DEPARTEMENT : ELECTRONIQUE
L’interrupteur Crépusculaire
Introduction générale :
- L’interrupteur crépusculaire est un module permettant de commander l’éclairage en
fonction de la luminosité.Pour cela,l’interrupteur crépusculaire est équipé d’une cellule
photorésistante qui mesure la luminosité ambiante,l’utilisateur doit régler un seuil à partir
duquel l’éclairage pourra s’allumer.Découvrez le principe de fonctionnement du relais
crépusculaire,son shéma de reccordement et la méthode de réglage du module photosensible
Chapitre 1 :
Généralités
II.1 La photorésistance
II.2 Le Darlington :
II.3 Le Transistor :
est un dispositif électronique à base de semi-conducteur de la famille
des transistors. Son principe de fonctionnement est basé sur deux jonctions PN,
l'une en direct et l'autre en inverse. La polarisation de la jonction PN inverse par
un faible courant électrique (parfois appelé effet transistor) permet de
« commander » un courant beaucoup plus important, suivant le principe de
l'amplification de courant. Il est à noter qu'aucun électron n'est effectivement
« créé » : la polarisation appropriée permet à un réservoir d'électrons libres de
circuler différemment.
Chapitre 2 :
Logiciel
PROTEUS
et
TCI
INTRODUCTIO N
logiciel Proteus :
Présentation générale
Cette suite logicielle est très connue dans le domaine de l'électronique. De
nombreuses entreprises et organismes de formation (incluant lycée et
université) utilisent cette suite logicielle. Outre la popularité de l'outil, Proteus
possède d'autres avantages
logiciel TCI :
PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT :
0 1 2 3 4 5 6
R1 6.33 6.33 6.33 6.33 6.33 6.33 6.34
R2 11.8 11.8 11.8 11.8 11.8 11.8 11.3
R3 0.49 0.49 0.49 0.49 0.49 0.49 11.9
R4 0 0 0 0 0 0 0
R5 10.8 10.8 10.8 10.8 10.8 10.8 0
RV 4.96 4.96 4.96 4.96 4.96 4.96 4.97
LDR 0.70 0.70 0.70 0.70 0.70 0.70 0.70
LMP 5.21 5.21 5.21 5.21 5.21 5.21 0
VCe1 0.17 0.18 0.18 0.19 0.20 0.23 0.70
VCe2 11.5 11.5 11.5 11.5 11.5 11.5 0.07
VCe3 6.79 6.79 6.79 6.79 6.79 6.79 12
- Les Valeurs des courants :
1 2 3 4 5 6
IR1 0.03 0.03 0.03 0.03 0.03 0.03
IR3 0.04 0.04 0.04 1.16 1.16 1.16
IR4 4.5 2.48 2.47 4.48 3.46 3.45
IR5 0.04 0.04 0.04 0 0 0
IRV 0.03 0.03 0.03 0.03 0.03 0.03
ILDR 0 0 0.02 0.02 0.03 0.03
ILM 217 217 217 0 0 0
P
IC1 2.46 2.46 2.46 1.66 0.58 0.03
IB1 0.03 0.02 0.01 0 0 0
IC2 0 0 0 1.16 1.16 1.16
IB2 0 0 0 0.66 1.72 2.26
IC3 217 217 217 0 0 0
IB3 0.04 0.04 0.04 0 0 0
IR2 2.46 2.46 2.46 2.32 2.30 2.29
10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
1 A A A A A A A A E E
2 A A A A A E E E E E
3 A A A A E E E E E E
4 A A A E E E E E E E
5 A A E E E E E E E E
6 A E E E E E E E E E
7 E E E E E E E E E E
8 E E E E E E E E E E
9 E E E E E E E E E E
10 E E E E E E E E E E
11 E E E E E E E E E E
Partie Theorique :
CRÉATION DU CIRCUIT IMPRIMÉ:
Chapitre 4 :
Réalisation
La Plaque D'essai
la plaque d’essai :
☞ La machine projetant des rayons ultra-violets sur la couche photosensible s’appelle une
insoleuse.
MODE OPÉRATOIRE :
Une fois que la gravure est terminée, vous obtenez sur la plaque des pistes de
cuivre représentant le tracé du typon. Il faut maintenant percer la plaque aux
points où devront être introduits et soudés les composants. Le diamètre de
perçage dépend de la taille des pattes des composants. Pour résumer, on peut
dire qu’il existe 3 dimensions de pattes de composants :
☞ Pour les petits composants (circuits imprimés, fils, etc.) on percera avec un
forêt de 0,6 mm à 0,8 mm ☞ Pour les composants moyens (résistances,
condensateurs, certaines diodes, LED, etc.) on percera avec un forêt de 0,8 mm à
1 mm
☞ Pour les gros composants (relais, bornier de raccordement, certaines diodes,
etc.) on percera avec un forêt de 1 mm à 1,2 mm
☞ Ne pas souder directement les circuits intégrés sur le circuit imprimé mais
utiliser les supports au nombre de pattes correspondant. Ces supports
possèdent un ergot de positionnement et devront être soudés dans le bon sens.
Pour souder efficacement il faut maintenir la panne du fer contre les parties à
souder et les chauffer ensemble pendant 2 à 3 secondes puis déposer l'étain sur
les parties métalliques à unir, laisser fondre la soudure pour constituer un cône
et enfin retirer l'étain puis le fer à souder. L’étain ne doit pas être déposé
directement sur le fer, mais sur les pattes des composants qui ont été
préalablement chauffées. Pour obtenir de belles soudures en forme de cône bien
lisse et brillant, il faut chauffer les parties métalliques avant d’appliquer l’étain,
et appliquer l’étain uniquement sur des parties bien chaudes afin qu’il puisse
facilement et naturellement s’étaler et recouvrir toutes la surface à souder.
Attention tout de même, certains composants en plastique craignent les
chaleurs trop élevées (condensateurs, support de circuits intégrés, etc.), il faut
donc parfois être rapide.
☞ Une bonne soudure présente l'aspect d'un cône brillant, lisse et étalé. Une soudure trop
rapide laisse une boule d'étain collée, sans vrai contact avec les composants .
Conclusion :
La réalisation d'un tel type de projet nous a permit d’améliorer et d’exploiter
nos expériences, ainsi d’acquérir de nouvelles connaissances théoriques et
pratiques sur de multiples domaines.