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De la Polynésie française
BUREAU DE LA COMMUNICATION
Jeudi 6 septembre 2018
A Nauru, les chefs d’état et les leaders du Pacifique affirment leurs préoccupations
communes face aux menaces qui pèsent sur la région du Pacifique. Trois grandes
menaces ont été débattues. Celles qui touchent au changement climatique, à la sécurité
maritime et aux maladies non transmissibles.
Concernant le climat, le retrait des USA de l’Accord de Paris sur le climat, les nécessaires
mutations pour une résilience de nos îles et de nos populations sont notamment des
sujets qui ont été partagés lors de ce Forum.
Et concernant les maladies non transmissibles telles que l’obésité, le diabète et les
maladies transmises par les moustiques, les pays du Pacifique sont mobilisés sur ces
luttes. Tous convergent vers des actions tendant à se nourrir plus sainement et vers des
actions de type sport-santé. Si l’on prend l’exemple de Nauru, le gouvernement a
complètement interdit la vente d’alcool et de cigarettes dans les commerces de l’île.
A l’approche des prochains Jeux du Pacifique qui auront lieu à Samoa en 2019, les pays
du Pacifique ont souhaité exprimer à nouveau leur volonté que cet évènement puisse
être un moment de rassemblement de l’ensemble du Pacifique. En tout cas, le Premier
Ministre de Samoa a affirmé que la Polynésie française participera aux Jeux de Samoa en
2019.
Enfin, nous saluons le statut de membre associé accordé à Wallis et Futuna lors de 49ème
Forum.
Etendue à la Polynésie française en 2005, une loi de janvier 1955 modifiée concernant
les annonces judiciaires et légales disposait que les annonces exigées par les lois et
décrets et par la réglementation polynésienne devaient être insérées, à peine de nullité,
dans un journal d'annonces légales ou à défaut au Journal officiel de la Polynésie
française (JOPF).
Après avoir été saisi, le Conseil Constitutionnel a confirmé, à travers une décision de
juillet 2016, la compétence de la Polynésie française et déclassé partiellement la loi de
1955, en précisant que : « relève d’une matière de la compétence de la Polynésie française,
lorsque l’obligation de publier une annonce concerne des actes intervenant dans le
domaine relevant de la compétence de la Polynésie française ».
Le Conseil des ministres a validé un arrêté d’application relatif { une loi du pays de mars
2018 portant modification d’une délibération de septembre 1959 modifiée,
réglementant le commerce des boissons.
La réglementation prévoit désormais la délivrance d’une licence dans le cadre des
excursions touristiques en milieu marin (licence 10 (ter)).
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A ce titre, les pièces suivantes seront requises pour l’instruction du dossier :
Un « acte de francisation et titre de navigation (carte de circulation) » ;
Un permis de navigation en cours de validité ;
Un projet professionnel.
Des précisions ont aussi été apportées sur les demandes de fabrication d’alcool pour
lesquelles il sera obligatoire de respecter les modalités administratives requises à
l’instruction du dossier : notamment indication géographique du site d’exploitation,
présentation détaillée du procédé de fabrication et des ingrédients utilisés, autorisation
d’exploiter une installation classée délivrée par la Direction de l’environnement si le
niveau de production envisagé le nécessite.
Lors de la commission de la viande de porc qui s’est tenue en juillet dernier, les
membres ont pris connaissance de la situation de la filière porcine sur présentation d’un
rapport technique établi par la Direction de l’agriculture.
Ainsi, sur le premier semestre 2018, 28 élevages ont fournis l’abattoir pour un effectif de
5 161 animaux sur Tahiti. D’autre part, le prix de la viande est en légère hausse et
s’établit autour de 600 Fcfp/kg (contre 597 Fcfp au deuxième semestre 2017).
Après une analyse de la filière et suivant les besoins exprimés par les deux sociétés de
charcuteries dans le cadre de leur activité de transformation, le Conseil des ministres a
approuvé l’ouverture d’un quota d’importation de 1 230 tonnes de viande de porc pour
ce second semestre 2018 : 650 tonnes pour la société Charcuterie du Pacifique et 580
tonnes pour la société Salaisons de Tahiti. Le Conseil des ministres a également validé
l’octroi d’un quota d’importation de 700 porcelets pour la société Charcuterie du
Pacifique et 700 porcelets pour la société Salaisons de Tahiti.
Dans le cadre de son plan de relance de l’économie, le Pays a instauré deux dispositifs
d’aide aux entreprises.
La première porte sur une aide { l’équipement des petites entreprises (AEPE) afin de les
accompagner dans leur projet de création ou de développement de leur activité.
La seconde instaure une aide pour la création et la revitalisation des petits commerces et
des restaurants (APCR) afin de les accompagner dans leur projet d’amélioration de
l’attractivité de leurs points de vente ou de restauration en Polynésie française.
Afin de soutenir les 10 sociétés sollicitant ces dispositifs, le Conseil des ministres a
autorisé l’attribution d’aides financières pour un montant total s’élevant { 24 178 000
Ffp.
L’élaboration du SAGE, inscrit depuis 2011 dans la loi organique, est une des priorités du
gouvernement. Il s’inscrit dans une vision stratégique d’aménagement et de
développement de nos territoires dans les 20 prochaines années.
Le comité de pilotage qui s’est tenu en décembre dernier avait examiné plusieurs
scénarios de développement, et avait souhaité que des travaux d’analyses soient menés
sur les politiques sectorielles et schémas directeurs approuvés, afin d’apporter des
détails techniques et des considérations pragmatiques, sur les choix d’aménagement et
les perspectives de développement du territoire. Ceux-ci venant en complément des
grands enjeux dégagés par le diagnostic territorial et lors des précédentes concertations,
ils ont permis d’élaborer un scénario de référence nuancé qui présente les compromis
nécessaires pour répondre à la fois aux actuelles problématiques territoriales, à
l’indispensable redynamisation de Tahiti, la consolidation des îles-du-vent dans leur rôle
de plaque tournante, et à la forte volonté de développement des archipels.
Ce scénario de référence sera présenté aux élus et acteurs des cinq archipels entre le 24
septembre et le 10 octobre prochains, selon le calendrier suivant :
aux Iles-Sous-Le-Vent, sur l’île de Raiatea { Uturoa les 24 et 25 septembre 2018,
aux Tuamotu-Gambier, sur l’île de Rangiroa { Avatoru les 27 et 28 septembre
2018,
aux Australes, sur l’île de Tubuai les 1er et 2 octobre 2018,
aux Marquises, sur l’île de NukuHiva { Taiohae les 5 et 6 octobre 2018,
et aux Iles-du-Vent, sur l’île de Tahiti { Papeete les 8, 9 et 10 octobre 2018,
Parallèlement à ces travaux sur le SAGE et pour consolider cette démarche avec les
communes, le Pays, par l’intermédiaire du ministère du Logement et de l’aménagement
du territoire, en charge des transports interinsulaires, met en place un partenariat de
services avec la Fédération Nationale des Agences d’Urbanisme (FNAU) et le Conseil
Cette structure partenariale de pilotage, dont les communes auront la possibilité d’être
membres tout comme le Pays, sera un levier d’efficacité indéniable pour le SAGE,
facilitera le suivi de sa mise en œuvre tout en permettant la réalisation des études et
analyses jugées pertinentes pour ce faire.
En accord avec les partenaires, une mission de faisabilité sera conduite en Polynésie du
1er au 12 octobre prochains, synchronisée avec les conférences d’archipels et le comité
de pilotage du SAGE. Cette investigation doit préciser les objectifs stratégiques et
opérationnels de l’agence d’urbanisme et d’aménagement des territoires de la Polynésie
française, ainsi que les contours juridiques et financiers. La mise en place effective de
cette agence concorde avec les délais de réalisation du SAGE, soit au début de l’année
2020.
L’accroissement exponentiel des activités s’exerçant sur le plan d’eau de l’île de Bora-
Bora (activités nautiques, aquatiques, subaquatiques, plaisance, loisirs, sports et pêche),
rend nécessaire de réglementer rigoureusement le mouillage des paquebots dans les
eaux intérieures de cette île et de le circonscrire { des zones dédiées, d’une part afin de
gérer en amont les potentiels conflits d’usage susceptibles de survenir, d’autre part afin
d’assurer l’intégrité d’installations indispensables, notamment les câbles sous-marins et
divers émissaires, qui pourraient être détériorés par les ancres des navires au mouillage.
Une consultation des pilotes maritimes de la station de pilotage « Te Ara Tai » ainsi
qu’une étude des zones retenues ont permis la détermination exacte des points adaptés
au mouillage des navires de croisière d’une longueur supérieure ou égale { 90 mètres,
dans l’optique de concilier les diverses utilisations du plan d’eau, notamment par les
acteurs économiques, les intérêts de la sécurité de la navigation et la protection de
l’environnement marin.
Elaboration d’une norme polynésienne pour la mise sur le marché des véhicules
nautiques { moteur, de leurs moteurs de propulsion et d’éléments ou pièces
d’équipement
Les véhicules nautiques { moteur sont des navires de longueur { 4 mètres, équipé d’un
moteur de propulsion qui entraîne une turbine constituant sa principale source de
propulsion et conçu pour être manœuvré par une ou plusieurs personnes assises,
debout ou agenouillées sur la coque. Cela regroupent les jets-skis et les planches à
moteur, ces dernières étant conçues pour être pilotées debout en équilibre dynamique
ou à califourchon. Jusqu’{ présent, l’importation de ces véhicules nautiques { moteur
(VNM) n’est pas encadrée, de sorte que des engins provenant d’Europe possédant un
certificat de conformité et de libre circulation CE, et des engins provenant de la région
Pacifique, essentiellement Etats Unis d’Amérique, ne comportant pas systématiquement
de marquage CE, sont disponible sur le marché local. Les concessionnaires maritimes,
principaux importateurs, arrivent à obtenir, même aux USA, des certificats de
conformité et de libre circulation CE, alors que les particuliers important pour eux-
mêmes ne cherchent pas systématiquement à obtenir ce certificat et les importent
généralement sans marquage CE. Ces derniers véhicules nautiques à moteur, importés
sans marquage CE, doivent alors subir une visite de sécurité, effectuée par les
inspecteurs-contrôleurs de la Direction Polynésienne des Affaires Maritimes (DPAM)
afin de vérifier la conformité de ces engins aux normes générales relatives à la sécurité
des navires. Cette procédure induit une perte de temps pour les importateurs qui
doivent attendre la fin de la visite de sécurité pour savoir si leur véhicule nautique peut
être immatriculé ou non. Parfois, des aménagements sont demandés aux importateurs
pour rendre leur engin conforme aux normes générales de sécurité des navires (par
exemple présence d’une grille au niveau de la turbine pour éviter les accidents) ; dans
les cas extrêmes, l’immatriculation du véhicule nautique { moteur pouvait être refusée
lorsque la visite de sécurité était négative.
L’objectif final est ainsi de rendre obligatoire pour l’importation et l’immatriculation des
véhicules nautiques { moteur une norme polynésienne, n’empêchant pas l’importation
d’engins provenant d’Europe, des Etats-Unis ou d’autres pays, et ne permettant la
navigation que de véhicules nautiques à moteur sûrs pour les usagers et
l’environnement (dégagements gazeux, bruit).
D’un point de vue statistique, les immatriculations ces 4 dernières années s’élèvent {
290 VNM dont plus de 84% sont accompagnés d’un certificat de conformité { la directive
européenne. Si la proportion de VNM ne présentant pas de certificat de conformité est
restée stable durant les 2015 à 2017, il convient de constater que depuis le début de
l’année 2018, tous les matériels présentés { l’immatriculation { la DPAM étaient
accompagnés d’un certificat de conformité.
Afin de réduire les risques de non immatriculation des VNM importés, l’arrêté adopté
par le Conseil des ministres décrit les exigences essentielles de sécurité exigées pour ces
navires, que l’on retrouve dans les normes européennes mais aussi dans celles de
nombreux autres pays : les VNM pourront alors être certifiés par les organismes de
certification conformément à notre norme polynésienne ou une norme supérieure (ex :
directive européenne).
Le comité technique de coordination des contrôle, créé par la loi du 1er août 1905 et
regroupant les services de contrôles agissant en terme de conformité et de sécurité des
produits, a émis un avis favorable sur ce projet lors de sa réunion du 19 juillet dernier.
Il a été convenu avec la direction des douanes qu’en cas de difficulté lors de
l’importation des produits concernés, la DPAM sera chargée d’apprécier la qualité et la
validité du certificat de conformité présenté.
Il est essentiel que tous nos enfants sachent nager, mais ce n’est pas parce que nous
sommes entourés d’eau et de lagons que ce savoir faire va de soi. C’est pourquoi,
l’acquisition du « savoir-nager » est un objectif des classes de CM1, CM2 et de sixième,
destiné à établir la capacité des élèves à nager en sécurité dans un établissement de
bains ou un espace surveillé. Cette compétence est essentielle pour permettre aux élèves
de participer aux activités aquatiques ou nautiques qui pourraient être organisées dans
le cadre des enseignements obligatoires ou d'activités optionnelles d’éducation physique
et sportive (EPS) et au-delà pour leur propre sécurité.
Ces travaux ont pris en considération la nécessité de garantir la sécurité des élèves
participants, la sécurité de la navigation dans les eaux intérieures, ainsi qu’une
utilisation raisonnée du domaine public maritime par la création de zones dédiées,
disposant de points d’ancrage fixes et matérialisées par une signalisation adaptée. A
l’intérieur de cette zone, il peut être installé le nombre de lignes d’eau requises. Sauf
indication particulière, le signalement de surface doit être retiré { l’issue des séances
d’enseignement. L’objectif est de favoriser la mise en place d’un cadre permettant { nos
enfants d’apprendre { nager dans les meilleures conditions, et subséquemment de voir
ce cadre finalisé en vue de sa mise en œuvre dès le début de l’année scolaire 2018-2019.
Cette année encore une augmentation du nombre d’exposants pour cette nouvelle
édition est observée, 240 inscrits à ce jour, par rapport à septembre 2017, démontrant
un engouement dynamique et de nouvelles enseignes parmi les professionnels. La
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tendance est également { l’augmentation des surfaces d’exposition pour les différents
stands. Ce salon permet une visibilité constante de l’industrie touristique qui souhaite
demeurer en contact avec sa clientèle habituelle et conquérir de nouveaux clients. Plus
de 16 000 visiteurs ont été comptabilisés lors du dernier salon de février.
Un espace ‘Pro’ est également proposé pour des rendez-vous personnalisés entre
professionnels. Une présentation de Tahiti Tourisme sera proposée aux exposants le
premier soir du salon, permettant ainsi le partage des informations concernant les
projets et actions menées, celles à venir, et échanger sur leurs attentes.
Le salon du tourisme est aussi l’occasion de réunir sur Tahiti un grand nombre des
pensions de famille venues des îles puisqu’une journée technique des pensions de
famille a été organisée, vendredi dernier, par l’Association du Tourisme Authentique de
la Polynésie française (ATAPF), et à laquelle la ministre Nicole Bouteau a participé.
Une subvention de 12,5 millions Fcfp a été accordée { l’association des « Amis de la
Maison James Norman Hall » pour financer son fonctionnement courant et développer
ses activités.
En outre, il est prévu une campagne publicitaire { l’international dans le but de faire de
la Maison JN HALL un lieu de renommée mondiale. Elle prendra la forme de distribution
de flyers à tous les professionnels du tourisme locaux voire internationaux ainsi que la
parution dans divers guides touristiques (Tahiti guide, Honuatere…). Elle s’appuiera
également sur le développement du site internet qui sera mis à jour et dynamisé sur les
réseaux sociaux.
Enfin, pour rendre le site plus attractif, de nombreux évènements seront organisés sur le
site, tels que des conférences et expositions d’œuvre locale. En ce sens, des travaux ont
été réalisés par le Service du tourisme en 2017, notamment l’extension de l’espace de
restauration, la mise aux normes des toilettes, la réalisation d’un local d’archivage, le
réaménagement du jardin. Ils vont ainsi permettre le doublement du nombre de
couverts, et une augmentation de la capacité d’accueil des visiteurs. Le site pourra
désormais accueillir plus de conférences, de séminaires, de symposiums et autres
réunions qui contribueront à augmenter sa capacité d’autofinancement.
Les participants attendus sont, outre les chefs de service et directeurs d’établissement
public, leurs collaborateurs de direction, adjoints, chefs de bureau ou d’autres unités,
chefs de projet et, les membres des cabinets ministériels.
« Amuiana’e » est le slogan retenu pour cette journée afin de souligner un esprit de
solidarité et de cohésion. Des activités physiques en équipe, découverte et initiations
sportives (marche nordique, aquagym, aviron…) ainsi que culturelles (tamure,
ukulele…) figureront au programme de cette journée. Sous la houlette de la direction de
la jeunesse et des sports, certaines activités seront encadrées par des étudiants en
formation au brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport
(BPJEPS), et d’autres par des agents de l’administration volontaires. Des prestataires
privés proposeront aussi gratuitement les activités découvertes. Sur le plan alimentaire,
une activité sensorielle liée au goût sera proposée aux agents. Un « bilan sportif » par le
réseau « Maita’i Sport Santé » complètera le dispositif. Il sera proposé aux agents
désireux de faire un point santé, permettant ainsi de les sensibiliser aux activités
physiques adaptées. Aussi, dans une volonté d’exemplarité, une démarche zéro déchet et
un repas contributif, partagé sur la thématique « local healthy », sont envisagés.
Le Heiva I Tahiti 2018 s’est déroulé du 30 mai au 21 juillet 2018 sur ses sites habituels.
Le Heiva des Ecoles ne cesse de prendre de l’ampleur depuis sa création, désormais les
écoles de percussions et de 'ukulele y participent. Cette 24ème édition a réuni 34 écoles
dont une de Bora Bora, deux de Moorea et une de Rangiroa. Toutes se sont produites au
Grand théâtre de Te FareTauhiti Nui – Maison de la culture (TFTN), du 30 mai au 10 juin
dernier, au cours de 10 soirées, comprenant chacune deux séances de spectacles.
L’établissement a choisi de déplacer définitivement l’organisation du Heiva des écoles
vers le Grand Théâtre en travaillant, par contre, à la mise en place de nouveaux tarifs
attractifs pour le public qui souhaite assister à plusieurs séances. Le soutien aux écoles
participant au Heiva des écoles, a été maintenu au même niveau que le dispositif existant
depuis une dizaine d’années, bien que le nombre d’écoles a, quant { lui, augmenté en 10
ans.
En 2017, TFTN a lancé sa billetterie en ligne en full web. Ce nouveau service qui totalise
plus de 20% des ventes, a permis de réduire de façon considérable l’affluence devant les
guichets, permettant donc une vente plus fluide.
Lors de cette édition 2018 du Heiva i Tahiti, la scène de To’ata a été le théâtre
d’expression de 2 986 artistes qu’ils soient chanteurs(ses), danseurs(ses),
musiciens(nes) ou ‘ōrerō. Quant au Heiva des écoles, il a réuni plus de 3 000 artistes en
herbe.
14 131 mètres de tissus ont été achetés, en plus des jupes de more, des coquillages,
nacres et autres fibres qui ornent les différents costumes, et dont la confection implique
des costumiers et couturières. On peut estimer que le Heiva i Tahiti 2018 a généré
autours de 40 000 000 Fcfp de dépenses générées uniquement par les groupes et écoles.
Montant en Fcfp
Association Faa'a Handball 484 000
Association Moturui 195 000
Comité des Sports et de Jeunesse de la Commune
459 000
de Ua Pou
Association Comité Jeunesse, Sport et Culture de
245 000
Rangiroa
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Association Rugby Club de Taravao. 449 000
l'Association sportive Jeunesse Toahotu 493 000
Association Punaauia Rugby Club 557 000
Association Hanavave 153 000
Comité Futsal de Tubuai 298 000
Association Tapu Rugby 391 000
Fédération Tahitienne de Hand-Ball 1 428 714
Ainsi, le montant total des subventions de fonctionnement accordées est de 5 152 714
Fcfp.
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