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c. Radiothérapie
90. Anomalies de structure
a. Nombre des chromosomes étant respecté mais 1 ou 2 chromosomes ayant une
forme modifiée ainsi que leur garniture génique
b. Nombre des chromosomes étant respecté mais 1 ou 2 chromosomes ayant une
forme modifiée ainsi que leur garniture génique
c. Équilibrée
i. Ensemble du génome de l’individu étant intact
ii. Exemple : décpl
91. Anomalies de nombre
a. Mal-ségrégation méiotique
i. Mécanisme le plus fréquent
ii. Anomalie de la séparation des chromosomes homologues au cours de la
méiose
iii. Pouvant avoir lieu à la méiose I ou II avec un chromosome en excès ou en
défaut
iv. Pouvant toucher n’importe quel chromosome
v. Gamète obtenu
1. Étant anormal
2. Si fécondé → individu qui en sera issu portera l’anomalie dans toutes
ces cellules → caryotype homogène
vi. Chromosomes
b. Mal-ségrégation mitotique
i. Non séparation des chromosomes homologues portant sur les cellules
somatiques en division, c'est-à-dire au stade post-zygotique
ii. Seul le tissu issu du clone cellulaire où a lieu la mal ségrégation présentera
l’anomalie chromosomique
iii.
c. Excès d’un génome
92. Entérocolite compliquant la maladie de Hirschsprung
a. Abdomen distendu, très douloureux, luisant
b. Vomissements de plus en plus fréquents, verts
c. Diarrhées liquides, verdâtres, nauséabondes, parfois sanglantes
93. Signes de l’invagination intestinale aiguë
a. Boudin d’invagination
i. Sous forme d’une zone opaque allongée
ii. Située sur le trajet du côlon droit ou transverse
iii. Dont l’extrémité distale étant parfois soulignée par une clarté gazeuse
b. Diminution des gaz intestinaux
c. Un ou plusieurs niveaux liquides dans le grêle
94. Conséquences du RVU
a. Hyperpression rétrograde → dilatation importante des voies excrétrices supérieures
b. Diminution du débit urinaire et par conséquent le débit vasculaire
c. Infection urinaire par le biais du résidu post-mictionnel
d. Reflux d’urines infectées → pyélonéphrite aiguë + cicatrices rénales
e. Néphropathie de reflux
i. Conséquence la plus grave du RVU
95. Épidémiologie et génétique
a. Risque d’avoir un RVU
i. 45% s’il y en dans la fratrie
ii. 70% chez l’un des parents
b. Prédominance masculine chez le nouveau-né
c. Égalisation progressive entre les deux sexes chez le nouveau-né
d. Prédominance féminine à partir de l’âge de 2 ans
e. Intervention d’un facteur génétique gène RET Gly 691 → existence de cas familiaux
de reflux et différence d’incidences entre les ethnies
96. Circonstances de découverte
a. Échographie anténatale
i. N’étant pas l’examen de référence pour le RVU
ii. Rechercher surtout une uropathie malformative associée
iii. RVU de diagnostic anténatal
1. Prédominance masculine (80%)
2. Haut grade (60%)
3. Importance des lésions rénales
iv. Découverte d’une dilatation pyélique et/ou calicielle et/ou urétérale →
contrôle postnatal précoce → éviter l’apparition d’une pyélonéphrite aiguë
paru un traitement préventif
b. Infection urinaire
97. reconnaître une cryptorchidie, une ectopie testiculaire, un testicule oscillant
a. cryptorchidie
i. testicule situé de façon permanente en dehors du scrotum
ii. sur le trajet normal de la migration testiculaire
b. ectopie testiculaire
i. migration testiculaire en dehors du trajet normal
1. fémoral
2. périnéal
3. pré-aponévrotique
c. testicule oscillant
i. testicule situé en dehors du scrotum
ii. mais facilement abaissable dans la bourse
iii. y restant après cette manœuvre
98. décrire les mécanismes intervenants dans la migration testiculaire
a. rôle du gubernaculum testis
i. apparaissant important
ii. prédéfinissant le cheminant du testicule et sa longueur initiale invariable lors
de la croissance de l’embryon
iii. attirant passivement le testicule vers la zone d’insertion
b. facteurs hormonaux
i. d’origine maternelle ou fœtale
ii. androgènes
iii. insulin-like 3
iv. hormone antimüllérienne
v. oesotrogènes
99. préciser les conséquences des anomalies de migration testiculaire
a. conséquences les plus importantes
i. risque de dégénérescence
ii. infertilité
b. infertilité
i. anomalie de la migration testiculaire étant la plus fréquente cause
d’azoospermie sécrétoire
ii. examens histologiques : anomalies portant sur
1. spermatogonie
2. tubes séminifères
3. cellules de Leydig
iii. lésions étant susceptibles d’apparaître en fonction de la durée de la
malformation et de la position du testicule
1. 4 critères radiologiques de la désinvagination
a. Il faut avoir vu des images certaines d’invagination
b. Il faut avoir en scopie le déroulement de la désinvagination
c. Il faut avoir un remplissage du caecum et une normalité de son contour
d. Il faut qu’il y ait un passage massif du produit de contraste dans les dernières anses
grêles
2. Critères radiologiques de la désinvagination
a. Il faut avoir des images certaines d’invagination
b. Il faut avoir suivi en scopie le déroulement de la désinvagination
c. Il faut avoir un remplissage parfait du caecum et une normalité de son contour
d. Il
3. Atrésie de l’œsophage : Diagnostic anténatal
a. Hydramnios responsable de naissance prématurée
b. Absence de visualisation de l’œsophage
c. Image de petit estomac
d. Présence d’une polymalformation
4. Mécanismes de la détresse respiratoire
a. Accumulation de la salive au niveau du cul-de-sac supérieur et fausses routes
b. Reflux du liquide gastrique au niveau de la trachée à travers la fistule
c. Vol ventilatoire et passage important de l’air à travers la fistule vers l’estomac →
compression diaphragmatique
5. Traitement chirurgical d’une atrésie de l’œsophage
a. Thoracotomie droite
b. Fermeture de la ou les fistules
c. Rétablissement de la continuité oesopaghiene par suture des 2 culs-de-sac
œsophagien
6. Facteurs pronostiques
a. Poids
b. Prématurité
c. État pulmonaire (lésions)
d. Malformations associées
e. RGO persistant
7. Classification
a. Type I : segment supérieur er inférieur borgnes en cul-de-sac
b. Type II : segment supérieur comminquant avec la trachée par une fistule et segment
inférieur borgne en cul-de-sac
c. Type III : segment supérieur borgne en cul-de-sac et segment inférieur
communiquant avec la trachée
d. Type IV : segment supérieur et inférieur communiquant avec la trachée par une
fistule
8. Stabilisation préopératoire d’une hernie diaphragmatique
a. Oxygénothérapie (jamais au masque)
b. Mise en place d’une sonde naso-gastrique pour diminuer la distension digestive
c. Lutte contre l’acidose
d. Lutte contre l’hypothermie
9. Définition
a. Laparoschsis
i. Défect para-ombilical de la paroi abdominale antérieure
ii. Avec éviscération de l’anse intestinale primitive
b. Omphalocèle
i. Défaut de fermeture de l’anneau ombilical
ii. Avec extériorisation des viscères abdominaux recouverts par la membrane
amniotique translucide et avasculaire
10. Bilan d’extension : neuroblastome
a. TDM et/ou IRM abdominale
b. Scintigraphie à la MIBG
c. Médullogramme
d. Échographie abdominale
e. Radio thoracique
f. TDM ou IRM de la région périorbitaire
11. Syndrome de l’X fragile
a. Retard mental
b. Troubles du comportement
c. Agitation
d. Dysmorphie faciale
i. Traits grossiers
ii. Lèvres épaissies
iii. Oreilles grandes et décollées
e. Macro-orchidie
12. Syndrome de l’X fragile
a. Retard mental
b. Troubles du comportement
c. Agitation
d. Dysmorphie faciale
i. Traits grossiers
ii. Lèvres épaissies
iii. Oreilles grandes et décollées
e. Macro-orchidie
13. Syndrome de Turner chez le NN
a. Lymohoedème de la face dorsale des mains et des pieds
b. Petite taille, petit poids
c. Excès de peau sur la nuque
14. Conditions de réalisation de taxis
a. Sédation médicamenteuse apparentée à une prémédication
b. Position proclive
c. Cales sous les pieds du lit
d. Chambre sombre propice au sommeil
e. Vessie de glace sur la région inguino-scrotale
15. Lésions histologiques au cours de la maladie de Hirschsprung
a. Absence de cellules ganglionnaires dans les plexus intramuraux
b. Hyperplasie des fibres nerveuses non myélinisées dans les mêmes zones
c. Mise en évidence d’une augmentation de l’activité anticholinestérasique au niveau
de la muqueuse et de la sous-muqueuse du rectum aganglionnaire
16. Reflux urétéro-vésical
a. Grade I : reflux dans l’uretère pelvien
b. Grade II : reflux urétéro-pyélo-caliciel, sans dilatation
c. Grade III : reflux urétéro-pyélo-caliciel avec dilatation minime de l’uretère
d. Grade IV : dilatation urétéro-pyélo-calcielle moyenne, mais les papilles restent
marquées
e. Grade V : dilatation importante, uretère tortueux, calices en boule
17. Échographie : HSP
a. Coupe transversale : olive pylorique
i. Aspect en cocarde
ii. Avec une paroi musculaire hypoéchogène
iii. Et un centre muqueux hyperéchogène
b. Coupe longitudinale
i. Pylore allongée et épaissi
ii. Canal muqueux arciforme et rétréci
c. Épaisseur du muscle étant d’au moins 4 mm
d. Stase gastrique et violentes contractions de l’estomac
18. Les différentes étapes du développement de l’appareil respiratoire
a. Stade embryonnaire
b. Stade fœtal
c. Stade alvéolaire
d. Croissance postnatale
19. Principales malformations pulmonaires
a. 4
b. Emphysème pulmonaire congénital
c. Malformation adénomatoïde du poumon (maladie de Graieg)
d. Kyste bronchogénique
e. Séquestrations pulmonaires
20. Malformations congénitales du poumon
a. Emphysème pulmonaire congénital
b. Malformation adénomatoïde du poumon (maladie de Graieg)
c. Kyste bronchogénique
d. Séquestrations pulmonaires
21. Emphysème pulmonaire congénital : clinique
a. Tableaux révélateurs
i. Détresse respiratoire
1. Parfois dramatique
2. Ou plus tardive entre le 1er et 4ème mois de vie
ii. Triade
1. Toux
2. Dyspnée
3. Wheezing
b. Examen physique très caractéristique
i. Inspection : bombement de l’hémi-thorax soulevé par la lésion
ii. Auscultation : silence avec refoulement des bruits du cœur du côté opposé
22. Emphysème pulmonaire congénital
a. Tableaux révélateurs
i. Détresse respiratoire
1. Parfois dramatique
2. Ou plus tardive entre le 1er et le 4ème mois de vie
ii. Triade
1. Toux
2. Dyspnée
3. Wheezing
b. Radiographie du thorax de face et de profil
i. Clé du diagnostic
ii. Signes
1. Hyperclarté occupant presque la totalité du champ pulmonaire,
unique, siège d’une traînée broncho-vasculaire
2. Opacité triangulaire située au niveau de l’angle costo-phrénique,
correspondant au lobe adjacent ratatiné
3. Refoulement des organes du médiastin
4. Coupoles diaphragmatiques en place
5. Pneumatisation intestinale normale
23. Malformation adénomatoïde du poumon (maladie de Graieg)
a. Circonstances de découvertes
i. Diagnostic anténatal
1. Actuellement assez fréquent
2. Lésions kystiques touchant le poumon fœtal
3. Pouvant entraîner le refoulement des organes de voisinage
4. Possibilité d’une involution spontanée in utero ou postnatale
ii. Découverte fortuites possibles → abstention thérapeutique
iii. Évolution conduisant à une augmentation de la taille des kystes,
b. Examens paracliniques
i. Radiographie du thorax
1. Opacités dans les formes solides
2. Image bulleuse avec des clartés multiples, entourées de cloisons
fines
3. Coupole diaphragmatique intacte avec répartition normale des
clartés digestives
ii. Doute diagnostique
1. TDM
2. Angio-IRM : éliminer une angio-IRM
24. Kyste bronchogénique
a. Révélation par l’échographie obstétricale → diagnostic précoce avec amélioration du
pronostic
b. Découverte fortuite à la radio thorax → apanage des kystes latents, souvent latéro-
trachéaux
c. Signes de compression trachéale (toux + dyspnée + wheezing) par un kyste médian
d. Signe de compression bronchique (détresse respiratoire)
e. Complications à type de surinfection, rupture, rejet du contenu mucoïde, hémoptysie
f. Radiographie de thorax et TDM
i. Souvent opacité homogène finement cerclée de calcifications
ii. De siège topographie médiastinale
iii. Avec déviation de l’axe aéro-digestif
iv. Si surinfection du contenu kystique → aspect radiologique d’une clarté
25. Trisomie 18
a. Retard mental
b. Retard de croissance
c. Souvent, malformations sévères du cœur
d. Dysmorphie faciale
i. Oreilles faunesques
ii. Micrognathie
iii. Saillie occipitale
e. Chevauchement des doigts très caractéristiques
f. Pied en piolet
g. Bassin étroit
26. Trisomie 18
a. Retard mental
b. Retard de croissance
c. Malformations cardiaques sévères
d. Dysmorphie faciale
i. Micrognathie
ii. Saillie occipitale
iii. Oreilles faunesques
e. Chevauchement des doigts très caractéristiques
f. Pieds en piolet
g. Bassin étroit
27. Syndrome de Prader-Willi
a. Hypotonie néonatale
b. Polyphagie
c. Courte taille
d. Petites mains
e. Petits pieds
f. Obésité
28. Syndrome de l’X fragile
a. Retard mental
b. Troubles du comportement
c. Agitation
d. Dysmorphie faciale
i. Traits grossiers
ii. Lèvres épaissies
iii. Oreilles grandes et décollées
e. Macro-orchidie
29. Trisomie 13
a. Holoproencéphalie
b. Retard mental sévère
c. Retard de croissance
d. Dysmorphie faciale importante
i. Gueule de loup
ii. Hypertélorisme
iii. Microphtalmie
iv. Front fuyant
e. Fente labiale et palatine
f. Polydactylie post-axiale
30. Orchidopexie
a. Abord inguinal → libération du testicule de ses adhérences + dissection du cordon
spermatique afin d’avoir une longueur suffisante pour abaisser le testicule dans une
néologe sous-cutanée dans la bourse homolatérale
b.
31. Risques d’une hernie inguinale étranglée
a. Incarcération intestinale avec occlusion et risque de nécrose de l’anse
b. Risque majeur d’infarcissement et de nécrose du testicule ipsilatérale
32. Conseil génétique
a. Évaluation de risque de la survenue d’une malfaçon d’origine génétique avant que
celle-ci ne survienne éventuellement
b. Et si elle est survenue, c’est la détermination des causes de cette malfaçon
33. Conseil génétique
a. Évaluation de risque de la survenue d’une malfaçon d’origine génétique avant que
celle-ci ne survienne éventuellement
b. Et si elle est survenue, c’est la détermination des causes de cette malfaçon
34. Prévention à l’échelle de la population
a. Éducation de la population
i. Consanguinité
ii. Âge
iii. Agents mutagènes
b. À l’échelle d’une population à risque
i. Détection des hétérozygotes
ii. Dépistage néonatal d’une maladie grave
1. Fréquente dans la population
2. Compromettre de façon sérieuse le pronostic vital et fonctionnel
3. Bénéficier d’un traitement efficace et peu coûteux
35. Plusieurs circonstances
a. Demande formulée
i. Par des parents ayant un ou plusieurs d’une maladie génétique ou supposée
l’être
ii. Par un patient parce que lui-même, son conjoint ou un apparenté souffre
d’une maladie héréditaire ou supposée l’être
iii. Par un couple ayant un projet de mariage entre apparentés
b. Demande orientée par le médecin traitant à l’occasion de découverte d’une
pathologie génétique dans la descendance
36. Pénétrance variable
a. Génopathies transmises en dominance
b. Sujet hétérozygote pouvant ne pas être apparemment malade
c. Individu allant transmettre le gène anormal à sa descendance → expression →
descenc
37. À ventre plat
a. Atrésie duodénale
b. Volvulus sur mésentère commun
c. Excès d’accolement péritonéal
38. Lavement opaque : Maladie de Hirschsprung
a. Zone distal aganglionnaire : côlon rigide, figé, de calibre normal ou légèrement
rétréci
b. Zone de transition :
i. Signe clinique le plus typique de l’affection
ii. De forme conique
iii. Habituellement longue de 2 à 3 cm
c. Dilatation du côlon d’amont
39. Conséquences physiopathologiques de l’atrésie de l’œsophage
40. Principes de traitement
a. Rapide mise en condition
i. Prélèvements bactériologiques naso-pharyngés
ii. Antibiothérapie intraveineuse
iii. Éventuelle correction de la gazométrie
iv. Troubles hydroélectrolytiques
b. Opérati
41. Hernie inguinale chez la fille
a. Avant l’âge de 3 mois
i. Fréquemment l’ovaire qui s’extériorise dans la hernie inguinale
ii. Tuméfaction
1. Ovoïde
2. Indolore
3. Ferme
4. Mobile
5. De 10 à 15 mm de grand axe
6. Siégeant à la racine de la grande lèvre, devant le pubis ou devant
l’orifice externe du canal inguinal
42. Anomalies de la migration testiculaire
a. Définition
i. Cryptorchidie
ii. Ectopie testiculaire
iii. Testicule oscillant
b. Facteurs intervenants
i. Gubernaculum testis
ii. Androgènes
iii. Insulin-like hormone 3
iv. Hormone antimüllérienne
v. Œstrogènes
43. Cryptorchidie bilatérale
a. Syndrome de Prune Belly
b. Hypopituitarisme
c. Syndrome de Klinefelter
d. Syndrome d’Opitz
44. Hypospadias : association de 3 anomalies
45. Phimosis
a. Étroitesse de l’anneau préputial empêchant le décalotter ou gêne la découverte du
gland
b. Pratiquement physiologique au cours des premiers mois de vie
46. Paraphimosis
a. Étranglement du gland par le passage à travers un anneau préputial dans le sillon
balano-préputial à la suite d’un décalottage
47. Mécanisme du RVU primitif
a. Brieveté du trajet transpariétal de l’uretère
b. Insuffisance d’un point d’appui musculaire vésical
c. Prb
48. Étiologies du SJPU
a. Fonctionnel : dysplasie neuromusculaire de la JPU
b. Organique
i. Extrinsèque
1. Vaisseaux polaires inférieurs croisant la JPU avant
2. Brides
3. Adhérences
ii. Intrinsèque
1. Sténose fibreuse
2. Valves muqueuses
49. Indications du traitement chirurgical du RVU indépendament
a.