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internationales :
Introduction :
Les fondements de la puissance :
Les formes traditionnelles de la puissance
La force militaire, une condition historique
Economies et finances, une condition indispensables
Les formes indirects de la puissance :
L’enjeu linguistique : un vecteur de puissance
La maitrise du réseau Internet, nouveau facteur de redéfinition des puissances ?
Puissance culturelle
L’Union Européenne est d’abord un géant commercial fondé sur libre échange et
l’interdépendance des états mais surtout une puissance « normative » décrite par le
politologue Zaki Laïdi, ce qui fait de l’UE un modèle.
Puissance établie : Un Etat qui dans le monde se distingue non seulement par son poids
territorial , démographique et économique mais aussi par les moyens dont il dispose pour
s’assurer d’une influence durable sur toute la planète en termes économiques, culturel et
diplomatique. (ex : Etats Unis)
Puissance ascendante : Une puissance établie est un centre de pouvoir ancien et reconnu
qui a un poids économique et un niveau de vie élevé
Bilan :
Les puissances établis structurent l’environnement politique et économique à l’échelle
mondiale. Rassemblé dans le G, elle représente 43% du PIB mondial. Seul les Etats Unis
incarne la « superpuissance » par leur capacité sans équivalent. Les puissances européennes
intégrer dans l’UE sont affaiblis par leurs divisions. La Russie a été exclus du G8 depuis
l’annexion de la Crimée en 2014. Les puissances ascendantes cherchent à contre balancer
l’influence des puissances établis. Depuis la fin du 20ème siècles elles affirment leurs volontés
de peser sur la scène international mais leurs influences est inégales. Seul la Chine est
devenue une puissance mondial e au 21ème siècles. Le « club des Briks » incarne cette
concurrence croissante des puissances ascendantes s’alliant dans le cadre du G20 a des états
comme l’Arabie Saoudite, le Mexique ou l’Indonésie. La coopération est une solution pour
réguler le pouvoir des puissances. Les Bricks ont une nouvelle bande de développement pour
concurrencer les organisations internationales comme le EFMI ou la Banque Mondiale qu’ils
accusent d’être dominé par les puissances établis. Le multilatéralisme contribue a
recomposer la puissance et ses enjeux en créant des institutions régulatrice. L’ONU reste la
seule instance Internationale de de discussion et de négociation entre les puissances.
Conclusion :
Bilan : Entre 1299 et 1923, l’empire Ottoman s’est étendu jusqu’à l’Autriche, l’Algérie, l’Iran.
D’abord, il s’agit de conserver l’unité d’un tel espace et l’influence d’une telle puissance dans
un premier temps par la légitimité et la centralisation du pouvoir. A la tête de l’Empire se
trouve une double tête : le Calife représentant religieux musulman considéré comme
successeur du prophète et le Sultan chef politique et militaire de l’Empire dont les fonctions
pouvaient aussi être religieuse et qui était parfois seconde par une sorte de premier ministre,
le Grand Vizir. Ce fut le cas pour Soliman le magnifique : après avoir contrôlé jusqu’au
frontières de l’Autriche, ce Sultan à chercher à regrouper les textes de lois de l’Empire en
code diffusé et appliqué dans tout l’Empire. Ensuite, par le contrôle des frontières. Après la
prise de Constantinople en 1453, l’Empire romain d’Orient, ou Empire byzantin, n’existe plus.
L’Empire ottoman contrôle militairement ses frontières et s’appuie sur les noblesses locales
chrétiennes poussées à la conversion, comme en Bosnie. Malgré l’alliance française, la
défaite de la marine ottomane à Lépante (1571) l’affaiblit en Méditerranée face aux
Espagnols et aux Vénitiens.
Enfin par le contrôle des ennemis potentiels. En facilitant l’ascension sociale des minorités
chrétiennes par la chirmé, l’empire contient les révoltes régulières des dhimmis, ces sous-
sujets du calife. Au XIXe siècle, les tentatives de réformes (Tanzimat) échouent. A partir de
1908-1909, l’essor du groupe des jeunes-turcs crée un nationalisme ottoman assimilé au
nationalisme turc. Le choix de l’alliance allemande contre la Russie provoque l’organisation
du génocide des Arméniens, chrétiens, considérés comme proches des Russes. La défaite
dans la Grande Guerre (1918), les traités de Sèvres (1920) et Lausanne (1923) réduisent
l’Empire ottoman au seul espace turc.
Jalon 2 : Une puissance qui se reconstruit après l’éclatement d’un Empire : la Russie depuis
1991.
Livre pages 124-125.
Contexte :
A la suite des accords de Minsk, signés le 8 décembre 1991 entre les présidents des
républiques soviétiques de Russie, de Biélorussie et d’Ukraine, l’Union soviétique (URSS) est
dissoute pour faire place à la Communauté des Etats indépendants (CEI). Les pays Baltes,
désirant intégrer l’Union européenne, refusent de rejoindre la CEI.
Toutefois, dès 1992, la « Thérapie de Choc » consistant en une libération soudaine des prix,
des changes, du commerce extérieur et une privatisation des entreprises et services publics
se révèle désastreuse. Les produits manufacturés n’étant plus subventionnés et les
industries héritées de l’ère soviétique étant inadaptées à la concurrence, cette doctrine
économique provoque chômage massif, inflation et effondrement du pouvoir d’achat, tandis
qu’une nouvelle classe sociale de riches hommes d’affaires profitant de cette libération
soudaine de l’économie émerge : les Nouveaux Russes. La crise politique, issue de ces
inégalités, dure jusqu’en 1999.
Après l’an 2000, la Russie est marquée par l’émergence du néo-eurasisme. Au milieu des
années 2000, 7 Russes sur 10 se déclaraient « eurasiatiques », considérant l’ensemble formé
par la Russie et ses voisins proches, comme un continent à part entière, l’Eurasie, entre
l’Europe et l’Asie. Cette notion a donné naissance, en 2008, à la Conception de politique
étrangère russe, qui favorise la diplomatie de réseaux par rapport aux confrontations de
blocs et consacre l’usage de la force pour « défendre les Russes et les intérêts stratégiques
de la Russie » face à l’Occident et aux anciennes républiques soviétiques (Géorgie, 2008 ;
Ukraine depuis 2014). En parallèle, le pouvoir se stabilise autour d’une nouvelle oligarchie :
des personnalités du monde des affaires qui se sont enrichies en organisant, en lien avec le
pouvoir politique de Vladimir Poutine, une économie de rente basée sur les ressources
naturelles (environ 15% du PIB en dépendent depuis 1998). En 2013, 110 de ces oligarques
détenaient 35% de la richesse privée nationale, un record mondial. En 2016, près de 20
millions de Russes vivaient sous le seuil de pauvreté.
Récap :
Durant toute la seconde moitié du XXe siècle, l’URSS est l’une des deux superpuissances
(avec les Etats-Unis) qui diffusent leur idéologie à travers le monde. Cependant, avec la fin
de la Guerre Froide, l’URSS implose et donne naissance à une multitude de nouveaux Etats.
La Russie doit ainsi se reconstruire afin de retrouver son statut de grande puissance. Mais les
années 1990 sont des années de grande difficultés économiques face à la reconversion de
l’économie soviétique en économie de marché.
Aujourd’hui, la Russie a retrouvé son statut de grande puissance mondiale. Elle est un acteur
prépondérant de la diplomatie mondiale. A travers l’organisation de coopération de
Shanghaï (OCS), elle a réorienté ses partenariats diplomatiques autour d’un rapprochement
avec la Chine. Mais des tensions diplomatiques réapparaissent : après avoir été invitée au G7
en 1997, la Russie en a été exclue en 2014 après l’annexion de la Crimée.
La Russie cherche aujourd’hui à développer sa puissance, notamment à l’encontre de ses
voisins : intervention en Géorgie en 2008, annexion de la Crimée appartenant à l’Ukraine en
2014, soutien au régime Syrien contre les opposants à Bachar el-Assad. Les principaux piliers
de la puissance russe sont aujourd’hui son poids diplomatique, son armée et l’exportation
d’hydrocarbures dans les pays voisins.
Conclusion :
Depuis l'effondrement de l'Union soviétique en 1991, la Russie a connu des transformations
majeures, tant sur le plan politique que sur le plan économique. L'empire soviétique a laissé
la Russie dans une situation difficile, avec une économie en déclin et une société en crise.
Cependant, au cours des deux dernières décennies, la Russie a progressivement repris son
statut de grande puissance. Sous la direction de Vladimir Poutine, la Russie a réussi à
stabiliser son économie et à renforcer son influence régionale et internationale.
Sur le plan économique, la Russie a connu une croissance remarquée depuis la fin des
années 1990. Malgré une forte dépendance aux exportations d'hydrocarbures, qui ont connu
des alternances importantes en fonction des prix mondiaux, la Russie a réussi à diversifier
son économie et à attirer des investissements étrangers. Sur le plan politique, Vladimir
Poutine a consolidé son pouvoir en éliminant progressivement l'opposition politique et en
limitant la liberté d'expression et la liberté de la presse. Elle a également renforcé son
influence régionale en intervenant militairement en Géorgie en 2008 et en Ukraine en 2014,
ce qui a suscité des critiques internationales importantes. Son influence a aussi été renforcé
sur la scène internationale en établissant des alliances avec des pays tels que la Chine et
l'Iran, et en utilisant son influence en tant que membre permanent du Conseil de sécurité
des Nations unies pour bloquer les initiatives occidentales.
1/Montrez que le projet des "nouvelles routes de la soie" est un projet à l'échelle mondiale
C’est un projet mondiale, premièrement car la route de la soie est relié la Chine à l'Europe via
l'Asie centrale et le Moyen-Orient par les routes terrestres, tandis que la Route de la Soie
maritime relie la Chine à l'Asie du Sud-Est, l'Afrique de l'Est et l'Europe. Le projet couvre donc
une grande partie du globe, reliant plusieurs régions du monde. Il y a aussi l’implication de
plusieurs pays, dont la Chine, bien sûr, mais aussi des pays de l'Asie centrale, du Moyen-
Orient, de l'Asie du Sud-Est, de l'Afrique de l'Est et de l'Europe. Il s'agit donc d'un projet qui
implique la coopération de plusieurs pays. Impact économique mondial : Le projet des
"nouvelles routes de la soie" va aussi pousser le commerce et les
échanges entre la Chine et les pays de la région, ce qui peut avoir un impact économique
mondial important. En renforçant les dispositions de transport et de logistique entre les
régions, le projet peut faciliter les échanges commerciaux à l'échelle mondiale.
Bilan :
Le rayonnement linguistique reste un enjeu de puissance, l'anglais demeure la langue la plus
diffusée et s'impose par la diffusion de séries à succès en version originale. Mais la France
bénéficie de la forte croissance démographique de pays francophones. Le nombre de
personnes parlant français passera de 275 millions en 2018 à près de 500 millions en 2050
dont près de 4/5eme en Afrique. L'anglais et le français gardent une place de choix dans les
relations internationales. Exemple : le français et l'anglais dans le travail, ONU, OMC et l'UE.
Les réseaux culturels institutionnels assurent une présence sur tous les continents. La France
avec le réseau de la Francophonie, la Chine avec les instituts Confucius et l'Allemagne avec
les Goethe institutes ont une visibilité de leur langue et de leur culture à échelle mondiale.
Avec son réseau de British Council, le Royaume-Uni est, quant à lui, présent dans 110 pays.
Les diasporas sont un outil d'influence et de diffusion de la culture le poids économique et
électoral de la communauté indienne aux Etats-Unis conduit le gouvernement à soutenir la
demande de l'Inde d'un siège permanent au conseil de sécurité de l'ONU. Aux Etats-Unis et
en Europe, les chinatown des métropoles sont devenus des lieux touristiques. Le leadership
dans l'activité numérique devient un enjeu de puissances. Face à Google ou Facebook, la
Chine favorise ces entreprises et impose une censure sur son réseau national. Ainsi, Baidou
(moteur de recherche chinois) représente 77% du marché chinois et le réseau social WeChat
est utilisé par 920 millions de Chinois contre 54 millions pour Facebook. La Russie fait du
réseau internet une arme de propagande. Ainsi elle est accusée d'ingérence dans l'élection
présidentielle de 2016.
JALON 2 : La maitrise des voies de communications: les "nouvelles routes de la soie" :
1/Montrez que le projet des "nouvelles routes de la soie" est un projet à l'échelle mondiale
C’est un projet mondiale, premièrement car la route de la soie est relié la Chine à l'Europe via
l'Asie centrale et le Moyen-Orient par les routes terrestres, tandis que la Route de la Soie
maritime relie la Chine à l'Asie du Sud-Est, l'Afrique de l'Est et l'Europe. Le projet couvre donc
une grande partie du globe, reliant plusieurs régions du monde. Il y a aussi l’implication de
plusieurs pays, dont la Chine, bien sûr, mais aussi des pays de l'Asie centrale, du Moyen-
Orient, de l'Asie du Sud-Est, de l'Afrique de l'Est et de l'Europe. Il s'agit donc d'un projet qui
implique la coopération de plusieurs pays. Impact économique mondial : Le projet des
"nouvelles routes de la soie" va aussi pousser le commerce et les
échanges entre la Chine et les pays de la région, ce qui peut avoir un impact économique
mondial important. En renforçant les dispositions de transport et de logistique entre les
régions, le projet peut faciliter les échanges commerciaux à l'échelle mondiale.
Bilan :
La Chine a mit en place de « nouvelles routes de la soie », destinée à sécuriser ses
approvisionnements énergétiques mais aussi a s’ouvrir a de nouveaux marché, elle permet
d’asseoir la puissance commerciale de la Chine et de tiser un réseaux d’alliance d’en plus
d’une 60 de pays. Mais elle suscite aussi l’inquiétude de ses concurrents.
Conclusion axe 2 :
La puissance peut avoir des formes indirects et donc relevé du « soft power » : la langue, la
culture, la technologie, le commerce sont des outils qui peuvent être utilisé afin de rayonner
à divers échelle, venant ainsi compléter les autres formes de puissances.
L'économie : Les États-Unis ont la plus grande économie au monde, avec un PIB de
plus de 22 billions de dollars en 2020. Ils sont également le berceau de certaines des
plus grandes entreprises du monde, comme Apple, Google, Amazon, Microsoft, etc.
La technologie : Les États-Unis sont à l'avant-garde de l'innovation technologique,
avec des entreprises leaders dans les domaines de la technologie de l'information, de
la biotechnologie, de l'énergie, de l'aérospatiale, et de nombreux autres secteurs.
La puissance militaire : Les États-Unis ont la force militaire la plus puissante du
monde, avec une armée de près de 1,4 million de soldats, des centaines de bases
militaires à travers le monde, une flotte de porte-avions et des technologies militaires
de pointe.
La diplomatie : Les États-Unis ont des relations diplomatiques avec presque tous les
pays du monde, et ils jouent un rôle de premier plan dans les organisations
internationales telles que l'ONU, l'OTAN, le FMI, la Banque mondiale, etc.
Bilan :
En 1945 les Etats Unis ont cherché à empêcher le retour militaire des états vaincus. Pour
cela, des bases ont été créer en Allemagne et au Japon. Washington a aussi voulu contenir
l’influence de l’URRS et tout au long de la guerre froide se sont multipliés les accords de
solidarité militaire (OTAN, OTAZ…) les bases et terrestres et maritimes et a partir des années
60 les projets spatiaux. La protection des routes maritimes et des circuits
d’approvisionnement énergétique explique aussi la création de point d’appui stratégique tel
que la base de Djibouti ou l’établissement d’alliance comme avec l’Arabie Saoudite lors de
l’accord du Quincy (accord signé en 1945, accès au pétrole pour les Etats unis en, échange de
leur protection militaire pour l’Arabie Saoudite). Depuis 1991 la même logique stratégique a
été poursuivie : La Russie et la Chine sont considérées a des dégrées variables selon les
époques comme des adversaires géopolitique qui menacent l’Europe ou l’Asie du Sud-Est et
maintiennent des solidarités militaires issue de la Guerre froide (+Guerre lié au cyberespace).
Les alliances passées par les Etats Unis pendant la Guerre froide se sont poursuivi après la fin
du bloc soviétique (expansion de l’OTAN, adhésion de l’OTAN aux pays de l’Est, en Asie l’essor
économique Chinois avec les routes de la Soie ; Aujourd’hui il y a une contre doctrine de
perle pour contenir les influences de la route de la soie).
Conclusion :
En 2019, les États-Unis étaient la première puissance économique mondiale, la première en
termes d'innovation, de puissance militaire, de consommation et d'endettement. Cependant,
ils sont concurrencés par l'Union européenne, le Japon et la Chine. Les limites de la
puissance américaine sont surtout intérieures, avec des tensions qui touchent les classes
moyennes et plus populaires, ainsi que des rivalités entre suprématistes blancs et population
afro-américaine. La politique étrangère, les États-Unis a souvent été associés à
l'unilatéralisme, une politique de puissance et d'isolationnisme. Cependant, le
multilatéralisme, qui encourage la coopération et la coordination entre plusieurs États dans
la résolution de problèmes internationaux, est également un concept utilisé par les Etats
Unis qui jonglent entre les deux selon les situations. Dans un monde devenu multipolaire, il
est possible que les États-Unis doivent partager leur place de première puissance avec
d'autres acteurs majeurs. Cependant, leur puissance économique, leur puissance militaire et
leur influence culturelle continuent d'être des facteurs importants dans le monde actuel. Il
est donc impossible de savoir l’avenir des Etats Unis le monde multipolaire.
Etude de documents :
Document 1 : On a un article de journal intitulé « Europe du Sud » du journal Histoire
politique, c’est le N°29 publié en 2016. Il nous raconte la libération de trois pays, la Grèce, le
Portugal et l’Espagne qui tout les trois se libèrent de la dictature et de l’oppression. Tout les
trois se passent a peu près pendant la même période de 1979 a 1982. C’est le soulèvement
des nations.
Document 2 : On a une illustration de Guillermo Bastias Moreno, un dessinateur Chilien qui
représente dans son dessin les mobilisations étudiantes au Chili en 2011. C’est une
revendication de régime en place la bas. Une démocratie ainsi que plus de libertés et une
meilleur éducation sont réclamées. Un changement est demandé, c’est une révolte.
Point commun : Les deux documents parle d’un soulèvement contre le gouvernement, bien
que l’année soit différentes il y a encore des révoltes que cela soit en 1974 avec le révolte des
étudiants grecs ou avec la révolte des étudiants de 2011 au Chili, les revendications n’ont pas
cessé. 1974 c’est la date importante qui va être l’élément clé, voir déclencheur de ses
soulèvements de la population contre le gouvernement.
Démocraties : Forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple.
Ici le mot est au pluriel montrant l’études de différentes démocraties et moyen de
fonctionnement