSCADA archive les fichiers en utilisant un
algorithme de compression standard produisant des fichiers compatibles
PKZip® v2.04g. L’extension par défaut des fichiers de sauvegarde CitectSCADA
est .CTZ, bien que toute extension (y compris .ZIP) puisse être utilisée. Cela
signifie que vous pouvez également utiliser l’utilitaire PKZip® pour extraire les
fichiers d’une archive CitectSCADA comprimée.
Remarque : Les fichiers produits avec ce programme de sauvegarde ne peuvent
pas être restaurés par les versions de CitectSCADA antérieures à 5.10.
Pour sauvegarder un projet :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Cliquez sur le bouton Sauvegarde
Sauvegarde des fichiers Par défaut lorsque vous sélectionnez l’option « Sauvegarder fichiers ini »,
INI citect.ini et ctTimeScheduler.ini sont sauvegardés depuis le répertoire Windows.
Si vous utilisez un fichier ini personnalisé (par exemple « abc.ini »), assurez-
vous qu’il est sauvegardé dans un sous-répertoire du projet. En sélectionnant
l’option « Sauver sous-répertoires », votre fichier INI sera également
sauvegardé.
Remarque : Vous pouvez définir un fichier INI différent pour CitectSCADA en
transmettant un paramètre à l’Explorateur de projets (comme illustré ci-
dessous). Dans ce cas, le fichier défini sera sauvegardé lorsque vous sélectionnez
l’option « Sauvegarder fichiers ini » et citect.ini ne sera pas sauvegardé.
92
Configuration d’une Lorsque vous sélectionnez l’option « Utiliser cryptage », CitectSCADA écrit le
sauvegarde avec projet sur disque en cryptant le mot de passe. Le projet ne peut alors être
restauré qu’avec le mot de passe.
cryptage du mot de
Pour utiliser le cryptage :
passe
1 Sélectionnez l’option « Utiliser cryptage » dans la boîte de dialogue Sauveg-
arder le Projet.
2 Cliquez sur OK. La boîte de dialogue Cryptage Sauvegarde/Restauration
apparaît :
3 Entrez votre mot de passe dans le champ Saisissez le mot de passe. Des
astérisques apparaissent à la place des caractères.
4 Entrez à nouveau votre mot de passe dans le champ Ressaisissez le mot de
passe. CitectSCADA vérifie que vous avez saisi le même mot de passe les
deux fois.
5 Cliquez sur OK. Le projet est sauvegardé.
Voir aussi Exécution d’une sauvegarde à partir de la ligne de commande.
Exemples
Pour sauvegarder (avec la version 3) c :\data : utilisez la commande
suivante :
CTBACKUP -g- -bc :\data
Pour restaurer ces données (avec la version 5) :
CTBACK32 -g -rc :\data
94
Restauration d’un projet Vous pouvez restaurer des projets sauvegardés et archivés en utilisant le
programme de restauration de projets. Ce programme permet de remplacer tout
projet courant par une version sauvegardée, ou de restaurer un projet
sauvegardé comme un nouveau projet.
Attention ! Lorsque vous restaurez des fichiers, n’oubliez pas que tous les
fichiers et sous-répertoires du répertoire de destination seront effacés avant la
restauration. Si vous sélectionnez par erreur le répertoire racine comme chemin
de restauration, le programme effacera l’intégralité de votre unité de disque.
Pour restaurer un projet :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
95
Inclusion de projets
Dans le cas de grands systèmes, il est généralement préférable de développer
l’application à partir de plusieurs projets de taille réduite plutôt que d’un seul
grand projet. Vous pourriez, par exemple, définir un projet pour chaque section
de votre installation ou chaque processus principal. Cette approche permet de
créer et de tester des projets élémentaires avant de les inclure dans le projet
principal.
Les projets CitectSCADA ne sont pas inclus dans la compilation d’autres projets
à moins qu’ils n’y aient été spécifiquement inclus à partir de l’Éditeur de projets.
Remarque : Si un projet CitectSCADA existe à distance sur le même réseau que
l’installation CitectSCADA locale et s’il se trouve sur un lecteur réseau ou
partagé, il peut être lié à l’Explorateur Citect local. Il ne s’agit pas d’une
inclusion de projet. La création d’un lien rend un projet visible dans
l’Explorateur Citect local. Une fois lié, il peut être sélectionné comme projet
courant et être modifié sur le réseau.
Tout projet lié (visible dans l’Explorateur Citect) peut être inclus dans un projet
local CitectSCADA et être par la suite inclus dans la compilation du projet local.
Ne pas confondre fichiers inclus et projets inclus
Les fichiers inclus contiennent des commandes et/ou expressions
CitectSCADA qui remplacent des champs de propriété de commande ou
d’Expression CitectSCADA.
Les projets inclus sont des projets CitectSCADA (généralement de petite
taille) pouvant être inclus dans un autre projet CitectSCADA de sorte qu’ils
apparaissent comme un seul projet.
Tout système CitectSCADA est fourni avec un projet Include. Celui-ci contient
des enregistrements de base de données prédéfinis et est automatiquement
inclus dans chacun de vos projets.
Inclusion d’un projet Pour inclure un autre projet (dans le projet courant) :
dans le projet courant 1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez un projet dans la liste.
97
Le projet Include Tout système CitectSCADA est fourni avec un projet Include prédéfini destiné à
CitectSCADA vous aider à développer votre projet CitectSCADA. Ce projet contient des
enregistrements de base de données prédéfinis et des bibliothèques graphiques.
98
Boîte de dialogue Coller Pour insérer un tag de variable dans un champ de tag ou d’expression, vous
Variable pouvez utiliser la boîte de dialogue Coller Variable.
Pour insérer un tag de variable dans un champ de tag ou d’expression :
1 Sélectionnez l’emplacement où vous voulez l’insérer tel qu’un champ
d’expression dans un écran.
2 Sélectionnez Coller Variable dans le menu Édition pour afficher la boîte de
dialogue Insérer tag.
3 Sélectionnez le nom de tag puis cliquez sur OK ou sur Annuler.
Le tag est inséré dans le champ de tag ou d’expression où se trouve le curseur.
Boîte de dialogue Coller Pour insérer une fonction dans un champ de tag ou d’expression, vous pouvez
fonction utiliser la boîte de dialogue Insérer Fonction.
Pour insérer une fonction dans un champ de tag ou d’expression :
1 Sélectionnez l’emplacement où vous voulez l’insérer tel qu’un champ
d’expression dans un écran.
2 Sélectionnez Coller Fonction dans le menu Édition pour afficher la boîte de
dialogue Insérer Fonction.
3 Sélectionnez le nom de la fonction puis cliquez sur OK ou sur Annuler.
Pour insérer la fonction avec ses Arguments, cochez la case Insérer arguments.
La fonction est insérée dans le champ où se trouve le curseur.
Remarque : Si la longueur totale de la fonction et de ses paramètres est
supérieure à 254 caractères, elle ne s’affichera pas dans cette boîte de dialogue.
Le message « Texte trop long » sera affiché à la place.
102
Boîte de dialogue Pour localiser une fonction Cicode dans vos fichiers source Cicode, vous pouvez
Rechercher une utiliser la boîte de dialogue Rechercher une fonction utilisateur.
fonction utilisateur Pour localiser une fonction dans un fichier source Cicode :
1 Sélectionnez Rechercher une fonction utilisateur dans le menu Édition.
2 Entrez le nom complet ou partiel de la fonction puis cliquez sur OK ou sur
Annuler.
La liste des fonctions correspondant à vos critères de recherche apparaît.
Remarque : ASTUCE : Si vous laissez le champ Rechercher vierge puis cliquez
sur OK, la liste de toutes les fonctions apparaît.
Pour éditer le fichier Cicode contenant la fonction :
1 Sélectionnez le nom de fonction dans la liste apparaissant lorsque vous
recherchez la fonction (voir ci-dessus) puis cliquez sur Éditer ou sur
Annuler.
Le fichier contenant la fonction sélectionnée sera alors ouvert par l’Éditeur
Cicode.
103
La boîte de dialogue Vous pouvez ouvrir la boîte de dialogue Chercher et Remplacer depuis :
Chercher et Remplacer l’Éditeur de projets : pour rechercher et remplacer des chaînes de caractères
dans vos projets et projets inclus; ou
l’Éditeur graphique : pour rechercher et remplacer du texte dans une page
graphique, un modèle ou un Génie.
Vous pouvez configurer la portée de la recherche, afficher vos résultats,
remplacer les résultats ou ouvrir le résultat d’une recherche pour plus de
renseignements.
Pour afficher la boîte de dialogue Chercher et remplacer :
Depuis l’Éditeur de projets ou l’Éditeur graphique, cliquez sur Édition |
Rechercher ou Édition | Remplacer. La boîte de dialogue apparaît avec
l’onglet Rechercher ou Remplacer selon la commande sélectionnée.
Pour rechercher du texte :
1 Dans le menu Édition de l’Éditeur de projets ou de l’Éditeur graphique,
cliquez sur Rechercher.
2 Dans la boîte Chercher, tapez la chaîne de texte à rechercher. La recherche
ne respecte pas la casse; vous pouvez donc saisir cette chaîne
indifféremment en minuscules ou en majuscules.
104
Définition de la portée Vous définissez la portée de la recherche à l’aide des listes Chercher dans et
de la recherche Options de recherche afin de déterminer dans quels éléments de vos projets la
recherche doit être effectuée.
Les Options de recherche changent lorsque vous choisissez une option
Chercher dans. Lorsque vous sélectionnez une option Chercher dans, tous les
Paramètres de recherche associés sont sélectionnés par défaut. Les options
Chercher dans et Options de recherche fonctionnent de la manière suivante.
La sélection de Projet Actuel ou de Projet Actuel et Projet Include rend
disponibles les options décrites ci-dessous.
105
Utilisation de la liste Les résultats sont affichés dans la liste au fur et à mesure. Cette liste présente les
des résultats éléments correspondant à la chaîne recherchée.
Elle peut afficher un maximum de 200 résultats par page, classés par projet puis
par élément (cet ordre n’est pas modifiable). La liste des résultats contient les
colonnes suivantes :
Colonne Description
Projet Nom du projet dans lequel se trouve le texte.
Élément Dépend du type de document dans lequel se trouve l’élément :
Base de données - Nom convivial de la base de données
Page - Nom de la page
Cicode/VBA - Nom et chemin du fichier Cicode/VBA
Rapport - Nom du rapport
Champ Identifie la partie du document ou de la base de données dans laquelle se trouve l’élément
recherché. Par exemple, si cet élément se trouve dans une base de données, le champ fait
référence au nom de colonne de la base. Notez que la recherche couvre les expressions et
les commandes ainsi que les propriétés numériques.
Emplaceme Indique le numéro d’enregistrement spécifique (AN) ou numéro de ligne correspondant à
nt l’emplacement de l’élément recherché dans le document ou la base de données.
Contexte Exemple du contexte dans lequel l’élément recherché se trouve dans le projet. Par exemple
si le type de document est :
Base de données - un résultat de recherche de BIT* pourra avoir pour contexte BIT_!.
Page - BIT* pourra avoir pour contexte Toggle(BIT_!)
Cicode/VBA - UserName pourra avoir pour contexte FUNCTION GetUserName()
Rapport - PUMP* pourra avoir pour contexte @(Pump A)
107
Exportation de résultats Vous pouvez exporter les résultats de vos recherches selon un format délimité
par tabulation dans un emplacement spécifié. Les résultats sont exportés dans le
format
<Projet> <Élément> <Champ> < Emplacement> <Contexte>
Si la fenêtre Résultats contient plus de 200 résultats, ils sont tous exportés et pas
uniquement ceux qui sont affichés. Un élément supprimé de la liste de résultats
ne sera pas exporté. (Pour plus de détails sur la suppression des résultats, voir
Suppression de résultats.)
Si vous exportez un élément qui a un contexte, les tabulations et les caractères de
saut de ligne sont supprimés de la chaîne de contexte.
Les résultats exportés sont au format Unicode. Deux caractères de début et deux
caractères de fin sont donc ajoutés au fichier, bien qu’ils ne soient généralement
pas visibles. Lors de l’exportation des résultats, utilisez Excel 2000 ou une
version ultérieure qui prend en charge le format Unicode.
Pour exporter des résultats :
1 Vérifiez que les résultats que vous désirez exporter figurent dans la fenêtre
Résultats puis cliquez sur Exporter.
2 Spécifiez l’emplacement dans la boîte de dialogue puis cliquez sur
Enregistrer. Si le fichier existe déjà, vous avez la possibilité de l’écraser. Le
texte d’état situé sous la liste des résultats indique la progression de
l’exportation.
108
Saut vers un résultat Vous pouvez sauter vers un résultat particulier pour voir où il se trouve. Les
(Atteindre) opérations suivantes sont exécutées en fonction du type du document contenant
le résultat de la recherche :
Base de données : L’écran s’ouvre dans l’Éditeur de projets et la chaîne de
caractères apparaît en surbrillance.
Cicode/VBA : Le document s’ouvre dans l’Éditeur Cicode et la chaîne de
caractères apparaît en surbrillance.
Graphiques : La page s’ouvre dans l’Éditeur graphique et la boîte de
dialogue apparaît pour l’objet contenant la chaîne de caractères. La
propriété contenant la chaîne s’affiche. Si la chaîne se trouve dans un Génie,
l’écran Génie apparaît également.
Rapport : L’Éditeur de rapports configuré s’ouvre et affiche le fichier
rapport mais la chaîne de caractères n’apparaît pas en surbrillance.
Pour sauter vers un résultat :
Mettez le résultat désiré en surbrillance dans la fenêtre Résultats puis
cliquez sur Aller à. Le document ou l’écran contenant le résultat s’ouvre.
Voir aussi Remplacement de résultats
Chercher et Remplacer - La fonction Chercher et Remplacer affiche une des erreurs suivantes lorsqu’elle
Messages d’erreur ne peut pas remplacer une chaîne de caractères :
Fichier en cours d’utilisation
Texte remplacé tronqué
Texte original introuvable
Texte remplacé en dehors des limites prévues
Texte de remplacement non numérique
Champ en lecture seule
Erreur indéterminée
110
Cette erreur n’apparaît pas lorsque la recherche est effectuée sur la page
graphique active. Le champ Unités de travail qui contient % sera remplacé par
« %DUMBLEDORE ». Ce champ a une longueur maximale de 8 caractères, d’où
le message d’avertissement de troncation.
Effectuez l’une des opérations suivantes :
111
Cliquez sur Oui pour envoyer le texte tronqué dans la base de données.
Vous obtiendrez alors généralement une erreur lors de la compilation du
projet.
Cliquez sur Oui à tous pour effectuer toutes les modifications des champs
avec ou sans troncation.
Cliquez sur Non (défaut) pour laisser le texte inchangé.
Cliquez sur Non à tous pour laisser tous les champs tronqués inchangés.
Erreur indéterminée
Cette erreur apparaît en cas d’erreur générale lors d’un remplacement effectué
sur la page graphique active.
Cliquez sur Ignorez tout pour annuler toutes les opérations sans afficher
d’erreurs indéterminées lors du remplacement.
Cliquez sur Stop pour arrêter le remplacement au niveau de
l’enregistrement courant.
Dépannage des Si vous ne trouvez pas le résultat escompté, effectuez les vérifications suivantes
recherches puis recommencez :
La chaîne de caractères est-elle correcte?
Le nombre d’espaces inclus est-il correct?
L’option Chercher dans est-elle correcte?
Les options de recherche sont-elles correctes?
Le projet sélectionné pour la recherche est-il correct?
La recherche graphique est-elle correcte?
Si vous utilisez la recherche dans des pages graphiques, la page graphique
correcte est-elle ouverte?
115
Avant d’exécuter votre projet, vous devez configurer chaque ordinateur de votre
système CitectSCADA. Les données de configuration sont stockées sur chaque
machine dans un fichier citect.ini en fonction de votre installation, de la
configuration de votre base de données et de votre projet compilé. La
configuration se fait à l’aide de l’Assistant de configuration de l’ordinateur.
L’Assistant de configuration de l’ordinateur présente une série de pages
permettant de configurer les principaux paramètres de fonctionnement de votre
ordinateur, notamment :
Le rôle de l’ordinateur dans le réseau Citect
Le projet en cours d’exécution
La configuration de l’UC
Les événements Citect activés pour chaque composant
Le Cicode exécuté au démarrage pour chaque composant
La configuration des clusters
Les paramètres de sécurité appliqués
L’assistant utilise la configuration stockée dans les bases de données du projet
pour vous fournir les informations requises. Les options sélectionnées sont
écrites dans le fichier citect.ini.
L’assistant doit être lancé sur chaque ordinateur exécutant CitectSCADA sur
votre système. Il devrait être lancé après avoir compilé votre projet et juste avant
d’exécuter votre système.
Voir aussi Utilisation de l’Assistant de configuration de l’ordinateur
Configuration du projet
Sélectionnez le projet à exécuter sur cet ordinateur CitectSCADA. L’Assistant de
configuration de l’ordinateur affiche tous les projets compilés définis dans la
liste des projets, à l’exception des projets Include.
S’il existe un seul projet compilé, il sera automatiquement sélectionné. En
l’absence de projet compilé, un message d’erreur s’affiche et l’assistant s’arrête.
Dans un tel cas, retournez à l’Explorateur Citect et vérifiez que le projet désiré
est sauvegardé localement et a été compilé sans erreur.
Voir aussi Configuration du rôle de l’ordinateur
117
Option Description
Serveur et client de Cet ordinateur sera un Serveur d’E/S et un Client de visualisation
visualisation CitectSCADA autonome ou en réseau. Cette option est désactivée si aucun
composant de serveur n’est affecté à l’ordinateur. La sélection de cette
option coche la case Multiprocessus.
Sélectionnez la case Multiprocessus pour séparer votre client et les
composants de serveur en processus individuels. Cette option peut être
utilisée pour distribuer les composants sur plusieurs UC.
Si la case Multiprocessus n’est pas sélectionnée, CitectSCADA exécute le
client et tous les composants de serveurs dans un processus unique.
Si la case Multiprocessus est sélectionnée, le paramètre
[General]MultiProcess du fichier citect.ini est
sauvegardé avec la valeur 1. Dans le cas contraire, ce paramètre prend la
valeur 0.
Client de visualisation L’ordinateur est uniquement utilisé comme client de visualisation. Cette
option est désactivée si un composant de serveur a été affecté à
l’ordinateur.
Client de gestion L’ordinateur est uniquement utilisé comme client de gestion. Cette option en
lecture seule est désactivée si un composant de serveur a été affecté à
l’ordinateur.
Certaines de ces options peuvent être désactivées en fonction des serveurs
configurés pour fonctionner sur cet ordinateur. L’Assistant de configuration de
l’ordinateur compare l’identification de réseau de votre ordinateur avec les
adresses de réseau configurées pour chaque serveur dans la configuration de
votre projet.
Voir aussi Modèle de réseau
Configuration de l’UC
Modèle de réseau
Sélectionnez le modèle de réseau à appliquer à l’ordinateur CitectSCADA. Les
options disponibles sont les suivantes :
Aucun réseau
TCP/IP
118
Pour éviter tout conflit entre les fichiers d’alarmes utilisés par plusieurs serveurs
d’alarmes de différents clusters exécutés sur la même machine, les fichiers
d’alarmes utilisent une convention de nommage dynamique au format suivant :
<NomProjet>_<NomCluster>_<NomFichier>.DAT
Voir aussi Configuration des rapports
121
Configuration de l’UC
La page Configuration de l’UC permet d’affecter un client et des composants de
serveurs à des processeurs spécifiques dans une machine multiprocesseurs.
Cette page contient le nom complet de chaque composant, y compris le cluster
auquel il appartient, la priorité et l’affectation de l’UC. Si l’option
Multiprocessus n’a pas été sélectionnée sur la page Configuration du rôle de
122
Configuration horaire
Sélectionnez cette option si l’heure de l’ordinateur CitectSCADA doit être
synchronisée avec celle du serveur temporel ou pour configurer cet ordinateur
comme serveur temporel.
Remarque : Vous ne pouvez pas entrer de caractères localisés dans la boîte de
texte Nom du Serveur Horo.
Sélectionnez l’une des options suivantes :
Option Description
Pas de synchronisation Ne pas synchroniser l’heure sur cet ordinateur
horodateur
Synchroniser l’heure avec le L’heure de l’ordinateur est régulièrement mise à jour en phase d’exécution,
serveur temporel en utilisant l’horloge du serveur temporel
L’ordinateur est le serveur L’ordinateur met régulièrement à jour d’autres ordinateurs CitectSCADA en
horodateur phase d’exécution si l’option Synchroniser (ci-dessus) est activée
Remarque : Un serveur temporel ne peut être configuré que sur un serveur d’E/
S CitectSCADA.
126
Option Description
Fréquence d’analyse de page Délai (en millisecondes) entre la mise à jour d’une page graphique et le
début du cycle de communications suivant. Il s’agit de la fréquence de mise
à jour des pages graphiques. Lorsqu’une page est mise à jour, toutes les
données pertinentes (tags, etc. figurant sur la page graphique) sont
interrogées pour déterminer si les conditions ont changé sur le terrain. Ce
paramètre est ignoré si une fréquence d’analyse a été spécifiée dans les
Propriétés de page.
Une valeur de 250 (valeur par défaut) indique que CitectSCADA essaie de
mettre la page à jour toutes les 250 ms. Toutefois, si CitectSCADA ne peut
lire toutes les données d’un périphérique d’E/S dans le temps imparti
(250 ms), il les traitera à une fréquence inférieure. Par exemple, si la lecture
des données d’un périphérique d’E/S prend 800 ms, CitectSCADA les
traitera toutes les 800 ms.
Il est parfois désirable de ralentir la mise à jour des pages pour réduire la
charge des serveurs d’E/S. La réduction de la période de rafraîchissement
libère la bande passante au profit d’autres tâches ou clients CitectSCADA.
Vous pourriez par exemple améliorer le temps de réponse des ordinateurs
de vos principaux opérateurs en ralentissant celui des ordinateurs des
gestionnaires. Vous pouvez entrer n’importe quelle valeur entre 0 et 60000
(millisecondes).
Voir aussi Terminer
Terminer
Cliquez sur Terminer pour sauvegarder la configuration du fichier citect.ini,
sur Annuler pour quitter l’assistant sans sauvegarder ou sur Précédent pour
revenir sur une page devant être modifiée.
129
Vous pouvez mettre en œuvre les clusters de votre système CitectSCADA après
avoir configuré les serveurs nécessaires. Vous devrez pour cela procéder à la
configuration suivante :
Définition d’un cluster
Chaque cluster doit être défini en lui donnant un nom unique dans le projet.
Définition d’une adresse de réseau
Chaque serveur physique de votre système doit être identifié à l’aide d’un
nom unique et d’une adresse IP.
Définition d’un serveur d’alarmes
Chaque serveur d’alarme doit avoir un nom et être affecté à un cluster et un
serveur physique. Chaque serveur doit être identifié comme étant Primaire
ou Auxiliaire.
Définition d’un serveur de rapports
Chaque serveur de rapports avoir un nom et être affecté à un cluster et un
serveur physique. Chaque serveur doit être identifié comme étant Primaire
ou Auxiliaire.
Définition d’un serveur de tendances
Chaque serveur de tendances avoir un nom et être affecté à un cluster et un
serveur physique. Chaque serveur doit être identifié comme étant Primaire
ou Auxiliaire.
Définition d’un serveur d’E/S
Chaque serveur d’E/S avoir un nom et être affecté à un cluster et un serveur
physique. Chaque serveur doit être identifié comme étant Primaire ou
Auxiliaire.
Voir aussi Règles applicables aux clusters
Affectation de tags à un cluster en phase d’exécution
Option Description
Nom Nom de la machine à l’adresse de réseau que vous configurez (16
caractères maximum). Ce nom doit être unique au projet et ne doit pas
contenir d’espaces.
Adresse Adresse IP ou nom d’ordinateur de la machine que vous configurez. Si vous
utilisez NetBIOS au lieu de TCP/IP, vous devez utiliser le nom d’ordinateur.
Commentaire Tout commentaire utile. Cette propriété est facultative et n’est pas utilisée en
phase d’exécution.
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus
(à l’aide de la touche F2).
Option Description
Publication des TRUE ou FALSE. La valeur par défaut est FALSE. Si elle est égale à TRUE,
propriétés des alarmes les propriétés des alarmes sont publiées et peuvent être visualisées comme
des tags de variables normaux et le serveur d’alarme interroge comme s’il
était un connecteur d’E/S.
Port Port que le serveur d’alarme interroge si Publication des propriétés des
alarmes a pour valeur TRUE.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer si vous avez modifié un enregistrement.
Voir aussi Définition d’un serveur de rapports
Option Description
Nom du serveur Nom du serveur (16 caractères maximum). Ce nom doit être unique au
cluster et ne doit pas contenir d’espaces.
Remarque : Il est recommandé que les noms de serveur ne dépassent pas
8 caractères si vous utilisez NetBIOS en raison des limitations de ce
système.
Mode Mode d’utilisation du serveur : primaire ou auxiliaire. Si ce champ est laissé
vide, la valeur par défaut est « primaire ». Les serveurs primaires et
auxiliaires doivent fonctionner sur des ordinateurs différents et seuls un
serveur primaire et un serveur auxiliaire peuvent être définis par cluster.
Adresses de réseau Adresse IP ou nom d’ordinateur de la machine que vous configurez. Si vous
utilisez NetBIOS au lieu de TCP/IP, vous devez utiliser le nom d’ordinateur.
Port Port que le serveur interroge. Vous pouvez laisser ce champ vierge si vous
n’utilisez qu’un seul serveur de tendances sur votre machine, auquel cas le
numéro de port par défaut sera utilisé.
Commentaire Tout commentaire utile. Cette propriété est facultative et n’est pas utilisée en
phase d’exécution.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer si vous avez modifié un enregistrement.
Voir aussi Définition d’un serveur d’E/S
Option Description
Port Port que le serveur interroge. Vous pouvez laisser ce champ vierge, auquel
cas le numéro de port par défaut sera utilisé.
Port pair Le port pair est utilisé pour les communications entre les serveurs d’E/S pour
fournir des informations actualisées sur les périphériques d’E/S et pour les
écritures auxiliaires. Il est également utilisé pour permettre à la version 7 de
CitectSCADA de récupérer des données d’E/S du serveur d’E/S de la
version 7. Sa valeur par défaut est 2078. Si vous spécifiez une valeur
différente, les serveurs d’E/S de la version 7 communiqueront normalement
mais les anciens clients CitectSCADA ne pourront plus récupérer de
données.
Commentaire Tout commentaire utile. Cette propriété est facultative et n’est pas utilisée en
phase d’exécution.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer si vous avez modifié un enregistrement.
Redondance des Les systèmes comportant un serveur d’E/S unique présentent un point faible. Le
serveurs d’E/S contrôle et la surveillance du système cessent en cas de défaillance du serveur
primaire. L’introduction d’un deuxième serveur d’E/S devant communiquer
avec les mêmes périphériques d’E/S permet d’éliminer ce point faible. Vous
140
Remarque : Bien qu’ils soient identiques, il est important de noter que le serveur
auxiliaire ne duplique pas les fonctions du serveur primaire. Ceci pour éviter
que la charge sur la partie du réseau utilisée par les automates ne double et ne
nuise considérablement à sa performance. Cela signifie qu’à un instant donné,
seul le serveur primaire communique avec les automates.
La redondance est assurée comme suit :
Lorsque le système fonctionne, si le serveur d’E/S primaire tombe en panne
ou si vous décidez de l’arrêter pour effectuer des opérations de
maintenance, tous les clients utiliseront le serveur auxiliaire sans
interrompre le système.
Lorsque le serveur primaire fonctionne à nouveau, le système lui redonne le
contrôle des périphériques d’E/S. L’image du disque est alors copiée depuis
le serveur auxiliaire de sorte que les clients puissent s’y reconnecter et qu’il
puisse à nouveau contrôler le système.
En phase d’exécution, vous pouvez également utiliser les serveurs d’E/S
redondants pour répartir la charge de traitement. Ceci permet d’augmenter la
141
Promotion des La promotion des périphériques d’E/S dépend de la manière dont leur priorité
périphériques d’E/S affecte le système lorsque le périphérique primaire tombe en panne.
Le schéma suivant illustre quatre périphériques d’E/S connectés à deux serveurs
d’E/S.
Redondance des La redondance des chemins de données est une autre forme de redondance qui
chemins de données nécessite la définition de chemins de données entre le serveur d’E/S et les
périphériques d’E/S connectés. La fourniture d’un deuxième chemin de données
(parallèle) permet d’acheminer les données en cas d’erreur sur le premier
chemin.
La majorité des automates permettent d’installer un chemin de données
parallèle entre le serveur d’E/S et le périphérique d’E/S.
Nous avons ici trois serveurs d’E/S connectés à trois périphériques d’E/S :
Serveur d’E/S Périphériques d’E/S connectés
IOServer1 Périphérique d’E/S primaire (Device1)
Périphérique d’E/S auxiliaire (Device2)
Périphérique d’E/S primaire (Device3)
IOServer2 Périphérique d’E/S auxiliaire (Device1)
Périphérique d’E/S primaire (Device2)
IOServer3 Périphérique d’E/S auxiliaire (Device1)
Périphérique d’E/S auxiliaire (Device2)
Périphérique d’E/S auxiliaire (Device3)
Le client CitectSCADA crée des sessions réseau vers les trois serveurs d’E/S.
Le client envoie ensuite à Server1 des requêtes concernant Device1 et
Device3, et à Server2 des requêtes concernant Device2.
La redondance est assurée comme suit :
En cas d’erreur entre Device1 et Server1, le client envoie à Server2 des
requêtes concernant Device1 en empruntant le chemin de données
auxiliaire. Il continue d’envoyer à Server1 des requêtes concernant Device3.
En cas d’erreur entre Device1 et Server2, le client envoie des requêtes à
Server3.
Si la connexion entre Device1 et Server1 est rétablie, le client recommence à
envoyer à Server1 des requêtes concernant Device1.
Vous pouvez placer des périphériques d’E/S primaires et auxiliaires sur
différents serveurs d’E/S; il est donc souhaitable de répartir vos périphériques
primaires de sorte à équilibrer la charge sur tous vos serveurs d’E/S. Ceci n’est
pas applicable à tous les protocoles, car la charge peut dépendre du réseau
d’automates programmables et non de l’unité centrale du serveur d’E/S. Dans
un tel cas, l’utilisation de plusieurs serveurs d’E/S actifs sur le même réseau
d’automates peut dégrader les performances de ce dernier donc ralentir la
réponse du système.
Redondance des La redondance des serveurs d’alarmes, de rapports, de tendances et d’E/S est
serveurs d’alarmes, de obtenue en ajoutant des serveurs auxiliaires, dans un cluster défini, pour fournir
des éléments de système redondants. Vous pouvez également utiliser les points
rapports et de
d’arrivée doubles (ou les interfaces de réseau multiples) de chaque élément pour
tendances spécifier une connexion réseau complète et unique entre un client et serveur.
Remarque : Le protocole TCP/IP prend dorénavant en charge la redondance des
cartes réseau.
Examinons le schéma suivant :
148
Redondance de réseaux
Chaque élément du système présent dans le cluster est connecté à un deuxième
réseau local (LAN2) en utilisant les points d’arrivée doubles de chaque serveur.
On obtient ainsi une connexion à deux réseaux locaux avec la redondance de
réseaux suivante :
En cas de panne de LAN 1, chaque élément du cluster peut facilement rester
connecté en utilisant LAN 2.
De même, en cas de panne de LAN 2, LAN 1 reste opérationnel.
Redondance de serveurs
La redondance de serveurs de chaque élément du schéma est obtenue en
fournissant un serveur auxiliaire correspondant sur le même réseau local (LAN
1). La redondance est assurée comme suit :
149
Comment CitectSCADA Il est possible de configurer deux serveurs d’alarmes dans un projet
gère la redondance des CitectSCADA, un serveur d’alarmes primaire et un serveur d’alarmes
secondaire. Avec deux serveurs d’alarmes, votre système CitectSCADA dispose
serveurs d’alarmes
d’une redondance complète.
Lorsque ces deux serveurs fonctionnent, les alarmes sont traitées en parallèle sur
les deux, les enregistrements étant effectués par le serveur d’alarmes primaire.
En cas de défaillance du serveur primaire, le serveur auxiliaire le remplace pour
enregistrer les alarmes des périphériques.
Au démarrage, le serveur d’alarmes essaie d’établir une connexion avec l’autre
serveur d’alarmes. S’il peut se connecter, il transfère les données d’alarmes
dynamiques du serveur d’alarmes opérationnel vers l’autre serveur d’alarmes
(ces données comprennent les données historiques ainsi que l’état des alarmes
courantes). Si la tentative de connexion échoue, le serveur d’alarmes ouvre le
fichier de sauvegarde (défini par le paramètre [Alarm]SavePrimary) et restaure
les données à partir de ce fichier. Si deux fichiers de sauvegarde existent, l’un sur
le serveur d’alarmes primaire et l’autre sur le serveur d’alarmes auxiliaire,
CitectSCADA utilise le fichier le plus récent. Si aucun fichier n’est configuré, le
serveur d’alarmes ne peut pas connaître l’état initial des alarmes et aucun
historique n’est disponible. Dans un tel cas, le serveur commence à traiter les
alarmes puis acquitte les nouvelles.
Lorsque les deux serveurs d’alarmes sont actifs, ils accèdent aux données sur le
serveur d’E/S et traitent les alarmes. L’état actif/inactif d’une alarme n’est pas
échangé par les serveurs. Lorsque les opérateurs exécutent des fonctions sur des
alarmes (acquittement, désactivation, activation, ajout de commentaires, etc.),
ces informations sont communiquées entre les deux serveurs d’alarmes (si un
150
opérateur acquitte une alarme sur un serveur, celui-ci demande à l’autre serveur
d’acquitter la même alarme).
Les clients CitectSCADA se connectent soit au serveur d’alarmes primaire, soit
au serveur d’alarmes auxiliaire. Au démarrage, tous les clients essayent d’établir
une connexion avec le serveur d’alarmes primaire. En cas d’échec, ils essaient
d’établir une connexion avec le serveur d’alarmes auxiliaire. Si le serveur
d’alarmes primaire redevient actif et disponible, tous les clients connectés au
serveur d’alarmes auxiliaire le restent (le serveur d’alarmes avec lequel les
clients peuvent communiquer importe peu à CitectSCADA car les deux serveurs
contiennent les mêmes données).
Voir aussi Comment CitectSCADA gère la redondance des serveurs de rapports
Comment CitectSCADA Il est possible de configurer deux serveurs de rapports dans un projet
gère la redondance des CitectSCADA : un serveur de rapports primaire et un serveur de rapports
auxiliaire.
serveurs de rapports
Lorsque ces deux serveurs fonctionnent, les rapports programmés n’utilisent
que le serveur de rapports primaire. En cas de défaillance du serveur de
rapports primaire, les rapports programmés sont exécutés sur le serveur de
rapports auxiliaire (vous pouvez également configurer ce serveur pour qu’il
exécute également les rapports programmés en parallèle avec le serveur de
rapports primaire). Notez qu’aucune donnée de rapport n’est transférée entre
les serveurs de rapports primaire et auxiliaire (CitectSCADA ne synchronise pas
ces données car les rapports peuvent écrire leurs données dans n’importe quel
type de périphérique).
Les clients CitectSCADA se connectent soit au serveur de rapports primaire, soit
au serveur de rapports auxiliaire. Au démarrage, tous les clients essayent
d’établir une connexion avec le serveur de rapports primaire. En cas d’échec, ils
essaient d’établir une connexion avec le serveur de rapports auxiliaire. Si le
serveur de rapports primaire redevient actif et disponible, tous les clients
connectés au serveur de rapports auxiliaire le restent.
Voir aussi Comment CitectSCADA gère la redondance des serveurs de tendances
Comment CitectSCADA Il est possible de configurer deux serveurs de tendances dans un projet
gère la redondance des CitectSCADA : un serveur de tendances primaire et un serveur de tendances
auxiliaire.
serveurs de tendances
Lorsque ces deux serveurs fonctionnent, les tendances sont traitées en parallèle
sur les deux et écrites sur disque (chaque serveur doit écrire sur son propre
disque ou sur sa zone de données réservée sur Serveur de fichiers).
Au démarrage, le serveur de tendances essaie d’établir une connexion avec
l’autre serveur de tendances. En cas de succès, il transfère toutes les données de
tendance enregistrées depuis le dernier arrêt (de sorte qu’aucune donnée ne soit
perdue).
151
Comment CitectSCADA CitectSCADA permet d’avoir des serveurs de fichiers redondants. Le paramètre
gère la redondance des [CtEdit]Backup spécifie un chemin de secours pour les projets. Si CitectSCADA
ne trouve pas de fichier dans le répertoire d’exécution (c’est-à-dire, tel que
serveurs de fichiers
spécifié par le paramètre [CtEdit]Run), il explore le chemin de secours. S’il y
trouve un fichier, CitectSCADA suppose alors que le chemin d’exécution est
défaillant (c’est-à-dire, que le serveur de fichiers est en panne). CitectSCADA
cherche ensuite tous les fichiers pertinents dans le chemin de secours avant
d’utiliser ce chemin. Lorsque CitectSCADA utilise le chemin de secours, il
appelle l’événement numéro 11 et génère l’erreur matérielle suivante : File
server failed, to Standby.
La redondance des serveurs de fichiers ne fonctionne correctement que si le
redirecteur (ou shell) de l’ordinateur peut gérer une défaillance du serveur de
fichiers. Le shell de Novell Netware ne prend pas en charge ce genre de situation
et produit des erreurs réseau fatales sous Windows. Les réseaux utilisant le
Gestionnaire de réseau local Microsoft et les réseaux poste à poste prennent en
charge des défaillances des serveurs de fichiers. La redondance des serveurs de
fichiers CitectSCADA fonctionne donc correctement avec ces réseaux.
Remarque : Seul CitectSCADA utilise un chemin de secours. Toute autre
application utilisant des fichiers sur le serveur de fichiers échouera en cas de
défaillance du serveur de fichiers. L’ordinateur risque alors d’attendre
longtemps le serveur de fichiers (et de tomber en panne). Ceci concerne
également Windows, que vous devriez donc installer sur une unité locale.
Pour activer la redondance de serveurs de fichiers, affectez au paramètre
[CTEDIT]Backup le chemin de secours de la base de données. Par exemple, si
votre chemin primaire est F:\CITECT\USER\DB, définissez un chemin de
secours sur un autre serveur de fichiers ou une unité locale, telle que
C:\CITECT\USER\DB.
Vous devriez toujours veiller à ce que le projet dans le chemin de secours soit le
même que celui figurant dans le répertoire d’exécution. Copiez le projet dans le
répertoire de secours à chaque fois que vous le compilez dans le répertoire
d’exécution.
Voir aussi Comment CitectSCADA gère la redondance des serveurs FTP
152
Comment CitectSCADA CitectSCADA prend en charge la redondance des serveurs FTP. Si le serveur
gère la redondance des FTP primaire tombe en panne, CitectSCADA essaie de se connecter au serveur
FTP de la machine auxiliaire. Ceci se fait indépendamment de la redondance
serveurs FTP
des serveurs d’E/S, de sorte que les deux serveurs FTP doivent avoir les mêmes
mots de passe et la même structure de répertoires.
La redondance des serveurs FTP est configurée à l’aide des paramètres des
sections [CLIENT] et [DNS] du fichier Citect.ini du serveur FTP primaire. Ces
paramètres sont téléchargés par le client d’affichage Internet dans son propre
fichier Citect.ini en cas de défaillance du serveur FTP primaire à condition que le
paramètre [INTERNET]Redundancy ne soit pas égal à 0 (zéro). Ce client
d’affichage utilise alors les informations de redondance téléchargées pour se
connecter au serveur FTP auxiliaire.
Remarque : Les serveurs FTP auxiliaires ne doivent pas nécessairement être des
serveurs Internet. Le serveur FTP auxiliaire peut être n’importe quel serveur
utilisant TCP/IP auquel le client Internet peut se connecter, à condition que le
réseau dispose de licences pour clients Internet.
Voir aussi Redondance des systèmes autonomes
Redondance des Si vous utilisez CitectSCADA de manière autonome, il est possible d’obtenir une
systèmes autonomes redondance dans le modèle à processus unique en mettant en œuvre vos
systèmes auxiliaires sur une autre UC, à condition que vous disposiez d’un
système multi-processeurs. Vous pouvez également utiliser cette configuration
pour équilibrer la charge de traitement.
Voir aussi Configuration de votre système
153
SaveSecondary =
ScanTime = 500
Server = 1
Voir aussi En-tête
Paramètres
Commentaires
Toute ligne commençant par un caractère dièse (#) est traitée comme un
commentaire.
Toute ligne commençant par un point d’exclamation (!) est désactivée et
donc traitée comme un commentaire.
Commentaires Vous pouvez ajouter des commentaires à une section ou à une définition de
paramètre dans le fichier citect.ini.
Avant de commencer
Avant de modifier le fichier de configuration Arrêtez vos projets avant de modifier le
fichier citect.ini.
Les modifications apportées à la configuration ne prennent effet qu’au
redémarrage du projet. Pour certains paramètres, ces modifications ne prennent
effet qu’au redémarrage de l’Explorateur Citect.
Modification des fichiers de configuration existants
Attention ! Il est possible que l’Éditeur de configuration de l’ordinateur perde
des commentaires occupant plusieurs lignes sur un fichier de configuration
158
L’interface comprend :
1 Le panneau de l’arborescence, utilisé pour afficher le contenu du fichier
citect.ini et se déplacer dans celui-ci. Pour plus de détails, voir Panneau
de l’arborescence.
2 Le panneau de recherche dans l’arborescence, utilisé pour rechercher un
élément particulier dans l’arborescence. Pour plus de détails, voir Panneau
de recherche dans l’arborescence.
3 Le panneau détaillé sur les paramètres, utilisé pour visualiser et modifier
les valeurs des paramètres. Pour plus de détails, voir Panneau détaillé sur
les paramètres.
4 Le panneau d’aide, utilisé pour afficher des rubriques de référence
contextuelles sur les paramètres. Pour plus de détails, voir Panneau d’aide.
5 Le panneau de référence sur les paramètres, utilisé pour effectuer une
recherche plein texte sur les rubriques de référence du panneau d’aide. Pour
plus de détails, voir Panneau de référence sur les paramètres.
160
6 Le panneau sur l’état des paramètres, utilisé pour afficher l’état actuel des
paramètres figurant dans le panneau d’aide. Pour plus de détails, voir
Panneau sur l’état des paramètres.
Remarque : Vous pouvez ouvrir l’Assistant de configuration de l’ordinateur
depuis l’Éditeur de configuration de l’ordinateur en sélectionnant Outils |
Assistant de configuration de l’ordinateur.
Panneau de recherche Vous pouvez utiliser le panneau de recherche dans l’arborescence pour
dans l’arborescence rechercher un élément particulier dans l’arborescence.
Pour rechercher un paramètre spécifique dans l’arborescence :
1 Tapez la chaîne recherchée dans le panneau.
Panneau détaillé sur les Vous pouvez utiliser le panneau détaillé sur les paramètres pour visualiser ou
paramètres modifier des valeurs ou des commentaires concernant des paramètres ou des
sections. Pour plus de détails, voir Gestion des sections, Gestion des paramètres
et Ajout de commentaires dans le fichier citect.ini.
Lorsqu’un paramètre ou une section apparaissent en surbrillance dans
l’arborescence, les valeurs correspondantes sont affichées dans le panneau
détaillé et les fichiers correspondants dans le panneau d’aide.
163
Pour éviter les pages d’introduction de l’aide et aller directement à une rubrique
spécifique, sélectionnez cette rubrique dans le menu Aide.
Panneau de référence Le panneau de référence sur les paramètres permet de rechercher dans le
sur les paramètres panneau d’aide les rubriques de référence correspondant à un paramètre
spécifique.
Pour trouver le fichier d’aide :
1 Ouvrez le panneau de référence sur les paramètres.
2 Tapez la chaîne recherchée dans la boîte Recherche de référence sur les
paramètres.
5 Cliquez sur une entrée parmi les résultats de la recherche; la rubrique d’aide
correspondante apparaît dans le panneau d’aide.
Remarque : Les noms de sections et de paramètres sont des liens actifs qui
permettent d’afficher les rubriques d’aide correspondantes dans le panneau
d’aide.
168
169
Suppression d’une La suppression d’une section supprime automatiquement tous les paramètres
section qu’elle contient.
172
.
3 La section est désactivée et le texte correspondant dans l’arborescence des
paramètres apparaît alors en rouge.
174
.
3 Le paramètre est désactivé et le texte correspondant dans l’arborescence des
paramètres apparaît alors en rouge.
.
3 Le paramètre est activé et le texte correspondant dans l’arborescence des
paramètres apparaît alors en noir.
Visualisation des Lorsqu’un fichier de configuration est chargé par l’Éditeur de configuration de
paramètres non l’ordinateur, seuls les paramètres documentés dans l’aide sont visibles dans
l’arborescence. D’autres paramètres ne figurant pas dans l’aide existent toutefois
documentés
(essentiellement ceux utilisés par CitectSCADA) : il s’agit des paramètres non
documentés.
Pour afficher les paramètres non documentés :
1 Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la racine de l’arborescence.
2 Sélectionnez Afficher les sections et paramètres non documentés dans le
menu contextuel.
Copie de valeurs entre Lorsque les valeurs des paramètres sont différentes, l’Assistant de comparaison
les fichiers permet de modifier les fichiers pour qu’elles soient identiques.
Pour copier une valeur du fichier source vers le fichier de comparaison :
1 Dans le fichier source, cherchez le paramètre que vous désirez copier dans le
fichier de comparaison.
2 Cliquez sur la ligne avec le bouton droit de la souris; elle apparaît sur fond
bleu et un menu Copier vers RHS s’affiche. Sélectionnez ce menu.
Annulation et répétition Lorsque des valeurs de paramètres ont été copiées d’un fichier vers un autre, le
des modifications bouton Annuler devient actif pour permettre l’annulation d’une modification.
apportées aux fichiers
comparés
Fermeture sans Pour fermer l’Assistant de comparaison sans enregistrer les modifications,
enregistrement des cliquez sur Annuler dans le coin inférieur droit de la fenêtre.
modifications
Enregistrement des modifications dans le fichier citect.ini
Pour en savoir plus sur la façon dont l’Éditeur de configuration de l’ordinateur
enregistre les modifications dans votre fichier de configuration, voir :
Enregistrement des modifications dans le fichier citect.ini
Copie de sauvegarde des modifications apportées au fichier de
configuration
Abandon des modifications apportées au fichier de configuration
Copie de sauvegarde Pour effectuer une copie de sauvegarde des modifications apportées au fichier
des modifications de configuration :
apportées au fichier de 1 Sélectionnez Enregistrer sous dans le menu Fichier.
configuration 2 Une fenêtre Enregistrer sous apparaît. Tapez le nom et l’emplacement du
fichier de sauvegarde. Cliquez sur Enregistrer.
3 Une fenêtre de confirmation apparaît pour vérifier le nom et l’emplacement
du fichier. Cliquez sur OK pour continuer.
4 Une fenêtre apparaît pour confirmer que la sauvegarde a abouti. Cliquez sur
OK pour continuer.
Syntaxe des noms de Les tags CitectSCADA (tags de variable, tags d’alarme et tags de tendance)
tags doivent utiliser la syntaxe suivante :
[<alpha> | '_'] *[<alpha> | <chiffre> | '\' | '_']
En d’autres termes, le nom de tag doit commencer par un caractère
alphanumérique (A-Z ou a-z) ou le caractère de soulignement (_). Tous les
caractères suivants doivent être alphanumériques (A-Z ou a-z), numériques (0-
9), des barres obliques inverses (\) ou des caractères de soulignement (_).
L’utilisation de tout autre caractère entraînera une erreur de compilation.
Par exemple, '_MonTag123' et 'mon\Nouveau\Tag' sont tous deux valides
tandis que '\NouveauTag\' est invalide.
Les noms de tags commençant par un caractère numérique, tels que
'12NomTag', ne sont valides que si le paramètre INI [General]TagStartDigit a
pour valeur 1 (la valeur par défaut étant 0).
Remarque : Cette syntaxe est obligatoire pour les noms de tags d’alarme mais
pas pour les noms d’alarmes.
décrivant les caractéristiques de chaque tag. Par exemple, son emplacement, son
type et ses attributs spécifiques. Nous vous suggérons d’utiliser quatre
descripteurs de base :
Zone_Type_Occurrence_Attribut
Aires
Identifie une Zone de l’installation, son numéro ou son nom. Si vous utilisez un
préfixe identifiant les tags d’une zone particulière, vous pourrez facilement
dupliquer toutes les fonctions CitectSCADA concernant cette zone. Par exemple,
si vous communiquez avec trois chaudières en utilisant les mêmes commandes,
vous pourrez définir les tags se rapportant à la chaudière numéro un et les
recopier pour les chaudières numéros deux et trois. Il vous suffira ensuite de
modifier le descripteur « zone » des noms des tags correspondant aux deuxième
et troisième chaudières. Les autres parties du nom resteront inchangées.
Exemple :
Chaudière 1 Chaudière 2 Chaudière 3
B1_TIC_101_PV B2_TIC_101_PV B3_TIC_101_PV
Cette fonctionnalité n’est pas toujours nécessaire; vous pouvez alors omettre la
partie « zone » du nom du tag et réduire ainsi le nombre de caractères utilisés.
Type
Identifie le type de paramètre, de processus, d’équipement de production ou de
contrôle. Nous recommandons l’utilisation du système de nommage standard
ISA.
Tag de variable Signification
B1_TIC_101_PV Contrôleur de température
B1_FIC_101_PV Contrôleur de débit
B1_PUMP_101_PV Pompe
B1_VALVE_101_PV Soupape
Occurrence
Identifie le numéro de boucle.
Tag de variable Signification
B1_TIC_101_PV Contrôleur de température 101
B1_TIC_102_PV Contrôleur de température 102
B1_PUMP_101_PV Pompe 101
B1_PUMP_102_PV Pompe 102
198
Attribut
Identifie l’attribut ou le paramètre particulier associé à la boucle.
Tag de variable Signification
B1_TIC_101_PV Variable de processus
B1_TIC_101_SP Point de consigne
B1_TIC_101_OP Sortie
B1_TIC_101_P Gain ou bande proportionnelle
B1_TIC_101_I Intégral
B1_PUMP_101_CMD Signal de démarrage de la pompe
B1_PUMP_101_M Mode Auto/Manuel
B1_TIC_101_V Valeur (activé /désactivé)
Attributs recommandés
Les génies et les super génies fournis avec CitectSCADA utilisent la convention
suivante. Si vous l’adoptez, vous pourrez utiliser les génies sans avoir à les
modifier.
Type de
Mnémonique Contrôle/surveillance Plage
données
_CMD Signal de démarrage du Numérique 0=Désactivé, 1=Activé
périphérique
_M Mode de contrôle Numérique 0=Manuel, 1=Auto
_V Valeur Numérique 0=Désactivé, 1=Activé
_FAIL Panne périphérique Numérique 1=OK, 0=Échec
FAULT Défaillance du périphérique Numérique 1=OK, 0=Défaillance
Type de
Mnémonique Alarmes de processus Plage
données
_ALM Alarme générale Numérique 0=Active, 1=Inactive
_HHALM Alarme très haute Numérique 0=Active, 1=Inactive
_HALM Alarme haute Numérique 0=Active, 1=Inactive
_LALM Alarme basse Numérique 0=Active, 1=Inactive
_LLAM Alarme très basse Numérique 0=Active, 1=Inactive
_DALM Alarme de déviation Numérique 0=Active, 1=Inactive
_DLALM Alarme de déviation basse Numérique 0=Active, 1=Inactive
_DHALM Alarme de déviation haute Numérique 0=Active, 1=Inactive
_HHTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
très haute
_HTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
haute
_LTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
basse
199
Type de
Mnémonique Alarmes de processus Plage
données
_LLTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
basse
_DTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
de déviation
_LDTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
de déviation basse
_HDTRIP Point de déclenchement d’alarme Analogique
de déviation haute
_HHhyst Hystérésis d’alarme très haute Analogique
_Hhyst Hystérésis d’alarme haute Analogique
_Lhyst Hystérésis d’alarme basse Analogique
_LLhyst Hystérésis d’alarme très basse Analogique
_LDhyst Hystérésis d’alarme de déviation Analogique
basse
_HDhyst Hystérésis d’alarme de déviation Analogique
haute
Type de
Mnémonique Contrôle/surveillance analogique Plage
données
_PV Variable de processus Analogique
_SP Point de consigne Analogique
_RSP Point de consigne distant Analogique
_OP Sortie Analogique
_OPM Mode de sortie Numérique 0=Manuel, 1=Auto
_SPM Mode Point de consigne Numérique 0=Local, 1=Distant
_P Gain (Bande proportionnelle) Analogique
_I Intégral (remise à zéro) Analogique
_D Dérivée Analogique
_KP Modificateur de gain Analogique
_KI Modificateur intégral Analogique
_KD Modificateur dérivé Analogique
_SPTK Mode de surveillance du point de Numérique 0=Désactivé, 1=Activé
consigne
_OPTK Mode de surveillance des sorties Numérique 0=Désactivé, 1=Activé
_SPB Erreur Point de consigne Analogique
_SPR Rapport Point de consigne Analogique
_DEV Déviation
_TOT Total Analogique
_COUNT Valeur du compteur Analogique
_CRESET Commande de remise à zéro du Numérique 0=Comptage,
compteur 1=Réinitialisation
200
Type de
Mnémonique Contrôle/surveillance analogique Plage
données
_CLIMIT Limite prédéfinie compteur Analogique
_TIME Valeur du temporisateur Analogique
_TRESET Commande de remise à zéro du Numérique 0=Temporisation,
temporisateur 1=Réinitialisation
_EXP Délai expiré Numérique
_TLIMIT Limite du temporisateur Analogique
_CALC1 Résultat de calcul 1 Analogique
_LINZ1 Signal linéarisé 1 Analogique
_Q Drapeau qualité des données Numérique 1=OK, 0=MAUVAIS
Remarque : Pour raccourcir les noms de tags (au détriment de leur lisibilité),
vous pouvez omettre les caractères de soulignement. Exemple : B1TIC101PV au
lieu de B1_TIC_101_PV.
Propriétés des tags de Vous pouvez utiliser cette boîte de dialogue pour la Configuration des tags de
variables variables. Les tags de variables ont les propriétés suivantes :
Nom Variable
Vous pouvez utiliser n’importe quel nom pour un tag (79 caractères) tant qu’il
suit la Syntaxe des noms de tags et qu’il n’est pas un nom de fonction Cicode
utilisé dans le projet ou les projets inclus. Si vous avez de nombreux tags,
adoptez une convention de nommage (voir Utilisation de noms de tags
structurés). Ceci facilitera leur recherche ainsi que le débogage.
Si vous utilisez des Serveurs distribués, ce nom doit être unique pour chaque
Cluster (plusieurs clusters ne peuvent utiliser le même nom de tag de variable).
Type de données
Type de la variable de périphérique d’E/S (16 caractères). Les périphériques d’E/
S prennent en charge plusieurs types de données pouvant être échangées avec
CitectSCADA. En l’absence de normes industrielles, la majorité des fabricants de
périphériques ont adopté leurs propres conventions de nommage pour leurs
variables de périphériques d’E/S. Toutefois, toutes les variables correspondent à
l’un des types de données CitectSCADA suivants :
Type de données Variable Taille Valeurs autorisées
BCD Binary Coded 2 octets 0 à 9999
Decimal (nombre
décimal codé en
binaire)
BYTE Octet 1 octet 0 à 255
DIGITAL Numérique 1 bit ou 1 octet 0 ou 1
INT Entier 2 octets -32768 à 32767
UINT Entier non signé 2 octets 0 à 65535
LONG Entier long 4 octets -2147483648 à 2147483647
ULONG Entier long non 4 octets 0 à 4294967295
signé
204
Lors de l’utilisation d’un périphérique d’E/S sur disque, vous pouvez également
utiliser le type de données String pour y stocker des recettes ou des messages
destinés à l’utilisateur.
Les chaînes de caractères ne sont pas prises en charge par tous les périphériques
d’E/S. Toutefois, si votre périphérique accepte les types de données entiers,
CitectSCADA pourra utiliser les registres entiers pour stocker des chaînes ASCII
dans votre périphérique d’E/S. Les chaînes CitectSCADA ne peuvent être
stockées que dans des blocs contigus (registres successifs) et se présentent sous
la forme d’un tableau.
Pour afficher les types de données d’un périphérique d’E/S : dans l’Aide en
ligne, double-cliquez sur le livre Périphériques d’E/S, sélectionnez votre
périphérique puis la rubrique Types de données.
Nom périph. E/S
Nom du périphérique d’E/S où est stockée la variable (16 caractères). Si vous
utilisez des périphériques d’E/S redondants, vous devez préciser le nom du
périphérique d’E/S primaire et non celui du périphérique d’E/S auxiliaire.
Adresse
Adresse du registre dans le périphérique d’E/S où est stockée la variable (64
caractères). Le format et le préfixe d’une adresse dépendent du périphérique
d’E/S utilisé.
Valeur min. brute / Valeur max. brute
Valeurs brutes de la variable (sans unité de travail) représentant le point
minimum et le point maximum (10 caractères). Les valeurs brutes sont les
valeurs lues par CitectSCADA dans un périphérique d’E/S.
Valeur min. de travail / Valeur max. de travail
Valeurs calculées par CitectSCADA à partir des valeurs brutes (10 caractères). La
valeur min. brute est convertie en valeur min. de travail et la valeur max. brute
en valeur max. de travail. Ces propriétés, représentées dans l’unité de travail
appropriée, sont utilisées comme valeurs minimale et maximale des courbes de
tendances et des graphiques à barres.
La plupart des périphériques d’E/S renvoient un entier correspondant à la
valeur d’une entrée analogique. Pour que cette valeur puisse être exploitée, le
périphérique d’E/S convertit le signal d’entrée – généralement dans la plage 4-
20 mA – en une valeur brute – généralement (mais pas toujours) dans la plage
6400 à 32000.
Pour pouvoir donner à cette variable une valeur dotée d’un sens, vous pouvez
spécifier un facteur de conversion. CitectSCADA convertit alors les valeurs en
conséquence, comme illustré au diagramme ci-dessous.
206
Formatage des La valeur d’une variable numérique (nombre) peut être affichée sur une Page
variables numériques graphique ou écrite dans un fichier dans différents formats (par exemple 24,
0024, 24,000, ou 24,0 %).
Spécificateurs de formats
Il s’agit de caractères permettant de définir le format d’une variable numérique.
Les spécificateurs disponibles sont les suivants :
Spécificateur Description Fonction
# Dièse Nombre de caractères à
afficher
0 Zéro Remplissage
- Moins Justification
. Période Notation décimale
UE Unités de travail
S Notation exponentielle
Dans cet exemple, CitectSCADA affiche au moins quatre chiffres (ou espaces) à
droite du point d’animation. Si le nombre contient plus de quatre chiffres, le
premier se trouvera au point d’animation. La figure suivante illustre plusieurs
nombres affichés dans le format précité.
Modification de la justification
Par défaut, les variables numériques sont justifiées à droite (dans leur champ).
Vous pouvez modifier la justification par défaut en utilisant le signe moins (-)
comme second caractère de votre chaîne de formatage, par exemple :
Format : #-###
209
Utilisation des tableaux Un tableau est un ensemble de variables (de même type) stockées dans des
registres mémoire successifs de votre périphérique d’E/S. Les tableaux
numériques sont utiles lorsque plusieurs périphériques (ou processus) exécutent
des fonctions similaires. Vous pouvez programmer le périphérique d’E/S afin
qu’il stocke — dans des registres mémoire successifs — les variables associées à
chacun de ces processus. Exemple :
211
Cinq variables successives (V500, V501, V502, V503 et V504) stockent la vitesse
de cinq convoyeurs (1 à 5). Au lieu de configurer cinq tags de variables distincts
(un par convoyeur), vous pouvez en configurer un seul sous forme de tableau.
Pour définir ce tag de variable, il vous suffit d’indiquer la première adresse et
d’y ajouter la taille du tableau (le nombre d’adresses successives à utiliser).
Exemple :
Nom du tag de variable Vit_convoyeur
Adresse V500[5]
L’index du premier élément d’un tableau est toujours 0 (zéro). Dans cet exemple,
Vit_convoyeur[0] est le premier élément du tableau (Convoyeur 1) et
Vit_convoyeur[4] le dernier (Convoyeur 5).
Remarque :
Ne définissez pas de trop grands tableaux. Pour obtenir un élément de
tableau, CitectSCADA doit lire la totalité du tableau dans le périphérique
d’E/S. La lecture de grands tableaux pourrait nuire à la performance du
système.
La taille d’un tableau doit donc être inférieure à la Longueur de requête
maximale du Protocole. Celle-ci est définie dans la rubrique Description des
périphériques d’E/S (correspondant à votre périphérique).
Tous les tableaux numériques doivent être déclarés sur une limite de 16 bits.
CitectSCADA arrondit chaque tableau numérique à la limite de 16 bits la
plus proche. Tous les éléments du tableau peuvent donc être modifiés. Par
exemple, si vous déclarez un tableau Test devant commencer au bit 35,
CitectSCADA commencera le tableau au bit 32. L’index du tableau
commencera aussi au bit 32 — Test[0] fera référence au bit 32 et non pas au
bit 35.
Tableaux de chaînes
Si vous utilisez le type String (chaîne) de CitectSCADA, vous devez déclarer un
tableau de types de données entiers. Un registre INT contient deux caractères
STRING.
212
Pour calculer la taille d’un tableau (pour les types de données String), utilisez la
formule suivante :
Le dernier élément du tableau est toujours utilisé pour stocker le caractère nul
'\0'. Ce caractère identifie la fin de la chaîne.
Pour stocker le mot « Recette », vous devrez déclarer un tableau de 4 éléments.
Exemple :
Nom du tag de variable Tag_Recette
Adresse V500[4]
Supprimer le lien avec Vous pouvez supprimer le lien avec la source de données externe depuis l’écran
la source de données Périphériques d’E/S ou à l’aide de l’Assistant Express Communications. Dans ce
cas, vous pouvez choisir de faire une copie locale de tous les tags ou de les
externe
supprimer complètement.
217
Si vous importez une source de données déjà liée, tous ses tags seront dupliqués.
Vous aurez donc deux copies de chaque tag : une copie locale et une liée.
Pour en savoir plus sur les niveaux de prise en charge entre Unity et Tags
importésCitectSCADAVijeo Citect.
Certaines propriétés définies pour les tags externes ne s’appliquent pas à
CitectSCADA. Par ailleurs, leur format ne sera pas nécessairement compatible
avec CitectSCADA. Pour déterminer quelles informations seront copiées dans la
base de données de tags de CitectSCADA et la façon dont elles seront converties,
vous devez modifier le fichier de format du périphérique d’E/S.
Pour importer des tags depuis une source de données externe :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez Outils | Importer des tags.
3 Renseignez les champs de la boîte de dialogue Importer des tags de
variables.
Voir aussi Importation de propriétés de tags
Importation de Utilisez cette boîte de dialogue pour Importer des tags à partir d’une source de
propriétés de tags données externes.
Remarque : Si un périphérique d’E/S est lié à une source de données externe, les
champs Type de base de données, Base de données externe et Chaîne de
connexion et Préfixe de tag sont grisés.
La boîte de dialogue Importer des tags de variables comporte les champs
suivants :
Périphérique d’E/S
Périphérique d’E/S pour lequel vous importez des tags. Utilisez le menu pour
sélectionner un périphérique d’E/S défini dans CitectSCADA.
Remarque : Les tags seront importés dans le projet où le périphérique d’E/S
sélectionné est défini. Ce projet est soit celui sélectionné dans l’Explorateur, soit
l’un de ses projets inclus.
Type de base de données
Format des données référencées par la source de données externe.
Base de données externe (128 caractères)
Référence la source de la base de données externe. Cliquez sur le bouton
Parcourir pour accéder au fichier ou pour spécifier les options de configuration.
La base de données externe peut être :
Un chemin et un fichier explicites (ex : C :\Data\Tags.csv)
220
Définition des noms de Remarque : La fonctionnalité décrite à cette rubrique concerne uniquement
tags de variables pour FastLinx pour Mitsubishi. Vous devez avoir acquis une licence CitectSCADA
appropriée pour utiliser cette fonctionnalité.
Mitsubishi FastLinx
Si vous utilisez Mitsubishi FastLinx, vous ne pouvez pas utiliser certains mots
réservés dans vos noms de tags de variables. Vous ne pouvez pas utiliser :
Des mots réservés tels que :
& * ** -
/ + < <=
>= <> = >
ACTION AND ANY_NUM ARRAY
BOOL CASE CONFIGURATION CONSTANT
DATE DATE DINT DO
DUT DWORD ELSE EN
END_CASE END_CONFIGURATION END_FOR END_IF
END_PROGRAM END_VAR END_WHILE ENO
EXIT FALSE FOR FUNCTION
IF INT INT MOD
NOT OF OR PROGRAM
REAL REPEAT STRING STRING
TASK TIME TIME TO
TRUE TRUE UNTIL VAR_EXTERNAL
VAR_GLOBAL VAR_IN_OUT VAR_INPUT VAR_OUTPUT
WHILE WORD XOR
Des noms de fonctions Cicode. Pour une liste complète des fonctions Cicode,
voir Functions Reference.
L’utilisation de mots réservés ou de noms de fonctions Cicode peut entraîner
une erreur de syntaxe dans Mitsubishi FastLinx lorsque vous exportez des tags
dans la base de données de noms de tags FastLinx.
223
Propriétés de La boîte de dialogue Propriétés de configuration des liaisons Unity définit les
configuration des paramètres utilisés pour générer des tags d’alarmes, de tendances et
d’accumulateurs. Elle contient les champs suivants :
liaisons Unity
Pilote de protocole et périphérique d’E/S
Le nom du périphérique d’E/S de destination et du protocole correspondant.
Type de base de données Unity
Le type de pilote de base de données d’importation/exportation sélectionné dans
la boîte de dialogue Importer Variable Tags.
Famille d’automate
Le nom de la famille de l’automate utilisé pour l’importation : Premium ou
Quantum. Cette option n’est valide que pour le protocole Unity Speedlink Static.
Fichier Unity
Chemin du fichier du projet Unity à partir duquel vous voulez importer des
tags. Si le type de base de données externe est Unity Speedlink Dynamic, ce sera
un fichier *.stu. Si le type de base de données externe est Unity Speedlink Static,
ce sera un fichier *.xsy.
Activation du profil Unity
Activez cette fonction si l’accès à la base de données Unity nécessite un nom et
un mot de passe.
Nom d’utilisateur et mot de passe Unity
Le nom d’utilisateur et le mot de passe requis le cas échéant par la base de
données Unity à partir de laquelle vous importez des tags.
Activation DCOM
Activez cette fonction si l’hôte de la base de données est un serveur DCOM.
Nom du serveur DCOM
S’il est activé, le serveur DCOM que le client utilise pour accueillir la base de
données dans laquelle vous extrayez des tags.
Nom d’utilisateur et mot de passe DCOM
S’il est activé, le nom d’utilisateur et le mot de passe du serveur DCOM.
Chemin du fichier journal
Le chemin d’accès des fichiers journaux générés lors du processus d’importation
ou d’exportation.
Niveau d’enregistrement
Le niveau de détail requis dans les fichiers journaux d’importation ou
d’exportation.
Taille du pool de journaux
Nombre maximum de fichiers journaux pour un périphérique donné.
224
Valider
Cliquez sur le bouton Valider pour vérifier que les paramètres de la liaison Unity
sont corrects. Ce bouton active le bouton OK sur la page.
Propriétés du La boîte de dialogue Navigateur de tags du serveur OPC d’accès aux données
navigateur de tags du génère les chaînes requises par le pilote de base de données du serveur d’accès
aux données OPC dans CitectSCADA.
serveur OPC d’accès
aux données Elle contient les champs suivants :
Nom de la machine
Emplacement du serveur OPC qui peut être une adresse IP ou le serveur du
réseau. Laisser vierge pour sélectionner la machine locale.
Affichage de l’arborescence de base de données
Affiche tous les serveurs du réseau exécutant l’application serveur OPC ainsi
que la structure de nœuds hiérarchique de la base de données pour chacun
d’entre eux.
Sélectionnez un groupe de tags à importer d’une base de données disponible.
Les données OPC peuvent avoir une structure arborescente (hiérarchique) ou
plate. Le pilote OPC de CitectSCADA prend en charge l’accès à ces deux types
de stockage. Si les données sont dans une structure arborescente, on peut
accéder au premier niveau de branche à partir du nœud de racine. Des niveaux
de branchement plus profonds pourront être pris en charge à l’avenir.
Remarque : Les valeurs d’authentification doivent être valides pour l’accès en
lecture/écriture, tel que défini par votre administrateur de base de données.
Pour en savoir plus sur les niveaux de prise en charge entre Unity et
CitectSCADAVijeo Citect Tags exportés.
Pour exporter des tags vers une base de données externe :
1 Ouvrez l’Explorateur Citect.
2 Sélectionnez Outils | Exporter des tags.
3 Renseignez les champs de la boîte de dialogue Exporter des tags de
variables.
Exporter des propriétés Utilisez cette boîte de dialogue pour Exporter des tags vers une base de données
de tags de variables externes. La boîte de dialogue Exporter des tags de variables comporte les
champs suivants :
Base de données externe
Référence (128 caractères maximum) à la source de données externe vers
laquelle vos tags seront exportés. Il peut s’agir de :
Un chemin et un fichier explicites (ex : C :\Data\Tags.csv)
Une adresse et un nœud IP (ex : 127.0.0.1\HMI_Scada)
Une URL (ex. http://www.abicom.com.au/main/scada)
Un nom d’ordinateur (ex : \\coms\data\scada)
226
Remarque : Cette source de données doit exister pour que l’exportation puisse
être effectuée.
Type de base de données
Format des données référencées par la source de données externe.
Chaîne de connexion
Tapez une chaîne de connexion pour fournir des détails concernant la source de
données. Cette chaîne est semblable à une chaîne de connexion ODBC.
Exemple :
UserID = XXX; Password = YYY
Certaines sources de données n’exigent pas de chaîne de connexion.
Périphérique d’E/S
Périphérique d’E/S pour lequel vous exportez des tags. Utilisez le menu pour
sélectionner un périphérique d’E/S défini dans CitectSCADA.
Supprimer le préfixe de tags
Cochez cette case pour supprimer un préfixe connu des noms des tags exportés.
Préfixe de tag
Préfixe (8 caractères maximum) qui sera supprimé des noms de tags exportés.
Effacer les tags existants
Cochez cette case pour effacer des tags dans la base de données externe avant
l’exportation.
Remarque : Pour le pilote Unity, les tags existants ne sont pas supprimés même
si vous cochez cette boîte.
Source de données Pour procéder à une importation, une exportation ou un lien, vous devez fournir
externe une source de données ainsi que le format des données.
Votre source de données peut être spécifiée comme suit :
Un chemin et un fichier explicites (ex : C :\Data\Tags.csv)
Une adresse et un nœud IP (ex : 127.0.0.1\HMI_Scada)
Une URL (ex. http://www.abicom.com.au/main/scada)
Un nom d’ordinateur (ex : \\coms\data\scada)
Le champ Type de base de données spécifie le format de la source de données
externe. Lorsque CitectSCADA essaie de lire dans cette source de données, il
utilise le mécanisme spécifié par le type de base de données. Les types de bases
de données pris en charge sont :
227
OPC
CSV (Valeurs séparées par des virgules)
Fichier ASCII Concept Ver 2.1
Mitsubishi FastLinx (pilote spécialisé permettant de se connecter
directement au logiciel de programmation de l’automate)
Pour configurer la source de données externe comme fichier
L’exemple utilise un fichier CSV, ici un pilote de base de données RSLOGIX.
Dans la boîte de dialogue Importer/Exporter ou Liens, entrez les informations
suivantes :
Base de données externe C :\Data\Tags.csv
Type de base de données Pilote RSLOGIX
Chaîne de connexion (vierge)
Pour configurer la source de données externe à l’aide d’un pilote spécialisé
Remarque : Cet exemple utilise le pilote OPC fourni.
Dans la boîte de dialogue Importer/Exporter ou Liens, entrez les informations
suivantes :
Base de données externe : Nom du processus serveur OPC, par exemple
FactorySoft.InProc
Type de base de données : OPC
Chaîne de connexion : Les paramètres sont ServerNode ou Branch et
sont facultatifs. Leur utilisation dépend de l’emplacement du serveur
OPC et de la quantité de données requise. ServerNode peut être une
adresse IP ou le chemin d’accès au serveur. Exemple :
ServerNode=127.0.0.1
ServerNode=\\Server
ServerNode=www.server.com
Le paramètre Branch indique si les données OPC ont une structure
arborescente (hiérarchique) ou plate. Le pilote OPC de CitectSCADA prend
en charge l’accès à ces deux types de stockage. Si les données sont dans une
structure arborescente, on peut accéder au premier niveau de branche à
partir du nœud de racine en entrant le nom de la branche. Exemple :
Branch=device1
Des niveaux de branchement plus profonds pourront être pris en charge à
l’avenir.
Remarque : Cet exemple utilise le pilote Mitsubishi fourni
228
Section [Columns]
Sections [ImportFilterMap] et [ExportFilterMap]
Chaque section est composée d’un en-tête contenant le nom de la section entre
crochets (ex : « [ma_section] ») seul sur une ligne. Suit alors le corps de la
section, en général des instructions d’une ligne sous la forme :
"quelque_chose= quelque_chose_d’autre ->
quelque_chose_d’autre_encore"
Les espaces autour de « = » et de « -> » sont facultatifs, mais l’intégralité de
l’instruction doit figurer sur une ligne. La majorité des instructions d’un fichier
de format suivent ce modèle, mais le « -> » (le convertisseur) sera souvent absent
ou sans suite.
Les sections suivantes doivent figurer dans tous les fichiers de format :
[General]
[Columns]
[ImportFilterMap]
[ExportFilterMap]
D’autres sections peuvent être nécessaires selon la complexité de la conversion
entre CitectSCADA et la source de données externe. Celle-ci est déterminée par
le contenu de [ImportFilterMap] et [ExportFilterMap].
Des commentaires peuvent également être ajoutés à l’intérieur ou entre des
sections. Pour ce faire, placez un point-virgule « ; » en début de ligne. Le reste de
la ligne est alors considéré comme un commentaire et est ignoré par
CitectSCADA. Exemple :
; Je mets la section [General] ici
[General]
Section [General]
La section General est composée de 4 lignes :
[General]
Name=nom
Description= description
DriverName= nom du pilote
DriverInst="une chaîne particulière"
Le nom et la description ne sont pas utilisés actuellement par CitectSCADA.
CitectSCADAutilise le nom de pilote pour charger le pilote correspondant à la
source de données externe. Ce pilote peut faire partie de l’installation
CitectSCADA ou être un pilote personnalisé (y compris un pilote que vous avez
écrit vous-même) permettant d’accéder à une source de données particulière
(qui pourra être un protocole, un type de matériel, un type de serveur ou de
fichier). Le pilote doit être conforme à OLE DB.
231
Section [Columns]
La section Columns définit le format des colonnes dans la source de données
externe. Sa structure est la suivante :
[Columns]
External column name 1 = column width -> data type
External column name 2 = column width -> data type
..
External column name n = column width -> data type
La seule restriction imposée par CitectSCADA sur les données relatives à
External Column name n est qu’elles soient uniques à l’intérieur de la section. Par
souci de commodité, vous pouvez utiliser les noms utilisés par la source de
données externe (tels que « Description », « Id_automate », « TypeES ») ou
simplement utiliser des noms comme « Colonne1 », « Colonne2 », et ainsi de
suite. L’ordre d’apparition de ces entrées est important et doit suivre celui des
champs dans la source de données externe. Les noms utilisés pour les colonnes
de la source de données externe dans les sections [ImportFilterMap] et
[ExportFilterMap] doivent provenir de cette liste.
Column width est le nombre de caractères du champ et Data type le type de
données correspondant à cette colonne. Actuellement, seul le type de données
« STRING » est utilisé.
[ImportFilterMap]
Import Rule 1 = External column name l -> Citect Column i
Import Rule 2 = External column name m -> Citect Column j
..
Import Rule nn = External column name n -> Citect Column k
Import Rule nn peut contenir des chaînes quelconques qui doivent cependant
être uniques à l’intérieur de la section. Par souci de commodité, vous pourriez
donc utiliser des noms tels que « ImportRule1 », « ImportRule2 », « Mapping1 »,
« Filter1 » etc., ou un nom décrivant mieux la conversion en question, tel que
« Description_to_comment ».
Le nom utilisé pour External column name n doit être identique à la valeur de
External column name n dans la section [Columns].
Le nom utilisé pour Citect Column k doit être identique à l’une des colonnes de la
base de données interne de tags CitectSCADA, tel que « Name », « Type »,
« Addr », « Comment », etc.
Les valeurs de la colonne externe et de la colonne CitectSCADA fournissent
donc des informations sur la façon de transférer des données depuis la colonne
externe vers la colonne Citect lors de l’importation.
Exemple :
ImportRule1 = Description -> Comment
Indique qu’il existe une relation entre les données du champ « Description » de
la source de données externe et les données qui doivent être entrées dans le
champ « Comment » de la base de données CitectSCADA.
Le nom que vous utilisez pour Import Rule nn peut être identique au nom d’une
autre section facultative du fichier de format – dans ce cas, la section
supplémentaire fournit des informations complémentaires à CitectSCADA.
Dans le cas le plus simple, si le fichier de format ne contient pas de section
portant ce nom, la règle indique simplement que les données dans External
column name n doivent être copiées directement dans Citect Column k sans
modification ni filtrage.
Ainsi, si la colonne « Description » de la base de données externe comporte
« Position camion 1 », si l’entrée ci-dessus figure dans la section
[ImportFilterMap] et s’il n’existe pas de section appelée [ImportRule1], alors
après l’importation, la colonne « Comment » de la base de données
CitectSCADA contiendra la chaîne « Position camion 1 ».
Concaténation
Pour concaténer des champs de la base de données externe dans un champ
unique de la base de données CitectSCADA, vous devez ajouter des entrées
distinctes dans la section [ImportFilterMap]. Chaque section doit comporter le
nom d’une colonne externe et le nom de la colonne de destination dans
233
CitectSCADA. Les entrées doivent figurer dans l’ordre dans lequel les champs doivent
être concaténés.
Ainsi, si la source de données externe comporte un champ appelé « IOdev »
contenant la valeur « M », et un autre champ appelé « IOaddr » contenant la
valeur « 61 », et si vous souhaitez les relier pour que la valeur « M61 » soit
importée dans le champ « Addr » de CitectSCADA, vous devez procéder de la
façon suivante :
[ImportFilterMap]
Addr1= IOdev -> Addr
Addr2= IOaddr -> Addr
Dans ce cas, vous devrez vous assurer que le fichier de format ne comprend pas
de sections intitulées [Addr1] ou [Addr2], sauf si vous avez besoin d’effectuer un
filtrage ou une conversion.
Voir aussi Conversion de champ
Conversion de champ Pour modifier des données mappées ou pour appliquer un filtrage (pour rejeter
certains enregistrements), créez une nouvelle section en utilisant le nom de la
ligne correspondant à la section de mappage concernée. Par exemple, si vous
avez la section de mappage suivante :
[ImportFilterMap]
Test1_to_type = Test1 -> Type
et si vous voulez convertir les données de la colonne Test1 avant de les importer,
définissez une section [Test_to_type] dans une autre partie du fichier :
[Test1_to_type]
suivie de la règle de conversion nécessaire.
Remarque : Le nom doit provenir de la section de mappage d’importation, et
non de la section de mappage d’exportation. Si vous utilisez un nom de la
section de mappage d’exportation, la conversion s’appliquera lors de
l’exportation et non lors de l’importation.
Le format de base de cette section de conversion/filtrage est le suivant :
[Nom de mappage pertinent]
Filtering Rule 1 = External Pattern 1 -> Citect String 1
..
Filtering Rule m = External Pattern m
..
Filtering Rule n = External Pattern n -> Citect String n
Le nom utilisé pour Filtering Rule n n’a pas de signification particulière dans
CitectSCADA (à part le fait qu’il l’utilise comme clé pour trouver l’entrée). La
seule restriction est qu’il doit être unique à l’intérieur de la section. Vous pouvez
donc utiliser le nom de votre choix.
234
Reconnaissance des Votre fichier de format doit être sauvegardé dans le répertoire d’installation de
fichiers de format par CitectSCADA; il s’agit normalement de votre répertoire \Bin (généralement
C :\Program Files\Citect\CitectSCADA 7\Bin).
CitectSCADA
Pour pouvoir procéder à une importation, une exportation ou une liaison,
CitectSCADA doit connaître le nom du fichier de format et celui du pilote qui
accédera à la source de données externe. Il lui faut également connaître le texte
de la chaîne qui apparaîtra dans le champ Type de base de données de la boîte
de dialogue Importer ou Exporter. Toutes ces informations sont stockées dans
un autre fichier, appelé tagdriv.ini et situé dans le même répertoire.
Le format de tagdriv.ini est simple et suit le format odbc.ini. Le fichier
installé possède toutes les informations nécessaires aux fichiers de format et aux
pilotes fournis avec CitectSCADA. Il vous suffit d’utiliser la même présentation
pour votre nouveau fichier de format et pour le pilote que vous utilisez.
Le fichier tagdriv.ini comprend plusieurs sections. La première est la
section [External data sources] dont la disposition générale est la suivante :
[Sources de données externes]
Section name 1 = nom de la 1ère entrée que vous voulez faire
apparaître dans le menu importer/exporter/lier
Section name 2 = nom de la 2e entrée que vous voulez faire
apparaître dans le menu importer/exporter/lier
...
Section name nn = nom de la nnième entrée que vous voulez faire
apparaître dans le menu importer/exporter/lier.
Chaque entrée de cette section renvoie à un fichier de format et à un pilote
nécessaires pour effectuer une importation, une exportation ou une liaison.
Le texte à gauche du signe « = » doit renvoyer au nom d’une autre section devant
apparaître dans tagdriv.ini.
Le texte à droite du signe « = » correspond exactement à ce qui apparaîtra dans le
menu « Type de base de données » pour importer, exporter ou rafraîchir des
tags de variables.
Chacune des autres sections renvoie à un type d’importation ou d’exportation
décrit dans la section [External data sources] et donne des détails sur le
fichier de format et le pilote nécessaires. La disposition générale de ces sections
est la suivante :
[Nom de section correspondant à une entrée dans [External data
sources] ]
driverid = Id. pilote
datastring = Nom du fichier de format
Actuellement, l’Id. pilote est toujours CiTrans.
240
[CSV]
driverid = CiTrans
datastring = csv.fmt
[RSLOGIX]
driverid = CiTrans
datastring = rslogic.fmt
[MxChange]
driverid = CiTrans
datastring = MxChange.fmt
Ajoute quatre entrées dans le menu déroulant de type de base de données : CSV,
RSLOGIX, ASCII et Mitsubishi FastLinx.
Les 4 entrées de la liste déroulante correspondent aux chaînes situées à droite du
signe « = » dans la section [External data sources].
Si vous ajoutez un nouveau fichier de format, vous devez également ajouter une
entrée correspondante dans tagdriv.ini. Par exemple, si vous ajoutez un
nouveau fichier de format pour une source de données Simatic, vous devrez
ajouter la ligne suivante à la section [External data sources] :
SIMATIC = Pilote Siemens SIMATIC
Vous devrez également ajouter la section suivante à la fin du fichier :
[SIMATIC]
driverid = CiTrans
datastring = SIMATIC.fmt
Sauvegardez le fichier, relancez l’Explorateur Citect et le menu affichera « Pilote
Siemens SIMATIC ».
241
Remarque : Les tableaux sont pris en charge pour tous les types de données sauf
DT et STRING.
Remarque : Les types de données Unity marqués d’un astérisque n’ont pas de
correspondance directe. Vous devez alors utiliser les types de données pris en
charge par Citect et Cicode pour convertir et simuler ces types de données.
Automates
Types de données Unity Protocoles Citect Prise en charge
Unity
PREMIUM BOOL, EBOOL, BYTE, WORD, Unite Pris en charge
DWORD, INT, DINT, UINT, UDINT, Modnet Pris en charge
REAL, TIME, DATE, TOD, DT, (Sauf type BYTE)
STRING Modbus Pris en charge
(Sauf type BYTE)
MBPlus Pris en charge
(Sauf type BYTE)
OPC Oui (saut type DT)
Remarque : Les tableaux sont pris en charge pour tous les types de données sauf
DT et STRING.
244
245
Présentation
CitectSCADA prend en charge deux types de projets :
Lecture-écriture : donne à l’utilisateur courant des droits d’écriture et de
suppression sur le dossier du projet (ou tout fichier du projet).
Lecture seule : interdit à l’utilisateur courant d’écrire et de supprimer des
données dans le dossier du projet.
Le tableau ci-dessous résume les caractéristiques des projets en lecture seule et
en lecture-écriture.
246
Un projet en lecture seule ne peut pas être compilé comme projet de niveau
supérieur (projet principal (racine) par opposition à un projet inclus) et les
modifications en ligne ne sont pas prises en charge.
Remarque : Si le dossier du projet est en lecture seule pour l’utilisateur courant
alors que certains fichiers du projet sont en lecture-écriture pour ce même
utilisateur, le projet est considéré être un projet hybride en lecture seule/lecture-
écriture. CitectSCADA ne prend pas en charge ce type de projet. L’exécution
d’un projet hybride pourrait entraîner l’arrêt de votre système. (Cette remarque
ne couvre pas les dossiers ou fichiers nécessitant un accès en lecture-écriture en
phase d’exécution; pour plus de détails, voir Utilisation de CitectSCADA avec la
sécurité Windows.)
Le modèle de sécurité utilisé pour les projets en lecture-écriture ne remplace pas
les comptes utilisateurs CitectSCADA mais fonctionne en association avec ceux-
ci :
Les comptes utilisateurs CitectSCADA régissent la sécurité des éléments des
projets en phase d’exécution.
Les comptes utilisateurs Windows régissent la sécurité des éléments de
configuration des projets.
7 Cliquez sur Effacer tout pour effacer les sélections courantes puis cochez la
case Autoriser pour les options suivantes :
Parcours du dossier/exécuter le fichier
Liste du dossier/lecture de données
Attributs de lecture
Lecture des attributs étendus
Autorisations de lecture
8 Vos sélections devraient apparaître comme suit :
Démarrage
Un projet est en lecture seule lorsque l’Explorateur Citect démarre. Si les
paramètres de sécurité du dossier du projet sont modifiés après le lancement de
l’Explorateur Citect, les applications de configuration CitectSCADA risquent de ne
pas déterminer correctement que le projet est en lecture seule.
Voir aussi Utilisation de CitectSCADA avec la sécurité Windows
Généralités
Lorsqu’un projet en lecture seule est ouvert à l’aide de l’Éditeur graphique, de
l’Éditeur de projets ou de l’Explorateur Citect, la barre de titre affiche le nom du
projet et un message de lecture seule pour indiquer que le projet est en lecture
seule.
L’ouverture de l’Assistant Express pour un projet en lecture seule affiche un
message sur la première page indiquant que le projet est en lecture seule :
Par ailleurs, les commandes de menu, les boutons de la barre d’outils et les
autres opérations d’écriture sont grisés et/ou indisponibles. Par exemple, la
commande Copier est disponible dans l’Éditeur de projets pour un projet en
lecture seule mais les commandes Couper et Coller ne le sont pas.
Lorsque vous utilisez l’Analyseur de processus, vous ne pouvez pas créer de
vues dans un dossier de projet en lecture seule et un message d’erreur s’affiche.
Graphiques et pages
Vous ne pouvez pas mettre à jour des documents ou des pages graphiques dans
des projets en lecture seule. (Vous pouvez par contre mettre à jour des pages
255
Sauvegarde et restauration
Les projets en lecture seule peuvent être sauvegardés par n’importe quel
utilisateur, quels que soient ses privilèges. La fonction de sauvegarde n’archive
toutefois pas les permissions de sécurité courantes. En conséquence, si le projet
est restauré sur une autre machine, les paramètres de sécurité devront être
redéfinis.
Les projets ne peuvent pas être restaurés dans un projet existant en lecture seule;
dans un tel cas, le message d’erreur suivant apparaît :
Par ailleurs, lorsque CitectSCADA détecte qu’un projet utilisateur est en lecture
seule et lorsque la version de CitectSCADA utilisée pour créer le projet ne
correspond pas à la version actuelle de CitectSCADA, le message d’erreur
suivant apparaît :
Débogage
Lorsque vous déboguez du code, vous pouvez définir des points d’arrêt dans les
projets en lecture seule mais ils ne seront pas enregistrés lorsque vous quitterez
l’Éditeur Cicode.
Automates sur disque - Si un utilisateur n’a pas les privilèges requis pour le
chemin [RUN], toutes les communications se feront hors ligne pour les
automates sur disque. Vous devez changer cet emplacement si vous avez
l’intention de protéger le dossier du projet en écriture.
Fonctions utilisateurs Cicode - La protection d’un projet en écriture interdit
l’utilisation des fonctions utilisateurs suivantes : UserCreate, UserDelete,
UserEditForm, UsetrSetPassword, UserSetPasswordForm. Vous
obtiendrez le code d’erreur 262 (0x0106) (Impossible d’ouvrir le fichier) si
vous essayez d’utiliser ces fonctions.
Fonctions d’alarme Cicode - La protection d’un projet en écriture interdit
l’utilisation des fonctions d’alarme suivantes : AlarmSetDelay,
AlarmSetDelayRec, AlarmSetThreshold, AlarmSetThresholdRec. Vous
obtiendrez l’alarme matérielle 400 (0x0190) (projet ou fichier en lecture
seule) si vous essayez d’utiliser ces fonctions. Vous ne pouvez pas modifier
les propriétés des alarmes telles que les seuils ou les retards.
Tous les fichiers de votre projet de niveau supérieur nécessitant un accès en
lecture-écriture en phase d’exécution devraient être situés hors du dossier du
projet.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de créer une page, un Modèle, un symbole, un
Nouveau Génie ou un Super Génie à l’aide d’un bouton.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de créer une nouvelle page ou un nouveau
Utiliser modèle modèle à partir d’un modèle existant.
(nouvelle page/nouveau
modèle)
Modèle
Tableau de modèles servant à créer une nouvelle page ou un nouveau modèle.
La barre de défilement permet de localiser une image réduite (vignette) du
modèle. Vous pouvez alors soit sélectionner ce modèle et cliquer sur le bouton
OK soit double-cliquer directement sur la vignette.
Remarque : Pour modifier le modèle, sélectionnez-le et cliquez sur Éditer.
Style
Style de la page. Les modèles CitectSCADA sont regroupés par styles, avec
différentes résolutions de page. Lors de la création d’un nouveau projet, vous
pouvez choisir le style qui convient le mieux à vos goûts et à votre application.
Pour plus de détails sur les styles, consultez la notice de présentation de
CitectSCADA livrée avec le système CitectSCADA.
Relié
Cochez cette case pour conserver le lien avec le modèle d’origine. Une page ou
un modèle lié(e) à son modèle d’origine est automatiquement mis(e) à jour en
cas de modification de ce dernier.
Remarque : Vous pouvez annuler le lien au modèle à tout moment à l’aide de la
commande Couper Liaison du menu Éditer mais vous ne pouvez pas rétablir un
lien annulé.
Barre de titre
Titre affiché dans la barre de titre de la page ou du modèle.
264
Résolution
Résolution d’écran de la page ou du modèle :
Type d’écran Largeur (pixels) Hauteur (pixels)
Valeur par défaut Largeur de l’écran de l’ordinateur Hauteur de l’écran de l’ordinateur
utilisé utilisé
VGA 640 480
SVGA 800 600
XGA 1024 768
SXGA 1280 1024
Utilisateur Définie par l’utilisateur Définie par l’utilisateur
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet d’ouvrir ou d’enregistrer une page, un modèle,
Ouvrir/Enregistrer sous un symbole, un Génie ou un Super Génie. (Pour sélectionner le type d’entité,
cliquez sur l’onglet correspondant.)
Page/Symbole/Modèle/Génie
Nom de l’élément concerné : page graphique, modèle, symbole, Génie ou Super
Génie.
Pour ouvrir l’un de ces éléments, sélectionnez son nom dans la grande fenêtre.
Pour en enregistrer un, tapez son nom dans la zone de saisie (ou sélectionnez un
des noms de la grande fenêtre pour écraser un élément existant : page, modèle,
symbole, Génie ou Super Génie).
Remarque : Si vous utilisez des Serveurs distribués, ce nom doit être unique
pour chaque Cluster (plusieurs clusters ne peuvent utiliser le même nom de
page).
Projet
Projet dans lequel est enregistrée la page graphique, le modèle, le symbole, le
Génie ou le Super Génie.
Bibliothèque
(Pour les symboles, les Génies et les Super Génies uniquement.) Bibliothèque
dans laquelle est enregistré le symbole, le Génie ou le Super Génie. Pour créer
une nouvelle bibliothèque, cliquez sur Nouveau.
Style
(Pour les modèles uniquement.) Style du modèle. Pour créer un nouveau style,
cliquez sur Nouveau.
Prévisualisation activée
Affiche une image de l’élément (page, modèle, symbole, Génie ou Super Génie)
sous forme de vignette.
265
Barre de titre
(Pour les modèles uniquement.) Indique si un espace doit être réservé pour la
barre de titre. Dans un tel cas, l’espace d’affichage sera réduit d’autant.
Résolution
(Pour les modèles uniquement.) Résolution d’écran du modèle :
Type d’écran Largeur (pixels) Hauteur (pixels)
Valeur par Largeur de l’écran de l’ordinateur utilisé Hauteur de l’écran de l’ordinateur
défaut utilisé
VGA 640 480
SVGA 800 600
XGA 1024 768
SXGA 1280 1024
Utilisateur Définie par l’utilisateur Définie par l’utilisateur
Choix d’un style de CitectSCADALes modèles sont regroupés par styles, avec différentes résolutions
page de page. Lors de la création d’un nouveau projet, vous pouvez choisir le style
qui convient le mieux à vos goûts et à votre application. Pour plus de détails,
voir la notice « Mise en route » fournie avec votre système CitectSCADA.
Voir aussi Liens entre modèles
Liens entre modèles Lorsque vous utilisez un modèle pour créer une nouvelle page, vous pouvez
conserver le lien avec le modèle. Une page ou un modèle lié(e) à son modèle
d’origine est automatiquement mis(e) à jour en cas de modification de ce
dernier.
Lorsqu’une page est liée à un modèle, ses objets ne sont pas accessibles par
simple double-clic. Pour afficher les propriétés de ces objets, appuyez sur la
touche Contrôle (CTRL) et double-cliquez sur l’objet désiré. Vous pouvez
également sélectionner Outils | Aller vers objet puis choisir le groupe et cliquer
sur OK. La plupart de ces propriétés sont toutefois protégées en écriture.
Remarque : Vous pouvez annuler le lien au modèle à tout moment à l’aide de la
commande Éditer | Couper Liaison mais vous ne pouvez pas rétablir un lien
annulé.
Voir aussi Création de vos propres modèles
Création de vos propres Si votre projet comporte plusieurs pages semblables (par exemple, des pages de
modèles menu, des processus ou des équipements communs), vous pouvez créer votre
propre modèle (contenant tous ces objets communs) que vous utiliserez comme
base pour vos pages. Vous pourrez ensuite ajouter des objets à chaque page ainsi
créée.
Si, par la suite, vous souhaitez supprimer un objet commun ou le changer de
place, ou encore en ajouter un, il vous suffira alors de modifier le modèle sans
modifier les pages correspondantes. CitectSCADA actualise automatiquement
les pages utilisant un modèle.
Remarque : Après avoir créé un modèle, enregistrez-le dans le répertoire du
projet. Il sera ainsi sauvegardé en même temps que le projet. Ne modifiez pas les
modèles standard fournis avec CitectSCADA. Pour modifier un modèle, utilisez
la commande Mise à jour pages (du menu Outils) pour mettre à jour toutes les
pages utilisant ce modèle. Les propriétés du modèle ne sont pas
automatiquement actualisées.
Pour créer un nouveau modèle :
1 Cliquez sur Nouveau ou sélectionnez Fichier | Nouveau.
2 Cliquez sur Modèle.
3 Choisissez un Modèle.
4 Choisissez un Style.
267
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de créer un nouveau style de modèle. Tapez le
Nouveau style nom du nouveau style dans la boîte de texte Nom.
Vous n’êtes pas obligé d’utiliser une séquence de visualisation. Vous pouvez
définir plusieurs commandes Aller vers page pour afficher des pages spécifiques
dans une structure hiérarchisée.
Voir aussi Définition d’une page de démarrage
Dimensionnement de la page
Par défaut, les pages créées dans l’Éditeur graphique occupent toute la zone
d’affichage. Vous pouvez toutefois les redimensionner. Vous pouvez :
Spécifier les dimensions d’une page lorsque vous la créez.
Changer les dimensions d’une page existante à tout moment.
Spécifier les dimensions par défaut de toutes les nouvelles pages.
Voir aussi Résolution de page (d’écran)
Dimensions de la page en phase d’exécution
Résolution de page Lorsque vous créez une page graphique, vous devez connaître la résolution de
(d’écran) votre ordinateur ainsi que celle de l’écran du système superviseur sur lequel elle
sera affichée.
Une page dont la résolution est inférieure à celle de l’écran sur lequel elle est
affichée n’occupera pas toute la zone d’affichage. Par exemple, si vous créez une
page sur un écran VGA (640 x 480) puis l’affichez sur un écran XGA (1024 x 768),
l’image affichée sera alignée sur l’angle supérieur gauche de cet écran et
occupera un peu plus de la moitié de sa surface.
À l’inverse, une page dont la résolution est supérieure à celle de l’écran sur
lequel elle est affichée sera plus grande que la zone d’affichage. Par exemple, si
vous créez une page sur un écran XGA et l’affichez sur un écran VGA, elle
270
occupera une surface supérieure à celle de cet écran — vous devrez alors utiliser
les barres de défilement pour accéder à la partie masquée de l’image.
Propriétés de page — Les pages graphiques ont les propriétés générales suivantes :
Généralités Titre fenêtre
Titre affiché sur la page en phase d’exécution (64 caractères maximum).
Description
Description de la page, de ses diverses fonctions, etc. (250 caractères maximum).
Cette description est prévue à titre d’information uniquement et n’affecte pas le
fonctionnement de votre système; elle n’apparaît pas en phase d’exécution.
Page précédente
La page précédant la page active dans la séquence d’exploration du système
superviseur (64 caractères maximum). Choisissez une page existante dans le
menu ou tapez un nom de page.
272
Propriétés de page — L’apparence de vos pages graphiques est définie dans l’onglet Apparence.
Apparence Les pages graphiques ont des propriétés d’apparence suivantes :
[Modèle] Style
Style (apparence) de la page graphique dans le système superviseur. Vous
pouvez définir un style par défaut (appliqué aux nouvelles pages) utilisant les
paramètres par défaut des pages et des modèles existants.
La majorité des utilisateurs préfèrent le style Standard. Vous pouvez visualiser
les styles prédéfinis en ouvrant le projet Include et en sélectionnant Graphiques
puis Modèles.
[Modèle] Résolution
La résolution d’écran par défaut des pages :
Type d’écran Largeur (pixels) Hauteur (pixels)
VGA 640 480
SVGA 800 600
XGA 1024 768
SXGA 1280 1024
Utilisateur **** ****
[Modèle] nom
Nom du modèle servant de base à la page. Choisissez un nom de modèle dans le
menu.
Remarque : Si vous cherchez un modèle que vous avez créé vous-même, vérifiez
que vous avez sélectionné les paramètres Style et Résolution corrects.
[Modèle] avec barre de titre
Détermine si la barre de titre apparaît à l’écran (en haut de la page). Cette barre
contient le nom de la fenêtre, les boutons d’agrandissement, de réduction et de
274
Propriétés de page — La propriété Commandes clavier permet de définir les commandes clavier
Commandes clavier associées à une page. Une commande clavier est une séquence de touches
particulière qui exécute une commande lorsqu’un opérateur la tape en phase
d’exécution.
Vous pouvez également définir un message qui sera enregistré chaque fois que
cette séquence de touches sera entrée.
Les opérateurs qui ne remplissent pas les conditions d’accès spécifiées à la
rubrique Sécurité ci-dessous ne peuvent pas entrer des commandes clavier en
phase d’exécution.
Les commandes clavier ont les propriétés suivantes :
Séquence de touches (32 caract.)
Tapez la séquence de touches que l’opérateur doit saisir pour exécuter une
commande.
Vous pouvez entrer autant de séquences que vous le désirez. Pour ajouter une
séquence de touches, cliquez sur Ajouter et tapez une séquence ou sélectionnez
en une dans le menu. Pour modifier une séquence existante, cliquez sur la ligne
275
désirée puis sur Éditer. Vous pouvez également supprimer des séquences de
touches en cliquant sur Supprimer.
Commande de séquence de touches
Commandes (jeu d’instructions) à exécuter dès que la séquence de touches
sélectionnée est entrée. La longueur maximale d’une commande de séquence de
touches est 254 caractères.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Sécurité] Même zone que la page
Cochez cette boîte pour affecter la commande clavier à la même zone que la
page (voir Propriétés de page — Généralités). Seuls les utilisateurs disposant des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pourront émettre cette
commande ou enregistrer le message. Si vous voulez affecter cette commande
clavier à une autre zone, ne cochez cette case mais entrez une autre zone en
dessous.
[Sécurité] Zone de commande
Entrez la zone à laquelle appartient cette commande clavier (16 caractères
maximum). Seuls les utilisateurs disposant des droits d’accès à cette zone (et des
autres privilèges requis) pourront émettre cette commande ou enregistrer le
message. Si, par exemple, vous indiquez ici Zone 1, les opérateurs doivent avoir
accès à cette zone pour pouvoir émettre cette commande.
Cliquez sur une zone dans le menu ou entrez un numéro de zone.
[Sécurité] Pas de restrictions de privilèges
Cochez cette case pour désactiver les restrictions de privilèges ou entrez un
autre privilège en dessous.
Si vous désactivez les restrictions de privilèges, l’accès à l’objet/au groupe
dépendra de la configuration de sécurité utilisée :
Pas de zones : Tous les opérateurs ont un contrôle total sur la page.
Zones : Un opérateur ayant un accès visuel à la zone affectée à cette page a
un contrôle total sur la page (voir Propriétés utilisateurs).
[Sécurité] Niveau de privilège
Entrez le niveau de privilège que doit posséder un utilisateur pour émettre cette
commande ou enregistrer le message (16 caractères maximum). Par exemple, si
vous entrez le niveau de privilège 1, les opérateurs devront avoir ce niveau de
privilège pour émettre cette commande. Vous pouvez également combiner cette
restriction avec des restrictions de zones (voir ci-dessus). Par exemple, si vous
affectez la commande clavier à la zone 5 avec le privilège utilisateur 2, un
276
Pour inclure des données de terrain dans un message enregistré, vous devez
insérer le nom de l’installation dans le format du périphérique lors de sa
configuration. Par exemple, dans le champ Format de l’écran Périphériques,
vous pourriez entrer {MsgLog,20} {FullName,15}. L’enregistrement de messages
tels que P2 lancé par John Smith pourrait ainsi être pris en charge.
Le périphérique d’enregistrement auquel le message est envoyé est spécifié dans
les propriétés générales de page.
Cliquez sur Appliquer puis sur OK. Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer
les paramètres d’une propriété et la désactiver. Pour définir d’autres propriétés
de page, cliquez sur les onglets appropriés.
Voir aussi Définition des propriétés des pages
Propriétés de page — L’onglet Événements permet d’affecter des commandes à vos pages graphiques.
Événements Ces commandes peuvent être exécutées à l’ouverture ou à la fermeture d’une
page ou à tout moment lorsque la page est ouverte. Vous pouvez également
définir différents messages qui seront enregistrés en même temps.
Les événements de page ont les propriétés suivantes :
Événement
Les commandes peuvent être associées à trois événements. Vous pouvez
sélectionner plusieurs types d’événements. Vous pouvez affecter une
commande unique à chacun d’eux (par exemple, lancer une tâche à l’ouverture
de la page et une autre à sa fermeture).
[Événement] À l’ouverture de la page
Sélectionnez cette option si vous souhaitez que la commande soit exécutée à
l’ouverture de la page. Vous pourriez par exemple exécuter une commande
pour extraire les données d’une recette stockée dans une base de données et les
placer dans une variable Cicode afin de les afficher sur la page.
277
la fenêtre. Ceci signifie que le Cicode utilisé pour agrandir la fenêtre peut être
générique — vous pouvez utiliser le même Cicode à chaque fois.
Remarque : Les variables d’environnement ajoutées à un modèle sont intégrées
à toutes les pages créées à l’aide de ce modèle. Cependant, si les variables
d’environnement du modèle sont modifiées par la suite, les variables
correspondantes des pages ne seront pas modifiées. Pour modifier les variables
d’environnement d’un Super Génie, voir Variables d’environnement des Super
Génies.
Variables
Variables d’environnement à ajouter à la page. CitectSCADA crée ces variables à
l’ouverture de la page en phase d’exécution. Leurs valeurs peuvent ensuite être
lues en utilisant la fonction DspGetEnv(). La mémoire de variable
d’environnement est libérée (désaffectée) à la fermeture de la page. Dans
l’exemple ci-dessus, vous pourriez ajouter une variable pour définir la largeur
de la page, et une autre pour en définir la hauteur.
Pour ajouter une variable d’environnement, cliquez sur Ajouter. Pour éditer une
variable d’environnement existante, sélectionnez-la et cliquez sur Éditer. (Si
vous cliquez sur Ajouter ou Éditer, une boîte de dialogue contenant les champs
Propriété et Valeur apparaît.) Pour supprimer une variable d’environnement,
sélectionnez-la et cliquez sur Effacer.
Voir aussi Définition des propriétés des pages
Configuration par Cette boîte de dialogue permet de définir la résolution d’écran et le style utilisés
défaut des pages par toutes les pages graphiques.
Vous pouvez remplacer ces valeurs par défaut lorsque vous créez ou éditez vos
pages.
[Modèle] Résolution
Résolution d’écran par défaut des pages graphiques standard (pages d’alarmes,
pages de tendances standard, etc.) :
Type d’écran Largeur (pixels) Hauteur (pixels)
VGA 640 480
SVGA 800 600
XGA 1024 768
SXGA 1280 1024
Utilisateur **** ****
[Modèle] Style
Style (apparence) des pages graphiques dans le système superviseur. Le style
sélectionné sera appliqué à toutes les nouvelles pages ajoutées au projet. Pour
modifier le style des pages et modèles existants, utilisez les propriétés de page.
La majorité des utilisateurs préfèrent le style Standard. Vous pouvez visualiser
les styles prédéfinis en ouvrant le projet Include et en sélectionnant Graphiques
puis Modèles.
[Modèle] Montrer la barre de titre
Détermine si la barre de titre apparaît à l’écran (en haut de la page). Cette barre
contient le nom de la fenêtre, les boutons d’agrandissement, de réduction et de
fermeture (à droite de la barre de titre) et le bouton du menu Système (à gauche
de la barre de titre).
280
Pour afficher une page en plein écran (sans barre de titre), ses dimensions
doivent être égales ou supérieures à celles de l’écran. Si la page est plus petite
que l’écran, la barre de titre reste affichée même si le mode plein écran est activé.
Il existe des modèles standards pour les deux cas de figure
Vous pouvez remplacer les valeurs par défaut lors de la création de vos pages et
à tout moment ultérieur.
Couleur de fond
Couleur affichée en arrière-plan de la page graphique.
Prévisualisation
Cette boîte de dialogue sert à prévisualiser une page avec la configuration par
défaut.
Grilles Vous pouvez utiliser une grille pour aligner et positionner des objets avec
précision. Lorsque la grille est active, tous les objets ou groupes d’objets que
vous créez, déplacez ou redimensionnez se placent à l’intersection de grille la
plus proche.
Pour afficher la grille :
1 Sélectionnez Affichage | Configuration grille.
2 Cochez la case Afficher grille.
Pour aligner les objets sur la grille :
Sélectionnez Affichage | Aligner sur la grille.
Par défaut, la grille a une maille de 8 pixels et son origine est située dans le coin
supérieur gauche de la page.
281
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de définir l’origine et la maille des Grilles. La
Configuration grille grille permet d’aligner et de placer des objets avec précision.
Maille
Espacement horizontal et vertical des points de la grille (en pixels). La maille ne
peut être inférieure à 3 pixels.
Origine
Origine de la grille.
Afficher grille
Affiche la grille à l’écran.
Aligner sur la grille (F8)
Active la grille. Lorsque la grille est active, tous les objets ou groupes d’objets
que vous créez, déplacez ou redimensionnez se placent sur le nœud de la grille
le plus proche.
Lignes de guidage Vous pouvez utiliser des repères horizontaux et verticaux pour aligner et placer
des objets avec précision. Lorsque le bord ou le centre d’un objet s’approche
d’un repère, il s’aligne automatiquement sur celui-ci.
Pour configurer des lignes de guidage :
1 Sélectionnez Affichage | Configuration ligne de guidage.
282
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de définir 32 Lignes de guidage horizontales et
Configuration de lignes 32 verticales. Ces lignes permettent d’aligner et de placer des objets avec
précision. Lorsque le bord ou le centre d’un objet s’approche d’un repère, il
de guidage
s’aligne automatiquement sur celui-ci.
Direction
Direction d’une ligne de guidage (horizontale ou verticale).
Afficher les lignes de guidage
Affiche les lignes de guidage à l’écran.
Alignement sur lignes de guidage (F7)
Active les lignes de guidage. Lorsque les lignes de guidage sont actives, tous les
objets ou les groupes d’objets que vous créez, déplacez ou redimensionnez se
placent sur le nœud de la grille le plus proche.
Options Vous pouvez définir des options générales pour votre environnement de dessin.
Pour définir ces options générales :
1 Sélectionnez Outils | Options. La boîte de dialogue Options s’affiche.
2 Entrez les détails pertinents.
284
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de définir les Options du projet et de l’Éditeur
Options graphique.
Afficher propriétés nouveau
Lorsque vous ajoutez un objet dans une page, active l’affichage automatique de
la boîte de dialogue de propriétés correspondante.
Afficher propriétés copie
Lorsque vous copiez un objet existant dans une page, active l’affichage
automatique de la boîte de dialogue de propriétés correspondante.
Avertissement d’enregistrement de modèle
Active l’affichage d’un avertissement lorsque vous modifiez puis enregistrez un
modèle existant. Lorsque vous modifiez un modèle existant, toutes les pages
graphiques associées ne sont mises à jour que lorsque vous exécutez une Mise à
jour des pages.
Modification numéro AN
Permet de modifier le numéro du Point d’animation (AN) de chaque objet. Vous
ne pouvez pas donner à un AN le même numéro qu’un AN existant dans la page
graphique.
Désactiver les écrans Génie
285
Couleurs CitectSCADA prend en charge les couleurs vraies (16,7 millions de couleurs)
pour tous les objets statiques et animés, y compris les arrière-plans de page, les
images importées, les symboles, les métafichiers et les bitmaps.
Un bouton Couleur courante apparaît lorsqu’une propriété de page ou d’objet a
une couleur particulière.
Pour choisir une couleur différente de celle affichée sur le bouton, cliquez sur la
petite flèche noire située à droite de celui-ci pour lancer le Sélecteur de couleurs.
287
Sélecteur de couleurs
Roue chromatique
La roue chromatique permet de sélectionner visuellement une couleur. Elle
représente toute la gamme des couleurs sur un cercle où la saturation augmente
avec la distance par rapport au centre. Pour sélectionner une couleur, cliquez sur
la roue.
Barre de luminosité
Permet de sélectionner visuellement la luminosité que vous désirez appliquer à
une couleur. Cliquez sur la barre à l’endroit désiré pour obtenir la luminosité
recherchée. Cette barre représente la luminance; les couleurs vont du noir pur
jusqu’au blanc pur en haut de la barre.
Teinte
Spécifie la teinte de la couleur affichée sur le bouton Couleur. Les teintes
permettent de distinguer les couleurs. Leur valeur peut varier entre 0 (zéro) et
359 et représente l’angle correspondant sur la roue chromatique. Par exemple,
zéro représente un rouge pur à droite et 180 un cyan pur à gauche.
Sat
Spécifie le niveau de saturation de la couleur affichée sur le bouton Couleur. Le
niveau de saturation augmente à mesure que la couleur sélectionnée s’éloigne
du gris vers une couleur primaire pure. Sa valeur doit être comprise entre 0
(zéro) et 255.
Lum
Spécifie la luminance de la couleur affichée sur le bouton Couleur. La luminance
représente la luminosité d’une couleur et augmente à mesure que la couleur
s’éloigne du noir vers le blanc pur. Sa valeur doit être comprise entre 0 (zéro) et
255.
Remarque : Lorsque vous créez une couleur avec des valeurs HLS (teinte,
luminance et saturation), il est possible que ces valeurs aient changé lorsque
vous ouvrez à nouveau la boîte de dialogue. Ceci est dû au fait que les valeurs
RVB sont moins précises que les valeurs HLS et que plusieurs valeurs HLS
peuvent donc avoir la même valeur RVB. Certaines valeurs peuvent donc
changer lorsque les valeurs HLS sont générées à partir de valeurs RVB.
Rouge
Indique la quantité de rouge utilisée pour créer la couleur affichée sur le bouton
Couleur. Sa valeur doit être comprise entre 0 (zéro) et 255. Modifiez ce
paramètre si vous voulez créer une couleur avec des valeurs RVB.
Vert
291
Indique la quantité de vert utilisée pour créer la couleur affichée sur le bouton
Couleur. Sa valeur doit être comprise entre 0 (zéro) et 255. Modifiez ce
paramètre si vous voulez créer une couleur avec des valeurs RVB.
Bleu
Indique la quantité de bleu utilisée pour créer la couleur affichée sur le bouton
Couleur. Sa valeur doit être comprise entre 0 (zéro) et 255. Modifiez ce
paramètre si vous voulez créer une couleur avec des valeurs RVB.
Transparent
Cliquez sur ce bouton pour sélectionner la couleur transparente. Lorsque vous
utilisez une couleur transparente, la couleur de l’arrière-plan est affichée sous
l’objet transparent.
Clignotant
Cochez cette boîte pour créer une couleur clignotante. Une couleur clignotante
apparaît dans la grille de couleurs comme un bloc séparé par une diagonale.
Pour créer une couleur clignotante, sélectionnez une couleur pour les états
Activé et Non activé.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de remplacer les couleurs d’un objet (ou groupes
Changement de couleur d’objets ou bitmap) par d’autres couleurs.
Remarque : Il est possible que vous obteniez des résultats inattendus lorsque
vous modifiez la couleur de bitmaps contenant des zones dont la luminance est
très élevée ou très faible (zones noires ou blanches). Ceci est dû au fait que ces
zones n’ont quasiment pas de couleur mais uniquement de la luminance. Par
exemple, les zones présentant des reflets spéculaires (par exemple, éclat sur une
bande transporteuse en acier fortement éclairée) restent incolores quelle que soit
la couleur du reste du bitmap. Avant de travailler avec la boîte de dialogue
Changement de couleur et d’autres outils de manipulation des couleurs, vous
devriez donc vous familiariser avec les concepts de teinte, luminance et
saturation pour éviter d’obtenir des résultats inattendus avec les images de vos
pages graphiques.
De
Couleur courante de l’objet. Si vous cochez la boîte Changer la gamme, une
gamme de couleurs de différents degrés de luminosité (entre le blanc et le noir)
292
s’affiche. Toutes les couleurs de cette gamme présentes dans l’objet sont
remplacées par les couleurs correspondantes de la gamme Par comme suit :
Par
Couleur de remplacement. Si vous cochez la boîte Changer la gamme, une
gamme de couleurs de différents degrés de luminosité (entre le blanc et le noir)
s’affiche. Vous pouvez ainsi remplacer toute une gamme de couleurs.
Depuis n’importe quelle couleur
Remplace toutes les couleurs de l’objet par la nouvelle couleur.
Changer la gamme
Spécifie le remplacement d’une gamme de couleurs. Les champs De et Par
indiquent les couleurs de départ des gammes.
Remarque : Vous ne pouvez pas inverser les couleurs si Changer la gamme est
sélectionné. Ceci signifie, par exemple, que vous ne pouvez pas remplacer le
rouge foncé par du vert clair et le rouge clair par du vert foncé d’un seul coup.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet le remappage fin des couleurs d’objets de
Réglage des couleurs l’Éditeur graphique.
293
Teinte (degrés)
La zone Teinte permet de définir la gamme de teintes utilisée pour le
remappage. Les barres affichent des valeurs entre 0 (zéro) et 359 degrés, qui
représentent la nature cyclique des teintes. Une valeur numérique peut être
entrée dans le champ situé à droite de chaque curseur.
Le curseur situé au-dessus de la barre Gamme de teintes de départ
sélectionne le début de la gamme de couleurs à remapper.
Le curseur situé en dessous de cette barre sélectionne la fin de la gamme de
couleurs à remapper.
Le curseur situé au-dessus de la barre Gamme de teintes d’arrivée
sélectionne le début de la gamme de couleurs utilisée pour le remappage. La
zone sélectionnée peut s’étendre à gauche de la barre en raison de nature
cyclique de la gamme.
La gamme de couleurs exclue par votre sélection est grisée de sorte à mieux
visualiser la gamme sélectionnée.
Clarté (%)
Le curseur de clarté permet de modifier la clarté des couleurs entre — 100 % et +
100 %. Les couleurs dont la clarté est positive tendent vers le blanc, et celles dont
294
la clarté est négative tendent vers le noir. Ce paramètre peut également être
défini en entrant une valeur numérique dans le champ situé à droite du curseur.
La case à cocher Teintes sélectionnées uniquement n’applique le paramètre de
clarté qu’aux couleurs qui seront remappées. Si elle n’est pas cochée, la clarté
sera appliquée à toutes les couleurs.
Saturation (%)
Le curseur de saturation permet de modifier la clarté des couleurs entre moins
de 100 % et plus 100 %. Les couleurs dont la saturation est positive tendent vers
les couleurs primaires, et celles dont la saturation est négative tendent vers le
gris. Ce paramètre peut également être défini en entrant une valeur numérique
dans le champ situé à droite du curseur.
La case à cocher Teintes sélectionnées uniquement n’applique le paramètre de
saturation qu’aux couleurs qui seront remappées. Si elle n’est pas cochée, la
saturation sera appliquée à toutes les couleurs.
Vous pouvez changer le curseur en un réticule qui s’étend sur toute la largeur et
toute la longueur de la zone de dessin. Lorsque vous vous éloignez de la zone de
dessin, le pointeur normal réapparaît de sorte que vous puissiez sélectionner des
commandes et des outils.
Procédure Description
Pour basculer entre un réticule et Sélectionnez Affichage | Réticule.
un pointeur
Pour cacher la barre d’état Sélectionnez Affichage | Montrer barre d’état. Choisissez à nouveau
cette commande pour réafficher la barre d’état.
Pour cacher la boîte à outils Double-cliquez sur la case du menu système (sur la boîte à outils) ou
sélectionnez Affichage | Montrer outils. Choisissez à nouveau cette
commande pour réafficher la boîte à outils.
Pour cacher la barre d’outils Sélectionnez Affichage | Montrer barre d’outils. Choisissez à
nouveau cette commande pour réafficher la barre d’outils.
Pour modifier la vitesse du curseur Sélectionnez Affichage | Vitesse lente souris.
lors de l’utilisation de la souris
Pour modifier la vitesse du curseur Sélectionnez Affichage | Vitesse lente curseur.
lors de l’utilisation des touches du Conseil : Déplacez le curseur à l’aide des touches gauche, droite,
curseur haut et bas.
295
Utilisation des Vous pouvez stocker des objets ou des groupes d’objets fréquemment utilisés (y
bibliothèques compris des bitmaps) dans une bibliothèque de symboles. Ces symboles
peuvent ensuite être collés sur vos pages.
Un symbole collé d’une bibliothèque dans une page graphique peut être
déplacé, redimensionné, modifié, mis au premier plan, etc. et ses propriétés
peuvent être modifiées comme celles des autres types d’objets.
Vous pouvez coller un symbole d’une bibliothèque dans une page :
En tant que symbole non-lié; les symboles collés ne tiennent pas compte des
modifications apportées aux symboles de la bibliothèque.
En tant que symbole lié; les symboles collés sont mis à jour lorsque les
symboles de la bibliothèque sont modifiés (pour modifier les propriétés
d’un symbole dans la bibliothèque, ouvrez la bibliothèque et éditez le
symbole). Si vous éditez le symbole dans la page puis changez le symbole
d’origine dans la bibliothèque, le symbole collé sera modifié en
conséquence. Par exemple, si vous doublez la taille d’un symbole collé, puis
doublez la taille du symbole dans la bibliothèque, le symbole collé doublera
de taille une deuxième fois. Vous pouvez annuler le lien à la bibliothèque
avec la commande Éditer | Couper Liaison.
Lorsque vous enregistrez un objet dans une bibliothèque, vous enregistrez
également ses propriétés courantes. Lorsque vous le collez en tant que symbole
dans une page graphique, ces propriétés sont utilisées par défaut. Les symboles
collés ont des propriétés d’apparence différentes de celles des objets normaux :
seule la visibilité peut être définie.
Lorsqu’un symbole est collé dans une page, les objets qui le forment ne sont pas
accessibles par un double-clic normal. Pour afficher les propriétés de ces objets,
appuyez sur la touche Contrôle (CTRL) et double-cliquez sur l’objet désiré.
Vous pouvez également sélectionner Aller vers objet dans le menu Outils, puis
le groupe et cliquez sur OK. Toutefois, si le lien à la bibliothèque est maintenu,
la majorité de ces propriétés seront protégées en écriture.
Un symbole pourrait être utile, par exemple, si vous avez défini un bouton de
commande avec une classification de sécurité particulière, et que vous voulez
l’utiliser sur plusieurs pages graphiques. Vous pourriez l’enregistrer comme
symbole et le coller depuis la bibliothèque à chaque fois que vous désirez utiliser
le bouton. Il aura alors les mêmes propriétés.
Remarque : CitectSCADA est fourni avec de nombreux symboles que vous
pouvez utiliser dans vos projets. Ces symboles sont stockés dans plusieurs
bibliothèques du projet Include. Les huit premiers caractères du nom utilisé lors
de la sauvegarde d’une bibliothèque doivent être uniques à celle-ci.
296
Utilisation des Vous pouvez créer des symboles pour vos pages graphiques.
symboles Pour créer un nouveau symbole :
1 Cliquez sur Nouveau ou sélectionnez Fichier | Nouveau.
2 Sélectionnez Type : Symbole
Remarque : Vous pouvez également créer un objet (ou un groupe d’objets) sur la
page puis sélectionner Éditer | Copier dans la bibliothèque.
Pour ouvrir un symbole existant :
1 Cliquez sur Ouvrir ou sélectionnez Fichier | Ouvrir.
2 Sélectionnez Type : Symbole.
3 Sélectionnez le Projet contenant la bibliothèque.
4 Sélectionnez la Bibliothèque contenant le symbole.
297
5 Sélectionnez le symbole.
6 Cliquez sur OK.
Remarque : Pour supprimer un symbole dans la bibliothèque, sélectionnez son
nom et cliquez sur Supprimer.
Pour enregistrer le symbole courant :
1 Cliquez sur Enregistrer ou sur Fichier | Enregistrer.
2 Sélectionnez le projet contenant la bibliothèque.
3 Sélectionnez la bibliothèque devant contenir le symbole.
4 Entrez un nom pour le symbole.
5 Cliquez sur OK.
Pour plus de détails concernant l’utilisation des symboles dans des pages
graphiques, voir Utilisation des Symboles collés.
Bitmaps Un bitmap est un objet graphique représenté par un réseau de pixels (ou points)
plutôt que par des entités séparées. Un bitmap est traité comme un objet unique
pouvant être déplacé, copié et modifié. Les pixels d’un bitmap pouvant être
modifiés individuellement, les bitmaps peuvent être utilisés dans des vignettes
ou pour fusionner des images.
Vous pouvez créer des bitmaps à l’aide de l’Éditeur de bitmaps Citect ou les
importer depuis un éditeur graphique Windows.
Dans un système superviseur, CitectSCADA affiche les bitmaps différemment
des autres objets. Les bitmaps sont directement mappés à l’écran (chaque pixel
de l’image correspond à un pixel de l’écran). Les objets sont stockés comme une
série d’instructions et sont dessinés à l’écran dans le même ordre qu’ils ont été
dessinés sur la page graphique.
Agrandit l’image.
Réduit l’image.
Sélectionne une couleur de l’image comme couleur courante (raccourci clavier : Maj+P).
Vous pouvez également sélectionner la couleur courante sur la palette.
Affiche la boîte de dialogue Taille bitmap qui permet de visualiser les dimensions courantes
de l’image et modifier le bord de celle-ci.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet d’importer un graphique créé avec une
Importation application différente.
Si vous avez sélectionné Importer clignotant, deux boîtes de dialogue
s’afficheront l’une après l’autre et vous pourrez choisir deux images pour votre
symbole clignotant. La boîte de dialogue Importation primaire permet de
300
Chercher dans
Unité et répertoire contenant le graphique.
Nom du fichier
Nom du fichier graphique.
Type de fichier
Type de fichier graphique. CitectSCADA prend en charge les formats suivants :
Bitmaps Windows 3.0 (*.BMP, *.DIB, *.RLE)
Bitmaps au format PCX (*.PCX)
Fichiers texte (*.TXT)
Fichiers AutoCAD DXF (*.DXF) — 2D seulement. Le format binaire est
également pris en charge.
Métafichiers Windows (*.WMF)
Postscript encapsulé (*.EPS)
Images de type fax (*.FAX)
Images Ventura (*.IMG)
JPEG (*.JPG, *.JIF, *.JFF, *.JGE)
Photo CD (*.PCD)
301
Portable Network Graphic (*.PNG). (les fichiers PNG avec des canaux alpha
ne sont pas pris en charge)
Targa (*.TGA)
Tagged Image Format (*.TIF)
WordPerfect (*.WPG)
302
303
Les objets sont des entités graphiques élémentaires que vous ajoutez à vos
pages graphiques. Ils sont dessinés à l’aide de la boîte à outils de dessin et
peuvent ensuite être déplacés, modifiés ou copiés. Les objets sont définis par un
jeu de propriétés qui leur sont affectées au moment de leur création, ou
ultérieurement en double-cliquant dessus (ces propriétés priment sur toute
fonction d’affichage Cicode conflictuelle).
Vous pouvez affecter des commandes clavier et des droits d’accès à la majorité
des objets. Vous pouvez par ailleurs les configurer de manière à ce qu’ils
évoluent dynamiquement en phase d’exécution en fonction de la valeur
retournée par une Expression ou de l’état d’un tag de variable. Ils peuvent
également prendre la forme d’un curseur permettant de modifier l’état d’une
variable.
Remarque : Si un objet fait partie d’un groupe, d’un Génie ou d’un symbole
collé, ou d’un modèle de page, vous pouvez néanmoins accéder à ses propriétés.
Il suffit pour cela de double-cliquer dessus en appuyant sur la touche Control
(CTRL). Alternativement, sélectionnez Outils | Aller vers objet et cliquez sur
l’objet désiré puis sur OK. Cependant, s’il existe toujours un lien au Génie/
symbole/modèle de page d’origine, les propriétés d’objet seront pour la plupart
en lecture seule.
CitectSCADA a 17 types d’objets différents, chacun avec ses propres outils :
Trait à main levée Trait droit
Rectangle Ellipse
Polygone Tuyau
Texte Numéro
Utilisation des groupes CitectSCADA permet de regrouper des objets. Chaque groupe possède un jeu de
propriétés unique (semblable à celui d’un objet) déterminant son comportement
en phase d’exécution. (Les propriétés des objets du groupe restent inchangées.)
En définissant les propriétés du groupe, vous pouvez spécifier que tout le
groupe change dynamiquement dans des conditions spécifiques en phase
d’exécution (par exemple, lorsqu’une Expression retourne une certaine valeur
ou un tag de variable change d’état).
Pour éditer ou visualiser les propriétés d’un groupe, double-cliquez dessus. Si
votre page contient plusieurs groupes, sélectionnez Outils | Aller vers objet.
Cet outil permet de voir exactement les groupes et les objets présents sur votre
page, en facilitant la sélection de l’objet désiré. Il permet également d’afficher les
propriétés des objets (ou groupes) constituant le groupe. (Vous pouvez
également éditer les propriétés d’un des objets du groupe en appuyant sur la
touche Control (CTRL) tout en double-cliquant sur l’objet. Alternativement,
sélectionnez Aller vers objet dans le menu Outils et cliquez sur l’objet désiré
puis sur OK.) Cette méthode est utile si votre page comporte des groupes à
l’intérieur d’autres groupes.
Un groupe peut être une combinaison d’objets et d’autres groupes.
Voir aussi Modifier la forme des objets
Modifier la forme des Il est possible de modifier la forme des tuyaux, polylignes et polygones. Chacun
objets de ces objets est composé d’une série continue de lignes tracées entre des points
d’ancrage structurés appelés nœuds. Les nœuds sont visibles lorsqu’un objet est
sélectionné. Chaque nœud apparaît sous la forme d’un petit carré correspondant
à des points d’ancrage spécifiques autour de l’objet. On trouve toujours un
nœud aux extrémités d’une polyligne ou d’un tuyau et à chaque changement de
direction dans la forme d’un objet.
Les formes des tuyaux, polylignes et polygones peuvent être modifiées de
différentes manières. Leurs nœuds peuvent être sélectionnés individuellement
ou en groupe et peuvent être déplacés de sorte à modifier la forme de l’objet. Les
tuyaux, polylignes et polygones prennent également en charge l’addition et
l’effacement de nœuds.
305
Utilisation des bitmaps Un bitmap est un objet graphique représenté par un réseau de pixels (ou points)
plutôt que par des entités séparées. Il est traité comme un objet unique pouvant
être déplacé, copié et modifié. Vous pouvez créer et éditer des bitmaps avec
l’Éditeur de bitmaps de Citect. Les pixels d’un bitmap pouvant être modifiés
individuellement, les bitmaps peuvent être utilisés dans des images plus
artistiques, telles que des vignettes, ou pour fusionner des images.
Voir aussi Importation de graphiques
Si un objet fait partie d’un groupe, d’un Génie ou d’un symbole collé, ou d’un
modèle de page, vous pouvez accéder à ses propriétés en double-cliquant dessus
tout en appuyant sur la touche CTRL. Alternativement, sélectionnez Outils |
Aller vers objet et cliquez sur l’objet désiré puis sur OK.
Voir aussi Apparence
Déplacement
Mise à l’échelle
Remplissage
Entrée
Curseur
Accès
Apparence Cliquez sur l’onglet Apparence pour définir l’apparence de l’objet (style de trait,
ombrage, etc.). Vous pouvez également définir les conditions dans lesquelles
l’objet sera caché de l’opérateur (par exemple, lorsque DIGITAL_TAG est OFF).
La coche placée à gauche de cet onglet indique qu’une propriété d’apparence a
été configurée. Les coches des onglets situés sur le bord droit de la boîte de
dialogue indiquent quelle propriété a été configurée.
307
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Mise à l’échelle Cliquez sur l’onglet Mise à l’échelle pour redimensionner l’objet verticalement
ou horizontalement, en fonction de la valeur retournée par une Expression ou de
l’état d’un tag.
La coche placée à gauche de cet onglet indique qu’une propriété de mise à
l’échelle a été configurée. Les coches des onglets situés sur le bord droit de la
boîte de dialogue indiquent quelle propriété a été configurée.
309
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Entrée Cliquez sur l’onglet Entrée pour définir la commande à exécuter et le message à
enregistrer lorsqu’un opérateur clique sur l’objet. Vous pouvez également
définir des commandes clavier et les protéger en leur affectant des Zone et des
droits d’accès.
La coche placée à gauche de cet onglet indique qu’une propriété d’entrée a été
configurée. Les coches des onglets situés sur le bord droit de la boîte de dialogue
indiquent quelle propriété a été configurée.
311
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Curseur Cliquez sur l’onglet Curseur pour utiliser l’objet comme un curseur. Il est
possible d’associer une variable à un objet de sorte que sa valeur change lorsque
l’opérateur le déplace. Le déplacement d’un objet peut être vertical et/ou
horizontal ou pivotant.
La coche placée à gauche de cet onglet indique qu’une propriété de curseur a été
configurée. Les coches des onglets situés sur le bord droit de la boîte de dialogue
indiquent quelle propriété a été configurée.
312
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Accès Cliquez sur l’onglet Accès pour affecter une zone ou un privilège à l’objet. Les
opérateurs n’ayant pas les droits d’accès requis ne pourront pas utiliser les
curseurs, les commandes clavier, etc. associées aux objets. Cette propriété
permet par ailleurs de désactiver totalement l’objet dans certaines circonstances.
L’objet peut ainsi être ombré, grisé, ou même caché.
La coche placée à gauche de cet onglet indique qu’une propriété d’accès a été
configurée. Les coches des onglets situés sur le bord droit de la boîte de dialogue
indiquent quelle propriété a été configurée.
313
Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur les autres onglets. La majorité des
propriétés peuvent être combinées; par exemple, un objet peut avoir des
propriétés de couleur de remplissage, de déplacement et de mise à l’échelle.
Effacer propriété
Cliquez sur Effacer propriété pour effacer la configuration de cette propriété.
Appliquer
Cliquez sur Appliquer pour prendre en compte les modifications. Le bouton
Appliquer permet d’afficher vos modifications sans fermer la boîte de dialogue.
Remarque : Pour ajouter d’autres objets à la sélection, cliquez sur les objets
désirés en maintenant la touche Ctrl enfoncée. Pour supprimer un objet d’une
sélection de groupe, cliquez à nouveau dessus tout en maintenant la touche Ctrl
enfoncée. Pour sélectionner tous les objets d’un dessin, utilisez la fonction
Sélectionner tout du menu Édition. Pour désélectionner tous les objets, cliquez
en un point quelconque de la page (sauf sur un objet).
Pour sélectionner un groupe d’objets à l’aide d’un rectangle englobant :
1 Dans l’Éditeur graphique, cliquez sur Sélectionner.
2 Déplacez le pointeur de façon à englober les objets que vous désirez
grouper. Ce point devient le coin externe d’un rectangle englobant.
3 Cliquez sur le bouton gauche de la souris et maintenez-le enfoncé.
4 Faites glisser le pointeur jusqu’au bord opposé des objets que vous désirez
grouper. Vous obtenez ainsi un rectangle temporaire englobant vos objets.
315
Déplacement des objets Vous pouvez déplacer un objet en cliquant dessus et en le faisant glisser jusqu’à
son nouvel emplacement.
Si vous déplacez un objet dès que vous l’avez sélectionné, le contour de l’objet
permet de visualiser son parcours. Si vous maintenez la souris immobile
pendant au moins 1 seconde avant de déplacer l’objet, l’objet suit le déplacement
de la souris, ce qui permet un positionnement plus précis.
Voir aussi Manipulation des objets
Redimensionnement des objets
Suppression d’objets Vous pouvez supprimer des objets que vous ne voulez plus.
Pour supprimer un objet (ou un groupe d’objets) :
1 Sélectionnez l’objet (ou le groupe d’objets) désiré
2 Sélectionnez Éditer | Supprimer ou appuyez sur la touche Supprimer (ou
moins (–)).
Voir aussi Manipulation des objets
Verrouillage/Déverrouillage des objets
Regroupement des Vous pouvez grouper des objets pour en faciliter la manipulation.
objets Pour grouper des objets :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez les objets désirés puis cliquez sur Grouper (ou sélectionnez
Organiser | Grouper objets).
Pour dissocier des objets :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez les objets désirés puis cliquez sur Dissocier (ou sélectionnez
Organiser | Dissocier objets).
Pour modifier les propriétés d’un groupe :
1 Cliquez sur Sélectionner.
318
Copier et coller des Vous pouvez copier et coller des objets dans d’autres pages graphiques.
objets Pour copier un objet dans le presse-papiers :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez l’objet (ou le groupe d’objets) désiré.
3 Cliquez sur Copier ou sélectionnez Éditer | Copier.
Pour coller un objet (ou un groupe d’objets) à partir du presse-papiers :
Cliquez sur Coller ou sélectionnez Éditer | Coller.
Pour couper (supprimer) un objet :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez l’objet (ou le groupe d’objets) désiré.
3 Cliquez sur Couper ou sélectionnez Éditer | Couper.
Pour coller un objet (ou un groupe d’objets) à partir du presse-papiers :
Cliquez sur Coller ou sélectionnez Éditer | Coller.
Le presse-papiers permet de transférer des objets entre pages graphiques ou de
les échanger avec des applications graphiques externes. Par défaut, les couleurs
non disponibles d’un bitmap importé sont tramées. Pour désactiver cette
fonction, sélectionnez Options dans le menu Outils de l’Éditeur graphique et
désélectionnez l’option Tramer les bitmaps collés.
Pour annuler la (ou les) dernière(s) opération(s) de dessin :
Cliquez sur Annuler ou sélectionnez Éditer | Annuler.
Vous pouvez annuler toutes les manipulations effectuées au cours de la session
de dessin courante, à l’exception de la modification des bitmaps.
Pour revenir sur l’annulation (après l’action Annuler) :
Sélectionnez Éditer | Rétablir.
Voir aussi Manipulation des objets
Envoyer à l’arrière-plan et en dessous
319
Envoyer à l’arrière-plan Dans l’Éditeur graphique, il arrive souvent que les objets se chevauchent. Les
et en dessous nouveaux objets sont placés devant des objets existants car CitectSCADA
travaille de l’arrière vers l’avant.
Pour positionner un objet (ou un groupe d’objets) derrière tous les autres
objets de sorte qu’ils le chevauchent :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez l’objet (ou le groupe d’objets) désiré.
3 Cliquez sur Arrière-plan ou sélectionnez Organiser | Envoyer à l’arrière-
plan.
Amener au premier plan Vous pouvez amener un objet sélectionné au premier plan.
et mettre dessus Pour amener un objet au premier plan :
1 Cliquez sur l’outil Sélection.
2 Sélectionnez l’objet (ou le groupe d’objets) désiré.
320
Alignement des objets Vous pouvez aligner un groupe d’objets avec précision dans les sens vertical et
horizontal.
Si vous sélectionnez les objets d’un groupe individuellement, le premier objet
sélectionné reste fixe et tous les autres s’alignent sur lui. Si vous sélectionnez les
objets avec un rectangle englobant, le dernier objet (de la sélection) sert de
référence et tous les autres s’alignent sur lui. Il est généralement plus simple de
sélectionner les objets individuellement car il est difficile de se rappeler de leur
ordre de création.
Pour aligner des objets :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez les objets.
3 Sélectionnez Organiser | Aligner. La boîte de dialogue Aligner apparaît.
321
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet d’aligner un groupe d’objets dans les sens
Aligner vertical et horizontal.
Vertical
Alignement des objets dans le sens vertical :
Horizontal
322
Rotation des objets Vous pouvez faire pivoter un objet de 90° vers la droite (sens horaire) ou vers la
gauche (sens anti-horaire).
Pour faire pivoter un objet (ou un groupe d’objets) :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez le ou les objet(s)
3 Sélectionnez Organiser | Rotation.
Pour faire pivoter un objet texte :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez le ou les objet(s)
3 Sélectionnez Outils | Conversion en bitmap.
4 Sélectionnez Organiser | Rotation.
Voir aussi Boîte de dialogue Rotation
Manipulation des objets
Boîte de dialogue La boîte de dialogue Rotation permet d’effectuer une Rotation des objets (ou
Rotation d’un groupe d’objets).
Rotation
323
Sens de rotation de l’objet (ou du groupe d’objets). L’angle de rotation est fixé à
90 degrés dans la direction choisie. Pour appliquer une rotation de 180 degrés,
cliquez deux fois sur le bouton de direction.
Voir aussi Manipulation des objets
Réflexion d’objets Vous pouvez produire une image symétrique d’un objet par rapport à son axe
horizontal ou vertical.
Pour cela :
1 Cliquez sur Sélectionner.
2 Sélectionnez le ou les objet(s)
3 Sélectionnez Organiser | Réflexion.
Voir aussi Boîte de dialogue Réflexion
Manipulation des objets
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de produire une image symétrique, c’est-à-dire
Réflexion d’effectuer une Réflexion d’objets (ou d’un groupe d’objets) par rapport à leur
axe horizontal ou vertical.
Miroir
Axe utilisé pour produire l’image symétrique de l’objet (ou du groupe d’objets).
Voir aussi Manipulation des objets
Localisation d’un objet Vous pouvez localiser un objet spécifique sur la Page graphique active.
Pour localiser un objet (ou un groupe, un Génie, un symbole ou un modèle de
page) sur la page active :
1 Sélectionnez Outils | Aller vers objet.
2 Localisez l’objet (ou groupe, Génie, symbole ou modèle de page) dans
l’arborescence ou tapez l’AN pertinent dans la boîte AN d’objet.
3 Cliquez sur OK.
324
Boîte de dialogue Aller Cette boîte de dialogue permet d’accéder aux propriétés des objets, y compris
vers objet aux modèles de pages, ainsi qu’aux objets, Génies, symboles et groupes d’une
page (ou même du modèle de base). Les éléments graphiques composant les
Génies, les symboles et les groupes sont également accessibles.
L’arborescence permet de localiser simplement les éléments graphiques. Cliquez
sur un élément de la page pour le sélectionner ou double-cliquez (ou cliquez sur
OK) pour accéder à ses propriétés. Les modèles de pages, symboles, Génies et
groupes comprennent plusieurs objets (ou autres éléments graphiques) et sont
accompagnés d’un signe plus (+); cliquez sur ce signe pour voir ces objets.
AN Objet
Point d’animation à localiser. Lorsque vous entrez un point d’animation ici,
l’objet correspondant (groupe, Génie, symbole, etc.) est sélectionné sur la page et
mis en surbrillance dans l’arborescence. Vous pouvez alors afficher ses
propriétés en cliquant sur OK.
Voir aussi Manipulation des objets
Chapitre 10: Comprendre les types d’objets
Propriétés des Traits à Les traits à main levée ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
main levée — [Trait] Épaisseur
Apparence (Générale)
L’épaisseur (en pixels) du trait. Vous pouvez modifier la largeur à l’aide des
flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre valeur dans
le champ.
Si l’épaisseur est supérieure à 1 pixel, le trait doit être plein.
[Trait] Style
Le style du trait. Vous pouvez choisir l’un des styles suivants :
327
Pour changer de style, sélectionnez le style désiré dans le menu situé à droite du
champ.
[Trait] Couleur
La couleur du trait.
[Remplissage] Plein
La boîte à cocher Plein détermine si l’objet doit être coloré. Si vous cochez cette
case, une ligne invisible est tracée entre les deux extrémités de votre trait. Tout ce
qui se trouve entre cette ligne invisible et votre trait sera coloré.
[Remplissage] Couleur
La couleur utilisée pour le remplissage de l’objet. La couleur de remplissage est
statique.
Pour utiliser une couleur de remplissage qui change en fonction des conditions
d’exécution, cliquez sur l’onglet Remplissage.
Si vous avez activé les propriétés Remplissage (Couleur), notez que la couleur
sélectionnée ici remplace la couleur OFF de Couleur Remplissage (On/Off), la
couleur ABC de Couleur Remplissage (Multi-État), la couleur Tableau 0 de
Couleur Remplissage (Tableau), et la couleur Au minimum de Couleur
Remplissage (Gradient).
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Propriétés des Traits Les traits droits ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
droits — Apparence [Trait] Épaisseur
(Générale)
L’épaisseur (en pixels) du trait. Vous pouvez modifier la largeur à l’aide des
flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre valeur dans
le champ.
Si l’épaisseur est supérieure à 1 pixel, le trait doit être plein.
329
[Trait] Style
Le style du trait. Vous pouvez choisir l’un des styles suivants :
Pour changer de style, sélectionnez le style désiré dans le menu situé à droite du
champ.
[Trait] Couleur
La couleur du trait.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
4 Faites glisser le curseur vers le coin opposé du carré puis relâchez le bouton
de la souris. Si vous enfoncez la touche Maj (et la touche Ctrl) avant de
commencer à dessiner le carré, celui-ci est dessiné du centre vers l’extérieur.
Propriétés des Les rectangles ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
Rectangles — [Trait] Épaisseur
Apparence (Générale)
L’épaisseur (en pixels) du contour du rectangle. Vous pouvez modifier la largeur
à l’aide des flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre
valeur dans le champ.
Si l’épaisseur est supérieure à 1 pixel, le trait doit être plein.
331
[Trait] Style
Le style de contour du rectangle. Vous pouvez choisir l’un des styles suivants :
Pour changer de style, sélectionnez le style désiré dans le menu situé à droite du
champ.
[Trait] Couleur
La couleur du contour du rectangle.
[Remplissage] Plein
La boîte à cocher Plein détermine si le rectangle doit être coloré.
[Remplissage] Couleur
La couleur utilisée pour le remplissage du rectangle. La couleur de remplissage
est statique.
Pour utiliser une couleur de remplissage qui change en fonction des conditions
d’exécution, cliquez sur l’onglet Remplissage. Si vous avez activé les propriétés
Remplissage (Couleur), notez que la couleur sélectionnée ici remplace la couleur
OFF de Couleur Remplissage (On/Off), la couleur ABC de Couleur Remplissage
(Multi-État), la couleur Tableau 0 de Couleur Remplissage (Tableau), et la
couleur Au minimum de Couleur Remplissage (Gradient).[Type objet] Trait
supplémentaire.
Ajoute un trait supplémentaire (d’un pixel d’épaisseur) de couleur « ombrée »
au rectangle, si celui-ci est défini comme surélevé ou enfoncé (cliquez sur
l’onglet Effets 3D).
[Dégradé] couleur
Contrôle la couleur du remplissage en dégradé entre la couleur de remplissage
et la couleur de dégradé. Cette option n’est disponible que si les cases Rempli et
Remplissage en dégradé sont cochées. Le dégradé est actualisé en phase
332
De droite à gauche
De haut en bas
De bas en haut
Propriétés des Ellipses Les ellipses ont les propriétés d’apparence générale suivantes :
— Apparence [Trait] Épaisseur
(Générale)
L’épaisseur (en pixels) du contour de l’ellipse. Vous pouvez modifier la largeur à
l’aide des flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre
valeur dans le champ. Si l’épaisseur est supérieure à 1 pixel, le trait doit être
plein.
335
[Trait] Style
Le style du contour de l’ellipse. Vous pouvez choisir l’un des styles suivants :
Pour changer de style, sélectionnez le style désiré dans le menu situé à droite du
champ.
[Trait] Couleur
La couleur du contour de l’ellipse.
[Remplissage] Plein
La boîte à cocher Plein détermine si l’ellipse doit être colorée.
[Remplissage] Couleur
La couleur utilisée pour le remplissage de l’ellipse. La couleur de remplissage est
statique.
Pour utiliser une couleur de remplissage qui change en fonction des conditions
d’exécution, cliquez sur l’onglet Remplissage. Si vous avez activé les propriétés
Remplissage (Couleur), notez que la couleur sélectionnée ici remplace la couleur
OFF de Couleur Remplissage (On/Off), la couleur ABC de Couleur Remplissage
(Multi-État), la couleur Tableau 0 de Couleur Remplissage (Tableau), et la
couleur Au minimum de Couleur Remplissage (Gradient).
[Dégradé] couleur
Contrôle la couleur du remplissage en dégradé entre la couleur de remplissage
et la couleur de dégradé. Cette option n’est disponible que si les cases Rempli et
Remplissage en dégradé sont cochées. Le dégradé est actualisé en phase
d’exécution pour refléter le dégradé entre les deux couleurs sélectionnées. Le
remplissage en dégradé prend en charge les couleurs clignotantes.
Les dégradés ne tournent pas avec un objet; par exemple, si un objet contenant
un dégradé allant de gauche à droite tourne de 90 degrés (en phase d’exécution
ou dans l’Éditeur graphique), la direction du dégradé reste de gauche à droite.
336
[Dégradé] Direction
Direction à utiliser pour la couleur de dégradé. Utiliser la table ci-dessous pour
choisir la direction de dégradé désirée.
Exemple Direction de dégradé
De gauche à droite
De droite à gauche
De haut en bas
De bas en haut
Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de spécifier les angles de départ et de fin.
[Type d’objet] Secteur
Sélectionnez ce bouton radio pour supprimer une partie de l’ellipse (pour tracer
un secteur).
Vous pouvez alors spécifier un angle de début et un angle de fin :
Angle de début
L’angle (mesuré dans le sens horaire à partir de 0°) de la section à supprimer de
l’ellipse. Par exemple, un angle de début de 50° produira le secteur suivant :
337
Angle de fin
L’angle (mesuré dans le sens horaire à partir de 0°) de la section de l’ellipse à
conserver. Par exemple, un angle de fin de 150° produira le secteur suivant :
Les angles de départ et de fin peuvent être combinés pour obtenir des effets
variés. Par exemple, un angle de début de 270° et un angle de fin de 150°
produiront le secteur suivant :
Angle de fin
L’angle (mesuré dans le sens horaire à partir de 0°) définissant le segment de
l’ellipse à conserver. Par exemple, un angle de fin de 150° produira le secteur
suivant :
Les angles de départ et de fin peuvent être combinés pour obtenir des effets
variés. Par exemple, un angle de début de 270° et un angle de fin de 150°
produiront l’arc suivant :
Pour obtenir de l’aide sur les autres propriétés, voir Définition des propriétés
communes des objets.
338
Propriétés des Les polygones ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
polygones — [Trait] Épaisseur
Apparence (Générale)
L’épaisseur (en pixels) du contour du polygone. Vous pouvez modifier la largeur
à l’aide des flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre
valeur dans le champ.
Si l’épaisseur est supérieure à 1 pixel, le trait doit être plein.
340
[Trait] Style
Le style du contour du polygone. Vous pouvez choisir l’un des styles suivants :
Pour changer de style, sélectionnez le style désiré dans le menu situé à droite du
champ.
[Trait] Couleur
La couleur du contour du polygone.
[Remplissage] Plein
La boîte à cocher Plein détermine si le polygone doit être coloré.
[Remplissage] Couleur
La couleur utilisée pour le remplissage du polygone. La couleur de remplissage
est statique.
Pour utiliser une couleur de remplissage qui change en fonction des conditions
d’exécution, cliquez sur l’onglet Remplissage. Si vous avez activé les propriétés
Remplissage (Couleur), notez que la couleur sélectionnée ici remplace la couleur
OFF de Couleur Remplissage (On/Off), la couleur ABC de Couleur Remplissage
(Multi-État), la couleur Tableau 0 de Couleur Remplissage (Tableau), et la
couleur Au minimum de Couleur Remplissage (Gradient).
[Dégradé] couleur
Contrôle la couleur du remplissage en dégradé entre la couleur de remplissage
et la couleur de dégradé. Cette option n’est disponible que si les cases Rempli et
Remplissage en dégradé sont cochées. Le dégradé est actualisé en phase
d’exécution pour refléter le dégradé entre les deux couleurs sélectionnées. Le
remplissage en dégradé prend en charge les couleurs clignotantes.
Les dégradés ne tournent pas avec un objet; par exemple, si un objet contenant
un dégradé allant de gauche à droite tourne de 90 degrés (en phase d’exécution
ou dans l’Éditeur graphique), la direction du dégradé reste de gauche à droite.
341
[Dégradé] Direction
Direction à utiliser pour la couleur de dégradé. Utiliser la table ci-dessous pour
choisir la direction de dégradé désirée.
Exemple Direction de dégradé
De gauche à droite
De droite à gauche
De haut en bas
De bas en haut
Définit l’objet comme un polygone (dont les premier et dernier points sont
identiques).
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Propriétés des Tuyaux Les tuyaux ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
— Apparence [Trait] Épaisseur
(Générale)
L’épaisseur (en pixels) du tuyau. Vous pouvez modifier la largeur à l’aide des
flèches haut et bas situées à droite du champ ou en entrant une autre valeur dans
le champ. Tous les tuyaux doivent avoir une épaisseur d’au moins un pixel.
[Trait] Couleur de surbrillance
La couleur du tuyau « illuminé », c’est-à-dire la couleur la plus brillante du
tuyau.
[Trait] Couleur de l’ombre
La couleur du tuyau « ombré », c’est-à-dire la couleur la plus terne du tuyau.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
344
2 Tapez votre texte à l’aide du clavier. (Appuyez sur Entrer pour passer à la
ligne.)
3 Placez le curseur à l’endroit où vous désirez insérer le texte puis cliquez sur
le bouton gauche de la souris.
Ce champ contient le texte à afficher sur la page. Vous pouvez utiliser n’importe
quel(s) caractère(s) du clavier. Si vous le modifiez dans ce champ, vous pouvez
en même temps modifier la police ou la couleur des caractères.
Le texte change automatiquement en fonction des propriétés des Valeurs
d’affichage que vous définissez.
Avant plan
La couleur du texte.
Remarque : La boîte de dialogue Valeurs d’affichage contient plusieurs boutons
radio (ON/OFF, Multi-états, etc.). La sélection de ces boutons modifie
l’apparence du volet droit de la boîte de dialogue. Ces boutons ne sont
documentés qu’une fois dans les pages qui suivent.
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour afficher un texte différent pour chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez afficher un message différent pour
chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous pourriez afficher un
message différent pour chacune des combinaisons ON/OFF suivantes ABC,
ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet de saisir une Expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un texte différent. Par exemple, vous
pourriez utiliser un message différent pour chaque état d’une variable
analogique.
[Type] Numérique
Affiche la valeur d’une variable ou d’une expression en format numérique (que
vous pouvez définir).
[Type] Chaîne
Affiche la valeur d’une expression sous forme de chaîne.
Texte ON quand
Le texte entré dans le champ Texte ON (ci-dessous) s’affiche chaque fois que la
condition saisie est satisfaite. Le texte ne peut dépasser 128 caractères.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options; Insérer tag et Insérer fonction.
Texte OFF
Le texte qui s’affiche lorsque la condition saisie ci-dessus n’est pas satisfaite.
Vous pouvez utiliser n’importe quel(s) caractère(s) du clavier jusqu’à 256
caractères.
Vous pourriez par exemple afficher le message Convoyeur 110 normal lorsque
la condition CV110_FAULT.On n’est pas satisfaite (le convoyeur 110 ne présente
aucune condition d’alarme).
Texte ON
Le texte qui s’affiche lorsque la condition saisie ci-dessus est satisfaite. Vous
pouvez utiliser n’importe quel(s) caractère(s) du clavier jusqu’à 256 caractères.
Vous pourriez par exemple afficher le message Alarme convoyeur 110 lorsque la
condition CV110_FAULT.On est satisfaite (le convoyeur 110 présente une
condition d’alarme).
348
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver.
Voir aussi Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Multi-états)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Tableau)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Numérique)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (ASCII)
champ doit toujours contenir au moins une condition. Pour entrer une condition,
cliquez sur la ligne correspondante (A, B, C, etc.) et appuyez sur le bouton
Éditer. Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant. Ce
bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Texte État
Le texte qui sera utilisé pour chacune des combinaisons des conditions ci-dessus.
Vous pouvez utiliser n’importe quel(s) caractère(s) du clavier.
Exemple :
Pour afficher différents messages chaque fois que l’état d’une vanne change,
vous pourriez renseigner les champs Conditions et Texte État comme suit :
Pour afficher divers messages indiquant les différents états d’un moteur, vous
pourriez par exemple utiliser les champs Tableau expression et Tableau texte
suivants :
Dans cet exemple, MOTOR_STATUS est une variable analogique qui représente
l’état d’un moteur. Un entier est retourné (0 = En marche, 1 = Démarrage, etc.) et
le texte approprié est affiché lorsque le moteur change d’état.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver.
Voir aussi Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (On/Off)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Multi-états)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Numérique)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (ASCII)
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un texte différent. Vous pourriez par
exemple utiliser un message différent pour chacun des seuils d’un tag
analogique.
[Type] Numérique
Affiche la valeur d’une variable ou d’une expression en format numérique (que
vous pouvez définir).
[Type] Chaîne
Affiche la valeur d’une expression sous forme de chaîne.
Expression numérique
La valeur de l’expression saisie dans ce champ sera affichée sur la Page
graphique. Elle sera formatée en utilisant le format sélectionné ci-dessous.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Format
La valeur retournée pour l’expression entrée ci-dessus sera affichée en fonction
du format défini ici. Par exemple, le tag de variable analogique
MOTOR_STATUS renvoie les entiers 0-5. Si vous entrez ce tag sous la forme de
l’expression numérique ci-dessus et entrez #.## comme format, l’affichage
alternera entre 0,00, 1,00, 2,00, 3,00, 4,00 et 5,00. Vous pouvez sélectionner un
format dans la liste déroulante ou taper votre propre format. Si l’expression
numérique (ci-dessus) est une variable simple, son format sera remplacé par le
format que vous entrez ici.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver.
Voir aussi Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (On/Off)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Multi-états)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Tableau)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (ASCII)
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour afficher un texte différent pour chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez afficher un message différent pour
chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous pourriez afficher un
message différent pour chacune des combinaisons ON/OFF suivantes ABC,
ABC, ABC , ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un texte différent. Vous pourriez par
exemple utiliser un message différent pour chacun des seuils d’un tag
analogique.
[Type] Numérique
Ce bouton radio permet d’afficher la valeur d’une variable ou d’une expression
en format numérique (que vous pouvez définir).
[Type] Chaîne
Ce bouton radio permet d’afficher la valeur d’une expression sous forme de
chaîne.
Expression chaîne
La valeur de l’expression saisie dans ce champ sera affichée sous forme de
chaîne sur la page graphique.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver. Pour définir d’autres propriétés pour l’objet, cliquez sur les onglets
appropriés.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Voir aussi Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (On/Off)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Multi-états)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Tableau)
Propriétés du Texte — Valeur d’affichage (Numérique)
Propriétés des boutons Les boutons ont les propriétés d’apparence générale suivantes.
— Apparence [Type] Texte
(Générale)
Sélectionnez cette option pour afficher le texte du bouton. Lorsque vous
sélectionnez cette option, les champs Texte et Police s’affichent à droite de la
boîte de dialogue.
355
Si l’option Texte ou Symbole est sélectionnée, vous pouvez utiliser les boutons
de style XP. Pour configurer un bouton utilisant le style Windows XP, cochez la
case Style XP. En phase d’exécution, un bouton de style XP a un bord bleu
lorsqu’il est sélectionné au clavier et orange lorsque la souris est sur le bouton.
Lorsque vous placez un bouton sur une page, la case Style XP est sélectionnée
par défaut.
Texte
Le texte à afficher sur le bouton. Vous pouvez utiliser n’importe quel caractère
du clavier pour saisir le nom du bouton en prenant toutefois garde aux
caractères suivants qui ont une signification spéciale :
Police
Sélectionne la police à utiliser pour afficher le texte du bouton.
[Type] Symbole
Sélectionnez cette option pour afficher un symbole sur le bouton. Si vous
sélectionnez cette option, le bouton Config apparaît à droite de la boîte de
dialogue.
Appuyez sur Config pour choisir le symbole à afficher sur le bouton. Une image
du symbole sélectionné apparaît.
[Type] Cible
Lorsque cette option est sélectionnée, le bouton est transparent et ne porte ni
texte ni symbole.
Mode
Il existe trois modes pour les boutons transparents :
BORDER_3D : Le bouton est dessiné avec le contour 3-D (face
transparente).
BORDER : Le bouton est dessiné avec une fine ligne de contour.
TARGET : Le bouton est totalement transparent. Il constitue une cible
d’écran.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
356
Propriétés des Jeux de Les jeux de symboles ont les propriétés d’apparence générale (On/Off)
symboles — Apparence suivantes :
Générale (On/Off) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet d’afficher un symbole lorsqu’une condition est VRAIE,
et un autre lorsqu’une condition est FAUSSE. Vous pourriez par exemple utiliser
un symbole rouge lorsqu’un tag de variable dépasse son seuil d’alarme et un
symbole vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour afficher un symbole différent pour chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez afficher un symbole différent pour
chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous pourriez afficher un
message différent pour chacune des combinaisons ON/OFF suivantes : ABC,
ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un symbole différent. Vous pourriez par
exemple utiliser un symbole différent pour chacun des seuils d’une alarme
analogique.
[Type] Animation
Sélectionnez ce bouton radio pour afficher une animation (succession de
plusieurs symboles différents).
Symbole ON quand (128 caract.)
Le symbole entré dans le champ Symbole ON (ci-dessous) s’affiche chaque fois
que la condition saisie ici est VRAIE. Le symbole entré dans le champ Symbole
OFF (ci-dessous) s’affiche chaque fois que la condition saisie ici est FAUSSE.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options; Insérer tag et Insérer fonction.
Symbole OFF
Le symbole utilisé chaque fois que la condition entrée ci-dessus est FAUSSE.
Appuyez sur le bouton Config pour sélectionner un symbole ou sur Effacer
pour annuler la sélection courante.
358
Vous pourriez par exemple afficher le symbole OFF chaque fois que la condition
MIX_RUNNING est fausse.
Symbole ON
Le symbole utilisé chaque fois que la condition entrée ci-dessus est VRAIE.
Appuyez sur le bouton Config pour sélectionner un symbole ou sur Effacer
pour annuler la sélection courante.
Vous pourriez par exemple afficher le symbole ON chaque fois que la condition
MIX_RUNNING est vraie.
Cliquez sur Appliquer ou sur OK pour que vos modifications soient prises en
compte ou sur Annuler pour les ignorer et quitter. Cliquez sur Effacer
propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la désactiver. Pour
définir d’autres propriétés pour l’objet, cliquez sur les onglets appropriés.
Voir aussi Propriétés des Jeux de symboles — Apparence Générale (Multi-états)
Comprendre les types d’objets
Propriétés des Jeux de Les jeux de symboles ont les propriétés d’apparence générale (Multi-états)
symboles — Apparence suivantes :
Générale (Multi-états) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet d’afficher un symbole lorsqu’une condition est VRAIE,
et un autre lorsqu’une condition est FAUSSE. Vous pourriez par exemple utiliser
un symbole rouge lorsqu’un tag de variable dépasse son seuil d’alarme et un
symbole vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour afficher un symbole différent pour chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez afficher un symbole différent pour
chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous pourriez afficher un
message différent pour chacune des combinaisons ON/OFF suivantes : ABC,
ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un symbole différent. Vous pourriez par
359
exemple utiliser un symbole différent pour chacun des seuils d’une alarme
analogique.
[Type] Animation
Sélectionnez ce bouton radio pour afficher une animation.
Conditions
Les conditions entrées ici seront réunies de différentes manières et à différents
instants. À chacune de ces combinaisons peut être associé un symbole différent.
Pour entrer une condition, cliquez sur la ligne correspondante (A, B, C, etc.) et
appuyez sur le bouton Éditer. Vous pouvez entrer d’autres conditions (jusqu’à 5,
soit 32 combinaisons) à l’aide du bouton Ajouter. Pour insérer un tag ou une
fonction, cliquez sur le bouton Assistant. Ce bouton propose deux options;
Insérer tag et Insérer fonction. Vous pouvez également supprimer des
conditions à l’aide du bouton Effacer mais ce champ doit toujours contenir au
moins une condition. Les conditions laissées en blanc (non supprimées) seront
évaluées en phase d’exécution comme des conditions toujours fausses.
Symboles d’état
Les symboles qui seront utilisés pour chacune des combinaisons des conditions
ci-dessus. Appuyez sur le bouton Config pour sélectionner un symbole ou sur
Effacer pour annuler la sélection courante.
Exemple :
Pour afficher différents symboles chaque fois que l’état d’une vanne change,
vous pourriez utiliser les champs Conditions et Symboles d’état suivants :
Défaillance pour indiquer une erreur : la vanne est ouverte alors qu’elle devrait
être fermée. La même logique s’applique aux autres états.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver. Pour définir d’autres propriétés pour l’objet, cliquez sur les onglets
appropriés.
Voir aussi Propriétés des Jeux de symboles — Apparence Générale (Tableau)
Comprendre les types d’objets
Propriétés des Jeux de Les jeux de symboles ont les propriétés d’apparence générale (Tableau)
symboles — Apparence suivantes :
Générale (Tableau) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet d’afficher un symbole lorsqu’une condition est VRAIE,
et un autre lorsqu’une condition est FAUSSE. Vous pourriez par exemple utiliser
un symbole rouge lorsqu’un tag de variable dépasse son seuil d’alarme et un
symbole vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour afficher un symbole différent pour chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez afficher un symbole différent pour
chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous pourriez afficher un
message différent pour chacune des combinaisons ON/OFF suivantes : ABC,
ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez afficher un symbole différent. Vous pourriez par
exemple utiliser un symbole différent pour chacun des seuils d’une alarme
analogique.
[Type] Animation
Sélectionnez ce bouton radio pour afficher une animation.
Expression Tableau
Entrez l’expression devant retourner un ou plusieurs entiers. Pour chaque valeur
retournée, un symbole différent sera affiché.
Si la valeur de retour est :
Inférieure à 0 (zéro), elle sera mise à 0 (zéro) et déclenchera une alarme
matérielle en phase d’exécution.
361
Supérieure à 255, elle sera mise à 255 et déclenchera une alarme matérielle
en phase d’exécution.
Un nombre réel (non entier), elle sera arrondie à l’entier le plus proche.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options; Insérer tag et Insérer fonction.
Symboles tableau
Le symbole utilisé pour chaque entier retourné par l’expression Tableau entrée
ci-dessus (le symbole 0 sera utilisé lorsque l’expression renvoie l’entier 0, le
symbole 1 lorsque l’expression renvoie l’entier 1, etc.).
Appuyez sur le bouton Config pour sélectionner un symbole ou sur Effacer
pour annuler la sélection courante.
Pour afficher divers symboles illustrant les différents états d’un moteur, vous
pourriez par exemple utiliser les champs Expression tableau et Symboles
tableau suivants :
Propriétés des Jeux de Les jeux de symboles ont les propriétés d’apparence générale (Animation)
symboles — Apparence suivantes :
Générale (Animation) [Type] On / Off
362
Dans cet exemple, AUGER_RUNNING est un tag de variable qui est VRAI
lorsque la mèche tourne. Les symboles contenus dans les images d’animation
(Image 1 et suivantes) ont été conçus de façon à représenter la rotation de la
mèche lorsqu’ils sont affichés dans cet ordre. Le symbole contenu dans l’image
Off s’affiche lorsque la variable AUGER_RUNNING est FAUSSE.
Cliquez sur Appliquer ou sur OK pour que vos modifications soient prises en
compte ou sur Annuler pour les ignorer et quitter. Cliquez sur Effacer
propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la désactiver. Pour
définir d’autres propriétés pour l’objet, cliquez sur les onglets appropriés.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Propriétés de tendance Les tendances ont les propriétés d’apparence générale suivantes :
Nom du cluster
Le nom du cluster exécutant les tendances à tracer. Chaque graphique de
tendance peut uniquement communiquer avec un cluster et vous ne devez
donc pas mélanger les tendances de plusieurs clusters sur un même
graphique.
Remarque : Pour présenter des tendances de plusieurs clusters sur un seul
graphique, vous devez utiliser l’Analyseur de processus.
Si vous n’avez qu’un seul cluster ou si le client est connecté à un seul cluster,
cette propriété peut être laissée vierge et la valeur du cluster est déduite par
le système.
Si le client est connecté à plusieurs clusters, ce champ doit être renseigné.
Stylets
365
Les stylets (et les couleurs) à afficher sur la courbe (31 caractères maximum).
Vous pouvez utiliser jusqu’à huit stylets.
Le tag de tendance et la couleur du stylet peuvent être modifiés en double-
cliquant sur un stylet sélectionné ou en cliquant sur le bouton Éditer. Pour
insérer un tag de tendance, cliquez sur l’Assistant pour afficher le Boîte de
dialogue Insérer une tendance.
Si plusieurs tendances s’affichent dans une fenêtre de tendance et si chacune
possède sa propre fréquence d’échantillonnage, la fréquence la plus élevée
est utilisée comme Période d’affichage.
Remarque : Si l’objet de tendance fait partie d’un groupe, d’un Génie ou
d’un symbole collé, ou d’un modèle de page, vous pouvez néanmoins
accéder à ses propriétés : double-cliquez sur l’objet en appuyant sur la
touche Contrôle (CTRL). Alternativement, sélectionnez Aller vers objet
dans le menu Outils et cliquez sur l’objet désiré puis sur OK. Notez,
cependant, que s’il fait partie d’un Génie ou d’un symbole collé, ou d’un
modèle, vous ne pourrez éditer les stylets existants mais uniquement en
ajouter de nouveaux.
Si vous définissez un diagramme de maîtrise statistique (SPC), vous devez
ajouter un suffixe au tag de tendance indiquant le type de statistique
concerné. CitectSCADA possède des modèles de statistiques (SPC)
facilement configurables à l’aide des Génies. Utilisez les Génies plutôt que
de définir des tags de tendance. Le tableau suivant résume les divers types
de statistiques :
Définition de la statistique Type de statistique
<nom de tag>.X Moyenne des données brutes d’un sous-groupe (X barre)
<nom de tag>.XCL Ligne médiane de X barre
<nom de tag>.XUCL Limite de contrôle supérieure X barre
<nom de tag>.XLCL Limite de contrôle inférieure de X barre
<nom de tag>.R Plage de données brutes d’un sous-groupe (R barre)
<nom de tag>.RCL Ligne médiane de R barre
<nom de tag>.RUCL Limite de contrôle supérieure de R barre
<nom de tag>.RLCL Limite de contrôle inférieure de R barre
<nom de tag>.S Écart type des données brutes d’un sous-groupe (S barre)
<nom de tag>.SCL Ligne médiane de S barre
<nom de tag>.SUCL Limite de contrôle supérieure de S barre
<nom de tag>.SLCL Limite de contrôle inférieure de S barre
Stylet 4 PIC117_PV.X
Si vous utilisez la fonction PageTrend() pour afficher cette page de
tendance, laissez ces champs en blanc.
Afficher tous les types de tendances comme périodiques
Permet d’afficher tous les stylets (périodiques et événement) comme
périodiques. Les événements et les données de Tendance périodique
peuvent alors être affichés sur le même graphe. Si cette case n’est pas cochée,
les stylets événements et périodiques ont des styles différents et doivent
apparaître sur des graphes différents.
Remarque : Cette option est définie par défaut dans les modèles prédéfinis
CitectSCADA prévus pour les tendances périodiques. Elle doit uniquement
être activée pour les modèles personnalisés.
[Échantillons] Nombre d’échantillons (5 caract.)
Le nombre d’échantillons (1 — 32767) que vous pouvez afficher dans votre
fenêtre de tendance sans défilement (c’est-à-dire, la largeur de votre objet de
tendance). La valeur par défaut dépend du nombre de pixels par échantillon
et de la résolution de votre écran. La largeur d’un objet de tendance est égale
à Nombre d’échantillons x Pixels par échantillon.
Remarque : Pour obtenir une courbe de tendance significative, Nombre
d’échantillons x Pixels par échantillon devrait être inférieur à la largeur de
l’écran. Par exemple, un écran XGA a une largeur de 1024 pixels. Si vous
utilisez 10 pixels par échantillon, 102 échantillons peuvent être affichés à
l’écran sans défilement.
[Échantillons] Pixels par échantillon (2 caract.)
La largeur d’affichage de chaque échantillon. La largeur d’un objet de
tendance est égale à Nombre d’échantillons x Pixels par échantillon. La
valeur par défaut est 1 pixel.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver. Pour définir d’autres propriétés pour l’objet, cliquez sur les onglets
appropriés.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de sélectionner un tag de tendance. Pour insérer
Insérer une tendance un tag de tendance, sélectionnez le nom de la variable puis cliquez sur OK. Le
tag est inséré à l’emplacement du curseur.
Voir aussi Utilisation des objets Tendances
Comprendre les types d’objets
367
Propriétés générales Les objets Cicode ont les propriétés générales suivantes :
des Objets Cicode Commande (254 caract.)
368
Une commande Cicode qui s’exécute en continu. Vous pouvez utiliser n’importe
quelle commande ou fonction Cicode ou une fonction définie par l’utilisateur. La
commande s’exécute en continu (tant que les pages sont affichées), par exemple :
Commande DspSymAnm(25, "Pumps.Slurry1", "Pumps.Slurry2", "Pumps.Slurry3");
Utilisation des points Un point d’animation est tout point d’une Page graphique où s’affiche un
d’animation symbole. Lorsque vous ajoutez un objet à une page (texte, symboles,
tuyaux, etc.), CitectSCADA alloue automatiquement un numéro (AN) au point
d’animation correspondant.
Le nombre d’objets pouvant être utilisés dépend de la performance de votre
ordinateur, bien que cela pose rarement un problème. Dans la pratique, on
essaiera d’utiliser moins de 3000 objets (et points d’animation).
CitectSCADA utilise les deux premiers points d’animation (AN) pour afficher
automatiquement des informations système tels que des messages, des données
d’alarme et des détails de page. Dans certaines applications, comme les pages de
tendances, d’autres AN sont réservés.
Vous pouvez ajouter des points d’animation individuels sur une page graphique
en utilisant l’outil Objet Cicode (qui permet d’ajouter des objets Cicode sans
utiliser de commande).
Remarque : Vous pouvez localiser un objet sur une page en désignant son AN.
Pour localiser un objet par son AN, utilisez l’outil Aller vers l’animation dans le
menu Outils.
369
Un symbole inséré avec cet outil peut être déplacé, redimensionné, modifié, mis
au premier plan, etc. et ses propriétés peuvent être modifiées comme celles des
autres types d’objets.
Les symboles de bibliothèque peuvent être liés à leur source de sorte que toute
modification de l’original est répercutée sur le symbole collé.
Pour afficher les propriétés des objets d’un symbole inséré, appuyez sur la
touche Ctrl et double-cliquez sur l’objet désiré. Alternativement, sélectionnez
Outils | Aller vers objet et cliquez sur l’objet désiré puis sur OK.
Pour en savoir plus sur la création de symboles, voir Utilisation des
bibliothèques.
Pour insérer un symbole d’une bibliothèque dans une page :
1 Cliquez sur l’outil Insérer un symbole ou sélectionnez Éditer | Insérer un
symbole
2 Pour insérer un symbole lié, sélectionnez la case à cocher Relié. Pour insérer
un symbole non lié, désélectionnez la case à cocher Relié.
Pour annuler le lien :
1 Sélectionnez le symbole.
2 Sélectionnez Éditer | Couper Liaison.
Voir aussi Boîte de dialogue Insérer un symbole
370
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet d’insérer un symbole d’une bibliothèque
Insérer un symbole CitectSCADA dans une Page graphique (ou un modèle).
La boîte de dialogue Insérer un symbole a les propriétés suivantes :
Symbole
Table de symboles du projet.
Pour ajouter un symbole à une page graphique, utilisez la barre de défilement
pour localiser sa vignette puis sélectionnez-la et cliquez sur le bouton OK (ou
double-cliquez sur la vignette). Pour éditer l’objet dans la bibliothèque,
sélectionnez-le et cliquez sur Éditer. Pour créer un nouveau symbole, cliquez sur
Nouveau.
Remarque : Un symbole accompagné d’un petit losange est un symbole
clignotant (voir exemple ci-dessous).
Bibliothèque
Bibliothèque où est stocké le symbole.
Relié
Pour insérer un symbole relié à sa bibliothèque, cochez cette case. Un symbole
lié sera automatiquement mis à jour si vous modifiez le symbole dans la
bibliothèque.
Vous pouvez annuler le lien à tout moment à l’aide de la commande Couper
Liaison du menu Éditer mais vous ne pouvez pas rétablir un lien annulé.
Si vous avez sélectionné Coller symbole clignotant, deux boîtes de dialogue
apparaissent l’une après l’autre pour vous permettre de choisir les deux images
à utiliser. La boîte de dialogue Sélectionner symbole primaire permet de
sélectionner la première image et la boîte de dialogue Sélectionner symbole
clignotant permet de sélectionner la deuxième. Si les bitmaps sont de taille
différente, le symbole clignotant prend la taille du symbole primaire. Si l’un des
symboles est lui-même un symbole clignotant, seul le symbole primaire est
affiché.
371
Propriétés des Cette boîte de dialogue affiche une image du symbole ainsi que son nom et son
Symboles — Apparence chemin d’accès. Cliquez sur Config pour modifier le symbole ou double-cliquez
sur l’image. La boîte de dialogue Sélectionner un symbole s’affiche et permet de
(générale)
sélectionner un nouveau symbole.
Pour obtenir de l’aide sur les autres onglets de propriétés, voir Définition des
propriétés communes des objets.
Pour changer les propriétés d’un objet contenu dans un symbole collé :
1 Cliquez sur l’outil Sélection.
2 Double-cliquez sur l’objet en appuyant sur la touche Ctrl.
3 Changez les propriétés dans la boîte de dialogue. Vous pouvez également
sélectionner Outils | Aller vers objet et cliquer sur l’objet désiré puis sur
OK.
Voir aussi Utilisation des objets Génies collés
Comprendre les types d’objets
Utilisation des objets L’outil d’insertion de Génies permet d’insérer un Génie dans une page
Génies collés graphique.
Un Génie inséré à l’aide de cet outil peut être redimensionné, tourné, déplacé,
copié, dupliqué, collé, mis au premier plan etc.
Pour afficher les propriétés des objets d’un Génie inséré, appuyez sur la touche
Contrôle (CTRL) et double-cliquez sur l’objet désiré.
Gestion des sources de Si un objet ActiveX est associé à une source de données (par exemple, il
données associées enregistre des données dans un fichier DBF), vous devriez envisager d’exécuter
un projet le contenant sur une machine différente ou au moyen de l’un des
clients Internet (Client de visualisation Internet ou ClientWeb).
Si le chemin d’accès à la source de données est codé en dur et pointe vers la
machine locale, la source de données ne pourra être trouvée si le projet est
372
Propriétés des objets Les deux onglets de propriétés communs à tous les objets ActiveX sont :
ActiveX Association de tags et Visibilité. Ils figurent verticalement dans l’onglet
Apparence. Le nombre et le contenu des autres onglets varient d’un objet à
l’autre en fonction du niveau de souplesse prévu par son créateur.
Pour plus de renseignements sur la manière de configurer ces onglets
supplémentaires, veuillez consulter la documentation fournie avec chaque objet
ActiveX.
Voir aussi Association de tags
Association de tags Vous pouvez créer une association entre une propriété d’un objet ActiveX et un
tag de variable.
Pour créer une association :
1 Double-cliquez l’objet ActiveX. La boîte de dialogue Propriétés s’affiche.
2 Cliquez sur l’onglet Association de tags.
3 Sélectionnez une propriété dans la liste de Propriétés.
4 Cliquez sur le bouton Assistant | Insérer fonction.
373
Propriétés des objets Les objets ActiveX ont les propriétés suivantes :
ActiveX — Apparence Propriétés
(Association de tags)
Les « propriétés » d’un objet ActiveX définissent sa fonctionnalité et son
apparence. Toutes les propriétés d’un objet ActiveX apparaissent telles qu’elles
ont été définies par son créateur.
La case à cocher située à gauche de chaque élément de la liste de propriétés
indique si un tag lui a déjà été associé. Une case cochée signifie qu’une
association a déjà été définie pour cette propriété. Pour supprimer cette
association, désélectionnez la case à cocher ou effacez le tag du champ
« Associer une propriété à un tag ».
Associer une propriété à un tag
Vous pouvez créer une association entre une propriété d’un objet ActiveX et un
tag de variable de sorte que la modification d’une valeur de l’un soit reflétée par
l’autre. Pour créer une association, vous devez d’abord choisir une propriété
dans la liste. L’étiquette Associer une propriété à un tag affichera alors le nom
de la propriété.
Sélectionnez le tag de variable que vous désirez associer à la propriété en
cliquant sur le bouton Assistant et en choisissant un tag dans la liste. Vous
pouvez également taper le nom du tag dans le champ Associer une propriété à
un tag.
374
Remarque : Vous ne pouvez utiliser que des noms de tags dans ce champ. Les
fonctions, expressions et constantes ne sont pas prises en charge lors de la
définition d’associations entre des propriétés ActiveX et des tags.
Vous ne pouvez associer une propriété à un tag de variable que s’ils sont
compatibles. Pour afficher une liste de types de tags compatibles, sélectionnez
une propriété puis cliquez sur Types de propriétés. La liste des types
compatibles s’affichera ou un message vous informera de l’absence de types
compatibles.
Dans ce dernier cas, les champs Associer une propriété à un tag et Mise à jour
de l’association sur seront désactivés.
Si vous spécifiez un tag potentiellement inadapté à la propriété ActiveX
sélectionnée, la boîte de dialogue Évaluation type affichera un avertissement.
Cela peut se produire si :
Les types compatibles avec la propriété sont différents du type du tag
sélectionné.
Le type du tag est plus petit que les types compatibles avec la propriété, ce
qui pourrait entraîner la troncature ou la perte de données.
Liable
Une propriété est « liable » si elle peut automatiquement notifier CitectSCADA
de tout changement de valeur ainsi que de toute modification d’un tag associé.
Cela signifie que la propriété et le tag qui lui est associé seront automatiquement
mis à jour lorsque la valeur de l’un ou de l’autre change.
Si la propriété d’un objet n’est pas liable, l’association propriété/tag ne pourra
être synchronisée qu’en fonction de l’événement sélectionné dans le champ Mise
à jour de l’association sur événement.
Si la propriété d’un objet est liable, le champ Mise à jour de l’association sur
événement contiendra par défaut < Notification de modification de la
propriété>. Vous pouvez modifier ce champ si vous voulez que l’association soit
mise à jour par un événement spécifique.
Avec les propriétés non liables, vous pouvez reproduire le comportement
<Notification de modification de la propriété> en sélectionnant Après mise à
jour dans le champ Mise à jour de l’association sur événement.
État de la propriété
Ce champ indique l’état en lecture/écriture de la propriété sélectionnée.
Certaines propriétés des objets ActiveX sont définies de manière fixe tandis que
d’autres peuvent être modifiées. Une propriété en « lecture seule » a une valeur
fixe et peut uniquement être lue par CitectSCADA. Une propriété en lecture/
écriture peut être modifiée en cours d’exécution grâce à une association de tag.
375
Propriétés des objets — Les objets ont les propriétés d’identification d’accès suivantes :
Accès (Identification) [Identification] Nom d’objet
Ce champ permet d’affecter un nom à un objet ActiveX (32 caractères
maximum). Il permet d’identifier l’objet dans les fonctions Cicode
ObjectByName(), ANByName() et CreateControlObject().
Le nom peut être composé indifféremment de lettres et de chiffres.
[Identification] Classe d’événement
Ce champ permet d’affecter un nom à la classe d’événement de votre objet
ActiveX (16 caractères). Vous pourrez ensuite utiliser ce nom pour créer une
fonction Cicode piégeant un événement.
Ne modifiez pas la valeur par défaut si vous comptez accéder à l’objet ActiveX à
l’aide de CitectVBA. Si vous la modifiez, CitectVBA ne peut plus y accéder. Si la
classe d’événement est modifiée, vous pouvez lui réaffecter sa valeur par défaut
en cliquant sur le bouton Supprimer propriété.
[Persistance] Persistance des données ActiveX entre pages
Cochez cette case pour que les modifications apportées au contrôle ActiveX
persistent entre pages. Par exemple, vous pouvez cocher cette case si vous
voulez qu’un contrôle ActiveX d’édition conserve le texte courant de sorte qu’il
l’affiche à nouveau à la prochaine ouverture de la page.
377
Effets 3D
Vous pouvez appliquer des effets 3D à des objets pour les rendre plus réalistes.
Pour appliquer des effets 3D à un objet :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe).
2 Cliquez sur l’onglet Apparence.
3 Cliquez sur l’onglet Effets 3D (à droite de la boîte de dialogue).
4 La boîte de dialogue affichera un certain nombre d’options permettant de
manipuler votre objet. Pour les activer, cliquez sur les options désirées (ou
sur le bouton radio à leur gauche).
5 Des champs supplémentaires s’afficheront selon les options sélectionnées.
Entrez les informations requises en utilisant l’Aide pour obtenir plus de
renseignements sur chaque champ.
380
Propriétés des objets — Les objets ont les propriétés d’effets 3D suivantes.
Apparence (effets 3D) [Effets] Aucun
Sélectionnez cette option pour afficher un objet sans effet spécial (tel que relief,
ombrage, etc.).
[Effets] Ombré
Sélectionnez cette option pour afficher un objet avec une ombre, par exemple :
Profondeur
La distance (en pixels) sur laquelle s’étend l’ombre sous et à droite de l’objet.
Cette option modifie la distance apparente entre l’objet et son ombre, par
exemple :
381
Couleur de l’ombre
La couleur de l’ombre ne varie pas dynamiquement en phase d’exécution.
[Effets] Surélevé
Sélectionnez cette option pour afficher un objet surélevé, par exemple :
Profondeur
La distance (en pixels) entre la face inférieure et le bas du volume. Cette option
modifie la hauteur apparente du volume par rapport à la Page graphique, par
exemple :
Couleur de surbrillance
La couleur des côtés éclairés de l’objet.
Couleur de l’ombre
La couleur des côtés de l’objet qui sont dans l’ombre.
382
[Effets] Enfoncé
Sélectionnez cette option pour afficher l’objet sous forme d’un volume en creux
en trois dimensions, par exemple :
Profondeur
La distance (en pixels) entre la face inférieure et le bas du volume. Cette option
modifie la profondeur apparente du volume en creux, par exemple :
Couleur de surbrillance
La couleur des côtés éclairés de l’objet.
Couleur de l’ombre
La couleur des côtés de l’objet qui sont dans l’ombre.
[Effets] En relief
Sélectionnez cette option pour afficher l’objet comme s’il avait été gaufré sur la
page graphique, par exemple :
383
Profondeur
La distance (en pixels) entre la partie inférieure de l’empreinte et la surface.
Cette option modifie la profondeur apparente de l’empreinte, par exemple :
Couleur de surbrillance
La couleur des côtés droits et inférieurs de l’objet.
Couleur de l’ombre
La couleur des côtés gauche et supérieur de l’objet.
Visibilité
Vous pouvez définir si un objet est visible ou non.
Pour cacher/révéler un objet :
1 Double-cliquez sur l’objet que vous désirez cacher.
2 Sélectionnez l’onglet Apparence.
3 Sélectionnez l’onglet Visibilité (à droite de la boîte de dialogue).
4 Cliquez sur le bouton Assistant à droite du champ Caché quand.
5 Sélectionnez soit Insérer Tag ou Insérer Fonction selon ce que vous désirez
mettre en relation avec votre objet.
6 Tapez une Expression dans le champ Caché quand. L’objet sera caché
lorsque cette expression est vraie.
384
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de visibilité suivantes :
Apparence (visibilité) Caché quand
L’objet/le groupe sera caché lorsque l’expression entrée dans ce champ sera
VRAIE. Entrez une expression de 128 caractères maximum. Par exemple, si vous
voulez cacher l’objet/le groupe pour tous les opérateurs à l’exception du
responsable de l’unité, entrez l’expression suivante :
NOT GetPriv( _Super, _SectionA )
où _Super et _SectionA sont des étiquettes.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Remarque : Si un groupe est caché, tous les objets (et autres groupes) du groupe
seront également cachés quelles que soient leurs propriétés. Si le groupe est
visible, ses objets refléteront leurs propriétés.
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver.
Mouvement
Vous pouvez contrôler le mouvement des objets.
385
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent se déplacer d’un côté à l’autre en phase
Mouvement (horizontal) d’exécution, le sens de déplacement changeant dynamiquement chaque fois que
la valeur d’une expression change. Par défaut, l’objet/le groupe se déplace (par
incréments) vers la droite à mesure que la valeur de l’expression augmente et
vers la gauche à mesure qu’elle décroît.
386
Cette propriété peut par exemple être utilisée pour afficher la position d’un
convoyeur de charbon se déplaçant le long d’une pile de stockage.
Remarque : Le mouvement horizontal ne peut être utilisé si le curseur
horizontal est activé. Un groupe et ses objets peuvent être configurés avec une
combinaison quelconque de mouvements (c’est-à-dire qu’un groupe peut se
déplacer verticalement pendant qu’un de ses objets est en rotation, etc.).
Les objets et les groupes ont les propriétés de mouvement horizontal suivantes :
Expression de mouvement
La valeur de l’expression entrée dans ce champ (128 caractères maximum)
détermine le mouvement horizontal de l’objet/du groupe. Par défaut, l’objet/le
groupe se déplace fortement vers la gauche lorsque l’expression retourne sa
valeur minimale et fortement vers la droite lorsqu’elle retourne sa valeur
maximale. Les valeurs intermédiaires représentent les déplacements
intermédiaires de l’objet/du groupe.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Expression de mouvement] Spécifier plage
Cochez cette case pour spécifier manuellement les valeurs Minimum et
Maximum de l’expression de mouvement plutôt que d’utiliser les valeurs par
défaut. Pour une expression comportant un tag de variable analogique, ces
valeurs par défaut sont les valeurs Engineering Zero et Full Scale (0 et pleine
échelle) du dernier tag de variable de l’expression. Si le tag de variable
analogique n’a pas les valeurs Engineering Zero et Full Scale, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 32000. Pour des expressions sans tags, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 100.
[Expression de mouvement] Minimum
Entrez la valeur minimum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, l’objet/le groupe se déplace vers la gauche d’une distance égale
à la valeur Au minimum. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez
coché la case Spécifier plage.
[Expression de mouvement] Maximum
Entrez la valeur maximum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, l’objet/le groupe se déplace vers la droite d’une distance égale à
la valeur Au maximum. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez coché
la case Spécifier plage.
[Décalage] Au minimum
La distance (nombre de pixels depuis le centre de l’objet/du groupe d’origine)
que parcourt l’objet/le groupe vers la gauche lorsque l’Expression de
mouvement retourne sa valeur minimum.
387
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
[Décalage] Au maximum
La distance (nombre de pixels depuis le centre de l’objet/du groupe d’origine)
que parcourt l’objet/le groupe vers la droite lorsque l’Expression de mouvement
retourne sa valeur maximum.
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
Remarque : Pour déplacer l’objet/le groupe au minimum vers la droite et au
maximum vers la gauche, entrez des distances négatives dans les champs
Décalage ou permutez les limites des expressions (entre les champs Minimum
et Maximum).
Cliquez sur Effacer propriétés pour effacer les paramètres d’une propriété et la
désactiver.
Voir aussi Propriétés des objets — Mouvement (vertical)
Propriétés des objets — Mouvement (rotatif)
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent être déplacés vers le haut et vers le bas en
Mouvement (vertical) phase d’exécution, le sens de déplacement changeant dynamiquement chaque
fois que la valeur d’une expression change. Par défaut, l’objet/le groupe se
déplace (par incréments) vers le haut à mesure que la valeur de l’expression
augmente et vers le bas à mesure qu’elle décroît.
Cette propriété peut être utilisée pour représenter le déplacement d’un
ascenseur.
Remarque : Le mouvement vertical ne peut être utilisé si le curseur vertical est
activé. Un groupe et ses objets peuvent être configurés avec une combinaison
quelconque de mouvements (c’est-à-dire qu’un groupe peut se déplacer
verticalement pendant qu’un de ses objets est en rotation, etc.).
Les objets et les groupes ont les propriétés de mouvement vertical suivantes :
Expression de mouvement
La valeur de l’expression entrée dans ce champ (128 caractères maximum)
détermine le mouvement vertical de l’objet/du groupe. Par défaut, l’objet/le
groupe atteint son point le plus bas lorsque l’expression retourne sa valeur
minimale et son point le plus haut lorsqu’elle retourne sa valeur maximale. Les
valeurs intermédiaires représentent les déplacements intermédiaires de l’objet/
du groupe.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Expression de mouvement] Spécifier plage
388
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent être soumis à une rotation dynamique en
Mouvement (rotatif) phase d’exécution à chaque fois que la valeur d’une expression change. Par
389
défaut, l’objet/le groupe tourne (par incréments) dans le sens horaire à mesure
que la valeur de l’expression augmente et dans le sens anti-horaire à mesure
qu’elle décroît.
Cette propriété peut être utilisée pour représenter une vue de dessus du
mouvement d’un convoyeur circulaire dans une mine de charbon.
Remarque : Le mouvement rotatif ne peut être utilisé si le curseur rotatif est
activé. Un groupe et ses objets peuvent être configurés avec une combinaison
quelconque de mouvements (c’est-à-dire qu’un groupe peut se déplacer
verticalement pendant qu’un de ses objets est en rotation, etc.).
Les objets et les groupes ont les propriétés de mouvement rotatif suivantes :
Expression d’angle (128 caract.)
La valeur de l’expression entrée dans ce champ détermine la rotation de l’objet/
du groupe. En phase d’exécution, lorsque l’expression retourne sa valeur
minimale, l’objet/le groupe tourne jusqu’à sa limite dans le sens anti-horaire.
Lorsque l’expression retourne sa valeur maximale, l’objet/le groupe tourne
jusqu’à sa limite dans le sens horaire. Les valeurs intermédiaires représentent le
déplacement normal de l’objet/du groupe.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Expression d’angle] Spécifier plage
Cochez cette case pour spécifier manuellement les valeurs Minimum et
Maximum de l’expression d’angle plutôt que d’utiliser les valeurs par défaut.
Pour une expression comportant un tag de variable analogique, ces valeurs par
défaut sont les valeurs Engineering Zero et Full Scale (0 et pleine échelle) du
dernier tag de variable de l’expression. Si le tag de variable analogique n’a pas
les valeurs Engineering Zero et Full Scale, les valeurs par défaut sont 0 (zéro) et
32000. Pour des expressions sans tags, les valeurs par défaut sont 0 (zéro) et 100.
[Expression d’angle] Minimum
Entrez la valeur minimum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, l’objet/le groupe tourne dans le sens anti-horaire d’une distance
égale au décalage minimum. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez
coché la case Spécifier plage.
[Expression d’angle] Maximum
Entrez la valeur maximum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, l’objet/le groupe tourne dans le sens horaire d’une distance
égale au décalage maximum. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez
coché la case Spécifier plage.
[Angle] Au minimum
390
L’angle anti-horaire (en degrés par rapport à 0°) de rotation de l’objet/du groupe
lorsque l’Expression d’angle retourne sa valeur minimale.
Vous pouvez modifier l’angle à l’aide des flèches haut et bas situées à droite de
ce champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
[Angle] Au maximum
L’angle horaire (en degrés par rapport à 0°) de rotation de l’objet/du groupe
lorsque l’Expression d’angle retourne sa valeur minimale.
Vous pouvez modifier l’angle à l’aide des flèches haut et bas situées à droite de
ce champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
Remarque : Pour tourner l’objet/le groupe au minimum dans le sens horaire et
au maximum dans le sens anti-horaire, entrez des distances négatives dans les
champs Angle ou permutez les limites des expressions (entre les champs
Minimum et Maximum).
[Décalage de l’axe central] Express
Ce bouton radio offre un moyen simple et rapide de sélectionner le point autour
duquel tourne l’objet/le groupe. L’option Express permet de choisir entre 9
points (supérieur gauche, inférieur droit, etc.) affichés dans le champ d’image
situé à droite de la boîte de dialogue. Pour en sélectionner un, cliquez
simplement dessus avec la souris.
[Décalage de l’axe central] Personnalisé
Ce bouton radio permet de définir votre propre axe central. Lorsqu’il est
sélectionné, deux champs apparaissent à droite pour définir la position de l’axe.
Entrez la distance vers la droite dans le premier champ et la distance vers le bas
dans le second. L’axe est alors tracé en tenant compte de ces deux valeurs.
Par exemple, si vous entrez 8 pour le décalage horizontal et 13 pour le décalage
vertical, l’axe central sera décalé de 8 pixels sur la droite et de 13 pixels vers le
bas par rapport au centre de l’objet/du groupe.
Entrez des valeurs négatives dans ces champs pour déplacer l’axe vers la gauche
et vers le haut.
Voir aussi Propriétés des objets — Mouvement (horizontal)
Propriétés des objets — Mouvement (vertical)
Mouvement de groupes Un groupe et ses objets peuvent être configurés avec une combinaison
et d’objets — Exemples quelconque de mouvements (horizontal, vertical et rotatif). Les exemples
suivants illustrent certaines de ces combinaisons.
Exemple 1 — Rotation du groupe et déplacement de l’objet de gauche à droite
Si votre groupe est configuré pour effectuer une rotation de 0° à 60° et que l’un
de ses objets est configuré pour se déplacer vers la gauche et vers la droite,
391
Groupe ayant effectué une rotation vers la droite et ellipse déplacée vers la
gauche
Groupe ayant effectué une rotation vers la droite et ellipse déplacée vers le
haut
Groupe ayant effectué une rotation dans le sens horaire et ellipse ayant
effectué une rotation dans le sens anti-horaire
Mise à l’échelle
Vous pouvez modifier la dimension des objets.
Pour configurer un objet ou un groupe dont la taille peut changer :
1 Dessinez un objet (ou insérez un symbole). La boîte de dialogue contenant
les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous avez dés-
activé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur graphique.
2 Cliquez sur l’onglet Mise à l’échelle.
3 Cliquez sur l’onglet Horizontal ou Vertical (à droite de la boîte de
dialogue).
4 Entrez une Expression de mise à l’échelle (l’expression qui modifiera la
taille de l’objet en phase d’exécution).
5 Entrez les informations requises en utilisant l’Aide pour obtenir plus de
renseignements sur chaque champ.
394
Propriétés des objets — La largeur d’un objet peut changer dynamiquement à chaque fois que la valeur
Mise à l’échelle d’une expression change. La largeur de l’objet augmente et diminue avec la
valeur de l’expression proportionnellement à sa largeur d’origine (lorsqu’il a été
(horizontale)
ajouté à la page graphique).
Cette propriété peut être utilisée pour représenter une vue aérienne du
changement d’épaisseur d’un rouleau de papier dans une usine de papier :
Propriétés des objets — Vous pouvez modifier la hauteur d’un objet en phase d’exécution. La hauteur de
Mise à l’échelle l’objet augmente et diminue avec la valeur de l’expression proportionnellement
à sa hauteur d’origine (lorsqu’il a été ajouté à la page graphique).
(verticale)
Cette propriété peut être utilisée pour représenter une vue aérienne du
changement de hauteur (et de largeur) d’un rouleau de papier dans une usine de
papier.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Expression de mise à l’échelle] Spécifier plage
Cochez cette case pour spécifier manuellement les valeurs Minimum et
Maximum de l’expression de mise à l’échelle plutôt que d’utiliser les valeurs par
défaut. Pour une expression comportant un tag de variable analogique, ces
valeurs par défaut sont les valeurs Engineering Zero et Full Scale (0 et pleine
échelle) du dernier tag de variable de l’expression. Si le tag de variable
analogique n’a pas les valeurs Engineering Zero et Full Scale, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 32000. Pour des expressions sans tags, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 100.
[Expression de mise à l’échelle] Minimum
Entrez la valeur minimum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, la hauteur de l’objet est réduite à sa valeur minimale. Vous ne
pouvez entrer de valeur qui si vous avez coché la case Spécifier plage.
[Expression de mise à l’échelle] Maximum
Entrez la valeur maximum de l’expression. Lorsque cette valeur est retournée
par l’expression, la hauteur de l’objet est agrandie à sa valeur maximale. Vous ne
pouvez entrer de valeur qui si vous avez coché la case Spécifier plage.
[Mise à l’échelle] Au minimum
La hauteur minimale de l’objet (en pourcentage de sa valeur d’origine). L’objet
est réduit à sa hauteur minimale lorsque l’Expression de mise à l’échelle
retourne sa valeur minimale. Vous pouvez modifier le pourcentage à l’aide des
flèches haut et bas situées à droite de ce champ ou en entrant une autre valeur
dans le champ. Il est possible d’entrer des valeurs supérieures à 100 %.
[Mise à l’échelle] Au maximum
La hauteur maximale de l’objet (en pourcentage de sa valeur d’origine). L’objet
prend cette valeur lorsque l’Expression de mise à l’échelle retourne sa valeur
maximale.
Vous pouvez modifier le pourcentage à l’aide des flèches haut et bas situées à
droite de ce champ ou en entrant une autre valeur dans le champ. Il est possible
d’entrer des valeurs supérieures à 100 %.
Remarque : Vous pouvez minimiser ou maximiser la hauteur en permutant les
pourcentages dans les champs Échelle (en plaçant le plus fort pourcentage dans
le champ Au minimum et le plus faible dans le champ Au maximum) ou en
permutant les limites de l’expression (dans les champs Minimum et Maximum).
[Décalage de l’axe central] Express
399
Cliquez sur ce bouton radio pour sélectionner un des trois axes horizontaux de
l’objet (supérieur, médian, inférieur). Ces axes sont affichés dans le champ
d’image situé à droite de la boîte de dialogue. Cliquez sur un axe pour le
sélectionner.
Si vous choisissez l’axe supérieur, les changements de hauteur seront effectués
du haut de l’objet vers le bas (le bord supérieur ne bouge pas) :
Entrez une valeur négative pour déplacer l’axe central vers le haut plutôt que
vers le bas.
Remarques :
Si un groupe et ses objets sont configurés pour changer de dimension en
phase d’exécution, les effets de mise à l’échelle du groupe seront conjugués
à ceux affectant l’objet. Par exemple, si un groupe est configuré pour
doubler de taille en phase d’exécution et qu’un de ses objets est configuré
pour être réduit de moitié, l’objet semblera conserver sa taille d’origine.
N’oubliez cependant pas que la position de l’objet peut changer à mesure
que la taille du groupe augmente.
La sélection des boutons radio de Propriétés des objets — Couleur de
remplissage (On/Off, Multi-états, etc.) modifie l’apparence du volet droit de
la boîte de dialogue.
Voir aussi Propriétés des objets — Mise à l’échelle (horizontale)
Couleur de remplissage
Vous pouvez contrôler la couleur de remplissage de vos objets.
Pour définir un objet ou un groupe dont la couleur de remplissage peut
varier :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe.)
2 Cliquez sur l’onglet Remplissage.
3 Cliquez sur l’onglet Couleur (à droite de la boîte de dialogue).
4 Sélectionnez le type de changement de couleur (On/Off, Multi-états, etc.).
5 Entrez l’expression ou les conditions pouvant modifier la couleur de
remplissage de l’objet en phase d’exécution.
6 Entrez les autres informations requises.
401
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de couleur de remplissage (On/Off)
Couleur de remplissage suivantes :
(On/Off) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet de remplir l’objet/le groupe avec une couleur
lorsqu’une condition est VRAIE et avec une autre lorsqu’elle est FAUSSE. Vous
pourriez par exemple colorer un objet/groupe en rouge lorsqu’un tag dépasse
son seuil d’alarme et en vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente pour
chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez remplir l’objet/le groupe avec une
couleur différente pour chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous
pourriez utiliser une couleur de remplissage différente pour chacune des
combinaisons ON/OFF suivantes : ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
402
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez remplir un objet/groupe avec une couleur
différente. Vous pourriez par exemple utiliser une couleur différente pour
chacun des seuils d’une alarme analogique.
[Type] Seuil
Sélectionnez ce bouton radio pour modifier dynamiquement la couleur de
remplissage lorsqu’une expression atteint une valeur spécifique (seuil). Vous
pourriez par exemple décider que cette couleur est rouge lorsque la vitesse d’un
moteur est supérieure ou égale à 4500 tr/min et blanche lorsqu’elle est inférieure
ou égale à 100 tr/min, mais qu’elle reste grise pour toutes les vitesses
intermédiaires.
[Type] Dégradé
Ce bouton radio permet une gradation dynamique de la couleur, en affectant
une couleur différente à chaque valeur retournée par une expression
particulière. Cette option permet de sélectionner deux couleurs, utilisées comme
limites. La couleur correspondant à chaque valeur retournée est sélectionnée
automatiquement dans la gamme comprise entre ces deux limites. Le résultat est
un dégradé entre les deux couleurs.
Couleur ON quand
La couleur sélectionnée comme Couleur ON (ci-dessous) sera utilisée comme
couleur de remplissage lorsque la condition saisie dans ce champ (128 caractères
maximum) est VRAIE. La couleur sélectionnée comme Couleur OFF (ci-
dessous) sera utilisée comme couleur de remplissage lorsque cette condition est
FAUSSE. Par exemple, un objet/groupe peut être coloré en bleu lorsque la
condition MIX_RUNNING est VRAIE et en blanc lorsqu’elle est FAUSSE.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Couleur OFF
La couleur de remplissage utilisée lorsque la condition entrée ci-dessus est
FAUSSE. Par exemple, l’objet/groupe peut être coloré en blanc lorsque la
condition MIX_RUNNING est FAUSSE.
Remarque : La couleur sélectionnée dans ce champ se substituera à toute
couleur de remplissage spécifiée dans l’onglet Apparence générale.
Couleur ON
La couleur de remplissage utilisée lorsque la condition entrée ci-dessus est
VRAIE. Par exemple, l’objet/groupe peut être coloré en bleu lorsque la condition
MIX_RUNNING est VRAIE.
Remarque : La couleur de remplissage du groupe n’est appliquée que si aucune
couleur de remplissage n’est définie pour les objets du groupe.
403
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de couleur de remplissage (Multi-
Couleur de remplissage états) suivantes :
(Multi-états) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet de remplir l’objet/le groupe avec une couleur
lorsqu’une condition est VRAIE et avec une autre lorsqu’elle est FAUSSE. Vous
pourriez par exemple colorer un objet/groupe en rouge lorsqu’un tag dépasse
son seuil d’alarme et en vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente pour
chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez remplir l’objet/le groupe avec une
couleur différente pour chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous
pourriez utiliser une couleur de remplissage différente pour chacune des
combinaisons ON/OFF suivantes : ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez remplir un objet/groupe avec une couleur
différente. Vous pourriez par exemple utiliser une couleur différente pour
chacun des seuils d’une alarme analogique.
[Type] Seuil
Sélectionnez ce bouton radio pour modifier dynamiquement la couleur de
remplissage lorsqu’une expression atteint une valeur spécifique (seuil). Vous
pourriez par exemple décider que cette couleur est rouge lorsque la vitesse d’un
moteur est supérieure ou égale à 4500 tr/min et blanche lorsqu’elle est inférieure
ou égale à 100 tr/min, mais qu’elle reste grise pour toutes les vitesses
intermédiaires.
[Type] Dégradé
Ce bouton radio permet une gradation dynamique de la couleur, en affectant
une couleur différente à chaque valeur retournée par une expression
particulière. Cette option permet de sélectionner deux couleurs, utilisées comme
limites. La couleur correspondant à chaque valeur retournée est sélectionnée
404
automatiquement dans la gamme comprise entre ces deux limites. Le résultat est
un dégradé entre les deux couleurs.
Conditions
Les conditions entrées dans ce champ (128 caractères maximum) seront réunies
de différentes manières et à différents instants. À chacune de ces combinaisons
spécifiques peut être associée une couleur de remplissage différente de l’objet/
du groupe.
Pour entrer une condition, cliquez sur la ligne désirée (A, B, C, etc.) puis sur
Éditer. Vous pouvez entrer d’autres conditions (jusqu’à 5, soit 32 combinaisons)
à l’aide du bouton Ajouter. Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le
bouton Assistant. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer
fonction. Vous pouvez également supprimer des conditions en cliquant sur
Effacer mais ce champ doit toujours contenir au moins une condition. Les
conditions laissées en blanc (non supprimées) seront évaluées en phase
d’exécution comme des conditions toujours fausses.
Couleurs d’état
Les couleurs de remplissage utilisées pour chacune des combinaisons des
conditions ci-dessus.
Remarque : La couleur sélectionnée pour ABC (toutes conditions fausses) se
substituera à toute couleur de remplissage spécifiée à l’aide de l’onglet
Apparence générale.
Exemple :
Pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente à chaque changement
d’état d’une vanne, vous pouvez utiliser les champs Conditions et Symboles
d’état ci-dessous :
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de couleur de remplissage (Tableau)
Couleur de remplissage suivantes :
(Tableau) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet de remplir l’objet/le groupe avec une couleur
lorsqu’une condition est VRAIE et avec une autre lorsqu’elle est FAUSSE. Vous
pourriez par exemple colorer un objet/groupe en rouge lorsqu’un tag dépasse
son seuil d’alarme et en vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente pour
chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez remplir l’objet/le groupe avec une
couleur différente pour chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous
pourriez utiliser une couleur de remplissage différente pour chacune des
combinaisons ON/OFF suivantes : ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez remplir un objet/groupe avec une couleur
différente. Vous pourriez par exemple utiliser une couleur différente pour
chacun des seuils d’une alarme analogique.
[Type] Seuil
Sélectionnez ce bouton radio pour modifier dynamiquement la couleur de
remplissage lorsqu’une expression atteint une valeur spécifique (seuil). Vous
pourriez par exemple décider que cette couleur est rouge lorsque la vitesse d’un
moteur est supérieure ou égale à 4500 tr/min et blanche lorsqu’elle est inférieure
ou égale à 100 tr/min, mais qu’elle reste grise pour toutes les vitesses
intermédiaires.
[Type] Dégradé
Ce bouton radio permet une gradation dynamique de la couleur, en affectant
une couleur différente à chaque valeur retournée par une expression
406
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de couleur de remplissage (Seuil)
Couleur de remplissage suivantes.
(Seuil) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet de remplir l’objet/le groupe avec une couleur
lorsqu’une condition est VRAIE et avec une autre lorsqu’elle est FAUSSE. Vous
pourriez par exemple colorer un objet/groupe en rouge lorsqu’un tag dépasse
son seuil d’alarme et en vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente pour
chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez remplir l’objet/le groupe avec une
couleur différente pour chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous
pourriez utiliser une couleur de remplissage différente pour chacune des
combinaisons ON/OFF suivantes : ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC, ABC.
[Type] Tableau
Cette option permet d’entrer une expression retournant un entier. Pour chaque
entier (de 0 à 255), vous pouvez remplir un objet/groupe avec une couleur
différente. Vous pourriez par exemple utiliser une couleur différente pour
chacun des seuils d’une alarme analogique.
[Type] Seuil
Sélectionnez ce bouton radio pour modifier dynamiquement la couleur de
remplissage lorsqu’une expression atteint une valeur spécifique (seuil). Vous
pourriez par exemple décider que cette couleur est rouge lorsque la vitesse d’un
moteur est supérieure ou égale à 4500 tr/min et blanche lorsqu’elle est inférieure
ou égale à 100 tr/min, mais qu’elle reste grise pour toutes les vitesses
intermédiaires.
408
[Type] Dégradé
Ce bouton radio permet une gradation dynamique de la couleur, en affectant
une couleur différente à chaque valeur retournée par une expression
particulière. Cette option permet de sélectionner deux couleurs, utilisées comme
limites. La couleur correspondant à chaque valeur retournée est sélectionnée
automatiquement dans la gamme comprise entre ces deux limites. Le résultat est
un dégradé entre les deux couleurs.
Expression de couleur
La valeur de l’expression entrée dans ce champ (128 caractères maximum)
détermine la couleur de remplissage de l’objet/du groupe. En d’autres termes, la
couleur de remplissage change lorsque la valeur de cette expression atteint une
valeur de seuil (définie ci-après).
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Expression de couleur] Spécifier plage
Cochez cette case pour spécifier manuellement les valeurs Minimum et
Maximum de l’expression de couleur plutôt que d’utiliser les valeurs par défaut.
(Les valeurs de seuil sont des pourcentages de la plage entre Minimum et
Maximum.) Pour une expression comportant un tag de variable analogique, ces
valeurs par défaut sont les valeurs Engineering Zero et Full Scale (0 et pleine
échelle) du dernier tag de variable de l’expression. Si le tag de variable
analogique n’a pas les valeurs Engineering Zero et Full Scale, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 32000. Pour des expressions sans tags, les valeurs par
défaut sont 0 (zéro) et 100.
[Expression de couleur] Minimum
Entrez la valeur minimum de l’expression. Par rapport aux seuils, le Minimum
est 0 %. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez coché la case Spécifier
plage.
[Expression de couleur] Maximum
Entrez la valeur maximum de l’expression. Par rapport aux seuils, le Maximum
est 100 %. Vous ne pouvez entrer de valeur qui si vous avez coché la case
Spécifier plage.
Seuils (%)
Les seuils et leurs couleurs associées. Un seuil est entré en tant que pourcentage
de la plage d’expression (la plage de valeurs pouvant être retournée par
409
Vous pouvez ajouter jusqu’à 100 combinaisons de couleurs de seuil. Pour ajouter
une combinaison, cliquez sur Ajouter et entrez les informations requises. Pour
éditer une combinaison existante, cliquez sur la ligne appropriée. Vous pouvez
également supprimer des combinaisons en cliquant sur Supprimer.
Toutes les valeurs hors plage (entre 15 % et 85 % dans l’exemple ci-dessus)
utiliseront la couleur de remplissage (statique) spécifiée dans l’onglet
Apparence générale.
Remarque : La couleur de remplissage du groupe n’est appliquée que si aucune
couleur de remplissage n’est définie pour les objets du groupe.
Voir aussi Propriétés des objets — Couleur de remplissage (On/Off)
Propriétés des objets — Couleur de remplissage (Multi-états)
Propriétés des objets — Couleur de remplissage (Tableau)
Propriétés des objets — Couleur de remplissage (Dégradé)
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés de couleur de remplissage (Dégradé)
Couleur de remplissage suivantes :
(Dégradé) [Type] On / Off
Ce bouton radio permet de remplir l’objet/le groupe avec une couleur
lorsqu’une condition est VRAIE et avec une autre lorsqu’elle est FAUSSE. Vous
pourriez par exemple colorer un objet/groupe en rouge lorsqu’un tag dépasse
son seuil d’alarme et en vert dans le cas contraire.
[Type] Multi-états
Cette option est utile lorsque plusieurs conditions possibles peuvent être
satisfaites dans différentes combinaisons et à différents instants. Sélectionnez
cette option pour remplir l’objet/le groupe avec une couleur différente pour
chaque combinaison.
Par exemple, trois tags de variables numériques (A, B et C) peuvent prendre à
tout moment l’état ON ou OFF. Vous pouvez remplir l’objet/le groupe avec une
couleur différente pour chaque combinaison ON/OFF. En d’autres termes, vous
410
Niveau de remplissage
Vous pouvez contrôler le niveau de remplissage des objets.
Pour définir un objet ou un groupe dont le niveau de remplissage est
variable :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe.)
2 Cliquez sur l’onglet Remplissage.
3 Cliquez sur l’onglet Niveau (à droite de la boîte de dialogue).
412
Propriétés des objets — Le niveau de remplissage d’un objet/d’un groupe peut changer dynamiquement
Remplissage (Niveau) à chaque fois que la valeur d’une expression change. Le niveau de remplissage
augmente et diminue avec la valeur de l’expression proportionnellement à la
capacité totale de l’objet/du groupe. Si l’objet/le groupe change de taille en phase
d’exécution, le niveau de remplissage sera automatiquement modifié se sorte à
maintenir le pourcentage approprié.
La couleur utilisée est définie dans les onglets Apparence générale ou Couleur
de remplissage.
Cette propriété peut être utilisée pour afficher des variations de température.
Vous pouvez même combiner les propriétés Couleur de remplissage et Niveau
de remplissage pour afficher un thermomètre dont le niveau de mercure monte
et change de couleur lorsque la température augmente.
Les objets et les groupes ont les propriétés de remplissage de niveau suivantes :
Expression de niveau
La valeur de l’expression entrée dans ce champ (128 caractères maximum)
détermine le niveau de remplissage de l’objet/du groupe. Par défaut, lorsque
l’expression retourne sa valeur minimale, l’objet/le groupe est rempli au niveau
Au minimum. Lorsque l’expression retourne sa valeur maximale, l’objet/le
413
Dans cet exemple, les niveaux de remplissage des objets restent modifiables. Le
niveau de remplissage du groupe détermine la proportion des objets visibles (et
la proportion masquée par la couleur de fond du groupe — blanc, dans le cas
présent).
Commandes clic
Vous pouvez affecter des commandes clic à un objet ou un groupe.
Pour affecter une commande clic à un objet ou un groupe :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe.)
2 Cliquez sur l’onglet Entrée.
3 Cliquez sur l’onglet Clic (à droite de la boîte de dialogue).
4 Entrez une commande dans le champ de commande (la commande qui sera
lancée lorsque l’objet/le groupe sera cliqué en phase d’exécution).
417
Propriétés des objets — La propriété Clic permet d’affecter des commandes à un objet/groupe. Ces
Entrée (Clic) commandes sont exécutées à chaque fois qu’un opérateur clique sur l’objet/le
groupe avec le bouton gauche de la souris en phase d’exécution. Vous pouvez
également définir des messages enregistrés au même moment.
Par exemple, un moteur pourrait être placé en position « marche » puis en
position « arrêt » en appuyant sur le bouton de la souris et en le relâchant
respectivement; des variables pourraient être incrémentées tant que le bouton
de la souris est enfoncé, etc. La date, l’heure et le nom de l’opérateur pourraient
également être enregistrés au même moment.
Les opérateurs qui ne remplissent pas les conditions d’accès ne peuvent pas
cliquer sur les objets/groupes en phase d’exécution.
Les objets et les groupes ont les propriétés d’entrée (Clic) suivantes.
Action
Les commandes peuvent être associées à trois actions. Vous pouvez sélectionner
plusieurs types d’actions. Des commandes et des messages spécifiques peuvent
être associés à chaque action (par exemple, vous exécutez une tâche pour avec
l’action Haut, une autre avec l’action Bas et enregistrez un message différent
pour chacune d’entre elles).
418
[Action] Haut
Cochez cette option si vous désirez qu’une commande soit exécutée (et un
message unique enregistré) lorsque l’opérateur place le pointeur de la souris sur
l’objet/le groupe et clique puis relâche le bouton gauche de la souris.
Comme avec les boutons Windows standard, si l’opérateur éloigne le pointeur
de la souris de l’objet/du groupe avant de relâcher le bouton de la souris, cette
commande ne s’exécutera pas (sauf si vous cochez également l’option Bas).
[Action] Bas
Cochez cette option si vous désirez qu’une commande soit exécutée (et un
message unique enregistré) lorsque l’opérateur place le pointeur de la souris sur
l’objet/le groupe et clique le bouton gauche de la souris. La commande s’exécute
dès que vous cliquez.
[Action] Répétition
Cochez cette option si vous désirez qu’une commande soit exécutée en continue
(et un message unique enregistré) lorsque l’opérateur positionne le pointeur de
la souris sur l’objet/le groupe en question et maintient le bouton gauche de la
souris enfoncé. Si l’opérateur éloigne le pointeur de l’objet/du groupe sans
relâcher le bouton de la souris, cette commande s’interrompt mais l’exécution
reprend lorsque le pointeur revient sur l’objet/le groupe. Toutefois, lorsque
l’option Bas a été cochée, la commande s’exécutera en continu même si vous
éloignez le pointeur de la souris de l’objet/du groupe.
Pour définir l’intervalle de temps précédant la première exécution de la
commande (et le premier message enregistré), et le délai entre chaque répétition,
reportez-vous au champ Vitesse de répétition ci-après.
Commande Haut/Bas/Répétition
Commandes (jeu d’instructions) à lancer dès que l’action sélectionnée est
exécutée. Les commandes ne peuvent dépasser 254 caractères.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Enregistrement] Message d’enregistrement
Message de texte brut envoyé au champ MsgLog du périphérique
d’enregistrement lorsque l’action sélectionnée est exécutée par l’opérateur en
phase d’exécution. Le message peut comprendre des substitutions de noms de
tags utilisant la syntaxe des Génies ou des Super Génies. Avec la syntaxe des
Super Génies, le type de données doit être spécifié. Le nom du tag sera alors
419
Pour inclure des données de terrain dans un message enregistré, insérez le nom
de l’installation dans le format du périphérique lors de sa configuration. Par
exemple, dans le champ Format de l’écran Périphériques, vous pourriez entrer
{MsgLog,20} {FullName,15}. L’enregistrement de messages tels que P2 lancé par
John Smith pourrait ainsi être pris en charge.
Le périphérique d’enregistrement auquel le message est envoyé est spécifié dans
l’onglet Accès (Général).
Remarque : Si l’objet fait partie d’un Génie ou d’un symbole, cette propriété
peut être définie après le collage du Génie/du symbole sur la page. (Double-
cliquez sur l’objet en appuyant sur la touche Ctrl.) Si vous la définissez avant le
collage (c’est-à-dire que vous le définissez pour l’original dans la bibliothèque),
vous ne pouvez pas l’éditer ultérieurement. De même, si l’objet fait partie d’un
modèle, la propriété peut être définie après la création d’une page à l’aide de ce
modèle (là encore, en utilisant Ctrl + double-clic). Si vous la définissez pour le
modèle, vous ne pouvez pas l’éditer pour des pages créées à partir de ce modèle.
Vitesse répétition
Cette option définit l’intervalle de temps précédant la première exécution de la
(ou des) commande(s) et celui séparant deux exécutions successives.
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou entrant une autre valeur dans le champ.
Remarque : Si vous définissez une commande clic pour un objet d’un groupe, la
commande clic du groupe ne fonctionnera pas.
Commandes clavier
Vous pouvez affecter une Commande clavier à un objet ou un groupe.
Pour cela :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe.)
2 Cliquez sur l’onglet Entrée.
420
Propriétés des objets — La propriété Commandes clavier permet d’affecter des commandes clavier à un
Entrée (Commandes objet ou un groupe. Une commande clavier est une séquence de touches
particulière qui exécute une commande lorsqu’un opérateur la tape en phase
clavier)
d’exécution. Pour affecter une commande clavier à un objet/groupe, l’opérateur
doit positionner le curseur sur l’objet/le groupe désiré et entrer la séquence de
touches au clavier.
Vous pouvez également définir un message qui sera enregistré chaque fois que
cette séquence de touches sera entrée.
L’opérateur pourrait par exemple modifier le niveau d’eau d’un réservoir en
plaçant la souris sur le symbole représentant le réservoir et en tapant le nouveau
niveau. La date, l’heure et le nom de l’opérateur pourraient également être
enregistrés au même moment.
Les opérateurs qui ne remplissent pas les conditions d’accès spécifiées à la
rubrique Sécurité ci-dessous ne peuvent pas entrer des commandes clavier en
phase d’exécution.
421
Les objets et les groupes ont les propriétés Entrée commandes clavier suivantes :
Séquence de touches
Tapez la séquence de touches que l’opérateur doit saisir pour exécuter une
commande. Vous pourriez par exemple définir la séquence de touches ###
Entrer. En phase d’exécution, cette séquence vous permettra de taper trois
chiffres quelconques et de cliquer sur Entrer pour modifier des valeurs de tags
de variables.
Vous pouvez entrer autant de séquences que vous le désirez. Pour ajouter une
séquence de touches, cliquez sur Ajouter et tapez une séquence ou sélectionnez
en une dans le menu. Pour modifier une séquence existante, cliquez sur la ligne
désirée puis sur Éditer. Vous pouvez également supprimer des séquences de
touches en cliquant sur Supprimer.
Commande de séquence de touches
Commandes (jeu d’instructions) à exécuter dès que la séquence de touches
sélectionnée est entrée. Les commandes ne peuvent dépasser 254 caractères.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
[Sécurité] Même zone que l’objet/le groupe
Sélectionnez cette case pour affecter la commande clavier à la même zone que
l’objet/le groupe. Seuls les utilisateurs disposant des droits d’accès à cette Zone
(et des autres privilèges requis) pourront émettre cette commande ou enregistrer
le message. Pour affecter cette commande clavier à une autre zone, ne cochez
pas cette case mais entrez plutôt une autre zone en dessous.
[Sécurité] Zone de commande
Entrez la zone à laquelle appartient cette commande clavier. Seuls les
utilisateurs disposant des droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges
requis) pourront émettre cette commande ou enregistrer le message. Par
exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des droits
d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour émettre cette
commande.
Cliquez sur le menu à droite de ce champ pour sélectionner une zone ou tapez
directement un numéro de zone.
Remarque : Si l’objet fait partie d’un Génie ou d’un symbole, cette propriété
peut être définie après le collage du Génie/du symbole sur la page (Ctrl +
double-clic). De même, si l’objet fait partie d’un modèle, la propriété peut être
définie après la création d’une page à l’aide de ce modèle (là encore, en utilisant
Ctrl + double-clic).
Vous pouvez laisser ce champ vierge en cochant la boîte Même privilège que
l’objet/le groupe.
422
Pour inclure des données de terrain dans un message enregistré, vous devez
insérer le nom de l’installation dans le format du périphérique lors de sa
configuration. Par exemple, dans le champ Format de l’écran Périphériques,
vous pourriez entrer {MsgLog,20} {FullName,15}. L’enregistrement de messages
tels que P2 lancé par John Smith pourrait ainsi être pris en charge.
423
Curseurs
Vous pouvez créer des curseurs pour vos pages graphiques.
Pour définir un curseur :
1 Dessinez l’objet/le groupe (ou collez un symbole). La boîte de dialogue con-
tenant les onglets de propriétés apparaît automatiquement, sauf si vous
avez désactivé l’option Afficher propriétés nouveau dans l’Éditeur
graphique. (Pour un groupe, cette boîte de dialogue ne s’affichera pas
automatiquement — vous devez double-cliquer sur le groupe.)
2 Cliquez sur l’onglet Curseur.
3 Cliquez sur l’onglet Horizontal, Vertical ou Rotatif (à droite de la boîte de
dialogue).
4 Entrez le tag à relier au curseur.
5 Entrez les autres informations requises.
6 Cliquez sur OK.
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent être liés à des tags de variables de telle façon
Curseur (Horizontal) que le glissement horizontal de l’objet/du groupe modifie la valeur du tag. Le
tag de variable augmente à mesure que le curseur glisse vers la droite et diminue
à mesure qu’il glisse vers la gauche. Le curseur se déplace également en mode
automatique pour refléter les changements de valeur du tag.
Remarque : Le curseur horizontal ne peut être utilisé si le curseur rotatif ou le
mouvement horizontal sont activés.
Les objets et les groupes ont les propriétés Curseur horizontal suivantes.
Tag
La valeur du tag entré dans ce champ (79 caractères maximum) change lorsque
le curseur se déplace vers la gauche ou la droite. Vous pouvez définir deux
limites de curseur sur votre page graphique. L’objet/le groupe n’ira pas au delà
ces deux points. En phase d’exécution, lorsque le curseur atteint sa limite gauche
Décalage Au minimum, le tag prend sa valeur minimum. Lorsque le curseur
atteint sa limite droite Décalage Au maximum, le tag prend sa valeur
maximum.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ.
[Tag] Mise à jour continuelle du tag
Cochez cette case si vous désirez que le tag de variable soit actualisé à mesure
que le curseur se déplace. Si vous ne cochez pas cette case, le tag ne sera
actualisé que lorsque le curseur est libéré (lorsque le bouton de la souris est
relâché après avoir déplacé le curseur).
[Décalage] Au minimum
La distance (nombre de pixels à partir du centre de l’objet/du groupe initial) que
peut parcourir l’objet/le groupe vers la gauche. Lorsqu’il atteint le point défini
par cette distance, le tag prend la valeur de la limite minimum.
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
[Décalage] Au maximum
La distance (nombre de pixels à partir du centre de l’objet/du groupe initial) que
peut parcourir l’objet/le groupe vers la droite. Lorsqu’il atteint le point défini par
cette distance, le tag prend la valeur de la limite maximum.
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
Vous pouvez augmenter la valeur du tag avec un glissement vers la gauche et la
diminuer avec un glissement vers la droite en entrant des distances négatives
dans les champs Décalage.
425
Remarque : Lorsqu’un objet d’un groupe est un curseur, cet objet peut modifier
les dimensions générales du groupe lorsqu’il est utilisé en phase d’exécution. Le
niveau de remplissage du groupe sera alors modifié en conséquence. Si un
groupe et un de ses objets sont tous deux définis comme curseurs et s’ils se
déplacent dans la même direction ou si l’un d’eux est rotatif, l’objet aura la
priorité (seul l’objet fonctionnera comme curseur).
Voir aussi Propriétés des objets — Curseur (Vertical)
Propriétés des objets — Curseur (Rotatif)
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent être liés à des tags de variables de telle façon
Curseur (Vertical) que le glissement vertical de l’objet/du groupe modifie la valeur du tag. Le tag
de variable augmente à mesure que le curseur glisse vers le haut et diminue à
mesure qu’il glisse vers le bas. Le curseur se déplace également en mode
automatique pour refléter les changements de valeur du tag.
Remarque : Le curseur vertical ne peut être utilisé si le curseur rotatif ou le
mouvement horizontal sont activés.
Les objets et les groupes ont les propriétés de curseurs verticaux suivantes :
Tag
La valeur du tag entré dans ce champ (79 caractères maximum) change lorsque
le curseur se déplace vers le haut ou le bas. Vous pouvez définir deux limites de
curseur sur votre page graphique. L’objet/le groupe n’ira pas au delà ces deux
points. En phase d’exécution, lorsque le curseur atteint sa limite supérieure
(Décalage Au maximum), le tag prend sa valeur maximum. Lorsque le curseur
atteint sa limite inférieure (Décalage Au minimum), le tag prend sa valeur
minimum.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ.
[Tag] Mise à jour continuelle du tag
Cochez cette case si vous désirez que le tag de variable soit actualisé à mesure
que le curseur se déplace. Si vous ne cochez pas cette case, le tag ne sera
actualisé que lorsque le curseur est libéré (lorsque le bouton de la souris est
relâché après avoir déplacé le curseur).
[Décalage] Au maximum
La distance (nombre de pixels à partir du centre de l’objet/du groupe initial) que
peut parcourir l’objet/le groupe vers le haut. Lorsqu’il atteint le point défini par
cette distance, le tag prend la valeur de la limite maximum.
Vous pouvez modifier cette valeur à l’aide des flèches haut et bas situées à droite
du champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
[Décalage] Au minimum
426
Propriétés des objets — Les objets et les groupes peuvent être liés à des tags de variables de telle façon
Curseur (Rotatif) que le glissement rotatif de l’objet/du groupe modifie la valeur du tag. Le tag de
variable augmente à mesure que le curseur tourne dans le sens horaire et
diminue à mesure qu’il tourne dans le sens anti-horaire. Le curseur se déplace
également en mode automatique pour refléter les changements de valeur du tag.
Remarque : Le curseur rotatif ne peut être utilisé si l’un des autres curseurs ou le
mouvement rotatif sont activés.
Les objets et les groupes ont les propriétés de curseurs rotatifs suivantes.
Tag
La valeur du tag entré dans ce champ (79 caractères maximum) change à mesure
que le curseur tourne. Vous pouvez définir deux limites de curseur sur votre
page graphique. L’objet/le groupe n’ira pas au delà ces deux points. En phase
d’exécution, lorsque le curseur atteint sa limite dans le sens anti-horaire
(Décalage Au minimum), le tag prend sa valeur minimum. Lorsqu’il atteint sa
limite dans le sens horaire (Décalage Au maximum), le tag prend sa valeur
maximum.
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ.
[Tag] Mise à jour continuelle du tag
Cochez cette case si vous désirez que le tag de variable soit actualisé à mesure
que le curseur se déplace. Si vous ne cochez pas cette case, le tag ne sera
actualisé que lorsque le curseur est libéré (lorsque le bouton de la souris est
relâché après avoir déplacé le curseur).
427
[Angle] Au minimum
Entrez un angle dans le sens horaire (en degrés par rapport à 0°). Le curseur ne
peut tourner dans le sens anti-horaire au-delà de cette limite. Lorsqu’il atteint
cette limite, le tag prend la valeur minimum.
Vous pouvez modifier l’angle à l’aide des flèches haut et bas situées à droite de
ce champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
[Angle] Au maximum
Entrez ici un angle dans le sens horaire (en degrés par rapport à 0°). Le curseur
ne peut tourner dans le sens horaire au-delà de cette limite. Lorsqu’il atteint
cette limite, le tag prend la valeur maximum.
Vous pouvez modifier l’angle à l’aide des flèches haut et bas situées à droite de
ce champ ou en entrant une autre valeur dans le champ.
Remarque : Vous pouvez augmenter la valeur du tag avec un glissement dans le
sens anti-horaire et la diminuer avec un glissement dans le sens horaire en
entrant des distances négatives dans les champs Angle.
[Décalage de l’axe central] Express
Ce bouton radio offre un moyen simple et rapide de sélectionner le point autour
duquel tourne l’objet/le groupe. L’option Express permet de choisir entre 9
points (supérieur gauche, inférieur droit, etc.) affichés dans le champ d’image de
la boîte de dialogue. Pour en sélectionner un, cliquez simplement dessus avec la
souris.
[Décalage de l’axe central] Personnalisé
Ce bouton radio permet de définir votre propre axe central. Lorsqu’il est
sélectionné, deux champs apparaissent à droite pour définir la position de l’axe.
Entrez la distance vers la droite dans le premier champ et la distance vers le bas
dans le second. L’axe est alors tracé en tenant compte de ces deux valeurs.
Par exemple, si vous entrez 8 pour le décalage horizontal et 13 pour le décalage
vertical, l’axe central sera décalé de 8 pixels sur la droite et de 13 pixels vers le
bas par rapport au centre de l’objet/du groupe.
Entrez des valeurs négatives dans ces champs pour déplacer l’axe vers la gauche
et vers le haut.
Remarque : Si un groupe et un de ses objets sont tous deux définis comme
curseurs, l’objet aura la priorité (seul l’objet fonctionnera comme curseur).
Voir aussi Propriétés des objets — Curseur (Horizontal)
Propriétés des objets — Curseur (Vertical)
428
Accès
Vous pouvez déterminer le type d’accès que vous voulez définir pour vos objets.
Accès général aux objets
Désactivation de l’accès aux objets
Accès général aux Utilisez l’onglet Général pour définir les caractéristiques d’accès général aux
objets objets.
Pour définir les propriétés d’accès général aux objets :
1 Double-cliquez sur l’objet.
2 Cliquez sur l’onglet Accès.
3 Cliquez sur l’onglet Général.
4 Entrez les autres informations requises, puis cliquez sur OK.
Propriétés des objets — Utilisez la boîte de dialogue Propriétés des objets pour définir les paramètres
Accès (Général) généraux d’identification, de sécurité, d’enregistrement et de privilège de votre
objet ActiveX.
Les objets et les groupes ont les propriétés d’accès général suivantes.
[Identification] AN objet/groupe
Affiche le numéro d’animation de l’objet/du groupe. L’AN identifie l’objet/le
groupe de façon unique et peut être utilisé dans les fonctions Cicode, etc.
429
Remarque : Si l’objet fait partie d’un Génie ou d’un symbole, cette propriété
peut être définie après le collage du Génie/du symbole sur la page (Ctrl +
double-clic). De même, si l’objet fait partie d’un modèle, la propriété peut être
définie après la création d’une page à l’aide de ce modèle (là encore, en utilisant
Ctrl + double-clic).
[Identification] Description
Entrez une description de l’objet/du groupe et ses fonctions, etc. Champ permet
d’entrer des informations que vous jugez utiles au bon fonctionnement de votre
système. Il n’affecte pas la façon dont votre système s’exécute et ne s’affiche pas
en phase d’exécution.
[Identification] Info-bulle
Entrez une brève description (48 caractères maximum) de l’objet/du groupe.
Cette description apparaît en phase d’exécution lorsque l’opérateur déplace le
curseur sur l’objet/le groupe. Le message peut être du texte brut, utiliser la
syntaxe des Super Génies ou les deux. Avec la syntaxe des Super Génies, le type
de données doit être spécifié. Le nom du tag sera alors compris dans le texte.
Lorsqu’un objet d’un groupe a une info-bulle, celle-ci sera toujours affichée et
non celle du groupe. S’il n’a pas d’info-bulle, celle du groupe sera affichée. Dans
un tel cas, si l’objet fait partie d’un groupe et que ce groupe fait partie d’un autre
groupe, l’info-bulle du premier groupe sera affichée.
Si vous placez un objet derrière un groupe, son info-bulle ne sera pas affichée.
N’oubliez cependant pas que les groupes ont un périmètre rectangulaire, quelle
que soit la forme créée par les objets du groupe. Cela signifie que les espaces
« vides » situés entre les objets d’un groupe font effectivement partie du groupe.
L’info-bulle d’un objet situé derrière un groupe ne sera donc pas affichée même
si vous pouvez voir l’objet en question.
[Sécurité] Même zone que la page
Cochez cette case pour affecter l’objet /le groupe à la même zone que la page sur
laquelle il a été tracé ou entrez une autre zone dans le champ Zone d’objet/de
groupe en dessous.
[Sécurité] Zone Objet/Groupe
Entrez la zone à laquelle appartient l’objet/le groupe. Les utilisateurs qui ne
disposent pas des droits d’accès à cette Zone (et des autres privilèges requis) ne
pourront utiliser complètement l’objet/le groupe. Ils ne pourront utiliser les
commandes clic, les commandes clavier, les mouvements, les curseurs, etc.
(Pour éviter les malentendus, il est parfois conseillé de désactiver l’objet/le
groupe indisponible aux opérateurs ne disposant pas des droits requis. Un objet/
un groupe désactivé peut être grisé, caché ou apparaître en relief.) Par exemple,
si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des droits d’accès à cette
zone (et des autres privilèges requis) pour utiliser cet objet/ce groupe.
430
Cliquez sur le menu à droite de ce champ pour sélectionner une zone ou tapez
directement un numéro de zone.
[Sécurité] Pas de restrictions de privilèges
Cochez cette case pour désactiver les restrictions de privilèges ou entrez un
autre privilège en dessous. Si vous désactivez les restrictions de privilèges,
l’accès à l’objet/au groupe dépendra de la configuration de sécurité utilisée :
Pas de zones — Tous les opérateurs ont un contrôle total sur l’objet/le
groupe.
Zones — Un opérateur ne nécessitera qu’un accès visuel pour contrôler
l’objet/le groupe s’il n’a pas de restrictions de privilèges.
[Sécurité] Niveau de privilège
Entrez le niveau de privilège que doit posséder un utilisateur pour pouvoir
utiliser cet objet/ce groupe. Les utilisateurs sans les privilèges requis ne pourront
utiliser complètement l’objet/le groupe. Ils ne pourront utiliser les commandes
clic, les commandes clavier, les mouvements, les curseurs, etc. (Pour éviter les
malentendus, désactivez l’objet/le groupe indisponible aux opérateurs ne
disposant pas des droits requis. Un objet/un groupe désactivé peut être grisé,
caché ou apparaître en relief.) Par exemple, si vous entrez le niveau de privilège
1, les opérateurs devront avoir ce niveau de privilège pour utiliser cet objet/ce
groupe. Vous pouvez également combiner cette restriction avec des restrictions
de zones. Par exemple, si vous affectez l’objet/le groupe à la zone 5 avec le
privilège utilisateur 2, un opérateur devra détenir le privilège 2 pour cette zone.
Cliquez sur le menu à droite de ce champ pour sélectionner un privilège ou
tapez directement un numéro de privilège.
Remarque : Si un objet fait partie d’un groupe, les utilisateurs doivent avoir
accès au groupe pour pouvoir accéder à l’objet.
[Enregistrement] Périphérique d’enregistrement
C’est le périphérique sur lequel seront enregistrés les messages associés aux
commandes clavier et aux commandes clic de l’objet/du groupe. Cliquez sur le
menu situé à droite de ce champ pour sélectionner un périphérique ou tapez un
nom de périphérique.
Remarque : Vous devez inclure le champ MsgLog dans le format de ce
périphérique d’enregistrement pour que les messages soient transmis.
Voir aussi Désactivation de l’accès aux objets
Désactivation de l’accès Vous pouvez, si vous le désirez, désactiver l’accès aux objets.
aux objets Pour désactiver l’accès à un objet :
1 Double-cliquez sur l’objet.
431
Propriétés des objets — Les objets et les groupes ont les propriétés d’accès (désactivé) suivantes
Accès (Désactivé) Désactiver quand
L’objet/le groupe sera désactivé chaque fois que l’expression entrée dans ce
champ (128 caractères maximum) est vraie. Si l’objet/le groupe est désactivé,
l’opérateur ne pourra utiliser aucune forme d’entrée (curseurs, commandes clic,
commandes clavier, etc.).
Pour insérer un tag ou une fonction, cliquez sur le bouton Assistant à droite de
ce champ. Ce bouton propose deux options : Insérer tag et Insérer fonction.
Un objet/un groupe désactivé peut être grisé, caché ou apparaître en relief.
[Désactiver quand] Zone ou privilège insuffisant
L’objet/le groupe sera désactivé pour les opérateurs soumis à des restrictions de
zones et de privilèges et ne disposant pas des droits définis dans les propriétés
Accès (Général) des objets.
Style désactivé
En relief : L’objet/le groupe désactivé apparaît en relief sur la page graphique.
432
Commandes clic Ces commandes peuvent être affectées aux objets créés sur vos pages
graphiques. Elles permettent à l’opérateur d’envoyer des commandes au
système superviseur en cliquant (avec la souris ou autre) sur l’un de ces objets.
(Pour les boutons, les commandes peuvent être exécutées en les mettant en
surbrillance à l’aide des touches fléchées du clavier puis en appuyant sur
Entrée.)
Vous pouvez définir plusieurs commandes pour un objet, par exemple, une
commande s’exécutant lorsque l’opérateur clique sur un objet, une autre
s’exécutant lorsque l’opérateur relâche le bouton de la souris, et une autre
s’exécutant de façon continue tant que l’opérateur garde le bouton de la souris
enfoncé. Par exemple, un moteur pourrait être placé en position « marche » puis
en position « arrêt » en appuyant sur le bouton de la souris et en le relâchant
respectivement; des variables pourraient être incrémentées tant que le bouton
de la souris est enfoncé, etc.
Remarque : Une condition de verrouillage peut être définie pour tous les objets
d’une page (boutons inclus). Lorsque cette condition est active, l’objet verrouillé
est grisé et ne peut être sélectionné. Vous pouvez également associer une info-
bulle (texte d’aide) à un objet — si l’opérateur place le pointeur de la souris sur
cet objet, le texte d’aide s’affichera dans une fenêtre dynamique.
Voir aussi Commandes clic
Commandes clavier Les commandes clavier consistent en une séquence de touches entrée au clavier
qui entraîne l’exécution d’une instruction (ou une série d’instructions).
434
Curseurs Les curseurs permettent aux opérateurs de modifier la valeur d’une variable
analogique en déplaçant un objet sur une page graphique à l’aide de la souris. Ils
peuvent également se déplacer automatiquement de sorte à refléter la valeur de
la variable.
Voir aussi Curseurs
Propriétés des Les commandes clavier de niveau système ont les propriétés suivantes :
commandes clavier de Séquence de touches (32 caract.)
niveau système
Séquence de touches de la commande.
Commande (64 caract.)
Commandes (jeu d’instructions) à exécuter lorsque l’opérateur entre la séquence
de touches correspondante.
Privilège (16 caract.)
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour émettre la commande.
Commentaire (48 caract.)
Tout commentaire utile.
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus (à
l’aide de la touche F2).
Zone (16 caract.)
Zone à laquelle appartient la commande. Seuls les opérateurs appartenant à
cette Zone pourront émettre la commande. Par exemple, si vous entrez Zone 1,
les opérateurs devront disposer des droits d’accès à cette zone (et des autres
privilèges requis) pour émettre cette commande.
Message d’enregistrement (32 caract.)
Message de texte envoyé au champ MsgLog du périphérique d’enregistrement
lorsque l’action sélectionnée est exécutée par l’opérateur en phase d’exécution.
Le message doit être en texte brut.
436
Pour inclure des données de terrain dans un message enregistré, vous devez
insérer le nom de l’installation dans le format du périphérique lors de sa
configuration. Par exemple, dans le champ Format de l’écran Périphériques,
vous pourriez entrer {MsgLog,20} {FullName,15}. L’enregistrement de messages
tels que P2 lancé par John Smith pourrait ainsi être pris en charge.
Le périphérique d’enregistrement auquel le message est envoyé est spécifié dans
le champ périphérique d’enregistrement ci-dessous.
Périphérique d’enregistrement (16 caract.)
Périphérique auquel est transmis le message d’enregistrement à l’émission de la
commande.
Remarque : Vous devez inclure le champ MsgLog dans le format de ce
périphérique d’enregistrement pour que les messages soient transmis.
Touches clavier
Vous pouvez définir des touches clavier pour émettre des commandes.
Pour cela :
1 Sélectionnez Système | Touches clavier. La boîte de dialogue touches cla-
vier apparaît.
2 Entrez le Nom de la touche et le Code de la touche (et un Commentaire le
cas échéant).
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
Propriétés des touches Les touches clavier ont les propriétés suivantes :
clavier Nom de la touche
Nom affecté à la touche. Entrez une valeur de 16 caractères maximum. Vous
pouvez affecter un nom explicite aux touches de votre clavier et utiliser ces
noms pour définir une commande clavier. Par exemple, vous pouvez définir la
437
Claviers
Vous pouvez utiliser des claviers non standard (ou plusieurs claviers) pour
contrôler CitectSCADA. Vous pouvez également redéfinir les clés de votre
clavier.
Utilisation de claviers non standard
Plusieurs types de claviers peuvent être utilisés avec votre système superviseur.
Les plus courants sont les claviers compatibles IBM. CitectSCADA utilise ce type
de clavier par défaut. La plupart des claviers industriels n’adhèrent pas à ce
standard — si vous utilisez des claviers non standard, définissez chacun d’eux
dans la base de données.
Utilisation de claviers multiples
Il est possible, dans certains cas, que vous ayez besoin de différents types de
claviers : par exemple, un clavier compatible IBM dans votre salle de commande
et un clavier à membrane dans l’atelier de fabrication. Si vous utilisez plusieurs
types de claviers, définissez toutes les touches de chaque clavier et affectez
chaque type à l’ordinateur correspondant.
Définissez le type de clavier de chaque ordinateur CitectSCADA à l’aide du
paramètre [Clavier]Type.
Remarque : Avant de définir des commandes utilisant les boutons de la souris,
assurez-vous de bien faire la distinction entre les commandes à « double-clic » et
les commandes à « simple clic ». Le deuxième clic suit le premier — un message
« simple clic » est toujours généré avant un message « double-clic ».
Définition des noms de touches
Une touche du clavier peut être désignée par un nom explicite plutôt que par la
touche correspondante. Par exemple, la touche F1 peut être désignée touche
« Aide » et la touche F2 touche « Connexion ». Vous pouvez vous servir du nom
ainsi défini lorsque vous utilisez l’une de ces touches dans une commande.
Vous pouvez affecter un nom à n’importe quelle touche du clavier (y compris les
touches alphanumériques A-Z, a-z, et 0 — 9). Toutefois, une touche définie
comme touche de commande ne pourra être utilisée qu’à cet effet. Si vous
affectez une définition à une touche alphanumérique (par exemple le caractère
A), cette touche ne pourra plus être utilisée pour la saisie de données. Chaque
fois que vous appuierez sur cette touche, CitectSCADA la traitera en fonction de
la définition que vous lui aurez donnée et non plus comme un caractère du
clavier. Généralement, seules les touches non alphanumériques (touches de
fonction) sont utilisées comme touches de commande.
Voir aussi Définition des séquences de touches de commande
Définition des commandes
439
Vous pouvez également spécifier deux touches ou plus, par exemple la touche
F2 suivie de la touche Entrée.
Séquence de touches F2 Entrée
Remarque : Les touches d’une séquence doivent être séparées par des espaces.
Évitez de définir des commandes utilisant une touche commune. Par exemple, si
vous définissez F3 pour une commande et F3-F4 pour une autre commande, en
appuyant sur F3, vous déclencherez immédiatement l’exécution de la première
commande — et la seconde ne sera pas exécutée. Pour éviter ce type de conflit,
vous devez insérer un séparateur après ces touches de clavier, par exemple :
Séquence de touches F3 Entrée
Commande SP1 = 50;
Utilisation d’une touche Une commande définie par une touche « directe » s’exécute dès que vous
directe appuyez dessus. La séquence ne peut comporter qu’une seule touche et vous ne
devriez utiliser de touches « directes » que pour définir des commandes agissant
sur la mémoire intermédiaire du clavier (par exemple, Retour ou Suppr). Une
touche « directe » doit être préfixée d’un astérisque (*), comme dans l’exemple
suivant :
Séquence de touches *Retour arrière
Commande KeyBs()
Remarque : Une touche « directe » ne peut être définie que pour l’exécution
d’une commande de niveau système (globale).
Voir aussi Utilisation de variables en entrée
Utilisation de variables Une commande clavier peut être définie pour accepter des variables en entrée en
en entrée phase d’exécution. Un opérateur pourra ainsi saisir une valeur qui sera passée
comme argument (ou Arguments) d’une commande Cicode de sorte qu’une
commande clavier puisse être utilisée avec différentes valeurs. Vous pourriez
par exemple définir la commande suivante pour affecter une valeur à la variable
SP1 en phase d’exécution :
Séquence de touches F3 ### Entrée
Commande SP1 = Arg1;
Dans cet exemple, pour affecter une valeur à la variable SP1, l’opérateur appuie
sur F3, saisit la valeur puis appuie sur Entrée, par exemple :
ou
ou
441
est utilisée), la valeur d’Arg1 sera zéro, et la variable prendra donc la valeur
zéro. Pour éviter cette situation, utilisez l’étiquette ArgValue1, par exemple :
Commande SP1 = ArgValue1;
L’étiquette ArgValue1 détectera toute entrée illégale — si l’entrée est invalide, la
valeur de la variable ne sera pas modifiée. Vous pouvez également utiliser la
fonction StrToValue().
Notez que l’étiquette ArgValue1 et la fonction StrToValue() interrompent
l’exécution de la commande. Toute instruction venant à la suite de l’étiquette
ArgValue1 ou de la fonction StrToValue() ne sera pas exécutée.
Voir aussi Transmission d’arguments multiples
Transmission Vous pouvez passer plusieurs arguments à une commande Cicode en les
d’arguments multiples séparant par des virgules (,). Ces arguments seront transmis à la commande l’un
après l’autre et seront désignés dans le champ de commande par Arg1, Arg2,
Arg3, etc. Par exemple. Exemple :
Séquence de touches F3 ###, ### Entrée
Commande SP1 = Arg1; SP2 = Arg2;
Vous pouvez utiliser jusqu’à huit arguments. Évitez toutefois de passer trop
d’arguments.
Remarque : Il n’existe aucun moyen de vérifier que tous les arguments en entrée
sont valides. Si un opérateur n’affecte aucune valeur à l’un des arguments, par
exemple, s’il frappe :
la valeur d’Arg2 sera zéro et la seconde variable prendra la valeur zéro. Évitez
d’utiliser plusieurs arguments dans une commande si une entrée invalide est
susceptible de poser des problèmes.
Voir aussi Transmission à une fonction d’arguments saisis au clavier
Transmission à une En phase d’exécution, vous pouvez également passer directement des
fonction d’arguments arguments à une fonction, comme dans l’exemple suivant :
saisis au clavier Séquence de touches F4 ######## Entrée
Commande PageDisplay(Arg1);
Utilisation du délai La propriété Délai d’alarme permet de configurer des alarmes numériques,
d’alarme analogiques et avancées de sorte qu’elles ne soient activées que lorsque leurs
conditions de déclenchement restent vraies pendant un intervalle de temps
donné.
Dans le cas des alarmes analogiques, cela signifie qu’elles doivent se trouver
dans une plage prédéfinie pendant un intervalle de temps donné avant qu’une
alarme ne puisse être activée. Dans le cas des alarmes numériques et avancées, la
condition de déclenchement de la variable numérique ou de l’Expression Cicode
doit rester vraie pendant un intervalle de temps donné.
Le délai d’alarme peut être utile dans le cas de la surveillance de températures.
La configuration d’un délai permet d’exclure les alarmes passagères dues à des
sauts de températures.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Catégories d’alarmes
Utilisation des filtres CitectSCADA permet de définir des mots clés pour vos tags d’alarme, que vous
d’alarmes pouvez ensuite utiliser pour lancer des interrogations personnalisées de vos
données d’alarme.
La boîte de dialogue Propriétés des alarmes permet de définir jusqu’à huit filtres
personnalisés pour chaque alarme de votre système, pour générer des requêtes
filtrant vos données d’alarme pour trouver des informations spécifiques.
Vous pourriez par exemple vouloir suivre toutes les alarmes représentant un
risque d’incendie. Vous définiriez alors le Filtre personnalisé 1 pour chaque tag
concerné comme « risque d’incendie ». Vous appelleriez ensuite une fonction
445
Cicode interrogeant toutes les alarmes dont le « filtre personnalisé 1 » est égal à
« risque d’incendie ». Vous obtiendriez alors une liste des alarmes informant un
opérateur de toute circonstance potentiellement inflammable.
Vous pourriez également utiliser le Filtre personnalisé 2 pour définir le type
d’équipement associé à l’alarme et désigner chaque alarme en conséquence (par
ex., « pompe », « convoyeur », etc.). Des requêtes pourraient alors être créées
pour répertorier toutes les alarmes associées à un type d’équipement; par
exemple, toutes les alarmes associées à des pompes.
Exemple Vous voulez créer une requête appelant les alarmes courantes pour les
convoyeurs de votre installation. Elles peuvent être issues des tags d’alarme que
vous avez définis comme étant associés à un convoyeur en affectant le mot
« convoyeur » au champ Filtre personnalisé 1.
La fonction créée ressemblerait à la suivante :
INT
FUNCTION CheckCustom1(INT nRid, INT nVer, STRING sValue)
STRING sCustom;
// Get the information in CUSTOM1
sCustom = AlarmGetFieldRec(nRid, "CUSTOM1", nVer);
IF sCustom = sValue THEN
// Lets display this
RETURN 1;
ELSE
446
Questions de performance
Cicode est plus long à mettre en œuvre que les filtres prédéfinis de
CitectSCADA. Pour éviter un traitement inutile d’alarmes ayant déjà été
vérifiées, des filtres personnalisés intelligents sont activés par défaut pour
minimiser le traitement requis lorsque le nombre d’enregistrements d’alarmes
est élevé.
L’activation des filtres personnalisés intelligents signifie que votre fonction
vérifie chaque enregistrement d’alarme la première fois qu’une requête est
exécutée. Seuls les affichages ou modifications d’enregistrements ultérieurs
appellent alors la fonction pour les enregistrements modifiés ou nouveaux.
Ce comportement est recommandé pour la majorité des requêtes. Il se peut
cependant que vous vouliez le désactiver pour certaines requêtes et vérifier
chaque enregistrement d’alarme.
Vous pourriez par exemple rechercher toutes les alarmes nouvelles ou modifiées
au cours des 10 dernières secondes. Dans ce cas, le filtrage intelligent ne
fonctionnera pas car certains enregistrements n’auront pas changé mais
pourront être exclus ou inclus dans votre requête.
Deux mécanismes permettent de contrôler cette situation :
Si le paramètre global ini [ALARM]EnableSmartCustomFilters est égal à 0,
les filtres intelligents seront désactivés pour toutes les requêtes.
Lors d’une requête, insérez un 4e argument optionnel égal à 1 ou VRAI, par
exemple :
AlarmSetQuery(0, "MyQueryTime", "10", TRUE);
447
Cet argument lance alors la requête à chaque exécution. La valeur par défaut
est 0 ou FAUX (autorise les requêtes intelligentes).
Voir aussi Catégories d’alarmes
Catégories d’alarmes
Chaque alarme de votre système peut être affectée à une catégorie, et chaque
catégorie peut être traitée comme un groupe. Pour chaque catégorie, vous
pouvez définir les caractéristiques de l’affichage (police, type de page), de
l’enregistrement (imprimante ou fichier), et l’action à entreprendre lors du
déclenchement d’une alarme (par exemple, activer une alarme sonore).
À chaque catégorie peut correspondre une priorité. Ces priorités permettent de
définir l’ordre d’affichage des alarmes, ce qui peut être utile pour l’opérateur.
Vous pouvez également personnaliser l’ordre dans lequel les alarmes sont
affichées sur la page de l’historique des alarmes à l’aide des paramètres
SummarySort et SummarySortMode. (Cet ordre prime sur l’ordre de priorité des
catégories d’alarmes.)
Il est possible de définir jusqu’à 16376 catégories d’alarmes. Si vous ne spécifiez
pas de catégorie pour une alarme, elle aura les mêmes attributs que la Catégorie
0. Si vous ne spécifiez pas cette dernière, CitectSCADA utilisera des valeurs par
défaut.
Pour définir une catégorie d’alarmes :
1 Sélectionnez Système | Catégories d’alarmes. La boîte de dialogue Catégo-
ries d’alarmes apparaît.
2 Entrez les propriétés de la catégorie d’alarmes.
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
448
les paramètres d’affichage d’une liste d’alarmes de façon à afficher toutes les
alarmes, quelle que soit leur priorité, vous utiliseriez AlarmSetInfo avec
Type = 7, Value = 0.
Remarque : Lorsque la priorité 0 est utilisée pour afficher toutes les alarmes
quelle que soit leur priorité, les alarmes de priorité 0 sont affichées en
premier, suivies des alarmes de priorité 1, puis des alarmes de priorité 2, etc.
Vous pouvez également personnaliser l’ordre dans lequel les alarmes sont
affichées sur la page de l’historique des alarmes à l’aide des paramètres
SummarySort et SummarySortMode. (Cet ordre prime sur l’ordre de
priorité des catégories d’alarmes.)
Affichage sur la page d’alarmes
Détermine si les alarmes de cette catégorie sont affichées sur la page
d’alarmes. La valeur par défaut de ce champ est VRAI. Entrez une valeur de
6 caractères maximum.
Affichage sur la page d’historique
Détermine si les alarmes de cette catégorie sont affichées sur la page
d’historique. La valeur par défaut de ce champ est VRAI. Entrez une valeur
de 6 caractères maximum.
Non acquittées : police des alarmes désactivées
Police utilisée pour l’affichage des alarmes qui ne sont plus actives (mais
n’ont pas été acquittées). Cette propriété est facultative. Si vous ne précisez
pas de police, la valeur par défaut est 10 pt MARRON. Entrez une valeur de
16 caractères maximum.
Acquittées : police des alarmes désactivées
Police utilisée pour l’affichage des alarmes qui ne sont plus actives et qui ont
été acquittées. Cette propriété est facultative. Si vous ne précisez pas de
police, la valeur par défaut est 10 pt BLANC. Entrez une valeur de 16
caractères maximum.
Non acquittées : police des polices actives
Police utilisée pour l’affichage d’une Alarme active non acquittée. Cette
propriété est facultative. Si vous ne précisez pas de police, la valeur par
défaut est 10 pt JAUNE. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Acquittées : police des alarmes actives
Police utilisée pour l’affichage des alarmes actives acquittées. Cette
propriété est facultative. Si vous ne précisez pas de police, la valeur par
défaut est 10 pt CYAN. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Police désactivée
450
Police utilisée pour l’affichage des alarmes désactivées. Cette propriété est
facultative. Si vous ne précisez pas de police, la valeur par défaut est 10 pt
BLANC. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Action ON
Commande Cicode exécutée lorsqu’une alarme de cette catégorie est
acquittée (254 caractères maximum). Exemple :
Action Alarme ON STOP_PROCESS = 1;
Action OFF
Commande Cicode exécutée lorsqu’une alarme de cette catégorie est
réinitialisée (254 caractères maximum). Exemple :
Action Alarme OFF ENABLE_PROCESS = 1;
seulement). Chaque alarme s’affiche sur la page d’alarmes sur une seule
ligne, par exemple :
12:32:21RFP3 Pompe d’alimentation 3 Surcharge
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, le format par
défaut est :
Format {Heure,12} {Tag,10} {Nom,20} {Desc,32}
Alarmes numériques
Vous pouvez activer des alarmes numériques en fonction de l’état d’une ou de
deux variables numériques. L’alarme devient active lorsque l’état de la
condition de déclenchement reste vrai pendant l’intervalle de temps défini par
ce paramètre.
CitectSCADA interroge les variables configurées pour une alarme numérique à
la fréquence définie par le paramètre Citect.ini [Alarm]ScanTime. Si l’état de
453
l’alarme change, la notification a lieu la prochaine fois que les variables sont
interrogées. Notez que l’heure associée à l’état de l’alarme correspond à celle à
laquelle la variable a été interrogée et non pas à celle à laquelle la condition
d’alarme s’est produite.
Pour configurer une alarme numérique :
1 Sélectionnez Alarme | Alarmes numériques. La boîte de dialogue Alarmes
numériques apparaît.
2 Renseignez les champs de propriétés de l’écran.
Propriétés des alarmes Les Alarmes numériques ont les propriétés suivantes :
numériques Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
454
Desc. alarme
Description de l’alarme (254 caractères maximum). Elle peut inclure des
données variables. Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise
que pour afficher les détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer
dans un périphérique.
Tag A / Tag B
Les variables numériques (tags) déclenchant l’alarme (79 caractères
maximum). Vous pouvez activer des alarmes numériques en fonction de
l’état d’une ou de deux variables numériques.
Si vous utilisez une variable pour déclencher l’alarme, utilisez le champ Tag
A. Exemple :
Tag A RFP3_TOL
Dans ce cas, l’alarme est déclenchée lorsque l’état des deux variables devient
actif : lorsque l’état de la variable RFP3_TOL devient ON (1) et lorsque l’état
de la variable MCOL304 devient OFF (0).
Remarque : Si vous laissez en blanc la propriété Tag B, seule la propriété
Tag A déclenchera l’alarme.
Catégorie
Numéro ou étiquette de la catégorie d’alarme (16 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. Si la catégorie n’est pas spécifiée, l’alarme
utilise par défaut la catégorie 0.
Délai (hh:mm:ss)
Délai de l’alarme.
455
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
vous affectez un privilège différent à ces commandes, un opérateur devra
détenir ces deux privilèges pour acquitter la commande. Qui plus est, la
zone définie ici pourra être ignorée.
Zone
La Zone à laquelle appartient l’alarme (16 caractères maximum). Si un
opérateur n’a pas accès à cette zone, l’alarme n’apparaîtra pas à l’affichage.
Par exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour acquitter ou
désactiver cette alarme.
Remarque : Les champs de zone et de privilège doivent être définis
conjointement. Un privilège défini sur un bouton (par exemple) ignorera la
définition de zone.
Filtre personnalisé1...Filtre personnalisé8
457
Chaîne définie par l’utilisateur pour filtrer les alarmes actives (64 caractères
maximum).
Utilisés comme critères de la recherche dans une fonction de requête Cicode,
les Filtres d’alarmes personnalisés permettent aux opérateurs d’identifier et
d’afficher un sous-ensemble d’alarmes actives.
Remarques :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Alarmes multi-numériques
Les alarmes multi-numériques utilisent la sortie de trois variables numériques
(par exemple : tags A, B, et C) pour définir huit états. Les états représentent
toutes les combinaisons possibles de valeurs vrai/faux que les variables peuvent
avoir.
Les valeurs de tag dans chaque état sont représentées dans l’ordre Tag C, Tag B,
Tag A. Une valeur vraie est représentée par la lettre du tag et 0 (zéro) représente
l’état faux.
Les huit états sont les suivants :
État 000 — Les 3 tags sont faux.
État 00A — Les tags C et B sont faux et le tag A est vrai.
État 0B0 — Les tags C et A sont faux et le tag B est vrai.
État 0BA — Le tag C est faux et les tags B et A sont vrais.
État C00 — Le tag C est vrai et les tags B et A sont faux.
État C0A — Les tags C et A sont vrais et le tag B est faux.
État CB0 — Les tags C et B sont vrais et le tag A est faux.
État CBA — Les 3 tags sont vrais.
Lors de la configuration des propriétés des alarmes multi-numériques, vous
pouvez définir les états qui déclenchent une alarme ainsi que les fonctions
Cicode à appeler lorsque les alarmes deviennent actives ou inactives.
CitectSCADA interroge les variables configurées pour une alarme multi-
numérique à la fréquence définie par le paramètre Citect.ini [Alarm]ScanTime.
458
Tag B BIT_1
Tag A
Dans cet exemple, des variables sont spécifiées pour les trois tags. Si l’état CBA
est spécifié pour activer une alarme, l’alarme sera activée lorsque les trois
variables passent à l’état ON (1).
Tag A RFP3_TOL
Tag B BIT_1
Tag A MCOL_304
Propriétés des alarmes Les Alarmes multi-numériques ont les propriétés suivantes.
multi-numériques Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
Desc. alarme
460
Tag B BIT_1
Tag A MCOL_304
États et descriptions
Les huit états suivants représentent toutes les combinaisons possibles des
valeurs de tags. Les tags sont représentés dans l’ordre Tag C, Tag B, Tag A.
État 000 — Les 3 tags sont faux.
État 00A — Les tags C et B sont faux et le tag A est vrai.
État 0B0 — Les tags C et A sont faux et le tag B est vrai.
État 0BA — Le tag C est faux et les tags B et A sont vrais.
État C00 — Le tag C est vrai et les tags B et A sont faux.
État C0A — Les tags C et A sont vrais et le tag B est faux.
État CB0 — Les tags C et B sont vrais et le tag A est faux.
État CBA — Les 3 tags sont vrais.
À chaque état correspondent deux champs dans la boîte de dialogue
Alarmes multi-numériques. Vous pouvez entrer une description de huit
caractères maximum dans le premier champ (par exemple, bon état ou
arrêté).
Le deuxième champ permet d’indiquer si cet état doit déclencher une
alarme. Entrez 1 s’il doit déclencher une alarme ou 0 dans le cas contraire.
Nouvelle alarme (1 caractère)
Précise ce qui se passe lors d’une transition d’un état d’alarme à un autre.
Entrez 1 pour enregistrer une nouvelle heure à chaque changement d’état.
Entrez 0 pour n’enregistrer dans l’historique d’alarme que l’heure de la
première alarme.
461
Remarques :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Alarmes horodatées
Les alarmes horodatées sont semblables aux alarmes numériques si ce n’est
qu’elles utilisent un compteur pour dater les conditions de déclenchement et
non pas uniquement l’heure à laquelle la variable a été interrogée. Elles peuvent
uniquement être associées à une seule alarme numérique.
Les variables d’une alarme sont interrogées à la fréquence définie par
[Alarm]ScanTime mais la valeur du temporisateur est utilisée pour définir
l’heure associée à un changement d’état.
Vous pouvez utiliser trois types de compteurs ou d’horloges pour enregistrer le
déclenchement des alarmes horodatées :
Compteur continu. CitectSCADA lit un compteur continu dans le
périphérique pour déterminer dans quel ordre les alarmes sont déclenchées.
CitectSCADA classe les alarmes selon la valeur du compteur au moment du
déclenchement de l’alarme (l’heure exacte n’est pas enregistrée).
Compteur en millisecondes. Si votre périphérique prend en charge un
compteur en millisecondes, vous pouvez programmer un compteur (dans
l’unité) effectuant un comptage (en millisecondes) sur 24 heures, et se
réinitialisant à minuit. CitectSCADA lit la valeur de ce compteur (dans le
périphérique) afin de déterminer l’heure exacte à laquelle l’alarme a été
déclenchée.
Horloge LONGBCD. Une horloge LONGBCD permet d’enregistrer l’heure
exacte à laquelle une alarme horodatée devient active. CitectSCADA lit cette
variable et le tag d’alarme au moment où l’alarme est activée.
Pour configurer une alarme horodatée :
1 Sélectionnez Alarmes | Alarmes horodatées. La boîte de dialogue Alarmes
horodatées apparaît.
465
Propriétés des alarmes Les Alarmes horodatées ont les propriétés suivantes :
horodatées Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
Desc. alarme
Description de l’alarme (254 caractères maximum). Elle peut inclure des
données variables. Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise
que pour afficher les détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer
dans un périphérique.
Tag de variable
466
INT
FUNCTION
AlarmTimerReset(INT iTimer, STRING sTimerTrigger)
TagWrite(sTimerTrigger, 0); //Réinitialise le déclencheur
RETURN iTimer; //Retourne la valeur de l’horloge au système
d’alarme
END
Vous pourriez configurer une alarme horodatée de la façon suivante :
Tag de variable AlmTrigger1
Horloge Timer(AlmTimer1, “AlmTrigger1”)
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
vous affectez un privilège différent à ces commandes, l’opérateur devra
détenir ces deux privilèges pour acquitter la commande.
Zone
Zone à laquelle appartient l’alarme (16 caractères maximum). Si un
opérateur n’a pas accès à cette zone, l’alarme n’apparaîtra pas à l’affichage.
Par exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour acquitter ou
désactiver cette alarme.
Filtre personnalisé1...Filtre personnalisé8
Chaîne définie par l’utilisateur pour filtrer les alarmes actives (64 caractères
maximum).
Utilisés comme critères de la recherche dans une fonction de requête Cicode,
les Filtres d’alarmes personnalisés permettent aux opérateurs d’identifier et
d’afficher un sous-ensemble d’alarmes actives.
469
Remarques :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Alarmes analogiques
Les alarmes analogiques sont déclenchées lorsqu’une variable analogique
dépasse une ou plusieurs valeurs spécifique(s). Chaque alarme peut être une
combinaison des types suivants :
alarme haute et très haute — lorsque la valeur est atypiquement haute
alarme basse et très basse — lorsque la valeur est atypiquement basse
alarme de déviation — lorsque la valeur s’écarte d’un point prédéfini
alarme de rythme de changement — lorsqu’un important changement de
valeur intervient dans un intervalle de temps donné.
CitectSCADA interroge les variables configurées pour une alarme analogique à
la fréquence définie par le paramètre Citect.ini [Alarm]ScanTime. Si l’état de
l’alarme change, la notification a lieu la prochaine fois que les variables sont
interrogées. Notez que l’heure associée à l’état de l’alarme correspond à celle à
laquelle la variable a été interrogée et non pas à celle à laquelle la condition
d’alarme s’est produite.
Pour cela :
1 Sélectionnez Alarmes | Alarmes analogiques. La boîte de dialogue Alarmes
analogiques apparaît.
470
Propriétés des alarmes Les Alarmes analogiques ont les propriétés suivantes :
analogiques Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
Tag de variable
Variable (tag) analogique déclenchant l’alarme (79 caractères maximum).
Point de consigne
471
L’alarme très haute n’est activée que si la valeur reste dans la plage très
haute pendant cet intervalle de temps.
Lorsque la valeur passe de haute à très haute après l’expiration du délai
haut, une alarme haute est activée et le délai de l’alarme très haute
commence.
Si la valeur du tag dépasse la valeur très haute puis repasse en dessous de
cette valeur avant l’expiration du délai très haut, l’alarme haute est
immédiatement déclenchée. L’alarme comporte une heure de
déclenchement indiquant le moment où le tag a dépassé la valeur très haute.
Ces points s’appliquent également aux valeurs de tags oscillant entre les
plages basse et très basse.
Basse
Valeur utilisée comme condition de déclenchement d’une alarme basse (10
caractères maximum). Une alarme basse devient active lorsque la valeur
d’un tag descend en dessous de cette valeur et y reste pendant l’intervalle de
temps défini par le délai bas. L’alarme active comporte une heure de
déclenchement indiquant le moment où le tag descend en dessous de la
valeur basse.
Délai bas
Délai de déclenchement des alarmes basses. L’alarme ne s’activera que si sa
condition de déclenchement est remplie pour la durée de ce délai.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme basse est
activée dès que le tag redescend en dessous de la valeur basse.
Remarque : Le délai doit être saisi dans le format HH:MM:SS
(Heures:Minutes:Secondes). La valeur doit être comprise entre 0 seconde
(00:00:00) et 24 heures (24:00:00).
Très basse
Valeur utilisée comme condition de déclenchement d’une alarme très basse
(10 caractères maximum). Une alarme très basse devient active lorsque la
valeur d’un tag descend en dessous de cette valeur et y reste pendant
l’intervalle de temps défini par le délai très bas. L’alarme active comporte
une heure de déclenchement indiquant le moment où le tag descend en
dessous de la valeur très basse.
Une alarme très basse doit être précédée d’une alarme basse et la remplace
une fois déclenchée. Pour qu’une alarme analogique puisse afficher
plusieurs états simultanément sur la page d’alarmes, vous devez configurer
une alarme distincte pour chaque état. (Toutes ces alarmes doivent
surveiller le même tag).
Délai très bas
473
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
vous affectez un privilège différent à ces commandes, l’opérateur devra
détenir ces deux privilèges pour acquitter la commande.
Zone
Zone à laquelle appartient l’alarme (16 caractères maximum). Si un
opérateur n’a pas accès à cette zone, l’alarme n’apparaîtra pas à l’affichage.
Par exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour acquitter ou
désactiver cette alarme.
Filtre personnalisé1...Filtre personnalisé8
476
Chaîne définie par l’utilisateur pour filtrer les alarmes actives (64 caractères
maximum).
Utilisés comme critères de la recherche dans une fonction de requête Cicode,
les Filtres d’alarmes personnalisés permettent aux opérateurs d’identifier et
d’afficher un sous-ensemble d’alarmes actives.
Remarques :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Alarmes avancées
Une alarme avancée devient active lorsque le résultat de l’Expression Cicode
change. CitectSCADA interroge l’expression à la fréquence définie par le
paramètre Citect.ini [Alarm]ScanTime et recherche un changement d’état. Un
avis de changement d’état est alors envoyé.
Pour configurer une alarme avancée :
1 Sélectionnez Système | Alarmes avancées. La boîte de dialogue Alarmes
avancées apparaît.
Propriétés des alarmes Les Alarmes avancées ont les propriétés suivantes.
avancées Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
Desc. alarme
Description de l’alarme (254 caractères maximum). Elle peut inclure des
données variables. Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise
que pour afficher les détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer
dans un périphérique.
Expression
L’expression Cicode déclenchant l’alarme (254 caractères maximum).
L’alarme est déclenchée lorsque cette expression retourne la valeur VRAI.
Catégorie
Numéro ou étiquette de la catégorie d’alarme (16 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. Si la catégorie n’est pas spécifiée, l’alarme
utilise par défaut la catégorie 0.
Délai
Délai de déclenchement de l’alarme avancée.
Une alarme avancée devient active lorsque le résultat de l’expression Cicode
déclenchant l’alarme reste VRAI pendant l’intervalle de temps défini par ce
délai. L’alarme active comporte une heure de déclenchement indiquant le
moment où l’expression a retourné la valeur VRAI.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme est activée
dès que l’expression de déclenchement retourne la valeur VRAI.
478
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
479
Propriétés des alarmes Les Alarmes numériques horodatées ont les propriétés suivantes :
numériques horodatées Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
481
Desc. alarme
Description de l’alarme (254 caractères maximum). Elle peut inclure des
données variables. Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise
que pour afficher les détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer
dans un périphérique.
Tag A / Tag B
Les variables numériques (tags) déclenchant l’alarme (79 caractères
maximum). Vous pouvez activer des alarmes numériques horodatées en
fonction de l’état d’une ou de deux variables numériques.
Si vous utilisez une variable pour déclencher l’alarme, utilisez le champ Tag
A. Exemple :
Tag A RFP3_TOL
Dans ce cas, l’alarme est déclenchée lorsque l’état des deux variables devient
actif : lorsque l’état de la variable RFP3_TOL devient ON (1) et lorsque l’état
de la variable MCOL304 devient OFF (0).
Remarque : Si vous laissez en blanc la propriété Tag B, seule la propriété
Tag A déclenchera l’alarme.
Catégorie
Numéro ou étiquette de la catégorie d’alarme (16 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. Si la catégorie n’est pas spécifiée, l’alarme
utilise par défaut la catégorie 0.
Délai (hh:mm:ss)
Délai de l’alarme.
482
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
vous affectez un privilège différent à ces commandes, un opérateur devra
détenir ces deux privilèges pour acquitter la commande. Qui plus est, la
zone définie ici pourra être ignorée.
Zone
Zone à laquelle appartient l’alarme (16 caractères maximum). Si un
opérateur n’a pas accès à cette zone, l’alarme n’apparaîtra pas à l’affichage.
Par exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour acquitter ou
désactiver cette alarme.
Remarque : Les champs de zone et de privilège doivent être définis
conjointement. Un privilège défini sur un bouton (par exemple) ignorera la
définition de zone.
Filtre personnalisé1...Filtre personnalisé8
484
Chaîne définie par l’utilisateur pour filtrer les alarmes actives (64 caractères
maximum).
Utilisés comme critères de la recherche dans une fonction de requête Cicode,
les Filtres d’alarmes personnalisés permettent aux opérateurs d’identifier et
d’afficher un sous-ensemble d’alarmes actives.
Remarque :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Propriétés des alarmes Les Alarmes analogiques horodatées ont les propriétés suivantes :
analogiques horodatées Tag de l’alarme
Nom de l’alarme (79 caractères maximum). Le nom doit être unique au
cluster.
Remarque : Lorsque Nom du cluster est laissé vierge, le nom doit être
unique à tous les clusters définis.
Nom du cluster
Nom du cluster qui exécute cette alarme. Si le nom du cluster n’est pas
défini, CitectSCADA estime que l’alarme est exécutée sur tous les clusters
définis.
Nom de l’alarme
Nom du périphérique physique associé à l’alarme (79 caractères maximum).
Cette propriété est facultative. CitectSCADA ne l’utilise que pour afficher les
détails d’une alarme à l’écran ou pour les enregistrer dans un périphérique.
486
Tag de variable
Variable (tag) analogique déclenchant l’alarme (79 caractères maximum).
Point de consigne
Tag de variable analogique ou valeur de base qui détermine si une alarme
de déviation doit être déclenchée (79 caractères maximum). Cette propriété
est facultative. La valeur par défaut est 0 (zéro).
Très haute
Valeur utilisée comme condition de déclenchement d’une alarme très haute
(10 caractères maximum). L’alarme très haute devient active lorsque la
valeur du tag de variable dépasse cette valeur pendant la durée du délai très
haut. L’alarme active comporte une heure de déclenchement indiquant le
moment où le tag a dépassé la valeur très haute.
Une alarme très haute doit être précédée d’une alarme haute et la remplace
une fois déclenchée. Pour qu’une alarme analogique puisse afficher
plusieurs états simultanément sur la page d’alarmes, vous devez configurer
une alarme distincte pour chaque état. (Toutes ces alarmes doivent
surveiller le même tag).
Délai très haut
Délai de déclenchement des alarmes très hautes. L’alarme ne s’activera que
si sa condition de déclenchement est remplie pour la durée de ce délai.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme très haute
est activée dès que la variable dépasse la valeur très haute.
Remarque : Le délai doit être saisi dans le format HH:MM:SS
(Heures:Minutes:Secondes). La valeur doit être comprise entre 0 seconde
(00:00:00) et 24 heures (24:00:00).
Haute
Valeur utilisée comme condition de déclenchement d’une alarme haute (10
caractères maximum). L’alarme haute devient active lorsque la valeur du
tag de variable dépasse cette valeur pendant la durée du délai haut.
L’alarme active comporte une heure de déclenchement indiquant le moment
où le tag a dépassé la valeur haute.
Délai haut
Délai de déclenchement des alarmes hautes. L’alarme ne s’activera que si sa
condition de déclenchement est remplie pour la durée de ce délai.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme haute est
activée dès que la variable dépasse la valeur haute.
487
Une alarme très basse doit être précédée d’une alarme basse et la remplace
une fois déclenchée. Pour qu’une alarme analogique puisse afficher
plusieurs états simultanément sur la page d’alarmes, vous devez configurer
une alarme distincte pour chaque état. (Toutes ces alarmes doivent
surveiller le même tag).
Délai très bas
Délai de déclenchement des alarmes très basses. L’alarme ne s’activera que
si sa condition de déclenchement est remplie pour la durée de ce délai.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme très basse
est activée dès que le tag redescend en dessous de la valeur très basse.
Remarque : Le délai doit être saisi dans le format HH:MM:SS
(Heures:Minutes:Secondes). La valeur doit être comprise entre 0 seconde
(00:00:00) et 24 heures (24:00:00).
Déviation
Valeur utilisée comme condition de déclenchement d’une alarme de
déviation (10 caractères maximum). Une alarme de déviation est activée
lorsque la valeur du tag reste hors de la plage de déviation (déterminée par
le point de consigne) pendant l’intervalle de temps défini par le délai de
déviation.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, aucune alarme de
déviation n’est activée.
Délai de déviation
Délai de déclenchement des alarmes de déviation. L’alarme ne s’activera
que si sa condition de déclenchement est remplie pour la durée de ce délai.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, l’alarme de
déviation est activée dès que le tag sort de la plage de déviation.
Remarque : Le délai doit être saisi dans le format HH:MM:SS
(Heures:Minutes:Secondes). La valeur doit être comprise entre 0 seconde
(00:00:00) et 24 heures (24:00:00).
Fréquence
En divisant cette valeur par la période de l’alarme, CitectSCADA détermine
la « fréquence maximale » à laquelle la valeur du tag de variable peut
changer (10 caractères maximum). CitectSCADA contrôle la valeur du tag
selon la période de rafraîchissement. Si sa fréquence de changement est
supérieure à la fréquence maximale, une alarme de fréquence de
changement est déclenchée.
Par exemple, pour s’assurer qu’un réservoir ne se remplit pas trop
rapidement, vous pourriez configurer une alarme de fréquence de
489
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour acquitter ou désactiver une
alarme (16 caractères maximum).
Remarque : Si vous affectez à une alarme un privilège d’acquittement,
n’affectez pas de privilège à la ou aux commandes acquittant cette alarme. Si
vous affectez un privilège différent à ces commandes, l’opérateur devra
détenir ces deux privilèges pour acquitter la commande.
Zone
Zone à laquelle appartient l’alarme (16 caractères maximum). Si un
opérateur n’a pas accès à cette zone, l’alarme n’apparaîtra pas à l’affichage.
Par exemple, si vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des
droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis) pour acquitter ou
désactiver cette alarme.
Filtre personnalisé1...Filtre personnalisé8
491
Chaîne définie par l’utilisateur pour filtrer les alarmes actives (64 caractères
maximum).
Utilisés comme critères de la recherche dans une fonction de requête Cicode,
les Filtres d’alarmes personnalisés permettent aux opérateurs d’identifier et
d’afficher un sous-ensemble d’alarmes actives.
Remarque :
Les filtres personnalisés ne sont visibles que lorsque l’écran Alarmes
numériques est ouvert en mode étendu.
Les champs ne font pas de distinction entre les majuscules et minuscules
et peuvent contenir 'A'..'Z', 'a'..'z', '0'..'9', et le caractère '_'.
Un filtre personnalisé ne peut pas commencer par un chiffre.
Voir aussi Utilisation des filtres d’alarmes
Inclusion de données Des données CitectSCADA peuvent être incluses dans un écran d’alarmes en
CitectSCADA spécifiant le nom et la largeur de chaque champ à afficher. Placez chaque champ
entre {} et utilisez la syntaxe suivante :
{<nom du champ>, [largeur[, justification]]}
Exemple :
Format {Tag,8} {Nom,32}
Dans ce cas, les données sont affichées dans deux champs : Tag (8 caractères) et
Nom (32 caractères). La largeur est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, la
largeur du champ est déterminée par le nombre de caractères entre crochets.
Format Nom de l’alarme:{Nom }
Nom est suivi ici de quatre espaces; les données seront donc affichées sur 8
caractères.
492
Inclusion de texte fixe Vous pouvez inclure du texte fixe (invariable) en le saisissant exactement tel
qu’il doit être affiché, par exemple :
Format Nom de l’alarme :
Tous les espaces utilisés dans une chaîne de texte sont affichés.
Voir aussi Affichage de listes et de tableaux
Affichage de listes et de Pour définir la justification du texte dans chaque champ, utilisez un caractère de
tableaux justification. Vous pouvez utiliser trois caractères de justification, L (Gauche), R
(Droite) et N (Aucune). Par exemple :
Format Nom de l’alarme : {Nom,32,R} {Tag,8,L}
Ce format aligne les champs tag, nom et description lorsque l’affichage utilise
une police de caractères proportionnelle.
Voir aussi Données de variables dans les messages d’alarme
Données de variables Le champ Desc alarme des alarmes numériques, avancées et horodatées permet
dans les messages d’afficher des données de variables. Une expression (tag de variable,
fonction, etc.) peut être incluse dans le texte du champ Desc alarme. Elle est
d’alarme
évaluée lorsque l’alarme est déclenchée et renvoie la valeur de tous les tags de
variables.
Placez cette expression entre accolades afin de séparer la variable du reste du
texte, par exemple. Exemple :
Desc. alarme Alarme d’arrêt de chaîne à la vitesse de chaîne {VitesseChaine1}
Si Réservoir1 et Réservoir2 sont des tags de variable et Offset une fonction Cicode,
cette expression génère le message suivant :
Niveau haut à capacité totale 4985 litres
Remarque : Le résultat utilise le format spécifié pour le premier tag de
l’expression. Il est possible d’utiliser des spécifications de formats standard pour
définir le format de la variable numérique; ceux-ci priment alors sur le format
par défaut spécifié dans Tags de variable.
Voir aussi Champs des écrans d’alarme
Champs des écrans Les champs suivants (ou toute combinaison de ces champs) peuvent être utilisés
d’alarme pour formater un écran d’alarmes (voir Catégories d’alarmes) et un
périphérique d’enregistrement d’alarmes (voir Formatage de l’affichage des
alarmes) :
Nom du champ Description
{Tag,n} Tag de l’alarme
{TagEx,n} Tag d’alarme préfixé par le nom du cluster
{Cluster,n} Nom du cluster
{Nom,n} Nom de l’alarme
{Native_Nom,n} Nom de l’alarme en Langue native
{Desc,n} Description de l’alarme
{Native_Desc,n} Description de l’alarme en langue native
{Catégorie,n} Catégorie de l’alarme
{Aide,n} Page d’aide
{Zone,n} Zone
{Priv,n} Privilège
{Type,n} Type ou condition de l’alarme:
DISABLED (DÉSACTIVÉE
ACKNOWLEDGED (ACQUITTÉE
UNACKNOWLEDGED (non acquittée)
{Heure,n} Heure de changement d’état de l’alarme (hh:mm:ss). (Configurez le
paramètre [Alarm]SetTimeOnAck pour que ce champ contienne l’heure
d’acquittement de l’alarme.)
{Date,n} Date de changement d’état de l’alarme (jj:mm:aaaa). Vous pouvez modifier
le format utilisé à l’aide du paramètre [Alarm]ExtendedDate.
{DateEt,n} Date de changement d’état de l’alarme au format étendu.
Les champs suivants ne peuvent être utilisés qu’avec des alarmes numériques :
Nom du champ Description
{État,n} État courant de l’alarme. Ce champ ne peut être utilisé que dans les écrans
d’alarme. Il est sans effet sur les historiques d’alarme.
ON (ACTIVÉ
OFF (désactivé)
Les champs suivants ne peuvent être utilisés qu’avec des alarmes horodatées :
Nom du champ Description
{Millisec,n} Ajoute les millisecondes au champ {Heure,n}.
Les champs suivants ne peuvent être utilisés qu’avec des alarmes analogiques :
Nom du champ Description
{Haute,n} Valeur de déclenchement d’une alarme haute
{TrèsHaute,n} Valeur de déclenchement d’une alarme très haute
{Basse,n} Valeur de déclenchement d’une alarme basse
{TrèsBasse,n} Valeur de déclenchement d’une alarme très basse
{Fréquence,n} Valeur de déclenchement d’une alarme de rythme de changement
{Déviation,n} Valeur de déclenchement d’une alarme de déviation
{Zone morte,n} Zone morte
{Format,n} Format d’affichage du tag de variable
{Valeur,n} Valeur courante de la variable analogique
{État,n} État courant de l’alarme. Ce champ ne peut être utilisé que dans les écrans
d’alarme. Il est sans effet sur les historiques d’alarme.
DÉVIATION
FRÉQUENCE
BASSE
TRÈSBASSE
HAUTE
TRÈSHAUTE
EFFACÉE
Les champs suivants ne peuvent être utilisés qu’avec des alarmes matérielles
(catégorie 255) :
Nom du champ Description
{DescErr,n} Chaîne de texte associée à une erreur de protocole (de communication). Ce
champ ne concerne que les erreurs matérielles et contient une description
supplémentaire de l’erreur : le nom du périphérique, en cas d’erreur de
périphérique; le nom de la fonction en cas d’erreur de fonction Cicode; le
message d’erreur correspondant en cas d’erreur de périphérique d’E/S.
{PageErr,n} La page, le périphérique, etc. associé à l’alarme.
495
Champs des Les champs suivants (ou toute combinaison de ces champs) peuvent être utilisés
historiques d’alarme pour formater un historique d’alarme ou un périphérique d’historique d’alarme.
Formatez l’historique d’alarme pour toute une catégorie d’alarmes en spécifiant
les noms de champs dans le champ Format d’historique de la boîte de dialogue
Propriétés des catégories d’alarmes.
Vous pouvez également utiliser le paramètre [Alarm]DefSumFmt pour formater
l’historique d’alarme, surtout si tous vos formats d’historique d’alarme sont
identiques.
Nom du champ Description
{NomUtil,n} Nom de l’utilisateur (User Name) qui était connecté et a exécuté une action
sur l’alarme (acquittement, désactivation, etc.). Lorsqu’une alarme est
activée pour la première fois, le nom de l’utilisateur est « system » (car
l’opérateur n’a pas déclenché l’alarme).
496
Modification de l’ordre CitectSCADA permet de personnaliser l’ordre dans lequel les alarmes
d’affichage de s’affichent sur la page d’historique des alarmes à l’aide des paramètres
SummarySort et SummarySortMode. Le paramètre SummarySort permet
l’historique des alarmes
d’afficher des alarmes en fonction de OnTime, OffTime et AckTime.
497
Propriétés d’alarmes Les propriétés suivantes peuvent être utilisées avec tous les types d’alarmes.
prises en charge N’oubliez pas que la valeur de retour correspond à la description. Par exemple,
avec un type numérique, une valeur de retour égale à 1 signifie que la
description est à l’état VRAI, tandis qu’une valeur de 0 (zéro) signifie qu’elle est
à l’état FAUX.
Propriété Description Type de données
.On* Alarme active Numérique
.Acq Alarme acquittée Numérique
.Désactivé Alarme désactivée Numérique
.Heure Valeur sur 32 bits de l’heure à laquelle l’alarme a été Long
déclenchée
.Tag Tag d’alarme Chaîne (80 octets)
.Nom Nom de l’alarme Chaîne (80 octets)
498
Remarque : Desc existe pour tous les types d’alarmes mais ne retourne pas de
données utiles pour les alarmes analogiques ou les alarmes analogiques
horodatées. Desc retourne une chaîne vide qui indique si la lecture a abouti;
l’écriture indique que le tag a été résolu et que la demande d’écriture a été
envoyée.
Les propriétés suivantes peuvent également être utilisées avec les alarmes
analogiques et les alarmes analogiques horodatées :
Propriété Description Type de données
.Valeur Valeur de la variable Réel
.PointConsigne Point de consigne Réel
.TrèsHaute Très haute Réel
.Haute Haute Réel
.TrèsBasse Très basse Réel
.Basse Basse Réel
.ZoneMorte Zone morte Réel
.Fréquence Fréquence Réel
.Déviation Déviation Réel
.DélaiTH Délai très haut Long
.DélaiH Délai haut Long
.DélaiB Délai bas Long
.DélaiTB Délai très bas Long
.DélaiDev Délai de déviation Long
Parmi les propriétés numériques ci-après, pour chaque alarme, une seule
propriété peut être vraie à un moment donné. Elles sont classées par ordre de
priorité, en commençant par les propriétés de basse priorité.
.DVB Alarme de déviation déclenchée (basse) Numérique
499
Écriture dans des Si vous disposez des droits d’accès requis, vous pouvez écrire dans les
propriétés d’alarmes propriétés d’alarmes suivantes. (N’oubliez pas que la valeur que vous écrivez
dans la propriété fait référence à sa description. Par exemple, si une propriété
d’alarme numérique a pour valeur 1, sa description prend l’état VRAI. Si elle a
pour valeur 0 (zéro), sa description prend l’état FAUX.)
Propriété Description Type d’entrée
.Acq Alarme acquittée (l’acquittement d’une alarme est irréversible) Numérique
.ZoneMorte Zone morte d’alarme Réel
.Déviation Déviation du point de consigne Réel
.Désactivé Alarme désactivée Numérique
.TrèsHaute Très haute Réel
.Haute Haute Réel
.TrèsBasse Très basse Réel
.Basse Basse Réel
500
Configuration des Pour pouvoir utiliser les propriétés d’alarmes, vous devez préalablement
alarmes configurer un périphérique d’E/S d’alarme dans votre projet. Configurez les
champs suivants dans l’écran de périphériques d’E/S :
Nom Nom unique fourni par l’utilisateur pour le
Numéro Numéro du périphérique d’E/S pour
Adresse Laisser ce champ vide
Protocole ALARME
Nom de port ALARME
Exemple :
Nom Alarm_Device
Numéro 12
Adresse
Protocole ALARME
Nom de port ALARME
Propriétés des polices Utilisez la boîte de dialogue Polices pour définir les propriétés de vos polices.
Les polices ont les propriétés suivantes :
Nom de police
Nom de la police (16 caractères maximum). Contrairement aux textes, chaînes et
nombres d’arrière-plans (qui peuvent utiliser toute police Windows standard),
vous devez définir une police CitectSCADA pour le texte animé.
Type de police
Toute police de caractères prise en charge par Windows (16 caractères
maximum). Choisissez un type de police dans le menu.
Vous pouvez également spécifier les styles gras, italique et souligné. Pour ce
faire, ajoutez au type de police la spécification appropriée, par exemple :
Type de police Courier,B
504
Pour spécifier une taille en points, entrez un nombre négatif dans le champ
Taille en pixels, par exemple :
Taille de la police -10
spécifie une taille de caractère de dix points. Notez que ce paramètre ne peut
être spécifié que sous la forme d’un nombre entier.
Si vous n’avez pas installé la police correspondant aux paramètres Type de
police (ou Taille en pixels), le système utilisera par défaut la police et/ou la taille
de caractères les plus proches des valeurs spécifiées.
Si vous utilisez une taille de caractères en points, la même taille sera utilisée
pour toutes les résolutions d’écrans. Sur les écrans de faible résolution, la police
505
apparaît plus grande que sur les écrans de haute résolution et n’est plus
nécessairement alignée avec les animations. N’utilisez une taille de caractères en
points que pour des écrans de même résolution.
Couleur d’avant-plan
Couleur d’avant-plan du texte déplacé (couleur des caractères du texte). Vous
pouvez utiliser une couleur prédéfinie (accessible depuis le menu), une couleur
définie par l’utilisateur ou le code RVB généré par la fonction
MakeCitectColour (voir Guide de référence Cicode).
Remarque : Ne pas confondre les couleurs prédéfinies avec la fonction Nom
associée au Sélecteur de couleurs. Vous ne pouvez pas utiliser des noms de
couleur avec cette boîte de dialogue; ceci produirait une erreur de compilation.
Avant-plan clignotant
Couleur secondaire appliquée à la police si vous utilisez des couleurs
clignotantes pour les caractères de votre couleur. Vous pouvez utiliser une
couleur prédéfinie (accessible depuis le menu), une couleur définie par
l’utilisateur ou le code RVB généré par la fonction MakeCitectColour (voir
Guide de référence Cicode).
Si vous ne spécifiez pas de couleur, le texte ne clignote pas.
Couleur de fond
Couleur de fond du texte affiché. Vous pouvez utiliser une couleur prédéfinie
(accessible depuis le menu), une couleur définie par l’utilisateur ou le code RVB
généré par la fonction MakeCitectColour (voir Guide de référence Cicode).
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, la couleur de fond est
transparente.
Fond clignotant
Couleur secondaire appliquée au fond si vous utilisez des couleurs clignotantes.
Vous pouvez utiliser une couleur prédéfinie (accessible depuis le menu), une
couleur définie par l’utilisateur ou le code RVB généré par la fonction
MakeCitectColour (voir Guide de référence Cicode).
Si vous ne spécifiez pas de couleur, le texte ne clignote pas.
Commentaire
Tout commentaire utile (48 caractères maximum).
Les événements servent à déclencher une action, comme une commande ou une
série de commandes. Ils permettent par exemple d’indiquer l’achèvement d’un
processus à un opérateur ou de déclencher l’exécution d’une série d’instructions
lorsqu’un processus franchit une étape spécifique.
Les événements ne fonctionnent que s’ils sont activés. Utilisez l’Assistant de
configuration de l’ordinateur (Configuration avancée) de CitectSCADA pour
activer les événements. Si vous utilisez CitectSCADA sur un réseau, vous
pouvez traiter des événements sur n’importe quel ordinateur CitectSCADA (ou
sur tous les postes du réseau).
Remarque : Les événements n’offrent pas de redondance. Si vous désirez
exécuter un événement avec redondance, utilisez les rapports.
Pour définir un événement :
1 Sélectionnez Système | Événements. La boîte de dialogue Événements
s’affiche.
2 Saisissez les propriétés de l’événement.
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
.
Les événements ne fonctionnent que si le serveur d’événement est activé.
Voir aussi Propriétés des événements
Exécution des événements
Dans le cas d’un système monoposte, le nom d’un événement doit être
GLOBAL :
Nom GLOBAL
Définition des heures et La période détermine le moment de l’exécution de l’événement. Elle peut être
des périodes spécifiée en hh:mm:ss (heures:minutes:secondes), par exemple :
Période 1:00:00
Commentaire Exécuter l’événement toutes les heures
Période 6:00:00
Commentaire Exécuter l’événement toutes les six heures
Période 72:00:00
Commentaire Exécuter l’événement tous les trois jours
Période Lundi
Commentaire Exécuter l’événement tous les lundis
Période 15
Commentaire Exécuter l’événement le 15 de chaque mois
Période 25 juin
Commentaire Exécuter l’événement le 25 juin
510
Heure 12:00:00
Commentaire Synchroniser l’événement à 12 heures (midi)
Dans cet exemple, l’événement est exécuté toutes les heures, à l’heure juste. Si
vous lancez votre système superviseur à 7h25, l’événement sera exécuté à 8h00,
puis toutes les heures.
Voir aussi Utilisation des déclencheurs
Utilisation des Vous pouvez utiliser n’importe quelle expression Cicode (ou tag de variable)
déclencheurs pour déclencher un événement. Si le résultat retourné par l’expression (défini
dans le champ Déclencheur) prend la valeur VRAI, et si les champs Heure et
Période sont vides, l’événement est exécuté. Exemple :
Heure
Période
Déclencheur RCC1_SPEED<10 AND RCC1_MC
Nb de démarrages
Variable (tag) contenant le nombre de démarrages (c’est-à-dire le nombre de
fois où le déclencheur passe de FAUX à VRAI). Entrez une valeur de 32
caractères maximum. CitectSCADA lit cette valeur au démarrage.
CitectSCADA incrémente ensuite sa copie locale de cette variable et la
recopie (dans le périphérique d’E/S) selon la fréquence définie par le
paramètre [Accumulator]UpdateTime.
Incrément
Toute expression (ou tag de variable) à ajouter à la variable Total lorsque
Déclencheur est VRAI. Entrez une valeur de 64 caractères maximum.
Total
Variable (tag) contenant le total. Entrez une valeur de 32 caractères
maximum.
CitectSCADA lit cette valeur au démarrage. CitectSCADA ajoute la valeur
du champ Incrément à sa copie locale de la variable Total à chaque fois qu’il
détecte que le déclencheur est VRAI. CitectSCADA écrit la nouvelle variable
Total (dans le périphérique d’E/S) à la fréquence définie par le paramètre
[Accumulator]UpdateTime.
Par exemple, si vous configurez un accumulateur pour un moteur et si
Incrément est l’intensité de courant utilisée par ce moteur, Durée de
fonctionnement contiendra le temps d’utilisation (en secondes) du moteur,
Nb de démarrages le nombre de fois où il a démarré et Total le courant total
consommé. La consommation moyenne du moteur est égale à Total/Durée
de fonctionnement.
Commentaire
Tout commentaire utile. Entrez une valeur de 48 caractères maximum.
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus (à
l’aide de la touche F2).
514
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour manipuler l’accumulateur (à
l’aide des fonctions de l’accumulateur). Entrez une valeur de 16 caractères
maximum.
Zone
La Zone à laquelle appartient l’accumulateur. Seuls les utilisateurs
disposant des droits d’accès à cette zone (et des autres privilèges requis)
pourront manipuler l’accumulateur. Par exemple, si vous entrez Zone 1, les
opérateurs devront disposer des droits d’accès à cette zone (et des autres
privilèges requis) pour manipuler l’accumulateur. Entrez une valeur de 16
caractères maximum.
Remarque :
CitectSCADA stocke la durée de fonctionnement, le nombre de
démarrages et le total dans des variables enregistrées dans votre
périphérique d’E/S. Ces données sont ainsi facilement accessibles et
sauvegardées en cas d’arrêt de CitectSCADA. Vous pouvez augmenter
la performance du système en stockant ces variables dans un
Périphérique d’E/S sur disque. Si vous les stockez dans vos
périphériques d’E/S externes, CitectSCADA utilisera de la bande
passante pour les mettre à jour.
Lorsque vous utilisez CitectSCADA en réseau, vous pouvez
sauvegarder ces variables dans un périphérique d’E/S sur disque
redondant.
Le serveur de l’accumulateur est intégré au serveur de rapports. Si vous
possédez un serveur de rapports redondant, définissez un serveur
principal et un serveur auxiliaire pour éviter que les accumulateurs
515
Données de tendance
Le système de tendance permet de mieux comprendre les performances de votre
installation et de vos équipements. Il peut fournir une analyse visuelle
dynamique (graphiques de tendances et statistiques), des données de
production et un suivi régulier de l’état des équipements, à des fins d’évaluation
du rendement ou de maintenance préventive.
Les tags de tendances permettent de spécifier les données que vous souhaitez
recueillir de vos périphériques d’E/S. Ces données peuvent être enregistrées à
intervalles réguliers (Tendance périodique) ou uniquement lorsqu’un
événement se produit (tendance sur événement). Les tendances sur événement
sont utilisées pour établir des tendances concernant des données non
temporelles, par exemple, un produit sortant d’une ligne d’assemblage. Les
données de tendances sont généralement sauvegardées sur disque pour analyse
ultérieure ou affichées dans un graphique de tendance.
Le système de tendance utilise des échantillons prélevés en temps réel et attend
une valeur d’un point de données à chaque échantillonnage de données. Bien
que les lacunes de données puissent être comblées, veillez à ce que votre
périphérique puisse retourner des données à la vitesse que vous spécifiez
518
Configuration des tags La boîte de dialogue Tags de tendances permet de configurer les tags de
de tendance tendances.
Pour cela :
1 Sélectionnez Tags | Tags de tendance. La boîte de dialogue Tags de ten-
dances apparaît. (Appuyez sur F2 pour visualiser l’écran Tags de tendances
étendu.)
2 Entrez les propriétés de vos tags de tendances.
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
Période 10:00
d’échantillonnage
Commentaire Enregistre les données toutes les 10
minutes
Période 10:00:00
d’échantillonnage
Commentaire Enregistre les données toutes les
10 heures
Période 2:30:00
d’échantillonnage
Commentaire Enregistre les données toutes les
2 heures et demie
Commentaire
Tout commentaire utile (48 caractères maximum).
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus (à
l’aide de la touche F2).
Nom du fichier
Fichier de stockage des données (64 caractères maximum). Entrez le chemin
d’accès complet ou un chemin de substitution.
CitectSCADA enregistre les données concernant votre installation dans un
fichier situé sur le disque dur de votre ordinateur. CitectSCADA lit ensuite
ces données dans ce fichier lors de l’affichage d’une tendance ou d’un
graphique SPC. (CitectSCADA utilise un fichier distinct pour chaque tag de
tendance.)
Par défaut, CitectSCADA enregistre le fichier dans le répertoire
C:\Documents and Settings\All Users\Application
Data\Citect\CitectSCADA\data du disque dur sur lequel CitectSCADA
est installé. Les huit premiers caractères du nom du tag de tendance sont
utilisés par défaut comme nom de fichier. Vous pouvez toutefois choisir un
autre nom. Dans ce cas, vous pouvez soit spécifier le chemin d’accès
complet, par exemple :
Nom du fichier C:\DATA\TENDANCES\RÉSERVOIR131
Graphiques de tendances
Les graphiques de tendances représentent de manière visuelle l’activité passée et
présentent des données de production, c’est-à-dire l’évolution dans le temps
d’une variable (sortie, niveau, température etc. d’un produit) et du
fonctionnement d’un périphérique. Vous pouvez surveiller les activités en cours
et remonter dans le temps en visualisant l’historique de tendance.
Le graphique défile sur la page à mesure que les variables changent ou que des
événements se produisent. Les valeurs les plus récentes sont toujours affichées.
Vous pouvez parcourir les données d’historique pour afficher les valeurs
antérieures d’une variable (ou d’un processus).
Vous pouvez représenter les tendances d’une variable ou d’une expression
Cicode quelconque. Vous pouvez afficher simultanément un nombre
quelconque de tendances, même si leurs fréquences d’échantillonnage sont
différentes. Vous pouvez également afficher jusqu’à huit tags de variables
(stylets) dans une fenêtre de tendance.
Un graphique de tendance peut uniquement communiquer avec un cluster et
vous ne devez donc pas mélanger les tendances de plusieurs clusters sur un
même graphique. Pour représenter les tendances de plusieurs clusters, vous
devez utiliser des graphiques de tendances multiples ou l’Analyseur de
processus qui n’a pas de telles restrictions.
526
Création de pages de Vous pouvez utiliser les modèles de tendances prédéfinis pour créer vos pages
tendance de tendances ou vos propres modèles. Vous pouvez définir un arrière-plan (un
quadrillage par exemple) pour vos tendances.
Pour configurer une page de tendance :
1 Cliquez sur Nouvelle page ou sélectionnez Fichier | Nouveau.
2 Sélectionnez Type : Page.
3 Choisissez la Résolution (taille) de la page de tendance.
4 Choisissez un Modèle de tendance pour la page :
Singletrend — Une tendance par page
Doubletrend — Deux tendances par page
Eventtrend — Une tendance sur événement par page
Zoomtrend — Deux tendances par page (une fenêtre de zoom)
Poptrend — Une tendance par page (pour affichage dans une fenêtre
indépendante)
527
Interpolation de L’interpolation est utilisée pour définir l’apparence d’un graphique de tendance
tendance lorsque les échantillons entrants ne sont plus synchronisés avec la Période
d’affichage ou lorsque des échantillons manquent.
Par exemple, si vous échantillonnez une tendance cinq fois entre chaque mise à
jour du graphique de tendance, vous devez choisir la valeur qui représente le
mieux les cinq échantillons prélevés. Vous pouvez ainsi choisir entre la valeur la
plus élevée, la valeur la plus basse ou une valeur moyenne.
Pour définir comment CitectSCADA calcule la valeur à utiliser, vous devez
configurer une Méthode d’affichage des tendances par interpolation.
Le tableau ci-dessous présente les méthodes d’affichage par interpolation
disponibles, qui sont regroupées en méthodes de contraction (lorsque la Période
d’affichage est plus longue que la fréquence d’échantillonnage) et en méthodes
d’expansion (lorsque la période d’affichage est inférieure ou égale à la fréquence
d’échantillonnage).
Méthodes de contraction Méthodes d’expansion
Moyenne (par défaut) — affiche la moyenne des Mesure (par défaut) — affiche tout simplement la valeur
échantillons prélevés lors de la période de l’échantillon le plus récent.
d’affichage précédente.
Minimum — affiche la plus petite valeur Rapport — utilise le rapport entre les heures
enregistrée pendant la période d’affichage d’échantillonnage et les valeurs correspondantes
précédente. immédiatement avant et après l’heure demandée pour
interpoler une valeur « linéaire ».
Maximum — affiche la plus grande valeur Données brutes — affiche les valeurs brutes réelles.
enregistrée pendant la période d’affichage
précédente.
Période 6:00:00
Commentaire Utiliser un nouveau fichier toutes les six heures
Période 72:00:00
Commentaire Utiliser un nouveau fichier tous les trois jours
Période Lundi
Commentaire Utiliser un nouveau fichier tous les lundis
Période 15
Commentaire Utiliser un nouveau fichier le 15 du mois
Période 25 juin
Commentaire Utiliser un nouveau fichier le 25 juin de chaque année
Heure 12:00:00
Commentaire Synchroniser le fichier à 12 heures (midi)
Heure 18:30:00
Commentaire Synchroniser le fichier à 18 heures 30
Voir aussi Méthode de stockage
Calcul de l’espace Les équations suivantes permettent de calculer l’espace disque nécessaire pour
disque nécessaire stocker une tendance pendant un intervalle de temps donné.
Notez que la méthode de stockage utilisée pour une tendance (Entier court ou
Virgule flottante) influe sur le nombre d’octets nécessaires pour chaque
échantillon; il est donc important de baser vos calculs sur la formule appropriée.
Pour connaître la méthode de stockage utilisée par une tendance particulière,
ouvrez la boîte de dialogue Tags de tendances étendue. (La méthode de stockage
par défaut est Entier court.)
Entier court
Un échantillon de données nécessite deux octets de stockage. Vous pouvez donc
calculer l’espace disque nécessaire pour chaque enregistrement de tendance à
l’aide de la formule suivante :
Virgule flottante
Chaque échantillon de données nécessite huit octets de stockage. L’équation
devient donc :
Notez que les calculs ci-dessus ne tiennent pas compte de l’espace nécessaire
pour stocker les fichiers d’historique de chaque tendance. Ces fichiers ont des
dimensions fixes et n’ont donc qu’un impact limité sur l’espace disque
nécessaire.
532
Reconfiguration des Si vous modifiez la configuration de vos fichiers d’historique de tendance (dans
fichiers d’historique un projet existant) ou si vous changez la configuration d’un tag de tendance
affectant le nombre, l’heure de début ou la période des fichiers de tendance,
vous devez effacer tous les fichiers de tendances existants avant de lancer le
nouveau système.
Si vous modifiez le chemin d’accès de vos fichiers d’historique de tendance
(dans un projet existant), toutes vos données de tendances existantes seront
ignorées.
Remarque : N’effacez jamais les fichiers d’historique (créés par CitectSCADA)
sur votre disque dur lorsque le système est cours d’exécution.
Définitions des chemins CitectSCADA utilise les chemins d’accès de substitution prédéfinis suivants :
d’accès par défaut Nom du chemin Répertoire par défaut
Bin \CITECT\BIN
Data \CITECT\DATA
User \CITECT\USER
Run Le répertoire de projets courant
Copy Le répertoire de copie des projets courant
Back Le répertoire de sauvegarde des projets courant
Variation de processus
L’application de la SPC nécessite une bonne compréhension du concept de
variation. Lorsqu’une caractéristique d’un produit est mesurée de façon itérative,
536
Remarque : La majorité des techniques SPC supposent que les données forment
une Distribution normale.
Il existe deux types de variations :
Les variations courantes : prévisibles et reproductibles dans le temps. Les
caractéristiques de la distribution sont stables. Une variation courante peut
être due à la dérive constante d’un processus.
85 % des problèmes de processus sont liés à des variations courantes. Ces
problèmes doivent généralement être résolus au niveau de la direction.
Les variations exceptionnelles : pas toujours présentes. Lorsqu’une
variation exceptionnelle se produit, elle tend à modifier les caractéristiques
de la distribution. La distribution n’est pas stable dans le temps.
15 % des problèmes de processus sont liés à des variations exceptionnelles. Ces
problèmes nécessitent généralement une action locale (réparation d’un
équipement, etc.).
Voir aussi Variation de processus
Maîtrise statistique
Un processus est statistiquement maîtrisé lorsque les seules sources de variation
proviennent de causes courantes. Un processus statistiquement contrôlable est
537
Capabilité du processus
Un processus est dit « capable » lorsque le pourcentage d’échantillons hors des
limites spécifiées est inférieur à une valeur prédéfinie. Les hypothèses suivantes
doivent également être vérifiées :
Le processus est statistiquement stable (il n’existe que des causes courantes
de variation)
Les mesures correspondent à une Distribution normale
Les variations de mesure (dues aux instruments de mesure) sont faibles.
Les limites spécifiées doivent refléter le cahier des charges du client. Le
pourcentage d’échantillons devant se trouver dans les limites spécifiées est
calculé à partir de l’écart type (sigma) ⎯ « 3 sigma » de part et d’autre de la
moyenne.
Remarque : L’expression « 3 sigma » fait référence aux limites situées à une
distance de 3 × écarts types de part et d’autre de la médiane. Dans le cas d’une
distribution normale, 99,74 % des échantillons sont à l’intérieur de ces limites.
538
CL, UCL et LCL Chaque diagramme a un centre, une limite de contrôle supérieure (UCL) et
inférieure (LCL). Les limites de contrôle sont des estimations de la position des
limites « 3 sigma » permettant d’obtenir une distribution à peu près normale.
Dans la pratique, ces limites sont calculées à partir de X double barre, R barre, s
barre, et des valeurs de tableau qui dépendent de la taille des sous-groupes
utilisés.
Ces lignes sont utilisées pour guider l’analyse car elles sont basées sur la
variabilité naturelle du processus. Il ne s’agit pas de limites de spécification.
Diagrammes de capabilité
Un diagramme de capabilité est un histogramme de fréquence et de distribution
de toutes les valeurs moyennes du processus. Il comporte toujours une ligne
médiane ainsi que la limite inférieure et la limite supérieure spécifiées.
L’interprétation d’un diagramme de capabilité utilise généralement les
indicateurs Cp et Cpk ainsi que la kurtosis et l’asymétrie.
USL et LSL Les limites spécifiées supérieure (USL) et inférieure (LSL) dépendent du cahier
des charges établi par le client. La valeur cible doit être à mi-chemin entre l’USL
et la LSL.
Indicateur Cpk La capabilité d’un processus basée sur le cas le plus défavorable (Cpk) est
comparable à l’indicateur Cp. Elle indique toutefois la position de la moyenne
par rapport aux limites USL et LSL. Elle est utilisée pour donner un sens
mathématique à l’indicateur Cp. Cet indicateur a la signification suivante :
Cpk < 0 — La moyenne du processus est en dehors des limites spécifiées
(USL et LSL)
Cpk = 0 — La moyenne du processus est égale à l’une des limites spécifiées.
Cpk > 0 — La moyenne du processus est dans les limites spécifiées.
Cpk = 1 — Une des limites 6 sigma coïncide avec une des limites spécifiées.
Cpk > 1 — Les limites 6 sigma sont dans les limites spécifiées.
Voir aussi Diagrammes de Pareto
Diagrammes de Pareto
Un diagramme de Pareto est un outil d’analyse de défaillance relative basé sur
une mesure de fréquence. C’est un histogramme de fréquence allant de la valeur
la plus haute à la valeur la plus basse. À la différence des diagrammes de
contrôle et de capabilité, ce diagramme n’utilise pas de guides statistiques.
Le diagramme de Pareto repose sur la loi empirique de Pareto, selon laquelle
toute combinaison d’événements est constituée d’un faible nombre d’éléments
majeurs et d’un grand nombre d’éléments mineurs. Dans le contexte de la SQC,
il est important de sélectionner quelques possibilités d’amélioration majeures
parmi les nombreuses possibilités mineures. Le diagramme de Pareto est
particulièrement utile pour évaluer le « coût de correction » par rapport à la
fréquence d’une défaillance.
Cet histogramme est généralement accompagné d’un pourcentage cumulatif. De
haut en bas, ce pourcentage représente le rapport de la somme de toutes les
valeurs en un point, sur la somme de toutes les valeurs du diagramme.
Tags SPC
Les tags SPC désignent des données devant être recueillies à des fins
statistiques. Une fois définies, les données peuvent être analysées
dynamiquement en phase d’exécution (pour générer des diagrammes SPC et des
alarmes). Les tags SPC sont semblables aux tags de tendances.
Comme pour les tendances, CitectSCADA peut collecter et enregistrer un
volume de données SPC quelconque. La capacité de votre disque dur est la seule
limite en la matière. (CitectSCADA utilise une méthode de stockage visant à
maximiser l’espace disque.) En cas de stockage à long terme, vous pouvez
archiver vos données sur disque ou sur bande (sans interrompre votre système
superviseur). Vous pouvez enregistrer les données à intervalles réguliers
(Tendance périodique) ou uniquement lorsqu’un événement se produit
(tendance sur événement), tout comme avec les tags de tendances.
Remarque : Les tendances périodiques sur événement ne sont pas prises en
charge. L’utilisation de tags SPC fondés sur des événements peut par ailleurs
entraîner des problèmes de rafraîchissement de l’affichage.
Lors de la définition d’un tag SPC, vous devez impérativement entrer la limite
supérieure spécifiée (USL) et la limite inférieure spécifiée (LSL) si vous comptez
analyser la capabilité d’un processus. Ces valeurs devraient être fidèles au cahier
des charges du client et la valeur cible devrait être à mi-chemin entre les deux. Si
vous ne renseignez pas ces champs, l’analyse de la capabilité sera dépourvue de
sens.
Pour définir un tag SPC :
1 Sélectionnez Tags | Tags SPC. La boîte de dialogue Tags SPC apparaît.
2 Entrez les propriétés des tags SPC.
542
Propriétés des tags Utilisez la boîte de dialogue Tags SPC pour configurer les propriétés des tags
SPC SPC. Les tags SPC ont les propriétés suivantes :
Nom de tag SPC
Nom affecté aux données SPC. Si vous enregistrez une variable, utilisez le
même nom pour le tag SPC et pour la variable. Entrez une valeur de 16
caractères maximum.
Remarque : Les 8 premiers caractères de vos noms de tags SPC doivent être
différents des 8 premiers caractères de vos noms de tags de tendances.
Nom du cluster
Nom du cluster dans lequel est exécuté le tag SPC.
Si le nom du cluster n’est pas défini, CitectSCADA estime que ce tag SPC est
exécuté sur tous les clusters définis.
Expression
Valeur enregistrée pour le tag SPC. Entrez une valeur de 64 caractères
maximum. Vous pouvez enregistrer des variables à l’aide d’un tag de
variable, par exemple :
Expression PT104
Commentaire Enregistre le tag de variable PT104
Diagramme de contrôle Les diagrammes de contrôle XRS affichent les tendances correspondant aux
XRS moyennes (X barre), à l’étendue (R barre) et aux écarts types (s) des sous-
groupes. Le diagramme de contrôle XRS est comparable à une tendance
standard mais offre des fonctionnalités SPC supplémentaires. Chaque sous-
groupe est représenté par un nœud et les nœuds successifs sont reliés par une
ligne.
Chaque diagramme de contrôle comprend une ligne médiane et deux limites de
contrôle : supérieure et inférieure (UCL et LCL). CitectSCADA calcule
automatiquement ces valeurs en phase d’exécution. Pour remplacer les limites
549
UCL et LCL, entrez d’autres valeurs dans les champs Moyenne du processus,
Étendue et Écart type de l’écran Tags SPC.
Voir aussi Configuration des diagrammes XRS
Configuration des Les génies facilitent l’ajout d’une nouvelle page SPC. Pour créer un nouveau
diagrammes XRS diagramme :
Définissez les tags SPC.
Créez la page à l’aide d’un modèle XRS.
Remarque : Pour créer votre propre modèle XRS, copiez et modifiez un modèle
existant.
Définition des Les génies facilitent l’ajout d’une nouvelle page SPC. Pour créer un nouveau
diagrammes de diagramme :
capabilité 1 Définissez les tags SPC et spécifiez les limites LSL et USL.
2 Créez la page à l’aide d’un modèle de capabilité (Cpk).
Diagrammes de Pareto L’analyse de Pareto est une technique permettant d’identifier l’importance
relative de problèmes. Le diagramme de Pareto est un histogramme de
fréquences allant de la valeur la plus haute à la valeur la plus basse ∇
CitectSCADA réordonne automatiquement les barres en phase d’exécution.
Chaque barre de l’histogramme représente une variable CitectSCADA définie
dans l’écran Tags de variables. N’utilisez pas de tags SPC.
Remarque : Dans un histogramme, la fréquence est généralement de type entier
bien que vous puissiez également utiliser le type virgule flottante. Les valeurs
négatives ne sont pas autorisées.
Voir aussi Configuration des diagrammes de Pareto
Configuration des Les Génies facilitent l’ajout d’un nouveau diagramme de Pareto. Pour créer un
diagrammes de Pareto nouveau diagramme :
550
1 Définissez les tags de variables (les diagrammes de Pareto n’utilisent pas les
tags SPC).
2 Créez la page à l’aide d’un modèle de Pareto.
Pour définir un diagramme de Pareto :
1 Cliquez sur Nouvelle page ou sélectionnez Fichier | Nouveau.
2 Sélectionnez Type : Page.
3 Choisissez la Résolution (taille) de la page SPC.
4 Choisissez le modèle SPCPareto du diagramme SPC.
5 Cliquez sur OK.
6 Double-cliquez sur l’écran (lorsque vous y êtes invité).
7 Entrez les tags de variables dans les champs Nom du tag. (Utilisez des tags
de variables, pas nécessairement des tags SPC.)
8 Entrez les descriptions des variables dans les boîtes Description des tags.
9 Cliquez sur OK.
10 Enregistrez la page.
Alarmes SPC
CitectSCADA surveille automatiquement plusieurs types de conditions
spécifiques aux données SPC. Lorsqu’un tag SPC a une certaine distribution ou
lorsque certains événements l’affectent, CitectSCADA déclenche l’alarme
appropriée. Ces alarmes sont généralement associées à des diagrammes de
contrôle XRS.
Les alarmes SPC sont configurées différemment des Alarmes numériques
standard pour fournir cette fonctionnalité supplémentaire. Elles doivent pour
cela être définies à l’aide de l’écran Alarmes avancées. La fonction Cicode
SPCAlarms() permet de contrôler l’état des alarmes
Renseignez les champs de l’écran Alarmes avancées comme suit :
Alarmes avancées
Tag de l’alarme Feed_Above_UCL
Desc. alarme Variation non contrôlée
Expression SPCAlarms("Feed_SPC", XAboveUCL)
Commentaire Plusieurs échantillons dépassent la limite UCL
* D2 n’est utilisé pour estimer l’écart type que lorsqu’il n’y a qu’un échantillon
par sous-groupe.
558
Vous pouvez demander des rapports sur l’état de votre installation ou sur des
conditions particulières de fonctionnement. Ces rapports peuvent être générés à
la demande, à des heures spécifiées ou lorsque certains événements se
produisent (comme le changement d’état d’un bit d’adresse). La sortie des
rapports est contrôlée par un périphérique. Les rapports peuvent être imprimés
lorsqu’ils sont générés ou sauvegardés sur disque pour une impression
ultérieure. Ils peuvent être affichés, édités ou imprimés à l’aide d’un éditeur de
texte ou d’un logiciel de traitement de texte, ou affichés sur une page dans
CitectSCADA.
Ils peuvent également inclure des instructions Cicode qui s’exécutent au
moment de leur production.
La configuration des rapports se fait en deux étapes :
Propriétés des rapports
Fichier de format de rapport
Lorsqu’un périphérique d’E/S ne démarre pas ou se déconnecte en phase
d’exécution de CitectSCADA, les données associées ne sont pas écrites dans le
rapport (car elles sont invalides). Un code d’erreur apparaît à la place.
Voir aussi Configuration des rapports
Exécution des rapports
Fichier de format de rapport
Gestion des erreurs de communication dans les rapports
Privilège
Privilège d’accès requis d’un opérateur pour générer un rapport devant être
lancé par une commande. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Si le rapport doit être lancé à une heure prédéfinie ou être déclenché par un
événement, cette propriété est ignorée par le système.
Remarque : Si vous affectez un privilège d’acquittement à un rapport,
n’affectez pas d’autre privilège aux commandes qui l’exécutent. Sinon,
l’opérateur devra avoir les deux privilèges pour exécuter le rapport.
Zone
La Zone à laquelle est associé le rapport. Entrez une valeur de 16 caractères
maximum. Seuls les utilisateurs disposant des droits d’accès à cette zone (et
des autres privilèges requis) pourront exécuter ce rapport. Par exemple, si
vous entrez Zone 1, les opérateurs devront disposer des droits d’accès à
cette zone (et des autres privilèges requis) pour exécuter ce rapport.
Exécution d’un rapport Vous pouvez exécuter un rapport au démarrage. CitectSCADA recherche au
au démarrage démarrage un rapport « Startup » qu’il exécute automatiquement s’il le trouve.
Vous pouvez modifier le nom de ce rapport à l’aide de l’Assistant de configuration
de l’ordinateur.
Voir aussi Définition des heures et des périodes
Définition des heures et La période détermine la fréquence à laquelle le rapport est généré. Elle peut être
des périodes spécifiée en hh:mm:ss (heures:minutes:secondes), par exemple :
Période 1:00:00
Commentaire Rapport généré toutes les heures
Période 6:00:00
Commentaire Rapport généré toutes les six heures
Période 72:00:00
Commentaire Rapport généré tous les trois jours
Période Lundi
Commentaire Rapport généré tous les lundis
Période 15
Commentaire Rapport généré tous les 15 du mois
Période 25 juin
Commentaire Rapport généré le 25 juin
Heure 12:00:00
Commentaire Synchroniser le rapport à 12 heures (midi)
Dans cet exemple, le rapport est exécuté toutes les heures, à l’heure juste. Si vous
démarrez votre système superviseur à 7h25, votre rapport sera lancé à 8 heures
précises, puis à 9 heures, 10 heures, etc.
Voir aussi Utilisation des déclencheurs
Utilisation des Vous pouvez utiliser toute Expression Cicode (ou tag de variable) pour
déclencheurs déclencher un rapport. Ce rapport n’est généré qui si le résultat de l’expression
(figurant dans le champ Déclencheur) est VRAI et si les champs Heure et
Période sont vides. Exemple :
Heure
Période
Déclencheur RCC1_SPEED<10 AND RCC1_MC
Utilisation des Si les champs Heure, Période et Déclencheur ne sont pas renseignés, le rapport
commandes ne peut être généré que par une commande appelant la fonction Cicode
Report().
Le bloc Cicode est délimité par les commandes {CICODE} et {END}. Après la
commande {END}, le rapport retourne en mode WYSIWYG. Si le rapport est
entièrement en Cicode ou s’il se termine en Cicode, la commande {END} est
facultative.
Un bloc Cicode n’envoie aucune donnée au périphérique sauf si vous utilisez les
fonctions Print() ou PrintLn(). Si vous utilisez l’une de ces fonctions,
l’argument sera imprimé sur le périphérique.
Variables Cicode
Vous pouvez également déclarer des variables à utiliser à l’intérieur de votre
bloc Cicode. Déclarez toutes les variables au début du fichier (avant tout format
de rapport ou Cicode). Ajoutez ensuite un bloc {CICODE}, par exemple :
{CICODE}
INT nVar1;
STRING sVar2;
Déclarations;
{END}
Reste du rapport
Inclusion de commentaires
Vous pouvez inclure des commentaires en utilisant le caractère de commentaire
« ! » entre accolades, par exemple :
{!Commentaire}
Un commentaire dans le corps d’un rapport diffère d’un commentaire dans un
bloc Cicode où les accolades sont facultatives.
Exemple de rapport Voici un exemple de fichier de format de rapport (pour un périphérique de type
imprimante ou fichier ASCII) :
567
-----------------------------------
RAPPORT DE QUART
-----------------------------------
{Time(1) } {Date(2) }
Production du quart {Shift_Prod:###.##} tonnes
Production totale {Total_Prod} tonnes
{! Affiche “Rapport de quart achevé” à l’écran}
{CICODE}
Print(“Fin du rapport”)
Shift_Prod = 0; ! Réinitialise le tonnage de production du quart
Erreurs de données de Dans le cas d’une erreur de communication (avec un périphérique d’E/S) ou de
périphériques d’E/S données invalides, l’un des messages suivants est inséré dans le rapport (au lieu
de la valeur attendue) :
Erreur Signification
#COM Échec de communication avec le périphérique d’E/S
#RANGE Valeur renvoyée hors limite
#DIV/0 Tentative de division par 0 (zéro)
#STACK Débordement de la pile
#ASS Erreur d’association (à une chaîne de substitution ou un Génie).
#ERR Erreur inhabituelle. (Utilisez la fonction IsError pour l’identifier.)
#MEM Mémoire insuffisante ou plus de 64 Ko requis.
Exemple :
Format du rapport :
{PV_1} {SP_1} {OP_1}
Si ce rapport est généré alors que la valeur de PV_1 est hors limite (ex. : 101,5),
SP_1 étant égal à 42,35 et OP_1 à 60,0, vous obtiendrez en sortie :
Sortie du rapport
#RANGE 42,35 60,0
Lorsque les rapports sont écrits dans un périphérique de base de données, il sera
dans certains cas préférable de désactiver les messages d’erreur et d’écrire toutes
les valeurs (valides ou non) dans le rapport. Pour cela, utilisez la commande
ERR_FORMAT_OFF.
Exemple :
Format du rapport :
{ERR_FORMAT_OFF}
{PV_1} {SP_1} {OP_1}
Si ce rapport est généré alors que la valeur de PV_1 est hors limite (ex. : 101,5), SP_1
étant égal à 42,35 et OP_1 à 60,0, vous obtiendrez en sortie :
Sortie du rapport
42,35 60,0
569
Suppression de Vous pouvez supprimer des rapports déclenchés par des périphériques d’E/S en
rapports cas d’erreur de communication à l’aide du paramètre [Report]ComBreak. Par
exemple, vous pouvez définir un rapport s’exécutant toutes les heures lorsqu’un
bit passe à l’état haut. Supposons que le périphérique d’E/S associé à ce bit se
déconnecte. Si la valeur du paramètre [Report]ComBreak est 0, le rapport ne
sera pas généré. Si la valeur de ce paramètre est 1 et si la dernière valeur lue
avant l’erreur de communication était 1, le rapport est généré.
Ce paramètre ne s’applique qu’au déclenchement du rapport, pas à son contenu.
570
571
Ajout d’enregistrements Vous devez ajouter des enregistrements utilisateur pour toute personne devant
utilisateur utiliser votre système.
Pour ajouter un enregistrement utilisateur :
1 Sélectionnez Système | Utilisateurs. La boîte de dialogue Utilisateurs
apparaît.
2 Renseignez les champs de la boîte de dialogue.
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
Propriétés utilisateurs Utilisez la boîte de dialogue Utilisateurs pour définir les propriétés de vos
utilisateurs.
Nom de l’utilisateur
Nom de l’utilisateur. Entrez une valeur de 16 caractères maximum. Vous pouvez
affecter un enregistrement utilisateur à un seul utilisateur, par exemple :
Nom de l’utilisateur J Smith
Nom de l’utilisateur John Smith
Chaque opérateur doit saisir son Nom d’utilisateur et Mot de passe pour
utiliser le système.
573
Nom complet
Nom complet de l’utilisateur ou de la classe d’utilisateurs. Entrez une valeur de
32 caractères maximum. Ce nom est utilisé comme commentaire et pour
l’affichage des journaux d’alarmes et de commandes.
Mot de passe
Mot de passe de l’utilisateur. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Lorsque vous entrez le mot de passe, un astérisque (*) s’affiche à la place de
chaque caractère saisi. Lors de la sauvegarde de l’enregistrement utilisateur, le
mot de passe sera crypté avant d’être enregistré dans le fichier Users.dbf.
Chaque opérateur doit entrer un Nom d’utilisateur et un Mot de passe pour
utiliser le système.
Utilisez le paramètre [General]PasswordExpiry pour spécifier la date
d’expiration du mot de passe.
Confirmation du mot de passe
Entrez à nouveau le mot de passe de l’utilisateur pour confirmer le texte saisi
dans le champ Mot de passe. Entrez une valeur de 16 caractères maximum. Si
les valeurs saisies dans les champs Mot de passe et Confirmation du mot de
passe sont différentes, un message invitera l’utilisateur à les entrer à nouveau.
Privilège global
Classes de privilèges affectées globalement à l’utilisateur. Entrez une valeur de 8
caractères maximum.
Lors de la configuration de votre système, vous pouvez attribuer des privilèges
à ses différents éléments : objets graphiques, alarmes, accumulateurs,
commandes, etc. Par exemple, un utilisateur dont le privilège global est 3 peut
activer n’importe quelle commande, alarme, bouton, etc. de privilège égal à 3. À
moins d’utiliser des zones, si vous ne spécifiez pas de privilège global,
l’utilisateur ne pourra accéder à aucune commande nécessitant un privilège.
Vous pouvez rendre votre dispositif de sécurité plus souple en scindant votre
système en zones et en attribuant des privilèges utilisateur ou des droits
d’affichage seul à des zones spécifiques (voir ci-dessous).
Remarque : Les privilèges globaux priment sur la configuration des zones
visibles par un utilisateur.
Type
Type d’utilisateur générique. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Exemple :
Type Opérateur
Type Superviseur
574
Type Gestionnaire
N’utilisez cette propriété que pour définir une classe d’utilisateurs dans laquelle
seront créés des utilisateurs en phase d’exécution à l’aide de la fonction
UserCreate().
Commentaire
Tout commentaire utile. Entrez une valeur de 48 caractères maximum.
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus (à
l’aide de la touche F2).
Zones visibles
Zones que l’utilisateur peut visualiser. Entrez une valeur de 16 caractères
maximum. N’oubliez toutefois pas que vous devez attribuer des privilèges aux
éléments de ces zones (objets graphiques, alarmes, accumulateurs, commandes;
etc.) sans quoi l’utilisateur pourra y accéder sans restriction. Par exemple,
l’utilisateur pourra émettre une commande si vous ne lui attribuez pas de
privilège dans une de ces zones.
Pour qu’un élément (tel qu’un bouton sur une Page graphique) soit uniquement
visible par un utilisateur particulier, affectez-lui une Zone et un privilège.
Ajoutez la zone à la liste des zones visibles par l’utilisateur mais ne donnez pas à
l’utilisateur les privilèges requis pour cette zone (ni le privilège global requis).
Il est possible de définir des groupes de zones.
Si vous ne spécifiez pas de zones visibles, l’utilisateur n’aura accès qu’à la zone
par défaut (zone 0).
Zone de Priv 1 . . . Priv 8
Privilèges (par zone) attribués à l’utilisateur. Entrez une valeur de 16 caractères
maximum. En utilisant cette combinaison de zones et de privilèges, vous pouvez
attribuer à un utilisateur des privilèges différents pour différentes zones. Par
exemple, les utilisateurs ayant la classe de privilège 6 dans les zones 29 et 30
n’ont accès qu’aux commandes de ces zones nécessitant la classe de privilège 6.
Ceci n’affecte pas les privilèges globaux (voir ci-dessus) attribués à l’utilisateur.
Un utilisateur ayant les classes de privilèges 1 et 2 peut accéder aux commandes
de toutes les zones visibles ayant des classes de privilège 1 et 2.
Si vous n’associez pas de privilèges aux zones, l’accès est uniquement défini par
les zones visibles et les privilèges globaux.
Remarque : Les privilèges entrés dans ces champs ne s’appliquent que si les
zones concernées apparaissent dans le champ Zones visibles ci-dessus.
Commande d’entrée
575
Pour qu’un utilisateur puisse actionner des convoyeurs et acquitter des alarmes,
affectez-lui les privilèges 1 et 4 dans son enregistrement utilisateur. Par
exemple :
Privilège global 1, 4
Après avoir attribué ces privilèges, vous pouvez définir les privilèges requis
pour les éléments de votre système (commandes, rapports, objets, alarmes, etc.) :
Commande CONVEYOR = 1;
Privilège 1
Commentaire Un opérateur ayant la classe de privilège 1 peut actionner le convoyeur
Commande Report(“Shift”);
Privilège 5
Commentaire Un opérateur ayant la classe de privilège 5 peut imprimer le rapport
Tous les éléments du système n’exigent pas une classe de privilège. Il existe au
moins une commande accessible à tous : la commande de connexion au système.
Commande LoginForm();
Privilège
Commentaire Un privilège nul (ou privilège 0) signifie qu’aucun privilège n’est requis; la commande
est accessible à tous.
Voir aussi Utilisation de privilèges hiérarchiques
Utilisation de privilèges Par défaut, les privilèges ne sont pas hiérarchiques (les utilisateurs ayant le
hiérarchiques privilège 3 n’ont accès qu’aux commandes de la classe 3). Les privilèges non
hiérarchiques donnent une plus grande souplesse à votre système, en particulier
lorsqu’ils sont utilisés avec des zones.
Lorsque les privilèges sont hiérarchiques, le privilège 1 est le plus bas et le
privilège 8 le plus haut (les utilisateurs ayant le privilège 3 ont accès aux
commandes des classes 3, 2 et 1). Si vous désirez affecter tous les privilèges à un
utilisateur, il suffit de lui attribuer le privilège 8.
Privilège global 8
Vous pouvez également définir plusieurs zones plus petites, contrôlées par un
opérateur ou un Client de visualisation. Cette méthode offre une plus grande
souplesse mais augmente la complexité de votre système.
Vous pouvez définir jusqu’à 255 zones, désignées par leur numéro (de 1 à 255)
ou par un nom (réception, pré-traitement, transport, etc.).
Voir aussi Utilisation des zones
Utilisation d’étiquettes pour désigner les zones
Utilisation de groupes de zones
Utilisation des zones avec privilèges
Spécification des exigences de sécurité
Visualisation des zones de l’installation
Utilisation des zones Après avoir défini vos zones, vous pouvez configurer les commandes, objets,
alarmes, rapports, etc. que vos opérateurs utiliseront dans ces zones.
Exemple :
Commande CONVEYOR = 1;
Zone 10
Commentaire Cette commande appartient à la zone 10
Dans cet exemple, un opérateur sans accès à la zone 10 ne pourra pas émettre la
commande.
Voir aussi Utilisation d’étiquettes pour désigner les zones
Utilisation d’étiquettes Une zone peut être désignée de manière plus explicite si elle est identifiée par un
pour désigner les zones nom plutôt que par un numéro. Exemple :
Nom de la macro AccumExpédition
Expression 10
Commentaire Nom de la zone 10 "AccumExpédition"
579
AccumExpédition peut être utilisé à chaque fois qu’il est question de la zone 10,
par exemple :
Commande CONVEYOR = 1;
Zone AccumExpédition
Commentaire Cette commande appartient à la zone 10
(AccumExpédition)
Utilisation de groupes Vous pouvez grouper plusieurs zones et définir un nom pour le groupe.
de zones Nom du groupe Expédition
Association 1 AccumExpédition
Association 2 11
Association 3 12
Commentaire Zones 10, 11, 12 = "Expédition”
Le nom « Installation » se réfère ici à toutes les zones définies dans les groupes
« Réception », « Traitement » et « Expédition ».
Pour définir un groupe de zones :
1 Sélectionnez Système | Groupes. La boîte de dialogue Groupes s’affiche.
2 Renseignez les champs de la boîte de dialogue.
3 Cliquez sur Ajouter pour ajouter un nouvel enregistrement ou sur
Remplacer pour modifier un enregistrement existant.
Voir aussi Propriétés des groupes
Propriétés des groupes Utilisez la boîte de dialogue Groupes pour configurer les propriétés des
groupes :
Utilisation des zones En combinant des restrictions de zones et de privilèges, vous pouvez définir
avec privilèges l’étendue du contrôle dont jouit un opérateur dans une zone spécifique. Vous
pouvez affecter des privilèges à vos opérateurs sans utiliser de zones — pour
leur permettre d’accéder à l’ensemble de l’installation (privilège global), mais en
combinant les zones et les privilèges, vous rendez votre système plus souple.
Nom de l’utilisateur J Smith
Privilège global 2, 3
Zones visibles 9, 10, 11, 12
Zone de Priv 1 Expédition
Zone de Priv 2
Zone de Priv 3
Zone de Priv 4 AccumExpédition
Zone de Priv 5 AccumExpédition, 11
Zone de Priv 6
Zone de Priv 7
Zone de Priv 8
Commentaire Connexion de John
John Smith a les privilèges globaux 2 et 3; il peut utiliser les commandes des
classes 2 et 3 dans n’importe quelle zone visible de l’installation. Il possède le
privilège 1 dans les zones « Expédition » (10, 11, et 12), le privilège 4 dans la
zone « AccumExpédition » (10) et le privilège 5 dans les zones 10 et 11. Cela
signifie qu’il contrôle les éléments du système (alarmes, rapports,
accumulateurs, objets, etc.) :
Situés dans la zone 9 et nécessitant les privilèges 2 ou 3.
Situés dans la zone 10 et nécessitant les privilèges 1, 2, 3, 4 ou 5.
Situés dans la zone 11 et nécessitant les privilèges 1, 2, 3 ou 5.
Situés dans la zone 12 et nécessitant les privilèges 1, 2 ou 3.
582
Dans cet exemple, des groupes et étiquettes ont également été utilisés pour
rendre la configuration de sécurité plus intuitive.
Voir aussi Spécification des exigences de sécurité
Spécification des Chaque élément de votre système (objet, alarme, rapport, accumulateur, etc.)
exigences de sécurité peut avoir un privilège requis et être associé à une zone particulière. Par
exemple, pour acquitter une alarme, un utilisateur doit pouvoir accéder à la
zone appropriée et posséder les privilèges requis pour cette zone.
Exemple :
Commande CONVEYOR = 1;
Privilège 1
Zone 10
Commentaire Cette commande appartient à la zone 10 et exige le
privilège 1
Visualisation des zones Dans certains cas, vous devrez permettre à un opérateur de visualiser d’autres
de l’installation parties de votre installation sans qu’il puisse pour autant en contrôler les
processus. Il peut par exemple arriver que les processus d’une zone en affectent
une autre.
Dans l’exemple suivant, John Smith contrôle :
Tout élément du système nécessitant le privilège 2 ou 3;
Les éléments du système situés dans la zone Expédition et nécessitant le
privilège 1; et
583
Au lieu de saisir le même jeu d’instructions à chaque fois, vous pouvez définir
une macro qui les remplace. Lors de la compilation du projet, la macro est
remplacée par l’Expression qu’elle contient. Exemple :
Une fois définie, une macro peut être utilisée en tant qu’instruction dans une
commande, par exemple :
586
Utilisation d’arguments Vous pouvez définir des macros acceptant des arguments placés entre
dans les macros parenthèses (). La macro de l’exemple suivant incrémente une variable d’une
valeur spécifique :
Nom de la macro Inc(X, STEP)
Expression X = X + STEP
La valeur par défaut est prise en compte lorsque vous utilisez cette macro sans
argument dans une commande, par exemple :
Séquence de touches FastInc
Commande Inc(SP12);
Voir aussi Conversion de valeurs en chaînes
Conversion de valeurs Il est parfois nécessaire de convertir une valeur en chaîne avant de pouvoir
en chaînes l’utiliser. Dans l’exemple suivant, la valeur d’un tag est convertie avant son
utilisation dans la fonction DspStr().
Nom de la macro ShowVariable(TAG)
Expression DspStr(25, "BigFont", #TAG + "=" + TAG:##.#);
Dans l’exemple ci-dessus, un seul argument (TAG) est transmis à une fonction
qui en attend trois (AN, police et message). Lorsque vous utilisez cette macro
dans une commande, la fonction utilise toujours AN 25 et le message est
588
Si vous utilisez cette commande dans votre système superviseur, elle affiche
"SP12=<valeur>", où valeur correspond à la valeur réelle de SP12 à un moment
donné (par exemple SP12=42,0).
Voir aussi Substitution de chaînes
Substitution de chaînes Vous pouvez passer une substitution de chaîne comme argument d’une macro,
notamment lorsque plusieurs variables ont une partie de leur nom en commun.
Par exemple :
Nom de la macro SPDev(TAG)
Expression Prompt("Deviation=" + "IntToStr(CP##TAG## -
SP##TAG##));
Définition des macros Vous pouvez définir des macros pour votre système.
Pour définir une macro :
1 Sélectionnez Système | Macros. La boîte de dialogue Macros apparaît.
589
Les périphériques ont de multiples usages; vous pouvez par exemple les utiliser
pour produire un rapport sur imprimante ou enregistrer des données dans une
base de données.
Cette propriété est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, le nom de fichier par
défaut est \CitectSCADA 7\BIN \<Nom > sur le disque dur où est
installé CitectSCADA. <Nom> correspond aux huit premiers
caractères du nom du périphérique. Si vous utilisez cette
propriété, assurez-vous qu’aucun autre nom de périphérique
n’utilise les mêmes huit premiers caractères.
Bases de données SQL
Tableau de base de données, par exemple :
Nom du fichier LOGFILE
Nom du fichier REPTBL
Type
Type de périphérique. Entrez une valeur de 16 caractères maximum.
Type de périphérique Description du périphérique
ASCII_DEV Fichier ASCII*
PRINTER_DEV Imprimante
dBASE_DEV Fichier dBASE
SQL_DEV Base de données SQL
Attention ! Si vous ne voulez pas créer des fichiers d’historique, entrez 0 (zéro)
et donnez la valeur 0 au paramètre [Device]CreateHistoryFiles, sans quoi 10
fichiers d’historique seront créés par défaut. Vous devez également vous assurer
que le fichier est de taille fixe. (Si les données s’accumulent, la taille du fichier
peut augmenter jusqu’à occuper la totalité du disque.)
Si vous lui donnez la valeur -1, les données sont ajoutées à la fin du fichier.
Si vous enregistrez des alarmes, des commandes clavier ou des rapports dans le
périphérique, spécifiez le nombre de fichiers à créer et l’heure correspondant à
chaque fichier.
Voir aussi Utilisation des fichiers d’historique des périphériques
Heure
Heure de synchronisation du début du fichier d’historique en hh :mm :ss).
Entrez une valeur de 32 caractères maximum. Si vous avez accepté le nombre
par défaut de fichiers d’historique susmentionné et si vous spécifiez une heure
et une période, 10 fichiers d’historique seront créés. Si vous n’indiquez pas
d’heure, le fichier sera synchronisé à 0:00:00 (minuit).
Si vous ne renseignez ni l’heure ni la période, des fichiers d’historique
supplémentaires seront néanmoins créés (en utilisant l’heure et la période
définies par défaut). Si vous ne voulez pas créer de fichiers d’historique, donnez
la valeur 0 au paramètre [Device]CreateHistoryFiles (zéro).
Période
Période d’un fichier d’historique, en hh :mm :ss (heures :minutes :secondes).
Entrez une valeur de 32 caractères maximum. Vous pouvez également spécifier :
une période hebdomadaire, en indiquant le jour de la semaine où commence
le fichier d’historique, par exemple lundi, mardi, mercredi, etc.
une période mensuelle, en indiquant le jour du mois où commence le fichier
d’historique, par exemple le 1er, le 2, le 3, le 4, le 5, etc.
une période annuelle, en indiquant le jour et le mois où commence le fichier
d’historique, par exemple le 1er janvier, le 25 février, etc. Le jour et le mois
doivent être séparés par un espace.
Si vous avez accepté le nombre par défaut de fichiers d’historique susmentionné
et si vous spécifiez une heure et une période, 10 fichiers d’historique seront
créés.
Si vous n’indiquez pas de période, la période par défaut sera hebdomadaire et le
fichier d’historique commencera le dimanche.
Si vous ne renseignez ni l’heure ni la période, des fichiers d’historique
supplémentaires seront néanmoins créés (en utilisant l’heure et la période
599
définies par défaut). Si vous ne voulez pas créer de fichiers d’historique, donnez
la valeur 0 au paramètre [Device]CreateHistoryFiles (zéro).
Commentaire
Tout commentaire utile. Entrez une valeur de 48 caractères maximum.
Format imprimante et Le format définit la manière dont les lignes de données apparaissent sur
périphériques ASCII l’imprimante ou dans le fichier ASCII, par exemple :
RFP3 Pompe d’alimentation 3 Surcharge 12:32:21
RFP9 Alimentation secondaire Surchauffe 13:02:45
Le format du périphérique n’est pas pris en compte lors de la production du
rapport. Le format défini pour le rapport (c’est-à-dire le fichier de format de
rapport) sert à écrire le rapport dans le périphérique.
Pour inclure des données CitectSCADA, vous devez définir le nom du champ et
(de manière facultative) une largeur pour chaque champ à imprimer ou écrire
dans le fichier. Il doit respecter la syntaxe suivante :
{<nom du champ>, [largeur[, justification]]}
Chaque champ doit être placé entre accolades {}, par exemple :
Format {Tag,8} {Nom,32}
Deux champs sont imprimés ou écrits dans le fichier : tag, sur 8 caractères, et
nom, sur 32 caractères. La largeur est facultative. Si vous ne la spécifiez pas, la
largeur du champ est déterminée par le nombre de caractères entre crochets, par
exemple :
Format {Nom }
Nom est suivi ici de quatre espaces; les données seront donc affichées sur 8
caractères.
600
Tous les espaces utilisés dans une chaîne de texte sont inclus dans la chaîne.
Voir aussi Formatage des données dans les périphériques
Utilisation d’un périphérique de base de données
Format périphériques Le format définit la structure (noms et largeurs des champs) de la base de
de base de données données. Il doit respecter la syntaxe suivante :
dBASE et SQL {<nom du champ>, <largeur>}
Chaque champ doit être placé entre accolades {}, par exemple :
Format {Tag,8} {Nom,32}
La base de données créée comporte deux champs : tag, sur 8 caractères, et nom,
sur 32 caractères. La taille de chaque champ de la base de données est
déterminée par la largeur définie dans le format. (Les caractères de justification
ne sont pas pris en compte.) Tous les champs de la base de données sont de type
caractère (chaîne).
Vous pouvez définir vos propres champs (tout comme les champs CitectSCADA
standard) pour le périphérique de base de données, par exemple :
Format {Nom,16}{Eau,8}{Sucre,8}{Farine,8}
{Sel,8}{Levure,8}{Lait,8}
601
Périphériques dBASE
Si la base de données n’existe pas, elle est créée avec le format indiqué. Si aucun
format n’est défini et si le nom de fichier indique un fichier dBASE existant,
CitectSCADA utilise les champs existants de la base de données.
Périphériques SQL
Vous devez d’abord créer une base de données SQL avec une application
externe.
Remarque : Si vous éditez un enregistrement de périphérique dBASE ou SQL
(pour un projet existant), vous n’accédez pas au périphérique physique associé.
Par exemple, si vous ajoutez un champ dans un périphérique de type dBASE, ce
champ n’est pas ajouté aux fichiers de base de données existants (lorsque vous
exécutez CitectSCADA). Les champs modifiés sont enregistrés dans de
nouveaux fichiers. Si vous souhaitez conserver les données existantes de la base
de données de périphérique, vous devez les copier manuellement (à l’aide de
dBASE, d’Excel ou d’autres outils de base de données). Si vous ne souhaitez pas
conserver les données existantes, effacez les fichiers de base de données. Lors de
la prochaine ouverture du périphérique, CitectSCADA créera la base de données
et lui appliquera les modifications effectuées.
Voir aussi Formatage des données dans les périphériques
Utilisation d’un périphérique de base de données
602
Utilisation d’un Avant de pouvoir utiliser un périphérique de base de données, vous devez
périphérique de base de l’ouvrir. Vous pouvez ouvrir plusieurs périphériques en même temps. La
fonction DevOpen() retourne un entier identifiant chaque périphérique, comme
données
dans l’exemple suivant :
INT hRecipe;
hRecette = DevOpen("Recette");
DevAppend(hPeriph);
DevSetField(hPeriph, "NOM", sNom);
DevSetField(hPeriph, "EAU", IntToStr(Eau));
DevSetField(hPeriph, "SUCRE", IntToStr(Sucre));
DevSetField(hPeriph, "FARINE", IntToStr(Farine));
DevSetField(hPeriph, "SEL", IntToStr(Sel));
DevSetField(hPeriph, "LEVURE", IntToStr(Levure));
DevSetField(hPeriph, "LAIT", IntToStr(Lait));
END
DevWrite(hPeriph, sNom);
DevWrite(hPeriph, Eau);
DevWrite(hPeriph, Sucre);
DevWrite(hPeriph, Farine);
DevWrite(hPeriph, Sel);
DevWrite(hPeriph, Levure);
DevWrite(hPeriph, Lait);
END
Les fonctions suivantes ne sont pas compatibles avec les périphériques SQL et ne
doivent donc pas être utilisées :
DevFlush() DevPrev() DevSize() DevRecNo()
DevDelete() DevRead() DevSetField()
INT hDev;
hDev = DevOpen("Recipe");
IF hDev >= 0 THEN
IF DevFind(hDev, sName, "NAME") = 0 THEN
PLC_Water = DevGetField(hDev, "WATER");
PLC_Sugar = DevGetField(hDev, "SUGAR");
PLC_Flour = DevGetField(hDev, "FLOUR");
PLC_Salt = DevGetField(hDev, "SALT");
PLC_Yeast = DevGetField(hDev, "YEAST");
PLC_Milk = DevGetField(hDev, "MILK");
ELSE
DspError("Cannot Find Recipe " + sName);
END
DevClose(hDev);
ELSE
DspError("Cannot open recipe database");
END
END
604
DevZap(hPer);
END
Pour supprimer des enregistrements d’une base de données SQL, utilisez les
fonctions SQL Cicode.
Période 6:00:00
Commentaire Utiliser un nouveau fichier toutes les six heures
606
Période 72 :00:00
Commentaire Utiliser un nouveau fichier tous les trois jours
Période Lundi
Commentaire Utiliser un nouveau fichier tous les lundis
Période 15
Commentaire Utiliser un nouveau fichier le 15 du mois
Période 25 juin
Commentaire Utiliser un nouveau fichier le 25 juin de chaque année
Pour optimiser les performances, il est préférable de définir une période d’au
moins une semaine.
Vous pouvez également préciser l’heure de synchronisation du début du fichier
d’historique, par exemple :
Heure 6:00:00
Commentaire Synchroniser le fichier à 6 heures
Heure 12:00:00
Commentaire Synchroniser le fichier à 12 heures (midi)
Heure 18:30:00
Commentaire Synchroniser le fichier à 18 heures 30
Une Commande clavier (objet, page ou système) pourrait ensuite être créée avec
la configuration suivante :
Périphérique KeyLog
d’enregistrement
Séquence de touches ### RETOUR
Message d’enregistrement Densité de consigne portée à
Le résultat serait du type suivant : "01/01/99 Densité de consigne portée à 123 par
Pierre Lejeune".
Voir aussi À propos de la gestion des impressions
DDE termine la conversation lorsqu’il n’a plus besoin des données ou services
du serveur DDE.
Remarque : Le protocole DDE n’étant pas conçu pour le Transfert de données à
haute vitesse, il n’est recommandé que lorsque la vitesse de communication
n’est pas critique.
Pour plus de détails sur les conversations DDE, voir Conversations DDE et
syntaxe client. Pour établir une conversation DDE entre applications situées sur
un même ordinateur, voir Configuration de conversations DDE. Pour établir des
conversations DDE entre applications exécutées sur différents ordinateurs d’un
même réseau, voir DDE réseau. Pour établir des conversations DDE avec la base
de données de tags CitectSCADA, voir Connexion à la base de données de tags
CitectSCADA avec DDE.
Attention ! Lorsque vous lisez ou écrivez des tags dans CitectSCADA avec DDE,
il est possible que vous ajoutiez des points à votre licence CitectSCADA sans le
savoir. Une fois que votre nombre de points atteint une certaine valeur,
CitectSCADA ne fonctionnera plus correctement. Il est donc important lorsque
vous accédez à des tags avec DDE d’être conscient du nombre de points que
vous avez utilisés. Pour plus de détails, voir la rubrique Nombre de points de la
licence Citect dans le Manuel d’installation et de configuration.
Conversations DDE et Deux applications échangeant des informations avec DDE sont dites en
syntaxe client conversation DDE. L’application initiant la conversation est le client DDE et
l’application répondant au client DDE est le serveur DDE.
Une application peut avoir plusieurs conversations DDE simultanées. Elle peut
jouer le rôle de client DDE dans certaines conversations (demande de données
ou services) et celui de serveur DDE (fournisseur de données et de services)
dans d’autres. Chaque requête ou réponse d’une conversation DDE indique les
données ou le service à envoyer ou recevoir.
Remarque : Une conversation DDE est parfois désignée canal ou liaison.
La syntaxe envoyée par le client DDE lorsqu’il essaye d’établir une conversation
DDE avec le serveur DDE est en trois parties :
Le nom de l’application d’où proviennent les données.
Le fichier ou le nom de rubrique contenant les données à récupérer.
Et les plage, valeur, champ ou données de cellules demandées.
Ces données sont associées dans le format :
<DDE server application name>|<DDE Topic name>!<DDE Data item
name>
où :
<DDE Server application name> identifie l’application serveur DDE.
611
Configuration de Le protocole DDE ne permet pas d’exécuter des applications. Les applications
conversations DDE client et serveur DDE doivent donc être activées avant d’établir des
conversations DDE (à moins que l’application appelante soit codée de sorte à
détecter et lancer l’application serveur DDE).
Au début d’une conversation DDE, un client DDE demande les services d’un
serveur DDE en utilisant la syntaxe client DDE (qui contient le nom, la rubrique
ou le nom de fichier de l’application serveur DDE ainsi que le nom de l’élément
de données). Pour plus de détails sur la syntaxe client DDE, voir Conversations
DDE et syntaxe client.
612
Pour configurer une application en tant que client DDE, c’est-à-dire pour
demander des données à une application serveur DDE, vous devez utiliser les
valeurs appropriées dans la syntaxe client DDE :
Nom de l’application serveur DDE
Le nom du serveur DDE est généralement le nom de l’application serveur DDE :
Citect pour CitectSCADA, Excel pour Microsoft Excel, WinWord pour
Microsoft Word et MSAccess pour Microsoft Access. La majorité des serveurs
DDE ne répondent qu’à un seul nom.
Nom de rubrique DDE
Le nom de rubrique DDE de CitectSCADA est soit Data (si vous utilisez les
fonctions DDE Cicode) soit Variable (si vous utilisez CitectSCADA comme
serveur DDE et désirez accéder directement à la base de données de tags). Le
nom de rubrique DDE pour Microsoft Excel est le nom de la feuille de calcul (qui
peut également contenir le nom de classeur entre crochets). Le nom de rubrique
DDE pour Microsoft Word est le nom du document. Le nom de rubrique DDE
pour Microsoft Access est le nom de la base de données et le nom de la table, le
nom de la requête ou une chaîne SQL (voir remarque ci-après) :
Remarque : La syntaxe de la section concernant le nom de rubrique DDE à
utiliser pour accéder à la base de données Microsoft Access est la suivante :
"<DataBaseName>; TABLE <TableName>"
où <DataBaseName> est le nom du fichier de base de données Access suivi d’un
point-virgule ( ; ). Il sera généralement nécessaire d’inclure le chemin d’accès au
fichier sauf, par exemple, si l’on sait qu’Access sera exécuté avec le fichier cible
ouvert. Le suffixe .MDB est facultatif (car il s’agit de l’extension par défaut des
bases de données Access) sauf si le chemin d’accès complet est spécifié.
La TABLE <TableName> est la chaîne de commande indiquant à Access avec
quelles données de table vous comptez converser. DDE prend également en
charge l’utilisation de QUERY <QueryName> ou SQL <SQLString> à la place
de TABLE <TableName>.
La syntaxe DDE utilise un point-virgule ( ; ) après l’espace réservé
« <DataBaseName> » et des MAJUSCULES pour les commandes « TABLE »,
« QUERY » et « SQL ». La seconde section doit être placée entre guillemets ( " ).
Nom d’élément de donnée DDE
Le nom d’élément de donnée DDE de CitectSCADA dépend du nom de
rubrique DDE utilisé. Si vous utilisez « Variable » comme nom de rubrique DDE
pour accéder directement à la base de données de variables, le nom d’élément de
donnée DDE est le nom de tag de variable CitectSCADA. Si vous utilisez
« Data » comme nom de rubrique DDE pour accéder à une valeur enregistrée à
l’aide de la fonction Cicode DDEPost(), le nom d’élément de donnée DDE est le
nom enregistré.
613
Le nom d’élément de donnée DDE pour Microsoft Excel est la plage de cellules
au format Numéro de ligne Numéro de colonne (ex. R1C1). Le nom d’élément
de donnée DDE pour Microsoft Word est un nom de signet. Le nom d’élément
de donnée DDE pour Microsoft Access dépend du nom de rubrique utilisé. Pour
plus de détails, consultez l’aide Microsoft Access.
Remarque : Ces rubriques d’aide et exemples DDE CitectSCADA ont été rédigés
pour Windows 3.xx puis actualisés pour Office 95 sous Windows 95. Les
mesures de sécurité introduites par Microsoft dans les versions Office 2000 et
ultérieures ne permettent pas, par défaut, aux applications Office d’être utilisées
comme clients DDE. Pour plus de détails, voir Utilisation de DDE avec les
applications Microsoft Office.
CitectSCADA peut fonctionner tant comme serveur DDE que comme client
DDE. Pour configurer CitectSCADA avec DDE, voir Échange de données
CitectSCADA avec DDE.
CitectSCADA est livré avec un classeur Excel contenant des macros destinées à
vous aider à insérer des liaisons client DDE depuis la base de données de tags de
variables de votre système superviseur CitectSCADA directement dans une
feuille de calcul Excel.
Types de fonctions DDE Il existe deux classes de fonctions DDE dans Cicode, les fonctions DDE
CitectSCADA originales et les fonctions DDEh.
Fonctions DDE
Les fonctions DDE Cicode originales ne retournent pas de numéro de canal DDE
et étaient conçues de sorte que l’utilisateur n’ait pas besoin de gérer ces canaux.
Les fonctions DDERead(), DDEPost(), DDEWrite() et DDEExec() effectuent
chacune un seul échange de données. Chacune de ces fonctions entame une
conversation DDE avec l’application externe, envoie ou reçoit les données (ou
commandes) et termine la conversation, le tout en une seule opération.
Fonctions DDEh
Les fonctions DDEh Cicode ont été introduites pour offrir un meilleur contrôle
sur les communications DDE, en particulier dans le cas de DDE réseau et
lorsqu’il est nécessaire de fermer et de réinitialiser un canal DDE (après avoir
effacé des lignes d’une table par exemple).
Les fonctions descripteur DDE (DDEh...) retournent un descripteur de
conversation : un numéro de canal DDE.
Utilisez les fonctions DDEh pour DDE réseau et pour Access DDE.
Voir aussi Échange de données CitectSCADA avec DDE
Échange de données Le système superviseur CitectSCADA peut échanger des données en tant que
CitectSCADA avec DDE serveur ou client DDE.
614
Pour établir une conversation DDE entre applications situées sur un même
ordinateur, voir Configuration de conversations DDE.
Pour établir des conversations DDE entre applications exécutées sur différents
ordinateurs d’un même réseau, voir DDE réseau.
Enregistrement de Il est possible que vous utilisiez une convention de nommage des tags qui ne soit
certaines données pas compatible avec DDE ou qui, pour une raison ou une autre, ne puisse être
utilisée dans un appel DDE. CitectSCADA permet de publier des tags
CitectSCADA avec DDE
spécifiques sous différents noms grâce à la fonction DDEpost.
Pour que certaines valeurs de variables CitectSCADA ou les résultats de calculs
soient disponibles à des applications client DDE externes actives sur le même
ordinateur, utilisez la fonction Cicode DDEPost() pour que le système
superviseur CitectSCADA joue le rôle de serveur DDE.
Cette conversation à sens unique permet à une application client DDE externe
(Excel, Word, etc.) de lire des valeurs depuis CitectSCADA en utilisant DDE.
L’application client ne peut pas changer cette valeur dans CitectSCADA.
Vous pouvez utiliser cette fonction pour présenter des données sous un nom
différent de leur nom d’origine. L’exemple ci-après présente ainsi la valeur du
tag de variable PV1 sous le nom de « Processus1 ».
L’exemple Cicode suivant enregistre la valeur de la variable PV1 en utilisant
DDE :
DDEPost("Process1", PV1)
Une fois enregistrée, cette valeur est accessible à partir d’une cellule Excel
contenant la formule suivante par exemple :
=Citect|Data!Process1
ou à partir d’un champ de Microsoft Word contenant la fonction suivante :
{DDEAuto Citect Data Process1 }
Remarques :
Le nom de la valeur enregistrée (ex. Processus1) ne doit pas dépasser 8
caractères ou contenir des espaces si vous désirez la lier à l’aide d’un champ
DDE Microsoft Word. Par contre, Microsoft Excel accepte les noms
d’éléments de données longs s’ils sont placés entre guillemets simples (ex.
’Variable de processus 1’ ).
Vous devez utiliser Data comme nom de rubrique DDE lorsque vous
accédez à des valeurs enregistrées. Voir Configuration de conversations
DDE.
Cette méthode de connexion DDE ne fonctionne que si le système superviseur
CitectSCADA et l’application client DDE (ex. Excel ou Word) sont exécutés sur
le même ordinateur en même temps. Une fois que la connexion DDE a été
616
Écriture de valeurs Pour écrire la valeur d’une variable CitectSCADA directement dans une
dans une application application serveur DDE externe exécutée sur le même ordinateur que
CitectSCADA, utilisez la fonction Cicode DDEWrite().
DDE
Vous pourriez ainsi écrire des données de CitectSCADA dans une application
Microsoft Office (CitectSCADA étant le client DDE et l’application Office le
serveur DDE) en utilisant les exemples de fonctions Cicode DDEWrite()
suivants :
! Écriture de PV1 dans Excel
! En supposant que la feuille Sheet1 existe
DDEWrite("Excel", "Sheet1", "R1C1", PV1);
Lecture de valeurs dans Pour lire une valeur dans une variable CitectSCADA directement depuis une
une application DDE application serveur DDE externe exécutée sur le même ordinateur que
CitectSCADA, utilisez la fonction Cicode DDERead(). Exemple :
PV1 = DDERead("Excel", "[Book1]Sheet1", R1C1);
La valeur située à la ligne 1 de la colonne 1 de la feuille 1 du classeur 1 (dans
Excel) est lue et stockée dans la variable CitectSCADA « PV1 ». Cette fonction
DDE est unidirectionnelle et devra être appelée à chaque fois que la valeur doit
être mise à jour dans CitectSCADA.
La lecture à partir d’un serveur DDE suppose qu’il soit connu. Dans l’exemple
précédent, Excel doit être actif et la feuille de calcul doit exister. La variable
CitectSCADA PV1 doit également avoir été déclarée.
Remarque : Au lieu d’utiliser la fonction de lecture unique DDERead(), vous
pouvez appeler la fonction descripteur DDE multiple DDEhRequest().
Assurez-vous que les requêtes externes sont autorisées dans l’autre application.
Sous Excel, par exemple, vous devez vérifier que la case à cocher Ignorer les
appels hors programme est désactivée (configuration par défaut). Dans Excel 4,
utilisez la commande Options | Espace de travail et dans les versions 5 et
ultérieures la commande Outils | Options | Généralités.
Le niveau de sécurité élevé (s’il est sélectionné) des versions Microsoft Office
2000 et ultérieures ne semble pas affecter l’utilisation des requêtes client DDE à
distance avec ces applications. Voir Utilisation de DDE avec les applications
Microsoft Office.
Utilisation de DDE avec Les mesures de sécurité introduites par Microsoft dans les versions Office 2000
les applications et ultérieures ne permettent pas, par défaut, aux applications Office d’être
utilisées comme clients DDE. Voir Sécurité Microsoft Office.
Microsoft Office
La prise en charge des noms de fichier longs avec DDE semble varier selon les
applications Microsoft Office. Voir Noms de fichier longs avec DDE.
618
Pour autoriser les requêtes DDE distantes sous Excel, vous devez vérifier que la
case à cocher Ignorer les appels hors programme est désactivée (configuration
par défaut). Dans Excel 4, utilisez la commande Options | Espace de travail et
dans les versions 5 et ultérieures la commande Outils | Options | Généralités.
DDE réseau
DDE réseau est une version du protocole DDE adapté aux réseaux. Pour plus de
détails sur DDE, voir Utilisation du protocole DDE (Dynamic Data Exchange).
619
Démarrage des services Pour que DDE réseau fonctionne, NetDDE.EXE doit être installé et en cours
DDE réseau d’exécution sur les deux machines avant d’essayer d’établir une conversation
DDE réseau. NetDDEexe est un fichier système Windows Service, livré avec
toutes les versions de Windows depuis Windows for Workgroups Version 3.11,
qui permet de communiquer le DDE partagé utilisé par DDE réseau.
NetDDE.EXE n’utilise pas d’interface graphique (c’est un service Windows
s’exécutant en arrière-plan).
Microsoft a désactivé le démarrage automatique des services DDE réseau sur
tous les systèmes d’exploitation Windows ultérieurs à la version 3.1. Sous
WFWG, WIN9x, Windows NT etc., vous devrez donc soit lancer l’activation
automatique des services DDE réseau soit exécuter NetDDE.EXE sur les deux
machines avant d’essayer d’établir une connexion.
Pour démarrer manuellement les services DDE réseau :
Dans le menu Démarrer de Windows, cliquez sur Démarrer | Exécuter,
tapez « netdde » (sans les guillemets) et appuyez sur la touche Entrée. Faites
de même sur la deuxième machine.
Pour activer automatiquement les services DDE réseau au démarrage de
l’ordinateur :
Avec les systèmes WFWG et Windows 9x, placez un raccourci vers
NetDDE.EXE (situé dans le répertoire Windows) dans le dossier Démarrage.
620
Configuration des Pour pouvoir créer une liaison DDE sur un réseau, l’ordinateur jouant le rôle de
partages DDE réseau serveur DDE réseau doit être configuré de sorte à fournir un partage DDE
réseau pour établir un canal DDE réseau.
Remarque : Vous n’avez pas besoin de créer un partage DDE si vous essayez
d’utiliser DDE entre applications exécutées sur la même machine. Vous devez
par contre en créer un si vous désirez utiliser DDE entre deux applications
exécutées sur des machines différentes. Dans un tel cas, vous devrez créer le
partage DDE sur la machine sur laquelle est installée l’application jouant le rôle
de serveur DDE.
L’utilitaire Windows DDESHARE.EXE permet aux utilisateurs de gérer des
partages DDE. La version à 32 bits est livrée avec tous les systèmes
d’exploitation Microsoft NT (NTx, Windows 2000, Windows XP et ultérieurs) et
est située dans le sous-répertoire WINNT\System32.
Remarque : Concernant les systèmes 16 bits comme Windows 95, Windows Me
et Windows for Workgroups, l’article Q16 de la base de connaissances MSDN
précise que la version 16 bits du Gestionnaire de partage DDE réseau (également
désignée DDEShare.exe) se trouve dans le kit de ressources de Windows for
Workgroups. Ce fichier étant difficile à trouver, une copie est dorénavant
disponible dans la boîte à outils du site Citect : http://www.citect.com\login.
Pour lancer à la main l’utilitaire de partage DDE :
Dans le menu Démarrer de Windows, cliquez sur Démarrer | Exécuter,
tapez « DDEShare » (sans les guillemets) et appuyez sur la touche Entrée.
622
Partages DDE
Il existe trois types de partages DDE : ancien style, nouveau style et statique.
CitectSCADA ne prend en charge que le type statique. Les noms des partages
statiques suivent la convention
<NomPartage>$
623
Utilisation de Network Le service Microsoft DDE réseau doit être en cours d’exécution sur les deux
DDE ordinateurs pour pouvoir communiquer avec DDE réseau. Pour plus de détails,
voir Démarrage des services DDE réseau.
Avant que le client DDE réseau puisse établir une conversation DDE avec une
application serveur DDE réseau, l’ordinateur sur lequel cette application est
installée doit avoir configuré un partage DDE réseau. Pour plus de détails, voir
Configuration des partages DDE réseau.
Remarque : Vous ne pouvez pas utiliser DDE réseau pour vous connecter à une
application partagée sur la même machine. DDE réseau ne permet de se
connecter qu’à une application partagée sur une autre machine (qui doit
également être sur le même réseau).
Pour vous connecter à une application partagée DDE réseau, vous devez
modifier la syntaxe DDE en remplaçant <NomApplication> par
<NomOrdinateur>\NDDE$ et <NomRubrique> par le partage du serveur DDE
réseau <NomPartage> et en gardant le <NomÉlémentDonnées>.
La syntaxe DDE réseau ne permet donc pas de spécifier les noms de
l’application et des rubriques DDE. Ces noms peuvent toutefois être définis au
niveau de la configuration des partages serveur DDE. Ainsi, lorsque le serveur
DDE réseau reçoit l’appel (du client DDE réseau) contenant le nom de partage, il
sait à quelle application et à quelle rubrique se connecter. Voir Connexion à une
application partagée DDE réseau.
Connexion à une Le client DDE réseau spécifie le partage du serveur DDE distant dans la syntaxe
application partagée client DDE normale en remplaçant dans l’appel le nom de l’application DDE et
le nom de rubrique DDE par le nom de l’ordinateur serveur DDE et le nom de
DDE réseau
partage du serveur DDE. Pour plus de détails sur la syntaxe client DDE, voir
Conversations DDE et syntaxe client.
626
Avec la syntaxe client DDE réseau, le nom de l’application DDE est remplacé par
la chaîne suivante placée entre guillemets simples :
’\\<NomOrdinateur>\NDDE$’
où <NomOrdinateur> est le nom de l’ordinateur sur lequel l’application serveur
DDE est exécutée et NDDE$ avise Windows sur l’ordinateur distant que le client
DDE appelant désire établir un canal DDE réseau. Si vous omettez la chaîne
NDDE$, l’appel ne fonctionnera pas.
Le nom de rubrique DDE est remplacé par la chaîne suivante, également placée
entre guillemets simples :
’<NomPartage>’
où <NomPartage> est le nom du partage DDE approuvé configuré sur
l’ordinateur serveur DDE. Le partage DDE sur le serveur DDE contient les
détails concernant l’application et la rubrique à utiliser lors de la création de la
liaison DDE réseau. Les noms de partage de serveur DDE se terminent
généralement avec le caractère $.
Remarque : Un nom de partage DDE distinct doit être utilisé sur un ordinateur
distant pour chaque combinaison Nom d’application DDE et Nom de rubrique
DDE que vous désirez partager. Vous ne pouvez pas déclarer la rubrique avec
un joker (*) dans les systèmes Windows NT.
Par exemple, pour créer une liaison DDE réseau avec les critères suivants :
Nom du tag de variable CitectSCADA : « PV1 »
Nom de l’ordinateur serveur CitectSCADA : « PlantSvr »
Nom du partage DDE distant : « Citect$ »
vous pourriez construire un appel à un client DDE réseau contenant :
’\\PlantSvr\NDDE$’|’Citect$’!PV1
Dans Excel, la formule suivante pourrait être placée directement dans la cellule
d’une feuille de calcul :
=’\\PlantSvr\NDDE$’|’Citect$’!PV1
Si le système vous demande un nom d’utilisateur et un mot de passe, choisissez
un utilisateur ayant les permissions appropriées sur le serveur DDE.
Remarque : La barre verticale (|) et le point d’exclamation (!) doivent
absolument figurer dans la syntaxe DDE et ne doivent pas être placés entre
guillemets (’).
CitectSCADA est livré avec un classeur Excel contenant des macros destinées à
vous aider à insérer des liaisons client DDE depuis la base de données de tags de
variables de votre système superviseur CitectSCADA directement dans une
feuille de calcul Excel.
627
Bases de données Le format de fichiers dBASE — un standard de l’industrie pour le stockage des
dBASE données — est pris en charge par CitectSCADA. Vous pouvez créer une base de
données et effectuer des opérations de lecture et d’écriture d’enregistrements à
l’aide de l’éditeur de base de données de votre choix (à condition qu’il
reconnaisse les fichiers dBASE III).
Pour vous connecter à une base de données, vous devez définir un périphérique
CitectSCADA. Les périphériques définissent le format et l’emplacement de la
base de données, par exemple :
Nom Recette
Format {Nom,16}{Eau,8}{Sucre,8}{Farine,8} {Sel,8}{Levure,8}{Lait,8}
En-tête Nom
Nom du fichier [DATA]:RECETTE.DBF
Type dBASE_DEV
Commentaire Périphérique Recette (fichier dBASE)
629
Bases de données SQL Le langage SQL (Structured Query Language) est également un standard de
l’industrie. SQL est un langage de commande qui permet de définir, manipuler
et contrôler les données de bases de données SQL — ainsi que d’autres bases de
données relationnelles. La plupart des serveurs de bases de données
reconnaissent le langage SQL. Le langage SQL permet d’accéder directement
aux serveurs de bases de données des autres plates-formes informatiques, qu’il
s’agisse de micro-ordinateurs, de mini-ordinateurs ou de macro-ordinateurs.
Vous pouvez utiliser les fonctions de périphérique CitectSCADA pour définir le
format et l’emplacement de chacune de vos bases de données SQL. Les fonctions
SQL permettent également de contrôler directement les transactions SQL.
Pour définir le format et l’emplacement de la base de données, vous devez créer
un périphérique CitectSCADA, par exemple :
Nom Recette
Dans le champ Format, indiquez les noms de champ de la base de données SQL,
par exemple :
Format {Nom,16}{Eau,8}{Sucre,8}{Farine,8} {Sel,8}{Levure,8}{Lait,8}
Utilisation de SQL
Les fonctions SQL (Structured Query Language) permettent d’accéder
directement à une base de données SQL plutôt que d’y accéder par
l’intermédiaire d’un périphérique. L’accès direct à la base de données offre une
plus grande souplesse. Pour ce faire, les fonctions SQL utilisent un pilote de base
de données compatible ODBC, par exemple MS Access, FoxPro, Paradox, etc.
Voir aussi Connexion à une base de données SQL
Exécution des commandes SQL
Utilisation des transactions
Expression des dates et heures en SQL
Connexion à une base Vous devez vous connecter au système de base de données SQL à l’aide de la
de données SQL fonction SQLConnect avant d’utiliser des commandes SQL. Cette fonction doit
être appelée avant toute autre fonction SQL. Elle a le format :
630
SQLConnect(sConnect);
où sConnect est la chaîne de connexion, par exemple :
INT hSQL;
hSQL = SQLConnect("DSN=DBASE_FILES;DB=C:\ODBC\EMP;LCK=NONE;CS=ANSI");
! Connexion à un fichier de base de données compatible dBASE.
INT hSQL;
hSQL = SQLConnect("DSN=EXCEL_FILE;DB=C:\ODBC\EMP;FS=10");
! Connexion à un fichier Excel.
INT hSQL;
hSQL = SQLConnect("DSN=ORACLE_TABLES;SRVR=X:ACCTS;UID=SCOTT;PWD=TIGER");
! Connexion à une base de données Oracle.
Pour de plus amples informations sur la connexion à une base de données SQL,
consultez la documentation fournie avec votre serveur SQL.
Voir aussi Exécution des commandes SQL
Exécution des SQL permet de manipuler des données de manière non-procédurale : vous
commandes SQL définissez une opération en terme d’actions, non de méthode. Les commandes
SQL permettent de :
Créer des tables dans la base de données.
Stocker des données dans des tables.
Sélectionner précisément les informations que vous souhaitez extraire de
votre base de données.
Modifier les données et la structure d’une table.
Combiner des données et effectuer des calculs.
La fonction SQLExec() n’exécute que des commandes SQL prises en charge par
votre serveur SQL. Par exemple, pour créer une table dans la base de données,
vous exécutez la commande SQL « CREATE TABLE » :
SQLExec (hSQL, "CREATE TABLE recette (’Nom’ CHAR(16), ’Eau’ CHAR(8), ’Sucre’ CHAR(8),
’Farine’ CHAR(8), ’Sel’ CHAR(8), ’Levure’ CHAR(8), ’Lait’ CHAR(8))");
Pour ajouter des enregistrements à une table de la base de données, utilisez la
commande « INSERT INTO ». Cette commande utilise la syntaxe suivante :
INSERT INTO <nomfichier> [(<nom_col >, . .)] VALUES (<expr>, . . .)
Elle permet d’ajouter des valeurs à chacun des champs de la table, par exemple :
SQLExec(hSQL, "INSERT INTO recette VALUES (« Pain », ’10’, ’5’, ’7’, ’1’, ’1’, ’2’)");
Les noms de colonnes sont facultatifs. Cependant, si vous les omettez, les
valeurs sont insérées dans les champs (colonnes) en suivant l’ordre dans lequel
elles se trouvent.
631
Pour lire les données dans une base SQL, utilisez la commande SQL « SELECT ».
Vous pouvez utiliser la commande « SELECT » pour lire un ensemble complet
d’enregistrements, ou une ligne, dans une table. Vous pouvez alors utiliser la
fonction SQLGetField() pour lire les données de chaque champ, par exemple :
SQLExec(hSQL, "SELECT * FROM recette WHERE NAME = ’Pain'");
If SQLNext(hSQL) = 0 Then
PLC_Water = SQLGetField(hSQL, "EAU");
PLC_Sugar = SQLGetField(hSQL, "SUCRE");
PLC_Flour = SQLGetField(hSQL, "FARINE");
PLC_Salt = SQLGetField(hSQL, "SEL");
PLC_Yeast = SQLGetField(hSQL, "LEVURE");
PLC_Milk = SQLGetField(hSQL, "LAIT");
END
Pour effacer des enregistrements de base de données, utilisez la commande SQL
« DELETE ». Cette commande utilise la syntaxe suivante :
DELETE FROM <nomfichier> [WHERE <conditions>]
Cette commande efface des valeurs dans la table, par exemple:
SQLExec(hSQL, "DELETE FROM recette WHERE NAME = ’Pain’");
Voir aussi Utilisation des transactions
Utilisation des Les transactions permettent d’effectuer des opérations de base de données plus
transactions complexes. Une transaction permet de lancer une série de commandes SQL, puis
d’appliquer les modifications à la base de données ou de les annuler, par
exemple :
SQLBeginTran(hSQL); ! Début de la transaction
SQLExec(hSQL, "UPDATE recette SET eau = ’12’ WHERE NAME = ’Pain'");
SQLExec(hSQL, "UPDATE recette SET lait = ’1’ WHERE NAME = ’Pain'");
IF . . . THEN
SQLCommit(hSQL); ! Appliquer la transaction
ELSE
SQLRollBack(hSQL);! Annuler la transaction
END
Si vous ne pouvez pas utiliser les transactions, vérifiez le niveau de
compatibilité ODBC de votre pilote de base de données.
Voir aussi Expression des dates et heures en SQL
Expression des dates et Le mode d’expression des dates SQL dépend du système de base de données
heures en SQL utilisé. Avec dBase, les dates sont en principe exprimées entre accolades, par
exemple {02/18/95}. Avec Oracle, les dates utilisent le format: to_date (’02/18/95’,
’MM/JJ/AA’). Les autres pilotes ODBC peuvent utiliser un autre format. Le
format suivant est particulièrement courant : ‘AAAA-MM-JJ’.
632
Remarque : Toutes les références à des dates figurant dans une base de données
externe devraient suivre le calendrier grégorien. Dans le cas contraire, les tables
de la base de données devraient être exportées sous forme de fichiers texte avant
d’être utilisées dans CitectSCADA. Les dates figurant dans les tables Microsoft
Access exportées sous forme de fichiers texte sont stockées en valeurs
grégoriennes.
CitectSCADA utilisait les pilotes Q+E dans les versions 2.xx et précédentes.
Toutes les fonctions créées avec ces versions offrent une compatibilité
ascendante totale. Les pilotes Q+E sont désormais conformes ODBC; il suffit
634
donc de remplacer votre ancien pilote de base de données Q+E par un pilote
de base de données Q+E ODBC.
Voir aussi À propos du pilote ODBC
À propos du pilote CitectSCADA se connecte directement au pilote ODBC Microsoft Access, ce qui
ODBC permet aux applications d’accéder aux données stockées dans les fichiers MDB
(bases de données Microsoft Access) sans exécuter Access. (Microsoft Access
utilise la bibliothèque « Moteur Jet » pour accéder aux données stockées dans
des fichiers MDB.)
ODBC nécessite généralement une utilisation intensive des instructions SQL
pour manipuler les données. Les instructions SQL peuvent être longues et
complexes. Dans Cicode, elles doivent souvent être scindées de sorte à ne pas
dépasser la longueur maximale autorisée pour les variables Cicode.
Avec Access, il est possible d’appeler des requêtes définies dans Access de sorte
à simplifier les instructions SQL. Les tables et requêtes Access permettent de
mettre en œuvre des RELATIONS et des JOINTURES, pour ne TRIER et
SÉLECTIONNER que les lignes (enregistrements) et ne retourner que les
colonnes (champs) désirées.
L’écriture de requêtes dans Access a également l’avantage que les jeux
d’enregistrements obtenus peuvent être affichés dans Access pour vérifier qu’ils
contiennent les données escomptées. Ces requêtes peuvent comprendre des
fonctions SQL (telles que BETWEEN et AND).
Le moteur Jet peut également utiliser VBA Expression Service. Cela signifie que
de nombreuses fonctions non ANSI peuvent également être utilisées (dans des
instructions SQL et des définitions de requêtes Access) à condition de ne pas
vouloir migrer vers un système autre que Access à une date ultérieure. Pour
plus de renseignements, consultez le Guide de référence sur les fonctions VBA
des systèmes d’aide Access ou Excel (seules les fonctions suivies de (VBA)
adaptées à un environnement SQL sont susceptibles de fonctionner dans une
instruction SQL).
Voir aussi Configuration d’ODBC
Configuration d’ODBC Pour utiliser ODBC, le pilote ODBC Access doit être installé. Ce pilote est
disponible auprès de Microsoft et est livré avec Microsoft Office. Il est important
d’utiliser les pilotes 32 bits pour Windows 95/Windows NT CitectSCADA 4.x. Le
programme d’installation (de Microsoft Office) copie les pilotes nécessaires et la
bibliothèque du moteur Jet dans les répertoires Windows adaptés lorsque les
options Access/ODBC appropriées sont sélectionnées.
Après avoir installé le pilote sur votre PC, l’icône ODBC peut être sélectionnée
dans le Panneau de configuration et un nom de service de données peut être
configuré pour la MDB désirée. Ces données sont utilisées dans la partie DSN=
de la chaîne de connexion.
635
Obtention de la syntaxe La syntaxe ODBC concernant SQL est légèrement différente de la syntaxe
correcte avec ODBC Access. Pour obtenir une syntaxe correcte et afficher le jeu d’enregistrements
résultant, vous pouvez utiliser le générateur de requêtes Microsoft Query puis
copier l’expression SQL dans Cicode. MS Query utilise ODBC et toute
expression fonctionnant avec ce programme pourra donc être appelée par
Cicode via ODBC. MS Query permet également de confirmer que le DSN est
correct.
MS Query a tendance à créer des expressions SQL inutilement complexes. En
particulier, il insère toujours le chemin d’accès avec le nom de fichier, ce qui
n’est pas nécessaire car le chemin est déjà défini dans l’entrée DSN. Cette
pratique est généralement déconseillée. MS Query a également tendance à
préfixer tous les noms de colonnes (champs) avec les noms de table pour éviter
toute ambiguïté. Ceci n’est pas toujours nécessaire et il est préférable d’utiliser
des expressions SQL aussi courtes que possible.
L’instruction SQL produite par le générateur de requêtes peut être collée dans
une fenêtre Execute SQL (en utilisant le menu Fichier de MS Query) en
supprimant tout texte superflu et en la testant jusqu’à obtenir la syntaxe la plus
simple. Il est possible de sauvegarder les expressions SQL si nécessaire. La
version finale de l’instruction SQL peut être utilisée en toute confiance dans
Cicode.
Voir aussi Style de programmation ODBC
Style de programmation La majorité des échantillons de code figurant dans les rubriques suivantes ne
ODBC comprennent pas de vérification ou de signalement des erreurs.
Lecture de données dans une table Access avec ODBC
Écriture de données dans une table Access avec ODBC
Suppression de lignes d’une table Access avec ODBC
Appel de requêtes Action avec ODBC
Requêtes avec paramètres avec ODBC
636
Comparaison entre DDE Chaque protocole a ses avantages et inconvénients. D’une manière générale,
et ODBC DDE convient en cas d’opérations simples mais ODBC devrait être envisagé dès
que les limitations de DDE deviennent trop importantes.
Avantages de DDE
Pas besoin de configurer un nom de service de données (DSN) mais un nom
de partage DDE est nécessaire avec DDE réseau.
Accès aux macros et fonctions Access.
Inconvénients de DDE
Les jeux d’enregistrements dont les lignes dépassent la longueur maximale
de chaîne Cicode ne peuvent pas être lus directement.
637
Compatibilité ODBC Cette section décrit les fonctions ODBC que votre pilote de base de données doit
ou peut prendre en charge :
Fonctions indispensables
Fonctions facultatives
638
Fonctions indispensables
Les périphériques SQL CitectSCADA et les fonctions Cicode fonctionnent
uniquement lorsque le pilote de base de données prend en charge les fonctions
ODBC suivantes :
Conformité de niveau 0 Conformité de niveau 1
SQLAllocConnect SQLColumns
SQLAllocEnv SQLDriverConnect
SQLAllocStmt SQLGetData
SQLBindCol SQLGetFunctions
SQLColAttributes SQLGetInfo
SQLDescribeCol SQLGetTypeInfo
SQLDosconnect SQLParamData
SQLError SQLPutData
SQLExecDirect SQLSetConnectOption
SQLExecute SQLSetStmtOption
SQLFetch
SQLFreeStmt
SQLGetCursorName
SQLNumResultCols
SQLPrepare
SQLRowCount
SQLSetParam
Fonctions facultatives
Les périphériques SQL et les fonctions Cicode CitectSCADA utilisent également
les fonctions ODBC suivantes, sans qu’elles soient indispensables à leur
fonctionnement. Si ces fonctions ne sont pas reconnues par un pilote, certaines
fonctionnalités ne seront pas disponibles aux périphériques SQL et aux fonctions
Cicode.
Conformité de niveau 0
SQLTransact Les fonctions Cicode SQLBeginTran(), SQLCommit() et SQLRollBack() ne
seront pas prises en charge si cette fonction n’est pas reconnue par le
pilote.
Conformité de niveau 1
SQLSpecial Columns CitectSCADA n’utilise cette fonction que si elle est disponible. Son
absence ne réduit pas les fonctionnalités du système.
SQLTables (sans effet sur CitectSCADA)
Conformité de niveau 2
SQLData Sources Le pilote n’a pas à reconnaître cette fonction. Elle est fournie par l’interface
ODBC.
639
SQLExtended Fetch Sans cette fonction, CitectSCADA ne peut pas exploiter les fonctions de
récupération aléatoire des enregistrements pris en charge par la base de
données.
SQLSetScroll Sans cette fonction, CitectSCADA ne peut pas exploiter les fonctions de
OptionsOptions;Options:Opti récupération aléatoire des enregistrements pris en charge par la base de
ons :Options données.
SQLMore Results (sans effet sur CitectSCADA)
SQLNativeSql (sans effet sur CitectSCADA)
SQLProcedure Columns (sans effet sur CitectSCADA)
Voir aussi Utilisation de CitectSCADA comme serveur ODBC
Lecture de données Une requête SELECT permet de lire des données dans une table Access ou de
dans une table Access lancer une requête Access.
avec ODBC Une requête sera préférée à une table si celle-ci contient de nombreuses colonnes
non désirées, si les données doivent être triées ou si plusieurs tables doivent être
reliées ou jointes. Le Cicode nécessaire est le suivant :
Function SQLTest
INT hSQL, iResult;
hSQL = SQLConnect("DSN=ODBCTest;UID=YourUID_C;PWD=YourPWD");
IF hSQL <> -1 Then
iResult = SQLExec(hSQL, "SELECT * FROM qryRecipes WHERE Recipe Between '3000' And
'6000'");
IF iResult = 0 Then
WHILE SQLNext(hSQL) = 0 DO
TraceMsg(">" + SQLGetField(hSQL, "Recipe") + "<>" +SQLGetField(hSQL, "Flour") +
"<>" +SQLGetField(hSQL, "Water") + "<>" +SQLGetField(hSQL, "Cocoa") + "<");
END
SQLDisconnect(hSQL);
ELSE
Message("SQL Error", SQLErrMsg, 48);
END
ELSE
642
Ajout de données avec Pour ajouter des données à une table Access avec ODBC, vous pouvez utiliser
ODBC une instruction SQL INSERT.
Function SQLInsert
hSQL = SQLConnect("DSN=ODBCTest;UID=YourUID;PWD=YourPWD");
IF hSQL <> -1 Then
iResult = SQLExec(hSQL, "INSERT INTO tblRecipes (Recipe, Flour, Water, Cocoa) VALUES
('X1234', 2, 3, 4)" );
SQLDisconnect(hSQL);
END
END
Pour éviter d’utiliser les instructions SQL, les fonctions de périphériques Cicode
standard permettent d’ajouter des enregistrements à une table Access. Pour cela,
commencez par configurer une unité SQL. Si la table contient de nombreux
champs dans lesquels aucune écriture n’est requise, il est préférable de
n’indiquer dans la définition de l’unité que les champs requis (la définition de
l’unité est ainsi simplifiée et le nombre d’instructions DevWrite réduit). Les
fonctions DevOpen, DevWrite et DevClose peuvent alors être utilisées pour
ajouter des enregistrements dans la table.
CitectSCADA accepte des fonctions DevWrite successives jusqu’au nombre de
champs figurant dans la définition de l’unité puis construit une instruction SQL
INSERT. Les données contenues dans ces fonctions doivent suivre l’ordre de la
définition de l’unité. Vous devriez effectuer un DevOpen suivi de plusieurs
appels à DevWrite, en fonction du nombre d’enregistrements requis, et d’un
DevClose pour éviter des erreurs de contexte.
Voir aussi Édition de données avec ODBC
Édition de données Pour éditer des données dans une table Access, une clé unique (généralement
avec ODBC primaire) doit identifier la ligne (l’enregistrement) à modifier. Cela permet
d’insérer une clause WHERE dans une instruction SQL UPDATE qui ne
s’applique qu’à cette ligne.
Pour éditer des données, lisez-les normalement en notant la clé unique. Les
nouvelles valeurs peuvent ensuite être écrites sur la même ligne en utilisant une
requête UPDATE avec une clause WHERE.
643
Function SQLUpdate
hSQL = SQLConnect("DSN=ODBCTest;UID=YourUID;PWD=YourPWD");
IF hSQL <> -1 Then
iResult = SQLExec(hSQL, "UPDATE tblRecipes SET Flour = 20, Water = 30,Cocoa = 40 WHERE
Recipe = 'X1234'");
SQLDisconnect(hSQL);
END
END
Notez que l’environnement ODBC/SQL ne permet pas de modifier l’
« enregistrement courant » (il n’y a pas d’enregistrement courant). Les fonctions
DevAppend et DevSetField ne peuvent donc être utilisées pour ajouter ou
modifier des enregistrements.
Voir aussi Suppression de lignes d’une table Access avec ODBC
Suppression de lignes Le mot clé DELETE est utilisé avec une clause WHERE pour supprimer des
d’une table Access avec lignes dans une table. Si la clause WHERE n’utilise pas de clé primaire, il est
possible que plusieurs enregistrements soient supprimés.
ODBC
Function SQLDelete
hSQL = SQLConnect("DSN=ODBCTest;UID=YourUID_C;PWD=YourPWD");
IF hSQL <> -1 Then
iResult = SQLExec(hSQL, "DELETE FROM tblRecipes WHERE Recipe = 'X1234'");
SQLDisconnect(hSQL);
END
END
Voir aussi Appel de requêtes Action avec ODBC
Appel de requêtes Les requêtes ACTION Access ne peuvent pas être appelées avec une requête
Action avec ODBC SELECT telle que:
"SELECT * FROM qdeDeleteRecipe"
Pour appeler une Action Access avec ODBC, utilisez l’instruction SQLExec :
"{Call qdeDeleteRecipe}"
L’instruction doit être placée entre {accolades}.
Cette instruction permet d’appeler des requêtes SELECT, le jeu
d’enregistrements résultant étant alors accessible de la manière normale.
Voir aussi Requêtes avec paramètres
644
Requêtes avec De nombreux serveurs ODBC acceptent des PARAMÈTRES dans une
paramètres instruction, de sorte que les PARAMÈTRES puissent être définis dans une
définition de requête sur le serveur et que leurs valeurs soient fournies par
ODBC en mode superviseur. Malheureusement, le moteur Jet Access utilise des
marqueurs de paramètres qui ne sont pas pris en charge dans l’instruction
d’appel standard. La méthode décrite ci-après peut être utilisée comme solution
de remplacement.
Pour chaque requête nécessitant des PARAMÈTRES, créez une table
d’arguments ayant le même nom que la requête mais un préfixe différent. Par
exemple, si la requête est qryParamTest, la TABLE pourrait avoir le nom
argParamTest.
Cette TABLE devrait par exemple avoir cinq champs désignés Param1, Param2,
Param3, Param4, Param5.
Elle devrait être ajoutée dans la définition de requête Access pour qryParamTest.
Les noms des champs peuvent alors être utilisés comme PARAMÈTRES dans la
définition de requête.
Il est alors possible d’écrire une fonction Cicode simple recevant le nom de
requête (sans préfixe) et les PARAMÈTRES. La fonction insère « arg » devant le
nom de la requête et exécute une instruction DELETE dans la TABLE (pour
s’assurer qu’elle est vide) puis une instruction INSERT pour qu’elle ne contienne
qu’UN ENREGISTREMENT avec les PARAMÈTRES désirés dans les champs
correspondants. Cette fonction préfixe ensuite le nom de requête avec « qry » et
appelle la requête.
Function SQLCall(INT hSQL, STRING sQueryName, STRING sArg1 = " ", STRING sArg2 = " ",
STRING sArg3 = " ", STRING sArg4 = " ", STRING sArg5 = " ")
645
END
Pour appeler la fonction depuis Cicode, il suffit alors d’exécuter :
SQLCall(hSQL, "ParamTest", "2000", "4000");
Les paramètres par défaut de SQLCall doivent être des ESPACES si « Chaîne
vide autorisée » a pour valeur « Non » dans les définitions de la table Access
pour les champs Param1, Param2 etc.
La fonction peut être utilisée pour appeler différentes requêtes avec
PARAMÈTRES.
L’avantage de cette solution est que la requête peut être appelée depuis Access
et, les PARAMÈTRES étant toujours stockés dans la table d’arguments, le jeu
d’enregistrements résultant peut également être affiché dans Access, même si
CitectSCADA est arrêté.
L’autre méthode consiste à créer des requêtes effectuant les jointures, tris et
sélections de champs nécessaires et de les appeler avec une clause WHERE pour
sélectionner les lignes (enregistrements) désirés.
Voir aussi Conversions des dates/heures entre Access et Cicode
Conversions des dates/ Access et Cicode utilisent des types de données différents pour les variables de
heures entre Access et date/heure. Toutes les références à des dates figurant dans une base de données
externe devraient suivre le calendrier grégorien.
Cicode
Vous pouvez convertir les dates et heures de trois manières différentes :
Conversion en réels — Cicode et Access permettent de convertir les
variables de date/heure en nombres réels :
AccessTime = 25568.66667 + (CicodeTime/86400);
CitectTime = 86400*(AccessTime — 25568.66667);
Conversion en chaînes — Les dates/heures sont converties en chaînes à
l’aide des fonctions de conversion standard disponibles dans chaque
environnement.
646
En règle générale, tous les objets graphiques d’une Page graphique doivent être
configurés individuellement. Les Génies permettent de combiner plusieurs
objets connexes dans un groupe et de stocker ce groupe dans une bibliothèque
de Génies (comparable à une bibliothèque de symboles). Les Génies peuvent
être manipulés comme les objets (collés, déplacés, redimensionnés, etc.) et leurs
éléments peuvent être configurés collectivement.
Ils peuvent contenir n’importe quel type d’objet graphique ainsi que leurs
données de configuration. Par exemple, vous pouvez définir un Génie pour un
contrôleur de démarrage/d’arrêt (avec un bouton de démarrage, un bouton
d’arrêt et une lampe témoin) et l’utiliser pour tous vos équipements (pompes,
convoyeurs, etc.) dotés de ce type de contrôleur. Pour utiliser le Génie, il vous
suffit alors de spécifier les données spécifiques (le tag de variable) à la pompe ou
au convoyeur correspondant.
CitectSCADA prend en charge deux types de Génies :
Les Génies – Groupes d’objets associés que vous ajoutez à vos pages
graphiques lors de la configuration de votre système. Vous pouvez ajouter
un nombre quelconque de Génies à une page graphique (par exemple,
plusieurs pompes sur une même page).
Les Super Génies – Pages dynamiques auxquelles vous pouvez transmettre
des informations lorsqu’elles apparaissent en phase d’exécution. Vous
pouvez les utiliser pour des contrôleurs dynamiques (pour contrôler un
processus ou un élément spécifique d’une installation).
Les Super Génies et les Génies peuvent être utilisés ensemble. La majorité des
Super Génies sont rattachés à un Génie.
CitectSCADA est livré avec des bibliothèques de Génies et de Super Génies et
vous pouvez facilement définir les vôtres. Vous pouvez construire un Génie (ou
un Super Génie) pour des entités complexes telles que des contrôleurs
d’asservissement, des commandes personnalisées et des combinaisons
d’indicateurs.
Remarque :
Si vous modifiez un Génie ou un Super Génie après l’avoir utilisé dans un
projet, il est automatiquement mis à jour dans l’ensemble du projet (à
l’exception des variables d’environnement des Super Génies).
648
Sans les Génies, vous devriez configurer le texte et les symboles séparément à
chaque fois que vous voulez les insérer dans la page. Cet exemple illustre le fait
que certaines combinaisons d’objets utilisent essentiellement la même
configuration. Le concept de Génie permet d’utiliser cette configuration partielle
et d’insérer des données spécifiques au besoin.
Sa puissance tient au fait que les objets ne sont définis qu’une seule fois. Lorsque
vous placez un Génie sur une page, vous ne devez définir que les informations à
substituer.
649
Création des Génies La création d’un Génie est semblable à celle d’une page contenant des objets
graphiques mais sans arrière-plan. En règle générale, on crée un nouveau Génie
dans l’Éditeur graphique, puis on ajoute les objets, on définit les valeurs à
substituer dans le Génie et on l’enregistre dans une bibliothèque de Génies.
Pour créer un nouveau Génie :
1 Dans le menu Fichier, sélectionnez Nouveau.
2 Cliquez sur le bouton Génie.
3 Vous pouvez maintenant créer les objets de votre Génie (en définissant les
chaînes de substitution).
Ouverture d’un Génie Vous pouvez ouvrir un Génie existant pour le manipuler.
Pour ouvrir un Génie existant :
1 Cliquez sur Ouvrir ou sélectionnez Fichier | Ouvrir.
2 Sélectionnez l’onglet Génie.
3 Sélectionnez le Projet et la Bibliothèque contenant le Génie.
4 Sélectionnez le Génie.
5 Cliquez sur OK.
650
Définition des Pour définir un Génie, vous utilisez des chaînes de substitution des propriétés
substitutions pour les des objets qui seront spécifiques à chaque utilisation. Ces chaînes peuvent se
substituer à n’importe quelle propriété de texte dans n’importe quel objet (du
Génies
651
groupe d’objets). Pour définir une chaîne de substitution, placez le texte entre
caractères de pourcentage (%).
Par exemple, pour créer un Génie standard, vous pouvez utiliser deux chaînes
de substitution : une pour le tag d’état et une autre pour le tag de vitesse.
Utilisation des Génies Une fois créé (défini et enregistré), votre Génie peut être intégré à n’importe
quelle page graphique. Pour utiliser un Génie, vous devez le coller sur une page
à l’aide de l’outil Coller Génie. Une fois collé, il suffit de double-cliquer sur le
Génie pour le configurer.
Par exemple, pour utiliser le Génie précédemment défini, il vous suffira de saisir
deux valeurs dans une boîte de dialogue — une pour le tag de vitesse (%Tag
652
Vitesse%) et une autre pour le tag d’état (%TagÉtat%) — plutôt que de définir
les propriétés de chaque objet du groupe.
Pour afficher les propriétés d’un Génie, double-cliquez dessus. Pour afficher les
propriétés des objets qui le composent, double-cliquez sur l’objet désiré en
appuyant sur la touche Contrôle (CTRL). Si un lien au Génie est actif, la plupart
de ces propriétés seront toutefois en lecture seule.
Cet exemple d’utilisation de Génie est simple : il ne comporte que deux objets et
deux chaînes de substitution. Vous pouvez définir des Génies utilisant de
nombreux objets, avec des chaînes de substitution correspondant à n’importe
quelle propriété de texte de ces objets.
Remarque : Si vous utilisez des tags structurés, vous pouvez utiliser des chaînes
de substitution dans un nom de tag pour construire des Génies plus complexes.
Voir Utilisation des noms de tags structurés avec les Génies et les Super Génies.
Pour coller un Génie dans une page graphique :
1 Cliquez sur l’outil Coller Génie (dans la boîte à outils) ou sélectionnez Éditer
| Coller Génie.
2 Sélectionnez la bibliothèque (dans la liste Bibliothèque) contenant le Génie.
3 Sélectionnez une vignette de Génie dans la liste de la boîte de dialogue
Coller Génie.
653
Boîte de dialogue Coller Utilisez la boîte de dialogue Coller Génie pour ajouter un Génie à votre page
Génie graphique (ou modèle).
Génie
Tableau des Génies du projet, indiquant les Super Génies auxquels ils sont
rattachés.
Pour ajouter un Génie, utilisez la barre de défilement pour localiser la vignette
correspondante, sélectionnez-la puis cliquez sur OK (ou double-cliquez sur la
vignette).
Remarque : Pour modifier le Génie, sélectionnez-le et cliquez sur Éditer. Pour
créer un nouveau Génie, cliquez sur Nouveau.
Bibliothèque
Bibliothèque contenant le Génie.
Super Génie
Si le Génie sélectionné est rattaché à un Super Génie, une vignette du Super
Génie apparaît. Dans le cas contraire, ce champ est vide.
Propriétés des Génies La boîte de dialogue Génie affiche les chaînes de substitution que vous avez
définies pour le Génie. Les tags de substitution présentés dans la boîte de
dialogue sont ceux définis dans le Génie. Les valeurs saisies à côté des tags
seront substituées dans le Génie (et dans le Super Génie auquel il est rattaché, le
cas échéant).
654
Remarque : Pour afficher les propriétés des objets d’un Génie (plutôt que les
propriétés du Génie), appuyez sur la touche Contrôle (CTRL) et double-cliquez
sur l’objet désiré. Si un lien au Génie est actif, la plupart de ces propriétés seront
toutefois en lecture seule.
Voir aussi Comprendre les Génies
Utilisation des Vous pouvez créer des modèles de pages personnalisés ayant les mêmes
substitutions de Génies caractéristiques que les Génies en ajoutant des objets à un modèle et en utilisant
des chaînes de substitution (%) pour les propriétés correspondantes de chaque
dans les modèles
objet. (Si vous avez des valeurs par défaut pour des propriétés, vous pouvez les
intégrer aux objets natifs.)
Lorsque vous créerez une nouvelle page à partir de ce modèle, une boîte de
dialogue vous invitera à saisir des valeurs pour toutes les chaînes de
substitution définies dans le modèle. Les modèles de tendances et de statistiques
(SPC) ont été créés de cette manière.
Sans Génies ni Super Génies, vous devriez configurer manuellement dans votre
application une page par pompe ainsi qu’un bouton par page. Grâce aux Super
Génies, il vous suffit de configurer manuellement une seule page. Les autres
sont créées automatiquement.
Remarque : Tous les tags de variables utilisés dans un Super Génie doivent être
définis dans la base de données de tags. Les tags d’alarmes peuvent également
être utilisés (ils permettent d’utiliser les propriétés des tags d’alarmes).
Vu le temps système requis par les Super Génies, il est recommandé de limiter le
nombre de variables de Super Génies. Les tableaux n’ont pas les mêmes
limitations et offrent une bonne performance, même avec des centaines de
variables.
658
Définition des Les substitutions dans les Super Génies sont plus rigides et complexes à
substitutions pour les effectuer qu’avec les Génies. Mais surtout, vous ne pouvez les utiliser que pour
les propriétés d’objets acceptant des tags, des commandes et des expressions.
Super Génies
(Vous pouvez également utiliser la substitution de Super Génies dans des
messages de journal pour les commandes clic et les commandes clavier associées
à des objets, les info-bulles, les commandes clavier de page, ou dans le
commentaire d’objets de tendances et les colorations.) Vous ne pouvez pas
utiliser la syntaxe de Super Génie dans un rapport, une alarme, une tendance ou
une fonction Cicode en arrière-plan.
Pour spécifier un tag en tant que chaîne de substitution, placez-le entre points
d’interrogation (?) en utilisant le format suivant :
?<Type de données> <Numéro de chaîne de substitution>?
où :
Type de donnée est facultatif et peut être tout type pris en charge par
CitectSCADA (BYTE, BCD, DIGITAL, INT, UINT, LONG, LONGBCD,
REAL, STRING).
Numéro de chaîne de substitution détermine le tag de variable (de 1 à
256) qui sera substitué lors de l’affichage du Super Génie (en utilisant les
fonctions Super Génie). Si vous utilisez plus d’une chaîne de substitution
dans votre Super Génie, vos nombres doivent être séquentiels pour faciliter
l’utilisation des fonctions Super Génie.
659
Remarque : Ce Super Génie doit être enregistré comme une page, désignée
SGenie1, et non pas comme un Super Génie, de sorte que le Super Genie puisse
être utilisé sans Contrôleur de Génie.
Si vous ne précisez aucun type de données, la valeur par défaut est TYPELESS
(sans type). Hormis le type STRING, la valeur TYPELESS permet de transmettre
des variables de type BYTE, BCD, DIGITAL, INT, UINT, LONG, LONGBCD ou
REAL. Si vous utilisez cette valeur de substitution, CitectSCADA essaye
automatiquement de convertir les données substituées dans le type correct en
phase d’exécution.
Par exemple, le diagramme ci-dessus utilise la chaîne de substitution ?Digital
1?. Si vous lui transmettez en phase d’exécution une variable de type INT, vous
recevrez une erreur matérielle. Par contre, si vous utilisez la chaîne ? 1?, vous
pouvez lui transmettre une variable de n’importe quel type, sauf STRING.
Remarque : Les substitutions sans type offrent une souplesse accrue mais
compliquent la détection des erreurs.
Voir aussi Utilisation des Super Génies sans les Génies
660
Utilisation des Super Les Super Génies ne doivent pas nécessairement être rattachés à des Génies.
Génies sans les Génies Vous pouvez enregistrer un Super Génie sans lien comme une page
CitectSCADA normale. Cette méthode a l’avantage de ne pas nécessiter la
définition d’un Génie de contrôle mais le désavantage de ne pas permettre
l’utilisation de l’outil Coller Génie.
Si vous configurez un Super Génie de cette manière et que vous nommez la page
avec un préfixe! pour le cacher, vous devez sélectionner Lister les pages de
système dans le menu Options de l’Éditeur graphique pour éditer la page. Les
huit premiers caractères du nom du Super Génie doivent toujours être uniques à
ce Super Génie.
Tous les Super Génies fournis avec CitectSCADA sont rattachés à des Génies
(comme contrôles pour le Super Génie).
Pour créer un nouveau Super Génie :
1 Cliquez sur Nouveau ou Sélectionnez Fichier | Nouveau.
2 Cliquez sur Super Génie.
3 Vous pouvez maintenant créer une page Super Génie (définissant vos
chaînes de substitution).
Remarque : Pour que le Super Génie s’affiche dans la boîte de dialogue Coller
Génie, créez un Génie servant de contrôleur et rattachez-le au Super Génie. Les
huit premiers caractères du nom du Super Génie doivent toujours être uniques à
ce Super Génie.
Pour ouvrir un Super Génie existant :
1 Cliquez sur Ouvrir ou sélectionnez Fichier | Ouvrir.
2 Sélectionnez l’onglet Super Génie.
3 Sélectionnez le Projet et la Bibliothèque contenant le Super Génie.
4 Sélectionnez le Super Génie puis cliquez sur OK.
Remarque : Pour supprimer un Super Génie du projet, sélectionnez le nom du
Super Génie et cliquez sur le bouton Supprimer.
Pour enregistrer le Super Génie courant :
1 Cliquez sur Enregistrer ou sélectionnez Fichier | Enregistrer.
2 Sélectionnez le Projet et la Bibliothèque dans lesquels le Super Génie doit
être enregistré.
3 Entrez un nom dans le champ Super Génie (8 caractères maximum) puis
cliquez sur OK.
Voir aussi Utilisation de constantes et de tableaux avec les Super Génies
661
Utilisation de Vous pouvez utiliser des constantes et des tableaux avec les Super Génies.
constantes et de
tableaux avec les Super
Génies
Voir aussi Constantes | Tableaux
Constantes
La transmission de constantes aux Super Génies est soumise à une restriction :
l’affectation de la constante n’est possible que si vous spécifiez un tag Cicode
normal — commande clavier, champ d’adresse de symbole, etc. Tous les types
de constantes sont pris en charge : STRING, INTEGER, DIGITAL, REAL et
LONG.
Pour transmettre une constante, l’argument de la fonction Ass doit être placé
entre guillemets simples. Par exemple, pour transmettre la constante 1,2345 à un
Super Génie, vous appellerez la fonction Ass comme suit :
Ass(hWin, nArg, "’1,2345’");
Pour transmettre un tag de variable, les guillemets simples ne sont pas
nécessaires. Par exemple, pour transmettre le tag de variable TAG1 à un Super
Génie, vous devez appeler la fonction Ass comme suit :
Ass(hWin, nArg, "TAG1");
Tableaux
Les Super Génies acceptent des éléments de tableaux ou des tableaux entiers
comme valeurs de substitution. La transmission d’un élément de tableau est
simple; il suffit de transmettre la référence de l’élément, comme indiqué ici :
AssPopUp("MyPopUp", "DigArray[42]");
Pour transmettre un tableau complet à un Super Génie, il suffit d’indiquer le
nom du tableau. Exemple :
AssPopUp("MyPopUp", "DigArray");
Pour pouvoir transmettre un tableau complet, le Super Génie doit être configuré
pour accepter un tableau et pas uniquement une seule valeur. La chaîne de
substitution doit avoir la syntaxe suivante :
?<Type de donnée>[<taille du tableau>] <Numéro de la chaîne de
substitution>? [<élément>]
Seuls les tableaux de type DIGITAL, INT, REAL, et LONG sont pris en charge.
Remarque : Le paramètre <taille du tableau> est facultatif; s’il n’est pas
défini, la taille par défaut est 2048 (digital), 128 (integer) et 64 (real). Il sert
uniquement à vérifier les dimensions du tableau, de sorte que si le tableau
transmis est plus petit que prévu, les éléments manquants prendront la valeur 0
(ou chaîne vide) plutôt que de générer une erreur Cicode.
662
Par exemple, pour afficher l’élément [3] dans le premier tag de substitution
(tableau de type « digital »), vous pouvez utiliser la syntaxe suivante :
Expression ?DIGITAL[] 1? [3]
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de rattacher un Super Génie au Génie courant.
Rattacher Super Génie Super Génies rattachés
Liste des Super Génies rattachés au Génie courant.
663
Boîte de dialogue Cette boîte de dialogue permet de sélectionner un Super Génie devant être
Sélectionner Super rattaché au Génie courant.
Génie Super Génie
Tableau des Super Génies du projet.
Pour ajouter un Super Génie, utilisez la barre de défilement pour localiser la
vignette correspondante, sélectionnez-la puis cliquez sur OK (ou double-cliquez
sur la vignette).
Remarque : Pour modifier le Super Génie, sélectionnez-le et cliquez sur Éditer.
Pour créer un nouveau Super Génie, cliquez sur Nouveau.
Bibliothèque
Bibliothèque contenant le Super Génie.
Imbrication des Super CitectSCADA permet d’imbriquer les Super Génies. L’imbrication consiste à
Génies emboîter un Super Génie dans un autre. Pour cela, le contrôleur de Génie
imbriqué (du Super Génie imbriqué) doit utiliser les fonctions AssChain au lieu
des fonctions Ass.
Voir aussi Zones de Super Génies
Zones de Super Génies Lorsque vous affichez un Super Génie, sa zone est héritée de sa page mère. Par
exemple, si la page mère est dans la Zone 1, l’affichage du Super Génie se fera
également dans la zone 1. Ceci permet d’appeler un même Super Génie à partir
de pages différentes de différentes zones.
Cette zone héritée peut être remplacée en définissant une zone propre au Super
Génie. Ainsi, chaque instance du Super Génie concernera la même zone, quelle
que soit son origine. Les Super Génies « n’héritent » de zones que si la leur est
vide.
Voir aussi Variables d’environnement des Super Génies
664
Variables Lorsque vous définissez un Super Génie, vous créez en fait un modèle de Super
d’environnement des Génie, semblable à un modèle de page. Lorsqu’un Contrôleur de Génie appelle
le Super Génie, ce modèle est utilisé pour créer une nouvelle page de Super
Super Génies
Génie. À ce stade, toute variable d’environnement sauvegardée avec le modèle
est copiée dans la page de Super Génie. Cependant, si des modifications sont
ultérieurement apportées aux variables d’environnement du modèle, les
variables d’environnement de la page de Super Génie resteront inchangées.
Pour mettre à jour les variables d’environnement de la page de Super Génie avec
les changements apportés au modèle, vous devez trouver et effacer la page de
Super Génie (n’oubliez pas qu’elle peut être préfixée par un point d’exclamation
(!)) puis utiliser le contrôleur de Génie pour rappeler le Super Génie. Vous créez
ainsi une nouvelle page de Super Génie avec des variables d’environnement
actualisées.
Utilisation des tags Lorsque vous définissez un Génie, vous pouvez ajouter un préfixe ou un suffixe
structurés avec les à l’une de ses propriétés pour créer le tag complet lorsque le Génie est utilisé.
Par exemple, si vous définissez une propriété de Génie sous la forme
Génies
%tag%_PV, puis utilisez DEV1 pour le tag, le Génie crée le tag complet
DEV1_PV.
Vous pouvez ajouter d’autres informations avant (préfixe) ou après (suffixe) la
propriété du Génie ou utiliser les deux dans une même propriété. Par exemple,
si vous avez défini un contrôleur d’asservissement avec trois histogrammes
(créés avec les propriétés de remplissage d’un rectangle) pour afficher les tags
DEV1_PV, DEV1_SP et DEV1_OP, vous pouvez configurer un Génie comme
suit :
Chaque rectangle a un tag de Génie distinct :
Expression de niveau %PV_Tag%
Expression de niveau %SP_Tag%
Expression de niveau %OP_Tag%
665
Dans ce cas, il suffit de saisir un tag (DEV1) pour générer six objets. Le Génie
concatène automatiquement DEV1 à _PV, _SP ou _OP, en fonction de
l’emplacement de la substitution. Outre le gain de temps de configuration, ce
Génie est aussi plus facile à utiliser.
Remarque : L’exemple ci-dessus illustre la puissance des Génies. Plus les objets
d’un Génie sont complexes et nombreux, plus il est avantageux d’utiliser des
tags structurés. Vous pouvez également créer des Génies complexes en utilisant
des variables multiples dans une propriété de Génie. Par exemple,
%Area%_TIC_%Occ%_PV ou toute combinaison de préfixe, suffixe et nombre de
variables de Génie.
Voir aussi Utilisation de tags structurés avec les Super Génies
Utilisation de tags Les Super Génies ne permettent pas la concaténation directe de leurs tags avec
structurés avec les d’autres informations (contrairement aux Génies). Par exemple, ?INT 1?_PV
n’est pas une expression valide et entraîne une erreur de compilation. Vous
Super Génies
pouvez toutefois concaténer le tag en utilisant une expression Cicode. Vous
devez utiliser une variable de Super Génie unique pour chaque tag et concaténer
le tag à l’aide de la fonction Cicode Ass. Par exemple, si vous avez défini un
contrôleur d’asservissement avec trois histogrammes (créés avec les propriétés
de remplissage d’un rectangle) pour afficher les tags DEV1_PV, DEV1_SP et
DEV1_OP, vous pouvez configurer un Super Génie comme suit :
Chaque rectangle a un tag de Génie distinct :
Expression de niveau ?INT 1?
Expression de niveau ?INT 2?
Expression de niveau ?INT 3?
Si vous n’utilisez pas de tags structurés, vous pouvez appeler la fonction Ass
pour le Génie ci-dessus comme suit :
AssPage("PageName", "DEV1_PV", "DEV1_SP", "DEV1_OP");
Pour concaténer des informations pour le Génie, vous pouvez également écrire
votre propre fonction Cicode, comme suit :
666
FUNCTION
AssMine(STRING sPage, STRING sTag)
AssPage(sPage, sTag + "_PV", sTag + "_SP", sTag + "_OP");
END
Avec cette fonction, vous pouvez appeler votre fonction AssMine() (par
exemple, à l’aide d’un bouton de commande) et transmettre un seul tag (DEV1),
comme suit :
AssMine("PageName", "DEV1");
L’écriture de votre propre fonction Cicode pour appeler un Génie offre une
souplesse accrue. Vous pouvez cependant utiliser un Génie (par exemple, à
l’aide d’un bouton de commande) pour appeler la fonction Ass, comme suit :
Commande à exécuter AssPage("%Page%", "%tag%_PV", "%tag%_SP", "%tag%_OP");
Le premier comprend un nom de tag de variable. S’il est défini dans la base de
données de tags au moment de la compilation du projet, l’instruction IFDEF est
remplacée dans le champ Caché quand par le deuxième argument. Si le tag de
variable n’est pas défini, le champ Caché quand contiendra le troisième
argument.
Exemple 1
IFDEF("Bit_1", 0, 1)
Dans l’exemple ci-dessus, si Bit_1 est défini dans la base de données de tags, la
valeur enregistrée dans le champ Caché quand sera 0. Si Bit_1 n’est pas défini, la
valeur sera 1. Puisque l’objet est caché lorsque la valeur est VRAI, il sera caché
lorsque Bit_1 n’est pas défini (c’est-à-dire, lorsque le champ Caché quand
contient 1).
Exemple 2
IFDEF("Bit_2",,"1")
Si le deuxième argument est omis, comme dans l’Exemple 2, le tag de variable
spécifié dans le premier argument est utilisé. Si Bit_2 est défini, le champ Caché
quand contiendra Bit_2. La valeur du tag de variable Bit_2 est ensuite utilisée
pour déterminer si l’objet est caché. Une valeur non nulle sera équivalente à
VRAI et l’objet sera caché.
Si Bit_2 n’est pas défini, l’expression Caché quand sera égale à 1 (VRAI) et l’objet
sera caché.
Pour entrer une instruction IFDEF dans le champ Caché quand :
1 Double-cliquez sur l’objet graphique dont vous souhaitez éditer le champ.
2 Sélectionnez l’onglet Apparence.
3 Cliquez sur le champ Caché quand et entrez l’instruction IFDEF.
4 Cliquez sur OK.
668
669
Changement de langue
Cette section décrit comment changer les langues utilisées par CitectSCADA.
Voir aussi Balisage linguistique du texte
Bases de données linguistiques
Langues multiples
Projets multiples
Changement de langue en phase d’exécution
Enregistrement de données dans différentes langues
670
Balisage linguistique du Lors de l’élaboration d’un projet, tout segment de texte susceptible d’apparaître
texte dans une autre langue en phase d’exécution doit être balisé comme suit :
@( Texte natif [,Largeur[,Justification]])
où Texte natif est le texte affiché lors de la configuration. Ce texte sera
remplacé par son équivalent en langue locale à l’exécution. Notez que les
parenthèses font partie intégrante de la balise et définissent l’étendue du texte en
langue native; Les paramètres Largeur et Justification sont facultatifs
(comme l’indiquent les crochets).
Par exemple, si la langue native est le français, vous pourriez entrer la
description d’alarme suivante :
Desc. alarme @(Défaillance moteur)
Cette balise a deux fonctions : elle contient le texte en langue native et indique à
CitectSCADA d’afficher la langue locale en phase d’exécution.
Par défaut, le texte saisi ne respecte pas la casse. La chaîne Défaillance moteur est
donc équivalente aux chaînes défaillance moteur et DÉFAILLANCE moteur, qui
sont toutes associées à la même traduction en Langue locale. Le respect de la
casse peut être activé en mettant le paramètre [Language]CaseSensitive sur 1.
Largeur peut prendre n’importe quelle valeur entre 0 et 254. Si le texte local est
plus long que spécifié, il sera tronqué et justifié à gauche. Si la largeur n’est pas
spécifiée, le champ aura la même longueur que le texte local et le texte sera
justifié à gauche.
Le paramètre Justification définit la justification du texte et ne peut être
utilisé qu’avec le paramètre Largeur. Il peut prendre l’une des valeurs
suivantes :
l ou L — Gauche
r ou R — Droite
c ou C — Centrée
n ou N — Aucune
Par exemple, pour limiter le texte local à 20 caractères avec une justification à
droite :
Desc. alarme @(Défaillance moteur, 20, R)
accent circonflexe (^). Par exemple, pour insérer une virgule sans modifier le
format :
Desc. alarme @(Défaillance moteur^, surcharge thermique, 20, R)
Bases de données Lors de la compilation du projet, CitectSCADA crée une base de données
linguistiques linguistique (au format dBASE III) comprenant deux champs : NATIVE et
LOCAL. Tout texte comportant une balise linguistique est automatiquement
copié dans le champ NATIVE. Vous pouvez ensuite ouvrir la base de données et
saisir sa traduction dans le champ LOCAL.
Exemple :
NATIVE LOCAL
Alarme d’arrêt de chaîne à la <Traduction de Alarme d’arrêt de chaîne à la vitesse de chaîne
vitesse de chaîne {VitesseChaine1}>
{VitesseChaine1}
Page Menu principal <Traduction de Page Menu principal>
Problème de convoyeur à bande <Traduction de Problème de convoyeur à bande>
Langues multiples Remarque : Pour utiliser des caractères spécifiques aux langues baltes, d’Europe
centrale, slaves, grecque, turque et asiatiques, ou aux langues s’écrivant de
droite à gauche (arabe, hébreu, farsi et urdu), vous devez disposer de la version
linguistique correspondante de Windows ou avoir installé le kit de langue
approprié.
Chaque Langue locale doit avoir sa propre base de données linguistique, de
sorte qu’elle puisse être affichée à la place d’une langue native en phase
d’exécution. Elle doit également être définie comme la langue locale à l’aide du
paramètre [Language]LocalLanguage. Si ce paramétrage est effectué avant la
compilation, CitectSCADA crée ou actualise automatiquement la base de
données concernée.
Par exemple, pour utiliser le français comme langue d’affichage, utilisez la
valeur French pour le paramètre [Language]LocalLanguage, insérez les balises
@() aux endroits requis et compilez le projet. Cherchez ensuite le fichier
French.dbf dans le répertoire du projet, ouvrez-le, entrez les traductions
françaises dans le champ Local, puis enregistrez la base de données. Lors de
l’exécution du projet, tout segment de texte balisé sera remplacé par le texte
français correspondant.
Le nombre de bases de données n’étant pas limité, vous pouvez utiliser autant
de langues que vous le souhaitez.
Lors de la compilation, toutes les chaînes de texte portant des balises
linguistiques sont insérées dans le champ Native de la base de données utilisée
pour la langue locale (configurée à l’aide du paramètre
[Language]LocalLanguage. Il est donc particulièrement important que vous
sachiez quelle est la base de données associée à votre projet avant de le compiler.
Par ailleurs, si vous disposez de plusieurs bases de données linguistiques
associées à une même langue native, n’oubliez pas que les nouvelles chaînes de
texte balisées sont uniquement ajoutées à la base de données linguistique
courante (sélectionnée à l’aide du paramètre [Language]LocalLanguage). Pour
ajouter ces chaînes à d’autres bases de données associées à la même langue
native, modifiez le paramètre [Language]LocalLanguage, actualisez les pages
et recompilez le projet avec chaque base de données. N’oubliez pas que, pour
chaque base de données, seules les modifications effectuées depuis la dernière
compilation sont ajoutées.
Voir aussi Projets multiples
Projets multiples Une base de données linguistique peut comporter des enregistrements
n’apparaissant pas dans un projet. Il est donc possible de créer une base de
données linguistique unique, utilisable avec plusieurs projets.
Voir aussi Changement de langue en phase d’exécution
673
Changement de langue La langue d’affichage des éléments textuels du système superviseur (description
en phase d’exécution d’alarmes, boutons, enregistrement de commandes clavier ou d’alarmes,
graphiques, chaînes Cicode, etc.) peut être modifiée dynamiquement à
l’exécution, grâce à la fonction SetLanguage(). Ceci n’affecte pas l’exécution
normale du projet.
Remarque : Les boîtes de dialogue ne sont pas automatiquement actualisées
lorsque la langue est modifiée à l’aide de la fonction SetLanguage(). Elles
doivent être fermées, puis rouvertes pour tenir compte de ces changements.
Les traductions en langue locale qui ne figurent pas dans la base de données
spécifiée sont remplacées par leur équivalent en langue native. Pour afficher
« #MESS » à la place du texte natif, mettez le paramètre
[Language]DisplayError sur 1 (un). La valeur par défaut est 0 (zéro).
Voir aussi Enregistrement de données dans différentes langues
Jeux de caractères Tout caractère affiché est défini par un code (nombre). Les systèmes
ASCII et ANSI d’exploitation et les applications doivent connaître ces codes pour comprendre
la signification d’un caractère. Un jeu de caractères fournit un code pour chaque
caractère. Pour permettre à votre système d’exploitation/application
d’interpréter un caractère correctement, vous devez utiliser le jeu de caractères
approprié.
674
Remarque : Les jeux de caractères diffèrent des polices. Une police définit les
propriétés visuelles/d’apparence d’un caractère — et non sa signification.
Le code ASCII (American Standard Code for Information Interchange) est un
code à 7 bits adopté dans le monde entier pour l’ensemble des caractères
alphanumériques de base de la langue anglaise. Par exemple, la lettre « A »
majuscule correspond à la valeur 65 dans le code ASCII, tandis que la lettre « a »
minuscule correspond à 97.
Le jeu de caractères ASCII comprend 96 caractères et est couramment utilisé
comme standard pour les protocoles et fichiers.
Windows 95 utilise les jeux de caractères ANSI (American National Standards
Institute). Ces jeux de caractères sont spécifiques à une langue et chaque version
linguistique de Windows (française, coréenne, etc.) utilise un jeu de caractères
ANSI différent. Les codes 32 à 127 contiennent toujours des caractères ASCII
standard.
Windows NT utilise Unicode, mais prend également en charge les jeux de
caractères ANSI. Unicode évite le problème des jeux de caractères multiples en
utilisant une norme de codage de caractères universelle sur 16 bits. Pour prendre
en charge Windows 95 et NT, CitectSCADA doit utiliser les jeux de caractères
ANSI.
Voir aussi Jeux de caractères OEM
Jeux de caractères OEM Les jeux de caractères OEM (Original Equipment Manufacturer) sont ceux
utilisés par les applications MS-DOS ou Console (ils dépendent du système
d’exploitation). La plupart des jeux de caractères OEM ne correspondent pas aux
jeux de caractères ANSI. Par exemple, les caractères semi-graphiques
couramment utilisés dans les jeux de caractères MS-DOS ont été remplacés par
des caractères linguistiques dans les jeux de caractères ANSI.
Des problèmes peuvent survenir lors de l’élaboration de projets en langues
multiples si l’on ne fait pas suffisamment attention au rôle joué par les jeux de
caractères ANSI et OEM, ni à la façon dont les chaînes de texte sont stockées et
interprétées.
Les informations concernant la configuration linguistique sont stockées dans des
fichiers dBase (un standard de base de données essentiellement défini pour les
applications MS-DOS) où les chaînes sont généralement stockées sous forme de
caractères OEM. Lorsque vous utilisez une application Windows (telle qu’Excel)
pour éditer des fichiers dBase, les caractères affichés à l’écran utilisent le jeu de
caractères ANSI. Lorsque vous enregistrez ces informations dans le fichier
dBase, Excel les convertit dans leur équivalent OEM. Pour que cette conversion
fonctionne correctement, le jeu de caractères OEM doit être compatible avec le
jeu de caractères ANSI utilisé par Excel. Par exemple, si vous avez préparé des
chaînes pour un projet en russe (sous Excel), le jeu de caractères OEM doit
prendre en charge le jeu de caractères russe (cyrillique). Le jeu de caractères
675
Présentation d’OPC
OPC (OLE for Process Control) est un standard de communication ouvert conçu
pour les systèmes d’automatisation industrielle. OPC permet aux applications
d’accéder de manière standardisée à des données de sources telles que des
automates ou des bases de données.
Les spécifications sont tenues à jour par la Fondation OPC et sont révisées
régulièrement pour suivre l’évolution des besoins de l’industrie. La Fondation
OPC a pour objectif de garantir l’interopérabilité (la connectivité ouverte) grâce
à des standards ouverts. CitectSCADA met en œuvre les spécifications OPC
vDA2.05. Pour plus de détails sur les spécifications OPC, visitez
www.opcfoundation.org.
Lorsqu’un serveur OPC est utilisé pour récupérer des données d’un équipement
physique d’une installation, tout client OPC peut accéder aux données
directement depuis le serveur OPC, comme illustré ci-dessous :
678
Data is Data is
accessed from transmitted from
OPC Server by factory PLCs to
OPC Client OPC Server
Device 1
Device 2
Device 3
Data is
transmitted
from factory
CitectSCADA PLCs to
OPC SCADA
SERVER runtime
environment
CTAPI
Device 1
(allows
access to
CitectSCADA Device 2
(supports DAv1.0 & I/O variable
DAv2.0 of the OPC tags )
Custom interface
enabling access by Device 3
OPC CLIENTS OPC clients) CitectSCADA
runtime FACTORY
Le serveur OPC CitectSCADA peut être appelé par un client OPC situé sur la
même machine ou sur une machine différente.
679
Configurer le serveur OPC utilise l’architecture Microsoft Distributed COM (DCOM). Cela signifie que
OPC si un client OPC se connecte à un serveur OPC distant, vous devez configurer les
paramètres de sécurité DCOM sur le client et le serveur OPC.
Remarque : L’affectation aux utilisateurs de privilèges insuffisants entraîne des
erreurs de communication et des problèmes de connexion entre le client OPC et
le serveur OPC.
Le processus de configuration des paramètres de sécurité DCOM varie en
fonction de la plateforme utilisée :
Windows XP
Windows XP SP2
Windows 2000
Windows Server 2003
Windows XP
Cette section décrit comment configurer le serveur OPC sous Windows XP.
Remarque : Après avoir configuré votre serveur OPC, redémarrez-le de sorte
que vos paramètres soient enregistrés.
Pour configurer le serveur OPC :
1 Sélectionnez Démarrer | Exécuter. Dans la boîte de dialogue Exécuter, tapez
dcomcnfg et cliquez sur OK.
682
Windows XP SP2
Cette section décrit comment configurer le serveur OPC sous Windows XP
Service Pack 2.
Remarque : Après avoir configuré votre serveur OPC, redémarrez-le de sorte
que vos paramètres soient enregistrés.
Pour configurer le serveur OPC :
1 Dans le panneau de configuration Windows, double-cliquez sur Centre de
sécurité puis sur Parefeu Windows.
685
11 Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Poste de travail dans le volet
droit et sélectionnez Propriétés dans le menu contextuel.
12 Sélectionnez l’onglet Sécurité COM.
Vous êtes maintenant prêt à éditer les permissions par défaut pour l’Accès et
l’Exécution. Pour chaque utilisateur (ou groupe) participant à la
communication OPC (par exemple, les « utilisateurs OPC »), vérifiez que les
cases Autoriser local et Autoriser distant sont sélectionnées.
Cliquez sur OK pour enregistrer vos modifications.
15 À la section Permissions d’accès, cliquez sur Éditer valeurs par défaut et
configurez les paramètres comme illustré ci-dessous. Cliquez sur OK pour
enregistrer vos modifications.
Windows 2000
Cette section décrit comment configurer le serveur OPC sous Windows 2000.
Pour configurer le serveur OPC :
1 Sélectionnez Démarrer | Exécuter. Dans la boîte de dialogue Exécuter, tapez
dcomcnfg et cliquez sur OK.
Vous êtes maintenant prêt à éditer les permissions par défaut pour l’Accès et
l’Exécution. Pour chaque utilisateur (ou groupe) participant à la
communication OPC (par exemple, les « utilisateurs OPC »), vérifiez que les
cases Autoriser local et Autoriser distant sont sélectionnées.
8 À la section Permissions d’accès, cliquez sur Éditer valeurs par défaut et
configurez les paramètres comme illustré ci-dessous :
Configurer le client OPC Vous devez configurer le client OPC pour qu’il puisse communiquer avec le
serveur OPC. La configuration est différente selon la plateforme utilisée :
Windows XP
Windows XP SP2
Windows 2000
Windows Server 2003
Windows XP
Cette section décrit comment configurer le client OPC sous Windows XP.
Remarque : Après avoir configuré votre client OPC, redémarrez-le de sorte que
vos paramètres soient enregistrés.
Pour configurer le client OPC :
1 Sélectionnez Démarrer | Exécuter. Dans la boîte de dialogue Exécuter, tapez
dcomcnfg et cliquez sur OK.
Windows XP SP2
Cette section décrit comment configurer le client OPC sous Windows XP SP2.
Remarque : Après avoir configuré votre client OPC, redémarrez la machine de
sorte que vos paramètres soient enregistrés.
Pour configurer le client OPC :
1 Dans le panneau de configuration, double-cliquez sur Centre de sécurité
puis sur Parefeu Windows.
701
11 Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Poste de travail dans le volet
droit et sélectionnez Propriétés dans le menu.
12 Sélectionnez l’onglet Sécurité COM.
Vous êtes maintenant prêt à éditer les permissions par défaut pour l’Accès et
l’Exécution. Pour chaque utilisateur (ou groupe) participant à la
communication OPC (par exemple, les « utilisateurs OPC »), vérifiez que les
cases Autoriser local et Autoriser distant sont sélectionnées.
15 À la section Permissions d’accès, cliquez sur Éditer valeurs par défaut et
configurez les paramètres comme illustré ci-dessous :
Windows 2000
Cette section décrit comment configurer le client OPC sous Windows 2000.
1 Sélectionnez Démarrer | Exécuter. Dans la boîte de dialogue Exécuter, tapez
dcomcnfg et cliquez sur OK.
Vous êtes maintenant prêt à éditer les permissions par défaut pour l’Accès et
l’Exécution. Pour chaque utilisateur (ou groupe) participant à la
communication OPC (par exemple, les « utilisateurs OPC »), vérifiez que les
cases Autoriser local et Autoriser distant sont sélectionnées.
8 À la section Permissions d’accès, cliquez sur Éditer valeurs par défaut et
configurez les paramètres comme illustré ci-dessous :
Créer un groupe de Avant d’accéder à des données depuis un serveur OPC, vous devez définir le
données groupe de données auquel elles appartiennent. Les groupes permettent
d’organiser les données récupérées du serveur OPC dans des ensembles
logiques de données connexes.
Remarque : Les clients OPC permettent généralement de définir des propriétés
pour un groupe, telles que la fréquence à laquelle les données sont récupérées.
Vous devriez donc envisager d’organiser et de désigner vos groupes en fonction
de ces besoins.
Consultez la documentation fournie avec votre client OPC car cette procédure
varie d’un client à l’autre.
Ajouter des éléments au Vous pouvez affecter un ou plusieurs éléments de données à chaque groupe.
groupe Chaque tag de variable défini dans le système superviseur CitectSCADA peut
être sélectionné comme élément de données.
Consultez la documentation fournie avec votre client OPC car cette procédure
varie d’un client à l’autre.
Dépannage
Consultez la base de connaissances CitectSCADA en cas de problème de
connectivité avec votre serveur ou client OPC.
Chapitre 26: Communication avec les
périphériques d’E/S
CitectSCADA peut lire et écrire dans les registres mémoire d’un périphérique
d’E/S.
En lisant et en écrivant dans les registres mémoire de vos périphériques,
CitectSCADA recueille des données de contrôle et d’analyse sur votre
installation et offre un haut niveau de contrôle et de supervision de vos
équipements et processus.
Vous n’avez généralement pas besoin de lire (ou d’écrire) dans tous les registres
du périphérique d’E/S : CitectSCADA vous laisse préciser les entrées et sorties
que vous voulez surveiller ou contrôler. Après avoir défini ces adresses de
registre, vous pouvez les utiliser pour surveiller le système, afficher des données
destinées aux opérateurs, analyser des tendances, enregistrer des données et
signaler des alarmes.
Remarque : Les périphériques d’E/S du type automate programmable (PLC)
utilisent généralement un programme interne destiné à contrôler les processus
de bas niveau de votre installation. Un programme d’automate scrute en continu
ses registres d’entrée et affecte des valeurs aux registres de sortie en fonction de
son algorithme. Bien que vous puissiez remplacer un programme d’automate
par CitectSCADA, cela n’est pas conseillé. Les automates programmables ont un
temps de réponse très court (généralement de 1 à 100 ms) et leur remplacement
par leur équivalent CitectSCADA pourrait nuire aux performances de votre
système superviseur. Nous vous conseillons plutôt d’utiliser CitectSCADA en
parallèle avec le programme de l’automate (pour obtenir un haut niveau de
contrôle et de supervision de votre système).
Voir aussi Comment CitectSCADA lit dans un périphérique d’E/S
possible que ces données soient périmées. Pour lire des données de périphérique
d’E/S dans ces conditions, créez une nouvelle tâche en utilisant TaskNew(mode
4).
Voir aussi Comment CitectSCADA écrit dans un périphérique d’E/S
Comment CitectSCADA CitectSCADA écrit dans les périphériques d’E/S de manière asynchrone (les
écrit dans un opérations d’écriture dans le périphérique se font avec un certain délai pendant
lequel CitectSCADA continue d’exécuter d’autres tâches). Si cet autre Cicode
périphérique d’E/S
suppose que l’écriture s’est achevée aussitôt, vous pouvez rencontrer des effets
secondaires.
Supposons que vous ayez le Cicode suivant :
PLC_VAR = 1234;
Prompt("Variable " + PLC_VAR : ####);
La première ligne correspond à une écriture dans l’automate.
Lorsque CitectSCADA exécute cette ligne de Cicode, il demande au serveur d’E/
S d’écrire la valeur 1234 dans la variable de l’automate appelée PLC_VAR.
CitectSCADA exécute ensuite la ligne suivante de Cicode avant d’avoir terminé
l’écriture dans l’automate. CitectSCADA procède ainsi pour que le Cicode ne
soit pas interrompu en attendant un périphérique lent. L’écriture dans
l’automate n’étant pas achevée, vous pourriez penser que la ligne de Cicode
suivante afficherait la dernière valeur de PLC_VAR au lieu de la valeur 1234. Le
Cicode affichera toutefois la valeur correcte (1234) car CitectSCADA met à jour
sa copie locale de la variable avant d’écrire dans l’automate - tout Cicode
ultérieur recevra donc la valeur correcte.
Cette solution ne fonctionnera pas dans certaines conditions car CitectSCADA
peut garder plus d’une copie d’une variable de périphérique et seule celle
associée au Cicode courant est mise à jour. Les autres variables contiendront
l’ancienne valeur de la variable de périphérique jusqu’à leur rafraîchissement
(lors d’une lecture dans le périphérique). Chaque page d’affichage, fichier
Cicode, alarme, tendance et rapport correspond à une zone de données distincte.
Si vous écrivez dans une variable de périphérique à partir d’une commande
clavier de page, la copie de la variable associée à cette page sera mise à jour mais
celle associée aux autres pages et à toutes les fonctions Cicode ne sera mise à jour
que lors de la prochaine lecture (déterminée par le paramètre [Page]ScanTime).
Si vous appelez une fonction Cicode qui suppose que l’écriture s’est achevée,
elle obtiendra la dernière valeur.
Vous pouvez contourner ce problème en écrivant dans la variable de
périphérique à l’aide d’une fonction Cicode. Toutes les fonctions Cicode
partagent les mêmes variables de périphérique; les écritures se feront donc
comme prévu.
718
FUNCTION
TestFunc(INT nValue)
PLC_VAR = nValue;
END
Cette opération a un autre effet secondaire : vous pensez que CitectSCADA a
réussi à écrire dans le périphérique d’E/S alors qu’il peut échouer ultérieurement
à cause d’une erreur matérielle ou d’une erreur de configuration (par exemple,
écriture dans un registre d’entrée). Dans certaines situations, vous devriez
vérifier que l’écriture a effectivement eu lieu. Lorsqu’une écriture dans le
périphérique d’E/S échoue, une erreur matérielle est générée mais le Cicode
associé ne peut pas en être avisé ni utiliser la fonction IsError() car son
exécution a dépassé l’écriture dans le périphérique. Vous pouvez vérifier une
écriture critique en appelant la fonction ReRead() aussitôt après l’écriture et en
vérifiant ensuite la valeur de la variable. ReRead() force Cicode à relire toutes
les variables de périphérique associées au Cicode courant de sorte que vous
puissiez en vérifier la valeur.
PLC_VAR = 1234;
ReRead(1);
IF PLC_VAR <> 1234 THEN
Prompt("Erreur d’écriture");
END
Dans ce cas, les données seront lues dans l’automate physique et non pas dans
l’antémémoire du serveur d’E/S, car celui-ci invalidera toutes les données de
l’antémémoire associées à une écriture dans l’automate. Ceci vous permettra de
vérifier si l’écriture s’est achevée correctement. Notez que d’autres tâches Cicode
en cours au même moment n’attendront pas la relecture et pourront donc voir
l’ancienne ou la nouvelle valeur selon qu’elles utilisent ou non la même copie de
la variable PLC_VAR. Vous pouvez également empêcher CitectSCADA d’écrire
dans la copie locale de la variable en utilisant la fonction CodeSetMode(0, 0).
Facteurs de performance
De nombreux facteurs hors de votre contrôle influencent la performance des
systèmes de contrôle et de surveillance. L’ordinateur, le(s) périphérique(s) d’E/S
et le canal de communication qui les relie sont des facteurs évidents. Plus le
transfert de données est rapide et plus votre système sera performant.
(CitectSCADAutilise toujours le débit de Transfert de données maximal pris en
charge par le périphérique d’E/S.) Ce débit de données dépend du matériel
utilisé : une fois que vous avez installé votre matériel, il est hors de votre
contrôle.
Il existe pourtant un domaine où vous pouvez influencer directement la
performance de votre système superviseur : la manière dont vous organisez les
registres de données dans le(s) périphérique(s) d’E/S).
Voir aussi Mise en antémémoire des données
719
Mise en antémémoire Dans de grands systèmes en réseau dotés de nombreux clients de visualisation,
des données il est possible d’améliorer les performances de la transmission en utilisant
l’antémémoire.
Lorsque l’antémémoire est activée, toutes les données lues dans un périphérique
d’E/S sont temporairement stockées dans la mémoire du serveur d’E/S. Si une
autre demande est effectuée (par le même client de visualisation ou un autre)
pour les mêmes données dans le délai de conservation en antémémoire, le
serveur CitectSCADA renvoie la valeur stockée en antémémoire plutôt que de la
lire une deuxième fois dans le périphérique. La mise en antémémoire des
données entraîne une réponse globalement plus rapide lorsque les mêmes
données sont requises par beaucoup de Clients d’Affichage.
Un délai de conservation en antémémoire de 300 millisecondes est recommandé.
Des délais supérieurs à 1 000 millisecondes sont à éviter car les données peuvent
devenir périmées.
Remarque : L’antémémoire ne doit pas être utilisée avec des périphériques d’E/S
en mémoire ou des Périphérique d’E/S sur disque.
Groupement des Lors de la configuration d’un système CitectSCADA, vous devez définir chaque
registres variable (adresse de registre) qui sera lue par CitectSCADA lorsque votre
système superviseur est actif. CitectSCADA calcule le moyen le plus efficace de
lire les registres. CitectSCADA optimise la communication en fonction du type
de périphérique d’E/S et des adresses des registres.
Lorsque CitectSCADA demande des données à un périphérique d’E/S, la valeur
contenue dans le registre n’est pas renvoyée immédiatement. Le temps de
réponse du système (associé aux en-têtes de protocoles, à la somme de contrôle,
aux temps de latence des périphériques, etc.) dépend de la marque du
périphérique et est généralement de plusieurs fois supérieur au temps de lecture
d’un registre. Plutôt que de lire les registres un à un, ce qui ne serait pas très
efficace, CitectSCADA lit généralement un bloc composé de plusieurs registres
721
Remappage des Certains automates permettent de remapper (ou de copier) une variable de
variables d’un périphérique d’E/S dans un autre registre d’adresse. CitectSCADA permet le
remappage pour :
périphérique d’E/S
Grouper les registres de façon plus efficace et améliorer ainsi la performance
de votre système.
Permettre à CitectSCADA d’interpréter un type de variable (ex. analogique)
comme un type de variable différent (ex. numérique). Vous pouvez par
exemple créer des adresses numériques supplémentaires si toutes les
adresses numériques d’un périphérique d’E/S sont utilisées.
Pour remapper une variable dans votre automate, vous devez définir (ou
modifier) le programme de l’automate de façon à associer les adresses de départ
et de destination. CitectSCADA pourra alors lire ou écrire cette variable en
utilisant l’adresse remappée plutôt que l’adresse physique.
723
Pour effectuer un remappage dans CitectSCADA, vous devez d’abord créer les
variables de votre projet. Vous pourrez ensuite définir le remappage en
spécifiant que toutes les variables dont l’adresse se trouve dans la plage désirée
seront remappées. En phase d’exécution, le serveur d’E/S réaffectera ces
adresses conformément aux instructions de remappage.
Remarque : Le remappage n’est pas pris en charge par tous les automates et/ou
pilotes CitectSCADA. CitectSCADA ne recommande pas les opérations de
remappage sauf en cas de besoin. Veuillez contacter l’Assistance Citect pour
déterminer si l’automate et/ou le pilote CitectSCADA que vous utilisez prennent
en charge cette opération.
Pour remapper une variable dans CitectSCADA :
1 Ouvrez l’Éditeur de projet.
2 Sélectionnez Communication | Remappage. La boîte de dialogue
Remappage s’affiche.
724
.
Nom Variable Motor_4_ Running_Feedback
Type de données Numérique
Nom périph. E/S Area1
Adresse M16
L’adresse M2 n’est pas utilisée mais ceci ne pose aucun problème.
Remappage de la base de données
Le remappage est défini comme suit :
Variable CitectSCADA Area1|M1
Longueur 16
Variable physique Area1|R10
Remappage en lecture Vrai
Remappage en écriture Faux
Communications série
Utilisation d’un port Les systèmes CitectSCADA les plus simples utilisent un seul ordinateur
COM connecté à un ou plusieurs périphérique(s) d’E/S. Vous pouvez connecter un
périphérique d’E/S à un Port de communication en utilisant un câble de
communication RS-232 standard.
Référence sur les Les options particulières (de l’écran Ports) sont séparées par des espaces et
options particulières au commencent par un tiret (-) suivi des caractères d’option. Peu d’utilisateurs
seront amenés à utiliser ces options :
pilote COMx
-cATS0=1 : Envoie la chaîne « ATS0=1<CR> » lors du démarrage pour
permettre au modem de détecter le Débit en bauds du port. Abandonne la
transmission si DCD est à l’état bas. Attend un appel entrant pour faire
passer DCD à l’état haut.
-d : Les données ne sont transmises que si DSR est à l’état haut.
-di : Les données reçues sont ignorées lorsque DSR est à l’état bas.
-dMS : Lors de la transmission d’un message, le pilote attend jusqu’à
2000 ms pour que DSR passe à l’état haut, puis encore MS millisecondes
avant la transmission.
-e : Permet d’accéder aux lignes des signaux de sortie. Le format est
« ~EIAWXYZ » où WXYZ représente l’une des options suivantes :
S Simule la réception de XOFF
S Simule la réception de XON
RT Met RTS à l’état haut
RT Met RTS à l’état bas
D Met DTR à l’état haut
D Met DTR à l’état bas
B Définit la ligne d’interruption du périphérique
B Supprime la ligne d’interruption du périphérique
-i : La chaîne envoyée à chaque fois que le port est initialisé. Les caractères
tilde (~) et « \M » représentent des instructions particulières :
~ : Crée un délai de 500 millisecondes
\M : Envoie un retour chariot
Exemples :
~Fred : Attend 500 millisecondes puis envoie « Fred »
-nt : Avec certaines interfaces série, les erreurs de ligne peuvent entraîner
l’interruption de la lecture du COMx et la défaillance du pilote. Si vous
activez l’option -nt, la lecture n’est pas interrompue et le système peut être
rétabli lorsque l’erreur est corrigée.
-nts : En cas d’erreur lors de la mise en route du pilote COMx, le processus
n’est pas interrompu et continue d’essayer d’ouvrir le port COMx.
-r : Le pilote ne fait passer DTR à l’état haut que lors d’une transmission.
-ri : DTR passe à l’état haut s’il y a suffisamment de place dans le tampon
d’entrée pour recevoir des caractères entrants et à l’état bas si l’espace dans
le tampon d’entrée est insuffisant.
-rPRE,POST : Lors de la transmission d’un message, le pilote fait passer
DTR à l’état haut pendant PRE millisecondes, transmet le message, attend
POST millisecondes, puis fait passer DTR à l’état bas.
-rc : Active le contrôle de flux du logiciel avec XON et XOFF
XonLim : Nombre en octets représentant le niveau atteint dans le
tampon d’entrée avant l’envoi du caractère XON (30 octets).
XoffLim : Nombre maximum d’octets acceptés dans le tampon d’entrée
avant l’envoi du caractère XOFF. Il est calculé en soustrayant 100 (octets)
à la taille du tampon d’entrée.
-t : Le pilote ne fait passer RTS à l’état haut que lors d’une transmission.
-ti : RTS passe à l’état haut s’il y a suffisamment d’espace dans le tampon
d’entrée pour recevoir des caractères entrants, et à l’état bas si l’espace dans
le tampon d’entrée est insuffisant.
-to : RTS passe à l’état haut s’il y a des caractères à transmettre.
-tPRE,POST : Lors de la transmission d’un message, le pilote fait passer RTS
à l’état haut pendant PRE millisecondes, transmet le message, attend POST
millisecondes, puis fait passer RTS à l’état bas.
729
Référence sur les Les options particulières (de l’écran Ports) sont séparées par des espaces et
options particulières au commencent par un tiret (-) suivi des caractères d’option. Utilisez les options
particulières suivantes pour TCP/IP :
pilote TCP/IP
-A : Permet au pilote TCPIP d’être utilisé par Cicode.
-Ia.b.c.d : définit une Adresse IP distante à laquelle se connecter.
-FC : Permet une connexion factice. Crée une connexion factice (aucune
connexion IP n’est établie). Elle est destinée à être utilisée lorsqu’un pilote
veut prendre en charge une connexion factice sans communiquer avec le
périphérique ou avoir une unité virtuelle. Une unité virtuelle permet
d’accéder à des adresses de pilotes qui n’ont pas besoin de communiquer
avec un périphérique.
-K : définit le drapeau SO_KEEPALIVE.
-LIa.b.c.d : définit l’adresse locale IP.
-LPn : définit le PORT local.
-Ma.b.c.d : définit l’adresse IP de multidiffusion.
-Pn : définit le PORT distant auquel se connecter.
-RC : active les tentatives de reconnexion à la réception d’un événement
FD_CLOSE. FD_CLOSE n’est reçu que si l’option Keepalive est activée. -RC
peut résoudre des problèmes lorsque le pilote TCP/IP est informé de la
fermeture de la connexion. L’option -k offre des possibilités
supplémentaires. Les nouvelles tentatives peuvent également être activées
avec l’appel de pilote de haut niveau suivant :
COMSetParam((SHORT)ChannelNumber, (UCHAR*)("DO_RECONNECT"),
NULL);
-U : définit ce port pour fonctionner avec le protocole de transport en mode
non connecté (UDP)
où :
a.b.c.d : adresse IP standard en Notation pointée utilisant les nombres
décimaux 0- 255. (Une adresse IP ne doit pas commencer par un 0).
n : valeur décimale de l’identificateur de port pour le service requis.
-T : définit ce port pour fonctionner avec le protocole TCP.
Utilisation d’une carte Le Port de communication de l’ordinateur n’est pas conçu pour des
série communications rapides et réduit la performance du système. Pour améliorer sa
performance, installez une carte série haute vitesse (telle qu’une Digiboard). Les
cartes série haute vitesse possèdent plusieurs ports (en général 4, 8 ou 16) et
730
Toutes les cartes série haute vitesse ne prennent pas en charge RS-422. Vous
pouvez utiliser un adaptateur RS-232/RS-422 ou RS-232/RS-485 pour obtenir le
même résultat.
Configuration d’une Pour configurer CitectSCADA pour utiliser une carte série :
carte série 1 Installez cette carte dans votre ordinateur et configurez-la sous Windows en
suivant les instructions fournies. Utilisez le pilote le plus récent fourni par le
fabricant.
2 Vérifiez que la carte est configurée en utilisant COMx comme type et 0
comme adresse. Vous pouvez laisser Port d’E/S, Interruption et Options
particulières en blanc.
3 Entrez le Numéro de port dans la configuration des ports. Le numéro de
port COM est généralement supérieur à 2 et est défini dans la section Ports
du Panneau de configuration. Utilisez le champ Options particulières pour
modifier le comportement du pilote COMx.
Remarques :
Si vous utilisez le port COM de votre ordinateur, vous n’avez pas besoin
d’installer de logiciels supplémentaires.
La carte COMx ne doit être définie qu’une seule fois. Vous pouvez ensuite
ajouter plusieurs ports utilisant la même carte CitectSCADA. Par exemple,
un port COM et deux cartes série seront définis dans CitectSCADA comme
une carte ayant plusieurs ports.
Voir aussi Utilisation de Digiboards avec Windows
Utilisation de cartes non génériques
Utilisation de La Version 5 de CitectSCADA utilise les pilotes Digiboard standard fournis avec
Digiboards avec Windows. CitectSCADA ne fournit plus les pilotes pour ces cartes.
Windows Les cartes COM/Xi et MC/Xi ne sont pas prises en charge sous WIN95 ou
WINNT, contrairement aux cartes PC/Xe et PC/Xi.
Veuillez noter que vous pouvez utiliser une autre carte série tiers - vous n’êtes
pas limité à l’utilisation des cartes série Digiboard.
Remarque : Avec certains automates, une carte série haute vitesse offre une
meilleure performance qu’une carte d’interface connectée à plusieurs automates.
Il est possible d’utiliser des cartes d’interface et des cartes série haute vitesse
dans un même ordinateur. Vous pouvez, par exemple, relier un réseau
d’automates à une carte d’interface et différents périphériques d’E/S à une carte
série haute vitesse.
Configuration d’une Pour configurer CitectSCADA pour utiliser une carte série :
carte non générique Si vous utilisez une carte non générique (c.-à-d. fournie par le fabricant de votre
automate) :
1 Installez cette carte dans votre ordinateur et configurez-la sous Windows en
suivant les instructions fournies. Utilisez le pilote le plus récent fourni par le
fabricant.
2 Si possible, exécutez des diagnostics sur la carte avant de configurer
CitectSCADA pour vérifier qu’elle fonctionne correctement.
3 Vérifiez que le port d’E/S et l’interruption sont correctement configurés.
4 Configurer les cartes et les ports en suivant les instructions fournies avec
l’automate.
733
Configuration du test
1 Ne configurez aucun autre protocole. Lors de l’exécution du test, supprimez
temporairement toute autre carte ou unité.
2 Configurez une unité pour chaque port à tester. Un exemple d’écran de
périphérique d’E/S est donné ci-dessous.
Nom : <nom unique pour le périphérique d’E/S>
Numéro : <numéro de réseau unique pour le périphérique d’E/S>
Adresse : NA
Protocole : LOOPBACK
Nom de Port : <"Nom du port" de l’écran Ports>
3 Les options suivantes de Citect.ini sont prises en charge :
[LOOPBACK]
LoopBack = 1 effectue un bouclage interne (prenez soin d’effacer cette valeur
après avoir exécuté le test). Loopback = 0 effectue un bouclage externe
nécessitant un connecteur de bouclage entre les broches 2 et 3 de chaque
port.
Remarque : Le pilote COMx ne prend pas en charge le bouclage interne. Le
bouclage externe est le mode par défaut.
Size =Définit la longueur de trame maximale. La longueur de chaque trame
transmise varie aléatoirement entre 1 et -1. La valeur par défaut est 512.
734
Propriétés des serveurs Pour définir un serveur d’E/S, vous devez lui affecter un nom à l’écran Serveur
d’E/S d’E/S. Ce nom sera utilisé pour désigner le serveur d’E/S. Pour un serveur d’E/S
unique, vous pourrez par exemple utiliser le nom IOServer. L’utilisation de
caractères localisés n’est pas autorisée.
Si vous utilisez plusieurs serveurs d’E/S à des fins de redondance (ou de
répartition des communications), vous devrez ajouter, pour chacun d’entre eux,
un enregistrement de base de données. Sélectionnez un nom propre à chaque
serveur, par exemple IOServer1 et IOServer2.
Remarque : Ajoutez l’enregistrement dans la base de données de projets
(utilisez le bouton Ajouter en bas de l’écran) ou remplacez un enregistrement
existant (utilisez le bouton Remplacer) si vous avez modifié ce dernier.
737
Propriétés des cartes Les propriétés d’une carte dépendent du type de la carte installée dans
l’ordinateur qui fait office de serveur d’E/S.
Les cartes ont les propriétés suivantes :
Nom de carte
Un nom de carte. Par exemple Server1_Board1.
Si vous avez plusieurs cartes dans votre serveur d’E/S, chaque carte doit avoir
un nom qui lui est propre. Si vous avez plusieurs serveurs d’E/S, le nom de
chaque carte doit être associé à celui du serveur. Par exemple Server1_Board2
Type de carte
Le type de la carte.
Si vous utilisez une carte série ou le port COM de votre ordinateur, entrez
COMx.
Adresse
L’adresse de début de la carte. Par exemple 0xCC00.
Spécifiez l’adresse de façon à ce qu’elle corresponde aux positions des
commutateurs sur la carte lors de son installation dans votre ordinateur. Si vous
utilisez une carte série ou le port COM de votre ordinateur, l’adresse doit être 0.
Remarque : Si vous installez plusieurs cartes dans un ordinateur, utilisez une
adresse mémoire différente pour chacune d’entre elle.
Port d’E/S
L’adresse du port d’E/S de la carte.
Spécifiez l’adresse de façon à ce qu’elle corresponde aux positions des
commutateurs sur la carte lors de son installation dans votre ordinateur.
Remarque : Si vous utilisez le port COM de l’ordinateur, n’entrez pas l’adresse
du port d’E/S ici. Spécifiez le numéro du port dans l’écran Ports.
Interruption
Numéro d’Interruption utilisé par la carte. Il n’est pas nécessaire si vous utilisez
le port COM de votre ordinateur.
Options spéciales
738
Toutes les options spéciales prises en charge par la carte. Dans la rubrique
Configuration matérielle de l’Aide, cherchez votre périphérique d’E/S pour
savoir s’il nécessite des options spéciales.
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Propriétés des ports Les propriétés d’un port dépendent du type de la carte installée dans le serveur
d’E/S et du périphérique d’E/S connecté à ce port. Les ports ont les propriétés
suivantes :
Nom de port
Le nom du port connecté à vos périphériques d’E/S. Chaque port doit avoir un
nom qui lui est propre (vous ne pouvez affecter le même nom à deux ports de
votre système). Vous pouvez utiliser n’importe quel nom (jusqu’à 16 caractères),
par exemple : Board1_Port1
Si plusieurs cartes sont installées dans votre ordinateur, vous pouvez utiliser le
nom du port pour identifier la carte, par exemple : Board2_Port1
Numéro du port
Le numéro du port auquel le périphérique d’E/S est connecté. N’affectez pas le
même numéro à deux ports sur une carte, sauf si vous vous connectez par
modem à un périphérique d’E/S distant accessible par numérotation (voir
REMARQUE ci-dessous). Le même numéro peut être affecté à des ports situés
sur des cartes différentes.
Si vous utilisez le port COM de votre ordinateur, entrez le numéro de port ici
(reportez-vous pour cela à la section Ports du Panneau de configuration
Windows).
Remarque : Si vous vous connectez à un périphérique d’E/S à distance accessible
par numérotation (par modem), vous devez définir un port unique sur le
serveur d’E/S pour chaque périphérique et le numéro de port doit être -1 pour
chaque périphérique.
Nom de carte
Le nom défini pour la carte. Il est nécessaire pour relier le port à la carte. Par
exemple Server1_Board1
Débit en bauds
Le débit du canal de communication (entre le serveur d’E/S CitectSCADA et le
périphérique d’E/S).
Remarque : Il est possible que les circuits du périphérique d’E/S et la carte série
prennent en charge d’autres débits. Si vous choisissez un autre débit, assurez-
vous d’abord qu’il est compatible avec le périphérique d’E/S et la carte série.
739
Bits de données
Le nombre de bits de données utilisés lors de la transmission de données. Vous
devez configurer votre périphérique d’E/S en utilisant la même valeur.
Bits d’arrêt
Le nombre de bits d’arrêt utilisés pour indiquer la fin de la communication.
Vous devez configurer votre périphérique d’E/S en utilisant la même valeur.
Parité
La Parité utilisée pour la transmission de données.
Options spéciales
Toutes les options spéciales prises en charge par le port. Dans la rubrique
Configuration matérielle de l’Aide, cherchez votre périphérique d’E/S pour
savoir s’il nécessite des options spéciales.
Pour spécifier une chaîne d’initialisation devant être envoyée au port pour la
communication par modem, voir Communications par modem en phase
d’exécution.
Voir aussi Référence sur les options particulières au pilote COMx
Commentaire
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Propriétés des Pour configurer un périphérique d’E/S, vous devez définir ses propriétés à l’aide
périphériques d’E/S de l’Éditeur de projets. Ces propriétés dépendent du protocole et du
périphérique d’E/S utilisés.
Pour configurer un périphérique d’E/S :
1 Dans l’Éditeur de projets, sélectionnez Communication | Périphériques
d’E/S. La boîte de dialogue Périphériques d’E/S apparaît :
740
Remarque : Pour utiliser les modes Auxiliaire ou Écriture auxiliaire, vous devez
également configurer un périphérique d’E/S primaire ayant les mêmes nom,
numéro et adresse.
Enregistrement des écritures
Active/désactive l’enregistrement des écritures dans le périphérique d’E/S.
Lorsqu’il est activé, toutes les écritures sont enregistrées dans le fichier
syslog.dat CitectSCADA (dans le répertoire Windows).
Remarque : L’enregistrement de toutes les écritures dans un périphérique d’E/S
peut ralentir les communications car il oblige CitectSCADA à écrire
d’importants volumes de données sur disque. L’enregistrement de ces données
est toutefois utile lors du débogage d’un système.
Enregistrement des lectures
Active/désactive l’enregistrement des lectures dans le périphérique d’E/S.
Lorsqu’il est activé, toutes les lectures sont enregistrées dans le fichier syslog.dat
CitectSCADA (dans le répertoire Windows).
Remarque : L’enregistrement de toutes les lectures dans un périphérique d’E/S
peut ralentir les communications car il oblige CitectSCADA à écrire
d’importants volumes de données sur disque. L’enregistrement de ces données
est toutefois utile lors du débogage d’un système.
Cache
Active ou désactive l’utilisation de l’antémémoire. Lorsqu’il est activé, la
mémoire du périphérique d’E/S est maintenue en antémémoire, améliorant ainsi
la vitesse de communication.
Remarque : L’antémémoire devrait être activée pour les périphériques d’E/S
programmés mais désactivée pour les périphériques mémoire ou disque.
Délai de conservation en antémémoire
Le délai de conservation en antémémoire en millisecondes. Lorsque la mise en
antémémoire est activée, toutes les données lues depuis un périphérique d’E/S
sont stockées temporairement dans la mémoire du serveur d’E/S. Si une autre
demande est effectuée (par le même client de visualisation ou un autre) pour les
mêmes données dans le délai de conservation en antémémoire, le serveur
744
Utilisation des modes CitectSCADA offre depuis la version 7.0 deux nouvelles options pour créer et
mémoire et persistant stocker des données en mémoire ou sur disque dur :
Mode mémoire
Mode persistant
les modes mémoire et persistant sont définis lorsque vous configurez les
propriétés de votre périphérique d’E/S. Pour plus de détails sur la configuration
des périphériques d’E/S, voir Propriétés des périphériques d’E/S.
Mode mémoire
Vous pouvez configurer un périphérique d’E/S en mode mémoire. Cela signifie
que le périphérique d’E/S sera créé en mémoire et ses valeurs seront stockées en
mémoire en phase d’exécution.
Les périphériques utilisant ce mode ne sont connectés à aucun équipement et
écrivent leurs valeurs dans une antémémoire. Les valeurs des périphériques d’E/
S peuvent être lues par de nombreux processus. Contrairement à une variable
locale, un périphérique en mode mémoire réside dans la mémoire du serveur
d’E/S et observe toutes les règles standard de réseau et de redondance d’un
périphérique d’E/S standard.
Le mode mémoire est utile lorsque vous configurez un système pour la première
fois car il permet de le tester avant de le connecter à un périphérique d’E/S
physique.
À l’instar des variables locales, les valeurs d’un périphérique d’E/S en mode
mémoire (qui n’utilise pas également le mode persistant) ne sont pas conservées
lorsque vous arrêtez le système. Pour plus de détails sur les variables locales,
voir Configuration des variables locales.
Voir aussi Propriétés des périphériques d’E/S
Mode persistant
Mode persistant
Vous pouvez configurer un périphérique d’E/S en mode persistant. La valeur de
chaque variable de ce périphérique est alors stockée sur le disque dur de
l’ordinateur. Cela signifie que les dernières valeurs sont immédiatement
disponibles lorsque vous redémarrez votre système après une défaillance ou un
arrêt.
À l’instar des périphériques d’E/S sur disque, le mode persistant est utile pour
sauvegarder des informations d’état ou des données prédéfinies requises au
démarrage du système.
Voir aussi Propriétés des périphériques d’E/S
Utilisation d’un périphérique d’E/S sur disque
747
Câblage
Si vous utilisez du matériel non générique (c.-à-d. une carte de communication
installée dans votre ordinateur CitectSCADA), reportez-vous à la
documentation fournie. Le fabricant doit fournir toutes les informations
nécessaires pour effectuer la connexion (et bien souvent le câble de
communication lui-même).
Utilisation d’un Les schémas de câblage RS-232 de l’aide sur les protocoles série n’indiquent
adaptateur 9/25 broches généralement que la configuration des broches d’un connecteur DB-25 (de type
« D » à 25 broches). Pour utiliser votre port COM ou une carte série à 9 broches,
un schéma de conversion entre 9 et 25 broches est généralement fourni. Ce
schéma est le suivant :
pour voir quelles broches utiliser (ex. plutôt que de relier la broche 2 à la
broche 25 [TX], reliez la broche 3 à la broche 9 [TX]).
Utilisation d’un L’utilisation d’un adaptateur RS232/485 est courante et permet d’utiliser une
adaptateur RS232/485 connexion RS-485 sans carte série RS-422/485. RS-485 présente de sérieux
avantages par rapport à RS-232 : distances et vitesse de transmission
supérieures, immunité au bruit, etc. Mais surtout, RS-232 ne prend pas en charge
les communications multipoint.
Le schéma ci-dessous illustre comment ces adaptateurs permettent d’obtenir
une configuration impossible avec RS-232.
ETCD et ETTD Les ETTD et ETCD sont des équipements à ne pas confondre. Ils sont définis
comme suit :
ETTD ou Équipement Terminal de Traitement de Données : Équipement
fonctionnant comme source ou collecteur de données (permettant le
traitement ultérieur des données). Les ordinateurs et les automates sont
généralement considérés comme des ETTD.
ETTD ou Équipement de Terminaison de Circuit de Données : périphérique
transmettant des données entre un ETTD et une Liaison de communication
physique. Un ETTD sert généralement à établir et à maintenir une connexion
de transmission de données. Les ETCD sont généralement des modems.
Un ETCD sera souvent nécessaire pour contrôler vos communications. Ces
périphériques sont généralement très faciles à connecter, la seule différence
entre un ETCD et un ETTD concernant l’utilisation des broches TX
749
RS-232C (ou EIA-232C RS-232C est le standard d’interface de communication série le plus courant. Il
ou RS-232) définit les caractéristiques électriques et mécaniques de l’interface mais ne
définit pas de protocole. Il couvre les caractéristiques du signal électrique et de
l’interface mécanique (broches, etc.) ainsi que la description fonctionnelle des
signaux de commande, etc.
Communication point à point. Entre deux périphériques uniquement.
RS-422 (ou EIA-422) Le standard RS-422 est recommandé et offre de sérieux avantages par rapport à
RS-232C. Ce standard couvre uniquement les caractéristiques du signal
électrique et la description fonctionnelle des signaux de commande. Il ne définit
pas le protocole mais le protocole utilisé devra prendre en charge l’adressage
multiple pour tirer pleinement parti de ce standard.
Il utilise des signaux différentiels (différence entre deux tensions de ligne) et
offre une meilleure immunité au bruit.
Communication multipoint limitée. Cela signifie que chaque ligne peut
comprendre plusieurs récepteurs (mais seulement un émetteur).
RS-485 (ou EIA-485) RS-485 est une version améliorée de RS-422. Ce standard couvre uniquement les
caractéristiques du signal électrique et la description fonctionnelle des signaux
de commande. Il ne définit pas le protocole mais le protocole utilisé devra
prendre en charge l’adressage multiple et le conflit de bus pour tirer pleinement
parti de ce standard. Son principal avantage réside dans le fait que tous les
périphériques peuvent transmettre et recevoir des données sur la même ligne.
Il est semblable au standard RS 422 sur le plan électrique. Les niveaux
logiques, taux de transfert et distances maximum sont quasiment
identiques.
Contrairement à RS-422, RS-485 prend en charge plusieurs émetteurs et
récepteurs sur chaque ligne.
752
Configuration des Pour établir des communications avec un périphérique, suivez les étapes de base
périphériques d’E/S sur décrites dans la procédure de configuration des périphériques d’E/S.
disque Vous devrez dans certains cas modifier directement les écrans de
communication. Les informations suivantes doivent y être saisies.
Il n’est pas nécessaire de remplir une boîte de dialogue Cartes.
Il n’est pas nécessaire de remplir une boîte de dialogue Ports.
Renseignez les champs de la boîte de dialogue Périphériques d’E/S comme
suit.
754
Périphériques d’E/S sur Si vous utilisez un réseau, vous pouvez configurer un périphérique d’E/S sur
disque redondants disque redondant pour éviter toute perte de données (dans le cas d’une panne
du serveur). La figure illustre l’utilisation des périphériques d’E/S sur disques
redondants :
Lorsque le système est en cours d’exécution, CitectSCADA lit et écrit les données
dans le périphérique d’E/S sur disque situé sur le serveur principal.
CitectSCADA écrit également les données dans le périphérique d’E/S sur disque
situé sur le serveur auxiliaire. (CitectSCADA utilise les deux périphériques d’E/S
sur disque de la même manière).
756
En cas de panne du serveur principal, le périphérique d’E/S sur disque situé sur
le serveur auxiliaire est activé, sans interruption du système. Lorsque le serveur
principal redevient actif, CitectSCADA lui transmet automatiquement le
contrôle et copie le périphérique d’E/S sur disque du serveur auxiliaire sur le
serveur principal. Le périphérique du serveur auxiliaire assume alors à nouveau
son rôle initial.
Pour définir un périphérique d’E/S sur disque redondant :
1 Configurez un nouveau périphérique d’E/S sur disque
2 Sélectionnez le mode de démarrage StandbyWrite.
Pour les périphériques d’E/S sur disque redondants, vous devez utiliser
l’environnement réseau Microsoft (ou un autre réseau poste à poste) et le disque
dur du serveur auxiliaire (le répertoire où est stocké le périphérique d’E/S sur
disque) doit être partagé. Utilisez l’Explorateur Windows pour le rendre
partageable.
Voir aussi Propriétés des périphériques d’E/S
Facteurs de performance
Limitations concernant Les périphériques sont souvent dotés de zones de mémoire ayant un type de
les variables données particulier : octet, entier ou mot. Certains protocoles ne prennent pas en
charge la lecture et l’écriture de données de type différent dans ces zones de
(numériques)
mémoire. Cette situation se produit le plus fréquemment lors de la lecture ou de
l’écriture de bits individuels dans des données de type octet, entier et mot.
Dans un tel cas, la lecture de bits individuels dans ces types de données se fait en
lisant le type de données désigné et en demandant au pilote CitectSCADA de le
décomposer en bits individuels. L’écriture de bits à l’intérieur de ces types de
données est plus compliquée car elle écrase les autres bits. Pour contourner le
problème, un scénario de « lecture-modification-écriture » peut être utilisé pour
écrire dans un bit d’un type de donnée. Selon cette approche, le pilote
CitectSCADA lit le type de donnée, modifie le bit approprié, puis réécrit le type
de donnée modifié dans le périphérique.
Cette méthode de « lecture-modification-écriture » comporte un important
risque opérationnel dont l’utilisateur doit être conscient : si le périphérique
modifie le type de données après la lecture de ce dernier par CitectSCADA, mais
avant l’écriture par CitectSCADA de la nouvelle valeur, tous les changements
effectués par le périphérique seront écrasés et perdus. Ce problème pourrait être
sérieux dans un système de contrôle et il est donc recommandé de configurer le
périphérique et CitectSCADA de sorte que seul l’un ou l’autre écrive dans ces
types de données.
Prenons l’exemple suivant :
1 L’état initial d’un registre d’automate est 0x02h.
2 Le pilote CitectSCADA lit la valeur de ce registre (en le copiant) afin de
modifier le bit 3.
3 Cependant, avant que CitectSCADA n’effectue cette modification dans
l’automate, le programme de l’automate affecte la valeur 0x13h aux bits 0 et
4 de ce registre.
4 Le pilote CitectSCADA modifie alors le bit 3 de sa copie du registre en lui
affectant la valeur 0x0Ah. En écrivant dans l’automate, il écrase la copie du
registre de l’automate (et non pas uniquement le bit modifié). Les
modifications des bits 0 et 4 effectuées par le programme de l’automate entre
les écritures et lectures de CitectSCADA sont donc écrasées.
Validation de données CitectSCADA utilise des valeurs d’index numériques pour identifier de manière
de projets distribués unique tous les tags de variables d’un projet. Elles servent de point de référence
lorsque des données sont demandées au serveur d’E/S pour un pilote utilisant
pour les pilotes utilisant
des tags.
des tags
Ces valeurs sont automatiquement générées lorsqu’un projet est compilé, ce qui
signifie qu’elles doivent être surveillées de près en cas d’exécution d’un projet
sur plusieurs clients et serveurs. Il est possible qu’un projet distribué ait des
758
Erreurs avec des pilotes Les erreurs suivantes s’appliquent à tous les pilotes CitectSCADA. Une erreur
génériques de pilote doit être associée à une erreur générique avant que CitectSCADA ne
puisse l’interpréter.
Erreur Description
GENERIC_ADDRESS_RANGE_ERROR Une requête à une adresse de périphérique inexistante a été
(0x0001 | SEVERITY_ERROR) effectuée. Par exemple, une demande de lecture du registre
numéro 4000 a été effectuée alors que le périphérique ne
contient que 200 registres.
GENERIC_CMD_CANCELED Le serveur a annulé la commande pendant que le pilote la
(0x0002 | SEVERITY_ERROR) traitait. Ceci peut se produire si le pilote traite la commande
trop lentement. Vérifiez le délai de temporisation et le nombre
de tentatives prévues pour le pilote.
GENERIC_INVALID_DATA_TYPE Une requête spécifiant un type de données non pris en
(0x0003 | SEVERITY_ERROR) charge par le protocole a été effectuée. Cette erreur ne
devrait pas se produire en situation normale.
759
Erreur Description
GENERIC_INVALID_DATA_FORMAT Une requête comporte des données non valides (ex : écriture
(0x0004 | SEVERITY_ERROR) à une adresse en virgule flottante en utilisant un nombre à
virgule flottante non valide). Examinez la base de données
CitectSCADA.
GENERIC_INVALID_COMMAND Le serveur a envoyé une commande non reconnue par le
(0x0005 | SEVERITY_ERROR) pilote. Cette erreur ne devrait pas se produire en situation
normale.
GENERIC_INVALID_RESPONSE Un problème de canal de communication produit des erreurs
(0x0006 | SEVERITY_ERROR) dans les données transmises.
GENERIC_UNIT_TIMEOUT Un périphérique ne répond pas à des demandes de lecture ou
(0x0007 | SEVERITY_ERROR) d’écriture. Le pilote a envoyé une commande au périphérique
et le périphérique n’a pas répondu dans le délai de
temporisation.
GENERIC_GENERAL_ERROR Les erreurs de pilote non associées sont généralement
(0x0008 | SEVERITY_ERROR) signalées comme des erreurs générales. Reportez-vous aux
erreurs spécifiques au protocole que vous utilisez.
GENERIC_WRITE_PROTECT Une tentative d’écriture a eu lieu dans une zone protégée
(0x0009 | SEVERITY_ERROR) contre des modifications non autorisées. Modifiez les droits
d’accès concernant cette zone afin d’autoriser une écriture.
GENERIC_HARDWARE_ERROR Il y a un problème avec le canal de communication, le serveur
(0x000A | SEVERITY_UNRECOVERABLE) ou le périphérique. Examinez tous les composants matériels.
Il est possible que le serveur ne fonctionne plus correctement.
GENERIC_UNIT_WARNING La liaison entre le serveur et le périphérique fonctionne
(0x000B | SEVERITY_WARNING) correctement mais une condition d’alerte est active dans le
périphérique (ex : le périphérique est en mode programme).
GENERIC_UNIT_OFFLINE Le périphérique est en mode autonome, empêchant toute
(0x000C | SEVERITY_SEVERE) communication externe. Cette erreur activera toutes les unités
de secours. CitectSCADA essaiera de réinitialiser l’unité.
GENERIC_SOFTWARE_ERROR Une erreur logicielle interne est survenue dans le pilote. Cette
(0x000D | SEVERITY_SEVERE) erreur ne devrait pas se produire en situation normale.
GENERIC_ACCESS_VOILATION Un utilisateur non autorisé a tenté d’accéder aux informations.
(0x000E| SEVERITY_ERROR) Vérifiez les droits d’accès de l’utilisateur.
GENERIC_NO_MEMORY Le serveur ou le pilote manque de mémoire et ne peut
(0x000F | SEVERITY_UNRECOVERABLE) poursuivre l’exécution. Minimisez la mémoire allouée au
tampon et à la file d’attente ou augmentez la mémoire du
serveur (mémoire physique ou virtuelle).
GENERIC_NO_BUFFERS Tous les tampons de communication ont été attribués. La
(0x0010 | SEVERITY_ERROR) performance du serveur risque de diminuer mais il continuera
de fonctionner. Augmentez le nombre de tampons de
communication.
GENERIC_LOW_BUFFERS Cette erreur peut se produire en cas de chargement
(0x0011| SEVERITY_WARNING) transitoire élevé; elle est sans conséquences sérieuses. Si
cette erreur se produit fréquemment, augmentez le nombre
de tampons de communication.
760
Erreur Description
GENERIC_TOO_MANY_COMMANDS Le nombre de commandes envoyées au pilote est trop grand.
(0x0012| SEVERITY_WARNING) Si vous utilisez un pilote NETBIOS, augmentez le nombre de
blocs de contrôle NETBIOS.
GENERIC_DRIVER_TIMEOUT Le serveur ne reçoit pas de réponse du pilote. Cette erreur ne
(0x0013 | SEVERITY_ERROR) devrait pas se produire en situation normale.
GENERIC_NO_MORE_CHANNELS Chaque pilote ne peut prendre en charge qu’un nombre fixe
(0x0014 | SEVERITY_SEVERE) de canaux de communication. Vous avez dépassé la limite.
La commande ou la demande de données n’a pas abouti.
GENERIC_CHANNEL_OFFLINE Un canal de communication est déconnecté et empêche toute
(0x0015 | SEVERITY_SEVERE) communication. Le serveur ne peut initialiser le canal de
communication ou le canal s’est déconnecté au cours de
l’exécution. Tous les périphériques (unités) utilisant ce canal
seront considérés comme étant déconnectés et les unités de
secours seront activées. CitectSCADA essaiera de
réinitialiser le canal.
GENERIC_BAD_CHANNEL Le serveur a tenté de communiquer en utilisant un canal qui
(0x0016| SEVERITY_SEVERE) n’est pas ouvert.
GENERIC_CHANNEL_NOT_INIT Le serveur tente de communiquer avec un canal qui n’a pas
(0x0017 | SEVERITY_SEVERE) été initialisé. Cette erreur ne devrait pas se produire en
situation normale. La commande ou la demande de données
n’a pas abouti. Si le problème persiste, contactez l’Assistance
Citect.
GENERIC_TOO_MANY_UNITS Le nombre de périphériques connectés à un même canal est
(0x0018 | SEVERITY_SEVERE) trop grand. Cette erreur ne devrait pas se produire en
situation normale.
GENERIC_INVALID_DATA Les données demandées ne sont pas dans un format valide
(0x0019 | SEVERITY_ERROR) ou du type attendu.
GENERIC_CANNOT_CANCEL Le serveur a tenté d’annuler une commande qui n’a pas été
(0x001A | SEVERITY_WARNING) trouvée par le pilote. Cette erreur ne devrait pas se produire
en situation normale.
GENERIC_STANDBY_ACTIVE La communication est passée de l’unité primaire à l’unité de
(0x001B | SEVERITY_WARNING) secours. Le serveur renvoie ce message lorsqu’un
changement a eu lieu en cours d’utilisation.
GENERIC_MSG_OVERRUN Une réponse était plus longue que le tampon de réponse. Si
(0x001C | SEVERITY_ERROR) cette erreur se produit avec des pilotes de communication
série, vous risquez de recevoir des caractères corrompus.
Vérifiez la communication et le débit en bauds du pilote.
GENERIC_BAD_PARAMETER Il y a une erreur de configuration (ex : des options
(0x001D | SEVERITY_ERROR) particulières non valides ont été sélectionnées).
GENERIC_STANDBY_ERROR Il y a une erreur dans l’unité de secours.
(0x001E| SEVERITY_WARNING)
GENERIC_NO_RESPONSE Le serveur de communication ne répond pas.
(0x001F | SEVERITY_ERROR)
761
Erreur Description
GENERIC_UNIT_REMOTE Communication impossible avec l’unité distante (ex :
(0x0020 | SEVERITY_ERROR) périphériques d’E/S accessibles par numérotation).
Uniquement utilisée pour les périphériques d’E/S
programmés.
GENERIC_GENERAL_WARNING Le pilote exécute l’action demandée mais doit signaler tout
(0x0024 | SEVERITY_WARNING) problème potentiel. Par exemple, des pilotes peuvent utiliser
ce message pour signaler des données périmées.
Erreurs avec des pilotes Les erreurs suivantes sont des erreurs de bas niveau s’appliquant à tous les
standard pilotes CitectSCADA. Ces erreurs sont toutes associées à des erreurs génériques
pour que CitectSCADA puisse les reconnaître. La plupart des pilotes produisent
également des erreurs spécifiques.
Erreur Description
0 (0x00000000) Pas d’erreur.
NO_ERROR
1 (0x00000001) Les caractères transmis n’ont pas été reçus suffisamment vite.
DRIVER_CHAR_OVERRUN Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_RESPONSE.
2 (0x00000002) Il y a une erreur de parité dans les caractères reçus. Cette erreur
DRIVER_CHAR_PARITY est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_RESPONSE.
3 (0x00000003) Une interruption a été détectée dans la ligne de réception. Cette
DRIVER_CHAR_BREAK erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_RESPONSE.
4 (0x00000004) Erreur de trame. Vérifiez le débit en bauds. Cette erreur est
DRIVER_CHAR_FRAMING associée à l’erreur générique GENERIC_INVALID_RESPONSE.
5 (0x00000005) Le message reçu du périphérique était trop long. Cette erreur est
DRIVER_MSG_OVERRUN associée à l’erreur générique GENERIC_INVALID_RESPONSE.
6 (0x00000006) La somme de contrôle du message reçu ne correspond pas à la
DRIVER_BAD_CRC valeur calculée. Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_RESPONSE.
7 (0x00000007) Caractère de début de texte absent. Cette erreur est associée à
DRIVER_NO_STX l’erreur générique GENERIC_INVALID_RESPONSE.
8 (0x00000008) Caractère de fin de texte absent. Cette erreur est associée à
DRIVER_NO_ETX l’erreur générique GENERIC_INVALID_RESPONSE.
9 (0x00000009) Le pilote n’a pas été initialisé. Cette erreur est associée à l’erreur
DRIVER_NOT_INIT générique GENERIC_UNIT_OFFLINE.
10 (0x0000000A) Le message ne peut être transmis. Cette erreur est associée à
DRIVER_BAD_TRANSMIT l’erreur générique GENERIC_UNIT_OFFLINE.
11 (0X0000000B) Le pilote ne peut être réinitialisé. Cette erreur est associée à
DRIVER_CANNOT_RESET l’erreur générique GENERIC_CHANNEL_OFFLINE.
12 (0X0000000C) La longueur de réponse est incorrecte. Cette erreur est associée à
DRIVER_BAD_LENGTH l’erreur générique GENERIC_GENERAL_ERROR.
762
Erreur Description
13 (0X0000000D) La longueur du message est trop courte. Cette erreur est associée
DRIVER_MSG_UNDERRUN à l’erreur générique GENERIC_INVALID_RESPONSE.
15 (0X0000000F) La commande provenant du serveur n’est pas valide. Cette erreur
DRIVER_INVALID_COMMAND est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_COMMAND.
16 (0X00000010) Une horloge ne peut être affectée au pilote. Cette erreur est
DRIVER_NO_TIMER associée à l’erreur générique GENERIC_HARDWARE_ERROR.
17 (0x00000011) Le nombre de canaux spécifiés pour le périphérique est trop
DRIVER_NO_MORE_CHANNELS grand. Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_NO_MORE_CHANNELS.
18 (0x00000012) Le canal du serveur n’est pas ouvert. Cette erreur est associée à
DRIVER_BAD_CHANNEL l’erreur générique GENERIC_BAD_CHANNEL.
19 (0x00000013) La commande ne peut pas être annulée. Cette erreur est associée
DRIVER_CANNOT_CANCEL à l’erreur générique GENERIC_CANNOT_CANCEL.
20 (0x00000014) Le canal n’est pas connecté. Cette erreur est associée à l’erreur
DRIVER_CHANNEL_OFFLINE générique GENERIC_CHANNEL_OFFLINE.
21 (0x00000015) Aucune réponse n’a été reçue dans le délai configuré par
DRIVER_TIMEOUT l’utilisateur. Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_UNIT_TIMEOUT.
22 (0x00000016) L’unité du serveur n’est pas active ou est en dehors des limites
DRIVER_BAD_UNIT prévues. Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_UNIT_OFFLINE.
23 (0x00000017) L’unité n’est pas connectée. Cette erreur est associée à l’erreur
DRIVER_UNIT_OFFLINE générique GENERIC_UNIT_OFFLINE.
24 (0x00000018) Le type de données du serveur est inconnu du pilote. Cette erreur
DRIVER_BAD_DATA_TYPE est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_DATA_TYPE.
25 (0x00000019) Le type de l’unité du serveur est inconnu du pilote. Cette erreur est
DRIVER_BAD_UNIT_TYPE associée à l’erreur générique GENERIC_INVALID_DATA_TYPE.
26 (0x0000001A) Le nombre d’unités spécifiées pour le canal est trop grand. Cette
DRIVER_TOO_MANY_UNITS erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_TOO_MANY_UNITS.
27 (0x0000001B) Le nombre de commandes envoyées au pilote est trop grand.
DRIVER_TOO_MANY_COMMANDS Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_TOO_MANY_COMMANDS.
29 (0x0000001D) La commande est annulée. Cette erreur est associée à l’erreur
DRIVER_CMD_CANCELED générique GENERIC_COMMAND_CANCELLED.
30 (0x0000001E) L’adresse/la longueur est en dehors des limites prévues. Cette
DRIVER_ADDRESS_RANGE_ERROR erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_ADDRESS_RANGE_ERROR.
31 (0x0000001F) La longueur des données du serveur est incorrecte. Cette erreur
DRIVER_DATA_LENGTH_ERROR est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_RESPONSE.
763
Erreur Description
32 (0x00000020) Les données ne peuvent être lues dans le périphérique. Cette
DRIVER_BAD_DATA erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_INVALID_DATA.
33 (0x00000021) Le périphérique spécifié n’existe pas. Cette erreur est associée à
DRIVER_DEVICE_NOT_EXIST l’erreur générique GENERIC_HARDWARE_ERROR.
34 (0x00000022) Le périphérique spécifié ne prend pas en charge l’interruption.
DRIVER_DEVICE_NO_INTERRUPT Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_HARDWARE_ERROR.
35 (0x00000023) Des options particulières non valides se trouvent dans la base de
DRIVER_BAD_SPECIAL données de ports. Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_BAD_PARAMETER.
36 (0x00000024) L’écriture est impossible dans la variable. Cette erreur est
DRIVER_CANNOT_WRITE associée à l’erreur générique GENERIC_GENERAL_ERROR.
37 (0x00000025) Le pilote manque de mémoire et ne peut poursuivre l’exécution.
DRIVER_NO_MEMORY Minimisez la mémoire allouée au tampon et à la file d’attente ou
augmentez la mémoire de l’ordinateur (mémoire physique ou
virtuelle). Cette erreur est associée à l’erreur générique
GENERIC_NO_MEMORY.
Communications programmées
CitectSCADA permet de programmer des communications avec vos
périphériques d’E/S (quel que soit le type de connexion : modem, liaison
radio, etc.). Par exemple, si vous disposez de plusieurs périphériques d’E/S sur
un même réseau ou une même ligne, vous pouvez programmer des lectures plus
fréquentes pour les périphériques d’E/S critiques que pour les périphériques
non-critiques. Une société d’approvisionnement en eau disposant de connexions
radio avec des détecteurs de niveau d’eau dans un barrage pourra ainsi
programmer des lectures horaires depuis CitectSCADA afin de limiter la largeur
de bande utilisée.
Remarque : La communication avec un périphérique d’E/S distant accessible par
numérotation (via un modem) n’est possible qu’avec les systèmes d’exploitation
Windows NT/2000.
Voir aussi Programmation des communications
Écriture dans un périphérique d’E/S programmé
Lecture dans un périphérique d’E/S programmé
Programmation des Pour configurer des communications programmées avec un périphérique d’E/S,
communications vous devez l’identifier en tant que périphérique « programmé ». Pour ce faire,
utilisez l’Assistant Express Communications. Si votre périphérique d’E/S ne
prend pas en charge les communications programmées, les options de
programmation ne seront pas présentées par l’Assistant.
764
Lecture dans un Lorsqu’un serveur d’E/S établit une communication avec un périphérique d’E/S,
périphérique d’E/S il écrit immédiatement les demandes d’écriture en attente puis lit tous les tags
du périphérique d’E/S. Ces valeurs sont ensuite stockées en antémémoire de
programmé
sorte que vous puissiez y accéder hors ligne.
Remarque : Le serveur d’E/S lit tous les tags lors de chaque communication et le
comptage de points augmente donc même si certains tags lus ne sont pas
utilisés.
IF bConnected = 1 THEN
WHILE TRUE DO
Sleep(2);
IODeviceControl(sDevice, 16, 0);
END
END
END
// Suppression de la lecture et interruption de la connexion.
FUNCTION
HangupDevice(STRING sDevice)
TaskKill(hTask);
IODeviceControl(sDevice, 8, 0);
END
Vous pouvez également forcer le serveur d’E/S à lire des données directement
dans un périphérique d’E/S en désactivant la lecture de l’antémémoire.
L’activation de [Dial]ReadThroughCache alors que le serveur d’E/S est
connecté à un périphérique permet d’acheminer des données aux clients
demandeurs directement depuis le périphérique. L’antémémoire n’est pas mise
à jour à ce moment-là mais elle est rafraîchie avec les données de périphérique
les plus récentes juste avant que le serveur ne se déconnecte.
Remarque : Si vous utilisez des modems, vous devrez peut-être modifier ou
désactiver leur minuteur d’inactivité afin de les empêcher de se déconnecter en
l’absence de lecture de données. Ce minuteur est commandé par le registre S30.
Veuillez consulter le manuel de votre modem s’il ne prend pas en charge ce
registre.
Comment éviter des lectures multiples inutiles dans les périphériques d’E/S
Pour éviter des lectures inutiles dans un périphérique d’E/S, vous pouvez
utiliser l’antémémoire pour stocker provisoirement des données du
périphérique dans la mémoire du serveur d’E/S. Cela signifie que si le serveur
d’E/S reçoit plus d’une demande de données dans un délai relativement bref, il
peut récupérer les données de l’antémémoire au lieu de contacter le
périphérique d’E/S une deuxième fois et de lire des données identiques.
767
Modems au niveau du Vous pouvez connecter plusieurs périphériques d’E/S à un seul modem s’ils ont
périphérique d’E/S les mêmes besoins de communication (numéro de téléphone, Débit en bauds,
bits de données, bits d’arrêt et parité). Vous devez utiliser autant de ports et de
modems que de périphériques d’E/S distants ayant des besoins de
communication différents.
Déterminez le nombre de modems nécessaires en tenant compte des points
suivants :
Une fois qu’un périphérique d’E/S a été contacté, la connexion peut être
maintenue pour les autres périphériques d’E/S du même groupe. Si le
serveur d’E/S doit demander des données à un autre périphérique d’E/S
utilisant les mêmes paramètres de communication, il attendra la fin de la
requête courante puis utilisera la même connexion pour lancer sa requête.
Vous pouvez configurer votre modem de sorte qu’il lance des appels
téléphoniques (à CitectSCADA) et/ou en reçoive. Ceci se fait
indépendamment de CitectSCADA.
Remarque : Quel que soit votre modem, vous devez vous assurer que les
valeurs de bits de données, parité, bits d’arrêt et vitesse de port série sont
compatibles avec le périphérique d’E/S distant.
Voir aussi Modems au niveau du serveur d’E/S
Exemples de Les exemples ci-dessous illustrent comment configurer les modems connectés à
configurations de votre serveur d’E/S de sorte à prendre en charge différentes combinaisons de
périphériques d’E/S.
modems connectés au
serveur d’E/S Exemple 1
Tous vos périphériques d’E/S distants ont les mêmes besoins de communication
(bits de données, bits d’arrêt, parité et débit en bauds) : 19200 8 E 1.
Vous ne comptez pas recevoir d’appels critiques de vos périphériques d’E/S ou
vous ne disposez que de quelques périphériques d’E/S distants. Cela signifie que
vous pouvez utiliser un seul modem au niveau du serveur d’E/S. Ce modem
devrait être configuré de sorte à répondre à des appels entrants et à effectuer des
appels programmés ou lancés par CitectSCADA.
Pour configurer votre modem, vous devez préalablement l’avoir défini dans
Windows. En supposant que le modem logique porte le nom « modem
standard », vous devrez le configurer comme suit :
Bits de Bits
Port Nom du modem Vitesse max. Parité
données d’arrêt
COM1 Modem standard 19200 8 E 1
770
Exemple 2
Dans cet exemple, vos périphériques d’E/S utilisent deux types de
communication différents : 9600 7 O 1 et 19200 8 E 1.
Vous ne comptez pas recevoir d’appels importants de vos périphériques d’E/S
ou vous ne disposez que de quelques périphériques d’E/S. Cela signifie que vous
pouvez utiliser un seul modem au niveau du serveur d’E/S. Ce modem doit
pouvoir recevoir des appels de vos périphériques d’E/S et les appeler et les
rappeler.
Pour configurer votre modem, vous devez préalablement l’avoir défini dans
Windows (dans le Panneau de configuration Windows). Mais il ne s’agit pas de
définir uniquement le modem physique. Vous devez également définir un
nouveau modem Windows (virtuel) pour chaque type de communication.
Vous allez donc avoir deux modems virtuels : l’un pour 9600 7 O 1, et l’autre
pour 19200 8 E 1. Or Windows ne permet pas de définir ces deux modems pour
les appels entrants : il ne vous laisse définir qu’un seul modem récepteur par
port. Si vous choisissez le premier, il ne pourra recevoir d’appels du second et
vice-versa.
Cela signifie que vous devez configurer un autre modem virtuel pouvant
répondre aux appels quel que soit le type de communication utilisé. Ce modem
utilisera donc le type de communication générique 9600 8 N 1.
Vous disposerez donc sous Windows de trois modems logiques (deux pour les
appels sortants et un pour les appels entrants). En supposant que les modems
logiques portent les noms « Modem standard » à « Modem standard No. 3 »,
vous devrez les configurer comme suit :
Bits de Bits
Port Nom du modem Vitesse max. Parité
données d’arrêt
COM1 Modem standard 9600 7 O 1
COM1 Modem standard 19200 8 E 1
Modem standard
Modem Standard #2
COM1 Modem standard 9600 8 N 1
No. 3
771
Vous pourrez ensuite configurer les modems dans CitectSCADA comme suit.
Nom du modem Appel sortant Appel entrant Rappel
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard
Modem Standard #2
Modem standard No. FALSE TRUE FALSE
3
Exemple 3
Cet exemple utilise cinq types de communication différents : 9600 7 O 1, 19200 8
E 1, 4800 8 N 1, 9600 8 N 1 et 19200 8 N 1.
Si vous attendez des appels importants de vos périphériques d’E/S ou si vous
disposez d’un certain nombre de périphériques d’E/S, vous devrez configurer
trois modems au niveau du serveur d’E/S :
Un sur le port COM3, réservé à la réception d’appels des périphériques d’E/
S 9600 7 O 1.
Un sur le port COM2, pour appeler les périphériques d’E/S 4800 8 N 1, 9600
8 N 1 et 19200 8 N 1.
Un sur le port COM1, pour appeler les périphériques d’E/S 9600 7 O 1 et
19200 8 E 1.
Les deux modems émetteurs pourront effectuer des rappels et lancer des appels
en réponse à des requêtes programmées, et ainsi de suite.
Pour configurer vos modems, vous devez préalablement les avoir définis dans
Windows (dans le Panneau de configuration Windows). Mais il ne s’agit pas de
définir uniquement le modem physique. Vous devez également définir un
nouveau modem Windows (virtuel) pour chaque type de communication.
En supposant que les modems logiques portent les noms « Modem standard » à
« Modem standard No. 6 », vous devrez les configurer comme suit :
Bits de Bits
Port Nom du modem Vitesse max. Parité
données d’arrêt
COM1 Modem standard 9600 7 O 1
COM1 Modem standard 19200 8 E 1
Modem standard
Modem Standard #2
COM2 Modem standard No. 4800 8 N 1
3
772
Bits de Bits
Port Nom du modem Vitesse max. Parité
données d’arrêt
COM2 Modem standard 9600 8 N 1
Modem standard
Modem Standard #4
COM2 Modem standard 19200 8 N 1
Modem standard
Modem Standard #5
COM3 Modem standard 9600 7 O 1
Modem standard
Modem Standard #6
Vous pourrez ensuite configurer les modems dans CitectSCADA comme suit :
Nom du modem Appel sortant Appel entrant Rappel
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard
Modem Standard #2
Modem standard No. TRUE FALSE FALSE
3
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard
Modem Standard #4
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard
Modem Standard #5
Modem standard FALSE TRUE FALSE
Modem standard
Modem Standard #6
Exemple 4
Dans cet exemple, vos périphériques d’E/S utilisent trois types de
communication différents : 9600 7 O 1, 19200 8 E 1 et 9600 8 N 1. Mais vous
attendez cette fois des appels critiques de vos périphériques d’E/S et devez donc
disposer d’un modem réservé aux rappels.
Vous devez donc configurer vos modems comme suit :
Un modem sur le port COM1, pour appeler tous les périphériques d’E/S
distants (pour les appels programmés, etc).
Un modem sur le port COM2, pour recevoir des appels de périphériques
d’E/S distants.
Un modem sur le port COM3, pour rappeler ces périphériques d’E/S
distants.
773
Pour configurer vos modems, vous devez préalablement les avoir définis dans
Windows (dans le Panneau de configuration Windows). Mais il ne s’agit pas de
définir uniquement le modem physique : vous devez également définir un
nouveau modem Windows (virtuel) pour chaque type de communication. Cela
signifie que vous devez configurer :
Trois modems logiques sur le port auquel est connecté le modem physique
émetteur.
Un modem logique sur le port auquel est connecté le Modem récepteur
physique.
Trois modems logiques sur le port auquel est connecté le modem physique
de rappel.
En supposant que les sept modems logiques portent les noms « Modem
standard » à « Modem standard No. 7 », vous devrez les configurer comme suit :
Bits de Bits
Port Nom du modem Vitesse max. Parité
données d’arrêt
COM1 Modem standard 9600 7 O 1
COM1 Modem standard 19200 8 E 1
Modem standard
Modem Standard #2
COM1 Modem standard No. 9600 8 N 1
3
COM2 Modem standard 9600 8 N 1
Modem standard
Modem Standard #4
COM3 Modem standard 9600 7 O 1
Modem standard
Modem Standard #5
COM3 Modem standard 19200 8 E 1
Modem standard
Modem Standard #6
COM3 Modem standard 9600 8 N 1
Modem standard
Modem Standard #7
Vous pourrez ensuite configurer les modems dans CitectSCADA comme suit ::
Nom du modem Appel sortant Appel entrant Rappel
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard TRUE FALSE FALSE
Modem standard
Modem Standard #2
774
Contraintes relatives au Si vous établissez une communication multipoint à partir d’un seul modem,
fonctionnement utilisez vos périphériques d’E/S plutôt que le modem pour émettre
l’identification de l’appelant. Sinon, le modem émettrait la même identification
multipoint des
quel que soit le périphérique d’E/S concerné par l’appel. Il serait alors difficile
périphériques d’E/S d’identifier le périphérique d’E/S ayant déclenché l’appel.
Lorsque les périphériques d’E/S émettent l’identification de l’appelant, le
serveur d’E/S recevra une identification unique pour chaque périphérique.
Toutefois, certains périphériques d’E/S ne peuvent pas émettre d’identifications
de l’appelant. Si vous avez une liaison multipoint, veillez à utiliser des
périphériques d’E/S offrant cette fonctionnalité.
Pour configurer un périphérique d’E/S distant accessible par numérotation
pour communiquer avec CitectSCADA :
1 Lancez l’Assistant Express Communications.
2 Suivez les instructions de l’Assistant, en sélectionnant le serveur d’E/S puis
le périphérique d’E/S appropriés ou en en créant de nouveaux si nécessaire.
3 À la page « Programmation » de l’Assistant, cochez la case Connecter le
périphérique d’E/S au réseau commuté.
4 Sélectionnez un programme de communication approprié entre
CitectSCADA et le périphérique d’E/S distant. (Pour une connexion
permanente lorsque CitectSCADA est en phase d’exécution, sélectionnez Au
Démarrage.) Par exemple (en utilisant une Heure de synchronisation égale
à 10:00:00) :
Si vous entrez 12:00:00 dans le champ Répéter chaque et si vous lancez
votre projet à 9 heures, le serveur d’E/S communiquera avec le
périphérique d’E/S à 10 heures, puis toutes les 12 heures, c’est-à-dire à
22 heures puis à 10 heures le lendemain matin, et ainsi de suite.
775
3 Cochez la case Ne pas détecter le modem; sélection dans une liste, puis
cliquez sur Suivant.
4 Sélectionnez Types de modems standard dans la liste des fabricants.
Remarque : Ne sélectionnez pas de marque dans la liste des fabricants,
même si le nom du modem que vous installez y figure. Ne cliquez pas sur
Disquette fournie.
5 Sélectionnez la vitesse Modem standard xxxx bps dans la liste de modèles
de sorte à ce qu’elle corresponde exactement à la vitesse du périphérique
d’E/S qui utilisera ce modem. Déterminez la vitesse de communication du
périphérique. En cas de doute, sélectionnez le modèle 9600 bps. Ceci peut
être modifié ultérieurement.
6 Ne cliquez pas sur Disquette fournie. Cliquez sur Suivant.
7 Sélectionnez le port COMx auquel le modem est connecté. Cliquez sur
Suivant.
8 Cliquez sur Fin. Windows affichera alors le modem dans la liste des
modems de l’écran Propriétés du modem.
9 On remarquera qu’aucune option n’a été proposée concernant la sélection et
les valeurs des bits de données, de la parité et des bits d’arrêt. L’Assistant
utilise automatiquement les valeurs par défaut (8 – sans parité – 1) pour tous
les types de modems standard. Pour modifier ces valeurs afin qu’elles
correspondent à celles du périphérique d’E/S distant, sélectionnez un
modem dans la liste puis cliquez sur le bouton Propriétés.
10 Cliquez sur l’onglet Avancé et cliquez sur Modifier les préférences par
défaut.
11 Cliquez sur l’onglet Avancé de la boîte de dialogue suivante pour modifier
les valeurs des bits de données, de la parité et des bits d’arrêt du modem.
12 En utilisant les menus déroulants, modifiez les valeurs des bits de données,
la parité et les bits d’arrêt de sorte qu’elles correspondent exactement aux
paramètres utilisés par le périphérique d’E/S et le modem distants. Ne
modifiez pas les paramètres avancés. (La valeur par défaut est Contrôle de
flux matériel.)
13 Cliquez sur OK. Si un modem fonctionnant à la même vitesse est installé sur
le même port qu’un modem existant, Windows vous demandera si vous
voulez utiliser la même configuration. Dans l’affirmative, cliquez sur Oui.
14 Préconfigurez le(s) modem(s) qui sera (seront) utilisé(s) au niveau du (des)
périphérique(s) d’E/S distant(s) accessible(s) par numérotation. Ces
périphériques permettront de tester la configuration du modem à la
prochaine étape.
15 Lorsque CitectSCADA n’est pas en phase d’exécution, vérifiez que les
modems locaux et distants communiquent correctement entre eux en
779
Propriétés des modems Cet écran permet de configurer le modem au niveau de votre serveur d’E/S pour
lancer des appels et les recevoir depuis des périphériques d’E/S distants
accessibles par numérotation.
Les modems ont les propriétés suivantes :
Nom du serveur (16 car.)
Nom du serveur d’E/S auquel le modem est connecté.
Nom du modem (64 car.)
Nom du modem que vous configurez (tel qu’il apparaît dans le Panneau de
configuration de Windows | Options de modems et téléphonie).
Commentaire (48 caractères.)
Tout commentaire utile.
Utiliser ce modem pour effectuer des appels sortants
Détermine si ce modem est utilisé pour lancer des appels depuis le serveur d’E/S
vers un périphérique d’E/S distant accessible par numérotation. (Appel sortant)
Peut comprendre des appels programmés, commandés par des événements ou
répondant à des appels de périphériques d’E/S.
Utiliser ce modem pour répondre à des appels entrants
780
Détermine si ce modem est utilisé pour recevoir des appels provenant d’un
périphérique d’E/S distant accessible par numérotation. (Appel entrant)
Remarque : Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans étendus (à
l’aide de la touche F2 ).Les champs ci-après sont accessibles depuis les écrans
étendus (appuyez sur F2).
Utiliser ce modem pour rappeler les périphériques d’E/S.
Détermine si ce modem est utilisé pour lancer des appels depuis le serveur d’E/S
vers un périphérique d’E/S distant accessible par numérotation en réponse à un
appel reçu du périphérique. (Rappel)
Voir aussi Problèmes de communication avec des périphériques d’E/S distants accessibles
par numérotation
Problèmes de Les problèmes les plus fréquents concernent la vitesse, la parité et les signaux de
communication avec commande de l’équipement connecté. En cas de problème, modifiez la vitesse et/
ou la parité. S’il n’y a pas d’amélioration, le problème est probablement dû aux
des périphériques d’E/S
codes de réponse ou à l’écho des commandes du modem.
distants accessibles par
numérotation Une liste de paramètres pouvant être utiles pour résoudre des problèmes est
fournie ci-après. (Cette liste n’est donnée qu’à titre indicatif, les commandes
n’étant pas prises en charge de la même façon par tous les modems. Pour plus de
détails, consultez le manuel de votre modem.)
Sur le modem connecté au PC
ATV1//Active les codes de résultats longs (verbeux)
ATQ0 //Les codes de résultat sont envoyés sur la connexion RS-232
ATE0 //Les commandes envoyées par l’ordinateur ne sont pas renvoyées à la connexion RS-232
AT&C1 //DCD suit la porteuse sur la ligne
AT&K0 //Négociation désactivée
ATW0 //À la connexion, seule la vitesse de l’ETTD est renvoyée
AT%C0 //Compression désactivée
AT&D0 //DTR toujours activé
Pour être sûr qu’un appel émis par un périphérique d’E/S distant n’est pas reçu
alors que CitectSCADA est arrêté (provoquant ainsi la perte des données
transmises), mettez le paramètre suivant sur zéro :
ATS0 = 0 // Réponse automatique désactivée
Notez que ceci affectera toutes les applications (en plus de CitectSCADA)
utilisant le modem, qui ne répondra à un appel que si CitectSCADA gère sa
fonctionnalité.
Sur le modem connecté au périphérique d’E/S
ATV0 //Active les codes de résultat courts
ATQ1 //Aucun code de résultat n’est envoyé sur la connexion RS-232
ATE0//Les commandes envoyées par l’ordinateur ne sont pas renvoyées
à la connexion RS-232
AT&C1 //DCD suit la porteuse sur la ligne
AT&K0 //Négociation désactivée
ATW0 //À la connexion, seule la vitesse de l’ETTD est renvoyée
AT%C0 //Compression désactivée
AT&D0 //DTR toujours activé
ATS0//Supérieur à 0 (définit le nombre de sonneries avant que le modem ne réponde à un
appel entrant).
782
Méthode auxiliaire de Si vous configurez votre modem pour qu’il appelle un périphérique d’E/S
connexion permanente distant accessible par numérotation, il est recommandé que vous suiviez les
procédures détaillées à la rubrique Communication avec des périphériques d’E/
(compatibilité
S distants accessibles par numérotation (Windows NT/2000 uniquement). La
ascendante) méthode ci-après est fournie afin d’assurer une compatibilité ascendante.
2 Elle envoie ensuite un signal puis attend une réponse. Si une réponse est
reçue, les communications se déroulent normalement. (Cependant, si les
communications sont interrompues à un moment donné, les étapes
suivantes seront exécutées).
3 En l’absence de réponse, le modem appelant attendra le délai de
temporisation du protocole (défini à l’aide du paramètre Temporisation).
Passé ce délai, il essayera à nouveau de communiquer.
4 Le nombre de tentatives dépendra de la valeur du paramètre Tentatives du
protocole. Par exemple, si ce paramètre est égal à 3, le modem fera 3
tentatives de communication. Si les trois tentatives échouent, à la fin du
troisième délai de temporisation, le temps de veille du protocole sera
déclenché (paramètre Temps de veille). À la fin de cette période, le modem
de réception est considéré comme étant déconnecté et la procédure est
répétée dans son intégralité (à partir de l’étape 1).
Cette série d’étapes est illustrée ci-dessous :
Voir aussi Assistant Express Communications — Lien à une base de données externe
Compilation du projet
Le compilateur CitectSCADA compile les éléments de votre projet en un
système superviseur.
Débogage de la Toute erreur détectée lors de la compilation est enregistrée dans un fichier
compilation d’erreurs. Le compilateur signale toute erreur rencontrée en cours de
compilation; vous pouvez annuler la compilation à tout moment. L’annulation
peut être automatique en cas d’erreurs multiples ou graves. Vous pouvez
localiser les erreurs et afficher les informations associées à la fin de la
compilation.
Le compilateur ne vérifie pas le bon fonctionnement de votre projet. La bonne
compilation de votre projet ne signifie pas qu’il fonctionnera correctement en
phase d’exécution. Le compilateur vérifie par exemple que vos tags sont
correctement définis et que votre Cicode utilise une syntaxe acceptable. Mais il
ne vérifie pas que vos tags utilisent une échelle correcte ou que votre Cicode ne
contient pas d’erreurs potentielles de division par zéro.
Remarque : N’essayez pas de lancer votre système avant d’avoir corrigé toutes
les erreurs de compilation rencontrées.
Pour afficher les erreurs de compilation :
Sélectionnez l’Éditeur de projet puis Fichier | Erreurs de compilation.
Pour obtenir de plus amples informations sur une erreur :
1 Cliquez sur Aide en bas de la boîte de dialogue Erreurs de compilation.
2 Lisez les rubriques d’aide correspondant à l’erreur indiquée.
Pour localiser l’erreur (dans le projet) :
Cliquez sur Aller vers en bas de la boîte de dialogue Erreurs de compilation.
796
Propriétés des erreurs La compilation d’un projet CitectSCADA peut générer des erreurs. Celles-ci sont
de compilation affichées dans la boîte de dialogue Erreurs de compilation.
797
Enregistrement
Le numéro de l’enregistrement de base de données où l’erreur s’est produite.
Nom
Nom de la Page graphique, de la bibliothèque ou du fichier de format de rapport
où l’erreur s’est produite.
Champ
Champ de base de données où l’erreur s’est produite.
Tableau
Tableau de base de données où l’erreur s’est produite.
Erreur
Brève description de l’erreur.
Contexte
Emplacement du champ, du fichier de format de rapport, ou de la bibliothèque
Cicode où l’erreur s’est produite. Le contexte des erreurs est présenté entre
parenthèses {. . . }.
798
Messages d’erreur de Les messages d’erreur ci-dessous peuvent apparaître lors de la compilation du
compilation projet.
Erreur Description
Adresse sur mauvaise limite Lors de la lecture d’un nombre long ou réel depuis la mémoire d’un
périphérique d’E/S, toutes les adresses doivent se trouver sur des limites
paires ou impaires. Les adresses ne doivent pas être mélangées. Vous
pouvez désactiver la vérification à l’aide du paramètre
[General]CheckAddressBoundary.
Adresse analogique non prise Une variable INT ou une autre variable analogique a été spécifiée au lieu
en charge d’une variable NUMÉRIQUE. Vérifiez que le nom de la variable est correct
ou qu’un type de données NUMÉRIQUE a été spécifié pour cette variable.
Dépassement de la taille du Un tag est indexé mais pas déclaré comme tableau, ou aucun index n’a été
tableau spécifié lors de la déclaration du tag en tant que tableau, ou un nombre
erroné de dimensions a été spécifié pour un tableau, ou plus de quatre
dimensions ont été spécifiées.
Format analogique erroné Format incorrectement spécifié pour une variable analogique. Vérifiez le
champ Format de l’écran Tags de variables.
Spécification de facteur Une expression Cicode contenant une expression invalide a été utilisée.
erronée Vérifiez la syntaxe de l’expression.
Nombre en virgule flottante Un nombre en virgule flottante ne peut être trouvé ou sa valeur est hors
erroné limite.
Variable de périphérique d’E/ Le format de l’adresse du tag de variable n’est pas valide pour le protocole
S erronée de périphérique d’E/S que vous utilisez. (Les formats d’adresse figurent
dans la rubrique Types de données de l’aide de chaque périphérique d’E/S
pris en charge).
Entier erroné Un entier ne peut être trouvé ou sa valeur est hors limite.
Limite de points erronée Une limite de points erronée a été spécifiée dans le fichier citect.ini.
La limite de points doit correspondre à votre licence CitectSCADA.
Type de donnée brute erroné Un type de donnée brute erroné ou des types de données non concordants
sont spécifiés. Par exemple, on a essayé de convertir un entier en chaîne de
caractères.
Paramètre de conversion de Un paramètre de format invalide est spécifié pour une conversion de chaîne
chaîne erroné de caractères. Vérifiez la spécification du format de la variable sur l’écran
Tags de variables.
Impossible de compiler toutes Une ou plusieurs erreurs ont été détectées lors de la compilation de la
les fonctions bibliothèque de fonctions.
Impossible d’ouvrir un fichier Le fichier ne peut être ouvert. Ce fichier n’existe pas ou est corrompu ou
votre système manque de poignées de fichiers.
Impossible de lire un fichier Le fichier ne peut être lu. Fin de fichier trouvée ou fichier corrompu.
Impossible de retourner une Une instruction RETURN ne peut être utilisée dans une fonction qui ne
valeur depuis une fonction retourne pas de valeur. Supprimez l’instruction RETURN ou déclarez un
type de données de retour pour cette fonction.
799
Erreur Description
Impossible d’utiliser un Vous ne pouvez déclarer un tableau dans une fonction. Les tableaux ne
tableau à l’intérieur d’une peuvent être déclarés en tant que variables de bibliothèque, c’est-à-dire au
fonction début d’un fichier bibliothèque.
RETURN ne peut être utilisé Une instruction RETURN peut seulement être utilisée à l’intérieur d’une
en dehors d’une fonction fonction.
Impossible d’écrire dans un Le fichier n’accepte aucune opération en écriture. Il est corrompu ou le
fichier disque est plein.
Limite de données Cicode Un tableau ne peut dépasser 60 Ko dans un module Cicode. Réduisez la
atteinte taille du tableau.
Parenthèse fermée attendue L’instruction Cicode comprend un nombre inégal de parenthèses ouvertes et
fermées. Une autre parenthèse « ) » ou « ] » est attendue dans l’instruction.
Délimiteur de commentaire Un commentaire débute par /* et doit se terminer par */. Ajoutez le délimiteur
attendu */ ou utilisez une ligne débutant par un point d’exclamation.
Guillemet fermé attendu L’expression Cicode possède un nombre inégal de guillemets ouverts et de
guillemets fermés. Un guillemet fermé (") est attendu dans cette expression.
Base de données vide La base de données ne contient aucun enregistrement.
Base de données non trouvée La base de données de projets principale ne peut être trouvée.
Tableau de base de données La base de données est pleine. Si l’erreur persiste, contactez l’Assistance
plein Citect.
Disque plein Le disque est plein. Supprimez les fichiers superflus ou installez un disque
de plus grande capacité.
DO attendu Une instruction DO doit être utilisée dans une instruction WHILE.
END attendu Une instruction END doit être utilisée à la fin d’une instruction conditionnelle
ou d’une définition de fonction.
Erreur de lecture de fichier Un fichier inclus spécifié dans un champ de base de données ne peut être
trouvé ou ne peut être ouvert. Vérifiez que le nom de ce fichier est correct et
que le fichier a été spécifié correctement, par exemple <@FILENAME>.
Expression trop longue Une expression est trop longue pour le compilateur. Diminuez-en la
longueur en la scindant en plusieurs expressions plus courtes.
Fichier déjà ouvert en mode Le fichier a déjà été ouvert par un autre utilisateur. Réglez le paramètre
SINGLE [General]ShareFiles sur 1 dans le Fichier citect.ini pour ouvrir un
fichier en mode partagé.
Le fichier n’existe pas Le fichier ne peut être trouvé. Vérifiez que le nom du fichier est correct.
Fichier en lecture seulement Vous avez essayé d’écrire dans un fichier accessible en lecture seulement.
Vérifiez le nom du fichier ou modifiez ses attributs.
Fichier verrouillé Le fichier est déjà utilisé par un autre utilisateur du réseau.
Fichier non indexé La base de données doit être indexée mais le fichier d’index associé ne peut
être trouvé. Utilisez la commande Compacter pour réindexer la base de
données.
Erreur de longueur de fichier Un fichier de fonctions Cicode, un fichier rapport ou un fichier inclus est trop
long. La longueur de fichier maximale est 1 Mo.
FUNCTION attendu Une fonction doit être déclarée avec le mot-clé FUNCTION.
800
Erreur Description
Fonction GLOBAL non Vous avez déclaré une fonction Global dans Cicode. Global n’est pas un
autorisée, utilisez PUBLIC type de fonction valide. Utilisez à la place le type Public.
Groupe non trouvé Un nom de groupe était attendu. Vérifiez que le nom du groupe est correct
ou que ce groupe a été spécifié correctement dans l’écran Groupes.
Projet inclus non trouvé Un projet inclus (spécifié dans la base de données des projets inclus)
n’existe pas. Vérifiez le nom du projet.
Types incompatibles Les types de données d’une instruction ne concordent pas. Par exemple,
vous avez spécifié une chaîne de caractères au lieu d’un nombre.
Cette erreur peut être générée lorsqu’un tag de variable est placé sur une
page graphique et le nom du tag est identique au nom d’une fonction Cicode
du projet ou d’un projet inclus.
Nombre incorrect Trop ou trop peu d’arguments ont été transmis à une fonction Cicode.
d’arguments d’une fonction
Clé d’index modifiée L’index de la base de données est corrompu. Utilisez la commande
Compacter pour réindexer la base de données.
Valeur BOOLÉENNE invalide Une valeur non entière a été trouvée au lieu d’une valeur VRAIE ou
FAUSSE. Par exemple, dans une instruction IF, WHILE, ou FOR,
l’expression de contrôle doit être un entier.
Nom de police invalide Cette police de caractères n’existe pas dans le projet. Vérifiez que le nom de
la police est correct ou spécifiez-la dans l’écran Polices.
Définition de groupe invalide Un groupe n’existe pas dans le projet. Vérifiez que son nom est correct ou
spécifiez-le sur l’écran Groupes.
Format temporel invalide Format temporel incorrectement spécifié dans les champs Heure, Période
ou Période d’échantillonnage des écrans Rapports, Événements, Tags de
tendances, Tags SPC ou Périphériques.
Les heures doivent être exprimées dans le format HH :MM :SS et doivent
être comprises entre 0:00:00 et 23:59:59. Seule l’heure est requise. Par
exemple, la valeur 16 signifie 16 heures. Notez que 24 :00:00 est accepté et
est équivalent à 0:00:00.
Les périodes doivent être une date ou une heure valides exprimées dans le
format HH :MM :SS où les minutes et les secondes sont comprises entre 0
et 59. Seules les secondes sont requises. Par exemple, la valeur 22 signifie
22 secondes.
Les périodes d’échantillonnage doivent être soit une valeur en millisecondes
(par exemple : 0,200 pour 200 millisecondes) soit une heure exprimée dans
le format HH :MM :SS où les minutes et les secondes sont comprises entre
0 et 59. Seules les secondes sont requises. Par exemple, la valeur 22
signifie 22 secondes.
Erreur d’argument d’étiquette La syntaxe de l’argument est incorrecte ou un nombre de caractères
incorrect a été spécifié dans l’argument.
Étiquette définie deux fois Chaque étiquette doit avoir son nom propre. Recherchez tout nom en double
dans l’écran Étiquettes.
Étiquette trop longue L’étiquette est trop longue. Elle ne doit pas excéder 8 Ko.
Taille de rapport maximale La taille du rapport doit être inférieure à 63K. Réduisez la taille du rapport ou
atteinte configurez deux rapports.
801
Erreur Description
Fonction MODULE non Vous avez déclaré une fonction Module dans Cicode. Module n’est pas un
autorisée, utilisez PRIVATE type de fonction valide. Utilisez à la place le type Private.
La fonction doit retourner une Une fonction Cicode déclarée comme devant retourner une valeur doit
valeur inclure une instruction RETURN.
Pas de périphérique d’E/S Pas de périphérique d’E/S défini dans le projet.
défini
Pas de format de base de La base de données est corrompue ou le format de fichier est inconnu.
données Utilisez la commande Compacter pour réindexer la base de données.
Parenthèse ouverte attendue Vous devez utiliser des parenthèses () dans les fonctions Cicode, même si
elles n’ont pas de paramètres, par exemple MyFunction().
Cette erreur peut être générée lorsqu’un tag de variable est placé sur une
page graphique et le nom du tag est identique au nom d’une fonction Cicode
du projet ou d’un projet inclus.
Opérande attendu Un opérateur Cicode doit être suivi d’un opérande.
Poignées de fichiers CitectSCADA utilise une poignée pour ouvrir chaque fichier. Lorsque vous
insuffisantes essayez d’ouvrir simultanément trop de fichiers ou de bases de données,
CitectSCADA se trouve à court de poignées.
Ceci se produit le plus souvent quand vous avez un grand nombre de projets
inclus. Lorsque CitectSCADA compile votre projet, il ouvre simultanément
plusieurs fichiers dans chaque projet inclus, de sorte que chaque projet
inclus augmente le nombre de poignées de fichiers. Si vous obtenez ce
message d’erreur alors que vous venez d’ajouter un projet inclus, c’est que
vous manquez de poignées. Pour vous en assurer, supprimez l’un des
projets inclus et vérifiez si CitectSCADA peut compiler votre projet.
Dans un réseau Windows, le nombre maximal de poignées de fichiers est
défini en divers endroits. Dans DOS, ce nombre peut être augmenté dans le
fichier CONFIG.SYS. Si vous utilisez Novell Netware, vous devrez
également modifier le fichier NET.CFG ou SHELL.CFG. Vous devrez par
ailleurs augmenter le nombre utilisé par CitectSCADA en modifiant le
paramètre [CtEdit]DbFiles. Utilisez les valeurs ci-dessous dans ces fichiers :
CONFIG.SYS
FILES=120
NET.CFG or SHELL.CFG
file handles=120
Mémoire insuffisante CitectSCADA ne dispose pas d’une quantité de mémoire suffisante.
Augmentez la capacité mémoire de l’ordinateur ou réduisez la taille de vos
bases de données.
Un nom de page ne peut Un nom de page doit commencer par un caractère alphanumérique (A — Z,
commencer par un trait de a — z, ou 0 — 9).
soulignement
Limite de points atteinte Le nombre maximum de points pouvant être référencés est atteint. La Limite
de points maximum dépend de votre licence CitectSCADA. Contactez
l’Assistance Citect.
Variable PRIVATE non Vous avez déclaré une variable Private dans Cicode. Private n’est pas un
autorisée, utilisez MODULE type de variable valide. Utilisez à la place le type Module.
802
Erreur Description
Protocole attendu Le champ de protocole de la base de données des périphériques d’E/S est
vide. Sélectionnez un protocole pour le périphérique d’E/S.
Variable PUBLIC non Vous avez déclaré une variable Public dans Cicode. Public n’est pas un type
autorisée, utilisez GLOBAL de variable valide. Utilisez à la place le type Global.
Fin de tableau atteinte La fin de la base de données a été atteinte ou la base de données est
corrompue. Utilisez la commande Compacter pour réindexer la base de
données. Si l’erreur persiste, contactez l’Assistance Citect.
Lecture remappée non prise Une variable mappée ne peut être écrite lorsque Écriture remappée est
en charge pour cette variable désactivé et ne peut être lue lorsque Lecture remappée est désactivé.
Vérifiez l’écran Remappage.
Point-virgule attendu Toutes les instructions Cicode doivent être séparées par des points virgules
(;).
Erreur logicielle Une erreur a été détectée dans le logiciel CitectSCADA. Contactez
l’Assistance Citect.
Fichier de spécification Un fichier système est corrompu ou a été supprimé. Réinstallez
invalide CitectSCADA sur votre système. Si l’erreur persiste, contactez l’Assistance
Citect.
Instruction attendue CitectSCADA attend une instruction. Recherchez une erreur de syntaxe
dans Cicode.
Chaîne de caractères Seules des chaînes de caractères peuvent être utilisées dans les champs
attendue d’une base de données.
Chaîne trop longue La taille de la chaîne a été dépassée. La taille chaîne ne doit pas dépasser
255 caractères.
Le Super Génie doit être sur La syntaxe de Super Génie (?) ne peut être utilisée que sur des pages. Vous
une page ne pouvez utiliser un Super Génie dans un rapport ou une bibliothèque de
fonctions Cicode. Utilisez plutôt les fonctions TagRead() et TagWrite().
Recherche de symbole Un enregistrement de base de données n’existe pas. Vérifiez que le Nom
infructueuse d’enregistrement est correct.
Erreur de syntaxe Une expression Cicode mal structurée a été spécifiée. Vérifiez la structure
de cette expression.
Variable déjà définie Chaque variable doit avoir son propre nom. Vérifiez qu’il n’existe pas de nom
en double dans l’écran Tags de variables.
Tag attendu Un nom de tag n’a pu être trouvé ou une Expression a été transmise à une
fonction alors que celle-ci attendait un tag. Vérifiez le nom du tag ou
spécifiez-le dans l’écran Tags de variables.
Tag non trouvé Le tag n’existe pas. Vérifiez le nom du tag ou spécifiez-le (dans l’écran Tags
de variables). Si le tag n’existe pas dans la base de données des variables,
il est possible que l’index de la base de données soit incorrect. Ceci peut se
produire si vous avez modifié la base de données dans Excel ou dans un
autre éditeur de base de données. Pour réindexer la base de données,
sélectionnez Fichier | Compacter dans l’Éditeur de projets.
THEN attendu Une instruction THEN doit être utilisée dans une instruction IF.
Trop d’arguments Trop d’arguments spécifiés dans une fonction Cicode. Le nombre maximum
d’arguments autorisé est 32.
803
Erreur Description
Trop de fonctions Cicode Plus de 4500 fonctions utilisateur Cicode ont été définies. Pour augmenter le
nombre de fonctions permises (jusqu’à 10 000), utilisez le paramètre CtEdit
MaxCicodeFunctions. Cette erreur est souvent due au fait que les fonctions
Cicode sont définies dans plusieurs projets inclus. L’augmentation de ce
paramètre peut nuire à la performance du système. Il ne devrait être modifié
que sur recommandation de l’Assistance Citect.
Trop de champs dans la base Trop de champs ont été spécifiés dans la base de données. Cette erreur ne
de données devrait se produire que si le fichier citect.frm a été modifié ou
corrompu. Contactez l’Assistance Citect.
Trop de fichiers ouverts Le nombre maximum de fichiers .DBF pouvant être ouverts simultanément a
été dépassé. Augmentez cette limite en modifiant le paramètre
[CtEdit]DbFiles.
Trop de projets inclus Plus de 240 projets inclus ont été définis.
Trop d’enregistrements dans Trop d’enregistrements ont été spécifiés dans la base de données. Cette
la base de données erreur ne devrait se produire que si le fichier citect.frm a été modifié
ou corrompu. Contactez l’Assistance Citect.
Caractères de fin dans Caractères de fin superflus dans une instruction Cicode à la suite du point-
Cicode virgule.
Caractères invalides dans un Le nom d’enregistrement de la base de données contient des caractères
nom invalides. Supprimez tout caractère invalide du nom d’enregistrement.
Début de fichier inattendu Le début de la base de données a été atteint ou la base de données est
corrompue. Utilisez la commande Compacter pour réindexer la base de
données. Si l’erreur persiste, contactez l’Assistance Citect.
Fin de fichier inattendue La fin de la base de données a été atteinte ou la base de données est
corrompue. Utilisez la commande Compacter pour réindexer la base de
données. Si l’erreur persiste, contactez l’Assistance Citect.
Erreur bin inconnue Un fichier de sortie n’a pu être ouvert pendant la compilation. Utilisez la
commande Compacter pour réindexer la base de données. Si l’erreur
persiste, contactez l’Assistance Citect.
Administrateur de base de Une erreur a été détectée dans le logiciel CitectSCADA. Contactez
données inconnu l’Assistance Citect.
Champ inconnu Un champ a été désigné alors qu’il n’existe pas. La base de données a été
modifiée ou est corrompue. Utilisez la commande Compacter. Si l’erreur
persiste, contactez l’Assistance Citect.
Fichier inconnu Le fichier inclus ne peut être trouvé. Vérifiez le nom du fichier et qu’il se
trouve dans le répertoire correct.
Périphérique d’E/S inconnu Le périphérique d’E/S n’existe pas dans le projet. Vérifiez que le nom du
périphérique d’E/S est correct.
Protocole inconnu Le protocole n’existe pas.
804
Lancement du système
Vous pouvez lancer votre système superviseur après avoir compilé votre projet.
Lancez l’Assistant de configuration de l’ordinateur avant de lancer votre
système.
Remarque : Le logiciel CitectSCADA est protégé contre le piratage. Si vous
essayez de lancer CitectSCADA sans clé de protection, CitectSCADA affiche un
message d’erreur et démarre en Mode de démonstration.
Voir aussi Configuration au démarrage et en phase d’exécution
Exécution indépendante de serveurs
Lancement du système depuis Internet
Exécution Vous pouvez exécuter des processus dans un système multiprocessus de sorte
indépendante de qu’un serveur ou client soit lancé indépendamment. Ceci peut être utile pour
tester du matériel ou analyser un système.
serveurs
Le Gestionnaire d’exécution peut être lancé lors de la configuration d’un projet
depuis le menu Outils de l’Explorateur Citect, de l’Éditeur graphique ou de
l’Éditeur de projets. Il se présente alors dans un état inactif, qui permet de lancer
un processus particulier de manière indépendante.
805
Lorsqu’un processus est lancé (en cliquant dessus avec le bouton droit de la
souris et en sélectionnant Démarrer), le panneau de suivi du Gestionnaire
d’exécution affiche le journal de démarrage du processus sélectionné et lance le
système superviseur.
Remarque : Une seule instance du Gestionnaire d’exécution peut être exécutée à
la fois sur une machine.
Pour plus d’informations sur l’utilisation du Gestionnaire d’exécution, cliquez
sur son bouton d’Aide.
Voir aussi Redirection de serveurs
Client de visualisation Le client de visualisation Internet est une version de CitectSCADA réservée à
Internet CitectSCADA l’exécution. Un client de visualisation Internet ne peut être utilisé comme
serveur ou pour faire des changements de configuration — il permet
uniquement d’exécuter votre projet.
Un ordinateur peut fonctionner avec une installation CitectSCADA normale ou
comme client de visualisation Internet. Avant de pouvoir exécuter un projet
depuis Internet, vous devez activer le paramètre [Internet]Client.
Vous pouvez également exécuter simultanément plusieurs instances du client de
visualisation Internet. Ceci permet de travailler avec plus d’un projet, en mode
d’exécution seulement, sur l’ordinateur distant.
Remarques :
Si vous utilisez un pare-feu, vous devez vous assurer que les ports 2073 à
2079 sont débloqués de sorte que le client de visualisation Internet et le
serveur Internet puissent communiquer.
806
Si un objet ActiveX est associé à une source de données, vous devez vérifier
qu’elle peut être trouvée par l’ordinateur servant de client de visualisation
Internet. Voir la rubrique Gestion des sources de données associées.
Si vous voulez utiliser l’Analyseur de processus avec le client de
visualisation Internet, vous devez copier les fichiers de visualisation de
l’Analyseur de processus (.pav) sur ce client.
Pour synchroniser l’heure du client de visualisation Internet avec celle du
serveur temporel, vous devez copier à la main la section [Time] du fichier
citect.ini (après l’avoir configurée avec l’Assistant de configuration de
l’ordinateur) dans le fichier citect.ini du répertoire bin du client de
visualisation Internet. Celui-ci n’hérite pas cette configuration du serveur et
a une configuration d’installation par défaut.
Voir aussi Serveur Internet CitectSCADA
Serveur Internet N’importe quel Serveur d’E/S peut jouer le rôle de serveur Internet
CitectSCADA CitectSCADA – il suffit pour cela d’utiliser l’Assistant de configuration de
l’ordinateur. (Une clé de protection spéciale est toutefois nécessaire. Veuillez
contacter l’Assistance Citect pour plus de détails à ce sujet.)
Si vous utilisez un pare-feu, vous devez vous assurer que les ports 2073 à 2079
sont débloqués de sorte que le client de visualisation Internet et le serveur
Internet puissent communiquer.
Voir aussi Configuration au démarrage et en phase d’exécution
Mises à jour des fichiers Lorsque vous entrez en communication avec le serveur Internet CitectSCADA,
serveur-client tous les fichiers nécessaires à l’exécution du projet sont téléchargés sur votre
ordinateur. Ces fichiers devant être à jour, CitectSCADA compare
périodiquement les fichiers sur le serveur Internet avec les fichiers téléchargés
sur le client de visualisation Internet. (Cette période est définie à l’aide du
807
Alarmes matérielles CitectSCADA génère une alarme matérielle en cas d’erreur système, c’est-à-dire
de problème de fonctionnement de CitectSCADA. Les alarmes matérielles sont
généralement affichées sur une page d’alarmes matérielles, disponible en tant
que modèle standard.
La page des alarmes matérielles indique ce qui se passe dans votre système
CitectSCADA. Elle vous prévient si une erreur de communication ou une erreur
Cicode se produit, si une page graphique ne se met pas correctement à jour ou si
un serveur tombe en panne. Les alarmes matérielles consistent en une
description et un code d’erreur uniques.
Elles ne fournissent pas d’informations détaillées mais servent à vous mettre sur
la piste en cas de problème. Par exemple, si vous avez une alarme d’animation
conflictuelle, CitectSCADA ne vous en indiquera pas la cause. Vous devez
observer quelle page a déclenché l’alarme matérielle et trouver vous-même les
animations.
Remarque : Votre système ne devrait pas comporter d’alarmes matérielles
récurrentes.
811
Deux champs d’alarmes matérielles ne sont pas toujours affichés sur les pages
d’alarmes matérielles. ERRPAGE affichera le nom de la page qui était affichée
lorsque l’erreur s’est produite. Ceci est utile pour trouver des erreurs
d’animation. ERRDESC fournit des informations supplémentaires spécifiques au
type d’alarme rencontré. Par exemple, si l’alarme est une erreur de périphérique
d’E/S, ERRDESC affichera le nom du périphérique.
Voir aussi Fichier SysLog.DAT
Fichier SysLog.DAT Le fichier syslog.dat est maintenu par CitectSCADA et contient un journal
utile sur le système CitectSCADA. Les informations pouvant être enregistrées
dans syslog.dat sont variées et vont des messages sur le trafic des pilotes de
bas niveau aux messages du noyau en passant par les messages définis par
l’utilisateur.
Les champs Lecture du journal et Écriture du journal des propriétés des
périphériques d’E/S contrôlent si des journaux sont enregistrés pour chaque
périphérique d’E/S.
Remarque : CitectSCADA verrouille syslog.dat lorsqu’il est en phase
d’exécution. Vous pouvez toutefois l’afficher en utilisant la commande SysLog
dans le noyau.
Ce fichier a une taille maximale (300k par défaut). Lorsqu’il atteint cette taille,
CitectSCADA le renomme syslog.bak et crée un nouveau syslog.dat. Vous
pouvez augmenter ou réduire cette taille à l’aide du paramètre
[Debug]SysLogSize. Par exemple, l’insertion des lignes suivantes dans le fichier
citect.ini permet de régler la taille de syslog.dat à 1000 k :
[DEBUG]
SysLogSize=1000
Voir aussi Débogage du système superviseur
Redirection de serveurs
Utilisation du transfert CitectSCADA permet de transférer provisoirement les communications d’un
d’adresse serveur vers un autre ordinateur pour faciliter la maintenance du matériel et
l’analyse du système.
L’inclusion d’une section de transfert d’adresse dans un fichier Citect.ini permet
de remplacer l’adresse d’un serveur configurée dans un projet et de rediriger le
trafic du réseau vers une adresse et un port différents.
Par exemple, pour tester un nouveau serveur avant de l’ajouter de manière
permanente à la configuration d’un projet, vous pourriez définir le transfert
d’adresse requis dans le fichier citect.ini d’un seul client de visualisation pour le
diriger vers le nouvel équipement. Le serveur pourrait être testé dans le contexte
d’un système sans avoir à recompiler le projet.
812
Veillez à faire toutes les modifications requises dans le fichier citect.ini de tous
les ordinateurs susceptibles d’être affectés par le transfert d’adresse.
Par exemple, si votre ordinateur est configuré pour exécuter deux serveurs d’E/S
et si vous voulez provisoirement rediriger l’un d’entre eux, les deux serveurs et
tous les clients de connexion doivent contenir les adresses de transfert dans leurs
fichiers citect.ini de sorte que les serveurs tiennent compte les uns des autres.
Le transfert d’adresse est mis en œuvre dans un fichier citect.ini en utilisant la
syntaxe suivante :
[AddressForwarding]
<NomCluster>.<NomServeur>=<adresseip>:<port>
Vous pouvez également rediriger la connexion du port pair d’un serveur d’E/S
en utilisant la syntaxe suivante :
[AddressForwarding]
<NomCluster>.<NomServeur>_PortPair=<adresseip>:<port>
Pour les serveurs d’alarme dont les propriétés d’alarme sont activées, vous
pouvez rediriger le connecteur des propriétés d’alarme comme suit :
[AddressForwarding]
<NomCluster>.<NomServeur>_PropAlarmes=<adresseip>:<port>
Le transfert d’adresse est uniquement interprété et utilisé lors du lancement du
système superviseur Citect. Il est recommandé (mais pas nécessaire) que
l’Assistant de configuration de l’ordinateur soit lancé avant d’exécuter un projet
pour confirmer vos modifications. Ceci est utile, surtout si un serveur doit
rediriger les communications vers un serveur temporel.
Remarque :
Le transfert d’adresse doit uniquement être utilisé à titre temporaire et
pas utilisé comme principal mécanisme de définition des
communications serveur/client. Il permet d’éviter les contrôles de
configuration effectués par le compilateur.
Vous devez garder une trace de toutes les modifications effectuées car
elles doivent être corrigées à la main lorsque la redirection n’est plus
requise.
Le client Web CitectSCADA utilise le transfert d’adresse pour gérer les
communications entre pare-feu. Toute modification peut également
affecter la capacité de connecter un client Web à un déploiement sur un
serveur web.
utilisateurs attendent la dernière minute pour faire ces tests et découvrent alors
des problèmes qu’ils sont incapables de résoudre.
Les informations suivantes ont pour but de vous encourager à tester vos
communications de façon approfondie avant que cela ne devienne critique dans
le déroulement de votre travail. Elles vous aideront également à résoudre vous-
même les problèmes de communications et de protocole.
Voir aussi Création d’un projet de test des communications
Débogage d’un pilote COMx
Débogage d’un pilote TCP/IP
Débogage d’un pilote de protocole à l’aide de communications série
Débogage des pilotes de cartes non génériques
Contacter l’Assistance Citect
Création d’un projet de Le premier test à effectuer consiste à vérifier que CitectSCADA peut mettre vos
test des périphériques d’E/S en ligne. Pour ce faire, créez un projet de test. Ce projet de
test devrait être aussi simple que possible.
communications
Par exemple, si votre système doit communiquer avec un port COM, une carte
KTX, une carte SA85 et via TCP/IP n’essayez pas de faire fonctionner le tout dès
le début. Faites le projet de test en utilisant un élément à la fois. D’abord, ajoutez
et testez le port COM. Lorsqu’il fonctionne, faites un nouveau projet de test pour
la carte KTX, puis un autre pour la carte SA85, et enfin, un autre pour le TCP/IP.
Lorsque vous êtes sûr que chaque élément fonctionne correctement, commencez
à les faire fonctionner ensemble.
Lors de la création d’un projet de test :
1 Utilisez l’Assistant Express Communications pour configurer vos communi-
cations.
2 Dans l’Éditeur de projet, observez les écrans du menu Communications.
3 Vérifiez que vous avez défini un serveur d’E/S.
4 Vérifiez que vous avez défini une carte. Vérifiez que les informations
concernant la carte sont correctes.
5 Vérifiez que vous avez défini un port. Vérifiez que les informations
concernant le port sont correctes.
6 Vérifiez que vous avez défini un périphérique d’E/S.
Remarque : N’ajoutez pas de tags de variables et ne créez pas de pages
graphiques. N’ajoutez rien d’autre.
Pendant que vous vérifiez que vous disposez du strict minimum pour activer les
communications, assurez-vous qu’il n’y pas d’enregistrements doubles. Pour
cela, le mieux est d’ouvrir un écran et de vérifier le numéro d’enregistrement
affiché dans le coin inférieur gauche. Assurez-vous qu’il est sur l’Enregistrement
1 puis cliquez sur le bouton de la barre de défilement à droite de l’écran et faites-
814
Débogage d’un pilote Le pilote COMx est le pilote de carte utilisé pour la plupart des communications
COMx série. La Version 2.01 de ce pilote permet de visualiser les informations de
débogage. Trois fichiers sont produits pour chaque port com : un fichier
d’écriture, un fichier de lecture et un fichier d’état. Les fichiers de débogage sont
configurés dans citect.ini et sont écrits dans le chemin par défaut du système
d’exploitation. Les entrées citect.ini suivantes sont utilisées :
[COMx]
WritePortName=X1,X2...
WriteDebugLevel=Y
WriteFileSize=Z
ReadPortName=X1,X2...
ReadDebugLevel=Y
ReadFileSize=Z
StatusPortName=X1,X2...
StatusDebugLevel=Y
StatusFileSize=Z
où :
Xn = Nom de port tel qu’il apparaît dans l’écran Citect|Communications|Ports. Par exemple, PORT_1.
Y= 1 pour valider le débogage, 0 pour le désactiver.
Z= La taille du fichier en ko (la valeur par défaut est 1000 Ko).
Exemple
[comx]
WritePortName=PORT_1,PORT_2
WriteDebugLevel=1
WriteFileSize=2000
ReadPortName=PORT_1
ReadDebugLevel=1
ReadFileSize=1000
StatusPortName=PORT_2
StatusDebugLevel=1
StatusFileSize=10
L’exemple ci-dessus :
inscrit dans des fichiers « écriture » jusqu’à 2000 ko des données envoyées
par le pilote CitectSCADA à PORT_1 ainsi qu’à PORT_2;
inscrit dans un fichier « lecture » 1000 ko des données reçues par le pilote
CitectSCADA depuis PORT_1; et
inscrit jusqu’à 10 ko de données d’état depuis PORT_2 dans un fichier
« état ».
816
où :
W&X= Valeurs des pointeurs tampons
Y= Nombre d’octets écrits
Z= État de retour du fichier d’écriture
AA BB CC = Valeurs en hex de chaque octet écrit
Exemple :
WRITE Debug file Started PORT1_BOARD1 Mon Dec 15 16:07:07.998
16:07:09.810
Out 0 In 8 nBytes 8 iStatus 997
0e 02 00 00 00 10 00 00
16:07:10.802
Out 8 In 16 nBytes 8 iStatus 997
0e 02 00 00 00 10 00 00
.
.
Le fichier Lecture a le format suivant :
LIGNE 1 READ Debug file Started PORTNAME Debug Level 1 DOW MONTH DOM
HH :MM :SS.msec
LIGNE 2 HH :MM :SS :.msec
LIGNE 3 Out W InRx X nBytes Y Status Z
LIGNES 4... AA BB CC ..
817
où :
W&X= Valeurs des pointeurs tampons
Y= Nombre d’octets lus
Z= Nombre de caractères restant dans le tampon
AA BB CC = Valeurs en hex de chaque octet écrit
Exemple
READ Debug file Started PORT1_BOARD1 Mon Dec 15 16:07:07.998
16:07:09,830
Out 0 In 0 nBytes 8 iStatus 0
0e 02 00 10 02 00 00 00 10 00 00
16:07:10,822
Out 0 In 8 nBytes 8 iStatus 0
0e 02 00 00 00 10 00 00
Le fichier État a le format suivant :
LIGNE 1 STATUS Debug file Started PORTNAME Debug Level 1 DOW MONTH DOM
HH :MM :SS.msec
LIGNE 2 HH :MM :SS :.msec
LIGNE 3 modemStatus X
Exemple
STATUS Debug file Started PORT_1 Debug Level 1 Wed Nov 05
15:28:55.310
15:29:55,950
modemStatus 34
.
.
D’autres paramètres pourront être ajoutés ultérieurement. Il est donc
recommandé de consulter régulièrement les informations sur COMx ainsi que la
base de connaissances Citect.
Voir aussi Débogage d’un pilote TCP/IP
Débogage d’un pilote Un pilote TCP/IP est un pilote de faible niveau utilisé pour toute communication
TCP/IP TCP/IP. Il peut être sur Ethernet, Token Ring ou Arcnet. Ce pilote communique
entre CitectSCADA et Winsock; il utilise donc toute la fonctionnalité normale de
mise en réseau de Windows. Les paramètres utilisés pour TCP/IP sont les
suivants :
[TCPIP]
Log=1 : Copie tout le trafic entre le TCPIP.DLL de CitectSCADA et Winsock
dans un fichier texte TCPIP.DAT situé dans votre répertoire Windows.
Notez que ce fichier n’a pas de limitation de taille et pourrait éventuellement
utiliser tout l’espace disque disponible.
818
Étapes de débogage
Pour déboguer le système :
1 Vérifiez si vous pouvez envoyer une commande PING à votre périphérique
d’E/S cible. Si vous ne pouvez pas le faire, CitectSCADA ne peut pas com-
muniquer avec lui. Pour ce faire, ouvrez une fenêtre de commande et tapez
PING aaa.bbb.ccc.ddd où a.b.c.d est l’adresse IP du périphérique d’E/S
auquel vous essayez de vous connecter. Si la commande PING ne fonctionne
pas, retournez au Gestionnaire de réseau Windows pour résoudre le
problème.
2 Continuez d’utiliser votre projet de test (aussi simple que possible)
3 Effacez tous les vieux fichiers tcpip.dat.
4 Insérez les paramètres Debug =1 et Log =1 dans votre fichier citect.ini.
5 Lancez le projet. Les informations figurant dans la fenêtre principale
maximisée du noyau et dans la fenêtre de débogage TCPIP devraient vous
permettre de voir si CitectSCADA envoie des demandes à votre
périphérique d’E/S pour initialiser des communications avec ce dernier.
Si aucune demande n’est envoyée, votre logiciel a un problème de configuration
et vous devriez vérifier qu’il n’y a pas eu d’erreurs au démarrage de
CitectSCADA. S’il y a eu des erreurs au démarrage, cherchez-les dans l’Aide.
Vérifiez également que votre ordinateur est un serveur d’E/S (et qu’il
correspond à celui de votre projet). Pour cela, lancez l’Assistant de configuration
de l’ordinateur et configurez votre ordinateur comme système autonome.
S’il y a des requêtes, vous pouvez voir toutes les communications entre
CitectSCADA et Winsock dans une fenêtre distincte, qui affiche les requêtes
envoyées par CitectSCADA pour se connecter au périphérique d’E/S ainsi que la
réponse correspondante du périphérique d’E/S. Toutes les erreurs ont un code
d’erreur Winsock que vous pouvez trouver dans la base de connaissances
Microsoft. Si vous voyez un message Connexion OK, CitectSCADA devrait
pouvoir entrer en ligne.
Voir aussi Débogage d’un pilote de protocole à l’aide de communications série
Débogage d’un pilote Pour déboguer un pilote de protocole utilisant une communication série :
de protocole à l’aide de 1 Continuez d’utiliser votre projet de test (aussi simple que possible)
communications série 2 Utilisez DebugStr=* all pour votre protocole.
819
Débogage des pilotes Les cartes non génériques (telles que la carte Allen Bradley KTX, la carte
de cartes non Modicon SA85, la carte Siemens TIWAY etc.) ont leur propre pilote de bas
niveau. Chaque pilote a des paramètres de débogage qui facilitent le débogage.
génériques
Ils sont décrits dans l’Aide ou dans la base de connaissances de CitectSCADA.
Cette base de connaissances contient des articles décrivant comment déboguer
ces pilotes de cartes.
La procédure de débogage est exactement la même qu’avec une connexion série :
1 Continuez d’utiliser votre projet de test (aussi simple que possible)
2 Réglez les paramètres de débogage pour les pilotes de protocole et de carte.
3 Lancez CitectSCADA avec des fichiers journaux propres.
4 Notez les erreurs et cherchez-les dans la documentation du fabricant.
Contacter l’Assistance Si vous n’arrivez pas à déboguer les problèmes vous-même, veuillez contacter
Citect l’Assistance Citect en fournissant les informations suivantes :
Une Demande de solution Citect vierge (Citect Solution Request (CSR)), que
vous pouvez obtenir auprès de l’Assistance Citect.
Les fichiers journaux syslog.dat, syslog.bak, tcpip.dat ou COMx.
Une copie de votre projet de test (aussi simple que possible) et du fichier
citect.ini.
Voir Obtenir une Assistance technique.
Redémarrage en ligne Si vous utilisez CitectSCADA sur un réseau, vous pouvez utiliser une procédure
d’un système mis en de redémarrage structurée qui garantit le maintien du contrôle du site sans perte
de données. Vous pouvez utiliser tout ordinateur CitectSCADA du réseau pour
réseau
lancer le redémarrage en ligne.
CitectSCADA gère automatiquement le redémarrage en ligne selon la séquence
suivante :
823
Vous pouvez exclure certains ordinateurs (par exemple, des serveurs d’E/S) de la
procédure de redémarrage en ligne en utilisant le paramètre
[Shutdown]NetworkIgnore.
Pour des raisons de sécurité, vous pouvez empêcher certains ordinateurs de
lancer la procédure de redémarrage en ligne en utilisant le paramètre
[Shutdown]NetworkStart.
Remarque : Si vous avez configuré CitectSCADA pour fonctionner avec des
multiprocesseurs, nous vous recommandons vivement de ne pas utiliser ce
dispositif de redémarrage mais plutôt le Gestionnaire d’exécution.
OnEvent(25, MyShutdown);
. . .
. . .
END
INT
FUNCTION
MyShutdown()
STRING sPath;
// Tâches de maintenance
. . .
. . .
. . .
sPath = ProjectCurrentGet();
If sPath = "ProjectA" Then
ProjectSet("ProjectB");
Else
ProjectSet("ProjectA");
END
825
Mode démo CitectSCADA peut être utilisé sans clé matérielle en mode de démonstration. Ce
mode permet d’utiliser toutes les fonctionnalités de CitectSCADA mais avec des
restrictions en phase d’exécution et sur les E/S.
Remarque : Si vous configurez CitectSCADA pour exécuter plusieurs processus
sur un ou plusieurs processeurs, vous ne pouvez pas utiliser CitectSCADA en
mode de démonstration. Si vous exécutez CitectSCADA avec un seul processus,
vous pouvez utiliser ce mode comme avec les versions antérieures de
CitectSCADA.
Les modes de démonstration proposés sont les suivants :
15 minutes avec un maximum de 50000 points d’E/S réels.
10 heures sans point statique et avec un maximum d’une E/S dynamique
réelle. Ce mode est utile pour les démonstrations utilisant des E/S sur disque
et en mémoire. CitectSCADA démarre dans ce mode en l’absence de points
statiques configurés.
Si vous voulez procéder à des écritures DDE, CTAPI, ou ODBC dans
CitectSCADA dans ce mode, vous ne pourrez écrire qu’un seul point. Pour
écrire dans plus d’un point, vous devez forcer CitectSCADA à démarrer
dans le mode de démonstration de 15 minutes-50 000 points d’E/S en créant
au moins un point statique d’E/S.
Vous devez pour cela configurer un vrai tag avec un automate ou un
périphérique d’E/S correspondant. Le tag doit être utilisé par une page ou en
Cicode. Si aucun périphérique d’E/S n’est connecté, CitectSCADA affichera
une erreur matérielle, que vous pouvez désactiver en utilisant la fonction
IODeviceControl.
8 minutes avec un maximum de 42000 points d’E/S réels. Ce mode n’est
disponible qu’avec des clés spéciales de partenaires d’intégration
CitectSCADA.
Affichage de la fenêtre Vous pouvez accéder à la fenêtre du noyau de plusieurs manières. CitectSCADA
du Noyau peut ouvrir cette fenêtre automatiquement au démarrage ou ajouter une option
de commande dans le menu de contrôle. Il est également possible de définir une
commande dans le système superviseur pour ouvrir cette fenêtre.
Affichage du Noyau à partir du menu de contrôle
Affichage du Noyau au démarrage
Définition d’une commande du système superviseur
Fermeture de la fenêtre Noyau
Remarque : Il est conseillé d’affecter les privilèges les plus élevés possibles à la
commande DspKernel pour éviter que vos opérateurs n’ouvrent la fenêtre
Noyau.
À l’intérieur du noyau Lorsqu’il est affiché, le noyau CitectSCADA consiste en une fenêtre d’application
(client) et une ou plusieurs fenêtres filles. Au démarrage, la fenêtre Noyau de
CitectSCADA affiche des informations sur vos processus de démarrage de
CitectSCADA. Cette fenêtre affiche également les messages systèmes de
CitectSCADA et fournit ainsi un historique continu du fonctionnement du
système.
La fenêtre Noyau contient une interface de ligne de commande (semblable à
l’invite de commande) où vous pouvez taper des commandes Noyau qui
exécutent une opération Noyau ou affichent d’autres fenêtres filles.
829
Remarque : L’accès aux commandes Cicode et Cache est protégé par un mot de
passe. Pour plus de détails, voir Accès aux commandes Cicode et Cache.
Par défaut, une instance de CitectSCADA est exécutée sur un seul processeur.
Avec cette configuration, une seule fenêtre Noyau suit tous les processus
CitectSCADA.
Si le système superviseur CitectSCADA est configuré pour s’exécuter en
plusieurs instances, chacune d’entre elles crée une fenêtre Noyau distincte qui
affiche les messages systèmes correspondant à cette instance; par exemple, les
messages systèmes de tendances sont affichés dans la fenêtre Tendances du
noyau. Vous pouvez basculer entre fenêtres Noyau à l’aide du menu Noyau de la
barre de menu de la fenêtre.
Exemple de fenêtre Noyau de démarrage utilisant une configuration
CitectSCADA par défaut :
Avec une configuration par défaut, la fenêtre Noyau affiche les messages
suivants :
Initializing Sub Systems (Initialisation des sous-systèmes) — Les
composants primaires de CitectSCADA démarrent.
Initializing Font system (Initialisation du système de polices) — Création
de toutes les polices définies dans CitectSCADA. Il s’agit des polices utilisées
pour afficher des éléments tels que les alarmes et le texte dynamique avant
la Version 5.0.
830
Identifier un problème
Tous les systèmes CitectSCADA devraient démarrer sans problème. Il est
recommandé de vérifier le Noyau lors de la mise en service d’un système. Si un
élément échoue plusieurs fois au démarrage, votre système CitectSCADA ne
fonctionne pas correctement et vous devriez chercher le problème.
Problèmes courants pouvant occasionner des erreurs au démarrage :
L’ordinateur est maI configuré (ce problème peut généralement être résolu à
l’aide de l’Assistant de configuration de l’ordinateur).
Problèmes de réseau ou matériel défaillant.
Défaillances de communication (généralement un problème de
configuration).
Utilisez la fenêtre principale pour vérifier que tous les périphériques d’E/S se
mettent correctement en ligne au démarrage. Les ports doivent être initialisés
avant que le périphérique d’E/S ne se mette en ligne. En cas de problème,
CitectSCADA affiche un message du type « Pas de réponse de l’automate »,
« Périphérique d’E/S hors-ligne », etc.
Certains périphériques d’E/S peuvent nécessiter deux tentatives avant de se
mettre en ligne. Si tel est le cas, CitectSCADA attend (généralement 30 secondes)
avant d’essayer une nouvelle fois. Si le périphérique d’E/S ne se met pas en ligne
833
Utilisation des Les commandes sont lancées depuis une ligne de commande (similaire à celle du
commandes Noyau DOS), généralement à partir de la fenêtre principale du Noyau. Le résultat de
certaines commandes est présenté dans cette fenêtre. D’autres commandes
ouvrent une fenêtre fille pour afficher leurs informations (ou pour proposer de
nouvelles commandes). Vous pouvez ouvrir un maximum de cinq fenêtres à la
fois.
Vous pouvez utiliser plusieurs touches clavier pour parcourir et réutiliser des
commandes depuis l’historique des commandes ou pour accélérer le lancement
des commandes Noyau. (L’historique des commandes est une liste des
commandes que vous avez émises). Ces touches sont les suivantes :
Touche Description
Flèche haut Parcourt l’historique des commandes vers l’arrière. (Les commandes apparaissent sur la
ligne de commande)
Flèche bas Parcourt l’historique des commandes vers l’avant. (Les commandes apparaissent sur la
ligne de commande)
F3 Copie la dernière commande exécutée sur la ligne de commande.
Flèche Déplace le curseur d’un caractère vers la gauche (sur la ligne de commande).
gauche
Flèche droite Déplace le curseur d’un caractère vers la droite (sur la ligne de commande).
Supprimer Supprime le caractère situé à droite du curseur (sur la ligne de commande).
Retour arrière Supprime le caractère situé à gauche du curseur (sur la ligne de commande).
Insertion Passe du mode superposition au mode insertion de caractères (sur la ligne de commande).
Remarque : Lorsque vous tapez une commande dans la fenêtre principale, vous
pouvez l’exécuter normalement même si un message apparaît au milieu de votre
commande. Utilisez la commande Shell pour ouvrir une nouvelle fenêtre de
commande.
Voir aussi Commandes Noyau
Commandes Noyau Les commandes noyau sont décrites dans le tableau ci-dessous.
Commande Description
Cache Modifie délai d’expiration de l’antémémoire pour chaque périphérique d’E/S.
Cicode Ouvre une fenêtre fille permettant d’appeler des fonctions Cicode.
Cls Efface le texte affiché dans la fenêtre principale ou Cicode.
834
Commande Description
Debug Active le débogage des données brutes échangées (Transfert de données) entre
CitectSCADA et un pilote.
DriverTrace Liste les blocs de contrôle de pilote sur le serveur d’E/S devant être envoyés à un pilote.
Exit Ferme une fenêtre Cicode ou Shell.
Help Affiche une liste contenant certaines commandes du noyau.
INI Affiche le fichier citect.ini local
Kernel Alarm Abandonné dans la v7.0
Kernel Trend Abandonné dans la v7.0
Kernel Report Abandonné dans la v7.0
Kernel IOServer Abandonné dans la v7.0
Kernel Client Abandonné dans la v7.0
Log Active ou désactive l’enregistrement des opérations de lecture/écriture des
périphériques d’E/S.
NetBIOS Enregistrement NetBIOS.
Page General Affiche des informations statistiques d’ordre général.
Page Driver Affiche des informations sur les pilotes du système CitectSCADA.
Page Memory Affiche le segment de débogage de la mémoire.
Page Netstat Affiche les statistiques et les informations spécifiques à NetBIOS.
Page Table Affiche des informations sur les structures de données internes de CitectSCADA.
Page RDB Affiche des informations sur les bases de données du système superviseur
CitectSCADA.
Page Unit Affiche des informations sur chaque périphérique d’E/S du système CitectSCADA.
Pause Interrompt l’affichage du débogage.
Probe Abandonné dans la v7.0
Shell Ouvre une nouvelle fenêtre de commande (shell).
Stats Réinitialise toutes les statistiques système.
SysLog Affiche le fichier syslog.dat.
Cache
Modifie le délai d’expiration de l’antémémoire pour chaque périphérique d’E/S
avec lequel Citect communique.
Cicode
Ouvre une fenêtre fille que vous pouvez utiliser pour appeler des fonctions
Cicode sur un ordinateur local ou distant. Toute fonction intégrée ou définie par
l’utilisateur peut être appelée depuis cette fenêtre.
Cls
Efface tout texte de la fenêtre principale ou des fenêtres Cicode et place le
curseur dans le coin supérieur gauche.
Syntaxe Cls
Utilisez cette commande pour effacer le contenu de la fenêtre courante
lorsqu’elle contient trop d’informations (après avoir affiché des données de
débogage ou un nombre trop grand de commandes).
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
837
Debug
Active le débogage de toutes les données brutes transférées entre Citect et un
pilote sélectionné. Tout le trafic de protocole est affiché dans la fenêtre noyau et
enregistré dans le fichier SysLog.DAT.
DriverTrace
Liste la commande et les informations envoyées à un pilote par CitectSCADA.
Peut être utile pour déboguer un pilote. Peut par exemple aider à déterminer
pourquoi il ne peut pas s’initialiser.
Remarque : L’exécution de traces syslog peut être lourde pour l’unité centrale.
Vous devriez suivre l’impact sur la performance de l’unité centrale lorsque vous
mettez en oeuvre en grand nombre de traces.
Syntaxe DriverTrace
[OFF|CMDS|VER[BOSE]|PORT=<name>|MASK=<xxxxxxxx>|DUMP]
Où :
rien . . . . . . . . . . . . . Retourne les paramètres courants de DriverTrace. Peut être
utile pour déterminer les paramètres de masque ou de port
avant de mettre en œuvre une nouvelle trace. Tapez
DriverTrace dans le noyau et appuyez sur la touche entrée
pour afficher les paramètres courants.
OFF . . . . . . . . . . . . . Désactive DriverTrace.
CMDS . . . . . . . . . . . Active DriverTrace mais n’affiche pas le contenu du tampon
de données.
839
Exit
Ferme les fenêtres Cicode ou Shell.
Syntaxe Exit
Remarque : Vous ne pouvez pas utiliser cette commande pour fermer la fenêtre
principale. Voir Fermeture de la fenêtre Noyau.
Pour fermer toutes les autres fenêtres, sélectionnez Fermer dans le menu
système de la fenêtre, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le menu
système.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Help
Affiche une liste contenant certaines commandes du noyau.
Syntaxe Help
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
841
INI
Affiche le fichier citect.ini local. (Si vous utilisez un client de visualisation
Internet pour exécuter un projet sur Internet, le fichier .ini du répertoire bin
s’affiche). Vous pouvez utiliser les touches Page préc., Page suiv. et les flèches
pour vous déplacer dans le fichier mais vous ne pouvez pas le modifier ou le
sauvegarder.
Syntaxe INI
Remarque : Cette fenêtre est identique à celle utilisée pour afficher le fichier
SysLog.DAT. Vous pouvez afficher citect.ini ou syslog.dat dans cette fenêtre,
mais pas les deux à la fois.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Log
Active ou désactive l’enregistrement des lectures et écritures des périphériques
d’E/S dans le fichier syslog.dat.
NetBIOS
Affiche des données détaillées de trafic NetBIOS. Cette fenêtre est destinée aux
experts Citect et nécessite des connaissances spécialisées.
Syntaxe NetBIOS
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Page General
Affiche des données statistiques générales sur la performance de Citect.
Node Name Nom de l’ordinateur courant. Vous pouvez le définir à l’aide de l’Assistant de
configuration de l’ordinateur. N’est utilisé que si Citect est configuré en
réseau.
Time L’heure (courante) et la date.
CPU Index Indication de la performance de l’ordinateur. Ce nombre donne une idée
approximative de la performance de l’ordinateur. Sur un Compaq 486/25M
elle sera 25.
Running Temps total d’exécution de Citect.
Memory Total Quantité totale de mémoire disponible (mémoire virtuelle comprise).
Memory Physical Quantité totale de mémoire physique disponible. Mémoire physique
disponible sur l’ordinateur (hors mémoire virtuelle).
Memory Resources Pourcentage de ressources système Windows disponibles.
Scheduler Cycles Nombre de fois que le programmateur Citect cherche une tâche à exécuter.
Donne une bonne idée de la vitesse de réponse de l’ordinateur. Ce nombre
dépend de la vitesse de l’ordinateur et des ressources de l’unité centrale
utilisées par Citect.
Cette valeur est totalement différente selon que vous utilisez Citect sur 32
bits ou 16 bits. En effet, Citect peut utiliser le système d’exploitation 32 bits
pour effectuer la programmation des processus tandis qu’il doit s’en charger
lui-même dans un environnement 16 bits.
16 bits : Plus Citect est occupé et plus ce nombre est petit. Valeurs typiques
de 10000 à 50000; un système fortement chargé peut descendre au-
dessous de 1000.
32-bits : Plus Citect est occupé et plus ce nombre est grand. Valeurs
typiques de 100 à 1000; un système fortement chargé peut dépasser 5000.
CPU Usage Pourcentage de la puissance totale de traitement de l’ordinateur qui est
utilisée. Sous Windows 95, il est possible que ce chiffre ne soit pas fiable car
certaines applications 16 bits n’auront aucun effet sur cette valeur!
La performance de Citect plafonnera ou diminuera à mesure que ce
pourcentage augmente. Si l’utilisation de l’unité centrale est
systématiquement élevée (supérieure à 70 %), il est possible qu’il y ait un
problème avec votre système ou que votre unité centrale soit surchargée.
Pour obtenir les meilleurs résultats, votre système devrait fonctionner entre 0
et 40 %. Toutefois, sous NT, il peut être tout à fait acceptable que l’utilisation
de l’unité centrale atteigne 100 %, car Citect ne peut y avoir accès que
lorsque le système d’exploitation le lui permet.
Tasks Per Sec Nombre de tâches par seconde que le programmateur Citect exécute, pour
indiquer à quel point Citect est occupé. Ce nombre devrait être compris entre
30 et 200 tâches par seconde. Si l’ordinateur est un serveur d’E/S, le nombre
de tâches est plus élevé (car chaque protocole utilise de nombreuses
tâches).
Lost Errors Citect surveille les erreurs internes dans ses tampons locaux d’erreur. Les
erreurs perdues sont incrémentées lorsqu’une erreur se produit et qu’aucun
tampon n’est disponible pour stocker le message correspondant. Ce nombre
est normalement égal à 0 (zéro). Si la valeur de ce champ augmente, il est
possible que vous ayez un problème avec votre système.
I/O Server Statistics
843
Blocked Writes Nombre total de fois qu’une demande a été envoyée pour la même adresse
de périphériques d’E/S alors que le serveur d’E/S l’écrivait déjà. Le serveur
bloque les deux demandes dans un souci d’optimisation.
Register Reads Nombre total de points de registre que le serveur d’E/S a lus dans tous les
périphériques d’E/S.
Register Reads per Sec Nombre de lectures de registre par seconde que le serveur d’E/S traite.
Donne un aperçu de la performance. Dépend du protocole utilisé.
Cache Reads Nombre de demandes de lectures prises en charge par l’antémémoire.
Cache Reads(%) Pourcentage de lectures prises en charge par l’antémémoire. Si ce
pourcentage est important (c’est-à-dire supérieur à 40 %), il est possible que
le délai d’expiration de l’antémémoire soit trop élevé. Essayez de réduire le
délai de conservation en antémémoire pour que ce pourcentage soit
inférieur à 40 %.
Le pourcentage de lecture en antémémoire dépend de la configuration de
votre système Citect et du nombre de clients connectés. Si vous avez de
nombreux clients qui scrutent les données du même périphérique d’E/S, il
est possible que ce pourcentage soit très élevé bien que cela ne pose pas
de problème. Par exemple si vous avez 10 clients Citect affichant la même
page, une lecture en antémémoire de 90 % serait acceptable.
Cache Flush Nombre de fois qu’un tampon d’antémémoire a été purgé parce qu’une
demande d’écriture a été envoyée au même endroit. Lorsque vous écrivez
dans le périphérique d’E/S et que cette adresse se trouve dans
l’antémémoire de lecture, Citect purge les données de l’antémémoire. Lors
de la lecture suivante, les données sont rechargées dans le périphérique
d’E/S pour refléter la nouvelle valeur.
Cache RD Ahead Nombre de lectures anticipées dans le tampon d’antémémoire. Lorsque la
mise en antémémoire avec anticipation de lecture est activée, le serveur
d’E/S essaie de lire les données des périphériques d’E/S qui approchent le
délai d’expiration en antémémoire. Le serveur d’E/S ne lira ces données que
si le canal de communication avec le périphérique d’E/S est inactif, afin de
donner une priorité accrue aux autres demandes de lecture.
Cache Buffers Nombre de tampons d’antémémoire actifs alloués. Chaque bloc de données
lu dans le périphérique d’E/S nécessite un tampon d’antémémoire lorsqu’il
est stocké dans l’antémémoire. Le nombre de tampons d’antémémoire actifs
à un moment donné dépend du fonctionnement dynamique des ordinateurs
Citect et de leur configuration dans le projet (généralement entre 0 et 100).
Cache Short Nombre de fois que l’antémémoire a dû allouer des tampons
supplémentaires alors qu’aucun tampon n’était disponible. Dans un tel cas,
le serveur ne peut pas mettre des données en antémémoire. Ceci ne produit
pas d’erreur mais réduit la performance du système. Si ce champ augmente
trop rapidement, augmentez la mémoire disponible.
845
Response Times Temps pris par le serveur d’E/S pour traiter des demandes de lecture et
d’écriture (c’est-à-dire délai entre le moment où une demande arrive au
serveur et où elle est renvoyée au client). Ce délai dépend du temps de
réponse physique du périphérique d’E/S et du délai pendant lequel la
requête a été mise en file d’attente jusqu’à ce que d’autres requêtes
aboutissent. Ce délai augmente avec la charge du serveur et est la meilleure
indication du temps de réponse total du système.
Les temps moyens, minimums et maximums sont affichés. Les valeurs
typiques dépendent du protocole du périphérique d’E/S mais Citect devrait
avoir un temps de réponse moyen situé entre 500 et 2000 ms. Des
protocoles plus lents ou un système très chargé pourraient augmenter le
temps de réponse mais vous devriez être en mesure d’obtenir des temps de
réponse de moins de deux secondes, même pour de très grands systèmes.
Points Nombre maximum de points d’E/S pouvant exister dans votre système
Citect. Le nombre total de points statiques et dynamiques ne peut pas
dépasser ce chiffre. La limite de points fait partie de la protection logicielle
Citect et est programmée dans votre clef matérielle.
Max Full Nombre maximum d’ordinateurs Citect pleinement opérationnels (licences
globales) pouvant exister dans votre système Citect. Ce nombre fait partie
de la protection logicielle Citect et est programmé dans votre clef matérielle.
Current Full Nombre courant d’ordinateurs Citect pleinement opérationnels (licences
globales) exécutés dans votre système Citect.
Peak Full Nombre maximum d’ordinateurs Citect pleinement opérationnels (licences
globales) que votre système Citect a compté depuis son redémarrage.
Static Nombre de points d’E/S statiques.
Max Mngr Nombre maximum de clients de gestion pouvant exister dans votre système
Citect. Ce nombre fait partie de la protection logicielle Citect et est
programmé dans votre clef matérielle.
Current Mngr Nombre courant de clients de gestion exécutés sur votre système Citect.
Peak Mngr Nombre maximum de clients de gestion que votre système Citect a compté
depuis son redémarrage
Dynamique Nombre de points d’E/S dynamiques.
Max Dsp Nombre maximum de clients de visualisation (uniquement) pouvant exister
dans votre système Citect. Ce nombre fait partie de la protection logicielle
Citect et est programmé dans votre clef matérielle.
Current Dsp Nombre courant de clients de visualisation (uniquement) exécutés sur votre
système Citect.
Peak Dsp Nombre maximum de clients de visualisation (uniquement) que votre
système Citect a compté depuis son redémarrage
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Page Driver
Affiche des informations sur les pilotes du système Citect. Cette fenêtre n’est
affichée que si l’ordinateur Citect est configuré comme un serveur d’E/S avec des
périphériques d’E/S physiques connectés.
846
Blocking Size (Bytes) Plage que le pilote d’E/S utilisera pour bloquer des demandes simultanées
de lecture ou d’écriture en phase d’exécution. La valeur par défaut est
généralement obtenue par tâtonnements. La valeur est calculée comme la
plage optimale de données à laquelle le périphérique d’E/S peut répondre,
pour obtenir les meilleurs temps de réponse pour votre périphérique d’E/S.
Par exemple, si la taille limite est 100 et si vous avez une page graphique
qui contient Adresse 1 et Adresse 99, Citect lira ces deux adresses en une
seule requête. Si la page contient Adresse 1 et Adresse 101, Citect lancera
par contre deux requêtes distinctes. La taille limite n’est pas nécessairement
la taille maximale des paquets pour le protocole car il est possible qu’un
périphérique d’E/S réponde plus rapidement à de petites requêtes de
données plutôt que de grandes requêtes.
Cette méthode présente un inconvénient : les tableaux de mémoire des
périphériques d’E/S doivent être créés par l’utilisateur. Si l’utilisateur ne
définit pas toutes les adresses de mémoire dans une plage, Citect peut
essayer de lire un bloc de mémoire qui n’existe pas dans le périphérique
d’E/S (ce qui produit une alarme matérielle). En effet, Citect demandera
toutes les adresses entre l’adresse de départ et l’adresse de fin. Si, dans
l’exemple ci-dessus, le périphérique d’E/S n’avait pas l’adresse 76, il
signalerait à Citect qu’il ne pouvait pas la lire. Le pilote d’E/S ne sait pas qu’il
n’a pas besoin de cette adresse et relancera la commande, ce qui pourrait
dans certains cas avoir pour effet de mettre le périphérique d’E/S hors ligne.
Prenez soin de toujours définir les adresses mémoire que Citect a besoin de
lire.
Timeout Period (ms) Délai pendant lequel le pilote d’E/S attendra avant de redemander des
données s’il ne reçoit pas de réponse du périphérique d’E/S.
Maximum Retrys Nombre de fois que le pilote d’E/S essaiera d’obtenir des données du
périphérique d’E/S.
Ce paramètre et le précédent définissent le délai total avant que Citect ne
mette un périphérique d’E/S hors ligne.
Si Timeout=2000 et Retry=2 alors Citect attendra une réponse pendant 2
secondes puis réessayera, attendra 2 secondes, réessayera, attendra 2
secondes puis mettra le périphérique hors ligne. Le délai total entre la perte
de communication et la désactivation du périphérique sera donc de 6
secondes. Vous pouvez modifier ces paramètres, mais s’ils sont trop faibles,
vous générerez de nouvelles tentatives inutiles et obtiendrez probablement
des messages de désactivation du périphérique d’E/S.
Poll Time (ms) Délai en millisecondes que Citect utilisera pour lire ou écrire des données
sur le port. S’il est égal à 0, le protocole fonctionne en mode d’interruption.
Transmit Delay (ms) Délai pendant lequel Citect conserve un paquet de données entre la
réception d’une réponse à la dernière requête et l’envoi de la nouvelle
requête. Ce paramètre a généralement pour valeur 0, bien que certains
protocoles puissent arriver à saturation et se comporter de manière
imprévisible. Dans de tels cas, la valeur par défaut a été calculée alors que
le protocole était en phase de test et son remplacement par une valeur
moindre entraînera des problèmes. Le choix d’une valeur plus élevée aura
toutefois un impact très faible sur le temps de réponse de votre système
bien que les communications pourront être plus stables.
849
Watchtime (seconds) Délai pendant lequel Citect attendra après avoir décidé qu’un périphérique
d’E/S est hors ligne avant d’essayer de rétablir des communications. Il est
généralement égal à 30 secondes. Il peut avoir une valeur plus faible mais
ne doit jamais être inférieur à celle de Timeout et Retry, sinon vous ne
pourrez jamais rétablir des communications avec un périphérique d’E/S.
Response Times Temps pris par le pilote pour traiter des demandes de lecture et d’écriture
(c’est-à-dire temps pris pour traiter une opération de lecture ou d’écriture
dans le périphérique d’E/S). Ce délai dépend uniquement du temps de
réponse physique du périphérique d’E/S car aucun délai de mise en file
d’attente n’est inclus. Ce champ reflète la configuration du canal de
configuration (l’augmentation du débit en bauds devant réduire le temps de
réponse).
Les temps moyens, minimums et maximums sont affichés.
Channel Usage Ce champ affiche le pourcentage de la capacité totale du canal matériel en
cours d’utilisation. Le serveur d’E/S essaie toujours de faire en sorte que
l’utilisation soit aussi haute que possible, mais si les ordinateurs clients
Citect demandent des données moins vite que le canal ne peut en fournir, le
total sera inférieur à 100 %. Il est possible que l’utilisation du canal dépasse
100 % car certains pilotes de périphériques d’E/S peuvent traiter plusieurs
commandes à la fois (lorsque plusieurs commandes utilisent le canal en
même temps).
Bytes Per Second Nombre d’octets transférés (par seconde) par le pilote. Ce nombre fournit
une indication de la performance qui peut être utile lors du réglage du pilote.
Variables spéciales Vingt variables spéciales sont affichées lorsque le mode verbeux est activé
(en appuyant sur V) ou la touche flèche bas est enfoncée. La signification de
ces variables change en fonction du pilote.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Page Memory
Affiche des informations de débogage de la mémoire. Cette fenêtre est destinée
aux experts Citect et nécessite des connaissances spécialisées.
Page Netstat
Affiche les statistiques et les informations spécifiques à NetBIOS. Cette fenêtre
est destinée aux experts Citect et nécessite des connaissances spécialisées.
Page Table
Contient des informations sur les structures de données du système superviseur
Citect. Cette zone est très vaste et peut être difficile à explorer au début. Il y a
environ 50 tableaux d’information, dont la majorité ne vous sera pas très utile.
pourcentage de l’unité centrale totale disponible utilisé par la tâche (les tâches
rapides ont souvent une valeur CPU égale à 00).
Page Table Tran
Ce tableau contient une liste de toutes les connexions NetBIOS avec votre
ordinateur Citect. Sur un serveur, vous verrez la tâche serveur attendre ou
écouter jusqu’à ce qu’un autre client s’y connecte. Sur un client, vous ne verrez
que des informations sur le client. Ce tableau contient les champs suivants :
Name Type de la tâche serveur.
Node Nom de l’ordinateur Citect connecté, ou <listen> s’il s’agit d’une session
NetBIOS qui attend qu’un autre client se connecte. Si le serveur utilise deux
piles de protocole compatibles avec NetBIOS, vous aurez deux <listen>
pour chaque tâche serveur qu’il utilise. Le nom est le nom d’ordinateur défini
à l’aide de l’Assistant de configuration de l’ordinateur.
Mode Le mode peut être :
Server — L’ordinateur fonctionne comme un serveur.
Client — L’ordinateur fonctionne comme un client.
SerRnd — Connexion avec des serveurs redondants.
Mode Ce mode sera soit Remote soit Local. S’il est Local, il s’agit de la connexion
utilisée par votre client (il y aura toujours un serveur local correspondant).
Remote indique des connexions à des clients Citect distants.
hMsg Numéro de session NetBIOS (pas important ici mais très utile pour certaines
fonctions Cicode).
Cnt Nombre de fois que cette session NetBIOS a eu une connexion. Si ce
nombre est élevé, il peut indiquer que la connexion réseau est interrompue
puis rétablit des sessions NetBIOS. Cela peut également signifier que le
serveur fonctionne depuis longtemps et que de nombreux clients ont été
activés et désactivés, ce qui a pour effet de fermer et d’ouvrir des sessions.
Send and Receive Nombre de paquets de réseau envoyés et reçus sur une session de
NetBIOS particulière.
Wait Nombre de fois que Citect a dû attendre pour envoyer ou recevoir des
données sur cette session. Ce nombre ne devrait pas augmenter. S’il
augmente, vous devriez peut-être accroître le nombre de tampons
disponibles ou la taille de ReadPool ou Writepool.
Stack Numéro du protocole et non pas numéro LanA. Citect ordonne les piles de
protocoles 0, 1, 2, 3, etc. Ceci est cohérent avec toutes les versions de
Windows et vous permet de voir d’un coup d’œil à quelle pile de protocole un
client est connecté.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Page RDB
Affiche des informations sur chaque base de données d’exécution de Citect
(RDB).
852
Page Unit
Affiche des informations sur chaque périphérique d’E/S du système Citect. Ces
informations sont affichées si l’ordinateur Citect est configuré comme un serveur
d’E/S ou simplement comme un client. Si l’ordinateur est un client, tous les
périphériques d’E/S de tous les serveurs d’E/S sont affichés. Si l’ordinateur est
un serveur d’E/S, seuls les périphériques d’E/S de ce serveur sont affichés. Vous
pouvez afficher les périphériques d’E/S des autres serveurs d’E/S en utilisant le
mode verbeux (en appuyant sur V). Si l’ordinateur est un client, toutes les
informations sur le périphérique d’E/S ne sont pas mises à jour (car seul le
serveur d’E/S contient ces informations).
Pause
Pause la sortie de débogage de la fenêtre Noyau.
Syntaxe Pause
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Shell
Ouvre une nouvelle fenêtre de commande (shell).
Syntaxe Shell
855
Vous pouvez utiliser les fenêtres shell de la même manière qu’une fenêtre
principale. Les fenêtres shell sont utiles pour afficher des informations de
débogage, ou entrer des commandes lorsque la fenêtre principale affiche des
données de traçage de débogage. Vous pouvez fermer les fenêtres shell en
sélectionnant Fermer dans le menu système ou à l’aide de la commande Exit.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
Stats
Remet à 0 (zéro) toutes les statistiques du système (utilisées dans les fenêtres
page general, page drivers, page table (stats), et page I/O Device).
Syntaxe Stats
Cette commande permet de remettre les statistiques à zéro lorsque Citect
fonctionne depuis longtemps et fournit donc des statistiques plus ponctuelles
(plutôt qu’une moyenne depuis le début de l’exécution de Citect).
Remarque : Certaines statistiques sur les serveurs d’E/S sont automatiquement
réinitialisées après quelques minutes.
Voir aussi Commandes Noyau
Affichage de la fenêtre du Noyau
SysLog
Affiche le fichier SysLog.DAT local. Le fichier SysLog.DAT est lu sur disque
avant d’être affiché mais n’est pas mis à jour après avoir été affiché. Vous devez
fermer puis rouvrir la fenêtre pour forcer la mise à jour. Vous pouvez utiliser les
touches Page préc., Page suiv. et les flèches pour vous déplacer dans le fichier
mais vous ne pouvez pas le modifier ou le sauvegarder.
Réglage du système CitectSCADA est conçu pour fournir des performances optimales; le réglage du
système n’est donc généralement pas nécessaire. Cependant, certaines
circonstances peuvent nécessiter un réglage de votre système pour obtenir une
performance optimale. Le Noyau permet d’identifier les zones exigeant un
réglage, qui est généralement effectué à l’aide de paramètres. Vous pouvez par
exemple améliorer la performance du client de visualisation en utilisant les
paramètres [Page]ScanTime et [Alarm]ScanTime.
Réglage de l’antémémoire
L’antémémoire devrait être suffisamment grande pour éviter des lectures
inutiles et suffisamment petite pour éviter l’envoi de données anciennes le long
de la voie de communication. Si elle est trop grande, la voie de communication
peut rester inactive pendant quelque temps et ainsi utiliser inutilement la bande
passante. Un client CitectSCADA peut également se mettre à générer des
demandes de lecture sur un cycle trop court, ce qui entraînera une activité
superflue du réseau ou du système.
Un cycle de lecture trop court survient lorsqu’un client sollicite des données du
serveur d’E/S et que ces données sont renvoyées à partir de l’antémémoire dans
un délai très court. Le client traite ces données (les affiche à l’écran) puis
redemande les mêmes données. Si le serveur d’E/S les renvoie à partir de
l’antémémoire, le client traite à nouveau les mêmes données, ce qui est inutile et
nuit à la performance du processeur et du réseau. Un cycle de lecture trop court
a pour effet d’augmenter la charge de travail du processeur et du réseau tout en
réduisant l’activité de communication de l’automate.
857
fonction des tendances, des alarmes et des rapports visualisés. Pour plus de
sécurité, réglez ce délai un peu en dessous de la normale de sorte à éviter les
cycles de lecture trop courts dans des conditions d’activité peu intense.
Chapitre 29: Gestionnaire d’exécution
CitectSCADA
Chaque processus du poste de travail est représenté par une ligne dans le
panneau de suivi. Chaque ligne (processus) est divisée en plusieurs colonnes
contenant les informations suivantes :
Colonne Description
UC Unité centrale sur laquelle le processus est exécuté.
ProcessID Identificateur de processus Windows.
Processus Liste tous les éléments CitectSCADA exécutés par le processus. Lorsque CitectSCADA est
exécuté en mode à processus unique et lorsque tous les composants partagent un
processus, ils apparaissent dans cette colonne séparés par des virgules.
Type Type du processus (alarme, rapport, tendance, serveur d’E/S ou client). Lorsque
CitectSCADA est exécuté en mode à processus unique et lorsque tous les composants
partagent un processus, le type est « MIXED ».
État État de chaque processus. Voir Suivi des processus d’exécution pour une liste des états
déclarés par le Gestionnaire d’exécution CitectSCADA.
Message Affiche un message concernant l’état de chaque processus, tel que la date et l’heure de la
compilation du projet, ainsi que le nom du projet. Par exemple, lors du démarrage de chaque
processus, le message de démarrage apparaît dans cette colonne,
Suivi du démarrage
Lors du démarrage de chaque processus CitectSCADA, un message de
démarrage apparaît dans la colonne Message du panneau de suivi.
Remarque : Si le réseau est désactivé, vous pouvez uniquement démarrer
CitectSCADA dans un seul processus.
Lorsqu’un processus passe anormalement à l’état Arrêté, une bulle apparaît sur
l’icône de la barre des taches pour vous en informer.
Lorsqu’un processus passe anormalement à l’état Pas de réponse, une bulle
apparaît sur l’icône de la barre des taches pour vous en informer.
Lorsqu’un processus est en cours d’exécution, la colonne Message affiche le nom
du projet concerné ainsi que l’heure et la date auxquelles il a été compilé. Il est
864
Affichage du noyau
Si un processus CitectSCADA est en cours d’exécution, la fenêtre du noyau peut
être utilisée pour diagnostiquer les données d’exécution concernant ce
processus.
Pour afficher le noyau concernant un processus :
1 Dans le Gestionnaire d’exécution CitectSCADA, cliquez avec le bouton droit
de la souris sur le processus désiré.
2 Sélectionnez ensuite Noyau dans le menu contextuel.
3 La fenêtre Noyau du processus sélectionné apparaît.
Dépannage
Configuration Si le Gestionnaire d’exécution CitectSCADA rencontre au démarrage une
incorrecte configuration incorrecte dans le fichier citect.ini, un message
d’avertissement s’affiche, une erreur est enregistrée et le système ne démarre
pas.
Cette section contient des informations sur le client Web ainsi que les
rubriques suivantes :
CitectSCADA Web Client
Chapitre 30: CitectSCADA Web Client
Introduction
The CitectSCADA Web Client allows you to view a live CitectSCADA project
within a Web browser. It provides easy access to CitectSCADA Runtime for
LAN-connected users requiring read/write access to current production
information.
For example, a senior manager could monitor a facility and access current
production information from any computer on the LAN without the need for
extensive downloads or software installation.
Voir aussi System architecture
System architecture To display a live CitectSCADA project in an Internet browser, you must
combine the content of the project pages and the current data these pages
present using standard, Web-based communication protocols. To understand
the communication architecture for the CitectSCADA Web Client, it’s easiest to
consider the role each of the following components play in achieving this
outcome:
CitectSCADA Web Server - Performs the server-side functionality of the
system. As well as facilitating communication, it directs a client to the
graphical and functional content of a CitectSCADA project and the location
of the runtime servers. This information is stored on the Web Server when a
CitectSCADA project is configured as a “deployment”. A CitectSCADA
Web Server can contain multiple deployments.
CitectSCADA Runtime Servers (including the I/O Server, Alarms Server,
Trends Server and Report Server) - Monitor the physical production facility
and contain the live variable tag data, alarms and trends that the Web Client
will display.
Web Client - provides the platform to merge a deployed project’s pages and
content with the raw data drawn from the runtime servers. Again, standard
Web technologies are required, so the client uses Microsoft Internet
Explorer.
The following diagram shows how these components interact.
870
Once the Web Client has connected to the Runtime servers, steps 2 and 3 become
an ongoing process, with the required content being called upon as the user
navigates the project pages.
Note that this diagram has the system components set up on different
computers purely for the sake of explaining the communications model. In
reality, the flexibility of the architecture allows these components to be
distributed in any required arrangement; they can even share a common
location.
Getting Started
The CitectSCADA Web Client Help is designed to guide you through the steps
required to successfully set up a Web Client system.
To ensure a successful installation, you should first familiarize yourself with the
System architecture, and then work your way through the following steps, as
they will logically guide you through the correct set up procedure.
1 Decide which Web Server platform to use
Both Microsoft IIS and Apache Tomcat are supported as a platform for the
CitectSCADA Web Server. Deciding which to use is an important first step
towards setting up your system.
Choosing which Web Server platform to use - IIS or Tomcat?
2 Preparing a CitectSCADA project for deployment
This section explains the adjustments that need to be made to a
CitectSCADA project prior to deployment on the Web Server.
Preparing a CitectSCADA Project for Deployment
3 Configuring a deployment
This section describes how to deploy a project on the Web Server, by
identifying its source location and associated servers.
Configuring a deployment
4 Multi-language support
If you are using IIS as your Web Server platform, there are several language
options you can implement on the Web Server interface.
Implementing Multiple Language Support
If you have followed the procedures outlined above and experience problems,
use the Frequently Asked Questions section to help resolve any issues you might
be having.
872
Choosing which Web Server platform to use - IIS or Tomcat?
Two technologies can be used as the platform for the CitectSCADA Web Server:
Microsoft’s Internet Information Server (IIS)
The Apache Jakarta Project’s Tomcat Web Server
You should decide which platform you’re going to use before setting up your
Web Server, as the setup is significantly different for the two.
You should base your decision on whether or not you prefer an open source
solution (that is, Apache Tomcat), or the level of familiarity you have with either
technology.
However, the following considerations may also determine your choice.
CitectSCADA Web Server on Tomcat does not support the names of
deployment, CitectSCADA project or files (for example, graphics pages)
containing non ASCII characters.
874
Preparing a CitectSCADA Project for Deployment
Before deploying a project on a Web Server, you will probably need to adjust the
CitectSCADA configuration environment to ensure it is ready for Web-based
delivery. You need to consider the following issues:
Functionality limitations of the Web Client platform
Preparing a project’s user files for delivery
Running the Web Deployment Preparation tool
By default, CitectSCADA uses NetBIOS to facilitate communications over a
network. To use the Web Client, you must switch your system over to TCP/IP by
adjusting two specific [LAN] parameters and mapping your server TCP/IP
addresses. For example:
[LAN]
tcpip=1
netbios=0
[DNS]
<SCADA I/O server name>=<IP address>
<alarm server name>Alarm=<IP address>
<report server name>Report=<IP address>
<trend server name>Trend=<IP address>
If the project is set up for redundancy, both servers must appear in the [DNS]
section of the citect.ini file.
Refer to the topic Modèle de réseau in the CitectSCADA User Guide for details on
setting your DNS parameters.
Feature limitations
The following features are not supported:
Cicode Debugger.
Remote shutdown.
Fuzzy Logic.
Cluster functionality.
Kernel windows.
876
WndShow “
WndViewer Invokes multimedia applications Feature not supported
Voir aussi Preparing a project’s user files for delivery
Preparing a project’s If the content of your CitectSCADA project incorporates user-created files, such
user files for delivery as DBF files, HTML files, or CSV files, you must manually place these into a
special zip file called Misc.zip for delivery to the Web Server. Similarly, if a
project contains ActiveX objects, these also must be included in a zip file called
ActiveX.zip.
To prepare any user-created files for deployment:
1 Identify all the user-created files that are associated with the project you
want to deploy.
These files could include CSV or DBF files associated with tables presented
on project pages, or HTML content.
2 Use a compression tool to zip these files up into a single file called
Misc.zip.
3 Place Misc.zip in the main folder for the project. For example, in the case of
the Example project, this would be:
C:\Documents and Settings\All Users\Application
Data\Citect\CitectSCADA\User\Example
Remarque : If your project has included projects that use ActiveX objects,
ensure these are also zipped up in an Activex.zip file in the included
project’s directory.
The files are now ready for deployment on the Web Server.
To prepare any included ActiveX objects for deployment:
1 Identify all the ActiveX objects associated with the project you want to
deploy.
2 Use a compression tool to zip these files up into a single file called
ActiveX.zip.
3 Place ActiveX.zip in the main folder for the project. For example, in the
case of the CSV_Include project, this would be:
C:\Documents and Settings\All Users\Application
Data\Citect\CitectSCADA\User\CSV_Include
Remarque : If an ActiveX object has an associated data source, ensure the data
source can be located by the computer hosting the Web Client. See the topic
Gestion des sources de données associées under the section on ActiveX objects in
the CitectSCADA User Guide Help.
Voir aussi Running the Web Deployment Preparation tool
878
Running the Web The final step in preparing a project for deployment involves running it through
Deployment the Web Deployment Preparation tool. This takes a freshly compiled project and
creates the required files and directories for Web-based delivery.
Preparation tool
To run a project through the Web Deployment Preparation tool:
1 Ensure the project you want to deploy has all its associated user files and
ActiveX objects zipped up for delivery (see Preparing a project’s user files
for delivery).
2 Locate the project you want to deploy in Citect Explorer and do a fresh
compile.
3 Go to the Citect Explorer Tools menu and select Web Deployment
Preparation (or click the following icon on the Explorer toolbar):
The types of action you can implement for a deployment depend on the
permissions granted by your log in. For example, if you log in as a Manager
Client, you can only view a deployment. If you are an administrator, you can
edit deployments and create new ones.
The following list describes the functionality associated with each of the icons
presented on the home page.:
Add New Deployment - takes you to the Deployment Configuration page
where you can create a new deployment (Administrator Clients only).
Help - launches a PDF file explaining how to configure and use the Web
Client.
Start Display Client - Displays the selected deployment with Display Client
permissions (Display Client and Administrator Client only)
Creating a new To configure a deployment of a CitectSCADA project on a Web Server, you must
log in with Administrator Client permissions. This will provide you with access
deployment
to the full functionality of the home page.
To add a new deployment
1 Click the Add New Deployment icon.
Remarque : If you are remotely administering the Web Server and use a
local path address, make sure the path represents the location of the project
on the Web Server computer, not the computer you are currently using.
If the project is not located on the Web Server, you need to use a UNC
address that identifies the host network computer and the directory it can be
found in. For example,
\\ComputerName\<path to application data>\User\MyExample
Remarque : You must share the directory a project resides in to allow the
Web Server access to it. Ideally, you should create a share from the directory
(called WebShare, for example) and then use the following project path:
\\ComputerName\WebShare
Remember that if you are trying to access the project directory from a
remote computer, a “local” administrator log in will not provide you with
appropriate access on a different computer. You should use a network user
profile that will be recognized by other computers on the same domain.
4 Identify the CitectSCADA servers associated with the deployment. You can
type a name in the Server field (as defined in your CitectSCADA project),
the IP Address of the server, and the Port number.
There are, however, two scenarios you need to consider here:
Have the IP addresses for the project servers already been identified in
the [DNS] section of the citect.ini file? If you have already done this
when setting up TCP/IP, you don’t need to identify any servers as the IP
addresses can be retrieved from the citect.ini file. See Modèle de
réseau in the CitectSCADA User Guide Help for details on using [DNS]
parameters.
Remarque : If you included an IP address for a server when configuring
your deployment, it takes precedence over a different address identified
for the same server in the [DNS] section of your citect.ini file.
Are your CitectSCADA servers protected behind a firewall? If so, with
each server name you must provide the public address and port number
for your firewall. The firewall should be configured to handle the
mapping to private IP address and port number for each CitectSCADA
server.
5 Add any additional servers to your deployment by clicking Add New
Server, and repeating step 4 for each server.
882
All the project files are retrieved from the path indicated, and copied to the
Web Server ready for access by the Web Clients.
Once complete, information about the size of the project appears in the File
Paths banner above the Project Path field. The number to the left indicates
how many files are included in the project; the number to the right indicates
the total size of the project.
The deployment is saved. When you return to the Web Client home page, by
clicking the home icon, your new deployment is listed.
Voir aussi Deploying a project from within CitectSCADA
Displaying a deployment
Deploying a project The Web Client architecture lets you deploy a project from within the
CitectSCADA configuration environment, avoiding the need to use the Web
from within
Client interface to setup a system.
CitectSCADA
This process requires you to adjust two parameters in the Citect.ini file,
[WebServer]WebClientCab and [WebServer]DeployRoot. These parameters
identify the client component used with the project and the location of the
deployment root directory. When the project is compiled and prepared for
deployment, it is placed directly on the Web Server.
Notes
If you’ve upgraded your WebClient to version 6.1, you can still view your
legacy deployments. For details, see Web Client Upgrade Issues.
When implementing this option, pay attention to your citect.ini file
configuration, as any errors with these parameters are difficult to diagnose.
To avoid input errors, use the Web Deployment Tool on the Citect Explorer
toolbar with the Web Server’s Web Deployment GUI.
883
Displaying a When you display a deployment, it downloads the required Web Client
component file from the Web Server, enabling you to run the associated
deployment
CitectSCADA project in your Web browser.
To display a deployment:
1 Locate the deployment you want to display in the list of available deploy-
ments.
2 Click the relevant icon (Start Display Client or Start Manager Client) to
display the deployment.
885
Editing an existing If required, you can edit the settings for a deployment. For example, you can
change the name of the deployment or specify a new address for a runtime
deployment
server.
To edit a deployment’s settings, you must be logged in as an Administrator
Client.
To edit an existing deployment
1 Select the deployment you want to edit in the list of available deployments.
2 Click the Edit Deployment icon.
The Web Server retrieves a fresh set of pages and components for the
CitectSCADA project, which will include any recent changes.
Voir aussi Updating a deployment to reflect project changes
886
Updating a deployment If you change a source CitectSCADA project, you must update its associated
deployment to ensure the changes are reflected on the Web Server.
to reflect project
changes Updating a deployment ensures the latest project pages and components are
retrieved by the Web Server and available for distribution. This is important as
discrepancies might occur between the project pages and the data being pulled
from the runtime servers if the content is not up to date.
To update a deployment:
1 Ensure that the project you want to update has been compiled and pro-
cessed within the CitectSCADA by the Web Deployment Preparation tool.
See Running the Web Deployment Preparation tool.
2 Select the deployment you want to update.
3 Click the Edit Deployment icon.
The Web Server retrieves a fresh set of pages and components for the
CitectSCADA project, which will include any recent changes.
Voir aussi Editing an existing deployment
Deleting a deployment
Deleting a deployment To delete a deployment from a Web Server, you must log in as an Administrator
Client.
To delete a deployment from the Web Server:
1 Select the deployment you want to delete from the list of available deploy-
ments.
2 Click Delete Deployment.
A dialog asks you to confirm that you want to delete the deployment. Click
OK.
Voir aussi Configuring a deployment
Implementing Multiple Language Support
The Web Client deployment configuration interface can be displayed using
languages other than English. The following languages are supported by
default:
French
German
Spanish
Chinese
Japanese
Korean
You can also implement other languages by translating the resource message file
that defines the text displayed. In the case of the languages listed above, this file
has already been translated with a version for each language stored in the
installed locales folder.
Voir aussi How default languages are implemented
Using a language different to the current system locale setting
Implementing a non-default language
How default languages When you connect a client computer to the Web Server, the script on the web
are implemented page automatically detects the language code currently defined as the default
for the browser. This code is drawn from the system locale setting defined in
Control Panel|Regional Options on the client machine.
Once the browser’s language code has been determined, the script attempts to
match it with those available on the Web Server. If a match is made, the
associated language is automatically used for the Web Client deployment
configuration interface. If a match cannot be made, it defaults to English.
For example, if your Windows Locale setting is Chinese (PRC), the language
code set for your browser would be “zh-cn”. This is compared to the current list
of language codes on the Web Server, which by default is the following:
Language Windows Language Code
English en
French fr
German de
Spanish es
Simplified Chinese zh
Japanese ja
Korean ko
888
Having failed to match “zh-cn”, the script tries to load Simplified Chinese
language, “zh”, as a match. The interface will automatically display in Chinese.
Voir aussi Using a language different to the current system locale setting
Using a language You can display the content of the Web Client’s deployment configuration pages
different to the current using a language that’s different to the current system locale setting for the
computer. To do this, use a URL query string in the address field of your
system locale setting
browser.
To switch to a language other than the default:
1 Decide which language you want to use and determine its associated lan-
guage code. (See How default languages are implemented for a list of the
codes for the default languages supported by the Web Server).
For example, if you want to use Chinese, the code required would be zh.
Remarque : If the language you want to use is not one of the supported
languages, you must create and translate your own message file. See
Implementing a non-default language.
2 Use a URL query to indicate the language you want to use for the Web
Client deployment pages. For example, if the address field on your browser
currently reads:
http://localhost/CitectSCADA
add a "/?lang=" query to the end of the address. For example, Chinese
would be:
http://localhost/CitectSCADA/?lang=zh
Remarque : If you use a code that represents a regional variation of one of
the default languages and that specific code cannot be matched, the Web
Server can only implement the available default version of the language. For
example, using the language code for Chinese (PRC), “zh-cn”, results in the
Simplified Chinese being used, “zh”.
Your Web browser now displays the Web Client’s deployment configuration
pages using the appropriate language.
Voir aussi Implementing a non-default language
Implementing a non- If you need to use a language on the Web Client’s deployment configuration
default language interface other than one of the default languages supported by the Web server,
you can implement your own translation of the messages file that defines the
text that appears.
889
A: First check that you haven’t accidentally deleted the #DisplayClient folder
from the installed Web Server directory, as this will cause this error. By default,
this directory is located at:
c:ProgramFilesCitectCitectSCADA6.10\WebServer\Deploy\#DisplayClie
nt
If this is not the case, this issue is due to a MIME configuration problem: the
initialization files are not being recognized in Windows 2003 as registered file
extensions. To correct this, add the correct MIME type extension by doing the
following:
1 Run the IIS manager and go to Web Sites|Default Web Site|Cit-
ectSCADA|deploy.
2 Choose Properties from the folder’s right-click menu.
3 Go to HTTP Headers|MIME types.
4 In the Extension field, enter ".*".
5 In the MIME type field, enter “all”.
6 Restart your Web server and client.
General issues
This section describes general issues relating to the Web Client product.
Q. When I try to run a deployment in Internet Explorer, I get the following
error: “Problems with this page might prevent it from being displayed
properly...”. What is the problem?
A. The cause of this problem stems from downloading the client component (the
.cab file) associated with the deployment. If the current user on the client
computer does not have Windows’ local administrator rights when the
download takes place, this error message appears.
The solution is to ensure that the person who runs a deployment for the first
time is a Windows local administrator on the client machine. Once the
components have been downloaded, the problem will not reoccur and any user
can access the deployment; unless the .cab file is updated and a newer version
must be downloaded.
Q. I deployed a project from within CitectSCADA using the appropriate
citect.ini [WebServer] parameters, but the project does not appear in the list of
deployments on the Web Server. A dialog informed me that the deployment
was successful. What has happened?
A. This problem can occur if you make an error with the syntax for the
[WebServer]DeployRoot parameter. If, for example, you use a curly bracket
instead of a square bracket, (for example, “[WebServer}DeployRoot”), the
894
compiler cannot read the parameter and deployment files are sent to the
CitectSCADA project directory instead:
C:\Documents and Settings\All Users\Application
Data\Citect\CitectSCADA\User\<Project Name>
The deployment is flagged as successful, but it cannot be located by the Web
Server.
You should check the location above for evidence of this problem, as a subfolder
called "Web Deploy" will have appeared. If this is the case, you should review
the syntax used in your citect.ini file.
Q. I deleted a user from the list of users configured for access to the Web
Server, but they can still log in. How do I deny them access?
A. Sometimes a user can connect to the Web Server even after their user account
has been deleted. This is due to the operating system failing to acknowledge, for
a period of around half an hour, that a user has been deleted.
The solution is to deny full access to the user before deleting them. That way,
they cannot gain access. See the topic “Deleting a user account” in the Web
Client section of the CitectSCADA Installation and Configuration Guide.
Q. When I try to run the Web Client component for the first time, I get a
“System Settings Change” message instructing me to restart my computer.
What should I do?
A. This is a known problem affecting computers that contain old versions of
some system files required by the Web Client Control. If these files are used by
another application during installation, this System Settings Change message
appears. Click OK to restart your machine to allow the newer versions of the
required files to be installed during system reboot. The problem will disappear.
Q. One of the ActiveX Object’s included in my project cannot locate its
associated data source. Where is it?
A. If an ActiveX object has an associated data source, you need to ensure the
data source can be located by the computer hosting the Web Client. See the topic
Gestion des sources de données associées for details.
Q. Why does a pop-up saying "Client control
(CitectSCADAWebClient_6_0_xxx.cab) is not in the option list!" when I try to
edit my deployment from the Web Client Deployment Configuration Page?
There are two possible reasons for this dialog:
1 You might have set the [Web Server] parameter WebClientControl incor-
rectly. The Web page might not recognize the name or version of the .cab
file. You should also check that you’ve used a forward slash in front of the
cab file name, as this is required for the Web Server to locate the correct file.
895
Q. The new page that I added to my CitectSCADA project does not appear in
the Page Select list or the default menu page in the Web Client. How can I
correct this?
A: If the page you added to your CitectSCADA project does not appear in Web
Client, you can manually type in the page name in the Page Select list to view
this new page. In this version of the Web Client, the new page is not added to the
default menu page.
Q. How does the Web Client deal with ActiveX controls (for example,
CiMeterX.ocx) and user files (Recipes.dbf, for example) that are required by a
user project?
A. If your user project requires files such as these, you need to create special zip
files to contain them. Create an ActiveX.zip file to contain the ActiveX files
required by your project, and a Misc.zip file to contain other files that your
project needs; for example, recipes.dbf, Chinese.dbf, Japan.dbf, and so on.
Add these files under the main project path (for example, C:\Documents and
Settings\All Users\Application
Data\Citect\CitectSCADA\User\Example).
Remarque : You can have subfolders within the zip files, but your project must
be configured to use the same relative path structure.
During compilation, any zip files that contain supporting files required by a
CitectSCADA project are copied to the Webdeploy subfolder. During startup,
the Web Client will check the timestamp of any zip files to determine if the zip
files have been updated; if the files have been updated, the zip files will be
downloaded.
Q. My project was created using CitectFacilities and incorporates the Citect
TimeScheduler. The TimeScheduler is not working when I run the project on
the Web Client. What’s wrong?
A. If you want to run the Time Scheduler on a CitectSCADA Web Client, you
must ensure that the user profile you log in with has appropriate network access
to the configuration tool, and the location of the configuration files. The user
must be able to execute the configuration tool, and write to the configuration
files.
Q. The Web Client Deployment Page displays incorrectly on Windows 2000
Advanced Server. 'Show Server Details' is missing, and the icons for Start
Display Client, Delete Deployment and Edit Deployment are also missing.
What is wrong?
A. This appears to be caused by Windows Automatic Update installing several
components at the same time after a fresh install of the operating system. Even
though Internet Explorer might have been upgraded to the latest version (for
example, 6.0.2800.1106) it might still behave as a version 5 browser; for example,
it offers limited support for "iframes". If you call up About Internet Explorer
897
from the Help menu, and a Version 5-style dialog appears with a version 6
release number, then your computer is affected in this way.
A complete uninstall/reinstall of Internet Explorer will correct the problem.
898
Utilisation du projet CSV_Include
Cette section contient des informations sur le projet CSV_Include ainsi que
les rubriques suivantes :
Introducing CSV_Include
Using Pages and Templates
Creating a New Project
CSV_Include Reference
Introducing CSV_Include
When you create a new project based on CSV_Include, the following templates
and pages are available for you to use as you create your graphics pages. This
section describes the pages and their buttons, menus, and tools.
The CSV_Include project has the following templates:
Template Name Description
Normal Standard graphics page
Alarm Active alarm page
Disabled Disabled alarm page
Summary Summary alarm page
Hardware Hardware alarm page
Trend Trend page (8 pens)
Double Trend Split-page trend page (16 pens)
File Displays a file
Admin Tools Engineering tools page
Poptrend Popup trend
Instanttrend Instant trend
Popup_Small Small popup window
Popup_Mid Medium popup window
Popup_Large Large popup window
Popup_Xlarge Extra large popup window
Common functionality The alarm page templates all share panels to the left of the alarms list that
support the following functionality:
Acknowledge Tasks
Offers the option to acknowledge all alarms on the current page, to acknowledge
just the selected alarm, or to silence the audible alarm. It is featured on the
Active Alarms page and the Hardware Alarms page.
905
The Trend, Double Trend and PopTrend displays allow you to select and
display trend tags from your CitectSCADA project on a color-coded linear chart.
Being based on information coming from the CitectSCADA trend server, these
displays are supported by stored historical data that can be recalled if required.
The Instant Trend display is unique as it allows the selection of up to four
variable tags for display. This allows you to visually monitor a tag without
having to set it up within your CitectSCADA project as a trend tag. You can even
load tags directly into the display by hovering the mouse over a tag value on a
graphics page and keying in a plus sign (see the parameter [TrendX]KeySeq).
There are limitations to this feature, however, as data is only available from the
time the display is launched and is lost when the display is closed. The Instant
Trend feature has a duration setting that limits the amount of time the display
can remain open, you can adjust the default setting for this via the parameter
[TrendX]Duration.
For details on implementing instant trending, see Setting Up Instant Trending.
Common functionality The trend display templates share common controls that support the following
functionality:
Selected Trend Field
Range/Scale markers
Span markers
Set span button
Trend cursor
History mode
Zoom
Autoscale
Scale defaults
Export to file
Paste to clipboard
Plot trend
Trend group
907
The field is color coded to match the graphical display, hence the colorful nature
of the listed fields.
To load a trend into a Selected Trend field, right-click the field. A menu appears
allowing you to select a trend or clear the field. Once you have loaded all your
selected trends, you can make a particular pen the focus of the graph by clicking
this field. An arrow to the left of the field indicates it is currently the focus trend.
Note that this field appears slightly different when using instant trending, as the
graph will be displaying current data for a variable tag, not a trend tag. In this
case, the selection field appears as below, with the tag name, current value,
description and sample period displayed.
Range/Scale markers
These markers appear along the vertical axis and show the scale of the display
for the currently selected pen, highlighting the lowest to highest values for the
scale range.
Span markers
These markers appear along the horizontal axis, and show the span of the trend
display in time. The left-hand marker shows the current start time and date, the
right shows the current end time and date. Typically the right-hand marker
shows the current time; however, this can be affected by zooming or displaying
in Historical mode.
908
Trend cursor
Allows you to select a location on the graphical trend display and determine the
time and date for that particular point. The arrows to the left end of the display
allow you to move the cursor left or right. The Exit icon to the right closes the
trend cursor.
History mode
Allows you to scroll forward or backward through a graph of a trend tag's
history. To switch into History Mode, select the Display History Mode
checkbox. The display changes to lower version of the control shown to the left.
The four buttons allow you to move backwards or forwards through the trend
graph, with the two outer buttons shifting a page at a time, and the two inner
buttons shifting half a page. The clock icon allows you to edit the end time for
the historical display.
Deselecting the box returns to the normal trend view.
Zoom
Zooms in on or out of the current display. Zoom in (+) increases the focus of the
display and continues zooming in on subsequent clicks. Zoom out (-) returns to
the default.
909
Autoscale
Autoscales the current view, which means the scale adjusts to the lowest and
highest values reached.
Scale defaults
Returns the scale for the display to the default for the currently selected trend.
Export to file
Exports the data for the currently displayed trend to a file. A Save As dialog will
appear, allowing you to save the data as a D Base III file (.DBF file), a comma
separated value file (.CSV file) or a text file (.TXT).
Paste to clipboard
Sends the data for the currently displayed trend to the Windows clipboard.
Plot trend
Plots the trend to a printer. Use this button to print a trend graph instead of the
Print Page button. A dialog allows you to configure the printer setup.
Trend group
Allows you to load a trend group. A dialog lists the currently configured groups
and allows you to clear currently displayed variable tags. See Creating a Trends
Group.
To understand how a file page works, you must distinguish between the file
page and the file that is presented on the page; for the file page merely acts as a
blank palette to a variety of files.
The file page is displayed whenever the function CSV_Nav_File is called. When
executed, CSV_Nav_File determines the file that is to be displayed on the file
page, its location, the title applied to the page, and whether or not the file is
editable.
For example, you may configure a menu item that calls up the following:
?CSV_Nav_File(MyPageTitle,[Run]:\file.txt,2)
This would call up the file page, put the title “MyPageTitle” on the title bar, load
the file called File.txt from the Run directory, and allow the file to be edited
(with the last argument set to 2, the file can be saved).
The parameter [Navigation]FilePage determines the page that's used as the
palette for this process. The preconfigured page CSV_File is the default. You can
change the setting for Navigation[FilePage], however, you must ensure that
any page you specify for this parameter is based on the CSV_File template,
otherwise CSV_Nav_File will not be able to execute properly.
The Tag Debug tool allows you to browse a list of available tags and read the
current value for a selected tag. Depending on your access privileges, you
may also be able to write a new value to the tag.
The right-hand side of this page displays statistics about the CitectSCADA
system:
System Information: Provides details of the CPU usage, memory usage and
available disk space for the current runtime machine.
Citect Information: Provides information about the CitectSCADA system
including version information and the number of trend, alarm and report
clients currently connected
I/O Server: Provides information about the status of the CitectSCADA IO
Server your system is connected to. The name of the IO Server machine
appears in the title bar of this panel. The information displayed includes:
Maximum - the overall maximum response time (ms)
Average: Overall average response time (ms).
Minimum: Overall minimum response time (ms).
Read Request: Total read requests per second.
Read Physical: Total physical read requests per second.
Write Request: Total write requests per second.
Write Physical: Total physical write requests per second.
Reset button: clears the current values and recalculates them.
Timekeeping: The Set Date and Set Time fields function as buttons that call
up an input dialog for entering a new date and time for the local computer.
The Set Master Time field sends the local time to the CitectSCADA time
server, which in turn sends the date and time to all CitectSCADA machines
on the current network.
Common Toolbars
Pages in the CSV_Include project include common toolbars for easy navigation
and feature access, as well as a consistent appearance.
The following three toolbars remain on screen during operation:
Navigation toolbar: Provides navigation buttons and direct access to key
pages such as the Trends page and Admin Tools page.
Alarm toolbar: Provides access to Alarms pages and displays the last three
active alarms.
912
Navigation Toolbar
The Navigation toolbar includes buttons that allow the user to move between a
project’s pages. If the current user has insufficient privilege or there is no option
configured for a particular button, it is unavailable to the user.
Icon Name Description
Back Goes back to the page displayed before the current page. The arrow to
the right of the button allows you to select from a menu of recently
visited pages. You can set the maximum number of pages included in
this menu by adjusting the parameter
[Navigation]LastPageStackSize.
Forward Goes forward to the page that was displayed prior to the back button
being pressed. The arrow to the right of the button allows you to select
from menu of pages recently navigated back from. You can set the
maximum number of pages included in this menu by adjusting the
parameter [Navigation]LastPageStackSize.
913
Login Displays the standard CitectSCADA login prompt. The menu to the
right offers extra options such as Logout, Change Password, Edit User
(restricted by login) and Create User (restricted by login).
914
[Navigation]
HelpPage = ?LaunchOnlineHelp
Alarms Toolbar
The alarms toolbar provides access to current alarm information and navigation
buttons for single-click access to alarm pages. It also includes standard
CitectSCADA prompt and current date and time.
915
Events Setup page The CSV_Include project includes three preconfigured events.
CSV_TrendXClient: enables the Instant Trend feature.
Security Setup - Control Provides a Display Title Bar option. As the CSV_Include pages feature an XP-
Menu page styled title bar, deselecting this option allows your project to run successfully in
full-screen mode (run CSV_Include-based projects in full-screen mode).
Voir aussi Creating a Privileged User
Setting Up Instant Trending
Implementing Audible Alarms
Creating Pages
When considering the pages required for your project, first determine if you can
use any of the predefined pages in the CSV_Include project:
Page name Description
CSV_Trend Default 8-pen Trend page, called from the Trend button on the Navigation toolbar.
CSV_Alarm Active Alarms page, called from the Alarms toolbar.
CSV_AlarmHardware Hardware Alarms page, called from the Alarms toolbar.
921
The links between the pages listed and the buttons that call them are defined by
the [Navigation] parameter settings within the citect.ini file. If you want a
button to call a page with a different name, adjust these parameter settings. For
details see CSV_Include Parameters.
Creating new pages Normal and Popup templates are designed with minimal content to enable the
presentation of customer-required information and plant mimics.
Pages are created based on these templates within Graphics Builder by choosing
the required template from the Use Template dialog (File | New Page). You can
access the CSV_Include templates by selecting csv_xp_01 from the Style field.
Remarque : If you try to launch a CSV template from within Citect Explorer, you
must drill down to [Project Name]/Graphics/Templates/csv_xp_01/XGA to
locate it.
The CSV_Include project can add rollover buttons to pages without drawing
and configuring multiple elements. You can add text to a page that has a button
appear behind it whenever the cursor passes by adding the function
DspButtonRollOver() to a button's visibility property. No arguments are
required.
Voir aussi Using Pages and Templates
Menu Configuration tool The content of the menus can be configured via the Menu Configuration tool,
which is launched from the Citect Configuration panel of the Admin Tools page.
The Menu Configuration tool has two panels. The panel on the left represents
the menus configured for the current project in a directory structure. The panel
on the right includes information about the item currently selected in the left
panel. The picture above includes the default settings generated for any new
projects based on the CSV_Include templates.
The directory in the left panel is a graphical representation of a DBF lookup table
that forms the basis of the menus displayed at runtime. The hierarchical
structure is determined by the following fields within this table:
Page The page field is defined as either “Generic” (as pictured above), or the name of a page
within the project. Generic specifies that the menu is associated with all pages, a specific
page name indicates the menus that will appear just on that particular page.
Menuname Name(s) of the menus included on the specified page.
Menuitem Item(s) that appear within each menu.
Submenu Submenus that appear in a menu (optional). Adding a sub menu automatically removes the
action defined for the menu item it is branched from, as the parent becomes a placeholder for
the list of sub menus.
In the example, the Page is defined as "generic", indicating that the menus
configured appear on all pages within the project.
The Menu Names that appear are the five defaults: Pages, Trends, Alarms, File
and Tools. The Pages menu is expanded, showing the Menu Item Update Page
List. As Update Page List is the currently selected item, the fields associated with
it are pictured in the right.
923
The fields you can expect to see associated with an item, as defined in the DBF
table, are as follows:
Action Either the name of the page to display or a Cicode function. If specifying a Cicode function, it
must be prefixed by a question mark ("?"). To invoke a Cicode function that has arguments
from the Menu System, use the following format: function name, space, comma-separated
list of string arguments. For example, ?LoadPav dP45.pav.
Privilege The login privilege required to trigger the associated action.
Disabled Indicates if the item is currently disabled (embossed). For example, if the current login does
not meet the required privilege set for the item (see above), this field will be set to True and
the menu item will appear embossed to indicate its currently not active.
Checked Indicates if the menu item is currently checked (with a tick). True indicates
Btnwidth Specifies the width of the button (optional).
Building custom menus Creating a custom menu entails adding the required pages, menus, and items to
the Configure Menus directory structure, and then assigning the required action
and privileges to each item. This is all achieved via a right-click menu.
Right-click a branch in the directory to display the context menu, which shows
the available actions for the current selection. In the example, clicking the
Generic page allows you to add a new page, add a new button to the generic
page, delete the page, copy it, or save the configuration.
The right-click menu includes the following actions:
Edit Item Available when an Item is selected. This option displays the Edit Item dialog, which
allows you to define the fields associated with the current Item. In particular, it allows you
to specify the action associated with the item. (See Editing a menu item below)
924
New Page Adds a new page to the menu configuration. Use this option to create new custom
menus designed specifically for a particular page in your project. Note that the name you
give the new page in the menu configuration must be identical to the name of the page in
your project that you want the menus to be applied to.
New Button Adds a new menu button to the current page.
New Item Adds a new item to the currently selected menu.
New Sub Item Adds a sub item to the currently selected item. A subitem overwrites the action
configured for its parent item. The parent item becomes a label identifying the list of Sub
Items assigned to it.
Delete Page Deletes the currently selected Page from the menu configuration.
Delete Button Deletes the currently selected Menu Button from the menu configuration.
Delete Item Deletes the currently selected Item from the menu configuration.
Delete Sub Item Deletes the currently selected Sub Item from the menu configuration.
Copy page Copies the currently selected page and pastes it to the end of the menu configuration.
This option is useful if you want a page to include the generic page menu configuration,
but with additional menus that only appear when the particular page is displayed. To do
this, copy the generic page, rename it to match the page you want to customize the
menus for, then add the required menus and items.
Save Saves the current menu configuration.
Editing an item You configure a menu item's functionality by using the Edit Item Menu dialog.
Use this dialog to identify the action an item will trigger, be it navigation to a
specific page, or execution a function. To launch this dialog, right-click the item
to configure and choose Edit Item from the menu.
You should fill out the fields as follows:
Action Indicates the name of the page to display, or a Cicode function. If specifying a Cicode
function, it must be prefixed by a question mark ("?").
Privilege The login privilege required to trigger the action. Only users with appropriate access
privileges will be able to use this item.
925
Disabled As this setting is determined automatically depending on the current user's access
privileges, leave this set to False unless you want the item disabled by default.
Checked Leave this set to False unless you want the item checked by default.
Button Width Leave this set to zero (0) as this sets the menu button to the appropriate width. To set a
specific width for the button, input the width in pixels.
Voir aussi Common Toolbars
3 In the Alarm Group Description box, type the name you want to use to
identify the group.
926
3 In the Description text box, type the name you want to use to identify the
group.
4 In the Trend Pen text boxes, select the eight variable tags you want the
group to trend. Click the button on the right of each field to view the
available tags within the CitectSCADA runtime project.
5 In the Area text box, type the areas defined in the CitectSCADA project you
want to use to define the group.
6 Click Add.
The information to the right of the dialog indicates how many trend groups are
configured and where you are currently positioned in this list. You can scroll
through the list of configured groups by using the up and down arrows.
To change a group, locate it in the list of groups or browse to it using the
selection button to the right of the Description text box, make the required
changes, then click Replace.
Voir aussi Creating an Alarms Group
For example, to display a specific page, you'd specify the page name as the
environment variable. To call a specific Cicode function, you'd specify the
function name (with a "?" prefix), space, then a list of comma separated
arguments, like this: ?WinPrint LPT1,0,0,Trend.pal. (The “?” indicates that
the variable is to be interpreted as a function call rather than a page to display.)
Let's look at a more detailed example: usually the standard Print button is used
for printing a graphics page in WYSIWYG format. If you have a text/html file
displayed on the page, or perhaps a trend, you can create your own print
function (for example, PrintTrend) and specify it in the environment variable,
as ?PrintTrend. To reduce the amount of ink used, specify the WinPrint
function with a user-defined palette. In this case you would specify it as a
parameter rather than as an environment variable so that it applies to all pages.
Remarque : With the standard CSV_Include trend pages, you can print the
screen using the standard Print button, or plot the trend using the Trend Plot
button. You should give the user both alternatives as they both serve different
purposes.
Foire aux questions
Pages
Q : Comment puis-je ouvrir une page au démarrage?
R : Au démarrage, CitectSCADA recherche une page appelée « Startup ». Si
CitectSCADA la trouve, il l’ouvre automatiquement. Vous pouvez modifier le
nom de cette page à l’aide de l’Assistant de configuration de l’ordinateur en
mode personnalisé. Pour plus de détails, voir Configuration des options
générales.
Q : Comment puis-je faire fonctionner les boutons Page suivante et Page
précédente sur de nouvelles pages graphiques?
R : Utilisez Propriétés Page (menu Fichier de l’Éditeur graphique) pour définir
la page suivante et la page précédente.
Q : Comment puis-je afficher les pages commençant par un « ! » ?
R : Cochez l’option Afficher les pages systèmes en sélectionnant Options dans le
menu Outils de l’Éditeur graphique.
Q : Que signifie le « ! » lorsqu’il est le premier caractère d’un nom de page?
R : Le « ! » signifie que la page est une page système. Les pages commençant par
un « ! » n’apparaissent pas dans la page de menus par défaut ou dans la liste
déroulante Sélectionner page.
Q : Est-il possible d’associer plus de 8 tags de variables à un Super Génie?
J’utilise la fonction AssPopup() mais il ne me permet d’en utiliser que 8.
930
R : Vous pouvez utiliser la fonction AssVarTags pour associer jusqu’à 256 tags
de variables. Vous pouvez également utiliser des tableaux.
Q : Je viens juste de créer un Génie et veux lui ajouter un privilège. Avec les
versions 3 et 4, je pouvais appuyer sur CTRL en double-cliquant mais ça ne
marche plus avec la version actuelle.
R : Ceci est dû à l’ajout dans la version 5 d’objets basés sur les propriétés. Pour
ajouter un privilège, vous devez ajouter un nouveau champ à l’écran Génie en
insérant %privilege% dans le champ Privilège du Génie.
Pages graphiques
Q : Avec les objets graphiques de la version 4, il était possible d’afficher dans
différentes couleurs l’état activé/désactivé des chaînes. Comment puis-je le
faire avec les nouveaux objets?
R : Vous pouvez créer le même effet en utilisant le type On/Off dans l’onglet
Remplissage d’un objet de texte. Il suffit de rajouter le tag numérique et de
préciser les couleurs.
Q : Pourquoi mes graphiques à barres et symboles sont-ils couverts de points?
R : Les points indiquent une erreur de communication pour l’affichage de cet
objet. Si le périphérique d’E/S associé aux données est hors ligne, il est affiché
avec des points.
Exécution
Q : Comment puis-je exécuter une fonction Cicode au démarrage?
R : Spécifiez la fonction Cicode à l’aide de l’Assistant de configuration de
l’ordinateur en mode personnalisé. Utilisez la page de configuration des
fonctions de démarrage. Pour plus de détails, voir Configuration des fonctions
de démarrage.
Q : Comment puis-je exécuter un rapport au démarrage?
R : Au démarrage, CitectSCADA recherche un rapport appelé « Startup ». Si
CitectSCADA le trouve, il l’ouvre automatiquement. Vous pouvez modifier le
nom de ce rapport à l’aide de l’Assistant de configuration de l’ordinateur en
mode personnalisé. Utilisez le champ Rapport au démarrage de la page
Configuration serveurs rapports. Pour plus de détails, voir Configuration des
rapports.
Q : Comment puis-je désactiver le redémarrage par l’opérateur?
R : Vous pouvez désactiver la commande Ctrl+Alt+Del à l’aide d’un utilitaire
tiers. Consultez la Base de connaissances Citect ou contactez l’Assistance Citect
pour obtenir une liste des logiciels recommandés.
931
Tendances
Q : Comment puis-je obtenir des données de tendance dans une base de
données dBASE?
R : Affichez la tendance à l’écran puis sélectionnez l’outil Sauvegarder fichier
sous. Cet outil affiche une boîte de dialogue Sauvegarder sous pour vous
permettre de saisir le nom du fichier et appelle la fonction TrnExportDBF pour
sauvegarder les données. (Pour des procédures plus complexes, appelez ces
fonctions directement.)
Q : Comment puis-je obtenir des données de tendance dans Excel?
R : Vous avez trois possibilités :
Affichez la tendance à l’écran, sélectionnez le presse-papiers pour copier les
données puis collez-les dans Excel.
Affichez la tendance sur l’écran puis sélectionnez l’outil Sauvegarder fichier
sous. Sauvegardez les données au format CSV puis ouvrez le fichier obtenu
dans Excel.
Affichez la tendance sur l’écran puis sélectionnez l’outil Sauvegarder fichier
sous. Sauvegardez les données au format DBF puis ouvrez le fichier obtenu
dans Excel.
(Pour les autres procédures, appelez les fonctions TrnExportCSV ou
TrnExportDBF).
932
Contrôles
Q : Comment puis-je démarrer un moteur avec le clavier?
R : Définissez une commande Clavier Page qui affecte la valeur 1 à la variable
numérique, par exemple :
933
Alarmes
Q : Comment puis-je permettre à l’opérateur d’atteindre la page d’alarme avec
le clavier depuis n’importe quelle page du système?
R : Définissez une commande clavier globale (par exemple la touche F3) pour
afficher la page avec la fonction PageAlarm ou utilisez une page Modèle dotée
d’un bouton Page d’alarme. Les commandes clavier globales sont définies dans
Commandes clavier système.
Q : Comment puis-je appeler une fonction lorsqu’une alarme se déclenche?
R : Définissez toutes les alarmes comme une catégorie d’alarmes et appelez la
fonction dans le champ Action alarme.
Q : Comment puis-je envoyer des alarmes dans un fichier dBASE?
R : Saisissez le fichier dBASE dans le champ Périphérique d’enregistrement de
l’écran Catégorie d’alarme.
Q : Comment puis-je afficher les alarmes?
R : Utilisez la fonction PageAlarm pour afficher la page d’alarmes standard.
Pour avoir un meilleur contrôle sur l’affichage, vous pouvez également créer
votre propre page d’alarmes et utiliser la fonction AlarmDsp.
Q : Comment puis-je afficher l’historique des alarmes?
934
Divers
Q : Pourquoi #COM est-il affiché sur toutes mes pages?
R : #COM indique une erreur de communication pour l’animation concernée.
#COM s’affiche si le périphérique d’E/S associé aux données est désactivé.
Q : Je reçois des erreurs de communication avec mon automate (alarmes
matérielles, #COM, données de tendance ou symboles absents sur mes pages).
Que puis-je faire?
R : Utilisez la fenêtre Noyau CitectSCADA. (Pour plus de détails, voir
Utilisation du noyau CitectSCADA.)
1 Lorsque le projet a démarré, appelez la fenêtre Noyau. Dans la fenêtre prin-
cipale du Noyau, tapez debug <nom du port> error. Le Noyau CitectSCADA
mettra le port en mode de débogage et enregistrera les erreurs.
2 Puis appelez la fenêtre Détection en tapant « probe ». Dans cette fenêtre,
tapez « E » puis « L » (pour enregistrer les erreurs).
3 Lancez le projet jusqu’à ce que la ou les erreurs se produisent. Par exemple,
ouvrez la page problématique puis fermez le projet.
4 Le Noyau CitectSCADA en mode de débogage enregistrera des
informations de communication de bas niveau dans le fichier syslog.bat
situé dans le répertoire Windows. Le mode Détection (probe) enregistrera
des informations complémentaires (adresse du tag par exemple) utiles pour
déboguer des problèmes de communication.
936
Glossaire
A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L |M |N | O | P | Q | R | S | T | U | V
| W | XYZ
10baseT Version d’Ethernet à paire torsadée blindée. Utilise normalement une
prise RJ45.
10base2 Version d’Ethernet à câble coaxial mince. Utilise normalement une prise
BNC.
10base5 Version d’Ethernet à câble coaxial épais.
A
Accrédité — Niveau 1 Pilotes élaborés conformément aux exigences du Système de
qualité et d’accréditation des pilotes CitectSCADA CiTDriversQA96, qui
garantit qu’ils ont été conçus, codés et testés selon les normes de qualité les plus
strictes.
Accrédité — Niveau 2 Pilotes élaborés conformément aux exigences du Système de
qualité et d’accréditation des pilotes CitectSCADA CiTDriversQA92.
Accumulateur Équipement CitectSCADA permettant de garder une trace des
données incrémentielles acquises en phase d’exécution, telles que les heures de
fonctionnement, la consommation électrique et les temps d’immobilisation des
moteurs.
Alarme active Alarme se trouvant dans un des états suivants : ON et sans
acquittement; ON et avec acquittement; OFF et sans acquittement.
Alarmes avancées Alarmes déclenchées lorsque le résultat d’une expression
Cicode devient VRAI. Utilisez-les uniquement lorsque les autres types
d’alarmes ne sont pas disponibles. La configuration d’un trop grand nombre
d’alarmes avancées peut compromettre la performance de votre système.
Catégories d’alarmes Vous pouvez affecter chaque alarme à une catégorie, puis
traiter chaque catégorie à l’intérieur d’un groupe. Par exemple, vous pouvez
spécifier les caractéristiques de l’affichage, l’action à entreprendre lorsqu’une
alarme d’une catégorie se déclenche et le mode d’enregistrement des
informations pertinentes. Vous pouvez également affecter à chaque catégorie
une priorité, qui déterminera l’affichage de l’alarme, les filtres pris en
compte, etc.
Serveur d’alarmes Surveille les alarmes et génère une alarme sur le(s) client(s) de
visualisation approprié(s) dès qu’une condition d’alarme devient active.
942
Page d’affichage des alarmes Affiche des informations sur chaque alarme selon le
format suivant : heure de l’alarme, nom du tag, nom de l’alarme, description de
l’alarme.
Page de l’historique des alarmes Affiche des informations sur chaque alarme selon
le format suivant : nom de l’alarme, heure de déclenchement, heure d’arrêt,
durée, commentaire.
Alarmes analogiques Alarmes déclenchées lorsqu’une variable analogique atteint
une certaine valeur. CitectSCADA prend en charge quatre types d’alarmes
analogiques : alarmes hautes et très hautes; alarmes basses et très basses;
alarmes de déviation; et alarmes de fréquence de changement.
Fichiers de numéros d’animations (.ANT) Fichiers texte au format ASCII contenant
une liste de points d’animation (AN) ainsi que les coordonnées (en pixels) de
chaque point.
Point d’animation Point d’une page graphique où est affiché un objet. Lors de
l’insertion d’un objet sur une page, CitectSCADA affecte automatiquement un
numéro (AN) au point d’animation correspondant (aux coordonnées de cet
objet).
Zone Une grande application peut être visualisée comme une série de sections ou
de zones distinctes. Ces zones peuvent être définies géographiquement (lorsque
différentes parties d’une installation sont séparées par de grandes distances) ou
logiquement (comme des processus ou des tâches distincts).
Arguments Valeurs (ou variables) passées par une séquence de touches à une
commande clavier en phase d’exécution (saisie opérateur). Les arguments
peuvent également être les valeurs (ou variables) passées à une fonction Cicode
lors de son exécution.
Interface de raccordement (AUI) Généralement utilisée pour la liaison avec un
émetteur-récepteur, souvent par l’intermédiaire d’un câble de dérivation.
Composant automatisé (objet ActiveX) Les objets ActiveX sont typiquement
constitués d’un composant visuel (que vous voyez à l’écran) et d’un composant
automatisé. Le composant automatisé permet l’interaction entre l’objet
conteneur et l’objet ActiveX.
B
Débit en bauds Nombre de fois par seconde qu’un signal varie dans un canal de
communication. Bien que le débit en bauds affecte directement la vitesse de
transmission des données, il est souvent employé à tort pour désigner le débit de
données. Le débit de données doit être exprimé en bits par seconde (bps).
Variable BCD (périphérique d’E/S) Type de données sur deux octets (16 bits)
acceptant des valeurs entre 0 et 9999. Les deux octets sont divisés en quatre
séries de quatre bits représentant chacune un nombre décimal. Par exemple, le
943
nombre binaire 0010 représente le nombre décimal 2. Le nombre BCD 0010 0010
0010 0010 représente donc 2222.
Goulot d’étranglement Un goulot d’étranglement se produit lorsque trop de
requêtes sont envoyées à un bus de données ou à un canal de communication
avec un automate. Ce problème peut survenir quel que soit le protocole utilisé et
dépend de plusieurs facteurs, dont la fréquence des requêtes, le nombre de
requêtes doubles (et donc inutiles), la prise en charge de requêtes multiples non
traitées, ainsi que de l’encombrement du réseau.
Séquence d’exploration Série de pages graphiques liées par une séquence
d’exploration qui permet de naviguer de manière linéaire dans le système
superviseur à l’aide des commandes Page précédente et Page suivante.
Variable octet (périphérique d’E/S) Type de données sur un octet, acceptant des
valeurs entre 0 et 255. Un octet est constitué de 8 bits. Un caractère ASCII est
généralement représenté par un octet.
C
Antémémoire (antémémoire de périphérique d’E/S) Lorsque la mise en antémémoire
est activée, toutes les données lues depuis un périphérique d’E/S sont stockées
temporairement dans la mémoire du serveur d’E/S. Si une autre demande est
effectuée (par le même client de visualisation ou un autre) pour les mêmes
données dans le délai de conservation en antémémoire, le serveur CitectSCADA
renvoie la valeur stockée en antémémoire plutôt que de la lire une deuxième fois
dans le périphérique.
Fonction de rappel Fonction passée comme argument d’une autre fonction. Il
s’agit de fonctions écrites par l’utilisateur.
Cicode Langage de programmation conçu pour les applications de surveillance
et de contrôle d’installations. Semblable à d’autres langages tels que le Pascal.
Fonction à verrouillage Cicode Fonction Cicode qui se verrouille ou attend la fin
d’un événement asynchrone avant de continuer.
CiNet CiNet n’est plus pris en charge. CiNet est un réseau étendu (WAN) à faible
débit utilisé pour les applications de surveillance à distance. Si votre application
couvre une vaste zone géographique, avec de grandes distances entre les
ordinateurs CitectSCADA, l’utilisation d’un réseau LAN pour relier vos clients
de visualisation pourrait s’avérer coûteuse. Dans ce cas, utilisez le Serveur
d’accès distant de Microsoft ou une solution approuvée par Microsoft telle que
Shiva LanRover.
Projet CitectSCADA Éléments d’un système de surveillance et de contrôle
CitectSCADA : pages graphiques, objets, etc. Ces éléments sont stockés dans des
fichiers de divers types : fichiers graphiques pour les pages graphiques, bases de
données pour les enregistrements de configuration, etc. Le compilateur
CitectSCADA permet de compiler un projet en un système superviseur.
944
Remarque : Les serveurs distribués ne doivent pas être utilisés pour structurer
une section ou un processus unique en plusieurs zones distinctes. Il est
préférable, dans un tel cas, d’utiliser un système à un cluster à traitement
distribué pour éviter les pertes de temps liées à la maintenance d’un système de
serveurs distribués (compilations de projets supplémentaires, et ainsi de suite).
947
F
Serveur de fichiers Ordinateur à très grande capacité de stockage (disque
magnétique ou laser, bandes magnétiques, etc.) entièrement dédié à un réseau
local (LAN). Le serveur de fichiers stocke les données communes et les distribue
sur le réseau selon les besoins.
Duplex intégral Transmission indépendante bidirectionnelle simultanée (4 fils).
G
Protocole générique Pseudo-protocole pris en charge par les périphériques d’E/S
en mémoire et sur disque offrant un moyen pratique de représenter les données
ainsi stockées. Un protocole générique n’est pas un vrai protocole en ce qu’il ne
communique pas avec un périphérique d’E/S physique.
Génie Si vous avez de nombreux périphériques du même type (100 pompes
centrifuges par exemple), les graphiques d’affichage pour chacun de ces
périphériques se comportent plus ou moins de la même façon. Les Génies
permettent de ne configurer qu’une seule fois les comportements fréquents Les
graphiques peuvent être sauvegardés en tant que Génie et collés une fois pour
chaque périphérique.
Contrôleur de Génie Génie référençant un Super Génie (en utilisant une fonction
de Super Génie). Un contrôleur de Génie permet d’utiliser le même Super Génie
plusieurs fois dans différentes applications.
Variable Cicode globale Peut être partagée par tous les fichiers Cicode du système
(ainsi que par les projets inclus).
Client global Client de visualisation utilisé pour afficher les informations de
plusieurs systèmes ou de parties de systèmes (à l’aide de clusters).
Boîte de délimitation Contour en pointillés gris pâle d’une boîte rectangulaire
définissant la limite externe d’un objet graphique. Elle n’est visible et active que
lors de la sélection et du redimensionnement de l’objet. Comporte des poignées
de redimensionnement à chaque coin et une poignée au milieu de chaque côté
(si les dimensions sont assez grandes pour l’afficher).
Page graphique Dessin (ou image) apparaissant sur un poste de travail pour
permettre aux opérateurs de contrôler une installation et de visualiser les
conditions rencontrées dans cette installation.
Groupe (d’objets) CitectSCADA permet de regrouper des objets multiples. Chaque
groupe possède un jeu de propriétés unique déterminant son comportement en
phase d’exécution.
H
Semi-duplex Transmission bidirectionnelle non simultanée.
949
Adresse IP Adresse logique unique utilisée par le protocole Internet (IP). Contient
l’adresse sur le réseau et l’ID de l’hôte. Elle utilise une notation décimale pointée
sous la forme : w.x.y.z
Variable entière (Cicode) Type de données sur 4 octets (32 bits) acceptant des
valeurs entre -2147483648 et 2147483647.
Variable entière (périphérique d’E/S) Type de données sur 2 octets acceptant des
valeurs entre -32768 et 32767, utilisée pour stocker des nombres (température,
pression, etc.). Certains périphériques d’E/S prennent également en charge les
variables numériques de type réel (à virgule flottante), octet et BCD (décimal
codé binaire).
Client de visualisation Internet Permet d’exécuter des projets CitectSCADA à
distance par Internet. Il s’agit d’une version de CitectSCADA réservée à
l’exécution. Vous pouvez exécuter vos projets à partir de cet ordinateur comme
vous le feriez à partir de n’importe quel client de visualisation.
Interruption Événement externe indiquant qu’une UC devrait suspendre sa tâche
courante pour traiter une activité spécifique.
K
Commande clavier Consiste en une séquence de touches entrée au clavier qui
entraîne l’exécution d’une instruction (ou d’une série d’instructions). Les
commandes clavier peuvent être attribuées à un objet, à une page ou à un projet.
Base de connaissances Contient des informations techniques de haut niveau ne
figurant pas dans la documentation technique CitectSCADA, régulièrement
mises à jour et accessibles à http://www.citect.com.
Curtosis Degré d’irrégularité d’une courbe de fréquence (généralement par
rapport à une distribution normale). Curtosis < 3 – Distribution étroite avec un
sommet relativement élevé. Curtosis > 3 – Distribution large et aplatie.
L
Réseau local (LAN) Système reliant des ordinateurs entre eux pour permettre le
partage d’informations et de ressources matérielles. Une communication LAN
en temps réel permet de transférer facilement entre ordinateurs des données,
messages, commandes, informations d’état et fichiers.
Base de données linguistique Lors de la compilation d’un projet, CitectSCADA crée
une base de données linguistique (au format dBASE III) contenant deux
champs : « native » et « local ». Tout texte comportant un indicateur de
changement de langue est automatiquement entré dans le champ « native ».
Vous pouvez alors ouvrir la base de données et saisir le texte traduit dans le
champ « local ».
Lien Copie d’un article de bibliothèque, possédant les propriétés de l’original. Le
lien permet la mise à jour de la copie lors de la modification de l’original.
951
Variable Cicode Module Variable spécifique au fichier dans lequel elle est déclarée.
Cela signifie qu’elle n’est accessible que par les fonctions de ce fichier. Les
variables Cicode sont par défaut de type Module. Il n’est donc pas nécessaire de
les préfixer (vous pouvez cependant ajouter le préfixe MODULE si vous le
désirez). Les variables Module doivent être déclarées au début du fichier.
Alarmes multi-numériques Utilisent des combinaisons de valeurs issues de trois
variables numériques pour définir huit états. À chaque état correspondent une
description (activé, arrêté, etc.) et une alarme le cas échéant.
N
Langue native En général, langue du concepteur du projet. Les éléments textuels
(descriptions d’alarmes, boutons, graphiques, chaînes de caractères Cicode, etc.)
peuvent être configurés dans la langue native et affichés en phase d’exécution
dans la langue de l’utilisateur final (langue locale).
Network Dynamic Data Exchange (NetDDE) Permet de faire communiquer des
applications Windows situées sur différents ordinateurs d’un même réseau.
Réseau Groupe d’ordinateurs et de périphériques reliés par une liaison de
communication. Les ordinateurs d’un réseau peuvent partager les mêmes
données et services (imprimantes, serveurs de fichiers, modems, etc.). Un réseau
local de PC est un réseau LAN.
Ordinateur de réseau Ordinateur sur lequel tourne CitectSCADA, relié à un réseau
LAN par l’intermédiaire d’une carte réseau et d’un logiciel réseau.
Nœuds Point d’ancrage structurel d’un objet graphique apparaissant
généralement sous la forme d’une petite boîte carrée superposée à un graphique.
Les nœuds sont toujours situés aux deux extrémités d’un objet graphique et en
tout point marquant un changement de direction.
Distribution normale Également désignée « courbe en cloche », la distribution
normale est la plus connue et la plus couramment utilisée. Elle correspond à une
distribution symétrique et représente le principe du hasard. 68,27 % de la zone
se trouvent entre -1 sigma et +1 sigma, 95,45 % entre -2 sigma et +2 sigma, et
99,73 % entre -3 sigma et +3 sigma. Les valeurs d’asymétrie et de curtosis sont
utilisées pour fournir des mesures quantitatives de la normalité. En supposant
qu’au moins 20 échantillons soient prélevés pour construire une distribution, on
considérera que les données correspondent à une distribution normale lorsque
l’asymétrie est comprise entre -1 et 1 et la curtosis entre 2 et 4.
Valeur nulle Indique qu’une variable ne contient pas de données valides. Les
variables nulle renvoient un VarType égal à 1. Une variable nulle est différente
d’une variable vide (non initialisée) ou d’une chaîne de longueur zéro (" "),
parfois désignée chaîne nulle. Nulle n’est pas équivalent à zéro ou à vide. Une
valeur « nulle » n’est pas supérieure, inférieure ou équivalente à une autre
valeur, y compris une autre valeur « nulle ». Une comparaison booléenne
utilisant une valeur nulle retournera toujours FAUX.
953
O
Objet Éléments de base d’une page graphique. La majorité des objets ont des
propriétés leur permettant de changer dynamiquement dans des conditions
définies par l’utilisateur de sorte à fournir une représentation animée des
conditions survenant dans une installation.
Variable objet (Cicode) Contrôle ActiveX ne pouvant être déclaré qu’avec une
portée de type Local, Module ou Global.
Open database connectivity (ODBC) Permet aux applications d’accéder aux données
de systèmes de gestion de base de données à l’aide du langage SQL (Structured
Query Language).
ID d’objet (OID) ID d’objet associé à chaque tag d’un projet CitectSCADA qui
identifie ce tag de manière unique pour qu’il puisse être utilisé par des pilotes
basés sur des tags, automatiquement généré lors de la compilation. Il est utilisé à
la place de l’adresse du registre (qu’utilisent la majorité des autres pilotes pour
lire et écrire dans des périphériques d’E/S).
P
Tendance périodique Tendance échantillonnée continuellement à une fréquence
spécifiée. Vous pouvez également définir un événement qui déclenche et arrête
l’échantillonnage (lorsqu’une condition apparaît dans l’installation).
Limite de points Un point est une variable numérique ou analogique lue dans un
périphérique d’E/S. CitectSCADA ne compte que les points physiques (une
seule fois, quel que soit le nombre de fois qu’ils sont utilisés).
La limite de points est le nombre maximum d’adresses de périphériques d’E/S
pouvant être lues, qui est spécifié par votre licence CitectSCADA. Lorsque vous
exécutez CitectSCADA, le nombre de points de votre projet est comparé à la
limite de points spécifiée dans votre clé matérielle.
Propriétés, objet Décrit l’apparence d’un objet (taille, emplacement, couleur, etc.)
et sa fonction (commande ou expression exécutée par l’objet, privilège requis
pour y avoir accès, etc.).
Compactage Le compactage supprime les enregistrements devant être effacés et
réindexe les autres. Compactez votre base de données CitectSCADA après
l’avoir éditée en dehors de CitectSCADA.
Variable d’environnement de page Variable protégée en écriture associée à une page
particulière. Vous donnez un nom et une valeur à la variable lorsque vous créez
l’association. CitectSCADA crée la variable à l’ouverture de la page en phase
d’exécution. Sa valeur peut alors être lue. La mémoire de variable
d’environnement est libérée (désaffectée) à la fermeture de la page.
954
Variable réelle (périphérique d’E/S) Type de données sur 4 octets (32 bits) acceptant
des valeurs entre -3,4E38 et 3,4E38. Utilisez une variable réelle pour stocker des
nombres à une décimale.
Nom d’enregistrement Généralement, la propriété principale d’un enregistrement
de base de données, référencé par son nom dans le système CitectSCADA. Les
noms d’enregistrement doivent être uniques pour chaque type. Vous pouvez
parfois utiliser des noms identiques pour des types d’enregistrements différents.
Pour éviter toute confusion, vous devriez toutefois utiliser un nom unique pour
chaque enregistrement de base de données de votre application.
Boîte de texte Tout texte ajouté à une page graphique est placé dans une boîte de
texte. Une boîte de texte a un certain nombre de poignées qui permettent de la
manipuler.
Unité d’exécution Les unités d’exécution permettent de gérer l’exécution
simultanée de tâches avec des systèmes d’exploitation multitâches comme NT,
de sorte que le système d’exploitation puisse fixer des priorités et programmer
l’accès à l’UC.
Temporisation Intervalle de temps au cours duquel une tâche doit être réalisée. Si
le délai de temporisation expire avant la fin de la tâche, le système met fin à
celle-ci.
Serveur temporel Synchronise périodiquement l’horloge de tous les clients de
visualisation (et des autres serveurs CitectSCADA) à l’aide de son heure et de sa
date internes.
Alarmes horodatées Alarmes déclenchées par un changement d’état dans une
variable numérique. Les alarmes horodatées possèdent un registre associé dans
le périphérique d’E/S pour enregistrer le moment exact où elles deviennent
actives. On utilise ces alarmes lorsque l’on veut connaître l’ordre dans lequel se
produisent les alarmes.
Alarmes analogiques horodatées Les alarmes analogiques horodatées fonctionnent
de la même manière que les alarmes analogiques à part qu’elles sont horodatées
(avec leurs heures de déclenchement et d’arrêt) à la milliseconde près à partir de
l’heure du périphérique de terrain (terminal distant ou automate). Les alarmes
analogiques horodatées sont configurées de la même façon que les alarmes
analogiques.
Alarmes numériques horodatées Les alarmes numériques horodatées fonctionnent
de la même manière que les alarmes numériques à part qu’elles sont horodatées
(avec leurs heures de déclenchement et d’arrêt) à la milliseconde près à partir de
l’heure du périphérique de terrain (terminal distant ou automate). Les alarmes
numériques horodatées sont configurées de la même façon que les alarmes
numériques.
Info-bulle Message d’aide s’affichant dans une fenêtre dynamique lorsqu’un
opérateur maintient la souris sur un objet.
Cliquer (un objet en phase d’exécution) Un objet est dit « cliqué » si un opérateur
clique dessus.
Commande clic Commandes pouvant être affectées à des objets d’une page
graphique. Permettent d’envoyer des commandes au système superviseur en
cliquant sur un objet.
Tendance Représentation graphique de l’évolution des valeurs d’une ou de
plusieurs variables (ou expressions) au sein d’une installation.
959
A
accès
désactivation, 430
objet, 428
accréditation de pilotes, 756
accréditation des pilotes Citect, 756
accrédité - niveau 1, définition, 941
accrédité - niveau 2, définition, 941
accumulateur, définition, 941
accumulateurs, 511
configuration, 511
Active Alarms button, 915
ActiveX.zip, 877
adaptateur 9/25 broches, 747
Adaptateur RS232/485, 748
Admin Tools page template, 910
adresse de périphérique d’E/S, définition, 949
adresse IP, définition, 950
affectation de tags de variables, 195
affichage
listes d’alarmes, 492
pages d’alarme, 502
tableaux d’alarmes, 492
affichage dans les alarmes, 492
affichage de l’historique, alarmes, 496
affichage, formatage des alarmes, 491
ajout de données avec ODBC, 642
ajout, enregistrements utilisateur, 572
alarm page template, 904
Alarm Silence button, 915
alarme active, définition, 941
alarme basse et basse basse, définition, 951
alarme de déviation, définition, 945
alarmes, 443
affichage des données de variables dans, 492
analogiques, 469, 942
962
définition, 943
données, 719
réglage, 856
antémémoire permanente, définition, 954
apparence
des objets, 306
page graphique, 273
appel de requêtes Action, 643
application partagée DDE réseau, 625
architecture évolutive, définition, 956
archivage
données, 606
projets, 88
arguments
dans les macros, 587
définition, 942
valeurs des, 587
assistance, 13
Assistance Citect, 821
assistance technique, 13
Assistant de Communications Express
résumé, 792
Assistant de comparaison, 189
Création du rapport, 188
Interprétation du rapport, 188
Assistant de configuration de l’ordinateur, 115
alarme, 119
configuration de l’UC, 121
Configuration des fonctions de démarrage, 123
configuration des options générales, 127
connexions de clusters, 124
événements, 122
heure, 125
menu sécurité, 126
modèle de réseau, 117
projet, 116
rapports, 121
rôle de l’ordinateur, 117
sécurité (divers), 127
sécurité du clavier, 126
serveur Internet, 118
tendances, 121
Assistant de configuration de l’ordinateur, à propos de, 115
Assistant Express Communications, 785
adresse de périphérique d’E/S, 787
964
B
Back button, 912
base de connaissances, définition, 950
base de données de tags, connexion à, 614
base de données linguistique, définition, 950
bases de données
externes, 628
langues, 671
Bases de données dBASE, 628
bases de données externes, utilisation, 628
bases de données linguistiques, 671
Bases de données SQL, 629
bibliothèques, 295
bitmaps, 297, 305
bits d’arrêt, définition, 957
bits de données, définition, 944
blocs Cicode dans les rapports, 565
boîte de délimitation, définition, 948
Boîte de dialogue Aligner, 321
Boîte de dialogue Aller vers objet, 324
Boîte de dialogue Changement de couleur, 291
Boîte de dialogue Chercher et remplacer, 103
Boîte de dialogue CiUSAFE, 825
Boîte de dialogue Configuration de lignes de guidage, 283
Boîte de dialogue Configuration du client Internet Citect, 809
Boîte de dialogue Configuration grille, 281
Boîte de dialogue Édition des couleurs favorites, 288
965
C
câblage, 747
câble de bouclage du port série, 734
câbles, 747
cacher
objets, 383
calcul
taille d’un tableau, 211
capabilité du processus, 537
capabilité, processus, 537
carrés, dessin, 329
carte d’acquisition de données, définition, 944
carte d’interface automate, définition, 954
cartes
non génériques, 731
série, 729
cartes non génériques, 731
cartes série, 729
catégories d’alarmes, définition, 941
catégories, alarmes, 447
cercles, dessin, 333
champs
966
commande, 607
écrans d’alarme, 493
historique d’alarme, 495
champs de commandes, 607
champs des écrans d’alarme, 493
champs des historiques d’alarme, 495
changement
langues, 669
chemins d’accès, 533
chercher du texte, 103
Cicode, définition, 943
citect.ini
À propos de citect.ini, 155
Commentaires, 157
En-tête, 156
Ouverture du fichier de configuration, 169
Paramètres, 156
Client de visualisation Internet, 805, 950
client de visualisation, définition, 946
client gestionnaire, définition, 951
client global, définition, 948
client, définition, 944
cliquer (un objet en phase d’exécution), définition, 958
Clusters
propriétés des clusters, 131
clusters
définition, 944
coin, rectangle, 332
collage d’objets, 318
combinaisons privilèges/zones, 582
Commande Aligner sur la grille, 280
Commande Amener au premier plan, 319
Commande Envoyer à l’arrière-plan, 319
Commande Mettre dessus, 319
commande noyau
debug, 837
drivertrace, 838
commande noyau cache, 834
commande noyau cicode, 835
commande noyau cls, 836
commande noyau debug, 837
commande noyau drivertrace, 838
commande noyau exit, 840
commande noyau help, 840
commande noyau ini, 841
967
D
dates avec SQL, 631
DB-15, définition, 945
DB-25, définition, 945
DB-9, définition, 945
DDE réseau, 618, 625, 952
débit en bauds, définition, 942
débogage
compilation, 795
périphériques d’E/S, 812
pilote COMx, 815
pilotes de cartes non génériques, 821
pilotes de protocoles, 818
pilotes TCP/IP, 817
protocoles, 812
redirection de serveurs, 811
système superviseur, 810
déclencheurs
et rapports, 564
événement, 510
default languages for Web Client, 887
définition, 533, 943
accès aux objets, 428
catégories d’alarmes, 447
couleurs des pages graphiques, 286
macros, 588
pages de tendance, 526
polices, 502
portée de la recherche, 104
privilèges utilisateur, 575
propriétés des pages, 270
substitutions pour les Génies, 650
substitutions pour les Super Génies, 658
zones, 576
définitions des chemins d’accès, 533
délais d’alarmes, 444
démarrage des services DDE réseau, 619
démarrage, suivi, 863
dépannage de communications, 781
dépannage des recherches dans les projets, 114
déplacement
des objets, 315
propriétés, 307
deployment for Web Client, 882
configuring, 879
971
creating, 880
deleting, 886
displaying, 884
editing, 885
updating, 886
désactivation de l’accès aux objets, 431
dessin
boutons, 354
carrés, 329
cercles, 333
ellipses, 333
polygones, 338
polylignes, 338
rectangles, 329
traits, 325, 327
tuyaux, 342, 343
déverrouillage des objets, 317
diagrammes
capabilité, 539
contrôle, 538
diagrammes de capabilité, 539
diagrammes de contrôle, 538
Diagrammes de contrôle XRS, 538
Diagrammes de Pareto, 540
Digiboard, définition, 946
dimensionnement
objets par mise à l’échelle, 393
pages graphiques, 269
direction de dégradé, 332, 336, 341
direction, dégradé, 332, 336, 341
Disabled Alarms button, 915
distribution normale, définition, 952
données, 492
ajout, 642
archivage, 606
échange, 609, 613
édition, avec ODBC, 642
enregistrement dans différentes langues, 673
exportation de tendances, 528
formatage des périphériques, 599
impression des tendances, 528
lecture de données dans une table Access, 641
mise en antémémoire, 719
tendances, 517
utilisation de périphériques pour lire, 594
972
E
échange de données, 609, 613
écriture
dans des périphériques d’E/S, 765
dans des propriétés d’alarmes, 499
écriture dans des alarmes, 499
Edit Item Menu dialog box, 924
editing menu items, 924
édition
propriétés des projets, 81
utilisation avec ODBC, 642
effets tridimensionnels (3D), 379, 380
effets, application tridimensionnelle, 379
éléments, tableau, 211
enregistrement de données avec DDE, 615
enregistrements de connexion, 571
enregistrements utilisateur, ajout, 571, 572
ensembles, tuyaux, 343
entrée (commandes clavier), 420
environnement
dessin, 280
pages graphiques, 277
environnement de dessin, 280
options, 283
équipement de terminaison de circuit de données (ETCD), 748, 945
équipement terminal de données (ETTD), 748, 947
erreur parenthèse ouvrante attendue, 801
erreur types incompatibles, 800
erreurs
973
F
FAQs
Web Client, 891
FastLinx pour Mitsubishi
définition des noms de tag de variable, 222
propriétés du navigateur de tags, 221
Fastlinx pour Mitsubishi
noms réservés de tag de variable, 222
fenêtre du noyau, 827, 828
fichier citect.ini, définition, 944
fichier de format (importation, exportation, liaison), 228
fichier de format de rapport, 564
fichier de format de rapport, définition, 955
fichier syslog.dat, 811
fichiers
autre .ini, 809
974
G
Génies, 647, 648
création, 649
définition, 948
et substitutions, 654
et Super Génies, 660
noms de tags, 664
ouverture, 649
propriétés, 653
sauvegarde, 650
substitutions pour, 650
utilisation, 651
gestion, 607
gestion des impressions, 607
Gestionnaire du serveur Citect
arrêt, 862
interface, 861
goulot d’étranglement, définition, 943
graphiques de tendances, 566
graphiques, importation, 305
graphiques, tendance, 525
grille, d’alignement, 280
groupe (d’objets), définition, 948
groupement
registres, 720
groupes (périphériques), 593
groupes (zones), 579, 580
groupes, objet, 304
H
Hardware Alarms button, 915
Help button, 914
heures
avec SQL, 631
définition pour les événements, 509
hiérarchie de privilèges, 576
hiérarchie, privilèges, 576
histogramme, définition, 949
historique
périphérique, 604
tendance, 529
History mode, 908
976
I
ID d’objet (OID), définition, 953
imbrication des Super Génies, 663
importation
graphiques, 305
tags de variables, 218, 219
impression, 607
détails sur les projets, 86
données de tendance, 528
imprimantes, 591
format, 599
Inclusion de projets, 96
indicateur cp, 539
indicateur cpk, 540
informations sur le système superviseur, 855
informations sur les pilotes, 756
insertion de tags de variables, 101
instant trending, 918
Interface
Interface de l’Éditeur de configuration de l’ordinateur, 159
Panneau d’aide, 163
Panneau de l’arborescence, 159, 160
Panneau de recherche dans l’arborescence, 159
Panneau de référence sur les paramètres, 159, 165
Panneau détaillé sur les paramètres, 159, 162
Panneau sur l’état des paramètres, 160, 166
interface de raccordement (AUI), définition, 942
interpolation, tendance, 527
interruption, définition, 950
J
jeux de caractères, 673
jeux de caractères ANSI, 673
jeux de caractères ASCII, 673
Jeux de caractères OEM, 674
L
lancer
un système, 804
languages
Web Client, 887
langue locale, 669, 951
977
M
macros, 195, 585, 627
arguments dans, 587
définition, 588
macros Excel, 627
maîtrise statistique, 536
Maîtrise statistique des processus (SPC), 535
maîtrise, statistique, 536
manipulation des objets, 313
menu configuration tool, 922
menus, 923
creating, 921
messages d’erreur
Chercher et Remplacer, 109
978
N
navigateur de tags, 224
979
O
objets, 303
accès, 428, 430
alignement, 320
apparence, 306
application d’effets, 379
commandes clavier, 420
commandes clic pour, 416
copie/collage, 318
couleur de remplissage, 400, 401, 403, 407
curseurs, 311, 424, 425
définition, 953
déplacement, 315
effets 3D, 380
groupes, 304
localisation, 323
manipulation, 313
mise à l’échelle, 308, 393, 397
modifier la forme, 304
mouvement, 384
980
P
page d’affichage des alarmes, définition, 942
page de démarrage, 268
page de l’historique des alarmes, définition, 942
Page recompilée avec un Variable.DBF différent, 757
pages, 920
affichage des alarmes, 502
alarme, 501
démarrage, 268
pages graphiques
apparence, 273
bibliothèques, 295
bitmaps, 297
commandes clavier pour, 274
création, 259
curseurs, 423
définition, 948
définition des couleurs, 286
définition des couleurs pour, 286
dimensionnement, 269
enregistrement, 260
environnement, 277
événements, 276
localisation, 261
ouverture, 260
propriétés, 270
résolution d’écran, 269
symboles, 296
valeurs par défaut, page graphique, 278
zoom, 294
pages, preconfigured, 903
Paramètre
Désactivation d’un paramètre, 180
Paramètres
Activation d’un paramètre, 180
Ajout d’un paramètre, 175
Modification d’un paramètre, 178
Présentation, 156
Suppression d’un paramètre, 179
Visualisation de paramètres non documentés, 181
Parent Page button, 913
parité, définition, 954
partages DDE, 622
Partages DDE approuvés, 624
partages DDE réseau, 621
982
pilote, 727
pilote COMx
débogage, 815
pilotes
définition, 947
erreurs génériques, 758
ODBC, 632, 634
pilotes de cartes non génériques, débogage, 821
pilotes de protocoles
débogage, 818
pilotes ODBC, 632, 634
pilotes TCP/IP, débogage, 817
Plot trend button, 909
Point d’animation (AN), 284, 324, 942
polices
définition, 502
personnalisées, 505
propriétés, 503
rapport, 565
polices de couleur, définition, 505
polices personnalisées, 505
polylignes, dessin, 338
port de communication, définition, 944
port(s), définition, 954
portée de la recherche, définition, 104
preconfigured pages, 903
préfixe de zone dans les noms de tags, 197
préfixes de noms de tags, 197
preparing a project for Web Client deployment, 875
présentation, fichier de format, 229
Previous button, 913
Print Page button, 913
privileged user, 917
privilèges utilisateur, 573, 575
privilèges, utilisation des zones avec, 581
processus, suivi, 863
programmation
communications, 763
projects, creating, 917
projet CitectSCADA, 943
projet de test des communications, 813
projet Include
protection, 248
projets
compilation, 793
984
copie, 84
édition des propriétés, 81
hybrides, 246
impression des détails, 86
inclusion, 96
lecture seule, 249
multilingues, 669
multiples, 672
restauration, 94
sauvegarde, 88
suppression, 87
projets de niveau supérieur, 246
projets en lecture seule, 249
effets sur les projets, 253
projets hybrides, 246
projets inclus, 96
projets multilingues, 669
propriété d’accès, objet, 312
propriété d’entrée (objets), 310
propriété de curseur, 311
propriété de remplissage (objet), 309
propriété rotationnelle, 426
Propriétés
remappage, 724
propriétés, 499
accès, 428
clic, 417
curseur, 424
effets 3D, 380
ellipses, 334
Génies, 653
mise à l’échelle, 393, 397
mouvement, 384
mouvement vertical, 387
niveau de remplissage, 412
objet, 305
pages, 270
police, 503
polygone, 339
rectangles, 330
rotationnelles, 426
tags de variables, 203
texte, 345, 346, 348, 349, 351
trait à main levée, 326
traits droits, 328
985
tuyaux, 343
visibilité des objets, 384
propriétés clic, 417
propriétés d’accès, 428
Propriétés de la boîte de dialogue Copie de projet, 84
propriétés des curseurs verticaux, 425
propriétés des objets, 305
désactivation de l’accès, 431
propriétés des périphériques d’E/S, 739
propriétés des polygones, 339
propriétés des traits à main levée, 326
propriétés des traits droits, 328
propriétés du texte, 345, 346, 348, 349, 351
propriétés, objet, définition, 953
protection
projets include, 248
protection du logiciel, 825, 957
protection, logiciel, 825
protocole générique, définition, 948
protocole, définition, 954
protocoles, débogage, 812
R
rafraîchir les tags liés, 217
range markers, 907
rappel, définition, 945
rapport
définition, 955
Rapport d’analyse de la configuration
Création d’un rapport, 187
rapports, 559
Cicode, 565
commentaires dans, 566
configuration, 559
déclencheurs pour, 564
données de tendance, 566
erreurs de communication, 567
erreurs de données de périphériques d’E/S, 568
exécution, 562
expressions et variables, 565
fichier de format de rapport, 564
graphiques de tendances, 566
objets OLE dans, 565
polices, 565
saut de page, 566
986
suppression, 569
texte fixe, 565
tracés, 566
recherche d’objets, 323
recherche de texte, 103
recherches, dépannage, 114
redémarrage du système, 821
redimensionnement des objets, 315
redirection de serveurs, 811
redondance, 955
périphériques d’E/S sur disque, 755
Redondance des serveurs d’E/S, 780
réflexion d’objets, 323
registres, groupement, 720
réglage
antémémoire, 856
système, 856
réglage du système, 856
regroupement
objets, 317
remappage
variables, 722
remplacement de résultats, 108
remplacement de texte, 104
remplacer du texte, 103
reproduction, définition, 951
requêtes Action, appel, 643
requêtes avec paramètres, 644
requêtes, paramètre, 644
réseau
définition, 952
réseau local (LAN), définition, 950
résolution d’écran et pages graphiques, 269
restauration de projets, 94
restauration de projets et sécurité, 571
résultats
exportation, 107
remplacement, 108
RJ11, définition, 955
RJ12, définition, 956
RJ45, définition, 956
rotation des objets, 322
RS-422 (ou EIA-422), 750
RS-422, définition, 956
RS-485, 751, 956
987
S
saut de page dans les rapports, 566
sauvegarde des Génies, 650
sauvegarde, projet, 88
scale defaults, 909
scale markers, 907
schéma de tendance, définition, 959
section sur les attributs dans noms de tags, 198
section sur les occurrences dans les noms de tags, 197
Sections
Activation d’une section, 174
Ajout d’une section, 170
Désactivation d’une section., 173
Gestion des sections, 170
Suppression d’une section, 171
sécurité, 571
MS Office, 618
projets de niveau supérieur, 246
projets en lecture seule, 249
projets include, 248
spécification des exigences, 582
utilisation des zones, 578
Sécurité des utilisateurs Windows, 253
semi-duplex, définition, 948
séquence d’exploration
définition, 943
pages, 267
serveur d’alarmes auxiliaire, définition, 957
serveur d’alarmes primaire, définition, 954
serveur d’alarmes, définition, 941
serveur d’E/S, définition, 949
serveur de fichiers, définition, 948
serveur de noms de domaine (DNS), définition, 947
serveur de rapports auxiliaire, définition, 957
serveur de rapports primaire, définition, 954
serveur de rapports, définition, 955
serveur de tendances, 959
serveur de tendances auxiliaire, définition, 957
serveur de tendances primaire, définition, 954
serveur dynamic data exchange (DDE), définition, 945
Serveur Internet, 806
serveur mandataire, définition, 954
serveur ODBC, utilisation de CitectSCADA comme, 639
serveur OPC d’accès aux données, 224
serveur temporel, définition, 958
988
objets, 317
suppression de projets, 87
suppression de rapports, 569
supprimer le lien avec la source de données, 216
symboles, 296, 957
symboles liés, 295
symboles non-liés, 295
syntaxe client et DDE, 610
syntaxe des noms, 196
syntaxe des noms de tags, 196
syntaxe, ODBC, 635
système
lancer un, 804
système de fichiers FAT32, 249
système de fichiers NTFS, 249
système en réseau, redémarrage, 822
système multiprocessus
exécution de serveurs indépendants, 804
système superviseur
débogage, 810
système superviseur, définition, 956
T
table Access,lecture de données dans, 641
tableaux, 210
Super Génies et, 661
tableaux de chaînes, 211
tableaux, affichage, dans alarmes, 492
tâche, définition, 957
tag
nommage, 196
tags, 196
exportation, 224
importation, 218
inutilisés, 100
lien, 215
noms pour, 196, 197, 198
propriétés d’alarmes prises en charge, 497
utilisation des propriétés d’alarmes comme, 497
tags de tendance
configuration, 518
propriétés, 518
tags de variables
affectation, 195
configuration, 202
990
importation, 219
insertion dans un champ, 101
propriétés, 203
types de données, 203
tags inutilisés, 100
tags liés, rafraîchir, 217
taille d’un tableau, 211
taille, calcul pour un tableau, 211
TCP/IP
options particulières pour, 729
templates
Admin Tools page, 910
alarm page, 904
CSV_Include, 903
file page, 909
normal page, 904
trend page, 905
temporisation, définition, 958
tendance périodique, définition, 953
tendance, définition, 958
tendance, insertion, 366
tendances
création de pages pour, 526
exportation de données pour, 528
graphiques, 525
impression des données, 528
interpolation, 527
méthodes de stockage, 530
tendances en millisecondes, définition, 951
terminal distant, définition, 955
test de bouclage, 733
test de bouclage du port série, 733
texte
balisage linguistique, 670
chercher et remplacer, 103
dans l’affichage des alarmes, 492
texte fixe
affichage des alarmes, 492
rapports, 565
toolbar
Alarms, 914
navigation, 912
toolbars, common, 911
Tools button, 913
tracés, dans les rapports, 566
991
U
unité d’exécution, définition, 958
unités de travail, 209
unsupported functionality, 875
user, privileged, 917
utilisation
bases de données externes, 628
carte série, 729
992
Génies, 651
Super Génies, 654
symboles, 296
utilitaire de sauvegarde, 92
V
valeur nulle, définition, 952
valeur vide, définition, 947
valeurs
argument, 587
conversion de chaînes, 587
écriture dans une application DDE, 616
lecture dans une application DDE, 617
validation des données de pilotes utilisant des tags, 757
validation des pilotes utilisant des tags, 757
validation OID, 757
variable BCD, 942
variable BCD long (périphérique d’E/S), définition, 951
variable Cicode globale, définition, 948
variable Cicode Module, définition, 952
variable d’environnement de page, définition, 953
variable de périphérique d’E/S, définition, 949
variable entière (Cicode), définition, 950
variable entière (périphérique d’E/S), définition, 950
variable entière non signée (périphérique d’E/S), définition, 959
variable Local Cicode, définition, 951
variable long (périphérique d’E/S), définition, 951
variable numérique (périphérique d’E/S), définition, 946
variable objet (Cicode), définition, 953
variable octet, définition, 943
variable réelle (Cicode), définition, 954
variable réelle (périphérique d’E/S), définition, 955
variables
dans les rapports, 565
environnement, 278
remappage, 722
variables d’environnement
, 278
Super Génie, 664
variables numériques, 207
variation de processus, 535
variation, processus, 535
verrouillage des objets, 317
virtuel, définition, 959
visibilité, 383, 384
993
visualisation, 582
projet inclus, 98
zones de l’installation, 582
W
Web Client, 869
ActiveX.zip file, 877
configuring a deployment, 879
creating a deployment, 880
default languages, 887
deleting a deployment, 886
deploying a project, 882
displaying a deployment, 884
editing a deployment, 885
frequently asked questions, 891
functionality limitations, 875
getting started, 871
implementing non-default langauges, 888
introduction, 869
Misc.zip file, 877
multiple language support, 887
preparing a project for deployment, 875
preparing user files for delivery, 877
setting up a system, 871
system architecture, 869
updating a deployment, 886
using a different language to the locale setting, 888
Web Deployment Preparation tool, 878
Web Deployment Preparation tool, 878
Z
zones, 312, 582, 942
définition, 576
et sécurité, 578
étiquettes pour, 578
groupes, 579, 580
privilèges, 581, 582
Super Génies et, 663
zoom, 294
Zoom buttons, 908
994