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CE2 – Activité 3

La résidence alternée
demeure une exception
• La garde partagée ~ la résidence alternée ~ la « coparentalité »
• La garde partagée ↔ la garde exclusive (de l’un des parents, le
plus souvent la mère) + le droit de visite de l’autre (en général le
père)

• (les tribunaux) engorgés = débordés (trop de dossiers, d’affaires


à traiter)

• En pure perte = c’est inutile, sans effet


1. Il s’agit d’un système où les enfants de parents
divorcés habitent tantôt chez leur père, tantôt chez
leur mère (par exemple, une semaine chez l’un, une
semaine chez l’autre).
« la résidence alternée, un système de garde qui permet aux
enfants d’un couple séparé de vivre en alternance chez l’un
et chez l’autre parent. » (l.6 à 9)

2. Il suffit qu’un des deux parents refuse la résidence


alternée pour que cette mesure ne soit pas
appliquée.
« La mesure est rarement appliquée dès lors que l’un des
deux parents s’y oppose. » (l. 13-14)
3. L’un des deux parents ne peut voir son enfant
que deux week-ends par mois et pendant la moitié
des vacances de l’enfant.
« droit de visite et d’hébergement, soit un week-end sur
deux et la moitié des vacances (l. 29-31)
4. SOS papa est une association qui défend les
droits des pères : actuellement, c’est souvent la mère
qui obtient la garde de l’enfant et celui-ci ne voit
pas beaucoup son père. Donc SOS Papa demande
que la résidence alternée soit appliquée dans tous
les cas (sauf si l’un des parents peut justifier son
opposition).
5. - L’éloignement géographique de l’un des
parents, nécessaire ou provoqué : il est alors
impossible pour l’enfant de passer une
semaine chez chaque parent,
- le « syndrome d’aliénation parentale .

6. C’est le « syndrome d’aliénation parentale »,


c’est-à-dire que l’un des parents critique,
dévalorise – volontairement ou non - l’autre
parent aux yeux de l’enfant (pour que celui-ci
s’en éloigne et le rejette de lui-même).

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