Vous êtes sur la page 1sur 24

Université IBN KHALDOUN -Tiaret-

Faculté Des Mathématiques et de


l’informatique
Département d’Informatique

Technologie IP
Chapitre III:
(Auto)Commutateur Privé
Private Branch Exchange (PBX)
1ère Année Master :Réseaux & Télécoms M. Kouadria A.

INTRODUCTION

 Réseau téléphonique appartenant à l’entreprise

 Connecté aux réseaux publics (accès externes)

 Utilisation d’un ou plusieurs PABX (Private


Auto Branching eXchange), ou autocommutateurs

 Concentrateurs (prises téléphoniques)

 Routeurs (internes, externes)


2

1
Autocommutateur privé
Ou PBX ou PABX :

 Un autocommutateur privé de téléphonie, PABX (Private Automatic


Branch eXchange) est l’interface entre le service de téléphonie de
l’entreprise et un réseau téléphonique (public ou privé).

3
Figure 01: Le PABX au cœur des services d’entreprise

Autocommutateur privé
Ou PBX ou PABX :

 Equipement de télécommunications servant à fournir une connexion téléphonique


interne et externe aux différents membres d’une entreprise.

 Il possède les fonctions de :

- Concentrateur de ressources téléphoniques (terminaux voix, données, liaisons


externes)

- Commutateur de ressources téléphoniques (connexion des terminaux entre eux et


vers l’extérieur)

- Fourniture de services aux utilisateurs : numérotation privée à l’intérieur de


l’entreprise, renvoi d’appel, accès extérieur par le 0 ou le 9, multi ligne, musique de
garde,…
4

- Fourniture de services aux exploitants : gestion des coûts, du trafic,…

2
Architecture d’un
PABX
 Un PABX numérique comporte essentiellement un réseau de
connexion (commutation temporelle) qui, sous le contrôle de l’unité
de contrôle (UC), établit une connexion temporaire entre le
demandeur et le demandé.

 Cette connexion est établie en fonction de données usager (droits de


l’usager, restrictions diverses, facilités offertes...).

Architecture d’un
PABX

Figure 02: L’architecture interne d’un PABX. 6

3
Architecture d’un
PABX
 L’analyse de la numérotation est l’une des tâches essentielles du logiciel de
gestion des PABX.

 La numérotation permet à l’unité de contrôle :

– De mettre en relation un usager demandeur et un usager demandé (correspondance


entre un numéro logique – numéro d’appel – et un port physique de l’interface
usager) ;

– De diriger l’appel vers telle ou telle ligne extérieure (préfixe de prise de ligne) ;

– D’accorder à l’usager certaines facilités (renvoi, verrouillage du poste...).

 L’ensemble des règles de gestion, en relation avec la numérotation, constitue le


plan de numérotation. 7

Sert d’accès depuis


l’extérieur
 Interconnexion avec les réseaux publics

 Appel du standard + redirection par le standard

 Appel direct sur le poste

 Sélection Directe à l’Arrivée (SDA)

 L’ensemble des numéros accessibles depuis l’extérieur donne


l’ensemble des numéros à demander à l’opérateur
téléphonique

 4 derniers numéros toujours transmis par le commutateur de


8
raccordement

4
Interconnexion avec
les réseaux publics

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> Les téléservices

 Les techniques numériques, mises en œuvre dans les autocommutateurs


numériques, ont permis d’offrir aux utilisateurs des services
complémentaires facilitant, ainsi, la communication générale dans l’entreprise.
 Les services supportés dépendent essentiellement du constructeur.

 Cependant, les facilités de base sont implémentées sur tous les systèmes. Ce sont
notamment :

 Les techniques de renvoi (renvoi immédiat, renvoi sur non-réponse ou renvoi


différé, renvoi sur occupation) ;

 La supervision et le filtrage des postes (relation secrétaire/patron) ;

 Le multitouche qui autorise la prise d’un second appel et le double appel. 10

5
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> Les téléservices

 Ces deux facilités permettent le va-et-vient entre les correspondants et la


conférence à trois ;

 Le multi ligne c’est-à-dire plusieurs lignes chacune dotée du même numéro


(mono-annuaire) ou de numéros différents (multi-annuaire) ;

 Les groupements d’interception, ensemble d’utilisateurs réunis en un groupe de


communication.

 Toute communication, à destination d’un membre du groupe, peut être


interceptée par tout membre du groupe ;

 L’annuaire collectif qui autorise notamment l’appel par le nom et chez l’appelé
l’affichage du nom de l’appelant;
11

 La numérotation abrégée collective ou personnelle ;

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> Les téléservices

 Le rappel automatique sur poste occupé. Cette facilité permet le


rappel automatique d’un correspondant occupé lorsque celui-ci aura
terminé la communication en cours ;

 Le transfert d’appel au sein de l’entreprise ou vers l’extérieur;

 Les groupes de diffusion : cette technique permet de diffuser, à


partir d’un poste maître, un message sur un ensemble de postes
téléphoniques sans que les correspondants aient décroché (recherche
de personnes, messages de sécurité...) ;
12
 L’interphonie (mise en relation d’usager sans décrochage du poste).

6
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> Les applications vocales

 Ces applications ont pour objet de faciliter les relations de l’entreprise avec le
monde extérieur. Parmi ces applications, la plus utilisée est la messagerie vocale.

 Celle-ci permet à un correspondant de déposer un message pendant l’absence de


l’appelé.
 Quand le numéro d’un destinataire n’est pas
connu ou n’est pas diffusé, le standard automatique
substitue, à l’opératrice, un ensemble de guides vocaux
pour acheminer l’appel vers le destinataire (service de
mise en relation automatique). Cette application peut
véritablement faciliter l’acheminement des appels,
mais elle doit faire l’objet d’une étude sérieuse pour
éviter d’avoir à parcourir une arborescence trop développée qui
13
dissuade l’appelant Figure 03: Principe du standard automatique.

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> Les applications vocales

 Les serveurs audiotex permettent l’automatisation du traitement


des demandes répétitives d’information.

 Fondés sur le même principe que les standards automatiques, les


serveurs audiotex sont constitués d’une série de guides vocaux qui
conduisent l’utilisateur, à travers une arborescence, vers le
renseignement qu’il désire obtenir (service de diffusion
d’information).

14

7
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> Les applications vocales

 Les serveurs vocaux interactifs ont pour objectif l’automatisation du traitement


de demandes répétitives d’informations par des transactions personnalisées.

 La première application est, par exemple, utilisée par les organismes


bancaires pour informer leurs clients sur l’état de leur compte.

 La seconde utilise les postes téléphoniques comme terminal de saisie d’une


application informatique.

Figure 04: Exemple d’application 15


sur serveur vocal interactif.

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> L’intégration Téléphonie/Informatique
 Le concept de CTI (Computer Telephony Integrated) : organise les échanges entre
un PABX et un ordinateur.

 Il a donné naissance à la norme CSTA (Computer Supported Telephony


Applications)

 La recommandation CSTA décrit un ensemble de services qui organisent le


dialogue de la couche application du modèle OSI entre un serveur CTI et un PABX.

Figure 05 : Principe du CSTA

16

8
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> L’intégration Téléphonie/Informatique

 L’association ordinateur/téléphonie a connu un développement important, surtout


dans l’accueil téléphonique.

 Dans l’exemple de la figure 06, l’ordinateur exploite le numéro d’appelant et


affiche automatiquement, sur l’écran de l’ordinateur et avant que le poste
téléphonique ne soit décroché, les informations relatives au demandeur.

Figure 06 : d’un accueil fondé sur CSTA. 17

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> Les API TAPI et TSAPI

 D’origine Microsoft, les API TAPI (Telephony Application Programming


Interface) ou Novell et AT&T TSAPI (Telephony Services Application
Programming Interface) permettent de développer, sur micro-ordinateur, des
applications qui accèdent, au moyen de la souris et du clavier, aux fonctions
essentielles du PABX (figure 07) telles que :

 L’annuaire et la numérotation automatique,

 L’interception d’appel,

 La supervision de poste,
Figure 07 L’architecture générale du
 La consultation de messagerie, concept CTI sur micro-ordinateur1

 L’établissement de statistiques téléphoniques personnelles. 18

9
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> Les API TAPI et TSAPI

 TSAPI et TAPI ont des fonctionnalités similaires mais adoptent des approches
différentes (convergence avec TAPI 2.0).

 TSAPI distribue les services téléphoniques sur le réseau local via un serveur de
téléphonie.

 TAPI relie directement le poste de travail à l’autocommutateur (figure 08).

19
Figure 08 Principe général de TSAPI et de TAPI

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> Les API TAPI et TSAPI

 Une API Java, JTAPI permet aux applications développées en


Java d’accéder aux services téléphoniques et de les enrichir de
nombreuses fonctionnalités informatiques.

 JTAPI s’appuie sur les API, TSAPI et TAPI.

20

10
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> La visiophonie

 Ce n’est qu’avec l’apparition du RNIS et de ses canaux B à 64


kbit/s que la transmission simultanée de l’image et de la voix a été
réalisable.

 La visiophonie, longtemps limitée à la communication au sein de


l’entreprise, s’étend, aujourd’hui, à l’ensemble de moyens de
téléphonie (résidentiel et mobile).

 Le poste visiophone est composé d’une caméra et d’un écran


intégré au poste téléphonique. Associée à un micro-ordinateur, la
visiophonie permet l’affichage de l’image dans une fenêtre. 21

Les téléservices et applications


vocales offerts par les PABX
-> La visiophonie

 Une série de normes, regroupées dans la recommandation H.320, régit


la compression de l’image et de la voix, la transmission des
informations et la signalisation d’usager à usager.

 Elle détermine les conditions d’interfonctionnement des terminaux de


visiophonie. Cet ensemble de normes assure le partage de 1 à n
canaux B.

 La qualité et les modalités de compression d’image sont


essentiellement définies par les normes CIF (Common Intermediate
Format, 352 points, 288 lignes) et QCIF (Quarted Common
22

Intermediate Format, 176 points et 144 lignes).

11
Les téléservices et applications
vocales offerts par les PABX
-> La visiophonie

 Le codeur (Codec H.261) effectue une prédiction temporelle (estimation du


mouvement par bloc de 8×8 pixels dans un espace de 47×47 pixels). Seule, la
différence entre l’image prédite et l’image réelle est codée et transmise.

23
Tableau 01 : Les principales normes de la visiophonie.

PABX et transmission de
données
 La numérisation des PABX et la mise à disposition d’interface LAN (Ethernet,
Token Ring...) ont engendré, non seulement, la banalisation du câblage mais
autorisé une véritable interconnexion des LAN via un lien numérique ou des
liens MIC (interface G.703, G.704).

 Ce dernier moyen, réalisant, via une régie, l’agrégation de n canaux de 64


kbit/s constitue les prémices d’une intégration voix/données (IT2 voix et IT
données sur le même support).

 La mise à disposition d’accès X.25 via les canaux D (9,6 kbit/s) et B (64 kbit/s)
a doté l’autocommutateur de fonctionnalités de commutateur de paquets X.25.

24

12
PABX et transmission de
données

Figure 09 : Le PABX et la transmission de données. 25

L’INSTALLATION
D’ABONNÉ
 La définition d’une installation téléphonique comporte trois phases:

Figure 10: La définition de l’installation de téléphonie privée.


 Les deux premières, d’ordre technique, consistent à dimensionner l’installation
(équipement local, raccordement au réseau public).

 La troisième, d’ordre organisationnel, cherche à définir les services à offrir à


26

chaque utilisateur.

13
L’INSTALLATION D’ABONNÉ
->Le choix de l'équipement local

 Dépend essentiellement de
 la nature des services à offrir aux utilisateurs,
 du nombre de postes à raccorder
 et de la puissance de commutation nécessaire
 Le dimensionnement du PABX nécessite d'estimer le trafic à écouler (Erlang)
 Relation directe avec la nature de l'entreprise
 un centre d'appel demande, pour un même nombre de postes, une puissance de
commutation plus importante qu’un établissement scolaire ou industriel
 A défaut de renseignement statistique sur le trafic téléphonique d'une entreprise
 hypothèse suivante (valeurs statistiques admises par la profession) :
 le trafic d'un poste à l'heure de pointe: 0,12 erlang se répartissant comme suit

 0,04 erlang en trafic sortant

 0,04 erlang en trafic entrant


27
 0,04 erlang en trafic interne à l'entreprise

Le dimensionnement du raccordement
au réseau de l’opérateur
1- La spécialisation des lignes
 On appelle liaison d’abonné (boucle locale), la ligne entre le réseau public
(commutateur de rattachement) et l’installation d’abonné. On distingue trois types
de lignes :
 Les lignes SPA (Spécialisées arrivée point A), ce sont des lignes qui ne peuvent acheminer que
des appels sortants (vers le réseau de l’opérateur ou point A) ;

 Les lignes SPB (Spécialisées arrivée point B), ce sont des lignes qui ne peuvent acheminer que
des appels entrants (vers l’installation d’abonné ou point B) ;

 Les lignes mixtes, ce sont des lignes qui acheminent indifféremment les appels entrants ou sortants,
elles sont à la fois SPA et SPB.

28
Figure 11 : Les différents types
de lignes.

14
LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX
1- Principes généraux
 Interconnecter deux ou plusieurs PABX consiste à les relier par un ensemble de
liens privés (faisceau) ou publics loués afin d’acheminer, sans transiter par le
réseau public, les appels téléphoniques inter-établissement.

29
Figure 12: Principe d’un réseau privé de PABX.

LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX


2- La signalisation et type de liens
 La signalisation téléphonique est constituée d’un ensemble d’informations
décrivant l’état de la ligne (libre, occupée...), la numérotation (signal
d’enregistreur) et éventuellement les télé-services associés (figure 13).

 La signalisation peut être de type voie par voie (à chaque canal est associée une
voie de signalisation) ou par canal sémaphore. La signalisation est alors commune
à tous les canaux, elle est dite aussi signalisation en mode message (ex. : SS7).

Figure 13: Les exemples 30

d’événement de signalisation.

15
LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX
2- La signalisation et type de liens
->La signalisation et le réseau de PABX

 Deux approches de la mise en relation de PABX sont à considérer.

 Dans la première, il s’agit simplement d’acheminer des


communications téléphoniques sur des liens privés sans apport de
téléservice aux utilisateurs (interconnexion de PABX).

 Dans la seconde approche, il s’agit non seulement d’acheminer les


communications téléphoniques mais aussi les services associés
(réseau de PABX ou multisite).

31

LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX


2- La signalisation et type de liens
->La signalisation et le réseau de PABX

 Interconnexion de PABX : Dans un réseau de PABX interconnectés, chaque


PABX joue le rôle d’interface entre l’installation locale et le réseau privé d’une part
et d’autre part entre l’installation locale et le réseau public.

 Lorsqu’un PABX est utilisé en tant que commutateur du réseau, il est dénommé
PABX de transit, il achemine alors les communications téléphoniques et la
signalisation associée

32

Figure 14 L’interconnexion de PABX

16
LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX
2- La signalisation et type de liens
->La signalisation et le réseau de PABX

 Mise en réseau de PABX (multisite): La réalisation d’un réseau multisite


(ensemble du réseau vu comme un PABX virtuel) impose l’homogénéité de la
signalisation sur l’ensemble du réseau. La figure 15 illustre le raccordement de trois
PABX en réseau.
Figure 15: Le PABX en réseau et
le transport de la signalisation
propriétaire

 La différence essentielle entre une interconnexion simple de PABX et un réseau de


PABX (réseau dit aussi multisite) réside dans le transport de la signalisation. 33

LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX


2- La signalisation et type de liens
->La signalisation et le réseau de PABX

 Mise en réseau de PABX en milieu hétérogène: L’interconnexion de PABX


hétérogènes se heurte à la non-homogénéité des protocoles de signalisation.

 La nécessité de disposer d’un protocole commun d’interconnexion a été résolue par


le standard DPNSS (Digital Private Network Signalling System), très utilisé en
Grande-Bretagne mais non conforme au modèle OSI.

 Les sociétés Alcatel et Siemens, rejoints par l’ensemble des grands constructeurs,
ont fondé le forum IPNS (ISDN PABX Networking Specification) destiné à
définir un protocole commun d’interconnexion conforme au modèle OSI.

34

17
LES RÉSEAUX PRIVÉS DE PABX
2- La signalisation et type de liens
->La signalisation et le réseau de PABX

 Q-SIG définit un point d’interconnexion (point Q) entre des réseaux hétérogènes.

 Ce n’est pas un protocole de bout en bout (usager à usager), chaque réseau reste
sous le contrôle de son protocole propriétaire.

 Q-SIG, basé sur le protocole D (RNIS) dont il enrichit les messages, est orienté
commutation de paquets en mode non connecté et connecté.

Figure 16: La position de la norme d’interconnexion Q-SIG.


35

Les différents terminaux

 Téléphones analogiques

 Téléphones numériques postes « dédiés »

 Téléphones RNIS

 Téléphones sans fil (DECT)

 Fax (groupe 3, groupe 4)

 Ordinateurs

36

18
Téléphones analogiques

 Téléphones « classiques » :

 Signaux analogiques

 Le PABX numérise les signaux acoustiques (MIC ou


PCM)

 Terminal offrant le moins de services téléphoniques

37

Téléphones numériques
« dédiés »
 Le terminal numérise les signaux acoustiques

 Envoi de signaux numériques au PABX

 Souvent :

 Des terminaux propriétaires,

 Avec beaucoup de services disponibles

 …mais ne fonctionnent que sur les autocommutateurs


de même marque (signaux non normalisés)
38

19
Téléphones RNIS

 Signaux acoustiques numérisés par le terminal

 Utilisation d’un accès RNIS offert par le PABX


(souvent S0)

 Normalisé

 Nombreux services

39

Fax

 Groupe 3

 équivalents à des terminaux analogiques

 Groupe 4

 équivalents à des terminaux RNIS

 Ont toujours un numéro SDA associé


40

20
Ordinateurs

 Possibilité de connecter des ordinateurs aux PABX :

 CTI : couplage téléphonie informatique

 intégration voix-données

 Transfert de données à travers les réseaux

téléphoniques publics (utilisation de Modems)


41

Support physique
 Pré câblage de bâtiment

 Catégorie 3 suffisante

 Répartiteurs

 Baies de brassage plutôt que panneaux de répartition

 Modules à coupure sur les baies de brassage

 Prises terminales

 RJ45 (ou gigogne) 42

21
Support physique

 RJ45 :

 Analogique

 broches 7 et 8

 Numérique

 Broches 4 et 5

 RNIS
43
 Broches 3, 4, 5 et 6

Support physique
 Gigogne

 Analogique et numérique

 Broches 1 et 3

 RNIS (Numéris)

 Broches 1,2, 3 et 5

44

22
Plan de numérotation
 Pour commuter, nécessité de définir un plan de numérotation à
l’installation du PABX

 Plan de numérotation :

 Association d’un numéro interne à chaque poste

 Hiérarchisation de ce plan

 Exemple : à 3 chiffres

 Administration : plage de 100 à 150

 Bureaux : plage de 200 à 250


45

 Ateliers : plage de 300 à 350

Plan de numérotation
 Détails de la plage de l’Administration :
 100 = Standard
 101 à 109 : Secrétaires
 110 à 130 : Direction
 130 à 150 : Services généraux

 Association de certains numéros internes avec numéros accessibles


depuis l’extérieur (SDA)

 Exemple :

 standard =
 100 en interne, 46

 05 58 05 76 00 depuis l’extérieur

23
Configuration du PABX
 Faîte à partir d’un logiciel propriétaire Préinstallé sur le PABX
(connexion à partir d’un terminal)

 Installé sur un PC qui dialogue avec PABX par un port spécifique


ou par un port Ethernet

 Logiciels différents

 pour chaque constructeur

 Pour chaque version

47

24

Vous aimerez peut-être aussi