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Melvin Machtelinck TG5
Comment définir la bipolarité ?
Est-ce un double jeu que nous décidons de jouer ?
c) Notre existence
Pourquoi sommes-nous vivants ?
Pourquoi sommes-nous différents physiquement
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Melvin Machtelinck TG5
Pour conclure, nous nous sommes demandés si nous étions des étrangers
envers autrui ou bien des copies mentales mais différentes physiquement. Nous
nous sommes penchés sur la signification d’être soi-même et avons pu en
conclure que notre façon peu authentique de penser menée par notre double jeu
intentionnel caractérise notre existence même. Nous nous sommes ensuite
penchés sur notre vision du monde en général qui portait sur nos valeurs, nos
coutumes et nos religions spécifiques qui toutes jouaient un rôle dans notre
identité puis nous avons étudié notre éducation en se demandant si elle
changeait réellement les choses entre les personnes puis nous nous sommes
interrogés sur le rôle qu’avait notre manière de vivre au quotidien. Suite à tout
cela, nous nous sommes finalement questionnés sur les différences que
possèdent les individus entre eux et plus particulièrement au niveau de leurs
apparences physiques qui seraient la base de l’individualité humaine. Nous
avons alors envisagé le problème des mensonges qui sont eux de vrais
révélateurs d’un sentiment de similarité avec « les autres ». Tout ceci pour enfin
se questionner sur les inégalités qui touchent notre monde et comment elles
peuvent tant changer nos vies. L’homme est en réalité bien différent « des
autres », d’un point de vue physique, tout comme psychique, personne ne
possède le même corps ou le même esprit que quiconque sur terre, cependant,
quelques fois, nos actes eux se rejoignent grâce à des phénomènes comme la
popularité ou encore nos diverses éducations qui sont très variées, c’est sur des
points importants comme le style de vie dans lequel nous nous retrouvons et
c’est aussi ce qui va mener certaines personnes à s’en inventer un bien propre à
eux, un qu’ils auront choisi sachant très bien qu’ils ne sont en réalité que très
similaires aux autres sur ce point.
Nous pouvons alors nous interroger sur la question d’image, est-ce que la
représentation que nous créons de nous-même ne serait-elle pas en fait symbole
de notre similarité avec les autres ?
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