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Classes: ELN2
MODULE : BD/ACCESS
PROGRAMME BD-ACCESS
ASSOCIATIONS
A-Définition
Une base de données est un ensemble structuré de données, géré à l'aide d'un
ordinateur afin d’en faciliter l’exploitation (ajout, mise à jour, recherche de données).
1- L'administrateur de BD
2- Le concepteur de BD
Il a pour rôle d'identifier et structurer les données utilisées ainsi que les traitements
effectuées sur ces données.
4- Utilisateurs de BD
Ce sont des utilisateurs ayant une certaine technicité leur permettant d'utiliser le LMD
(Langage de Manipulation des Données) ou les interfaces pour effectuer des
traitements.
A- Définition
Le SGBD nous permet de créer et de décrire les objets de la base de données (tables,
liens, utilisateurs...).
v la recherche
v la lecture
v la suppression
v la modification
v l’ajout
C’est l’ensemble des opérations de contrôle que le SGBD effectue pour préserver la
cohérence des données.
5-la confidentialité
Tous les utilisateurs d’une base de données ne sont pas supposés pouvoir consulter
toutes les informations. Des sous schémas permettent de résoudre ce problème en
plus des mots de passes et des droits d’accès.
Oracle, MySQL, PostgreSQL, MySQL, Oracle, IBM DB2, Microsoft SQL, Sybase,
Microsoft ACCESS etc.
I. Introduction
La phase de conception nécessite souvent de nombreux choix qui auront parfois des
répercussions importantes par la suite.
v l’objet ou entité,
v l’association,
v la propriété..
a. Entité
Une entité est un objet, une chose concrète ou abstraite ayant une existence propre
pouvant être reconnue distinctement et qui est caractérisée par son unicité. C'est une
population d'informations homogènes.
b. Association ou relation
Une association (ou une relation) est une liaison qui a une signification précise entre
plusieurs entités. Elle traduit le fait qu'il existe un lien entre différentes entités.
Un attribut (ou une propriété) est une caractéristique associée à une entité ou à une
association.
Une entité et ses attributs ne doivent traiter que d'un seul sujet afin d'assurer une
certaine cohérence au modèle.
Règle 1 : Un attribut ne peut en aucun cas être partagé par plusieurs type-entités ou
type-associations.
Règle 2 : Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données calculées
ou dérivées.
Règle 4 : Un attribut peut être placé dans une association uniquement lorsqu’il dépend
de toutes les entités liées par le type-association.
0,1 : une occurrence du type-entité peut exister tout en étant impliquée dans aucune
association et peut être impliquée dans au maximum une association.
0,n : c’est la cardinalité la plus ouverte ; une occurrence du type-entité peut exister
tout en étant impliquée dans aucune association et peut être impliquée, sans
limitation, dans plusieurs associations.
1,1 : une occurrence du type-entité ne peut exister que si elle est impliquée dans
exactement (au moins et au plus) une association.
1,n : une occurrence du type-entité ne peut exister que si elle est impliquée dans au
moins une association.
d. Identifiant ou clé
Un identifiant (ou clé) d’une entité ou d’une association est constitué par un ou
plusieurs de ses attributs qui doivent avoir une valeur unique pour chaque entité ou
association de ce type.
e. Cardinalité
La cardinalité d’un lien entre une association et une entité précise le minimum et le
maximum de fois qu'un individu de l'entité peut être concerné par l'association.
Une cardinalité minimale de 1 doit se justifier par le fait que les individus de l'entité en
question ont besoin de l'association pour exister (un client n'existe pas avant d'avoir
commandé quoi que ce soit).
Notons que sur notre exemple, un article peut être commandé par plusieurs clients.
La seule difficulté pour établir correctement les cardinalités est de se poser les
questions dans le bon sens.
1. Niveau conceptuel
Le schéma logique découle du schéma conceptuel suivant des règles propres au type
de SGBD cible, en traduisant le MCD en différents systèmes logiques et notamment
les bases de données relationnelles qui proposent une vision plus concrète pour
modéliser la situation.
Les données qui ont la même structure peuvent être organisées en table dans
lesquelles, les colonnes sont appelées champ et les lignes, des enregistrements.
R1. Toute entité devient une table dans laquelle les attributs deviennent les colonnes.
L'identifiant de l'entité constitue alors la clé primaire de la table.
R2. Une association binaire de type 1:N disparaît au profit d'une clé étrangère dans la
table coté 0,1 ou 1,1 qui référence la clé primaire de l'autre table. Cette clé étrangère
ne peut pas recevoir la valeur vide si la cardinalité est 1,1.
R3. Une association binaire de type N:M devient une table supplémentaire dont la clé
primaire est composée de deux clés étrangères. Les attributs de l'association
deviennent les colonnes de cette nouvelle table.
R4. Une association binaire de type 1:1 est traduite comme une association binaire de
type 1:N, mais :
• S'il y a un coté de cardinalité 0,1, alors la clé étrangère migre dans la table du
côté opposé
• Si les deux cotés sont de cardinalité 0,1, alors la clé étrangère peut être placée
indifféremment dans l'une des deux tables.
Ex : Association Diriger
Un club vidéo propose des K7 et des DVD en location à ses membres. Pour chaque
membre, on enregistre le nom, l'adresse, le num de Tel. On lui donne un numéro
d'inscription qui l'identifie. Chaque support est caractérisé par son type (K7 ou DVD),
un code identifiant et la date d'achat. Pour le film enregistré sur le support, on
enregistre le titre (identifiant), son réalisateur, l'acteur vedette et le genre. Plusieurs
supports peuvent être disponibles pour un film, alors que pour certains films, il n'existe
pas encore de support proposés à la location. A tout instant, un support peut être loué
par un membre du club.