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HARD POWER
Economique (dont industrie et contrôle de la
=
monnaie)
Posséder la force
Langue et médias
Convaincre sans
usage de la force Science et innovation
(dont université et nouvelles technologique)
Les caractéristiques des puissances aujourd’hui
1. Le « hard power » est le fait qu’un Etat détient un pouvoir économique
( comprend la détention de ressources naturelles) et militaire (assurer la
sécurité de l’Etat par exemple). Il reste quand même nécessaire car le soft
power et le hard power co-existe : l’un ne peut exister sans l’autre.
2. Le soft power est la capacité d’un Etat à obtenir ce qu’il veut d’un autre
Etat sans même qu’il ne s’en aperçoive.
3. Les Etats-Unis grand centre d’innovation reste et restera la plus grande
surpuissance d’après Thierry Garcin.
Russie :
Partie 1 :
1. La Russie connaît plusieurs crises financières mais aussi une crise russo-
géorgienne. Elle connaît aussi des guerres ainsi que des conflits de gaz avec
l’Ukraine et des dettes avec le FMI.
2. Nous avons la création du CEI à la fin de l’URSS, la participation au sommet
des BRICS ainsi que plusieurs réforme politique et économique.
3. Pipaloski
4. On retrouve les bases et installations militaire russe établie à l’étranger depuis
la création de l’URSS. Ils hérite également des relation diplomatique notament
avec ses voisins dictateurs ou encore tout ses drones et frappes aérienne.
5. Vladimir Poutine veut développer la Russie en Europe car pour la Russie est
un pays eurasiatique.
6. Vodka
7. La mère patrie est gênée par le développement des ricains en Europe
notamment avec l’apparition de l’OTAN. Il participe à de nombreuses guerres.
8. La Russie se développe politiquement avec l’OSC et l’OTSC. Mais également
militairement avec ses nombreuses bases et installation présent dans toute
l’Europe.
- Une puissance peut elle redevenir influente à l’échelle monidlae ? Le cas
russe
Le 2( décembre 1991, la démission du président de l’URSS, Mikhaïl Gorbatchev,
sonne le glas de l’empire soviétique. Depuis 1923, cette union de 15 états placés de
fait sous contrôle deu plus peuplés et plus riche, la Russie, a été au cœur des
relations internationales. Pour remplacer l’URSS, le président Boris Eltsine propose
en décembre 1991 la création d’une Communauté des Etats indépendants (CEI),
mais seul trois Etats la rejoignent. La « thérapie de choc » - fermeture brutale des
entreprises non rentables, privatisation des entreprises rentables – a déclenché une
forte inflation et appauvri une partie de la population, enrichi ceux qui pouvait être à
la fois décideurs de privatisations et dirigeants des nouvelles entreprises privées
(oligarques), mais n’a pas modifié l’essentiel : la Russie est dépendantes de ses
ressources majeures, les hydrocarbures.
Après 1999, Vladimir réafirme la puissance russe : intervention eaux frontières
(Caucase, Ukraine), référendum illégal pour l’annexion de la Crimée ukrainienne
(2014), diffusion de l’idéologie de l’euranisme sous l’influence du nationalisme
Alexandre Douguine, diffusion des outils de soft power en Europe ( médias pro-
russe) et manipulations durant les campagnes électorales occidentales (GB,US),
intervention militaire en Syrie pour y maintenir les seules bases militaires russes à
l’étranger. Mais ce retour de la puissance russe dépend du prix fluctuant des
hydrocarbures. La Russie reste une puissance fragile
« Thérapie de choc » : modification brutale de la politique économique d’un Etat ou
injection capitaux dans le but de relancer l’économie.
Inflation : Augmentation générale du prix, pouvant se traduire par une perte de
pouvoir d’achat.
Eurasisme : doctrine née au XIXe siècle pour justifier la position de la puissance
russe comme Etat-tampon influant entre Europe et Asie. Elle est réutilisée à partir
des années 2000 pour justifier la volonté de contrôle des Etats situés aux frontières
de la Russie pour éviter un contact direct avec les membres de l’OTAN, en Europe et
dans le Caucase.
Elle utilise un fort nationalisme russe et une définition seulement chrétienne de la
nation russe.