cours par correspondance

L’ATLANTIDE
ET LA
RACE ARYENNE

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anthropologique, culturelles
et scientifiques.
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« L’existence de
l’Atlantide a été
dûment démontrée de
façon concluante par
les véritables Sages
qui, de temps à autre,
sont apparus sur la
Terre. »
Samael Aun Weor
Les enseignements contenus dans
cette brochure sont intégralement
tirés de l’œuvre orale et écrite du
Dr. Samael Aun Weor, anthropologue
et philosophe contemporain qui a su
réunir et dévoiler les plus précieux
trésors de la Sagesse Universelle.
L’Atlantide et la race Aryenne
OUI, L’ATLANTIDE A EXISTÉ
« Les peuples et les cultures de l’Âge de la Pierre ne sont ni le début ni la
fin du monde ; ils sont uniquement le déclin et la dégénérescence de richissimes
civilisations antérieures et cela est démontré par les restes des cultures préhisto-
riques, par les données de la philologie comparée, qui démontrent la surprenante
richesse psychologique des langues archaïques, par les documents irréfutables de
littérature et d’art anciens ».
« Les peuples véritablement sauvages ou demi-sauvages trouvés par les explo-
rateurs modernes sont, sans aucun doute, des descendants dégénérés de peuples
extraordinairement cultivés qui ont existé avant l’Âge de la Pierre ».
« Tous les peuples sauvages ou demi-sauvages ont des légendes et des tra-
ditions issues d’un Âge d’Or ou d’une étape héroïque, mais, en réalité, ces tra-
ditions, ces légendes, parlent de leur propre passé, de leur propre et ancienne
civilisation ».
« Le même fait explique, avec une clarté méridienne, la supériorité incontes-
table des dessins paléolithiques, c’est-à-dire les plus anciens trouvés dans les pro-
fondes cavernes de la terre, par rapport aux dessins néolithiques, c’est-à-dire les
plus récents ».
Samael Aun Weor : « Message de Noël 67-68 ».
Il y a, dans le Codex Borgia, une figure représentant Atlanteotl qui porte sur
ses épaules les eaux célestes, exactement comme l’Atlas grec auquel nous avons
l’habitude de donner la priorité pour ce symbole.
Il va de soi, disons-le franchement et sans vain détour, que le légendaire Atlas
grec est une copie fidèle de l’héroïque Atlanteotl maya et aztèque.
En supprimant, avec un délicat raffinement de l’intellect, la désinence « otl » de
ce nom lumineux cité plus haut, ressort alors le mot Atlante.
Atlante-otl : ce mot ayant été expliqué par ses racines, il ne nous reste plus qu’à
affirmer catégoriquement qu’il n’est pas question ici de vaine étymologie empiri-
que, arbitrairement sélectionnée, ni de pure coïncidence, comme le supposent tou-
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Samael Aun Weor
jours les ignorants instruits.
Extraordinaire et légitime concordance linguistique, explicable seulement grâce
au tronc Atlante commun aux peuples Américains et Méditérranéo-Sémites. Les
uns et les autres ont incontestablement leur racine dans la terre enchantée d’Olisis,
l’Atlantide, submergée à présent dans la mer des ténèbres, dans l’obscur brouillard
de légendes d’horreur, de naufrages effrayants et de voyages sans retour.
Mer immense, à Gibraltar, au-delà des colonnes d’Hercule, se tient, orageuse,
ton onde infinie, aux mystères infranchissables pour les navigateurs...
La légende tragique remplit ton étendue avec le pouvoir collectif des géné-
rations qui t’ont ainsi contemplée, et le poète écoute, dans la voix de tes vagues
immenses, la rumeur de tes tragédies et la clameur de tes mondes ensevelis !...
L’Atlantide, ce vaste continent disparu qu’on a considéré comme une rêverie
de poète, comme une création du Mental Divin de Platon, l’Initié, et rien de plus,
a réellement existé.
L’Intuition du poète est la vision du génie ; celui qui la nie, c’est parce qu’il
ne peut voir avec le pouvoir immense du poète. Les Sages ne sont grands que
lorsqu’ils parviennent à être poètes ; lorsque, se mettant au-dessus des détails, ils
sentent les harmonies latentes au fond de tout ce qui existe, et qu’ils peuvent nous
emporter dans des sphères supérieures.
C’est ainsi que l’auteur des « Métamorphoses des plantes » a pu écrire son
« Faust », et celui de la Philogénie donner son Credo ; ainsi encore que Humboldt
a pu réaliser son Cosmos, et le divin Platon son Timée et son Critias, et Poe son
Eurêka, tous poèmes de la Vie Universelle qui n’est autre que le Souffle de l’Oc-
culte...
« Vois-tu cette mer qui embrasse la terre d’un pôle à l’autre ? disait son Maître
à Christophe Colomb ; elle fut, un jour, le Jardin des Hespérides. Le Téide régur-
gite encore ses restes, en mugissant de manière effroyable, tel un monstre gardien
du terrain d’un massacre ! »
« Ici ont lutté les Titans ; là fleurissaient de populeuses citées… Aujourd’hui,
dans les palais marmoréens, ce sont les phoques qui se rassemblent, et dans les
prairies où paissaient les agneaux on voit des algues »…
H.P. Blavatsky, dans les stances anthropologiques, stances 10, 11 et 12, dit tex-
tuellement ce qui suit :
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L’Atlantide et la race Aryenne
« Ainsi, deux par deux, dans les sept zones, la Troisième Race (les Lémuriens),
donna naissance à la Quatrième (les Atlantes) ».
« Les Suras ou Dieux (Hommes parfaits) se convertirent en Asuras ou NON-
DIEUX (la gent pécheresse) ».
« La Première (sous-race) dans chaque zone était de la couleur de la lune ;
la Seconde, jaune comme l’or ; la Troisième, rouge, et la quatrième, de couleur
brune, devint noire par le péché ».
« Ils crûrent en orgueil, ceux de la Troisième et de la Quatrième (sous-races
Atlantes), disant : nous sommes les Rois ; nous sommes les Dieux ».
« Ils prirent des épouses de belle apparence dans la race de ceux qui étaient
encore sans mental, ou de « tête étroite », engendrant des monstres, des démons
maléfiques, mâles et femelles, et également des KHADOS au mental pauvre ».
« Ils construirent d’énormes cités ; ils taillèrent leurs propres images, de leur
taille et à leur ressemblance, et les adorèrent ».
« Des feux intérieurs avaient déjà détruit la Terre de leurs Pères (la Lémurie),
et l’eau menaçait la Quatrième Race (l’Atlantide) ».
« Les Premières Grandes Eaux vinrent et submergèrent les Sept Grandes Iles.
Tous les Bons furent sauvés et les mauvais détruits... »
« Il resta peu d’hommes : quelques-uns de couleur jaune, quelques bruns et
noirs, et quelques rouges. Ceux de la couleur de la lune (les Tuatha) avaient dis-
paru pour toujours ».
« La Cinquième Race (l’humanité qui peuple actuellement la surface de la
terre, en incluant les Mayas, Incas, Quichés, Toltèques, Nahuas, Aztèques de
l’Amériques pré-colombienne), tout entière issue du Tronc Saint (le Peuple Élu
Sauvé des Eaux), resta et fut gouvernée par les premiers Rois Divins ».
« Les Serpents (Dragons de Sagesse ou Rishis) redescendirent et firent la paix
avec les hommes de la Cinquième Race qu’ils éduquèrent et instruisirent… »
Dans la vieille Égypte de Pharaons, les prêtres de SAÏS dirent à Solon que
l’Atlantide avait été détruite 9 000 ans avant leur conversation.
Le célèbre docteur Paul Schliemann, qui eut le grand honneur de découvrir les
ruines de la vieille Troie, a trouvé dans le trésor de Priam un étrange vase de forme
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Samael Aun Weor
très particulière, sur lequel était gravée une phrase en caractères phéniciens qui dit
textuellement : « Du roi Chronos de l’Atlantide ».
Il s’avère intéressant de savoir que, parmi les objets déterrés à Tlahuanaca,
en Amérique centrale, on a trouvé des vases très semblables à ceux du trésor de
Priam.
Quand ces vases mystérieux furent intentionnellement brisés dans des buts
scientifiques, on y trouva certaines pièces de monnaie sur lesquelles on pouvait
lire, avec une entière clarté, une phrase qui disait : « Émis dans le Temple aux Murs
Transparents ».
Ce Temple, mentionné sur les vases mystérieux, était sans nul doute la Tréso-
rerie Nationale Atlante.
Certainement, l’Atlantide de Platon a cessé d’être un simple mythe et s’est
converti en un fait concret, réel et effectif. Il y a peu de temps, en Espagne, un
groupe de scientifiques se préparait pour l’exploration de l’Atlantide. Les experts
en matière maritime savent bien qu’il existe une grande plate-forme au fond de la
mer, entre l’Amérique et l’Europe. Incontestablement, cette plate-forme appartient
à l’Atlantide.
En face des côtes du Pérou, à 1 500 mètres de profondeur, on a pu observer des
colonnes très bien façonnées, très bien taillées, d’édifices atlantes, et on a pu en
faire de magnifiques photographies. Avec tout cela, l’existence de l’Atlantide est
démontrée. Mais les scientifiques stupides continuent, comme toujours à nier…
En plus de tout cela, la question raciale s’avère en elle-même un important
témoignage de l’Atlantide. Si nous nous transportions, ne serait-ce qu’un instant, à
Toluca (Mexique), nous rencontrerions l’œil bridé, propre à la race japonaise et à la
Chine orientale. Cela est plus que suffisant pour nous indiquer un tronc commun
entre l’Est et l’Ouest.
Mais poursuivons l’étude de quelques preuves significatives. Dans ce but, je
vais transcrire la traduction d’un manuscrit Maya qui fait partie de la fameuse
collection « Le Plongeon », les manuscrits de Troano que l’on peut voir au British
Museum :
« En l’an 6 de Khan, le 11 Muluk, du mois de Zrc, il se produit de terribles
tremblements de terre qui continuèrent sans interruption jusqu’au 13 Chuen. Le
pays des collines de glaise, la terre de MU, fut sacrifié.
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L’Atlantide et la race Aryenne
« Après deux secousses, il disparut durant la nuit, étant constamment ébranlé
par les feux souterrains qui firent que la terre s’enfonça et réapparut plusieurs
fois en divers endroits. Finalement, la surface céda et dix pays se disloquèrent et
disparurent. 64 millions d’habitants furent engloutis, 8 000 ans avant que ce livre
fût écrit ».
Dans les archives très anciennes du vieux temple de Lhassa (au Tibet), on peut
voir une vieille inscription chaldéenne, écrite quelque 2 000 ans avant le Christ, et
qui dit littéralement ceci :
« Lorsque l’étoile de Bal tomba sur le lieu où il n’y a plus maintenant que ciel
et mer (l’océan Atlantique), les Sept Villes avec leurs portes d’Or et leurs Temples
Transparents, tremblèrent et furent secouées comme les feuilles d’un arbre agitées
par la tempête.
« Et voici qu’une grande vague de feu et de cendres s’éleva des palais : les cris
d’agonie de la foule remplissaient l’air.
« Elle chercha refuge dans ses temples et ses citadelles, et le sage Mu, le sacer-
dote Ra-Mu, se présenta et lui dit : ne vous ai-je pas prédit tout cela ? Hommes
et femmes, couverts de pierres précieuses et de vêtements brillants, s’exclamèrent
en disant :
« Mu, sauve-nous ! » Et Mu répliqua : « Vous allez tous périr, avec vos servi-
teurs et vos richesses, et de vos cendres surgiront de nouvelles nations. Et si elles
(il se référait à notre actuelle race aryenne) oublient qu’elles doivent être supérieu-
res non par ce qu’elles acquièrent mais par ce qu’elles donnent, le même sort les
frappera ».
« Les flammes et la fumée étouffèrent les paroles de Mu, et la terre se brisa et
fut submergée avec ses habitants dans les profondeurs en quelques mois ».
Et que pourraient-ils objecter, maintenant, nos aimables critiques, devant ces
deux récits, l’un du Tibet et l’autre de l’Amérique centrale, qui relatent tous les
deux, de manière spécifique, la même catastrophe ?
Outre ces extraordinaires similitudes, si vraiment nous désirons encore plus
d’évidences, il est évident que nous devons faire appel à la Philologie.
Il s’avère clair et manifeste que le Viracocha péruvien est tout à fait le même
que le Viraj, Homme Divin, Kabir ou Logos, des Hindous, et le mot inca lui-
même, si on permute les lettres, peut se lire Caïn (Prêtre-roi). C’est pourquoi les
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Samael Aun Weor
innombrables connexions intrinsèques qui rapprochent la doctrine et les faits
culturels des premiers Incas avec le domaine de l’initiation orientale ne doivent pas
nous étonner.
C’est de manière évidente que le grand historien romain César Cantu relie
savamment les premiers Incas avec certaines tribus Mongoles ou Shamaniques
très anciennes, ce qui revient à dire que par l’apparition inopinée du Manu du nord,
ou Manco Capac et de sa noble compagne (COYA ou IACO), s’explique sans
doute la miraculeuse circonstance que nous fait intelligemment remarquer H.P.
Blavatsky relativement au phénomène théurgique de ces êtres purs ou Shamans
qui ont l’habitude de prêter leur corps physique aux Génies des Mondes Suprasen-
sibles dans l’évident dessein d’aider l’humanité ; prodige qu’on ne doit en aucune
façon confondre avec le médiumnisme de type spirite…
L’ineffable « Tao » chinois est ce même « Deus » latin, le « Dieu » français, le
« Theos » grec, le « Dios » espagnol et aussi le « Teotl » nahuatl aztèque.
Le « pater » latin se retrouve, de manière irréfutable, dans le « father » anglais,
le « vater » allemand, le « fader » suédois, de même que dans le « padre » espa-
gnol et enfin le « pa » ou le « ba » amérindien.
La douce « mater » du latin est indéniablement la même « mat » russe, la
« mère » française, la « mother » anglaise, la noble « madre » espagnole, et aussi
la « Na » ou « maya » en maya ou en quechua. Extraordinaires similitudes linguis-
tiques qui nous signalent ou indiquent qu’elles sont bien plus que simple ostenta-
tion, artifice ou jeu étymologique.
UN ÉNORME CONTINENT
Notre planète Terre n’a pas toujours été telle qu’elle est maintenant ; sa physio-
nomie a changé plusieurs fois. Si nous examinons les quatre cartes d’Elliot Scott,
nous verrons qu’il y a un million d’années la terre était complètement différente.
Ces quatre cartes géographiques méritent d’être prises en considération. Elles res-
semblent à quatre cartes qui ont existé et qui existent encore dans certaines cryptes
souterraines de l’Asie centrale. Ces cartes ne sont pas connues des pédants de la
science matérialiste. Elles sont secrètement gardées dans le dessein d’être conser-
vées intactes, car nous savons bien que les messieurs de la fausse science sont tou-
jours disposés à altérer tout, dans le but de justifier leurs si fameuses théories.
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L’Atlantide et la race Aryenne
La première de ces cartes d’Elliot Scott attire beaucoup l’attention ; elle est
extrêmement intéressante. On y voit le monde tel qu’il était il y a quelque huit cent
mille ans avant Jésus-Christ. Alors, la région des brachycéphales de la si fameuse
anthropologie ultra-moderne n’existait pas.
Depuis le détroit de Béring, en passant par la Sibérie et l’Europe jusqu’à la
France et l’Allemagne, la seule chose qu’il y avait, c’était de l’eau. La Sibérie et
l’Europe n’avaient pas, à proprement parlé, surgi du fond des océans.
De l’Afrique, il n’existait rien, sinon la partie orientale, car l’Ouest et le Sud de
ce continent étaient submergés dans les vagues furieuses de l’océan. Ce petit conti-
nent qui existait alors en Afrique Orientale était connu sous le nom de Grabonci.
L’Amérique du Sud était enfouie sous les eaux de l’océan ; elle n’avait pas surgi
à l’existence. Les États-Unis, le Canada, l’Alaska, tout cela était submergé dans
l’océan, et cependant le Mexique existait.
Il semble incroyable que huit cent mille ans avant Jésus-Christ, le Mexique
existât déjà. Quand l’Europe n’existait pas encore, le Mexique existait ; quand
l’Amérique du Sud n’était pas sortie du fond de l’océan, le Mexique existait.
Ceci nous invite à comprendre que parmi les entrailles de cette terre du Mexi-
que, aussi vieille que le monde, il y a des trésors archéologiques et ésotériques
extraordinaires qui n’ont pas encore été découverts par la pelle des archéologues.
L’ancienne mer de Kolhidius, située au nord-ouest du continent récemment
formé et connu alors sous le nom d’Ashhark (Asie), a changé de nom et elle est
aujourd’hui connue sous le nom de mer Caspienne.
Les côtes de cette mer Caspienne étaient formées par des terres qui, en émer-
geant de l’océan, s’étaient unies au continent asiatique.
L’Asie, la mer Caspienne et tout ce bloc de terres réunies est ce qu’on appelle
aujourd’hui Caucase.
Ledit bloc s’appelait à cette époque Frianktzanarali, et plus tard Kolhidishissi,
mais aujourd’hui, comme nous l’avons déjà dit et nous le répétons, c’est le Cau-
case.
C’est là que se trouvait alors un grand fleuve qui fertilisait toute la riche terre
de Tikliamis et qui débouchait dans la mer Caspienne ; ce fleuve s’appelait alors
Oksoseria, et il existe toujours, mais il ne débouche plus dans la mer Caspienne, à
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Samael Aun Weor
cause d’un tremblement secondaire qui l’a dévié vers la droite.
Le riche débit d’eau de ce fleuve se précipita violemment vers la zone la plus
basse du continent asiatique, donnant naissance à la petite mer d’Aral ; mais le très
ancien lit de ce vieux fleuve appelé maintenant Amou Darya, est toujours visible,
tel un témoignage sacré du cours des siècles.
L’Atlantide passa par de terribles et épouvantables catastrophes avant de dis-
paraître totalement.
La première catastrophe se produisit il y a plus ou moins 800 000 ans ; la
seconde catastrophe survint il y a environ 200 000 ans ; la troisième catastrophe
survint il y a environ 11 000 ans et de celle-là, comme de son déluge, tous les peu-
ples gardent un souvenir plus ou moins confus.
Après la troisième grande catastrophe qui en finit avec l’Atlantide, l’ancien pays
de Tikliamis, avec sa formidable capitale située sur les rives du fleuve cité plus
haut, qui débouchait dans la mer Caspienne et qui, plus tard, donna naissance à la
mer d’Aral, fut recouvert par les sables avec tous ses habitants et ses villages et, à
présent, ce n’est plus qu’un désert.
En ces temps-là, inconnus d’un César Cantu et de son histoire universelle, il
existait en Asie un autre beau pays connu sous le nom de Marapleicie ; ce pays
faisait du commerce avec Tikliamis et il existait même entre eux une très forte
concurrence commerciale.
Plus tard, ce pays de Marapleicie prit le nom de Goblandia, à cause de la
grande cité de Gob.
Goblandia et sa puissante cité furent engloutis par les sables du désert. Dans
les sables du désert de Gob sont cachés de très riches trésors atlantes et de puissan-
tes machines inconnues de ces gens de la race aryenne.
De temps en temps, les sables laissent tous ces trésors à découvert, mais per-
sonne n’ose les toucher, car celui qui essaie est instantanément tué par les Gnomes
qui les surveillent.
Seuls les hommes de la future Sixième Grande Race pourront connaître ces
trésors, et ceci à condition d’une conduite droite.
À l’époque de l’antique Atlantide, existaient des cités puissantes : Yafabin était
le Paris de l’époque, où se réunissait l’élite intellectuelle, et Toyan, la ville aux sept
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L’Atlantide et la race Aryenne
portes, située à l’angle sud-ouest, était la capitale de ce grand pays.
L’Atlantide, en soi, s’étendait du Brésil jusqu’aux Açores et de la nouvelle Écosse
directement sur la totalité de l’Océan Atlantique ; cela est totalement prouvé.
Ainsi, en réalité, l’Atlantide recouvrait dans sa totalité l’Océan qui porte son
nom. C’était un grand pays : imaginez un instant l’Atlantide se projetant jusqu’aux
Açores, jusqu’à la nouvelle Écosse et descendant jusqu’au Brésil actuel.
Comme reste de l’Atlantide, nous avons l’archipel des Antilles, etc., les Cana-
ries sont aussi des vestiges de ce qui fut l’Atlantide, et même l’Espagne n’est rien
d’autre qu’un morceau de l’ancienne Atlantide.
Comme ce continent était énorme ! Il s’étendait du Sud au Nord ; il était gran-
diose. Il s’est enfoncé à travers d’incessants tremblements de terre. Plusieurs catas-
trophes, comme nous l’avons dit, ont été nécessaires pour que l’Atlantide dispa-
raisse définitivement.
Que ce continent se soit enfoncé « comme la crème dans le lait » est absurde ;
c’est une affirmation sotte des ignorants cultivés. Si l’Atlantide s’enfonça, ce fut
comme conséquence de la révolution des axes de la terre ; mais cela, les partisans
du matérialisme ne le savent pas.
La catastrophe de l’Atlantide laissa nos continents en mauvaise posture. Si
vous observez les Amériques, vous verrez que du côté du Pacifique, elles s’incli-
nent comme si elles désiraient s’enfoncer dans l’océan, tandis que le côté oriental
s’élève. C’est quelque chose de similaire à ce qui arrive à un bateau : il ne s’enfonce
jamais verticalement mais toujours sur un côté.
La cordillère des Andes elle-même s’incline vers l’Océan Pacifique. Regardons
l’Europe : nul doute qu’elle veut s’enfoncer dans la méditerranée, elle est plus sub-
mergée dans la profondeur de la mer. Il arrive la même chose avec l’Allemagne et
la Russie. Le continent asiatique est incliné, comme s’il voulait s’enfoncer dans la
mer des Indes. Les continents sont restés endommagés par la grande catastrophe de
l’Atlantide qui a déséquilibré la formation géologique de notre monde.
Il y a toujours un âge primaire, secondaire, tertiaire et quaternaire. Pensons à
ces âges en relation avec les mouvements qu’expérimente la croûte terrestre ; ce
mouvement géologique qui se produit périodiquement sur son propre axe ; ce mou-
vement des continents sur cette substance pâteuse et gélatineuse.
Par sa constitution, la terre ressemble à un œuf : les continents sont comme le
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Samael Aun Weor
jaune, se soutenant sur une substance claire, pâteuse, fluidique et gélatineuse. Ce
jaune n’est pas tranquille ; il bouge et tourne sur un axe périodiquement.
De ce point de vue, nous pouvons parler d’âges primaires, secondaires, ter-
tiaires et quaternaires, d’un Éocène, d’une période primaire inconnue des gens, de
l’Oligocène, du Miocène et du Pliocène, avec cette sorte de catastrophe qu’il y a
aussi avec des glaciations terribles, nous ne le nions pas.
L’Atlantide marque la fin de l’ère tertiaire, la fin de l’Atlantide, c’est clair. Cette
ère tertiaire fut très belle par ses Édens et délicieuse pour ses grands Paradis.
Plusieurs glaciations ont surgi. Nul doute que nous nous approchons d’une
autre glaciation. Il y a des catastrophes produites par la révolution des axes de la
terre, par la verticalisation des pôles du monde. Il y a aussi des catastrophes pro-
duites par le mouvement des continents. Alors surgissent des tremblements de terre
et surviennent des glaciations.
Durant l’époque de l’Atlantide, les pôles Nord et Sud n’étaient pas là où ils sont
à présent. Le pôle Nord, l’Arctique, était alors situé sur la ligne équatoriale, au
point oriental le plus extrême de l’Afrique et de l’Antarctique.
À l’opposé, le pôle Sud était exactement situé sur la ligne équatoriale même,
dans un lieu spécifique du Pacifique.
Il y a donc eu de terribles changements dans la physionomie du globe terrestre.
Les véritables cartes anciennes sont inconnues des savants de notre époque. Dans
les cryptes secrètes des lamas, dans les montagnes de l’Himalaya, il y a des cartes
de la Terre ancienne, des cartes géographiques qui démontrent que notre monde
avait une autre physionomie dans le passé.
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L’Atlantide et la race Aryenne
UNE PUISSANTE CIVILISATION
« L’homme qui a inventé les termes fatidiques Bien et Mal était un atlante du
nom de MAKARI KRONVERNKZYON, membre distingué de la société scientifi-
que Akaldan qui était implantée dans le continent atlante submergé ».
« Jamais le vieux sage ne soupçonna l’ampleur du dommage qu’il allait causer
à l’humanité par l’invention de ces deux petits mots ».
« Les savants atlantes étudièrent profondément toutes les forces évolutives,
involutives et neutres de la nature, mais ce vieux savant eut l’idée de définir les
deux premières avec les termes BIEN et MAL. Les forces de type évolutif, il les
appela BONNES, et les forces de type involutif, il les baptisa du terme de MAU-
VAISES. Les forces neutres, il ne leur donna aucun nom ».
« Ces forces agissent en l’homme et dans la nature, la force neutre constituant
le point d’appui et d’équilibre ».
« De nombreux siècles après la submersion de l’Atlantide, avec sa fameuse
capitale Poséidonis dont nous a parlé Platon dans sa « République », il y eut, dans
la civilisation orientale, Tiklyamishayana, un très vieux prêtre qui commit l’er-
reur gravissime d’abuser des termes Bien et Mal en les utilisant stupidement pour
fonder sur eux une morale. Le nom de ce prêtre était Armanatoora ».
« À travers les innombrables siècles qui se sont succédés tout au long de l’his-
toire, ces deux petits mots ont vicié l’humanité qui en a fait le fondement de tous
ses Codes Moraux. On trouve aujourd’hui ces deux petits mots jusque dans la
soupe ».
Samael Aun Weor : « L’Éducation Fondamentale ».
Sur l’Atlantide, s’est développée une grande race, une race de géants :
Ils avaient des corps mesurant jusqu’à trois mètres de hauteur (c’est pour cela
que la légende des siècles nous parle de « Briareo », « celui aux cent bras ») ; une
véritable race de cyclopes. Cette race parvint à avoir une civilisation puissante, des
millions de fois plus puissante que la nôtre.
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Samael Aun Weor
La Race Atlante eut ses quatre saisons ; au printemps, c’est-à-dire à l’Âge d’Or,
il n’existait pas alors de frontières ; tout était amour ; l’innocence régnait sur la face
de la terre.
Les gens savaient jouer de la Lyre et faisaient frémir l’Univers de leurs mélo-
dies ; réellement, la lyre n’était pas encore tombée en morceaux sur le pavé du Tem-
ple. Ceux qui gouvernaient l’Atlantide étaient des Rois Divins, des Rois Sacrés, qui
avaient pouvoir sur le feu, l’air, l’eau et la terre, sur tout ce qui est, ce qui a été et
ce qui sera.
Plus tard régna l’âge d’Argent, durant lequel tout sembla décroître ; cependant,
tous les hommes continuaient à communiquer avec les Êtres Ineffables (les Anges
du Christianisme).
Quand l’Âge de Cuivre survint, la lumière s’obscurcit ; les splendeurs d’avant
n’existaient déjà plus ; les frontières commencèrent à s’établir ; les guerres débutè-
rent ; les haines, l’égoïsme, l’envie, etc., naquirent ; et enfin arriva l’Âge Noir, l’Âge
de Fer : évidemment, l’Âge de Cuivre fut le précurseur de l’Âge de Fer Atlante.
L’Âge de Cuivre fut l’automne et l’Âge de Fer fut l’hiver.
Dans l’Âge de Fer, les Atlantes développèrent une puissante civilisation ; ils
créèrent des fusées atomiques qui pouvaient voyager non seulement sur la lune,
mais aussi sur Mercure, Vénus, Mars, et, en général, sur toutes les planètes du
Système Solaire.
J’ai vécu dans l’Atlantide et je peux rendre témoignage de cela. Dans l’une de
ces cités, il y avait un port cosmique merveilleux ; de ce port cosmique sortaient
les navettes cosmiques, les fusées atomiques vers telle ou telle planète du Système
Solaire. Moi, j’aimais aller à une espèce de Caravansin – c’est ainsi qu’on appelait
les restaurants de l’époque – et de là on contemplait, à travers de grandes fenêtres
en verre, tout le cosmo-port. J’aimais voir sortir ces fusées en direction de la lune.
Au début, cela causait un grand étonnement et l’on n’entendait que les cris des mul-
titudes, ensuite c’est devenu très commun.
Dans l’Atlantide, il y eut une civilisation que les êtres humains de notre époque
ne soupçonnent même pas. Les maisons des Atlantes étaient toujours entourées de
murs, de murailles ; elles avaient des jardins à l’avant et à l’arrière.
Le Continent Atlante s’étendait et était orienté vers l’hémisphère austral (le
sud), et les sites les plus élevés vers le Septentrion (le nord) ; ses monts excédaient
en taille, hauteur et nombre, tous ceux qui existent actuellement.
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L’Atlantide et la race Aryenne
Les lions tiraient les chars. Vous voyez les lions d’aujourd’hui comme des bêtes
sauvages, terribles, mais dans l’Atlantide, les lions servaient comme des bêtes de
trait, ils tiraient les chars dans lesquels se déplaçaient les rois et quelques citoyens.
Ces animaux, à cette époque, étaient domestiqués.
Les chiens étaient bien plus grands, énormes ; maintenant ils sont petits ; à cette
époque, c’était des mastodontes. Ils servaient à défendre les maisons des citoyens ;
ils étaient énormes. Il existait aussi des chevaux, mais ils étaient gigantesques.
Il existait des éléphants énormes ; les mammouths, prédécesseurs des éléphants,
étaient très nombreux dans les forêts et les montagnes ; ils étaient énormes.
Les Atlantes apprirent à faire léviter les corps à volonté. Avec un petit appareil
qui tenait dans la paume de la main, ils pouvaient faire léviter n’importe quel corps,
aussi pesant soit-il.
Les Atlantes, experts en transplantations, ont non seulement transplanté des
viscères comme le cœur, les reins, le pancréas, etc., mais ils ont aussi appris à
transplanter des cerveaux. Cette question de transplanter des cerveaux fut le sum-
mum dans la science des transplantations ; ainsi, il y eut certains sujets qui purent
continuer à vivre sans interruption dans des corps différents, leurs cerveaux étant
transplantés d’un organisme à un autre.
La science des Atlantes était formidable : il y a encore des cavernes secrètes
dans l’Himalaya où sont conservés certains appareils mécaniques pouvant trans-
mettre télépathiquement la connaissance à celui qui le désire. Ils n’avaient donc pas
besoin de se creuser tant la tête pour acquérir la connaissance.
Sur le terrain de la physique nucléaire, ils maîtrisaient l’éclairage atomique de
façon massive. Toutes les villes utilisaient l’éclairage atomique : les champs étaient
éclairés par l’énergie nucléaire, les maisons par l’énergie atomique. Les lampes ato-
miques éclairaient les Palais et les Temples aux Murs Transparents. Nous savons
bien qu’il y a certaines cavernes en Asie où sont conservées encore des lampes
atomiques ayant appartenu aux Atlantes.
Sur le terrain de la mécanique, je peux vous assurer que leurs automobiles,
non seulement étaient amphibies, mais qu’elles pouvaient aussi voler dans les airs
et qu’elles étaient propulsées par l’énergie nucléaire (ils extrayaient l’énergie non
seulement de l’uranium et du radium mais de nombreux autres métaux, de même
que de nombreuses graines végétales, et cela, à très bon marché).
En matière de navigation aérienne, ils avaient des vaisseaux plus puissants que
-15-
Samael Aun Weor
ceux d’aujourd’hui : de véritables navettes volantes ou « vaisseaux volants », qui
étaient aussi propulsés par l’énergie nucléaire.
Les Atlantes apprirent aussi à utiliser l’énergie solaire ; le pire de tout c’est
qu’ils développèrent des pouvoirs magiques pour le mal. En plus d’être scientifi-
ques, ils étaient magiciens : ils parvinrent à construire un robot et à le doter d’un
principe intelligent ; ils connaissaient bien les Élémentaux du feu, de l’air, de l’eau
et de la terre.
Pour eux, les Élémentaux de la Nature, ce que les enfants appellent Fées, Sala-
mandres ou Sylphes étaient une terrible réalité. Ils possédaient encore le sens de
la clairvoyance. Il est évident qu’avec ce sens, ils pouvaient voir parfaitement, non
seulement le monde tridimensionnel d’Euclide, mais de plus, également, la Qua-
trième Coordonnée, la Cinquième, la Sixième et même la Septième.
Alors, ils s’emparaient de n’importe laquelle de ces créatures élémentales, créa-
tures invisibles pour les sens ordinaires, et la mettaient à l’intérieur de leurs robots.
En fait, ces robots se convertissaient en êtres intelligents, en êtres qui servaient
leurs maîtres, pouvant les avertir des dangers qui les guettaient et, en général, sur
de multiples choses de la vie pratique.
Les Atlantes furent extrêmement avancés. Il existait une université atlante
merveilleuse. Je veux me référer, de manière emphatique, à la société Akaldan,
une véritable université de sages.
Ceux-ci étudièrent la « loi de l’éternel Heptaparaparshinock » (la loi du
sept) à merveille ; ils apprirent à concentrer les rayons solaires pour les faire péné-
trer dans des chambres déterminées ; ils savaient transformer les sept couleurs
du prisme solaire, c’est-à-dire sortir l’épreuve « positive » des rayons du prisme
solaire.
Voir les sept couleurs prismatiques est un chose, et les transformer de façon
positive, en sortir la « positive », en est une autre. Les scientifiques modernes ont
étudié les sept couleurs fondamentales du spectre solaire, mais ils n’ont pas sorti
l’épreuve « positive réelle » de ces sept couleurs. Les savants atlantes savaient sor-
tir la « positive réelle » des sept couleurs du prisme solaire ; avec cette « positive »
des sept couleurs, ils ont réalisé de véritables prodiges.
Je me souviens, à ce sujet, du cas de deux savants chinois qui ont fait des expé-
riences (également dans le style atlante) avec les sept couleurs du Spectre Solaire.
Par exemple, en sortant la « positive » des sept couleurs, ils ont mis de l’opium
-16-
L’Atlantide et la race Aryenne
devant un rayon coloré, et ils ont alors vu comment l’opium se transformait en
d’autres substances. Ils ont mis un morceau de bambou humecté, par exemple,
d’une certaine substance de couleur bleue (positif, non négatif, du spectre solaire),
et ils ont vu comment ce bambou s’est vraiment teinté de la couleur bleue… Ils
ont fait passer, par exemple, le son (certaines notes : la note do, ou ré, ou mi), en
combinaison avec une couleur déterminée, et ils ont vu comment la note altérait la
couleur, lui donnait une autre couleur complètement différente.
Ils utilisèrent les sept rayons, dans leur forme positive, pour réaliser des pro-
diges dans le continent Atlante ; on étudiait à fond la loi de « l’éternel Heptapara-
parshinock ».
Un savant atlante, qui utilisait le lait de chèvre mélangé à de la résine de pin
sur une plaque de marbre, vit comment ce lait, en se décomposant avec la résine,
formait sept couches distinctes, ce qui l’amena à étudier la « loi de l’éternel Hepta-
paraparshinock », la loi du Sept.
Le rite le plus puissant de l’Atlantide était celui du Dieu Neptune. Ce Dieu gou-
verna sagement l’Atlantide ; il parvint à prendre un corps physique sur la terre et
vécut dans l’Atlantide ; il écrivit ses préceptes sur les colonnes des temples.
Il fallait admirer et voir le Temple très Sacré de ce Dieu Saint. Les parois ou
murs argentés de ce Temple étonnaient par leur beauté, et les coupoles et les pla-
fonds étaient tous en or massif de la meilleure qualité.
L’ivoire, l’argent, l’or, le laiton reluisaient à l’intérieur du Temple de Neptune,
avec toutes les splendeurs royales des temps anciens.
La gigantesque sculpture sacrée du très vénéré et très sublime Dieu Neptune
était toute d’or pur. Cette ineffable statue mystérieuse, montée sur son beau char
tiré par d’exotiques coursiers, et le respectable cortège de cent néréïdes, communi-
quaient au mental des dévots Atlantes une profonde vénération.
D’antiques traditions affirment que les Atlantes possédaient en outre un métal
plus précieux que l’or, qui était le célèbre « Orichalcum ».
Le culte à Neptune fut très célèbre, ainsi que celui rendu aux Élémentaux des
eaux, aux Sirènes de l’immense mer, aux Néréïdes, aux Génies de l’océan. Ce fut
une époque extraordinaire, Neptunienne, Amentine, très antique, qui venait d’un
lointain passé.
-17-
Samael Aun Weor
LA DÉCADENCE ATLANTE
Les villes atlantes furent florissantes tant que leurs habitants restèrent fidèles à
la religion de leurs pères, tant qu’ils accomplirent les préceptes du Dieu Neptune,
tant qu’ils ne violèrent pas la loi et l’ordre ; mais quand ils profanèrent les choses
sacrées, quand ils abusèrent du sexe, quand ils furent souillés par les sept péchés
capitaux, ils furent châtiés et submergés avec toutes leurs richesses dans le fond
de l’océan.
Il me vient encore en mémoire le cas de Kétabel, « celle aux tristes destins »,
une Reine Atlante qui régnait en souveraine sur les états du sud du continent sub-
mergé, et dans la puissante Cité aux Portes d’Or.
La beauté maligne de Kétabel, avec sa nécromancie, fascinait et séduisait par
ses enchantements les princes et les rois ; et un grand nombre de jeunes filles et
d’enfants furent immolés en son nom aux ténébreuses entités des Mondes Inter-
nes.
La médecine sacerdotale atlante découvrit, à cette époque, ce que nous pour-
rions appeler aujourd’hui de manière scientifique l’opothérapie humaine, c’est-à-
dire l’application aux malades et aux vieillards de sucs de glandes pituitaires, thy-
roïdiennes, d’adrénaline, etc.
Ces prêtres-médecins, non seulement utilisaient la chimie de ces glandes endo-
crines, hormones, sucs, mais aussi l’hyper-chimie de ces glandes, les fluides psy-
chiques vitaux des chacras ou centres magnétiques de l’organisme humain intime-
ment reliés à ces centres endocriniens.
Les victimes de l’immolation, après avoir été retirés des pierres du sacri-
fice, étaient emmenées dans certaines chambres secrètes où les prêtres-médecins
extrayaient de ces cadavres les précieuses glandes endocrines si nécessaires à la
conservation du corps de la reine fatale qui, avec tout l’enchantement et la beauté
de la jeunesse, supportait le poids de nombreux siècles.
Le plus épouvantable de tout cela était le moment où les prêtres, après avoir
secrètement extrait les glandes du cadavre, le jetaient aux multitudes fanatiques
avilies qui, assoiffées, le dévoraient ; malheureusement, ces peuples devinrent
anthropophages. C’est ainsi que commença la dégénérescence ou involution des
Atlantes.
Malheureusement, avec le Kali-Yuga, la Race Atlante dégénéra terriblement ;
-18-
L’Atlantide et la race Aryenne
les gens se livrèrent à la magie noire : on disait une parole face à l’ennemi, un
mantra, et l’ennemi tombait mort instantanément. Les Atlantes pouvaient fabriquer
un monstre mental et ensuite le cristalliser au moyen de la volonté ; ensuite, ils le
nourrissaient de sang.
Pendant la décadence de la Race Atlante, il se passa des choses horribles : l’hu-
manité dégénéra par les vices, l’homosexualité, le lesbianisme, les drogues, etc.
Les forces du sexe furent utilisées, mais pour le mal, pour causer du tort à distance
à d’autres personnes.
L’alcool, tout comme maintenant, la luxure, la dégénérescence portée au maxi-
mum, achevèrent cet empire florissant. Au temps de sa splendeur, il était très beau,
mais quand il dégénéra, on vit des choses horribles.
Les guerres atlantes, dans les derniers temps, furent épouvantables ; on utili-
sait l’énergie nucléaire ; des bombes atomiques détruisirent les merveilleuses citées
de l’Atlantide.
Le jour arriva où il y eut une révolution des axes de la Terre : les mers se
déplacèrent, changeant de lits ; les pôles se convertirent en équateur, l’équateur se
convertit en pôles. Alors, des millions de personnes périrent. Toutes les villes puis-
santes de l’Atlantide furent submergées dans l’océan qui porte son nom.
Les prêtres de Saïs dirent à Solon : « tous ces corps célestes qui se meuvent
dans leurs orbites subissent des perturbations qui déterminent, avec le temps, une
destruction périodique des choses terrestres par un grand feu ».
Les histoires du Déluge Universel, dont on retrouve des versions dans les tra-
ditions de toutes les races humaines, sont de simples souvenirs de la grande Catas-
trophe Atlante.
Il me vient en mémoire, en ces instants, le cas des foules qui envahirent le
gigantesque Temple de Neptune parmi les tremblements de terre, le feu et les
inondations. Les gens désespérés, appelaient le grand prêtre Ramu en lui disant :
« Ramu, sauve-nous ! » Ramu apparut devant tous en s’exclamant : « je vous l’avais
dit, vous périrez avec vos femmes, vos esclaves et vos enfants, et si la future race
suit votre exemple, elle périra aussi ». Les traditions racontent que les dernières
paroles de Ramu furent étouffées par la fumée et les flammes. Le continent Atlante
s’enfonça au milieu de forts tremblements de terre.
La catastrophe qui détruisit l’Atlantide fut épouvantable. Il ne fait aucun doute
-19-
Samael Aun Weor
que le résultat de la violation de la loi est toujours catastrophique.
Une fois cette grande catastrophe achevée, une nouvelle race commença. Évi-
demment, parmi les multitudes qui périrent, avant que la catastrophe ne se pro-
duise, un peuple s’échappa.
Les traditions soutiennent qu’un grand Maître appelé Vaïvasvata, le Noé bibli-
que, avertit les gens sur ce qui allait se passer ; mais ceux-ci se moquèrent de lui et,
à la veille du grand cataclysme, ils mangeaient, dansaient et se mariaient.
Les Saints qui régissent le destin de l’humanité exhortèrent Manu Vaïvasvata
à partir avec son peuple avant que le continent atlante ne fut submergé, et celui-ci
sut s’échapper opportunément à la tête de son peuple. Il dut fuir durant la nuit, et
comme les Seigneurs de la Face Ténébreuse, les Rois et Maîtres de ces puissants
robots avaient des avions merveilleux avec lesquels ils pouvaient s’enfuir à travers
l’espace, alors les leaders du peuple choisi du Manu Vaïvasvata s’emparèrent de ces
vaisseaux et les détruisirent.
Quand les pervers habitants de ces terres s’éveillèrent de leur sommeil (car
le voyage se fit la nuit), ils remarquèrent avec un grand étonnement que les eaux
avaient envahi leurs terres. Immédiatement, ils s’en furent chercher leurs navettes
aériennes ; ils comprirent ce qui s’était passé et tentèrent de poursuivre le peuple
élu, mais ils parvinrent seulement à en tuer quelques-uns.
Ces Seigneurs de la Face Sombre (les Atlantes) moururent ; ils furent dévorés
par les eaux.
Aujourd’hui, au fond de l’océan Atlantique, sont enfouis de merveilleuses cités ;
à présent, seuls les poissons parcourent ces riches lieux où existaient, auparavant,
des salles splendides et le grouillement d’un peuple.
-20-
L’Atlantide et la race Aryenne
LA RACE ARYENNE
« Les pyramides d’Égypte ont été construites par les Atlantes des milliers
d’années avant Jésus-Christ. Nous considérons que la grande pyramide date de
quelques 27 000 ans avant le Christ, et que les autres ont plus ou moins des âges
similaires ».
« Néanmoins, et bien que cela semble incroyable, les pyramides du Mexique
sont plus anciennes : elles n’ont pas été construites, comme on le dit, en l’an 1325.
Absolument pas : elles sont bien plus anciennes que celles d’Égypte et furent
construites directement par les Atlantes ».
« Ceux qui disent que la grande Tenochtitlan a été fondée vers l’année 1325 se
trompent totalement. Et ceux qui affirment qu’elle l’a été en l’an 1400 ou en l’an
1500, se trompent encore plus ».
Samael Aun Weor : « Entrevue à la radio Icur ».
L’époque de la submersion de l’Atlantide a été réellement une ère de grands
changements géologiques.
Du sein profond de l’immense mer ont émergé d’autres terres fermes, qui ont
formé de nouvelles îles et de nouveaux continents.
Quelques survivants Atlantes se réfugièrent sur le petit continent de Grabonci,
l’Afrique actuelle, lequel augmenta en taille et en étendue du fait que d’autres sur-
faces de terre ferme, émergées des eaux voisines, s’y ajoutèrent.
Les membres de la société Akaldan ont fait partie de ce peuple choisi : ceux
qui surent fuir de l’Atlantide quand ils comprirent qu’une grande catastrophe s’ap-
prochait. Les sages de cette société se sont établis, au début, au sud du continent
africain, puis ils ont émigré vers Cairona, le Caire actuel. C’est dans les terres de
Nivea, du Nil ou d’Égypte, qu’ils ont établi leur célèbre Université et le Sphinx face
à celle-ci.
Les griffes du lion du Sphinx représentent le Feu ; la tête du Sphinx représente
l’Eau ; les pattes de taureau du Sphinx représentent l’élément Terre ; les ailes du
Sphinx représentent l’élément Air. Les vertus nécessaires pour parvenir à l’auto-
réalisation intime de l’Être sont au nombre de quatre : il faut avoir le courage du
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Samael Aun Weor
lion, l’intelligence de l’homme, les ailes de l’Esprit et la ténacité du taureau. C’est
seulement ainsi qu’il est possible d’atteindre l’Auto-Réalisation intime de l’Être…
La société Akaldan établit, à Cairona, un Temple d’Astrologie. On étudiait
alors les astres, non pas avec des télescopes comme on le fait aujourd’hui, mais
avec le « Sixième Sens ».
Quand on examine les pyramides (surtout la Grande Pyramide), on voit, sous
forme de « tubes », certains canaux qui vont du fond, de la profondeur d’une crypte
souterraine, vers le haut, vers la partie supérieure de la pyramide. On a beaucoup
pensé, beaucoup conjecturé sur de tels « canaux », mais c’était des télescopes, et
l’observatoire n’était pas en haut mais en bas, au fond même de la crypte. Là on
mettait un récipient avec de l’eau ; à une date déterminée, on savait que tel astre
serait visible, et assurément il se reflétait dans l’eau. Les adeptes de l’astrologie
observaient (dans l’eau) l’astre en question, non seulement avec les facultés physi-
ques mais aussi avec les facultés psychiques. Au lieu de regarder vers le haut, ils
regardaient vers l’eau, et là, avec le Sixième Sens, ils étudiaient les astres.
Les frères de la société Akaldan, les grands sages, étaient des astrologues très
compétents : quand un enfant naissait, ils dressaient immédiatement son horos-
cope. Non pas des horoscopes du style moderne, non pas des horoscopes pure-
ment conventionnels et très cotés ; non, ceux-là étaient très différents : les sages
astrologues regardaient les astres directement. Avec des procédés qu’on ignore
aujourd’hui, ils pouvaient lire l’horoscope des enfants et, certes, ils ne se trom-
paient jamais dans leurs prophéties et leurs calculs.
On mariait les enfants dès leur naissance ; on savait déjà qui ils auraient comme
conjoints et on les mariait. Je ne veux pas dire que pour cette raison ils se mettaient
à vivre ensemble dès le début, car ceci serait absurde, mais on savait déjà, pour la
petite fille nouveau-née, qui serait son mari ; et le garçon, en son temps et à son
heure, était informé de l’identité de sa femme. Quand ils atteignaient la majorité,
on les unissait par le mariage.
Les citoyens étaient orientés dans leur travail ou dans leur profession, avec
une précision mathématique, sous la direction de ces Astrologues. Eux savaient
pourquoi était né chaque citoyen, à quoi sert chaque homme, car tout homme sert
à quelque chose, l’important est de savoir à quoi. Ces sages astrologues savaient
à quoi servait chaque créature qui naissait. Ces sages de la société Akaldan ne se
trompaient jamais !…
Telle était la véritable sagesse des Atlantes. Les Mayas, par exemple, furent aussi
-22-
L’Atlantide et la race Aryenne
des descendants de ce vaste continent. Les Mayas émigrèrent soit vers le Tibet, soit
vers l’Égypte, soit vers l’Amérique Centrale. Bien que cela semble incroyable, au
Tibet on parle encore maya, et le langage maya est un langage sacré-rituel du Tibet.
Souvenons-nous que le Naga et le Maya sont très similaires.
Jésus de Nazareth apprit le Maya au Tibet. Cette phrase de Jésus qui dit à la
lettre : « Heli, heli, lamah zabactani » est interprétée de différentes manières :
« Seigneur, Seigneur, disent quelques-uns, comme vous m’avez glorifié » ; « Sei-
gneur, Seigneur, disent d’autres, pourquoi m’as-tu abandonné ? ». Quand les juifs
l’ont entendu, ils se sont dit : « il appelle Élie pour qu’il vienne le sauver ».
Cependant, les juifs n’ont pas compris la signification de cette phrase parce que
ce n’était pas une phrase en hébreux, ni en sanscrit, ni en tibétain. « Maintenant, je
me plonge dans la pré-aube de ta présence », est incontestablement son sens dans
la langue Maya (c’est une phrase rituelle maya).
Indéniablement, le Grand Hiérophante Jésus a appris le Naga et le Maya au
Tibet oriental et ceci et démontré.
Dans le monastère sacré de Lhassa au Tibet, il existe encore un livre qui dit
textuellement ceci : « Jésus s’est convertit en Maître le plus accompli que la terre
ait porté ».
Un sage écrivain a dit :
« Il est établi historiquement que la SCIENCE-RELIGION connue par le Christ
en Égypte, en Inde et au Tibet était Maya ».
« Il a existé un profond occultisme Maya, connu sans aucun doute par le
Christ, qui a choisi ses symboles (mayas) comme support de ses idées d’amour
fécondant ».
« On ne peut plus dire que ce soit par hasard qu’il ait choisi la Croix Maya,
la Trinité et les Douze Apôtres et bien d’autres symboles pour soutenir l’immense
sens scientifico-religieux de ses sermons ».
Il est évident que les Mayas Atlantes ont amené leur Religion-Sagesse en méso-
Amérique.
Il est incontestable qu’ils ont colonisé le Tibet, Babylone, la Grèce, l’Inde, etc.
Nul doute que le langage rituel du Kabir Jésus fût Maya…
-23-
Samael Aun Weor
Tout cela peut s’expliquer entièrement grâce au tronc atlante commun aux peu-
ples Américains et Méditérranéo-Sémites.
Tous les enseignements religieux de l’Amérique primitive, tous les cultes sacrés
des Incas, des Mayas et des Aztèques, les Dieux et Déesses des anciens Grecs, Phé-
niciens, Scandinaves, Hindous, etc., sont d’origine Atlante.
Il est urgent de savoir, il est nécessaire de comprendre que les Dieux et Déesses
cités par Homère dans l’Iliade et dans l’Odyssée, ont été des Héros, des Rois et de
Reines de l’Atlantide.
Tous les peuples anciens ont vénéré et adoré ces Dieux Saints qui ont vécu dans
l’Atlantide et qui à présent habitent l’Empirée.
Les religions Égyptienne, Inca, Maya, etc., ont été les religions primitives
Atlantes.
L’alphabet phénicien, père de tous les célèbres alphabets européens, a sa racine
dans un ancien alphabet atlante, qui fut correctement transmis aux Mayas par les
Atlantes. Tous les symboles et hiéroglyphes des Égyptiens et des Mayas provien-
nent de la même source Atlante, et c’est ainsi que s’explique leur ressemblance trop
grande pour être le fruit du hasard.
Les peaux-rouges sont des descendants de l’Atlantide. Les tribus de l’Ana-
huac : Zapotèques, Toltèques, etc., de même que presque toutes les tribus d’in-
diens d’Amériques vinrent de l’Atlantide et non pas du Nord, comme le supposent
toujours quelques ignorants instruits.
Ces ignorants, qui insistent sur l’idée que les tribus d’indiens d’Amérique sont
venues du continent asiatique en passant par le fameux détroit de Béring, sont
totalement dans l’erreur, parce que ni en Alaska, ni encore moins dans ledit détroit,
n’existe ne serait-ce que le plus petit vestige du passage de la race humaine à cet
endroit.
Les touraniens furent également des survivants de l’Atlantide qui, malheu-
reusement, se sont dédiés à la magie noire. Ils sont aussi arrivés jusqu’au Tibet (et
c’est le comble des combles !), de même que d’autres descendants, tels que les élus
aryens, et ils ont émigré vers la Perse antique. La grande loi à la fin est parvenue à
les vaincre et ils ont été détruits.
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L’Atlantide et la race Aryenne
LES SEPT SOUS-RACES
La semence de notre race Aryenne est nordique mais, en se mélangeant avec
les survivants Atlantes, elle a engendré les sous-races du tronc Aryen.
Évidemment, chaque race a sept sous-races. La première sous-race s’est formée
sur le plateau central de l’Asie, qui s’appelait alors Hasha. Il y eut là-bas une puis-
sante civilisation ésotérique.
La seconde sous-race a fleuri au sud de l’Asie, à l’époque pré-védique et on
connut alors la sagesse des Rishis de l’Hindoustan et les splendeurs de l’ancien
empire chinois, etc., etc.
La troisième sous-race s’est développée merveilleusement en Égypte, en Perse,
en Chaldée, à Babylone, etc.
La quatrième sous-race a resplendi avec les civilisations de Grèce et de Rome.
La cinquième s’est parfaitement manifestée avec l’Allemagne, l’Angleterre et
d’autres pays.
La sixième est le résultat du mélange des espagnols avec les races autochtones
des indiens d’Amérique.
La septième se manifeste parfaitement dans le résultat de tous ces différents
mélanges de races tel que nous pouvons le vérifier aujourd’hui sur le territoire des
États-Unis.
Ostensiblement, les sept branches du tronc Aryen existent déjà pleinement et
cela est complètement démontré.
Nous voilà donc à la dernière sous-race de notre actuelle race Aryenne et cela
mérite que nous réfléchissions tous attentivement.
Les multitudes aryennes qui habitent sur la face de la terre, séparées de leur
« tige père » (les Atlantes), existent déjà depuis plus d’un million d’années et, avec
toute la perversité caractéristique de la fin des temps, elles sont à la veille de leur
annihilation totale…
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Samael Aun Weor L’Atlantide et la race Aryenne

La race aryenne, au lieu d’évoluer, a involué, et, à présent, sa corruption est pire
que celle des Atlantes ; sa méchanceté est si grande qu’elle est parvenue jusqu’au
ciel ; la race Aryenne sera détruite pour que s’accomplisse la prophétie que Ra-Mu
a faite dans l’Atlantide submergée : « S’ils oublient qu’ils doivent être supérieurs
non pas par ce qu’ils acquièrent, mais par ce qu’ils donnent, le même sort les
frappera ».

***


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