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I. Introduction :
Un port est une infrastructure construite par l'homme, située sur le littoral maritime, sur les berges
d'un lac ou sur un cours d'eau, et destinée à accueillir des bateaux et navires. D'autre part il existe
des ports à sec installés en sus ou non d'un port maritime ou fluvial comme stationnement portuaire
relié à une infrastructure à terre permettant un stockage de petites unités, comme des voiliers, ainsi
que des transferts vers des réseaux ferroviaires et routiers.
Un port peut remplir plusieurs fonctions, mais doit avant tout permettre d'abriter les navires, en
particulier pendant les opérations de chargement et de déchargement. Il facilite aussi les opérations
de ravitaillement et de réparations. Il est un lieu de séjour.
À l'opposé d'un mouillage ou d'un havre consistant généralement en une rade protégée
des vents dominants et des vagues par la terre, un port sera protégé par une ou
plusieurs digues ou môles. Il pourra être composé de plusieurs darses, de parties isolées par
des écluses de cales sèches ou flottantes. Il peut nécessiter des dragages afin d'entretenir une
profondeur suffisante. Le port lui-même est aménagé avec des jetées, des quais, des pontons et doit
être relié à d'autres moyens de transport (routier, ferroviaire, etc.).
Le but de ce projet est de faire une étude générale sur le port de Jorf Lasfar, étudier la réfraction,
déferlement et la diffraction, dimensionner les ouvrages de protection et les ouvrages d’accostage.
Données :
- En se basant sur la géographie du site, on ne constate que seule l’alternative d’un port conquis sur
la mer qui est valable.
- En se basant sur le type du trafic, le port Jorf Lasfar est ouvert au commerce international,
notamment, l’exportation du phosphate, ce qui conduit au fait d’éliminer le choix d’un port à digue
parallèle à la cote avec entrée ouverte ainsi que celui à jetées parallèles.
Nous avons par la suite deux alternatives possible pour notre tracé du plan directeur : ou port à
digues parallèles à la cote à entrée abritée.
En se basant sur des études de la houle et des courants traversiers, ainsi que sur les différentes
hypothèses données, la solution adaptée pour le tracé du plan directeur est celle présentée sur le
plan suivant:
Le chenal d’accès est le premier élément portuaire que le navire rencontre en se dirigeant vers le
port.
Pour ce projet on préconise un chenal à accès simple c'est-à-dire à sens unique.
La largeur d’un chenal d’accès est la largeur minimale où règne la profondeur nominale du fond. Elle
dépend du type de trafic accepté, sens unique ou à deux sens.
La largeur d’un chenal à sens unique se calcule de la manière suivante :
𝐵 = 2 ∗ (𝑒0 + 𝑒1 + 𝑒2 + 𝑚 )
Sachant que :
Soit:
LCD : la longueur de la contre digue.
L’ : la distance entre la digue principale et la côte.
On détermine L’ à partir du plan du projet à l’échelle.
Sur ce plan : L’= 9,4 cm 1/15000
On trouve : L’ = 1 410 m.
On obtient alors: LCD = L’ - B = 1410-315=1095 m
Dans notre cas, on considère que les manœuvres sont effectuées à l’aide d’un remorqueur donc :
1.5 ∗ 𝐿 < 𝐷 < 2 ∗ 𝐿 → 1.5 ∗ 260 < 𝐷 < 2 ∗ 260
Application numérique :
𝑑 = 0.15 ∗ 15 + 15 D’où d chenal = 17.25m
d évitage = P.P.B + t
La répartition des différents trafique sur les différents postes à quai est détaillée dans le tableau
suivant :
1 -15.6 m Phosphates
2 -12.5 m Phosphates
3 -12.5 m Engrais
1. Digue Principale :
a. La réfraction :
𝑔𝑇 2 2𝜋ℎ
La longueur d’onde : 𝐿= ∗ 𝑡ℎ
2𝜋 𝐿
Cette formule représente une expression implicite de L, qu’on peut résoudre par itération
𝑔𝑇12
successives (Méthode du point fixe) . Mais au large 𝐿𝑜 =
2𝜋
L 0= 224.83 m
𝐿𝑜
La célérité : 𝐶𝑜 = 𝑇1 = 18.74 m/s
Ho
La cambrure : 𝛾𝑜 = = 0.0356
Lo
𝑑
On calcule le rapport : = 0.08
𝐿𝑜
𝐿1 𝐻1 𝛾1
Et on détermine à partir des courbes de l’abaque les rapports : , ,
𝐿𝑜 𝐻𝑜 𝛾𝑜
𝛾1
𝛾𝑜
= 1.5
L1 = 146.14 m
{ H1 = 7.6 m
γ1 = 0.0534
d. Déferlement:
Lorsque la profondeur diminue, la seule caractéristique de la houle qui semble rester constante
est la période.
Afin d’étudier la variation des paramètres de la houle, on considère le cas simple d’un fond en
forme de plan incliné de faible pente. Et on suppose, de plus, que la plage n’induit pas de la houle
réfléchie, ce qui est vrai pour les pentes de moins de 10%.
Quand 𝛾 augmente et dépasse une cambrure limite 𝛾 limite la houle devient instable et déferle.
Miche a montré que :
e. Diffraction:
On calcule la diffraction par la méthode d’IRIBARREN. C’est une méthode basée sur des
considérations expérimentales : diffraction d’une houle sous réfraction arrivant sur une
digue ayant un musoir en bel.
La zone d’agitation est limitée par une spirale passant par les points C1,…….,Cn
̅̅̅̅ ̂𝒊
𝑨𝑩𝒊 = 𝑩𝑪
L’égalité des célérités longitudinales et transversales conduit à une zone d’alimentation
qui fournie de l’énergie, et limiter par une droite à 45° par Q, dite limite d’alimentation.
𝑥 𝜋
La hauteur de la houle suit une fonction sinusoïdale 𝐻𝑑 = 𝐻𝐼 ∗ cos( ∗ )
𝐴𝑛𝐶𝑛 2
avec 𝑥 = 𝐴̂
𝑖𝑀
Et pour le calcul des différentes hauteurs de la houle diffractée à l’intérieur du port sont données
dans le tableau suivant :
193,07 𝑥 𝜋
A1 C1 7.6 cos(193,07 2 )
313,07 𝑥 𝜋
A2 C2 7.6 cos(313,07 2 )
𝑥 𝜋
433,07 7.6 cos(433,07 2 )
A3 C3
𝑥 𝜋
553,07 7.6 cos(553,07 2 )
A4 C4
673,07 𝑥 𝜋
A5 C5 7.6 cos(673,07 2 )
𝑥 𝜋
A6 C6 793,07 7.6 cos(793,07 2 )
𝑥 𝜋
A7 C7 913,07 7.6 cos(913,07 2 )
𝑥 𝜋
A8 C8 1033,07 7.6 cos(1033,07 2 )
𝑥 𝜋
A9 C9 1153,07 7.6 cos( )
1153,07 2
𝑥 𝜋
A10C10 1273,07 7.6 cos(1273,07 2 )
A10C10
8
7
6
5
Hd(m)
4
3
2
1
0
-1 0 200 400 600 800 1000 1200 1400
L'Abssice X (m)
A10C10
Remarque :
On ne va pas calculer les abscisses qui correspondent aux courbes d’égale hauteur (pour vérifier
H<2m proche des quais) puisque la limite d’agitation est loin du plan d’eau.
2. Digue secondaire:
Pour faire les différents calculs de la diffraction pour la digue secondaire on le divise en
un certain nombre de tronçons et on adopte la même procédure pour le calcul de la
réfraction, le déferlement et la diffraction.
Cela va nous aider lorsqu’on arrive au dimensionnement des ouvrages d’accostage.
a. La réfraction:
La digue secondaire protège l’ouvrage contre la houle secondaire Sud – Ouest dont les
caractéristiques sont :
Ho2=5 m et T2=9 s
On considère une profondeur égale à celle du chenal d’accès : d = 17,25 m
g∗T^2
Longueur d’onde 𝐿𝑜2 = 2∗π
=126.466 m
Lo2
Célérité d’onde 𝐶𝑜2 = T2
=14.052 m/s
Ho2
La cambrure 𝛾𝑜 = =0.0395
Lo2
𝐿2
= 0.8
𝐿𝑜2
𝐻2
𝐻𝑜2
= 0.918 par l’abaque
𝛾2
= 1.18
𝛾𝑜
Donc on trouve :
L2 = 101.173 m
{ H2 = 4.6 m
γ2 = 0.04661
c. Le déferlement:
𝐻
On calcule la cambrure pour vérifier la condition : 𝛾2< 𝛾𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒
𝐿
Pour les profondeurs intermédiaires :
d. La diffraction :
Les différentes hauteurs de la houle diffractée à l’intérieur du port sont données dans le tableau
suivant :
Pour tracer les lignes d’égale hauteur, on fixe Hd (hauteur de la houle diffractée) et on
trouve le x correspondant dans la formule :
1000
900
800
700
600
500
400
300
200
100
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
V. Ouvrages de protection :
1. Généralités et formules de dimensionnement :
Pour la digue principale et la contre digue on va les choisir à talus en enrochement parce que les
ouvrages à talus en enrochements ont l’avantage d’être :
• Courants.
• économiques.
• ils offrent une sécurité importante car leur ruine est rarement immédiate et complète
On choisira les digues infranchissables c’est à dire qui ne sont jamais franchies par les lames.
Il est important de déterminer dans un premier temps le poids des blocs des carapaces des
différentes digues pour déterminer les poids des autres parties de la digue : les filtres et le noyau.
D’un soubassement
D’un noyau protégé par des sous-couches et par des carapaces en éléments capables de
résister à l’attaque de la houle coté extérieur, mais aussi coté intérieur, pouvant être
maintenues en partie basse par des butées de pied (risberme).
2. Carapace
De tous les éléments constitutifs d’une digue à talus, la carapace est certainement celui qui a fait
l’objet des études les plus approfondies.
La formule la plus utilisée, est celle de Hudson :
γr ∗ Hd=0 3
W= γ
K D ∗ (γ r − 1)3 ∗ cotg(α)
w
Avec
- KD : coefficient de stabilité sans dimension et qui est fonction d’une multitude de paramètres
Bloc naturel
2,5 2,8 2
2 2,3 3
Et 5,5 6,1 2
7,3 8,5 2
7 7,7 3
13,5 15 3
➢ L’épaisseur d’une carapace est en fonction de la forme des éléments qui la composent, du
nombre de lits et de l’arrangement que l’on souhaite obtenir.
W
E = n. K ∆ ( )1/3
γb
Avec :
E : épaisseur totale.
γb: densité de bloc (t/m3)
n : nombre de couches
KΔ : facteur de couche.
➢ Le nombre N d’éléments à mettre en œuvre pour couvrir 1m² de talus est alors :
p γb
N = n. K ∆ . (1 − ). ( )2/3
100 W
P : porosité.
Les valeurs du coefficient KΔ en fonction du nombre des couches n et de la porosité P.
Dolos 2 Pêle-mêle 1 63
3. Les filtres.
Les sous couches ou les filtres sont des couches intermédiaires d’enrochements placées entre les
blocs de la carapace et le noyau.
Les règles établies sur la base des règles de Terzaghi pour éviter le départ des matériaux d’une à
l’autre sont :
𝑑15 𝑓𝑖𝑙𝑡𝑟𝑒
≺5
𝑑85 𝑛𝑜𝑦𝑎𝑢
𝑑50 𝑓𝑖𝑙𝑡𝑟𝑒
≺ 25
𝑑50 𝑛𝑜𝑦𝑎𝑢
𝑑15 𝑓𝑖𝑙𝑡𝑟𝑒
5≺ ≺ 20
𝑑15 𝑛𝑜𝑦𝑎𝑢
𝑑85 𝑓𝑖𝑙𝑡𝑟𝑒
≺2
𝑑𝐼𝑛𝑡𝑒𝑟𝑠𝑡𝑖𝑐𝑒𝑠
𝑊 𝑊
Le poids du filtre de la digue WF vérifie la condition : ≤ 𝑊𝐹 ≤
15 10
4. Le noyau
𝑊 𝑊
Le poids du noyau de la digue WN vérifie la condition : 6000 ≤ 𝑊𝑁 ≤ 200
Une attention particulière doit être apportée à la réalisation du noyau car cela conditionne la
qualité de l’ouvrage.
Les enrochements du noyau en contacts avec la couche filtre doivent avoir un poids de l’ordre
𝑊 𝑊 𝑊
de : 300 𝑜𝑢 𝑏𝑖𝑒𝑛 200 . Dans notre cas on a pris 200
𝑊
Le corps du noyau est constitué de tout-venant de poids aussi faible que 4000
5. Couronnement :
Sans couronnement, l’ouvrage présenterait au sommet une faiblesse de nature à entrainer la ruine.
Le couronnement sert essentiellement à fermer l’ouvrage en partie haute et souvent à circuler sur la
digue.
Pour la digue principale et la contre digue on va les choisir à talus en enrochement parce que les
ouvrages à talus en enrochements ont l’avantage d’être :
• Courants
• Faciles à réaliser et à réparer (sauf conditions particulières évidemment)
• Économiques.
• Ils offrent une sécurité importante car leur ruine est rarement immédiate et complète
• La démolition de la carapace par les lames est progressive.
On choisira les digues infranchissables c’est à dire qui ne sont jamais franchies par les lames.
Il est important de déterminer dans un premier temps le poids des blocs des carapaces des
différentes digues pour déterminer les poids des autres parties de la digue : les filtres et le noyau.
Pour ce faire on va commencer par une généralité de dimensionnement de la digue, après on va
étaler ce dimensionnement sur les deux digues.
1. La digue principale :
Hypothèse des calculs : on va supposer que la profondeur de l’eau à côté de la digue principale
est constante pour négliger la variation de la hauteur de la houle.
Conclusion :
D’après ces résultats on envisage alors que dans le musoir et le côté Mer et le tronçon 1 dans le côté
Port , on va utiliser des blocs de Type Tétrapodes , et les enrochements dans les tronçons .
La crête
La hauteur de la crête est en fonction de l’ascension de la houle (Run-up𝑅𝑢 ).
Une approche moins grossière du Run-up 𝑅𝑢 est possible à partir des recherches évoquées
par le WES (waterway experimental station) :
Le rapport de 𝑅𝑢 à la hauteur de houle considérée est une fonction croissante du
paramètre d’IRIBARREN :
𝑡𝑔𝛼
𝐼𝑅 =
⁄ 𝐻
√ ⁄𝐿
2. La digue secondaire :
On prend comme longueur du musoir de la contre digue : L = 300m .Au niveau de la partie interne de
la contre digue on va prendre en compte seulement une houle résiduelle de hauteur H = 1,5m.La
profondeur d de l’eau dans la partie extérieur de la digue secondaire varie avec une pente de 1%. , on
va divisée la contre digue en 4 partie : le musoir de longueur 400m et 3 partie de longueur identique
265m. La variation des caractéristiques de la houle dans cette partie est représentée dans le tableau
suivant :
Carapace :
Coté Tronçon Type de bloc cotangα K(D) K(∆) n P H W N E Nr
Mer Musoir Tétrapodes 2 6,1 1,04 2 50 4,59 5,40 0,61 2,73 2
Tronçon Tétrapodes 2 8,3 1,04 2 50
4,79 4,52 0,68 2,57 2
1
Tronçon Tétrapodes 2 8,3 1,04 2 50
5,06 5,31 0,61 2,71 3
2
Tronçon Tétrapodes 2 8,3 1,04 2 50
5,53 6,94 0,51 2,96 3
3
Port Musoir Tétrapodes 1,5 6,6 1,04 2 50 1,50 0,23 4,93 0,95 1
Partie Enrochement 1,5 2,4 1,02 2 38
1,50 0,64 3,06 1,31 1
intérieure
Sous-couche : couche filtre :
Noyau :
Coté Tronçon W/4000 W/300 W/200 Wn W
corps
Mer Musoir 0,0013497 0,0180 0,0270 0,0270 0,0013
Tronçon 1 0,0011302 0,0151 0,0226 0,0226 0,0011
Tronçon 2 0,0013280 0,0177 0,0266 0,0266 0,0013
Tronçon 3 0,0017341 0,0231 0,0347 0,0347 0,0017
Port Musoir 0,0000580 0,0008 0,0012 0,0012 0,0001
Partie intérieure 0,0001596 0,0021 0,0032 0,0032 0,0002
Hauteur de Crête
Application numérique :
𝑅𝑢⁄
𝐼𝑅 = 1.98, 𝐻 = 0.94, 𝑅𝑢 = 5.03
D’où la hauteur de la crête : ℎ𝑐𝑟𝑒𝑡𝑒 = 𝑑 + 𝑅𝑢 ℎ𝑐𝑟𝑒𝑡𝑒 = 22.28 𝑚
3. Le couronnement :
Le couronnement sera une dalle en béton
Il s’agit de déterminer l’épaisseur de la dalle e de façon à ce qu’elle résiste à une sous
pression de 3 t/m2.
Le coefficient de sécurité sera 1,5.
Donc pour que le couronnement puisse résister à la sous pression il faudra que le poids de
couronnement soit égale à l’action de la sous pression.
Le poids du couronnement G par mètre linéaire est :
𝐺 = (7. 𝑒 + 𝑎. 𝑒). 𝛾𝑏
1⁄
𝑊 3
Avec 𝑎 = ( )
𝛾𝑏
L’action de la sous pression sur la dalle par mètre linéaire est égale à :
3 (𝑡/𝑚 2 ). (7 + 𝑒)
On obtient :
31,5
𝑒= 2
12,5 + 2, 43 . 𝑊 1/3
Les valeurs de l’épaisseur de la dalle dans la digue principale et secondaire avec un coefficient de
sécurité de 1,5 sont représentées dans le tableau suivant :
VI. Conclusion
Le milieu marin, comme toute entité du globe, a des limites qui le bornent : pollutions,
diminution de l’abondance des espèces marines, activités anthropiques.
En outre, les ports et les activités qui leur sont associées ont un impact potentiel
considérable sur l'environnement : les installations portuaires sont essentiellement situées sur des
zones proches du littoral, ce dernier est inclus dans le domaine public maritime naturel dont les
dépendances sont des espaces qui méritent d’être protégés en raison des richesses qu’ils comportent
et des multiples utilisations qu’ils offrent. En effet, un port maritime peut être une source de
pollution tellurique quand il rejette des déchets industriels ou de pollution pélagique d’origine
maritime causée par les navires fréquentant le port. Le développement des activités portuaires
entraîne la réalisation d’aménagements importants susceptibles de porter atteinte à l’environnement
et par conséquent deviennent à leur tour une source de pollution, comme les activités de transport
dues aux engins transporteurs ou aux matières transportées comme les hydrocarbures ou bien
encore les activités de travaux publics sur le littoral comme les dragages et immersion des boues de
dragage.
Ainsi, pour gérer l’environnement parallèlement aux activités diverses des ports et du transport
par eau, une approche structurée de gestion de l’environnement dans une optique de
développement durable apparaît indispensable.