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A- Antennes
INTRODUCTION
1- Introduction
2 - Modes de propagation
7- Réfraction troposphérique
8- Ondes de surface
9- Ondes ionosphériques
une antenne peut accepter une puissance électrique fournie par un générateur sous forme
tension/courant et l’émettre dans l’espace environnant sous forme d’onde électromagnétique
(Émission). Mais elle peut également capter des ondes électromagnétiques et fournir une
puissance électrique à une charge (Réception).
Cet aspect dual ou réciproque des antennes est d’une plus grande importance.
Antenne de réception
De façon inverse, la puissance rayonnée peut être captée par une antenne de réception. Dans
ce sens, l’antenne apparaît comme un capteur et un transformateur de puissance rayonnée en
puissance électromagnétique guidée. Elle joue le même rôle qu’un télescope qui capte la
lumière issue des étoiles et la transforme.
Réciprocité
Dans la plupart des cas, une antenne peut être utilisée en réception ou en émission avec les
mêmes propriétés rayonnantes On dit que son fonctionnement est réciproque. Ceci est une
conséquence du théorème de réciprocité qui sera démontré plus loin.
Du fait de la réciprocité des antennes, il ne sera pratiquement jamais fait de différence entre le
rayonnement en émission ou en réception.
Les qualités qui seront annoncées pour une antenne
le seront dans les deux modes de fonctionnement, sans que cela soit précisé dans la plupart des
cas. Le rôle des antennes
2 Différents types d’antennes
o Antenne dipolaire
o Boucle magnétique
o Antenne cornet
o Réseau de fentes
Comment une antenne rayonne t-elle la puissance incidente dans l’espace ? Dans quelle
direction ?
Quelles sont les propriétés données par l’antenne à l’onde électromagnétique émise ?
Les caractéristiques fondamentales d’une antenne vont permettre de répondre à ces questions.
Propriétés caractéristiques des antennes
1- Diagramme de rayonnement
3- Impédance d’entrée et adaptation
4- Bande passante
La bande passante d’une antenne correspond à la bande de fréquence où le transfert
d’énergie de l’alimentation vers l’antenne ou de l’antenne vers le récepteur est maximale.
Pour optimiser la bande passante, on peut agir directement sur l’antenne afin de modifier
son impédance, ou ajouter un élément d’adaptation.
5- Polarisation
Pertes de polarisation :
Pour optimiser la réception d’un signal radioélectrique, la polarisation de l’onde
électromagnétique et celle de l’antenne réceptrice doivent être égale.
Exemple: Antenne pour point d’accès Wifi
Le spectre électromagnétique
Ces fréquences limites sont choisies de telle façon que les longueurs d’onde associées soient
toujours une puissance décimale du mètre.
Toute charge électrique Q immobile crée un champ électrique E dans l’espace environnant,
qui décroit inversement avec le carré de la distance.
Les deux cas précédents correspondent au cas où les charges sont immobiles
(électrostatique) et les courants continus (magnétostatiques), qui conduisent à des champs
constants dans le temps et inépendnts.
Cependant, l’action d’une charge ou d’un courant n’est pas instantanée et est retardée par un
temps t = r/c, où c est la vitesse de la lumière.
Ainsi, tout mouvement de charges ou toute variation de courant induira une variation de
champ électrique ou magnétique en un point donné de l’espace après un temps de retard
donné.
Cela n’est plus le cas dès que la quantité de charge ou le courant varient.
Les champs électriques et magnétiques sont alors liés entre eux.
x
y
z
Le laplacien
Définition : Le laplacien est un opérateur d’ordre deux, il mesure les
irrégularités dans les valeurs d'une fonction.
2V 2V 2V
V 2 2 2
Coordonnée cartésienne : x y z
Le laplacien d'un champ est égal à la somme des dérivées secondes de ce champ par rapport à
chacune des variables.
La divergence
Définition : Soit A un vecteur dans le repère (x,y,z) la divergence de ce vecteur
se définit par div(A),
Coordonnée cartésienne :
A Ay Az
div A . A x
x y
z
Coordonnée cartésienne :
La répartition des champs électriques et magnétiques dans l’espace produite par une
distribution donnée de charges et de courants peut être déterminée en résolvant les équations
de Maxwell.
Avec :
• ρ : densité volumique de charge;
• ε : permittivité électrique (F/m).
A noter ε0 : permittivité diélectrique dans le vide (= 8.85e- 12) et εr : permittivité électrique
relative telle que ε = ε0× εr
• μ : perméabilité magnétique (H/m).
A noter μ0 : permittivité diélectrique dans le vide (= 4π.10-7) et μr : permittivité
magnétique relative telle que μ = μ0× μr
• ς : conductivité électrique du milieu (S/m)
Le couple formé par les champs électriques et magnétiques forme une onde
électromagnétique.
propagation :
(rd/m)
Ondes électromagnétiques
E = 377 x H = 120 p H
• Z0 est appelé impédance d’onde du milieu
Remarque : plans E et H
Pour une antenne à polarisation rectiligne, on appelle:
• le plan E le plan formé par la direction de propagation z et par la direction du champ
électrique.
• Le plan H est celui formé par la direction de propagation z et par la direction du champ
magnétique.
Remarque : propagation dans un milieu à pertes
On appelle surface d’onde l’ensemble des points de l’espace atteints à un instant t par une
onde émise à un instant antérieur t0.
Le front d'onde est une surface d'égale phase d'une onde, c'est-à-dire que ces points ont mis
le même temps de parcours depuis la source.
Un émetteur émet des ondes dans tout l'espace environnant. Ce sera une onde sphérique.
Emetteur
A très grande distance du point d'émission, le cercle est si grand que nous ne percevons
qu'une onde plane.
Emetteur
• Localement, les champs électriques et magnétiques ont la même valeur en tout point du plan
d’onde.
IV- Paramètres d’une d’antennes
Introduction
Une antenne est un ´el´ement passif permettant le transfert de l’´energie ´electrique (au sens
large) vers l’´energie ´electromagn´etique ou vice-versa.
• L’antenne ´emettrice tire sa puissance de l’´emetteur qui l’alimente, ´etant vue comme une
charge.
• L’antenne r´eceptrice fournit la puissance capt´ee au r´ecepteur, agissant comme une source
avec sa propre imp´edance interne.
IV-1 Impédance
Pour ´evaluer l’imp´edance d’une antenne, on assume une antenne en ´emission.
L’antenne est alors considérée comme une charge `a l’entrée de laquelle existe un courant Iin
et une tension Vin.
Le rapport de ces deux quantités fournit l’impédance Zin (ou Za) :
Resistance de rayonnement
Pour les antennes, la puissance totale émise <Pt> est reliée au courant crête Iin mesuré `a
l’entrée de l’antenne via la résistance de rayonnement vue `a l’entrée Rr qui n’est pas une
r´esistance dissipative physique :
Cette r´esistance Rr s’ajoute `a celle des pertes joules (ou pertes en g´en´eral) pour former la
partie r´eelle de l’imp´edance de l’antenne :
IV-2 Intensitée de rayonnement
Comme l’antenne a la propriété de concentrer la puissance émise dans une ou des directions
privil´egiées cette densité de puissance obtenue du vecteur de Poynting moyen varie selon la
direction d’observation
on écrit alors:
Pt
P 2
(W/m )
4pr 2
0 120p 377
IV-3 Diagramme de rayonnement
Une antenne est caract´eris´ee dans l’espace par les diagrammes de rayonnement impliquant
les champs ´electromagn´etiques rayonnés.
Les diagrammes de rayonnement montrent en coordonn´ees tridimensionnelles la variation
des champs ou celle de la densit´e de puissance `a une distance fixe r dans les directions (θ, φ).
Ainsi, les diagrammes sont et doivent être indépendants de la distance r, mais ils dépendent
uniquement de la direction ( , ) appelée direction d’observation.
dans d’autres cas, on recherche plutˆot `a ´emettre partout sans pr´ef´erence (en
azimuth pour un r´ecepteur ou ´emetteur de radio commerciale).
Par définition, la directivité D(θ, φ) d’une antenne dans une direction donnée représente
donc le rapport de l’intensité du rayonnement dans cette direction à l’intensité moyenne Kmoy,
soit celle qui serait obtenue si la puissance était émise uniformément dans toutes les
directions par une antenne isotrope
La directivité d’une antenne isotrope est, bien entendu, égale à l’unité (D=1) quelle que soit
la direction d’observation.
Le gain directif G(θ, φ) d’une antenne, souvent représente la même chose que la directivité D
en tenant compte des pertes.
εr = eficacité de l’antenne
La notion de surface (ou l’ouverture) effective d’antenne, Ae s’emploie lorsque l’antenne est
dans le mode de r´eception.
Elle est d´efinie par :
où:
<Pi> est la densité de puissance de l’onde électromagnétique incidente `a l’endroit où est
située l’antenne ;
La surface effective Ae est reliée à la surface physique de l’antenne Ap par l’efficacit´e εap :
V-6 Surface effective vs Gain
V- ANTENNES ELEMENTAIRES
V-1-1 DEFINITION
Le doublet de Hertz est une antenne filaire de longueur l très faible devant
la longueur d’onde λ et donc parcourue par un courant constant.
Lorsque la longueur est très inférieure à la longueur d’onde , on dit qu’il s’agit
d’un dipôle infinitésimal ou doublet.
Les expressions des champs peuvent être trouvées directement à partir des équations de
Maxwell.
Elles son données par:
(1)
2p
avec
l
4.1.3 Champs lointains ( r l )
On peut obtenir l’expression des champs produits par le dipôle élémentaire dans la zone de
champ lointain (zone de Fraunhofer) en annulant les termes en 1/r2 et 1/r3 (négligeables)
(1)
4.1.4 Diagramme de rayonnement
les diagrammes de rayonnement dans les plans E et H sont obtenus en prenant le module
du champ E à une distance constante r.
Diagramme de rayonnement en
champ du dipôle élémentaire e 3D.
Ce qui donne une largeur du lobe principal à -3 dB de π/2 dans le plan E tout en restant
omnidirectionnel dans le plan H.
La couronne rouge est une représentation tridimensionnelle des ondes émises.
(**)
La résistance de rayonnement est déduite directement de (**) car Io est aussi le courant
d’entrée Iin.
p
Pour (direction de propagation maximale):
2
Exemple
Calculer la résistance de rayonnement d’un dipole court dont la longueur est l = l/50
Solution:
Cette résistance de rayonnement étant très faible; elle produira une désadaptation très
importante si elle est connectée à des lignes de transmissions réelles d’impédance de 50Ω
ou 75 Ω.
Antennes filiformes
1- Introduction
Le dipôle élémentaire est un ´élément différentiel (dh) avec une distribution de courant
uniforme.
dans une approche plus intuitive, le dipôle peut-ˆêtre vu comme une ligne de transmission
repliée se terminant par un circuit ouvert.
La distribution du courant sur chacun des bras du dipôle est alors assumée similaire à celle
d’une ligne de transmission se terminant par un circuit ouvert.
Partant de cette analogie, la distribution du courant suit la forme d’une onde stationnaire en
courant :
ce qui signifie qu’aucune puissance n’est émise dans l’axe du dipôle (ici, l’axe z) et que cette
antenne concentre uniformément la puissance dans le plan perpendiculaire à son axe (ici, le
plan xy ou θ = 90◦).
Dans la zone de champ lointain (Fraunhofer), on montre que l’expression du champ électrique
est donnée par:
4 Dipôle λ/2
Le dipôle λ/2 est un cas pratique rencontré fréquemment pour plusieurs raisons dont :
h= l/2
l
Le champ électrique produit par ce type de dipôle s’obtient directement de l’´equation
(donnant le champ d’un dipôle général en prenant h = λ/2 = 2l :
Fonction caractéristique
h = λ/2 = 2l
On note ici que Iin = Im car le maximum de la distribution de courant se situe directement aux
bornes de l’entrée.
• fonction caractéristique :
• Intensité de rayonnement
E 2 ( , ) E 2 ( )
K dip / 2 ( , )
20 20
Ouverture - 3 dB de 78◦
( 3dB ) 78
Rayonnement du champ EM d’un Dipôle λ/2
• puissance totale émise:
• résistance de rayonnement :
R 2 dip / 2 I in2
Pdip / 2
2
L’impédance d’entrée du dipôle λ/2 est purement réelle en théorie. Sa valeur proche
de 75Ω explique pourquoi les câbles normalement utilisés en vidéo ont une impédance
caractéristique de Zo = 75Ω.
• Directivité :
Avec:
p
Pour (direction de propagation maximale):
2
1 Dipôle λ
La distribution du courant dans une une antenne filiforme dont la longueur (h = λ), est donnée
par la figure suivante:
Dipôle général
Dipôle λ
soit celui du dipˆole λ/2 multipli´e par le facteur 2 cos( π/2 cos θ)
• fonction caractéristique dipôle l):
directivité
• résistance de rayonnement :
-La résistance d’entrée du dipôle λ demeure très élevée (difficulté d’adaptation): Iin→ 0
Elle est la forme duale – dualité des équations électromagnétiques – du dipôle électrique.
si la boucle est petite électriquement (ra << l), le courant est assumé assez uniforme et son
comportement ressemble à celui d’un dipôle électrique.
On montre que pour une petite boucle circulaire dans le plan x,y de rayon ra les champs
éléctrique et magnétiques lointains sont donnés par:
Ou
où A l’aire de la boucle.
Les autres paramètres de l’antenne boucle sont:
• fonction caractéristique:
p
directivité : Pour (direction de propagation maximale):
2
• intensit´e de rayonnement:
Ou
`A basse fréquence, cela pourrait donner lieu à des valeurs de Ra trop faibles pour être
connectées (adaptées) aux câble du commerce.
Attention:
L’expression de la résistance de rayonnement (*) est valable lorsque la boucle
contint une seule spires. (*)
(**)
Attention:
L’expression (**) est un bon moyen pour augmenter la résistance de rayonnement.
Mais Si N devient grand alors les pertes de la boucle augmentent également
(proportionellement à N).
Typiquement les antennes boucle ont un faible rendement. Il est préférable de les utiliser en
réception.
Les spires peuvent être enroulées autour d’un noyau ferromagnétique de perméabilité
μ=μrμo.
Selon la loi de l’induction, le flux magnétique passant au travers les boucles augmente par un
facteur égal à μr.
Un petite boucle circulaire de rayon ra avec fil de rayon ao, présente aussi:
une réactance inductive Xa = La ω:
où ℓtot est la longueur des boucles de fil et Rs est la résistance surfacique du fil conducteur.
Exemples d’antennes boucle à ferrite pour récepteur radio en G.O et O.M
Le fil conducteur est disposé suivant l’axe des z, entre les cotes z = 0 et z = L.
le calcul du rayonnement du fil dans une direction , formant un angle avec l’axe de
l’antenne de longueur L en faisant l’hypothèse que le champ est calculé à grande distance, est
donné par :
Après intégration, on obtient le module du champ lointain :
Une antenne pouvant être considéré comme un dispositif à l’interface entre une énergie
électromagnétique guidée et une énergie électromagnétique rayonnée, une des idées les plus
simples pour réaliser cet interface consiste à pratiquer une ouverture dans un guide d’ondes,
soit en réalisant une ou plusieurs fentes, soit en le laissant ouvert à son extrémité.
Le principe de Huygens stipule que le champ rayonné en un point P peut être vu comme la
superposition du rayonnement de sources secondaires réparties sur l’ouverture (principe de la
géométrie optique).
Les diffraction sur les bords de l’ouverture permet de déterminer les lobes secondaires éloignés
de l’axe principal (lobes secondaires).
Zone de rayonnement d’une ouverture plane
Nous avons jusque-là traité des antennes en zone de champ lointain, c’est-à-dire lorsque la
distance devenait suffisamment grande pour que les différences d’amplitude et de phase des
contributions de chaque élément de l’antenne soit négligeable. Dans cette zone, l’onde est
considérée comme une onde sphérique, localement vue comme plane.
question :
à quel moment l’onde issue de l’ouverture est sphérique ?
La figure suivante présente les différentes zones de rayonnement d’une ouverture plane.
à proximité de l’ouverture rayonnante (zone de Rayleigh), l’onde est plane, les directions de
propagation des ondes rayonnées par chaque source secondaire restent parallèles entre elles.
Dans le cas d’une ouverture de faible surface, l’amplitude et la phase de l’onde incidente
peuvent être constants.
Prenons le cas d’une ouverture équiphase et équiamplitude, en notant E0 le champ incident.
Le champ électrique émis dans la direction de rayonnement maximal (θ=0°) est donné par :
On montre que dans le cas d’une ouverture équiphase et équiamplitude
(*)
Exemples: ???
Dans ce cas, le gain effectif devient inférieur à celui prévu par l’équation (*).
En pratique, on introduit un facteur de gain de l’ouverture noté FG compris entre 0.5 et 1, qui
traduit une diminution de la surface équivalente de rayonnement de l’ouverture.
Diagramme de rayonnement
Pour un paraboloïde de révolution, d’axe Oz, les propriétés suivantes sont vérifiées :
Au sens de l’optique géométrique, cela signifie que tous les rayons issus du foyer F vont après
réflexion être parallèles à l’axe Oz.
De façon équivalente, le plan P passant par F (et tous les plans perpendiculaires à l’axe Oz)
sont des surfaces équiphases dès lors que la source placée au foyer rayonne des ondes
sphériques.
• La distribution du champ dans ce plan décrit alors une ouverture circulaire équiphase et non
équiamplitude.
Le mécanisme de rayonnement d’une antenne à réflecteur peut s’expliquer comme suit.
Une source primaire est placée au foyer de la parabole de façon à ce que son centre de phase
coïncide avec le foyer du réflecteur. On a ainsi un rayonnement d'ondes sphériques vers le
réflecteur qui va à son tour rayonner de deux façons :
Ainsi le champ total rayonné par l'antenne à réflecteur correspond à la somme de ces deux
champs : champ de diffusion et champ de diffraction.
Differentes configuration d’une antenne à reflecteur
Le r´eflecteur parabolique ´etant une antenne `a ouverture, son ´etude passe par l’expression
des champs ´electromagn´etiques dans le plan de l’ouverture. Il faut alors consid´erer les trois
points suivants :
70l
3 dB (degrés)
d
70l
g 3 dB
h
(degrés)
l
70l
s 3 dB (degrés)
l
h
Diagramme de rayonnement d'une antenne parabolique :
Hypothèse: le champ présent dans l’ouverture à la structure d’une onde plane, donc équiphase
et constante en amplitude.
E(x)
Cas d ’une Ouverture rectangulaire
2p
k
l
dergrés
x
dergrés
Autres formes d’apodisation
Antenne Cornet
1 – Guide d’onde ouvert
Aeff = 0.81(ab)
Exemple: f = 10 GHz
a = 22,86mm b = 10 mm G =?
DR plan E
DR plan H
DR plan E
DR plan H
2 – Le cornet
Le cornet est une antenne qui termine un guide d’onde et qui fait parti des antennes `a
ouverture. Il augmente graduellement la surface d’´emission de la dimension du guide `a celle
voulue.
Cas d’un guide d’onde rectangulaires en mode fondamental TE10 (cornet pyramidal),
Exemple: f = 10 GHz
a = 100mm b = 100 mm G =?
Par exemple:
pour f = 10 GHz, et D = 2 m gmax = 43800 et 2θ = 0,87 °.
Antenne Diélectrique
• L’antenne diélectrique proposée est généralement constituée d’un barreau conique
diélectrique excité par un guide d’onde rectangulaire ouvert .
• La propagation dans les guides diélectriques diffère de celle dans les guides métalliques
classiques.
• Toutes les antennes diélectriques ont un diagramme de rayonnement axial (selon l’axe z ) et
une directivité proportionnelle à la longueur l du barreau.
2p
k le nombre d’onde en espace libre.
l0
• Dans ces conditions, on montre que la fonction caractéristique normalisée est :
Fn cos
sin k l ( u cos ) k l (u 1)
k
2p
u
lo
2 2
k l (u cos ) sin k l (u 1) l0 lg
2 2