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46° 13′ 00″ nord, 5° 33′ 00″ est

Izernore
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Izernore

La mairie.

Blason

Administration

Pays
France

Région
Auvergne-Rhône-Alpes

Département
Ain

Arrondissement
Nantua

Canton
Pont-d'Ain

Intercommunalité
Haut Bugey

Maire
Michel Colletaz
Mandat
2014-2020

Code postal
01580

Code commune
01192

Démographie

Gentilé
Izernois

Population

municipale
2 247 hab. (2017 )
Densité 108 hab./km2

Géographie

Coordonnées
46° 13′ 00″ nord, 5° 33′ 00″ est

Altitude
Min. 380 m
Max. 762 m

Superficie
20,86 km2

Localisation

Géolocalisation sur la carte : France

Izernore

 Voir sur la carte administrative de Auvergne-


Rhône-Alpes
 Voir sur la carte topographique de l'Ain
 Voir sur la carte administrative de France
 Voir sur la carte topographique de France
Liens

Site web
izernore.fr [archive]

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Izernore est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-
Rhône-Alpes. Elle est chef-lieu de canton de l'Ain. Ses habitants sont les Izernois ou
les Izernoises1.
La ville est située à l'extrême nord du Haut-Bugey entre les monts Berthiand et la Plastics Vallée.
On y trouve une activité industrielle importante, avec des dizaines d'usines de plastiques
installées dans le sud de l'agglomération. La commune bénéficie d'une vie associative
florissante : plus d'une vingtaine d'associations2 bénévoles aident le village à se développer.
Depuis 1990, la population a plus que doublé passant de 967 habitants à 2 100 habitants. Les
ruines du temple gallo-romain et le musée d'archéologie sont les principales attractions
touristiques de la commune.

Sommaire

 1Géographie
o 1.1Situation
 1.1.1Localisation
 1.1.2Climat
 1.1.3Voies de communication et transports
 1.1.4Communes limitrophes
o 1.2Urbanisme
 1.2.1Morphologie urbaine
 1.2.2Logement
 2Héraldique
 3Toponymie
 4Histoire
o 4.1Antiquité
o 4.2Moyen Âge
o 4.3Époque contemporaine
 5Politique et administration
o 5.1Tendances politiques
o 5.2Administration municipale
o 5.3Liste des maires
o 5.4Instances judiciaires et administratives
o 5.5Jumelages
 6Population et société
o 6.1Démographie
 6.1.1Évolution démographique
 6.1.2Pyramide des âges
o 6.2Enseignement
 6.2.1Enseignement primaire
 6.2.2Collège et lycée
o 6.3Manifestations culturelles et festivités
o 6.4Santé
o 6.5Sports et loisirs
o 6.6Médias
o 6.7Personnalités liées à la commune
 7Économie
o 7.1Revenus de la population et fiscalité
o 7.2Emploi
o 7.3Entreprises de l'agglomération
o 7.4Commerce
 8Culture locale et patrimoine
o 8.1Lieux et monuments
 8.1.1Monuments civils
 8.1.2Monuments religieux
 8.1.3Patrimoine naturel
o 8.2Patrimoine culturel
o 8.3Personnalités liées à la commune
 9Notes et références
o 9.1Notes
o 9.2Références
 10Voir aussi
o 10.1Bibliographie
o 10.2Articles connexes
o 10.3Liens externes

Géographie[modifier | modifier le code]


Situation[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]

Izernore au cœur de la vallée

La commune d'Izernore est le chef-lieu du canton d'Izernore depuis 1827, elle contient
sept hameaux : Bussy, Cessiat, Charbillat, Intriat, Pérignat, Tignat, le Voërle mais également des
fermes isolés : Beauregard, la Grange du Mont, l'Allongeon, le Moulin d'Intriat-La Tournerie, les
Trablettes, Surfontaine, la Tour, la Tuilerie et la Ferme des Prés.
La commune, qui s'étend sur 2 085 hectares, a son altitude qui varie entre 380 et 762 mètres au
sommet du Molard aux Biches à l'est. La plaine a une altitude moyenne de 460 mètres et est le
lieu des principales habitations, des industries et des terres cultivées. Les pentes aux
reliefs karstiques sont recouvertes de forêt, d'espaces herbus et de masses rocheuses.
La commune est traversée par l'Oignin venant de Nurieux-Volognat par l'ouest, et par le ruisseau
de l'Anconnans à l'est. L'Oignin est stoppée par la barrage d'Intriat, qui alimente l'usine électrique
des Trablettes grâce à une conduite forcée. Elle descend ensuite vers la commune de Matafelon-
Granges.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat y est de type semi-continental, avec des hivers froids, des étés chauds, et des
précipitations tombant majoritairement en été.
La station d'observation pour Izernore est la station d'Arbent3, située à une altitude de 534 m.
Voici un aperçu, dans le tableau ci-dessous, pour l'année 2007 :

Mois Jan. Févr Mars Avr. Mai Juin Jui. Août Sep.

(°C) 3 6 9 13 18 22 24 24 21

(°C) -2 -1 1 3 7 11 12 11 9

1 2 5 9 13 17 19 18 15
mm) 74 74 74 61 71 84 66 79 79

Source: Météo France et Météo1234

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]


Le village se trouve à environ 6 km de l'entrée « La Croix Châlon » de l'autoroute A 404. Celle-ci
rejoint l'autoroute A 40 en 6 km.
Izernore est desservie par trois routes départementales5. La route départementale 18 est la voie
principale du village. Elle permet de rejoindre par le sud la route départementale 979 qui permet
de rejoindre Bourg-en-Bresse en passant par le col du Berthiand. Les deux autres voies sont la
route départementale 11 qui relie Cerdon à Matafelon-Granges en passant par le hameau Intriat,
et la route départementale 85 qui permet d'aller à Oyonnax par la côte de Ceyssiat.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

(Bourg-en-Bresse, Barrage de Vouglans par D18) (Oyonnax, Saint-Claude par D


Matafelon-Granges Samognat

Sonthonnax-la-Montagne O Izernore E

Nurieux-Volognat Béard-Géovreissiat, Montréal-la-


(Bourg-en-Bresse par D979) Sortie: La Croix Châlon (A40
(Cerdon, Ambérieu-en-Bugey par D11) (Nantua par D18)

Urbanisme[modifier | modifier le code]


Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
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Logement[modifier | modifier le code]


Le nombre total de logements dans la commune est de 6666. Parmi ces logements, 91,4 % sont
des résidences principales, 5,7 % sont des résidences secondaires et 2,9 % sont des logements
vacants. Ces logements sont pour une part de 77,8 % des maisons individuelles, 17,6 % sont
d'autre part des appartements et enfin seulement 4,6 % sont des logements d'un autre type. La
part d'habitants propriétaires de leur logement est de 56 %6. Ce qui est supérieur à la moyenne
nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, la part de locataires est de 39,7 %
sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de
39,8 %6. On peut noter également que 4,3 % des habitants de la commune sont des personnes
logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 4,9 %.
Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 2,6 % sont des studios, 10,2 % sont des
logements de deux pièces, 15,4 % en ont trois, 38,1 % des logements disposent de quatre
pièces, et 33,7 % des logements ont cinq pièces ou plus6.

Héraldique[modifier | modifier le code]


Article connexe : Armorial des communes de l'Ain.

La commune d’Izernore porte :


Écartelé d'argent et d'azur7.

Toponymie[modifier | modifier le code]


Le nom du village est attesté sous la forme Isarnodori au VIIIe siècle (glosé en latin par ferrae
ostii)8.
Du celtique (gaulois) isarnon (*isarno-), fer et duro-, porte (cf. breton dor « porte »), soit « porte
de fer »9. La terminaison -ore s'explique plus précisément par le -o final d’isarno-, suivi de -duru-,
d'où -o-duru-, puis amuïssement régulier du [d] intervocalique.

Histoire[modifier | modifier le code]


Antiquité[modifier | modifier le code]

Temple gallo-romain d'Izernore

L'histoire d'Izernore est marquée par l'époque gallo-romaine. Durant cette période, la commune
était l'un des principaux bourgs du Bugey. Le temple d'Izernore en est le témoin. Les érudits ont
longtemps discuté sur le dieu honoré par ce temple. La thèse d'une dédicace à Mars repose sur
des preuves ténues : un ex-voto trouvé dans la commune voisine de Matafelon-Granges dédié à
Mars10, une autre inscription venant du village de Mornay11, un toponyme local « champ de
mare » réinterprété en « champ de Mars ». La partie inférieure d'un autel dédié à Mercure12 a été
découverte dans le périmètre du temple, ce qui justifie une attribution possible à cette divinité13.
Des fouilles ont également permis de retrouver d'autres ruines. Trente-Trois monnaies gauloises
dont vingt potins et une monnaie d'argent séquanes trouvées sur le site ont été inventoriés en
196014, preuve qu'il était habité à l'époque gauloise.
Izernore fait partie des sites qui pourraient être le lieu du siège d'Alésia. Quelques auteurs,
comme Jacques Maissiat en 1865, Alexandre Bérard en 190615 ou Férréol Butavand en 1930 ont
essayé, en vain, d'en apporter la preuve.
Isarnodurum (l'ancien Izernore) se situe au croisement des voies romaines venant de Genève et
de Lyon, ce qui en fait une cité développée de l'époque. Des fouilles ont notamment permis de
mettre au jour l'emplacement de plusieurs villas gallo-romaines à Bussy et à Pérignat.
La commune a été la proie de plusieurs pillages au cours des siècles16. À la fin du IVe siècle,
les Alamans incendièrent la ville. Cette époque est également marquée par la naissance des
frères Saint Romain et Saint Lupicin dans le hameau de Cessiat. Ils sont les fondateurs de
l'abbaye de Condat (aujourd'hui Saint Claude). Un autre habitant d'Izernore, né en 450 devint
l'abbé de Condat, à sa canonisation, il devint saint Oyand.
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Inclus dans le royaume burgonde, puis franc, Isardonorum est le siège d'un atelier monétaire,
productif au VIIe siècle17. Des pièces retrouvées ont permis de justifier le fait que la bourgade était
encore développée à l'époque mérovingienne.
Au Xe siècle les Hongrois ravagent le bourg.
L'agriculture était la principale source d'activité de ce village au Moyen Âge. Il appartenait
aux seigneurs de Bussy qui étaient les vassaux des sires de Thoire, puis est passée entre les
mains des seigneurs de Matafelon au XVe siècle vassaux des ducs de Savoie.
Lors de la Révolution, le clocher de l'église fut abattu, on confisqua les cloches et détruisit le
château du Voërle. De cette époque, cinq statues de bois ont été retrouvées en 1988 lors de
travaux, dans le tombeau des prêtres situé sous le chœur de l'église. On suppose qu'elles
avaient été « mises à l'abri » pour éviter leur destruction.
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Le passage nazi
La région étant montagneuse et boisée, elle fut favorable à l'implantation des résistants et
des maquisards. C'est pour cela, qu'en 1944, les Allemands exercèrent des représailles. Le
château d'Intriat fut bombardé et partiellement détruit, mais ce fut une erreur, car l'objectif était la
destruction du château du Voërle situé de l'autre côté de la vallée. Peu après il fut tout de même
incendié, ainsi que plusieurs maisons du village.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Bâtiment historique de la mairie.

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

 Résultats électoraux en ligne sur le site du Ministère de


l'Intérieur [archive]
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

 élection présidentielle de 2007 : 70,80 % pour M. Nicolas


Sarkozy (UMP), 29,20 % pour Mme Ségolène Royal (PS),
86,25 % de participation.
 élection présidentielle de 2002 : 74,38 % pour M. Jacques
Chirac (UMP), 25,62 % pour M. Jean-Marie Le Pen (FN),
82,43 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

 élections législatives de 2007 : 61,55 % pour M. Charles de La


Verpillière (UMP) (Élu au premier tour), 53,02 % de participation.
 élections législatives de 2002 : 71,11 % pour M. Lucien
Guichon (UMP), 28,89 % pour Mme Éliane Drut-Gorju (PS),
49,13 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

 élections européennes de 2004 : 18,14 % pour M. Jean-Marie Le


Pen (FN), 17,90 % pour Mme Françoise Grossetête (UMP),
36,73 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

 élections régionales de 2004 : 40,62 % pour Mme Anne-Marie


Comparini (LDR), 32,50 % pour M. Jean-Jack Queyranne (LGA),
59,81 % de participation.
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

 élections cantonales de 2008 : 59,08 % pour M. Michel Colletaz


(UMP), 32,05 % pour M. Mario Borroni (DVG), 53,46 % de
participation.
 élections cantonales de 200118 : 51,19 % pour Mme Laurence
Jeanneret-Nguyen (DL), 48,81 % pour M. Michel Genoux (DVD),
60,42 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

 élections municipales de 2008 : M. Michel Colletaz est élu pour


un premier mandat de maire, résultats complets [archive] sur le site
du ministère de l'Intérieur, 58,46 % de participation.
 élections municipales de 2001 : M. Jacques Dheyriat est élu
pour un premier mandat de maire, - % de participation.
Élections référendaires :

 Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution


pour l'Europe : 43,07 % pour le "Oui", 56,93 % pour le "Non",
69,34 % de participation.
Administration municipale[modifier | modifier le code]
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Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs

Période Identité Étiquette Qualité


1919 1936 Charles
Bertrand

Les données manquantes sont à compléter.

mai 1945 décembre Jules Donier19 SFIO Industriel


1968 Conseiller général du canton d'Izernore (1945 →
(décès) 1968)

Les données manquantes sont à compléter.

juin 1995 mars 2001 Michel UDF-PR Gérant de société


Carminati puis DL Conseiller général du canton d'Izernore (1982 →
2001)

mars mars 2008 Jacques DVD


2001 Dheyriat

mars en cours Michel Colletaz SE20 Retraité


2008 Vice-président de Haut-Bugey Agglomération
Réélu en 2014

Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]


Après avoir occupé divers bâtiments privés, la gendarmerie d'Izernore s'est installée dans le
bâtiment actuel en 1967. Elle se situe le long de la route départementale 18 à proximité du centre
du village.
Jumelages[modifier | modifier le code]
La commune n'a pas développé d'association de jumelage.

Population et société[modifier | modifier le code]


Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la
population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des
communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une
collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au
cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête
de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations
légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou
extrapolation21. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du
nouveau dispositif a été réalisé en 200622.
En 2017, la commune comptait 2 247 habitantsNote 1, en diminution de 2,69 % par rapport à 2012
(Ain : +5,09 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851


941 978 1 016 1 057 1 005 985 1 011 1 103 1 103

on de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896

1 084 1 044 1 011 1 021 1 064 1 079 1 129 1 016 932

on de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954

879 757 660 633 601 563 593 553 557

on de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016

548 520 682 975 1 170 1 656 2 140 2 294 2 257

on de la population [ modifier ], suite (4)

2017 - - - - - - - -

2 247 - - - - - - - -
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 199923 puis Insee à partir de 200624.)
Histogramme de l'évolution démographique
Après 1970, qui correspond au tournant industriel d'Izernore, le besoin de main d'œuvre a permis
une forte augmentation démographique, avec une population qui a quadruplé en une quarantaine
d'années. La vie associative, les habitations se sont ainsi développées25.
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
Évolution de la pyramide des âges de la commune d'Izernore, comparaison entre
l'année 1999 et 198226 :

Pyramide des âges en 1999 en nbre d'individus. Pyramide des âges en 1982 e
Hommes Classe d’âge Hommes Femmes Classe d’â
28 75 à plus 43 17 75 à plus
77 60 à 74 67 49 60 à 74
223 40 à 59 187 91 40 à 59
256 20 à 39 282 169 20 à 39
268 0 à 19 221 159 0 à 19

Les pyramides graphiques de 1982 et 1999 permettent de remarquer qu'en moyenne, la


population des 20 à 39 ans est la plus représentée dans la commun. Ceci est notamment dû au
grand nombre d'emplois disponibles dans les entreprises de la commune. Une constante
s'observe sur les graphique des années, la population par tranche d'âge observe une diminution
au-delà de la catégorie 20 à 39 ans.
En 1999, on observait un déficit des femmes de moins de 19 ans, elles ne sont que 221
recensées alors que les femmes de 20 à 39 ans étaient 282.
Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire d'Izernore

Le groupe scolaire d'Izernore (les classes maternelles et la cantine)

Enseignement primaire[modifier | modifier le code]


Avant le milieu du XIXe siècle, les écoles des garçons et des filles étaient séparées. Les garçons
étant dans le presbytère et les filles derrière la mairie dans les dépendances de la maison
Peloux27.
Par la suite, une école est construite en 1956 et comporte 3 classes ainsi qu'un préau couvert. La
croissance démographique de la commune a permis de développer le groupe scolaire à une
dizaine de classes dont quatre sont des maternelles.
Collège et lycée[modifier | modifier le code]
Le collège le plus proche d'Izernore est le collège Théodore-Rosset de Montréal-la-Cluse. Le
département de l'Ain met à disposition un transport scolaire gratuit le matin et le soir qui passe
par plusieurs arrêts dans les différents hameaux de la commune.
Il en est de même pour le transport jusqu'au lycée. Les différents lycées possibles sont le
lycée Xavier-Bichat de Nantua, au Campus Arbez Carme de Bellignat ou Paul-
Painlevé d'Oyonnax.
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
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Santé[modifier | modifier le code]


Il existe une pharmacie à Izernore, ainsi qu'un médecin et un cabinet d'infirmières. Ils se situent
dans la Grande Rue.
Izernore se situe dans le secteur du centre hospitalier du Haut Bugey à Oyonnax. Ce bâtiment
ouvert en 2007 a permis le regroupement des hôpitaux d'Oyonnax et de Nantua qui dataient de
l'avant-guerre, mais également une mise aux normes de leurs infrastructures.
Sports et loisirs[modifier | modifier le code]
Izernore compte plus de 20 associations28 aussi bien dans les domaines culturels que sportifs ou
de loisirs. Il existe des clubs de football, de tennis, de basket, d'hippisme, de gymnastique, de
pétanque.
Voici la liste des autres associations culturelles ou de loisirs :
 Acti Jeunes  Histhoiria
 Amicale Pompier  SEP - Boute en Train
 Association Pédestre Monts et Vallée de l'Ain  Sou des écoles
 La Cantonade  Société de Tir des Monts Berthiand
 Club Photos  Office de Tourisme
 Comité des Fêtes  Les Grillons
 Côté BB  Les petits plus
 Creatiz  Société de chasse
 Fleurs d Automne  The Black Eagles

Le calendrier des manifestations29 est également très remplie, ce qui fait d'Izernore une commune
attractive et dynamique. On peut citer par exemple la fête artisanale chaque année en octobre ou
la fête patronale aux alentours de la mi-août.
En 2005, le championnat de France de caisse à savon s'est déroulé à Izernore30.
Médias[modifier | modifier le code]
Le journal le Progrès propose une édition locale aux communes du Haut-Bugey. Il parait du lundi
au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local,
national, et international.
Le journal La Voix de l’Ain est un hebdomadaire qui propose des informations locales pour les
différentes régions du département de l'Ain.
La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
(par ordre chronologique de naissance)

 Saint Romain [Romain de Condat31] (Izernore v. 390 - monastère


de la Balme, Saint-Romain-de-Roche auj. Pratz, Jura 460) :
moine et abbé ; cofondateur, avec son frère Lupicin, des
monastères de Condat (auj. Saint-Claude, Jura), Lauconne, et la
Balme. Il fonda également le monastère de Romainmôtier
(devenu, au XIe siècle, l'abbatiale de Romainmôtier,
à Romainmôtier, dans le canton de Vaud, en Suisse).
 Saint Lupicin [Lupicin de Lauconne31] (Izernore v. 415 -
monastère de Lauconne auj. Saint-Lupicin, Jura 480) : moine et
abbé ; cofondateur, avec son frère Romain, des monastères de
Condat, Lauconne et la Balme.
 Saint Oyand (Izernore v. 449 - monastère de Condat auj. Saint-
Claude, Jura 510) : abbé ; accrut le rayonnement du monastère
de Condat.
 Marcel Orfidan, né à Izernore en 1897, décédé à Oyonnax en
1979, fut champion de France du 110 m haies en 1920 et
sélectionné, la même année, pour les Jeux Olympiques
d'Anvers, pour l'épreuve du saut en longueur.

Économie[modifier | modifier le code]


Comme la plupart des communes de la région, l'agriculture était l'activité principale du village
jusqu'à la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, onze exploitations agricoles existent à Izernore32.
Le début du XXe siècle voit la commune changée de visage est devenir petit à petit une cité
industrielle. La première industrie de matières plastiques s'est implantée en 1920, elle
confectionnait des articles de celluloïd tel des hochets, des boutons ou des articles de coiffure.
Une seconde entreprise (Ets Jules Donier) s'installe en 1928, elle est la pionnière en France pour
la confection de balles de ping-pong. Le travail à domicile est très répandu durant cette période.
Après 1970, avec les décentralisations des entreprises oyonnaxiennes, la commune voit son
activité industrielle ainsi que sa démographie augmentée fortement. La plupart sont des usines
de travail de matières plastiques ainsi que les secteurs qui en dérivent, mécaniciens moulistes,
polisseurs.
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
Selon l'enquête de l'INSEE en 199933, les revenus moyens par ménage sont de l'ordre de
17 362 euros par an, alors que la moyenne nationale est de 15 027 euros par an. Par contre,
aucun foyer n'est soumis à l'impôt de solidarité sur la fortune.
Emploi[modifier | modifier le code]
En 1999, la population d'Izernore se répartissait à 52,3 % d'actifs, bien supérieur au 45,2 %
d'actifs de la moyenne nationale, 12,1 % de retraités, un chiffre inférieur au 18,2 % national. On
dénombrait également 26,6 % de jeunes scolarisés et 9 % d'autres personnes sans activité.
Les chiffres de l'emploi par secteur d'activité à Izernore démontre bien l'importance de l'industrie
pour la commune, car 45 % de la population active est de la catégorie ouvrière.
Le taux de chômage, en 1999, n'est que de 5,1 % alors que la moyenne nationale est de 12,9 %.
Répartition des emplois par domaine d'activité

Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions interméd


8,1 % 9% 17,1 %

6,4 % 12,1 % 22,1 %

Sources des données : INSEE33

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]


Les principales industries34 en 2004 sont les entreprises « Plastibell » et « Goiffon » avec,
respectivement, un chiffre d'affaires de 16 et 12 millions d'euros.
Sur les 109 entreprises recensées en 2004 à Izernore, le tiers, soit 36, sont des industries
des biens intermédiaires, notamment spécialisées dans les matières plastiques. Les services aux
entreprises sont également répandus puisque qu'il en existe 17 établissements. La part des
commerces et des entreprises de construction est également importante.
Commerce[modifier | modifier le code]
Izernore possède deux boulangeries, une boucherie, deux fleuristes, une épicerie, un hôtel-
restaurant et entre autres une station-service, ce qui offre aux habitants une grande quantité de
services.
Le bureau de poste actuel date de 1955, il a été construit à la place d'un ancien café par la mairie
d'Izernore car celui-ci était sinistré depuis la guerre. La perception y était installée
jusqu'en 197827.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]


Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Monuments civils[modifier | modifier le code]

Les ruines du temple gallo-romain.

 Le temple gallo-romain, classé au titre des monuments


historiques par la liste des monuments historiques de 184035.
 Vestiges du château de Bussy
Le château est bâti par les sires de Bussy qui sont connus
depuis la fin du (XIIe siècle).
 Monument commémoratif en souvenir du premier
atterrissage d'un Dakota en France occupée en juillet 1944.
Monuments religieux[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame-de-l'Assomption.

L'église d'Izernore datant de la fin du XVe siècle fait l’objet d’une


inscription au titre des monuments historiques depuis 192636.
Son cœur gothique flamboyant a été restauré en 1988. On peut
y observer un caveau avec des fresques, des cercueils et des
statues de bois polychrome37.

 Chapelle de Cessiat.
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
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Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]


Le musée archéologique d'Izernore38 se trouve au cœur du
village, dans un bâtiment communal qui abrite également l'Office
du Tourisme, à proximité de l'église. Il est labellisé « Musées de
France ».
Son inauguration a eu lieu en 1912, mais les Allemands l'ont
pillé en 1940 et s'y sont procurés un « butin de guerre ».
D'autres musées archéologiques ont également emprunté des
objets de la collection.
On y retrouve les divers objets découverts sur le site du temple
et répertoriés depuis 1910. Pour la période pré-romaine, les
visiteurs peuvent voir des armes, des outils, des bijoux, de la
vaisselle en os mais également des matériaux comme du métal
ou de l'argile. Pour la période gallo-romaine les objets en
exposition sont des outils métalliques à usage domestique, des
céramiques, des verreries, des panneaux de fresques, des
fragments de mosaïques, des bijoux ainsi qu'une collection de
pièces datant des époques séquanes à mérovingienne. Tout
ceci provient de fouilles ou de découvertes fortuites.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier
le code]

 Saint Barnard de Romans ou Barnard de


Vienne, évêque de Vienne et fondateur de l'abbaye Notre-
Dame d'Ambronay serait né à Izernore vers 780.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]

1. ↑ Population municipale légale en vigueur au 1 er janvier 2020,


millésimée 2017, définie dans les limites territoriales en vigueur
au 1er janvier 2019, date de référence statistique : 1er janvier 2017.
Références[modifier | modifier le code]

1. ↑ Izernore [archive], sur lion1906.com


2. ↑ Les associations [archive], sur izernore.fr
3. ↑ Prévisions météorologiques d'Izernore [archive], sur
meteofrance.com
4. ↑ Base de données météo
par Météo123 [archive] (À Oyonnax) et Météo France.
5. ↑ Vue satellite d'Izernore [archive], sur maps.google.ca
6. ↑ Revenir plus haut en :a b c et d Données INSEE compulsées par
Linternaute - Logement à Izernore [archive].
7. ↑ Armes d'Izernore [archive], sur labanquedublason2.com
8. ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique
des noms de lieu en France, Paris, Librairie
Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 364b.
9. ↑ Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Éditions
Errance, Paris, 2003, p. 156.
10. ↑ CIL 13, 02571 [archive]
11. ↑ CIL 13, 11215 [archive]
12. ↑ CIL 13, 02572 [archive]
13. ↑ Max Gschaid, « Inscriptions religieuses des cités des Séquanes
et des Ambarres : nouvelles interprétations », Dialogues d'histoire
ancienne, vol. 20, no 2, 1994. pp. 168-171, lire en ligne [archive]
14. ↑ P.-H. Mitard, Les monnaies gauloises d'Izernore, Annales de la
société d'émulation de l'Allier, LXVII, 1961-1963, pp. 157-
176, Note de lecture [archive]
15. ↑ Alexandre Bérard, « L'emplacement d'Alésia », Comptes rendus
des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-
Lettres, 50e année, N. 9, 1906. pp. 724-725 lire en ligne [archive]
16. ↑ C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de
la Bussière, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton
d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 54(ISBN 2-907656-29-5).
17. ↑ Jean Lafaurie, « Sur le trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) (pl.
VI) », Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France,
1959, lire en ligne [archive], p. 70
18. ↑ Les résultats de ces élections ne sont disponibles que pour
l'ensemble du canton d'Izernore.
19. ↑ La fiche de DONIER Jules, Jean, Frédéric sur le Maitron en
ligne [archive]
20. ↑ Répertorié Divers droite par le Ministère de l'Intérieur [archive]
21. ↑ L'organisation du recensement [archive], sur insee.fr.
22. ↑ Calendrier départemental des recensements [archive],
sur insee.fr.
23. ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui [archive] sur
le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
24. ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les
années 2006 [archive], 2007 [archive], 2008 [archive], 2009 [archive], 20
10 [archive], 2011 [archive], 2012 [archive], 2013 [archive], 2014 [archive]
, 2015 [archive], 2016 [archive] et 2017 [archive].
25. ↑ Développement d'Izernore [archive], sur izernore.fr
26. ↑ Recensement de l'INSEE en 1999 - Population totale par sexe
et âge [archive].
27. ↑ Revenir plus haut en :a et b C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M.
Gouilloux, P. Perruchot de la Bussière, Richesses Touristiques et
Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 67(ISBN 2-
907656-29-5).
28. ↑ Liste des associations d'Izernore [archive], sur izernore.fr
29. ↑ Calendrier des manifestations à Izernore [archive], sur izernore.fr
30. ↑ « Les championnats de France » [archive], sur le site du club de
Velleron.
31. ↑ Revenir plus haut en :a et b Saint Romain et Saint Lupicin [archive],sur
carmina-carmina.com
32. ↑ C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de
la Bussière, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton
d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 52 - 53 (ISBN 2-907656-29-5).
33. ↑ Revenir plus haut en :a et b Données démographiques d'après l'INSEE
compulsées parlinternaute [archive].
34. ↑ Recensées par linternaute.com [archive] "Industrie"
35. ↑ Notice no PA00116413 [archive], base Mérimée, ministère
français de la Culture.
36. ↑ Notice no PA00116412 [archive], base Mérimée, ministère
français de la Culture.
37. ↑ « Izernore »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le quid.fr
38. ↑ Le musée [archive], sur tourisme-izernore.com (Rubrique “À
découvrir à Izernore” : “Le Musée Archéologique”)

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Sur les autres projets Wikimedia :
 Izernore, sur Wikimedia Commons

Voir la catégorie : Izernore.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

 C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot


de la Bussière, Richesses Touristiques et Archéologiques du
Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 50 - 79 (ISBN 2-907656-29-5)
 Georges Vicherd dir., « Izernore, Saint-Vulbas et Vieu-en-
Valromey. Trois bourgades antiques dans l'Ain. Bilan
archéologique et historiographique », Cahiers René de
Lucinge, 31, 1996, 108 p., ill.
 Djamilla Fellague, Emmanuel Ferber, Daniel
Parent, Izernore, retour au temple ,
dans Archéologia, no 529, février 2015, p. 50–57.
Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Liste des communes de l'Ain


Liens externes[modifier | modifier le code]

 Site de la mairie d'Izernore [archive]


 Site de l'office de tourisme d'Izernore [archive]

v·m
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 Arbent
 Bellignat
Plus de 3 000
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