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an
LA SEMAINE
mandat
9» MiAcifC
Conseil.
reunion
M
Montbrison,
snr
Briand,
mesures
du
genereux et juste.
les
Le ministère
a
aux
charges de fournir
plane.
On annonce que les élections
agents
devoir
sympathie de la population pear les
gardiens de la paix dont la téche est
faite de fermete, d'énergie, de modé¬
a promis que
le gouvernement saurait se montrer
la
de la guerre
prendre pour le
déve¬
loppement de l'aviaMon militaire. Un
certain nombre d'aeropiaaes auraient
ete commandes snr les pians de ceux
avec lesquels MM Farman et Paulhan
ont remporta, ces dernieres semaines,
et la
société Antoinette seraient également
;
un
poste.
et
a
type
constate
rne
Président do
présidé
étudié
d'aéro-
Désigné
Tnpinerie, 4.
Montbrison, adresser
la
la
j
;
an
Ponr les
LA REPRÉSENTATION
Son prinoipe.
La débat
gérant
Gebhart. M. La visse
piendalre.
Dans le Nord
inondations causent
gats.
Les
pour
de
PROPORTIONNELLE
Ses
— Son
parlementaire
forme électorale, les graedes réunions
de propagande où les partisans de la
représentation
sera
11 est dès
la question
proportionnelle ont
expose son principe, ses avantages et
son fonctionnement ont profondément
remué l'opinion.
maintenant
de la téforme électorale
posée devant le pays aux élec¬
tions prochaines dans toutes les cir¬
Un an
Six mois.
pouvoirs
que la
fonctt
avantages
RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE
Payé» au Bureau
.
répond an réel-
la France, les i
sur la
certain
ABON NBMENT8:
3 fr.
d'Importants dé- ;
f
1876
que
.
st.
ré¬
.
S
!
j
187
ET DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE
la Publication Légale de toutes les Annonces Judiciaires
1 fr. 50
1881..
1885
1889
1893
1898
1802
19u6
que
encore
serons
a
..
Pour l'ensemble
DE MONTBEISON
Un an
Recouvrés par
Six mois.
alexandhe varenne,
Rapporteur de la Commission
...
. .
Traiit
3 fr. 50
2 fr.
Voix
5.422 283
5.048.551
5 609.090
6.00'.000
5 800 000
5.930 000
5.633 000
5.818.800
6.383.852
élections qui
a
non
représentées
,
—
trouvent
s'installe.
LE JOURNAL PARAIT LE SAMEDI
Prix dea insertions
—
:
et le salut, paroe
soin ses
et aux industriels sa re-
présentatlou officielle ? La était le remède
qu'après avoir étudié aveo
besoins, il aurait pu présenter,
officiellement «xlors, au Gouvernement, ses
légitimes revendications, auxquelles la dé¬
mocratie républicaine ne serait point restée
sourde, bailleur* n'a-t-ette pas ses racines
les plus nombreuses et les plus vivaces dans
cette
ça et
Au
population campagnarde dissémluée
sur tout le territoire ?
lê
lieu de souffrir désespérément en
slienoe, la gaieté serait rentrée dans le
foyer du cultivateur sous forme d'une
prospérité relative et sa famille serait res¬
tée plus étroitement attachée ê oe sol où
toute Ugnée de ses ancêtres ont ac¬
une
compli une vie d'honneur, de travail et de
probité. Le but de mon intervention est
t nisatlon des
—
Messieurs, je ne
campacnss a
nous
ture
comme
autre
avons
sans
on e trouvé
effrayé
permanente,
la précédente législature nous étions arrivés
Tocoasiou
cette question et de la remplacer par d'au¬
tres qut, parait-il, étaient plus urgentes ;
gagné ainsi la fia de la législa¬
que les cultivateurs
auparavant, être représentés.
quelque
car
d'évincer
puissent,
insister
française.
[Ap-
;
f obligation
aura pour
h valeur de la propriété immobilière
dans nos campagnes et de bâter
l'exode des ruraux vers les villes.
Presque partout, à la campagne,
1rs versements mis
charge des ouvriers tomberont en fait
à la charge des employeurs ; ceux ci
réduiront la main-d'œuvre sur leur
domaine ; il en résultera qu'un nom¬
bre important de journaliers,
ne
trouvant plus à s'occuper, émigreront
M. Mazière, fils de
J métayer et métayer lui-même, prie le
} Sénat d'adopter
qui,
père
Nouvelle
la
l'amendement,
métayers, fermiers et même les petits
propriétaires devant être traités sur
le pied de l'égalité avec les salariés
sans
effet de diminuer
loi à la
les
légis¬ conscriptions. du tuffrage univers#!. uniquement de réclamer pour les cultiva¬ pas toujours assez largement appli¬ Les fermiers, colons et métayers,
latives de 1910 seraient fixées aux Mais le grand public est encore mal
Député sooialists du Puy-de-Dôme. teurs une représentation officielle, i l'instar quée. M. Bougère demande aussi au ; réplique M Codât, ne sont pas des
8 et 22 mal. Il shrait tenn compte de informé du mécanisme de la réforme. de celle qui ei ste pour les commerçants gouvernement de mettre a exécution salariés; cela est certain. Mais ce
ces aates dans les convocations de Ils'y intéresse, mais il veut savoir. et les Industriels, parce que j'estime que des projets depuis longtemps établis
PABLEMBflf
sont des travailleurs qui doivent bé¬
réservistes
manière
nécessaire pour
a
et
lenr
de territorianx,
laisser la liberté
de Chaque courrier nous apporte des
demandes de conférences, brochures,
de renseignements.
Al) nul n'est plus apte que l'intéressé lui-même
à connaître ses maux,
causée et â en indiquer
â en rechercher les
les remèdes ; 14,
pour la protection des rivières, la
construction de barrages suffisants
néficier du même traitement que celui
qui sera accordé aux salariés.
accomplir leurs de¬ pour ne rendre su fleuve que peu à
voirs eloctoraox. Les demandes sont si nombreuses se trouve une des solutions de ce grave Enfin, le minisire du travail, faisant
La Chambre discute le budget de peu l'eau qui s'écoulant tout à coup connaître son avis, dit qu'il ne s'agit
qu'il devient impossible d'y faire face. problème social de la désertion des campa¬
On a
appris la mort de la princesse l'agriculture. M. Plissonnier a félicité cause les ravages terribles des inon¬ pas seulement d'une question de jus¬
Waidemar de Le moment est donc venu pour les M. Ruau, ministre de l'agriculture,
gnes. (ÏV« bien ! tris bien dations. Les indemnités données cha¬
Danemark, fille du Cette représentation officielle de la pro¬ tice. L'assimilation, réclamé* par M.
duc de Chartres, qui avait épousé en prologanistes de cette grande idée, d'avoir attaché son nom aux réformes fession agricole ne peut exleter que par la que année en secours d'inondations Codet, soulève de graves problèmes
1885, h la mairie dn 8' arrondisse¬ pour les partis qui la défendent, de les plus utiles à l'agriculture, d'avoir création des chambres d agriculture. Par amortiraient le capital dépensé pour d'ordre social ; elle cause pour l'ad¬
ment de Paris, le pins jeune des fils multiplier leurs moyens de propa¬ fait voter dans cette législature diver¬ leur intermédiaire, les cultivateurs aurent les travaux de protection. Il voudrait mission des fermiers, metayers et
Elle avait tenu a gande. lois indispensables au progrès les moyens de faire entendre leurs voix sur aussi que
du roi Christian. ce ses les crédits permissent d'a¬ colons à la retraite obligatoire des
La Commission administrative du toutes les questions qui touchent a 1 agri¬ cheter plus de terrains pour le re¬
que son mariage eut lien en France agricole et en particulier la loi sur conditions incontrôlables. C'est pour
Parti socialiste a décidé de concourir culture. U importe d'organiser, 4 bref délai,
et l'influence qu'elle les coopératives agricoles. « Voilà le boisement. raisons
exerça par son à cette représentation élective des intérêts
une ces M. Vlvlani, qui ne
que
intelligence supérieure, en faveur dn œuvre en publiant une bro¬ vrai socialisme, a-t-il dit. car c'est M. Merle demande le développement veut pas surcharger outre mesure la
chure populaire sur la R. P., qui géra agricoles, comme 11 existe des chambres de
pays de ses ancêtres, fut considéra¬ par les coopératives que les agricul¬ commeroe qui sont une représentation élec¬
de la mutualité
agricole, la réduc¬ loi des retraites, se déclare hostile à
ble. Belle sœur du roi d'Angleterre, répandue par les soins des militants teurs se défendront contre les inter¬ torale des intérêts du commerce et de l'in¬ tion des formalités qui gênent les l'adoption de l'amendement.
de l'empereur de Russie, du roi de du Parti. Pour présenter au public médiaires et les accapareurs. » Il a dustrie. agriculteurs, la diminution des char¬ Après l'intervention de MM. Lama-
Grèce, la princesse Waldemar trouva l'exposé de la réforme, elle s'est fait aussi
l'éloge de la loi sur Ie6 fréquemment les conseils généraux, les ges, l'enseignement agricole mis à rié, Flaissières, Cazeneuve, Bepmaie,
dans ces relations le moyen de servir adressée au rapporteur, qui se trouve fraudes, qui a donné satisfaction aux ooi'seils d'arrondissement, les sooiétés et leur portée pour retenir aux champs
Fessard, Lintilhac et Cuvlnot, il est
ntilement la Franee. 44 Le Temps être un élu du Parti. agriculteurs. les syndicats agricoles oot réclamé cette les fils d'agriculteurs. statué séparément sur la
Nous diviserons ce travail en quatre Mais il a constaté qu'il y avait en¬ création, dont ils reconnaissent l'urgence st question
dit la part qui revient A sa haute M. Compère Morel a soutenu lon¬ des colons partlaires ou métayers et
la nécessité.
intelligence dans le règlement de chapitres : core beaucoup ô faire. C'est ainsi qu'il guement une thèse, qui n'est plus celle des fermiers.
propositions de loi ont été pré¬
Diverses sur
l'affaire Schnbelé, dans l'alliance I. Le système actuel.
—
voudrait voir les habitations des pay¬ sentées Chambre des députés ou au
4 la soutenabte, celle de l'absorbtlon de la La première partiç de l'amendement
franco-russe, dans l'aplanisse ment II. Le principe de la R. P. sans mieux installées et lés fosses à Sénat, notamment par II. Ruau, ministre petite propriété par la grande. Le de M. Codet. relative aux colons par-
des difficultés avec l'Allemagne lors III. Son fonctionnement.
— purin perfectionnées, car « c'est un de l'agrioulturs et M. Jean Dupuy, ministre ministre a répondu d'avance à cette tiaires ou metayers, est repoussce
des incidents dn Maroc. IV. Ses avantagés. milliard cinq millions qui se
cents aetuel du commerce et de l'industrie ; les allégation erronée. C'est dans le dis¬
—
par 141 voix contre 137 ; il est de
perd ainsi chaque année par l'incurie unes prévoient des chambres cantonales, cours très documenté et très complet même pour la deuxième partie, con¬
U,fi*»#. — La Chambre disente le Le scrutin d'arrondissement d'autres d'arrondissement et, enfin, dans le
et la négligence des cultivateurs. » que M Ruau prononça à Blois, qu'il cernant les fermiers.
budget de l'Agriculture. Le scrutin d'arrondissement, rétabli Il a encore insisté sur la nécessité projet de loi que j'ai déposé sous la précé¬ démontra
dente législature, je prévois une seule mathématiquement que M. Codet retire son amendement
Les puissances protectrices de la par la loi
du 13 février 1889, fonc¬ de développer l'enseignement agricole
chambre par département. Par ce dernier l'augmentation de la propriété suivait le
tionne sans interruption depuis vingt
et président donne lecture de celui
Crète se sont mises d'accord le dans toutes ces écoles, y compris les une marche constante et
sur
mode, non seulement le recrutement de ses régulière de M. Maurice Faure qui comprend
texte de la réponse attendue par la années. écoles normales d'instituteurs et d'ins¬ membres se fera plus facilement et d'un Dans la séance de mardi, la dis- les pefils propriétaires dans les béné¬
Turquie Les puissances concluent a Ce système a pu avoir des avanta¬ titutrices. meilleur choix, mais l'on pourra attendre éussion a surtout porté sur la néces¬ ficiaires de la loi de retraites en exi¬
la nécessité de conserver son auto¬ ges : il en a encore. Mais ces avanta¬ M Ory, député de la Loire, a appelé 'de meilleure services d une chambre placée sité de créer des canaux d'Irrigation
geant seulement d'eux qu'ils versent
nomie a la Crête et reconnaissent la ges ne compensent plus les vices Inattention de la Chambra et du gou¬ auprès das grands oorps électifs et des dans le midi pour remédier à la crise les deux cotisations, celle d'ouvrier
souveraineté de la Turquie. graves qu'on lui reproche. vernement sur la néces8ité de créer priooipaux organes de l'adminls ration, cen¬ de la viticulture en permettant sux et celle de patron. L'orateur ne se
Il serait aisé de mon'rer comment les chambres d'agriculture: tralisant les forces vives Me l'agriculture,
Le sultan Abd-el-Artx avait mis an en même temps qu'éloignée des iutéréts de
agriculteurs de ces régions de se dissimule pas l'importance du sacrL
le scrutin d'arrondissement, parce Vous maintes fols entendu proclamer, livrer à d'autres cultures
Mont de Piété de Paris ses bijoux
avez
clocher et des rivalités locales. [Trie bien I qu'à la flee financier qu'entraînera une pa¬
qu'il fonctionne dans un collège élec¬ comme moi, mes chers oolièguea, dans les
trie bien /) culture exclusive de la vigne reille adjonction.
pour garantir nu prôt de douze cent toral restreint, favorise la corruption et oamlces
concours agricoles, souvent Les membres seraient élus par le système «
Le ministre fait remarquer qu'en
mille Iranes. Ces bijoux étaient esti¬
électorale, la pression administrative même les plus bouts fonctionnaires, que
par du suffrage direct, dans la proportion d'un effet cette adjonction eu tramerait un
mes trente militons Ne les ayant pas
oïl patronale et ia prédominance des l'agriculture est 1* p us noble, la plus belle, L'article premier du projet de loi
membre par oantoo, a l'exception toutefois surcroît de dépenses de 17 millions.
retires dans les délais, ils allaient
intérêts de clocher de personnes la première des professions. Je ne suis point sur les retraites ouvrières soulève
ou .
es cantons purement urbains.
être vendus. De toutes les nations, de cet avis, elle n'en est ni la plus noble, chaque jour au Sénat de nouveaux On ne peut du reste accorder aux
sur l'intérêt général et sur les prin¬ Le prinoipe de l'eleotion dlreote, une fois
ni la plus belle, elle est,
des joaillers étaient venus pour en¬
cipes. je crois, assuré¬ admis, il resterait â déterminer la composi¬ amendements. Un de nos confrères petits propriétaires ce que l'on n re¬
ment la première, puisqu'elle est le fusé aux
chérir Le sultan a offert de paver Mais point tion du collège électoral et les conditions les résume ainsi : métayers.
je veux m'en tenir pour le de' départ initial de la création de presque Lamendement
dans un mois quinae cent mille francs moment aux critiques d'ordre pure¬ toutes les autres exigées pour l'électorat : on ne serait élec¬ Dans précédente séance, le Sénat
sa est repoussé.
professions, mais aussi la teur qu'a vingt-cinq ans révolns et éllglble a voté le
x et ie président au tribunal de la ment matériel. plus dure, la plus pénible, peut-être la paragraphe premier do la
Seine a ordonne la remise de la vente à trente ans, oomme pour les ohambres ou loi sur les retraites ouvrières, stipu¬
C'est d'abord l'inégalité des circons¬ moins lucrative. Malgré son intelligence et
A Nice, l'aviateur Fernandès s'est criptions électorales. son labeur quodltleu,
malgré ses efforts
tribunaux de commerce.
Enfiu, il y aurait le conseil supérieur na¬
lant que les salariés des deux sexes
de l'industrie, du commerce, des pro¬
LA CRISE V1T1CQLE
tué en faisant les essais de son Les arrondissements ne correspon¬ énergiques et opiniâtres, le cultivateur volt tional de lagriculture dont le soin d'élire
aéroplane. dent ni à une égale superficie du
les résultats de son pénible travail constam¬ fessions libérales et de l'agriculture,
ment subordonnes à des causes absolument les serviteurs à gages et tous autres Ses cannes réelles. — Ses remèdes.
territoire français, ni ô un chiffre
rtAHUM.ï— Les Ministres ont indépendantes de sa volonté; les intempé¬ ipoi salariés qui ne jouissent pas d'une
—
Guerre n la frande. — Dn
égal de population encore moins î ries, la gelée, la- grêle, la sécheresse, tes nouveau projet de loi.
tenn conseil à l'Elysée. Le Ministre un chiffre égal d'électeurs. inondations, les parasites qui compromettent professeurs chargés de l'enseignement
des retraite ou n'ont aucun droit à la
de la Guerre a entretenu le conseil vétérinaire et agricole, de oeux
des fono- retraite les fonds de l'Etat, des
sur M
Cazeeux-Cazalet, au nom de la
Comparez ces deux tableaux indi¬ ses récoltes, lea maladies contagieuse» et haras, des
tionnalres de l'administration des
de ses projets d'aeroetation militaire. quant le nombre des électeurs pour autres, qui détruisent ses animaux, etc. départements et des communes béné¬ commission chargée de procéder à
des affaires étrangères eaux et lorêts, et enfin, l'autre quart serait
Le Ministre
deux groupes de circonscriptions et Depuis quelques ?nn^ea. 1a déiertioa dta ficieront, dans les conditions déter¬ uue enquête sur la «UtuaUon c«iiiqu*
formé des membres nommé» par dsorete minées par la présente
a entretenu ses collègues de la si¬ voyez à quelles injustices peut con¬ campagnes a attiré l'atténtion des penseurs loi, d'une de la viticulture, a déposé mercredi
et des sociologues, ils
rendus sur la proposition du ministre de
tuation au Maroc- apprécient rétendue retraite de vieillesse. son quatrième rapport. Ce document
duire le système actuel : Lture.
du mal et rtmmettse A ce
Le Sénat discute les
amendements danger que oet exode organisée, la représentation officielle texte, M. Codet propose d'a¬ est un des plus considérables comme
Tableau A vers lee villes fait courir anjourd'bul i
a l'article I de la loi sur les retràites notre pays où la culture de la terre est la
offrirait toutes lesgaranties désirables au jouter un paragraphe additionnel volume que le Parlement ait reçus,
ouvrières.
Puget-Théniers... 6.827 électeurs Gouvernement et aux cultivateurs qui ne ainsi conçu : puisqu'il ne compte pas moins de
Gex 6.556 source iondamentale de sa rlohesse et le
, ——
tarderaient pas a en ressenti» les heureux II en sera de même des colons 1800 pages.
Chambre réservoir inépuisable de ses énergies natio¬
La s'occupe des prqjets Bnançon ....... 6 375 —■ 61 La commission constate que
de loi sur las voles d'accès au SUm- Sisteron 5.973 s=
nales (Très bien I trie bien!).
Les causes de cette désertion
sont nom¬
Via fia la dernière législature, la
de tertiaires
foutes les fois métayers
ou qu'ils et fermiers
travailleront de vilicole très sévit partout en
grave
la crise
pion. Castellane.. ..... 5.232 «— oommlsalon d'agriculture avait réuasl à faire leurs propres mains, ou au moins les
breuses, je ne m'attarderai point à les énu- France et en Algérie. Elle n'est pas
BarcelonneUe 3 443 ~ mérer ; elles oenstitnent des
lusoru-o ostte ""r-
inaorire question
important* -i—" ê 1 ordre
,T ,
deux tiers de l'année, sur la propriété,
rmHvnmmt. — suite de la dis
...
problèmes pro¬ ,
'".m:;
du jour de la Chambre ; ce n était U "..'Une
. .
qu
due à la qualité des vins oui n'a pas
fonds et formidables «Tordra moral, et qu'Us ne seront pas Inscrits à l'en¬
cusston a la Chambre sur les voies social, satisfaction platonique. Par une habileté, diminué. Pas davantage, la surpro¬
Total... 34.417 électeurs économique et même politUfue, que des [culée, on a toujours réussi à semble des
d'&oces au Simpton et dans la seance >eut- être cale contributions directes duction ne peut être incriminée.
hommes d'une compétence spéciale ont étu¬
du soir, discussion de la réforme
Tableau B diés et qui, chaque jour, en reoherehent Fa faire su lanter par d'autres propositions pour une somme supérieure en prin¬ Mais il faut mettre en cause le su¬
douanière. Importante discussion Le Nantes, 3* elrc.... 37.018 électeurs aveo difficulté,
presque vainement, la solu¬
de lot pré'tendoes
plus importante'#,
mais cipal à 20 francs. crage clandestin, l'utilisation des vins
Sceaux, 2e 32.920 qnl l'étaient beaucoup moins en réalité. Les membres de leur famille parti¬ défectueux, le mouillage, enfin
rapporteur d'aecord avec le gouver¬ — ... — tion réellement pratfque. Je ne me suie point dissimulé que 1 on
l'avi-
nement demande la disjonction des Versailles, l"* 32.848 — Les engendrés par l'exode rural
maux cipant à l'exploitation seront consi¬ llssement du coure des eaux-de vie
La Palissé 32.506 redoutait fortement cette organisation cam¬ dérés comme des ouvriers agricoles.
propositions concernant le relèvement — s'aggravent tous les jours non seulement et la faiblesse de la répression des
Sariat 32.149 parla pénurie de la main-d'œuvre et les pagnarde, on Ta retardée, mais j ai la cer¬ Le sénateur de la Haute-Vienne se fraudes.-
des droits sur les soles importées —
titude que Ton ne pourra Indéfiniment la
difficultés croissantes des exploitations déclara partisan de cette assimilation D'autres causes sont tenues s'««jouter
d'Europe. Le traité aveo la Suisse ne reouler I J'espère, monsieur le miniêtre, que
Total 167.441 électeurs agricoles, mais aussi par tes dangers qu'il prendrez vous-même l'initiative de que la commission sénatoriale a sup¬ à celles qui viennent d'être enumérees;
peut être rapporte avant on an. D'ici fait courir aux villes qui étouffent sous e* vous
là, l'élévation dss droits créerait à Les 34 417 électeurs du reflux de population ; dépassant maintenant
donner enfin à l'agriculture française la primée d* la proposition votée par la les tromperies sur l'origine des vins
tableau A
cette nation un régime de favenr et élisent six députes ; les 167.441 les besoins, il détermine les crises du tra¬ charte •! légitimement et si ardemment Chambre, donnant pour moiif da sa et des eaux-de vie; la concurrence
élec¬ attendue iTrto bien l trie bien l) décision ia nécessité d* limiter les
c'eut justement ooair* la concurrence teurs du tableau B n'en ont quecinq. vail lés plus redoutables. Ces émigrauts souvent déloyale qui est faite sur les
Bn créant cette institution vous aurez,
•
de sa production qu'est dirigé* la Un électeur de Barcelonnette vaut nécessiteux, qui n'ont souvent ni aptitude, charges de l'Etat. vins français sur les places étrangères,
ni compétence, se jettent sur le premier monsieur le ministre, attaché votre nom Le résultat véritabl*
demande d'urne élévation d* taxe. Le au moins dht électeurs de la 3' dir- da cette dis¬ et la diminution de nos exportation^
travail, offrant leurs bras au rabats; ils inséparablement ê un* œuvre qui contient position restrictive sera de hâter i'ab6ence de coordination dans les ta¬
;
tarit propos* snr le* droits d'entré* conscription de Nantes. font ainsi en eilelavenlr et le salut de l'agriculture
de Mais voici une
une ooncurrence désastreuse aux encore davantage la dépopulation
des rifs de transport des chemins de
de» uesus provenance extra¬ autre critique tout ouvrière etabfis et deviennent pour nos nationale I {Trie bien l trie bien /). fer,
européenne est adopte. > - aussi grave : j'ai pris L» parole dans cette disoasslon
Si eampagaea. ce qui constitue de véritables primes
grandes cités une cause
permanente de La loi des retraites doit être faite
question de la réforme électo
La Les minorités n'étant pas représen¬
perturbations, souvent dangereuses et pré¬ générale du budget de 1 agrteulture, eest pour les vins de certaines réglons au
tées, pas plus les raioorltés de gauche judiciables pour tous, (frit bien ! trie bien/). pour pouvoir engager vivement dn fc*"1 peur tous les travailleurs de France. détriment des autres ; les clauses des
raie est toujours agitée dans les cette tribun» loua les sultlvaésurs de ^ L'orateur indique que les calculs
des régions où la droite domine De même qu'aux heures crépusculaires, cahiers des charges des adjudications
groupes parlementaires. que 1* lumière attire la papilloa à exiger des candidats à l'assemblée auxquels il s'est livré pour établir le de vins des grandes administrations
les minorités de droite où la majorité qui t'y brftle
les «dise, de même aussi le paysan moderne lativs l'inscription di os Leur programme
aavttk. — Le Sénat disent* 1*8 est ù gauche, on aboutit 6 cet étrange de voter répercussion financière de l'adoption de l'Etat : marine, hôpitaux,
attiré par la fasoinatton des grandes oltés électoral, l'engagement formel f de sa proposiUsn, baeôs sur un nom¬
etc., qui
amendements ayant pour bat dé faire paradoxe de faire de la Chambre aes favorisent Involontairement les four¬
s y
heurte aux soucis, aux fatigués et sus pendant la prochaine lègis ialature la repré-
^
quête avait mis en évidence. 11 semble de la 9* brigade d'artillerie. Le Maire de la Ville de Montbrison victime, Pierre Souillât, était étendu
Far une division provisoire formée des da Saint Etianne à Nioa, vià Aix, Marseille donne avis que le 2 janvier 19t0, à déposante, dont 12 pour solde 28.603.40 sur le sol sans connaissance. Trans¬
cependant que a'appuyantaur l'opinion 12* et !«>• brigades et d'un groupe de la 17*
1"* classe 88 fr. 65 2* classa 64 francs ; da deux heures du soir, il sera procédé
publique clairement manifestée qui Grenoble à Nioa, v!à Valence, Marseille
porté dans la aalle du café, Il revint
brigade d'artillerie et une autre division 1™
réprouve des fraudes de ce genre, provisoire formée de» 17* et 18* brigade»
oiassa 95 fr. 40 2* olaasa 68 lr. 70.
à la'Mairie à l'adjudication au rabais
sur ia mise à
Trttml GmtM ù MMn un instant à lui pour remercier d'un
mot ceux qui le soignaient, puis il
l'administration des finances aurait de corpa et d'un groupe de la 17» brigade prix annuelle de 2.500 Audience du 6 décembre 1909
dû faire des efforts nouveaux pour d'artillerie. ASSOCIATION francs, de l'entreprise, pour une pé¬ expira. C'était lni dont on avait • mis
riode de six années, de l'enlèvement Présidonos de M. Pienttler les tripes aux vent ». Par une large
empêcher la continuation de cette con- Par les 2* et 5* division» de cavalerie. des Membres de l'Enseignement
trebandesoit en coordionnant l'action Par les 6* et 8* divisions de oavalerie. des boues et immondices qui seront Jean Chazeilas, 84 ans, journalier, blessure au ventre, les intestins et
L'Association des membres de l'En¬ le
de la régie avec celle des administra¬ Les deux première» s'exécuteront avant déposées sur les voies publiques de sans domicile fixe, se trouvait le 5 sanc
s'échappaient. Il portait en
les manœuvres d'automne et auront une seignement fondée en 1858 par le la dite Ville. décembre, en compagnie d'un autre outre des balafres de coupe de
tions municipales dans les villes où baron Taylor et reconnue comme cou¬
durée de sept jours, les journées consacrées Le cahier des charges de teau à la figure al aux mains.
l'octroi existe encore, soit en deman¬ établissement d'utilité publique est à l'entreprise ivrogne, sur le boulevard Carnot, trou¬
à la oonoentration et à la dislooatlon n'étant est déposé à la Mairie où les intéres¬
dant des crédits pour augmenter ia blant perses cris la tranquillté publi¬ Vincent, le première victime de celle
pas comprises dans oette durée. Les deux la fois une société de prévoyance et
surveillance de la régie et pour rendre sés peuvent en prendre connaissance. que. Invité par les gendarmes à cesser criminelle agression, paraissait assez
dernières s'exécuteront pendant le» manœu¬ une société d'assistance mutuelle.
cette surveillance efficace. ce tapage, il leur répondit par des gravement atteint. Un autre de leurs
vres d'automne et auront une durée de La modeste cotisation annuelle de
2* Action des tribunaux : Les ma¬ huit jours, non oomprls l'aller et le retour. 12 francs versée par tout sociétaire HARMONIE MONTBRISONNAISE grossièretés et prit la fuite. Le gen¬ camarades était blessé à la tète ; le
Des éléments d'Infanterie et des compa¬ darme Seigé l'avait bientôt rejoint et Eaog coulait abondamment : mais la
gistrats drvraient profiter des erreurs procure à chaque membre participant L'Harmonie Montbrisonnaise a fêté
déjà commises pour les éviter à l'ave¬ gnies oycllstes participeront à ces quatre l'arrêtait. A l'audience, le prévenu se blessure n'était pas profonde.
è l'âge de 55 ans et après 25 ans de la Saint-Cécile dimanche dernier. Les
nir et pour ne pas paralyser la ré¬ manœuvres.
rayppelle bien qu'il était ivre, mais il Le commissaire de police et des
Les brigades de oorps prendront part en¬ présence dans la société une elioca- morceaux d'harmonie et-de symphonie
affirme
pression des fraudes. Il importe de tion annuelle égalant autant de fois qu'il
n i pas de cette soirée agents se rendaient aussitôt sur les
suite. en tout ou en partie, aux manœuvres qu'elle a fait entendre pendant la d'autre souvenir. lieux de l'agression. Le corps de
rappeler aussi que l'action des ma¬ d'automne de leur corps d armée respeoiifs. 5 francs que le sociétaire compte grand-messe de Notre-Dame ont valu
gistrats dépendra, en matière de ré¬ 2» Evolutions. — Les 1", 3* et 4* divisions Le tribunal le condamne à 3 jours Souillât fut porté à la Morgue ; Vin¬
d'années de présence, c'est-à-dire à la direction et aux membres exé¬
pression des fraudes sur les vins, de cavalerie et les brigades de oavalerie de 125 francs pour 25 ans weevaugmen-
de prison pour outrages et 5 francs cent, sur l'avis d'un médecin, dut être
cutants des éloges dont ils sont
dans une grande mesure, de l'entente corps, autres que celles exécutant, des ma¬ d'amende pour ivresse manifeste. conduit à l'hôpital. Des premiers
tation de 5 francs pour-'chacune des
de la régie avec les parquets et que nœuvres d'ensemble, exéouteront des évo¬ justement fiers. * e
—
17 — —
Vous pourriez vous tromper et l'hôtel Laboissière, Marthe se deraan* il hésitait à avertir le jeune homme. —
dèrent.
sière, dit-elle En arrivant à l'hôtel, elle y vit un la gorge serrée. ainei sans reprendre connaissance. Ce fut le docteur qui
Elle avait fini de s'habiller. signala ce lé¬
—
Mais voyez donc. Ce n'est peut- mouvement inaccoutumé ; les domes¬ Lentement, M. Delor leva les yeux Mais comme si l'enfant eut voulu ger mieux.
être rien. —
Vous allez manger avant de partir tiques, inquiets, se tenaient aux écou¬ et le regarda. donner un démenti au docteur et Sa figure se détendit dans une ex¬
D'une main tremblante, elle brisa fit la repasseuse. Je vais vous préparer tes, couraient exécuter les ordres —
Rien encore. La syncope dure confirmer l'espoir de la jeune fille, pression de joie quand il s'écria :
le cachet et lut tout haut ces deux une tasse de café. avec une htte maladroite et un désir toujours. elle se réveilla soudain de son
Merci, madame, je n'ai pas faim. de bien faire qui n'étalent pas dans
long —
Ella dort l... et dormant, alla est
courtes lignes.
— —
Que craignez-vous t sommeil. Un peu de rouge ranima sauvée ! Elle vivra, je ia guérirai.
s
Venez, ma malade.
sœur est Je suis trop inquiète. leurs habitudes. —
Tout 1... ses joues, ses lèvres tremblèrent et L'émotion da Marthe fut si grande
Laboissière *. Comme il vous importe ce monsieur Le valet de chambre arrivait en Un gémissement s'échappa des lè¬
s sa poitrine se souleva agitée par des
—
Madeleine malade 1 ah, le mal¬ Marcel et comme vous obéissez à ses même temps que la jeune fille, tenant vres décolorées du jeune homme. Il
y convulsions qui la secouèrent bientôt qu'elle dut s'asseoir.
heureux I moindres ordres. Sans compter qu'il à la main quelques fioles et paquets eut dans son regard, une telle lueur de tout entière.
Bientôt la réalité la raprlt et venant
Ce doit être grave pour qu'il vous qu'elle devina être des médicaments. à Marcel, toujours agenouillé et qui
—
a une .façon de vous les dicter... désespoir, que ledocteur en fut touché. Les trois spectateurs, immobiles,
dérange de ai bonne heure T —
Jean, et Mademoiselle Y Elle est jeune, reprit-il. A son n'avait rien entendu, elle appuya sa
la regardaient, avec chacun des sen¬
—
Pourvu, mon Dieu, que je n'ar¬ ou à une femme sur laquelle il a des
—
Je ne sais pas... on dirait qu'elle âge, la nature ne perd pas facilement main sur son épaule pour attirer son
sations diverses.
rive pas trop tard I droits personnels. va mourir. ses droits... Dieu peut faire un'miracle. attention.
Le docteur fut le premier qui parla :
A la hate, elle mettait ses Ah I la pauvre petite !... Et Mon¬ Et il le fera ! s'écria Marthe à Monsieur Laboissière, lui dit-elle
—
bas, pas¬
—
Dépositair8e A Montbrison
11 serait superflu de faire l'éloge, le nom tions considéreront le présent avis oomme
ont porté principalement les du maitre-cuisinler M.nUlHer tel. Les adhésions sont reçues chez M.
DANS LA REGION
sur en tenant
chevaux prêts au service et pouvant amplement Heu. les ooovives eurent la Clavies président et chez M. Colomb, hôtel. nu litri-Diu. anciennement
être aussitôt placés dans les régiments bonne fortune d'enteodre quelques toasts Conseil municipal — Nos édiles se sont auberge et boulangerie,
extrêmement intéressants. réunis, dimanche dernier, sous la préaldeuoe Le Gérant : a. dumay.
d'artillerie. L'acquisition des jeunes
Feurs. Vol de lapins. Dans la nu't Le de M. Beaulieu
pouvant tervtr à n'importe quel
chevaux a été reportée aux prochaines
—
— premier, M. le commandant Baooillon, commerce.
du dimanche au lundi des malfaiteurs se se leva, et en quelques phrases nettes, fit Voici, résumées, les principales délibéra¬
visites.
Une jument a été payée 1.000 francs
sont
M.
Introduits dans la ferme
Jacquet, située â
exploitée par
la Orive, prés de
connaître l'état actuel de la Société. Il est
florissant. Il l'est surtout au point de vue,
tions :
nter, Cl. Jallas, Claude Monsy, Baralller, Uu lis Cêitft. #t Parti, ûêptt 23.
r* E:>:rrc !•»■*!. Pan* édredons américains.
prix variant de 950 à 1.250 fr. de tir ont été bien suivies cette année et Gabriel Brizet, André Faure, J-B.
Sociaté de Sacours Mutuels Equl, PRIX MODÉRÉS
les succès comme l'indique le palma¬ Ant. Baralller, Ant.
dea Sapeurs-Pompiers de la ville Saint-Rajabert sur-Loire. —
que Jabouiay, Ant. Emonet
Un homme rès, se sont maintenus. et Jean Thomas.
de Montbrlsou dans le canal. — Samedi soir,
Etude .le M* GUILLAUME, licencié
MM. Jean- M. le lieutenant-colonel Mahéaa prend Le conseil nomme les délégués pour la
Les membres de la société de secours
Baptiste Bourgin, Jean Faure, Antoine Ua- ensuite la parole. « Bon pied, bon mil, bon révision de la liste électorale, qui sont élus
eu droit, avoué
près le Tribuoal %. LOUEH
mutuels des sapeum-pomplets de Monlbrison Mathieu civil de MooibriiOD, où il demeura
gnere et Kaymo d aperçurent au estomac, dlt-H. voilà les principales qualités par scrutin : MM. Vende. t« délégué ; Phil. Rue Préfecture, 1.
célébreront leur féte annuelle, par un ban¬ lieu appelé le « Maraicbet > dans le canal rue Victor de
du fantassin. 11 sait que les riverains de la Perrin et Jean Bachelard. Laprade, o* 10.
quet qui aura Heu le dimanche 19 décembre du Fores, le
corps d'un individu. A l'aide Loire ont bon estomac. Les récentes Le maire soumet ensuite le budget des
appartement t
ma¬
1909. * midi, â l'hôtel Franchisseur, boule¬ d'un crampon ils parvinrent â le ramener nœuvres ont prouvé qu'ils ont aussi bon recettes et des dépenses des chemins de
vard f^arnot. sur la rive. Il
ASSISTANCE JUDICIAIRE
s'agit d'un nommé Georges pied Les sociétés de tir contribuent à leur grande Communication et chemins vicinaux
MENU Vial, dit Georgette, âge de 75 ans, journa¬ Décision du
Jambon d'York à la gelée lier au quartier Gaillard, rue Bernarrl-Ito-
donner bon œil. Elles contribuent aussi â pour 1910. Le conseil, après avoir pris 9 novembre 1909. de 7 Pièces
leur inspirer le goût et la pratique de la connaissance de os document et avoir déli¬
Civet de lièvre Saint-Hubert bellu. 11 avait été aperçj dans l'après-midi
discipline. M. le lieutenant-colonel Mahéas béré considérant qu'il est nécessaire au premier i ta.ge
Aigrefin relevé de samedi, se promenant sur les bords du pour EXTRAIT
exprime son admiration pour cetle organi¬ assurer la bonne marche du service, l'ap¬
Filet de bœuf Périgord canal. On présumé que, poussé par une sation large et bien comprise où « toutes
Cardon â la moëlle
prouve unanimement. DONE
rafale de veut ou en proie â
une syncope, les classes sont oonfondues dans no même Le sieur Barou Plron, â la suite de l'ac¬
Dindonneaux rôtis
Salade
il sera tombé accidentellement â l'eau.
Le docteur
sentiment de confraternité d'armes ». La cident dont il fut victime le 24 juillet 1908, DemiMfl no Séparation de Biens A VENDRE
Muzy et les gendarmes d'An- Société de tir du 104*, conclut-il, est une intenta action
judiciaire â la com uue
une
Pièce montée drézleux ont procédé aux formalités d'usage. lui réclamant une pension et dommages-
Suivant t-xploils de M" Paugeraod, de suite
Dessert
digne fille de la oité roannaise, de cette huissier à Monlbrison elGomo, huis¬
Fol. — Uo vol a été commis ces jours cité dont la devise est de Intérêts. La procédure s'est terminée
toujours croître
Champagne
Café, Marc, Cognac
derniers chez M. Latbuilière, marbrier, de¬ et de toujours briller. un
par
jugement rendu par le tribunal civil de
sier à Feurs, en date du 9 décem¬ de cafe
meurant aux Barques. Une veste de travail Montbrisou, eu date du 9 jull'et 1909, bre 1909. enregistrés, dame Mane-
Le prix du banquet est fixé à 3 fr. 50. les
membres honoraires qui désireraient y assis¬
et une
l'atelier. Ces
montre ont été soustraites
objets sppartenaieut â
dans
Après quelques mots de M. l'adjoint
Pauly qui rappelle les marques effectives
de bienveillance données â la Société
déboutant Plron de
dernier eat
sa demande et comme
insolvable et qu'il ne peut
Henoll Quillarme. épouse de Jérôme li) restaurant
ter sont priés de vouloir bleu se faire lus- ouvrier que
un par
ce
Daléry, demeurant à Fsserlioes-en-
M. Latbuilière occupe â
crire soit chez M. Franchisseur, maître
d'hôtel, et soit chez un membre du bureau
travaux.
ses le conseil
son tour.
municipal. M. Fayard parle â jayer les frais qui s'élèvent a la somme de
286 francs 50, mais réduits â 240 francs par
Doozy, a formé contre soo mari sa
demande en séparation de bieDs.
ÏEYRARD
• Nous avons sigoalé plus haut la présence, M* Fraisse, avoué, demande que ces Irais
de la société. Chasellea-sur-Lyon. — Voleur pincé. — La
gendarmerie de Cbazelles a arrêté mardi
â la table d'honneur de ce zélé préaident soient payés par la commune. Pour extrait. Plia U l'Htm 11 VUi. latMm
de la vaillante Société mixte de tir de Salnt- M. Beaulieu propose de voter cette som¬
matin, â 11 heures, en gare de Vlrlcellea-
Just-sur-Loire. Mais ce n'est pas seulement
Signé : GUILLAUME
THE BARÎYT1 CINEI1 Chazelles, le nommé Albert-Henri I«san¬ â ce titre qu'il assistait au banquet roannais.
me, qui sera prise sur les 300 inscrits â
l'article 15 du budget additionnel 1909, soua A LOUER
ction, né le 29 avril 1887, â Auzits, canton la
A MONTBRISON M. Fayard n'était pas simplement un invité, rubrique « action judiciaire s. Approuvé
"demande
de Riguac (Aveyron), auteur d'un vol de 40
voisin de i arrondissement d'â-côté. â l'unanimité. Ou donne pouvoir au maire
Samedi it décembre à 8
Barnum donnera sa première
heures, The francs au préjudice de Mme Mazard, de
un
11 appartient
venu
Mais, alors, comment vous èles- timer plus que personne au monde,
sombre énergie que Marthe frissonna. vous Il amener Yvonne, la pré¬
préféra que la petite devinait la présence de me A bonnes fortunes et au'il avait
aperçu que Madeleine était ma¬ répondit-il d'une voix altérée.
M. Belor écrivit une longue ordon¬ lade T parer l'idée de cette rupture, et
A la jeune fille, elle gémissait moins eu les faveurs de plus d une jolie
Pour la première fois, il eut l'intui¬
nance et fit de nombreuses recom¬ puisque, malheureusement, il avait avec elle, préférant ses soins A femme.
Cette nuit en rentrant, Annette
—
pour vous aider et vous permettre de mise dans lit. ii l'a mit vivement dans un compar¬ fortement lui. Il aimait surtout A
sur
son la veille, en affirmant que rien ne personne que vous pour me soigner.
prendra du repos. timent' de son portefeuille : moins rencontrer son franc regard dans le¬ Ou encore :
Il passa lentement sa main sur son
serait changé A ce qui était. II est
Tant mieux l dit le médecin. J'ai¬
—
que jamais, il ne voulait s'en séparer. quel l'innocence de son Ame se réflé- —
Je
souhaiterais presque perdre
front moite. vrai qu'il ignorait, en faisant cette
me les choses ainsi. Je viens de voir tait ; mais te jeune fille ffdèfe À la
—
Je croiyais bien devenir fon, promesse, les douloureux événements l'équilibre en descendant l'escalier
mademoiselle à l'œuvre et je suis XVIII ligne de conduite qu'elle s'était tracée tout A l'heure, quitte a me rompre
murmura-t-il. qui allaient survenir ; néanmoins, A le premier jour de la maladie de Ma¬
persuade qu'A nous deux, bous ob¬ Je vous plains défaut d'autres sentiments, la Petite Mad fut encore bleu faible les os, pour avoir le bonheur d'être
sincèrement,
—
tiendrons un bon résultat. fit simple deleine — dès qu'elle avait compris
pendait quelque temps, et plus d'une
Marthe avec une grande douceur
les yeux remplie de larmes.
et politesse lui commandait des égards
envers sa fiancée. fois, les êtres dévoués qui la veillaient, que le contact avec Marcel allait être [mnsé
es par 1 d'aussi jolies mains que
vôtres
XVTII journalier — évitait de le regarder. Marthe souriait ou rougissait, ne
Il fut tout remué. D'un autre côté, il ne
pouvait ter¬ craignirent de voir leurs soins inutiles. Et sur le masque impénétrable dont
Lorsque le docteur se fut éloigné, Oh, oui I plaignez-moiJ... J'ai
—
giverser maintenant et leur sacrifier Au bout de quelques jours, une di¬ répondant pas, mais le jeune homme
Marthe demanda A Marcel zaine elle s'était couverte, Marcel essaya souffrait intérieurement de
comment souffert horriblement depuis quelques Madeleine. Pas un instant, il n'admit peut-être, M. Delor constata en vain de
ces escar¬
ce malheur était arrivé. l'idée que son union avec un léger mieux. C'était A peine sensi¬ lire ai elle répondait A mouches et il accusait
heures... C'est affreux tout ce que j'ai Yvonne de l'amour qu'il se sentait enfin avoir l'orpheline
Vous le savez comme
—
moi, ma¬ pensé... A l'aube, je vous ai demandée, Kervarec put encore se faire : les in¬ ble, mais ce fut un grand soulagement d'encourager le médecin par son silen¬
demoiselle, dit-il d'une voix navrée. cidents de la nuii l'avaient pour tous. pour elle. ce.
je ne pouvais plus rester seul. rendue Il s'irritait même un peu de son
Je n'ai pas revu ma sœur, hier, après Vous avez eu raison de me pré¬
—
impossible. Quant on craint un dénonement Un jour que ce dernier s'était mon¬
obstination A te fuir, et ne trouvant tré particulièrement aimable
notre départ. venir ; je vous en remercie. El tout au fond de fatal, un léger mieux parait beaucoup avec
Vous ne l'avez pas revue l lui-même, il
s'avoua être heureux de celte et ce mieux allant en augmentant, rien dans ses manières qui put mo¬
elle, Marcel
—
Elle soupira, puis continua plue bas: impos¬ tiver te réserve de l'inalitutiice, une
ne put s'empêcher d'In¬
U y avait dans l'exclamation de la Votre appel m'a fait dn bien...
— sibilité ; c'était avec
joie qu'il allait l'espoir revint au ceeur de chacun. tervenir :
jeune fille et dans le regard dont elle Je croyais avoir perdu votre confiance... recouvrer sa liberté. Marthe soigna l'enfant avec un dé¬ jalousie s'éveillait
en lui saus qu'il —
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priétaire et cafetière, demeurant à PRES, BOIS « PATURES DOUZIÈME LOT PARCELLES DE TERRE Coutellerie Armes
Veauche, veuve de Monsieur Jean 1
Bruel, décédée ;
Situés sur la commune Un soi dit " Les Rippes ", de la
Chambonale Correspondance Artifices
Je CROS Pêche
oontenanoe de seize are* vingt centi¬
f Monsieur Mathieu Jullien, pro¬ . DE ROZIER-COTES-D'AUREC ares ; conflué au nord par Claverou;
de la contenance de un hectare
POUR BOEN & AHBERT —43, r» îBfiiwrie. 43—
priétaire, demeurant A Veauche, dé¬ (LOIRE). au levant par Mejnard ; au cou- soixante-dix ares environ
cédé. SITUÉES A LAPRA MONTBRISON (Loire). Toute* les armes
Une expédition de cette vente a ' Dépendant de la succession \ chant par Rory et au midi par le AIGUS Mil sortant de la
de M. André VEYRON, en son 1 communal. Commune de Melagf, AVIS
été déposée le vingt-sept novembre vivant propriétaire â Rochégut, TREIZIÈME LOT et longeant le Canal. de toutes pièces Maison sont
mil neuf cent neuf, au greffe du BARRE Mathieu, de Saint- Machines a 4 uudre éprouvées finies
de Rozier • Côtes - Un lènement de terre et pré dit Ces immeubles ayant appartenu de coutellerie
Tribunal rivil de Montbrison afin de commune
d'Aurec. Cbaumelle ", de la contenance de " aux époux PALLE. Georges en Couzan prévient les " »» garantie ds
purge des hypothèques légales : et,
un extrait de cet acte contenant les treixe ares environ, confiné au nord
fournisseurs qu'il ne reconnaî¬ NEVA l'État
S'adresser pour
traiter à M tra aucune des dettes que Demandez
éDOuciatious voulues par la loi a été L'adjudication aura lieu en la par Brossier ; au levant par Bour¬ CHIALVG, notaire à Montbri¬ Ces machines sent recom-
pourra contracter Antoinette
de suite inséré et affiché au tableau maison d'école de Rochégut, gier ; au couchant par Badel et au son. CARTON, sa femme.
le TARIF de mandé s pour leur bonne
à ce destiné, conformément à la loi, de Rosier-Côtes- midi par Chanut.
commune
nos Machines fabrication.
itolior spàeia-
amsi que le tout est constaté par un d'Aurec, QUATORZIÈME LOT à Coudre Un nééanH-!>û t-néct .liste est
certificat délivré par M, le Greffier Un bois dit " Les Ranges de pour
A dteposilion des clients
ia
dndil Tribunal, le même jour. »»
la contenance de sept ares environ, M
NÉVA " pour |a vente ou réparations. TOCTtt KÉMfUTIOM
certificat du dépôt et d'affiche confiné au nord par Gagnaire ; au
a
Ce
été signifié par exploit de Garde, ;
A une heure du soir,
levant et au couchant par Ber ard ;
Imprimerie du Journal de Montbrison t
'
ministère de
Par le
huisaier à Satnt-Galmier, «lu quatre au midi par Gonon.
M* COMMARMOND, notaire. 4, RUE TUPINERIE, 4
décembre mil neuf cent neuf, à M.
QUINZIÈME LOT
le Procureur de la République près 1 MISES A PRIX: Un ténement de pré, terreet bois
le Tribunal civil de Mombrison.
Premier lot 600 fr. dit " Combe Fournier de ia
Avec déclaration que tontes autres
Deuxième lot 40 » contenance de quarante-cinq ares LA
personnes du ehef desquelles il pour¬
,
GâlTIS9
indépendament de l'inscription n'é- ! Quatrième lot 300 »
tant pas connu de la com uune ac- j Cinquième lot
DEUXIÈME LOT
neuf octobre mil neuf cent neuf,
enregistré ; à la requête de : 1°
Monsieur Victor Badel, propriétaire-
Industrielle.
BANQUE PftlVEï Commerciale. Coloniale
Jean Claude-Marie VERCHE- Un sol de boia appelé " Pinay cultivateur, demeurant à Rochégut, Ancienne Maison A VENDRE - -
SIEGE
au capital de 29 millU.ua
SOCIAL •
sieurEugène-Claudlus VER-
CHERAND, leur fils, employé
Peyret.
mune
3°
de Malvaletle
El autres consorts
(Haute-Loire) ; VERGOIN &TROUILLET 41, rue de l'Hôlef-de-Ville, LVOl.
TROISIÈME LOT Badel-Veyron. BANQUIERS Située Boulevard Gambetta, t
de commerce, demeurant aux Agissant tous en qualité d'héritiers
Un bois dit " La Griotaire ou et Rue de l'Hôpital, 21.
mêmes lieux et commune. bénéficiairesJe la succession de
Le foode de commerce de
marchand forain et A domicile,
Pracoio ", de la contenance de
vingt ares quatre-vingts centiares,
Monsieur André Veyron sus-nommé
leur oncle.
S, MUE TUPINERIE
MONTBRISON j AGENCE DE MONTBRISON
27, Boulevard Lachèzer
épicerie, meroerie, bonnete¬
en
confiné au nord par Gauchet ; au Le cahier des charges contenant Escompte et Recouvrements A LOUER
rie, confections, chapellerie,
galoches, vaisselle et articles
levant par Chanut ; au couchant par
veuve Veyron et au midi par Faure.
les clauses et conditions de la vente
a été dressé par M* Commartuond,
de tous effets de commerce sur
France et Etranger. Ouver¬ —
Quai Porcherie, numéro 6 j Escompte et Recouvrements de tous effets ae Commerce t
à Montbrison Étranger. — Choques et lettres de Crédit sur
divers les mariés Verfche-
que QUATRIÈME LOT notaire, à la date dn vingt-cinq ture de Comptes-courants et 1 sur France et
rand exploitaient à Montrond, Un tènement de terre et pré dit novembre mil neuf cent neuf et de Dépôts. — Envois de Fonds. tous Pays. — Envols de fonds — Ouverture de Comptes
commune de Meylieu-Montrond
route St-Etienne, compre¬
de
"
Le Récloras ", de la contenance
de dix-neuf ares quatre-vingts centi¬
déposé au rang de ses minutes sui¬
vant acte de dépdt du lendemain,
—
Avances sur Titres. — Or¬
dres de Bourse. — Négocia¬
VASTES courants et de Dépôts. — Avances snr Titres. — Achat
Vente de Monnaies étrangères — Ordres de Bourse au
nant l'enseigne, le nom com¬
mercial, la clientèle et l'acha¬
ares, confiné au nord par un che¬
min ; au levant par Gonon ; au
concbaDt par Bourgier et au midi
enregistré.
Bq cooséqaence le public est pré¬
tions de toutes valeurs. — Paye¬
ment de Coupons. REZ-OE-CHAUSSEE Comptant et à Terme sur tous les marches de France et de
l'Étranger. — Négociations de toutes valeurs locales. —
landage y attachés, les objets venu que les immeubles dont la Renseignements. Caves en sous-sols
mobiliers elle matériel servant Echanges et Renouvellements Paiement de Coupons. — Souscriptions à tontes émissions
par Badel. désignation précède seront adjugés
à son exploitation et les mar¬
CINQUIÈME LOT au plus offrant et dernier enchéris¬ de Titres. — Souscriptions ô APPABTBMEIf DB 4 PIÈCES —
à l'angle de la rue Tupmerie au couchant par Biaise Gonon et au boulevard de la Préfecture, ou A de la Madeleine, 5. Di l'Bcolt Dmlti-t b'r/mçaùt dt Paris, Inpiâmt de le faculté de MfA
midi par M* COMMARMOND, notaire à St-
BURALISTE
I
et de la rue Grenette. Liogier. S'adresser è M. GALLAND,
HUITIÈME LOT Bonnei-le-Cb&teau, réJac:eor et dé¬ A4, place CArenette, A4 Impnmetrlr dtr Jonrual de Mortt>rt*«n Tupinerie. i
place St-Pierre.
S'adresser rue des Jardins, 11. Une terre et pré dite " La Prat ", positaire du cahier des charges.
sœur.
J'ai mal 1^. J'ai mal, grande gnant les mains :
Pardon I Pardon, balbutiait-il.
—
après les jours, et Lucette
ressemblait a une ombre. De
beauté évanouie, il ne lui restait que
sa continuez à ne pas prendre de ref
vous tomberez malade tout cou
Et la voix plus ferme, toule dou¬
Par M. du Champfranc la chasse joyeuse et brillante, qui, du L'image pitoyable da ce petit être deux yeux effrayants de grandeur et Lucette.
agonisant se fixait dans les prunelles loureuse de l'angoisse de son cœur :
reste, venait d'interrompre sa che¬ d'éolat dans son visage émaclé, regard Mademoiselle Astine
de Charles Auberval, pour y demeurer Je souffre tant de cet affreux
—
se reare
vauchée, car la lugubre nouvelle se brusquement-
à jamais. Non, 11 ne pourrait oublier accident involontaire. Vous ne savez qui s'animait d'une étrange façon
Antoinette n'entendait rien, ne com¬ répandait. aux heures du délire. —
Non, non, je na quitterai
jour, Charles n'eût même
A la fin du tant de souffrance et de désolation. pas comme Je souffre. Pardonnez-moi:
prenait rien. Etait-ce là, la chère Lucette blanche ma douleur est immense.
Avec le lever du Jour, Charles arri¬ ma sœur. Voyez, sa fièvre est ,lnl
Comme un fou, Charles cherchait pas le courage de se mettre ft table. vait : et, seulement au coucher du se ; sa tête est brûlante. Eile ue n
partout du secours. Un piquëur, qui Qu'il fut terne et lugubre ce grand et rose, blonde et gale, si joyeuse la Les yeux fixes, élargis, Antoinette entend
veille encore dans ses radieux cinq le regardait, li y eut un silence ; puis soleil, quittait le chevet de l'enfant. pas ; elle ne nous reconi
venaitd'apparaître, fut en toute hôte dîner qui, d'après les radieux espoirs plus... Non, je n irai pas me repo
de M. Aubervul, devait être un ans t d'une voix sans timbre, elle répondit : Certes, bien des braves gens entou¬
dépêché a Fontainebleau. Antoinette repas, raient Antoinette qui, volontiers, eus¬ Je resterai là jusquà deri
Pas une parole ne venait ft Charles
—
fait mal. ne j
Elle-même la porta jusqu'au landau, fut pas encore conclue. lade, ne le voyait même pas.
Il se redressa et s'enfuit comme un potions, compter les gouttes dans le pouvoir J.r
Charles n'avait devant les yeux que L'aiguiiie continuait à marcher sur Elle écarta des grands yeux t
?ue venait
harles de requérir
; puis le malheureux
elle fit reposer la petite l'image de Luce si pâle, si blanche, le cadran. L'horloge sonna dix Coups.
En ces interminables minutes, ils
fbu. Antoinette le
se
vit disparaître ; il
dirigeait vers la gare. U allait ft
verre d'eau. Elle
qu'en elle-même ou bien
n'avait confiance
en Charles lants de délire, les noucles blon
tète pôle sur son épaule avec une inanimée, et cette pensée dans le Auberval, qui s'était révélé un infir¬ emmêlées. Luce semblait delà u
guettaient, tous deux, avec la même Paris chez un savant docteur, le plus
adresse infinie. cœur :
mier supérieur : Il avait vu tînt de un rêve d'infini.
angoisse, cette respiration d'enfant, habile de tous. Rapidement il monta
El Charles, comme anéanti, regar¬ Al-je mortellement blessé la
—
les étages. malades, de fiévreux durent ses loin¬ Et la grande sœur, vaincue
p
dait le landau s'éloigner ; il se sentait pauvre petite T qui redevenait haletante, presque ùn taines explorations; puis il voulait la première fois, et à bout douer
rôle, se demandant, avec terreur, si, Sauvez cette enfant, docteur : Je
—
chanceler. Wiihelmine, arrivée à son Le médecin, appelé en hôte, se re¬ d'un énergique et puissant vouloir reprenait sa plainte amère et déc
fusait ft se prononcer sur l'état de la tout d'un coup, elle n'allait pas s'ar¬ viens vous consulter, vous supplier,
tour, lui inspirait, en cet instant, une vous emmener. Ne refuses pas de me d'homme. Et, maintenant, c'était lai ragée.
sorte de soudaine répulsion : Par son blessée, et Charles passa toute la nuit rêter. Oh l
suivre ft l'instant même. Dieu i être
—
n'avait pas sauté les obstacles avec qu'un mot d'espoir vint le mesurer. pensée le rendait fou, Le„docteur, ému de cette douleur ÎJd être
a? Profonde, et Ja d(MJ|
l'involontaire
11 était écrasé sous le poids des re¬ Lee menottes tâtonnantes de profonde, répondit evee compassion. Mademoiselle Astine, très anémiée méttrtrier
témérité, U n'aurait pan été contraint la trembler Lui fiuèsi était t
sa voix.
Je vous suis, Monsieur. Et, Dieu par sa huitième nuit •ans'sommeil,
grets et de l'inquiétude.
—
Auberval pénétra Jusqu'il la chambre donnée svec joie I Mais les millions cesse, il lui semblait voir, étendue irrésistible, qui emportait tout son maladè. et au
reux ! Misérable 1 Seigneur... Seigneur
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