Jean-Jacques Ekindi…l’homme du Futur.

Le Cameroun, porte d’entrée de l’Afrique ! Le Cameroun, l’Afrique en miniature ! Ces

descriptifs donnés au Cameroun disent avec exactitude ce que ce pays est : une terre
bénie qui contient un peu de tout ce qui peut être trouvé en Afrique dans son ensemble,
depuis sa faune, en passant par son climat et ses diversités ethniques. Le Cameroun est la
confluence des grandes migrations Africaines aux alentours du 14e siècle, qui ont vu des
peuples d’une très grande diversité ethnique converger vers cette région de l’Afrique
Centrale. La complexité née de la diversité de plusieurs groupe de gens créa un tissu
social très riche, qui a toujours été la marque enviée des Camerounais, et ce depuis
l’indépendance. Le progrès économique doublé d’une stabilité sociale ont été
constamment grandissants pendant les années 70, pour tout d’un coup, hélas!...depuis les
années 80, et jusqu'à ce jour, ralentir pour ensuite geler.

Le corps social que l’on nomme Cameroun est souffrant. La Cameroun est souffrant dans
ses organes économiques ; le Cameroun est souffrant dans ses organes de cohésion
sociale ; le Cameroun est souffrant dans ses organes académiques ; le Cameroun est
souffrant dans ses organes moraux civiques, éthiques et spirituels. Les ravages du
chômage détruisent les jeunes gens qui ne peuvent trouver d’emploi avec leurs diplômes
Universitaires. Ils sont obligés de faire du « bend skin » ou Moto-Taxi pour survivre ;
cela n’est pas ACCEPTABLE! Le tribalisme qui avait été sous contrôle pendant très
longtemps connaît un regain énorme qui ne peut aucunement présager une grande
cohésion sociale ; cela n’est pas ACCEPTABLE! Le niveau d’éducation a
dramatiquement chuté, les jeunes ne voyant plus le bien-fondé d’une bonne éducation,
étant donné qu’ils finissent de toute façon au chômage ; cela n’est pas ACCEPTABLE !
La mentalité du « feyman » (escrocs devenant très rapidement riches) est devenue le
modèle. La médiocrité se répand et la soif de l’excellence est détruite ; cela n’est pas
ACCEPTABLE !
Lorsque tant d’organes vitaux ne fonctionnent plus dans un corps, la mort est proche. Un
grand effort et courage doit être galvanisé par tous les Camerounais pour, petit-à petit,
ramener la vibrante santé d’antan dans son corps social. Un tel effort appelle à un guide,
fer de lance qui percerait l’épaisse couche des forces de l’ombre pour permettre à la force
vitale d’éclairer et de nourrir. Il faut un leader.

Jean-Jacques Ekindi, par la grâce de Dieu et de la providence, se révèle être ce leader que
le Cameroun attend. Visionnaire et courageux, innovateur et progressiste, Jean-Jacques
Ekindi a déjà démontré sa capacité à se tenir droit et fort comme un baobab Africain, et
ce, à travers ses tribulations personnelles et son combat politique. Ces tribulations ne se
sont pas simplement résumé à être injustement écarté du débat politique ; ces tribulations
ont inclus l’emprisonnement sous Ahmadou Ahidjo, ainsi que l’arrestation et la torture
sous Paul Biya pour ses idées et actions politiques. Cependant Jean-Jacques Ekindi a
continué son combat dans la non-violence. Ceci est significatif, étant donnée la simpliste
tendance de certains dirigeants en Afrique à toujours recourir aux coups d’états pour
arriver au pouvoir. Jean-Jacques Ekindi, encore appelé le « chasseur de lion », surnom
flatteur qui lui convient parfaitement est sorti de l’Ecole Polytechnique de Paris, avant de
se lancer dans sa carrière politique.

Il se joignit d’abord au RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais),

avec l’espoir de créer un Cameroun de progrès. En 1991, il quitta ce parti, après s’être
rendu compte de l’incapacité de celui-ci à réaliser les aspirations et l’espoir du peuple
Camerounais. Sa démission pou rejoindre l’opposition avait été très remarquée étant
donné qu’il était l’une des plus importantes personnalités du parti au pouvoir à marquer
son opposition.. Dans les années 90 il créa le parti MP (Mouvement Progressiste) et fut
élu à l’Assemblée Nationale en tant que l’un des candidats de son parti. Il a travaillé
assidument pour aider à organiser les différents partis de l’opposition, proposant des
alliances qui constitueraient les forces de progrès et les forces d’alternance au Cameroun.

Il est grand temps d’apporter un changement politique au Cameroun pour inspirer ce pays
à retrouver les valeurs qui furent la pierre de fondation de son progrès du passé. Les
maladies dont souffre le Cameroun doivent être remédiées. Jean-Jacques Ekindi
comprend ce dont le pays a besoin pour se guérir et se propulser vers l’avant. Jean-
Jacques Ekindi est le leader attendu pour faire de la Renaissance Camerounaise, une
réalité. Il invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises de toutes origines à le
joindre sous le baobab pour ensemble construire et faire renaitre les Camerounais, et un
Cameroun en bonne santé.

Jean-Pierre S.