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Master2 E3A
1
Présentation du cours
Plan
2
Présentation du cours
Emetteurs Récepteurs
Système de transmission numérique Données
Données 1 1
par fibre optique
2 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Emetteur Récepteur
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
3
Quelques repères historiques
1962 Effet laser dans les semiconducteurs (mais courte durée de vie)
1966 Premières expériences de C. Kao (U.K.) sur les guides d’ondes optiques
en silice (attenuation: 1000 dB/km)
1972 4 dB/km
Fin des 1970s Démonstration des systèmes de transmission par fibre optique
Début des 1980s Système commercial de 2nde génération @1.3 µm (pertes plus
faibles)
1988 TAT-8 Première liaison optique transatlantique (2 x 280 Mbit/s @1.3 µm)
5
Quelques repères historiques
6
Notions fondamentales
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
7
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Champ E.M.
Un champ E.M. est défini par trois vecteurs formant un trièdre direct :
E
E E0 cos 0t k r Champ électrique
H H0 cos 0t k r Champ magnétique
k
k Vecteur d’onde
H
Dans le vide, les champs E et H oscillent à la fréquence f0 (soit à la fréquence angulaire 0 = 2f0) et se
déplacent dans la direction du vecteur d’onde k0 avec une période spatiale, ou longueur d’onde, 0 = c/f0.
Dans le vide, longueur d’onde 0 (m), fréquence f0 (Hz), vitesse de propagation c (m/s) et « constante » de
propagation k0 (rad/s) sont liées par les relations suivantes
0 c 2
Dans le vide c 0 f 0 (m/s) f0 (Hz) k0 (rad/m)
T0 0 0
8
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Dans un milieu d’indice de réfraction n qui n’est pas le vide, l’onde ne se propage plus à la vitesse c, mais à la
vitesse v = c/n.
Dans ce milieu d’indice n la fréquence et la longueur d’onde du champ E.M. sont donc différentes de celles
dans le vide :
c c c
Milieu d’indice n v f (m/s) f (Hz) (m)
n T n nf
Notion de spectre
Si l’on s’intéresse au champ E de l’onde, celui-ci est caractérisée par son amplitude E0, sa fréquence f0 et sa
phase .
E E0 cos 0t k r
Etant donnée la relation 0 = c/f0, connaître la fréquence f0 est équivalent à connaître la longueur d’onde
0.
On parlera donc aussi bien de spectre en fréquence que de spectre en longueur d’onde.
9
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Notion de spectre …
Les télécommunications numériques par fibres optiques reposent sur la transmission de champs E.M. dont la
longueur d’onde (dans le vide) est de l’ordre de 1,55 µm (signaux optiques infrarouges).
Sachant que f = c/, la fréquence (dans le vide) de ces signaux est donc de l’ordre de 193 THz
(c/ = 3*108/(1,55*10-6))
Les fibres optiques classiquement utilisées (monomodes) permettent de transmettre des signaux dans la bande
de longueur d’onde de largeur = 120 nm, centrée sur 1550 nm.
Ceci correspond à une bande de fréquence f = 15 THz ,centrée sur 193 THz.
Démonstration f c f c c 1 c 12 f c f c
2 2
c
f
2
10
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
c
f
2
= 120 nm f = 15 THz
P (W) P (W)
(m) f (Hz)
= 1550 nm f = 193 THz
c
f
Rq : f = 1 THz = 8 nm
11
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Pour faire porter de l’information à une onde électromagnétique, il faut en faire varier, autrement dit en
moduler, l’un des paramètres (intensité, fréquence ou phase). En optique, classiquement, c’est sur l’intensité
de l’onde que l’on agit.
Le signal dont on veut faire varier l’intensité est appelé porteuse optique. Sa fréquence est d’environ
193 THz.
L’information que l’on veut transmettre est quant à elle un signal numérique (suite de zéros et de 1) dont la
fréquence, quoique potentiellement très élevée dans le domaine des microondes, est très inférieure à celle de
la porteuse. L’information est appelée signal modulant.
Le signal résultant est, quant à lui, appelé signal modulé (ou porteuse modulée).
12
Rappels ☞ Signaux transmis
Modulation d’amplitude
ASK : Amplitude Shift Keying
t
OOK : On Off keying
P Porteuse
Porteuse optique @ ~193 THz optique
t f
A cos 2 f0t
0
Données
Signal modulant fm qq GHz P
Spectre en
bande de base
1 0 1 0 1
t f
DSF A Ai cos 2 if mt
Mod
i
Signal modulé
Produit de la porteuse
par le signal modulant
t
1 0 1 0 1
14
Rappels ☞ Signaux transmis
Port DSF A cos 2 f0t A Ai cos 2 if mt
Mod 0
i
15
Rappels ☞ Signaux transmis
P
Porteuse optique @ ~193 THz
t f
A cos 2 f0t
0
t f
1 0 1 0 1 A cos 2 f0t
1
A0 Ai cos 2 f0 ifm t cos 2 f0 ifm t
2 i
16
Rappels ☞ Signaux transmis
TB
1 Données numériques (Séquence PSA)
1 1 0 1 0
0 t
1
0 t Porteuse optique 193 THz
-1
1
0 OOK
-1 t
Supposons des données aléatoires approximées par une séquence PSA, de temps bit TB, et
de période (de la séquence PSA) T
L’autocorrélation d’une séquence PSA est un triangle de base TB périodisé tous les T.
17
Rappels ☞ Signaux transmis
TB
2TB
TB TB
=
2TB
TF TF
18
Rappels ☞ Signaux transmis
f
2TB -3/TB -2/TB -1/TB 0 1/TB 2/TB 3/TB
DSP (V2/Hz)
TF
T sinc2
2TB f
-3/TB -2/TB -1/TB 0 1/TB 2/TB 3/TB
1/T
Périodiser css(t) discrétiser TF{css(t) }
19
Rappels ☞ Signaux transmis
Données numériques
DSP (V2/Hz) représentation
TB (Séquence PSA)
mono latérale
1 sinc2
1 1 0 1 0
0 t
f
0 fB 2fB 3fB
Porteuse f
1
0 t
-1 f
f
ASK
1
0 t
-1 f
f-2fB f-fB f f+fB f+2fB
20
Rappels ☞ Signaux transmis
(m) f
0 f0
c
f
21
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Polarisation
La polarisation d’une onde désigne l’orientation des champs (E,H).
Considérons le seul champ E et décomposons le en en Ex et Ey. Dans le cas général où ces deux composantes
sont déphasées de = cte qcq.
E
y
z ,t E0 y cos t kz
E
x
z ,t E0 x cos t kz
Dans un plan z (axe de propagation) donné, l’orientation (polarisation) de E va varier au cours du
temps et l’extrémité de E suivre une ellipse (E = (Ex2+Ey2)).
Les polarisations rectiligne et circulaire sont des cas particuliers de la polarisation elliptique.
E E
E
Ex Ex Ex
=0 =
22
Notions fondamentales ☞ Signaux transmis
Polarisation
A un instant t0 donné l’extrémité des champs E(z,t0) se situe sur une certaine courbe.
Pour une polarisation rectiligne, cette courbe est une sinusoïde.
Pour une polarisation elliptique, cette courbe est une hélice.
Polarisation rectiligne Polarisation circulaire
E(z,t0)
E(z,t0)
z z
Nature Guides d’ondes diélectriques cylindriques en verre (SiO2: silice) très pur
b b
a a
n1 n2
n1
n1 n1
n2 n2
n0 n0
r r
0 0
24
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
25
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Approche géom. Fibre à saut d’indice
Dispersion multi-trajet (intermodale)
L
Exprimons le retard T entre les rayons incidents
d’angle = 0 et = i d’indice à l’interface c c
Li = L/sinc
c L L L 1 L L n1 L
v i T T T i L
n1 T0 Ti sin c Ti i 0 v c sin c
La dispersion intermodale limite le débit possible B=1/T0. Il faut que il faut que T < T0 ⇔ BT < 1
n c
BL 2
n2
On a donc une limitation du produit débit.longueur
1
(Exple. : n1 =1,5 et < 0.002 ⇒ BL < 100 ( Mbit/s)-1 km)
26
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Approche géom.
Fibre à gradient d’indice
r
n2<n1
n0 n1(r)
n
sinΦc= 2 et n1sinθi=n2 sinθr 0 n2 n1
n1
Dispersion intermodale
La vitesse des rayons varie en raison des variations de n1(r). Un rayon incident très incliné (en
rouge) aura un trajet plus long mais une vitesse dans l’ensemble plus élevée qu’un rayon peu incliné
(en bleu).
27
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Approche E.M. Fibre à saut d’indice
Les supports des transmissions optiques numériques longues distances sont des fibres monomodes. Ce sont
des fibres à saut d’indice dont le diamètre du cœur est comparable à la longueur d’onde des signaux
transmis.
Equations Equation
de Maxwell de propagation
Coordonnées cylindriques
n2
a n1
z
28
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
j z
E F Z z f , e Avec () projection de la
▪ Hypothèse de séparation z
j z
H F ' ' Z ' z g , e
«constante de propagation» sur z
des variables z
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Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
▪ Les composantes Ez et Hz ne peuvent être toutes deux nulles ( pas de mode TEM dans les fibres).
▪ Si Ez et Hz non nuls, les modes sont désignées par EHmn ou HEmn selon que Ez ou Hz est dominant.
H
HE11 TE01
Lignes de champ des E
premiers modes guidés
30
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Diagramme de dispersion
n1
11()
()
n’ = /k0
1 n2
k0 n1 n2 n1 n2
n2
an1 n n V
V 2 1 2
c n1
dépend des
caractéristiques
de la fibre optique
31
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Pour des caractéristiques données de la fibre optique, une plage de f, , où la fibre est
monomode et une plage où l’énergie de l’onde peut se répartir sur plusieurs modes de
propagation.
En pratique les signaux à transmettre ont une longueur d’onde contenue dans une certaine
plage . On choisit donc pour les transmettre une fibre dont les dimensions et les indices
sont tels qu’elle soit monomode dans la plage considérée.
32
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Diagramme de dispersion
n1
11()
()
Pas de fréquence
de coupure fréquence n’ = /k0
de coupure
1
n2
n’
n’
k0 n1 n2 n1 n2
n2
V
an n n
V 1 2 1 2
c n1
33
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
La vitesse de propagation vg de l’onde (vitesse de groupe) étant fonction de l’indice de réfraction n du milieu
de propagation (v = c/n), après avoir parcouru une longueur L de fibre, deux longueurs d’ondes espacées de
se verront retardées de g :
D = Dmat + Dguide
Dispersion matériau Dmat : liée aux propriétés physiques du matériau constitutif de la fibre.
Dispersion du mode guidé Dguide : liée à la géométrie du guide d’onde (fibre) : variant avec (), l’indice
n() du mode guidé varie donc en conséquence.
34
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Impulsions
optiques
Dispersion chromatique D
t t
Cependant, s’agissant des fibres optiques monomode, des techniques qui permettent
d’en compenser efficacement la dispersion chromatique.
35
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Caractéristiques de fibres monomodes Dispersion de polarisation
La biréfringence (2 valeurs d’indices de réfraction n selon deux axes) se manifeste dans les fibres ou de
portions de fibres rendues asymétriques en raison de contraintes mécaniques (écrasement, perturbations
externes).
Axe lent tPMD
Fibre optique
Biréfringence
Axe rapide
La biréfringence provoque la décomposition du signal en deux modes dont l’un est appelé mode rapide (fast
mode) et l’autre mode lent (slow mode). A l’arrivée, un retard entre la projection du champ sur l’axe rapide
et celle sur l’axe lent.
Le couplage entre le mode lent et le mode rapide est un phénomène aléatoire, comme le sont les contraintes
mécaniques subies par les fibres (perturbations externes).
Il en résulte une dispersion de polarisation (Polarization Mode Dispersion : PMD) dont la valeur,
correspondant à une moyenne du couplage aléatoire, est donnée en ps/km.
Typiquement ces valeurs sont de l’ordre de 0.1-1 ps/km.
La PMD est un phénomène qui devient critique pour les systèmes de transmission à 40 Gbit/s.
36
Notions fondamentales ☞ Fibres optiques
Atténuation (dB/km)
10
P(z=L)=P(z=0)e-L 5
1,3µm 1,55µm 1
Fenêtre 0,5
230,7 THz* 193 THz
Bande 96 nm 120 nm
passante 0,1 96 nm 120 nm
12 THz 15 THz
0,05
Atténuation 0,5 dB/km 0,2 dB/km 1,3 µm 1,55 µm
0,01
0,8 1,0 1,2 1,4 1,6 1,8
(*) 1 THz= 1012 Hz Longueur d’onde (µm)
c
f f = 1000 GHz = 8 nm
2
(1) Datasheet Luxeri Fibres optiques plastique (2) Fibre Lucina de Asashi Glass (3&4) Datasheet SEDI Fibres optiques
38
Les données numériques : la SDH
Système de transmission numérique par fibre optique
Emetteurs Récepteurs
☞☞ LesSignaux
donnéestransmis
transmises Données
Données 1 1
☞ Le support
☞ Lade
SDH …
propagation
2 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
39
Les données numériques :
• Codages
• Perturbations
Bruit des composants optiques et électroniques
Bande passante limitée des composants
• Les hiérarchies numériques
PDH
SDH
40
Les données numériques Codages
H B
Perturbations : filtrage et
bruit dans les composants
Codage canal : redondance pour la correction des erreurs causées par le bruit
additif du canal (but : améliorer le BER).
Codage en ligne : mise en forme des données sous forme d’impulsions. Un des
critères de choix du code en ligne est le rapport largeur de spectre/débit binaire.
41
Les données numériques Codages
Rapidité de modulation
Sensibilité au bruit
Occupation spectrale
Récupération d’horloge en réception (lié au spectre du code :
il est bon que celui-ci présente une raie à la fréquence d’horloge)
42
Les données numériques Codages
Comment les erreurs sont commises :
2 distorsions
e(t) s(t) = e(t)*h(t) +b(r)
bruit additif
filtrage
t h(t) t
b(t)
Filtrage
TF{corree}
H(f)
DSP DSP
f f
0 fs 2fs f 0 fs
0
43
Les données numériques Codages
Comment les erreurs sont commises… 1 1 0 1 0
Emission
Echantillonnage
Réception Comparaison à un
seuil
0 1 1 1 0
Décision
Transitions du canal
44
Les données numériques Perturbations
Perturbations liées au bruit
Le BER est
fonction du
S/N reçu
Détection Correction
Symboles Mots codés Mots reçus
des transition des erreurs
0 0 0 NON NON
1 1 1 NON NON
Détection Correction
Symboles Mots codés Mots reçus
des transition des erreurs
0 00 00 NON NON
1 11 01 OUI NON
10 OUI NON
11 NON NON
46
Transmission en Bande de base Codage canal
Détection Correction
Symboles Mots codés Mots reçus
des transition des erreurs
0 000 000 NON NON
1 111 001 OUI OUI
010 OUI OUI
011 OUI OUI
100 OUI OUI
101 OUI OUI
110 OUI OUI
111 NON NON
47
Les données numériques Codages
Codage en line
48
Les données numériques Codages
Codage en line
● Exemple : Le code RZ binaire : Sk ak .V .h(t )
49
Les données numériques Perturbations
Le bruit additif des citcuits électroniques et optiques
2 perturbations
Le filtrage dû à la bande passante limitée des composants
H B
t t
Filtrage
DSP DSP
f f f
0 fs 2fs 0 fs
0
50
Les données numériques Perturbations
Considérons maintenant l’effet du filtrage (bande limitée des composants opto.) sur
les symboles reçus.
Canal à bande Décision
1 0 1
limitée 1 1 1
Seuil
t t
t0
Impulsions Empiètement des symboles
émises
adjascents sur le
signal (symbole) utile détecté à t0.
Interférences Entre
Symboles (IES)
Dégradation du TEB
51
Les données numériques Perturbations
Même B canal
52
Les données numériques Perturbations
Même B canal
53
Les données numériques Perturbations
54
Les données numériques Perturbations
Critère de Nyquist
r (t0 mT ) 0 m 0
t
Aux instants de décision
t0 t0+Ts t0+2Ts pas d’IES
0 1 0
55
Les données numériques Perturbations
Quid du spectre ?
56
Les données numériques PDH
Hiérarchie plésiochrone
plusieurs normes ou hiérarchies organisant le transport de données.
57
Les données numériques PDH
Multiplexage plésiochrone
Le multiplexage temporel consiste générer un flux numérique (données binaires : 0 et 1) de haut débit
à partir de flux de bas débit.
Le multiplexage plésiochrône procède par entrelacement de bits.
Quant au multiplexage synchrône il procède par entrelacement d’octets (byte).
Prenons l’exemple du multiplexage de 4 canaux à 2 Mbit/s sous forme d’un canal à 8 Mbit/s.
En raison des écarts de débits entre les 4 canaux à 2 Mbit/s, le multiplexage plésiochrône requière, deux étapes :
▪ la justification : insertion de bits de bourrage
▪ le multiplexage (proprement dit) :entrelacement de bits
Génération d’un flux à 140 Mbit/s par multiplexage de flux à 2 Mbit/s et 8 Mbit/s
MUX
2 Mbit/s 2 8 Mbit/s
MUX
8
8 34 Mbit/s
34
2 MUX
8 34 140 Mbit/s
140
2
8
8
34
2
8
34/8 8/34
8/2 2/8
2 Mbit/s 2 Mbit/s
Déjustification
60
Les données numériques SDH
Origines de la SDH
61
Les données numériques SDH
Principales caractéristiques
• - Surdébit (Overhead) de trame (10% du débit) gestion des flux plus efficace que
pour la PDH Error monitoring : surveillance des erreurs
Framing management : gestion des trames
• - L’augmentation du débit n’est pas une contrainte pour les systèmes optiques
t
63
Les données numériques SDH
▪ Le conteneur C (Container)
▪Le conteneur virtuel VC (Virtuel Container)
▪ L’unité d’affluent TU (Tributary Unit)
La façon dont sont ordonnées (multiplexées) les données dans une trame SDH est
normalisée par la recommandation G.707 de l’IUT-T.
Les flux correspondant à les débits de la hiérarchie PDH, mais pas seulement,
peuvent être transportés par les trames SDH.
Les trames STM-N sont générées par des équipements (terminaux, multiplexeurs),
capables de réaliser certaines des configurations permises par la norme.
Ceux-ci effectuent en outre une gestion dynamique des trames. Autrement dit, ils sont
capables de passer d’une configuration à une autre, au gré des affluent reçus. Quant
aux informations concernant la gestion des données (emplacement des données dans la
trame…), elles sont abondées aux octets de surdébit, et ainsi, communiquées aux
différents équipements par lesquels passent les trames.
66
Les données numériques SDH
3
+ +
3
TUG-3 TU-3 VC-3 C-3 34/45 Mbit/s
+ + 7
AU-3 VC-3 Affluents
7 + + PDH
67
Les données numériques SDH
Structure de la trame STM-1 (Synchronous Transfer Module)
Le débit d’une trame STM-1 est de 155,520 Mbit/s. La structure de cette trame est répétitive, de période 125 µs.
155,520 106 155,520 106
En 125 µs il défile 19440 bits 2430 octets
1 8000
125 106
125 µs (2430 0ctets)
Une période de 125 µs consiste en 9 segments de durée identique, soit de 270 octets chacun
Chaque segment débute par 9 octets de surdébit et pointeurs, suivis par 261 octets de charge utile
125 µs (2430 0ctets)
1 2 3 4 5 6 7 8 9
(270 0ctets)
(9 octets) (261 0ctets)
68
Les données numériques SDH
Un segment de 125 µs d’une trame STM-1 est généralement représenté sous forme d’un tableau de 9
rangées et 270 colonnes.
125 µs
1 2 3 4 5 6 7 8 9
t=0 1
2
3
9 Rangées 4 Surdébit Charge utile
5
6 Overhead Payload
7
8 VC-4
9
t = 125 µs
9 261
69
Les données numériques SDH
Un segment de 125 µs d’une trame STM-1 généralement représenté sous forme d’un tableau de 9 rangées
et 270 colonnes.
RSOH (Regenerator
POH contient les caractéristiques du signal
Section Overhead) (type de conteneur…)
utilisé pour le
dialogue avec/entre 1
régénérateurs
2
3
Pointeur d’AU 4
Indique l’emplacement 5 Charge utile
du début d’un 6
conteneur virtuel dans 7 VC-4
la trame 8
9
MSOH (Multiplexer 9 261
Section Overhead)
utilisé pour le
270 octets
dialogue avec/entre
multiplexeurs
RSOH et MSOH permettent aux équipements du réseau de dialoguer entre eux
en insérant et en extrayant des information dans ces espaces réservés.
70
Les données numériques SDH
L’emplacement d’un conteneur virtuel n’étant pas fixe dans la trame, il faut un moyen
de savoir où celui-ci se trouve pour pouvoir l’extraire.
Et cet emplacement, fixé par la norme, est bien entendu connu des multiplexeurs.
Ainsi, ayant lu les pointeurs, ceux-ci savent quand extraire les octets correspondant
aux conteneurs virtuels.
Rque : Il va de soi que le début d’un VC arrive dans la trame après le passage des
pointeurs correspondants.
71
Les données numériques SDH
Pourquoi l’emplacement d’un conteneur virtuel n’est il pas fixe?
Pour des raisons de dérive (fluctuations) d’horloge (clock drift) inhérentes aux
affluents PDH.
la fréquence des horloges est la même mais il se peut qu’un déphasage existe
Le pointeur est un compteur qui s’incrémente ou se décrémente en fonction des
mouvements de l’affluent.
72
Les données numériques SDH
1
2 RSOH
3
4 AU Pointer
5
6
7 MSOH Trame n VC-4
8
9
1
2 RSOH
3
4 AU Pointer
5
6
7 MSOH Trame n+1
8
9
73
t
Les données numériques SDH
Les niveaux de la hiérarchie SDH sont des multiples quadruples du débit du STM-1
(Synchronous transfer Module de niveau 1).
Niveau Débit
STM-1 155,520 Mbit/s
STM-4 622,080 Mbit/s
STM-16 2,48832 Gbit/s
STM-64 9,95328 Gbit/s
STM-256 39,81312 Gbit/s
74
Les données numériques SDH
Entrelacement d’octets
t
Trame STM-1
Trame STM-1
t t t
Multiplexeur
Trame STM-1 par entrelacement
d’octets Trame STM-4
Trame STM-1 4 STM-1
75
Les données numériques SDH
Trame STM-4
1
2 RSOH
3
4 AU Pointer
t = 125 µs 5 Charge utile
6 MSOH
7
8
9
4 9 4261
4270 octets
76
Les données numériques SDH
Les équipements de l’infrastructure SDH
Le multiplexeur de terminal TM (terminal multiplexer)
Cet équipement sert à multiplexer les contributions locales de bas débit (exple : affluents E1-E4 de la
hiérarchie PDH) dans les STM-N, mais aussi des STM-M d’ordre M<N.
Cet élément est appelé terminal car il est placé à l’extrémité de la chaine de transmission.
E1-E4 STM-N
TM STM-N STM-N
ADM
STM-M
STM-M E1-E4
Anneau : Ring
Chaine : Chain
78
Les données numériques SDH
Anneau
STM-4 ADM 4 STM-1
STM-1
ADM 4 TM E1-E4
STM-4 STM-4
ADM 4
STM-1
STM-1
E1-E4 TM
79
Les débits dans les réseaux de
télécommunications numériques
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
81
Emetteurs optiques
☞ Les lasers
Types de lasers (FP, DFB, DBR)
82
Emetteurs optiques ☞ Les Lasers
Zone active
Les lasers utilisés en télécommunications optiques (1.3 µm et 1.5 µm) sont des
diodes en technologie InP.
▪ Fonctionnement : Un courant d’injection joue un rôle de pompage,
il provoque l’émission de photons (émission spontanée et stimulée).
Igain Spectre
P émis
Zone active
C'est pour cette raison que sont conçus des lasers mono-fréquence présentant la
meilleure pureté spectrale possible.
84
Emetteurs optiques ☞ Les Lasers
P Spectre
émis
Igain
Zone active
Réseau
B
Par rapport à un laser Fabry-Pérot, le réseau a pour effet de sélectionner des modes
proches de la longueur d'onde de Bragg du réseau.
Généralement, le spectre émis par ce type de structure comporte deux raies.
Mais par le traitement antireflet de la face de sortie du laser ou bien par l’introduction
d'un déphasage d'une demi période dans le pas du réseau, le laser peut être rendu mono--
mode (fréquence).
Zone active
Réseau
▪ Une facette de la cavité Fabry-Perot est remplacée par un réseau de Bragg qui sert à
sélectionner un mode de la cavité.
En appliquant un courant de Bragg (IBragg) à la section contenant le réseau on en modifie
l'indice de réfraction, ce qui provoque un saut dans la longueur d'onde de Bragg du réseau et
permet de sélectionner un autre mode de la cavité.
▪ Cette accordabilité en longueur d'onde peut être affinée par l'ajout, entre la cavité et le
réseau, d'une troisième section commandée par un courant de phase.
Ce dernier agit sur le chemin optique par variation de l'indice de réfraction modifiant ainsi
le spectre.
Lasers DBR : accordable.
Typiquement (DBR deux sections) : 15 nm avec un pas de 0,4 nm (50 GHz).
86
Emetteurs optiques ☞ Les formats de modulation
1 0 1 0 1 Données numériques
t
Porteuse optique @ ~193 THz
t
Modulation d’amplitude
t
Modulation de phase
t
Modulation de fréquence
t
87
Emetteurs optiques ☞ Les techniques de modulation
☞ Techniques de modulation
Données Données
Modulateur
Laser Laser
88
Emetteurs optiques ▪ La modulation directe
La modulation directe
Diode Popt
laser P1
Point de
polarisation Zone linéaire
PDC de fonctionnement
P0
IDC
T de polarisation I0 IDC I1 I
IDC Imod
Données
Commande électrique
89
5 Optical transmission ▪ Direct modulation
Laser
Data
1 1 0 1 0 Electronique
Electronic Optic
Optique
t
f
193 THz
Optical signal
f
0 fB 2fB
Laser bandwidth
1 1 0 1 0 1 1 0 1 0
t t
f
Filtering 193 THz
Thermistance
I0
imod Module Peltier
Contrôle
de polarisation i
et de puissance Contrôle en
température
t
91
Emetteurs optiques ▪ La modulation directe
▪ Popt qq mW
Les lasers DBR peuvent être utilisés pour la maintenance (car accordables)
92
Emetteurs optiques ☞ Les Lasers
Thermo-
electric cooler
93
Emetteurs optiques ☞ Les Lasers
Contrôle
en T°
94
Emetteurs optiques ☞ Les Lasers
Courant de
commande 50 mA
Impédance
d’entrée 25
Courant de
commande
Diode
25 laser
95
Emetteurs optiques ▪ La modulation externe (MP)
Modulateur de phase Effet électro-optique dans le LiNbO3
v = c/[n+n(V)]
(V) = (2/ ).n(V)
(V) = (V).L
Déphasage
V n(V) (V,L)
Onde Onde
incidente sortante
j V
E0 e
E0
E0 e j
Guide
Masse
optique
96
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Résultante
E0 j E j l
E0 e 0e
2 2
E0
2
E0
2
E0 e j
97
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
v = c/[n+n(V)]
Tension appliquée sur l’un des bras
(V) = (2/ ).n(V)
Sur une longueur L
(V) = (V).L
Déphasage
V n(V) Variation
de vitesse ↘ (V,L)
98
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Résultante
E0 E0 j
E0 E0 j V 2
e
e
2 2
E0 -
2
Déphasage
(V,L)
99
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Opposition Résultante
V = V de phase nulle
E0 j
E0 e
E0 E0 j
2
2 = 2
e
E0
-
2
Déphasage
V
100
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
1 E j t l
0e
E0 j t l j V L
E
out 2
E e 1 e
E j t l V L
out 2
2
E 0e
out 2
E j t l j
Soit E 0e 1 e avec V L
out 2
E02 E 2
P E E
*
1 e j 1 e j 0 2 e j e j
out out out 4 4
E02 1
1cos out P 1 cos
P
P Fonction de transfert
out 2 in 2
101
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
2nV
Expression de en fonction de V V L L
La tension V engendre le champ E = V/d qui par V
effet électro-optique engendre la variation d’indice
n : Indice moyen
d E
V
n 1 rn
3
2 m Epaisseur de la
d zone active
L
Coeff. Électro-optique
3
rnm
On a donc VL
d
On peut exprimer la tension de commande V du modulateur pour laquelle = V d
rn3 L
m
1 Pout V
Pin 2 1 cos
Pout 1
Pin 2 1 cos V
102
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Pout 1 V
Pin 2 1 cos V
Fonction de transfert optique :
V
- 3V -V 0 V 3 V
LiNb03 : r = 30.8 pm/V (pour une polarisation donnée de la lumière dans le cristal)
nm = 2.2
103
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Modulation d’un MZ
V
Point de polarisation @ 1
2 Optique
-V V 0 V V
2
Electrique En phase
104
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Modulation d’un MZ
Vπ
Point de polarisation @ 1
2 Optique
-V V V
0 V
2
En opposition
de phase
Electrique
105
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
106
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Mise en œuvre d’un MZM Régime dynamique (exple modulation numérique d’amplitude)
Porteuse Porteuse
optique modulée
T de polarisation Popt
50 P1 Point de
Vpol
polarisation Zone linéaire
Vpol Ppol de fonctionnement
vmod Données
P0
V
V1
Commande électrique
107
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
Pout
1 1 cos V
Pin 2
V
1
V
-2 V -V 0 V 2 V
Dérive
Avec le temps, la fonction de
transfert d’un MZM se
déphase.
Un asservissement du point de
polarisation du MZM est
donc nécessaire.
108
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
▪ Commandé en tension
▪ Sensibles à la polarisation
▪ Dimensions : typiquement 10 mm
109
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MZM)
110
111
Reference: JDS Uniphase
112
Reference: JDS Uniphase
113
Reference: JDS Uniphase
Reference: JDS Uniphase
114
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
n-InP
substrat
115
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
Photon P Champ E
d’énergie I
E = hc/ N Déformation de la
bande interdite
E Eg E E’
Egg
signal
117
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
Transmission vs V PdBm
-12
-14
-16
P2
-18
-20 P0
-22 P1
-24
V -4 -3 -2 -1 0 1
Taux d’extinction 10 dB
118
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
▪ Pertes d’insertion 10 dB
▪ Régulés en T°
▪ Sensibles à la
Pertes d’insertion 10 dB
Insensible à la polarisation
120
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
MEA régulé en T°
121
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
v
t Isolateur
DC Vpol<0 optique Lentille à
Métallisation gradient d’indice
Métallisation
p+ InGaAsP
p-InP p-InP
InGaAsP
n-InP n-InP
Thermistance
Module Peltier
400 µm 70-100 µm
Contrôle en
Laser DFB Guide MEA température
122
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
123
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
124
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (MEA)
Longueur d’onde
Vpp = 2,6 V
Puissance optique
de sortie
Taux d’extinction
Caractéristiques
hyperfréquence
Bande passante à -3 dB
(indique la limite de freq
de modulation)
125
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (Drivers)
126
Emetteurs optiques ☞ La modulation externe (Drivers)
Paramètres S
Coeff. de réflexion
S11
Coeff. de transmission
S21
127
Emission optique ☞ Synthèse
Modulation externe
128
129
Récepteurs optique
Système de transmission numérique par fibre optique
Emetteurs Récepteurs
☞☞☞Les
Modulation
donnéestransmis
Signaux transmises
directe
Données 1 ☞ Récepteurs 1
Données
☞ Le ☞ Lade
SDH
☞ Modulation
support …
propagation
externe
2 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
130
Récepteurs optique ☞ Module de réception
Module de réception
Filtre
Photodiode
Contrôle Récupération
automatique de d’horloge
gain
131
Récepteurs optique ☞ Module de réception
Comment les erreurs sont commises… 1 1 0 1 0
Emission
Echantillonnage
Réception Comparaison à un
seuil
0 1 1 1 0
Décision
Transitions du canal
132
Récepteurs optique ☞ Photodiodes
• Principe:
• - Illumination d’une jonction polarisée en inverse
- L’essentiel de la lumière est absorbé dans la région de déplétion
• - Ceci génère des paires electron-trou
Structure d’une jonction PIN de base et circuit de polarisation
RD : Réponse (A/W)
Anneau de Iph = RD Popt ou rendement…
contact Popt
RL V=RL Iph
Type-n
Région de dépletion
Type-p
Vpol
133
Récepteurs optique ☞ Photodiodes PIN
Photodiodes PIN
Jonctions PIN polarisées en inverse ( -5V)
Photocourant
Illumination Génération de charges Iphot
Vpol
Réponse 0,8 A/W RL
P
• Anneau de
contact
opt
p p-InP
Zone de déplétion i InGaAs
n n-InP
InGaAs sensible aux longueurs d’ondes dans la Scanning electron microscope (SEM)
photograph
plage 1 - 1.6 µm
Reference: Discovery Semiconductors
134
Reference: Discovery Semiconductor
135
Reference: Discovery Semiconductor
136
Récepteurs optique ☞ Photodiodes PIN
☞ Caractérisation de la réponse en fréquence d’une photodiode
Vpol
c 2 1 f = |f2- f1| I
f
21
f1 f2
c 2 1
f
21 f
Laser DBR
3
0
DUT
-3
Laser DBR Vpol
-6
-9
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
Le mécanisme de Le facteur
gain d’avalanche d’excès de bruit
! est un processus FAPD doit être pris
bruyant en compte
139
Récepteurs optique ☞ Architecture du front end
RL Vin Vout
CD : capacité de CA, RA: impédances
la d’entrée de
photodiode l’amplificateur
Charge résistance & amplificateur
Circuit équivalent
141
Reference: JDS Uniphase
142
Reference: JDS Uniphase
143
Récepteurs optique ☞ Sources de bruit
-Av
is ish ith
CD Rf CA RA Filtre passe bas
1 AV iA (non bruyant)
144
Bruit quantique
Dû à un processus aléatoire d’absorption de photons
(Statistique poissonnienne)
Densité quadratique moyenne de courant de bruit quantique
Pour les photodiodes PIN :
iq2 2 q R D Popt f
Bande
Charge de Résponse de la Photocourant équivalente de
l’électron Photodiode moyen bruit du
récepteur
145
Pour les photodiodes APD :
ish
2
2 q R D Popt M2 F(M) f
146
Bruit thermique
Dû à au mvt des electrons dans les resistances en fct° de la température
Bruit de l’amplificateur
147
Rapport signal sur bruit
2
S Puissance du signal electrique isignal
2
N Puissance du bruit electrique i total bruit
2
S (M R D Popt )
N 2 x 4 kB T 2
2 q M R D Popt d A f
Rf
Toutes les sources sont considérées comme Gaussiennes et non
corrélées, ainsi leurs puissances peuvent être additionnées pour
calculer la puissance de bruit totale
148
Amplification optique
Système de transmission numérique par fibre optique
Emetteurs Récepteurs
Données 1 ☞ L’amplification 1
Données
2 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
149
Amplification optique
Emetteur (Tx)
3 EDFA
Amplification de
puissance
Modulateur
Isolateur
Booster Fibre
EDFA
100 km
Amplification en ligne
150
Amplification optique
151
Amplification optique
152
Amplification optique
153
154
Le multiplexage en longueur d’onde
Système de transmission numérique par fibre optique
Emetteurs Récepteurs
☞ Le multiplexage en longueur Données
Données 1 1
d’onde (WDM)
2 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur Demultiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
155
Le multiplexage en longueur d’onde (WDM)
Multiplexage
WDM : Wavelength Division Multiplexing
temporel
D-WDM : WDM
t
t
TM
t Multiplexage en
longueur d’onde
t
Modulateur
Modulateur
Multiplexeur (MUX)
156
Le multiplexage en longueur d’onde
Etc.
157
Le multiplexage en longueur d’onde
MUX DEMUX
Fonctionnement
symétrique
160
Le multiplexage en longueur d’onde
161
Le multiplexage en longueur d’onde
162
Le multiplexage en longueur d’onde
163
Le multiplexage en longueur d’onde
0
Laser DBR -5 -3 dB
-10
Transmission dB -15
-20
-25
-30
-35
-40
-45
1542 BP-3dB 50 GHz 1545 nm
50 GHz AWG
Analyseur de spectre optique
164
Le multiplexage en longueur d’onde
165
Le multiplexage en longueur d’onde ☞ Réseaux de Bragg
L
y int =
ext
nm+n1
n1
nm
ex
x
166
Le multiplexage en longueur d’onde ☞ Réseaux de Bragg
y
L
nm+n1
n1
nm
L
x
0,8
Transmission Rmax & fct(L, n1)
Réflectivité
0,6
0,4
0,2
Réflection
B = 2nm L
B
0
1549,5 1549,7 1549,9 1550,1 1550,3 1550,5
nm 167
Le multiplexage en longueur d’onde ☞ Réseaux de Bragg
Faisceau UV
Fibre optique
Masque de phase
Ordre -1 Ordre +1
168
Le multiplexage en longueur d’onde ☞ Réseaux de Bragg
Signal réfléchi
Coefficient Coefficient
de de transmission
réflexion
169
Le multiplexage en longueur d’onde
Réseau de Bragg
centré sur i
1 i n Circulateur Circulateur 1 i n
i i
i i
Extraction de i Insertion de i
170
Récepteurs optique
Système de transmission numérique par fibre optique
Emetteurs Récepteurs
Données
Données 1 1
2 Demultiplexeur 2
Canaux WDM
… …
Données 3 3 Données
Amplificateur Fibre
Données 4 4 Données
3
Multiplexeur
insertion extraction
d’une voie
(longueur d’onde)
La compensation de dispersion
171
Compensation de dispersion chromatique
Photo-détecteur
Laser 2 D 2 f 2 L
i f , L cos
Modulateur 4 c
Courant photo-détecté
Spectre
électrique
à l’émission Spectre
électrique
photodétecté
dBm
0
-5
-25
-30
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 GHz
172
Compensation de dispersion chromatique
Modulateur
Fibre
monomode standard
LBragg
tot
Retard causé par la dispersion chromatique
inf Bragg Dans une fibre de longueur L donnée.
fibre
sup
min max
LBragg est calculée de façon à compenser la dispersion
chromatique dans une fibre de longueur L. 173
Compensation de dispersion chromatique
174
Compensation de dispersion chromatique
175
Compensation de dispersion chromatique
Compensation de
dispersion pour un
canal WDM normalisé
par l’ITU-T
176
Exemples de Systèmes sous marins
177
Exemples de Systèmes sous marins
178
Exemples de Systèmes sous marins
179
Exemples de Systèmes sous marins
SEA-ME-WE 4 :
- Mis en fonctionnement en fin 2005 :
- Capacité : 2 x 64 x 10 Gbit/s = 1.28 Tbit/s
- Longueur : 20.000 km
- 14 pays reliés
- 16 points d’atterrissage
- Exploité par 16 opérateurs
180
181
182
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Contexte
Distribution
Liaison
sous-marine
Accès
Abonné
183
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Contexte
Abonné
184
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Contexte
xDSL
Ligne téléphonique
FTTH
Fibre
Nœud
d’accès de
distribution HFC
Fibre
Câble
Station Station de
centrale base
Débit important
La technologie cellulaire
Progressif permet d’envisager des
Déploiement Rapide communications fixes
Reconfigurable ou mobiles
Coût supportable
186
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Applications
Station Station
centrale de base
FI fm
Laser PD
Spectre électrique
Simple Complexe
f
0 FI fm 188
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Architectures
La FI sur fibre
Station centrale
FI
FI sur fibre Station de base
Données Mod optique fm
OL fm-FI
FI
FI fm
Laser PD
Simple Complexe
Spectre électrique
f
0 FI fm
189
Les systèmes hybrides optique/microondes ☞ Architectures
Station centrale
OL fm
FI
Laser PD