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„V Depuis de nombreuses années, ouverture de plus en plus de l͛économie de la plupart des pays au
commerce international, que ce soit dans le cadre du système commercial multilatéral, d͛une
coopération régionale accrue ou de programmes de reformes internes.
„V Àe commerce international fait partie intégrante du processus de mondialisation.

À   
 À͛exportateur ζ1 = Àa CHINE

« Àa 
 
désigne un processus par lequel les échanges en biens et services, capitaux, hommes et
cultures se développent à l͛échelle de la planète et créent des interactions de plus en plus fortes entre
différentes parties du monde. » Pasco-Berho et Àe Ster-Beaumeuveille, 2007

ÑV Phénomène complexe recouvrant une grande diversité de processus.

Àa crise peut se répercuter sur les autres pays. (ex. la Grèce)

„V Àe commerce international est devenu une variable importante dans le monde économique
contemporain
„V Il manifeste la complémentarité et l͛imbrication des producteurs et es consommateurs des différents
pays
„V Il affecte l͛autonomie des politiques économiques.

Quelques statistiques :

 
    
   
 
‰onde 15,778 12
USA 1,301 7
Chine 1,428 24
Inde 179 20
Europe 6,456 12
Allemagne 1,464 13
France 609 8
CEI (ex. URSS) 703 22
Afrique 561 18
Source O‰C 09

Àa Chine a le taux de croissance le plus élevé. Très faible croissance de l͛Amérique du Nord (les pays
industrialisés). C͛est plus l͛Allemagne qui a une influence sur le taux de croissance en Europe.
À͛Afrique a la parte la plus faible (561), mais avec un taux de croissance de 18%.

Àorsque le produit = (phase de maturité) ; on prolonge le cycle de vie et on tombe sur les pays émergents (BRIC).
À͛Europe a une parte négligeable. (À͛Europe, À͛Asie, À͛Amérique du Nord, )

Si on regarde les exportations (E) et les importations (I) À    



 (ex. Àes voitures Japon et
USA)

Àes marchés financiers internationaux avant la crise.

„V ‰ 
 
 (moyenne 2007) 3.475 (en ‰illiards de $)
„V ‰
 

 
   
Avoirs totaux des banques à l͛étranger 33.494
UV Dont Prêts 73%
UV Titres 27%
Détenus sur des :
UV Banques 21.472
UV Autres Agents 12.022
„V ‰

 
      
UV Tous pays 22.714
UV Pays développés 86%
UV Pays en dével. 4%
UV Centres Offshore 7%
„V X   !! 
  
UV Total 5.034
UV Pays industrialisés 28%
UV Asie 44%

9 
 
  
 
 
: À͛essor du commerce, des flux monétaires et des investissements
transfrontaliers lie aujourd͛hui les nations, plus étroitement qu͛elles ne l͛ont jamais été.
*(Faut regarder ce que les autres font)

ÑV ·

 
     " 
 !   
  : dans chaque pays, les
décideurs politiques les dirigeants du secteur privé doivent composer avec les inflexions et les
soubresauts qui affectent les économies lointaines. (crise de 80͛, de 1997 Asiatique)
ÑV À 
 " #
 

 
  ! !  
 $ #
„V Accroissement du protectionnisme dans les pays industriels,
„V ±olatilité excessive et déséquilibres des taux de change (perturbant la structure du commerce, la
spécialisation internationale et pouvant déstabiliser les conditions financières internationales)
„V Àe chômage structurel élevé et la lente croissance de l͛Europe
„V Àes fréquentes crises financières dans les économies en développement et en transition
„V Àes problèmes de restructuration des économies en transition
„V Enorme pauvreté et élargissement des inégalités internationales des PED (pays en voie de dével.)

a  
    
X  : risque politiques/juridique, économiques (/commercial), financiers, stabilité sociale (équilibre
social),

      
V Traditionnellement, le risque pays s͛attachait à l͛étude de l͛incapacité (ou de l͛absence de volonté) d͛un
pays à honorer ses engagements auprès des créanciers (banques internationales, Etats)
V C͛est ce risque qui s͛est matérialisé lors de la crise de la dette des pays latino-américains au début des
années 1980.

À   = « le risque de matérialisation d͛in sinistre, résultant du contexte économique et politique d͛un
Etat étranger, dans lequel une entreprise effectue une parie de ses activités » (‰arois, 1990)

Causes possibles du sinistre :

 %  
# ! (confiscation de biens détenus à l͛étranger), pour une entreprise multinationale
 X 
  
    
, pour une banque,
  #
  , pour une entreprise exportatrice
& 
'   

 (rapt d͛un expatrié)


Àes composantes traditionnelles du risque pays sont :

V Àe risque souverain :
Défini par l͛incapacité d͛in Etat (d͛une entité publique ou bénéficiant d͛une garantie publique) à honorer ses
engagements en devises.

V Àe risque de non-transfert :
Se matérialise lorsque la banque centrale ne peut procurer aux débiteurs en contrepartie de monnaie locale, les
devises nécessaires à assurer le service de la dette.

&    
  

V Risque politique :

Résultant soit d͛actes ou de mesures prises par les autorités publiques locales ou du pays d͛origine, soit
d͛événements internes (émeutes) ou externes (guerre).

ÑV %


          
ÑV Àibération financière et diversification des sources de financement (Bourse, obligations, prêts
bancaires à CT) dans les années 90
ÑV Prise en compte, de nouveaux risques corrélés :
V    (taux, change, etc.)
V        (risque de défaut en chaîne des contreparties privées : loyer,
entreprises, ménages,͙) Ex. crise de 1995, puis la crise asiatique de la mi-1997

9  
 

   : une obligation de payer les transactions en dollars (un phénomène de
remplacement la monnaie nationale par les $) (la monnaie de référence)
(Surévaluation du change, potentiel élevé de capitaux délocalisables, fort endettement en USD du secteur privé,
dollarisation monnaie scripturale, capitalisation boursière élevée et bulle spéculative, Insolvabilité de l͛Etat,
Insolvabilité du pays, Conjoncture : longue phase récessive, Surendettement et surcapacités de production,
excès de demande)
À# $  ! #
   : est essentiellement d͛apprécier la solvabilité des pays débiteurs, c'est-à-
dire, leur capacité à assurer le paiement des intérêts sur la dette contractée vis-à-vis des créanciers extérieurs
ainsi que son remboursement.
u        
ÑV À͛existence de crises (ex. de change ou financiers) simultanées (car des pays émergents, 1997) amène à
s͛interroger sur la présence d͛un phénomène de contagion
a
 
= éclatement d͛une crise dans un pays donné entrainant l͛accroissement de la probabilité
d͛éclatement d͛une crise dans un autre pays (cela indépendamment des fondamentaux propres à chacun des pays
(taux de change réel, importance de réserves officielles,..)

À   


3 !!  ‰ 
ʹ Choc aléatoire commun (baisse du prix du pétrole, hausse des taux d͛intérêt américain, ..)
affectant de façon similaire un ensemble de pays

 %


 (
 )
  ʹ Transmission de la crise à d͛autres en raison des liens
commerciaux et financiers qui existant entre les pays avant la crise

* !!  
 


+



  

„V 


 après la crise dans les pays O ; si les pays frappés le sont sans distinction, la
contagion est pure.
Ex. suite à une crise dans le pays O, les investisseurs retirent leurs fonds dans d͛autres pays dans un mouvement de panique non justifié
par des liens économiques (phénomène d͛aversion aux risques) ex.

„V 9

 si les pays frappés possèdent des similarités économiques avec le pays O
(il y des similarités, des liens économiques entre les pays de À͛UE) ex. Grèce

À   
    
 

„V Àe canal commercial
„V Àe canal financier
„V Àes similarités ou ressemblances économiques

‰   

„V Àes techniques dites « de rating »(ou cotation) du risque


„V À͛approche consistant à donner une note au pays examiné, de façon à pouvoir ensuite classer le pays
dans une liste qui va du plus risqué au moins risqué ou inversement. (COFACE) A1,A2,A3.. ʹ excellent.

À  
 a&a

Àa notation pays @ rating indique le niveau de risque moyen présenté par les entreprises d͛un pays

Elle mesure dans quelle mesure un engagement financier d͛une entreprise peut être influencé par les
perspectives économiques, financières et politiques du pays concerné.

Cette note s͛appuie sur la triple expertise développée par COFACE

UV Expertise macroéconomique en matière d͛appréciation des risques pays


UV Expertise sur l͛environnement des affaires
UV Expertise microéconomique à travers 50 ans d͛expérience en matière de paiement.


À  
 a&a  
  

Il peut y avoir de bonnes entreprises dans de mauvais pays, et de mauvaises entreprises dans de bons pays

À     : fonction tout à la fois des spécificités de l͛entreprise, et de celles du pays dans lequel elle
opère.

Àa notation , 
complète donc tout naturellement la notation
  , 
, en permettant de
mieux apprécier globalement le risque d͛une opération.

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