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DES
SCIENCES PHYSIQUES
ET NATURELLES
PAR
H. FAB RE
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE. - DEGRÉ SUPÉRIEUR
ÉLÉMENTS USUELS
DES
SCIENCES PHYSIQUES
ET NATURELLES
CORBEIL. TYP. ET STÉR. CRÉTÉ.
ÉLÉMENTS USUELS
DES
SCIENCES PHYSIQUES
ET NATURELLES
A L’ USAGE DES ÉCOLES PRIMAIRES
(Programme du 27 ju illet 1882. — Degré supérieur)
P AR
H. FABRE
ANCIEN ÉLÈVE DE L’ÉCOLE NORMALE DE VAUCLUSE
DOCTEUR ÈS SCIENCES
P A R IS
LIBRAIRIE CH. DELAGRAVE
15, RU E SOUF F LO T , 15
1883
Tous droits réservés.
ÉLÉMENTS USUELS
P R E M IE R E P A R T IE
P R E M I È R E S N O T I O N S DE P H Y S I Q U E
LA PESANTEUR
4. V e r t ic a le e t h o r iz o n ta le . — Or Si l’on observe le
fil à plomb suspendu immobile au-dessus d’une nappe
d’eau tranquille, comme celle d’un bassin ou d’une
simple cuvette, par exemple, on re
connaît que, par rapport à la sur
face de l’eau, le fil ne penche d’aucun
côté, qu’il fait un angle droit avec
toutes les directions imaginables
tracées sur la nappe liquide et par
tant du point où il atteint l’eau
(fi g. 2). On donne le nom de verticale
à cette direction du fil. La verticale
est donc une ligne droite qui ne
Fig. 2. — Le fil à plomb penche d’aucun côté par rapport à
est perpendiculaire à la la surface des eaux tranquilles, ou,
surface d’une eau tran
quille.
comme on dit encore en se servant
des expressions de la géométrie, qui
est perpendiculaire à cette surface. Enfin la surface des
eaux tranquilles est dite une surface horizontale, et
toute ligne droite tracée sur pareille surface est elle-
même qualifiée d’horizontale.
5. F i l à p l o m b , n i v e a u d u m a ç o n . — La direction
verticale est très importante à considérer dans une
foule de cas, en particulier pour nos constructions, qui
manqueraient de solidité si le maçon n’avait soin de
s’assurer, avec le fil à plomb, de la verticalité du mur
qu’il construit. Pour reconnaître, par exemple, si l’angle
d’un mur est bien vertical, il se place en face de cet
angle avec un fil à plomb suspendu à la main devant le
regard. L’arête du mur visée doit être entièrement ca
chée par le fil à plomb, sinon elle n’est pas verticale, et
le mur est mal construit.
C’est également sur le fil à plomb qu’est basé le niveau
de maçon, avec lequel on s’assure si une surface est ho
rizontale, c’est-à-dire perpendiculaire à la direction de
la pesanteur. Ce niveau se compose de deux pièces en
bois de longueur égale, disposées sous un certain angle,
CHUTE DES CORPS. 5
C H A PITRE II
POIDS. — LEVIER. — BALANCE. — ROMAINE.
C H A P ITR E III
ÉGALITÉ DE NIVEAU DES LIQUIDES. — SOURCES. — FON
TAINES. — PUITS. — JETS d ’e a u .
CH A PITRE IV
PRESSE HYDRAULIQUE.
1. T ra n s m is s io n d es p re s s io n s p a r le s liq u id e s . —
Supposons un vase entièrement plein d’eau ou de tout
autre liquide; sur les parois de ce
vase, en dessus, en dessous, par côté,
imaginons des orifices, A, B, G, D, E
(fig. 17), tous d’égal calibre et munis
de canaux dans lesquels des pistons,
bouchant exactement, peuvent se
F ig. 1 7 .
mouvoir en liberté. Eh bien, si l’on
exerce une pression de 1 kilogramme sur l ’un des pis
tons, sur A par exemple, cette pression se transmet par
l ’intermédiaire du liquide à tous les autres pistons,
B, G, D, E, qui, refoulés alors de dedans en dehors,
tendent à s’échapper de leur canal si rien n’y met ob
stacle. Pour les empêcher de sortir, il faut les maintenir
en place par une poussée précisément égale à celle
qu’éprouve le piston A, cause de toutes ces tendances
au déplacement.
2 . L a p re s sio n tr a n s m is e e s t p r o
p o r tio n n e lle à l a s u r f a c e . — Voici
maintenant (fig. 18) un vase plein d’eau,
percé à la paroi supérieure de deux
orifices, dont l’un A est cent fois plus
Fig. 18.
grand que l’autre, B. Chaque orifice est
muni d’un piston. On charge, je suppose, le piston B du
poids de 1 kilogramme ; et, par l’effet de la poussée
transmise, le piston A est refoulé de bas en haut. Pour
l’empêcher de monter, il faut le charger d’un poids de
100 kilogrammes.
Ce résultat était facile à prévoir d’après ce qui pré
cède. Remarquons que le piston A, cent fois plus étendu
PRESSE HYDRAULIQUE. 25
plateau fixe ΙI'. C’est entre ces deux plateaux que l’on
dispose les objets à presser.
Admettons que le piston du gros cylindre soit mille
fois plus étendu que le piston du petit. Si, au moyen du
levier, on exerce sur celui-ci une pression de 100 kilo
grammes, et par l’intermédiaire du levier, c’est chose
très aisée, l’effort d’une seule main suffit; si, disons-
nous, on exerce sur le piston du cylindre A une pression
de 100 kilogrammes, la poussée se transmettra de bas
en haut au piston du gros cylindre, proportionnelle
ment à sa surface ; et comme celui-ci est mille fois plus
grand que le premier, le piston K sera soulevé avec la
force énorme de 100 000 kilogrammes.
On se sert de la presse hydraulique pour comprimer
les cartons et le papier fraîchement préparés et leur faire
rendre l’eau dont ils sont imprégnés; pour exprimer
le ju s sucré des betteraves, l’huile des olives ; pour
réduire en un petit volume les matières encombrantes,
comme le foin, et en rendre ainsi le transport plus
facile, etc. La puissance de la presse hydraulique est
prodigieuse. Sans effort, en poussant simplement de la
main, un homme, dans certaines opérations, exerce par
son intermédiaire une pression d’un million de kilo
grammes.
C H A PITR E V
POUSSÉE DES LIQUIDES. — CORPS FLOTTANTS. — AÉROSTATS.
F ig . 21. — Étant chauffée, une vessie ridée se ballonne parce que l’air contenu
se dilate.
que, à volume pareil, l’air chaud est plus léger que l ’air
froid. Si, par exemple, un litre d’air froid, qui pèse
1gr, 3, est dilaté par la chaleur jusqu’à occuper deux
litres, un litre seul de cet air chaud pèsera juste la
moitié de 1gr,3. On voit également bien que l’air sera
d’autant plus léger qu’il sera plus chaud, parce que sa
dilatation sera plus grande.
Supposons un ballon de 10 mètres de largeur. Bien
gonflé, il aura un volume de 565 mètres cubes. L’air
chaud dont il est plein ne pèse, par exemple, que
1 gramme par litre, tandis que l’air froid dont il occupe
la place pèse l gr,3. Le poids total de l’air chaud est
alors de 565 kilogrammes, et celui de l’air froid déplacé
de 734 kilogrammes. L’air chaud tend donc à s’élever
par l’effet d’une poussée de bas en haut égale à la dif
férence de ces deux poids, c’est-à-dire à 169 kilogram
mes. Alors si le poids de la toile, des cordages, d e l’aé-
ronaute, de ses instruments et de la corbeille d’osier
ou nacelle où il se trouve,
n’atteint pas cette valeur
de 169 kilogrammes, le bal
lon s’élèvera, parce que son
poids total sera moindre
que la poussée de l’air froid.
Après l’ascension du bal
lon arrive sa descente, oc
casionnée par le refroidis
sement graduel de l’air qui
le gonfle. En se refroidis
sant, cet air se contracte,
laisse pénétrer l’air exté
rieur; e t le ballon, devenant
peu à peu plus lourd, re
descend lentement.
Fig. 22. — L’aérostat. 7 . L e s a é r o s t a t s . — Les
ballons à air chaud ne sont
guère employés par les aéronautes, car, à moins d’avoir
l ’a l c o o m è t r e . 33
C H A PITRE VI
l ’a l c o o m è t r e .
C H A PITRE VII
C H A P IT R E V I I I
POMPE ASPIRANTE. — SIPHON.
1. A sc e n s io n des liq u id e s d a n s le s tu b e s d o n t l ’a i r
e s t a s p ir é . — Plongeons dans l’eau un tube AB (fig. 32)
ouvert aux deux bouts, et aspirons par l'orifice A. Chacun
de nous sait que l’eau monte, ne serait-ce
que pour s’être amusé une fois à boire avec
une paille. Pour quel motif l ’eau monte-
t-elle dans le tube; et, pour procéder par or
dre, qu’est-ce que aspirer avec la bouche?
La bouche communique d’une part avec
l’estomac, cavité digestive où se rendent les
aliments; d’autre part avec les poumons, or
gane respiratoire où va l’air nécessaire à l’en-
Fig. 32. tretien de la vie. Aspirer, c’est gonfler ses
poumons pour y faire place à l’air du de
hors. Quand donc nous aspirons par l'orifice A du tube,
l ’air contenu dans celui-ci se répartit à la fois dans les
cavités pulmonaires et dans le tube lui-même. Le tube
se trouve ainsi privé d’une partie de l’air contenu d’a
bord ; ce qui manque s’est introduit dans les poumons.
Ces explications données, considérons le tube avant
POMPE ASPIRANTE. 47
C H A PITRE P R E M IE R
C H A P ITR E II
DILATATION. — THERMOMÈTRE.
C H A P IT R E I I I
CONDUCTIBILITÉ POUR LA CHALEUR.
C H A PITR E I V
LA MACHINE A VAPEUR.
C H A PITR E P R E M IE R
L’ ÉLECTRICITÉ. — LA FOUDRE. — LE PARATONNERRE.
C H A PITR E II
MAGNÉTISME. — AIMANT. — BOUSSOLE.
mouvoir dans tous les sens, puisque le fil délié qui le sou
tient, n’étant pas tordu, ne lui oppose aucune résistance.
Or, dans ces conditions, nous constaterons une chose
bien importante. De lui-même, l’aimant prendra une
direction invariable, à peu près celle du nord au sud ;
une extrémité, un pôle, toujours le même, se dirigera
vers le nord ; l’autre extrémité, toujours la même, se
dirigera vers le sud. Si nous dérangeons l’aiguille de
cette position, elle y reviendra après avoir oscillé un
peu à droite et un peu à gauche ; et toujours la même
extrémité fera face au nord, la même extrémité fera face
au sud. L’extrémité qui se tourne vers le nord s’appelle
pôle austral; celle qui se tourne vers le sud s’appelle
pôle boréal. Ces dénominations sont les contraires de
celles des pôles géographiques de la Terre, dont l’aiguille
prend l’alignement.
6. Les pôles de nom contraire s’attiren t, les pôles de
même nom se repoussent. — Avec deux tronçons d’ai-
guille à tricoter préparons deux aimants, comme il
vient d’être dit. En les suspendant à un fil non tordu,
reconnaissons d’abord sur chaque aimant le pôle austral
ou l’extrémité qui se tourne vers le nord, et le pôle
boréal ou l’extrémité qui se tourne vers le sud. Cela
fait, laissons l’un des aimants suspendu, et prenons
l’autre du bout des doigts. Si
nous mettons en présence
deux pôles de même nom,
boréal et boréal, ou bien
austral et austral, il y a ré
pulsion : l’aimant mobile fuit
devant celui qu’on lui pré
sente. Si, en second lieu, les
pôles mis en face sont de
nom contraire, austral et
Fig. 58. — Les pôles de même
nom se repoussent. boréal, il y a attraction : l’ai
mant mobile vient appliquer
son extrémité sur celle de l’aimant tenu à la main.
MAGNÉTISME. 95
C H A P IT R E III
LA PILE. — LE TÉLÉGRAPHE ÉLECTRIQUE.
C H A PITR E P R E M IE R
LE SON.
C H A P IT R E P R E M IE R
LA LUMIÈRE.
CHIMIE
C H A PITR E P R E M IE R
CORPS SIMPLES ET CORPS COMPOSÉS.
ment sous nos yeux, rien que dans les modestes bornes
de l’économie domestique. Si le ju s sucré de la grappe
se convertit en vin, chimie; si ce vin aigrit dans un
tonneau, s’il devient vinaigre au fond d’une bouteille,
chimie; si du lard rancit, si du lait tourne, si des pro
visions alimentaires se gâtent, chimie ; simple savonnage
d’un linge, tissu à nettoyer d’une tache d’encre ou de
fruits, lessive avec les cendres, chimie, toujours chimie.
Ce n’est donc pas une science abstruse, réservée au
petit nombre, et simple objet de savante curiosité; c’est
la science populaire par excellence, dont nous avons
continuellement à invoquer les préceptes.
2. Éléments ou corps simples. — La chimie nomme
élément ou corps simple toute substance non décompo-
sable en d’autres, toute substance enfin parvenue au
dernier degré possible de simplification. Prenons un
exemple pour nous entendre en ce délicat sujet. —
Considérons en particulier le sucre. Est-ce un élément?
C’est ce que nous allons voir. Nous en mettons un mor
ceau sur le poêle rouge. Il éprouve une sorte de fusion
et répand d’épaisses fumées, des vapeurs. A la fin le
morceau de sucre est réduit à une petite masse spon
gieuse et noire, où il est aisé de reconnaître du charbon.
Le sucre n’est donc pas un corps simple puisque la
chaleur le décompose en diverses substances : d'une
part les vapeurs constituant les fumées, d’autre part le
charbon qui reste sur la plaque de fer rouge.
Le charbon à son tour qu’est-il? Chauffons-le autant
que nous le voudrons, pourvu qu’il ne brûle pas, ce qui
serait le compliquer au lieu de le simplifier, ainsi qu’il
sera dit au moment opportun; soumettons-le à la
chaleur la plus violente, mais à l’abri de l’air, qui en
amènerait la combustion, et il sera après ce qu’il était
avant : du charbon, rien de plus, rien de moins. Le
charbon, matière indécomposable non seulement par
la chaleur mais par tout autre moyen en notre pouvoir,
est donc un élément, un corps simple.
120 PREM IÈRES NOTIONS DE CHIMIE.
C H A P ITR E II
l'air. — LA COMBUSTION.
C H A PITR E III
LE GAZ CARBONIQUE
C H A P IT R E IV
LA RESPIRATION
C H A PITR E V
l ’e a u
C H A P IT R E VI
le gaz de l ’é c l a i r a g e . — le g r is o u .
C H A PITRE V II
MÉTAUX.
L ' HOMME
C H A P ITR E P R E M IE R
LA DIGESTION.
C H A P IT R E II
CIRCULATION.
C H A PITRE I II
R ESPIR A TIO N .
C H A P ITR E IV
LOCOMOTION.
C H A P IT R E V
SYSTÈME NERVEUX.
C H A P ITR E V I
ORGANES DES SENS. — VOIX.
la voix.
LES ANIMAUX,
C H A PITR E P R E M IE R
GRANDES DIVISIONS DU RÈGNE ANIMAL.
C H A PITR E II
MAMMIFÈRES.
Fig. 130. — Tête de Lion, vue de profil. Fig. 131. — Tête de Lion, vue de face.
F ig . 1 4 0 . — L’Ours bru n .
vail, leur chair, leur lait, leur suif, leur cuir, leur toison.
A ces serviteurs de l’homme, il faut ajouter le B u ffle et
le Chameau de l’Afrique et de l’Asie ; le Lam a de l’Amé
rique du Sud, le Renne des peuplades arctiques, notam
ment des Lapons. Parmi les espèces
non asservies sont la G irafe, le C erf,
le Chamois, les Gazelles.
8. Le la it. — Le lait est la pre
mière nourriture de tous les mam
mifères dans le jeune âge ; il est
produit, avec les matériaux du sang,
par des organes spéciaux nommés
mamelles. Comme celui de quelques
animaux ruminants, vache, chèvre,
brebis, est pour nous d’une haute
utilité, nous avons réservé pour ici
le peu que nous avons à en dire.
Tout lait contient trois substances
principales, savoir : la crème, ou
matière grasse avec laquelle se pré
Fig. 146. — La Girafe.
pare le beurre ; la caséine ou caillé,
qui sert à la fabrication du fromage; enfin une substance
à saveur légèrement douce et que l’on nomme sucre de
lait. Ces trois matières enlevées, le reste n’est guère que
de l’eau. Pour les obtenir chacune à part, on s’y prend
de la manière suivante.
Abandonné au repos dans un lieu frais et au contact
de l’air, le lait se couvre, plus tôt ou plus tard suivant
la saison, d’une épaisse couche onctueuse, qui prend le
nom de crème. Voilà la matière à beurre. Elle se sé
pare d’elle-même du liquide et monte à la surface par le
seul contact de l’air. On l’enlève avec une écumoire. Ce
qui reste est le lait écrémé, de même blancheur, de
même aspect que le lait primitif, mais privé de sa ma
tière grasse. Dans ce lait écrémé, versons quelques
gouttes d’un liquide acide quelconque, par exemple de
ju s de citron ; ou mieux servons-nous de la caillette de
MAMMIFÈRES. 233
C H A P ITR E III
OI SEAUX. — REPTILES.
Oiseaux.
1. Caractères généraux. — Le corps couvert de plumes
et les membres antérieurs disposés en ailes distinguent
les oiseaux des autres animaux vertébrés. Les carac
tères tirés principalement du bec et des pattes, or
ganes dont la structure est en rapport intime avec la
manière de vivre, servent de base à la classification des
oiseaux, qui se divisent ainsi : les Oiseaux de proie, les
Passereaux, les Grimpeurs, les Gallinacés, les Pigeons,
les Échassiers, les Palmipèdes, les Oiseaux coureurs im
propres au vol
2 38 LES ANIMAUX.
REPTILES.
C H A P IT R E IV
BATRACIENS. — POISSONS
B a tra c ie n s .
C H A P IT R E Y
INSECTES.
Fig. 203. — Le Hanneton. Fig. 204.— Sa larve. Fig. 205. — Sa coque en terre.
Fig. 206. — Ver à soie. Fig. 207. — Cocon du Fig. 208. — Chrysa
yer à soie. lide du ver à soie.
C H A PITRE V Ι
ARACHNIDES. — CRUSTACÉS. — MYRIAPODES. — V ERS.
A rachnides.
C r u s ta c é s .
C H A P ITR E V II
MOLLUSQUES. — ZOOPHYTES.
M o llu s q u e s .
ZOOPHYTES
5. L e cor ail. — Jetons les regards sur la figure 249.
Ne dirait-on par un arbuste en fleurs ? Ce n’est pour
tant pas une plante : c’est un pied de corail. Chacun
connaît les belles perles rouges avec lesquelles on fait
des bracelets et des colliers ; eh bien, avant d’être fa
çonné en perles par la main de l’ouvrier, le corail a la
forme d’un petit arbuste d’un rouge vif, avec tige, bran
VÉGÉTAUX
CH APITRE PR EM IER
T IG E . — RACINE. — BOURGEONS. — BOUTURAGE. —
MARCOTTAGE. — GREFFE.
C H A P ITR E II
FEUILLES. — NUTRITION DES VÉGÉTAUX.
Fig. 259. — Feuille de l’Orme, avec stipules. Fig. 260. — Feuille du Chêne.
CHAPITRE III
LA FLEUR.
C H A P ITR E IV
LE F R U IT . — LA GRAINE.
Fig. 271. — Semence Fig. 272. — Noyau ou Fig. 273. — c , coty
dont un cotylédon vert montrant la. se lédon ; r, radicule ;
est enlevé. mence. t, tigelle; g, gem
mule.
C H A P IT R E V
PRINCIPALES FAMILLES.
Fig. 279. — La Giroflée des murailles Fig. 280. — Etamines Fig. 281. — Fruit
(Crucifère). d’une Crucifère. ou silique d'une
Crucifère,
Fig. 311. — Epi de Fig. 312. — Froment Fig. 313. — Une Fig. 314. — Pani
l’Orge (Grami (Graminée), groupe fleur de Froment. cule de l’Avoine
née). de fleurs ou épillet. (Graminée).
porte à son extrémité une longue anthère placée en
travers. Les stigmates sont deux élégantes aigrettes
plumeuses. Le fruit est une graine dont le blé nous
fournit une image familière. Les fleurs sont tantôt étroi
tement serrées l’une contre l’autre autour de l ’extré
mité de la tige et forment ce qu’on nomme un épi,
comme dans le Froment, le Seigle, l'O rge; tantôt elles
sont portées par petits paquets à l ’extrémité de fins
rameaux, longs et flexibles, qu’agite le moindre vent,
et constituent une panicule, comme dans l'Avoine.
Les graminées fournissent les céréales, base de l’ali
mentation; elles dominent dans l’herbe des pâturages
PRINCIPALES FA M ILLES. 311
MINÉRAUX.
C H A P IT R E P R E M IE R
CALCAIRE. — GYPSE.
CH A PITRE II
ARGILE. — PIERRES SILICEUSES.
C H A P ITR E I I I
CH A PITR E IV
Fig. 326.— Coquille fossile: Fig. 327. — Tête fossile d’un grand reptile,
Peigne. l’Ichthyosaure.
Fig. 328.— Coquille fossile: Fig. 329. — Tête fossile de l’Ours des cavernes.
Gryphée.
Fig. 335.— Plante fossile de la Houille. Fig. 336. — Plante fossile de la Houille.
Fig. 338. — Vue idéale d’une forêt à l ’époque où s’est formée la Houille.
P R E MI È R E P A R T I E
LA P E SA N T E U R .
LA C H A L EU R .
l ’é l e c t r i c i t é .
LE SON.
LA L U M IE R E .
D E U X IÈ M E P A R T IE .
C H IM IE.
T R O IS IÈ M E P A R T IE .
L ’HOMME.
Q U A T R IÈ M E P A R T IE .
L E S ANIM A U X .
C I NQU I È ME P A R T I E .
VÉGÉTAUX.
C hapitre I er. — T ig e. — R a cin e. — Bou rgeons. — Bouturage.
M arcottage. — G reffe............................................ 275
— II. — F e u ille s. — N utrition des v é g é t a u x ............. 283
— III. — La fle u r................................................................................ 288
— IV . — L e fru it. — La g r a in e . ........................................ 292
— V. — P rin cip ales fa m ille s................................................... 299
Végétaux à. deux cotylédons .......................... 300
Végétaux à un seul cotylédon ..................... 309
Végétaux sans cotylédons................................... 311
SI XI ÈME P A R T I E .
MINÉRAUX.
C h a p it r e Ie r . — C alcaire. — G y p se........................................................ 314
_ II. — A rgile. — P ie rre s silice u se s.................................... 319
_ I I I , - V olcans. — T rem b lem en ts de te r r e ................... 323
_ IV. — T erra in s ignés. — T erra in s de sédim ent. —
F o ssile s.................................................................... 330