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1. Les règles de déclassement et
provisionnement
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Sommaire – Les règles de déclassement et
provisionnement
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1.1. Les règles de déclassement
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1.1. Les règles de déclassement
Les créances en souffrance sont constituées des créances immobilisées, des créances
impayées et des créances douteuses.
Les créances immobilisées sont des créances échues depuis plus de trois mois mais dont le
recouvrement final, sans être compromis, ne peut être effectué immédiatement.
Un compte courant débiteur est considéré comme immobilisé si, bien que le recouvrement
du solde ne soit pas compromis, l’on n’y observe pas de mouvements créditeurs
significatifs depuis plus de trois mois.
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1.1. Les règles de déclassement
Les créances impayées sont des sommes non payées à l’échéance normale. Elles sont
notamment constituées :
Sont également considérés comme impayés, les concours frappés de déchéance de terme
depuis moins de trois (3) mois, pour tout motif autre que la survenance d’impayés.
Par contre, sont exclus des créances impayées, les échéances bénéficiant d’une prorogation
de terme.
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1.1. Les règles de déclassement
Les créances douteuses sont des concours de toute nature, même assortis de garantie, qui
présentent un risque probable de non-recouvrement total ou partiel.
les concours comportant au moins une échéance impayée depuis plus de trois (3)
mois ou plus de six (6) mois pour les crédits immobiliers, que cette échéance ait été
préalablement classée en créance impayée ou non ;
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1.1. Les règles de déclassement
les loyers échus afférents aux opérations de crédit-bail, de location avec option
d’achat, de location-vente, dont au moins un terme est impayé depuis plus de trois
(3) mois ou six (6) mois pour le crédit-bail immobilier.
La classification en créances douteuses d’une fraction impayée des concours portés par une
personne morale ou physique entraîne le transfert de l’intégralité des concours par caisse
accordés à cette personne en encours douteux, nonobstant toute considération liée aux
garanties éventuellement détenus (effet de contagion).
Les créances irrécouvrables sont les créances dont le non-recouvrement est estimé certain
après épuisement de tous les voies et moyens amiables ou judiciaires, ou pour toute autre
considération pertinente.
Les engagements par signature douteux sont les engagements comptabilisés hors bilan qui
présentent un risque probable ou certain de défaillance partielle ou totale du donneur
d’ordre lors de leur réalisation.
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1.2. La comptabilisation des créances en
souffrance
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1.2. La comptabilisation des créances
en souffrance
Les créances en souffrance, les créances irrécouvrables et les engagements par signature
douteux sont comptabilisés conformément aux principes suivants :
Les créances immobilisées et les créances impayées sont enregistrées aux comptes
prévus par le plan comptable des établissements de crédit. Toutefois, pour tenir
compte des délais techniques de recouvrement, les établissements assujettis
peuvent ne procéder au déclassement des créances devenues impayées qu’un mois
après chaque échéance concernée.
Les impayés constatés seront apurés au fur et à mesure de leur paiement ; en tout
état de cause, si le plus ancien des impayés imputés à un même débiteur remonte à
plus de trois mois, ils subiront le traitement appliqué aux créances douteuses.
Les créances douteuses sortent de leur compte d’origine dès qu’elles sont
considérées comme douteuses ; elles sont alors suivies dans le compte de “
créances douteuses ” relatif à chaque classe.
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1.2. La comptabilisation des créances
en souffrance
Les intérêts et commissions ne sont enregistrés dans les comptes de produits que s’ils sont
effectivement perçus, ainsi :
les intérêts générés par les créances immobilisées, les créances impayées et les
créances douteuses non réglés ne sont pas comptabilisés dans les comptes de produits ;
ils doivent être enregistrés dans des comptes de hors bilan ;
les créances irrécouvrables doivent être passées en pertes pour l’intégralité de leur
montant. La totalité des provisions antérieurement constituées sur ces créances devra
être reprise le cas échéant ;
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1.2. La comptabilisation des créances
en souffrance
les engagements par signature sont extraits de leur compte d’origine dès qu’ils sont
considérés comme douteux ; ils sont alors suivis dans le compte “ d’engagements
douteux ” de la classe 9.
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1.3. Les règles de provisionnement
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1.3. Les règles de provisionnement
Les provisions sur les créances en souffrance sont constituées conformément aux principes
suivants :
Pour les créances immobilisées, les créances impayées et les créances douteuses
garanties par l’Etat, la constitution de provision est facultative.
Pour les créances douteuses non couvertes par la garantie de l’Etat et les engagements
par signature douteux, les provisions sont constituées selon les modalités suivantes :
provisionnement intégral dans un délai maximum de trois ans des risques non
couverts par des garanties réelles ; la provision cumulée doit couvrir, au moins
25 % des encours la première année et 75 % la deuxième année ;
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1.3. Les règles de provisionnement
Les créances douteuses relatives aux opérations de crédit-bail et de location avec option
d’achat doivent faire l’objet d’un provisionnement à concurrence de leur montant.
Les provisions sur créances en souffrance sont enregistrées aux comptes prévus à cet effet
dans les classes 3, 4 et 5 du plan comptable des établissements de crédit.
En particulier, les provisions se rapportant aux créances douteuses sur le crédit-bail sont
enregistrées au compte “ provisions pour créances douteuses sur le crédit-bail ”.
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2. La division des risques
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Sommaire – La division des risques
2.1. Définition
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2.1. Définition
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2.1. Introduction
Tout établissement de crédit assujetti est tenu, dans les conditions prévues ci-dessous, de
respecter en permanence :
Un rapport maximum de 45% entre l’ensemble des risques qu’il encourt du fait de ses
opérations sur un même bénéficiaire et le montant de ses fonds propres nets ;
Un rapport maximum de 800% entre la somme des grands risques qu’il encourt et le
montant de ses fonds propres nets. Par grand risque, on entend l’ensemble des risques
encourus du fait des opérations avec un même bénéficiaire lorsque cet ensemble excède
15% des fonds propres nets dudit établissement.
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2.2. La notion de même bénéficiaire
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2.2. La notion de même bénéficiaire
Sont considérées comme un même bénéficiaire les personnes physiques ou morales qui sont
liés de telle sorte que les difficultés financières rencontrées par l’une entraînent très
probablement des difficultés financières de remboursement sérieuses chez l’autre ou toutes
les autres. De tels liens sont présumés exister entre deux ou plusieurs personnes physiques
ou morales dans l’un des cas suivants :
L’une d’entre elles exerce sur les autres, directement ou indirectement, un pouvoir de
contrôle exclusif ou conjoint ;
L’une d’entre elles détient dans l’autre une participation supérieure à 10% et elles sont liées
par des contrats de garanties croisées ou entretiennent entre elles des relations d’affaires
prépondérantes (sous traitance, franchise).
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2.2. La notion de même bénéficiaire
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2.3. La notion de fonds propres effectifs
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Sommaire – La notion de fonds propres nets
2.3.1. Introduction
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2.3.1. Introduction
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2.3.1. Introduction
Les fonds propres nets sont constitués par la somme des fonds propres de base et les fonds
propres complémentaires tels que définis ci près.
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2.3.2. Les fonds propres de base
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2.3.2. Les fonds propres de base
Les fonds propres de base sont constitués des capitaux propres de l’établissement de
crédit, déduction faite des non valeurs, comme suit :
a) sont inclus :
le capital;
les primes liées au capital;
les réserves, autres que les réserves de réévaluation;
le report à nouveau créditeur;
les subventions d’investissement définitivement acquises;
les fonds de financement et de garantie, constitués de ressources propres,
provenant de l’affectation des résultats, de dons extérieurs ou de taxes parafiscales;
les provisions pour risques bancaires généraux, à l’exclusion de toute provision
affectée à la couverture de charges ou de risques définis, probables ou certains;
le résultat du dernier exercice clos, approuvé par les organes compétents et certifié
par les commissaires aux comptes dans l’attente de son affectation ;
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2.3.2. Les fonds propres de base
b) viennent en déduction :
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
ils peuvent être librement utilisés par l’établissement assujetti pour couvrir des risques
normalement liés à l’exercice de l’activité bancaire, lorsque les pertes ou moins values
n’ont pas encore été identifiées ;
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
Peut notamment figurer parmi ces éléments, la réserve latente qui apparaît dans la
comptabilité financière des opérations de crédit-bail ou de location avec option d’achat.
Les fonds propres complémentaires peuvent, en outre, comprendre le bénéfice arrêté à des
dates intermédiaires, à condition :
qu’il soit déterminé après comptabilisation de toutes les charges afférentes à la période
et des dotations aux comptes d’amortissements et de provisions ;
qu’il soit calculé net de l’impôt prévisible et d’acompte sur dividende ou de prévision
de dividende ;
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
ils ne peuvent être remboursés que sur l’initiative de l’emprunteur et avec l’accord
préalable du Secrétaire Général de la Commission Bancaire ;
les créances du prêteur sur l’établissement assujetti sont subordonnées à celles de tous
les autres créanciers.
le contrat d’émission ou d’emprunt prévoit que la dette et les intérêts non versés
permettent d’absorber des pertes, l’établissement assujetti étant alors en mesure de
poursuivre son activité.
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
La durée initiale du contrat doit être au moins égale à cinq (5) ans ; si aucune échéance
n’est fixée, la dette ne peut être remboursable que moyennant un préavis de cinq ans,
sauf si elle a cessé d’être considérée comme des fonds propres avec l’accord préalable
du Secrétaire Général de la Commission Bancaire ;
le contrat de prêt ne comporte pas de clause prévoyant que, dans des circonstances
autres que la liquidation de l’établissement assujetti, la dette devra être remboursée
avant l’échéance convenue ;
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2.3.3. Les fonds propres complémentaires
En outre, le montant à concurrence duquel ils peuvent être inclus dans les fonds propres
est progressivement réduit au cours des cinq dernières années au moins restant à courir
avant l’échéance, suivant un plan établi à l’avance.
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2.3.4. Les autres exigences
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2.3.4. Les autres exigences
Les fonds propres complémentaires ne peuvent être incluses dans le calcul des fonds
propres que dans la limite du montant des fonds propres de base. La Commission Bancaire
peut autoriser temporairement un établissement assujetti à dépasser, dans des circonstances
exceptionnelles, cette limite, en lui impartissant un délai pour régulariser sa situation.
Les titres de participation dans des établissements de crédit - assujettis ou étrangers - ainsi
que les prêts participatifs et subordonnés auxdits établissements, sont déduits du montant
des fonds propres complémentaires.
Lorsqu’ils excèdent 5% du montant des fonds propres nets, les engagements portés,
directement ou indirectement, par un établissement de crédit, sur une actionnaire ou un
associé détenant au moins 10% des droits de vote, sur un de ses administrateurs ou
dirigeants, sur un de ses agents, viennent en déduction du montant des fonds propres nets.
En cas de dépassement des limites fixées aux participations d’un établissement de crédit
dans le capital d’entreprises, le montant du dépassement est retranché du montant des fonds
propres nets
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2.4. La détermination des risques
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2.4. La détermination des risques
Peuvent être portés également en déduction de ces risques, les dépôts de garantie de toute
nature et les garanties formelles délivrées par un état membre de la CEMAC ou par un
établissement de crédit agrée par la COBAC ou par tout organisme de supervision bancaire
reconnu par le Comité de Bâle, pour une durée au moins égale à celles des risques qu’ils
couvrent.
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2.4. La détermination des risques
Lorsqu’une telle déduction est opérée les risques concernés sont reportés sur l’émetteur de
la garantie. Le taux de pondération applicable est obtenu par confrontation entre le taux
induit par la nature du concours couvert par la garantie et le taux résultant de la qualité de la
signature du garant.
Lorsqu’un risque n’est que partiellement couvert par de telles garanties, la part non
couverte demeure affectée du taux de pondération afférent au risque d’origine.
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2.5. Les pondérations
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Sommaire – Les pondérations
2.5.1. Introduction
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2.5.1. Introduction
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2.5.1. Introduction
Les taux de pondérations suivants s’appliquent aux éléments d’actifs et de hors bilan. Pour
les crédits bénéficiant d’un accord de classement de la BEAC, les quotités relatives à ces
risques sont réduites de moitié.
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2.5.2. Le taux de pondération : 100%
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2.5.2. Le taux de pondération : 100%
Créances de toute nature et engagements de hors bilan, à l’exception des cautions et avals,
sur les établissements autres que ceux visés dans les autres pondérations.
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2.5.2. Le taux de pondération : 100%
Créances de toute nature et engagements de hors bilan, à l’exception des cautions et avals,
sur les organismes publics de financements ou de garantie autres que ceux visés par les
autres pondérations.
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2.5.3. Le taux de pondération : 75%
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2.5.3. Le taux de pondération : 75%
Crédits garantis par une hypothèque ferme de premier ou de deuxième rang sur des
immeubles.
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2.5.4. Le taux de pondération : 50%
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2.5.4. Le taux de pondération : 50%
Encours financier des opérations de crédit bail et de location avec option d’achat.
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2.5.5. Le taux de pondération : 20%
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2.5.5. Le taux de pondération : 20%
Escompte documentaire.
Créances de toute nature et engagement de hors bilan sur les établissements de crédits de la
CEMAC, de l’UEMOA ou de l’OCDE, ainsi que sur les établissements de crédit dont le
siège se trouve dans des pays et territoires dont les autorités de supervision bancaire ont
signé des accords de coopération avec la COBAC ou appartiennent à un même groupe de
superviseurs que celle-ci.
Créances de toute nature et engagement de hors bilan sur les banque multilatérales de
développement et les organismes multilatéraux de garantie implantés dans la CEMAC,
l’UMOA et l’OCDE autres que ceux visés dans les autres pondérations.
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2.5.5. Le taux de pondération : 20%
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2.5.6. Le taux de pondération : 0%
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2.5.6. Le taux de pondération : 0%
Créances de toute nature et engagements hors bilan sur les banques multilatérales de
développement et les organismes multilatéraux de garantie répondant aux critères du
Comité de Bâle pour être pondérés au taux de 0 %.
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2.5.7. Autres dispositions
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2.5.7 Autres dispositions
En cas de non respect de la norme sur la division des risques, la commission bancaire peut
adresser une injonction à l’effet notamment de prendre dans un délai déterminé toutes
mesures correctrices de nature à mettre l’établissement concerné en conformité avec cette
norme.
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2.5.7 Autres dispositions
Les risques définis ci-dessus doivent faire l’objet d’une gestion et d’une surveillance
interne qui doivent être organisées, notamment par la fixation de limites aux délégations de
décisions de prêts ou d’engagements, de telle sorte que les différents ratios soient respectés
en permanence.
Les établissements de crédit assujettis doivent mettre en œuvre tous les moyens nécessaires
à une centralisation exhaustive des engagements, en particulier ceux qui sont consentis à
des bénéficiaires liés.
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3. La limite des prêts aux dirigeants
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3. La limite des prêts aux dirigeants
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3. La limite des prêts aux dirigeants
Les engagements indirects visés ci-dessus sont les engagements portés sur des personnes
morales ou physiques sur lesquelles un actionnaire ou associé, administrateur ou dirigeant
de l’établissement exerce une influence tangible.
Tout engagement en faveur d’un actionnaire ou associé, administrateur et dirigeant doit être
soumis à l’approbation du conseil d’administration et porté à la connaissance des
commissaires aux comptes.
Toute personne sollicitant un crédit ou une garantie ne peut être partie prenante, directement
ou indirectement, au processus d’évaluation du risque et, à fortiori, à la décision d’accorder
ce crédit ou cette garantie.
Ne sont pas soumis aux dispositions du présent règlement les engagements sur l’Etat, sur
des établissements eux-mêmes assujettis et sur des établissements agréés à l’étranger.
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4. Le ratio de structure de portefeuille
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4. Le ratio de structure de portefeuille
Les engagements sur les établissements de crédit ne sont pas soumis à la Règle définie ci-
dessus.
les accords de classement et de mobilisation délivrés par la BEAC pour l’éligibilité aux
différents compartiments du marché monétaire ;
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4. Le ratio de structure de portefeuille
les crédits à long, moyen et court terme à l’exclusion de l’encours des créances
moratoriées sur l’Etat à la date de signature du présent règlement ;
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