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MINI PROJET : DALOT

REALISER PAR :

ABDELMALEK BILEL

JALLOULI ZIED

ENCADRER PAR :

Mme.SOUHIR ELLOUZE

2015/2016
ENIS
GC3 PC GROUPE 2
SOMMAIRE :
I. INTRODUCTION
II. CHAPITRE 1 : BIBLIOGRAPHIE
a) DEFINTION
b) TYPE DES DALOTS
c) LES ETUDES APPLIQUEES SUR UN DALOT
d) FONCTIONNEMENT
e) REALISATION
f) ENTRETIEN
g) LES AVANTAGES
h) DOMAINE D’APPLICATION
i) NORME
III. CHAPITRE 2 : CONCEPTION
a) PRESENTATION DU PROJET
b) DIMENSIONNEMENT DU DALOT
c) CHARGE PERMANENTE ET CONTRAINTE DU REMBLAI
d) CALCUL DES SOLLICITATIONS
i) CHARGE AL
ii) CHARGE B
(1) CHARGE BC
(2) CHARGE Bt
(3) CHARGE Br
iii)CHARGE MC120
e) MODELISATION SUR ROBOT

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Introduction

 Le dalot, en génie civil, désigne un petit canal recouvert d'une dalle, un


élément de caniveau ou un ouvrage hydraulique semi-enterré, sorte de petit
aqueduc en maçonnerie placé sous les remblais des routes ou des voies
ferrées. Les travaux de terrassements routiers ou ferroviaires au xixe siècle,
bien avant l'essor autoroutier récent, ont généralisé ces équipements
permettant l'écoulement des eaux, conçus de façon parfois temporaire, au
long des voies.
 Le dalot est rectangulaire alors que la buse d'écoulement est circulaire. Les
dalots et buses sont des ponceaux.

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Chapitre 1 : bibliographie

I. Définition
Ils sont en béton armé et présentent une section rectangulaire ou carrée. Les dalots
sont des ouvrages sous chaussées qui ne nécessitent aucun remblai : une circulation
à même la dalle peut être envisagée moyennant des précautions lors de la
construction. Ils ne peuvent en général admettre qu'une faible épaisseur de remblai
(de l'ordre d'un ou de deux mètres), à moins d'être spécialement calculé pour les
surcharges. Ces remblais sont à proscrire si la chaussée doit être revêtue.
Les dalots sont mis en œuvre dans quasi tous les pays de la planète. Ils sont
disponibles dans différentes exécutions et dimensions pour les applications les plus
variées. Ils peuvent être réalisés par un procédé par voie sèche ou humide. Dans les
pays industrialisés, les dalots sont utilisés pour les canalisations, les passages
inférieurs de fleuves ou voies d’eau, les passages inférieurs de routes, les systèmes
généraux d’alimentation etc. Dans de nombreux pays dans lesquels on améliore
activement l’infrastructure, on fait de plus en plus appel aux éléments préfabriqués en
béton à la place du béton coulé sur place, cela en raison de la qualité des produits et
de la sécurité lors des travaux de construction.
Les dalots sont en général adoptés pour des débits élevés (dépassant 10 m3/s).

II. Type des dalots


Il existe 2 types de dalots couramment utilisés :

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1. Les dalots coulés sur place :
Ils sont constitués de piédroits verticaux fondés sur semelles ou radier général et sur
lesquels repose une dalle en béton armé,
Ils sont appelés aussi dalots ordinaires

Figure1 : ferraillage du radier du


dalot

Figure 2 : extension du dalot après le


durcissement du béton coulé

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Figure 3 : ferraillage du dalot

2. Dalots préfabriqué

Ce sont des dalots préfabriqués dans les usines avec des une exécution très précise
et contrôlé. On distingue 2 types de dalots préfabriqués :

 Les dalots cadres


Sa caractéristique est que la dalle, les piédroits et le radier constituent une structure
rigide en béton armé.

Figure 4 : pont à 3 dalots cadres

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Figure 5 : dalot cadre

Figure 6 : pose d’un dalot cadre

 Les dalots portiques


Ils sont analogues aux dalots cadres mais sans radier (piédroits verticaux fondés sur
semelles).

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Figure 7 : pose d’un dalot portique

III. LES ETUDES APPLIQUEES SUR UN DALOT :


• L’organigramme ci-dessous donne un aperçu de la démarche adoptée pour une bonne
étude d’un dalot.

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IV. FONCTIONNEMENT :
On distingue deux types de fonctionnement :
• la sortie noyée : le niveau de l’eau à l’exutoire dépasse le bord supérieur du dalot
ce qui conduise à un l’écoulement en charge.
• la sortie libre : le niveau de l’eau à l’exutoire est en dessous du bord supérieur du
dalot.

V. REALISATION :

* Le radier ou la semelle est en béton armé dosé à 350 kg/m3 posé sur un béton de
propreté de 5 cm d’épaisseur minimale dosé 150 kg/m3.
* Les piédroits sont en béton armé (dosage 350 kg/m3).
* La dalle ou les dallettes sont en béton armé (dosage 350 kg/m3).
* Les deux murs de tête peuvent être en en béton ou en maçonnerie de 40 cm
d’épaisseur ; par rapport au remblai fini, ils doivent être visibles sur une hauteur d’au
moins 40 cm.
* Les quatre murs en aile en amont et en aval sont sous forme de diffuseur en béton
ou en maçonnerie pour protéger la piste et diriger l’écoulement sous le dalot.
* La protection amont et aval sert à la protection contre l’érosion et/ou les
affouillements ; il peut être en perré sec ou en gabions (solution plus durable) et il
doit mesurer au minimum 2m.

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* Les balises de signalisation sont placées à l’entrée et à la sortie du dalot.
* Le remblayage du dalot et de ses accès se fait en matériaux adéquats compactés
par couches successives de 0,15m. Le remblai s’étale de 10 m de part et d’autre de
l’ouvrage en une pente douce pour permettre aux véhicules de s’y engager avec
aisance et sécurité.
* Les talus de ce remblai seront protégés par du perré maçonné si l’écoulement des
eaux risque de provoquer l’érosion.

VI. ENTRETIEN DU DALOT :


Le contrôle de l’ouvrage est organisé après chaque saison pluvieuse et après
chaque crue importante afin de détecter les anomalies ou dégradations éventuelles.
L’entretien consiste en la réparation des dégradations diverses qui peuvent se
produire sur le radier, ses protections (amont ou aval) et le remblai d’accès. Il faut
surtout enlever régulièrement tous les détritus (terres, branchages, …) qui se
déposent à l’entrée du dalot et qui peuvent peu à peu diminuer la section
d’écoulement et rendre l’ouvrage inefficace.

VII. LES AVANTAGES :


 Pose sur chantier très facile diminuant les délais et les coûts des travaux.
 Plusieurs utilisations : ouvrages hydrauliques, passages inférieurs, galeries
techniques, puits, regards
 Possibilité de réservations, acier en attente, angle, départ de regard, piquage,
Pose sous chaussée, sous voie ferrée, sous trottoir, …
 Recouvrement de 0 à plusieurs mètres (remblai).

VIII. LES DOMAINES D’APPLICATION :


 On distingue trois applications principales :
 Les ouvrages hydrauliques : Les éléments sont généralement appelés
canalisations rectangulaires pouvant être posées sous de faible hauteur de
remblai.
 Les galeries techniques : Elles permettent par exemple le passage de câbles
et de canalisations dans un environnement hostile.
 Les ouvrages d’art : Les éléments sont alors de grandes dimensions : ils sont
utilisés par exemple comme passage piétonnier ou comme passage pour
animaux.
IX. LES NORMES :
La plupart des dalots sont calculés selon les normes NF EN14844, B.A.E.L.91

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Chapitre 2 : conception

I. Présentation du projet :
Il s’agit d’un pont en dalot, traversant un oued, de longueur L=225m, avec une
hauteur du dalot H=2m et avec un nombre d’alvéole nv=3.

II. Dimensionnement du dalot :


Pour dimensionner notre ouvrage, il faut prendre la largeur du dalot d<=2*H
Pour cela on va prendre d=3.8m. D’où le tableau suivant :

donnée
H L d nbr alveole
2 225 3,8 3
On passe maintenant au calcul du nombre des dalots n avec n=E((L/(d*nalv))+1)
D’où n = E((225/(3.8*3)+1) = 20 dalots
Par la suite , on calcule le d corrigé selon la formule :
dcor= L/( nalv *n) = 225/(20*3) = 3.75m
Pour vérifier notre dimensionnement on recalcule L avec
L = dcor* nalv *n = 3.75*3*20 = 225m
Ensuite, on calcule l’épaisseur du dalot e avec e € [d/12 ; d/10]
=>> e € [0.313 ; 0.375] donc on va prendre e = 0.35m

 Caractéristiques de l’ouvrage
ltotal 15
NV 3
v 3,65
L tpc 4
Lc 12,3

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III. Calcul de la charge permanente et de la contrainte du
remblai:
1) Charge permanente :
Pour calculer la charge permanente sur le dalot, on prend en considération les
hypothèses suivantes :
Υ emin emax
roulement 24 0,08
BA 25
base+fondation 22,8 0,5
remblai 21,6 0,2 1,1

0.08
roulement
0.08 0.5
Base et fondation
0.5
Remblai 1.1
0.2

Dalot
Comme le niveau du remblai est variable, on va calculer le gper min et le gper max
Avec gper min = groulement + gbase+fondation + gremblai min
Et gper max = groulement + gbase+fondation + gremblai max
groulement = groul *1*eroul
gbase+fondation = g base+fondation *1*e base+fondation

gremblai min = g remblai*1*e remblai min


gremblai max = g remblai*1*e remblai max
d’où
charge permanente
remblais min remblais max
groul= 1,92 KN/ml 1,92 KN/ml
gb+f= 11,4 KN/ml 11,4 KN/ml
gremb= 4,32 KN/ml 23,76 KN/ml

gper= 17,64 KN/ml 37,08 KN/ml

2) Contrainte du remblai :

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Pour calculer la contrainte du remblai sur le dalot, on prend en considération les
hypothèses suivantes :

groulement + gbase+fondation
e remblai
σ1

dalot

σ2

Avec

σ1 = K0 * σ1v et σ2 = K0 * σ2v et K0 = 0.5


D’où
σ1 = K0 * (Υremb *(Hremb + e/2)) et σ2 = K0*(Υremb *(Hremb +H + 3e/2))
Exemple de calcul :
Pour Hremb = 0.2m
σ1 = K0 * (Υremb *(Hremb + e/2)) = 0.5*(21.6*(0.2+0.35/2)) = 4.05Mpa
σ2 = K0*(Υremb *(Hremb +H + 3e/2)) = 0.5*(21.6*(0.2+2+1.5*0.35)) = 29.43Mpa
D’ou
contrainte du remblai
remblais min remblais max
σ1= 4,05 Mpa 13,77 Mpa
σ2= 29,43 Mpa 39,15 Mpa

IV. Calcul des sollicitations :

1) Système de charge A :
Le système de charge A est une charge uniforme dont l’intensité qAL dépend de la
longueur chargée L et les facteurs a1 et a2 qui dépendent du nombre de voies
chargées et de la classe du pont.
Lch=15m  ouvrage du 1er classe

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Nv = 3 a1=0.9
𝐿𝑐ℎ − 𝐿𝑡𝑝𝑐 15 − 4
𝑉= = = 3.65𝑚
𝑁𝑣 3
3.5
Donc a2 = 3.65 = 0.96

qAL=a1×a2×AL

L1 X

x = 0.5*e *tg(45) + 2*tg(30) * (hremblai + hroulement + hbase+fondation )


Avec
L1 = d+e-2x
 AL = 0.23+36/( nalv*L1+12)

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Exemple de calcul
Pour hremblai min = 0.2 m et 2 alvéoles chargées (nalv = 2)
X = 0.5*0.35*tg(45)+ 2*tg(30)*(0.2+0.08+0.5) = 0.625 m
L1 = 3.75 + 0.35 – 2*0.625 =2.85 m
AL = 0.23 +36/(2*2.85 +12) = 2.264 t/m²  qAL = 0.9 * 0.96 * 2.264*1=3.908t/m
D’où on obtient le tableau récapitulatif suivant :
1 ouverture 2 ouvertures 3 ouvertures
min max min max min max
x 0,625 1,145 0,625 1,145 0,625 1,145
L1 2,849 1,810 5,699 3,620 8,548 5,430
AL 2,654 2,837 2,264 2,535 1,982 2,295
qAL 2,291 2,448 1,954 2,187 1,710 1,981

2) Système de charge B :
Dans le sens transversale, le nombre de fils de camions, Nf, ne doit pas dépasser le
nombre de voies, Nv, même si cela est géométriquement possible. Donc le nombre
de fils est égal à trois.
𝑒
𝑈1 = 𝑈0 + 2((hremblai + hroulement + hbase + fondation ) × tan 30 + tan 45)
2
𝑒
V1 = 𝑉0 + 2((hremblai + hroulement + hbase + fondation ) × tan 30 + tan 45)
2
𝑃
D’où 𝛾 = 𝑆 × 𝑏𝑐 × 𝛿𝐵𝐶
Avec
chargement v0 u0
Bc 0,25 0,25
Bt 0,6 0,25
Br 0,6 0,3

Et G = ( hroulement * γroulement + hremblai * γremblai + hbase+fondation * γbase+fondation ) * Lc * Lch

0,4 0,6 0,4 0,6


δBmax  1   =1    1,14
1  0,2  L 1  4  G 1  0,2 12.9 1  4  9042
S 1539

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A.N: pour hremblai max = 1.1 m
G = ( 24*0.08+22.8*0.5+21.6*1.1 ) * 15 * 12.3 = 6841.26 KN
SB = 0.95*3*540 = 1539 KN D’où
δBmax = 1.15 G(KN) δb
Min 3254,58 1,18
i. Charge Bc
max 6841,26 1,15
Exemple de calcul :
2FBC pour hremblai max = 1.1 m

0.35
𝑉1 = 0.25 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.54 𝑚
2
0.35
𝑈1 = 0.25 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.54 𝑚
2

U1> 2m  Donc, on a chevauchement

𝑈1 𝑈1
Donc 𝑈 = + 2 + 0.5 + 2 + = 7.04m
2 2

S=V1×U=17.882m²

𝑃 240
𝛾= × 𝑏𝑐 × 𝛿𝐵𝑚𝑎𝑥 = × 1.1 × 1.15 = 16.943𝐾𝑁/𝑚²
𝑆 17.882

D’où le tableau récapitulatif suivant :

V(m) U(m) chauvauchement P(KN) Γ=σ*bc*δbc(KN/m²)


1FBC/min 1,501 1,501 non 37,696
120
1FBC/max 2,540 4,540 oui 14,331
2FBC/min 1,501 5,002 non 41,467
240
2FBC/max 2,540 7,040 oui 16,943
3FBC/min 1,501 7,003 non 38,371
360
3FBC/max 2,540 9,540 oui 16,197

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ii. Charge Bt
Pour les ponts supportant deux voies ou plus, on ne peut placer que 2 tandems au
plus sur la chaussée, côte à côte ou non, de manière à obtenir l'effet le plus
défavorable, une distance minimale de 0,5 m est "exigée entre l'axe de la file de
roues la plus excentrée.

Exemple de calcul :
2 tandems Bt pour hremblai max = 1.1 m

0.35
𝑈1 = 0.6 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.89 𝑚
2
0.35
𝑉1 = 0.25 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.54 𝑚
2

U1> 2m  Donc, on a chevauchement

𝑈1 𝑈1
Donc 𝑈 = +2+1+2+ = 7.89 𝑚
2 2

S=V1×U=20.041m²

𝑃 320
𝛾= × 𝑏𝑐 × 𝛿𝐵𝑚𝑎𝑥 = × 1 × 1.15 = 18.325𝐾𝑁/𝑚²
𝑆 20.041

D’où le tableau récapitulatif suivant :

V(m) U(m) chauvauchement P(KN) Γ=σ*bt*δb(MPa)


1FBt/min 1,501 1,851 non 33,963
160
1FBt/max 2,540 4,890 oui 14,784
2FBt/min 1,501 6,552 oui 38,373
320
2FBt/max 2,540 7,890 oui 18,325

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iii. Charge Br :

Exemple de calcul :
pour hremblai max = 1.1 m
0.35
𝑈1 = 0.6 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.89 𝑚
2
0.35
𝑉1 = 0.3 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 2.59 𝑚
2

S=V1×U1=7.485m²

𝑃 100
𝛾= × 𝑏𝑐 × 𝛿𝐵𝑚𝑎𝑥 = × 1 × 1.15 = 15.332𝐾𝑁/𝑚²
𝑆 7.485

D’où le tableau récapitulatif suivant :

V(m) U(m) P(KN) Γ=σ*br*δb(MPa)


1FBr/min 1,551 1,851 41,085
100
1FBr/max 2,590 2,890 15,332

3) Charge Mc120 :

SMC120(KN) G(KN) δMc


3254,58 1,16
1100
6841,26 1,14

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Exemple de calcul :
pour hremblai max = 1.1 m
0.35
𝑈1 = 6.1 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 8.390 𝑚
2
0.35
𝑉1 = 1 + 2((1.1 + 0.08 + 0.5) × tan 30 + tan 45) = 3.29 𝑚
2

S=V1×U1=27.603m²

𝑃 550
𝛾= × 𝛿𝑀𝑐𝑚𝑎𝑥 = × 1.14 = 22.692𝐾𝑁/𝑚²
𝑆 27.603

D’où le tableau récapitulatif suivant :

V(m) U(m) P(KN) Γ=σ*bc*δbc(MPa)


1MC120/min 7,351 2,251 38,642
550
1MC120/max 8,390 3,290 22,692

V. Modélisation avec ROBOT :

En considere les hypotheses de calculs suivants :

Hypothèses:
Béton: fc28 = 25,0 (MPa) Acier: fe = 400,0 (MPa)
 Fissuration préjudiciable
 Prise en compte des armatures comprimées
 Pas de prise en compte des dispositions sismiques
 Calcul suivant BAEL 91

Section:

b= 100,0 (cm)

h = 35,0 (cm)

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1. On introduit les charges de AL comme étant des charges réparties uniformes et les
charges roulantes Bc comme étant des charges concentrées et Mc 120 comme étant des
charges surfaciques

2. Le calcul se fera à l’ELU et à l’ELS à partir des combinaisons.

γg * ( perm + poussé du remblai + perm remblai) + γq * AL

γg * ( perm + poussé du remblai + perm remblai) + γq * Bc

γg * ( perm + poussé du remblai + perm remblai) + γq * Mc120

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3. En générant les combinaisons automatiques, on obtient le diagramme de moment
enveloppe suivant pour le cas de remblai max :
ELU

ELS

4. Pour obtenir le ferraillage adéquat on choisit chaque élément

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5. On obtient le ferraillage de la poutre selon les moments enveloppes
Exemple la traverse intermédiaire

Voici le schéma de ferraillage de notre exemple

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