phénomènes (Pi, P2, p3, etc.) de la nombreux exemples de la marche suivie manière suivante : par la connaissance partant des a E, phénomènes pour aboutir à leur essence. L'on peut prendre un exemple du P 2 2ez E, premier mode de pénétration de l'essence clans le domaine de la chimie. Les P phénomènes chimiques (réactions et .3 transformations des substances) étaient c„ E3 ■ • e t c . connus depuis fort longtemps. Au début du XIX° siècle, ils apparurent dans le traitement que leur fit subir Dalton (et Les symboles 2a, 3 a, etc., marquent avant lui Boyle et Lomonossov) qui les le passa ge d i re c t de ph én om èn es p lu s représentait comme réunion et séparation c om p le xe s (p2, p3, etc.) à l'essence (F.2, d'atomes ; dans la seconde moitié du XIX° E3, etc.), comme essence plus profonde du siècle, la théorie structurale les présenta phénomène (p i ). Les directions comme formation, saturation ou rupture différentes prises par les flèches indi - de valences, puis la théorie électronique quent une possibilité de double passage débutante les traita (approche de Kossel de l'essence du premier niveau (E 1 ) du et Lewis en 1915) comme une interaction phénomène (p 1 ) à l'essence du second (mélange, rupture ou prise d'électrons niveau (E 2 ) du métne valents) : enfin dans le second quart du f3 XX• siècle, la mécanique quantique, dans phé- une démarche donnée par la chimie nomène (p 1 ) : primo, selon le schéma p,-- quantique, les présenta comme s8,—).E, et secundo, selon le schéma : interaction d'électrons (nuages d'électrons) possédant des spins déterminés. P,, p2 2aEi Un exemple du second mode de pénétration de l'essence est fourni par la Dans k processus historique réel, le physique atomique. Pour pénétrer mouvement de la connaissance allant des l'atome en profondeur, il fallait faire phénomènes pour aboutir en profondeur émerger les électrons et le noyau à leur essence suit une marche encore plus complexe, car l'essence du second atomique, c'est-à-dire les structures élémentaires de l'atome. La découverte du niveau (E,) est en même temps celle du noyau atomique (1911) fut précédée par la champ des phénomènes lui correspondant découverte en 1896 Or Becquerel du (p 2 ) et l'essence plus profonde de phénomène de la radio-activité jusque-là phénomènes initiaux plus simples (p i ). L'on peut en tracer le schéma en inconnu et dont on ne put au début conjugant les deux schématisations déterminer l'essence. Ce n'est qu'en précédentes : 1903 que Rutherford et Soddy montrèrent que l'essence de cc a p 2a phénomène était constituée par une Pi••••• c E2 .•2■ P2 désintégration d'atomes, une 360 transmutation des éléments chimiques. Développant sa découverte de l'essence 361 des phénomènes radio-actifs, Rutherford avait su non seulement