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PREMIERE "ANNEE. — N* 8.

Ce N umeeo quotidien : 'Cinq Ventimèl DIMANCHE 8£ MARS 1009

ORGANE DU NATIONALISME INTÉGRAL" Tout ce qui est naliqnal est nôtre.


Le Duc d'Orléans*

3, Chaussée d'An.tin, 3
REDACTION
19, Rue du Croissant ,10 Henri VÀUGEOIS, Directeur politique ABONNEMENTS
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AdresserLettresH *,y<fgft d VAdiawàtratenrdtlkcliàp.Traiiçaisc,% Chaussée d'Anlia fqns -
ANNIVERSAIRES cissitudes de la fortune, et disparaît
quand celle-ci devient trop mauvaise.
DERNIÈRE HEURE """""
tarisme.
donne là mesure du parlemen- Tous vous vous trempez grossièrement! »
' Alors, oh, alors, il se pa^sa quelque choss
La rue monte alors au pouvoir, avec ses d'inénaiiraMë. ; M. "de ;Waldemar brandit
t
clameurs, son ruisseau, ses anonymes. * Dans Y Echo de Parte ï-ÂLiuouis Ber ;de nouveau sa soniîetté et ?açpélà M. Mau-
Il n'est pas trop .lard, pour revenir tombeau, Monsieur Thiers — même par-delà le
WlliRHlM)
trand
.
nous annonce la prochaine nubli- rice Barrés à l'ordre ! Infortuné vitiiiard,
:
il reste et demeurera « mon LE VATICAN ET L'AFFAIRE LE. TUtES " EST C0NTSÏT cation par la Revue de Paris, d'un frag c'était lui-même, sans s'en douter qu'il rnp-.
sur
. lement
deux dates dont l'écho résonne cruel sieur '» Thiers
à travers notre histoire'contem Copimune avec la rigueur que l'on sait,
'ayant réprimé la {DE NOTRE CORRIÎSPONDANI PARTICULIER) Londres,'21 mai. — La oommission àe ment inédit retranché par Gustave Flau pelait à'Yfcïdre, et le châtiment,était rude :
lè vieux, pion comprenait plus le fran
Rome,' 21 mars. — Dans lis. milieux la .D/onnia.a. rejeté, par 19'voix contre 14, bert lui-même de sa première version de çais si tant ne est qu'il l'ait jamnia su !
poraine, sur deux dates'qué nous payons laissa s'installer chez' nous un régime fficiels du Vatican.,., on attache peu. Le projet du gouvernement russe portant «. la Tentation de Saint-Antoine. ». Ces J'imagine —
cher : le 17 mars... 1808, Napoléon Ier qui n'est, qu'une Commune, ralentie, d'importance à l'incident survenu ènSire le création de-nouveaux cuirassés, ët- il n'y a pages racontaient -une Agonie supposée que M. Maurice Barrés dut
compléta l'œuvre néfaste de l'Assemblée qu'une .insurrection . baron dVErenMiai et 'Mgr di Beimontfc à pas de doute que la-Dotutiaa nie confionie ce- de N.-S. Jésus-Christ dans les rues du bien^ s'amuser à ce moirient, et que, comme
en permanence. l'oooasioin du professeur moderniste Wahr- .vote. Paris moderne., disait l'autre, il n'en, espérait pas tant. Il
Constituante qui assimilait les israélites Imaginez Le Times
'
ainnonce que la- président du ton Flaubert, selon
En les. supprimant Gas -connut là uné de ces-minutes où l'on a*
un petit Hercule donnant la mund. On considère qu'il n'y a- eu qu'un Gpaiseil des ministres sa nièce, Mme GroUt,
aux Français de race et leur accordait la becquée ,à une petite Hydre," aussitôt léger malentendu purement verbal entre la. suivant la- décision de.a ïa commi^àion, et céda à un scrupule- de l'ordre le plus pleinement conscience' de soi-même et ii se dit qu'il agirait
qualité de citoyen actif. Il organisa le après avoir vaincu la. grande, ét vous ministre et le nonce, et l'on tient pour assu .ceci, dit La joua-nal de là Cité, consii&u? élevé. Citait le temps du scandale rappela peut-être cette phrase d'une de ses
culte mosaïque par deux décrets orga ré quo ce màleaiteodu, exploité à grancfc événement de la plus haute importance un causé oeuvres de jeunesse : « il se procureia sans
niques, « le fit sortir pour la première- de aurez le synibole exact de la fondation fraoas par la pressé hostàdfr--au Vatican,: tiaais l'hisfOire intérie'ua"e du- peuple par l'apparition du -livre de Renan. Le grand effort un bon fauteuil d'orchestre,
la; troisième république". : n'est pas de nature à altérer les excellentes car pDuir la.première fois les ministres d« russe, brave homme de Croisset, bien qu'in celui qui sait utiliser les libertés de 1789 !»
fois de l'espèce d'incognito où il était C'est tellement vrai que la plupart des relations do la oour papale avec l'Autriche. différent en matière do religion, avait
'depuis deux mille ans ». Le 18 mars survivants la Couroïme auront retiré leuirs propres traditionnelle Lui, le lettré incomparable, le puris-e dé
de la Commune sont actuelle projets par respect pour les représentants une âme et respectueuse licat — en dehors de son admirable talent
1871, la Commune de Paris surgissait, ment nantis et du peuple. des sentiments religieux qui sont à la
que le minis .— lui, l'homme tout de nuances et de me
hagarde et tragique, au-dessus des dou tère de la marinepourvus, Pelletan et lé mi
BET01R Ci MAROC Cet incident, ajoute' le Times, montre que base de la fondation française. Il sacrifia sure, qui n'emploie jamais un mot. au ha
leurs, des humiliations, des fatigues du nistère de l'instruction publique sous sous Oran, 21 mars. — vapeur Le affrété Neus- la Constitution russe a créé un système lui tenir le morceau de prose qui devait pourtant sard et réalise Complètement l'art de notre
siège. tri a est arrivé venant de Casablanca, ayant sous lequel la Cihainbre élue peut parfois au cœur. époque,-il voyait se manifester dans leur
Briand ont présenté ce caractère d'ift- à bord le goum.de 125 cavaliers recrutés à exercer une véritable influence sur les Comme le dit M. Louis Bertrand, une splendeur les cuistres en délire, les baso-
Les deux noms de Dreyfus et d'UIImo compétence hardie et de familiarité Géryville et qui vient d'être relevé. affaires de l'Empire. telle abnégation, chez un homme de let cliïens
cra -— • et les médecins sans clientèle,
illustrent conjointement la première de puleuse qui caractérisait la manière des La Neustria ramène également 290 hom tres aussi féru de son métier que Flau il vivaitaigrischapitre d'un de ses livres. Au
ces erreurs, l'erreur juridique. La révo Terreurs de l'époque, que les principaux mes de toutes armes; mortels ainsi que dix cercueils LE PSINCE FERDINAND A R0KSTCB01K bert, a quelque chose d'héroïque. un
lution nantie qui se pavane actuellement ;thèmes républicains d'aujourd'hui (union contenant les restes du lieutenant milieu du tapage et des applaudissement
au pouvoir marque les progrès de la libre, suppression des armées perma Metrle, du 5e chasseurs d'Afrique, des cava
seconde, l'erreur insurrectionnelle. Le nentes, laïcisation à outrance) reprodui liers Rousseau, Pouchard, Coudé, Trouve-
Ben Hamed du 4e tirailleurs, du lieutenant
j Sofia, 21 nuars. — Le prinice Ferdinand""et
l)iuwss6 Eléonica'e sont airaivés atuiour-
a R«uetdiouk. '
Un
oCxt
savant hollandais part au Congo M. Jaurès n'est pas un soi ;
M.' Jaurès préparait sa réponse. Certes, si .
on le compare à beaucoup de ses collègues,
«s,
187^., le sergents Meugier et Henry, du ma lis ont été reçus sur le quai du Danube pour y créer race intermédiaire phrases cette éloquence réu
18 mars comme 17 mars 1808, sent simpiemeniles affiches et program réchal des logis Guinard et du soldat Jac par tous le» représentants du corps consu tre le singe etune
lot, des
V.homme.
en
nions
creuses, pour
précision, "
les droits de patrie furent méconnus.
ila de mars et avril 1871. Il serait édi ques, tous tués à l'ennemi. laire, les autorités civiles et mdJiitaires et publiques, ce manque de
mes
'Je ne répondrais pas que le mal causé fiant et sinistre de relever les points de ' Cette race n'esl-elle pas déjà avanta pour ne pas dire plus, — {comment oser
La Neustria a repris la mer ce soir, allant pair une foule considérable. geusement représentée par les frères Rei- dire que Zola, te diffus par exreHeiice, c-st
par les décrets pro-judaïques ne l'em contact. à Marseille, où elle débarquera les cercueils Ils anYéié acclamés sur tout . le parcours. nacK ? La savant hollandais aura du mal un descendant de Diderot, l'homme de tous
porte pas encore sur le. mal causé par à l'exception de ceux des lieutenants Ben a faire aussi bién, - les « raccourcis ! ») — quel désarroi après
les insurgés. La défaite de la France par Dreyfus et Hamed et Rousseau, qui seront inhumés en A CASSES / "o-OO — V"'— M. Barres, quel envolement de ballons rou-
les juifs dans le cours de ces dernières Algérie. '•
... Cannes, 21 mars;- — Le grand-duc Michel L'Institut
. . gesT"™"- -
Il serait fastidieux d'entrer ici dans années a eu exactement le même résultat 1 l.YE ÉLECTION SIGNIFICATIVE de Russie est rentré à Gannies, veanamt de semaines, mis
Pasteur sera, dans quelques Une fois de plus/les Barbares ont pu se *
le détail.des lentes et peu sagaces opé que la défaite infligée à nos armées par 'Biarritz. • en possession du legs réjouir — pas pour longtemps — do leur
; E.\ ANGLETERRE Osiris..- Cet Osiris appartenait à la caté
rations par lesquelles l'Empereur, faus- la Prusse voici trente-huit ans. Elle a Le gr.and-duc Sergç .de Russie est d,ss-
. ... facile victoire. Cependant, là-bas, sur les .
' sant la réalité ethnique^ voulut fondre écli.auffé les ferments de guerre civile
: L'impopularité' du ministère libéral s'ac cendu cliez son firère, le girand-ditic Nico^aï- gorie dés. juifs, statufiant. Il avait la rempatrts d'Aigues-Mortes qu'agatise le so
croît. Un-unioniste a encore été élu dans " wi'tch. ----- manie du marbre et du bronze. C'est leil à son déclin, une jeune femme son
i politiquement et religieusement le peu et de pourriture qui sont dans l'anarchie une élection partielle à West Dowi^'avec - - -
M. Lépine, préfet de police, est également beaucoup plus inoffensif que la manie geait « Ils ont prononcé mon. no-m aujour
ple juif dans le peuple français, dissou démocratique. : Elle a fait monter à là ! urne majorité de. quinze cents voix d.e plus arrivé à Cannes. .des plans d« mobilisation, si fréquente d'hui dans cette Chambre" à l'atmosphère
dre le Talmud dans son Code, On doit surface cette lie que les nations qui veu qu'aux élections générales.. chez ses compatriotes. - autrement empoisonnée que -la- vôtre?," chers '
consulter à ce sujet, pour plus ample lent vivre maintiennent soigneusement; - + '
marécages, fiévreux qui'm'entourez. Mai".,
docu- PRIXCE Hl'SI MABÎ1I» LES ËINEERS DE LA LOIRE
informé, le beau livre, si riche en dans leurs régions basses. Elle a libéré LE A
qmie m'importe ! Jamais ces-grossiers ne
ments, de M. Lucien Brun : La Condi ces instincts sauvages qui concordent Madrid, 21 mars.-— Plusieurs ministres Saint-Etirsune, 21 mars. .—.Une délégation. : Avant-hier dans sa réponse à Mau- comprendront' rien à mon âme légère et
wenn du Comité îédérsâ des mineurs de la Loire rice

tion des juifs en France depuis 1789. tous à la destruction. ant démmli que Je prince ICurn-iut •
Barrés, Jaurès a dit : tourmentée : pour oux, mon jardin est un
Par un scrupule législatif bien curieux, préparer à Madrid une entente hispano- a rendu "ccfflipfe, ce soir, à la préfecture, labyrinthe ou ils se perdront... » Ei, frêne-
Il nous appartient de reconstruire. Je japonaise. présence' d'ingémieaira dfâs raines, de la « Au. moment même où, pour com
; Napoléon publia presque aussitôt un veux dire que la génération qui a lu
en
situation du conflit survenu àTAmbàiMion battre le naturalisme de Zola, M. Barrés tique et sentimentale, Bérénice se leva, en
-T— ViUiars, pair suite du imuviai de glorifiait le maître du -romantisme, je souriant au crépuscule.
troisième décret, surnommé par les Hé Taine et qui lit Drumont et Maurras est] -
H. FRAXC9 A LISBONNE
Charrim, à
breux « l'infâme décret », qui devait maintenant parfaitement fixée sur la ré plusieurs ouvriers. ' ne pouvais pas oublier que ses amis, ses Lucien CHANTAL.
dans sa pensée tempérer l'effet des deux volution et le juiî^ sur les maux qu'en Lisbonne, 21 mars.— Les journaux per réintégn-ation Le Comité fédéral est décidé à obtenir la compagnons d'armes, ses disciples, de
autres. M. Lucien Brun le définit ainsi gendre l'absence du Roi. Quiconque sistent à annoncer le retour de M. Joao dies ouvriers. puis Maurras jusqu'à Lasserre, qui lui
Franco à Lisbonne. Des démarches sont faites actuellement dédiait récemment son œuvre sur la
«" Les deux premiers
l'organisation du culte. Le
décrets réglaient
troisièmfe était
aime son pays, aime son Roi et '
L'ancien dictateur demeurerait actuelle la-Molière et de Firminy,
souvent même sans le savoir. Je ment au palais patriarcal de Saint-Vincent. sions desquelles est l'Amodiation Charrin. oublier que toute l'école de M. Barrés
a.uprès du directeur des mines
sur
de
les
Roche-
conces
Crise du romantisme, je ne pouvais pas LETTRE DE ROME
une mesure énergique destinée à venir ne vous ai pas reportés à de doulou condamne non seulement le naturalis-
à boii: de la résistance sourde et obsti reux anniversaires pour que nous nous II. C&SIB0N REÇO IT ^ me^ mais aussi ,1e, romnalL aiB-.- «_ _
née des israélites, qui né voulaient joas oonicntizi— Ze lès déplorer enseiii Berlin, 21 mars. L'ambassadeur de
—^ "V.VTôimrTniTLNiïïO!8Ali " " lies documents"de Jaurès sur VAction ACÏIVIIÉ DES CATHOLIQUES HïiLÏES'S CO.NTT>
renoncer à l'usure, cause de ruine pour Nous devons travailler à réparer leurs France et Mme Cambon ont donné, ce soir, Arras, 21 mars. — La Sûreté a arrêté faire. — française valent ses documents sur l'Af
L\ LAÏCISATION MAÇûSNIOVE
las paysans français, et qui continuaient suites. Ce çyie le.vieux C&ton répétait de palais de l'ambassade, une réception qui Joseph Le Pichon, né à Lorient, colporte ur
plus ina infati au faux bijoux, et Victorine Lefaure, née La thèse magistrale de notre collabo Nous publions la première letv-s vua
à éluder, par les mesures les Carthage, je vous le répéterai ici briJlain.te.
a été exit.rêmBmenit l'Empire et la princesse en à Pairis. rateur et ami Pierre,..Lasserre ne s'ap nous envoie de Rome noire corrc.spcr.dunî,
vouables, le service militaire. Ces mesu gablement de la république... Delenda Le chancelier de
de Bulow, tous les ministres est la plupart Le Pichon porte d'anciennes cicatrices de pelle pas la Crise du romantisme, mais que sa .iiluation f ses relations ei jcs il'êlre H-
res d'exception, dans la pensée de l'Em est... il faut qu'elle disparaisse. des hauts fonctionnaires y assistaient. coups de couteau dont il ne veut pas indi .bien le Romantisme français. Elle a été tudes personnelles mettent à viùuit
pereur, ne devaient avoir qu'un temps. LÉON ^ quer la provenance et on a relevé sur sa dédiée, non pas à Maurice Barrés, mais très exactement renseigné. l)an:: celle V'ige,
d'affair<..i cTiêricurça à
DAUDET. -, -
chemise des taches de sang. Il possède un à Emile Faguet. qui ne traite que
Il espérait en dix années, avoir raison LE CRIME DE SAINT-SYHPHORIEX certificat au nom de Le Breton, avec lequel notre pays, les calholiq- es français tiru-
de la ténacité des israélites. ItlVAItOL. veront Matière à des réflexions utiles. lu
_ Etrange illusion, née de là logomachie
»
LA POLITIQUE Tours,
d'Indre-et
21 mars.
-Loire a condamné, — La Gour
ce
d'assises
soir, Gil-
il séjourna à Londres.
La Sûreté générale, prévenue, croit qu'on verront en particulier comment Unit groiui.e
politique ou social, qui réclame du noia
révolutionnaire, du « toiA les hommes berte Girault à dix ans de travaux forcés, est en présence u'un malfaiteur internatio
sont frères », et à propos de laquelle les pour l'assassinat de la veuve Coudray. ... nal cachant son nom. r
CONTRE ZOLA catholique est nécessairement pincé t.eus
l'autorité de la hiérarchie de l'Eçjlis<>, et
Yjuifs d'aujourd'hui disputent encore, les LES DÊCLA&.l'nONS DE II. Jl'LE S LÏMAITB comment, d'autre part, la volo-atc du Pape
'uns tenant pour l'assimilation, c'est-à-
'dire pour le campement chez les non- national
juifs, les autres tenant pour le Sionisme, cain ! lanemalfaisance
pour la reconstitution d'une patrie juive.
« Il semble » donc « que
puisse désormais
rien de ce
être
essentielle du sys
qui
républi
est
ÉCHOS tes contre
vernementaux.
les délinquants., même gou
nue de Wagram).
a dû empêcher une imitation servi te des
catholiques allemands cl interdire la for-',
malion d'un « parti catholique » (Ivis l-s
Parlement italien.
tème politique, électif » en est cause.. oOo
Voilà qui "tranche à vif. C'est du ton le Présideat : Henri VAUGEOIS Ces jours derniers, l'organisation dei ca
Plus la France s'écartera de la répu
'
d'abêtissement et de rui- plus doux, avec une mesure exquise et le AUJOURD'HUI L!Académie Française désignera jeudi Orateurs MM. Léon Daudet Paul R obain, tholiques italiens a. fait un girand pas en
blique, régime parfait des nuances, que M. Jules Le- :
celui de membres à qui reviendra ' Bernard: de Veslns Léon de, Montesquiou, avant, grâce à une espèce de fédération
monarchie, régime sens ses
;nei pour revenir à la maître nous l'a confié. Cet esprit qui passa Le calendrier de l'affaire Dreyfus. — mars
suspension
22
de l'honneur de prononcer cette année le Maurice de Roux. , des quatre groupes qui cruidaisnt jusqu'à
;'de clarté et de prospérité, et plus s'im flottant n'est qu'infiniment scrupu 1898. LeMois est frappé d'une présent leur activité dans le Royaume.
pour six «
le conseil de l'ordre des avocate, discours sur les prix de Vertu. -Tâche
posera la nécessité d'une politique réa- leux. S'il dit « j'ai vu », c'est qu'il a vu. pour avoir viioié le secreit professionnel ©t en- quelquefois difficile, à cause dé s'a pério
mOciis par Après la faillite do l'Œuvre des Congrès,
Nos lecteurs trouveront plus loin l'an Pie X avait confié à trois personnalités des
iibiè .à l'égard des juifs. Cette politique, Et s'il ajoute « j'ai compris », c'est après Ireiiint lc& règles de l'ordre ».
Picquart dépose projet de dicité même, et qui apparaît aux immor d'une réunion que la Patrie fran
"'flôs rois l'ontioujourspratiquée. On res avoir épuisé — contre ce tyran : l'évidence loi, 22 mars 1907. s
réintégration
un
de I. Reinach tels ainsi que le plus beau des pensums. çaise » organise de son côté contre La pro plus
nonce « autorisées la mission de constituer I0 .5
tendant à la
de son libre génie sou qui avait été révoqué de son grade de capi Le sujet cher à M. de Montyon a déjà été chaine cérémonie du Panthéon. groupements et d'établir les statuts qui
pectait les lois et coutumes des Hébreux. — les ressource?; est taine de territarial» em 189S, mais il n>& lait traité quatre-vingt neuf fois. Lo transfert de Zola soulève, toutes les devaient servir de base à l'activité catho
LOn leur laissait leurs tribunaux. Mais on cieux de n'appelar vrai que ce dont il discussion
rien pour en. hâter la protestations. Nous ne serons jamais trop lique italienne. Les* triumvirs, comme en
interdisait ces moyens hypocrites sûr.
1 »
'leur ' -
M tt degré de clarification,- énoncée avec à AutouiL nombreux à dire noibre.colère.d£,c&t±a. scan les- appela;- furent le comte lÛKÛotogo-Aîna» ;
.
"ide mimétisme français qui leur perape£ cette autorité et dans les circonstances que — A 2 heures, courses daleuse apothéose de l'auteur de La Dé ni, M. Pericoli et le profescur Tc-niolo,
;ient de vivre « en nationaux » au milieu le pays traverse, la certitude-est une for Nos préférences ; Notre confrère le Journal- ouvre un bâcle.
Khasnad.ar, Salule. "•' entre tous les sculpteurs
^
fran Après le Congrès de FLorence, en 1006, ils
il'un peuple différent d'eux, et de'l'ex ce. Comme la vertu et l'amour, elle peut Prix Nuage.
III. concours parvinrent à créer les trsie grands orga
Prix Valentino. — Piernigo, IlositaFischof, çais le couronnement d'une œu
ploiter et de le trahir. Mais on réglemen détruire, construire, tuer,, créer. Ce n'est Ecurie « pour nismes suivants :
tait leur usure. Mais on les tenait loin rien, c'est un mot d'approbations'envole qui court, Uargaux.
Prix Piobert Hennessy. vre d'art qui symbolisera magnifique AU JOUR LE JOUR 1° U t( Unione économico-sociale .qui. '
Grand Prix du Printemps. „
Bol, , ,
Ingénu.
. ment, dans le bronze ou le marbre, la
a survécu à l'Œuvre des Congrès, et qui
.
"de ces secrets vitaux, militaires ou diplo un fragile « c'esi vrai » qui de —
Prix Auricula. — M.-Bergeret. Bail. . nouvelle France républicaine ».
matiques, qui sont achetablés et négo boôiiche en bouche. Mais, là-dessus, desd'au ins- Prix du Lac. — Chemulpo, Friquetlc III. Le modèle de buste est tout trouvé SOIS L'OEIL DES BARBARES n'est autre que l'héritière du programme
succombé et ce :
orthodoxe de cette bienfaisante action
ciables aux yeux d'intermédiaires sans titutiOine séculaires ont Concours hippique. — Seconde journée : A c'est Aristide Briand, dit le Nantais.
racines* tres se sont relevées brillamment. Si M. Ju midi, prix internationaux, chevaux de trait chrétienne dans le peuple que Léon xiii
conscience, parce que sans au les Lemaître serait p;uire attelés ; à 2 h. 1/2, prix d'essai (obstacles). oÇo avait permis d'appeler démocratique.
tochtones. modestie. Et
en
quel
.
doutait,
dommage
ce
! L'une dé ses Concours agricole. — Galerie des Machines
... Â
Bourbon,
travers
le
le
jour
morne vitrage
poussiéreux
du
et
Palais-
décoloré Son président est M. Medolago-Albaniet
'Après ces "deux coups rde tonnerre, — paroles témoigne de la confiance qu'il doit et Champ-de-Mars, M. Anatole France dit à un rédacteur
et de fameuse diffusait une ûlarté marte. Il éclairait des son centre est à Bergame. (knt
sur le Sinaï républicain Dreyfus mettre 'dans. instinct - : ne n&us ap- Expositions —Cercla de l'Union Artistique, d'agence, à propos sa page qu'on eût voulu plus hauts et des 2° L'" « Un ion e eîeUorale », le t-t-rc
son garda si fronts
pur Zola : « Zola lui-mêmede
.
Ullmo, l'innocuité des juifs au point de prend-il pas que la « Ligue de la Patrie rue Boissy-d'Anglas. me
criti gesticulations d'estaminet. Là-haut, dans indique suffisamment le but, aussi bien en
militaire peut plus être 'défendue française » est devenue électorale « malgré Société des Artistes indépendants^serres peu rancune de la vivacité mes haine, vieillard ce qui concerne les élections adrainistrail-
vue ne — 'Hôtel de Ville. la suite, une vapeur de* un aux
t
|)ar aucun patriote. C'est une thèse mor lui »? :
de l
Palais des ques qu'il voulut bien, par Alphon
me
paupières capotées agitait désespérément ves cfu>e les 'élections politiques. Son siège
Se, une cause perdue. La république ne a l'automne de 1899, Dreyfus venait Champs-Elysées.— Salon de
l'Hippique, Grand faire rencontrer à déjeuner avec uïie sonnette et semblait bramer, comme central est à Rome, et elle a pour prési
s'y entête que parce qu'elle ne peut plus d'être frappé par les juges de Rennes.près Le se Daudet et Paul Bourget. » dîner, -
le Monsieur de Waklemiar d'Edgar dent M. T-olli. '
Conférences. — Musée Guimet, 2 h. 1/2 : le Il s'agit plus précisément-d'un, « »
suis 3<> L' « Uni an e popoîare », nualcguo au
ïaire autrement. Elle est, aux yeux Ue miséfàble traître juif s'était à P«u et tombes dîner A. Poe Puisque je vous dis que je
V-ollcsv^pMh allemand », de ijea-ue^up la
l'acceptation de sa grâce. Res
Moulcden
docteur Matignon, « Conservatoiresesdos Arts et », organisé en 1897, sous le nom de « mort...
: «
«
ftous, chose juive, chiourme de politi achevé par avec projections. t?t qui n'eût lieu qu'une seule n phis^iiopoi'tante des- trois" orçan-isation^
1/2 ; le oa'pitaine Sacomey, « la Balzac »,
parti — , parlait. ...
Impas
d'Israël tait à le poursuivre, à presser ses Maiers, 2 h. convives A la tribune, un homme
ciens sous le .chèque et le bâton et complices d'une vigoureuse levée des pians par la . photographie ». fois. L'Affaire commençait, les sible et éléganl, une "flamme dans son large P^animée d'ùn esprit très militant.
droite et à gauche d'un parlement qui offensive. sans se§ s'aperçurent dès le potage des.divergent C'est elle qui-lutte contre. 1s divorce et
île mérite même pas le nom de croupion, avions élaboré plan complet
c^o ces fondamentales,d'opinion qui les sé regard
douceur,
où la
je
volonté
sais
sàit
quelle
parfois s'embuer
expressi^u e contTe la
.
déchristianisation de 1'écoK Son
Nous en Le de ne
une discussion assez tendresse et d'ameriume ondoyant^sar son bureau central est à Florence et son pré
le 'dégradé de 1894 et celui de 1908 mon qu'un des nôtres soumit à l'un des meil Nous remercions nos nombreux con paraient. . Apres prit
tent la garde, chacun son tronçon d'épée. leurs chefs de la Patrie française, homme frères qui ont bien vouluaimables, signaler à leurs vive, où chacun le poste de combat nerveux^t passion sident est le professeur Toniolo.
visage dont le masque
l'appa qu'il ne dev<yt plus quitter, on observa né rappelle celui du grand Cprtué, opposant A ces trois grandes Unions, il faut ajou
H à la main. La trahison protège la parlote. énergique "et dévoué, mais encore dépour lecteurs, en termes fort
d'expérience politique. Celui-ici réflé rition de Y Action Française quotidien un maussade silence, et à neuf heures à la grossière ambiance un dandysme ter la « S&cieta délia Giovcntu caUt-iica
vu
AL'anniversalre 3e la "Commune tls chit^ hésita, finit par répondre : on se séparait. Alphonse Daudet dit en Barrés était vérita italiana », dont la fondation remonte à
^aris éveille des réflexions d'un autre ne,- sortant : « Zola a pu tout de même se blement sous l'œil, des Barbares ». charmant, M. Mauiûce
l'année 18G9, et ne faisait partie de I'CE jvi O
Impossible. Nous mieux, cs^o.
st Vous ferez quoi ? feroxiB •
rendre compte-que nous n'avalions pas «
inflexions variées des Congrîs. Elle se propose dû raviver
ïordre, mais gui aboutissent au même Comme on verrale plus loin par la dé- juif ». Sa voix éloquents, aux
jgoint.
t—
De bonnes élections. I correspondants parti- son qui semblent tour à tour se donner et se dans le peuple et dans la jefunesse le sen
,f~r pêche d'un de,nos la Chambre l'in timent religieux et la soumission à rc.-.ào-
. ' démontrait à
"
Commune Tut la convulsion "d'un On
_ sait ., la
, suite.
.. „
Ce que tout le raonde 1
culierS) l'afficlie annonçant l'apparition reprendre,
(La fêtes projetées. rité du Souverain-Pontife. Son président
.
îdùrps sans tête, d'un corps blessé par igîiorait, c'est que M. Lemaître eût dès de l'Action Française quotidienne, a été Six toiles -
de M.
• •
Henri Rousseau, ju convenance de certaines
crise lors tout prévu. Un royalisme inconscient immédiatement la gendar gées injurieuses pour l'Empereur alle Dans cette langue admirable, fille de celle est M. Pericoli et son siège est à Rome.
l'envahisseur. Il y eut dans cette esprits enlevée par la cimaise du Chateaubriand, l'on sent courir sous Naturellement ces unions ont on grande ;
l'avait-il éclairé en
la fièvre obsidionale, clairvoyants peuvent s'y tromper mais merie de secret ? Des peu Saint-Jean-de-Luz. Le préfet mand, ont été enlevées de de où
de "leur sein les éléments
un peu de tout : de a fait du zèle. Cle commissaire, salon des Indépendants, par M. Chanot, la noblesse des mots une perpétuelle et partie expulsé,
Hu chauvinisme exaspéré par la défaite tout ce. qui est honnête et patriote en; Fran des Basses-Pyrénéeshumeur, le félicitera" sur l'ordre du préfet de po vivifiante ironie comme ces prairies dangereux qui s'étaient glissés dans l'Œu
selon son — nourrit vre des Congrès et dans l'activité caihoH-
Ët 'dévoyé par l'inaction, le balbutiement ce eat implicitement réfracta-ire à -la ma menceau, qui est, de toute lice.. dont la verdoyante splendeur se
ittionstrueux du collectivisme et de l 'in . électorale et parlementaire com on le tancera pour ce 1,. /,
d'une sève invisible qui vient y sourdre que italienne en général. L'oxtTême-giu-*
nœuvre
ternationale. La lumière se- fait lento- me nos calculs- quand- ils sont exacts, nos façon
: une maladresse . e>Oa parfois philosophe des Déracinés che des démocrates chrétiens. les ausoïio*
Comme le fait se reproduira sans douta le « »,
(de l'Allema mes, ne fait partie S'aucun do ce; g^&u-

tment sur cette période abominable ou sentiments .quand ils sont bons m mènent sur tel ou tel point du territoire,, nous Un député radical ministériel, M. Paul l'historien de « Au servicequelle peraents ; elle flotte incertaine entre les."
ïurent gâchées et tournées au mal tant qu'au Roi. — A. F* l'autorité Meunier, vient d'aviser lettre, M. expliquait avec science
rappelons à nos ligueurs que par gne » —
-Traditio'ns françai catholiques, qui n'en veul»at n.i$, ei les-
'^'énergies inemployées. administrativen'a pas le droit de lacérer Doumergue, ministre de l'instruction exacte et raisonnée-des
îasdi çftfaarait d'affligeant l'apothéose politiques », qui les voient do ujauvoii'-;
} (Une Commune est toujours ,S craîn3rê ni d'enlever des affiches dont la teneur publique, qu'il lui poserait une ses —ce «
scrib'& œil, malgré les tentatives passées dt nirtH
1
%ire en troisième pagé ?. Foyer à la de l'auteur de îa Débâcle et du
9ans un pays abandonné S .lui-même. IMHRQNI.QUE AGRICOLE
- -
ne tombe pas sous le coup de la loi. Le question sur l'incident du Co- «
J'accuse
»
Soudain, agacée entre don M.urri et le sociaLatc :
chel' fait, bien et dûment constaté deux médie-Françaiafc. orgueilleux de ».
;{je yeux .dire au système électif. Le ,
ii par «
il s'écrie i lormicte Mi Xuratk
i $ de interruption à contre-sens
iSe fortune subit nécessairement. Ïçs.ïfc •
t'
., :
-,
"te
t pe
JAHA& 1 léflioios, nean^t cL'epgagei des gomui- ^'importance accordée pareilles, fl'une

t
.vtci-io* française nnïÀxcHE 22 sans «a
~ £1 PîoV.sufâsammentmis cn-arde par INFORMATIONS chantiers qui ne serait pas préjudiciable- & ARMÉE ET MARI N E ' Toutes ii.-'i vchies en proiiner sont faiies 'par
IOOS
IlonorS d'Evlau. Le AeaiH était' con cl ait par î«
nos ouvrière seulement, mais léserait égale l'intermédiaire- de ia jawwi Ilashelte et Cie, comte Lafond-son pàre, MM. Henri et Rvbeïti
ve"é ; t'^n-'i™ A™»»»»
tl'jïidépcBtîançe ou même dan- ment? nos mté-réts. Mais que voulez-VO.us que ;
idernicres
rM,i *;îv
années de
» dans quelques sta
nous fassions î
Dcpitis deux ans, nous supportons avec; résï-
113.. rue liéaumur. Cette î/i<i£Su,r a des tUpo-
<
i:'i[aires, ou repsisentattis daim lo plupart des Kainlis,
Lafond
et le
ses frères, le duc des Cars', le eomtet,
baron de Mai:pas. ses oncles,le baron daî-
soii grand-oncle.
Wï-me rïnas les ' Des pluies
nord
sont tombéc-s
du sud du continent en trnai-ion le bouleversement de nos cliantiers La défense sou&marino villes, epsi av€ v ces repré.sciitaiits ou dépo-
Léon XIII, a fait tons ses; efforts poui* que tions du et
recueilli mm. deau a
;
Nice, ia'tactique do la i grève en travaillant » est ;
sitaires que nos amis doivent traiter, Qtyrnd ""Les obsèques de Mme Tottnr, femme du df-*
iKvprfcf^ subdivisions do ces unions France, on a 31
rnalheureuseanent .trop réelle. Poua- vous en . Toulon, 21 mars. —_La coffijus^sion per ils se seront mis d'accord accc• m>£, nous •Recteur dé la pclL.o musaicipaî©/; dCcéciée la
!<=;
l'autorité 3 à. Lvon, Besançon, 1 à Brest. n'avez qu'à manente des expérlc^ices^do- la défense
soient rigidenveât soumises à des " Le thermomètre marquait — 3° a Paris, . —1 convaincre, vous vous reporter enterions tout que Von nous demandera. 2ô courant, aiEroni lieu le lundi à dix îieu»
tsè.;ues, flUtlo en cela à son principe de à Nantes, V° à Bordeaux, + 10° a%r. â'Ux ajiioles publiés &ux co dans 1© jouin^al sous-niarme va procéder, sàadi prochain, cv
res et demie précises, en l'église Koîro-Oame.
On notait : -- 5° au puy de Dôme, à1 Ax- officiel des ouvriers maçons, VEmancipé, ou à, des essais d'un, houocju barrage explo On .se.'réunira à la maison moT'.jiaii;-, 2. mil
l'.ibtif-faucfc hiérarchique :,îcs catholiques £roi/al et Ventoux,- du Midi. à certaines interviews du secrétaire du syn sif, qui pei'metti-o dn concevoir sur de nou -
Ae la Cité. L'inhumation aura lieu &u i'inxe-<
au 1S° an
doivent fc soumettra en tout aux instrue- _? En France, un temps beau est probable avec, dicat des maçons Longuement
— pic parues dans l'Humanité et velles bases la dt'eus; des ouvrages d'abris L'alliance russe, prépa-'éa par les. roya tièi'e du Père-Laci".ais&
tj.oKs do îr'nre évfiqucs, et cc.ux-ci à celie? relèvement de'la température.- où sont expliqués les moyens em du littoral et plw. pcrtlc Jliùi emeci-d ea listes de 1875 ..t,conclue.eutr«3 1891 et 1886
ployés par les ouvriers- pour lasser les pa
du Pape. On s'en c-st déjà aperçu en fran trons. passes fermant rades. par certains .républicains justement quali JL\ItIAGES.
co, et l'en continuera-à s'en apercevoir de Pour éprcjv&r L: puissance de ces bar fiés -cte réactionnaires, est systématique
.à'éittjipclpatli»., Concours hippique de Paris. — La journée Noua avons pris notre mal en patience,
vant chaque tentative d'hier a été consacrée à l'admission par la- Parce au© ûoiis voulons avant tout étudier terré, rages explosifs qui seront eonnuandés de ment détruite par ceux d'aujourd'hui, qui
Pio X li'st^ie pas tes rebelles, priais il aime, commission, des 480 chevaux inscrits cette tous ces dessous du" travail .que nons avions on utilisera un toxpi!lew, disposé sont de vrais et d'indubitables républicains.
uiccve nvo-rs cette « espèce d'épiscopat année sur les catalogues de la Société Hippi- lè tort — pourquoi rte pas l'avouer ? — de ne comme ceux pour les tirs avec canon, <jui Soucieux de remplir avant toute chose Lecocq, ir.dastricl.
laïque », formé dû : catholiques influents ^ Lo, plupart des sujets viennent delà. Nor nous pas çannaïti-e suffisamment. Depuis deux ans, AÎQêiySacriflé. leur devoir envers la Patrie, les ni ombres
rpui, sous forme de conseils, ont Lair.dQ mandie, qui en compte 228, et du Sud-Est, qui: avons:jugé que nous pouvions causer en toute
Qvniisr des ordres aux évêques. en a envoyé 103'.
L'intérêt s'est porté ..
spécialement • - dans la-
.. les
avons

avoirs
beaucoup

convoqués. •
appris et quand nous
connaissance de cause Avec nos,ouvrier, nous .; " Les.kavauz dans les ports
de l'Action française font ce qu'ils peuvent
pour maintenir 1' « amitié » et 1'. « allian
ÉTRANGER easMs*

Toulon, 21 mai. — Les travaux do -mise* ce », et, par exemple, le 22 février dernier,
..
I! y a eTwcve dans.chaque diocèse.un co près-midi, sur 1 s Salon des Peintres çt Sculp- Afin de prouver notre. bonne volonté, notre
mité diocésain qui s'occupe de toutes les. tevrs de-Chevaux, qui a tous les ans un grand désiir (l'une entente, afin de montrer que de en état du transport Yink-Long .et du croi pendant que les électeurs du gouvernement
guettions qai échappent à l'actaon des succès et dont c'était hier le vernissage. . vant la gravité des différends à résoudre, nous seur Çonclê seront commencés lundi. ; allaient applaudir l'anarchie et crie? ;
grands organismes dont je, viens de deOn remarque les œuvres no ouAmhïs pas nous arrêter à certaines qu.es- ; Des équipes (l'cuv-vicrs cle tous le» ate « A bas Nicolas Iî "! » à la représentation LE'S SOCIALISTES ALLEMANDS ET LS
a surtout beaucoup Eugène'Girardet, V
MM: Georprcs Busson, An tions secondaires, nous nous sommes misen liers travailleront du Grand Soir, le parisien f
vous càrLor, et qui viennent de se fondre dré Bressin, Ernest Bodoy, vicomte de Sala- japport directement avec- le syndicat ouvrier, le jour et après la cloche succès du WlOIT DE SUFFRAGE
en une >ï Direction générale », dans lé but bérry, Ernest Le Naiî, le comte Geolîroy ue avec-ce syndicat dirigé, guidé par la C. G. 1. jusqu'à la nuit, et le dimanche, et les na théâtre des Arts — les étudiants d'Action
. - -.

de coordonner l'action catholique avec plus RuilLê, le comte Jean de Cossé -Brissac, G. Guj- Le résultat des pourparlers a été une ruptu vires gèrent- pnMs ù repartir pour Le Maroc française, s'y. étaient donné rendez-vous d'irier sua* la différence des id«e« scia-
CorAmo oon&'ïnta^on. à ïiiOitre article-,;
d'imité et ôo vigueur, tout en laissant à bel, gnard, lo'comte xtu Passage, lasepli de.Mon- re. Hier soir, nous avions convoqué"les syn- ; au-mois do in si. pour acclamer Tordre européen dans la listes et des idées 'libérales touchairt s
Paul Le More, G. Poidûtard, Pleine l.our- dicats de la maçonnerie, des tailleurs: de pier- Le vice-ami al Merquù; et le contre-ami personne de l'Empereur de Russie. -,.le â
chacune des quatre associations sa propre gueneuf, etc.. res et des biiqueieurs. - ral Forestier suffrage univert?! ea Pa-ussa-, nous clted*on& ; ;
6 •
au-tono-ir-ie. Le présidant de..cette Direc • «"'* - ont ouvert une enquête sur un- En réponse à cette manifestation, nos un article de la st-Gazette de Enar)cio,rit.»,r
.
Les tailleurs de pierres ont accepté, la dis- commencemen'. incendie qui s'est déclaré jeunes amis ont reçu aujourd'hui l'adresse organe libéral et juif, qui déplore la tac
- 'La Patrie.- j
<< :
tion rén,ér<die » est celui de 1'.« Unione pô- - •TièviiifCtté protestation. - Fran- cussion, mais avec les maçons et les brique- dans la cale a>;x filins du Vinh-Loncj, «

pobxTe », assisté de trois autres président: jssc annouce.gu'eîle donnera, salle Wagràm, te-uirs,Lalesséance pourparlers sont radicalement rom Le préfet maritime a .interrogé plusieurs suivante de leurs camarades de Moscou : tique d© lutte de classe » préconisée- pai*-
le 27 mars proctiam, une grande réunion pour pus. avec les briqueteurs a dû même matelots et esUdescendu dans la soute le « Vorwaeits ». Une action, comamme avec

/
faisant fonction de' vice-préaide contre le transfert de Zola aii Pan- .être brusquement à leur à
protester levée cause de vio poudre, située S proximité du lieu de l'in Moscou,- 2/15 mlars 1908. les libéraux n'est acceptée que par de rareé
Cette unité ne e i gui De jwwEïrésurr-ccUon î/iéon. Cette conférence sera présklée par .M. lence de langage. socialistes l'éfoirmisities et opportunistes,
dî 1' « Œuvre des Congrès ». La .Direction •de Marcère et l'amiral Biena-imé ; MM. H. Ro- . .Les uns et les autres sont arrivés -a\ec. un.- cendie. . « Le bureau cemitral de l'Union des Cer dont le porte-parole a été M. Richard
'g&;c.Vîîë groupe seulement quatre associa chefort, Lasiee, Marcel I-Iabert, Gaston Mery, mandat impératif et sans vouloir aborder la: 1 -- .'WÉ,' cles des EtudLamts miomairchiisit.es de Russie Calwer.
.<( Mais, ajo-uite la « Gazette da
Henri ' do. La ftoussamw, Fayelle p'-ejulroiit iquestion des salaires, nous' ont déclaré qu'il' : yr m'a chargé de exprimer les seaiitiniients
tions ayant le.uir vie propre et formées de ! la -Accident vous, il n'y. a mia.lheti'rû'usemcnit que
groupes q-H dans chaque diocèse sont sou
parole. '
. était mutilé' d'aller plus loin si nous ne vou
lions pas : 1° parquer les non syndiqués dans' Zherbouirg:, 21
.. -r c •* "t.;.
à un submersible . -

submersible
.
de sa
l'occasion
plus profonde et sincère estime à
de la conduite de vos- membres
Franicfoirt.,
peu d'apparence que les vues politJques do;
, Calwer.
mis, à i'évûque. ' La réhabilitation.des faillis. —La commis des chantiers spéciaux ; 2° donner la journée Ventôse, qui procédait — mars. Le
à la représentation du Grand Soir soient partagées p®r la majoritâ
de neuf heures 3° accorder le repos tous les.' bourg, à des exercices au large de Cher au théâ- des groupements sociaîitstes. »
La nouvelle forme de l'agitation anticlé- ' sion de la réforme judiciaire de la Chambre dimanches et le ;lor mai.
.
de plongée, -'•tT'e.dies Art& Or
ricale qui travaille fortement l'Italie de Lauraime des Députés a adopté hier le .rapport de M. a, dans' L'avenir de. chaque ,r
est basé
c'est du côté socialisie que se trouve,
le' texte voté par le Sé : A cet ultimatum, les patrons
.
répondent-qu'il .. une manœiurvxe, touché le fond, par une: la vigueur et sur le patriotisme. de sa' paupOe . ,
sur la farce et non pas du côté des radicoiux.
puis un an, la. lutte extrapaoiemcmtaire-et nat- sur laapprouvant
, s>
réhabilitation est impossible » de se plier à de telles aile d'hélice profondeur de dix-huit métrés, et a eu une jeune génération et
parlementaire, autour de la laïcisation ma- bre statuiera lundi. ' des' - faillis. * "
La Cbam-- ILejir exigences« ; sur .les chantiers ils-ne, ï.onnais- ; .faussée. •' - vous veniez de démon-'
ço2inimî.e die la famille, par la suppression - . sent que des oûmers,' sans distittetions. de tenantcommandant du submersible, le lieu èt chevaleresque,
Le tirer que l'esprit de la vieiile .1?•ramee 1 oyale
syndiqués ou de non syndiqués.-î""la journée; de vaisseau Wolff, terrible ennemis L'ANGLETERRE ËT LE PORTUGAL
de l'instruction religieuse et l'introduction Les Agriculteurs de France. Dans la séan de neuf heures est uneailopiepoiur les profes tôt à La surface et fit route• remonta aussi-' ét fidèle paur ses alliés, pcuur. ses à vain- v
du divorce,. le règlement provisoire adopté ce d'hier, présidée par M. le — marquis do. Vo tions- ayant à- compter avec les variations de pour l'arsenal. cre le caucheaiiiàa* passager commence
die l'hypnotisme - Le « Times » p-uWi-.e un ajriicle a®. le
récemment par le gouvernement, et La cer gué, les membresont discuté un 'rapport de M. la tem.pératujre ; enfin pour le repos hebdoma .
judéo-maçonnique. Portugal où il nap-p-eOle touitès 'les r-aicons
titude qrae 3a question religieuse dans Lavoliée relatif,à l'impôt sur le reveéiu. daire les ouvriersont unie conception contraire politiques et- historiques qui
j>. La jeune France, représentée par -vos
, feinît que l'An
l'école devra être abordée nouvellement à Le banquet, dé la Société aura, lieu ce soir à celle do la loi. '
l'Hôtea Continerital".'
AU MAROC membres, en doainc une. magnifique preuve gleterre .doit examiner ar«» uaii3> attention-
dans un avenir non' lointain, ont obligé L'EFFECTIF DE LÀ C. G. T. en ne peranetit^nt pas d'offmser lés girandes_ exce-ptiomneiLle et une sy-mipathie sincère les
Les catholiques à faire d cléricalisme, si idées de toutes les nations du Pouvoir mo affaires intérieures du royaume.
nJ. Bn des chambres patronales du bSti-
A l'Institut, L'Académie des Sciences mo ; face narchique et du Patriotisme.
par ce mot, on vent comip.rcnd.re. l'activité rales et politiques ,-t-
a élu dans, séance d'iiier pent se dressent les fédérations ouvrières, af-. : Dépêches officielles La fidélité dans ramiitié, preu\'ô de la- L'ACCROISSEMENT
militante qui doit défeindrre les' droit;, de deux corrcsysondasi'itspoua- la section de sa ïiliiées à la Confédération Générale du Travail. " »:
DES EFFECTIFS
La conscience catholique dans la société. le, en remplacement de lard Reay, élumora asso ; Au début les patrons n'avaient à tr-aâter L'amiral Philebert*
grandeur d'âme d'une najtiom., les a poussés
Il est essentiel ici d'ourvrir une parenthè-. cié étranger, et de M. Compayré, élu membre qu'avec les cinq fédérations suivantes : « Fé- .cliangement- ne s'est pnoduit annonce • qu'aucun à élever leurs voix contre l'offense du peu AUSTRO-HONGROIS
titulaire. dé®atiton. de ia„ waqoo&etfïa,- tédératicin .des tion politique des : régions du dans la situa ple russe, leur allié. Le général Shœnnich, ministre de la
r:' I.e cléricalisme en Italie n'a jamais A l'unanimité . des suffrages,
elle désjgné cliarpeffitiei's, fédération des meuiuisiers, mord et diu Nous souhai'toiis aux fiorces mialdonialès
. ..
existé que ocinm» contrepoids, à rn-oins de M. EalîO'ur, ancien premier minisirea d'Angie-^ ration des peintres en. bâtiment et iédéraUoii sud. Rien de noiuveau à Mazasan ni à saines fédé- ;
;
_
»
et pleines de viiigiuieua* die la nation guerre, ,a été invité par le baron d'/Eren-
confondre avec lui la question romaine terre ,et M,. Boneit-Maury, professeur à la fa- .des teamassiers. Azommour. française
thn-1, niiiniatire des affalais étramgères, à
:
On. téilégraphio do Casablanca: . .- de prendre le dessus eit à la n.ou- présenter aux dédégations un. nouveau pro
dont le caractère est tout différent et local. cuiîté de théologie protestante de Paris.
MM. Mazelio, Bouchery, BuiYsset-, Gabaïud,
..
Ces groupes, fusionnés depuis j-lusieuts an-
•-
El _Mokri part demain, pour Rabat le 21 mars velLe France, , jeuno et mionarçhiq-ue donit; jet militaire; d'après lequel les effectifs,
L'anticléricalisme factice, créé et dévelop- Paeito, Piet^ Favier et Godard, sont admis nées, sous lés'au&pijces de la C. G. T., compor que vous êtes les repréisemtiainits do jeter bas les pour le temps de -paix, sea'aâeint portés de'
escorté jusqu'à Ben-Zenika par un peloton usurpateurs louches de 'la f
P'é par l'alliance entre la firanc-maçonine- loges pour le concours de gravure en'taillè- tent pTès de cent mille « adliérents », inajs il de chassems.
en.
raine -maçon 350.000 à 400.000- hommes. -
rie et le socialise, dans le but avoué de ûoiaee, premier essai du^ prix ils——"• faut .y ajo yier à ce nombre
« cotLsàhits », mais qui sont; prêts à faire cause
tes i.uvriers non U semMe probable qaie les -procihaines • - - . - - nerie
la
juive.
France,
En
dans
lo faisant, vo.us
le concert européen-, la
rendrez à -

saper le grand- organisme social et oon- commune avec, leurs camarades au moment .opérations du général d'Amade séiroaut
d'un conflit important, di place qui lui est due et qu'elle a occupée
se.i-vs.teua- qu'est l'Eglise et dans le bwA, ma-
vjuc, ;
de groupe-r
niais chaque jour
sous ce
plus
programme;.tontes Les r Loues.
forces ant-imonarchiques, a fatalement v Ce petit édifice,
Xaa monuments historiques. — Le clocher
d'Annecy-flie-Vieux, dans la Haute-Savoie,vient • Les chiffres officiels ne sont rien dans main Banzii'i, tribus
transparent, d'être classé an nombre des monuments histo- tes circonstances, il faut compter avec l'en-'
. . qui renferme. un curieux trôlés,
tnatoement et les résultats, encore nonveon- suivront,
d'une propagande dont a pu néanmoins
rigées contre les Medakra et les Ouicd pendant tant de siècles
pose que le général
encore
Lyauitey
insoumfees.
e.t M.
On sup héroïque hisitoiïire.
Regnault -.» Vive la France Royaliste ! Vive le !..
de son illustre est LA REPRESSION DE L'ANTIilII.lTA-

ces opérations afin d'étudier sur groupe des Etudiants d'Action ' française ! "Une«ligaë amMim|lditeistfe'-))s'était fiûrniêô" :
RI-SME AU BRESIL

"obligé les catholiques â relever le défi et à souvenir de la révolution, une cloche fondue constater.les effets sur le chantier de la place place les moyens les plus efficaces d'aesu- — Le vice-président du 'Bureau centrai : à Rio-de-Jan.eiro sur le modèle des groupe
eu l'an V, date des premières années du dou de la Concorde. •rcr un crdre stable dans la Ghaouïa. ments hervéisfes pour ooïnb,aètïteia?Rouvâle-';
cojjJbattre lo « subvereisme » sur le terrain zième siècle.; on syndiqués
àocial, économique, administratif et poli . tive à Jupiter et yderemarque une pierre vo nal Les envisagent le Iock-out patro MM. Po.ret et Bianichï, les ''^ Européens W. SOtïTCHKOFE. loi. i^itp.ia-e/.quiJnistctm6-le.sea*yiceabMga-i.
très intéressantes colo -avec un calme apparent, mais déclarent qui a,vaient été oapteés par les MedaTafcas,
N. B. — Le Bureau central de l'Union des, toire
,
tique, en un mol à faire du cléricalisme nelles dans-des.arcafares géminées. que les conséquences pourront être extrême-, ont, été relaxés, ils sont pc.ur tous. La grève générale ayant c-t-é
• >.* v anivés le 21 à Ca Cercles des Etudiants monaa-ç-hiistes décidée à une séance'sêarè,te. de là ligue,,
militant. ment dangereuses pour les patrons. « On sablanca. de
n'affame pas impunément trois "cent mille tra- Russie tend à relier le préfet de police a déclaré qu'il tiendrait
De là le prochain Congrès de Gênes, La maladie du sommeil. vaiïïeiuirs », déclarent-ils. toutes les organisations des ..mesurés- les '-^luis énea^ques cGata»>-/
séance de la Société de — La dernière VMi patriotiques et miona'rehiquea de l'ésoto taute.--organisation Ooeuita -
pTOiùu par 1' « Ùnione popolare » ét pré-. Géographie de Paris, ; Voici donc eh présence les « forces organi
été consacrée tout entière à une conférence, sées e.t Dans
,
russe dans toute -Russie et d'uniifieir lé -Gefuto déclarai—
a
paré activement par la « Société délia Gio- illustrée de vingt-cinq projections photogra doit sortir » un avenir prochain nous dira ce qui le Sud-Oranais 1-a
nicKiwemsnjt, qui. chercihe à- dtoïiinwr à la- tion a/raioçné les. agitateurs à la réilexioïi.
vcsitu caitclica ». Il aura lieu les 28, 29 et phiques, dans laquelle le docteur Martin, dé du conflit..,
.
Une diêpèche du général co-mmandia-nt La, science la place qui lui convient diams les et sjU calme. '

.

30 mars, sous la .présidence honoraire de l'Institut Pasteur, a étudié la maladie du som Il ne faut pas se faire d'illusion ; il est pro subdivision d'Aïn-Sefina-, murs de nos Universités. Nous tâchons .

ce fléau qui ravage tout le bassin du bable que, l'intervention du monde officiel et lomb-Bechard en. mission a Co- aussi d'arracher la nouvelle g.én.éirâition- L'ESCADilÈ ' AMERICAINE AU JAPON
l'archevcqua de Gênes et s'occupera exclu meil, Congo et dont la propagation poiUltàque aidant, tout cela finira par quelque annonce que le détachement
sivement du problème de l'instruction reli à la mouche-tsé-tsé. terrible est due combinaison bâtarde" et fois de plus de Carcopino est rentré sans"incident à Beini- russe à l'influence coiiruptï-ice et perni L'acoeptiation,; e^ftcielie. ; de 1' imiyita.tioji
,' belles paroles -une
. endormiront les énergies Abbés. cieuse de. -la-., pirapagande- rév.otojtâomniaii» ,.
gieuse et de toutes les questions qui s'y - • > un ins antireligeuse adressée par le Japon à l'escadre .
améil-
rattachent,
>-
tant misas sur pied. Après note 'la- fin. du. Au cours des engagements déta et dès Juifs. W. S. caiïie- la midlsaiirè
disent les gens en place et ils s'effor chement .a eu_ à souitenir, cinquante-six que ce — » a produiffi impiression
Le - Transpyrénéen. — L'adjudication du monde,
" ' '
-
-
ceront de faire remettre à.plus tard'le/mou meharas ont été tués. Ces dasns -tous les miii-eiux.
D'un autre côté, 1' « Union© elettorale » grand tunnel de Puymaurens, qui est le aniimiaux aviaieint
Nous sommes malheujgausement trop cér. Le baron Tlatoahira, ambassadaur du la.-,,
pre vement révolutioainaire en promettant à tous : été duposés èn rideiaiu tains le Roi
v-a. considérablement accroître son activité. mier acte de l'exécution du Transpyrénéen, l'a.vc>neinent prochain d'uin état meilleur, pal troupes formées pouir. protéger. nos que seul pourra rendre à l'Eu pon à Washington, a dêcdaré que l'<i viarte'"*" ^
Le récent règlement ministériel laissant le aura lieu à Foix le 10 avril prochain. Le devis liatif aussi dangetreux au point de vue social, les-, partes, etn camé, ce qui explique rope une France forte, unie, capable de de l'éseadre amerkaane fournirait Toe«a-' '
atteint
soiri de l'instruction religieuse aux com travaux publics présidera près de dix millions. Le ministre des l'est, pour l'individu affamé, le verre d'al réiedlv&mià sérvir la do la civilisation contre les sion de démontrer -
au premier
que
qui
faiMc-s que raouis cause la sincérité de ra^eiilô *
mîmes, une forte organisation est devenue pioche qui sera donné dans lé courant du mois coup de cool trompe son appétit. avons subies. barbares d'en bas. En attendant, l'Action des Japonais pour les Etaits-Unis. - "
urgente pour pouvoir s'imposer aux Con de mai. Il est -impossible que l'entente complète se
-
Française adhère à toutes .les Iàternaitio- .
, ; ÎO&SO €sta4a«f> «i.
seils municipaux ; en outre, les débats qui .
que c'est à la base même de l'organisation .
ont eu lieu au Parlement ont prouvé ziet- Cette :
Association des journalistes parisiens. .— "La république feint
association a tenu son assemblée géné le droiit
polififfue nrésemto
a-
que
-
gît la canjise du mal.
de donner à chacun,
Ligne 41 '
LE NATIONALIS.ME ClIlNoYS-^
temenit que, sans y avoir de députés d'éti rale annuelle de défendre librement intérêts per A Chartres
.L'associatksn du gouveanemisiiitautonon¥»«-. .
au Grand .PaJa/s, dans l'après- - ses -
de- Canton a décidé que r-anniv-ersalre de ;
quette confessionnelle, la conscience ca midi d'hier, sous la présidence de M. Alfred sonnels et corporatifs mais, .en même temps,
tholique de la nation a su forcer les dépu Mézières ; MM. Piçrra Raudin, Max de Nan- les politiciens ont pris la corporation pour
chanyj-olos de. leurs intérêts politique*, ils ont
d'Aelioa française aujourd'hui
«
TJne conférence d'Action Française aura lieu la reddition"du T&tsu-Màki »'au
.

dimanche â deux heures et demie serait désormais-célébré « lapoiï 4


tés, éfcia grâce à l'appui des c-voy-anis,- à soaiy, Fcrtwvrvù "Boiurgeat, Georges. Hubbard, établi
Isurs succès-électoraux,sur la liitte de à Chantres, salle Picard, rue des FiileE-Dieu. comme un jour d<Ê
réti.ster au courant anticlérical La consé- Georges Niel, Joseph Benais, membres sor Ordre du jour deuil.
tants, ont-été réélus membres du comité. .ciesses et, se basant sur la loi du nombre, en
globe l'organisation Du socialisme
:
à la
' -
Des o-rateùrs se rendront •
d'ans les
t
- quesice naturelle est que les catholiques Aujourd'hui aura lieu le banquet habituel. publicaine et l'apothéose des quinze ouvrière dans l'œuvre ré « Monarchie
Emile Para, ancien secrétaire delà»,Jeunesse par AI. irenstes tocalités pow,inviter-les papuiati-onS .f diffé*
millistes.
doives.,t faire tous leurs efforts pour accroî
tre cette influence.
C'est en cette occasion quo la volonté du LES CONFLITS DU TRAVAIL
En.résumé, le conflit ne peut être limité au
-îock-o.ut patronal ou à la grève- des terras
siers ; il est un abcèswssu de cette désorgani
SERVICES D'ESSAIS
Avec leur dévouement habituel,
Socialiste ;
« Le
M. André Bécheyras.
.. „- ... là mettre à l'index les mafiahandises
SjTidicalïame dans la Monarchie », par naises et pour s'élever coniteie La faiblesse.
du gouvea-neonerut
japo
V-,
nos ligueurs Cette réunion est gratuite,' publique et con ianp'éi'iaiL
Pape aura besoin de toute sa fermeté. Sous sation. sociale qui a,peu a peu,amené à relever ont répondu admirablement â notre appel et tradictoire
de la politique tous les faits et gestes,; tous les plus de douze mille noms ont çté adressés •blicain-s, démocratiques ; les membres des-groupes répu
la poussée de quelques ambitieux et de zé
lés, q>'i ont sans cesse devant les yeux le
AURONS-NOUS intérêts et jusqu'aux croyances" elles-mêmes 3, Chaussée-d'Arïtin. Nous
pe tous les citoyens. classer ces noms afin d'éviter les doubles, de nous occupons vités à y prendre la
et socialistes sont in
parole. * .Allemagne. — La grève des journalistes
continue ; leur syâdcat'ô reçu,par-
*-
Jementaires
mirage du Centre allemand, on voudrait
introduire au Parlement des candidats ca
LE LOCK-OUT? :UN COMMUNIQUE DE LA
plois et dès le début d'avril, une première sé
rie de 2.000 essais sera faite.
em
Un excès de zèle
.
nombreuses lettres de sympathie, une entra 1
autos, de l'Association de la presse quott-
de

tholiques. L'CKpérrience a montré que ces FEDERATION OUVRIERE' On nous télégraphie de Sain.t-Jean-de-Luz dianne de, Jlarseille. La grève sera soutenue
Nous prions nos amis cle ne s'étonner que les affiches apposées hier matin dans par les journalistes étrangers qui sont <'0e.îdé3
au&bitsons. électorales sont dangereuses Le comité de la fédération des travailleurs \si toutes les pas cette'ville
; Rupture des pourparlers. — Les partis en du bâtiment nouis communique à la dernière quées
- ..personnes, qu'ils pou
nous ont indi journal ont été immédiatement'lacérées r annoncer l'apparition dè notre a faire cause commune ayee leurs allègu-r/s
!• i. catholiques pourraient allemands.
se heurter à, la _ présence. —• La vraie cause du conflit. îieure la note saivante ne sont pas immédiatement servies ; la gendarmerie.. par journaux,
Les représentants de plusieurs "
coalition de toutes les torées adversaires,' - « En présence des informations tendancieu
le tour de chacun viendra. Nous tenons i la disposition de nos amis •n.e plus s'occuper -
anglais et français, ont décidé de
dAL-iier plus oc prise à l'anticléricalisme, La dernière entrevue des entrepreneurs de ses parues dans les journaux, îelativenvait -. Nous demandons aussi que nos ligueurs basques d'autres affiches et nous les préve ta-cit que. le différenddu Parlement serait
allemand',
ne parvenir à envoyer à la Chambre qu'un gon la maçonnerie,avec les ouvriers de la corpora- aux pourparlers engagés eut» les. organisa continuent à nous envoyer dés noms quel nons que des feuilles volantes reproduisant de ne .pas s'occuper de ne pas. aplani et-
a-provoqué la rupture des pourparlers. comité tions ouvrières et patronales du bâtiment, le que soit le nombre des personnes qu'ils nous le texte des affiches éont à l'impression. Ces politique extérieure^ fixée, à lundi. la' discussion sur lai
uirunbre trop restreint d.es leurs pour y Basai de-la Fédération ,€
c'f.re utile, sans compter que l'action un événeanent heureux mais i.iattenidu bâtiment et les militants des organisations de»: travailleurs du indiqueront, nous nous arrangerons pour les faire connaître à tous ! affichés font peur, c'est mie raison pour les
par nous verrons prochainement tous les chan- tiennent .
loucher d'ici deux Angleterre. — Les suffragettes continuent"'-- '
lementaire de ces députés serait entravée tiea's fermés jjar oirdie des patrons. ; : à dégager leur responsabilité quant faire mois. Ce n'est qu'une'af . leur
à la teneur de ces. communications. de mise au point qui sera résolue par campagne avec une-, activité nouvelle.- A
pp:r les principes que l'Eglise croit indis- Lie lock-out dont amt menacés les ouvriers
.
D'aulre part, tout marquant bien notre administrateur leur dernière réunion, plus do 160.000 francs
pcn.î-abk; de maintenir dans les relations du bâtiment portera sur .trente-deux chambres danger qu'il y aurait à exagérer un conflit, des premiers jours « en le dès que le coup de feu NOUVELLES MONDAINES ont-été souscrits pour grossir .le a Jttfor ;
t-nive l'Etat et elle ; enfin, on pourrait' syndicales, représentant 4.000 patrons et qui pour le faire sortir de son caractère stricte sera 'passé. guerre " "
cn.indffis que les « sympathies politiques » occupent plus de 2-00.000 ouvriers... ment corporatif, le comité fédéral, dans sa' .
réunion du vendredi 20 mars, a décidé 'de Sir Nicolas O' Gennor, ambassadeur d'An-
ne disunisseait le noyau Obes députés c-atho- ' tuation, Nous avons voûta fatee si;j- ceitt© grave si ''constituer gletenre à Con-stantinople, décédé ces joo.rs
.rmie .enquête impartiale. Nous .rela- simplement
un comité d'action local, chargé YEX'TE E* PRQYIXCE LES COURS deinifers appartenait, depuis 1SCG, au corps di- "
"•' " " :SSnsrfejî,' les cîéœanih'cm.'S -faites-à~la~preuve d'établir la oohénon des organisa \ Le plomatique.
par M. GuiUeimn'.pTèeid-sïvt de, la cliambre syn- tions pax-iteisesYn-es. Plusieurs de nos sections, nous offrent prince Charles de Eourbon qui était Parmi les nombreux pertes cu'id ' -
ganiser la vente du journal en province d'or
"
Pour: toutes ces Taisons, Pie X veut dis ^li-caile de la maçonnerie, déclaratfons • que tions « Une réunion des secrétaires cfas orcaaisa- venu- a Gammes, pomr assister à la fête anjii- a occupés dans sa carrière, il faut citer celui;
pai-isianneis aura lieu lundi soir, 2g inairs.» amis isolés se proposent ,- des versaire de Mme la comtesse de Gaserte, sa de. secréteire d'ambassade à Paris. Consul gé
cipliner l'action de I'" « Unime elettcmale'», nous ferons suivare d'un aperçu des forces ou- D'ici pour établir un dé mère, vient de repartir pour Madrid. néral en Bulgarie, puis ambassadeur â Saint-
dis> fw;on à ce" que dans chaque diocèse les
viières doint dispose la Coniédération Géné . - « là, toute information se léclccnant de pôt ; des libraires ont écrit -
source ouvrière peut êta'e considérée comme mander ' de leur confier nous pour nous de rétersbourg, sir Sicolas O' Connor avait
électeurs catholiques- se soumettent aux rale du Travail. fausse». - l'exclusivité de la quis une connaissance complète des-affaires ac
- vente dans leur ville. balkaniques et de îa ques-tion d'Orient.
instructions des évêques et appuyent de CE QUE DIT M. GUILLEMïN NECROLOGIE
leurs voix îe candidat qui offrira, les meil Les grévistes-doivent se réunir ce matin* à Ces témoignages d'un dévouement, que nous- Nous apprenons la mort de M. François de ': f -
Je dissimule Russie. Le général Stœssel a été arrêté
leures garanties d'ordre et entre qui se et—pas ne me pas, dit M. Cwllemin, neuf heures à la Bourse du Travail ; on croit attendions, mais qui dépasse nos espérances, Bonnavent comte do Baumevic-Ole, dernier dès- ce matin ët
- —
immédiatement
dresserait quelque compétiteur sabyearsif. vite desun do mes confrères n'Ignore la gra qu'une décision importante
sera prisp, sur l'at nous touchent infiniment, et nous voulons y cendant d'un grand sénéchal d'Auvergne, dé teresse Pierre et Paul où il enfermé à la for
mesures vofebiè de ceB© de l'amâral occupe une cellule
les à prendre ; ceque n'est
nous pouvons être appel titude des syndiques vis-à-vis dé leurs patrons répondre en indiquant à nos amis le
pas de gaieté de et de l'arbitrage possible, d'un membre du qu'ils doivent employer pour arriver à moyen cédé à. Blois. Nehpgatoff, cellule '
AVENTINO. que . nous en aiTivarions à une terme-turécœur dès gouvernement. une Les obsèqaes de M. Christian Lafond ont.été
^occupaient". jusqu'alors tes Commandants
"
. •
v
prompte organisation. célébrées hier, à 10 heures, en l'église Saint- des Japo-mais.
deux cuirassés qui s'étaient rendus fiùx'
-i '

r EUILLETON DE L'ACTION FRANÇAISE d'une façon plus digne c'était


dames ne fut.pas si favorable que me l'a
Du 22 mars 2 respect que ia passion ; presque dti était dangereusement malade,- et cet hom
j'inspirais. que vait été (leur folie ; je n'en tirai pas si bon .coname ; et de mon côté j'avais le cœur giaia-tien eit les-objets je voyais, at je
Les dames surtout s'intéressaient .pour parti, et/j'aurais été fort me, qui leur avait souvent donné de. ses bon, comme je l'ai encore. 'devtoais qu'cai pouvaitque
moi au-delà de ce que je puis vous dire ; la tendresse que le curé et àsaplaindre sans
prirent
nouvelles, les priait de se hâter de venir .tirer, de cette mul
Le ouaé- enitra là-dessus. Qu'est-ce? titude de choses ditïérenites je ne sais
LA VIE c'était â qui d'entre elles me ferait le pré pour moi.
sent le plus joli, nie donnerait l'habit le
sœur
Cette sœur, m'éleva comme si j'avais été
l'uin ou l'autre, s'ils voulaient le voir avant
qu'il mourût. Le curé aimait trop son. de
voir de pasteur pour quitter sa cure, et fit
dit-il à sa sœur, je crois que Marianne bien d'agréments que.je ne comniaissaid
-pleure. Elle lu,i dit alors
-
ce dont nous par encore ; enfin il me semblait que les ptai-.
com
pas
plus galant. son enfant. Je vous ai déjà dit que son lions, et le dessein qu'elle avait de me me sirs habitaient au milieu die tout c.-ela-.
partir sa sœur. • '
DE MARIANNE
:
ner a Paris avec' elle. Le bonhomme alors Voyez si c© n'était pas là u'tn. '.vrai inetin.ct
,
" Le curé, qui quoique curé de village, frère et elle étaient de très bonne famille :
. . .
Elle n'avait pas d'abord envie de me me
-
avait beaucoup d'espril^iet était un, homme on disait qu'ils avaient perdu leur bien par s'apptfochant de moi. « Marianne, me dit-il, de femme, et même un pirorastic de toute»-
de très bonne famille, disait souvent un procès, et que lui, il était venu se réfu ner- avec elle.; mais, deux jours avant son vous partirez avec ma soeur, puisque c'est les aventures qui devaient m'oirrma*. - -
do- dép,a.rt, voyant que je m'attristais beau
:vïU'i6 que, dans tout' qué ces dames gier dans cette cure où elle l'avait suivi, pour .votre bien, et que je dois le préférer Le destin ne tarda pas à nue les
par: at'.bienit ,iajlors ce
tait pou.r moi, M ne leur avaiit car ils s'aimaient beaucoup. coup et que je soupirais : « Marianne, me à tout. Nous tous avons tenu lieu de vos cer ; car, clans la vie d'une femme
annon
"conuno
l-amaij.^tendu prerooiniciar dit-elle, puisque vous craignez tamt mon parents, que Dieu n'a pas permis que vous moi, il faut-bien parler du destin.
MARIVAUX le mott de « cha-
a 'i^ » c'èstjffue.c'était un mot trop dur,
qui blessaitHa mignardise des sentiments
Ordinairement, qui dit nièce ou sœur de
et curé de village, dit quelque cltose de bien
absence, consolez-vous ; je -veux bien qiue-
"V'Ous ne me quittiez point, et j'espère que
connussiez, non, -plus que personne de votre que nous alitons .
famille.; ainsi ne faites jamais.rien sans nous ' arrivâmess.s *— trouver étàiit -mort-
Le parent -
quand-
quelles avaienv " grossier et d'approchant d'une paysanne. mon frère le voudra bien aussi. Il me vient :: il ;y àçsianjt» .Mais'dit-on Cs
Mais cette fille-ci n'était de même noue consulter pendant que no.us vivons ; ivinsNjjU'âitine heures"
ures" qu'iqu'il était, expiré. 1,-
Aussi, quand eîfe^.,pàr1baiefnit de nioî, elles c'était une personne pleine pas de. raison et de:
mi&me actuellement des vues pour vous
j'ai dessein de vous faire entrer chez quel: et si ma soera*. vous laisse bien placée à .Ce n'est là -tout; c'est
• :

ne dosaient point « cette peit^e fill© » t.c'ôteii politesse, qui joignait à cela beaucoup de pas
Paris, sans quoi il faut que vous reveniez, mis les .scellés qu'-etn. avait
Par tout cela, ma naissance devint im to-jj.oui's (( cette aï-niabit enîasut,». vertu. que marchande, car il est temps de songer écrivez-nous dans toutes les occasions "où été chez lui,; ceit homimie avait*
pénétrable, et je n'appartins plus qu'à ia Etait-il question dé mies-parenfe.?c'éta;einit à devenir quelque chase .; nous v.oms aide vous aiurez besoin de nos conseils ; pour devait dans les affaires, et on .prétendait.qu'il'-
charité de tout le monde. Je me souviens que souvent, en.me regar rons- toujours pendant que nous vivrons, nous, nous ne vous manquerons j-amiais.--» plus qu'il n'avait' vâaan.t.
des étrangers, et sans difficulté de Jia pire- dant, lès larmes lui coulaient des yeux au.
mière condition de Iauir pays il n'était mon frère et moi, sans compter ce q.ue Je-ne vous diinai point? oamnieri:t on, j "
L'uxcès de mon malheur m'attira d'assez ; pas souvenir de mon aventure ; il est vrai qu'à nous pourrons vous laisser après notre Nous partîmes dtonc, la sœur du curé et tifîait cela,.c'est un détail qui me passé; us-
possible que cela fût autremenst,
grands secouis chez le curé où j'étais, et
comme si on l'avait m on le savait mon tour, je l'aimais comme ma mere. Je mort ; mais cala ne suffit pas, mous ne moi, et nous voilà à Paris ; il fallait pres tout ce que je siais, c'est que ntvuj 'na'
qui consentit-, aussi bien que sa sœur, à =; vous avouerai aussi que j'avais des grâces saurions vous laisser beaucoup ; le parent
que le traverser tout entier pour arriver pûmes loger chez lui,-que tout était saisir,
n» garder. Mais tout s'use, et. les beaux sentiments et de petites façons qui n'étaient point d'un que je.-vaîs trouver et dont nous sommés chez le parent dont j'ai parlé. et qu'après bim des cLLscussieais, qui du
On venait pour me voir'de.fous les can comme autre chose. Quand mon aventure enfanî ordinaire ; j'avais de la douceur et héritiers, je ne le crois pas fort riche, et il Je ne saurais vous dire ce que je'sentis rèrent trois quatre mois,
tons voisins ; on voulait eAVoitqae^e ne fut plus si fraîche, elle firappa moins l'i de la gaité, le geste fin, l'esprit vif, avec votjs faut choisir un état qui puisse con- voir qu'il n'y ou nous fit
avait pas le sooi â-onespérer
phy magination. L'habitude de me voir dissipa un visage qui promettait une belle phy tlrib.u'ea• à vous établir. Je en, voyant cette grande ville, et son peuple da.
sionomie j'avais, elle était devenue
un les fantaisies qui me faisaient tant de bien, sionomie ; et ce qu'il promettait, il l'a tenu. vous dis cela et ses rues. C'était pour moi l'empire la succession, et quie c'était dominaga
•objet de curiosité ; on 's'imaginait -remar piarae que vous commencez àttire raison de qu'elle ne fût pas plus giraMe, parce qu'elle
elle épuisa le plaisir qu'on avait à m'ai- tout'le temps.de mon éducation la lune : je n'étais plus à moi, je ne me
quer dans nies traits, quelque chose qui Je nable, ma chère Marianne, et je souhaite en aurait mieux payé sois dettes.
sentait, mon aventure, on èe prenait mer : ce n'avait été qu'un plaisir' de pas- "tons paese bas âge, pendant lequel j'appris rais bien, avant que de mourir, -avoir la •ressouvenais plus de rien ; j'allais, j'ou
pour
moi "d'un goût romanesque.' J'étais jolie, fia|fe.; et au bout de six mois, cette aimable à fairemon je ne sais combien de petites nippes consolation de voue voir mariée à quelque vrais le_s. yçux,^ j'étaia é-toniée, et voilà 'N'était-ce pas là un beau voyage qu»
j'av 'is l'air lin ; vous ne sauriez croire enfant ne fut plus qu'une pauvre orpheline, de femme, industrie qui m'a bien; servi honnête homme, ou du moins en. situation tOUt. " nous étions vernies faire ? A.ussi la sœui1 dta.
a qui on n'épargna pas alors le mot de dians la suite, ' c'uiré en psritielle un si profond ebagr-i» -
comme tous cela me serv'aiit, combien cela de l'être-avantageusement pour tous î il .Je rae retrouvais pouaiilainit dans la lon- qu'flle
vie rendait noble et délicat l'attendrisse- chanté ; on disait que. j'en méritais beau eeit bien juste que j'aie ce plaisir-là. en tomba malade daos-l'auibérge
guiôur du chemin, et alors je- joiuis de toute nous éîlonSt
coup. Tous les curé3 me .recommandèrent onJ'avais qusttze ans plus où moine '(.car :
ïnent qu'on sentait pour amoi. On n'aurait pouvait » m'a surprise : je sentô" mies m»u.vie(menits, -,
chez eux, parce que celui chez qui j'étais s'y tromper) quand un parent .Je me jetai entre, ses foras après ce dis
pas caiessé une petite princesse insfortun,"5® dni curé,' gui n'avait que sa sœur et Itu-i je fus charmée die. nie trioamw Jà, je respi
n était pas riche ; mais la religion de ces pjcw héritierg, leur fit écrire de Paris qu'il cours, je pleurai et elle pLausia, cùsr c'était rais un air qui réjiouit nies espriits ; il y
la meilleure personne j^ue i'aie isolais. avait u&edfiaoe s^aipatliie sspiîtne dan pa-, "TJt tuîvre^ /'
, - :
22 MARS 1003 ^ MKftKW FRAXÇAtsiî
"REVUEDE LA TRESSE
Di.MAXCUE
glaià" Mais il n'eoi 'est pas -moins irai, que
dans les gouvernement^ électifs, la dis-
CHRONIQUE • teau ; dans la moissonneuse lieuse, des
doigts métallisés,-'agiles et infatigables,
L'enfant a été confiée à Ibssisiiaaice pu-» depuis 1S0S, ont passé dans se 1;
bliquie en atteoidruait qu'on rc-koUve ses ua w"® l ^.s flpoiens'"?;-"ut-Cy-«" , rtJ[
?
«
« continuité et l'esprit
« détenteurs successifs du pouvoir consti-
étroit 'dé parti des AGRICOLE serrent le lien et le nouent, et la. récolte i*ents.
toute bottelée s'aligne sur le sol.
De nombreuses locomobiles' actionnent LES VOLELTtS CIIEZ LE COMMISSAIRE
-
* u §

tuent de dangers, auxquels il faut partie


j DREYFUS CHEZ MONOD. — La Revue <( chercher à. parer, dans, mesure
« graves
la du pos-
les batteuses. C'est une du concours Dos cambrioleurs, qui
que nous ne pouvons traverser sans nous ment de. respect pour la-police, ont pénétré d uniformes, etc., et leur serait i -covVa-s-
manquent évidem ;^™ rs famille, îmituis, leurcs
tableaux, ]>îih'c<$

? historique, dirigée par M.


Gabriel Monod « àible ». Si, comme Le-Play l'a souvent y arrêter. La batteuse à grand-travail ren hier dans .rappartemient de M. .Guiichard, sant de vouloir bien'se meure en vanuort -
fois,'certaines pa: répété, - « les réformes politiques no sont LE 'CONCOURS GENERAL AGRICOLE ferme dans ses flancs une véritable petite commissaire spécial aux Halles, 21, avec lui pour l'aider à célébrc-r di^nenieiit 'a
j a donné, au moins une rua bravoure",?e ildiiiié'
usine. souvenir de cent
X ges d'hifetoire militaire,
remarquablement pas le tout de la réforme sociale, elles peu ^Malgré les craiaiies que "l'on avait pii d'Arcole. Ils omt emporté poua: environ au diapeau et de dévouement ans de
/ vagues et filandreuses, signées des lôuches vent pourtant, surtout dans les pays où le coin cevoir l'année demièro à cet égard, plète de chars, charriots et charrettes, et 15.000 ii'aiics de bijoux. -
Lui. gouvernement exerce un© action très éten c'est encore à la Galerie des.Machines que
La chaiTonneric offre une collection com Les communications
^'nt V %n e Ja ^'^de-Arniée. au coinrniiK doivent
à in
êna adressées
'

/ disait c'est ,
g. ânitiales A. D. O ïl idous :
Nous n'en doutions que pour la forme et due, en constitue^ un important élément ». ae tiennent, cette année, les solennelles gants et pratiques modèles de. voilures de
à la carrosserie nous admirerons d'élé
UN CRIME MYSTERIEUX Ma ^ ' sepri5tair0 du cowitô <1? redae-
' parce qu'il faut se méfier de ce .qui est trop assises, du Concours général agriocfLe de campagne. Dans le quartier de l'hôpital Saint-Loui^
* " CRÏTOX., Paris. Tarat mieux, car sa situation, sa • - •
becuu. Mais nul doute n'est plus permis : pai* Dans la galerie des machines, vous trou- s'est dérauîé, M nàiit dernière, un dram©
disposition et son étendue, cet emplacement
, Dreyfus' écrit bien chez Monod, et voici ce verez les tarares et trieurs, les petits nio- dont, les circonst'ances vraimeni tragiques
' qu'il y écrit (et signe en toutes, lettres)., en
rendant de Livres dji général Bon-»
LES TRIBUNAUX répond admirai)Lcaneait aux exigences spé tèurs
ciales" de. cette exposition. Commetoujoture, lage deà gaz,
portes
à pétrole, à essence," l'outil dénotent chez son auteur mus audace .jointe COURRIER DES THEATRE ,*
la laiterie et de la beurrerie, les à, une cruauté- peu ordinaire..La victime,
r
compte Le concours a ouvert
et
ses -mea-oredi
inshrvmenits, et Le sur alambics et appareils de distillation, etc. Un honnête - ouvrier qui partait de bonne
nal et d'autre théoriciens de la guerre • poua- les machines
,
En somme, le concours général de 1908 heure pour se rendre à son traviaiil, a été
.. ' V ••
Sainl-Symplionèn > -S •• ' . •
lendemain vendiredi poiur les animaux et les
tomme noue le disions plus-haut-, frappée _ de six «mps de couiteau paa*. ira in

Le crime do.
î « Pour lo général Boranial, la giuorre est produits. No.us ne parlerons aujourd'hui constate, de remarquables progrès dans l'industrie dividu sarti La veille de prison.
j^a reprise de Vamauna, à l'Opéra, est fixés -
4 la forme par exce&lenoe
de la concurrence <De notre correspondant particulier) à nos Lecteurs.que de la maiohimerie agri française des machines- agricoles ; mais on deux hewes aû vendredi 27 courant. Répétiùon .-éii'irato
J vitale. De notre temps, dit-il, les Mites de
Tours, 21 mars.
cole, remettant -à la semaine prochaine le est
en droit de s'étonner de voir figurer,
Vers
passait rac des
du matin,
Eduses-Saint-Maiit-in
M. Tenndsien
quand jeudi soir. v

*j0eu.ple revêtent, pendant de tangues pé compte rendu détaillé des autres • parties dans.ee concours dit national des mar tout à coup un individu dressa devant La mise en scène a été réglée par MM. Mes
riodes, le caractère -de concurrence poli- Ce soir, s'est terminée, après quatre longues du- "conoauns. « », se sager et Broussan, et la partie chorégraphia
loque, commerciale et indus trie-lie, mais et palpitantes, audiences, (levanfcla cçiir d'as La construction des -,machines, agricoles ques étrangères, américaines ou alleman lui et lui barra le passage en lui disant : que absolument changée. Les décors et les cos
l'affaire mystérieuse de des, auprès de nos marques françaises, Enfm, -je te rotrouivo, tu vas mourir ! tumes ont été renouvelés.
Jorsque l'état de tension. dépasse - contaiines sises d'Indre-et-Loire, qui est une Industrie relativeanmt noiuveliie.
comme s'il appartenait-à l'Etat d'encoura L inconnu sortit couteau de ai poche
..mites, la guerre éclate violente, impia- l'aesassimat fle S^iait-Sympiiorien, a, pen Les hommes -âgés seutemerat ,d'iinn demi- un Il y aura vingt-six ans exactement qùs ls
dant six mois, '-passionné au suprême degré ger cette ooncurrence. et se rua sua' le .malheureux qu'il saisit
J'ible et Laconception
.aJMe. La
plus fort dicté, sa loi au plus toute la Touaaine.
de la, concurrence vi- Dans ]a
-
soiive du- 20 septembre dernier, une leua* eniànœ, c'était rareté de voir àquelque
siècite peuvent so rapp-eler qu'ail temps do
travers
-
t. de «Til/LtlV, à la
couteau
gorge
dans
"et, par six' fois, lui planta son* première fois ù notre aura
Le corps;
ballet d'Edouard L--^
Académie
fcé donné pour la
nauoïialE".

Faits Divers
\ lié du- général Boranial-- est encore ri'iotoe bien vâêflte 'feuMlèrie," originale et intempéi-aatc, la, nos, champs s'agiter les bras de ,
Fort beureusememti des 'passants et dfes Mercredi, premièrereprésertfei!i«i {iîe la sai-.
barbare et peu conforme à respirai, de veuve Coudray, âgée d© soLxante-ijiîotre ans, moissonneuse. . Mais les conditions nou-
gardiens de la paix accouraient et s'empa fion) <ï'Aïda, dont la reprise «avec Mlle Boraa
"mips. S'il est encore nécessaire d'avoir était trouvée morte' dams son vestibule, la vsiiLes d.o notre àgritruilture,- amenée â une raient du meurtrier, qui n'opposa asicune attire tout de monde ù. l'Opéra,
des armées tantes pour se protéger contre gorge coupée, au milieu d'une mare de sang-. prodiuction de plius en pJijs mtetnsive, la- né . ,
Oueiques jours plus tard, on arrêtait une de résistance, puis .l'on s'empressa -ajutour du
les agressions poesiMes, lè rôle dévolu jadis Ses voisines, la jeune Gilberte Girault, coutu cessité, pour elle, de dimîimrtier'le plus pos Messé qui np donnait pilus sigmie de vie. On
aux - conquérants d'être les agents incons-, rière, .âgée de dix-,huit, ans, sur laquelle pe- sible seg prix, de revient^ touit en assurant refconnut que soin était était grave et que Théâtre Sarah-Bernliardt : '•
dents do l'évoduition humaine" appartient la rapidité et, la régularité de :ses .travaux, son - tr'ansfei't- à l'hôpiitiaS s'imposait dvur- Des représentations supplémentaires d»
aujourd'hui. à la sciièmice, qui est devenue O'iït généralisé part,eut l'emploi. des ma L'AFFAIRE"DÏJ DROIT DES PAUVRE^ l'aiglon
le gnan^ facteur des ahangemien'fcs politi- la veuve on l'avait vuplus, entrer ouvertement chez chines. Moissonneuses et faucheuses rem gence. • - seront données avecrMmc Sarali Bern-

f ._
<r-2s et des progrès sociaux. » la vLeiHe.femme ; da
toufles tachées de-sang enfin, les omproiaiites
en ^perquisitionnant placent de plus ën- plus la faucille- et la M: Flory a emtondu hier après-midi M.- devant
dans sa chambre, on saisit sa jupe et ses pan faux, le ronffemienitdes batteuses a succédé Eourde.t, miaaxhànid de billets de théâtres
Voilà, qui confirme parfaitement une'' an- sanglantes laâtasées par ; le meurtrier inconnù" aii bruit, cadencé du fléaiu et le vanneur et de carte-s-poistales rue Drouot.
de. blé disparu devamit la taa'are. Aussi M. Bourdet a déclaré qu'il faisait lé com
Pendant ce temps, r,assassin était conduit harclt, lun-di soir -2-tet jeudi. 2G mars (Mi-'
M. Vaissièros, oornsn/îssaiTe de po Carême], en soirée et en matinée, en atteni
lice du quartier "de l'hôpital Saint-Louis daat la première de la Courtisane tie.Corin
-qui, ce maimr . a procédé à son in/terrerga- thc. ' " " - • • .
cieirne vue de M. Joseph Reinach, qui trou- chez sa- «MTOsponéaient - exactement a agricole'de France re-préserate- toire.
l'outillage merce des hillate-par.ee qu'il; le croyait
f vait à Dreyfus des dispositions '« presque à oeùias Depuis-son
dè ses pantoufles.
arrestation Girault n'A t-il Jo.uj's un
lia
capital l'on peut licite, et qu'il s'en était jamais .caché.
._
L'individu, très cynique, Tecomuït avoia* An Palais-Royal :
f dier. Mais peaisonne ne comparera ce Lan-' entrée chez la veuve Coudray, mais elle pré- francs.
GiJberife
trop » militaires, et. un vague,£gprit çoçar-' pas-fait lî)imtoiie d'un aveu. Elle reconnaît être évaluer à bien près do deux milliards de de nos que

ne
J'achetais itranè mes billets de service, moins
dit-il, et je les revendais .avec le héaœ&çe
frappé il. Temisien ût il ne chercha pas le
du monda à donner une -excuse à; de la Poudre Demain aura lieu-là première
.
reruvsenfatioïh
Pascal, tenct'x avoir été Tempiacé-e-par tiirax iTdivtdus- son.crime. aux moineaux, vaudeville en.
% • gage au style de comme on le fit Une visite au conçoiura général donne quô je pouvais en tirer.^ Je. n'avais pas à ia déclarâMoia trois actes de MM, Desvallièrcs et Lucien-
f pour les « Lettres d'un innocent ». : - sm&pects. et de-très mauvaise mine quant au '
Bien au .contraire,
. -
il fit
saâig découvert sur -ses .vêtements, elle avait l'impression très nette des progrès inces- m'occuper du droit dâs -panivres; •-. -
; Gleize.
France l'inidustrie des L'interrogatoire porté égalemieîit sur suivamte-; •
? — Cela fait tout de même plaisir qu'il eu ce jour-là, dit^elle, des vomissements abon saimts réalisés en par'agTicailtuji'e la billets
a
diitis d'atbonnjemeiit et « Je ne regrette rien de ce que j'ai fait,
n'écrive pas en français !:nous disait un dants. •- machines agricoles. Notre est vente des mais vous pouvez m'iri/terrogor, Aujourd'hui, à deux heures, à' l'Olympia, -
-i ; ;
A l'audiaince, son attitude calme et tranquaiie cependant encorè, pour une trop large part, M. Bourdet a déclaré au magasinait qu'il Les
vous ne
jeune étudiant de notre race et die notre ne s'est pas démentie un instant r elle s'est trîbuitaia-o de l'étranger. tenait d'une ag-erac-é de billets de théâtres. saurez pas pourquoi je nue suis vengé. » la Revue Joyeuse, de MM. Chartres Quinel et
nation. défendue avec une intelligence et une volonté La plus grande partie du matériel .agrl-"" Il ajouta, qu'il ' s'aippeîait Martinet, âgé Henry Moreau, en matinée...
inicroyâWes ; à aucun moment•"elle n'a eu'de :
cote occupe, comme les autres années,. le$ M. tEGITIMUS"RENVERSE de vingt-sept ans, et qu'il était sor.ti le m!a-
défaiilLancô et a,près ce duel de quatre jours ...-,
tih même de la pinison de la Samitéj où il Jfenri de MAliSA IV,.
LA MONARCHIE EN ANGLETERRE. — avec l'accusation, elle reste une vivante et im- teaTains en bordure de la Gaierie des Ma DKE VOITURE DES POSTES
venait de p^urger une .ccmdaimnajtiûin.â qiua-
jj L'Angleterre monarchique est fière &e son pénétraiblô énigme.
roi : plus Edouard- VII ajoute aux préro •La Cour en robes,
chines, du côté opposé à l'Ecole militaire.
les jurés, les témoins, et Voici, dès l'eatrée, les appareils hydrau Le député nègre'qu'on-a appelé aussi le tre
_
M. Légitimais^ député de La Guadeloupe,.. mois cfo" prison pour vagabondage et ^INTERMÉDIAIRE
d'aliments.
gatives de la Couronne,-plus léverrait-on peuple an J'&cçu^é se sont transportés à Saint-Sym-pho- liques, pompes de .toutes sortes, de toutes député 'sorcier eit encore le dépuié.fantôme', filouterie - "
glais est content. Peut-être à riari pour y procéder à la reconstitution du formes et de tous systèmes, élewant l'eau
â de ses'rares apparitions au Palais-
Devant
prévint
ces
Parquet.
décilaraitionis,
et
fe miagistrat
Martinet
COMMERCIAL
crime .mais cette visite collective n'a eppportc la lançant à jets bouillonnants. Les cause le envoya au
Londres ce qui s'est naguère à Athè- -a.uciu* clémeint nouveau, ' non -plus r;qu.e les ou leurs Dépôt, en attendant s>a comparution devant
vu,
treigj et un témoignages qui sont succédé élégants moteurs à air dressent ar
I

mes : une émeute en vue d'obliger le mo larbarre.
se
matures aériennes et légères,- surmontées n'iimporte un juge d'instruction. > .. . La défense des intérêts du Commerce na«.
* p»ut.aouîlirir On croit généralement qu'il .a'agât d'un®
narque à s'improviser dictateur. Mais on 1 LWe des dernièreE dépositions 'a ' "soulevé du disque à ailette.s - qui s'oriente à tous equel de nous, s'il ,va en automobile. M. Lê- vengeance, dont le mtMle n'a pu *<a*e en-
• • • .. tional èt de l'Industrie fait partie du.
entend déjà des ministres — et des minis unUn.plâtrieji;,. incident.
jl..Ga"aton,
• - -,
le » .
jour
vents. Ces appareils de construction ec,o- giitâmus se promenait hiea- matin à Ver cosce -établi. Le miagistrat, qui s'était rendu- programme politique de ce journal.
tres libéraux — élever le souverain aAi-de's- crime, il a vu un individu hâ'billé de gris qui nomique,
. a dit'.que
, du d'installation ' facile" et rapide, sailles;- dans nue superbe limousine'24 che à l'hôpital SaiM-tLoufe, posua* ini-e-Erdie oger la Parmi les cinq mille ahonnés que nous
vénérables coutumes rendmt grand, service pour l'élévation et l'état
sus des plus de La faisait les cent pas devant la maison de la la distribution des eaux dans nombre d'ex vaux. ..ep' compagrnié d'un sïeii" ,'ami-, con victime, a dû y venmeer, par suite avons déjàt> grâce au concours dp la
(( mère des
Parlements ». Le sentiment est veuve Coudray, de trodis heures et demie à
ploitations. seille r à la Cour d'appel de la Baisse-Terre. de faiblesse du blessé.' " puissante «' Ligue de l'Action Fran
si général qu'il n'offusque à peu près per- viotiime à sa fenêtre du ;rez-de-^hau-ssée,
quatre heures et demie en outre,il a.vu la v Dans la rus des Chantiers, l'auito du dé .
çaise », figurent un grand nombre d'in-..
-veî-s Vient ensuite l'outillage agricole* propre* nègre heurta wiiture des postes CORNICHE
sonne, et les "théoriciens, "eux-mêmes font 3 heures et quart, c'est-à-dire après le départ mÈpi dit : son ensemble'apparaît, au pre puté une- ÇIIUTE D'UNE dustriels et dè commerçants.
/ écho là-dessue aux hommes politiques.- - de Gilberte ; son patron, M, Cormier, qui se mier coiup d'œil^ cfljmme un imuniense; .air-. teur fut précipité
lu,i causé aveç veuve la qui les senal d>& paix,, do labour, de travail fécond,
qu'il culbuta et dont
sur
le malheureux
Ls sol.'
conduc
Ùnè 'pierre pesant quarante kilos s'est Nous avons donc pensé-être agréable d
À. propos du terrible drame qui a eci- troiUVfl.it, avec
a à .boire
a
Le modeste fQn.ctionaire se releva de sa. abattue hier d'un bafcon du deiuxièimie étage ces souscripteurs de la première heure
\ sanglante Lisbonne le - 1er- février dernier,
inviitéis
Cependant'M. Cormier, dont" la comparution domit la. vue. évoque
Lisbonne par où Edouard VII commença, a été immédiatementrequisej à fait une décla jjarre.
uig. coiUip. '

De tous ces
tomte la poésie, de La chute
ingtrumentis si variés de un peu meurtri mais saiis bllessure du 73 de la rue de Rennes, sur le trottoir.
très heureux de Par un hasard providentiel, il n'y aut per -en créant à leur intention ; L'INTEll*
MEDIAI11E COMMERCIAL.
^
dit fonine et de destinaition, qui servent à grave. On assure que, blessé chute. de cette
en 1903," ces visites "royales qui sont pouf ration eSt'rêiùëmenî confuse ; il a (T-ahord n'avoir pas un-plius grave malheur à dé sonne depierre, quipar, brisa ' La
t-
qu'il n'awaift, pas parlé à la veuve Coudray l'homape à . conquérir
sa subsistance-, le pre en morceaux
_ . Par le moyen de celte rubrique, qui pat "
l lui .un moyen d'exercer une action si effi- puis M. a fini par dire que ses souvenirs ne mier qui fixe l'attention n'est-il pas la amulette
; plorer, M. Légitknus offrit
paxitectiaii."
à sa vtatimie unie, énorm©
lo-grès du trottoir.
se raîtra chaque jour dans nos PETITES
v__cac8 sur la politique mondiale, une grande sont pas très ixrécis et qu'il ne se rappelle pas. charrue, le plus anitiquie- et d: utilité ptri- et sa sur fin du journal; Zes -
de prudence, on interdit de • ANNONCESj à la
:
Beviw, dê- verdict rendu-frès tard dans la soi
-, : Par mesure
la Fornigthly
pyu e anglaiseconsidérations rée.
Le sera mordialie, celui qui ouvre le sein ; du soi. EXCORE LUI! ' "
passer auprès de l'iimmeubiLe dangereux et "industriels, les commerçants et - les...
-velie-ppe des , intéressantes Mais que de parfeotionnemenits depuis l'an l'aixhitecte de la Ville, appelé, a indique lés représentants de çomi.izrce pourront
Js sur'.les services que-rend . l'hérédité royale, tique et primitive" araâr'e. Les charmes mo Il avait longtemps què la. presse n'-avait poiua* éiayer le balcon
gouvernement
:
Entre membres de- la première aristocratie dernes alignent longues files, leurs.soe^ y
eu.à s'occuper de M. 'Xaôq-ùes Leibiapdiy,; mesures à prendre établir entre eux un ni jde de carres-,
surtout dans un pays où le.
passe d'un'parti il
à l'autre, ,e3£- aloirs d'àu-
Le
...du monde- ...... . c iaisaiits
luisaiiits'et et d'une
en
courbure
coùrfwwe
S mai 1907, un jeune juii russe, Lazare. vemrez dô .toutes'tailles, "de toutes, dimën- sonit restées Légendaires. C-e siliearice n© pou
sajvaaaté.
saivaTite Vous en
em
pas
empereur, cyi j^âfeara, .dont- les fantaisies: qui menace l'uine. pondance précieux et-rapide, les uks.
indiquant aux autres les articles non*,
tant, plus nécessaire que "l'unité 1 historique ' Goldf&d, âgé de 23 ans, étudiant,'nouvellement
plus durer et l'empereur du GRIME OU SUICIDE veaux qu'ils fabriquent, le? autres pré
sians, de systèmes .divers." P.amii Les vait évidemment.,
.
de la nation ait une expression, que le peu- .arrivé à Paris, venant de Rotterdam, se trou dignes do retenir l'aUeEtipii, nous citerons Sahara -
de nr/uveaiu défrayer la ohro-, cisant ce qu'ils cherchent.'
t *
pie sente quelque part là continuité de sa vait
d'un
dans
certain
"un bar,~ôii
Pinauld,
il
dji
fit" la cdnïjaissâ.'ice
« l'iVndoaiMe », à
la. nouvelle .Bdiabant inchavirable' avec nique de l'actualité. "
va On
en-Layie,
a. retiré
le
de
corps
La Seine,,
d'im
à Saiintt^Germiain-
pwnunnépaiire des Les insertions sont GRATUITES poiifi-
vie, que quelqu'un puisse -domina d'un qui ' il manifesta le"désir'dé changer "dé'l'ar avamt-traiin tournant et • barrage auitoma-, Parmi ses" imimeuMes, M. Jacques Le-
Alphonse Bruioker, âgé de 26 ans, abonnés, jusqu'à concurrence dus
coordon excellentes Flaba- baudy en possède qui est .situé rue de postes, nos
*î peu haut le conflit des partis et gent. Pinauld Ijii-désigna' un nommé Meyer, tiquo-de Bauftaa*d, Les 34, remboursement complet de leur abom
lui Après la
un
explorateur -et un demeurant à Paris, 18, rue Myrrha, et qui
ner. leur activité pour le bien général. lu s- coniSOimmations,. ils..^orMirent tous trois, .vers ipents Bajac. Ges deani©i's offrent aux cul souverain plutôt biMjrre,
qui's'offrit à rendre ce "service. fore® Tham.as,' toute- collection' des étal)Iisse- 'Maub&uge. S'il estt un était attaché; au bureau^ n^ 18.
i'cmipea',c-ur pa-.- nement.
qùîïÇî'^a sciencce politique-n'a -rien trbuvé- trois heures du .matiri'. A peine dans la rue, « » Comme on a coiigtaté .que le cadavre por
remplace à cet égard le Roi héréditai les compères jetèrent Goldfeld, le tivateurs de remarquables bisocs et trïsocs raît. être un piiapciéitajre toist à, tait à la tèie une bilosaure. faite 'avec une Il est bien entendu que les annoncesCOM pu*
q:ui dieux se sur ~ iia,pid'es. On c.cm- cieux de La rentrée do ses loyers. bliêes dans L'INTERMEDIAIRE
Sans enchaîner la liberté, créatrice, -il. renversèrent, et -ïe mireut en devoir de le : doubles, pour . laboursservices balle de revolver, le parquet de Versailles
re. dévaliser. Aux cris de l'infortuné juif, l«s prietod sans peiae les que peu vent C'e-st ainsi qu'il exigeait de ses looatiaâres ouvert une enquête pour savoir s'il y MERCIAL ne devront tontenir aucune
à nation dos avantages qu'elle agents arrivèrent et parvinrent à arrêter les des instruments de ce genre, qu.amd un bail'de dSk ans, donait le, monitainit dwiaât a
aujourd'hui de- randro réclame s'adressant au consomma.inur.-
as-sure La
tout a.yait eu criuie oiu suicide^
saurait attendre d'un régime où coupables, qui comparaissent leur poids n'exige >-.V™'"tion-.
Il appartenait à un journal nouveau de
^
ne
absolument- serait éb=ctif, v-a-nÇ
Meyer
ta, ciTUir
sont
cf'aiCïjisjfes a-ir luT ^ilie."
défendus par Mcs Vainfeld et Henri gi&we:
r^fnu^Ki^r" ^ voici, a côté, pas- -unj
urne
de
itKririiaaûie
ia
&,
PXM)
ma- fantastique, inviraiseimiblatoie.
Aimiot, affirmé qu'elle était a.uithentique. On cam-
Oui nous a EXPLICATIONS MOUVEMENTEES
débuter par une innovation. Nous es
- . _ ..
capacité gnifiqu© défonceu&e murque
L'auteur est très frappé 'de la Carnet. ' qui semble une titanesquo charrue de .prend que, devant do pareiliîes exige,nic,es, Dans la nuit d'hier,, deux a,gants du quin pérons que celle-ci sera bien accueillie.• ;
professionnelle, en quelque sorte, à la- , - ;
déguerpi- a.vec ein- zième arrondisseimeirat ont arrêté sous le
géants. les locataires avaient
.quelle arrivent assez facilement les repré- charrues s'alignent, en rangs thojisianie et, depuis lojîgtomps déjà, la, viaduc du métroLamiblin, ,um soiuteaieur et repris de
"*fsentants des maisons royales. Il ne songe RÉUNIONS -Mêlés
parallèles,
aux . . .

les. autres instruments destinés maitson était à peu près vidé'. Elle manque," justice, Ernest dit le Rouquin, BULLETIN FINANCIER
CONFÉRENCES soumise qui vit
/'pas seulemfentà Edouard VII, dont lamiafc ET à fouiller la tenre : extirpaieurs, scarifica d'autre part, taiat à fait d'entretien, les: qui assommait lui. Il
1 urne ftlie
été envoiyé au Dépôt par M.
lîrise est incontestée, et qiui montre vic teurs, houes à cheval. Vous ne manque toits sont dans, un était- -lasnentaWé'awàiienit et, par avec a
devant cette ingé lès jours de pluie, fes infoiéumiééqui Cœuille, eomimissaire de police. La fille est
torieusement qu'un roi constitutionnel rez pas de vous arrêter Le marché a. été très té&i&tant et la bausa?
Vost pas forcément un roi fainéant et sans < On nous prie d'insérer, les commiinicaiions nieuse arracheuse de betteraves, armée de eu La.constance ou s'é'tàienift vus, dans l'eiili- à Neck>er.
disques tranchants qui fendent le sol en gation de leurs appamtemetats, . s'est inscrite sur la,presque totalité des cenv
*aeti<3n. Il montre qu'avec une éducation suivantes : ' la
gar<3eir ACCIDENT DU TRAVAIL partimi&nls.:
héréditaire crée ,. -
tre les lignes, de rouleaux qui couchent étaient •littératement
. inondés. d'Etat, à. ; l'exception -toutefois cla
Vppropriée, renitraînement Ligue L'Accord social ». — Le Groupe La- plante, de fourchettes qui la saisissent," .L'un d'eux ayant eu l'audace, grande Dans l'après-midi d'hiic-a*, un plombier, Les fonds
J^es.aptitudes de race, dont les compatrio voisier (l«1® section dé là'Lig.ue); or^àiiise pour l'extirpent travaillait toit de la notre 3 0/0 qui, .
en cours de Bourse., a fléchi
et la. soulèvent, de couteaux qui plaindre de" cet état de M. Jomain, qui sua* un quelques centimes et perdu un > eu sur la
tes de Dawia. ne sauiraient méconnaître le 29 mars
la
1908;uhe
présidènced'Sohheur
grande'matinée
du
populaire
edinte'dé-lian- la
.évidemment:,• de se>'
décollètent, de telle so«e que les racines choses, a reçu inii:nédia,t>&m<enit du papier rue Brandon, est tombé sur le trottoir. Il de
clôture précédente, ont .été. les pt . ' . oaux Jes bé
.'importance: sous dépûtér.fit-la-présid€ flce'" :effecîivë du retombent toutes parées à îajTièr.e. de ia * {^ièré at,.som^ ii.ïé^{aisti il % a été transporté mourant, à l'HôtxMJieu. néficiaires d© la journée, priasp aie,neat
. juinais,
11- nous fait observer, non sans qt'el-jue général baron do. Taradét.'"^'- macHîiie. 1 *<-.-**; 1 ' * r piliuS, expulsé hiea*> matin par un huissier,
!

tonds R mc.--.is.
Lo 5 0/0 190G passe en effet à 07 G5 et t>7 70,-
irrévérence malicieuse, qu'à l'inverse pour Au programmé des chansonniers, parmi Après avoii- passé la revue des outils qui qu'assistait M. OoitiMion, oomm&ssairo du . ...
gagnasait. un peu .plus-de 30 centimes sur la-,
lesquels Pierre dé. :
Buxeuil a'ssautsd'apmes j
travaillent et prepai-ent ia ten'e, exami Rochechoruart. Une fûulo amusée DEPARTEMENTS
un, préaidnt ' électif, la médiocrité per'sooa- exécutés parla « Flambërge » ; les Quinze-Mille
; quartier : moyenne des cours de lia veille.
maintenant' lès machines destinées' à et gouailleuse assistait à spectacle, asxu- Le Consolidé qui terminait- !:ier à Si 90 a
neïïe n'est nullement une. eau»© d'exclu-, satire politique en deux actes, de M. Joseph nons répandre la semence, à distribuer les en rémenrpeu banal.
ce
fait un bond jusqu'à 85 bO poai t^lui'Cr à
sion, — au contraire. Si un homme dû ca Detcot tombola. et admirons l'ingéniosité des cons Mort accidentelle d'un o//ï'«"en Comme 85 45 ; lo Bon du Trésor 5 0/0 reste à -5i0. et.
;
trouve, des billets de tombola donnant grais, garnison de Nancy —
rentraient fermement tenue à 94 77
ractère, de. M. Roosevelt est -arrivé, au pou droit à l'entrée,, au prix de -0 fr. 50, chez Gi- tructeurs, les Nodet, .les Liot, les Plisson-
On ENFANT ABANDONNEE les troupes de la plateau de Villers, ' L'Extérieure est
à 75, le Serbes à
voir aux Etats-Unis, à la satisfaction^ du, lard, 9, rue. Sauvai ; M. Cornu, 19, rue Moliè- 6 hier et- &AitreS; Lé 'fôhctiohrïémeftt'ét lè'dé hier d'une revue passée sur le Di 70, le Turc 94 85. et -94
Une fillette de nsuf été trouvée
ans a, .CtoamtpsiEly-, le cheval du lieutenant Foucaud, du 19° de 84 25, le Brésilien 4 0/0 18S9 à S7 20.
peuple, mais non. des-partis,- « c'est in,coït ré.;.M,'Danïen, 20,, rue Hérold. bit des semoii's automatiques se règlent
-et'la-grosseur
à îEiatki. abandonnés -diaïas, te ligne, prit, peur au passage d'une tomba automobile Les Sociétés de Crédit se.sont traitées- : la
Lyonnais
^
-testàblement paa- accident ». Les politiciens w. .
" "
volonté,- selon- la -natsure de
sées elle était porteur d'irn léger paquiet et s'emballa. L'officier, désarçonné,
La semence, l'espacement des lignes, la ££aitenani ma»pw.dç-4iïîg» et quetq.uîes vête- - le pavé, la têt© en avant. Transporté à l'hô
;
sur Banqaie de.Paris à
-

à 1.197 ;-le Comptoir


1.458 ; le
Na,tional
Crédit
d'Escompte à
avaient entendu le confiner dans le poste* Ligue de kt Rose -•
Planche (Comité central, p|us
.
pital militaire, il y est mort e lires avoir 678 ; la Société Générale à Crédil Fon
ou- moins- grande -quantité -de -gi^aine- méats.
607 ; l.'i
pure liftent décoratif de .vice-président. L'as Corbeau, X ). Groupe de la Folie- Nous signalerons, l'opération du trépan. Le lieutenant Fou cier à
9,
sassin at;de M. Mae-Kînley a déraiî-bê leurs' Méricoart/ 151, rue Saint-Maur
rue e — {Xlef. —'Mer que l'on veut répandre. Miaianda.des éta Interrogée ,
par le gardien qui- l'avait me-: subi caud était marié depuis trois semaines à
709.
Lia Banque . Ottomane
. est San? à'
type, -les .semoir*, 'cueillie, l'einiîanit a 'fait Le récit qui
• suit à 'Al crédit
c^'Mimaisone. credi 25 mars, à huit heures et demie du,M. soir, comme,
blissements Eckert. On obtient aussi, dans :- peine. 7ïl -, la Banque Mexsoaine ; ie-
"féûîiMiï" privée "?ous"lu" présidence de le Depuis un mois mon père ayiarat qruiffefeé Foncier Egyptim-à 668. •'
Le baron Angot des RotouirSj qui com- ( .comte.de Bertille de Sauviguy... lâs ensejneji^pjnents,. une. régularité- .par Ta«maison,'71, 1er Français, souffrant de
-
avenue de Chtftsy, mia'mère- Les chemins de ~ .
sur-îjtrtra
*Trient e l'article de la "revue
anglaisé dans" Ordre du jour : Conférence &ur-« les catho faite, en même temps qu'une économie de la et DE SADT-QÎ la baisse sensible
. qui -s'est produite
les questions sociales par le. vi et de main-d'œuvre. De même, se décida à afer TOivre -à asunipiagne LE CfflmiiïE 3 0/0 se sont quelque p&u tassés Je'Lyon oui
$ la Réforme Sociale, ajoute ; ; liques et
comte Henry de France ; allocation Entrée
», semence
de M. pjjur l'épandage des engrais pulvérulents, nous -sommes parties^ y a quelque© j.osaîrs
faisait hier 1.395 revient à 1.375
:
; le .Nord passée
Achille Joinarû, pr^ideni-du groupe. distributeur mécanique,donne ~d& la'; maison ne/as ern'oinis dams Paris de de 1.791 à 1.784. Le JRio-Tinfo a fait 1..VJ7 es
Les lettres, récemment publiées, de îa l'emploi du puis ce jouir là et, cette après .avoir." Centenaire de la Cape Copper a coté 177 et "il. Ut,
-
dominait gratuite. résultats plus réguliers que l'cpandage longtemps nruiit-, Le Comité d'Organisation du 1.570 :
17C.
reine Victoria, font sentir qu'elle Pour tous renseignements, adhésions, etc., dès marché, ma mère m'a laissée Saint-Cyr, président M. le général Galliéni, {josnowice
—militaire de Lyon, grand-croix de traàt que les réeuàtats-Atenus pendant la pô-.
a varie de 1.635 à 1.GÏ5. 11 i,avai-
hien et' ï'àffiiéfâtonî et Beacoiisfiâd*, .est" au sujet de la Ligue de la Rose Blanche et à la main.-
:
-
dans fes Charnu?s-Elysiées en me disant do gouverneur
Gladstone. Et oe chol charcùae natuiréile- de son organe le Mousquetaire, on est prié de Nos champs ont été labourés, hersés, en l'attendre, mais ]£> ne l'ai pas v.u,e revenir. » la Légion d'honneur ; vice-présidents : MM. riode écouiéd sont très des satisfaisaais."Ce na
bruits, et, avec
mesii les collaborateurs les plus capaMes. s'adresser au secrétariat général, 9, rue Çor- semencés ; il s'agit maintenant de procé
numéro 71 de l'avenue de Chc-isy, on les généraux Barry ét Dubâil, — s'occupe en sont valeur spéculative natairelleinent que l'est la Sos-
9 h. à. 11 h. du matin et de der à la récolte. Pour cela encore le génie Au ront eet anniversaireultérieurement. en 1908 et dont le pro une cqmm»
D'au/ti-e part, la situation de premier mi béau (ouvert.de clê-ciUre^que M, I^epliaiin, c'est le nom du nowice H serait-bon' avant de s'engager, d'en
nistre excitant -m-oins dp .ejarwoiMses et de 3 à 6 h. du soir. humain a inventé' d'admirables auxiliaires père un owwfear oordonniér — traiviaiiiHiainit gramme sera publié
jalousies que celle de chef de l'Etat, il est
démocratique
n
mécaniques, moissonneuses et faucheuses, dans
dont tous les organes sont mis en jeu par
^une maison du bciul-evrard' KetLleir-
un
Un comité de rédaction, auquelécrivains
groupe de nos plus éminents
se joindra
et
attendre la conftaiiaition.
Le Métropolitain a fait. 498 et 499, le Nord-
rOnn.'ibus 915, la Thomc-^.'i 0:'0 ? t;r.\
jnoi.tis à redooiiter que l'envie Abonnements à l'ACTION FRANÇAISE :
mann, avait effeetivememi quirtié Ea.fejrjinie. •artistes militaires, rassemble-les- matériaux Sud 247,
n'en las.se ^carter les. hommes supérieurs. la simple traction. En même temps que le consacrée unique Les Mines d'Or restent s9tis lec momehe ac
Voir, à-la quatrième page, le bulletin de •v.a-et-vient d'une lame à dents de scie cou- et son enfant; -il y a: cinq semaines, eit que d'une publication illustrée,
Bataillon de tivité. :
souscription. "Détacher ce bulletin et l'adres mouvement rot-atoire dos la mère et la petite s\feiit diepainu depuis ment à .l'histoire du Premier camatades qui, ROBERT MOXi.EZUK.
line faut-pas généraliser sans prudence ser à l'administrateur de I'Action Française, - pe leslestiges, le leur' domicile. France et ù, la gloire dés 30.000 -

cea," dbservallons relatives au peuple an- 3, Chaussée-d'Antin, Paris. •bras couche et les rama-see- sur le pla-. quelques jours de

| .—— _
y •
de quainante. et unè higuuteur de'six au iplus-,- sèche et d'un poids' égal de pommes de de bouillon

;
pain,
le,s jours maigres, dix-neuf qualité que nous ne
treize- once de morne ou
pouvions, qi'-'.i.; :e tr ,'vi-
bamt d'inianiition, nous décider à 1rs nsan-
FEUILLETON DE L'ACTION FRANÇAISE dats, le fusil - chargé et ]a- baioranjette au Je. dois faire observer , ici que- la onces de pommes de g®r ; nous les vendions à Mi'suog^»4aSeat lie deux
s beu-t,. svziee&sh'ememt dans 1-es hamacs qui occupaient uin espace d'au ' teir.re. anglaise dfe seize- cinq hareîlgs, treize cnces
Du 22 miairs • 2
se. renidiaieinit
mo,iu3 sept pieds à cause des cordes qui les livre se compose non sciu-s -aiux ' fôumisseiuTs, ' cpâ les
dh-aque ' batterie et nouis faisaient mionte iattaxhaienit, natureiltemàMitse. .mais seulement dè quatorze-onces.. ' terre. :
divisés plats de six per pour-nous les représenter lo, samnine sui
sur 1-e pont ; cm nous comptait absolument ne poiavaieat
qui, au premier Nous , .
étions par Je suis persuadé qu'il certains
des .afin de piaicer tous s-ur le même rang ; une moitié Notre ration maigre,suffisante sonnes, recevant notre ration en commun. vante. pendani" y a
on!compte nnouitoins,
dos.sufi l'auitire. G&iix aspect, doit paraître'- pou"F..;ia; donnait harengs qui ont scivi plus de dix
MES PONTONS
ootmo1.® était donc mise par les ustensiles que l'on nous
voir si quelque évasion n'<aviaiit pas eu die.; nourriture d'un homme, ne représentait ce To-us
résumaient en ans de suite. Avec ces deux sous, nous
iieu.', - d'entre !es pr-isoiÏEniers qui jioiuissaœiiit
.
fallait pour; pour prendre nos repas se procurions sait-un- de beurre, soit
.. quelque fo-rtuno se faisaient constaHire des-' pendant que juste littéraJeinejit. ce qu'il nous un simple bidon en fer blanc, une gamelle ; «Bus peu-
quoi
Je dirai aussi, dans la suite de ce récit, oatîires suspendus qu'ils gafflrnissiaâefnit de vé- ^ ng. point mourir, pariant, de
les fourchettes et les couteaux du fromage. Quant û morue,
1a
:-d'abord,, nous.ne. les cuillers, nauséabonde, pouvait'.Cfr.ontf;;! t, ù îa
ctomanen/t nous parvînmes à rendre oaitte rifcables matoLas, et .ils étaient mieux cou faim, et voici pourquoi car--les-four nous étaient inconnus. que
supporter, du moins s'a
PAR précaution in-uitile, et de quelle façon nous chés ; seulement. - ils deivaient suiMii-, tcnit la recevions jamais complète, fournisseurs anglais avaient rigueur, sinon se
l'absence de comme le plus misérable d'entre n.o'u's, l'in nisseurs, sachant très bien que nos plain approvisionné Quand "les
ils valer, nous la faisions cuire à d; ii.s !:<,
nous y prîmes pour dissimuler né lé ponton pour."un jour, grande chaudière, et-, la sépai.tut.rn deux
LOUIS GARNERAY oaux qui- étaient assez heureux peur se fluence. pernicieuse de r<air mi'iphitdqiue qui tes ne seraient pas écoutées, man .plus de Ja distribution des portions égales, nous-la cousenious peui*.
saâivea*, jusqu'à ce qu'une lettre dViyx nons notus enwlappait et de la "vermine ; -je répète quaient pas de nous en retenirfallait; au moins ne se mêLaient laissaient soin, ainsi que celui
syr vivres et ce les deux jours.
apprît qu'ils étaient en sûreté. J'aa*riv.e à .isooore ici, que nos bourreaux,, no tenant quelque bribedéjà : ensuité il nous
fraude',' les préparer, à nos cuisiniers, qui n'é
présent à notre loge-menit. aucun..compte du .nang, les- officiers-, les cette ration diminuée pài*. la" de
des prisonniers choisis Après que la distribution générale de la'
étaLanit c on fondus. -- opérer les retenues suivantes : troiivaient, taient
autres que soupe était faite, on répatilissail l'exeiiîi-ii-ti
et à huit L'iamsubiement du ponton se me deman soldats et les matelots parmi Ces derniers seuls avaient le
A six heures du matin en été,
pas-de grands efforts de description, à la nourriture. 1° Pour les prisonniers qui; se nous.
dans cuisine.. Quinze pri qui restait au fond de la chaudière à tour,
ouvraient les sabords dera
en hiver, nos geôliers batteries bonnement d'un
Jetasse maintenant C'é
contrainte, sait.pour avoir tenté de s'évader, s'oit'pour sonniers droit d'entrer
représentaient
la!
les détenus des de rôle, de façon que certain-, jours mus
seulement, il .composait tout tait 'là développait sans -avoir commis des dégâts, aux deux tiers; qui posséder parfois une muo»:
et les panneaux dès ;
aussi,
car. sç.
long des et de quatre au
que se
portaient les Anglais: batteries, recevaient bien., il est nous trouvions
l'air trop peu abondant, pour une. banc placé
placés
le murs-
navire. Chaque
la haine
Notre
que
semaine
nous
divisait jours
-
gras
*•-
de la ration ; différentes
permission de surveiller l'emploi de' et demie': cette bonne aubr.iue arrivait
grande agglomération de monde que nous tres -au -milieu, d.u
du.pontcsi, se en
premiers étaient
1
" 2° Pour payer "ùn journal que nous re "vrai, lia factionnaires, mal ordinairement une fois par mois k ebaque.
étions, se "trouvait tellement vicié .chaque prisonniér, àhamsac, son' entrée à bord et en jours maigres : les cevions en contrebande et que l'on , nous nos provisions, -mais les plat de six prisonniers et &e nommait ra
exécutant recevait très nombre cinq, derniers de deux. cartes qu'ils leur exhi
matin, que. les .Anglais, en cette un-
laine et
une
matelas
m©ice-
d*bo«r.recouiver- au
ration de
de
chaque
les
prisonnier se compo faisait naturellement payer aiu triple de gré less d'-entiréo
repoussaient ott'dinairem.ent biot. Souvent il arrivait que nous noua
opération, ge reculaient vivement pour ture de un ve-
fia- La sa valeur ; ; baient-, les '
trouvions dans la nécessité de rcMiser
n'être point atteints parmontaient les émanations eamt do deux à trois livras au plus. Les sait d'une livre un quart de pain bis et de Enfin pouvoir , mettre de côté et avec brutalité à coups, d© crasse, et ne leuir
pain que l'on nous, donnait, soit parce
de nos macs étaient suspendus à des taqu&ts pla Il était 3° pour
sept onces de viande de vache. plupartcon fournir quelque argent à ceux qui s'éva peaiûett-aiein't qu;e rariem^nit d'accomplir dix-neuf onces, pesées avec trop de-
fortes et pernicieuses qui
I logements. que nos

i
barreaux ctoaque batte,rie. manquât la du
I L'ôté, cit &a.ne cette précaution urne seule Inutile
cés sur les de venu, quoique
d'aj outer qu© quand le nouveau; ve temps et qu'il- nous fallût
cela
souvent daient. leur- mission.
passer Ces retenues se faisaient indistine.fe.men.t Voici -la niianière donit mus
:'
"
divisions
. , ... légèreté, représentaient à peine un volume1
ge- gro3 comme le poing. Nous ndrf'.-->io!is
< un officier, les Angilais le reniaient notre journée à jeun, que l'on devait nous et Cotalité des pri niâralemenit n®ta*e nal-kai poua: 1® nioîurrittu- notre réclamation au Heutanaiit <;uï
nous tuer tous, on laisr nu était
nuit eût suffi pourdéfendue, tenaiemit pas cotmiptg de son servir la soupe à. midi. On nous passait sonniers, par parts égales sur la alors
commandait le ponton, et qui on instrui
sait les sabords, je l'ai déjà dit, our plutôt lenotraitaient- car une règle.que nous, avions n& de notre jouaaiée. '. pain
grilles fonte-, constaanïb.eni grade et abstoiuinte'nit cemm.e pour .sa confection trois onces d'orge et
établie parmi et que nous observions Le matin nous défjieamionis awee do sait le commissaire. Seulement ce m lot
par en s'il eût été un .simple miateîoiL L'égalité la une once d'oignon pour* quatre hommes,- religieiusemeiit voulait que chaque homme sec ; à midi- nous mangions seulement la ,se donnait rarement la peine de répond^
des o;u: nous
.vcirtes.
été, à deux en hi plus complet® régnait pour la soufàva£Dce au bien une once de -polireaiu. pour ;trois et reçut la même quantité de aourritttre à la. souipe, dans laquelle nous méditions omte "à temps pour nos estomacs. II. nous arri-,
Cl A six !iîur-es du soin* en d© notre pain ; quant à nos &e,pi on- vait le plus sauvent d'être oblig
"les Anglais venaient, armés de banres daais nos affreuses prisons. dù'selL
de difitir-ibution générale.-- partie
ver, ki Gomiimé^ricms étions près die -850 personnes Les deux jours de maigre, au lieu retenues dont Je viens de de viaîide, nous les gardions pour nioitme dre à jeun §% déçisiop jusqu'à cinq fccuica
1 tous
I' de. fer, frapper-
les mufr-s du
touit-es.
poîiitan-,
gii-jSiles
pour bien
et M>Eider
s'ûbsu- dans chaque batterie, eit que chaque
d'une' livre de
Une fois les
batàe- soupe, et de viande, notre ration se com pailler opérées, 'il nous restait juste par saupe. Les jousrs maigiies îiti-us offraient, du goir»
i&eis

jnloins de ïtesaoturc-eg ; les harengs saiums


i
point rie, c'est 'là un 'détail q^ie je .ne -saiurâis trop posait, savoir : le mercredi, dix-neuf de (A i uJ.tr
B'eir que Los una et les autres n'étaient -
seutenient une iomgU'Çuir hareng saur et d'une 'une livre de pommes de tête : trois onces de yiao.de une Dicte:
les jours gras, onces
er.:do-Dimagés par .quelque tentativiç d'éva- sré-péter, présentait, .de oain.
ce-ujt tx'eute Ei^ds^avim-nsur vm iargenir tore î le d ilvre jno .ru©
une Ueur€ après w.t eiaiûiôXi des gcl-
\
i\
j^ioB ;

II
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DIMANCHE 22 MARS 1908
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Lyon 1855 3
•• -Bourbonnais 438 25 438 . Madrid â Cacérés
50 3 %,.... 159 7g 169 Cape Copper. 175 177»®
287 .. Crown Deep.....
,
— ' —
.. 95 90
lTil!e (le Marseille 1877 3 % Canal;'e Suez Chine 1895 4 0/0 (or) 95 75 Serbie 4 0/0....;...,.;...,
, 84 10 84 35 3 %. 431 50 430 50 Damas-Hamali 4 % 287 . 288 284 50
— ô'Ami' ns 4 0/0 act. jouiss.....,.; 1898 5 0/0 (or)........,, 503 ; 502 .. 0/0 Monop.............. 499 498 —
Lyon à Genève 1855 3 428 426 50
— 3% (anciennes) 462 456.... Chartered 1G 75 15 25
— — .51890
t- paris fondateur... 1902 a 0/0 .
503 75 503 75 Suisse sOiù 93 25 93 60

Méditerranée 5 652 50 651 75 Lombards 315 50 315 Consolidated (ioldiields
.. De 70 50 . f •»
de f.yrn 18S0 3 0/0 •- Société civile.... .- -

1903... Y,.; 507 509 — 3 iiiOX- 97 80 07 D0
— Méditerranée 3
— P.-L.-M. (Fusion) % 431 428 75 — série X 319 319 50 Beers préfér 355 358 »• •

î.

iïoul):ux et Tourcoing.... — - (Société
Ilynamile — cinquièm. Congo Lots 1888 . 81 81 75
— 3 %.... 438
434 50 433 — 4»/« 493 494 50 ord...... 291 50 291 ..
Centrale).. Egypte Dette unifiée 103 6ï 103 95 ». nouvelle 438 Nord de l'Espagne l"hypothèq. 375 375 Durban Roodepoort Deep......
364 75 365 .. East Raad...
— ACTIONS —
Le Printemps ord 80 75
ACTI0\S — priv... ,
' —
Dette privilégiée—.
— Obligat. Domaniales.
101 50 101 55 —
— Midi
_
Victor-Emmanuel
21/2 0/0. 395
1862 3%. 436
390
434 50
— - 2» bypothèq.
3* hypotïièq. 364 365 . . French Raad.
.. Ferreira 16
79 5S
15 75
Thcmson-IIouston EspagneExtérieure 4 0/0 compt. iôi Banque des Pays-Autrichiens, 470 50 475 — 3 % 430 429

•». 4» bypothèq. 358 75 558 75 311) 325
de Franco Téléphones (Société Industr.)... terme 01 Banque Ottomane.; 7.i0 726 Midi 3 % nouvelles. 433 75 433 75 6* bypothèq. ,364 75 364 75 Geldenhuis Deep.:....; 107 75 107 >])
Banque de rails et des l'ave- Eat'linerie Say ord.......... —
Haïti —
1875 5 0/0..
— 209 Crédit Foncier d'Autriche 1147 1155 —
— Midi 2 1/2 0/0 391 75 389 50

Pampelune(Spéciale).. 358 359 50 Estâtes 37 vO 39 ••
i.oin pvi^nie Aigérmnne... ...... prior........ .. 364 —
— Nord 3%....
Haïti 1896 0 0/0 453 457
.. Egyptien 659 6G9 446 4'i'j Barcelone priorité 362 50 General Mining....» 19
nouvelles, série B 455 ..
Comptoir National 'l'Escompte. Cu
— ,
Franco-Algérienne...-. Hellénique 1894 5 0/0. — 163 .. Golden Ilorse Shoe l'jl
19
253'.'.' Chemins Andalous Asturies 1" hypothèque
m..
248 163 455 364 364 ;. 140-50.
407 ..
roni'iv*; d'A^i^'rrie Entrepreneurs (Sous: Coniptoir). — —
— " 1887 4 0/0 ........... Autrichiens..... 719 717
•S. Nord2 1/2 0/0.... 406 50 2* hypothèque 362 Goérz etC'* 18 16 25
Crédit 'Fonder Ac Fiânce....... Eaux pour l'Etranger 1898 2 l/24'0 148 435 .. —
,
Lombard Sud-Autriche; 147 — Orléans 3 %...... 434 3* hypothèque. 362 363 25 Iluanchaca 94 04 •> :
nouvelles 1884. 435 ..
Crédit ÏH'jUfet! ici. Etablissements de Vichy....;. — - 1902 —
JohannesburgCous............
.
Crè-Jit ; — 4 0/0.. 467... 460 Méridionaux d'Italie 656
— — .. 438 Portugais 3 % 1" rang.......... 335 335 50
Gaz Central Hongrois 4 0/0 (or) 97 Nord de l'Espagne 284 .
g 2"rang... Kleiofontein.................... 44 00 4/i •.
— Orléans 2 1/2 0/0
284 393 75 394 242 244
Créclii Mobilier
— Général de:Purîs..% .... Italien 5 0/0 .. CheminsPortugais........... 326 .
Central.............. — 4%l"rang ... 456 . . Langlaagte. 57 M.
— Grand
. 324 433 431 457 57"
426 ..
*
Crtclîl — de Marseille... Victor-Emmanuel 18G3 Saragosse ( Madrid à) 380 ,
Oue3t 3 %.... — K uiy 57 •
Société Gêj?crfvlc- Union des Gaz.
376 50 370 50 382
366 , .. 425 50 S % 2« rang.,......... 28.3 287 sray GonsDiid.
Maroc 1904 5 0/0.... 512 513
.. Wagons-Lits.... 365- . nouvelles........ 429 75 430 Salonique-CoflôtsnUaople
. . 3 0/0. 347 348 Mozambique..................... 9 25 0 -jG
Mines de*Carmàuk.............. Mexique 40/0 1894............. Dyle et Bacalan
. - —
,w...,.. Escombrera-B!ey)jerg.....; Minas Geraes & 0/0
96 45
Gaz de Madrid...
488
84 25
Ouest21/20/0 Saragosse 1" hypothèque.'....'.. 889 389 7sp Randfontein.................... 25 D0 26
••
495 50 Ouest-Algérien 3 % 2* hypothèque........ 387 .. 387 50 Raad Mines...; 123 121 M
-U r. *•«!• île .......... Lauri um Ottoman unif. 4 0/0... ; .-... 90-.. Rio-Tinto .Compt. 1579 — '
ïio?nia Mokta-el-Hadld... 1571 — Sud de la France 3 • 3*
hypothèque 382 75 381 .; Kobinson Gold Mining........., 203 198 '0
-,... ii t
Ocparicraentâux.T.... Nickel.......
consolidation 1890 4 0/0 478 75 482
.. Mines de Sosnovice ..Terme. 1560 1570 ; Tramways Français..' —
Smyrne-Cassa£a l894 4 0/0 478 478 RûblQson Randfontein 18

18 25 .
y.r,i.XUr&r';in — iriorité 1890 4 0/(K..
pn 1630 1635 Foncier Colonial 420
20 fr. 5 •/».... •i 1895 4 0/0 ..
445 . . 444 .. Robinson Deep 93
t
.... ...\ Aciéries de France..
Creusot — Jouanes 1902.......;
De 491 50 493 Tabacs Ottomans.: 445 ï"
.
350 fr. 5 %.... t
Cordoue Sérille 3 0/0......... 371 50 Rose Deep.....; 77 75
01
.75 7*
^
Tombac 1893 4 0/0.. Entrepôts et Magasins 467 !: Simmeraad Jack.....;.
308
— des Philippines
'
; 473 50 471-50 301 sins Gén. 4% Créd. Foncier Egyptieii,31/20/0 4C7 30 .. 30
""**âCt. lîC îwlI.SS» * a • ««• • I. . ,• Aciéries de Miclieville. 1894 4 0/0 — de Portugal Comp. Générale des Eaus 3 %. 426 50
499 ..: 498 Y. 590 427 75 Gaz de Madrid...
tO-o: Ateliers et Chant, de la Loire. 379 371K. Tharsis : i ',S .. 145 M
W;.ii .. 1894 3 1/2 0/0 98 50 99
.. Madrid â Cacérés ,A 88 SG s, 4 y,. 512 512
.. Sosnowlce 40/0 49g Transvaal Consolidated
Constructions Levallois-Perret- 1896 5 0/0.....;...,,, 512 40 512 .. l'élégri^Uésau Nord 657 fin cîûtral i % vin tMiux.,.)
— V

. 503 503 75 wmas-UiaAO/o soî
44
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