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LA MINISTRE DES TÉLÉCOMS RÉAFFIRME QU’AU-DELÀ DU 30 JUIN, LES PUCES DE TÉLÉPHONES NON IDENTIFIÉES SERONT DÉSACTIVÉES (INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
SPANISH TOMSA DESTIL WILL BUILD A PLANTAIN PROCESSING UNIT IN CAMEROON (BUSINESSINCAMEROON.COM)
THE INSTITUTE OF ECONOMICS AND PEACE RANKS CAMEROON AMONG LEAST PEACEFUL COUNTRIES IN AFRICA (BUSINESSINCAMEROON.COM)
LA GRIPPE AVIAIRE S’ÉTEND À LA PARTIE SEPTENTRIONALE DU CAMEROUN, APRÈS LA DÉCOUVERTE D’AU MOINS UN CAS À DABER (INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
SPANISH TOMSA DESTIL WILL BUILD A PLANTAIN PROCESSING UNIT IN CAMEROON (BUSINESSINCAMEROON.COM)
The Société d’actions prioritaires intégrées de développement agri-
cole au Cameroun (Sapidacam – Integrated Agricultural Develop-
ment Priority Actions Company in Cameroon) and the Spanish agro-
industrial firm Tomsa Destil signed on 10th June 2016 in Yaoundé,
the Cameroonian capital, a partnership agreement for the construc-
tion of a plantain processing unit in the country. The project, which
has a plantain product component, plans to set up farms from which
will be harvested 500,000 tons of plantains on a yearly basis. The
plant for its part will be producing 200,000 tons of chips, 300,000
tons of plantain flour, 1.2 billion litres of ethanol. Through the bio-
mass, the project is also planning for the production of 200 mega-
watts of electricity and 120,000 m3 of biogas, we officially learn.
Sapidacam is already sponsoring a plantain production agropole in
the town of Mpagne, in the Eastern region of Cameroon. As part of
this project launched in 2015, with an investment of FCfa 1.8 billion, this Cameroonian company was planning to
create farms covering 2,700 hectares in total and develop 20 km of roads.
THE INSTITUTE OF ECONOMICS AND PEACE RANKS CAMEROON AMONG LEAST PEACEFUL
COUNTRIES IN AFRICA (BUSINESSINCAMEROON.COM)
LA GRIPPE AVIAIRE S’ÉTEND À LA PARTIE SEPTENTRIONALE DU CAMEROUN, APRÈS LA DÉCOUVERTE D’AU MOINS
UN CAS À DABER (INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
Les examens effectués par le Centre Pasteur ont confirmé la découverte, le 10 juin 2016, d’au moins un cas de grippe
aviaire dans la localité de Daber, située à 75 km de la ville de Tibati, département du Djerem. L’épizootie pour l’ins-
tant maîtrisée, qui s’est déclenchée dans la capitale camerounaise fin mai dernier, atteint ainsi la partie septentrio-
nale du pays. Avec des conséquences déjà désastreuses pour de nombreux opérateurs de la filière avicole locale.
C’est le cinquième foyer de la grippe aviaire qui est ainsi découvert au Cameroun en moins de trois semaines, après
la ville de Yaoundé, la capitale ; Bayangam et Bafoussam, dans la région de l’Ouest ; et Ebolowa, la capitale régio-
nale du Sud. Comme mesures d’urgence, les autorités publiques ont toujours prescrit l’abattage des sujets dans les
fermes infectées, le renforcement des mesures de bio-surveillance dans les fermes encore saintes, et l’interdiction
de la vente du poulet. Cette dernière mesure est contournée par nombre d’opérateurs de la filière, qui continuent de
vendre leur production au noir. En effet, soutient le président de l’Interprofession avicole du Cameroun (Ipavic),
François Djonou,«si le poulet et les œufs ne sont pas vendus, ce sera une catastrophe pour la filière, avec un impact
sur l’économie du pays».Aussi, la corporation des aviculteurs manœuvre-t-elle actuellement auprès des pouvoirs pu-
blics, pour que, précise le président de l’Ipavic, des marchés temporaires soient créées sur des sites réputés saints à
Yaoundé et Bafoussam, afin de permettre aux producteurs d’écouler leurs produits.