Vous êtes sur la page 1sur 11

CABINET BIO MÉDICAL

La Maison de la Santé
Cel: 07 09 33 03 44/ 07 57 00 74 99/ 05 04 43 87 13
Siège Social Abidjan
maisondelasanté@gmail.com

CONTRAT DE TRAVAIL
Le Cabinet Médical La Maison De Santé et Laboratoire Bio Médical Merveille Nature Pharma

dont le siège social est à Abidjan,

Représenté par M. ADI Yao Kan Mathieu agissant en qualité de directeur générale du cabinet d’une part et
d’autre part

M. Mne, Mlle ……………………………………………………………………….....................................

né le ………………… à ……………….. demeurant à : …………………………………………………….

CNI : …………………………………. établie à ……………………………………………………………..

Est recruté en qualité de :…………………………………………………………………..au sein du cabinet

Attendu que le salarié ou stagiaire et l’employeur s’entendent sur les dispositions suivantes :

DISPOSITION GÉNÉRALES

Article 1 : Objet

Le présent règlement intérieur a pour objet de rappeler à chacun ses droits et ses devoirs afin d’organiser la
vie dans la structure dans l’intérêt de tous.

Il fixe notamment :

 Les principes généraux à respecter en matière d’hygiène et sécurité ;


 Les règles de discipline applicable dans la structure ;
 La nature et l’échelle des sanctions pouvant être infligés aux salariés qui y contreviennent ;
 Les garanties procédurales dont bénéficient les salariés à l’encontre desquels une sanction est
envisagée.

Article 2 : Champ d’application

Le présent règlement s’applique, sauf dispositions particulières contraires ou spécifiques, à tous les salariés,
sans réserve.

Les dispositions du règlement intérieur relatives à l’hygiène et la sécurité s’appliquent également aux
intérimaires auxquels la structure peut faire appel ou aux salariés d’entreprises extérieurs travaillant dans
l’entreprise ou aux personnes y effectuent un stage.

I. HYGIÈNE ET SÉCURITÉ

Article 3 : Dispositions générales

Les règles légales d'hygiène et sécurité doivent être respectées, ainsi que les consignes imposées en la
matière par la Direction.

Chaque salarié doit prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de
sa santé ainsi que de celles des autres personnes concernées du fait de ses actes ou de ses omissions au
travail.

Toutes mauvaise exécution de cette obligation est constitutive d'une faute, alors même que le salarié n'a
pas reçu de délégation de pouvoirs.

1
Article 4 : Surveillance médicale

Le personnel est tenu de se soumettre aux visites prévues par le Code du travail : visites d'embauche,
périodiques, de reprise, examens complémentaires demandés par le médecin du travail, selon les
modalités fixées par l'entreprise, le temps passé à ces différentes visites étant pris sur les heures de travail
et rémunéré.

Ces examens sont obligatoires, le refus de s'y soumettre constitue donc une faute, qui, renouvelée après
mise en demeure, prend un caractère de gravité justifiant un licenciement disciplinaire.

Article 5 : Accident du travail et de trajet

Tout salarié victime d'un accident du travail ou de trajet, même de peu d'importance, survenu soit pendant
le trajet entre le lieu de travail et le domicile, soit au cours du travail est tenu de le signaler
immédiatement à la Direction, afin que toutes les mesures nécessaires soient prises, notamment celles
relatives aux soins et formalités.

Tout témoin d'un accident du travail doit en informer la hiérarchie le plus rapidement possible dans la
journée même de l'accident ou, au plus tard, dans les 24 heures, sauf force majeure, impossibilité absolue
ou motif légitime.
.

Article 6 : Consignes de sécurité

Le personnel doit impérativement respecter, dans l'intérêt de tous, toutes les consignes de sécurité, même
verbales données par sa hiérarchie.

Les équipements de travail, les équipements de protection individuelle doivent être utilisées dans les
conditions optimales prévues.

Le personnel est tenu de connaître parfaitement les consignes relatives à la lutte contre les incendies qui
sont affichées dans la structure et doit s'y conformer.

Pour des raisons impérieuses de sécurité, il pourra être procédé par la direction à des fouilles dans des
conditions qui préservent la dignité et l'intimité de la personne.

Le salarié préalablement averti pourra s'opposer à un tel contrôle pour un motif légitime. Il pourra aussi
exiger la présence d'un témoin lors de cette vérification.

Article 7 : Repas et boissons alcoolisées

En application du Code du travail, il est interdit au personnel de prendre ses repas dans les locaux affectés
au travail.

L'introduction de drogue ou de boissons alcoolisées dans les locaux de la structure est interdite.

Il est interdit de pénétrer ou de demeurer dans l'établissement en état d'ivresse ou sous l'emprise de la
drogue.

Article 8 : Interdiction de fumer

Il est formellement interdit de fumer dans l'enceinte de la structure.

Cette interdiction s'applique aussi bien dans les bureaux individuels que dans les espaces collectifs.

En dehors des pauses, aucune absence à son poste pour aller fumer ne sera tolérée.

Les salariés seront toutefois autorisés à s'absenter de leur poste de travail pendant la pause pour aller
fumer à l'extérieur, dans les endroits prévus à cet effet.

Ils sont invités à utiliser les cendriers mis à disposition et doivent veiller à ce que les mégots ne soient pas
dispersés.
2
Compte tenu notamment de l'image que nous souhaitons véhiculer, les salariés fumeurs veilleront à ne pas
stationner devant la porte d'entrée de la société.

Article 9 : Harcèlement sexuel

Conformément au code du travail, aucun salarié, aucun candidat à un recrutement, à un stage ou à une
période de formation en entreprise ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure
discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, de formation, de
reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation
ou de renouvellement de contrat pour avoir subi ou refusé de subir les agissements de harcèlement de
toute personne dont le but est d'obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d'un tiers.

Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire pour avoir
témoigné des agissements définis à l'alinéa précédent ou pour les avoir relatés.

En revanche, est passible d'une sanction disciplinaire tout salarié qui, dans l'exercice de ses fonctions,
aura procédé à de tels agissements.

Article 10 : Harcèlement moral

Conformément au Code du travail aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement
moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter
atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir
professionnel.

Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire directe ou
indirecte, notamment en matière de rémunération, de formation, de reclassement, d'affectation, de
qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de
contrat pour avoir subi ou refusé de subir des agissements constitutifs de harcèlement moral ou pour avoir
témoigné de tels agissements ou les avoir relatés.

En revanche, est passible d'une sanction disciplinaire tout salarié qui, dans l'exercice de ses fonctions,
aura procédé à de tels agissements.

II. DROIT DU TRAVAILLEUR OU STAGIAIRE EN CDD OU EN CDI


A- Droit du travailleur ou stagiaire

Article 11 :

Tout stagiaire perçois une prime de stage de 10.000F par mois et 10% de prime de motivation sur sa vente
personnelle ou groupée.

Article 12 :

Tout stagiaire bénéficie d’une réduction de 30% sur ses soins médicaux au sein du cabinet et sur ses achats
de consommation personnelle.

Article 13 :

En cas de maladie, le stagiaire a droit à un arrêt de travail délivré par le directeur de l’entreprise ou du
médecin traitant allant de 3 jours à une semaine selon la gravité de la maladie.

Article 14 :

Une prime de transport est perçue en cas de déplacement recommandé par l’administration du cabinet  ; en
cas d’accident de travail il sera pris en charge.

3
Article 15 :

Le stagiaire peut faire une demande de CDD adressé au directeur après trois (03) mois de stage.

B- Droit du travailleur en CDD : contrat de 6 mois renouvelable une fois

Article 16 :

Tout travailleur en CDD perçoit un salaire de base de 25.000/ mois et 10% de prime de motivation sur sa
vente personnelle ou groupée pendant 6 mois.

Article 17 :

Tout travailleur bénéficie d’une réduction de 30% sur ses soins médicaux au sein du cabinet et sur ses
achats de consommation personnelle.

Article 18 :

En cas de maladie, le travailleur a droit à un arrêt de travail délivré par le directeur de l’entreprise ou du
médecin traitant allant de 3 jours à une semaine selon la gravité de la maladie.

Article 19 :

Une prime de transport est perçue en cas de déplacement recommandé par l’administration du cabinet  ; en
cas d’accident de travail il sera pris en charge.

Article 20 :

Après 3 mois de travail remarquable, le travailleur en CDD peut faire une demande adressée au directeur
pour passer à la catégorie B. Pour la catégorie B le salaire est de 40.000/mois et aura une prime de 8% sur
ses ventes directes ou groupées.

Article 21 :

Après 3 mois de travail remarquable, le travailleur en CDD peut faire une demande adressée au directeur
pour passer à la catégorie C. Pour la catégorie B le salaire est de 50.000/mois et aura une prime de 8% sur
ses ventes directes ou groupées.

Article 22 :

Après 3 mois de travail remarquable, le travailleur en CDD peut faire une demande adressée au directeur
pour passer à la catégorie D. Pour la catégorie B le salaire est de 60.000/mois et aura une prime de 5% sur
ses ventes directes ou groupées.

Article 23 :

Les catégories évoluent de A à D.

Article 24 :

Après un an de travail assidu, le travailleur en CDD perçoit un diplôme pour son travail abattu. Il peut faire
sa demande pour passer en CDI ; Une fois en CDI, il devient superviseur avec un salaire de 100.000F/mois
puis une prime d’encouragement sur ses ventes personnelle ou groupées son salaire peut augmenter chaque
année et peut atteindre 150.000F/mois puis déclaré à la CNPS.

C- Droit du travail en CDI : Directeur commercial

Article 25 :

Le travailleur en CDI est nommé par le directeur et aide la direction dans l’organisation du travail.

Article 26 :
4
Le directeur commercial est le chef, le superviseur de tous les conseillers bio médicaux. Le salaire de base
est de 100.000/mois avec une prime de 5% par semaine sur ses ventes directes et ses ventes groupées et 2%
sur le chiffre d’affaire total de tous les cabinets par mois. Son salaire peut augmenter chaque année jusqu’à
atteindre 200.000F/mois et déclaré à la CNPS sans oublier ses 2% de prime en fonction de sa performance
et de son résultat (respect du chiffre d’affaire).

NB : Tous les travailleurs du cabinet ont pour titre « conseillers bio médical » et ont doit à une carte
professionnelle après une année de service. Le DC fait exécuter la décision de la direction, il est le
formateur et le responsable des conseillers

III. OBLIGATION ET DEVOIR DU DIRECTEUR COMMERCIAL

Article 27 :

Il doit faire rentrer au moins un million par mois au sein de l’entreprise y compris ses ventes personnelles
et ses ventes groupées avec son équipe.

Article 28 :

Il doit organiser au moins 10 sorties dans le mois avec une équipe de 3 personnes. Il doit organiser les
conseillers biomédicaux puis les former sur la vente.

Article 29 :

Il doit s’entretenir d’abord avec la direction générale avant l’exécution de toute stratégie. Il a deux jours
pour rester au cabinet pour aider le directeur général dans ses tâches. C’est un homme de terrain, il doit être
exemplaire. Il travaille du lundi au samedi de 08H à 18H.

Article 30 :

Tous stagiaire ou conseiller biomédical doit obéir et suivre les instructions commerciales du directeur
commercial.

Article 31 :

Il est interdit à tout stagiaire, conseiller biomédical ou aux travailleurs du cabinet de vendre d’autres
produits autres que les produits de Merveille Nature Pharma ou produits du cabinet ; en cas de non-respect
de cette règle, tout contrevenant sera licencié sans préavis ni droit aux avantages lié à sa fonction et sera
passible d’une poursuite judiciaire.

Article 32 :

Tous les travailleurs du cabinet biomédical ou de merveille nature pharma sont sous l’autorité de la
direction générale.

Article 33 :

Tout employé a pour obligation de respecter les règles suivantes de l’entreprise : le respect mutuel,
l’entente et le progrès. Tout employé doit avoir l’esprit d’équipe et de partage, de collaboration et de
fraternité.

Article 34 :

Tout employé doit porter sa blouse, son badge dans l’exercice de ses fonctions. Le badge est porté au cours
de la prospection et les blouses sont obligatoire au cabinet et au cours des ventes groupées.

5
Article 35 :

Tous les commerciaux ou conseillers biomédicaux du cabinet maison de santé ou du laboratoire Merveille
Nature Pharma sont obligés de sont obligés de vendre les produits dont les prix sont inférieurs à 2.500F sur
le terrain, puis convoyer les malades au cabinet le plus proches.

IV. DISCIPLINE GÉNÉRALE

Article 36 : Horaires et temps de travail

Les salariés doivent se conformer aux horaires de travail applicables dans la structure et fixés par la
Direction.

Le non-respect de ces horaires peut entraîner des sanctions.

Article 37 : Retards, absences et congés

Toute absence prévisible doit être préalablement autorisée, sous réserve des droits des représentants du
personnel.

À défaut de motif valable, les retards et absences constituent des fautes qui peuvent être sanctionnées.

Si une absence est imprévisible, le salarié doit informer ou faire informer au plus tôt son responsable
hiérarchique, et fournir une justification dans les 48 heures, sauf cas de force majeure.

En cas d'absence pour maladie ou accident, la justification résulte de l'envoi d'un certificat médical
indiquant la durée probable du repos, la même formalité devant être observée en cas de prolongation.

Tout salarié doit respecter les dates de congés payés décidées par la direction. Il est interdit de modifier
ces dates sans son accord préalable.

- Mariage de l’employé quatre (4) jours ouvrables


- Mariage d’un de ses enfants, d’un frère, d’une sœur deux (2) jours ouvrables.
- Naissance d’un enfant deux (2) jours ouvrables.
- Baptême d’un enfant un (1) jour ouvrable.
- Décès du conjoint sept (7) jours ouvrables.
- Décès d’un enfant, du père, de la mère de l’employé cinq (5) jours ouvrables
- Décès d’un frère ou d’une sœur quatre (4) jours ouvrables.
- Décès d’un beau-père ou d’une belle-mère trois (3) jours ouvrables.
- Tout autre cas fera l’objet d’analyse et appréciation de la direction générale.

Au titre des jours fériés :

 1er janvier – Jour de l’An ;


 Le Vendredi saint
 Le lundi de Pâques,
 Le 7 Aout Fête nationale
 Le 01 Mai Fête du Travail ;
 Le 25 décembre – Noël ;
 Jour de la Tabaski
 Jour du Ramadan
 Lundi de pentecôte
 Le jour de l’ascension
 Le jour de l’assomption
 Journée nationale de la paix
 01 novembre toussaint
6
 Lendemain de la nuit du destin
 Autres congés prévus dans l’entreprise (ex. : congés liés aux contraintes particulières de
l’employeur). 

Article 38 : Exécution du contrat de travail

Les personnes de la structure doivent exécuter les travaux qui leur sont confiés, en respectant les ordres et
directives qui leur sont donnés. Nul ne peut effectuer un travail autre que celui qui lui est commandé.

Article 39 : Tenue vestimentaire

Compte tenu de l'activité de la structure, et afin de conserver son image de marque, une tenue
vestimentaire correcte est exigée du personnel présent dans les bureaux.

Article 40 : Usage général des locaux et du matériel de l'entreprise

Sauf autorisation particulière, les locaux et le matériel de la structure doivent être exclusivement réservés
aux activités professionnelles.

Il est notamment interdit :

D’introduire sur le lieu de travail et pour quelque raison que ce soit des objets ou marchandises pour y
être vendues ;

- D’organiser, sans autorisation ou disposition légale ou conventionnelle l'autorisant, des collectes


ou souscriptions sous quelque forme que ce soit ;

- De diffuser des journaux, des pétitions ou de procéder à des affichages sans autorisation de la
Direction, exception faite des droits reconnus aux représentants du personnel ;

- D’emporter, même pour quelques jours seulement, des objets appartenant à la structure, sauf
accord du responsable hiérarchique.

Tout salarié est tenu de conserver en bon état le matériel qui lui est confié pour l'exécution de son travail.

Les lignes informatiques et les lignes téléphoniques mis à la disposition du personnel ne peuvent être
utilisées à des fins personnelles que si celles-ci sont liées aux nécessités impératives de la vie privée.

Le fait de détériorer un matériel peut être considéré comme une faute grave, voire lourde. Il en est de
même pour le fait d'enlever un dispositif protecteur et/ou de sécurité sauf pour entretien et uniquement par
les personnes ou entreprises dont c'est la charge.

La détérioration ou le mauvais fonctionnement des dispositifs de sécurité dont le personnel aurait


connaissance doivent être immédiatement signalés à la Direction.

Article 41 : Comportement général du salarié ou stagiaire

Chaque salarié doit respecter les règles élémentaires de savoir-vivre et de savoir-être en collectivité.

Toute rixe, injure, insulte, comportement agressif, incivilité sont interdits dans l'entreprise, a fortiori
lorsqu'ils sont pénalement sanctionnables.

Il en est de même de tout comportement raciste, xénophobe, sexiste et/ou discriminant au sens des
dispositions du Code du travail et du Code pénal.

Article 42: Utilisation des véhicules d’entreprise et des véhicules personnels

Seules les personnes expressément autorisées peuvent utiliser les véhicules de l'entreprise.

7
Sauf autorisation écrite et préalable de la direction, aucune personne étrangère à l'entreprise ne peut être
transportée dans des véhicules appartenant à l’entreprise.

Tout conducteur doit s'assurer qu'il est effectivement en possession des pièces et documents concernant le
véhicule.

Les conducteurs doivent se conformer aux prescriptions du Code de la route et aux règles de sécurité
relatives aux personnes transportées.

Tout incident ou accident, doit être signalé à……………… (précisez la personne habilitée à recevoir la
déclaration ainsi que le délai dans lequel l’information doit être donnée), ainsi que toute infraction relevée
ou susceptible de l'être.

Chaque conducteur doit respecter les dispositions légales et règlementaires relatives, notamment, au
stationnement des véhicules.

Les véhicules des salariés doivent être obligatoirement stationnés dans les parkings réservés à cet effet.

V. SANCTION DES FAUTES ET DROIT DE LA DÉFENSE DES SALARIÉS

Article 43 : Nature et échelle des sanctions

Tout agissement considéré comme fautif pourra, en fonction de sa gravité, faire l'objet de l'une ou l'autre
des sanctions suivantes :

• Avertissement écrit (émargé par l'intéressé ou envoyé par lettre recommandée avec AR) ;

• Blâme notifié par écrit, dans les mêmes conditions que ci-dessus ;

• Mise à pied disciplinaire d’un à trois jours, sans rémunération ;

• Mutation disciplinaire ;

• Licenciement pour faute ;

• Licenciement pour faute grave, sans préavis ni indemnité de licenciement ;

• Licenciement pour faute lourde, sans préavis ni indemnité de licenciement, ni indemnité


compensatrice de congés payés.

Article 44 : Définition de la faute

Est considéré comme fautif un comportement qui se manifeste par un acte positif ou une abstention de
nature volontaire ne correspondant pas à l'exécution normale de la relation contractuelle. Il peut s'agir du
non-respect d'une disposition du règlement intérieur, du Code du travail, mais aussi de l'inexécution ou de
la mauvaise exécution du travail.

Les sanctions, y compris le licenciement sans préavis ni indemnité avec mise à pied conservatoire
immédiate, pourront être appliquées, notamment dans les cas suivants :

• Ivresse ;

• Insubordination et indiscipline ;

• Absence injustifiée ;

8
• Infractions à l'hygiène et la sécurité ;

• Fraude dans les horaires ;

• Rixes, injures, violences contre tout membre du personnel ;

• Insultes et/ou voies de fait envers tout membre du personnel ;

• Agissements de harcèlement moral ou sexuel ;

• Détournement, vol, abus de confiance ;

• Négociation avec des fournisseurs de l’entreprise ou avec des clients aux fins d’obtenir des
avantages personnels ;

• Bris et détérioration volontaires du matériel ;

• Désorganisation volontaire de la bonne marche de l'entreprise ;

• Critiques et dénigrements systématiques.

Article 45 : Droits des salariés

Aucune sanction antérieure de plus de trois ans à l'engagement des poursuites disciplinaires ne peut être
invoquée à l'appui d'une nouvelle sanction. Aucune sanction ne peut être infligée au salarié, sans qu'il ne
soit informé dans le même temps et par écrit des griefs retenus contre lui.

Toute sanction autre qu'un avertissement ne pourra être décidée ou appliquée, tant que l'intéressé n'aura
pas été dûment appelé et entendu. Il pourra se faire assister par une personne de son choix appartenant au
personnel de l'entreprise.

À la suite de cet entretien, la sanction éventuelle lui sera notifiée par un écrit motivé, au moins un jour
franc et au plus un mois après l'entretien préalable.

Si l'agissement du salarié a rendu indispensable une mesure de mise à pied conservatoire avec effet
immédiat, la sanction définitive relative à cet agissement ne pourra être prise qu'en respectant la
procédure énoncée ci-dessus.

Article 46 : Avis de démission

Si le salarié désire mettre fin au présent contrat, il convient de donner à l’employeur un délai de congé
raisonnable équivalant à celui que ce dernier aurait à donner au salarié en vertu de la Loi sur les normes
du travail.

Article 47 : Avis de cessation d’emploi

L’employeur qui désire mettre fin au présent contrat ou procéder à une mise à pied pour six (6) mois ou
plus doit remettre un avis écrit au salarié.

VI. DÉPÔT, PUBLICITÉ ET ENTRÉE EN VIGUEUR

Article 48 : Formalités, dépôts

Conformément aux prescriptions du Code du travail, le présent règlement a été :

• Soumis pour avis aux délégués du personnel le ;

• Communiqué en double exemplaire à l'Inspecteur du travail dont dépend, le ;

9
• Déposé en un exemplaire au secrétariat du conseil des prud'hommes dont dépend le.

• Il est affiché le même jour dans les lieux prévus à cet effet.

Article49 : Modification

Toute modification ultérieure, adjonction ou retrait au présent règlement sera soumis à la procédure de
l'article 22, conformément aux prescriptions du Code du travail.

Article 50 : Notes de services complémentaires

Le présent règlement intérieur peut être complété par les notes de service portant prescriptions générales et
permanentes que la direction estime nécessaires.

Ces notes de service sont soit diffusées par le service du personnel aux salariés, soit affichées sur les
panneaux réservés à cet usage et sont soumises aux mêmes consultations et aux mêmes formalités que le
présent règlement.

Article 51 : Entrée en vigueur

Le présent règlement intérieur entrera en vigueur le

Article 52 : Opposabilité

Le présent règlement est opposable à l'ensemble des salariés visés par l'article 2 que ceux aient été
embauchés antérieurement ou postérieurement à son entrée en vigueur.

Tout salarié tenu de prendre connaissance du présent règlement au moment de son embauche. Aucun
salarié ne pourra donc se prévaloir de son ignorance.

VII. PLAN DE REMUNERATION A MERVEILLE NATURE PHARMA


1- Rémunération des stagiaires- partenaires

Nous rappelons qu’un stagiaire partenaire c’est celui qui signe un contrat avec merveille nature pharma
pour une formation gratuite. Celui-ci a 30% sur ses ventes directes sans salaire ni prime de transport. Pour
les besoins personnels du stagiaire-partenaire, il paye les produits à 30% moins cher.

2- Rémunération d’un simple partenaire

Est partenaire simple toute personne qui décide de travailler en partenariat avec merveille nature pharma en
convoyant les clients au cabinet sans signer de contrat. Son intérêt est de 10% sur l’achat de chaque client
envoyé. Pour les besoins personnels du simple partenaire, il paye les produits à 20% moins cher.

3- Tous les gérants de cabinet en CDD

Tous les gérants de cabinet en CDD ont un salaire de base de 25.000F/ mois et bénéficie de 10% sur ses
ventes directes, groupé ou sur le chiffre d’affaire du cabinet qu’il gère. Lorsque son salaire passera à

10
60.000F /mois, il y aura un chiffre d’affaire mensuel qui lui sera fixé par le directeur général et bénéficiera
de 5% du chiffre d’affaire du cabinet qu’il gère ou sur ses ventes directes ou groupés.

4- Les directeurs commerciaux

Ils auront comme salaire de base 100.000F. leur objectif mensuel par cabinet est de 1.000.000F. Ils
bénéficieront de 2% du chiffre d’affaire des cabinets qu’ils animeront.

5- Tous les travailleurs

Tous les travailleurs ont le même droit en termes de soin, en terme du travail et payeront les produits pour
leurs soins personnels à 20% moins cher

6- Tous ceux qui viendront prendre les produits en gros avec nous payeront 30% moins cher.

L’Intéressé Fait à Agboville le ……./……./……

Le directeur Générale

11

Vous aimerez peut-être aussi