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Pour communiquer.

Après un merveilleux voyage dans un pays exotique, racontez votre périple


de façon poétique à partir des éléments suivants.
1. Décrire le Nil par temps de pluie :
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2. Associer la jungle à un espace dangereux et mystérieux :
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3. Évoquer poétiquement un paysage recouvert de brouillard : ________________________________________
4. Dépeindre des groupes d’arbres au second plan :
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5. Décrire un voyageur observant l’horizon :
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6. Évoquer une ambiance tropicale dans un site humide et éblouissant : ________________________________

1. Le Nil était en crue avec ses eaux rouges à cause de la glaise, que les trombes d'eau eurent
lavé du bord ces derniers jours.
2. La jungle me semblait, qu’elle remplit de pièges et de maléfices.
3. Le paysage était nimbé d’une buée opaque. Tout le monde était plongé dans le brouillard
tant épais, que la lumière des réverbères était amortie.
4. Dans le lointain, s’élevaient les bosquets, qui était presque qu’invisible par la chaleur
vibrante.
5. Francis observa intensément avec les yeux plissés l’horizon.
6. La jungle semblait une barrière de végétation impénétrable, nimbée d’une buée opaque,
sous un ciel plombé, qui réverbérait chaleur moite et lumière aveuglante.

À vous ! DALF Faites le récit d’un voyage au cours duquel vous avez emprunté un moyen de
transport original. Décrivez les paysages que vous avez vus défiler. À l’instar de l’écrivain, soyez
poétique et inspiré(e) !

Peut-être il semble que ma vie c’est très ennuyeuse, mais, vraiment, je n’ai jamais utilisé un moyen
de transport original. Une seule expérience vaut être raconté ici. Quand je vivais au Chili avant à peu
près quinze ans je devais renouveler mon visa chaque trois moins. Dans ce temps était possible faire
ça de cette façon qu’on quitte le territoire et entre un autre pays. Donc je prenais à intervalles
réguliers le bus en Argentine et traversait les Andes comme Hannibal les Alpes sur ma croisade
propre contre une bureaucratie lente et compliquée. Le voyage de Santiago à Mendoza était long et
pénible, mais la vue sur la vallée e les montagnes était spectaculaire. Je collais á fenêtre, aplatais
mon nez et admirais la beauté de cette nature rude. Plus haute nous montaient plus clairsemée était
la végétation. La belle combinaison des rochers sauvages, du ciel azur et clair, des sommets blancs
par la neige était vertigineuse. Au point le plus haut était situé le poste frontière. Dans cette altitude
il faisait un froid glacial de nuit, mais quand j’étais descendue du bus pour aller dans la baraque ou
des agents des douanes buvaient son maté, j’étais arrêtée pour la beauté du ciel. Je n’ai plus jamais
vu les étoiles plus proches.

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