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Table des matières

INTRODUCTION......................................................................................................................2

PRESENTATION GENERALE DE L’INBMI :........................................................................4

I- Introduction :....................................................................................................................5

II- Présentation de l’INBMI :................................................................................................5

II.1- Historique de l’INBMI :..............................................................................................5

II.2- Objectifs :....................................................................................................................7

II.3- Mission :......................................................................................................................8

III- Conclusion :.....................................................................................................................8

PRESENTATION DU CENTRE REGIONAL :........................................................................9

I- Présentation :..................................................................................................................10

II- Objectifs et mission du Centre Régional :.....................................................................10

III- Les principales activités ces centres de l’INBMI et les actions réalisés :......................10

III.1- Projet Maintenance :................................................................................................11

III.2- Le Fonctionnement et l’objectif du VSAT :............................................................15

III.3- Projet de Laboratoires de Langue :..........................................................................19

III.4- EDUSERV :.............................................................................................................21

III.5- Interconnexion Internet :.........................................................................................23

Conclusion................................................................................................................................31

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INTRODUCTION

Les innovations technologiques dans le domaine de l’information et de la


communication se succèdent à un rythme rapide depuis quelques années et les changements
ont pénétré progressivement la vie quotidienne et la plupart des domaines d’activité de nos
sociétés. Ces changements s’accompagnent d’une transformation des comportements qui se
réalise souvent insensiblement et sans réelle prise de conscience.

Les possibilités offertes par le développement des TIC (Technologies de l’Information


et de la Communication) ont été source de beaucoup d’espoirs. Aux discours techniques
exposant les ambitions des nouveaux outils se sont joint les discours d’autres spécialistes,
économistes et pédagogues en particulier.

En matière d’éducation et de formation, les TIC ont effectivement commencé à


modifier les modes d’accès aux connaissances et les démarches d’enseignement et
d’apprentissage, ce qui, naturellement, alimente aujourd’hui la réflexion et les discours des
décideurs comme ceux des didacticiens et des enseignants.

Les nouveaux outils facilitent la communication à distance et offrent de nouveaux


moyens pour l’enseignement et l’apprentissage, et particulièrement pour l’enseignement et
l’apprentissage des langues.

Mon stage se déroule au sein du centre régional INBMI de Kasserine depuis deux ans
(01/04/2009 au 01/04/2011) après un recrutement des techniciens effectué par l’Institut
National de Bureautique et Micro-informatique qui renforce régulièrement son équipe à fin
d’accélérer ses services dans les institutions éducatives.

Ce stage est considéré pour moi comme une formation qui me permet d’enrichir mes
connaissances informatiques et de mettre en pratique mes notions théoriques. En plus c’est
une opportunité pour moi de percevoir comment un Institut au sein du ministère de
l’éducation gère les services Internet dans les différents établissements scolaires et comment il
organise et applique sa stratégie de sécurisation de ses services. Ce qui m’encourage et me
motive à m’intégrer et à m’adapter facilement dans la vie professionnelle.

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En effet ce rapport, qui est une récapitulation des connaissances obtenues pendant
deux ans de stage dans l’INBMI, contient deux grandes parties :

 la première partie : Présentation de l’Institut National de Bureautique et


d’Informatique.
 La deuxième partie : Présentation des activités réalisées durant mon stage au
centre régional de kasserine.

Finalement : Conclusion sur les connaissances acquises durant la période du stage.

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I- Introduction

Ce chapitre est consacré à présenter l’Institut National de Bureautique


et d’Informatique (INBMI) dans lequel j’ai effectué mon stage.

II- Présentation de l’INBMI:

L’Institut National de Bureautique et l’Informatique (INBMI) est un établissement


public à caractère administratif doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière. Il
est placé sous la tutelle du Ministère de l’éducation et de la formation. Son budget est rattaché
au budget de l’Etat.

II.1- Historique de l’INBMI :

 L’année 1984 : est l’année de création de l’Institut National de Bureautique et


d’Informatique.
 En 1985, le ministère a mis en place des projets en vue de vulgariser
l’utilisation de l’informatique dans les établissements scolaires.
 L’année 1988 a été le point de départ du projet de « l’Informatique pour
Tous ».
 En 1989, un processus de décentralisation de cet institut a été engagé. Des
centres régionaux ont ainsi été créés dans 14 gouvernorats.
 En 1990, l’lNBMI a fait l’objet d’une restructuration à laquelle aucune autre
modification n’a été apportée jusqu’à ce jour.
 En 1990, l’INBMI a équipé 100 établissements secondaires de laboratoires
d’informatique, en parallèle avec la mise en oeuvre d’un programme de
formation des enseignants en bureautique et en informatique. C'est au cours de
cette année que l’informatique a été inscrite comme discipline d’enseignement
en classe terminale de l’enseignement secondaire.
 En 1994, l’institut a démarré les premières expériences de connexion des
établissements scolaires à Internet.
 En 1995, une expérience d’apprentissage des deux langages Logo et Pascal a
été lancée au moyen de clubs scolaires créés dans un certain nombre

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d’établissements et à cet effet, un certain nombre d’élèves du deuxième cycle
de l’enseignement de base ont été initiés à ces deux langages de
programmation.
 En 1998, l’institut est devenu un fournisseur de services Internet dans le
secteur de l’éducation : il a été ainsi procédé à la connexion de 30% des lycées
à Internet et 1000 enseignants ont pu bénéficier, à titre gratuit, d’un
abonnement Internet et par conséquent acquérir une adresse électronique. Le
Portail Éducatif Tunisien (Edunet) a été créé la même année.
 En 1999, le projet « l’Internet pour Tous » a offert la possibilité à tous les
établissements secondaires de se connecter au réseau et ce, par l’intermédiaire
de la ligne téléphonique. La même année, le site Bac Web a été également
créé, mettant à la disposition des futurs bacheliers l’ensemble des sujets de
l’examen depuis 1994 accompagnés de leurs corrigés.

 En 2000, l’Internet a été utilisé pour la première fois pour la proclamation


des résultats de l’examen du baccalauréat.
 En 2001, il est devenu possible aux enseignants et aux agents administratifs
du ministère de l’éducation et de la formation d’être informés, par le
truchement du portail éducatif tunisien, des résultas de leur demande de
mutation.
En 2001, un changement qualitatif est intervenu dans le parcours de l’institut
grâce à la décision annoncée par le Président de la République, dans son discours à
l’occasion de la journée du savoir, de restructurer l’institut afin d’en faire un centre
d’excellence de l’intégration des technologies de l’information et de la
communication dans l’enseignement et l’apprentissage. Cette même année a vu la
création de la Bibliothèque Virtuelle Éducative (BVE), la création de plateforme
Free Learn pour accueillir l’École Virtuelle Tunisienne (EVT).

 En 2002, l’institut a amorcé l’exploitation de l’EVT à titre expérimental et ce,


en présentant des cours de français et d’anglais destinés aux classes terminales.
A la même année, ont commencé les opérations d’équipement des écoles
primaires d’espaces d’informatique et de connexion à Internet.

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 En 2003, l’institut a commencé à doter les lycées de serveurs ayant pour
support les logiciels libres en les connectant aux lignes spécialisées afin
d’améliorer l’aspect qualitatif de la navigation à travers le réseau.
 En 2005, les sites web des écoles préparatoires et des lycées qui ont été
hébergés sur Edunet ont atteint le nombre de 1000. Le pourcentage des lycées
connectés à Internet est de 100%. Le nombre des agents administratifs et des
enseignants qui possèdent une adresse électronique sur Edunet est de 30.000.
En ce qui concerne le pourcentage des collèges connectés à Internet, il dépasse
89% tandis que celui des écoles primaires est déjà de 50%.

 En 2008, L'ADSL généralisé dans les établissements scolaires et éducatifs. Le


ministère de l'Education et de la Formation a signé un contrat de prestation de
service avec Tunisie Télécom au terme duquel les établissements scolaires
(écoles primaires, collèges et lycées, centres de formation professionnelle etc..)
seront raccordés au réseau Internet haut débit (ADSL) et ce, dans le cadre du
développement du Réseau Educatif National (EDUNET 2).
 L’année 2010, le total des sites web hébergés dépasse 1075 sites.

II.2- Objectifs :
L’Institut National de Bureautique et d’Informatique a pour objectif de promouvoir,
dans le cadre de la politique informatique éducationnelle, la micro-informatique dans les
milieux éducatifs et de contribuer à la formation des cadres techniques appelées à être
employés dans les administrations, entreprises tunisiennes et en particulier dans le domaine de
la formation continue.
Cet institut est en outre chargé, en collaboration avec les autres organismes concernés
de favoriser une meilleure connaissance de la culture micro-informatique, notamment par des
actions de sensibilisations à l’égard du grand public et dans les milieux socioprofessionnels.

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II.3- Mission :

Pour l’accomplissement de ses objectifs, l’Institut National de Bureautique


et d’Informatique est chargé d’assurer les missions suivantes :
 Définir une méthodologie de l’introduction de l’outil micro-ordinateur dans le
système éducatif.
 Tester les outils didactiques les mieux adaptés à notre contexte et à notre
culture.
 Constituer en liaison avec les centres analogues et les différents sites, un centre
d’échange d’idées et d’expériences.
 Entreprendre des actions de vulgarisation et de sensibilisation concernant la
micro-informatique.
 Coopérer dans le cadre de ses attributions, avec des organismes concernés
nationaux et étrangers et de conclure à cet effet des conventions particulières.
 Assurer la maintenance préventive et curative du parc informatique des
institutions éducatives.
 Connecter les institutions éducatives au réseau Internet, sachant que depuis
1997, l’INBMI est devenu un fournisseur de service Internet.

III- Conclusion

Dans ce chapitre, j’ai présenté l’Institut National de Bureautique et d’Informatique


dans lequel j’ai effectué mon stage durant ces deux années et dans la partie qui suit je vais
présenter les objectifs et les missions de Centre Régional dans lequel j’ai travaillé.

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I- Présentation
Le Centre Régional dans lequel je me suis été intégré, a pour rôle principal le maintien
des espaces d’informatique des établissements : réparation du matériel reçu au centre, visite
des différents établissements pour contrôler et mettre en service le réseau local et internet
(VSAT, ADSL, …)

II- Objectifs et missions du Centre Régional


Intégration des nouvelles technologies d’apprentissage à l’échelle du pays.
Organisation et reflet du développement de projets éducatifs afin de soutenir les
innovations d’informatiques et de télécommunication.
Assurer la maintenance préventive et curative du parc informatique des
institutions éducatives.
Fournir des services d’amélioration et de suivi des résultats des élèves durant
toutes leurs années scolaires.
Créer un environnement d’apprentissage coopératif.
Donner un encadrement technique.
Assurer l’intégration des nouvelles technologies d’apprentissage comme la
technologie des laboratoires de langue.

Après avoir présenté les objectifs et les missions du Centre Régionale INBMI de
Kasserine, dans la partie qui suit, je vais recenser les projets auxquels j’ai collaboré :

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III.1- Projet Maintenance

Ce projet concerne les 5 activités ci-dessous:

III.1.1- La normalisation des configurations

Dans les établissements scolaires, les équipements informatiques sont souvent soumis
à des conditions d’exploitation difficiles qui affectent le matériel :
 Les ordinateurs ne sont pas personnels, ils sont exploités par une population
qui n’est pas toujours disciplinée dans l’utilisation des équipements.
 Les pannes des équipements informatiques sont très fréquentes et sont le plus
souvent dues à des problèmes de logiciels et de perte de configuration.
 Le personnel local n’est souvent pas assez habilité à résoudre l’ensemble des
problèmes techniques

Pour améliorer la maintenance, l’utilisation optimisée du matériel nécessitera d’assurer


sa fiabilité et les conditions de son exploitation aisée par les utilisateurs. Pour ce faire, la
meilleure maintenance reste préventive. Car, ce sont les choix de matériels, de logiciels et de
modes d’administration qui permettent d’assurer un bon fonctionnement ou, tout au moins,
limiter les dysfonctionnements en éliminant les configurations instables. Il est par conséquent
nécessaire, d’une part, de standardiser les installations et les configurations des serveurs et des
postes de travail afin de garantir une fiabilité de fonctionnement et d’assurer d’autre part,
l’administration et la maintenance les plus simplifiées possibles.

A cet effet les dispositions suivantes doivent être suivies par le technicien ou
l’administrateur réseaux :

Assurer une installation simplifiée des équipements offrant :


Installation automatisée de l’ensemble des logiciels.
Configuration automatisée des serveurs et des postes de travail.
Une organisation adéquate des données pour gérer les données des matières, des
enseignants, des classes et des élèves.
Des profils usagers prédéfinis avec plusieurs niveaux de sécurité (administrateur
distant, administrateur local, enseignants par matière, élèves …)

Une administration simplifiée et sécurisée du serveur offrant :


Un fonctionnement autonome et fiable du serveur.
des fonctions configurée avec arrêt du système en cas de coupure prolongée de
courant.
Le lancement des opérations de maintenance du système de manière automatisée.

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La gestion technique et le dépannage permettant d’assurer :
Une récupération simplifiée du serveur en cas de panne.
La reconfiguration automatisée de l’accès à Internet en cas de perte de la
configuration.
La reconstruction du système, des postes de travail et des applications.
L’accès à distance par le réseau téléphonique au serveur en télémaintenance.
Le téléchargement des logiciels à partir du serveur.
Une administration simplifiée des utilisateurs et des utilisations :
Gestion des profils usagers prédéfinis avec plusieurs niveaux de sécurité
(administrateur distant, administrateur local, enseignants, élèves …).
Sauvegarde et restauration des environnements des usagers.
Protection des données lors de la réinstallation

Des outils et des procédures sont nécessaires pour réussir ces opérations de maintenance :
Des procédures d’installation pour chaque type de matériel et chaque type d’espace.
Des CD d’automatisation au niveau des postes de travail.

III.1.2- La réception technique

Après l’étape de l’appel d’offre, la réception se déroule de la façon suivante :


 Réception du matériel au magasin central du Ministère.
 Réception d’un site pilote.
 Réception de l’installation sur site.

La réception du matériel informatique se fait avec des équipes représentants les


fournisseurs responsables du l'installation et du câblage des laboratoires informatiques dans
les établissements scolaires.
A ce stade, notre rôle consiste à:
 Contrôler tous les matériels qui doivent être dans les normes définis par le
cahier du Charge (le contrat du ministère d'éducation avec les fournisseurs au niveau
de l’INBMI à Tunis puis dans les centres régionaux)
 Vérifier que tous les ordinateurs doivent être en bon état.
 Tester tous les périphériques (l’imprimante, scanner,…).
 Tester le câblage électrique et informatique.
 Vérifier que tous les ordinateurs doivent être en communication à travers le
switch ou le hub installé.
 Etablir un PV de réception en indiquant des remarques en cas de problèmes.

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III.1. 3- L’assistance aux établissements

En premier lieu, l’assistance pour les établissements prend trois formes :


- Par téléphone.
- Sur site.
- Par la présence d’un responsable de ses établissements au centre
régional
En deuxième lieu, l’assistance consiste à:
Mettre en place un réseau local : installation et configuration
Intervention à distance par téléphone ou via le serveur SLIS pour la résolution des
problèmes d’ordre technique.
Connexion Internet (étude, réalisation et maintenance)…

III.1. 4- Les actions de câblage et d’installation dans le cadre de projets

Les actions sont les suivantes :


Suivi des travaux de mettre en place d’un réseau local pour l’établissement (réseau
pédagogique et administratif).
Suivi des installations électriques dans les espaces informatique.
Installation et mise en service des équipements informatiques.
Mise en place d’un Serveur linux de l’Internet Scolaire (SLIS).

III.1. 5- Les faits de maintenance

A. Les visites préventives :

Son rôle est d’assurer la bonne marche du matériel par la vérification et l’entretien
systématique et périodique du matériel sous garantie.
Durant la période de garantie le fournisseur assurera deux visites préventives par an sur les
sites.
En effet, ces visites permettront de :
Vérifier des branchements et interconnexions.
Vérifier le fonctionnement du matériel.
Vérifier de l’état physique du matériel.
Vérifier et contrôle du système d’exploitation.
Effectuer les réparations nécessaires.
Réinstaller ou reconfigurer les logiciels.

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Ces visites se déroulent suivant un planning bien confirmé. Les techniciens de
l’INBMI assurent le bon déroulement de ses visites. Pour chaque site visité un PV est établi.
Le matériel ne pouvant pas être réparé sur place, sera ramené aux centres régionaux si non au
fournisseur qui doit donner une décharge.

B. La maintenance curative

C’est la réparation du matériel (Hors garantie) en panne. Selon la nature de la panne, la


réparation a lieu soit sur les lieux d’installation du matériel soit dans le laboratoire. Les causes
de la panne et par conséquent la réparation, peuvent être de type Hard ou Soft. En tous cas la
démarche à suivre est la suivante :
Identification du matériel objet de l’intervention.
Diagnostique de la panne.
Recherche et localisation des éléments défaillants.
Réparation ou remplacement des éléments défaillants.
Test et mise en marche.

Le matériel en panne est livré par l’établissement directement au centre pour la


maintenance.

C. Les interventions curatives sur site :

Le déplacement des techniciens de maintenance s’effectuera sur un ordre de mission


établi par les chefs des centres régionaux.
Dans le cas où les pannes déclarées par l’établissement sont nombreuses, ou d’un caractère tel
que la prise en charge des postes n’est pas possible (exemple : cas du réseau) une intervention
sur site aura lieu, selon les étapes suivantes :
1- Réception appel téléphonique
2- Affectation par les chefs des centres régionaux.
3- Réparation sur site et établissement d’une fiche d’intervention. Dans l’impossibilité
de réparation sur site, on procède aux actions de réparation dans les ateliers.

D. Les actions de réparation dans les ateliers

1- Prise en charge du matériel en panne.


2- Etablissement d’une fiche de réparation.
3- Affectation aux techniciens pour la réparation.
4- Réparation du matériel. Les pièces de rechange et consommables nécessaires sont livrées
par besoin par les établissements et consignées sur la fiche de réparation
5- Pour toute machine réparée une fiche de réparation est dûment remplie par les techniciens.

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III.2- Le Fonctionnement et l'objectif du VSAT

III.2.1- Introduction :
Lla connexion à Internet des lycées
secondaire, des collèges et des
établissements primaires dans tous les
gouvernorats de Tunisie est en grande
partie réalisée. Le Ministère de l'Education
a décidé de faire le projet des laboratoires
mobiles d'informations et d'Internet,
chaque laboratoire est équipé par 16
ordinateurs portables et des équipements
nécessaires.
Notre équipe assure le suivi et le
maintien des équipements utilisés dans ce
projet.

III.2.2- Introduction générale de l'Internet par satellite :


A. Définition :

Le sigle VSAT, pour Very Small Aperture Terminal (« terminal à très petite ouverture »)
désigne une technique de communication par satellite bidirectionnelle qui utilise des antennes
paraboliques.
Cette technique de communication nécessite donc peu de moyens au sol. Le VSAT peut
donc être utile pour relier un petit site aux réseaux de communication, que ce soit pour la
téléphonie ou pour l'accès à Internet.

B. Equipement :

Pour la solution le VSAT qui a été une adapté. Le rôle du ministère de L’Education
consiste à équiper dix bus par :
-Une antenne parabolique
-Une tête LNB
-Un terminal
-16 PC portables avec les chargeurs
-Une armoire pour les PC
-16 cartes wifi
-Groupe électrique (utiliser en cas d'absence
de courant)
-Des multiprises
-Un analyseur
-Des tournevis
-2 Rallonges de 50 m

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-2 câbles coaxiaux de 20 m avec deux fiches F
-Un câble coaxial de 2 m avec 2 fiches F
-Escabeau
-Un point d'accès

Ces bus sont capables de travailler dans n’importe quelle cité sans aucun problème technique
ou électrique.

III.2.3 Spécification technique de VSAT :


- Fréquences (Bande Ku, bande C).
- Débit de données
 Asynchrone jusqu'à 19,2 Kb/s
 Synchrone de 1,2 Kb/s jusqu'à 64 Kb/s (débits normaux
-Réseau Local:
 Ethernet: 10 Mb/s).
 Jeton (Token Ring) 4/16 Mb/s
- Ports D'accès : Standard Jusqu'à 32 ports avec l'option d'une carte multiports
- Port d'interface vidéo, 950 à 1450 Mhz
- Données RS-232, RS-422, ou V.35, RS-530, 10Base2, 10Base5
- Antenne
 Bande Ku: 1,0, 1,2, 1,8, et 2,4 mètres
 Bande C : 1,8 et 2,4 mètres
- Alimentation RF: 0,5, 1,0 et 2 watts (bande Ku), 5 watts (bande C)
- Voie de sortie : 512, 128 Kb/s
- Voie d'entrée : 256, 128, 64 Kb/s

III.2. 4. Moyens techniques et déploiement :


A. Unité externe :
L'unité externe est une petite antenne avec une unité de fréquence radio qui envoie des
signaux à la station maîtresse et en reçoit. L'unité externe convertit les signaux de réception en
fréquences intermédiaires et réciproquement les signaux intermédiaires en fréquences radio
(pour transmission au satellite). La taille de l'antenne varie selon les débits de données et
l'emplacement géographique du site en question. L'unité externe est habituellement installée
sur un site éloigné, sur une monture non pénétrante testée au toit.

B. Unité numérique interne:


L'unité interne convertit les signaux en fréquences de bande de base dans un sens et dans
l'autre, et fournit des interfaces à l'équipement de l'utilisateur.

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III.2. 5. Installation d'emplacement de VSAT de manière générale :

L'antenne est montée où elle peut 'voir' le satellite et où il est sûr de l'accès non autorisé.
L'unité extérieure de RF est montée sur le bras devant le réflecteur d'antenne. Avec un analyseur
de spectre en alimente le LNB par 18V, en fixe une fréquence de 11550 MHz en doit avoir le taux
d’erreur le BER qui tans vers 2.10 et le SNR de 10.5 le AFC doit avoir 0.

A. Câbles
Un ou deux câbles coaxiaux seront exigés pour les signaux par radio. Ceux-ci portent
également des approvisionnements de C.C de basse tension pour actionner le LNB et le BUC.
La structure d'antenne devrait être mise à la terre pour assurer une certaine protection contre
des grèves surprise.

B. L’unité informatique d’intérieur:


L'unité informatique d'intérieur devrait être située dans un endroit sec, frais et propre.

C. Analyseur
Le mesureur SATLOOK Micro est un instrument conçu. Il est particulièrement recommandé
pour le pointage précis des antennes paraboliques de réception de signaux retransmis par satellite,
en particulier chaque fois qu’une précision importante est requise.

III.2. 6 -Paramétrage de la terminale :

Généralement la terminale est configurée par l’opérateur, adresse IP, paramètre.


Dans la barre d’adresse du navigateur on tape l’adresse IP de la terminale puis taper
Entrée, une page d’accueil s’ouvre.

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III.2. 7- Réseau local interne :
Pour le réseau interne on adapte la solution Wifi C'est un projet de VIA dont le but est
d'installer le réseau informatique sans fil à la norme Wifi sur la résidence de l'Ecole Centrale.
Ce réseau, maintenant installé, permet, avec le matériel adapté, de se connecter sans brancher
de câble réseau n'importe où sur la résidence. Le matériel capable d’assurer cette architecture
et un point d’accès Wifi qui interconnecte tous les PC portables entre eux. Ces PC portables
disposent de cartes PCMCA.

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III.3- Projet de Laboratoires de langue

III.3.1- Introduction

Le laboratoire de langue été parmi les moyens de lutter contre l’échec scolaire, en
particulier pour que les élèves en difficulté sur la qualité des matières des langues aient la
possibilité de progresser au français et anglais et d’échapper à des sorties sans qualification.

Plusieurs marchés ont été conçus de ces laboratoires.

- MULTILAB (sous WINDOWS XP)


- IC-LAN (sous WINDOWS VISTA)
- GENESIS (sous WINDOWS VISTA STARTER)
- NOMADE (sous LINUX UBUNTO)
- HiClass (sous WINDOWS VISTA)
- Sanako (sous WINDOWS VISTA)

III.3. 2- Avantage des laboratoires des langues

 Répondre à des besoins des élèves de plus en plus ciblés


 Favoriser l’individualisation de l’apprentissage
 Motiver les élèves à l’apprentissage
 Instaurer de nouvelles démarches pédagogiques proches de la réalité quotidienne des
nouvelles générations
 Développer des compétences telles que l’oral et le travail en groupe
 Sensibiliser les élèves au fonctionnement des nouvelles technologies
 Développer le travail autonome, la responsabilisation des élèves.
 etc…

III.3. 3- Les fonctionnements de laboratoire de langue

 Système de supervision et d’animation de cours.


 Un plan de classe paramétrable.
 Une visualisation multi mode des postes élèves.
 Un mode d’annotation des écrans.
 Des fonctions de diffusion des écrans.
 Des fonctions de suivi des élèves et de gestion des groupes.

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III.4- EDUSERV
III.4. 1- présentation
EduServ est une application qui sert pour la gestion des bases des données des :
 Établissements scolaires qui contiennent les rubriques suivantes :
 Les élèves et leurs sanctions (Inscription, fiches, groupes, absences…).
 Les résultats (traitement des notes, impression des feuilles et des bulletins de
note...).
 Les enseignants (fiches personnelles, liste des professeurs, leurs absences...).
Cette application gère aussi la gestion de l’établissement au niveau de ses ressources
(données générales, ressources humaines, les espaces, les équipements.…).
L’installation et les mises à jour de cette application se fait au centre de l’INBMI,
Ainsi que les interventions pour résoudre les problèmes concernant la base des données.

III.4. 2- Description de l’outil

L’EDUSERV est une application VB (visuel basique) à base Access. Qui ne pourra
pas installé que sur WINDOWS XP ou VISTA.

EDUSERV se fonde sur des appuis telle que :

- Access (localité d’enregistrement des données)


- Resource introduit sur Windows (base regedit)
- « démons » ou ce qu’on appelle « ressource d’etat »

Cette application demande des barrettes de 128 MB mémoire ou plus.

Ses mises à jour qui seront publiées sur EDUNET, afin de refraichir sa base de données.

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III.5- Interconnexion Internet
De nos jours, Internet se présente comme un outil pédagogique de premier ordre grâce
aux facilités d’échanges et d’accès au savoir qu’il offre. Du courrier électronique au site web,
tous ses services en ligne sont potentiellement intéressants à utiliser pour l’apprentissage des
connaissances. C’est pourquoi que le ministère d’éducation insiste que tous les
établissements scolaires soient tous connectés à l’internet.
Le Réseau Educatif Tunisien connecte aujourd'hui l'ensemble des établissements
éducatifs ainsi que l'ensemble des institutions relevant du Ministère de l'éducation à savoir les
établissements éducatifs, les centres de formation professionnelle, les CREFOC, Les DREF,
CENAFFIF…
L'INBMI en tant que l'unique Fournisseur de service Internet dans le domaine de
l'éducation et de la formation, contribue au développement du Réseau Educatif National en
assurant l'interconnexion des établissements au Réseau Internet, et aux réseaux numériques
éducatifs.
Les technologies d'accès utilisées sont :
 Liaisons spécialisées (64Kbit/s-2Mbit/s)
 RTC
 VSAT (256Kbit/s-2Mbit/s)
 Voitures VSAT Mobiles
 ADSL (512 Kbit/s-2Mbit/s)

Schéma synoptique de la configuration

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L’installation de l’internet se fait sous un serveur SLIS (Serveur Linux pour Internet
Scolaire).
Un onduleur est nécessaire pour éviter la coupure du courant électrique.

III.5. 1- Le serveur internet SLIS


** Qu'est-ce que Slis ?

SLIS est un système d'exploitation libre basé sur Debian - GNU/Linux. Il vise à
fournir une architecture et des services de communication, basés sur les standards de
l'internet, et conçu pour les besoins éducatifs dans le domaine de l'enseignement scolaire
(écoles, collèges, lycées et services associés, etc...).

** Serveur de communications Linux pour l'Internet Scolaire :

Les technologies de l'informatique et de la communication sont de plus en plus


présentes dans les établissements scolaires. Elles nécessitent donc la mise en place
d'infrastructures adaptées pour permettre une utilisation sécurisée, fonctionnelle et stable des
ressources liées à Internet. Le projet SLIS a été bâti pour répondre à ces attentes et bien plus
encore.

** L'architecture SLIS :

 La sécurité:
Les serveurs SLIS en établissement assurent la sécurité des réseaux. Ils fournissent un
pare-feu intégré et paramétrable, un filtrage des accès à l'Internet, et remplissent les
obligations légales liées à la sécurité.
Un SLIS, c'est plus de sécurité.

 Les fonctionnalités:

Les serveurs SLIS apportent tout un lot de fonctionnalités. Ils répondent aux besoins
du terrain. Dans la conception du SLIS, les usages ont toujours primé. Ils sont là pour fournir
une informatique adaptée aux établissements scolaires. grâce à l'intégration de LCS dans une
machine virtuelle, les possibilités sont maintenant très étendues.
Un SLIS, c'est plus de fonctionnalités.

 La disponibilité:

Les serveurs SLIS sont supervisés par une gestion académique centralisée. Cette
surveillance permet de repérer les problèmes avant qu'ils ne nuisent au fonctionnement de la
machine. Les dysfonctionnements peuvent ainsi être résolus et leur incidence sur la
disponibilité du réseau minimisée.

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Un SLIS, c'est plus de disponibilité.

 La gestion du parc:
Les serveurs SLIS sont déployés de façon automatisée. Leur mise à jour se fait
automatiquement sur des serveurs centraux du rectorat. Ils peuvent être pris en main à
distance de façon normalisée et sécurisée. Le serveur SLIM (Slis Management) permet de
gérer des accès différenciés et hiérarchisés de différents intervenants. Ainsi, une équipe
réduite peut gérer sur une académie complète un parc de SLIS réparti géographiquement sur
plusieurs départements !
Les SLIS, c'est un parc optimisé.

 Installation de la connexion internet sous le serveur SLIS


 Matériel :
Un serveur équipé de deux cartes réseau, un routeur, un CDROM SLIS, une disquette
"boot SLIS" et le plus important, une disquette "setup SLIS" comportant les paramètres
spécifiques de l’établissement configurés par l’INBMI (type de carte réseau, type de routeur,
adresses IP affectées pour ce réseau, nom du domaine, nom d'utilisateur et mot de passe du
routeur).
Un modem avec une vitesse de transmission acceptable installé par le Télécom.
 Etapes de l'installation :
Procédure d'installation
La procédure d'installation est simple et ne nécessite toujours que peu d'intervention.
1. Mettre le serveur SLIS sous tension
2. Configurer le Bios de la machine.
3. Insérer le CD rom d'installation
4. Au bout de quelques secondes, Le script d'installation va partitionner, formater le
disque dur et installer Linux et les composants nécessaires.
5. Aux bout de quelque minutes le PC va demandes un redémarrage, tapper « Reboot »
et retirer le CDRom du lecteur
6. Lorsque Linux a fini son démarrage, on va connecter en tapant "root" puis
ENTREE.
7. Insérer la disquette "setup" et appuyer sur ENTREE.
8. Au bout de quelques minute il va demandes la MAJ Slis 3.2, Inserer le Cdrom de
MAJ, appuiyer sur « y » puis « Entrer »
10. lorsqu’il termine l’installatin, retirer le Cd d’installation et apuyer sr « entrer »
pour redemarrer le serveur
Verifier l’accés au net sur le serveur puis à partir d’une poste client, mais avec
l’adresse IP 172.16.0.1 (l’adresse de serveur proxy du SLIS) et le port 3128.

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III.5. 2- Connexion internet avec une liaison LS
Une Ligne Spécialisée (LS) est une liaison permanente constituée d'un ou de plusieurs
tronçons d'un réseau public mis bout à bout et affectée à une organisation. On dit aussi ligne
ou liaison "louée". C'est une connexion de très haut débit.
Une ligne téléphonique spécialisé, un serveur avec une configuration préférable avec
deux carte réseau (une carte pour lier le routeur au serveur avec un avec un câble RJ-45
croisé et l’autre pour lier le serveur au switch avec un câble RJ-45 droit), un modem et un
routeur sont obligatoires pour installer cette connexion.
L’installation se fait soit sous Windows XP, soit sous SLIS (Serveur Linux pour
Internet Scolaire).
Un onduleur est nécessaire pour éviter la coupure du courant électrique.

III.5. 2- Connexion internet avec une liaison VSAT

(« Very Small Aperture Terminal » : terminal à très petite ouverture):

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Principe de la desserte internet par satellite

La communication de données par satellite se fait par ondes radio : le signal est envoyé
depuis un point A en direction d’un satellite placé en orbite géostationnaire, qui les renvoie
vers un point B qui peut être distant du point A de plusieurs centaines de kilomètres. Des
« hubs » satellites (nœuds d’interconnexion entre le satellite et les réseaux terrestres) assurent
le lien de collecte pour les abonnés au satellite.
L’accès peut être monodirectionnel (dans ce cas les données ne peuvent être que
reçues, l’émission se faisant par un autre moyen, par exemple une connexion bas débit par
modem RTC) ou bidirectionnel ; le choix du bidirectionnel s’impose aujourd’hui en raison de
l’évolution des usages.

Avantages et inconvénients de la technologie


Le principal avantage du satellite est sa disponibilité sur l’ensemble du territoire :
pour connecter un village, une entreprise ou une maison, il suffit d’y installer une parabole à
un endroit en ligne de vue du satellite.

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Les inconvénients sont la latence des connexions, rédhibitoire pour les applications
interactives nécessitant du temps réel (téléphonie, jeu en réseau, certaines applications de
télétravail...), ainsi que le débit limité, qui est de plus partagé entre les utilisateurs, comme
c’est le cas pour toutes les technologies radio.

III.5. 2- Connexion internet avec une liaison ADSL

L’ADSL (asymmetric digital subscriber line : ligne numérique asymétrique d’abonné)


fait partie de la famille de technologies DSL. Ces technologies sont basées sur le transport
d’informations numériques sur le câble de cuivre assurant la desserte téléphonique. Alors que
le transport de la voix n’utilise que la bande de fréquence de 300 à 3400 Hz, le câble de cuivre
téléphonique peut transmettre une gamme de fréquences beaucoup plus large. C’est dans ces
"couloirs libres" que le signal DSL peut se propager, sans interférence avec le signal voix.
Points forts :
technologie largement déployée, bien maîtrisée par les opérateurs
utilisation du réseau téléphonique existant - pas de travaux à réaliser

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Points faibles :
zone de desserte limitée à quelques kilomètres autour du répartiteur téléphonique
niveau de service conditionné par la distance entre l’abonné et le répartiteur téléphonique
nécessite l’utilisation d’une infrastructure possédée par une entreprise unique (Tunisie
Télécom)
Schéma de déploiement :

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 les éléments d’un réseau mondial :

Depuis le réseau mondial et en descendant vers l’abonné, on trouve les éléments suivants :

Le répartiteur téléphonique, nœud relié en amont à la fois au réseau de téléphone


traditionnel et au réseau internet. Les répartiteurs téléphoniques n’ont pas à être construits
spécifiquement pour l’ADSL : il s’agit des bâtiments par lesquels transitent déjà toutes les
lignes téléphoniques d’un quartier.
Au sein du répartiteur, un équipement électronique spécifique appelé DSLAM. Le DSLAM
assure le lien entre les lignes des différents abonnés d’un côté, et le réseau de collecte de
l’autre côté.

Le câble téléphonique de cuivre. Il transporte à la fois le signal téléphonique voix et le


signal de données électroniques dans les fréquences plus élevées. Aucune modification du
câble téléphonique n’est nécessaire.

Chez l’abonné, un filtre permettant de séparer les signals données du signal voix.

Le modem ADSL, qui assure le décodage des informations et les envoie à l’ordinateur.
Si le débit le permet, des services de téléphonie sur IP et de télévision peuvent
également être proposés (offres dites triple-play) ; dans ce cas-là, le modem ADSL est
intégré à un équipement spécifique fourni par l’opérateur

Contraintes :

Accès au câble téléphonique et au répartiteur : le déploiement d’une desserte ADSL


nécessite de pouvoir faire passer un signal sur le câble téléphonique qui relie l’abonné au
répartiteur téléphonique. Ce câble est propriété de Tunisie Télécom. La réglementation
impose à Tunisie Télécom de mettre ce câble à disposition de tout opérateur qui en fait la
demande. C’est ce qu’on appelle le dégroupage.

Le répartiteur téléphonique doit être équipé d’un DSLAM.


Affaiblissement avec la distance : le signal électrique transporté par les câbles de cuivre
s’affaiblit assez rapidement. L’ADSL ne peut être proposé que dans un rayon de l’ordre de 5
km autour du répartiteur téléphonique (rayon approximatif : en réalité c’est l’affaiblissement,
en dB, déterminé par la longueur et le diamètre du câble, qui est déterminant). Dans cette zone
d’éligibilité, plus l’abonné est loin, plus le débit dont il bénéficie est faible.

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IV- Conclusion

Le stage que je viens d’effectuer a été pour moi d’un apport très positif.
Il m’a permis de connaître et de m’intégrer plus profondément dans la vie professionnelle.
De plus, ce stage a répondu à toutes mes interrogations et m’a permis d’apprendre et
d’entretenir de bonnes relations avec mes collègues.
Ce stage a duré deux ans, ce qui m’a permis d’acquérir une meilleure compréhension de
métier.
D’un point de vue social, j’ai pu me rendre compte que le contact et les relations humaines
tiennent une place importante dans le monde du travail, donc il est nécessaire de savoir
communiquer.
J’ai aussi appris qu’il faut faire preuve de dynamisme, de disponibilité et surtout de flexibilité
si on veut s’adapter à toutes les situations.
La confiance, la communication et la motivation sont nécessaires pour un travail de groupe
efficace.
J’en profite pour remercier encore une fois tout le groupe de l’INBMI.

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