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Michel  

Dogna  
     ŶŶĞ&ƌĂŶĕŽŝƐĞ>͛,ƀƚĞ  

 
IMPOSTURES  LEGALES  
Contre  la  Vie  
(Sélection  2017)  
 
 
 
 
IRELIA    Editions  
Impostures légales
contre la Vie
___________
2017

 
1  
COPYRIGHT IRELIA éditions 2017

Tous droits réservés pour tous pays

ISBN 978-­99949-­42-­02-­7

IRELIA éditions
12 rue des Tazards
Blue Bay ² Mauritius

www.irelia-­mu.com www.micheldogna.fr

 
2  
PRESENTATION

En dépit de réglementations qui se veulent rassurantes, de


multiples impostures contre la santé sont tapies derrière des
produits que nous consommons habituellement, et dans les
environnements que nous subissons 24 heures sur 24.

Ces impostures sont simplement amorales, cette notion étant


occultée par le profit à tout prix des lobbies industriels. Mieux, leur
jeu pervers à slalomer au dessus des lois, est deux fois gagnant
SXLVTX·DSUqV DYRLU HQJUDQJp OHV EpQpILFHV SKDUDRQLTXHV j QRXV
empoisonner (légalement), ce sont les mêmes, sous des casquettes
différentes qui rattrapent leurs victimes pour les abonner à une
PpGLFDWLRQjYLHFRQWUHOHVGpJkWVTX·LOVRQWJpQpUpV-­ mais bien sûr
VDQVMDPDLVJXpULU«

Avant on créait des médicaments


pour soigner les maladies
Maintenant, on crée des maladies
pour vendre des médicaments

 
3  
Michel Dogna
$QQH)UDQoRLVH/·+{WH
$QQH)UDQoRLVH/·+{WH

IMPOSTURES  LEGALES  
Contre la Vie
-­ 2017 -­

IRELIA Editions

 
4  
SOMMAIRE

Références scientifiques en question 1 16


Scientifiquement éprouvés 2 19
Trust de la maladie 3 24
Décès iatrogènes 4 27
Médicaments tueurs 5 29
Uvestérol : Vit D synthétique 6 33
Paracétamols encore autorisés 7 38
Santé confisquée : Stop 8 42
Homéopathie : la guerre froide 9 45
Tabac moderne : deal criminalisé 10 50
Fluor : une arme chimique 11 53
Statines : inefficaces et destructrices 12 56
Lévothyrox : le scandale 13 60
Aspartame : arme de guerre 14 66
Nanométaux des vaccins confirmés 15 75
Arômes industriels 16 80
Perturbateurs endocriniens 17 85
Tampax : arme chimique mortelle 18 87
Empoisonnement légal des enfants 19 93
Tarte aux cerises du supermarché 20 95
Café : bon ou mauvais? 21 98
Lait : colle, hormones et pus 22 101
Yaourts qui rendent XXL 23 107
   

 
5  
Sucre : les ravages 24 110
Sel mauvais ? 25 119
-XVG·RUDQJHDXSHWLWGpMHXQHU 26 122
Coca cola : êtes-­vous accros? 27 125
Vins non-­bio tous empoisonnés 28 130
Soja : un piège a végétariens 29 131
Nuggets de poulet : les aimez-­vous ? 30 138
Saumon fûmé : en mangerez-­vous encore? 31 141
Codex alimentarius 32 142
Aliment ionisé = aliment mort et toxique 33 148
Matériaux radioactifs : recyclage 34 154
Nanoparticules : apprentis sorciers 35 157
Fours micro-­ondes : historique 36 165
WIFI chez vous? 37 169
Téléphones mobiles cancérogènes 38 171
Sida : la colossale imposture 39 177
Cancer du sein : les faux dépistages 40 182
Chimio : menu unique 41 185
Pandémies = profits pharaoniques 42 191
Grippe : terrorisme organisé 43 193
Don du sang : un business 44 203
Eau en bouteilles et eau du robinet 45 209
Antibiorésistance 46 215
Chikungunia O·RG\VVpH 47 220
Histoire de la fièvre puerpérale 48 222
Maladies psychiatriques inventées 49 226
Dépression : le piège mortel 50 233
Intolérance au gluten 51 238
Allergies et intolérances 52 242
Antioxydants : abus dangereux 53 246

 
6  
Echographies de grossesse 54 248
Accouchement médicalisé 55 252
Caddies dangereux pour les bébé? 56 258
Animaux de bouche : leur martyre 57 260
Nous sommes devenus des ogres 58 268
Omnivores : nous ne le sommes pas 59 272
Vache folle O·KLVWRLUHUpHOOH 60 284
3DQJDSRLVVRQGHP« 61 285
Péril vert à quatre pattes 62 287
Poissons : surpêche coupable 63 289
Valitox et expérimentation animale 64 292
OGM : Organisation du Génocide Mondial 65 296
Monsanto : pouvoir absolu 66 306
Abeilles décimées 67 311
Semenciers : l'humanité en otage 68 316
Agriculture bio locale 69 322
Lunettes et crèmes solaires 70 324
Maigrir "2XLPDLV« 71 329
Télé et Jeux vidéo pervers 72 334
Violence : notre culture sociale 73 336
Gaz de schiste : désastre écologique 74 339
Chemtrails 75 341
Darpa : travaux génétiques secrets 76 346
TNT émetteurs surpuissants GSM 77 350
Réchauffement climatique : le GIEC a menti 78 352
Prélèvements d'organes : attention! 79 357
Plan Blue beam 80 361

     
     
     
     
     

 
7  
 

'LHXSRXUTXRLQ·DWXSDVSUpYXXQSUpGDWHXUGH
O·KXPDLQ ?
3DUFHTXHMHO·DLIDLWDVVH]VWXSLGHSRXUV·pOLPLQHU
tout seul

Ce que tu ne veux pas apprendre par la sagesse,


7XO·DSSUHQGUDVSDUODGRXOHXU

/·LJQRUDQFHGRQQHODWUDQTXLOOLWp
Car elle enlève la responsabilité

   
     

 
8  
Préface

/·85*(17(1(&(66,7('(5e25*$1,6(51275(9,(

Les catastrophes épidémiques et écologiques se succèdent et se multiplient.


Elles mettent en évidence nos infractions et nos crimes contre la vie. Les
décideurs sont aux ordres de gigantesques organisations sourdes et aveugles
aux besoins réels des citoyens, mais très attentives à créer des besoins
artificiels toxiques, voire mortels, dans le seul but de profits colossaux. Tout
cela nous fait glisser doucement vers la plus grande dictature jamais connue...
'HSXLV GHV DQQpHV G·LOOXVWUHV QRPV G·LOOXVWUHV UHYXHV, des centaines
G·RXYUDJHV GHV PLOOLHUV GH FRPPXQLTXpV VFLHQWLILTXHV RQW DOHUWp FDVVH-­cou".
Les plus grands gêneurs ont été écartés ou éliminés. Le mensonge organisé
anesthésie chaque jour un peu plus le peuple, détournant son attention vers
des matchs SROLWLTXHVRXVSRUWLIVGRQWRQQ·DULHQjIDLUHSHQGDQWTX·LO\DOH
"feu au lac" !

Notre vigilance est de plus en plus sollicitée pour boire sain, manger sain,
respirer sain, habiter sain, si nous ne voulons pas tomber dans la souffrance,
la maladie et la déchéance.
'HYDQWO·LUUHVSRQVDEOHPDXYDLVHIRLGHVJRXYHUQHPHQWVVXFFHVVLIVTXLGLULJHQW
de plus en plus par décrets, se dédouanant des avis des électeurs et des
GpSXWpVGHYDQWO·pFKHFTXDVLFRQVWDQWGHVSpWLWLRQVHWGHVPDLJUHVYLFWRLUHVGH
la légitimité citoyenne, devant la non-­DSWLWXGH GHV )UDQoDLV j V·RUJDQLVHU HQ
une grande confédération pour la défense de la santé publique, du respect de
la nature et de la dignité des animaux, il paraît évident que O·XUJHQFHjVXUYLYUH
prend le pas sur les revendications dans le vide.

9RLOj PDLQWHQDQW SOXV G·XQ VLqFOH TXH OD OLEHUWp WKpUDSHXWLTXH HVW EDIRXpH HW
que les ténors qui veulent la défendre sont muselés. Maintenant, il est plus que

 
9  
JUDQGWHPSVGHV·RFFXSHUGHQRXVHWG·RUJDQLVHUQRWUHYLHVHORQQRV préceptes,
même au prix de la désobéissance civique, affichant ainsi notre détermination
et surtout notre "paradoxale" réussite en santé. /DUpVLVWDQFHSDVVLYHHVWO·DUPH
des forts. Les incertitudes qui planent de plus en plus sur la viande sont des
clins G·±LOHQIDYHXUG·XQH alimentation végétarienne. Exigez du garanti bio et
ER\FRWWH] FH TXL QH O·HVW SDV &HOD DFWLYHUD OH PDUFKp $FKHWH] j GH SHWLWV
producteurs de confiance.
Faites un jardin si vous le pouvez (et sans Round up !).
Le meilleur moyen pour IDLUHWRPEHUOHV\VWqPHHQSODFHF·HVWGHPRQWUHUDX[
DXWUHV FRPPHQW WRXW YD PLHX[ ORUVTXH O·RQ IDLW DXWUHPHQW En toute sérénité,
écartez de votre vie tout ce qui vous gêne, et rattachez-­vous aux seules valeurs
qui respectent la vie. Enfin, sachez que la providence finit toujours par aider
ceux qui sont dans le juste et dans le vrai.

LA VICTOIRE DU MENSONGE (7'(/·+<32&5,6,(

Francis Blanche D GLW« &RPPHQWDLUH j OD Luchini, OLVH] ELHQ F·HVW


énorrrrme F·HVWGXORXUG !)
"Un mensonge assené suffisamment longtemps devient une vérité".
Je répète :
"Un mensonge assené suffisamment longtemps devient une vérité".

Voici donc un petit extrait -­ non exhaustif -­ des grands mensonges de notre
temps, rien que sur le plan de la santé publique, qui permHWWHQWG·HPPHQHU
SDLVLEOHPHQWWRXWOHPRQGHjO·DEDWWRLU

‡   La culture bio ne peut pas nourrir la planète.


‡   Les OGM sont inoffensifs pour la santé.
‡   Manger de la viande est indispensable.
‡   Les produits laitiers sont indispensables pour le calcium des os.
‡   /·HDXPLQpUDOHHQERXWHLOOHSURFXUHOHVROLJR-­pOpPHQWVjO·RUJDQLVPH
‡   Un bilan de santé régulier prévient du cancer.
‡   Les aliments ionisés (irradiés) ne présentent aucun problème.
‡   Les lignes à haute tension de proximité ne nuisent pas à la santé.
‡   Les fours à micro-­ondes sont sans danger.
‡   Les téléphones GSM ne cuisent pas le cerveau.
‡   Les antennes relais sont inoffensives.
‡   Le WIFI ne crée aucune perturbation dans les appartements.
‡   Les vaccinations protègent des épidémies et sont sans danger.

 
10  
‡   ,OQ·\DDXFXQHFRrrélation entre les vaccins et les allergies.
‡   ,OQ·\DDXFXQHFRUUpODWLRQHQWUHOHVYDFFLQVHWOHVPDODGLHVDXWR-­
immunes.
‡   ,OQ·\DDXFXQHFRUUpODWLRQHQWUHOHVYDFFLQVHWO·H[SORVLRQG·HQIDQWV
autistes.
‡   ,OQ·\DDXFXQHFRUUpODWLRQHQWUHOHYDFFLQ+pSDWLWHB et la SEP.
‡   Les engrais chimiques polluent peu et sont indispensables.
‡   Le soja est une protéine de choix pour les humains et les animaux.
‡   La pharmaco-­chimie est la seule voie sérieuse contre les maladies.
‡   /DWR[LFLWpG·XQPpGLFDPHQWHVWSURSRUWLRQQHOOHjson efficacité.
‡   La chimiothérapie et la radiothérapie sont les seuls moyens
"honnêtes" et non sectaires pour soigner les cancers.
‡   /·KRPpRSDWKLHQ·DMDPDLVpWpGpPRQWUpH
‡   Le SIDA est dû au HIV.
‡   /HQXFOpDLUHjO·XUDQLXPHQULFKLHVWODVHXOHpQHUJLHG·DYHQLUréaliste.
‡   Les déchets nucléaires sont sécurisés.
‡   /·H[SpULPHQWDWLRQDQLPDOHHVWXQHQpFHVVLWpVFLHQWLILTXHDEVROXH
‡   La pilule est inoffensive si elle est bien dosée.
‡   /·KRUPRQRWKpUDSLHGHODPpQRSDXVHHVWLQGLVSHQVDEOH
‡   /·DVSDUWDPH VXFUHOLJKW HVWDQWLGLDbétique.
‡   /HFKROHVWpUROHVWODFDXVHGHO·DUWpULRVFOpURVH
‡   /HVVWDWLQHVSUpYLHQQHQWOHVUpFLGLYHVG·LQIDUFWXVHWG·$9&
‡   ... etc.
(WWRXWoDF·HVWYUDL«SXLVTX·RQYRXVOHGLW

LA BEAUTÉ DU DIABLE

Il semble que les mises en garde obligées apposées sur les paquets de
FLJDUHWWHVQ·RQWSDVO·HIIHWHVFRPSWp/·DEXVGHWDEDFQXLWJUDYHPHQWjODVDQWp
Q·D SDV HX O·DLU G·rWUH WUqV GLVVXDVLI '·DLOOHXUV LO \ D WHOOHPHQW GH FKRVHV TXL
QXLVHQW JUDYHPHQW j OD VDQWp« &H TXL HVW FXULHX[ F·HVW TXH WRXWHV FHV
QXLVDQFHV RQW IDLW O·REMHW G·KRPRORJDWLRQV HW G·DXWRULVDWLRQV HQ UqJOH SRXU OD
commercialisation publique.

(QFHTXLFRQFHUQHOHWDEDFTXLHQRXWUHVHUDELHQW{WSOXVFKHUTXHO·KHUEHLO
DpWpHIIHFWXpFDUUpPHQWO·DSSRVLWLRQGHODPHQWLRQ"Le tabac tue" ainsi que la
SKRWR G·XQ IXPHXU UDYDJp HQ SKDVH WHUPLQDOH G·XQ FDQFHU GX SRXPRQ 6HORQ
un de mes lecteurs, cette excellente initiative pourrait être étendue à toutes
sortes de consommations nocives. Par exemple :

 
11  
ʜ‡2QSRXUUDLWPHWWUHVXUOHVSDTXHWVGHERQERQVOHVRXULUHSLWWRUHVTXHG·XQ
HQIDQWGRQWOHVGHQWVVRQWFRPSOqWHPHQWFDULpHVDYHFO·DQQRWDWLRQ :
"Mon dentiste complète mes vaccins avec le mercure de mes plombages."
ʜ ‡ $X UD\RQ IUXLWV HW OpJXPHV OD EHOOHJUDQGH SKRWR G·XQ SD\VDQ GpJXLVp HQ
plongeur sous-­marin sur son tracteur en train de pulvériser des pesticides
PHWWUDLWO·DPELDQFHVXUWRXWVL on y ajoutait :
/·DEXVGHFRQVRPPDWLRQGHIUXLWVHW légumes traités aux pesticides est
très cancérigène."
ʜ‡$XUD\RQGHVPpGLFDPHQWVjEDQGHURXJHLOVHUDLWSOXVMXGLFLHX[G·DQQRWHU
:
"Échange un syndrome courant contre cinq maladies inguérissables."
ʜ ‡ 6XU OHV SURGXLWV PDGH LQ 7DLZDQ RX LQ &KLQD SRXUTXRL QH SDV PHWWUH OD
SKRWRG·HQIDQWVHVFODYHVTXLWUDYDLOOHQWGRX]HKHXUHVSDUMRXUGDQVGHVFDYHV
SRXUTXHOTXHVFHQWLPHVG·HXURDYHFODPHQWLRQ
"Bon pour le porte-­monnaie, bon pour les esclavagistes."
ʜ ‡ ,O QH IDXW SDV RXEOLHU OHV IDEULFDQWV GH YDFFLQV TXL FRPPH FHX[ GH
cigarettes, du
Coca-­Cola, et autres marchands de malheur, se gardent bien de noter en clair
la composition. Sur les vaccins, donc, il pourrait être marqué :
"Obligatoire, à vos risques et périls."
ʜ‡/·DQLPDWHXUG·XQHUDGLROLEUHDGpFODUpUpFHPPHQWORUVG·XQFROORTXH
/DSXEOLFLWpF·HVWOHSHVWLFLGHGHODFRQVFLHQFH
ʜ ‡ /RUVTX
RQ FRQQDvW OH SULQFLSH GHV PHVVDJHV VXEOLPLQDX[ OHV FKDvQHV GH
télévision devraient afficher :
"Tout passage publicitaire peut nuire gravement à la liberté de
conscience."
ʜ ‡ ,O IDXW FLWHU ORUV GX PrPH FROORTXH O·H[FHOOHQWH ERXWDGH G·XQ VFLHQWLILTXH
mondialement connu, mais que je ne nomerai pas ici :
"La première cause de mortalité est PDLQWHQDQWG·DOOHUYRLUXQGRFWHXU

LA RÉSISTANCE AUTARCIQUE, GAGE DE LA SURVIE


,O \ D TXHOTXHV DQQpHV M·DYDLV HX O·RFFDVLRQ GH OLUH FHUWDLQV WH[WHV
SURSKpWLTXHVDQQRQoDQWTX·LODOODLWrWUHLPSpUDWLIGHFXOWLYHUXQMDUGLQHWYLYUH
de nos propres productions.
6DQV rWUH VSpFLDOHPHQW REQXELOp SDU OHV SHVVLPLVWHV SUpGLFWLRQV M·DYDLV
QpDQPRLQV DGPLV O·pYHQWXDOLWp ORJLTXH G·XQH SpQXULH YRLUH G·XQH IDPLQH GXH
DX[ FKDPEDUGHPHQWV pFRORJLTXHV JUDYHV VXVFLWpV SDU O·KRPPH (Q IDLW LO
apparaît actuellement TXH OD UpDOLWp VRLW GLIIpUHQWH ELHQ TX·HOOH DERXWLVVH DX
même résultat.

 
12  
Comme le disait si bien Philippe Desbrosse dans son ouvrage : Le crash
alimentaire, "Nous risquons de mourir de faim sur un sac de riz (pollué)".
Pendant que nous avons peur de manquHUQRXVSpULVVRQVSDUO·DERQGDQFHOD
surabondance, mais empoisonnée. Nos fournisseurs sont de gigantesques
lobbies internationaux, dont le pouvoir financier, médiatique, juridique,
commercial tient à genoux la plupart des gouvernements. Nous allons tout
GURLW YHUV XQH GLFWDWXUH PRQGLDOH GRQW OD VHXOH pWKLTXH HVW O·DUJHQW HW
O·H[SORLWDWLRQ DYHXJOH GH OD SODQqWH 6HV GLVFRXUV UDVVXUDQWV RQW OD EHDXWp GX
GLDEOHHWODSHUILGLHGH&pVDU0DDVWULFKWHQIXWODSLHUUHG·DFKRSSHPHQW

Si la médecine est tombée depuis longtemps sous son charme dévastateur,


F·HVW PDLQWHQDQW DX WRXU GHV FKDvQHV DJUR-­DOLPHQWDLUHV G·\ VXFFRPEHU HW LO
VHUD HQFRUH SOXV GLIILFLOH G·pFKDSSHU j VHV PXOWLSOHV WHQWDFXOHV 1RXUULU GHV
animaux avec leurs propres déjections et oser nous présenter leur chair
martyrisée dans des hamburgers, cela devrait être catalogué dans les crimes
FRQWUHO·KXPDQLWp­FDXVHGHFHVH[SpULPHQWDWLRQVPHUFDQWLOHVHWLPPRUDOHV
des millions de personnes tombent malades sans connaître la cause de leurs
souffrances, eW PHXUHQW 'HV HVSqFHV HQWLqUHV G·DQLPDX[ GLVSDUDLVVHQW OH
PDOKHXU IUDSSH OD SOXSDUW GHV SD\V GX WLHUV PRQGH /·DWRXW PDMHXU GH FHWWH
sinistre farce réside dans le fait que les effets graves conséquents ne sont pas
immédiatement perçus ² HW O·RQ YRLW ELHQ chez les animaux que trois à cinq
générations sont souvent nécessaires pour constater les dégâts de
dégénérescence et de malformations.
Heureusement, la nature, dans son infinie sagesse, est déjà en train de mettre
son veto.
Savez-­vous que le sperme des hommes jeunes actuels contient deux fois moins
de spermatozoïdes que celui des hommes de la génération précédente, et que
50% de ces spermatozoïdes sont altérés ? Il en va de même de tous les
animaux gravement contaminés qui perdent progressivement leurs caractères
sexuels et assurent une reproduction de plus en plus aléatoire.

Il va bientôt être impossible de se procurer dans le commerce courant un


légume qui ne soit pas transgénique. Les discours rassurants à ce sujet ne
sont que des tissus de mensonges qui ne sont basés sur aucun aval réellement
VFLHQWLILTXH F·HVW-­à-­dire émis par des chercheurs libres. Plus que jamais, la
VpGXFWLRQYDVHIDLUHSDUOHVEDVSUL[ODIDFLOLWpG·HPSORLHWODIDVFLQDWLRQGHV
JR€WVDOOpFKDQWVpODERUpVjFRXSVG·pGXOFRUDQWVDUtificiels.
Il va falloir beaucoup de sagesse et de volonté pour résister aux tentations
fatales, beaucoup de lucidité pour rester imperméable à la rhétorique

 
13  
magistrale diffusée par les médias officiels, et encore plus de détermination
pour organiser un marché parallèle.
En effet, puisque les gouvernements sont impuissants à réglementer
HIILFDFHPHQW OD SURWHFWLRQ GH QRWUH VDQWp LO QH QRXV UHVWH SOXV TX·j FRPSWHU
sur nous-­PrPHV ,QXWLOH G·HIIHFWXHU GHV SpWLWLRQV GHV UpFODPDWLRQV GHV
doléances et autres agitations stériles.
Que les pollueurs gardent leur immonde camelote !

&H VRQW GHV PLOOLRQV G·DQLPDX[ PDOWUDLWpV j TXL YRXV UHQGUH] VHUYLFH  F·HVW
aussi votre meilleure participation au sauvetage des écosystèmes et la seule
façon de ne pas sacrifier vos enfants. Si vous pouvez vous mettre au jardinage
(bio), faites-­le au plus vite. Si vous ne pouvez pas faire cela, achetez bio (avec
label garantie AB Ecocert).
Si vous connaissez des petits producteurs, interrogez-­les pour savoir comment
LOV WUDYDLOOHQW 6·Lls vous plaisent, faites-­OHV YLYUH SOXW{W TXH G·HQULFKLU OHV
organismes qui méprisent votre santé et votre vie.

,OIDXWYLWHV·RUJDQLVHUSRXUpWDEOLUGHVSHWLWVUpVHDX[DXWRQRPHVHWV€UV,OIDXW
encourager les petits producteurs à se convertir au bio. La maladie, la
dégénérescence, la déchéance et la mort prématurée dans des souffrances
affligeantes ne sont pas une fatalité si nous voulons bien réagir à temps. Oui,
FHFLHVWXQFULG·DODUPHTXLV·DGUHVVHDX[pYHLOOpVHQFRUHGRWpVGHIRUFHVYLYHV
G·XQH FHUWDLQH YLJLODQFH G·XQ LQVWLQFW GH VXUYLH &HUWDLQV DUWLFOHV GH FH OLYUH
VRQW j SURSUHPHQW SDUOHU HIIUD\DQWV &H Q·HVW SDV GH OD ILFWLRQ PDLV OD VWULFWH
réalité.

,OYDVDQVGLUHTX·LOHVWLPSpULHXVHPHQWGHYHQXQpFHVVDLUHGHSUHQGUHXQUHFXO
décisif avec des systèmes de grande distribution alimentaire, pourtant bien
pratiques, tant que nous ne reprendrons pas le contrôle total des garanties
G·LQQRFXLWpVHORQGHVQRUPHVpWDEOLHVSDUOHVDVVRFLDWLRQVGHFRQVRPPDWHXUV
À vous de jouer, chers amis : pour reprendre à temps le contrôle de votre vie.

$XFXQV\VWqPHQHSHXWVXUYLYUHVLSHUVRQQHQ·DFKqWHVHV
produits.

 
14  
EXPÉRIENCE DE RÉGLEMENTATION
SOCIO-­CULTURELLE

1 ² Enfermez vingt chimpanzés dans une chambre.

2 ² Accrochez une banane au plafond et installez XQH pFKHOOH SHUPHWWDQW G·\


accéder.

3 ² Assurez-­YRXV TX·LO Q·\ DLW SDV G·DXWUHV PR\HQV G·DWWUDSHU OD EDQDQH TX·HQ
XWLOLVDQWO·pFKHOOH

4 ² 0HWWH]HQSODFHXQV\VWqPHTXLIDVVHWRPEHUGHO·HDXJODFpHGDQVWRXWHOD
FKDPEUHGqVTX·XQVLQJHFRPPHQFHjHVFDODGHUO·pFKHOOH

5 ² /HVFKLPSDQ]pVDSSUHQQHQWYLWHTX·LOQHIDXWSDVV·DYHQWXUHUVXUO·pFKHOOH

6 ² $UUrWHUOHV\VWqPHG·HDXJODFpH

7 ² 0DLQWHQDQW UHPSODFHU O·XQ GHV YLQJW FKLPSDQ]pV SDU XQ QRXYHDX &H
GHUQLHUYDFKHUFKHUjHVFDODGHUO·pFKHOOHHWVDQV comprendre pourquoi, se fera
tabasser par les autres.

8 ² 5HPSODFHUHQFRUHO·XQGHVFKLPSDQ]pVSDUXQQRXYHDX&HGHUQLHUVHIHUD
HQFRUH WDEDVVHU SRXU OD PrPH UDLVRQ HW F·HVW FHOXL TXL D pWp LQWURGXLW MXVWH
avant qui tapera le plus fort.

9 ² Continuer OH SURFHVVXV MXVTX·j FH TX·LO Q·\ DLW SOXV TXH GHV VLQJHV
nouveaux.

10 ² Alors plus aucun ne cherchera à atteindre la banane et, si jamais il y en a


un qui succombe à la tentation, il se fera massacrer illico presto par les autres.

/H SOXV FRFDVVH F·HVW TX·DXFXQ GHV FKLPSDQ]pV Q·D OD PRLQGUH LGpH VXU OH
pourquoi de la chose.

&·HVW DLQVL TXH QDvW HW IRQFWLRQQH OD FXOWXUH G·HQWUHSULVH HW GHV JUDQGHV
LQVWLWXWLRQVGHO·KXPDQLWp '·DSUqV6DQ'LHJR6WDWH8QLYHUVLW\

 
15  
1
LA FRAGILE VALEUR DES RÉFÉRENCES
avis aux puristes grincheux

6·LO\DELHQTXHOTXHFKRVHTXLDOHGRQGHP·DJDFHUFHVRQWFHX[RXFHOOHVTXL
me reprochent de ne pas suffisamment signaler de références dans mes
DUWLFOHV &HOD HVW G·DXWDQW SOXV IUXVWUDQW TXH -­ en quelque sorte -­ on ne
P·DXWRULVH SDV PRL TXL Q·DL SDV OH WLWUH GH *5$1' 3URIHVVHXU j SHQVHU SDU
moi-­même, à expérimenter et à en tirer des conclusions logiques. Quel
enfermement conformiste réducteur ! Et aussi quel égarement par servitude
aveugle aux règles établies pour que rien ne bouge qui pourrait nuire aux
LQWpUrWV SDUWLFXOLHUV G·XQ SRQWLILFDW RUJXHLOOHX[ RXHW QRXUUL SDU OH WUXVW %LJ
Pharma.

'HSXLVSOXVGHDQVSHQGDQWOHVTXHOVM·DLEUDVVpGHVGL]DLQHVGHPLOOLHUVGH
personnes avec les médecines naturelOHV MH Q·DL MDPDLV HX YHQW G·DYRLU WXp
TXHOTX·XQ /D FRPSpWHQFH QH V·DFKqWH SDV GHUULqUH GHV pFUDQV GH UpIpUHQFHV
&RPELHQ GHV SOXV JUDQGV LQYHQWHXUV VRQW SDUWLV G·REVHUYDWLRQV HW GpGXFWLRQV
purement personnelles, avec de tous petits moyens, réduisant à néant les
fausses pistes de la grande recherche financée avec des millions de dollars ? A
quelles références Nicolas Tesla faisait²il appel, lui le plus grand inventeur de
tous les temps avec plus de 700 brevets (dont nous profitons tous les jours
sans le savoir) ? Aucune. Et que dire de Schauberger, découvreur du mystère
des vortex, qui, embauché de force par Hitler puis plus tard par les américains,
DPLVDXSRLQWOHVSUHPLHUVPRWHXUVjUpDFWLRQDORUVTX·LOpWDLWjSHLQHDOOpj
O·pFROH ? Ses réalisations ne se sont appuyées sur aucune référence, alors que
son frère ² polytechnicien ² EDUGpGHVGLWHVUpIpUHQFHVQ·DMDPDLVULHQLQYHQWp
3RXUTXRLO·HQVHLJQHPHQWVFRODLUHQRXVFDFKH-­t-­il ces fabuleux personnages, et
FRPELHQ G·DXWUHV *pR-­trouve-­tout" qui ont fait faire un bond à la technique
(affichez ces deux noms sur Google par curiosité...) ?

NON PROUVE PAR MANQUE DE REFERENCES ?


'·DERUG LO HVW IDX[ TXH MH QH FLWH MDPDLV PHV VRXUFHV FH TXH MH IDLV
FRPSODLVDPPHQWORUVTXHMHVXLVV€UTX·HOOHVQHVRQWSDVVRXV influence. Mais
M·DLGHQRPEUHXVHVUDLVRQVSRXUHQrWUHXQSHXDYDUH

 
16  
1 ² -HVXLVG·DERUGXQYXOJDULVDWHXUWRXVSXEOLFVHWXQVHPHXUG·DOHUWHV ²
5LHQ  Q·HVW VL HQQX\HX[ j OLUH TXDQG RQ HVW XQ SHX SUHVVp F·HVW OH FDV GH OD
plupart) de tomber sur des textes bardés de liens référentiels de parutions ou
travaux à toutes les phrases avancées. Cela complique et allonge le texte et ne
sert en somme qu·jTXHOTXHVVFHSWLTXHVPDODGLIVGpIRUPpVGHODVDFURVDLQWH
logique du raisonnement scientifique inductif.
2 ² /HVpWXGHVGLWHVVFLHQWLILTXHVVRQWG·DERUGUpDOLVpHVLQYLWUR, donc dans
un milieu artificiel, coupé des inter-­UpDFWLRQV RUJDQLTXHV FRPSOH[HV G·un être
vivant, ceci donnant souvent des résultats difficilement transposables. Mais
F·HVWOHSURWRFROH !
3 ² /·REWHQWLRQGHV$00 (autorisations de mise sur le marché) sont soumises
jXQHREOLJDWLRQG·pWXGHVLQYLYRTXLIRQWO·REMHWG·XQFUXHOKRORFDXVWHDnimal à
JUDQGHpFKHOOHGRQWMHQ·DLSDVHQYLHGHIDLUHGHODSXEOLFLWpGDQVPHVpFULWV
Pourtant, depuis 2006, il existe la méthode Valitox non cruelle, qui est un test
GHWR[LFLWpUpDOLVpVXUGHVFHOOXOHVKXPDLQHVHQFXOWXUH%DVpVXUO·pPLVVLRQGH
lumièrH IOXRUHVFHQFH  LO PHVXUH OH QLYHDX G·DOWpUDWLRQ FHOOXODLUH VXLWH j O·HIIHW
G·XQ DJHQW WR[LTXH RX VXSSRVp O·rWUH ,O IRQFWLRQQH VXU WRXW W\SH GH FHOOXOHV
permet un usage haut débit associé à un coût de réalisation totalement
concurrentiel. La prédictivité de Valitox concernant la toxicité aiguë pour
O·KRPPHHVWSOXVILGqOH FRQWUHSRXUOHVWHVWVUpDOLVpVVXUVRXULVRX
VXUUDW +pODVRQFRQVWDWHLFLTXHPrPHORUVTX·LOV·DJLWG·pFRQRPLVHUEHDXFRXS
G·DUJHQW curieusement, les systèmes tortionnaires en place rechignent à se
remettre en question ² (Il paraît que la cruauté devient une drogue) et comme
WRXWOHPRQGHV·HQIRXWDXQLYHDXGXSXEOLFOHVDQQpHVSDVVHQWjSLpWLQHUGH
commissions stériles en commissions stériles &·HVWjSOHXUHU ! Mais attention,
O·LQGLIIpUHQFHJpQpUDOHGHYDQWFHWHQIHUGXPRQGHDQLPDOHVWGpMjHQWUDLQGH
GpULYHUYHUVOHPRQGHKXPDLQ« HIIHWERRPHUDQJ 
4 ² 70% des très coûteuses études médico scientifiques seraient tronquées
ou mensongères.

Selon la prestigieuse revue médicale Prescrire, elles sont pour la plupart


financées par les lobbies pharmaceutiques.

-·HQ SURILWH SRXU UHODWHU LFL une anecdote concernant deux jeunes femmes
FKHUFKHXVHV GH KDXW QLYHDX HQ ELRORJLH YHQXHV XQ MRXU GDQV O·XQ GH PHV
DWHOLHUVHWTXLP·RQWGLWDYRLUGpPLVVLRQQpG·XQJUDQGJURXSHSKDUPDFHXWLTXH
TXHMHQHQRPPHUDLSDVLFLSRXUUDLVRQG·REOLJDWLRQjODFRUUXSWLRQ ;; en effet,

 
17  
ORUVTX·RQOHXUGRQQDLWXQHpWXGHjIDLUHLOOHXUpWDLWLPSRVpGHVHGpEURXLOOHU
pour aboutir à un résultat défini par avance.

La stratégie est toujours la même : on commande 20, 30, 40 études bidon ² en


WHUPHVVFLHQWLILTXHVDYHFLQWURGXFWLRQG·DUWHIDFWV² HQYXHG·XQUpVXOWDWSRVLWLI
identique sur un produit défini comme futur cheval gagnant pour la côte en
bourse ² à des laboratoires ou des hauts diplômés en biologie en appel
G·R[\JqQH ª &HX[ TXL UHIXVHQW VRQW UD\pV GpILQLWLYHPHQW GH OD OLVWH« (W SXLV
un labo, ou un chercheur trublion indépendant, DOHUWH SRXU PRQWUHU TX·LO QH
trouve pas du tout la même chose. Alors, on leur dit, à tous ou à chacun :
"Soyons sérieux messieurs, 40 études ont prouvé le contraire de ce que vous
dites ! »

5 ² 3RXUDYRLUGHVFKDQFHVG·rWUHOXSDUOHSOXVJUDQGQRPEUHLO faut faire


court ² -H Q·DL O·LQWHQWLRQ GH FRQYDLQFUH SHUVRQQH ² Je fais juste mon travail
G·LQIRUPDWHXUFDUF·HVWPDUDLVRQG·rWUHHWMHVXLVpTXLSpSRXUFHOD-HVXLVOj
pour déranger et réveiller ceux qui sont, en toute bonne foi, confortablement
instalOpV GDQV GHV FUR\DQFHV RX GHV LJQRUDQFHV« PDLV FKDFXQ D OH GURLW GH
prendre ou pas. Je dis même plaisamment dans mes conférences que plus il y
DGHJHQVTXLQHPHFURLHQWSDVPLHX[FHODP·DUUDQJHFHODIHUDSOXVGHSODFH
sur les parkings  $ QRWHU TX·LO Hst possible à tous, grâce au merveilleux outil
TX·HVW,QWHUQHWG·DOOHUSLRFKHUSOXVSURIRQGPHVDIILUPDWLRQVjFRQGLWLRQELHQ
sûr de ne pas aller se renseigner sur les sites pourris "édités enfumeurs
officiels" qui sentent le médico-­pharma à plein nez.

6 ² &HTXLP·LQWpUHVVHG·DERUGFHVRQWOHVIDLWVFOLQLTXHV. Ce qui est bien


HQ PpGHFLQHV QDWXUHOOHV F·HVW TX·DYHF TXHOTXHV SUpFDXWLRQV EDVLTXHV HW XQ
SHX GH ERQ VHQV RQ ULVTXH EHDXFRXS PRLQV G·DEvPHU OHV JHQV $XVVL MH SHX[
affirmer que de tous les prodXLWVTXHM·DLSURPRWLRQQpVGDQVPHVDUWLFOHVWRXV
ont été préalablement testés sur des problèmes de santé nous concernant
SHUVRQQHOOHPHQW RX VXU QRWUH HQWRXUDJH &HOD P·pWRQQHUDLW EHDXFRXS TXH OHV
hauts responsables diffuseurs de molécules bizarres (qui n·H[LVWHQWSDVGDQVOD
nature) et de fausses études en fassent autant sur eux-­PrPHV«

 
18  
2
"SCIENTIFIQUEMENT ÉPROUVÉS"
une macabre fumisterie !

En France, selon les centres régionaux de pharmacovigilance, 15% du total des


patients hospitalisés -­ dont 1/3 dans un état considéré grave -­ sont
KRVSLWDOLVpV j FDXVH GHV HIIHWV GLWV LQGpVLUDEOHV G·XQ PpGLFDPHQW SRXUWDQW
OpJDOLVp DX WUDYHUV G·XQH $00 DXWRULVDWLRQ GH PLVH VXU OH PDUFKp  YLD
O·H[SpULPHQWDWLRQ DQLPDOH  000 morts par an par effet iatrogène fatal, F·HVW
OD UDWLRQ PR\HQQH GH PDOFKDQFHX[ TXL HVSpUDLHQW JXpULU G·XQH PDODGLH SDV
IRUFpPHQW JUDYH« %LHQ V€U Oj R LOV VRQW j SUpVHQW LOV VRQW GpILQLWLYHPHQW
JXpULV«3DUH[HPSOHDX[86$XQOLWG·K{SLWDOVXUHVWRFFXSpSDUXQSDWLHQW
souffrant des effets de toxicité médicamenteuse. Pour maintenir les profits
élevés du secteur après les grandes fusions qui ont eu lieu, les analystes et les
LQGXVWULHOV FRQVLGqUHQW TX·LO IDXW TXH FKDTXH JUDQG ODERUDWRLUH GH WDLOOH
mondiale mette sur le marché entre 2 et 4 nouvelles molécules chaque année.

Plus de 200.000 médicaments ont été mis sur le marché, dont la plupart ont
DXMRXUG·KXL pWp UHWLUpV 6HORQ O·206 VHXOHPHQW  PpGLFDPHQWV VRQW
"essentiels". Des milliers de médicaments considérés sans danger avec les tests
sur animaux, ont dû être retirés ou interdits à cause de leurs effets néfastes,
voire catastrophiques sur les humains.

Les USA RQW O·LQGXVWULH SKDUPDFHXWLTXH OD SOXV SXLVVDQWH GX PRQGH DYHF OH
WDX[ OH SOXV pOHYp G·XWLOLVDWLRQ G·DQLPDX[  PLOOLRQV SDU an, sans compter
les tests militaires), avec des scientifiques ayant reçu le plus de prix Nobel, ce
TXL Q·HPSrFKH SDV TXH FH SD\V VH SODFH DXMRXUG·KXL DX H UDQJ FRQFHUQDQW
O·HVSpUDQFHGHYLHSRXUOHVKRPPHVHWDXHUDQJSRXUOHVIHPPHV

/·H[SpULPHQWDWLRQ DQLPDOH Q·HVW TX·XQH EDUEDULH VH SUpWHQGDQW VFLHQWLILTXH


SHUPHWWDQW j O·LQGXVWULH SKDUPDFHXWLTXH G·LQRQGHU OH PDUFKp GH SURGXLWV
dangereux (en général toujours les mêmes, sous des combinaisons nouvelles et
sous des noms différents) qui de plus promettent souvent de réparer les dégâts
causés par des produits précédents, ayant été retirés de la circulation.

Selon Philippe Pignarre : "Dans tous les pays, les pouvoirs publics ont, au fil
GX WHPSV H[LJp GH O·LQGXVWULH TX·HOOH IDVVH SOXV G·pWXGes de toxicité, plus

 
19  
G·HVVDLV FOLQLTXHV SOXV GH SKDUPDFRYLJLODQFH PDLV GDQV WRXV OHV SD\V OHV
pouvoirs publics se sont toujours contentés de vérifier les résultats et les
PpWKRGRORJLHVXWLOLVpHVjO·LQLWLDWLYHGHVIDEULFDQWVQUELLE NAÏVETE ! Aucun
pWDW QH V·HVW GRWp G·XQ DSSDUHLO LQGpSHQGDQW TXL OXL SHUPHWWUDLW GH IDLUH VHV
propres études de manière totalement autonome et indépendante.

Pendant ce temps, les producteurs et les distributeurs de remèdes naturels


efficaces et sans danger, issus d·XQH SKDUPDFRSpH VRXYHQW PLOOpQDLUH IRQW
O·REMHW G·XQ KDUFqOHPHQW FRQVWDQW GH OD SDUW GHV VHUYLFHV RIILFLHOV« $PHQGHV
assassines, confiscations, interdictions, gardes à vue pour intimidation,
fermetures, prison avec ou sans sursis, pleuvent sur les bienfaiteurs de la
santé naturelle respectueuse de la vie humaine et environnementale.

UNE MÉDECINE DU DIABLE


Selon le Docteur Donatini, 70 à 80% des médicaments utilisés sur le marché
Q·RQW IDLW O·REMHW G·DXFXQH pWXGH YDODEOH HW DXUDLHQW REWHQX GHV FHUWLILFDWV de
complaisance. Voici un court extrait du tableau noir des grandes bavures
SKDUPDFHXWLTXHV UpVXOWDQW GH FH VLPXODFUH G·KRPRORJDWLRQ RIILFLHOOH QRPPpH
AMM :

‡ Benzodiazépines : folie, centaines de suicides, homicides, voire carnages.

‡ Amphétamines : folie, centaines de suicides, homicides, voire carnages.

‡ $P\GRS\ULQH (antalgique) : a provoqué de nombreux accidents sanguins


mortels (agranulocytose).

‡3UR]DFDHQWUDvQpODIROLHGHPLOOLHUVG·rWUHVKXPDLQVDLQVLTXHVXLFLGHVHW
homicides.

‡0D[LWRn et Préludine (amphétamines excitantes du système nerveux central


et coupe-­faim) : ont provoqué des troubles cardiaques et nerveux graves (crises
de folie).

‡'XSpUDQ(antalgique) : FDXVDGHQRPEUHXVHVIRUPHVVpYqUHVG·DWWHLQWHV
hépatiques.

‡$FFXWDQHa déclenché de nombreuses malformations foetales (plus de 1.300


bébés aux USA).

‡$VSLULQHDHQWUDvQpFKH]EHDXFRXSG·HQIDQWVOHV\QGURPHGH5H\H PRUWHO 

 
20  
‡ %DUQpWLO (médicament psychiatrique pour maniaco-­dépressifs) : a entraîné
des troubles mortels du rythme cardiaque.

‡ &DUEDPD]pSLQH (maladies psychiatriques) : a entraîné de nombreuses


PDOIRUPDWLRQVI±WDOHVHWPRQVWUXRVLWpVGHPLOOLHUVGHQRXYHDX[QpV

‡&KORUDQSKpQLFROa provoqué de nombreuses altérations mortelles du sang


par destruction de la moelle osseuse, des anémies graves et des collapsus
cardiovasculaires.

‡&LPpWLGLQH XOFqUHGHO·HVWRPDF : a été retiré pour lésions hépatiques graves.

‡)OXYLVFR SRXUO·DUWpULWHGHVMDPEHV : fut responsable de nombreuses


hépatites graves.

‡ *OLIDQDQ (antalgique) : interdit pour accidents allergiques graves, voire


PRUWHOV ±GqPHVGH4XLQFNHFKRFVDQDSK\ODFWLTXHV 

‡ +DOFLRQ (tranquillisant) : retiré du marché pour états de confusion mentale


graves.

‡,QGDOSLQH(antidépresseur) : JpQqUHO·DJUDQXORF\WRVH GHVWUXFWLRQ GHVFHOOXOHV


sanguines.

‡ ,VRQLD]LGH HW ,SURQLD]LGH  antibiotiques antituberculeux, provoquent des


nécroses du foie, des convulsions et des troubles psychiques.

‡,VRSUpQDOLQHcausa la mort de 3500 personnes.

‡ ,VRproténérol Spray : a provoqué la mort de 3.500 asthmatiques dans le


monde.

‡.DQDP\FLQHantibiotique antituberculeux, entraîne une insuffisance rénale


grave et des surdités.

‡0pWDTXDORQHDHQWUDvQpODIROLHGHPLOOLHUVG·rWUHVKXPDLQVSDUVXLFLGHVHW
homicides.

‡ 0pWKRWUH[DWH (leucémie, psoriasis et polyarthrite PCE) : a provoqué des


entérites hémorragiques avec perforation intestinale, des anémies graves et des
tumeurs cancéreuses.

‡0LWRWDQH(anti leucémique) : détruit les surrénales.

‡2UDELOH[causait des détériorations fatales des reins.

 
21  
‡3DUDFpWDPROa causé des maladies hépatiques mortelles (1.500 personnes
RQWpWpKRVSLWDOLVpHVULHQTX·HQHQ$QJOHWHUUH 

‡ 3KpQDFpWLQH (analgésique) : présent dans plus de 200 médicaments, a été


accusé de blocages, destructions et tumeurs rénales.

‡3KpQLQGLRQH(anticoagulant) : DpWpDFFXVpG·DWWHLQWHVUpQDOHVKpSDWLTXHVHW
sanguines graves et de pancréatites aiguës.

‡3KHQSKRUPLQ(diabète) : prescrit pendant 18 ans, a été responsable de près


de 1.000 morts par an.

‡ 3ULPRGRV $PHQRURQH IRUW HW %HQGHFWLQ : ont renouvelé la tragédie de la


Thalidomide.

‡ 6RULDWDQH (psoriasis, troubles de kératinisation) : présente des effets


tératogènes (cancérogènes) avérés.

‡ 6WDOWRU (anti-­cholestérol) : a provoqué de nombreuses paralysies,


GHVWUXFWLRQV UpQDOHV HW  PRUWV ULHQ TX·HQ )UDQFH GRQW  DERQQpV GH PRQ
journal).

‡ 7DPR[LIqQH médicament anti-­cancer) : aggravait le risque et le cancer en


FRXUV«

‡7HQGpULO(anti-­inflammatoire) : fut responsable de milliers de décès à travers


le monde sur 20 ans de commercialisation.

‡7KDOLGRPLGHHW/pQRWDQ : sont responsables de la naissance de milliers


G·HQIDQWVSKRFRPqOHV

‡ 8rétane (chimiothérapie anti-­leucémique) : déclenche cancer du foie, des


poumons et de la moelle osseuse.

‡9HFWUHQ(anti-­inflammatoire) : génère des syndromes de Lyell et la maladie de


Stevens-­Johnson.

Mais la liste des médicaments "scientifiquement éprouvés !" ayant fait


PDUW\ULVHU j PRUW GHV PLOOLHUV G·DQLPDX[-­PDUFKDQGLVHV SRXU ULHQ QH V·DUUrWH
pas là, tels :

Tigason®, Flagyl®, Contergan®, Méclozine®, Roaccutane® Lénotan®,


Fluvisco®, Dupéran®, Distilbène®, etc. dont on peut trouver les dégâts sur
Internet.

 
22  
Une enquête publiée dans la revue américaine JAMA a révélé que 20% des
UpVXOWDWV G·pWXGHV FOLQLTXHV GH QRXYHDX[ PpGLFDPHQWV QH VRQW SDV SXEOLpV HW
que 86% des études mises au placard affichent une conclusion défavorable sur
O·HIILFDFLWpGXUHPqGe.

MEDIATOR, DERNIER DE LA LISTE MACABRE


Effets imprévisibles ou négligence ? Ce médicament coupe-­faim du laboratoire
Servier TXL D FDXVp OD PRUW SDU FDUGLRSDWKLHV JUDYHV G·DX PRLQV 
SHUVRQQHVQ·DpWpUHWLUpGXPDUFKpIUDQoDLVTX·HQ&·HVWTXDWUHIois plus
TXHOHVGpFqVRIILFLHOOHPHQWDWWULEXpVjO·KRUPRQHGHFURLVVDQFH­VDYRLUTXHOH
médicament avait été retiré du marché aux États-­Unis en 1997, en Italie et en
Espagne en 2005.

À noter que les retraits pour "meurtres en série" ne sont jamais suivLV G·XQH
TXHOFRQTXH FRQGDPQDWLRQ &·HVW SRXU FHOD TXH M·DL GUHVVp  SRXU FHX[ TXL QH
savent pas -­ ou qui ont la mémoire courte (shadoks) -­ XQWDEOHDXG·KRQQHXU »
GHPpGLFDPHQWVWXHXUVD\DQWSRXUWDQWREWHQXO·$00RIILFLHOOHHWTXLRQWHXOH
temps de faire GHVUDYDJHVDYDQWTXHO·RQVHGpFLGHTXHOTXHIRLVjOHVpUDGLTXHU
(le plus tard possible) de la vente. De leur côté, Michel de Lorgril et Philippe
Even, très actifs sur Internet parlent de 4.000 médicaments inutiles ou pire,
dangereux !

NOTA :
1 -­ Les PDUFKDQGV GH FKLPLH VRQW WHOOHPHQW SXLVVDQWV TX·LOV RQW OD JDUDQWLH
G·XQH LPPXQLWp MXGLFLDLUH WRWDOH HW O·RQ Q·D MDPDLV YX DXFXQ UHVSRQVDEOH GH
laboratoire condamné ou emprisonné suite à la mort de milliers de victimes
G·XQ PpGLFDPHQW YRLU /DE6HUYLHU  7RXW DX SOXV RQ UHWLUH O·REMHW GX GpOLW GX
PDUFKp HW O·RQ Q·KpVLWH SDV j OH UpLQMHFWHU VRXV XQH DXWUH IRUPH HW SRXU XQ
autre usage, en général pour des maladies orphelines, ou tout simplement
dans des pays sans contrôle du tiers monde.

2 -­ "Pharmacie" est tirée du mot grec signifiant "Médicaments et Poisons".

/DSHUWHGHO·KXPDLQF·HVWVDPpPRLUHFRXUWH

 
23  
3
IMPITOYABLE TRUST DE LA MALADIE

À 75 ans, le Dr Fernand Turcotte HVW O·XQ GHV UDUHV PpGHFLQV TXpEHFRLV j


V·LQGLJQHUGHVH[FqVGXEXVLQHVVPpGLFDOVXEYHQWLRQQpHWJUDWXLW6RQFKHYDO
de bataille : Le surdiagnostic2QO·LQYLWHGDQVOHVFRQJUqVGHPpGHFLQVSRXUHQ
discourir ;; son franc-­parler et sa crédibilité scientifique font le reste. Il a pris sa
UHWUDLWHLO\DXQHGL]DLQHG·DQQpHSRXUVHFRQVDFUHUjODWUDGXFWLRQGHOLYUHV
de vulgarisation médicale sur les abus du système. En ce moment il traduit un
OLYUHVXUOHVPpGLFDPHQWVTX·LOEDSWLVH"Le crime organisé".

Faisant allusion aux compagnies pharmaceutiques, administrateurs et autres


marchands du temple qui ont pris le contrôle du système de santé dans
O·HQVHPEOHGHVSD\VULFKHVHQWUHPDQLSXODWLRQGHVGRQQpHVFRUUXSWLRQIDLOOLWH
éthique, capture des règlements, et précipice fiscal, le Dr Turcotte conclut
"Nous avons confié la banque aux bandits !" ;; il poursuit :
"En gros, la santé hérite de presque la moitié de nos impôts, sachant que nos
institutions publiques, normalement destinées à protéger la collectivité, servent
surtout des intérêts commerciaux et privés. Quant aux médecins, ils sont
GHYHQXV GHV WHVWHXUV RIILFLHX[ GH PpGLFDPHQWV FR€WHX[ SRXU OH FRPSWH G·XQ
establishment qui craint les poursuites."

6HORQ OH SUpVLGHQW GH O·$VVRFLDWLRQ PpGLFale du Québec, le Dr Laurent


Marcoux, cité dans le magazine /·DFWXDOLWp de septembre dernier 2014, le
surdiagnostic représenterait 5 milliards de dollars sur un budget qui compte
autour de 30 milliards au Québec. Aux États-­Unis, on estimait les pertes entre
158 et 226 milliards en 2011. Or, qui dit surdiagnostic, dit surtraitement et
VXUPpGLFDWLRQ«HWVXUPRUWDOLWp
Les chiffres sont là : les médicaments sont la troisième cause de décès
après les maladies cardiovasculaires et les cancers.

En conclusion OD UqJOH G·RU HVW VLPSOH j FKDTXH IRLV TXH YRWUH
PpGHFLQ YRXV SDUOH G·XQ QRXYHDX PpGLFDPHQW G·XQ QRXYHDX
développement technologique, sauvez-­vous ² F·HVWSRXUYRXVXWLOLVHU
comme cobaye.

 
24  
Actuellement, divers économistes prévoient une croissance doublée du budget
GHVDQWpG·LFLGDQVOHVSD\VLQGXVWULHOV6HORQ Turcotte, cette dérive est
surtout due aux dépistages systématiques qui mettent les curseurs le
plus bas possible WHQVLRQDUWpULHOOHFKROHVWpUROPDUNHUVFDQFHU« Selon lui,
V·LO pWDLW Pinistre de la Santé, il abolirait tous les examens annuels sur des
bien-­portants, toutes les campagnes de vaccination antigrippale, tous les tests
de dépistage systématique de cancer du sein, de la peau, de la prostate ou du
côlon FHWWH IRLV FH Q·HVW SDV PRL TXL OH GLW !). La preuve que ces tests sont
SDUIDLWHPHQW LQXWLOHV F·HVW TXH OD FRXUEH GH PRUWDOLWp GHPHXUH SUHVTXH
LQFKDQJpH WHVWV RX SDV &{ORQ RX VHLQV j WLWUH G·H[HPSOH HQ UpFKDSSHUDLHQW
en fait 5 patients sur 1000 perVRQQHVWHVWpHVSDUSpULRGHGHGL[DQV«

Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait


prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause
de lui. Le Dr Turcotte précise : "Le traitement est souvent pire que la maladie.
Depuis 1992, nous avons les études qui démontrent que les mammographies
sont inutiles. Même chose pour la prostate oDIDLWELHQW{WVL[DQVTXHO·RQ
dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les
hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer
tellement lentement que ça nous ferait mourir après notre mort !"

6L OHV GpSDUWHPHQWV G·RQFRORJLH VRQW OHV VHFWHXUV OHV SOXV


FRUURPSXVGXV\VWqPHF·HVWSDUFHTXHOHVSDWLHQWVSDQLTXpVVRQW
SUrWV j SUHQGUH HW j IDLUH Q·LPSRUWH TXRL PrPH DYHF GHV WDX[ GH
VXFFqV GH  j OD FOp '·XQ DXWUH F{Wp M·DL FRQQX GHV FDV R OD
sécu obligeait le patient à subir une chimio dont il ne voulait pas.
6·LOODUHIXVDLWRQFRQVLGpUDLWTX·LOQ·pWDLWSDVPDODGHGRQFRQOXL
coupait ses prestations de maladie ! Il est clair que les médecins
sont pris dans un étau qui les force à prescrire quelque chose, car
selon le code de déontologie médical "la médecine est tenue des
PR\HQV« PDLV SDV GHV UpVXOWDWV 3DU FRQWUH V·LO YHXW rWUH
tranquille, le médecin a tout intérêt à prescrire selon le
35272&2/(GXMRXUV·LOQHYHXWSDVVXELUOHVIRXGUHVGHO·25'5(
-­ PrPH HW VXUWRXW V·LO  JXpULW VRQ SDWLHQW SUDWLTXH LOOpJDOH GH OD
guérison) !!!

Le Docteur Turcotte conclut sans ménagement :


"Les médecins sont naïfs et se font rouler dans la farine. On leur ment sur
O·HIILFDFLWp GHV PpGLFDPHQWV 4XDQW aux pharmaciens, je ne les crois plus car

 
25  
QRXVQ·DYRQVSDVDFFqVDX[GRQQpHVSULPDLUHVFHVRQWGHVVHFUHWVLQGXVWULHOV
,OVUDFRQWHQWWRXWFHTX·LOVYHXOHQW

 
26  
4
DÉCÉS IATROGENES
troisième cause de mortalité

9RLFL OD VXLWH G·XQ SUHPLHU UDSSRUW GH  GH O· ,QVWLWXWH RI 0HGHFLQH ,
réactualisé par le JAMA, le périodique médical le plus distribué dans le monde.
/·DXWHXUTXLHVWOHDr Barbara Starfield, du "Johns Hopkins Scool of Hygiene
and Public Health" décrit comment le système hospitalier des USA génère
chaque année une ration de "morts par erreur" :
12.000 décès par chirurgies inutiles,
7.000 décès par erreurs de médication,
20.000 décès par erreurs techniques diverses,
80.000 décès par infections nosocomiales,
106.000 décès "sans-­erreur", par effets négatifs de médicaments
protocolaires.

Total de 225.000 accidents mortels par année,


par effets secondaires graves de traitements.

8QHDXWUHDQDO\VHDPpULFDLQHFRQFOXWTX·XQHPR\HQQHGHGHVSDWLHnts est
YLFWLPH G·HIIHWV QpJDWLIV VXLWH j OHXU WUDLWHPHQW HQ FOLQLTXH H[WHUQH FHFL
entraînant :
-­ 116 millions de visites médicales supplémentaires,
-­ 77 millions de prescriptions supplémentaires,
-­ 17 millions de visites supplémentaires aux urgences,
-­ 8 PLOOLRQVG·KRVSLWDOLVDWLRQV
-­ PLOOLRQVG·DGPLVVLRQVjORQJWHUPH

Tout ceci entraînant encore près de 200.000 décès supplémentaires ! Et


représente un nouveau coût de 77 milliards de dollars, portant le nombre total
des décès prématurés à 425.000 par an.
En clair, ceci représente en gros 1.200 accidents mortels par jour ² Imaginez 2
$LUEXV$TXLVHFUDVKHQWFKDTXHMRXU«ULHQTX·DX[86$ Plus personne ne
voudrait encore monter en avion ! Mais concernant la médecine officielle, on
DGPHWTXHFHVRLW1250$/«

 
27  
%LHQW{WFHVHUDSOXVGDQJHUHX[G·DOOHUGDQVXQK{SLWDODPpULFDLQTXHG·DOOHUj
la guerre. Mais est-­ce mieux chez nous, où les recensePHQWVIRQWO·REMHWG·XQH
rétention coutumière "&HTXHO·RQVDLWVHXOHPHQWF·HVWTX·HQ(XURSHOHVGpFqV
pour cause iatrogène sont au premier rang et non au troisième, devant les
maladies cardiaques et le cancer HWO·RQGpQRPEUHPLOOLRQVGHSHUVRQQes
présentant des réactions négatives diverses aux médicaments prescrits.

'DQVWRXWFHOD+LSSRFUDWHF·HVWSHUGXGHYXH !

 
28  
5
MÉDICAMENTS TUEURS
comment se hâter lentement à les supprimer

$8;',$%(7,48(65(&+$33(6'(/·$9$1',$'(GSK

-ROLVFDQGDOH SDUPLWDQWG·DXWUHV DYHFFHGDQJHUHX[PpGLFDPHQWTXLDHQILQ


pWp MXVWH GpFRQVHLOOp j OD SUHVFULSWLRQ F·HVW JHQWLO   DORUV TXH FHOD IDLVDLW 
DQV TX·LO WXDLW HQ PR\HQQH  SHUVRQQHV SDU PRLV SDU GHV DWWDTXHV
cardiaques et cérébrales. Voila donc encore 12.000 diabétiques qui ont été
définitivement "guéris" grâce aux bons soins de GSK $ORUV TXH O·RQ EUDVVH
HQFRUHO·pSRXYDQWHGHVTwin Towers de New York qui ont fait seulement 3.000
PRUWV IRLVPRLQVTX·DYHFO·$9$1',$ LFLRQEDQDOLVHHWO·RQVHWDLWEn fait, il
V·DJLWG·XQWHUURULVPHVRIWHWVLOHQFLHX[

9R\H] DYHF TXHOOH GLOLJHQFH RQ V·HVW GpSrFKp GH QRXV SURWpJHU  OH New-­York
Times avait déjà révélé des rapports confidentiels affichant plus de 500
attaques et 300 troubles cardiaques qui auraient pu être évités chaque mois en
UHWLUDQWO·$9$1',$GXPDUFKp Le rapport de la Food and Drug Administration
)'$ DYDLWDXVVLFRQFOXTXH/·$YDQGLD GHYDLW être retiré du marché". Depuis
 GHV GL]DLQHV G·pWXGHV VFLHQWLILTXHV LQGpSHQGDQWHV avaient abouti à la
même conclusion. Mais GSK a riposté par des études privées (faites par la
firme !) et qui SURXYDLHQWO·LQQRFXLWpGHVDPROpFXOH

On a seulement demandé à GSK de fournir de nouvelles études, pas attendues


DYDQW«/HEUHYHWGH*6K sur Avandia expirant en 2012, le plus gros du
risque commercial serait ainsi largement passé. /·RQ UHWURXYH LFL WRXMRXUV OH
même scenario que dans les scandales concernant le NUJOL®, le LIPITOR®, le
LYRICA®, le VIOXX®, le TAMIFLU®, etc. Cette liste a permis de passer en revue
les principales techniques des firmes pharmaceutiques, les entreprises
mafieuses les plus rentables au monde, pour vendre coûte que coûte leurs
produits dangereux.

LE MEDIATOR ENFIN (DISCRETEMENT) RETIRE

 
29  
Le Médiator, un médicament encore pour diabétiques en surpoids, cette fois
des laboratoires Servier, interdit depuis novembre 2009, aurait causé la mort
GHTXHOTXHjSHUVRQQHVHQXQSHXSOXVGHWUHQWHDQVVHORQO·$JHQFH
des produits de santé (Afssaps). Le Médiator (benfluorex) fait partie des
fenfluramines à effet "coupe-­faim".

Depuis 1997, les fenfluramines sont interdites aux États-­Unis et en Europe,


pour effets indésirables cardiovasculaires graves, mais en France le Médiator et
VHV JpQpULTXHV RQW pFKDSSp j O·LQWHUGiction. Le ministre de la Santé Xavier
Bertrand a simplement demandé un point sur le médicament, et recommande
à ceux qui ont eu plus de trois mois de traitement de consulter un médecin
SDVFHOXLTXLO·DSUHVFULW« 6HORQOD&1$0GHX[PLOOLRQVGHSHUVRQQHVRQWHX
recours à ce médicament criminel.

15 PROCEDES POUR ECLUSER DES MEDICAMENTS


DANGEREUX

1) Créer de fausses revues spécialisées.

2) Intimider, discréditer les scientifiques critiques.

3) Fonder de fausses associations citoyennes ou infiltrer celles qui existent


(Doctissimo est un bon exemple).

4) Épuiser les ressources limitées des plaignants par des procès interminables,
H[HPSOH 3URFqV GH 9HUVDLOOHV  OHV SODLJQDQWHV GpERXWpHV SRXU Q·DYRLU SDV SX
produire leur ordonnance de 'LVWLOEqQHG·LO\DDQV).

5) 1H IRXUQLU TXH GHV GRQQpHV IDYRUDEOHV HQ YXH G·REWHQLU O·DXWRULVDWLRQ GH
mise sur le marché (AMM).

6) Débaucher et corrompre des médecins pour effectuer des études bidon.

7) Mettre dans sa poche des professeurs reconnus dans leur spécialité pour
faire apparaître les études des firmes comme indépendantes et sérieuses.

8) Exercer une pression agressive sur les pharmaciens, sur les chercheurs, sur
OHV PpGHFLQV GDQV OHXUV FDELQHWV RX OHXUV DVVRFLDWLRQV oD RQ Q·HVW SDV
forcé... on peut aussi mettre tout ce petit monde dehors : mais adieu les

 
30  
VpPLQDLUHV DX[ 6H\FKHOOHV  &DU TXRLTX·RQ GLVH oD H[LVWH WRXMRXUV VRXV
G·DXWUHVDSSHOODWLRQVSXULWDLQHV 

9) 6RXGR\HUGHVSROLWLFLHQVRXGHVPHPEUHVLPSRUWDQWVG·RUJDQHVGHFRQWU{OH
public (OMS, US Department of Health, Education and Welfare, FDA,
ministères de la Santé, Centers for Disease Control -­ CDC, NIH, GEIG -­ Agence
Européenne du Médicament).

10) Scinder un effet indésirable grave en plusieurs effets secondaires mineurs.

11) Utiliser des bureaux de leaderVG·RSLQLRQVjOHXUVROGH

12) Ne pas fournir de références, au nom du secret commercial (sic).

13) Matraquer la population par un marketing publicitaire omniprésent.

14 ,QRQGHUOHVUHYXHVG·HQFDUWVSURSDJDQGLVWHVUpGXFWHXUVHWPHQVRQJHUV

15) Couper les vivres et les subsides des chercheurs, médecins, scientifiques
TXL QH MRXHQW SDV OH MHX« SRXU OHV DXWUHV OHV ODERULHX[ OHV VDQV-­gloire, les
naïfs consciencieux qui ne se posent pas trop de questions, les labos dépensent
25.000 euros par an et par médecin).
/·H[SpULPHQWDWLRQGHOHXUVGURJXHVVXUOHVSRSXODWLRQVLJQRUDQWHVGHVSD\VHQ
voie de développement, comme Pfizer au Nigéria, ou GSK en Amérique Latine,
de façon tout à fait illégale mais en toute impunité, finit de dresser le portrait
non éthique HW WRXW SXLVVDQW GH O·LQGXVWULH SKDUPDFHXWLTXH TXRL TXH VHV
professionnels en relation publique nous disent.
Et si tout cela ne suffit pas, la firme paie, arrose et corrompt..., et le rideau est
baissé, fin de la polémique !

-­ En 16e moyen O·RQSHXWIDLUHQRPPHUXQFROODERUDWHXU MDPDLVOHPRWQ·D


été mieux utilisé) Ministre de la Santé ;; cela peut être un crétin ou un vendu ²
le scandale de la vaccination hépatite B entre autres nous en a donné la
SUHXYH« ,O HVW YUDL TXH SDUYHQX j FH SDUR[\VPH GH Serversité, nous sommes
HQFRUHXQHIRLVO·H[FHSWLRQIUDQoDLVH

-­ Enfin un 17e moyen PRGLILHUODGpILQLWLRQGHVV\PSW{PHVG·XQHPDODGLH


ainsi les paralysies post-­polio deviennent des méningites avec paralysie : le
vaccin éradique donc les paralysies polio.

 
31  
Source : www.futurquantique.org/?p=8172

 
32  
6
UVESTÉROL (Vitamine D)
un complément empoisonné pour vos enfants

8QOHFWHXUP·DpFULW :
"Comme de nombreux parents soucieux de leur progéniture, je donnais
joyeusement la vitamine D quotidienne (l'UVESTEROL, prescrit par notre pédiatre
homéopathe), quand vint le jour où une question me tarauda l'esprit... que
contient-­elle exactement ? Quels en sont les excipients ? Or, la boîte n'indique que
de l'Ergocalciférol dans la composition."
Mais sur la page http://www.doctissimo.fr/medicament-­UVESTEROL-­D.htm on
obtient la vraie liste. Vous êtes bien assis ? Voici la liste des excipients :

‡   Propyle gallate (E310),


‡   Sodium hydroxyde (E524),
‡   Citron, Sodium édétate (E385),
‡   Citrique acide (E330),
‡   Sodium hydrogénophosphate,
‡   Sorbique acide (E200),
‡   Saccharine sodique (E954),
‡   Huile de ricin polyoxyéthylénée,
‡   Propylèneglycol (E1520),
‡   Glycérol (E422),
‡   Eau purifiée.
0HUFLG·HQSUHQGUHQRWH

De fait, si nous allons plus loin dans le détail, grâce au livre "DANGER
ADDITIFS ALIMENTAIRES" de Corinne Gouget, nous y trouvons :

* Propyle gallate (E310) : Antioxydant de synthèse vivement déconseillé


aux femmes enceintes et aux jeunes enfants.

Risques : Hyperactivité, asthme, urticaires, insomnies, troubles digestifs,


infertilité, infection du foie et des reins, lymphomes, cancer et diverses
réactions allergiques. Un rapport de 1993 démontre que cet additif a posé des
problèmes d'hémoglobine, une baisse de production des globules rouges ainsi

 
33  
que des changements morphologiques de la rate chez des rats ayant été
nourris avec cet additif pendant 90 jours. A EVITER !

* Sodium hydroxyde (E524) : L'auteur l'a classé orange car les réactions
sont contradictoires.

* Sodium édétate (E385).

* EDTA (Ethylènediamintétracétate de calcium disodium) : Dangereux pour


les jeunes enfants et néanmoins largement utilisée dans l'alimentation
industrielle. Il a la propriété d'enrober les molécules métalliques pour éviter
leur réactivité.

Risques : mauvaise absorption des minéraux, vomissements, diarrhées,


crampes abdominales ou musculaires, troubles de la coagulation du sang,
passage de sang dans les urines. Sur des animaux de laboratoire, l'EDTA a
causé des dommages du métabolisme cellulaire endommageant ainsi les
chromosomes.

Additif particulièrement dangereux, interdit en Australie. A EVITER !

* Acide sorbique (E200) : Conservateur d'origine naturelle ou chimique


pouvant interagir avec d'autres additifs et en particulier les nitrates. A EVITER
!

* Saccharine sodique (E954) : Le doyen des édulcorants. Forts risques


d'allergies et certainement cancérigène. A EVITER !

* Propylène-­glycol (E1520) : Support et solvant pour additifs connu sous le


nom d'anti-­gel et on pourrait bien se demander si cela est indispensable
lorsque l'ont sait qu'il est bien connu que boire de l'antigel peut provoquer la
SHUWHGHODYXHGHJUDYHVSUREOqPHVDX[UHLQV«et même la mort !

* Glycérol (E422) : L'auteur l'a classé orange car il n'est pas recommandé
pour les femmes enceintes ou allaitant, bien que considéré comme inoffensif.

CERISE SUR LE GATEAU :


TOUTES les boîtes de lait infantile indiquent maintenant
un ajout de vitamine D.
1HV·DJLW-­il pas là d'un véritable empoisonnement collectif organisé ?
Alors par quoi remplacer ce criminel "produit de santé" ?

 
34  
Par exemple, le ZYMAD, ne contenant que de l'Orange, des Tocophérols (E306)
et de l'Huile d'olive semblait beaucoup plus honnête. Mais voilà, il a été retiré
du marché le 13 septembre 2015... et remplacé par le ZYMADUO qui contient
énormément de fluorure de sodium !!!

LA SUPPLEMENTATION EN VITAMINE D EST-­ELLE VRAIMENT


NECESSAIRE ?
Voilà la toute dernière mode inventée par le trust pharmaceutique, à coup de
IDXVVHV pWXGHV FRPPH G·KDELWXGH  SUpWHQGDQW TXH O·RQ D GpFRXYHUW TXH OD
SOXSDUW GHV PLVqUHV GH VDQWp GHV HQIDQWV SURYLHQQHQW G·XQH FDUHQFH HQ
vitamine D. Comme disait la journaliste Sylvie Simon, "/·RQYHQGPDLQWHQDQW
les médicaments et les vaccins comme de la lessive !". De fait, il est clair que le
marché le plus juteux est celui des bien portants à qui il suffit de faire peur, en
leur vantant des produits miracles qui non seulement ne soignent rien, mais
IRQWEpQpILFLHUOHVFUpGXOHVGHUHGRXWDEOHVULVTXHVDXORQJFRXUV«GRQFXQH
JDUDQWLHG·XQDERQQHPHQWjYLH !

QUE PENSER DES MEDECINS PRESCRIPTEURS


'·89(67(52/«(7$875(6&+$5/$7$1(5,(6
"SCIENTIFIQUES" ?
On est en droit de se poser des questions, partant du principe que tout ce qui
est annoncé ici devrait faire partie de leur culture professionnelle :

‡   VRLWLOVQHV·LQWpUHVVHQWSDVYUDLPHQWjOHXUPpWLHU
‡   soit ils sont devenus de dangereux zombis irresponsables des grands labos,
‡   soit ils ne respectent pas leur clientèle,
‡   soit ils ont un intéressement dans leurs prescriptions,
‡   soit ils sont carrément incompétents.

Il y a vraiment de quoi être dubitatif devant la formule consacrée : "Demandez


conseil à votre médecin traitant" -­ ,O Q·\ D KpODV WURS VRXYHQW TXH GX PDO j
SUHQGUH'RPPDJHTXDQGLOV·DJLWHQSOXVGHYRVHQIDQWVFKpULV«

VITAMINE NATURELLE OU DE SYNTHESE CHIMIQUE ?


Personne ne parle de ce problème épineux ;; et pourquoi donc " 3DUFH TX·LO
V·DJLWELHQV€UGHFHOOHVGHV\QWKqVHOHVQDWXUHOOHVQ·pWDQWSDVEUHYHWDEOHV2U
FRPPHMHO·DLGpMjVRXYHQWH[SOLTXpHQWDQWTX·DQFLHQFKLPLVWHODFKLPLHGLWH

 
35  
organique concerne des molécules complexes constituées de séries de radicaux
qui dans la nature sont rangés dans un ordre mathématique parfait selon la loi
des séries de Fibonnacci. Sachez que la synthèse chimique, si elle reconstitue
la formule globale des molécules, est la pOXSDUW GX WHPSV LQFDSDEOH G·HQ
UHVSHFWHUODJpRPpWULHGDQVO·HVSDFHHWHQSDUWLFXOLHUO·RUGUHGHVUDGLFDX[&·HVW
XQSHXFRPPHXQWUDLQGRQWOHVZDJRQVQHVHUDLHQWSDVGDQVO·RUGUHLQLWLDO(Q
chimie, on appelle cela des variétés allotropiques. Le problème est que leurs
SURSULpWpVSHXYHQWrWUHWUqVGLIIpUHQWHV&·HVWDLQVLTX·LOH[LVWHGHVmaladies de
survitaminose avec des vitamines de synthèse qui ne se manifestent jamais
avec des vitamines naturelles.

COMMENT OBTENIR DE LA VITAMINE D NATURELLE


La meilleure source est le soleil -­ On estime généralement que l'exposition au
soleil peut procurer de 80% à 90% de la vitamine D requise, et qu'un bain de
VROHLOLQWpJUDO OHFRUSVjQX SHXWSURFXUHUMXVTX
j8,«0DLVDWWHQWLRQ
à condition de ne pas se savonner pendant 24 h après ! En effet, les stérols de
la peau transforment grâce aux ultra-­violets (UVA) le cholestérol en vitamine
D ;; mais celle-­ci se forme à la surface de la peau et met 24 h pour migrer dans
les couches plus profondes du derme. Cette vitamine est stockable par le foie,
HW FRPPH OD QDWXUH HVW ELHQ IDLWH XQ ERQ HQVROHLOOHPHQW O·pWp VXIILW
QRUPDOHPHQWSRXUSDVVHUOHUHVWHGHO·DQQpHVDQVFDUHQFH« A condition, je le
UpSqWH GH QH SDV V·rWUH VDYRQQp G·XQH IDoRQ LGLRWH DSUqV FKDTXH H[SRVLWLRQ
(raisonnable) au soleil !

On l'a aussi surnommée "vitamine antirachitique" parce que ce trouble de la


croissance est causé par une carence en calciférol (vit. D).

6XUOHSODQDOLPHQWDLUHF·HVWGDQVFHUWDLQVSRLVVRQVTXHO·RQWURXYHODYLWDPLQH
D ² Tous les anciens ont connu cette abominable huile de foie de morue que
QRXV LPSRVDLHQW QRV PqUHV FH TXL HQ RXWUH QH P·D SDV HPSrFKp G·rWUH XQ
"crevard » dans ma jeunesse).

Teneur en vitamines D de quelques poissons


‡   Huile de foie de morue 1 c. à thé = 453 mcg -­ 11 UI
‡   Saumon (bio uniquement) 100 g = 360 mcg -­ 9 UI
‡   Maquereau cuit 100 g = 345 mcg -­ 8,5 UI
‡   Sardines à l'huile 100 g = 270 mcg -­ 7 UI
‡   Maquereau en conserve 85 g = 214 mcg -­ 5,5 UI

 
36  
LES VITAMINES, UN MARCHE DE DUPES
Il y a à peine un siècle, on ne FRQQDLVVDLWPrPHSDVO·H[LVWHQFHGHVYLWDPLQHV²
F·HVW j VH GHPDQGHU FRPPHQW O·KRPPH DYDLW SX VXUYLYUH MXVTXH Oj VDQV OHXU
secours "scientifique".

Voici des années que je répète que la flore intestinale est capable de synthétiser
toutes les vitamines dont nous avons besoin -­ y compris la C (le soleil fait le
UHVWH «PDLVjODVHXOHFRQGLWLRQTXHFHWWHIORUHQHVRLWSDVGpWUXLWHHQSDUWLH
par la chimie et les antibiotiques que la plupart des gens absorbe à longueur
G·DQQpH

Par ailleurs, les fruits, les crudités, et les légumes cuits à la vapeur basse
température, devraient être suffisants pour ne pas avoir à dépenser bêtement
GHO·DUJHQWSRXUHQJUDLVVHUGHVV\VWqPHVSRXUTXLOHXUFKLIIUHG·DIIDLUHFRPSWH
bien plus que votre santé.

(WTXHO·RQQHPHGLVHSDVque je suis sectaire, je suis juste logique et lucide

 
37  
7
PARACÉTAMOLS TOUJOURS AUTORISÉS !
malgré les dégâts et même des morts !

6L OH SDUDFpWDPRO pWDLW XQ QRXYHDX PpGLFDPHQW j ODQFHU LO Q·REWLHQGUDLW SDV
son AMM (autorisation de mise sur le marché).

Il y a longtemps que je dénonce non seulement la médiocrité des résultats mais


aussi les effets collatéraux et même la dangerosité des paracétamols dont le
ténor est le DOLIPRANE. &HTXLHVWLQFUR\DEOHF·HVWO·HQJRXHPHQWJpQpUDOLVpGH
O·HQVHPEOH GX FRUSV médical pour prescrire cette "saloperie". Il existe en plus
toute une longue liste de médicaments contenant du paracétamol associé, tels :
Aféradol® Claradol® Dafalgan® Dolko® Dolotec® Efferalgan® Géluprane®
Gynospasmine® Oralgan® Panadol® Paracétamol GNR® Paralyoc® Pro-­
Dafalgan, etc., mais aussi : Actifed, Algicalm, Algisédal, Algodol, Céfaline, etc.
En fait il y a 600 spécialités pharmaceutiques qui en contiennent.

-·DL SHUVRQQHOOHPHQW HX O·RFFDVLRQ GH IDLUH FRQQDLVVDQFH DYHF (IIpUDOJDQ -­


TX·XQPpGHFLQP·DYDLWSUHVFULW-­ DORUVTXHM·pWDLVEORTXpDXOLWDYHFXQPpFKDQW
lumbago ;; cela me mettait dans un tel état nauséeux avec une "gueule de bois"
comme après une cuite, que je ne pouvais plus rien manger, rien digérer -­
merci docteur ! Une aXWUH IRLV DORUV TXH M·DYDLV pWp KRVSLWDOLVp SRXU GH JURV
WURXEOHVGXU\WKPHGXF±XUXQLQILUPLHUHVWYHQXPHPHWWUHXQSURGXLWGDQV
ma perf ;; comme je suis curieux -­ voire méfiant -­ je lui ai demandé ce que
F·pWDLWHWLOP·DUpSRQGX : "du paracétamol". Je lui ai dit PDLVMHQ·DLPDOQXOOH
part !" -­ $SUqVTX·LOVRLWVRUWLM·DLGpEUDQFKpOHWX\DXGXFDWKpWHUHWM·DLYLGpOH
FRQWHQX GH OD SHUI GDQV XQ YHUUH SRXU OH MHWHU GDQV O·pYLHU  PDLV M·DL FRPPLV
XQH PDODGUHVVH HW XQH SDUWLH V·HVW GpYHUVpH SDU WHUUe. Une fois séchée, la
flaque a laissé une tâche blanche comme du plâtre. Je me suis dit : "ils
balancent cela dans les veines des gens !"

CONNAISSEZ-­VOUS LA DIFFERENCE ENTRE UN ANTALGIQUE


ET UN ANALGESIQUE ?
Contrairement aux antalgiques qui ne font qu'atténuer la douleur, les
analgésiques ont pour objet d'effacer totalement la douleur. A savoir que le
'ROLSUDQHQ·HVWTX·XQDQWDOJLTXHDORUVTXHO·DVSLULQHHVWDQDOJpVLTXH

 
38  
(YLGHPPHQW OH FRQWUH DUJXPHQW GH O·$VSLULQH DFLGH DFpW\OVDOLF\OLTXH  HVW VD
réputatLRQ G·DWWDTXHU O·HVWRPDF j KDXWH GRVH HW G·rWUH UHVSRQVDEOH
G·KpPRUUDJLHV JDVWULTXHV $ O·K{SLWDO RQ QRXV GLW TXH O·DVSLULQH IOXLGLILDQW OH
sang risque de déclencher des hémorragies post opératoires, et que certaines
personnes y sont allergiques. Admettons, mais en dehors de ce contexte, la
formule ASPEGIC en 100, 250, 500 et 1.000mg ne semble guère agressive du
PRLQVHQXWLOLVDWLRQSRQFWXHOOHVXUTXHOTXHVMRXUVHQSOXVG·rWUHHIILFDFHOjR
'ROLSUDQHHVWPpGLRFUHRXQXO$FKDTXHIRLVTXHM·DLFRQVHLOOpà des personnes
atteintes de douleurs récurrentes (migraine, règles, etc.) de remplacer
'ROLSUDQH SDU $VSpJLF HOOHV P·RQW FKDOHXUHXVHPHQW UHPHUFLp HW RQW VRXYHQW
fait part de leur découverte à leur entourage.

0$,6$//21692,5'·813(83/8635(6/('266,(5 DES
PARACETAMOLS :

Sur le site du ministère de la santé canadien on peut lire "Le paracétamol est la
principale cause de graves lésions du foie, y compris l'insuffisance hépatique
aiguë, dans de nombreux pays, dont le Canada, les États-­Unis, le Royaume-­Uni
et l'Australie."

Toujours sur le site officiel canadien, on peut lire : "De plus, jusqu'à 20 % des
cas de lésions du foie associées au paracétamol mentionnent des doses dans la
gamme recommandée (moins de 4 g par jour, soit l'équivalent de 8 comprimés de
500 mg)." 0DOJUp FH FRQVWDW VDQV DSSHO OH &DQDGD Q·D WRXMRXUV SDV SULV OD
moindre mesure.

&·HVW DLQVL TXH O·RQ DSSUHQG TXH FKDTXH DQQpH SUqV GH  DPpULFDLQV
VRQW YLFWLPHV G·XQH LQWR[LFDWLRQ JUDYH GXH DX SDUDFpWDPRO DOODQW MXVTX·j OD
mort. Oui, il faut aller là-­bas pour connaître des statistiques, car en France on
QHVDLWMDPDLVULHQVXUFHTXLIkFKH«

Par ailleurs, concernant les grippes et les rhumes hivernaux, le geste stupide
SRXU VRXODJHU O·LQIODPPDWLRQ HWRX OD ILqYUH HVW GH SUHQGUH O·XQ RX O·autre de
trois remèdes spécifiques au paracétamol en vogue bien que reconnus comme
dangereux, qui sont :

-­ /·$FWLIHG à la pseudo-­pSKpGULQH VRUWH G·DPSKpWDPLQH ELHQ TXH OHV HIIHWV


secondaires de ce médicament aient été jugés "inacceptables » en 2008 par la
Commission de la pharmacovigilance.

 
39  
-­ /·+XPH[ HW OH )HUYH[ à la phéniramine, un antihistaminique qui
SUpVHQWHUDLWXQULVTXHGHGpYHORSSHUjWHUPHODPDODGLHG·$O]KHLPHU

Que de risques par ignorance pour des remèdes illusoires à propos desquels
M·HQWHQGs souvent : TX·HVW-­FH TXH FHOD DXUDLW pWp VL MH Q·DYDLV SDV SULV
cela !"&RPPHQWOHVDYRLUSXLVTX·LOIDXWDYRLUHVVD\pSRXUSRXYRLUHQMXJHU

$ UHWHQLU DXVVL TXH OH SDUDFpWDPRO IDLW PDXYDLV PpQDJH DYHF O·DOFRRO ;; en
particulier par exemple des arthrosiques gros buveurs et abonnés au Doliprane
TXRWLGLHQ DERXWLVVHQW VRXYHQW j OD GHVWUXFWLRQ WRWDOH GH OHXU IRLH ELHQ TX·LOV
Q·DLHQW MDPDLV GpSDVVp OHV GRVHV PD[LPXP UHFRPPDQGpHV &HV JHQV VRQW
YRXpVjODPRUWV·LOVQHSHXYHQWUHFHYRLUXQHJUHIIHGXIRLH

PARACETAMOL ET COMPASSION

&H Q·HVW SDV WRXW LO \ D TXHOTXH WHPSV M·DL pGLWp XQ DUWLFOH pWRQQDQW sur la
réduction de compassion des consommateurs réguliers de paracétamol face à
la douleur et la souffrance des autres. Le Dr Baldwin Way a mené une étude
suU  pWXGLDQWV GRQW OD PRLWLp RQW UHoX  PJ G·DFpWDPLQRSKqQH
O·LQJUpGLHQW DFWLI GX SDUDFpWDPRO HW O·DXWUH PRLWLp XQ SODFHER /HV pOqYHV RQW
ensuite lu des histoires de gens qui avaient été blessés, et ont été ensuite
invités à évaluer leur douleur. CHX[TXLRQWUHoXO·DFpWDPLQRSKqQHRQWWRXMRXUV
GRQQp GHV QRWHV ELHQ SOXV IDLEOHV FRQFHUQDQW O·DSSUpFLDWLRQ GHV GRXOHXUV GHV
gens. Le Dr Way explique :
"Les participants ont eu une chance de faire preuve de compassion avec la
VRXIIUDQFH GH TXHOTX·XQ DXTXHO ils ont pensé et qui traversait une épreuve
VRFLDOHPHQWGRXORXUHXVH0DLVFHX[TXLRQWSULVGHO·DFpWDPLQRSKqQHRQWpWpSHX
touchés. Ils étaient peu préoccupés par les sentiments des personnes blessées et
rejetées."
Les chercheurs sont en train de transférer leurs expériences à O·,EXSURIqQH
pour voir si les résultats sont identiques. Or, un quart des Américains
prennent chaque semaine au moins un médicament censé tuer la
FRPSDVVLRQ«XQSHXLQTXLpWDQWQRQ ?

UNE FABRICATION DOUTEUSE

 
40  
0DLV FH Q·HVW SDV encore tout  -·DL DSSULV TXH OH SDUDFpWDPRO HVW GpVRUPDLV
LPSRUWp j  G·$VLH QRWDPPHQW GH &KLQH HW TXH SOXVLHXUV DFWHXUV GH OD
VDQWp V·LQTXLqWHQW GX PDQTXH GH FRQWU{OH H[HUFp VXU FHV ORLQWDLQV VLWHV GH
SURGXFWLRQ(QSDUWLFXOLHUFHVVHPHXUVG·DOHUWH pointent la baisse de qualité de
FHWWH PROpFXOH GH EDVH HW VRXOLJQHQW TX·DXFXQ UHFRXUV QH VHUDLW SRVVLEOH HQ
cas de malfaçon majeure du fait de la complexité de la filière.

Il faut savoir que pour le paracétamol et nombre de médicaments,


particulièrement les génériques, seule la phase de conditionnement final se
déroule désormais en France. En 2008, la fermeture de la dernière unité de
production européenne de paracétamol, détenue par Rhodia à Roussillon
GDQV O·,VqUH IXW MXVWLILpH SDU OH VRL-­disant manqXH GH UHQWDELOLWp GH O·DWHOLHU
Depuis, une enquête auprès du personnel de Sanofi-­Aventi, gros client de
Rhodia, a confirmé la dégradation de qualité du paracétamol chinois. On y
trouverait des sous-­produits dont on ne connaît pas les effets sur la santé ;; le
syndicat évoque même des lots contenant "des salissures indignes avec la
fabrication de spécialités pharmaceutiques, poils de balai, insectes et autres".
Le problème est que les sites de synthèse des matières actives chinois ou
indiens sont inspectés en moyenne 5 fois moins que les sites européens, et
SHQGDQWFHWHPSVO·$)66$36IDLWODSLHFUHYpH » tant que les scandales sont
PpFRQQXVRXpWRXIIpV«

CONCLUSION :

'·DSUqVPHVVRXUFHVODIDPLOOHGHVSDUDFpWDPROVUHSUpVHQWHUDLWOH180e52
absolu des ventes en pharmacie. Ni les labos, ni les médecins, ni les
SKDUPDFLHQVQ·RQWLQWpUrWjODLVVHUpFODWHUOHVFDQGDOH7RXWOHPRQGH\YDGH
sa virginité apparente pour que le public continue à croire au Père Noël, de
PrPH TXH SRXU OHV YDFFLQV HW ELHQ G·DXWUHs médicaments, sans compter
O·pQRUPH SHUWH HQ FDVFDGH GX FKLIIUH G·DIIDLUH GHV JUDQGV ODERV V·LOV pWDLHQW
obligés de supprimer cette manne.
/·LJQRUDQFHHWODGRFLOLWpGXSHXSOH
JDUDQWLVVHQWODWUDQTXLOOLWpGHO·HVWDEOLVKPHQWHQSODFH«

 
41  
8
STOP A LA CONFISCATION DE LA SANTÉ !

&HOD D FRPPHQFp DYHF OD VXSSUHVVLRQ GX GLSO{PH G·KHUERULVWH SHQGDQW OD
dernière guerre sous le régime de Pétain ² aucun gouvernement de gauche ou
GHGURLWHQHO·DGHSXLVUpKDELOLWp

Sur 200 SODQWHVUpSHUWRULpHVjIRUFHG·HQ VXSSULPHUO·DXWRULVDWLRQGHYHQWH


SXEOLTXH LO Q·HQ UHVWH SOXV TXH« MH FURLV  HQ SK\WRWKpUDSLH ! Nos grands-­
mères savaient herboriser, maintenant la plupart des gens ne savent plus rien
et sont incapables de se sortir du moindre problème de santé sans l·DVVLVWDQDW
chimico-­pharmaceutique ² TXLQRXVUDEkFKHVDQVFHVVHTX·LOHVWGDQJHUHX[GH
se soigner seul sans faire appel à un PROFESSIONNEL "de santé" (moi je dirai
"de maladie")...

3XLV FHOD D pWp OH WRXU GH O·KRPpRSDWKLH TXL IRQFWLRQQDLW PHUYHLOOHXVHPHQW
depuis plus de deux siècles (Hahnemann et Korsakov) au travers de la
compétence de multiples homéopathes, dont la descendance a trop souvent
dégénéré en bricopathes opportunistes formés en trois week-­ends, et
fonctionnant comme en allopathie (un trouble = un médicament). Afin de ne
SDV IDLUH G·RPEUH j OD FKLPLH EHDXFRXS SOXV OXFUDWLYH Big Pharma institua
pour la partie organo des règles stupides de fabrication pour des raisons
LUUpDOLVWHV GH VpFXULWp VDQLWDLUH FKDXIIDJH j ƒ SXLV j ƒ DORUV TX·RQ VDLt
depuis toujours que le signal homéopathique est détruit à 70°).

'·DXWUHSDUWRQDO·LPSUHVVLRQTXHPHVVLHXUVOHVPpGLFR-­scientifiques soit, ne
UpDOLVHQW SDV FH TX·HVW O·KRPpRSDWKLH VRLW VH ILFKHQW GX PRQGH 8QH VLPSOH
dilution de 5CH représente une dilution de 1 molécule du produit sur 10
SXLVVDQFH]pURVGRQFPLOOLDUGVGHPROpFXOHVG·HDX3RXU&+F·HVWXQH
dilution de 1 milliard de milliard de dilutions (1 sur 10 puissance 18 zéros, et
ainsi de suite). Comment imaginer un quelconque danger de contamination de
WHOOHV GLOXWLRQV TX·HQ RXWUH RQ Q·D MDPDLV YX GH WRXWH O·KLVWRLUH GH
O·KRPpRSDWKLH"

Pendant ce temps, on a culturellement "oublié" les formes homéopathiques les


plus efficaces (triturations ² gouttes ² hautes dilutions). Et comme cela ne
suffisait pas, de 4500 souches de base, on est passé à 1500, ce qui a fait
PROOHPHQW UkOHU SUDWLFLHQV HW FRQVRPPDWHXUV SXLV O·RQ D FRQWLQXp SDU SHWLWV

 
42  
FRXS GH VDSHV LWpUDWLIV HQ YXH G·DWWHLQGUH GRXFHPHQW OD SURFKDLQH pWDSH
restrictive des 50 polychrestes basiques ² $IRUFHMHQHVDLVPrPHSOXVRO·RQ
en est actuellement.

(QFODLUOHIRUPDWDJHRIILFLHOHQFRXUVF·HVW :

/·KRPpRSDWKLHHWOHVWLVDQHVF·HVWSRXUODERERWKpUDSLH
Mais il restait encore un dernier bastion : les teintures mères (à partir
GHVTXHOOHV FKDFXQ SRXUUDLW HQ RXWUH IDEULTXHU GH O·KRPpRSDWKLH DUWLVDQDOH
SURFpGp .RUVDNRY«  (W ELHQ YRLOj TXH OD SOXSDUW GH FHV SURGXLWV VRQW
subitement devenus plus dangereux encore que les médicaments du
laboratoire Servier ! Combien de morts par empoLVRQQHPHQW " =pUR« %UHI
les teintures mères sont devenues illégales, et le pharmacien laisse simplement
WRPEHU VDQV pWDW G·kPH : "Cà ne se fait SOXV SRLQW EDUUH ,O V·HQ ILFKH VHV
PHLOOHXUVUHYHQXVFHVRQWOHVJpQpULTXHVELHQTX·LOV·HQGpIHQGH

Tout problème appelant une solution, il restait encore une échappatoire :


Internet j FRQGLWLRQ ELHQ V€U G·DYRLU GX GLVFHUQHPHQW SRXU WRPEHU VXU OHV
bonnes adresses ² &·HVW DLQVL TXH O·RQ SHXW DOOqJUHPHQW V·DSSURYLVLRQQHU HQ
Belgique, en Allemagne, en Angleterre, etc., avec la plupart des produits
disparus dans notre beau pays de France«HWWDQWSLVSRXUFHX[TXLQ·RQWSDV
G·RUGL !

Et là, contre toute attente (comme dans les bons thrillers), voilà que la partie se
corse un peu plus : pour payer sur Internet, vous êtes bien sûr obligés de
négocier par carte bancaire. Et bien sachez que TOUTES les cartes bancaires
par Internet sont assujetties au système PAYPAL, qui règne sur le monde
HQWLHU 2U 3D\SDO F·HVW OD EDQTXH PRQGLDOH HW OD EDQTXH PRQGLDOH FH VRQW
entre autres, les lobbies pharmaceutiques qui font la loi sur tous les pays.
&·HVW DLQVL TX·HQ VHSWHPEUH  OD VRFLpWp 0LQHUDO 6ROXWLRQV V·HVW YXH
interdire sur le champ par Paypal (organisme bancaire !) la vente du MMS. Un
PRLVDSUqVF·pWDLWOHWRXUGX'062&·HVWVLPSOHLOVQ·HQUHJLVWUHURQWSDVYRWUH
paiement. Je suppose que cela va continuer sur tous les BONS remèdes qui
GpUDQJHQWO·LQGXVWULHSKDUPDFHXWLTXH

$ORUV F·HVW IRXWX ? Non mes amis, pas encore ! Car il se pointe une aubaine
inattendue. Vous savez que la nouvelle guerre froide USA / Russie (cette
dernière ne voulant plus jouer avec le monopole des dollars frauduleux) bat son
SOHLQ HW TX·j WLWUH GH SXQLWLRQ ª OD )UDQFH HW O·(XURSH QRXYHOOHV FRORQLHV
DPpULFDLQHV  RQW pWp REOLJpHV GH PHWWUH O·HPEDUJR VXU OD 5XVVLH 4X·j FHOD QH
tienne, la Russie a crée un axe commercial intense avec la Chine compensant

 
43  
aisément les importations du bloc atlantiste et aggravant encore du coup le
chômage des pays exportateurs concernés (le principe GH O·DUURVHXU DUURVp 
Big Brother a alors joué sa dernière carte : bloquer sur la Russie toutes les
cartes de paiement classiques (Master Card, Visa, etc.) afin de figer toutes les
transactions commerciales russes.

Mais Poutine (champion aux échecs) avait déjà affilié la Russie à la nouvelle
carte chinoise indépendante du carcan américain HOOHV·appelle CHINA UNION
PAY (CUP). Voici à mon sens un coup mortel porté à la dictature du
gouvernement mondial, et ce fut une excellente nouvelle. Elle est fonctionnelle
pour les paiements et retraits dans 140 pays ² peut-­être plus maintenant ²
dont la France (CA ² BP ² CL -­ &DLVVHG·pSDUJQH 0LOOHFRPPHUoDQWVIUDQoDLV
DIILOLpVO·DFFHSWHQWGHVWRXULVWHVpWUDQJHUV ELHQREOLJpV +pODVSRXUO·LQVWDQWMH
Q·DL SDV FRQQDLVVDQFH GH EDQTXHV IUDQoDLVHV TXL IRXUQLVVHQW FHWWH FDUWH GH
SDLHPHQW DORUV TX·HOOH HVW DFWXellement délivrée dans une trentaine de pays à
O·pWUDQJHU

,OFRQYLHQWGRQFSRXUFKDFXQG·HIIHFWXHUGHVUHFKHUFKHV SDU*RRJOHHWDXWUHV
PRWHXUV GH UHFKHUFKH  SRXU VDYRLU FRPPHQW O·REWHQLU 0DLV DWWHQWLRQ OD &83
fonctionne en mode prépayé sur un compte quHO·RQGRLWDSSURYLVLRQQHU,OHVW
évident que face à la chape de la dictature réductionniste en cours, notre
liberté à accéder aux meilleurs traitements des maladies lourdes et
O·RSSRUWXQLWp G·pFKDSSHU DX[ SURWRFROHV GH SRLVRQV FKLPLTXHV YRQW GHYRLU
passer obligatoirement par ce nouveau mode de paiement ² jFRQGLWLRQG·DYRLU
O·LQLWLDWLYHGHV·\DERQQHU

 
44  
9
*8(55()52,'(&2175(/·+20e23$7+,(

,O \ D  DQV MH GLIIXVDLV GpMj GHV DUWLFOHV WLWUDQW /·KRPpRSDWKLH VDERWpH -H
dénonçais alors :
1 ² Des souches mères souvent douteuses (erreurs de cueillette).
2 ² La loi scandaleuse de la chauffe des souches organiques à 131°. Les
mémoires homéopathiques se perdent à 70°.
3 ² /·LQWHUGLFWLRQGHO·DXWR-­isothérapies (trop efficace).
4 ² Le sabotage par la chauffe des biothérapiques (exsudats pathologiques)
pour de fausses raisons prophylactiques vues plus haut. (QILQ M·DL WRXMRXUV
contesté le choix français des granules, qui est la formule la moins efficace face
aux triturations et surtout aux gouttes largement utilisées chez les allemands ²
FHFLSRXUOHVUDLVRQVPDWKpPDWLTXHVTXHM·H[SOLTXHHQGpWDLOGDQVPRQRXYUDJH
"HOMEOPATHIE COURANTE par vous-­même".
Mais les attaques continuent tous azimuts :
-­ menace récurrente de déremboursement,
-­ polémique constanWHFRQFHUQDQWO·DEVHQFHGHIRQGHPHQWPpGLFDO
-­ disparition de nombreuses souches anciennes,
-­ V·HVWDMRXWpHGHSXLVPDUVXQHSURFpGXUHG·HQUHJLVWUHPHQW
homéopathique (EH) qui impose aux 1.163 souches remboursables répertoriées
en France de passer sous OHFRQWU{OHGHO·$JHQFHQDWLRQDOHGHVpFXULWpGX
médicament (ANSM).
-­ enfin est arrivé le coup de grâce : une directive européenne réduisant de 75%
le nombre de remèdes homéopathiques.
Il est clair que O·KRPpRSDWKLHSRXUWDQWYLHLOOHGHGHX[VLqFOHV, dérange et fait de
O·RPEUHDXSXLVVDQWOREE\SKDUPDFHXWLTXH$XVVLWURLVPpGHFLQV Jean-­Louis
Ode, généraliste à Saint-­Raphaël, Jean-­Michel Alexis, praticien à Draguignan
et Didier Grandgeorge, pédiatre à Fréjus, sont partis en guerre pour défendre
O·KRPpRSDWKLH TX·LOV GLVHQW j MXVWH WLWUH PHQDFpH GH PRUW
La raison précise de toute cette agitation ? Pour faire simple, depuis janvier
2015, chaque souche homéopathique donne lieu à une autorisation, alors
TX·DYDQWODQRUPHpWDLWXQHVLPSOHSURFpGXUHJURXSpH
Maintenant, en moyenne, les laboratoires pharmaceutiques doivent dépenser
½SDUVRXFKH4XDQG%RLURQTXLHVWHQVLWXDWLRQGHTXDVL-­monopole en

 
45  
France, obtient un enregistrement homéopathique, il choisit de ne vendre que
les dilutions rentables ² conséquence logique. Résultat : sur les 5.500 souches
inscrites à la Pharmacopée européenne, près de 4.200 médicaments
homéopathiques sont supprimés, ce qui représente 75% des remèdes. Depuis
son entrée en Bourse, en 1987, F·HVW OD UHQWDELOLWp DYDQW WRXW GDQV O·RSWLTXH
G·XQHpYHQWXHOOHUHYHQWH ;; ceci a entraîné une rupture de ses engagements, où
ORUVGXUDFKDWGH'ROLVRVHQ%RLURQV·pWDLWHQJDJpjFRQVHUYHUODWRWDOLWp
des souches.
Concernant les homéopathes dûment canonisés, avoir sué sang et eau pendant
des années sur le Kent ou le Kollitsch pour acquérir leur compétence ne
VLJQLILH SOXV ULHQ SXLVTX·RQ OHXU D FRQILVTXp OD PDMRULWp GH OHXUV RXWLOV /HV
praticiens sont donc poussés à des pratiques border-­line, entre activité de
SURSKDUPDFLHQ HW LQFLWDWLRQ j DOOHU V·DSSURYLVLRQQHU j O·pWUDQJHU  %HOJLTXH
Allemagne, Suisse, Grande-­Bretagne ou encore en Autriche, où la pharmacie
Remedia met à disposition les 5.500 souches de la Pharmacopée
européenne. Il y a en France une trentaine de pharmacies capables de fournir
GLVFUqWHPHQW OHV UHPqGHV KRPpRSDWKLTXHV SURVFULWV j GpIDXW G·DOOHU j
O·pWUDQJHU

LE SABOTAGE PROGESSIF
%RLURQ Q·D TXH OH QRP SXLVTXH VHORQ PHV VRXUFHV LO \ D GHV DQQpHV TXH
O·HQWUHSULVHDpWpUDFKHWpHSDU5K{ne Poulenc. Le sabotage a commencé depuis
longtemps, déjà par le choix technique de granules dites imprégnées par
brumisation séquentielle. Or peu de gens, même parmi les professionnels, se
UDSSHOOHQW TXH OH SULQFLSH EDVLTXH GH O·KRPpRSDWKLH HVW OD GLOXWLRn plus la
succussion, donc la voie liquide O·LPSUpJQDWLRQVXUJUDQXOHVHVWXQHDUQDTXH
financière permettant de multiplier peut²être par 100 la marge de vente des
SURGXLWV SXLVTX·j SDUWLU G·XQ VHXO IODFRQ GH  PO RQ SHXW JpQpUHU GHV
centaines de tubes de granules pour le même prix.

Le problème est que le signal homéopathique -­ TXH O·RQ SRXUUDLW FRPSDUHU j


une odeur dans une autre gamme vibratoire -­ est directement proportionnel à
VD VXUIDFH GH FRQWDFW DYHF O·H[WpULHXU ;; de fait tout le monde a pu remarquer
TX·XQ YHUUH GH YLQ QH GpJDJH DXFXQH RGHXU HQYLURQQDQWH DORUV TXH OH PrPH
verre renversé par terre répand aux alentour une odeur de bistrot de bas
TXDUWLHU /D FRQFOXVLRQ HVW TXH SDU UDSSRUW DX[ SUpVHQWDWLRQV G·RULJLQH
diffusées depuis toujours en Allemagne, qui sont les versions liquides (en
gouttes), et même en trituration (poudre), les granules sont de loin la formule la

 
46  
plus médiocre dont le rendement ramené est peut-­être de 10% seulement. Ce
TXLHVWVWXSpILDQWF·HVWTXHWUqVSHXG·KRPpRSDWKHVRQWUemis en question ce
mystère majeur de la religion homéopathique "pourquoi des granules, et
pourquoi 3 et non pas 5 ou 10", se désintéressant totalement de la formule
"dilution" ;; ceci a contribué au fait que cette présentation a été retirée de la
vente danVOHVSKDUPDFLHVFRXUDQWHV«

3XLV HQ GpSLW GX GpQLJUHPHQW FRQVWDQW GH O·KRPpRSDWKLH O·HQJRXHPHQW GX
public se répandit quand même de plus en plus ;; les instances politiques aux
ordres de Big Pharma ont alors inventé un autre sabotage, prétextant une
sécurité sanitaire, en obligeant à la chauffe à 131° C de toutes les souches
G·RULJLQH RUJDQLTXH &HFL YHXW GLUH TXH GHSXLV WRXWH OD JDPPH GHV
ELRWKpUDSLTXHV GRQF IDEULTXpV j SDUWLU G·RUJDQHV DQLPDX[ RX G·H[VXGDWV
SDWKRORJLTXHV QHVRQWSOXVTXHGHVGLOXWLRQVGHSRWDXIHX2QQ·DSRXUtant
jamais vu personne qui soit intoxiqué par un micro-­organisme résilient, même
sur des souches purulentes telles Pyrogénium ou Anthracinum, mais qui
bien au contraire, ont été guéris !

$QRWHUTX·jSDUWLUGH&+ GLOXWLRQSXLVVDQFH ODORLG·$YRgadro bien


FRQQXHHQSK\VLTXHpWDQWDWWHLQWHLOQ·\DVWDWLVWLTXHPHQWSOXVDXFXQHFKDQFH
TX·LO UHVWH XQH VHXOH PROpFXOH GH EDVH 2U F·HVW MXVWHPHQW j SDUWLU GH FH
moment que le célèbre Benvéniste GX&156DGpPRQWUpO·DWWHLQWHGHODSOHLQH
puissance du signal homéopathique, ce que les RBB (rationalistes bêtes et
ERUQpV  V·DFKDUQHQW WRXMRXUV j QH SDV YRXORLU FRPSUHQGUH SXLVTX·LOV UHIXVHQW
WRXMRXUVG·DGPHWWUHOHSULQFLSHSRXUWDQWGpPRQWUpGHODPpPRLUHGHO·HDX

Tous les petits labos qui ont essayé de "trichoter" avec cette loi scélérate de la
FKDXIIH RQW IDLW O·REMHW G·XQ KDUFqOHPHQW HQ UqJOH GH OD SDUW GH %RLURQ DYHF OH
VRXWLHQ GHV SRXYRLUV SXEOLFV FRQWU{OHV VDQLWDLUHV FRQWU{OHV ILVFDX[«
incessants). Boiron à la solde de Big Pharma est devenu ainsi le monopole de
UpIpUHQFH LQFRQWRXUQDEOH GH O·KRPpRSDWKLH D\DQW H[WHUPLQp WRXV OHV JrQHXUV
LQWqJUHV HW SHUIHFWLRQQLVWHV 3RXUWDQW OHV LUUpGXFWLEOHV GH O·KRPpRSDWKLH VRQW
restés imperturbables, soit vis-­à-­vis des patLHQWVTXLQ·pWDQWSDVDXFRXUDQWGX
VDERWDJHHQTXHVWLRQEpQpILFLDLHQWGHO·HIIHWSODFHERLQGXLWSDUO·KDELWXGHVRLW
vis-­à-­vis des praticiens lambdas qui ne cherchent pas trop à comprendre et
préfèrent ne pas avoir à se remettre en question.

Alors vu les résultats de plus en plus décevants, dus au sabotage incessant de


OD TXDOLWp KRPpRSDWKLTXH G·XQH SDUW HW j O·LQFRPSpWHQFH GpVLQYROWH GH
nombreux homéopathes, le public finit par se décourager (ce qui est le but
recherché), signant la victoire finale des marchands de chimie.

 
47  
Mais les consommateurs ne doivent pas en rester là ! Il y a des échappatoires
au complot.

3DV TXHVWLRQ GH SpWLWLRQV LQXWLOHV RX GH MRXUQpHV G·DFWLRQ FR€WHXVHV HW
risquées.
1 ² Il y a encore en France quelques pharmacies qui fabriquent
clandestinement de la bonne homéopathie, mais ne comptez pas sur moi pour
OHVGpQRQFHUSXEOLTXHPHQW$FKDFXQGHFKHUFKHU«jODJXHUUHFRPPHjOD
guerre !

2 ² ,O HVW FRQQX TXH O·$OOHPDJQH IRXUQLW GH O·KRPpRSDWKLH GH ELHQ PHLOOHXUH
qualité que Boiron ² Exemple de marque bien connue : le laboratoire Heel.

3 ² $XOLHXGHV·DFKDUQHUVXUO·KRPpRSDWKLH+DKQHPDQQLHQQHSRXUTXRLQHSDV
RSWHU SRXU OD PpWKRGH .RUVDNRYLHQQH RXYHUWH j O·DUWLVDQDW SXLVTX·HOOH QH
QpFHVVLWH TX·XQ VHXO IODFRQ pouvant être une simple bouteille de Perrier ?
1·LPSRUWH TXHOOH WLVDQH RX WHLQWXUH PqUH SHXW VHUYLU GH EDVH HW HQ SURFpGXUH
manuelle, il est inutile de monter au-­delà de la 9ième dilution qui couvre tous
les cas de figure. La méthode détaillée est parfaitement décrite dans mon
ouvrage intitulé : HOMEOPATHIE COURANTE PAR SOI-­MÊME aux éditions Guy
Trédaniel. A noter que ce qui est vendu en pharmacie comme étant du
.RUVDNRY HQ....HWSOXV Q·HVWSDVYUDLPHQWGX
Korsakov mais du Kent obligatoirement élaboré à la machine. En 1860,
.RUVDNRY QH GLVSRVDQW SDV G·pOHFWULFLWp QH SRXYDLW ORJLTXHPHQW UpDOLVHU GH
telles dilutions.

4 ² Enfin, il reste la méthode royale de /·DXWR-­isothérapie" à partir des


propres exsudats du malade (urine, salive, morve, larmes, sueur,
expectorations, pus, suintements, desquamations, gonorrhées, et le précieux
SODFHQWDDSUqVO·DFFRXFKHPHQW 

Cette technique totalement personnalisée, et largement utilisée entre les deux


JXHUUHVpWDLWWHOOHPHQWHIILFDFHTX·HOOHDreprésenté un danger imminent face à
O·LQGXVWULH SKDUPDFHXWLTXH ;; aussi toutes les études, témoignages et
GRFXPHQWVFRQFHUQDQWFHWWHEUDQFKHGHO·KRPpRSDWKLHRQWpWpGpWUXLWV

Alors, finalement, a-­t-­on vraiment besoin de Boiron ? Pas du tout /·DGYHUVLWp


GRQQHGHVDLOHVGRQQDQWGXPrPHFRXSO·RFFDVLRQGHQHSOXVrWUHQLDVVLVWpV
QL WURPSpV HW GH FRQTXpULU  SOXV G·DXWRQRPLH GH VDQWp $ORUV PHUFL %RLURQ !
Rappelez-­vous que les soldats de la guerre 14-­ Q·DYDLHQW SDV EHVRLQ GH
Boiron pour se guérir de leurs dysenteries récurrentes en fabriquant à partir de

 
48  
OHXU HDX GH ERLVVRQ O·KRPpRSDWKLH GH OHXU GLDUUKpH HQ  '+ TX·LOV DSSHODLHQW
plaisamment "Merdorinum".

 
49  
10
TABAC MODERNE
un "deal" criminel légalisé

Lorsque nos grands-­parents fumaient, ils fumaient du vrai tabac (bio en


quelque sorte) ² HWLOQ·\DYDLWTXHGXWDEDFLVVXGHODSODQWH0DLQWHQDQWRQVH
GHPDQGH V·LO \ D VHXOHPHQW HQFRUH XQ SHX GH WDEDF GDQV OD PL[WXUH 75Ë6
complexe qui est communément proposée dans le commerce, et curieusement
VDQVODPRLQGUHUpDFWLRQGHVVHUYLFHVGXFRQWU{OHGHVIUDXGHV«

Or il faut savoir que lors de sa combustion, la cigarette produit une fumée qui
contient environ 4.000 substances toxiques (dont au moins 50 cancérigènes).
Sur les paquets, seuls goudrons et nicotine sont indiqués. Certains composés
SURYLHQQHQWGHO·HQYLURQQHPHQW SHVWLFLGHVSURGXLWVUDGLRDFWLIV G·DXWUHVVRQW
ajoutés, comme O·DPPRQLDF qui favorise la fixation de la nicotine et la
dépendance. Actuellement, de plus en plus de plants de tabac sont
génétiquement modifiés afin de rendre la nicotine plus efficace.

Voici à partir des 600 produits (autorisés) dans les cigarettes du commerce,
XQHSHWLWHSDQRSOLHGHWR[LTXHVPDMRULWDLUHVTXHO·RQUHWURXYHGDQVODIXPpHHW
les mégots classiques après combustion :

ACÉTALDÉHYDE : irritant des voies respiratoires,


ACIDE CYANHYDRIQUE : fut employé dans les chambres à gaz,
ACROLÉINE : irritant des voies respiratoires,
TOLUIDINE : substance cancérigène connue,
ACÉTONE : solvant puissant ² attaque les graisses du système nerveux,
GAZ AMMONIAC : irritant des voies respiratoires,
NAPHTYLAMINE : substance cancérigène connue,
URÉTHANE : substance cancérigène connue,
MÉTHANOL : entraîne des dégénérescences neurologiques graves,
TOLUÈNE : solvant industriel,
PYRÈNE : substance cancérigène connue,
ARSENIC : poison violent connu,
DIMÉTHYLNITROSAMINE : poison chimique,
DIBENZACRIDINE : substance cancérigène connue,

 
50  
NAPHTALÈNE : antimite,
PHÉNOL : conservateur très toxique,
NICOTINE : utilisée comme herbicide et insecticide,
GAZ BUTANE : (Boum !),
&$'0,80PpWDOFDQFpULJqQHTXLVHVXEVWLWXHDX]LQFGDQVO·$'1
POLONIUM : élément radioactif,
0212;<'('(&$5%21(EORTXHOHWUDQVSRUWGHO·R[\JqQHGDQVOH
sang,
STYRÈNE : poison chimique,
BENZOPYRÈNE : substance cancérigène connue,
DDT : insecticide qui rend stérile,
CHLORURE DE VINYLE : substance cancérigène, baisse la libido,
GOUDRONS : les plus cancérigènes,
MERCURE : entraîne des maladies neurologiques graves,
PLOMB : génère le saturnisme.

0(7+2'(*5$78,7(3285$55È7(5'()80(5'·816(8/
COUP SANS FRAIS

3RXU FHOD LO HVW QpFHVVDLUH G·DYRLU XQ Y±X PrPH GHX[  DXTXHO RQ WLHQW
WHOOHPHQW TXH O·RQ VHUDLW SUrW j IDLUH GH JURV VDFULILFHV SRXU O·REWHQLU 6·DJLW-­il
G·obtenir un poste, une maison, de faire un grand voyage, de vivre avec
TXHOTX·XQTX·RQDLPHRXGHVDXYHUODYLHG·XQSDUHQWG·XQDPL FHTXLHVWWUqV
FXOSDELOLVDQWVLO·RQDEDQGRQQH« %UHIHWVLOHVDFULILFHF·pWDLWWRXWVLPSOHPHQW
G·DUUrWHUGHIXPHU"
Alors voici le "protocole" : écrivez sur une feuille de papier :

$ILQ G·REWHQLU« RX GH SRXYRLU UpDOLVHU« MH P·HQJDJH HQ pFKDQJH j QH SOXV
jamais fumer une seule cigarette. Au cas où je faillirais une seule fois à ce
contrat, toute facilité me serait immédiatement enlevée, et je devrais renoncer à
mon attente." ² Signature

&HSDSLHUGHYUDHQVXLWHrWUHPLVGDQVXQHHQYHORSSHjO·DGUHVVHGHO·8QLYHUVHW
MHWpH GDQV XQ IHX DOOXPp VSpFLDOHPHQW j FHW HIIHW F·HVW OH IDFWHXU FRVPLTXH 
Bien sûr, il convient de se débarrasser de tout paquet de cigarettes.

/HPLUDFOHHVWTXHYRXVQ·DXUH]SOXVMDPDLVHQYLHGHIXPHU
(WF·HVWFRPPHVLYRXVQ·DYLH]MDPDLVIXPpGHYRWUHYLH

 
51  
-H O·DL IDLW HQ  ² PHV ILOOHV O·RQW IDLW ² GH QRPEUHX[ DPLV O·RQW IDLW ² avec
succès WRWDO4XDQWjPHVOHFWHXUVHWPHVpOqYHVMHQ·DLSDVFKHUFKpjVXLYUH
les résultats ² MHGRQQHOHVWX\DX[HWFKDFXQHQIDLWFHTX·LOYHXW

COMMENT CECI EST-­IL POSSIBLE ?

,O H[LVWH QDWXUHOOHPHQW FKH] FKDFXQ GH QRXV XQ V\VWqPH G·DXWRFHQVXUH TXL
empêche dH UHPRQWHU MXVTX·j OD FRQVFLHQFH REMHFWLYH HW pPRWLRQQHOOH GHV
mémoires ou des pulsions condamnables par notre morale ou notre culture.
&·HVWOD%RvWHGH3DQGRUH3DUH[HPSOHLOHVWpWDEOLTXHO·RQQHGRLWSDVIDLUH
O·DPRXU DYHF VHV SDUHQWV  HW TXDQG Rn est normalement constitué, même si
O·RQV·DGRUHHWTXHO·RQVHIDLWGHVFkOLQVDXFXQHSXOVLRQjFRQQRWDWLRQVH[XHOOH
QH V·pWDEOLW MXVWHPHQW HQ UDLVRQ GH FH YHUURX LQFRQVFLHQW &·HVW OH PrPH
SURFHVVXV TXL V·pWDEOLW DYHF OD FLJDUHWWH F·HVW-­à-­GLUH TX·LO HVW LQWHUGLW G·DYRLU
envie de fumer !
&HTXLHVWWRWDOHPHQWpWRQQDQWF·HVWTXHO·RQQ·DSOXVDXFXQHHQYLHFRPPHVL
O·RQ Q·DYDLW MDPDLV IXPp ;; le verrouillage psychique marche formidablement
ELHQ,OHVWSRVVLEOHTXHO·RQVHPHWWHj WRXVVHUSHQGDQWTXHOTXHWHPSV&·HVW
normal, le corps décide de faire le ménage.

 
52  
11
LE FLUOR : UNE ARME CHIMIQUE
O·LPSRVWXUHGHVGHQWLIULFHVDXIOXRU

Le FLUORURE DE SODIUM est connu depuis longtemps en tant que répressif


des fonctions intellectuelles. Ce poison est pourtant ajouté à la plupart des
dentifrices HW GHV UpVHUYHV G
HDX GH URELQHW '·DLOOHXUV MH GpILH TXLFRQTXH GH
trouver dans une grande surface un seul dentifrice qui ne se vante pas de
FRQWHQLU GX IOXRU &·HVW GHYHQX /$ UpIpUHQFH j ODTXHOOH VRQW UDOOLpV  j 
GHV IUDQoDLV $ VDYRLU HQ RXWUH TXH F·HVW XQ LQJUpGLHQW GH EDVH FRPPXQ DX[
PpGLFDPHQWV SV\FKLDWULTXHV K\SQRWLTXHV HW DQHVWKpVLTXHV DLQVL TX·DX[ JD]
neurotoxiques. En particulier, c'est l'un des composants du Prozac et du gaz
Sarin, qui fut employé au Japon dans la fameuse attaque du métro. (W F·HVW
cela que les enfants avalent à petites doses chaque jour en se lavant les dents.
De nombreuses preuves scientifiques indépendantes ont montré que le fluor
provoque à la longue des troubles mentaux variés rendant les gens dociles et
serviles, quelquefois carrément stupides, en plus de diminuer la longévité et
d'endommager la structure osseuse. Dans toutes les villes des USA,
O·DXJPHQWDWLRQ GH OD WHQHXU GH O·HDX SRWDEOH HQ IOXRU D correspondu à une
augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des
cellules squameuses de la bouche.
Autres méfaits : convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes
gastro-­intestinaux, nausées et vomissements.
La première utilisation du fluor dans l'eau potable date des camps de
FRQFHQWUDWLRQ 1$=,6 JUkFH j O·,* )DUEHQ VRFLpWp SKDUPDFHXWLTXH JpDQWH
notoire. C'est elle qui dirigeait des camps comme Auschwitz. Elle existe encore,
et fait partie intégrante de la compagnie allemande BAYER. Quelqu'un
penserait-­t-­il que les nazis firent cela parce qu'ils se sentaient concernés par la
santé des dents de leurs prisonniers ? En fait, cette fluorisation massive des
réserves d'eau du camp servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour
s'assurer de leur docilité.
Le chimiste Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor, en quantité
infinitésimale, réduisent les possibilités d'un individu à résister à la
domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme, une partie précise de
son cerveau, le soumettant ainsi à la volonté de ceux qui veulent le gouverner.

 
53  
Il ajoute que le fluor est une "lobotomie légère et commode" et que la véritable
raison qui se cache derrière la fluorisation de l'eau n'a rien à voir avec la santé
dentaire, encore moins celle des enfants !
L'idée d'introduire du fluor dans l'eau potable est venue de la famille Mellon,
aux États-­Unis, qui dirige le cartel de l'aluminium ALCOA. La lignée des Mellon
est très importante. Ce sont depuis longtemps des amis intimes de la famille
royale d'Angleterre et, par leur réseau, ils dictent la politique US. Les fluorines
industrielles sont des agents pollueurs importants des fleuves et des rivières.
Elles empoisonnent le sol, les poissons et les animaux. Comme leur traitement
aurait coûté une fortune à l'industrie de l'aluminium, la famille Mellon
PDQ±XYUDODVLWXDWLRQGHWHOOHVRUWHTue ces déchets empoisonnés deviennent
non seulement un moyen discret de contrôle humain ² ce qui intéresse tous les
gouvernements ² mais de plus une énorme source de revenus, (avec une marge
GHSURILWVGHSRXUFHTXLQ·HVWTX·XQGpFKHWLQGXVWULel).

Le Dr Hardy Limeback, détenteur d'une maîtrise en sciences et d'un doctorat


en biochimie, chef du Département de dentisterie préventive à l'Université de
Toronto et président de l'Association canadienne pour la recherche dentaire
fut, un temps, l'un des principaux promoteurs pour l'ajout du fluor dans l'eau
"dite potable" du Canada. Pourtant, après 15 ans, il déclara brusquement avoir
changé d'avis. Il a dit alors : "Les enfants de moins de 3 ans ne devraient
jamais utiliser de dentifrice fluoré, ni boire de l'eau fluorée. Et les
formules des produits pour bébés ne doivent jamais être faites avec l'eau
du robinet de Toronto. Jamais !".

Une étude de l'Université de Toronto a révélé que les habitants des villes dont
l'eau est fluorée avaient deux fois plus de fluor dans les os des hanches que
ceux des zones non fluorées. L'étude a aussi établi que le fluor change
l'architecture de base des os humains. Il existe une condition débilitante
nommée fluorose du squelette provoquée par l'accumulation de fluor dans les
os, ce qui les rend plus fragiles. Les premiers symptômes sont la fragilisation
des dents et des taches sur l'émail.

D'après le Dr Limeback, ceux qui continuent à promouvoir le fluor, se basent


sur des données totalement contestables, datant de 50 ans. "Les dentistes ne
sont absolument pas formés en toxicité, dit-­il. Votre dentiste bien intentionné est
simplement en train de suivre 50 ans de désinformation de la santé publique et
GHVDVVRFLDWLRQVGHQWDLUHV0RLDXVVLMHO
DLIDLW«.

 
54  
/RUVG·XQGLVFRXUVDX[pWXGLDQWVGX'pSDUWHPHQWGHGHQWLVWHULHGHO
8QLYHUVLWp
de Toronto, le Dr Limeback leur a avoué que, sans le vouloir, il avait induit en
erreur ses collègues et tous ses étudiants précédents. Il avait refusé pendant
15 ans de prendre connaissance des études de toxicologie qui sont pourtant à
la disposition de tout le monde. "Empoisonner nos enfants était bien la dernière
chose à laquelle j'aurais pensé, a-­t-­il déclaré. La vérité fut une pilule amère à
avaler, mais je l'ai avalée."

Depuis, bien que le plus grand défenseur du fluor ait maintenant condamné
son utilisation, les associations dentaires des États-­Unis et du Canada, les
organisations pour la santé publique, avec celles du Royaume-­Uni et de
partout ailleurs, continuent à dire aux peuples "que le fluor est bon pour eux".
(YLGHPPHQW FHV RUJDQLVDWLRQV DSSDUWLHQQHQW WRXWHV j O·ROLJDUchie des
gouvernants. Leurs hommes en place dans les administrations médicales et les
recherches scientifiques assènent aux médecins et aux dentistes cette fausse
vérité qu'ils sont tenus de croire. À leur tour, ces derniers en informent leurs
patients la PDLQVXUOHF±XU VDQVULHQYpULILHU HWOHVPpGLDVVHFRQWHQWHQWGH
VXLYUHODOLJQHRIILFLHOOHGLVVpPLQDQWO·DIIUHX[PHQVRQJHFRPPHGHVSHUURTXHWV
$FWXHOOHPHQWDYHFO·qUHGHO·,QWHUQHW
TXHOTX·XQTXLQHVDLWSDVHVWTXHOTX·XQTXLQHYHXWSDVVDYRLU
GRQFTXLV·HQIRXW !

3RXUO·HDXGXURELQHWVLYRXVQ·rWHVSDVV€UGHVRQKRQQrWHWpSURFXUH]-­vous
un appareil à osmose inverse ;; il y en a à tous les prix -­ cela dépend de la
surface de la membrane TFC, donc de sa capacité de production journalière,
HWGHVRSWLRQVG·DFFHVVRLUHV

Mais comment alerter tous ces gens qui sont intoxiqués au fluor depuis des
DQQpHVGRQFVRXPLVjO·DXWRULWpHWD\DQWSHUGXWRXWVHQVFULWLTXH ? Et qui, de
plus, optent allègrement pour les dentifrices BI-­fluorés et même TRI-­fluorés ²
donc meilleurs 0DLVYRXVVXUWRXWSRXUYRVHQIDQWVV·LO\DHQFRUHGHVWXEHV
de dentifrice au fluor qui traînent dans votre salle de bain, jetez-­les, et
procurez-­vous un dentifrice inoffensif ² ce ne sont pas les marques qui
manquent ² consultez les boutiques diététiques. Il y en a aussi en pharmacie,
PDLV WUqV VRXYHQW O·DEVHQFH GH IOXRU HVW FRPSHQVpH SDU OD SUpVHQFH G·DXWUHV
additifs toxiques.
$ORUV«VR\H]DWWHQWLIVDX[pWLTXHWWHV écrites en tout petit.

 
55  
12
STATINES
une guerre polémique sans merci

Selon un sondage du journal "Médical Pulse", la plupart des médecins


EULWDQQLTXHV QH SUHQGUDLHQW SDV GH VWDWLQHV j WLWUH SHUVRQQHO RX Q·HQ
prescrivent pas à leur famille ou leurs proches. Aussi, la majorité des médecins
EULWDQQLTXHV V·RSSRVHQW DX[ propositions des autorités sanitaires (le N.I.C.E.)
qui souhaiterait que des millions de patients supplémentaires soient traités par
statines. En France, plus de 5 millions de patients sont sous statines A VIE !
(un abonnement qui est la preuve que çà ne JXpULWSDV«HWODJDUDQWLHGH
PLOOLDUGV SDU DQ TXL WRPEHURQW SRXU ORQJWHPSV GDQV O·HVFDUFHOOH GHV JUDQGV
labos !)

Le Dr Kailash Chand, président de la British Medical Association, qui


regroupe médecins et étudiants en médecine au Royaume-­Uni met en garde
contre la prescription de statines, cette famille de médicaments pour faire
baisser le cholestérol. Il explique, dans un article publié dimanche à Londres
par le Sunday Express, pourquoi il a arrêté de prendre les statines qui lui
avaient été prescrites. Selon le président de la British Medical Association, les
futures directives britanniques qui visent à prescrire ces médicaments aux
personnes dont le risque de développer une maladie cardiovasculaire est égal
ou supérieur à 10% -­ contre 20% auparavant -­ QH EpQpILFLHURQW TX·DX[
laboratoires pharmaceutiques.

Le Dr Kailash Chand, 60 ans, a pris conscience de la toxicité des statines


après que son cardiologue lui ait prescrit ces médicaments il y a 5 ans. "Après
TXHOTXHV VHPDLQHV M·DL FRPPHQFp j UHVVHQWLU GHV douleurs
musculaires épouvantables dans tout le corps, qui me réveillaient même la
nuit. Au début, M·DLPLVFHODVXUOHFRPSWHGXVWUHVV" Preuve que même un grand
nom de la médecine britannique peut être aussi laissé dans l'ignorance des
effets indésirables. Le Dr Chand a mené ses propres recherches, et un an plus
tard, il a arrêté de lui-­même de prendre ces médicaments. &·pWDLW OH VHXO
moyen de savoir si les statines étaient en cause puisque les médecins et les
laboratoires disaient tous le contraire. Or, les choses ont commencé à rentrer

 
56  
GDQV O·RUGUH GDQV OHV GHX[ RX WURLV VHPDLQHV TXL RQW VXLYL OD SUHXYH TX·LOV
PHQWDLHQW $XMRXUG·KXLMHQ·DLSOXVDXFXQV\PSW{PH."

&·HVWODSUHPLqUHIRLVTX·XQHVRPPLWpPpGLFDOHEULWDQQLTXHpOqYHDLQVLODYRL[
contre les statines. Or, le débat sur les statines avait été lancé pour la première
fois en France en 2007 avec la parution du livre du Dr Michel de Lorgeril
(chercheur au CNRS) "Dites à votre médecin que le cholestérol est
innocent, il vous soignera sans médicaments." Le Dr de Lorgeril a ensuite
publié "Cholestérol, mensonges et propagande", qui a convaincu le Pr
Philippe Even GHO·LQXWLOLWpGHWUDLWHUOHFKROHVWpUROSRXUprévenir les maladies
cardiovasculaires.

Le Pr Philippe Even, de son côté, a fait paraître "La vérité sur le


cholestérol". Ses prises de position, qui vont totalement à l'encontre de la
pensée dominante, ont jusqu'ici été traitées avec condescendance par les
médias français.
Le Dr Michel de Lorgeril, a été l'invité du magazine de la santé le 19 février
2013. Venu pour apporter des preuves que les statines, notamment le n° 1 qui
est le Crestor, sont inefficaces, les deux journalistes Michel Cymes et sa
FRPSDUVHRQWDJUHVVLYHPHQWWHQWpGHO·pJDUHUHQOXLSRVDQWGHVTXHVWLRQVKRUV
sujet. Comprenant que le but était de lui faire perdre du temps, Michel de
Lorgeril QH V·HVW SDV laissé disperser et a poursuivi sa démonstration sans
vergogne, d'où la tension survoltée sur le plateau de cette émission qui n'est
pas coutumière de voir les animateurs perdre le contrôle du débat.
Petite précision : invité pour s'exprimer trente minutes, Michel de Lorgeril a
appris juste avant le début du direct qu'il n'aurait droit qu'à deux minutes,
avec interdiction de parler de son livre (le terrain était miné !) En fait, grâce à
son forcing, il a eu 11 min. Voyez plutôt (ceux qui ont Internet) dans quelle
ambiance il a été reçu :
http://www.lanutrition.fr/les-­news/le-­magazine-­de-­la-­sante-­l-­efficacite-­des-­
medicaments-­anticholesterol.html
En France, Michel de Lorgeril et Philippe Even contestent carrément le principe
même de donner des statines à des cardiaques ou des diabétiques. Michel de
Lorgeril a montré dans une série d'articles parus dans les journaux médicaux
internationaux que OHVHVVDLVUpFHQWVHWSOXVULJRXUHX[Q·RQWSDVWURXYpTXHOHV
statines font baisser la mortalité chez ces personnes. Une vive polémique
oppose donc ces deux médecins à la horde de médecins moutons dépendants
qui colportent les mensonges de l'industrie pharmaceutique et qui essaient de

 
57  
faire peur en prétendant que l'arrêt des statines chez ces patients "auraient de
graves conséquences".

Mais les effets secondaires des statines sont eux, systématiquement passés
sous silence  OHV pWXGHV ILQDQFpHV SDU O·LQGXVWULH WURXYHQW GHV HIIHWV
secondaires chez moins de 1% des patients, alors que les études indépendantes
LQGLTXHQWTX·DXPRLQVG·HQWUHHX[VRQWSOXVRXPRLQVGXUHPHQWDIIHFWpV
Des médecins britanniques doivent écrire aux autorités sanitaires de leur pays
pour leur demander de reconsidérer les critères de prescription des statines, et
de ne pas se fier aux données fournies par les laboratoires pharmaceutiques,
TXLPLQLPLVHQWV\VWpPDWLTXHPHQWOHULVTXHG·HIIHWVVHFRQGDLUHVSDUPLOHVTXHOV
outre les douleurs musculaires, figurent le diabète, les cataractes,
O·LPSXLVVDQFHOHVWURXEOHVFRJQLWLIVHWKpSatiques.
En France, le ministère de la Santé n'a jamais réagi aux demandes qui lui
étaient faites de reconsidérer le rapport bénéfice/risque des statines.

UNE SIMPLE POLEMIQUE ?


La nouvelle étude de Sherif le Sultan et Niamh Hynes montre que les
statines représentent une des plus grandes fraudes médicales de tous les
temps. Leur publication explosive condamne non seulement l'utilisation des
statines, mais aussi la pseudo-­science mercantile qui est derrière cela. Ils
déclarent les DOOpJDWLRQVSUpVHQWpHVSDUO·LQGXVWULHSKDUPDFHXWLTXHIDXVVHVHW
les effets positifs de ce prétendu anti-­cholestérol peu observables au niveau du
risque cardiovasculaire.

A noter que les instances médicales ont fait baisser les normes du
cholestérol dans le but de gagner quelques millions de clients. Par contre, la
quantité de dégâts que les statines génèrent est catastrophique, aboutissant à
des millions de vies dévastées ou carrément écourtées. Je rappelle quelques
dégâts courants relevés sur les blogs Internet :

-­ DOWpUDWLRQGHODPpPRLUHHWSLUHGHO·DSWLWXGHDXUDLVRQQHPHQW
-­ dégénérescence du foie et du pancréas,
-­ IRQWHPXVFXODLUHDXORQJFRXUVSRXYDQWDOOHUMXVTX·jODFKDLVHURXODQWH
-­ vieillissement physique prématuré pouvant écourter la vie.

Bien que les Statines VRLHQWO·XQHGHVGURJXHVDFWXHOOHVOHVSOXVGDQJHUHXVHV


prescrites, beaucoup de prescripteurs se contentent de rétorquer simplement
TX·LO \ D HQ HIIHW "une certaine polémique !" ² TX·LOV EDOD\HQW G·XQ UHYHUV GH

 
58  
PDLQ DYHF XQH WRWDOH GpVLQYROWXUH« 5$) ULHQ j IRXWUH F·HVW OH SURWRFROH
SDUDSOXLH  &·HVW DLQVL TXH OHV 6WDWLQHV V·DIILFKHQW PHLOOHXUH YHQWH GHV
médicaments de tous les temps (5 millions de français abonnés à vie !)
L'industrie des Statines, y compris ses dérivés, représente un chiffre de 20
PLOOLDUGVG·HXURVSDUDQ«6DLQW3RJQRQSULH]SRXUQRXV !

Hélas ! La science honnête et indépendante manque de moyens pour dénoncer


cette imposture médicale tragique, une des plus grandes jamais commises. Le
pire, est que c'était entièrement prévu avant la commercialisation -­ mais les
études ont été conçues pour cacher la vérité. Les médias, les agences de santé,
les médecins, et toute la couverture fournie pour Big Pharma y collaborent.
Beaucoup de monde se sucre de ce forfait irresponsable contre la santé
publique.

-HUDSSHOOHXQHGpFODUDWLRQFpOqEUHG·XQGpSXWp :
"Un bien portant est un égoïste qui fait passer
VRQLQWpUrWSHUVRQQHODYDQWO·LQWpUrWJpQpUDO »
NOTA : Peut-­être prenez vous une Statine sans le savoir ² Parmi la liste que
vous pouvez trouver sur Internet, en voici quelques unes couramment
prescrites : TAHOR ² ZOCOR ² VASTEN ² LODALES ² CRESTOR ²
LOVASTATINE ² PRAVASTATINE ² SIMVASTATINE ² )/89$67$7,1(«

Les levures de riz rouge, conseillées par certains prescripteurs, bien que
moins agressives ne valent guère mieux.

Pourtant, certains remèdes alternatifs naturels tels le TIBETANE G·$UNWLNDwD


 DQV G·kJH  TXL RIIUH UpHOOHPHQW GHV UpVXOWDWV UDSLGHV HW incontestables
GDQV O·DUWpULRVFOpURVH OD FKROHVWpUROpPLH HW OH ULVTXH FDUGLDTXH HW FHOD FHWWH
fois SANS DANGER '·())(76 6(&21'$,5(6 HW VDQV rWUH XQ DERQQHPHQW j
YLH  0DLV IDFH DX PRQRSROH SKDUPDFHXWLTXH FH FUpQHDX Q·D SDV GURLW j OD
JUDQGH LQIRUPDWLRQ« et encore tant pis pour les patients consommables et
cochons payeurs ! Commande Arktikaïa : 02 47 91 54 57

 
59  
13
LE SCANDALE DU LÉVOTHYROX

POURQUOI CETTE EPIDEMIE DE DEREGLEMENTS


THYROÏDIENS ?
En fait, il faut se rappeler que tout a commencé avec le nuage radioactif de
7FKHUQRE\OHQTXLDpWpVXLYLG·XQGpIHUOHPHQWGHFDQFHUVGHODWK\URwGH
en Europe et même de leucémies dans les régions les plus touchées. Mais
O·H[SpULHQFH D WRXMRXUV SURXYé que le malheur des uns fait le bonheur des
DXWUHV HQ SDUWLFXOLHU FHX[ TXL JXHWWHQW OHV RSSRUWXQLWpV (W F·HVW DLQVL TX·HVW
né le formidable business de ce "pool-­médico-­pharmaceutique" : ablation de la
thyroïde / Lévothyrox ² sachant que ce produit est une dépendance absolue à
vie.
1 ² $X GpSDUW OHV FDELQHWV G·HQGRFULQRORJLH qui se sont multipliés
pour le dépistage face à la demande concernant la prolifération des nodules.
Les nodules thyroïdiens peuvent être bénins (adénomes) ou malins
(carcinomes). A remarquer que sur 100 nodules thyroïdiens détectés, seuls 4
sont cancéreux, mais ils évoluent extrêmement lentement.
A noter aussi que les femmes sont les plus touchées (5 à 10 fois plus que les
hommes) principalement entre 45 et 50 ans (avec de plus en plus de cas vers
35 ans). UQHIHPPHTXLYLWVRXVODGpSHQGDQFHGHODWK\UR[LQHGRLWV·DVWUHLQGUH
à un suivi étroit de ses marqueurs thyroïdiens. Pour certains endocrinologues,
QRXVVHULRQVjrWUHDWWHLQWVVDQVOHVDYRLUG·XQHPDODGLHGHODWK\URwGH
Précisions sur les nodules :
ʜ8QQRGXOHHVWSDOSDEOHV·LOPHVXUHSOXVGHPPHWQRQSRVWpULHXU
ʜ8QQRGXOHHVWYLVLEOHHQpFKRJUDSKLHV·LOPHVXUHSOXVGHPP
ʜ8QQRGXOHQHGRLWrWUHSULVHQFKDUJHTXHV·LOPHVXUHDXPRLQVFP
ʜ8QQRGXOHVXSpULHXUjFPSRVHO·LQGLFDWLRQchirurgicale.
¤ 95% des nodules thyroïdiens sont bénins.
¤ Nota : Nodule chaud = bénin -­ Nodule froid = suspect.
¤ Mais, 10% seulement des nodules froids sont réellement cancéreux.
En fait, thyroïde, prostate : aux mêmes causes les mêmes effets ! L'incidence
des cancers de la thyroïde augmente de 5 à 7% par an, avec près de 5.000 cas

 
60  
annuels en France. Le Pr Martin Schlumberger, de l'IGR explique : "Tout
laisse à penser que cette augmentation est un effet du dépistage. À multiplier les
échographies, on multiplie les chances de trouver des nodules suspects et de
petites tumeurs. Or ces dernières représentent 80% des cancers thyroïdiens
diagnostiqués."
2 ² Phase suivante, les chirurgiens vous attendent à la sortie pour vous
HQOHYHUFHWWHPDXGLWHWK\URwGHVRXUFHG·HQQXLVYRLUHGHJrQHPpFDQLTXH-·HQ
SURILWH SRXU UDSSHOHU TXH OD JODQGH WK\URwGH TXL HVW GRXEOH FRPPH XQ Q±XG
papillon, et je me suis toujours étonné de ne pratiquement jamais avoir
FRQVWDWp G·DEODWLRQ G·XQ VHXO OREH WK\URwGLHQ (Q HIIHW V·LO \ D SUpVHQFH G·XQ
nodule sur un lobe droit, pourquoi enlever aussi le lobe gauche ? Je suppose
TXHFHVRQWOHVRUGUHVYHQDQWG·HQKDXWSUpWH[WDQWTXHOTXHVUDLVRQVXWRSLTXHV
indémontrables. En fait je suis sûr que la véritable raison est que le patient
devienne assisté à vie.
3 ² Voilà le parcours menant au Jackpot final : le
Lévothyrox !...
La dépendance à vie ;; et les chiffres donnent 10 millions de français qui sont
tombés dans le piège ! Or il est assez effrayant de réaliser que le simple blocage
de la fabrication du Lévothyrox entraînerait la mort de tous ces gens dans les
8 à 15 jours car on ne peut pas survivre sans thyroïde. On a pu mesurer le
GHJUp GH GpSHQGDQFH GHV SDWLHQWV DX PRLV G·DR€W ORUVTXH OH GpEXW G·XQH
SV\FKRVH V·HVW LQVWDOOpH FKH]  PLOOLRQV GH )UDQoDLV j O·DQQRQFH G·XQH VRL-­
disant "rupture de stock" de Lévothyrox. Une petite défaillance
G·DSSURYLVLRQQHPHQW PRQWpH HQ pSLQJOH SDU OHV PpGLDV PDLV VXIILVDQWH SRXU
SDQLTXHUODSRSXODWLRQVRXVWK\UR[LQH,OHVWSRVVLEOHTXHFHODDLWpWpXQWHVW«
Bien sûr il est indéniaEOH TXH OH /pYRWK\UR[ VDXYH GHV YLHV PDLV O·LQGXVWULH
pharmaceutique a intérêt à mettre le plus de monde possible sous thyroxine, et
il serait intéressant de faire le point sur la proportion de gens qui aurait pu
éviter cette assistance forcée. Il y a même une nouvelle mode consistant à
"mettre au repos ou au semi repos" la thyroïde ;; néanmoins cette hormone (de
V\QWKqVH FKLPLTXH  Q·D SDV SRXU REMHFWLI UpHO GH VRXWHQLU OD IRQFWLRQ
thyroïdienne mais de la remplacer définitivement. Pour réaliser cela, on règle le
GRVDJHGHODWK\UR[LQHjGHVEHVRLQVSUREDEOHVGHO·LQGLYLGXSRXUTXHOD
WK\URwGHFHVVHUDSLGHPHQWWRXWHDFWLYLWpPDLVFHUpJODJHQ·HVWSDV facile selon
les tempéraments.
&·HVWDLQVLTX·LOVHSURGXLWFRXUDPPHQWdes effets secondaires par surdosage.

 
61  
EFFETS POSSIBLES DU SURDOSAGE DE LEVOTHYROX

‡   Agitation,
‡   Amaigrissement,
‡   Augmentations des glandes mammaires,
‡   Boit et urine en grande quantité,
‡   Coups de chaud ou coups de froid sans raisons,
‡   &UDPSHVG·HVWRPDFRXGRXOHXUVDEGRPLQDOHV
‡   Diarrhées,
‡   Douleurs et fatigue musculaires,
‡   Éréthisme cardio-­vasculaire,
‡   Flatulences,
‡   Hypersudation (mains moites, transpiration),
‡   Intolérance aux températures élevées,
‡   Mange en quantité excessive avec perte de poids,
‡   Maux de tête,
‡   Nervosité ou irritabilité,
‡   Ostéoporose,
‡   Perte de cheveux,
‡   Tachycardie,
‡   Tremblements,
‡   Troubles de l'humeur (irritabilité),
‡   Troubles du cycle menstruel,
‡   Troubles du sommeil.

Sans compter que la thyroxine de synthèse augmente les risques cardiaques et


entraîne des carences en fer et calcium. Même quand les marqueurs indiquent
une maladie auto-­LPPXQH +DVKLPRWR  LO HVW HQFRUH SRVVLEOH G·DJLU
naturellement et sans danger.

 
62  
DES PERTURBATEURS THYROÏDIENS
Il existe de nombreux perturbateurs endocriniens qui sont susceptibles de
dérégler nos glandes endocrines, la thyroïde étant particulièrement visée car
pWDQWODSOXVHWO·XQHGHVSOXVDFFHVVLEOHV3DUPLHX[GHVPpGLFDPHQWVFRPPH
O·DPLRGDURQH &RUGDURQH  les glucocorticoïdes, les contraceptifs
hormonaux, le lithium, les interférons. $ODSROOXWLRQV·DMRXWHQWG·LPSRUWDQWV
facteurs endogènes comme le stress intense, les conflits psychoaffectifs, les
insuffisances hépatique ou rénale fonctionnelles, les déséquilibres
LPPXQLWDLUHVYRLUHOHVSUpGLVSRVLWLRQVJpQpWLTXHV«
Mais les métaux lourds sont sans conteste la cause principale des
dérèglements hormonaux. La thyroïde est une glande qui capte beaucoup
G·pOpPHQWVGHQRWUHHQYLURQQHPHQWHQSDUWLFXOLHUOHVPpWDXx lourds. Le corps
déclenche alors une réaction immunitaire dirigée contre sa propre thyroïde afin
G·DWWHLQGUHFHVPpWDX[VWRFNpV4XDQGODJODQGHVWRFNHGHVpOpPHQWVWR[LTXHV
OHFRUSVOHVSUHQGHQFKDVVHF·HVWORJLTXH(WVLO·RQQHVXSSULPHSDVODFDXVe,
cette chasse ne cessera de se poursuivre.
&·HVW OD UDLVRQ SRXU ODTXHOOH HQ SOXV GH OD WUqV IUpTXHQWH FDUHQFH HQ LRGH
EHDXFRXS G·HQWUH QRXV SUpVHQWHQW XQH K\SRWK\URwGLH ODUYpH QRQ GpWHFWpH SDU
les dosages classiques de TSH. Le dosage de la TSH nous renseigne sur
O·HIILFDFLWp GX WUDYDLO GH OD JODQGH PDLV VHXOH OD PHVXUH GHV DQWLFRUSV
DQWLWK\URwGLHQVQRXVSHUPHWG·HQGpWHUPLQHUODSUpVHQFHGHPpWDX[ORXUGVRX
une carence en iode.

CLASSES MALADES PAR SIMPLE CARENCE EN IODE

$ SDUWLU G·XQ FHUWDLQ kJH XQ G\VIRQFWLRQQHPHQW EpQLQ RX SDVVDJHU HVW
toujours possible. Le plus fréquent est le nodule lié à une carence iodée ou en
iodure de calcium organique. 6L YRXV Q·DYH] SDV G·LRGH YRXV QH IDEULTXH] SDV
G·KRUPRQHV WK\URwGLHQQHV. Les FDUHQFHV HQ LRGH SURYLHQQHQW G·XQH
DOLPHQWDWLRQ WURS SDXYUH HQ LRGH RX FDOFLXP G·RULJLQH PDULQH SDV DVVH] GH
VDUGLQHV j O·KXLOH HW G·DOJXHV  PDLV DXVVL GH OD FRQVRPPDWLRQ H[FHVVLYH
G·DOLPHQWVJRLWULJqQHVLQKLELWHXUVGHODJODQGHFRPPHle chou, le chou-­fleur, le
rutabaga ou le navet.
8Q DSSRUW G·LRGH LQIpULHXU j  PLFURJUDPPHV SDU MRXU HQWUDvQH XQH
hypothyroïdie.

 
63  
Les troubles possibles par hypothyroïdie sont multiples :
‡   Constipation,
‡   Crampes musculaires,
‡   Déprime,
‡   Difficultés de concentration,
‡   Eclaircissement des sourcils,
‡   Faiblesse immunitaire,
‡   Fatigue constante,
‡   Fourmillement des extrémités,
‡   Infections récurrentes,
‡   Insomnies,
‡   Lombalgie,
‡   Migraines,
‡   Mouvements lents,
‡   Pâleur,
‡   Paumes et plantes jaunes,
‡   Perte de cheveux ou cheveux cassants,
‡   Perte de la libido,
‡   Problèmes menstruels,
‡   Raisonnement lent,
‡   Réflexe achilléen lent,
‡   Sécheresse ou épaississement cutané,
‡   Tendinites résistantes,
‡   7URXEOHVGHO·DXGLWLRQ
‡   Troubles de la mémoire,
‡   Vertiges,
‡   Visage bouffi,
‡   Vision floue,
‡   Voix rauque.

UNE SOLUTION PREVENTIVE

Si vous présentez des symptômes comme une frilosité, une fatigue et une prise
de poids ou si votre thyroïde augmente en volume alors que votre fonction
thyroïdienne (TSH) est normale, demandez à votre médecin de vérifier que vous
ne soyez pas carencé en iode. Pour le savoir il suffit de faire un petit test
XULQDLUHXQHLRGXULH XQHYLQJWDLQHG·HXURVQRQUHPERXUVpV 

 
64  
(Q FDV GH WHVW SRVLWLI PDQJH] GHV DOJXHV ELR  RX SUHQH] GH O·LRGH HQ JpOXOHV
Cette solution est aussi utile en cas de thyroïdite auto-­immune.
Dans ce cas la thyroïde est diminuée dans son fonctionnement non seulement
en raison des attaques auto-­LPPXQHV PDLV HQ SOXV SDUFH TX·HOOH PDQTXH
G·LRGHO·pOpPHQWTXLOXLDSSRUWHVHVEULTXHVGHEDVHVLYRXVQ·DYH]SDVG·LRGe
YRXVQHIDEULTXH]SDVG·KRUPRQHVWK\URwGLHQQHV La solution des gélules est la
plus sûre (en termes de quantité et de qualité) : on les trouve en pharmacie et
en compléments alimentaires.
Nota : La spiruline séchée artisanalement est particulièrement recommandée
SRXUODFKpODWLRQGHVPpWDX[ORXUGVHWGRQFODGpWR[LFDWLRQGHO·RUJDQLVPH

THYREGUL : SOLUTION PRESQUE UNIVERSELLE

-HVXLVWRXMRXUVpWRQQpTX·DSUqVWRXWFHTXHM·DLpFULWVXU Thyrégul y compris


sur mon site (gratuit), www.micheldogna.fr il y ait encore autant de personnes
TXLP·DSSHOOHQWDXVHFRXUVVXUPRQDGUHVVH-­PDLOSDUFHTX·RQYHXWOHVPHWWUH
VRXV/pYRWK\UR[RXSDUFHTX·HOOHVYRXGUDLHQWHVVD\HUGHV·HQOLEpUHU%LHQV€U
quaQGLOQ·\DSOXVGHWK\URwGHOHThyrégul HVWVDQVJDUDQWLH«
Ce complément alimentaire uniquement à base de nutriments naturels (algues,
PLQpUDX[ KXLOHV HVVHQWLHOOHV«  D O·pWRQQDQWH FDSDFLWp GH UpJXOHU OD WK\URwGH
dans les deux sens (hypo ou hyper), mais DXVVLGHV·DWWDTXHUjODWK\URwGLWHGH
Hashimoto.
3DU DLOOHXUV LO FRQYLHQW GH SUpFLVHU TXH FH SURGXLW Q·HVW SDV XQ WUDLWHPHQW
substitutif à vie, mais un moyen de restauration de la glande qui,
QRUPDOHPHQWV·HIIHFWXHHQTXHOTXHPRLVVHORQPHVSURSUHVFRQstatations.

 
65  
14
/$*8(55(­/·$63$57$0( (

Voici le "sérial killer" enfin dévoilé, dont nous sommes les victimes en France
depuis presque 30 ans et ce, dans le plus grand secret ! Suite à la découverte
GH FH VFDQGDOH M·DL UHQFRQWUp GDQV PHV consultations de nombreuses
personnes, qui souffraient, sans faire le rapport, de plusieurs des multiples
HIIHWV VHFRQGDLUHV OLpV j O·DVSDUWDPH RIILFLHOOHPHQW UHFRQQXV SDU OD )'$ Food
and Drug Administration) américaine depuis 1995. Ayant, suite à mon alerte,
IDLW XQH FKDVVH PLQXWLHXVH j O·(  GDQV OHXUV SURGXLWV DOLPHQWDLUHV
boissons et médicaments habituels, ces personnes ont vu leurs troubles
V·HIIDFHUSURJUHVVLYHPHQWHWP·RQWYLYHPHQWUHPHUFLpSDUODVXLWH

IL Y EN A PARTOUT !

0DLV TX·HVW-­FH TXH O·DVSDUWDPH " 3RXU OD SOXSDUW GHV JHQV F·HVW WRXW
simplement un édulcorant de synthèse pour remplacer le sucre, que des
millions de femmes en surpoids et de diabétiques utilisent dans le monde
entier sous forme de poudre ou de sucrettes, il est inutile de vous en citer des
PDUTXHVFDUYRXVOHVFRQQDLVVH]WRXWHV6HXOHPHQWYRLOjLOQ·\HQDSDVTXH
dans ses fameuses sucrettes ! /·DVSDUWDPH HVW DXVVL SUpVHQW GDQV SOXV GH
5.000 produits alimentaires ou pharmaceutiques, dans 90 pays au monde et ce
GHSXLVSOXVGHDQV«

Des millions de Français en consomment tous les jours (adultes et enfants


FRQIRQGXV  LO \ D PrPH DX PRLQV XQH PDWHUQLWp HQ )UDQFH R O·RQ D IDLW
SUHQGUHGHVVXSSOpPHQWVGHFDOFLXPjO·DVSDUWDPHDX[QRXYHOOHVPDPDQVDILQ
de favoriser la montée de lait et depuis au moins 25 ans ! Au total, il y aurait
au moins 250 millions de personnes dans le monde qui consommeraient
FKDTXH MRXU GHV SURGXLWV j O·DVSDUWDPH  (W FHW pGXOFRUDQW UDSSRUWHUDLW DX[
LQGXVWULHOVPRQGLDX[SOXVG·XQmilliard de dollars par an !

Je vous entends déjà me dire : 0DLVYRXVQ·\SHQVH]SDV6LF·HVWPDUTXpVXU


OHV pWLTXHWWHV F·HVW TXH FHOD D pWp WHVWp HW DXWRULVp SDU OHV DXWRULWpV F·HVW GRQF
VDQV GDQJHU VLQRQ RQ OH VDXUDLW  5HJDUGH] FH TX·LO \ D PDUTXé sur le dos de
mon paquet de chewing-­JXPVVDQVVXFUH(QFRPSOpPHQWGXEURVVDJHO·8QLRQ

 
66  
française pour la santé bucco-­dentaire recommande ce chewing-­gum sans sucre,
qui participe efficacement à la santé bucco-­GHQWDLUHµ DORUVTXHOHVWOHSUREOqPH
?". -·DXUDLVELHQHQYLHGHYRXVUpSRQGUH "ET SI ON VOUS MENTAIT ?"

(QIDLWVHORQGHVH[SHUWV,1'e3(1'$176O·DVSDUWDPHHVWXQYpULWDEOHSRLVRQ
 6HXOHPHQW YRLOj DORUV TXH O·RQ HQ SDUOH SXEOLTXHPHQW GHSXLV SOXV GH YLQJW
ans aux États-­Unis, le public françaLVOXLDpWpJDUGpGDQVO·LJQRUDQFHODSOXV
WRWDOH GHSXLV  'H FH IDLW DYHF FHUWDLQV DXWUHV SD\V G·(XURSH QRXV
UHSUpVHQWRQV DXMRXUG·KXL OHV SOXV JURV FRQVRPPDWHXUV GH SURGXLWV j
O·DVSDUWDPHDXPRQGH

LA TRISTE FAMILLE DES EXCITOTOXINES

/·DVSDUWDPH (   fait partie de la triste famille des excitotoxines, tout


comme le glutamate monosodique (E 621 ou GMS), cousin chimique de
O·DVSDUWDPH ODUJHPHQW XWLOLVp depuis au moins 1948 qui lui, est un "poison
caméléon" se cachant sous divers noms tels que : arômes artificiels et parfois
naturels, certaines épices, extrait de levure, huile végétale hydrogénée, extrait
de protéines de soja, souvent utilisé comme exhausteur de goût dans des chips,
des soupes en sachets, des sauces, des plats préparés, de nombreux aliments
VXUJHOpVHWGHUpJLPHGHVEkWRQQHWVGHFUDEH«

&HVH[FLWRWR[LQHVVRQWQHXURWR[LTXHVF·HVW-­à-­GLUHTX·HOOHVRQWODWULVWHFDSDFLWp
GHGpWUXLUHUDSLGHPHQWOHVQHXURQHVGHQRWUHFHUYHDXHQOHVH[FLWDQWMXVTX·jFH
TX·LOVH[SORVHQWFRPPHO·DH[SOLTXpO·pPLQHQW neurochirurgien et nutritionniste
américain, le Dr Russell Blaylock dans son livre, Excitotoxins, The Taste
that Kills, en 1994 ("Excitotoxines : le goût qui tue OLYUHVXUO·DVSDUWDPH
et le GMS -­ qui sera peut-­être bientôt traduit en français.

Mais comme cela se fait peu à peu, au fur et à mesure de notre consommation
GHSURGXLWVpGXOFRUpVjO·DVSDUWDPH(ERLVVRQVVRGDVMXVG·RUDQJH\DRXUWVHQ
pots ou encore à boire, gommes à mâcher, sucettes, bonbons divers,
édulcorants de table, certains chocolats, produits de régimes, certaines
confitures, céréales, suppléments de vitamines, des centaines de médicaments,
DXWRWDOSOXVGHSURGXLWVGRQWODOLVWHHVWLPSRVVLEOHjIDLUH«  RQQHV·HQ
rend pas compte tout de suite car cH YpULWDEOH SRLVRQ V·DFFXPXOH GDQV QRWUH
organisme à notre insu, détruisant notre système immunitaire (au bout de
GHX[KHXUHV HWHQGRPPDJHDQWQRWUH$'1VXUVRQSDVVDJH«$K6LRQQRXV
O·DYDLWGLW

 
67  
Certaines personnes assez sensibles ont de la chance et souffrent très
rapidement (dans les minutes ou les heures qui suivent) de maux de tête ou de
QDXVpHV DSUqV DYRLU FRQVRPPp XQ VHXO SURGXLW FRQWHQDQW GH O·DVSDUWDPH HW
FRPPHHOOHVVRQWjO·pFRXWHGHOHXUFRUSVHOOHVHQGpGXLVHQWTXHFHVSURGXLWV
ne sont pas bons pour elles. Alors elles savent les éviter.

3DUFRQWUHG·DXWUHVSHUVRQQHVGHYLHQQHQWWUqVUDSLGHPHQWGpSHQGDQWHVGHFHV
produits en pensant éviter les calories et "faire attention à leur ligne" ou au
bien-­rWUHGHOHXUVHQIDQWV«
Ces mêmes personnes vont voir leur santé se dégrader plus ou moins
UDSLGHPHQW HW VRXIIULU G·XQ RX GH SOXVLHXUV GHV QRPEUHX[ HIIHWV VHFRQGDLUHV
WRXWHQLJQRUDQWFRPSOqWHPHQWTXHF·HVWO·DVSDUWDPHTXLHVWjO·RULJLQHGHOHXUV
problèmes. Elles iront donc consulter leur médecin ou parfois même leur
SV\FKLDWUHTXLFRPPHHOOHVQ·pWDQWSDVIRUFpPHQWDXFRXUDQWOHXUUHVVHUYLURQW
un médicament contenant OHPrPHSRLVRQ«
/·HIIHW ERXOH GH QHLJH FRPPHQFH DORUV FDU O·DVSDUWDPH LQWHUDJLW DYHF FHV
médicaments et les personnes peuvent parfois en mourir après quelques
semaines ou quelques années !

QUELQUES-­UNS DES 92 EFFETS SECONDAIRES REPERTORIES

Asthme,
Attaques et convulsions,
%DLVVHGHO·LQWHOOLJHQFH
Baisse et troubles de la vue,
Ballonnements,
Cernes gris sous les yeux,
Chute importante des cheveux,
Crampes,
Démangeaisons,
Dépression,
Diarrhée,
Douleurs abdominales,
Douleurs articulaires,
Douleurs dans la poitrine,
Douleurs en avalant ou aussi en urinant,
Epilepsie,
Faim et soif excessives,
Fatigue chronique,

 
68  
Forte sensibilité aux bruits,
Hypertension,
Hyperventilation,
Hypo et hyperglycémies,
Impuissance,
Insomnies,
Maux de tête,
Nausées,
Pertes de mémoire,
Prise de poids,
Problèmes de thyroïde,
Problèmes menstruels,
Problèmes sexuels,
Réactions cutanées plus ou moins graves,
Rougeurs au visage,
Saignements de nez,
6HQVDWLRQG·DYRLUIURLGPrPHHQSOHLQpWp
Sensibilité aux infections,
Tremblements,
Vertiges,
Vomissements.

Mais aussi troubles de la personnalité comme :

Agoraphobie,
Altération du caractère,
Confusion,
&ULVHVG·DJUHVVLYLWpVRXGDLQHV
Crises de démence,
Difficulté de concentration,
Hyperactivité,
Irritabilité,
Panique,
Paranoïa,
Phobies,
Sensation de "déjà vu",
Violences physiques soudaines.

Et, plus grave :

 
69  
$WWDTXHVG·DSRSOH[LH
Cancer du cerveau,
Mort subite !
Problèmes cardiaques,
5XSWXUHG·DQpYULVPH

'HSOXVO·DVSDUWDPHSURYRTXHGHVV\PSW{PHVVHPEODEOHVDX[
maladies suivantes, ou les aggrave :

Arthrite,
Diabète et ses complications,
Epilepsie,
Fibromyalgie,
Lupus,
Lymphome,
Maladie G·$O]KHLPHU
Maladie de Parkinson,
Malformations congénitales,
Sclérose en plaques,
Syndrome de fatigue chronique.
48(//((67/$&20326,7,21'(/·$63$57$0("

¤ -­ &·HVWGHSKpQ\ODODQLQH, toujours indiquée sur les étiquettes pour les


"2%" de la population qui pourraient y être allergiques. On peut donc lire en
tout petit :
"Contient une source de phénylalanine", de la DKP (dikétopipérazine), produit
dérivé de la phénylalanine qui se développe après de longues périodes de
stockage et qui a été impOLTXpGDQVO·DSSDULWLRQGHWXPHXUVDXFHUYHDX

¤ -­ &·HVW  G·DFLGH DVSDUWLTXH, produit hautement dangereux pour le


FHUYHDX  O·HVSqFH KXPDLQH HVW  IRLV SOXV VHQVLEOH j FHW DFLGH HW j O·DFLGH
glutamique trouvé dans le E 621) que les rats, et vingt fois plus sensible que
les singes !
&HW DFLGH D OD PDXYDLVH KDELWXGH GH V·DFFXPXOHU GDQV QRWUH RUJDQLVPH
G·DIIHFWHU QRWUH FHUYHDX F·HVW XQ QHXURWR[LTXH  QRWUH V\VWqPH UHSURGXFWLI LO
WUDYHUVHDXVVLOHSODFHQWDHWSHXWDWWHLQGUHOHFHUYHDXGXI±WXV­IRUWH dose,
FHWDFLGHSHXWSURYRTXHUGHVFULVHVG·DQJRLVVHGHO·K\SHUDFWLYLWpDLQVLTXHGHV
obsessions.

 
70  
¤ -­ Les 10% restants sont constitués de méthanol (ou alcool de bois), un
SRLVRQ PRUWHO TXL HVW JUDGXHOOHPHQW OLEpUp SDU O·LQWHVWLQ JUrOH j SDUWLU G·XQH
température de 30 degrés lors du stockage, de la cuisson (qui a pu avoir cette
LGpHIROOHGHIDLUHXQJkWHDXjO·DVSDUWDPH" RXWRXWVLPSOHPHQWGDQVOHFRUSV
KXPDLQ  &H SRLVRQ V·DFFXPXOH SHWLW j SHWLW HW SURYRTXH HQ JpQpUDO GHV
troubles de la vue tels que vision embrumée, voilée ou obscurcie, double vision,
UpWUpFLVVHPHQW GX FKDPS YLVXHO GRPPDJHV UpWLQLHQV HW SHUWH GH OD YXH« /HV
DXWUHV V\PSW{PHV G·XQ HPSRLVRQQHPHQW DX PpWKDQRO VRQW HQ JpQpUDO GHV
PDX[ GH WrWH GHV ERXUGRQQHPHQWV G·RUHLOOH GHV WURXEOHV gastro-­intestinaux,
des faiblesses, vertiges, frissons, trous de mémoire, douleurs fulgurantes aux
H[WUpPLWpVGHVWURXEOHVGXFRPSRUWHPHQWHWGHVQpYULWHV«
Ce méthanol, une fois arrivé dans le foie, est converti en formaldéhyde qui est
hautement neurotoxique et cancérigène pouvant provoquer à son tour des
troubles de la vue, des malformations congénitales, des migraines, des vertiges,
des nausées, des malaises, une mauvaise concentration et empêche aussi
O·$'1GHVHUHSURGXLUH
Pour terminer, le formaldéhyde, une fois ingéré, se transforme à son tour en
DFLGHIRUPLTXHTXLVHFRQFHQWUHGDQVOHFHUYHDXOHVUHLQVHWG·DXWUHVRUJDQHV
&·HVWXQSURGXLWWUqVGDQJHUHX[SRXUOHVFHOOXOHV

815(680('(/$/8*8%5(+,672,5('(/·$63$57$0(

1965 : dans les laboratoires de GD Searle, un chimiste découvre par accident


O·DVSDUWDPH WRXW HQ WUDYDLOODQW VXU XQ PpGLFDPHQW SRXU VRLJQHU OHV XOFqUHV
Cette substance est 180 fois plus sucrée que le sucre, sans être calorique, quel
rêve pour les industriels !
1967 : les premières expériences sont faites sur des singes et montrent déjà de
JUDQGVULVTXHVGHPDODLVHVG·pSLOHSVLHHWGHPRUW
1971 : le Dr John Olney, professeur de neuropathologie et de psychiatrie,
ayant déjà démontré la dangerosité du glutamate monosodique, parvient à
SURXYHUTXHO·DFLGHDVSDUWLTXH FRPSRVDQWGHO·DVSDUWDPH SURYRTXHGHVWURXV
dans le cerveau de jeunes souris !
1973 : Searle présente à la FDA XQH FHQWDLQH G·pWXGHV R OHV WXPHXUV GX
cerveau observées chez les singes et des souris sont "oubliées".
1974 : le 26 juillet, la FDA DXWRULVH O·DVSDUWDPH FRPPH DGGLWLI XQLTXHPHQW
GDQV OHV DOLPHQWV VHFV PDOJUp OH PDQTXH G·pWXGHV SOXV DSSURIRQGLHV VXU OHV
résultats de Searle. Certaines personnes commencent à en consommer en
France alors que la FDA met en suspens la mise sur le marché. Toute une série

 
71  
GH UDSSRUWV HW GH SHUVRQQHV PDQLSXOpHV DYHF EHDXFRXS G·DUJHQW D VXLYL
Donald Rumsfeld V·HQ HVW PrOp GqV  HW D MRXp XQ U{OH FDSLWDO SRXU
LPSRVHUO·DVSDUWDPHVXUOHPDUFKpHQ«
1979 : malgré des rapports très inquiétants au sujet de la toxicité du
PpWKDQROVRLWGHO·DVSDUWDPHFRQVLGpUpFRPPHXQSRLVRQPRUWHOGHSXLV
O·DVSDUWDPHHVWDORUVLQWURGXLWGDQVFHUWDLQVSURGXLWVSKDUPDFHXWLTXHV
en France !
1980 : OHV VXFUHWWHV j EDVH G·DVSDUWDPH VRQW HQ YHQWH GDQV WRXWH O·(XURSH
VDXIHQ$QJOHWHUUH«
1981 : O·DVSDUWDPHHVWDXWRULVpGDQVFHUWDLQVSURGXLWVDOLPHQWDLUHVVRXVIRUPH
de poudre, dans les chewing-­gums, les édulcorants de table (Nutrasweet aux
États-­Unis), des céréales, certains desserts, et cafés instantanés.
1983 : O·DVSDUWDPH HVW DXWRULVp GDQV OHV ERLVVRQV JD]HXVHV DX[ eWDWV-­Unis
puis en Angleterre.
1984 : OD )'$ DXWRULVH O·DVSDUWDPH GDQV OHV VXSSOpPHQWV GH YLWDPLQHV HW HQ
juillet une étude faite par The Journal of Applied Nutrition PRQWUHTX·jGHV
WHPSpUDWXUHVpOHYpHVO·DVSDUWDPHVHWUDQVIRUPHSOXVUDSLGHPHQWHQPpWKDQRO
(peut-­être est-­ce là la raison de la mention sur les bouteilles "Servir très frais").
1985 : le 1ier octobre, Monsanto, le célèbre prodXFWHXU G·KRUPRQHV ERYLQHV
G·2*0HWGHSHVWLFLGHVFRPPHOH5RXQG8SDFKqWH Searle pour 2,7 milliards
de dollars.
3DUODVXLWHO·DVSDUWDPHHVWXWLOLVpGDQVGHSOXVHQSOXVGHSURGXLWVPDOJUpOHV
milliers de plaintes des consommateurs américains, les rapports se succèdent,
PDLVULHQHQ)UDQFH«
1998 : Monsanto voudrait faire approuver le Entame comme nouvel
pGXOFRUDQWIRLVSOXVGRX[TXHO·DVSDUWDPHHWMXVTX·jIRLVSOXVGRX[
TXH OH VXFUH DXWUH SURGXLW FKLPLTXH SHX pWXGLp HW VXVSHFWp G·rWUH Dussi
QHXURWR[LTXH (Q PDL XQH pWXGH LQGpSHQGDQWH IDLWH SDU O·XQLYHUVLWp GH
%DUFHORQHSURXYHHQFRUHODWR[LFLWpGHO·DVSDUWDPHPDLVRQO·RXEOLHYLWH«(WHQ
octobre, on se rend compte que même certaines boissons autres que "light",
"free" ou "sans sucre" coQWLHQQHQW DXVVL GH O·DVSDUWDPH FDU LO FR€WH WURLV IRLV
moins cher que le sucre. Il faut alors lire toutes les étiquettes !
2000 : Monsanto revend Nutrasweet j XQ JURXSH G·DQFLHQV GLUHFWHXUV GH
Monsanto (440 millions de dollars) et revend ses intérêts à Nutrasweet AG et
Euro Aspartame (qui a même une usine dans le nord de la France). Depuis,
FHWDGGLWLIQ·DSDVFHVVpG·rWUHOHSOXVFRQWURYHUVpDXPRQGH
2001 : VRUWLHGXSOXVJURVOLYUHVXUO·DVSDUWDPHGXDr H.J. Roberts, contenant
plus de 1.000 pages "Aspartame Disease : An Ignored Epidemic", contenant
des centaines de témoignages bouleversants.
2002 : le 9 juillet, le Néotame est autorisé dans certains pays.

 
72  
2004 : HQPDLXQGRFXPHQWDLUHVXUOHVHIIHWVVHFRQGDLUHVGHO·DVSDUWDPHHWGX
glutamate monosodique sort en DVD, Sweet Misery : A Poisoned World, un
GRFXPHQWDLUH H[WUDRUGLQDLUH UpDOLVp SDU XQH YLFWLPH GH O·DVSDUWDPH TXL pWDLW
atteinte de sclérose en plaques et qui avait douze taches dans le cerveau de
GLIIpUHQWHV WDLOOHV F·pWDLW HQ IpYULHU 2002 : Une fois désintoxiquée (il y a sept
cliniques de désintoxication dans le monde mais aucune en Europe), cette
SHUVRQQH D SHUGX  NJ D TXLWWp VRQ IDXWHXLO URXODQW HW Q·D SUHVTXH SOXV GH
taches dans le cerveau.
2005 : une étude italienne de O·,QVWLWXWGH5DPD]]LQLde Bologne prouve que
O·DVSDUWDPH SURYRTXH GHV OHXFpPLHV HW GHV O\PSKRPHV PDLV FHOD QH IDLW
WRXMRXUVSDVOHVJUDQGVWLWUHVHQ)UDQFH3HQGDQWTX·XQPDJQLILTXHDUWLFOHGH
12 pages y a été consacré dans le magazine anglais, The Ecologist, en
septembre 2005. Selon le magazine Nexus, numéro 10, on a consommé 400
PLOOLRQVGHNLORVG·DVSDUWDPHGHSXLVVDPLVHVXUOHPDUFKp

Source : Corinne Gouget

ʝ&RPEOHGXFXORWOHVIDEULFDQWVGHO·DVSDUWDPSRXUVHIDLUHXQH
virginité financent des associations de lutte contre le diabète !

"AMINOSWEET" : /(1289($8120 '(/·$63$57$0( )857,)


POUR MIEUX VOUS BERNER

/HSURGXFWHXUG·DVSDUWDPHAjinomoto a lancé une nouvelle initiative destinée


à rebaptiser cet édulcorant toxique "AminoSweetSRXUQRXVUDSSHOHUTX·LOHVW
IDLWjSDUWLUG·DFLGHVDPLQpVOHVpOpPHQWVFRQVWLWXWLIVGHVSURWpLQHV1HWRPEH]
SDV GDQV FH VWUDWDJqPH PDUNHWLQJ &·HVW HQFRUH XQH WURPSHULH : NutraSweet
ou AminoSweetF·HVWGHO·DFLGHDVSDUWLTXH«FODVVpH[FLWRWR[LQH-e rappelle
TXH OHV H[FLWRWR[LQHV GX JOXWDPDWH HQ *06  HW GH O·DVSDUWDPH SRUWHQW OHV
FHOOXOHVFpUpEUDOHVVSpFLILTXHVjGHYHQLUWHOOHPHQWH[FLWpHVDXSRLQWTX·HOOHVHQ
PHXUHQW/DYpULWpHQODPDWLqUHHVWTXHOD)'$DWRXMRXUVFRQQXO·DVSDUWDPH
comme étant un agent cancérigène et toxicologique. 6DFKH]TXHO·DVSDUWDPHD
été placé sur une liste de produits chimiques de guerre biologique par le
3HQWDJRQHTXLO·DVRXPLVDX&RQJUqV

Le Dr Adrian Gross DGpFODUpDX&RQJUqVTXHO·DVSDUWDPHYLROHO·$PHQGHPHQW


Delaney qui interdit de mettre quoi que ce soit dans les aliments lorsque vous
VDYH]TX·LOYDSURYRTXHUOHFDQFHU0pILH]-­YRXVG·XQORXSUHYrWXG·XQHSHDXGH

 
73  
mouton. AminoSweet F·HVW FHOD ! Regardez bien les étiquettes écrites en tout
petit, en particulier celles des PRODUITS LIGHTS.

Alors, pour se suicider à petit feu :


choisissez les produits light !

Livre : Le Dr Russell L. Blaylock, professeur de neurochirurgie à la Medical


University of Mississippi, a publié Excitotoxins : Le goût qui tue.

Lire aussi : /·DVSDUWDPH, de Sylvie Simon, Guy Trédaniel Éditeur.

 
74  
15
DES NANOMÉTAUX CONFIRMÉS
dans les nouveaux vaccins

Pour rappel, les nanoparticules ont une taille inférieure à 100 nanomètres
QP  $ WLWUH G·H[HPSOH XQH IHXLOOH GH SDSLHU HVW G
HQYLURQ  QP
d'épaisseur, soit 1000 fois plus épaisse. La nanotechnologie connaît des
applications -­ bien que secrètes -­ dans de multiples domaines. Ainsi, on trouve
des nanoparticules dans des crèmes solaires, des jouets, des vêtements, des
produits alimentaires, des médicaments, des bonbons, des cosmétiques, de la
céramique, de la peinture, et de nombreux autres produits communs, qui font
déjà partie omniprésente de notre environnement de consommation toxique.

Des chercheurs chinois ont attiré l'attention sur les dangers de la


nanoparticule de dioxyde de titane, soulignant que cet agent de blanchiment
couramment utilisé est capable d'induire des tumeurs dans les cellules
humaines. Parallèlement, une étude du MIT et de la Harvard School of Public
Health (HSPH) confirme que certaines nanoparticules peuvent endommager
directement l'ADN humain, ce qui devrait interdire immédiatement l'utilisation
de nanoparticules par les industriels dans les produits industriels de grande
consommation.
Comme je le suspectais sans preuves réelles depuis longtemps, non seulement
quelques nanoparticules allongent maintenant la liste macabre des adjuvants
YDFFLQDX[ TXH M·DL FLWpHV GH PXOWLSOHV IRLV  PDLV nous avons maintenant les
SUHXYHV TX·XQH ORQJXH OLVWH GH QDQRPpWDX[ GRQW RQ FRQQDvW SHX RX SDV GX
tout les dangers y est discrètement incorporée, échappant à toute
réglementation.

&·HVW SRXU FHOD TXH ORUVTXH O·RQ PH GHPDQGH FH TX·RQ SHXW IDLUH SRXU HIIDFHU
OHVPLDVPHVWR[LTXHVDSUqVGHVYDFFLQDWLRQVMHGLVPDLQWHQDQWTXHMHQ·HQVDLV
rien. (Q O·RFFXUUHQFH OD PpWKRGH Elmiger -­ bien connue -­ ne traite que le
bouillon de culture vaccinal par voie homéopathique, mais ne peut avoir aucun
HIIHWSUREDEOHVXUOHVQDQRDGGLWLIVTXLV·LQILOWUHQWSDUWRXWDXWUDYHUVGHVWLVVXV
organiques, y compris au travers de la barrière encéphalique, donc dans le
cerveau.

 
75  
LA PREUVE HIGH TECH QUI AGGRAVE LE DELIT VACCINAL

Une étude visant à rechercher des nano-­particules dans les vaccins a été
réalisée par les docteurs Antonietta M. Gatti et Stefano Montanari pour le
&RQVHLO1DWLRQDOGH5HFKHUFKHG·,WDOLH/HVUpVXOWDWVGHOHXUVQDQR-­diagnostics
RQWpWpSXEOLpVGDQVO·,Qternational Journal of Vaccines le 23 Janvier 2017. 44
W\SHVGHYDFFLQVYHQDQWGH)UDQFHHWG·,WDOLHRQWpWpDQDO\VpVDILQG·DSSURIRQGLU
les études sur leurs effets secondaires. Pour ce faire, une méthode
G·LQYHVWLJDWLRQ SDU PLFURVFRSLH pOHFWURQLTXH j EDODyage avec microsonde à
rayons X a été appliquée sur les 44 types de vaccins.
Les résultats de cette nouvelle étude montrent la présence de particules micro
HWQDQRPpWULTXHVFRPSRVpHVG·pOpPHQWVLQRUJDQLTXHVGDQVGHVpFKDQWLOORQVGH
vaccins. La présence de ces contaminants particulaires reste à ce jour
inexpliquée. Ils ne sont par ailleurs jamais signalés par les fabricants de
vaccins.
Voici les particules nano retrouvées dans les vaccins :
/·pWXGHDUpYpOpODSUpVHQFHGHPpWDX[QDQRPpWULTXHVRXFRPELQpV nano de :
tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer,
antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre,
plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, soufre, silicium, calcium,
VRGLXPPDQJDQqVH« ULHQTXHFHla !)

EFFETS NEFASTES DES PRINCIPAUX NANOMETAUX

Le tungstène
/·LQMHFWLRQ LQWUDPXVFXODLUH  GH PLFURSDUWLFXOHV G·XQ DOOLDJH GH WXQJVWqQH
(contenant 91,1 % de tungstène, 6 % de cobalt et 2,9 % nickel) chez des rats de
laboratoire a rapidement causé O·DSSDULWLRQ GH FDQFHUV DYHF WXPHXUV
PpWDVWDWLTXHVDJUHVVLYHVVXUOHVLWHG·LPSODQWDWLRQ
On trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins
Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin
Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire
Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).

Le strontium

 
76  
/HVWURQWLXPQRQUDGLRDFWLIHVWWR[LTXHSRXUO·DQLPDOHWO·KXPDLQ(QV\QHUJLH
DYHF G·DXWUHV SURGXLWV WHO OH chrome, il provoque des cancers du poumon. Le
strontium sous forme de carbonate (SrCO3) ingéré peut provoquer des
crampes, la contraction douloureuse de différents muscles. Le nitrate de
strontium (SrNO3) engendre des problèmes cardiaques, pulmonaires,
hépatiques et rénaux.
On retrouve un combiné nano de strontium/aluminium dans le vaccin anti-­
typhoïde Vivotif Berna du laboratoire Berna Biotech.

Le chrome

/·LQJHVWLRQGHVHOVGHFKURPHHQWUDvQHLQIODPPDWLRQGXWXEHGLJHVWLIQpFURVH
diarrhées hémorragiques, puis coma.
Il est cependant présent en combinaisons nanométriques dans les vaccins :
Typhim de Adventis Pasteur ;; Mencevax, Infanrix Hexa, Typherix, Fluarix,
Cervarix du laboratoire GlaxoSmithKline ;; Anatetal, Dif-­Tet-­All, Focetria, Agrippal,
Menveo du laboratoire Novartis ;; Prevenar 13 et Meningitec du laboratoire Pfizer ;;
Vaxigrip, Stamaril, Repevax, MMR Vaxpro du laboratoire Sanofi-­Pasteur.

/·KDIQLXP

/·KDIQLXPVRXVODIRUPHGHPpWDOQHSRVHQRUPDOHPHQWSDVGHSUREOqPH,O\D
WUqV SHX G·pWXGHV GHVVXV 3DU FRQWUH WRXV OHV FRPSRVpV GX KDIQLXP VRQW
considérés comme toxiques.
Le composé ZrAlHaf (zirconium aluminium hafnium) retrouvé dans le vaccin anti-­
t\SKRwGHGXODERUDWRLUH%HUQD%LRWHFKDWRXWHVOHVFKDQFHVG·rWUHXQWR[LTXHDX[
effets totalement inconnus sur la santé.

/·DQWLPRLQH

9X OD JUDQGH WR[LFLWp GH O·DQWLPRLQH 6DQWp &DQDGD D pPLV XQH QRUPH
provisoire pour la concentration maximale acceptable SRXUO·HDXSRWDEOHTXLHVW
de 6 µg/L.
3DU FRQWUH O·DQWLPRLQH VHPEOH WROpUp GDQV OHV YDFFLQV 2Q HQ UHWURXYH GDQV OH
vaccin Menjugate de Novartis.

 
77  
Le bismuth

/HELVPXWKHVWWUqVWR[LTXHHQJHQGUDQW GHVGpJkWVVXUOHIRLHOHVUHLQV&·HVW
un neurotoxique DIIHFWDQW O·HQVHPEOH GX V\VWqPH QHUYHX[ FHQWUDO 6HV HIIHWV
VXUO·HPEU\RQRXOHI±WXVQ·RQWMDPDLVpWppWXGLpV
On en retrouve cependant dans les vaccins : Varilix et Fluarix du laboratoire
Glaxo ;; Agrippal de Novartis ;; Gardasil, Repevax, MMR-­Vaxpro de Sanofi Pasteur.

Le baryum

/·LQWR[LFDWLRQDLJXsDXEDU\XPFKH]O·KRPPHVHPDQLIHVWHSDUSOXVLHXUVVLJQHV
et symptômes tels que des douleurs abdominales intenses, des diarrhées
sanglantes, des troubles cardio-­YDVFXODLUHV /·LQWR[LFDWLRQ DLJXs SHXW DXVVL VH
VROGHU SDU OD PRUW VRLW j FDXVH G·XQH LQVXIILVDQFH UHVSLUDWRLUH VRLW HQ
provoquant un problème cardiaque.
On en retrouve dans le vaccin Tetabulin du laboratoire Baxter, le vaccin Anatetal
du laboratoire Chiron, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typherix, Fluarix du
laboratoire GlaxoSmithKline ;; dans les vaccins Anatetal, Dif-­Tet-­All, Agrippal,
Fluad, Menveo du laboratoire Novartis, dans Prevenar 13 de Pfizer, dans
Gardasil, Repevax, MMR-­9D[SURGXODERUDWRLUH6DQRIL3DVWHXU«

Outre la toxicité avérée de cerWDLQV PpWDX[ LO HVW j QRWHU TX·j O


pFKHOOH
nanométrique les effets nocifs sont surmultipliés. Tous ces éléments en effet,
peuvent passer la barrière hémato-­encéphalique, coloniser le cerveau et en
règle générale, pénétrer toute cellule du corps humain. Ils ont un effet
mutagène sans limite à leur échelle.
/·RQSHXWVHSRVHUODTXHVWLRQVLFHVpOpPHQWVVRQWGDQVOHVYDFFLQVGHPDQLqUH
IRUWXLWH RX VL OHXU LQVHUWLRQ HVW LQWHQWLRQQHOOH 6L F·HVW IRUWXLW LO HVW
inconcevable que des vaccins différents disposent G·H[DFWHPHQW OHV PrPHV
structures nano-­PpWDOOLTXHV 2U F·HVW OH FDV (Q HIIHW OD IRUPXOH $O6L7L
(aluminium, silicium, titane) par exemple, se retrouve dans les vaccins des
laboratoires Berna Biotech, Novartis et Glaxo-­SmithKline. Ces éléments
nanométriques vaccinaux ne sont jamais signalés par ces laboratoires. Que
font-­ils là ? Quelle est leur fonction ?

 
78  
Les vaccins ne seraient-­LOVTX·XQSUpWH[WHSRXUGHV
H[SpULPHQWDWLRQVG·LQJpQLHULHQDQR-­biologiques sur les
populations ?

Avec ces nouvelles révélations, tout reste à faire pour évaluer scientifiquement
les risques de ces soupes vaccinales truffées de nano-­composants et de
combinaisons nano-­métalliques dont on ne connaît à peu près rien. Comment
pYDOXHU OHV HIIHWV VXU OD VDQWp KXPDLQH G·XQH FRPbinaison de zirconium,
G·DOXPLQLXP HW GH KDIQLXP =U$O+I ? Le ZrAlHf a-­t-­LO IDLW O·REMHW G·XQH pWXGH
toxicologique ? Bien sûr que NON !
'HIDLWSRXUWRXWHVFHVIRUPXOHVGHPpWDOORwGHVLOQ·\DjQRWUHFRQQDLVVDQFH
aucune publication scientifique, aucune étude toxicologique et encore moins
ORUVTX·LOV VRQW FRPELQpV j GX FDOFLXP GX FDUERQH GX VLOLFLXP GX VRXIUH RX
du phosphore. De plus, certaines combinaisons nano-­métalliques nous
semblent physiquement impossibles. Pourtant elles existent bien !
En particulier, la présence dans les vaccins de ces nanoparticules qui sont
considérées non biodégradables et non biocompatibles, ouvre un nouveau
FKDPS G·LQYHVWLJDWLRQ TXDQW DX[ PXOWLSOHV DFFLGHQWV SRVW-­vaccinaux et
certaines maladies qui en découlent, tels O·DXWisme, la sclérose en plaque, les
désordres immunitaires, les maladies neuro-­dégénératives, voire la mort subite
GXQRXUULVVRQ«
8QODUJHGpEDWHQWUHOHVDXWRULWpVGHVDQWpHWOHVODERUDWRLUHVGHYUDLWV·RXYULU
Sans intégrer ces nouvelles données, il est aujRXUG·KXLLPSRVVLEOHG·pYDOXHUOHV
nouveaux risques vaccinaux.
Références : International Journal of Vaccines du 23 Janvier 2017

 
79  
16
ARÔMES INDUSTRIELS
la dangereuse séduction

Il HVWWUqVELHQG·DYRLUGHVUHPqGHVHIILFDFHVSRXUVHVRLJQHUPDLVLOHVWHQFRUH
PLHX[ GH QH SDV V·H[SRVHU j FH TXL DPqQH GHV PDODGLHV 1pJOLJHU FH GHUQLHU
point équivaut à essayer de remplir une baignoire avec la bonde ouverte.

/·DOLPHQWDWLRQ SUrWH j O·HPSORL SRXU DXWDQW TX·HOOH VRLW VpGXLVDQWH VRXV ELHQ
des aspects, cache mille pièges qui risquent de faire payer très cher le plaisir et
le confort apportés. Les arômes artificiels et édulcorants en sont les pierres
G·DFKRSSHPHQW (Q HIIHW 2.700 substances servent en combinaison à créer
6.000 arômes artificiels IDLVDQWO·REMHWG·XQWRWDOP\VWqUHHWUpVLVWDQWODSOXSDUW
GXWHPSVjO·DQDO\VHFKLPLTXHHQUDLVRQGHOHXUFRPSOH[LWp

POURQUOI DES ARÔMES ?

Il faut savoir que le premier résultat de la technologie alimentaire (à haute


rentabilité) est de priver les aliments de leur goût. Les arômes viennent donc
UDWWUDSHU O·DUULqUH JR€W GpVDJUpDEOH GH FHWWH WHFKQRORJLH DOLPHQWDLUH
transformant en plat de régal des produits pratiquement immangeables. Ceci
est vrai poXUO·DOLPHQWDWLRQKXPDLQHPDLVDXVVLDQLPDOH

Pour appeler cela par leur nom,


ce sont des "trompeurs de goût".
Les promoteurs de cette industrie sont eux, inodores et sans saveur. Ils ne font
aucune publicité et sont totalement inconnus du public bien que
financièrement et politiquement très puissants. En particulier, le géant de cette
industrie peu avouable -­ SXLVTX·HOOHSDUWLFLSHjUHQGUHPDODGHjORQJWHUPHOHV
consommateurs au travers de diverses pathologies dites de civilisation (obésité,
dérives génétiques, cancers, problèmes neurologiques, allergies, etc.) -­ V·DSSHOOH
IFF. /·DGUHVVHGHVRQVLqJHVRFLDO:HVWWKVWUHHW1HZ<RUN1<
Son rayonnement : la planète entière.

 
80  
48(/48(6(;(03/(6'·$33/,&$7,21

Le brevet IFF n° 4.988.532 SURWqJHXQSURFpGpTXLpOLPLQHO·DUULqUHJR€WGHV


pGXOFRUDQWVDUWLILFLHOVWRXWHQUHQIRUoDQWOHXUVHIIHWVHWGLVVLSHO·DPHUWXPHGHV
soupes industrielles. Cela réjouit les fabricants, mais les consommateurs -­ eux
QRQ DYHUWLV GH O·DOHUWH DPqUH FRPPH TXRL LO V·DJLW G·XQ SURGXLW GRXWHX[ SRXU
O·RUJDQLVPH-­ en font les frais.

Par exemple un bouillon de poule au vermicelle de Knorr ne contient que 2g de


"poule séchée" sous forme de granulés, soit à peine 7g de poule en chair et en
os. Evidemment, aucun cuisinier au monde ne pourrait produire par miracle
quatre assiettes de bonne soupe avec si peu. Mais Knorr réussit ce tour de
passe-­passe LOVXIILWG·XQJUDPPHG·DU{PH » industriel. Si cela ne donne pas
XQ YpULWDEOH ERXLOORQ GH SRXOH FHOD SHUPHW TXDQG PrPH G·Rbtenir une
"solution comparable" ª VHORQ OHV PRWV G·XQ FKLPLVWH GH .QRUU 3UL[ : 69
FHQWLPHVG·HXURV

Maggi ne fait pas autre chose : VRQERXLOORQGHE±XIFRQWLHQWJGHJUDLVVH


GH E±XI HW DX SOXV  J G·H[WUDLW GH YLDQGH SDU OLWUH /·pWLTXHWWH UpYqOH TXH
O·HVVHQWLHOGXERXLOORQHVWFRQVWLWXpG·DXWUHFKRVH GXVHOLRGpGHO·DU{PHGH
O·H[KDXVWHXUGHJR€W (glutamate de sodium, E 631, E 627). 6LO·RQ\UpIOpFKLW
il serait bien, et pour être honnête, de baptiser ce produit -­ G·DSUqVOes infimes
WUDFHV G·H[WUDLW GH YLDQGH TX·LO FRQWLHQW -­ ERXLOORQ j O·H[KDXVWHXU GH JR€W j
O·DU{PHHWDXVHOLRGp

2XL OD VRXSH PHQW /H SDLQ GX ERXODQJHU Q·HVW SOXV WRXW j IDLW KRQQrWH QRQ
plus, ni le petit pain, ni même le gâteau. Même la baguette, les brioches et les
FURLVVDQWVVLFKHUVDX[)UDQoDLVGRLYHQWOHXUVDYHXUjO·KDELOHWpGHVFKLPLVWHV
La firme Philxn de Pont de Veyle YHQG XQH JDPPH G·DU{PHV GHVWLQpV j FHV
SURGXLWV &RPPH OH GLULJHDQW GH O·HQWUHSULVH O·H[SOLTXDLW DX FRXUV G·XQH IRLUH
professionnelle, le temps de cuisson est si court de nos jours que le goût de
JULOOpQ·DSOXVOHWHPSVGHVHIRUPHU8QHSLQFpHGHVDSRXGUHUqJOHOHSUREOqPH
comme par miracle. Comment est-­elle produite "&·HVWXQVHFUHW

De la même manière, celui qui veut égayer sa journée avec un verre de vin
avale peut-­être bien des illusions. Depuis 2002, la société suisse Stiernon vend
un produit nommé "Oxylent" censé imiter une saveur de grand cru mûri en
fût. Cela fait la joie des fraudeurs, qui peuvent vendre cher leur marchandise
fabriquée à moindre coût : 4 grammes suffisent pour aromatiser 100 litres. La
première année, Stiernon a vendu environ 5 tonnes de son produit et 15
WRQQHV O·DQQpH VXLYDQWH HQ )UDQFH HQ (VSDJQH HQ ,WDOLH, au Portugal, en

 
81  
Australie, aux Etats-­Unis, au Chili, en Afrique du Sud, en Nouvelle Zélande, et
HQ $UJHQWLQH 0DLV OH SDWURQ GH O·HQWUHSULVH QH YHXW SDV FRPPXQLTXHU OHV
noms de ses clients : "les entreprises viticoles veulent garder leur secret."

/·8QLRn Européenne consomme chaque année 170 000 tonnes G·DU{PHV


industriels, auxquels il faut ajouter les 95 000 tonnes du célèbre glutamate
(exhausteur de goût), ce qui fait que la moitié des produits alimentaires sont
actuellement aromatisés artificiellement.

Curieusement, en dépit des temps de loisirs accrus pour la plupart des


consommateurs, ceux ci boudent le fourneau et apprécient de plus en plus les
aliments industriels. Aussi, selon la Deutsche Presse, près de 40% de
personnes ne savent plus cuisiner. Dans une seule génération, on risque
G·DYRLURXEOLpWRXVOHVWRXUQHPDLQGHFXLVLQHWUDQVPLVGHSXLVGHVVLqFOHVSDU
nos ancêtres. Aux USA, 95% des denrées sont industrielles. Les plats cuisinés
sont relayés au musée. On dit plaisamment que les américains savourent deux
fois plus souvent la pizza que les délices sexuels. La nature fait bien les choses
SRXUOLPLWHUODUHSURGXFWLRQGHVOLJQpHVGpJpQpUDWLYHV«

HUMAINS ET ANIMAUX EGAUX DEVANT LES MALADIES DE


CIVILISATION

Les animaux domestiques ont aussi perdu le sens de ce qui est sain. Ils ont
désormais lié leur destin à celui des humains, maladies comprises. Celles-­ci
sont nécessairement très semblables, puisque humains et animaux vivent côte
à côte, ingèrent les mêmes aliments provenant des mêmes fournisseurs et les
mangent à la même cadence. Maître et chien souffrent des mêmes maladies de
civilisation : arthrose, diabète, eczéma, allergies. Ils meurent également des
mêmes causes : "au grand âge, le comportement et les causes de mortalité sont
de plus en pluVVHPEODEOHVFKH]O·rWUHKXPDLQHWOHFKLHQGpFODUHOD]RRORJLVWH
Helga Eichelberg, qui a étudié 9248 causes de décès chez le chien. Le cancer
WXH  GHV FKLHQV HW  GHV KXPDLQV OHV PDODGLHV GH O·DSSDUHLO GLJHVWLI
tuent 4,8% des hommes et 7,8% des chiens.

Comme chez les humains, le mal qui tourmente le plus les pauvres bêtes est
O·REpVLWp 6HORQ OHV HVWLPDWLRQV GHV YpWpULQDLUHV MXVTX·j  GHV FKDWV HW GHV
chiens américains sont trop gros. Aussi a-­t-­on récemment ouvert à Los Angeles
un club de "fitness" pour chiens où Bello et Rex peuvent éliminer leurs kilos
superflus en courant sur un tapis roulant. Le Dr Elisabeth Hodgkins,

 
82  
VSpFLDOLVWHDPpULFDLQHG·DOLPHQWDWLRQDQLPDOHGpFODUH les chiens ne savent
plus distinguer entre leurs besoins et leurs désirs."

(YLGHPPHQW FH Q·HVW SDV XQ KDVDUG HW LO D IDOOX IDLUH SUHXYH GH EHDXFRXS
G·LQJpQLRVLWp SRXU GpEDUUDVVHU OHV DQLPDX[ GH OD VHQVDWLRQ LQVWLQFWLYH GH
satiété, frein naturel à la suralimentation. Prenons le cas de la fabrique
G·DU{PHV GH Holzmindent. Celle-­ci fournit des goûts raffinés aux producteurs
G·DOLPHQWV SRXU FKDWV HW SRXU FKLHQV HW SHXW OHXU SURXYHU TXH OHV UpVXOWDWV
commerciaux sont nettement meilleurs lorsque leurs boîtes incluent des
DU{PHVYHQDQWGHOHXUVODERUDWRLUHV/HIDEULFDQWG·DU{PHVDG·DLOOHXUVGpSRVp
XQEUHYHWDXSUqVGHO·2IILFHHXURSpHQGHVEUHYHWVVRXVOHQXPpUR$
qui concerne "un nouvel agent aromatisant pour aliments pour animaux". Bien
sûr ceci a été amplement prouvé par des tests.

Résultat
Tous les animaux préféraient les aliments aromatisés. Les chiens
consommaient en moyenne 61,3% de la nourriture aux arômes, contre 38,7%
des aliments normaux. Les chats manifestaient une préférence encore plus
nette : ils avalaient 70,1% des aliments aromatisés contre 42,8% des autres.

6·LOV OH SRXYDLHQW OHV FKDWV DFKqWHUDLHQW Whiskas, dit-­on. Cela pourrait
V·H[SOLTXHU SDU OH IDLW TXH FHV ERvWHV FRQWLHQQHQW GHV JR€WV GH V\QWKqVH
raffinés  F·HVW OH FDV GX WhisNDV DX E±XI", du ":KLVNDV j O·DJQHDX HW j OD
volaille" ainsi que du "Sheeba à la sole en aspic". De même, le "dîner
gourmet" de Friskies, filiale de Nestlé, contient des arômes industriels, tout
FRPPHODVSpFLDOLWpDXE±XIHWDXSRXOHWSRXUFKDWVGHODPrPe maison. Les
SURSULpWDLUHV GHV DQLPDX[ SRXUUDLHQW OH VDYRLU V·LOV OLVDLHQW OHV pWLTXHWWHV
américaines. 0DLVULHQGHWRXWFHODQ·HVWPHQWLRQQpHQ(XURSH

Ainsi, les chats et les chiens sont-­ils eux aussi menés par le bout du nez. Mais
LOV EpQpILFLHQW G·H[Sériences gustatives dont leurs ancêtres de l'ère
SUpLQGXVWULHOOHQ·DXUDLHQWSDVSXUrYHU

Quant aux porcs TXL RQW HQILQ OD SRVVLELOLWp GH V·DGRQQHU DYHF GpOLFHV j OHXU
pulsion primale pour les fraises à la chantilly, la rapidité de leur engraissement
devraLW VHUYLU GH VRQQHWWH G·DODUPH SRXU OHV rWUHV KXPDLQV &DU FHV GHUQLHUV
DXVVLSHXYHQWSUHQGUHJUkFHDX[DU{PHVSOXVGHSRLGVTX·LOVQHOHYRXGUDLHQW

/·DVVRFLDWLRQ GH OREE\LQJ GH O·LQGXVWULH GHV DU{PHV OH UHFRQQDvW HOOH-­même.
'DQV XQ GRFXPHQW G·LQIRUPDWion intitulé "Arômes ² questions et réponses"
O·DVVRFLDWLRQpFULYDLW : (QILQUHOHYRQVTXHO·RQQ·DSDVHQFRUHFRQQDLVVDQFHGH

 
83  
problèmes de santé dus à la consommation de denrées alimentaires
DURPDWLVpHVjO·H[FHSWLRQGHO·H[FqVGHSRLGV
Cet aveu date du 22 janvier 1996 et a été diffusé pendant des années sans
que le grand public ne le sache. Mais, lorsque les questions de goût ont
FRPPHQFp j VXVFLWHU XQ LQWpUrW JpQpUDO HW TXH OHV SUREOqPHV G·REpVLWp VRQW
devenus de plus en plus pressants, le lobby des arômes a revu sa position. Il a
SXEOLpDXPpSULVGHODYpULWpXQGpPHQWLUpFXVDQWO·DVVHUWLRQ » selon laquelle
"OHVDU{PHVSRXUUDLHQWHQWUDvQHUO·REpVLWp."

Nota : La chaîne diététique SATORIZ a entamé une guerre aux arômes et


édulcorants DUWLILFLHOV%UDYR&RPPHTXRLOHELRQ·HQHVWSDVH[HPSW

MORALITE :
/·DYHQLUDSSDUWLHQWjFHX[TXLVDYHQWHQFRUHIDLUHODFXLVLQH.
Sources : "Arômes dans notre assiette »
Hans Ulrich Grimi ² Editions Terre Vivante

 
84  
17
PERTURBATEURS ENDOCRINIENS (PE)
ils sont partout...

Selon une récente étude rendue publique à Paris, près de 40% des produits
d'hygiène-­beauté contiennent au moins un perturbateur endocrinien (PE).
Cette étude réalisée sur une base de 15.000 produits de beauté-­hygiène par
"l'institut indépendant de notation" Noteo, affiche par genre et par ordre
décroissant les champions de la teneur en PE comme suit :

les vernis à ongles (74%),


les fonds de teint (71%),
les maquillages pour les yeux (51%),
les démaquillants (43%),
les rouges à lèvres (40%),
les soins du visage (38%),
les déodorants (36%),
les dentifrices (30%),
les shampoings (24%).

Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques interférant sur


la régulation hormonale et sont susceptibles de provoquer, même à très faibles
doses, une grande variété d'effets, notamment sur le développement
physiologique pendant la période intra-­utérine. Ils sont notamment suspectés
d'avoir un impact sur la fertilité et d'être liés à l'augmentation du nombre de
cancers dits hormono-­dépendants, principalement ceux du sein et de la
prostate.

On en trouve non seulement dans les produits d'hygiène,


mais également dans les contenants alimentaires.

Parmi les PE les plus fréquemment utilisés dans les produits d'hygiène-­beauté,
on trouve les parabènes (23%) et le cyclopentasiloxane (15%), le triclosan
n'étant présent que dans 1,3% des produits. Baptiste Marty, le président-­
fondateur de Noteo, appelle le gouvernement à interdire leur usage dans tous
les produits du quotidien.

 
85  
Les produits labellisés bio semblent largement épargnés par le phénomène
selon l'étude qui n'a retrouvé un PE que dans 1,3% d'entre eux,
essentiellement le cinnamal que l'on retrouve naturellement dans certaines
huiles essentielles (cannelle, jacinthe, patchouli).

Le toxicologue et lanceur d'alertes, André Cicolella, qui préside le Réseau


Environnement Santé (RES), signale quelque 870 PE qui ont déjà été identifiés
parmi les 143.000 substances présentes sur le marché, mais, dit-­il, leur
nombre réel est probablement beaucoup plus important.

La mobilisation autour de l'un d'entre eux, le bisphénol A (PBA), une


substance présente principalement dans les plastiques, a abouti à l'interdiction
de ce perturbateur dans les biberons en Europe en 2011. Cette interdiction a
été étendue par la France (seulement !) à tous les contenants alimentaires
destinés aux enfants de 0 à 3 ans, puis à tous les contenants alimentaires
depuis juillet 2015.

Source : www.noteo.info

NOTA : &HV pWXGHV Q·DYDLHQW SDV HPSrFKp -­ en 2010 -­ les industriels du PBA
G·DYRLU OH FXORW G·DWWDTXHU HQ GLIIDPDWLRQ OHV pGLWLRQV *X\ 7UpGDQLHO HQ UDLVRQ
G·XQGHOHXUVRXYUDJHVGpQRQoDQWOHVGDQJHUVGHFHSURGXLW)RUWKHXUHXVHPHQW
une excellente enquête sur la WRPEDjSLFSRXUEODQFKLUO·pGLWHXUHWDQQXOHUOH
procès. En tout cas, HQDWWHQGDQWMHYRXVFRQVHLOOHG·rWUHYLJLODQWV : optez plutôt
BIO, en particulier pour les produits cosmétiques de la vie courante cités plus
haut.

 
86  
18
TAMPAX : ARME CHIMIQUE MORTELLE

Les Tampax représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est


farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la marque
7$03$; OHDGHU PRQGLDO GX PDUFKp DLQVL TXH GHV OHVVLYHV HW GpWHUJHQWV« 
2UTXLVDLWTXHFHVFDUWRXFKHVVLDEVRUEDQWHVHWVLSUDWLTXHVVRQWLPELEpHV«
de DIOXINES -­ cette substance hautement cancérogène ? Le cancer du col de
l'utérus est le second cancer féminin, et une femme meurt du cancer de
l'utérus toutes les deux minutes dans le monde ! Y aurait-­il un rapport ??? La
moyenne des femmes ayant cinq jours de menstruation par mois durant 38
ans, utilisera donc -­ statistiquement -­ 11.000 tampons au cours de sa vie !

Ce produit d'hygiène intime féminin est classé par la FDA (Food and Drug
Administration) comme un instrument médical. Ainsi, les fabricants ne sont
pas tenus de se conformer aux mêmes règles d'étiquetage que celles en vigueur
pour les aliments, médicaments ou cosmétiques. Tout comme pour les tests de
toxicité dans la distribution alimentaire, les tests d'ordre chimique sur les
tampons sont réalisés par les fabricants ou des chercheurs privés qui sont
payés par ceux qui fabriquent et vendent les tampons. A noter que Procter &
Gamble tient à garder secrète la recette de sa soupe chimique vu que les seules
femmes américaines rapportent deux milliards de dollars par an pour leurs
serviettes hygiéniques et leurs tampons chimiques.

Une jeune française a lancé une pétition en ligne pour demander à la marque
Tampax de donner la composition exacte de ses produits ² on attend toujours
la réponse !

ENQUÊTE SUR LA COMPOSITION DES TAMPAX


A l'origine, les tampons étaient composés à 100% de coton. Lorsque les femmes
se sont plaintes de fuites, les fabricants ont augmenté leur pouvoir absorbant
en mélangeant le coton à des fibres synthétiques hautement absorbantes
comme du polyester, du polyacrylate, de la viscose et de la cellulose de
carboxymétyl. Au début des années 80, des rumeurs ont couru concernant les
tampons lorsque 38 femmes sont mortes de syndromes de chocs toxiques
(TTS), d'une infection bactériologique liée à l'usage de tampons super
absorbants. Suite à ces événements, bien qu'ils aient nié tout lien avec ces

 
87  
morts, les fabricants de tampons changèrent la composition de leurs produits.
Au cours de tests privés, il fut établi que ces matériaux synthétiques attiraient
les bactéries qui conduisaient à des TTS. De nouvelles études amenèrent à
sélectionner un mélange de viscose et de coton comme "composant" le plus
sécuritaire, et c'est précisément ce qui reste dans les tampons classiques
d'aujourd'hui.

Or, il y a deux problèmes de taille :


1 -­ Le coton conventionnel utilise pour sa culture environ 38 tonnes de
pesticides chaque année aux Etats-­Unis. Ces produits chimiques comptent
parmi les plus toxiques utilisés en agriculture, et l'Agence pour la Protection de
l'Environnement a déclaré 7 de ces produits chimiques parmi les 15 principaux
utilisés pour la production de ce coton, comme cancérigènes pour l'être
humain.
Dernièrement, des chercheurs de l'Université de la Plata en Argentine ont
analysé la composition d'échantillons de gaze et de coton, constituant les
serviettes hygiéniques et les tampons. 85% d'entre eux contiennent du
glyphosate, molécule plus connue comme étant le désherbant Roundup de
Monsanto, classé cancérigène probable par l'OMS. De fait, en Argentine,
TXDVLPHQWWRXWOHFRWRQHVW2*0FHTXLHQWUDvQHO·XWLOLVDWLRQV\VWpPDWLTXHGX
Roundup !

2 -­ La viscose, utilisée dans les Tampax est fabriqué à partir de pulpe de bois -­
et parmi les nombreux produits chimiques qui sont utilisés pendant le
processus de conversion du bois -­ c'est dans le chlore utilisé pour blanchir la
pulpe de bois que réside le plus grand danger. Le procédé crée des
hydrocarbones chlorés, un groupe de produits chimiques dangereux, dont
l'un des produits dérivés est la dioxine, l'une des substances les plus toxiques
connues.

Alors, en réponse aux réclamations des consommateurs et du gouvernement


américains dans le cadre de leur loi sur la santé des femmes et la dioxine,
suivie par la loi sur la recherche et la sécurité des tampons, l'industrie du
tampon a récemment changé sa méthode de blanchiment par une nouvelle
méthode qui remplace le chlore gazeux par du dioxyde de chlore. Le dioxyde de
chlore est connu pour ses propriétés désinfectantes, et est utilisé pour
contrôler les micro-­organismes nocifs, y compris les bactéries, les virus ou les
champignons. Ce nouvel agent de blanchiment devait théoriquement aboutir à
un produit exempt de dioxine.

 
88  
Et bien non ! Des études ont démontré que la fabrication de dioxyde de chlore
ne génère pas un produit aussi pur que le prétendent les fabricants de
tampons. Des réactions chimiques qui ont lieu pendant le processus de
EODQFKLPHQW OLEqUHQW GX FKORUH JD]HX[« qui engendre encore de la dioxine.
Bien sûr, la nouvelle méthode de blanchiment diminue la quantité de dioxines
créées, mais ne les élimine pas vraiment. Etant donné que la dioxine est
cumulative et lente à se désintégrer, le danger reste par le contact répété (5
jours par mois, 12 mois par an, pendant près de 40 ans !).

PETITS RAPPELS SUR LA DIOXINE


La dioxine est une molécule produite par la combinaison de chlore et de
composés organiques, qui a été le composant actif du sinistre agent orange
américain utilisé au Vietnam. Elle est considérée comme la substance la plus
PRUWHOOH FRQQXH SRXU O
KXPDQLWp RQ GLW TX·XQH VHXOH FXLOOqUH j VRXSH VHUDLW
VXIILVDQWH SRXU WXHU O·KXPDQLWp HQWLqUH &HWWH WR[LQH HVW XQ VRXV-­produit de
l'incinération des déchets, de la fabrication de pesticides chimiques et du
blanchiment du papier et des pâtes à papier). Elle est classée POP (polluant
organique persistant) qui s'accumule dans le corps.

Et comme si le coton imbibé de dioxine et de pesticides ne suffisait pas, les


tampons contiennent aussi de nombreux produits chimiques supplémentaires
qui comprennent :

-­ des amplificateurs d'absorption,

-­ des désodorisants,

-­ des parfums synthétiques.

EFFETS DE CONTAMINATION DES TAMPAX SUR LA FEMME


La dioxine s'accumule chez les humains, en particulier dans les tissus adipeux
féminins et le lait maternel. Le principal moyen d'élimination est donc par le
lait maternel ou le placenta. Ainsi elle commence à s'accumuler dans
O
RUJDQLVPH GX I±WXV HW SOXV WDUG GDQV FHOXL GH O
HQIDQW HQ EDV-­âge. Les
HQIDQWV HW OHV I±Wus sont donc les plus exposés aux risques alors que leurs
systèmes nerveux et immunitaire sont en plein développement. Cette toxine

 
89  
persistante se propage non seulement à travers les différentes populations,
mais aussi de manière générationnelle.

Des douzaines de maladies et affections sont liées à l'accumulation de dioxine


dans l'organisme. On peut les regrouper en trois catégories : celles faisant
intervenir les enzymes, les facteurs de croissance et les hormones. Un récent
rapport de l'Agence pour la Protection de l'Environnement confirme que la
dioxine est un "cancérogène pour l'homme" et ce produit chimique cancérogène
connu est en contact direct avec nos organes internes et nos zones très
sensibles. Des études Suédoises ont établi un lien entre les tampons contenant
de la dioxine et une augmentation des cancers de l'appareil génital féminin.

En fait, les tampons sont placés contre les tissus adipeux humides pendant
des périodes prolongées créant un environnement idéal pour l'absorption de
produits chimiques. La dioxine agit comme un perturbateur endocrinien. Une
des maladies les plus directement liées à l'effet de perturbation endocrinienne
de la dioxine libérée par les tampons est l'endométriose, une maladie où les
cellules endométriales de la muqueuse de l'utérus se développent de manière
inappropriée à l'extérieur de l'utérus. Elles poussent sur les ovaires, à
l'extérieur de l'utérus ou des trompes de Fallope, ou ailleurs dans la cavité
abdominale.

En plus du cancer et de l'endométriose, les perturbations de la croissance


des enzymes et des hormones causées par l'exposition à la dioxine ont été
associées à :
-­ des anomalies congénitales,
-­ l'incapacité à porter une grossesse à terme,
-­ la diminution de la fertilité,
-­ la réduction du nombre de spermatozoïdes,
-­ O·LQVWDOODWLRQGXGLDEqWH
-­ des troubles de l'apprentissage,
-­ O·DOWpUDWLRQGXV\VWqPHLPPXQLWDLUH
-­ des problèmes pulmonaires,
-­ des maladies de la peau,
-­ la réduction du niveau de testostérone.

AUTRE PROBLEME :
LES FIBRES SYNTHETIQUES ET LEURS RESIDUS

 
90  
Des études ont montré que les fibres synthétiques créent un environnement
idéal pour la croissance des bactéries "Staphylococcus aureus" (staphylocoque
doré) à l'origine du syndrome de choc toxique. Ces caractéristiques sont
attribuées aux tampons au très haut pouvoir absorbant qui, par conséquent,
laissent derrière eux, des quantités concentrées de protéines dont ces bactéries
nuisibles ont besoin pour produire leur poison.

En plus d'augmenter le risque de syndrome de choc toxique, les fibres


synthétiques sont abrasives pour la paroi vaginale qui est très sensible. Les
tampons Tampax sont insérés profondément dans le vagin avec un applicateur
et s'étendent en longueur. Cela pousse le tampon contre la zone cervico-­
utérine, provoquant des microcoupures et incrustant des fragments de tampon
dans les tissus du col et la paroi vaginale (citrinibaum). En plus des coupures
provoquées par le tampon lui-­même, le retrait du tampon laisse aussi des
fibres qui peuvent être à l'origine de futures ulcérations.

Ces ulcérations sont causées par la combinaison des substances chimiques du


tampon et par la friction provoquée par son retrait. Les substances chimiques
du tampon "rongent littéralement le tissus vaginal". Ces ulcérations
augmentent les risques d'une femme de contracter une MST en créant une
porte d'entrée vers le flux sanguin. Pour aggraver les choses, le coton
génétiquement modifié qui est utilisé aux USA résiste aux effets des
antibiotiques. Par conséquent, les femmes qui utilisent des tampons de coton
OGM peuvent ne pas répondre aux antibiotiques prescrits.

Une petite expérience impressionnante


Lors de ses recherches, Meghan Telpner est tombée sur des documents traitant
des fibres microscopiques et chimiques laissées dans leur sillage par les
tampons et qui sont absorbées directement par les tissus adipeux et le flux
sanguin. Elle explique :

" J'ai essayé moi-­même de placer un tampon dans un verre d'eau pendant 6
heures (la durée moyenne d'usage d'un tampon) pour faire le constat de mes
propres yeux. Lorsque j'ai retiré le tampon de l'eau, j'ai trouvé des centaines de
minuscules particules blanches semblables à des fils fluorescents en suspension
dans l'eau, certaines s'étaient déposées au fond du verre, d'autres rasaient les
bords. Compte tenu de la quantité de particules qui étaient clairement visibles à
O
±LOQXMHSHX[VHXOHPHQWLPDJLQHUOHYROXPHGHSURGXLWVFKLPLTXHVHWGHILEUHV
microscopiques qui sont présentes dans le vagin et intégrées dans le tissu
vaginal à chaque utilisation de tampon."

 
91  
DES ALTERNATIVES PLUS PRUDENTES
Il existe plusieurs options très valables pour les femmes. Les solutions
alternatives sont disponibles à l'achat sur internet et dans la plupart des
magasins d'alimentation naturelle. Elles comprennent le passage des tampons
conventionnels :

‡   aux éponges de mer naturelles,

‡   aux serviettes réutilisables respectueuses de l'environnement,

‡   aux coupelles menstruelles.

Des tampons 100% bio sont fabriqués à partir de coton certifié sans OGM. Ils
ne contiennent ni colorants irritants, ni parfum, et ne comportent pas les
risques liés aux fibres synthétiques. Choisir le coton bio et sans chlore réduit
les quantités de toxines dangereuses dispersées dans l'environnement ainsi
que la pollution par les pesticides et produits chlorés tout en les tenant à
l'écart de notre corps.Ces tampons s'utilisent exactement de la même manière
que les tampons conventionnels avec divers degré d'absorption, avec ou sans
applicateur. Il est recommandé d'utiliser le taux d'absorption le plus bas pour
éviter les risques de syndromes de choc toxiques. Les tampons bio ne sont que
légèrement plus chers que les tampons conventionnels.

Source : Meghan Telpner -­ Toxic Death Sticks

 
92  
19
NOS ENFANTS "LEGALEMENT" EMPOISONNES !

Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée "Cancer


HW HQYLURQQHPHQW RQW DFKHWp GDQV GHV VXSHUPDUFKpV GH O·2LVH HW GH 3DULV
entre juillet et septembre 2014 les denrées alimentaires généralement
consommées en quatre repas et un en-­FDVHQXQHMRXUQpHSDUOHVHQIDQWVG·XQH
GL]DLQH G·DQQpHV &HV UHSDV-­types, selon les recommandations officielles (5
IUXLWVHWOpJXPHVIUDLVSURGXLWVODLWLHUVHWOLWUHG·HDXSDUMRXUHWTuelques
friandises), ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en
France et en Belgique.

¤ -­ Pour le petit-­déjeuner, le beurre et le thé au lait contenaient à eux seuls


plus de 10 résidus cancérigènes possibles et 3 avérés cancérigènes certains,
ainsi que près de 20 résidus susceptibles de perturber le système hormonal.

¤ -­ Les pommes -­ importées du Brésil -­ prévues comme en-­cas, présentaient


des traces de 6 substances chimiques, dont un fongicide pourtant interdit en
France.

¤ -­ Même chose pour les haricots verts du Kenya, inclus dans le déjeuner, sur
OHVTXHOV O·pWXGH D GpWHFWp GHV WUDFHV G·XQ LQVHFWLFLGH SXLVVDQW pJDOHPHQW
LQWHUGLWGDQVO·8QLRQHXURSpHQQH

¤ -­ Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain et le chewing-­


gum, étaient truffés de pesticides et autres substances chimiques.

¤ -­ 'DQVO·HDXGXURELQHWOHVDQDO\VHVRQWUpYpOpODSUpVHQFHGHQLWUDWHVHWGH
FKORURIRUPH0DLVF·HVWOHVWHDNGHVDXPRQSUpYXSRXUOHGvQHUTXLV·HVWUpYpOp
le plus "riche", avec 34 résidus chimiques détectés.

$SUqV FHOD RQ V·pWRQQH SRXUTXRL WDQW GH FDQFHUV WDQW GH PDODGLHV
endocriniennes, de maladies orphelines. Toute une génération sacrifiée par
empoisonnement leQWGDQVO·LQVRXFLDQFHJpQpUDOH
/H *UHQHOOH GH O·HQYLURQQHPHQW HVW XQH Vinistre farce : pendant que le
gouvernement refuse toute aide au bio très insuffisant face à la demande, on
subventionne largement les empoisonneurs. Pendant que les "contrôles"

 
93  
harcellent les diffuseurs de produits sains et naturels, ils ont ordre de fermer
les yeux sur les produits criminels de la grande distribution !

&·HVWTXRLFHSODQjYRWUHDYLV"

 
94  
20
/·$33(7,66$17(7$57($8;&(5,6(6
«GXVXSHUPDUFKp

-·DYDLVGpMjGLIIXVpXQWH[WHGXPrPHJHQUHLO\DTXHOTXHVDQQpHV0DLVYXFH
que je continue à constater plus que jamais sur les étals, en particulier à
O·RFFDVLRQGHVIrWHVHWYXODJUDQGHFDSDFLWpjRXEOLHU-­ à la façon Shadocks -­
GH EHDXFRXS GH PRQGH MH Q·KpVLWH SDV j UHVVHUYLU FH PRUFHDX GH EUDYRXUH
réactualisé.

92<216'·$%25'/A PÂTE :

/D IDULQH SURYLHQW GH JUDLQV GH EOp TXL SUpDODEOHPHQW RQW pWp HQUREpV G·XQ
fongicide avant semis. Pendant sa culture, le blé a copieusement reçu des
pesticides, des hormones de synthèse, et bien sûr des engrais chimiques.
Après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au
bisulfite de carbone, puis arrosés au lopyriphosméthyl. Ensuite la farine
reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de O·DFLGHDVFRUELTXH. Pour faire lever la
pâte, la poudre levante est traitée au silicate de calcium HW O·DPLGRQ HVW
blanchi au permanganate de potassium. La pate reçoit aussi de
O·K\GUR[\WROXqQH GH EXW\O -­ XQ DQWLR[\GDQW SRXU pYLWHU OH UDQFLVVHPHQW «
BEURK !

CONCERNANT LA CREME PATISSIERE :

/HV±XIV TXDOLWp)5 SURYLHQQHQWG·XQpOHYDJHLQGXVWULHOFRQFHQWUDWLRQQDLUH


où les poules confinées dans des cages métalliques sont nourries avec des
granulés contenant des antioxydants (E300 à E311), des émulsifiants
(alginate de calcium), des conservateurs (acide formique), des colorants
(capsa théine) des agents liants (ignosulfate) et enfin des appétants
(glutamate de sodium  SRXU TX·HOOHV SXLVVHQW DYDOHU WRXWHV FHV VDORSHULHV
Elles reçoivent aussi des antibiotiques, et surtout des anticoccidiens. Les
±XIV avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface
comme O·DFLGH FKROLTXH HW XQH HQ]\PH SRXU pOLPLQHU OH VXFUH GX EODQF«
BEURK !

 
95  
Le lait SURYLHQW G·XQ pOHYDJH LQGXVWULHO R OHV YDFKHV UHoRLYHQW XQH
alimentation pleine de produits chimiques tels que : flavophospholipol (F712),
ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse (F307), buthyl-­
hydrox-­toluène (F321), alginate de propylène-­glycol (F405), acide tartrique
(E334), acide propionique (F280), azotés chimiques (F801), des colorants, et
enfin, des appétants comme le glutamate de sodium«BEURK !
Les huilesRQWpWpH[WUDLWHVSDUGHVVROYDQWVFRPPHO·acétone, puis raffinées
par action de O·DFLGHVXOIXULTXH VXLYLG·XQODYDJHjFKDXGSXLV neutralisées à
la lessive de soude, ensuite décolorées au dioxyde de chlore ou au
bichromate de potassium et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc.
Enfin, elles sont recolorées à la curcumine... BEURK !

La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des stabilisants
FRPPHO·acide alginique ( «BEURK !

VOYONS MAINTENANT LES CERISES

Elles ont reçu entre 15 et 40 traitements de pesticides selon les années.


Elles sont décolorées à O·DQK\GULGHVXOIXUHX[ et recolorées de façon uniforme
à O·DFLGHFDUPLQLTXH RXjO·érythrosine. Elles sont ensuite plongées dans une
saumure contenant du VXOIDWH G·DOXPLQLXP, et à la sortie, reçoivent un
conservateur comme le sorbate de potassium ( «BEURK !
Enfin, elles sont enduites de sucre raffiné qui provient de betteraves ayant
UHoXOHXUGRVHG·HQJUDLVHWGHSHVWLFLGHV&HVXFUHHVWH[WUDLWSDUWUDLWHPHQWj
la chaux et à O·DQK\GULGHVXOIXUHX[, décoloré au sulfoxylate de sodium, puis
raffiné au norite et à O·DOFRRO LVRSURS\OLTXH. Enfin il est azuré au bleu
anthraquinonique« BEURK !
Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est
QpFHVVDLUH G·DMRXWHU XQ parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une
UHFUpDWLRQV\QWKpWLTXHGXJR€WHWGHO·RGHXUjSDUWLUG·pOpPHQWVDUWLILFLHls issus
de la chimie du pétrole. Le parfum artificiel de cerise se compose du cocktail de
molécules synthétiques suivant : DFpWDWHG·pWK\OH² acéthyl méthylcarbinol ²
EXW\UDWH G·LVRDP\OH ² FDSURDWH G·pWK\OH ² FDSU\ODWH G·LVRDP\OH ² caprate
G·pWK\OH ² butyrate de terpényle ² géraniol ² butyrate de geranyl ²
DFpW\ODFHWDWH G·pWK\OH ² KHSWDQRDWH G·pWK\OH ² aldéhyde benzoïque ²
aldéhyde p-­toluique (le dernier ferme la porte  « BEURK, BEURK, BEURK !!!

 
96  
CONCLUSION :

6LYRXVQHYRXOH]SDVDWWUDSHU VHORQO·H[SUHVVLRQGH'LHXGRQQp GHVPDODGLHV


du Moyen-­Âge ou la "chiasse alsacienne" ² ne cédez pas à la tentation de la
facilité, et faites plutôt vos tartes vous-­même avec des produits "honnêtes" ;; çà
Q·HVWSDVVLFRPSOLTué, il y a des tas de bonnes recettes de grands-­mères sur
,QWHUQHWTXLPHWWHQWODMRLHGDQVODPDLVRQHWRODJRXUPDQGLVHQ·HVWSOXVXQ
suicide au détail !
Source des données techniques : Claude Bourguignon
Cet ingénieur agronome -­ spécialiste de la microbiologie des sols -­ LVVXGHO·,15$
TX·LOTXLWWDSRXUFDXVHGHGpVDFFRUGGpQRQoDRIILFLHOOHPHQWSRXUODSUHPLqUHIRLV
TXH OHV VROV FXOWLYpV j JUDQG UHQIRUW G·HQJUDLV FKLPLTXHV HW GH SHVWLFLGHV QH
recelaient plus aucune vie bactériologique, ni animale (vers de terre ² larves ²
LQVHFWHV« 

 
97  
21
)$%8/(8;&$)(«
bon ou mauvais pour la santé ?

%HDXFRXS GRLYHQW VH UDSSHOHU GH FH FpOqEUH QDWXURSDWKH TX·D pWp André
Passebecq. 9RLOjFHTX·LOGLVDLWFRQFHUQDQWOHFDIp :

"Le café est un chélateur, du grec "chelos" : PINCES. Il retient dans ses "pinces"
tous les nutriments nécessaires à nôtre bonne santé, et les empêche de passer la
barrière intestinale."

Prendre des produits de santé en même temps que du café est donc du
gaspillage pur et simple !

8QH DPLH QDWXURSDWKH P·D UDFRQWp : "Ma fille, ayant commencé un super
WUDLWHPHQW TXH MH OXL DYDLV SUHVFULW V·HVW UDSLGHPHQW SODLQWH GH Q·DYRLU DXFXQ
résultat. Sachant qu'elle prenait du café plusieurs fois par jour, je lui ai demandé
d'arrêter le café. Trois jours après, elle me recontacta, enthousiasmée du
résultat fulgurant".

Concernant la prise de médicaments pharmaco-­chimiques le problème est le


même, mais à considérer sous deux angles possibles :

-­ si le médicament est bon, le café en réduit les effets ou les annule (selon le
nombre de cafés quotidiens consommés),

-­ si le médicament est mauvais -­ voire carrément dangereux -­ le café vous


protège et peut-­rWUHYRXVVDXYH«

Pour André Passebecq, "La meilleure façon de prendre du café, c'est en


lavement, bouilli pendant plusieurs minutes". Tiens, tiens, mais cela
rappelle les lavements au café dans la cure anti cancer du Docteur Gerson
que je préconise depuis près de 10 ans, et dont on retrouve le modus operandi
dans mon e-­book "CANCERS -­ guérir hors protocoles" téléchargeable
gratuitement sur mon site www.micheldogna.fr HQSDJHG·DFFXHLO

UNE CURIOSITE : On ne sait pas pourquoi le café bouilli en lavements


estompe toute douleur en moins de 15 minutes, même lorsque la morphine ne
marche plus. Cette découverte remonte à la guerre de 14-­18 dans les tranchées

 
98  
et fut appliquée, par des infirmières, aux soldats gravement blessés ou
amputés afin de calmer leurs douleurs intenables.

Le Dr Max Gerson utilisait les lavements au café pour réaliser la détoxification


du corps. Il précisait que 98% des personnes atteintes de cancer des organes
LQWHUQHV FRPPH DXVVL G·DXWUHV JUDYHV PDODGLHV GX PpWDEROLVPH QH PHXUHQW
pas de la maladie elle-­même, mais plutôt des surcharges énormes du foie, ne
pouvant plus éliminer les toxines et les éléments de décomposition des
tumeurs.

Donc, les lavements au café ont trois utilités indispensables :

‡(OLPLQHUODGpEkFOHWR[pPLTXHSDUOHVYRLHVELOLDLUHV

‡&DOPHUOHVGRXOHXUV

‡Soutenir et régénérer le foie.

'H SOXV O·pOLPLQDWLRQ GHV UDGLFDX[ OLEUHV HVW PXOWLSOLpH SDU   DXFXQ DXWUH
produit ou médicament ne peut sur ce point rivaliser avec le café, même pas le
co-­enzymes Q-­10.

Maître Omram Ivanov de son côté disait qu'avant de boire du café, il faut le
faire bouillir trois fois. &HOD UDSSHOOH OH FDIp WXUF« %LHQ V€U FH Q·HVW SOXV OH
PrPHJR€WHWF·HVWSRXUFHODTXHGDQVOH1RUG  M·DLWRXMRXUVHQWHQGXGLUH
"Café bouillu, café foutu" -­ 2XLPDLV«PHLOOHXUSRXUODVDQWp !).

'·$875(6&216(48(1&(6$11(;(6'8&$)(
-·HQ SURILWH SRXU GLUH TXH MH YRLV SDVVHU VXU ,QWHUQHW FRQFHUQDQW OH FDIp
TXHOTXHVYpULWpVEDVLTXHVSHUPHWWDQWGHJOLVVHUG·pQRUPHVPHQVRQJHV'DQVOD
rubrique inconvénients possibles, on trouve : irritabilité ² palpitations ²
insomnie ² GpSHQGDQFH &·HVW YUDL Il aurait pu être ajouté que mélangé à du
lait ou pire, à de la crème fraîche, le café devient un poison violent pour le foie
et la circulation cérébrale. Gamins, le petit déjeuner standard avec café au lait
de QRV SDUHQWV QRXV D VRXYHQW UHQGXV ELHQ SDWUDTXHV MXVTX·j FH TXH VH
SURGXLVH O·pWDW GH WROpUDQFH R O·RUJDQLVPH GpPLVVLRQQH HW F·HVW OD SRUWH
RXYHUWH j XQ WUDLQ GH PLVqUHV DX ORQJ FRXUV DYHF OHVTXHOOHV EHDXFRXS Q·RQW
jamais fait et ne feront jamais la relation.

Côté allégations, je trouve que le contrôle des fraudes -­ si vigilant à sévir à


O·HQFRQWUH GHV SURGXLWV GH VDQWp QDWXUHOOH -­ IHUDLW ELHQ G·\ PHWWUH ERQ RUGUH

 
99  
ORUVTX·LO HVW SUpWHQGX TXH OD FRQVRPPDWLRQ GH FDIp LQGXLUDLW XQH EDLVVH GH
risque de cancer, de calculs biliaires, de cirrhose, et de diabète".

Concernant les avantages réels, on ne peut nier : la stimulation intellectuelle,


la stimulation digestive (quoique pour certains ce soit le contraire), la
stimulation de la vésicule biliaire et du transit intestinal, et même de la
motricité des "supermatozoïdes" (à vérifier au microscope après "extraction »).

(QIDLWF·HVWWRXWO·RUJDQLVPHTXLHVWVWLPXOpPDLVYR\RQVGHSUqVSDUTXHO
processus ?

3DUWRQV GX IDLW TXH M·DLH XQ FRXS GH SRPSH« DORUV MH Eois un café. Que se
passe t-­il ?

 ‡ /H FDIp pWDQW UHFRQQX HQ WDQW TXH SRLVRQ SDU O·RUJDQLVPH OHV VXUUpQDOHV
VRQQHQW O·DOHUWH URXJH HW PHWWHQW HQ VXUDFWLYLWp WRXWHV OHV IRQFWLRQV SRXU
pOLPLQHUOHSURGXLWDXSOXVYLWH«HWWRXWGHVXLWHODIRUPHUHYLHQWRXf !

 ‡ 0DLV OH SUREOqPH HVW TXH MH IRQFWLRQQH j FUpGLW VXU GHV UpVHUYHV TX·LO
faudrait rapidement renflouer.

 ‡ 4XDQG OH FDIp HVW pOLPLQp SDU OHV YRLHV XULQDLUHV PHV VXUUpQDOHV VH
remettent au repos.

‡(WOjFRPPHMHQ·DLSDVGHTXRLUHIDLUHOHQLYHDu des énergies empruntées,


MHVXLVHQFRUHSOXVFUHYpTX·DXGpSDUW

Alors que faire ? Ben... reprendre un café, pardi !!!

&·HVWOH61,& 6\QGLFDW1DWLRQDOGHV ,QGXVWULHOVGX&DIp TXLXQHIRLVGHSOXV


ne va pas être content après moi. Si vous imaginez le nombre de cafés qui se
FRQVRPPHQWFKDTXHMRXUFHODGRQQHXQHLGpHGXFKLIIUHG·DIIDLUHVFRORVVDOTXH
cela peut générer ² alors "business is business HWO·RQQ·DLPHSDVEHDXFRXS
les trublions.

En fait, je fais remarquer que je dis beaucoup de bien du cafp«GDQVODPHVXUH


où il est pris par le bon côté !

 
100  
22
/(/$,7&·(676857287
DE LA COLLE, DES HORMONES ET DU PUS !"

On ne peut aborder ce sujet sans parler G·$OEHUW&RKHQ, surnommé aux USA,


O·KRPPH DQWL-­ODLW ,O D pFULW O·XQ GHV OLYUHV OHV SOXV IDVFLQDQWV HW OHV SOXV
documentés sur ce sujet : MILK, The deadly poison ("Le lait, poison mortel"),
qui a fait grand bruit aux USA (pas encore traduit en français). Dans sa
dédicDFH LO V·DGUHVVH j "toutes les personnes dans le monde qui souffrent de
WRXWHVVRUWHVGHWURXEOHVGHVDQWpVDQVrWUHFRQVFLHQWVGHO·RULJLQHDOLPHQWDLUHGH
leurs maux. Puissent-­elles découvrir que la fontaine de jeunesse, pour elles, leurs
enfants et les JpQpUDWLRQVIXWXUHVSRXUUDLWELHQYHQLUGXVLPSOHIDLWG·pOLPLQHUOH
lait de leur vie !"

Ce livre montre comment les autorités sanitaires ont été perverties par les
grandes multinationales qui, dans leur recherche de profit sans cesse
croissant, ont mené notre société au bord du suicide nutritionnel. Le lait, au fil
des ans, malgré sa blancheur, est devenu pour les cellules de notre corps
O·pTXLYDOHQWGHVPDUpHVQRLUHV LOHVWWHOOHPHQWRPQLSUpVHQWGDQVO·DOLPHQWDWLRQ
KXPDLQH TX·LO HVW GLIILFLOH G·\ pFKDpper ! Au départ, le lait (de vache) est un
DOLPHQWWRWDOHPHQWLQDGDSWpjO·DGXOWHHQJpQpUDOHWjO·KXPDLQHQSDUWLFXOLHU
Le lait est trop riche en protéines, qui pour être éliminées par le corps, obligent
celui-­ci à mobiliser son calcium. Aussi, la stupidité dogmatique pousse les
personnes âgées à consommer massivement des produits laitiers, ce qui
aggravent encore la décalcification ! De plus la pasteurisation (obligatoire) en
fait un polymère (grandes chaînes moléculaires peu assimilables), avec 300 fois
plus de caséine que le lait maternel.

10% DE LA POPULATION EST INTOLERANTE PLUS OU MOINS


GRAVE AU LAIT

Je fais partie de ceux-­Oj«DYHFXQHWDFK\FDUGLHjODFOHIGDQVOHVPLQXWHV


TXL VXLYHQW 1pDQPRLQV ULHQ Q·HVW IDLW GDQV OHV UHVWDXUDQWV SRXU aider ces
EL]DUUHV REOLJHDQW j GHPDQGHU SRXU FKDTXH SODW V·LO FRQWLHQW GX ODLW GH OD
crème fraîche ou du beurre. Il serait pourtant charitable de la part des

 
101  
restaurateurs de mettre sur les étiquettes des buffets : "avec ou sans produits
laitiers". Il est même difficile de trouver une simple soupe de légumes sans la
cuillère de crème "fraîche" pré-­LQFRUSRUpH 4XDQW DX[ GHVVHUWV LQXWLOH G·\
penser, ils sont à 98% aux laitages, y compris les sorbets industriels qui,
illégalement, contiennent du lait en poudre.
Dans les produits de supermarchés, le lait et dérivés se cachent partout dans
les moindres recettes industrielles, aussi est-­il devenu indispensable de se
PXQLU G·XQH ORXSH SRXU pSOXFKHU OHV pWLTXHWWHV HQ FDUDFWqUHV  DORUV TX·LO
serait tellement plus sympathique de marquer en gros "avec ou sans dérivés du
lait".

0DLVFHVG·LQWROpUDQWVDX[ODLWVVRQWLOVGHVPDODGHV ? Et bien justement


121 FDU LOV RQW OD FKDQFH G·DYRLU XQ RUJDQLVPH HQFRUH YLJLODQW DYHF GHV
alarmes qui fonctionnent. Plus on est encrassé et moins ces alarmes
UpDJLVVHQWHWOHSUREOqPHGHFHVSHUVRQQHVHVWTX·LOVQ·RQWSOXVDXFXQPR\HQ
SRXU IDLUH OH UDSSRUW HQWUH FH TX·LOV DEVRUEHQW HW OHXUV SDTXHWV GH PLVqUHV
SK\VLTXHVTXLHQRXWUHFRPPHOHVIXLWHVG·HDXV·DJJUDYHQWVDQVFHVVHavec le
WHPSV ,O VXIILW GH YR\DJHU HW G·REVHUYHU OHV JHQV SRXU FRQVWDWHU TXH GDQV OHV
pays où les produits laitiers ne sont pas dans la coutume (il y en a de moins en
moins), on ne trouve pratiquement pas de cas de problèmes de calcium osseux,
pas de cancers du sein ni de la prostate.

MAIS PARLONS DES BEBES

De nombreux bébés sont maintenant violemment allergiques aux laits en


SRXGUHSRXUELEHURQVHWOHVSpGLDWUHVIRQWFKDQJHUGHPDUTXH«HWF·HVWSDUHLO ;;
le nourrisson se prend un bel eczéma que le médeciQ YD V·DSSOLTXHU j IDLUH
UHQWUHUDYHF«XQFRUWLFRwGHTXLYDWUDQVIRUPHUO·HF]pPDHQDVWKPH EHDXFRXS
plus grave) ² HWWRXWFHODjSDUWLUG·XQHQIDQWTXLpWDLWHQSDUIDLWHVDQWpHWTXL
DYDLWVLPSOHPHQWOHWRUWG·HVVD\HUG·pOLPLQHUOHSRLVRQDYHFOHTXHORQOe nourrit.
0DLV DORUV TX·HQ HVW-­il des bébés qui réagissent aussi au lait du sein de leur
mère ? Peut ²être leur faudrait-­il changer de mère (je veux dire de nourrice) ;;
car rappelez-­vous que tout ce que la mère consomme passe dans le sein. Si la
mère consomme des épinards son lait est aux épinards, des carottes, son lait
HVWjODFDURWWHHWGXODLWGHYDFKH SRXUUL « ?
$QRWHUTXHM·DLYXGHVEpEpVDOOHUJLTXHVjWRXWSURGXLWODLWLHU-­ TXHOTX·LOVRLW-­
et qui ont parfaitement poussé sans problèmes avec des purées de légumes.

 
102  
3DUDLOOHXUVLOHVWLQWpUHVVDQWGHFRQVLGpUHUTX·XQYHDXSDVVHjO·pWDWDGXOWHHQ
 DQV SHQGDQW TX·XQ KXPDLQ PHW  DQV ,O HVW GRQF QRUPDO TXH OH ODLW GH
YDFKHFRQWLHQQHEHDXFRXSSOXVG·KRUPRQHVGHFURLVVDQFHTXHOHODLWGHIHPPH
Nota : La "bovinisation' humaine est de fait une formule intéressante pour
faciliter le pouvoir des gouvernants.

LES VACHES A LAIT SONT DES VACHES MALADES

La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à


augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu
VRXGR\HUOHVDXWRULWpVVDQLWDLUHVHWSROLWLTXHVSRXUTX·HOOHVODLVVHQWPHWWUHVXU
le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité.
Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont
retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour
(auparavant, dans ma jeunesse, elles en donnaient au plus 16/18 litres). Il a
fallu traficoter génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les
pattes plus longues afLQ TX·HOOHV QH VHPDUFKHQW SDV VXU OHV SLV ;; les pauvres
bêtes ne pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h
VXUVLO·RQQHOHVFRPSOpPHQWDLWSDVDYHFGHVIDULQHV. $VDYRLUTX·XQHYDFKH
normale vit 25 à 30 ans, et celles-­là sonWXVpHVjODFRUGHHQ«jDQV

Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de nombreuses infections, si bien que
O·RQDG€XWLOLVHUGHVDQWLELRWLTXHVHQTXDQWLWp/HVWDX[G·DQWLELRWLTXHVGDQVOH
ODLWVRQWIRLVSOXVpOHYpVTX·LO\DDQVHWOHVDXWRULWpVVDQLWDLUHVVHVRQW
contentées G·pOHYHU OHV QRUPHV OLPLWHV DXWRULVpHV $X[ 86$ VXU OHV 
WRQQHV G·DQWLELRWLTXHV IDEULTXpV FKDTXH DQQpH SUqV GH OD PRLWLp HVW XWLOLVpH
pour le bétail. Il est hallucinant de constater TX·DX[ 86$  GHV YDFKHV
souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-­il être sans
GDQJHUSRXUO·KRPPH"

LE CANCER DU LAIT

Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance
VWLPXODLW FKH] O·KRPPH OH GpYHORSSHPHQW GH FDQFHUV O\PSKDWLTXHV
O·DVVRFLDWLRQ GHV PpGHFLQV DPpULFDLQV O·206 HW OHV DXWRULWpV VDQLWDLUHV RQW
préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des
populations. Depuis 1994 DQQpH R O·KRUPRQH GH FURLVVDQFH REWHQXH SDU
génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières,
une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de

 
103  
FDQFHU UDUH MXVTX·DORUV WXH SOXV TXH OHV FDQFHUV GX VHLQ GH OD SURVWDWH GX
pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens américains sont
devenus, VDQVOHVDYRLUGHVFRED\HVTXLDEVRUEHQWGHO·KRUPRQHGHFURLVVDQFH
à travers les produits laitiers dont ils consomment 90 millions de tonnes
chaque année.

3RXUWDQW O·(XURSH D UpVLVWp HW PDOJUp OD SUHVVLRQ GHV PXOWLQDWLRQDOHV


américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas
moins de 23.000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la
TXHVWLRQDUHIXVpO·XWLOLVDWLRQGHO·KRUPRQHGHFURLVVDQFHFDUHOOHHVWLPDLWTXH
OHV SUHXYHV GH VRQ LQQRFXLWp Q·pWDLHQW SDV VXIILVDQWHV $YHF OD SDVVLRQ G·XQ
détective, A.Cohen, O·KRPPHDQWL-­lait", a mis en évidence, de façon irréfutable
parce que prouvée par des documents officiels, la façon dont le public
américain a été trompé. Au lieu de faire connaître les facteurs nutritionnels qui
créent ou favorisent le cancer, on a continué à détruire les tumeurs avec la
FKLUXUJLHHWODFKLPLRWKpUDSLH&·HVWSOXVUHQWDEOHQ·HVWFHSDV"

$ORUVTX·DX[86$GXWHPSVGHQRVSDUHQWV-­ explique Cohen -­ une femme sur 20


était atteinte de cancer du sein, DXMRXUG·KXL XQH IHPPH VXU  HVW WRXFKpH 
4XDQG RQ SHQVH DX[ PLOOLHUV G·HQIDQWV VRXIIUDQW GH OHXFpPLH HW WUDLWpV SDU GHV
chimiothérapies hypertoxiques, on a le coeur brisé devant tant de mépris de la
santé publique.

Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont


OHVSURGXLWVODLWLHUVSXLVTX·LOVVRQWERXUUpVG·KRUPRQHVGHFURLVVDQFH(VSpUHU
une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui semble
ignorée de la plupart des médecins.

PUBLICITES MENSONGERES

On découvre ainsi que la civilisation moderne est dirigée par des lobbies
dangereux pour la santé publique, lobbies qui ont infiltré les administrations et
trompé le public depuis des années par des publicités mensongères. Ainsi,
Nestlé, affirme dans sa publicité pour les produits pour bébés, que "provenant
des cultures contrôlées en permanence par les spécialistes Nestlé, tous ces
SURGXLWV VRQW H[HPSWV GH VXEVWDQFHV QRFLYHV /·HQIDQW reçoit ainsi, en toute
sécurité, une alimentation dont la densité nutritionnelle correspond parfaitement
à ses besoins". Stupéfiantes contre-­vérités ! Pourtant certains des médecins et
GHV VFLHQWLILTXHV TXL WUDYDLOOHQW GDQV FHWWH JUDQGH PXOWLQDWLRQDOH Q·LJQRUHQW

 
104  
pas les informations que nous citons. Mais ils sont tenus de garder le silence
pour ne pas perdre leur poste. Ainsi, sont colportés les mythes officiels qui
correspondent aux impératifs du profit économique.

,O \ D TXHOTXHV DQQpHV XQ JURXSH G·pFRORJLVWHV DYDLW PRQWUp TXH Nestlé était
responsable de la mort de MILLIONS G·HQIDQWV HQ SRXVVDQW OHV PqUHV j
renoncer au lait maternel pour donner à leurs enfants du lait en poudre. Sous
la pression du public scandalisé, la multinationale a légèrement tempéré son
ardeur publicitaire sur ce point mais elle continue à tromper les
cRQVRPPDWHXUV HQ OHXU IDLVDQW FURLUH j O·LQQRFXLWp GH VHV SURGXLWV TXL VRQW
SOHLQVGHSHVWLFLGHVHWG·DGGLWLIVFKLPLTXHVKDXWHPHQWQpIDVWHVSRXUODVDQWp
En effet, le lait est une vraie poubelle puisque la vache concentre tous les
pesticides, herbicides HWSRLVRQVTXLVRQWFRQWHQXVGDQVO·KHUEHRXOHVJUDQXOpV
TX·HOOHPDQJH

'(60,//,216'·$0(5,&$,16$1(0,48(6(7',$%(7,48(6

La cause la plus fréquente de cette carence est un manque de fer. La


consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse
intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce
TXLIDLWSHUGUHEHDXFRXSG·KpPRJORELQH/HVSULQFLSDX[V\PSW{PHVGHO·DQpPLH
VRQWODIDLEOHVVHODIDWLJXHODGpSUHVVLRQHWO·LUULWDELOLWp
On remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au
ODLWGHYDFKHDORUVTXHFHX[QRXUULVDXODLWPDWHUQHOQ·HQVRXIIUHQWSDV

On a pu lire dans le New England Journal of Medicine de juillet 1992 : "Des


études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans
O·DSSDULWLRQ GX GLDEqWH FKH] O·KRPPH /HV SDWLHQWV GLDEpWLTXHV
insulinodépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui
participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas,
centre de IDEULFDWLRQGHO·LQVXOLQH,OV·DJLWG·XQHUpDFWLRQDXWR-­immune".
/H YpULWDEOH SUREOqPH j OD EDVH GX GpYHORSSHPHQW GX GLDEqWH HVW O·pQRUPH
TXDQWLWp GH JUDLVVHV FRQWHQXH GDQV O·DOLPHQWDWLRQ RFFLGHQWDOH j FDXVH GH OD
viande, et des produits laitiers.
Des exSpULHQFHV IDLWHV DYHF GHV pWXGLDQWV HQ PpGHFLQH RQW PRQWUp TX·HQ XQH
VHPDLQHjSHLQHG·DOLPHQWDWLRQWUqVULFKHHQJUDLVVHGHVpWXGLDQWVpWDLHQW
devenus diabétiques.

TOUS ENGLUES A LA CASEÏNE

 
105  
80% des protéines du lait et du fromage sont constitués de caséine, qui est une
puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles
de bière.
(VVD\H]G·DUUDFKHUXQHGHVFHVpWLTXHWWHVHWYRXVYHUUH]ODIRUFHGHFHWWHFROOH
On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos JUDQGVSDUHQWVV·HQ
servaient pour coller les papiers peints ! Pensez à ce que cette colle peut
provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère,
le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction
antigène/anticorps IDLW VpFUpWHU GH O·KLVWDPLQH HW HQJHQGUH XQH LQWHQVH
SURGXFWLRQ GH PXFXV YRLUH GH SXV HW VXUWRXW G·LQIODPPDWLRQV VLQXVLWHV
RWLWHV EURQFKLWHV WRXWHV PDODGLHV HQ LWH«  De nombreux chercheurs
pensent que la caséine est la principale substance responsable des
LQIODPPDWLRQV DUWLFXODLUHV TXH O·RQ YRLW GDQV OHV DUWKULWHV UKXPDWRwGHV Cela
expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart
du temps le soulagement rapide de ces affections.
Depuis des années, je préconise pour nettoyer les colloïdes laitiers du système
lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) -­ 1 ampoule
au lever.

ET LE CALCIUM ? UNE CROYANCE BIEN ENRACINEE

Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-­t-­il tendance à se
déposeU G·XQH IDoRQ GpVRUGRQQpH XQ SHX Q·LPSRUWH R GDQV OHV FRLQV
tranquilles, plutôt que là où il faut ² F·HVW DLQVL TXH VH GpYHORSSHQW GHV
exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de
ODFRORQQHYHUWpEUDOHPLJUHYHUVO·DRUWHpar un phénomène électrolytique.
Alors où donc trouver le précieux calcium ? Mais dans tous les légumes -­ il y
en a partout ! Il y a près de 30 ans que je suis devenu intolérant aux produits
ODLWLHUV HW MH Q·DL DXFXQ SUREOqPH GH FDOFLILFDWLRQ HW DXFXQ SUREOqPH
DUWKURVLTXH-HQHFRQQDLVG·DLOOHXUVSDVGHYpJpWDULHQVTXLDLHQWXQSUREOqPH
de calcium.

Arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre médecin
vous répète comme un perroquet.

 
106  
23
DEVENEZ XXL AVEC DES YAOURTS

9RLFL O·H[SpULHQFH TX·D HIIHFWXpH OH SURIHVVHXU Didier Raoult, patron du


laboratoire de bactério-­virologie de la Timone à Marseille : il a pris des
SRXVVLQV G·XQH VHPDLQH HW OHXU D GRQQp FKDTXH MRXU GX Lactobacillus
fermentum, probiotique que Danone saupoudre généreusement dans tous ses
yaourts. Quatre semaines après, les poulets étaient devenus monstrueux,
GpSDVVDQWGHODWDLOOHQRUPDOH'HSOXVFHTXLQ·DSDVpWpPHQWLRQQpF·HVW
que les dites volailles étaient devenues particulièrement agressives.
/D TXHVWLRQ TXH V·HVW SRVpH OH SURIHVVHXU pWDLW GH VDYRLU VL Wous ces produits
ODLWLHUV ERRVWpV DX[ SURELRWLTXHV GRQW RQ JDYH OHV MHXQHV Q·DXUDLHQW SDV OHXU
SDUWGHUHVSRQVDELOLWpGDQVO·pSLGpPLHG·REpVLWpDFWXHOOH
Selon les statistiques, les Français ingurgitent par an en moyenne 20 kg de
\DRXUWjO·ACTIVIA (bifido-­EDFWpULHQ RXjO·ACTIMEL (Lactobacillus casei). Ceci
pFODLUH HQ RXWUH OH P\VWqUH GH WRXWHV FHV IHPPHV TXL Q·DUULYHQW SDV j PDLJULU
DORUV TX·HOOHV GLVHQW PDQJHU j SHLQH F·HVW-­à-­dire seulement quelques yaourts
FKDTXHMRXU«

Je me réjouis en tant que grand pourfendeur depuis des lustres des produits
laitiers, de constater que la science (indépendante) me donne une fois de plus
UDLVRQDYHFFHWDVSHFWQpJDWLIQRXYHDXTXLYLHQWV·DMRXWHUjODOLVWHGpMjFRQQXH
des graves inconvénients de ce type de consommation (décalcification,
arthrose, caries, acidose, adénome prostatique, mastose des seins,
LQIODPPDWLRQV25/DFWLYDWLRQGHVFDQFHUVEUHILOQ·\DTXHGXPDOjSUHQGUH 
Croyez-­moi, si vous voulez être et rester en bonne santé, écoutez bien les
UHFRPPDQGDWLRQV GHV *5$1'6 SURIHVVHXUV TXL SDUOHQW j OD WpOp« Et faites
O·LQYHUVH  &HV JHQV TXL Q·HQ VDYHQW SDV SOXV TXH YRXV V·HQ WLHQQHQW j GHV
croyances uniquement basées sur le bourrage de crâne publicitaire, ou pire,
sont des malhonnêtes payés pour mentir.

Alors, soyons clairs : LAISSONS LES LAITAGES AUX VEAUX. Du calcium, il y


en a partout, même dans les salades ² les gens allergiques aux produits laitiers
Q·RQWSDVGHSUREOqPHVGHFDOFLXP² à méditer.

 
107  
Après plus de 15 ans de dégâts, Danone a enfin été obligé de revoir sa publicité
mensongère.
Le "pavé dans le pot de yaourt" TX·DODQFpDidier Raoult dans la prestigieuse
revue scientifique Nature, de septembre 2009, a fini par être payant. Pour le
patron du laboratoire de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et
DXWUHVERLVVRQVODFWpHVIDUFLVDX[SURELRWLTXHVTXHO·RQQRXVIDLWDYDOHUGHSXLV
près de 20 ans auraient bien une grosse part de responsabilité daQVO·pSLGpPLH
G·REpVLWpTXLIUDSSHOHVHQIDQWV
‡   Or, les probiotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts
sont, selon les allégations de la marque, assénées à la télévision,
uniquement censés "booster" les défenses immunitaires.
On en trouve pluVGHPLOOLDUGSDUSRW G·ACTIVIA RXG·ACTIMEL. Le hic est
que ces bonnes bactéries "actives et vivantes", dixit Danone, sont les mêmes
que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme
activateurs de croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et
poulets. 8Q SRUF DLQVL JDYp GH SURELRWLTXHV F·HVW SOXV GH  JDJQpV VXU OD
balance. Danone nous pousse donc à "élever" nos enfants comme des cochons
RXGHVSRXOHWV«

(Q IDLW HQ GpEXW G·DQQpH GHV FKHUFKHXUV RQW HX O·LGpH GH FRPparer la flore
intestinale des obèses et des non-­obèses. Et là, surprise, les premiers étaient
bourrés de probiotiques ² FHX[TX·RQWURXYHMXVWHPHQWGDQVOHV\DRXUWVVDQWp
plus". Didier Raoult commente : "On a DXWRULVpSRXUO·DOLPHQWDWLRQKXPDLQHGHV
activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel
VHUDLW O·HIIHW VXU OHV HQIDQWV Du coup, celui-­ci a réclamé des études pour
FRQQDvWUH OH U{OH SUpFLV GH 7286 OHV SURGXLWV ODFWpV GDQV O·pSLGpPLH G·REpVLWp
infantile.

FinalePHQW OHV VHPHXUV G·DOHUWH LQGpSHQGDQWV RQW ILQL SDU pPRXYRLU OHV
VHUYLFHVRIILFLHOVDYDQWTXHOHVFDQGDOHQ·pFODWHWURSDXJUDQGMRXU&·HVWDLQVL
TX·LOV YLHQQHQW GH PHWWUH OD SUHVVLRQ VXU OH JURXSH Danone, l'obligeant, selon
les termes délicats des grands journaux "à revoir sa copie" (Un monstre comme
'DQRQHojVHPpQDJH«  ,OIDXWWRXWGHPrPHUpDOLVHUTXHFHODSRXUUDLWrWUH
un coup dur pour le lobby puisque les groupes Actimel Europe et Activa
Europe SqVHQW HQVHPEOH  PLOOLDUGV G·HXURV VXU XQ FKLIIUH total Danone de
15 milliards, soit 10%.

Mais je ne me fais guère de soucis pour cette entreprise de tricheurs, car entre
VHVGLVFUqWHVHWDGURLWHVPDQ±XYUHVGHUHWUDLWSXEOLFLWDLUHVHWOHVDGGLFWLRQVGH
EHDXFRXSGHFRQVRPPDWHXUVDXWRPDWLVpVLOQ·\DSDV vraiment le "feu au lac",

 
108  
HQ DWWHQGDQW TX·RQ QRXV LQYHQWH XQH DXWUH VDODGH j OD PRGH j O·XVDJH GHV
gogos drogués de la pub.

 
109  
24
LES RAVAGES DU SUCRE

/RUVTXH O·RQ PDQJH GX VXFUH FHOXL-­ci est assimilé très rapidement par
O·RUJDQLVPH FHFLHVWELHQFRQQXGHVVSRUWLIV &·HVWHQVRPPHXQGRSDQW/D
combustion de ce sucre nécessite une accélération plus ou moins importante
de la respiration. La grande majorité actuelle de sédentaires dont la capacité
respiratoire est réduite, ne suit pas dans les besoins en oxygène pour pallier à
FHWWH FRPEXVWLRQ FH IHX GH SDLOOH HQ TXHOTXH VRUWH  '·R HQFUDVVHPHQW
SURJUHVVLIGHO·RUJDQLVPH

Au niveau intestinal, il donne lieu à des fermentations que les dyspepsiques


connaissent bien. En particulier, le sucre donne naissance à des bactéries qui
PDQJHQW XQH SDUWLH GH OD IORUH PLFURELHQQH GH O·LQWHVWLQ FHOOH TXL D SRXU
fonction de synthétiser les vitamines du groupe B. Les mangeurs de sucres ont
très souvent des carences en vitamine B.

Autre chose encore, lorsque le sucre arrive dans le sang (sous forme de
glucose), il y a une brutale acidification du sang et ceci nécessite un effet
tampon qui est réalisé par la libération de calcium au niveau des os et même
des dents ² G·ROHVIUpTXHQWVSUREOqPHVGHFDlcium, de fragilité osseuse et de
dentition chez les mangeurs de sucre.

Enfin, je voudrais reprendre une amusante parabole de Mitchio Kushi qui


avait repris la direction du mouvement macrobiotique après la mort de son
fondateur Oshawa.

"... Au début, le suFUH YD MXVTX·DX IRLH HW HVW VWRFNp VRXV IRUPH GH
polysaccharides. Le cas échéant, les polysaccharides se décomposent et rentrent
GDQVOHPLOLHXVDQJXLQSRXUUpSRQGUHjXQEHVRLQGXFRUSV/RUVTX·LOQ·\DSOXV
GH SODFH OH IRLH V·HQIOH HW DFFURFKH O·pFULWHDu "complet"  /·H[FqV GH VXFUH GRLW
GRQFUHWRXUQHUDXVDQJVRXVIRUPHG·DFLGHVJUDV,O\FLUFXOHHWVHGHPDQGHRLO
pourrait bien se loger. Il trouve un endroit agréable et tranquille pour emménager,
comme votre épaule ou votre cuisse, sous le menton, etc. Il ressemble à ces
SHUVRQQHVDX[FKHYHX[ORQJVTXLHUUHQWjODUHFKHUFKHG·XQJvWH«

Un sucre trouve un endroit merveilleux pour dormir ² un autre arrive et se dit !


7LHQVFHQ·HVWSDVPDOLFLMHFURLVTXHMHYDLVUHVWHU%LHQW{WG·DXWUHVYLHQQHQW
Et à la longue, il y a des millions de sucres. Donc, étant yin, le sucre cherche un

 
110  
PLOLHX\DQJSRXUGRUPLUHWLOYDDX[RUJDQHV\DQJFRPPHOHF±XUOHVUHLQVOHV
RYDLUHV HW VRXV ODIRUPH G·DFLGHV JUDV DGKqUH FRPPH XQH FRXFKH GH JUDLVVH j
ces organes. MDLV FHV VXFUHV QH VH FRQWHQWHQW SDV GH UHVWHU j O·H[WpULHXU LOV
veulent entrer dans la maison. Bientôt, ils se trouvent à la cuisine, entrain de
chercher de quoi manger, et au salon en train de regarder la télévision !

Ils commencent à pénétrer dans les cHOOXOHV ,OV SUHQQHQW G·DVVDXW OHV RUJDQHV
Les organes ne peuvent plus fonctionner ² par conséquence, les acides gras se
condensent et forment des calculs. Une personne dans cet état peut donc avoir
des pertes vaginales, une toux, de la fièvre, etc., on peut avoir ensuite la maladie
de Hodgkin, la leucémie et différentes maladies dont O·DERXWLVVHPHQW HVW OH
cancer !"

BREF HISTORIQUE DU SUCRE


$ O·RULJLQH OHV KDELWDQWV GX %HQJDOH ,QGH  HW GH O·,QGRQpVLH VXoDLHQW
couramment les tiges de canne. Au 4ième siècle, on commença à cultiver la
canne en Orient, puis en Chine et en Perse au 5ième VLqFOH3XLVOHVDUDEHVV·\
intéressèrent au 7ième siècle, en Mésopotamie. Finalement Christophe Colomb
importa la canne aux Antilles.

On commença à importer le sucre de canne en Europe au 17ième siècle par le


SRUWG·$QYHUV&·pWDLWjO·pSRTXHXQSURGXLWGHOX[H0DLVVXLWHDX[GpERLUHVGH
fermentation dans le bateaux, on dut effectuer des processus de purification du
sucre, ce qui donna naissance au bien connu "sucre Candi".

6XLWH j XQ EORFXV GH O·$QJOHWHUUH j FDXVH GH Napoléon LO Q·\ HXW SOXV
G·DSSURYLVLRQQHPHQW GH VXFUH HQ )UDQFH 0DLV en 1806, un ingénieur
DOOHPDQG WURXYD OH PR\HQ G·H[WUDLUH GXVXFUH -­ à bon marché -­ à partir de la
EHWWHUDYH« j VXFUH /·LQGXVWULDOLVDWion démarra en 1812. Mais ce sucre doit
subir des processus chimiques très durs pour enlever son abominable goût et
OH UHQGUH FKLPLTXHPHQW SXU« 0DLV FRPPH WRXV OHV SURGXLWV FKLPLTXHPHQW
SXUV TXL Q·H[LVWHQW SDV GDQV OD QDWXUH  LO V·DYqUH DJUHVVLI SRXU O·Rrganisme.
&·HVWFHVXFUHOjGHJUDQGHFRQVRPPDWLRQTXLpWDLWpYRTXpSOXVKDXW

IL Y A SUCRE ET SUCRES
/HVXFUHEODQFGHEHWWHUDYH«PDXYDLVWR[LTXH

/HVXFUHURX[GHFDQQH«XQSHXPRLQVPDXYDLV

/DFDVVRQDGHEUXQHGHFDQQH«DFFHSWDEOH

 
111  
Le sucre roux (de EHWWHUDYH TXLDpWpFKDXIIp«XQHWURPSHULHSRXUOHVQDwIV

/HVXFUHFRPSOHWGHFDQQH DYHFSOXVRXPRLQVGHPpODVVH «H[FHOOHQW !

NOTA : Il existe toute une famille de sucres qui se terminent en "ose" -­ nous
avons parlé du saccharose, mais il y a le lévulose, le fructose, le lactose, le
glucose, etc., et en particulier les polysaccharides des céréales qui sont,
contrairement au saccharose, des sucres lents et qui sont un aliment propre et
sans déchets.

Le sucre a jadis été vendu dans les drogueries, ce qui LQGLTXHELHQTX·LODpWp


FRQVLGpUp FRPPH XQH GURJXH HW F·HVW YUDL SXLVTX·LO FUpH XQH DGGLFWLRQ /HV
français consomment actuellement en moyenne 100 g de sucre par jour ² à
VDYRLUTX·XQHVLPSOHFDQQHWWHGHVRGDRXGHFRFDF·HVWJGHVXFUH EODQF 
sans V·HQ UHQGUH FRPSWH 4XDQW DX[ HQIDQWV F·HVW XQH YpULWDEOH FDWDVWURSKH
souvent pilotée par les parents inconscients.

INCIDENCE DU SUCRE SUR LE COMPORTEMENT


/H FHUYHDX XWLOLVH pQRUPpPHQW G·pQHUJLH HW VRQ FDUEXUDQW HVW OH JOXFRVH A
savoir que même en état de coma profond, il fonctionne encore à 50%

4XDQG OH VXFUH HVW FRQVRPPp HQ H[FqV OH SDQFUpDV V·DIIROH HW IRXUQLW WURS
G·LQVXOLQH, celle-­ci comme on le sait, devant régler le taux de sucre dans le
sang ;; du coup, le sang se trouvHHQFDUHQFHGHVXFUHHWF·HVWO·K\SRJO\FpPLH
Le corps tente alors de remonter ce taux de sucre en stimulant les surrénales
qui vont produire deux hormones  G·XQH SDUW O·DGUpQDOLQH HW G·DXWUH SDUW
O·pSLQpSKULQH et sa cousine la norépinéphrine. Ces hormones excitent le
cerveau et le mettent en hyperactivité. Mais comme le cerveau manque de
sucre, il produit du glutamate, qui est un neurotransmetteur excitateur. Il en
résulte alors une grande nervosité.

On estime que 50% de la population américaine présentent une hypoglycémie


réactive.
/DFRQVRPPDWLRQGHVXFUHHVWWRXMRXUVVXLYLHG·XQHK\SHUVpFUpWLRQG·LQVXOLQH
/HWDX[GHVXFUHGDQVOHVDQJWRPEHVLEDVTXHO·RQHVWSULVG·XQHVHQVDWLRQ
G·DQ[LpWp GH FROqUH GH IDWLJXH HW PrPH GH IDLEOHVVH LQWHQVH DFFRPSDJQpH«
G·XQH HQYLH LPSpUDWLYH GH VXFUH  (W O·RQ HVW SLpJp GDQV XQ F\FOH
infernal G·DGGLFWLRQ

Relation crime-­nutrition

 
112  
Les recherches ont été faites par le Dr Staye, agent de probation dans un
FDGUHGHOLEHUWpVXUYHLOOpHGHGpOLQTXDQWVGDQVO·2KLRElle a remarqué que ces
délinquants avaient une très mauvaise alimentation avec beaucoup de sucre,
beaucoup de malbouffe, de nourriture avec des additifs tels que le glutamate
PRQR VRGLTXH H[KDXVWHXU GH JR€W  HW O·DVSDUWDP ERLVVRQV OLJKW  2U 
G·HQWUe eux avaient un comportement antisocial, violent, et commettaient des
vols. Si on les mettait sous un régime équilibré, seulement 8% persistaient
dans leur violence. Donc, on assistait majoritairement à un changement radical
GXFRPSRUWHPHQWDORUVTXHF·pWaient au départ des criminels.

Concernant les drogues, les résultats sont aussi intéressants. Les études ont
montré que parmi ceux qui utilisent beaucoup de sucre et de malbouffe, 47%
continuent la drogue durant leur période de liberté surveillée. Par contre,
parmi ceux qui acceptent une alimentation contrôlée, seulement 13%
FRQWLQXHQWODGURJXH$XFHQWUHG·HQIDQWVG·2NODKRPDRQDUpGXLWGHOHV
crimes des jeunes délinquants en réglant simplement les problèmes de
malbouffe.
Et puis, on est allé plus loin en étudiant les électroencéphalogrammes des
prisonniers. Chez les prisonniers violents, on a en outre trouvé 14 anomalies
dans les EEC. Avec le changement de régime, ces anomalies sont passées au
nombre de 2. Mais chez certains individus sensibles, de simples petites
carences peuvent entraîner un comportement criminel.

Il y a aussi une relation importante avec les comportements suicidaires. Dans


GHVSULVRQVG·$ODEDPDRQDIDLWOHVPrPHVpWXGHV(QFKDQJHDQWOHUpJLPHGHV
prisonniers, il y a eu 42% de réduction des actes criminels et 61% de réduction
des comportements antisociaux sur une seule année.

Le syndrome de "perte de contrôle"


Les effets remarquables chez les individus les plus agressifs sont au niveau du
OREH WHPSRUDO TXL QH VHUW SDV TX·j OD PpPoire mais est responsable des
émotions, particulièrement de la colère  LO HVW HQ RXWUH FRQQHFWp j O·DP\JGDOH
du cerveau, siège central de la colère.

/HV SHUVRQQHV TXL RQW XQ G\VIRQFWLRQQHPHQW GX OREH WHPSRUDO ORUVTX·HOOHV
sont en hypoglycémie deviennent folles de rage ² elles peuvent battre à mort
des personnes ou les poignarder sans aucune raison, ou des raisons
insignifiantes. Une électrode installée dans ce site pourrait vous transformer en
FULPLQHO G·XQH PLQXWH j O·DXWUH G·XQH IDoRQ LQFRQWU{ODEOH 'Dns un groupe

 
113  
G·,QGLHQVGX3pURXRQDWURXYpTXHpWDLHQWK\SRJO\FpPLTXHVHWF·HVWO·XQH
des tribus les plus violentes de la planète.

Le cas typique de Raymond


$ORUVTX·LOVHGLVSXWDLWDYHFVDSHWLWHDPLHjSURSRVG·XQHSHFFDGLOOHWRXWG·XQ
coup, il est devenu fou de rage. Il a pris son Magnum et le lui a mis dans la
ERXFKH(OOHV·HVWDORUVGpEDWWXHHWDUHSRXVVpYLROHPPHQWO·DUPHFHTXLDIDLW
TX·LOOXLDWLUpGDQVODPDLQ%LHQTX·HOOHQ·DLWSDVYRXOXSRUWHUSODLQWHO·(WDWD
arrêté Raymond. Le Docteur Staye D FRQVXOWp O·KLVWRULTXH GH 5D\PRQG HW D
trouvé les points suivants :

‡   $ O·kJH GH  DQV VD PqUH DYDLW FRQVWDWp TX·LO DYDLW GHV pSLVRGHV GH
IDLEOHVVHHWG·DEVHQFHHWHOOHOXLGRQQDLWDORUVXQSHXGHVXFUHFHTXLOXL
faisait reprendre ses jeux ;; trouvant la recette efficace, elle recommençait
à chaque fois que cela se produisait. En fait il était à chaque fois en
hypoglycémie.
‡   A 13 ans LO DYDLW GHV VDXWHV G·KXPHXU LPSRUWDQWHV HW VHV UpVXOWDWV
VFRODLUHV IXUHQW WUqV PDXYDLV  LO HXW PrPH GHV pSLVRGHV GH YLROHQFH«
Toujours à cause des chutes de glycémie.
‡   A 23 ansLOFRPPHWFHWWHWHQWDWLYHG·DVVDVVLQDW«
3HQGDQW VD OLEHUWp VXUYHLOOpH RQ O·D PLV j XQ UpJLPH FRQWU{Op OH SULYDQW GHV
cookies, des bonbons, du café, des sodas, etc., et il ne commit plus aucun délit,
QLDXFXQDFWHYLROHQW,OpWDLWGHYHQXXQHSHUVRQQHGLIIpUHQWHHWOHVJHQVQ·HQ
revenaient pas.

/·$6&(16,219(57,*,1(86('868&5(
En 1900, un américain consommait en moyenne, 2 kilos de sucre par an.
Actuellement, il en consomme 60 kilos ! Nous avons vu que la consommation
de sucre est proportionnelle à la délinquance et aux actes criminels. 60% du
VXFUHYLHQWGHO·DOLPHQWDWLRQLQGXVWULHOOH HQWUHMXVGHIUXLWVHWVRGDV 

Dès que les bébés sont en âge de manger, les mères leur donnent des jus de
pommes en brique qui contiennent 35 gr de sucre ! Tous les jus ont de fortes
concentrations en sucre, et les parents élèvent leurs enfants avec cela. Depuis
1974, la consommation de sodas a doublé.

/HVDGRVERLYHQWO·pTXLYDOHQWGHFXLOOqUHVjFDIpGHVXFUHSDUMRXUVHXOHPHQW
en sodas. La limite maximum ne devrait pas dépasser 10 cuillères par jour.
Chez MacDo on sert des "portions extra larges" de Coca, car plus on boit de
boissons sucrées, plus on a soif.

 
114  
8QH pWXGH GH O·80&-­Chapel Hill montre que les adultes de 40 à 60 ans ont
augmenté leur consommation de boissons sucrées de 250% entre 1972 et
2001. Ceux de plus de 60 ans ont augmenté de 300%, c.-­à-­d. multiplié par 3 !
Et on sait que cela provoque une augmentation des radicaux libres dans le
cerveau. Donc, en gros, cela précipite le vieillissement du corps, et en
particulier les cellules du cerveau. On a en outre trouvé que les grands
FRQVRPPDWHXUV GH VXFUH RQW  IRLV SOXV GH FKDQFHV G·DYRLU XQ $O]KHLPHU HQ
raison des lésions permanentes faites au cerveau.

SUCRE ET ALCOOL, MÊMES EFFETS


3DU DLOOHXUV GH QRPEUHXVHV pWXGHV PRQWUHQW TX·LO y a aussi une forte
FRUUpODWLRQHQWUHO·DEXVG·DOFRROO·K\SRJO\FpPLHHWOHVFRPSRUWHPHQWVFULPLQHOV
(QIDLWOHVPpWDEROLVPHVGHO·DOFRROHWGXVXFUHVRQWOHVPrPHV/DSOXSDUWGHV
prisonniers violents des prisons sont hypoglycémiques et alcooliques. A chaque
IRLV TX·LOV ERLYHQW GH O·DOFRRO QRXV VDYRQV TXH OHXU WDX[ GH VXFUH GLPLQXH
GUDPDWLTXHPHQW GDQV OH VDQJ &HOD SHXW DOOHU MXVTX·DX FRPD K\SRJO\FpPLTXH
et même un AVC mortel.

97% des alcooliques sont hypoglycémiques, comparés à 18% dans la


population JpQpUDOH /D UDLVRQ HQ HVW TX·j FKDTXH IRLV TXH O·DOFRROLTXH HVW HQ
K\SRJO\FpPLH LO UHERLW VH VHQW PLHX[ SURYLVRLUHPHQW HW F·HVW OH F\FOH
infernal !... Quand on règle la glycémie de ces gens, 71% deviennent sobres,
comparés à 25% pour les Alcooliques anonymes. Selon les statistiques du FBI,
OD SOXSDUW GHV FULPHV VRQW HQ FRUUpODWLRQ DYHF O·DOFRRO /HV DJUHVVLRQV HW OHV
accidents routiers aussi.

ASPARTAME ET GLUTAMATE, DES FAUX SUCRES SUPER


DANGEREUX
Il y a aussi O·DVSDUWDPHqui est un grand responsable de O·K\SRJO\FpPLHDLQVL
que le glutamate mono sodique (GMS) qui sont deux puissants stimulateurs
GH O·LQVXOLQH /HV GHX[ UHQGHQW K\SRJO\FpPLTXH 6HORQ OD )'$ XQ GH OHXUV
effets rapportés est la prise de poids. Tout le monde croit les publicités
affirmant que ces produits vont leur faire perdre du poids, DORUV TXH F·HVW
O·LQYHUVH car ils poussent au grignotage.

Les industriels le savent mais leur seul souci est le "dumping" de leurs ventes.

Quand vous être hypoglycémique et que vous prenez du glutamate, les effets se
démultiplient. &·HVW H[WUrPHPHQW FRXUDQW GDQV OD VRFLpWp /H PpODQJH VKLSV-­
soda" peut devenir explosif et vous rendre enragé, sans compter que les

 
115  
excitotoxines détruisent le cerveau ! Avec une injection de glutamate dans
O·K\SRWKDODPXVG·XQHVRuris, elle peut attaquer un chat !

DES ETUDES ET ENCORE DES ETUDES


Dans une étude finlandaise de 1983, on a étudié les délinquants violents en
prison. Chez les impulsifs qui attaquent sans raison, le sucre chutait
soudainement dans leur sang, puis remontait rapidement. Parmi les
GpOLQTXDQWVPLQHXUV YROVjODWLUH« OHWDX[GHVXFUHFKXWDLWUDSLGHPHQWPDLs
remontait doucement. On a vu des gens qui étaient cleptomanes à cause de
leur forte consommation de sucre.

Le Dr Ron Prinz GH O·8QLYHUVLWp GH )ORULGH IXW OH SUHPLHU j pWXGLHU O·HIIHW GX
VXFUH VXU OH FRPSRUWHPHQW GHV HQIDQWV HQ  ,O FRQVWDWD G·DERUG que
généralement 40% des rations caloriques de ces enfants étaient composés de
sucre. Les plus hauts consommateurs constitués de 25% de ces enfants,
pWDLHQW K\SHUDFWLIV HW DYDLHQW XQ GpILFLW GH O·DWWHQWLRQ &·HVW FH JHQUH G·HQIDQW
qui se balance la tête coQWUHOHPXUHWTXHO·RQPHWVRXVRitaline.

La Dr Jayne Goldman GH O·8QLYHUVLWp GX &RQQHFWLFXW D IDLW XQH H[SpULHQFH


intéressante en 1986. Elle a donné une dose de sucre à des enfants,
correspondant à un Coca-­Cola. Elle constata une chute des performances
mentales 30 min après cette consommation, et qui atteignait son maximum
XQHKHXUHDSUqVO·LQJHVWLRQ(OOHFRQVWDWDDXVVLTXHFHX[TXLERLYHQWGX&RFD
FRPPHWWHQWIRLVSOXVG·HUUHXUVTXHFHX[TXLQ·HQFRQVRPPHQWSDV/HVHIIHWV
nocifs arrivent souvent 1h30 après la consommation.

Judith Worthman et son mari, neuroscientifiques, ont mené une étude sur la
QXWULWLRQGXFHUYHDX,OVRQWIDLWXQHFRUUpODWLRQHQWUHO·DEVRUSWLRQGHVXFUHOH
comportement, et le niveau de sérotonine dans le cerveau. Tous les
antidéSUHVVHXUV TXH O·RQ DSSHOOH ,656 VRQW GHV GURJXHV TXL UpJXOHQW OD
production de sérotonine dans le cerveau. Mais chez certaines personnes, ces
drogues diminuent le taux de sérotonine, et ces personnes se suicident ou
commettent des meurtres. Les "serial killer" consomment pratiquement
toujours ces drogues antidépressives. Donc, on rend meurtriers des enfants en
GLPLQXDQW OHXU WDX[ GH VpURWRQLQH DORUV TXH O·RQ SUpWHQGDLW O·DXJPHQWHU /H
taux de sérotonine est en relation avec le taux de sucre. Nous avons YXTXHO·RQ
peut créer des souris tueuses en diminuant simplement leur taux de
sérotonine dans le cerveau.

 
116  
Egger et Carter ont étudié -­ en1985 -­ 76 enfants hyperactifs qui ont été mis à
un régime pauvre en glucide, sans colorant. 82% se sont améliorés et 18% sont
redevenus normaux. Les réactions les plus violentes ont été avec le colorant
jaune E102 et le benzoate de sodium E211.

A noter enfin que dans la tribu indienne des Kuolla, où 55% des hommes sont
très agressifs et hypoglycémiques, leur alimentation quotidienne principale est
composée de pommes de terre, qui sont connues pour être fortement
K\SRJO\FpPLDQWHV«

Nota : On comprend mieux pourquoi les belges qui mangent des frites et
ERLYHQWGHVELqUHVIRUWHVRQWO·DOFRROYLROHQW !

Sources : Dr Russell Blaylock neurologue américain

3(,//21$&21),(/·('8&$7,211875,7,211(//(
DES ENFANTS AUX INDUSTRIELS DU SUCRE

Incroyable mais vrai : LaNutrition.fr, a publié le 29 janvier 2014, que le


ministère de l'Education nationale a confié à l'industrie du sucre le soin
G
pGXTXHU QRV HQIDQWV j OD QXWULWLRQ &·HVW O·H[SORLW TX·D UpDOLVp Vincent
Peillon, OHPLQLVWUHGHO·(GXFDWLRQQDWLRQDOHOHRFWREUHHQSHUPHWWDQW
au CEDUS, organisPH GH SURSDJDQGH GH O·LQGXVWULH GX VXFUH GH GpOLYUHU
pendant 5 ans aux enseignants, aux élèves et à leurs familles une "information
sur la nutrition et la santé".
(QG·DXWUHVWHUPHVLODFRQILpDXUHQDUGODJHVWLRQGX
poulailler !
2XVHORQO·H[SUHVVLRQG·XQKXPRULVWHVXLVVH : &·HVWSUHQGUHFRPPHEDE\6LWWHU
un pédophile"...
/·DFFRUG SUpYRLW HQ HIIHW TXH OH &('86 pODERUH HW GLIIXVH GHV VXSSRUWV
G·LQIRUPDWLRQ OD UpDOLVDWLRQ G·DFWLRQV G·LQIRUPDWLRQ O·RUJDQLVDWLRQ GH
conférences et GHYLVLWHVG·HQWUHSULVHVO·DFFXHLOGHMHXQHVHWG·HQVHLJQDQWVGDQV
le cadre de manifestations publiques". Pour se faire une petite idée du bourrage
de crâne que le CEDUS va effectuer sur les enfants avec la bénédiction du
ministère, allez voir les sites www.lesucre.com et www.sucre-­info.com, qui sont
OHVIHUVGHODQFHGHO·RSpUDWLRQ

 
117  
Exemples de ce que le Cedus dit aux enfants :

-­ &RQWUDLUHPHQW j XQH LGpH UHoXH LO Q·\ D SDV GH OLHQ GH FDXVH j HIIHW HQWUH OD
consommation de glucides en général ou de saccharose (sucre) en particulier, et
le diabète." (FAUX !)
-­ "Aucune relation directe entre consommation de sucre -­ HQ GHKRUV G·DSSRrts
caloriques excessifs -­ HWSULVHGHSRLGVQ·DpWpPLVHHQpYLGHQFHGDQVOHVpWXGHV
récentes." (FAUX !)
-­ "Les experts du Fonds mondial de recherches sur le cancer (WCRF) ne
proposent pas de recommandations particulières pour les aliments sucrés."
(FAUX !)
7RXWOHPRQGHVDLWTXHO·H[FqVGHVXFUH
amène de nombreux problèmes de santé.
-­ ,ODFLGLILHO·RUJDQLVPHIDLVDQWOHOLWGHVIR\HUVLQIODPPDWRLUHVVXUWRXWHQKLYHU
UKXPHVjUpSpWLWLRQDQJLQHVRWLWHVEURQFKLWHVDUWKULWHVLWHVLWHVLWHV« 
-­ Il fragilise les défenses immunitaires.
-­ ,OFUpHO·K\SRJO\FpPLHSDUHPEDOOHPHQWGXSDQFUpDVFHTXLILQLWHQGLDEqWH
-­ Il fait le lit de la dépression et de la violence.
-­ /HPpWDEROLVPHGXVXFUHDXQLYHDXGXIRLHHVWOHPrPHTXHFHOXLGHO·DOFRRO
-­ Seul le sucre noir complet (avec la mélasse) est bénéfique pour la santé. Mais
TXLOHVDLWHWTXLO·XWLOLVH ?

Il est clair que monsieur Peillon a été mandaté pour réaliser un programme de
destruction de nos jeunes à la fois sur le plan physique, le plan mental, et le
SODQSV\FKLTXHDXVHLQPrPHGHO·pFROH

&·HVW DX[ SDUHQWV G·LQWHUYHQLU HW GH WHQLU OHXU U{OH GH SUHPLHUV pGXFDWHXUV HQ
DPRQWGHO·pFROH !

 
118  
25
LE SEL MAUVAIS POUR VOTRE SANTE ?
un mensonge officiel !

Les "autorités de la santé" des milieux autorisés (comme disait Coluche) qui
V·DXWRULVHQWWRXWYRXVIRQWDYDOHUFHWWHFRXOHXYUHGHSXLVGHVGpFHQQLHV/HVHO
mauvais ? FAUX, archi FAUX !
Le sel ne durcit pas les artères : aucun document officiel ni aucune statistique
ne démontre cette affirmation gratuite et orientée jODTXHOOHM·DLFUXPRL-­même)
!

Par contre O·HUJRVWpURO LUUDGLp , la fameuse vitamine D de synthèse à la


mode, obtenue à partir du végétal et vendue en pharmacie, provoque ² F·HVW
avéré ² OH GXUFLVVHPHQW GHV DUWqUHV HW OHV SODTXHV G·DWKpURPHV -­ le saviez-­
vous ?
Un livre scolaire de Biologie pour classes de Première scientifique (édition
VUIBERT par Pierre Vincent et Suzanne Darleguy, en 1982) le signalait
SDJH,OV·DJLWGRQFGHFHWWHYLWDPLQH'TXHO·RQDMRXWHPDLQWHQDQWSDUWRXW
pour soi-­disant enrichir les aliments (et surtout les industries !), en particulier
dans le lait, dans tous les produits laitiers divers et variés, dans les jus de
IUXLWV HW GDQV WRXV OHV SODWV HQULFKLV j OD YLWDPLQH ' 2Q D HQ SOXV O·DXGDFH
G·LQVFULUH VXU OHV pWLTXHWWHV  '·25,*,1( 1$785(//( !!! Il serait en outre
LQWpUHVVDQWGHUpDOLVHUXQHpWXGHVWDWLVWLTXHVXUO·LQIOXHQFH de cette vitamine D
de synthèse sur la santé. Mais pas de risque de voir un jour cette étude qui
risquerait de mettre en faillite tout un pan de la chimie agro-­alimentaire.

Dans la Nature, les animaux sauvages ont tous une tendance naturelle à
consommer du sel quand ils en trouvent du disponible sur certaines roches. Il
HVWHQRXWUHG·XVDJHTXHOHVIHUPLHUVSODFHQWGDQVOHVSkWXUDJHVGXVHOJHPPH
jGLVSRVLWLRQGHOHXUEpWDLO&·HVWDXVVLSRXUFHODTXHFHVErWHVVHOqFKHQWHQWUH
elles pour récupérer le sel dans la sueur de leurs congénères, et même sur
elles-­PrPHV«(WOjLOQ·\DSDVGHJURVVHVWrWHVHQELRORJLHSRXUH[SOLTXHUDX[
YDFKHVODTXDQWLWpUDLVRQQDEOHTX·HOOHVGRLYHQWOpFKHU ! Aucun animal sauvage
RXGRPHVWLTXHQ·HVWVRXPLVDX[GLUHFWLYHVGHO·20S !

Alors, comment se fait-­LOTXHFHVH[SHUWVGHO·206GLVHQWTXHOHVHOHVWPDXYDLV


SRXUO·KXPDLQTXLHVWDXVVLXQPDPPLIqUH ? Il suffit de boire, en conséquence,

 
119  
selon sa soif. Les vraies études ont toujours montré que le sodium (du
chlorure de sodium) stresse les cellules, ce qui est utile pour le tonus
musculaire, alors que le potassium (du chlorure de potassium) détend les
cellules et les mettent au repos ² (QIDLWF·HVWPRLQVODTXDQWLWpGHVHO-­sodium
qui est importante, que son équilibre avec le sel-­potassium. A noter que le
FKORUXUH GH SRWDVVLXP HVW YHQGX OLEUHPHQW HQ SKDUPDFLH HW TXH O·RQ SHXW OH
mélanger à raison de 3 parties pour 1 partie de sel de cuisine pour la
consommation courante, car beaucoup de personnes (les hypertendus et ceux
qui sont sous diurétiques) sont carencés en potassium.

Remarquez que le sel a toujours été, à toutes les époques, et dans toutes les
régions de la planète, une denrée précieuse en raison des moyens de transports
UXGLPHQWDLUHV TXL IDLVDLW O·REMHW G·XQ FRPPHUFH soutenu et lucratif. Le mot
"salaire" qui veut dire "payer avec du sel" rappelle une coutume mettant
O·DFFHQW VXU O·LPSRUWDQFH XQLYHUVHOOHPHQW UHFRQQXH HQ WDQW TXH IDFWHXU
indispensable pour la santé des gens.

Il semble que 3 grammes par jour de sel de cuisine soit une dose moyenne
UDLVRQQDEOHVDFKDQWTX·XQHFXLOOqUHjFDIpGHVHOYDXWJUDPPHV0DLVLOIDXW
tenir compte de la sudation qui, si elle est importante représente une perte
FRQVpTXHQWHHQVHOTX·LOFRQYLHQWGHFRPSHQVHUSDUWLFXOLqUHPHQWTXDQG il fait
chaud. A savoir aussi que les bains en piscine provoquent une déperdition
FRQVLGpUDEOHHQOLTXLGHVRUJDQLTXHVSDUOHSULQFLSHGHO·RVPRVHFXWDQpH9R\H]
comme vos doigts sont fripés à la sortie du bain. 'HV pWXGHV DIILUPHQW TX·HQ
deux heures de pisFLQHO·RQSHXWSHUGUHMXVTX·jOLWUHGHVXHXU

RAPPEL : le sel courant blanc raffiné et ionisé (aux rayons gamma) est toxique.
'H SOXV WRXW SURGXLW FKLPLTXHPHQW SXU HVW DJUHVVLI SRXU O·RUJDQLVPH ,O
convient donc de choisir du sel gris bio ou même de la fleur de sel (qui a été
transportée par le vent).

DETAIL PEU CONNU : /HVHO 1D&O VHUDLWXQVWLPXODQWGHO·H[SUHVVLRQ

Selon Philippe Perrot Minnot, tous les communicants (commerciaux,


enseignants, personnes engagées dans les relations et les contacts) ont une
tendance naturelle à beaucoup saler. Remarquez en outre, que ceux qui en
consomment très peu ou pas du tout (régime sans sel) traînent souvent la
fatigue. Toutes les personnes réservées ou repliées sur elles-­mêmes, qui
Q·RVHQW SDV V·H[SULPHU RQW XQH WHQGDQFH QDWXUHOOH j FRQVRPPHU WUqV SHX GH
sel. Faites votre propre enquête et vérifiez. ,OQ·HVWGRQFSDVpWRQQDQWTXHO·206

 
120  
et les pouvoirs publics incitent les masses à réduire le sel. Ils vous ont menti
pour Tchernobyl, pour la vache folle, pour le SIDA, pour la grippe H1N1, pour
)XNXVKLPD« 3RXUTXRL SDV SRXU OH VHO "« $ILQ TXH WRXW OH PRQGH VH WDLVH HW
tende à se soumettre, bien sûr !

 
121  
26
/(-86'·25$1*('83(7,7'(-(81(5
encore un "attrape-­nigaud" !

/DPR\HQQHGHVIUDQoDLVERLWDFWXHOOHPHQWOLWUHVGHMXVG·RUDQJHSDUDQ
IRLVSOXVTX·LO\DDQV² PDLVVLO·RQUHWLUHOHVJHQVUpVLVWDQWDXIRUPDWDJHGH
la pub de la télé, EHDXFRXSGRLYHQWHQFRQVRPPHUSOXVGHOLWUHVSDUDQ«
%HQF·HVWSRXUOHVYLWDPLQHVYR\RQV 2QVHGHPDQGHG·DLOOHXUVFRPPHQWQRV
aïeux arrivaient à survivre sans ces précieuses vitamines, puisque la mode des
RUDQJHV Q·HVW DSSDUXH TX·DX GpEXW GX ième siècle  DX GpSDUW LO Q·H[LVWDLW
dans la nature que les oranges amères (les vraies), immangeables, qui ne
servaient qX·jGpFRUHUOHVVDSLQVGH1RsO

0DLV OD VFLHQFH DJULFROH GH O·pSRTXH HVW SDUYHQXH j UpDOLVHU GHV K\EULGDWLRQV
faisant grossir les fruits et enlevant leur amertume (attention : rien à voir avec
OHV 2*0  'HSXLV LO Q·HVW SDV XQ K{WHO RX UHVWDXUDQW TXL QH YRXV VHUYH HQ
entrée du petit déjeuner, le merveilleux jus jaune à la tirette, ce petit plus pour
ELHQGpPDUUHUODMRXUQpH«/DFUR\DQFHFUpe le placebo !

Sur le plan naturopathique, surtout pour les enfants qui sont maintenant du
W\SH SKRVSKRULTXH G·XQH IDoRQ PDMRULWDLUH ² donc avec un terrain acide
IDYRULVDQW O·LQIODPPDWLRQ OD GpPLQpUDOLVDWLRQ HW O·DIIDLEOLVVHPHQW GH O·pQHUJLH
vitale ² OH YHUUH GH MXV G·RUDQJH G·HQWUpH OH PDWLQ HVW une catastrophe, un
véritable poison ² PDLV FHOD YD j O·HQFRQWUH GHV DOOpJDWLRQV GX PDWUDTXDJH
publicitaire : LE PLEIN DE VITAMINES 'XPRLQVFHTX·LOHQUHVWH«

Justement, il est intéressant de piocher le sujet plus en profondeur. Au départ,


savez-­vous qXHOHMXVG·RUDQJHYHQGXHQ)UDQFHSURYLHQWjGX%UpVLO ? A
Itapolis, dans la région agricole de Sao Paulo, réside le plus gros producteur
PRQGLDO GH MXV G·RUDQJH la société Coutral DYHF SOXV G·XQ PLOOLRQ GH
plantations. Comme dans toutes les monoculWXUHV LQWHQVLYHV LO V·LQVWDOOH XQ
grand déséquilibre écologique qui amène des parasites ² LFL F·HVW XQH PDODGLH
UDYDJHXVH YpKLFXOpH SDU XQ LQVHFWH YHQX GH &KLQH TXL V·DSSHOOH le Dragon
jaune. Les feuilles jaunissent puis les oranges tombent avant maturité. Une
parade partielle a néanmoins été découverte consistant à greffer les orangers
sur des pieds de citronniers qui sont plus résistants à la maladie. Mais cela ne
suffit pas et le remède classique reste la pulvérisation massive de pesticides
très agressifs, aux risques et périls des utilisateurs malgré leurs scaphandriers

 
122  
type nucléaire, et surtout rendent malades les cueilleurs environnants qui eux,
ne sont pas protégés.

/·XVLQH GH SUHVVDJH GHV MXV VH WURXYH j $UDUDFXDUD (OOH WUDLWH OD SURSUH
production de Coutral qui représente 30% du total, le reste venant de petits
producteurs à qui elle achète à très bas prix, (dans le but de les obliger à
DEDQGRQQHU UHSUHQGUH OHXUV WHUUHV HW SUHQGUH OH FRQWU{OH WRWDO GX PDUFKp«
méthode classique mondiale des grandes entreprises, mais ceci est un autre
problème). Là, les oranges sont triées, lavées et désinfectées. Les jus sont soit
simplement pressés, soit concentrés par ébullition afin de réduire les frais de
WUDQVSRUW YHUV O·(XURSH HW GDQV OH PRQGH ² des millioQV GH WRQQHV G·HDX VRQW
ainsi gaspillées. Dans ce second cas, on obtient une mélasse qui arrivera à
Rotterdam après 15 jours de voyage dans des bateaux qui ont chacun à bord
PLOOLRQVGHOLWUHVGHMXVG·RUDQJHSRWHQWLHOV0DLVODURXWHHVWHQFRUHORQJXH
DYDQW G·DUULYHU GDQV YRV YHUUHV ;; concernant les jus simples, des usines de
reconditionnement effectuent des mélanges à partir de trois grands crus entre
les jus brésiliens doux, californiens très doux, et espagnols plus acides, selon
les choix des grandes marques.

&RQFHUQDQW OHV FRQFHQWUpV F·HVW SOXV FRPSOLTXp : il faut déjà remettre la


TXDQWLWpG·HDXTX·RQOHXUDHQOHYpSOXVGXVXFUHPDLVFHQ·HVWSDVWRXWFDUOH
MXVQ·DSOXVDXFXQJR€WOHVDU{PHVV·pWDQWpYDSRUpVORUVGXFKDXIIDJH -­ F·HVW
devenu de lD SLVVH G·kQH  O·DGGXFWLRQ GHV DU{PHV FKLPLTXHV pWDQW
normalement interdits, on espère que les arômes évaporés au départ ont été
UpFXSpUpV SDU GLVWLOODWLRQ ,O HQ YD GH PrPH SRXU OD YLWDPLQH & TX·LO IDXGUD
UHPSODFHU SDU GH OD YLWDPLQH &« FHOOH-­là étant de synthèse, loin de valoir la
vitamine naturelle, avec une structure spatiale différente. Mais il y a encore un
DXWUHSUREOqPHDYHFFHWWHYLWDPLQHTXLFUDLQWO·R[\JqQHFDUOHVWRFNDJHGHVMXV
DYDQWFRQVRPPDWLRQYDULHHQWUHHW PRLVFHTXLIDLWTX·j la fin il ne reste
SOXV JXqUH GH YLWDPLQH VXUWRXW ORUVTXH O·HPEDOODJH Q·HVW SDV HQ YHUUH $ORUV
pourquoi se compliquer la vie quand on sait que de simples légumes quotidiens
tels les poivrons, les brocolis, le persil (cuits à basse température) ou des fruits
tels que les kiwis, les fraises et les framboises (en saison) sont bien plus riches
HQYLWDPLQH&TXHWRXVOHVMXVG·RUDQJH"

En finale, le jus à partir du concentré est le moins cher, mais le plus dilué et le
SOXV VXFUp MXVTX·j GH VXFUH DMRXWp GRQW RQ Q·HQWHQG MDPDLV SDUOHU GDQV
OHV SXEOLFLWpV  (W F·HVW Oj MXVWHPHQW TXH GHV QXWULWLRQQLVWHV LQGpSHQGDQWV 
GpQRQFHQW OHV MXV G·RUDQJH DX PrPH WLWUH TXH OHV VRGDV GDQV O·LPSDFW VXU
O·REpVLWpFURLVVDQWH(QSDUWLFXOLHUOHDr Cohen, spécialiste en nutrition, montre
par la mesure des glucides TX·XQ YHUUH GH PO GH MXV G·RUDQJH FRQWLHQW OD

 
123  
même quantité de sucre que 200ml de Coca-­Cola, soit 20 g = 8 morceaux de
sucre.

Conclusion : SUHVVH] RX IDLWHV SUHVVHU OHV RUDQJHV j OD GHPDQGH ELR F·HVW
HQFRUH PLHX[ FRQVRPPH] LPPpGLDWHPHQW HW Q·HQ IDLWHV SDV XQ ULWXHO
TXRWLGLHQ«

Infos partielles de www.youtube.com/watch?v=Kk-­lsUii4LQ

 
124  
27
COCA-­COLA : ETES-­VOUS AUSSI "ACCRO" ?

A chaque instant, près de 80 millions de personnes dans le monde ouvrent une


bouteille de Coca-­Cola ;; chaque jour, la société vend 2 milliards de boissons. Le
Coca-­&RODQ·HVWSDVFRPPHRQOHSHQVHXQHLQYHQWLRQDPpULFDLQHPDLVXQH
invention française ! Angelo Mariani, a commercialisé -­ 20 ans avant la
création du Coca -­ un "vin tonic", fabriqué selon une recette Corse, en faisant
macérer des noix de cola et des feuilles de coca, dans du vin de Bordeaux. Son
vin tonic français, a eu un succès mondial, et a été importé aux USA par John
Pemberton O·LQYHQWHXU GX &RFD-­Cola". Celui-­FL D HX O·LGpH GH IDLUH XQ VLURS j
EDVHGHIHXLOOHVGHFRFDHWGHQRL[GHFRODjGLOXHUGDQVGHO·HDXFDUERQDWpH
RXGHO·HDXJD]HXVH

En 1887, il dépose le brevet à son nom propre, sans mentionner le nom de


Mariani. Son Coca-­Cola est vendu comme médicament du système nerveux, et
est en outre utilisé pour sevrer les intoxications aux opioïdes (opium). Cette
ERLVVRQ YD FRQWHQLU GH OD FRFDwQH MXVTX·HQ  PDOJUp OHV DOOpJDWLRQV GH OD
FRPSDJQLH &HWWH FRFDwQH YD SHUPHWWUH G·DWWLUHU OD FOLHQWqOH HW GH OD rendre
dépendante à cette nouvelle boisson. La formule va progressivement être
modifiée pour ne plus contenir que de la caféine (seul agent dopant), du
caramel pour la couleur, et une énorme quantité de sucre. La caféine a
provoqué à son tour des dépendances.
Le Coca contient également une formule secrète, appelée X7.

Mais actuellement, au port de New Jersey, une compagnie reçoit discrètement


de la Bolivie et du Pérou de grandes quantités des feuilles de coca. Or cette
LPSRUWDWLRQQ·HVWDXWRULVpHTX·jO·XVDJHGHODSKDUPDFLH«HWGH&RFD-­Cola. Ces
feuilles sont traitées par une usine spécialisée : la Stepan Company qui bien
sûr en extrait la cocaïne pour la pharmacie, mais le mystère reste entier
concernant Coca-­Cola ² HQEUHITXHOHVWODYpULWDEOHQDWXUHGHO·H[WUDLWGHFRFD
sachant que la cocaïne a été interdite dans les sodas en 1906 " &·HVW FHWWH
PrPH FRPSDJQLH TXL OLYUH j O·XVLQH &RFD-­Cola les barils de concentrés,
protégés de grilles et marqués DANGEREUX ² CORROSIF, le travail de la

 
125  
PDLVRQPqUHQHFRQVLVWDQWTX·jGLOXHUOHP\VWpULHX[FRQFHQWUpDYHFGHO·HDX
et de le conditionner.

Le Coca-­&ROD HVW OD VHXOH ERLVVRQ DX PRQGH TXL VRLW DFLGLILpH DYHF GH O·DFLGH
phosphorique. 2U O·DFLGH SKRVSKRULTXH HVW XQH VXEVWDQFH WR[LTXH SRXU
O·RUJDQLVPH(OOHHVWUHVSRQVDEOHG·XQHDFLGLWpWUqVLPSRUWDQWHGHFHWWHERLVVRQ
(Ph 2,8). Toutes les boissons synthétiques du monde sont acidifiées avec de
O·DFLGHFLWULTXHQRQWR[LTXHTXLQ·HVWULHQG·DXWUHTXHO·DFLGHGXFLWURQ

9RLFLODOLVWHGHVV\PSW{PHVJpQpUpVSDUO·DFLGHSKRVSKRULTXH

‡,QKLELWLRQGHO·DWWHQWLRQ
‡'LIILFXOWpVGHPpPRULVDWLRQ
‡3HUWHGHODFXULRVLWpQDWXUHOOH
‡5HIXVLQFRQVFLHQWGHV·LQWpJUHUGDQVODYLH
‡,QGLIIpUHQFe.
‡3DUHVVH
‡+RVWLOLWp
‡$VWKpQLHSURIRQGH
‡(SXLVHPHQWPHQWDO
‡,QFDSDFLWpjIDLUHGHVHIIRUWV

Pour résumer, les gens deviennent :

‡3HXUHX[
‡7LPLGHV
‡'LVWUDLWV
‡/HQWV
‡$JLWpV
‡2SSRVDQWV
‡,QVWDEOHV

Tous ces signes sont de plus en plus visibles, chez une majeure partie de la
population mondiale. 1·RXEOLRQV SDV TXH OH &RFD HVW GLVWULEXp GDQV OH PRQGH
HQWLHU (Q IDLW F·HVW XQH WUqV ERQQH IDoRQ GH PRGLILHU OH SV\FKLVPH GH OD
population mondiale, simultanément, de façon à en faire un troupeau de
PRXWRQV LQFDSDEOHV GH SHQVHU Q·D\DQW SOXV GH SRXYRLU GH GLVFHUQHPHQW
LQGLIIpUHQWVjWRXWHWSHXUHX[/HSRXYRLUV·LQVWDOOHSDUODSHXU,OIDXWWRXMRXUV
faire peur aux populations, pour mieux les contrôler, et venir ensuite les

 
126  
VDXYHU3OXVSHUVRQQHQHVHUpYROWHLOQ·\DSOXVGHPRXYHPHQWVGHVSHXSOHV
/HV SROLWLTXHV HW OHV LQGXVWULHV SHXYHQW IDLUH FH TX·HOOHV YHXOHQW QRXV IDLUH
DYDOHUFHTX·HOOHVYHXOHQWHWSOXVSHUVRQQHQHUpDJLW

UN COLORANT CARAMEL
&·Hst le E150B chimique qui donne la couleur caractéristique au Coca-­Cola. On
REWLHQW OD FRXOHXU FDUDPHO j SDUWLU GX VXFUH HQFRUH OXL  TXH O·RQ WUDLWH j
O·DPPRQLDTXHSXLVDYHFGLYHUVDFLGHVVRXVKDXWHSUHVVLRQ&HVRSpUDWLRQVSHX
sympathiques génèrent de nouYHOOHVPROpFXOHVGRQWO·XQHV·DSSHOOHOD0,TXLD
pWpGpPRQWUpHFDQFpULJqQHFKH]OHVDQLPDX[«/HVFLHQWLILTXHDPpULFDLQ Mike
Jacobson GLW TXH SRXU O·KRPPH FHWWH PROpFXOH JpQpUHUDLW SOXW{W GHV
leucémies.
Ce risque juste pour un colorant, cela ne paraît-­il pas déraisonnable ?
En Californie, ce colorant est très controversé, aussi cet état a obligé Coca-­Cola
et Pepsi-­Cola à en réduire le dosage à 29 microgrammes par litre. En France,
RQ WROqUH VDQV pWDW G·kPH  PLFURJUDPPHV 'DQV OH &RFD OLJKW OD OLPLWH GX
colorant est multipliée par 3.

INTOXICATION AU SUCRE

Autre problème du Coca-­&ROD F·HVW OD TXDQWLWp GH VXFUH TX·LO FRQWLHQW Selon
XQ VSpFLDOLVWH PRQGLDO GH O·REpVLWp FKDTXH FDQQHWWH PpWDOOLTXH GH &RFD-­Cola
contient 39 g de sucre, ce qui équivaut à 10 cuillères à café bombées. Je vous
conseille GH IDLUH O·H[SpULHQFH GH PHWWUH FXLOOqUHV j FDIp ERPEpHV GH VXFUH
dans une assiette pour vous rendre compte. Beaucoup de personnes
consomment 2 cannettes de coca par jour, ce qui donne 20 cuillères à café de
VXFUH«3DXYUHSDQFUpDV !!! Le sucre est classé drogue douce PDLVLOQ·HQFUpH
pas moins une addiction. En particulier, il affecte une zone de récompense du
cerveau, la même zone que pour la cocaïne, la nicotine, les amphétamines,
O·KpURwQHODPRUSKLQH Plus on en consomme, et plus la dopamine du cerveau
en redemande pour obtenir le même bien-­être ;; cette escalade est bien sûr
VXLYLHG·XQHOHQWHGHVFHQWHDX[HQIHUV«

6XU OHV HQIDQWV F·HVW XQ GpVDVWUH 'DQV OHV FOLQLTXHV SRXU REqVHV RQ WURXYH
des enfants de 8 à 10 ans avec des taux de lipides à la hauteur de ceux de
sexagénaires. Ces enfants sont atteints de maladies de la gérontologie et

 
127  
présentent déjà du diabète type 2. Ils vont perdre 20 à 30 ans de vie. Ils
périront soit par attaque cardiaque, soit par AVC, soit par cancer, soit par
gangrène, ou tomberont dans la démence. $O·vOH0DXULFHGHVDXWRFKWRQHV
sont diabétiques. La raison en est simple, ils grignotent toute la journée des
sucreries et/ou plts fris dans l'huile, et consomment des boissons sucrées
(sodas, Coca-­&ROD« SHQGDQWHWHQGHKRUVGHVUHSDV'DQVOHVK{SLWDX[RQQH
cesse de couper des doigts et des orteils atteints de gangrène, sans parler des
FDVGHFpFLWpSDUWLHOOHRXWRWDOHVHGpYHORSSDQWDYHFO·kJH

La Californie -­ où 40% des autochtones sont en surpoids ou obèses -­ a déclaré


la guerre aux sodas. Aussi, il y est maintenant interdit de vendre des boissons
sucrées dans les lieux publics et les écoles. On y diabolise les sodas surtout
auprès des jeunes. Dans ½ litre de Coca-­Cola, LO\DO·pTXLYDOHQWHQVXFUHGH
sachets de bistrot. Un américain boit en moyenne 170 litres de soda par an, ce
qui correspond à 20 kg de sucre.

Dans les fast-­IRRGV DPpULFDLQV OHV YHUUHV G·HDX VHUYLV VRQW GH SHWLWH WDLOOH
alors que les verres de Coca-­Cola font 75 cl, et les commandes des verres
suivants sont gratuites. Cela est fait pour pousser à la consommation. Plus les
MHXQHVVRQWSULVW{WSOXVLOVVHURQWDFFURVHWSOXVLOVDXURQWGHFKDQFHG·rWUH
REqVHV&·HVWODSUHPLqUHIRLVTX·XQHQRXYHOOHJpnération risque de durer moins
que ses parents. Il y a 50 ans, on buvait en moyenne 4 verres de Coca-­Cola par
DQ$XMRXUG·KXLOHVVRGDVUHPSODFHQWO·HDX² les sodas sont la première source
GHFDORULHVGHVDPpULFDLQV PDXYDLVHVFDORULHVLGHPFHOOHVGHO·DOcool). De plus,
WRXW FH VXFUH DFLGLILH O·RUJDQLVPH HW OH PHW HQ WHUUDLQ DFLGRVH VRXUFH GH
nombreuses maladies inflammatoires.

LES BOISSONS LIGHT

Alors, me direz-­vous, il y a une échappatoire avec la solution LIGHT (sans


sucre)/jF·HVWWRPEHUGH&KDU\EGHHQ6F\OODFDUO·LQGLVSHQVDEOHpGXOFRUDQW
TXL D pWp VpOHFWLRQQp SRXU FRPSHQVHU O·DPHUWXPH F·HVW O·$63$57$0, cette
dangereuse excitotoxine qui a été mise au point dans le cadre silencieux de la
guerre chimique, et qui sucre 1 IRLV SOXV TXH OH VDFFKDURVH (Q GpSLW G·XQ
GRVVLHUSOXVTX·DODUPDQWDYHFHIIHWVVHFRQGDLUHVUpSHUWRULpVDSUqVDQQpHV
GHUHIXVG·$00SDUOD)'$DPpULFDLQHO·DXWRULVDWLRQDpWpIRUFpHSROLWLTXHPHQW
par le sinistre Ronald Rumsfeld, et adoptée ensuite dans 90 pays, on suppose
VRXVODSUHVVLRQGHO·20& !

 
128  
(voir tous les détails dans "Prenez en main votre santé » tome 3 ² Ed. Guy
Trédaniel)

LE COCA ZERO : DERNIERE GRANDE INNOVATION !

&RFDQRXVDIDLWFURLUHTX·LO\DYDLWGXVXFUHGDQVOH&RFDOLJKWHWTXHGDQVOH
&RFD ]pUR LO Q·\ HQ DYDLW SOXV GX WRXW (QFRUH XQH PDQLSXODWLRQ  6L O·RQ
UHJDUGH OHV pWLTXHWWHV OD VHXOH SHWLWH GLIIpUHQFH F·HVW OD SUpVHQFH GH FLWUDWH GH
sodium dans le zpUR TXL YD SHUPHWWUH G·DEVRUEHU SOXV GH VRGLXP HW GRQF GH
UHWHQLU SOXV G·HDX GDQV O·RUJDQLVPH HW G·DPSOLILHU OD VHQVDWLRQ GH VRLI
Officiellement, le Coca Light était consommé par les femmes, et on a fait le
Coca zéro pour les hommes, plus masculin avec VRQ pWLTXHWWH QRLUH /·206
HQYLVDJH G·LQWHUGLUH OD PHQWLRQ OLJKW DLQVL FRFD SRXUUD FRQWLQXHU j YHQGUH OD
même saloperie sous un autre nom. La manipulation marche bien, car les
consommateurs sont persuadés que le zéro est mieux que le light.

Nota : Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis


Balch, range l'aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques".

CONCLUSION

,OP·DUULYHUpJXOLqUHPHQWG·DOOHUPDQJHU GDQVXQSHWLWUHVWDXUDQWWHQXSDUXQ
ami. Lorsque je regarde les boissons sur les tablées, je vois en gros 80% de
&RFDGHELqUHV«HWPRLDYHFPRQYHUUHGHYLQURXJH
Déjà le Coca normal est un sérieux ravageur de santé, mais quand il est écrit
6$16 68&5( VXU OD ERXWHLOOH F·HVW GX 7(50,1$725 ! Pauvres gens qui se
construisent un avenir bien sombre par leur insouciante addiction.

 
129  
28
VINS NON BIO TOUS EMPOISONNÉS

Les associations du Pesticides Action Network Europe (PAN-­Europe), dont le


0'5*)RQWSXEOLpOHVUpVXOWDWVG·XQHFDPSDJQHG·DQDO\VHV réalisées sur des
YLQV G·(XURSH HW GX PRQGH HQWLHU HW TXL GpQRQFHQW OD FRQWDPLQDWLRQ
généralisée de ces vins par des résidus de pesticides.

100% des vins conventionnels testés étaient contaminés. En effet chaque


échantillon testé contient en moyenne plus de 4 résidus de pesticides différents
 OHV SOXV FRQWDPLQpV G·HQWUH HX[ FRQWHQDQW MXVTX·j  SHVWLFLGHV  3RXUWDQW
les niveaux de contamination légale dans cette étude ne dépassent pas les
OLPLWHVPD[LPDOHVDXWRULVpHV /05 SRXUODVLPSOHUDLVRQTX·LOQ·H[LVWHSDVGH
/05 YLQ j SURSUHPHQW SDUOHU HW TX·RQ VH UpIqUH j FHOOHV XWLOLVpHV SRXU OH
raisin, qui elles, sont très élevées.

Il faut aussi préciser que les niveaux de contamination observés dans le vin
pulvérisent les niveaux tolérés pour les pesticidHV GDQV O·HDX SXLVTX·RQ D
WURXYp GDQV FHUWDLQV YLQV WHVWpV GHV TXDQWLWpV MXVTX·j plus de 5.800 fois
supérieures aux concentrations maximales admissibles (CMA) autorisées par
SHVWLFLGHGDQVO·HDXGXURELQHW

&HVQRPEUHX[UpVLGXVWpPRLJQHQWG·XQHXWLOLVDWion très intensive de pesticides


en viticulture. Parmi ces résidus trouvés de nombreuses molécules sont des
cancérigènes probables, des toxiques du développement ou de la reproduction,
des perturbateurs endocriniens ou encore des neurotoxiques. Seuls, les vins
ELRORJLTXHV DQDO\VpV QH UHQIHUPHQW SDV GH UpVLGXV GH SHVWLFLGHV j O·H[FHSWLRQ
G·XQ pFKDQWLOORQ GH %RXUJRJQH GDQV OHTXHO RQ D WURXYp GHV TXDQWLWpV IDLEOHV
G·XQSURGXLW&HWWHSUpVHQFHHVWH[SOLTXpHSDUOHVGpULYHVGHVSXOYpULVDWLRQVHQ
provenance des parcelles voisines. Cette contamination des viticulteurs
biologiques, quoique rare et à de faibles quantités, est bien sûr inacceptable.

Alors, chers amis lecteurs, en attendant que les services publics établissent des
normes qui respectent enfin la santé des citoyens, je vous conseille vivement de
ne boire dès à présent que du vin bio !

 
130  
29
SOJA : UN PIEGE A VEGETARIENS

/DSUHPLqUHIRLVTXHM·DLHQWHQGXSDUOHUGXVRMDGHPDQLqUHQpJDWLYHF·pWDLWHQ
2000, dans le n°9 du magazine Nexus. -HQHYRXODLVSDV\FURLUH-·DLILQLSDU
DOOHU IDLUH GHV UHFKHUFKHV VXU ,QWHUQHW &H TXH M·DL GpFRXYHUW HVW HQFRUH SOXV
difficile à croire.

LE SOJA NON FERMENTÉ EST TOXIQUE

Derrière la méga promotion du soja à travers toute la planète, on retrouve les


grands groupes de la pétrochimie et de la médecine. Ils ont des centaines de
sites Web dans toutes les langues pour en faire la promotion. La "Food and
Drug Administration" VRUWH GH PLQLVWqUH GH O·DOLPHQWDWLRQ HW GHV PpGLFDPHQWV
DX[ 86$  Q·D MDPDLV DFFHSWé de donner au soja la mention GRAS (Generally
Recognize As Safe ² en français : "généralement reconnu sans danger").

Le très sérieux magazine médical britannique The Lancet a fait état en 1997
G·XQHpWXGHTXLGpPRQWUHTXHOHVHXOIDLWGHERLUHYHUUHV de lait de soja par
jour était suffisant pour perturber les cycles menstruels des femmes. De plus,
cette même étude prouverait que chez les enfants testés avec ces 2 verres de
lait de soja par jour, la concentration des isoflavones serait de 13.000 à 22.000
IRLVSOXVLPSRUWDQWHTXHODFRQFHQWUDWLRQQRUPDOHG·±VWURJqQHV
/HVLVRIODYRQHVSHXYHQWHPSrFKHUO·RYXODWLRQIDYRULVHUO·DSSDULWLRQGHFHOOXOHV
FDQFpUHXVHVHWO·K\SRWK\URwGLVPHGRQWOHVSUHPLHUVV\PSW{PHVSHXYHQWrWUHOD
léthargie, la constipation, la prise de poids et la fatigue.

/·,1',63(16$%/(/$&72-­FERMENTATION

Le fait que les Chinois mangent du soja en quantité depuis des millénaires est
XQ P\WKH ,OV Q·HQ PDQJHQW TX·HQ SHWLWH TXDQWLWp GHSXLV la dynastie Zhou
(1134 / 234 av. J.-­C.) ORUVTX·LOV RQW justement découvert une manière de le
faire fermenter. Cette fermentation neutralise les toxines qui se trouvent dans
les graines. Par ailleurs, les Chinois et les Japonais utilisent surtout le soja
comme condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.

 
131  
En plus de ne pas être fermentés, les aliments modernes à base de soja
dénaturent les protéines et augmentent le taux de carcinogènes.

NOTA : Selon le Dr Claude HughesOHVRMDV·HVWGRWpGHFHUWDLQVPR\HQVSRXU


lutter contre ses prédateurs naturels. Il est ainsi un contraceptif oral puissant
et contient de nombreuses toxines. De cette manière, les prédateurs qui en
mangent diminuent en nombre et en taille. Et nous ?

LE LAIT DE SOJA EST DANGEREUX POUR LES ENFANTS

Selon le Dr Mary G. Enig (PrpVLGHQWH GH O·$VVRFLDWLRQ GHV QXWULWLRQQLVWHV GX


Maryland) "un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit
O·pTXLYDOHQW HQ SK\WR-­±VWURJqQHV GH FH TXH O·RQ UHFHYUDLW VL RQ LQJXUJLWDLW 5
pilules contraceptives par jour. Cela entraîne une puberté précoce chez les
filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons".

SOJA ET MATERNITÉ

-·RVH j SHLQH GLUH OHV UpVXOWDWV GH WRXWHV OHV pWXGHV TXL SURXYHQW OHV HIIHWV
GpYDVWDWHXUV GX VRMD VXU OHV I±WXV QRWDPPHQW GXUDQW OHV SUHPLHUV PRLV 6L
vouVQHFRPSUHQH]SDVO·DQJODLVLOYDIDOORLUPHFURLUHVXUSDUROH Tout ce que
MHGLUDLF·HVWSLWLpSRXUOHVI±WXV. Ne consommez pas de soja non-­fermenté si
YRXVrWHVHQFHLQWHHWVXUWRXWQ·HQGRQQH]SDVjYRVHQIDQWV

DES PROBLÈMES DE SANTÉ MULTIPLES

Sachez que selon le Dr Josèphe Mercola, manger du soja non-­fermenté


entraîne une série impressionnante de conséquences graves possibles. Parmi
elles :

‡ XQWDX[GHVPDODGLHVG·$O]KHLPHUTXLVHUDLWIRLVSOXVLPSRUWDQW

‡ des cancers de la thyroïde,

‡ des déficiences du pancréas,

‡XQHGpILFLHQFHHQYLWDPLQH'HWHQFDOFLXP FHTXLSURYRTXH
O·RVWpRSRURVHXQHUpGXFWLRQGHODELRGLVSRQLELOLWpGXIHUHWGX]LQFXWLOHj
la santé du cerveau),

 
132  
‡XQHGLPLQXWLRQRXXQEORFDJHGHODPpWDEROLVDWLRQGXIHU

‡ des problèmes de mémoire,

‡GHVGpILFLHQFHVHQDFLGHVDPLQpV

‡XQHDXJPHQWDWLRQGXWDX[GHGLDEqWH«

LE MYTHE DES PROTÉINES

Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est faux car il contient
des inhibiteurs de trypsine, qui entravent la bonne digestion des protéines et
fatiguent le pancréas. De toute façon, mettons une fois pour toutes quelque
chose au clair par rapport à la rengaine : "Si tu ne manges pas de viande, de
SRLVVRQQLG·±XIVQLGHSURGXLWVODLWLHUVRYDV-­tu trouver tes protéines ?"
La réponse est simple. Il y a des protéines quasi partout. Regardez sur vos
paquets de céréales complètes et vous comprendrez vite de quoi je veux parler.
Cette histoire de protéines est un mythe !

3DU FRQWUH M·DL SX FRQVWDWHU TXH GHV IHPPHV Hn post ménopause, voyaient
OHXUVWURXEOHVFODVVLTXHV ERXIIpHVGHFKDOHXUHWF VRXYHQWV·pYDSRUHUFHTXL
Q·HVW SDV pWRQQDQW SXLVTXH OH VRMD F·HVW GH O·KRUPRQRWKpUDSLH SOXV
V\PSDWKLTXHTXHO·KRUPRQHLVVXHGXPDUW\UGHPLOOLHUVGHMXPHQWVJUDYLGHV !).

SELON LE SITE WESTONAPRICE

/H VRMD SHXW VWLPXOHU OD FURLVVDQFH GH WXPHXUV ±VWURJqQHV GpSHQGDQWHV HW
provoquer des troubles de la thyroïde. Une fonction thyroïdienne diminuée est
associée avec les troubles de la ménopause.

(...) Chez certaines personnesODFRQVRPPDWLRQG·DOLPHQWVjEDVHGHVRMDUpGXLW


OHWDX[GHFKROHVWpUROPDLVLOQ·\DDXFXQHSUHXYHTX·XQWDX[EDVGHFKROHVWpURO
réduise le risque cardiovasculaire (...)."

En résumé, les seuls produits qui semblent sans danger sont à base de soja
fermenté : le miso, le tempeh, le natto et le tamari ;; pour peu, bien sûr,
TX·LOVVRLHQWELRHWJDUDQWLVVDQV2*0

 
133  
LE SOJA EST HELAS MAJORITAIREMENT OGM

,OHVWFRQGLWLRQQp HQWUHDXWUHV SRXUSRXYRLUUpVLVWHUjG·pQRUPHVTXDQWLWpVGH


SHVWLFLGHV« TXH QRXV LQJpURQV HQVXLWH 1R FRPPHQW ! -H UDSSHOOH TX·XQH ORL
de Christine Lagarde GLVSHQVDQW GH VLJQDOHU OD SUpVHQFH G·2*0 MXVTX·j OD
KDXWHXUGHHVWDSSOLTXpHGHSXLV«PrPHGDQVOHELR !

Sites de références : La plupart des sites qui parlent de tout cela sont en anglais. Le
seul avec quelques pages en français est : www.westonaprice.org/

SOJA : UN GRAND ALLERGÈNE

Depuis 1990, la croissance constante des produits à base de soja


correspond à une véritable explosion des allergies. En fait, le soja est
PDLQWHQDQW UHFRQQX FRPPH O·XQ GHV  SOXV JUDQGV DOOHUJqQHV GH
O·DOLPHQWDWLRQ/HSUREOqPHHVWTXHO·RQWURXYHPDLQWHQDQWGXVRMDFDFKpGDQV
XQHJUDQGHPDMRULWpG·DOLPHQWVLQGXVWULHOVHWTXHde plus, ce soja peut être une
fois sur deux OGM.

Les graines de soja crues sont les plus allergisantes, alors que les produits
lacto-­fermentés traditionnels asiatiques (Miso, Tempeh, Netto, Shoyu,
Tamari) sont les moins allergènes.
Même la farine de soja inhalée est allergène. Entre 1981 et 1987, un silo de
VRMDj%DUFHORQHDSURYRTXppSLGpPLHVG·DVWKPHDOOHUJLTXHHQWUDvQDQW
hospitalisations.
Maintenant, la poussière de soja est reconnue en tant que facteur de risque
professionnel...

/·DUDFKLGH FDFDKXqWHV HWOHVRMDIRQWSDUWLHGHODPême famille botanique. La


SOXSDUWGXWHPSVOHVHQIDQWVDOOHUJLTXHVjO·DUDFKLGH ODSOXVGDQJHUHXVH VRQW
DXVVL DOOHUJLTXHV DX VRMD RX ULVTXHQW GH OH GHYHQLU G·XQ VHXO FRXS HW G·XQH
façon violente. Attention, la margarine contient souvent du soja caché pour
améliorer la tartinabilité.

(Q FH TXL FRQFHUQH OHV EpEpV DOOHUJLTXHV DX ODLW GH YDFKH LO V·DYqUH TXH OH
remplacement par le lait de soja ne résout rien -­ voire aggrave le problème -­ car

 
134  
la plupart de ceux qui sont allergiques au lait de vache le sont au soja. Mais, ce
Q·HVWSDVSDUFHTX·LOQ·\DDXFXQWURXEOHDSSDUHQW GLDUUKpHVDQJXLQROHQWHRX
SDV TX·LOQHVHSURGXLWSDVGHGpJkWV0LHX[YDXWGHVODLWVG·DPDQGHGHUL]RX
G·DYRLQH

Une étude histologique a montré que chez près de 40% des enfants nourris au
lait de soja, on trouve un intestin qui fuit, entraînant des carences en
saccharose, lactose, maltase, phosphatase alcaline, une faculté de digestion
WUqV FRPSURPLVH DLQVL TX·XQH DXJPHQWDWLRQ GX QLYHDX GH VWUHVV HW XQH
dégradation du système immunitaire.

Au microscope électronique, on constate chez ces bébés, une dégradation des


YLOORVLWpV LQWHVWLQDOHV DLQVL TXH GH JUDYHV OpVLRQV GH O·LQWHVWLQ JUrOH 'DQV OD
PDODGLHF±OLDTXHTXLFRQFHUQHO·LQWROpUDQFHDXJOXWHQRQLJQRUHJpQpUDOHPHQW
que cette intolérance concerne aussi le soja.
NOTA /·XQGHVSUHPLHUVODERUDWRLUHVHXURSpHQVVSpFLDOLVpVGDQVODVHQVLELOLWp
alimentaire, a constaté une hausse de 50% des allergies au soja en 1998,
année ou le soja OGM a fait son apparition sur le marché mondial !

RÈGLES POUR CHASSER LE SOJA DE VOTRE VIE

&HQ·HVWSDVIDFLOHFDULO\HQDGDQVGHVPLOOLHUVGHSURGXLWVVRXVGLIIpUHQWV
QRPVG·HPSUXQW$ORUVOLVH]ELHQOHVpWLTXHWWHVHWUHSpUH]OHVDSSHOODWLRQV
suivantes :
‡397 SURWpLQHVYpJpWDOHVWH[WXUpHV 
‡&RQcentrat de protéines végétales,
‡+XLOHYpJpWDOH
‡06* JOXWDPDWHGHVRGLXP 
‡/pFLWKLQH
‡%RXLOORQYpJpWDO
‡$U{PHQDWXUHO
‡0RQR-­diglycéride.
ATTENTION : On trouve aussi du soja dans les pilules pharmaceutiques.
Méfiez-­YRXV GHV SLOXOHV j EDVH G·KXLOH GH VRMD GH OD YLWDPLQH ( H[WUDLWH GH
O·KXLOHGHVRMDHWGHVLVRIODYRQHV

EXPÉRIENCES ÉDIFIANTES SUR DES RATS

 
135  
² Dans une première expérience, on a placé parmi un groupe de rats, deux
SODWVO·XQDYHFGHVDOLPHQWVQRUPDX[O·DXWUHDYHFOHVPrPHVDOLPHQWVPDLV
OGM. Les rats ne touchent pas au transgénique.

² Dans une seconde expérience, on prend deux groupes de rats. Le premier


groupe est nourri avec des aliments normaux, le second groupe avec les mêmes
aliments OGM (ceux-­Oj Q·RQW SDV OH FKRL[  Avec le temps, dans le second
groupe, les rats deviennent moins actifs, moins vifs et paraissent dépressifs.
Leurs défenses immunitaires sont moins bonnes et ils ont une moindre
résistance à la maladie et au stress.

Quelle coïncidence avec la dérive de la santé publique actuelle


!

LE SOJA ENFIN AU BANC DES ACCUSÉS

'HSXLV OH WHPSV TXH MH P·LQVXUJH FRQWUH OH VRMD HW WRXV VHV GpULYpV FRPPH
pWDQWXQHPRGHPHXUWULqUHG·DOLPHQWDWLRQQ·D\DQWMDPDLVH[LVWpGDQVO·KLVWRLUH
GH O·DOLPHQWDWLRQ KXPDLQH HW DQLPDOH MH PH GpVROH GH YRLU GHV pWDOV WRXMRXUV
grandissants, proposant des formes de plus en plus variées de ce poison
VLOHQFLHX[HWFHFRPEOHG·LURQLHdans les boutiques diététiques !

Fort heureusement, lors du récent colloque, "Octobre rose" organisé au Sénat à


Paris sur le cancer du sein, Jean-­Marie Bourre PHPEUH GH O·Académie de
médecine, auteur de Bien manger : vrais et faux dangers, a déclaré à propos
du lait de soja :
&HQ·HVWTX·XQOLTXLGHEODQFXQ&DQDGD'U\GHODLWTXLQHFRQWLHQWQLFDOFLXPQL
oligoéléments. II est strictement contre-­indiqué pour les enfants".
'H SOXV RQ SHQVDLW TX·LO GLPLQXDLW OHV ULVTXHV GH FDQFHU GX VHLQ FKH] OHV
IHPPHV TXL HQ FRQVRPPHQW  HW ELHQ F·HVW WRXW OH FRQWUDLUH VHORQ OH PrPH
spécialiste, qui ajoute :
"Le lait de soja est une escroquerie nutritionnelle, bourrée de phyto-­±strogènes
VLPLODLUHV j O·±VWUDGLRO KRUPRQH IpPLQLQH TXL VRQW GHV SHUWXUEDWHXUV
hormonaux favorisant le développement des cancers hormono-­dépendants".

À noter que certains moines bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser
leur libido (à bon entendeur« PHVVLHXUV   0rPH O·$JHQFH IUDQoDLVH GH

 
136  
VpFXULWp VDQLWDLUH GHV DOLPHQWV DYDLW GpMj WLUp OD VRQQHWWH G·DODUPH FRQWUH OH
soja en 2000. En fait, la toxicité du soja, qui peut en outre entraîner de graves
lésions intestinales surtout chez les enfants, ne peut être neutralisée que par la
lacto-­IHUPHQWDWLRQ  F·HVW FH TXH IRQW OHV &KLQRLV GHSXLV  DQV DYHF OHXUV
sauces bien connues.

 
137  
30
AIMEZ-­VOUS LES NUGGETS DE POULET ?
H[WUDLWG·HQTXrWHGHCharles Dereeper

Voilà un piège à gourmandise


aussi séduisant quand on ne connaît pas,
que répugnant quand on connaît !

QU'EST CE EXACTEMENT UN NUGGET DE POULET ?

C'est composé de viande de SRXOHW SURYHQDQW JpQpUDOHPHQW G·XQ SD\V HQ YRLH
de développement type Roumanie qui refuse qu'on vienne inspecter de trop
près ses abattoirs et ses méthodes d'élevage...
Cette viande est traitée chimiquement dans une usine de transformation. Elle
YDG·DERUd prendre 30% de poids grâce à une substance chimique qui effectue
XQH UpWHQWLRQ G·HDX (QVXLWH RQ LQWURGXLW XQH GL]DLQH G·DXWUHV FRPSRVpV
chimiques (secrets), ceci dans le but de stabiliser la mixture, aboutissant à une
purée rose, dans laquelle on ajoute enfin des colorants et des parfums (encore
chimiques) pour synthétiser un goût acceptable qui ressemble à du poulet.
Miam-­miam !
Quand on analyse la composition de cette mixture, on trouve du tissu
musculaire, des os, du cartilage, de la graisse, des vaisseaux sanguins et des
nerfs... tout cela finement broyé ² il ne manque que les plumes ! Tout ceci
représente la partie poulet qui généralement ne dépasse pas les 50% des
nuggets... car les industriels sont libres d'ajouter 50% de céréales, le plus
souvent du soja plus ou moins transgénique, qui coûte encore moins cher que
cette viande de misère, elle même produite à très bas coûts...

ROUAGES ET CONSEQUENCES DE CETTE CHAINE


ALIMENTAIRE CORROMPUE

Sur le plan commercial, alors que le filet de poulet se négocie sur des
plateformes de marchés de gros, type Ali baba, entre 1.05 et 1.15 euros le kilo,

 
138  
les parties moins nobles se négocient à prix bien moindres. Ces négociations se
font à partir de maisons de trading disséminées dans toute l'Europe, qui ne
voient jamais la marchandise réelle. On baigne dans le fictif et le virtuel, donc
dans l'irresponsabilité sans presqu'aucun contrôle, ce qui aboutit aux
scandales alimentaires réguliers auxquels nous sommes habitués, mais que les
consommateurs oublient vite.
Il est absolument impossible de faire confiance à un industriel de l'agro
alimentaire. Le seul moyen qu'a l'industriel pour survivre économiquement,
consiste à trouver des solutions "ingénieuses" pour réduire ses coûts de
fabrication. Il est pris en tenaille par la logique implacable du système
économique.
Tous ces ingrédients qui peuvent venir des 4 coins du monde (Chine ou Costa
Rica) et sont assemblés dans une manufacture en Allemagne -­ les Allemands
sont très doués pour ce genre de business qui exige des machines robots, leur
spécialité. La source officielle sur les étiquettes devient par conséquence
allemande et la traçabilité s'arrête là. En vérité, la manufacture n'a aucune
obligation légale à ce jour d'expliquer au consommateur la provenance des
matières premières qui ne sont presque jamais allemandes, mais presque
toujours pour des raisons de coûts, de pays en voie de développement avec des
procédures de fabrication dont la qualité est le dernier des soucis des
producteurs.
Toujours en Allemagne, les nuggets sont assemblés avec des mélanges de
céréales agro chimiques, d'additifs multiples, et de rehausseurs de goût, puis
repartent dans la société agro alimentaire qui a conçu cette cochonnerie. Son
job est de concevoir un circuit de production pour abaisser au minimum les
coûts et de dégager de la marge maximum. En aval, elle crée un marketing
bidon sur son faux "produit qualité", en s'associant à des chefs et des experts
en chimie pour obtenir des produits provoquant une réaction très positive en
bouche. Cette satisfaction artificielle des papilles est le seul but pris en compte
² DXFXQHpWXGHGHWR[LFLWpjORQJWHUPHQ·HVWH[LJpH« La courbe exponentielle
des cancers et maladies neurologiques est tellement multifactorielle que la
responsabilité est diluée à souhait. Pourquoi ne pas profiter de cette
embrouille ?!!!

LES PREMIERES VICTIMES : LES ENFANTS

Le merveilleux produit est donc prêt pour être envoyé dans la grande
distribution de masse. Les enfants arrivent dans les rayons et salivent déjà

 
139  
grâce DXIRUPDWDJHSXEOLFLWDLUHGHODWpOp UHPDUTXH]TXHODSXEOLFLWpV·DGUHVVH
très souvent aux enfants). Les parents innocemment, pour leur faire plaisir,
acceptent sans problème d'acheter cette bombe chimique à retardement qu'ils
devraient fuir à tout prix. ,OVQHIHURQWSDVOHUDSSRUWDYHFO·KDOHLQHGHFKDFDO
GHVJDPLQVTXLV·HQVXLYUDGHFHWWHJDVWURQRPLHjOD0DF'RG·DXWDQWSOXVTXH
les merveilleux nuggets auront été de plus chauffés au four micro-­ondes, ou
mieux carbonisés dans de la friture bon marché t\SHKXLOHGHSDOPH TXHO·RQ
utilise aussi pour les moteurs Diesel).
/HV HQIDQWV V
HQ UHPHWWHQW j O·DXWRULVDWLRQ GHV DGXOWHV FDU LOV Q
RQW SDV OHV
moyens de juger ce qui est bon ou mauvais pour eux. Or ils sont trahis par des
parents qui par paresse intellectuelle et manque de curiosité s'abritent derrière
des fausses excuses selon lesquelles les autorités sanitaires ne laisseraient
MDPDLV PHWWUH VXU OH PDUFKp GHV SURGXLWV YUDLPHQW WR[LTXHV SRXU OD VDQWp«
Hélas, il suffit de regarder dans la rue, pour constater les résultats, et se poser
la question pourquoi il y a 40 à 50% de personnes en surpoids ou obèses, et
PrPHGHSOXVHQSOXVG·HQIDQWV

/·LJQRUDQFH GpOLEpUpH HVW SUDWLTXH SDUFH TX·HOOH GLVSHQVH GH OD UHVSRQVDELOLWp
mais les choix hasardeux de ces adeptes mènent souvent aux portes de
O·HQIHU«

 
140  
31
MANGEREZ-­VOUS ENCORE DU SAUMON FUME ?

Les français sont les premiers consommateurs européens de saumon. Les ¾ de


ces saumons proviennent des milliers de fermes aquacoles installées dans les
fjords norvégiens.
/H PDUFKp F·HVW PDLQWHQDQW  WRQQHV SDU DQ GH FH SRLVVRQ TXL VRQW
exportées.

Mais il y a un problème de taille : les saumons sont élevés dans de telles


FRQGLWLRQVFRQFHQWUDWLRQQDLUHV O·pTXLYDOHQWGHWUXLWHVGDQVXQH baignoire),
TX·LOV·HVWLQVWDOOpXQSDUDVLWH le "pou de mer", provoquant de gros trous dans
leur peau ainsi que des abcès les rendant malades et invendables. Pendant 20
DQVFHSUREOqPHDpWpWUDLWpSDUOHVDQWLELRWLTXHVPDLVFRPPHG·KDELWXGHXQH
résistanFHV·HVWLQVWDOOpH$ORUVOHVVHUYLFHVVDQLWDLUHVRQWDSSOLTXpXQHVROXWLRQ
radicale, le DIFLUROBENZURON, un pesticide pourtant interdit en Europe
dans les milieux aquatiques pour son extrême dangerosité.

La visite de fermes avec des cages de 400.000 saumons a révélé que la moitié
GHV VDXPRQV PHXUHQW SDU O·HIIHW FRPELQp GX PDQTXH G·HVSDFH GX PDQTXH
G·R[\JqQHHWGHVSRX[$ORUVWRXWHVOHVVHPDLQHVHQPR\HQQHRQYHUVHGHV
sceaux de Diflurobenzuron dans le parc. Puis le produit se répand et il
V
·HQVXLt à chaque fois la mort de 2 à 300 saumons par jour pendant une
semaine aux alentours, tuant immédiatement toutes les espèces de poissons
TXLV·DSSURFKHQWGXVLWH/HVVDXPRQVVRQWOHVVHXOVjUpVLVWHU SDUWLHOOHPHQW j
ce toxique légalisé en Norvège. Bien V€U DXFXQH pWXGH Q·D pWp HIIHFWXpH VXU
O·LQFLGHQFHGX'LIOXPDFKLQVXUODVDQWpKXPDLQH/HOREE\GHO·DTXDFXOWXUHHVW
GHYHQXWHOOHPHQWSXLVVDQWTX·LOHQFDGUHtous les organismes de contrôle.

/D 1RUYqJH QH IDLVDQW SDV SDUWLH GH O·(XURSH VD UpJOHPHQWDWLRQ Q·HVW SDV
assujettie à la législation européenne ;; PDLV HQ UDLVRQ G·XQ DFFRUG GH OLEUH
pFKDQJH REOLJpSDUO·20& " DXFXQFRQWU{OHQ·HVWHIIHFWXpjQRVIURQWLqUHV«
&·HVW FRPPH FHOD TXH le Diflurobenzuron, classé hautement cancérogène,
arrive tranquillement dans votre assiette. Renseignements pris, aucun des
éleveurs interrogés ne consomment de leur saloperie de production.

 
141  
32
CODEX ALIMENTARIUS
le cartel de la mort

-DPDLV OH F\QLVPH Q·DYDLW DWWHLQW XQH WHOOH DPSOHXU 2Q VXVSHFWDLW FHUWDLQV
laboratoires de se frotter les mains quand la pollution urbaine entraînait un pic
GH FULVHV G·DVWKPH HW DXWUHV MR\HXVHWpV UHVSLUDWRLUHV 2Q VRXSoRQQDLW OHV
industries agro-­alimentaires de surcharger nos aliments de sel, sucre,
mauvaises graisses et produits chimiques dangereux, participant ainsi à la
pandémie de maladies cardiovasculaires. On pensait naïvement que nos
dirigeants soumettaient les médicaments à des tests rigoureux faits par des
laboratoires indépendants... On tentait tant bien que mal de se soigner en
remplaçant à nos frais des médicaments douteux par des cures de
compléments alimentaires. Maintenant, les certitudes sont là : nous sommes
HQRWDJHG·XQHYDVWHRUJDQLVDWLon criminelle mondiale !

LES VRAIES RAISONS DU CODEX ALIMENTARIUS


/HV OREELHV SKDUPDFHXWLTXHV DIIDLEOLV SDU OHV VFDQGDOHV UpSpWpV G·HIIHWV
secondaires graves et mortels de produits de grande consommation, doivent
faire face à une menace terrible : la concurrence des compléments
alimentaires. 3RXU FHOD LOV RQW IRUPp XQ FDUWHO TXL VRXV O·pJLGH GHV 1DWLRQV
Unies, avec une commission chargée de mettre en place (dans le plus grand
secret) un code international appelé Codex Alimentarius.

Cette commission prouve non seulement que le cartel passe au dessus des
JRXYHUQHPHQWV HQ LQILOWUDQW O·RUJDQLVDWLRQ PRQGLDOH GH OD VDQWp 206  HW GX
FRPPHUFH 20&  PDLV TX·LO D OH SRXYRLU GH UpJOHPHQWHU QRWUH VDQWp HW QRWUH
alimentation en imposant des sanctions aux pays qui ne suivraient pas leurs
recommandations.

Au programme, le Codex envisage le plus sérieusement du monde de limiter


O·DFFqV DX[ QXWULPHQWV HVVHQWLHOV HW YLWDPLQHV QRWDPPHQW HQ GLPLQXDQW
drastiquement les doses, en contrôlant la fabrication et la vente. Pourtant, les
compléments alimentaires sont souvent bien plus efficaces que les
médicaments prescrits qui tuent 150.000 personnes chaque année aux USA

 
142  
O·pTXLYDOHQW G·XQ FUDVK DpULHQ DYHF  SHUVRQQHV j ERUG FKDTXH MRXU   HW
15.000 en France...

LES INTENTIONS DU CODEX ALIMENTARIUS


1 -­ Aucun complément alimentaire ne doit être vendu dans un but
préventif ou thérapeutique.

2 -­ Tout remède à des doses supérieures à la norme fixée, est assimilé à


un médicament nécessitant une prescription et devant être produite dans
les entreprises pharmaceutiques.

3 -­ 3OXV GH  SURGXLWV YHQGXV DXMRXUG·KXL VRQW HQ FRXUV G·rWUH
bannis des magasins.

4 -­ Régulations du Codex et réduction drastique des compléments


alimentaires imposée par le cartel à tous les pays et sous peine de
sanctions commerciales.

5 -­ Tout complément alimentaire non testé par le Codex sera interdit.

6 -­ Dès 2015, les teintures mères et produits basiques de la phyto


GRLYHQW IDLUH O·REMHW G·XQH $00 DXWRULVDWLRQ GH PLVH VXU OH PDUFKp  HQ
tant que médicaments.

&HFL HVW G·DXWDQW SOXV LQMXVWLILp HW DEXVLI TXH FHV H[WUDLWV GH SODQWHV
H[LVWHQWHWVRQWXWLOLVpVGHSXLVGHVPLOOpQDLUHVHWQHIRQWO·REMHWG·DXFXQ
brevet.

UN HISTORIQUE EFFARANT

9RLFLXQH[WUDLWWUDGXLWG·XQHFRQIpUHQFHGHRima E Laibow, médecin


neurologue :

"Je vais vous parler du Codex Alimentarius et vous aider à comprendre


O·HQQHPL &H TXH MH YDLV YRXV GLUH Q·HVW QL H[DJpUp QL LQWHUSUpWp QL LPDJLQDLUH
PDLV SDUIDLWHPHQW GRFXPHQWp G·DXWDQW SOXV TXH MH VXLV WUqV SUqV GX &RGH[
Alimentarius depuis plus de 10 ans."

&RPPHQWV·HVWFRQVWLWXpOH&RGH[$OLPHQWDULXV"

 
143  
"Après la deuxième guerre mondiale, les gens qui avaient commis des crimes
FRQWUHO·KXPDQLWpIXUHQWMXJpVj1XUHPEHUJSDUXQWULEXQDOGLULJpSDUOHV86$HW
O·$QJOHWHUUH 8QH SHUVonne -­ parmi toutes celles qui furent condamnées à
O·HPSULVRQQHPHQW-­ pWDLWOHSUpVLGHQWG·XQJLJDQWHVTXHFRPSOH[HLQGXVWULHO O·,*
Farben. Celui-­ci produisait le fameux Zyklon pour les chambres à gaz ainsi que
O·DFLHUSRXUOHVFDPSVGHODPRUW,OSURGXLsait aussi des munitions, des produits
chimiques divers et des produits pharmaceutiques. Ce président condamné pour
FULPHVFRQWUHO·KXPDQLWppWDLWXQ DUWLVWH SOHLQG·LGpHV PDFKLDYpOLTXHV LO DYDLW
LQYHQWpOHVORJDQjO·HQWUpHG·$XVFKZLW]Le travail rend libre".

En prison où il avait tout le temps de la réflexion, il se dit : &HODQ·DSDVPDUFKp


que pourrions-­QRXVIDLUH"-·DLXQHLGpHla nourriture !"

"Qui contrôle la nourriture, contrôle le monde !"


"À sa sortie (précoce) de prison, le criminel alla immédiatement présenter son
LGpHjVHVDPLVGHO·,*)DUEHQTXLODWURXYqUHQWJpQLDOH,OVFUpqUHQWDXVVLW{WXQH
commission qui ne concernait ni la santé, ni les consommateurs, mais
uniquement le commerce, et ils la baptisèrent "Codex Alimentarius". Le but était
le profit à grande échelle et uniquement cela. De cette commission mondiale
émergèrent des sous-­FRPPLVVLRQV SRXU OD SrFKH O·KXLOH OHV IUXLWV HW OpJXPHV«
VRLW  HQ WRXW &·HVW GHYHQX XQ pQRUPH PRQVWUH EXUHDXFUDWLTXH Le Codex a
promulgué plus de 4.000 décrets et réglementations sur tout ce qui peut se
mettre dans votre bouche, sauf les produits pharmaceutiques, bien sûr."

/·HPSLUH DXVWUR-­KRQJURLV GH O·pSRTXH GDQV O·HVSULW JHUPDQLTXH YRXODLW GHV


UqJOHV EHDXFRXS GH UqJOHV HW GH O·RUGUH ,O Iallait que les cours de justice
puissent se prononcer sur tout ce qui concerne la nourriture. Pendant ce temps le
Codex faisait la promotion de ses règlements au niveau mondial. À la demande
GH O·218 RUJDQLVDWLRQ GHV QDWLRQV XQLHV  O·206 RUJDQLVDWLRQ PRndiale de la
VDQWp HWOD)$2 RUJDQLVDWLRQGHO·DJULFXOWXUHHWGHODQRXUULWXUH IXUHQWFUppHV
/RUVTX·HOOH IXW FUppH en 1994 O·20& RUJDQLVDWLRQ PRQGLDOH GX FRPPHUFH  VH
demanda comment elle allait trancher les conflits commerciaux en matière de
nourriWXUH HW IXW ELHQ FRQWHQWH GH WURXYHU OD UqJOHPHQWDWLRQ SUrWH j O·HPSORL GX
Codex. 'HSXLVWRXVOHVSD\VPHPEUHVGHO·20&VRQWWHQXVGHVHVRXPHWWUHDX[
normes du Codex."

LE POINT ACTUEL

 
144  
9RXV GHYH] FRPSUHQGUH TXH OH &RGH[ Q·D ULHQ j IDLUH GHV LQWpUrWV GHV
consommateurs ;; il ne se préoccupe pas de votre santé, mais des seuls intérêts
des multinationales médicales, agro-­alimentaires, chimiques, et
biotechnologiques. Sachez que les nutriments naturopathiques (vitamines et
minéraux) vont être limités à 18, et que les plus efficaces vont être interdits, et ce
sera illégal ! Depuis plusieurs années, les produits laitiers que vous consommez
proviennent de vaches obligatoirement traitées aux hormones de Monsanto ²
tous les animaux destinés à la consommation doivent être traités aux
antibiotiques et aux hormones de croissance. Le Codex exige que toute nourriture
soit irradiée (comme chez Mac Do), sauf la nourriture crue."

Neuf des pires produits chimiques connus sont des pesticides. Mais le Codex a
rendu légaux sept de ces neuf poisons chimiques qui avaient été interdits dans
176 pays. Et la nourriture qui contient ces saloperies ne peut pas être refoulée
aux frontières de nos pays ² sinon ce serait une violation des traités
FRPPHUFLDX[GHO·20&&·HVWFRPPHFHODTXHPDUFKHOH&RGH[$OLPHQWDULXV

LE TRAITE TRANSATLANTIQUE, SOLUTION FINALE

&H TXL pWDLW SUpYX SRXU  HVW WHOOHPHQW JUDYH TXH F·HVW j SHLQH FUR\DEOH 
Alors que des millions de gens tentent avec succès des médecines parallèles et
autres régimes diététiques, la nouvelle a inquiété à la fois ceux qui en vivent
(fabricants, distributeurs) et ceux qui en guérissent (consommateurs). La FDA
(Food and Drug Administration) avait tenté en 1993 de prendre le contrôle de
la santé des américains, mais devant le tollé général, le Congrès avait voté une
loi protégeant ce droit à la liberté. Depuis, le cartel, loin de renoncer, a pour
ainsi dire court-­circuité tout le monde grâce à un lobbying soutenu auprès de
O·206HWGHO·20&

/HV SpWLWLRQV j O·8( VRQW LQXWLOHV OHV YRWHV GHV GpSXWpV HXURSpHQV VRQW
manipulés ou ne sont pas pris en compte, et les décisions sont en fait prises
par une poignée de pions non élus et désignés par le gouvernement mondial
invisible des grands lobbies industriels et bancaires. Bref, le but final est de
gérer les peuples comme du bétail !

CONCLUSION

 
145  
Il est clair que nous nous enfonçons dans une normalisation internationale de
O·DOLPHQWDWLRQ SDU OD OpJDOLVDWLRQ REOLJpH G·XQH PDOQXWULWLRQ WR[LTXH &H SODQ
PRQGLDO SUpSDUp GH ORQJXH GDWH D SRXU YRFDWLRQ GH UpGXLUH G·XQH IDoRQ
rentable la démographie planétaire par la maladie et la faim. En doutiez-­vous
encore ? Philippe Desbrosses écrivait déjà il y a 15 ans :

"Nous risquons de mourir de faim sur un sac de riz«


empoisonné !"

A nous de résister et de nous organiser pour ne pas en arriver là, face à cette
RUJDQLVDWLRQFULPLQHOOHG·RULJLQHQD]LH«

 
146  
©2QUHFRQQDvWODJUDQGHXUHWODYDOHXUG·XQHQDWLRQj
la façon dont celle-­ci traite ses animaux » Mahatma

Gandhi.

/DIROLHF·HVWGHIDLUHWRXWOHWHPSVODPrPHFKRVHHW
GHV·DWWHQGUHjXQUpVXOWDWGLIIpUHQW !

Albert Einstein

 
147  
33
ALIMENT IONISE = IRRADIE
un aliment mort et toxique

PETITS RAPPELS :

/·LRQLVDWLRQ FRQVLVWH j SDVVHU OHV IUXLWV HW OpJXPHV DX[ UD\RQV JDPPD G·XQH
source radioactive, (cobalt 60 ou césium 137, ou rayons X ou faisceaux
G·pOHFWURQV j WUqV KDXWH pQHUJLH  Ce procédé détruit micro-­organismes et
insectes, ralentit le mûrissement, inhibe la germination et mieux, rend les
aliments de "fraîcheur apparente éternelle" ;; une aubaine pour les transports
longues distances et le stockage de longue durée.
3DUFRQWUHO·irradiation "explose" pratiquement toutes les vitamines (A, B1, B6,
% & ( . 33 HW DFLGH IROLTXH«  HW HOOH DOWqUH OH JR€W HQ UDLVRQ GHV
WUDQVIRUPDWLRQV FKLPLTXHV SDU UDGLRO\VH MXVTX·j GRQQHU TXHOTXHIRLV XQ OpJHU
goût de rance caractéristique.
NOTA : Avez-­vous déjà acheté des abricots secs ? Ne vous êtes-­vous jamais
GHPDQGp SRXUTXRL FHV GHUQLHUV VRQW WRXMRXUV DXVVL RUDQJH DORUV TX·LOV VRQW
VXSSRVpVrWUH«VHFV"&·HVWO·LUUDGLDWLRQRXELHQXQWUDLWHPHQWDXVRXIUHTXLD
SHUPLVjO·DEULFRWGHFRQVHUYHUVD couleur orangée, là où un abricot sec bio a
YLUpFDUUpPHQWDXEUXQ«WRXWHQUHVWDQWOXLGpOLFLHX[

/·,21,6$7,21,112)(16,9( ? UN VIEUX DOUTE !

Le cas des aliments pour chats australiens pose question : O·LUUDGLDWLRQ GHV
aliments pour animaux y a longtemps été obligatoire ;; pourtant, en 2008, la
firme Orijen a dû retirer du marché ses aliments destinés aux chats, en raison
des troubles neurologiques graves relevés sur de nombreux chats nourris avec
ces aliments copieusement irradiés. Une trentaine en sont morts. Du coup,
O·REOLJDWLRQG·LUUDGLDWLRQDpWpHQVXLWHOHYpH

48(/65,648(63285/·+200("

 
148  
0rPH VL O·LUUDGLDWLRQ GHV DOLPHQWV QH OHV UHQG SDV UDGLRDFWLIV GH QRPEUHX[
VFLHQWLILTXHV V·LQWHUURJHQW VXU de possibles risques de cancérogénèse et de
mutagénèse. (QHIIHWO·LRQLVDWLRQGHVDOLPHQWVSHXWIDLUHDSSDUDvWUHGDQVFHX[-­
ci des composés appelés cyclobutanones TX·RQ QH WURXYH MDPDLV GDQV OHV
aliments non ionisés. De très nombreuses études scientifiques ont montré que
FKH]O·KRPPHces composés créent des dommages aux cellules et aux gènes.
Enfin, après exposition aux rayons Gamma on obtient G·DXWUHV FRPSRVpV GLWV
de radiolyse tels que des radicaux libres, du benzène ou du toluène : ces
FRPSRVpV VRQW FRQQXV SRXU IDYRULVHU O·DSSDULWLRQ GH FDQFHUV HW GH PDODGLHV
cardio-­YDVFXODLUHV« /HV UDGLFDX[ OLEUHV TXDQW j HX[ sont très réactifs et
cherchent naturellement à se recombiner. Soit ils se recombinent de manière à
reconstituer la molécule originelle, soit de manière aléatoire, formant ainsi des
produits néoformés (cancérogènes).

ENTRE TROP ET PAS ASSEZ, LA MARGE EST ETROITE

6L QRXV SUHQRQV O·H[HPSOH GX botulus -­ WDQW UHGRXWp GDQV O·DQFLHQQH PDULQH
marchande, car mortel -­ une irradiation insuffisante tuerait les micro-­
RUJDQLVPHV SUpFXUVHXUV TXL DQQRQFHQW OD GDQJHURVLWp GH O·DOLPHQW SDU GHV
RGHXUVVXVSHFWHVPDLVQ·DWWHLQGUDLWSDVOHERWXOXV lui-­même. Ceci rendrait le
GRVDJH LQVXIILVDQW HQFRUH SOXV GDQJHUHX[ TXH O·DEVHQFH GH WUDLWHPHQW. Mais
FRPPH QRXV O·DYRQV YX XQH LUUDGLDWLRQ WURS LPSRUWDQWH SRXU XQH VpFXULWp
totale, en plus de rendre les aliments complètement morts et vidés de leurs
éléments vitaux, les rend répulsifs à la consommation. Inutile de dire que le
UpJODJHRSWLPXPV·DYqUe donc assez "pifométrique" pour chaque cas.

/·,55$',$7,21$75$9(56/(021'(

8QHVRL[DQWDLQHGHSD\VO·DXWRULVHQWHWSOXVGHWUHQWHSD\VODSUDWLTXHQW2Q
DVVLVWHjXQHYpULWDEOHH[SORVLRQGXQRPEUHGHVLQVWDOODWLRQVG·LUUDGLDWLRQGDQV
les pays à fort développement (Chine, Inde, Mexique, etc.), tandis que les Etats-­
8QLV VLJQHQW GHV DFFRUGV ELODWpUDX[ VSpFLILTXHV SRXU O·pFKDQJH GH SURGXLWV
irradiés.
Le Codex AlimentariusUpIpUHQFHSRXUO·2UJDQLVDWLRQ0RQGLDOHGX&RPPHUFH
20&  DXWRULVH O·LUUDGLDWLRQ pour tous types de produits alimentaires, en se

 
149  
référant à des avis et rapports de la commission FAO-­AIEA-­OMS. Nous sommes
FODLUHPHQWLFLHQSUpVHQFHG·XQFDVGHOREE\LQJDYpUpHQSXOODYHFO·$,($
$X &$1$'$ OHV ORLV HQ YLJXHXU SHUPHWWHQW SRXU O·LQVWDQW O·LUUDGLDWLRQ
des oignons, pommes de terre, blé, farine, farine de blé entier, épices entières
ou moulues et assaisonnements déshydratés. ,O HVW TXHVWLRQ G·pWHQGUH FHWWH
DXWRULVDWLRQ j OD PDQJXH j OD FUHYHWWH j OD YRODLOOH HW DX E±XI KDFKp La
viande industrielle déjà aux hormones et aux antibiotiques, probablement
nourrie au maïs et soja OGM, pourra bientôt être en plus irradiée en bout de
FKDvQH«0LDP-­miam !

QUE SE PASSE-­T-­IL EN EUROPE ?

Au niveau européen, environ 20.000 tonnes ont été irradiées en 2002, qui sont
passés à environ 40.000 tonnes en 2003 -­ deux fois plus. Depuis on ne sait
SDV« 2Q VDLW VHXOHPHQW TXH O·$OOHPDJQH LUUDGLH  IRLV PRLQV TXH OD )UDQFH
4XDQW DX[ FRQWU{OHV HQ SUHQDQW O·H[HPSOH GH O·DQQpH , il y avait eu en
Allemagne 3.744 échantillons testés qui avaient révélé 1,47% de fraude,
SHQGDQWTX·HQ)UDQFHROHOD[LVPHHQPDWLqUHGHFRQWU{OHVHPEOHrWUHODUqJOH
il y avait eu seulement 117 échantillons prélevés révélant 5,13% de fraude ² les
gouvernements français successifs préfèrent mobiliser le contrôle des fraudes
VXUOHELR«
'DQV O·8QLRQ HXURSpHQQH GHX[ GLUHFWLYHV GpWHUPLQHQW OD OLVWH GHV SURGXLWV
SRXUOHVTXHOVO·LUUDGLDWLRQHVWDXWRULVpHherbes aromatiques séchées, épices et
condiments végétaux. Il y a par ailleurs REOLJDWLRQG·pWLTXHWDJHXQORJRH[LVWH
pour informer le consommateur, mais qui le connaît ?

6\PEROHLQWHUQDWLRQDOGHO·LUUDGLDWLRQGHVDOLPHQWV
,OHVWDSSHOp´UDGXUDµ

 
150  
Regardez ce sigle, il est vert, rassurant, vous fait penser au Bio... Le logo du
nucléaire aurait semblé plus honnête et plus clair pour tous, non ?
Mais beaucoup moins vendeur !!!
Les aliments qui ont subi cette irradiation doivent aussi présenter la mention
"Traité par ionisation" ou "Traité par rayonnement ionisant" sur leur
étiquetage. Mais FHQ·HVWSDVOHFDVG·DXWUHVSD\VTXLH[SRUWHQWOHXUVSURGXLWV
ionisés dans la plus grande opacité pour le consommateur.

QUE DIT LA LOI EN FRANCE ?

,O \ D HQYLURQ  WRQQHV G·DOLPHQWV LUUDGLpV HQ France. Le dernier


UDSSRUW GH O·$JHQFH IUDQoDLVH GH VpFXULWp VDQLWDLUH GHV DOLPHQWV $IVVD  VXU
O·LUUDGLDWLRQ GHV DOLPHQWV en 2007 SUpWHQG O·LQQRFXLWp GH FHWWH WHFKQRORJLH
QXFOpDLUH 6·DMRXWHQW ELHQ V€U OHV DOLPHQWV LUUDGLpV LPSRUWpV GHV  pWDWV QRQ
memEUHV GH O·8( TXL SUDWLTXHQW O·LUUDGLDWLRQ Parmi ceux qui ont autorisé
O·LUUDGLDWLRQ G·XQ QRPEUH pOHYp GH SURGXLWV RQ SHXW FLWHU O·$IULTXH GX 6XG OH
%UpVLO OD 7XUTXLH OHV 86$ OH *KDQD OD )pGpUDWLRQ GH 5XVVLH O·,QGH OH
Mexique et la Croatie.
Huit éWDWV PHPEUHV GH O¶8QLRQ HXURSpHQQH DXWRULVHQW O·LUUDGLDWLRQ G·DOLPHQWV
DXWUHV TXH OHV WURLV FDWpJRULHV VSpFLILpHV SDU O·(XURSH : la France, la Belgique,
les Pays-­Bas, la Pologne, le Royaume-­8QL OD 7FKpTXLH OD +RQJULH HW O·,WDOLH
Ainsi la France autorise O·LUUDGLDWLRQ GH QRPEUHX[ SURGXLWV VXSSOpPHQWDLUHV 
oignon, ail, échalote, légumes et fruits secs, flocons et germes de céréales
pour produits laitiers, farine de riz, gomme arabique, volaille, cuisses de
grenouilles congelées, sang séché et plasma, crevettes, ovalbumine,
caséine et caséinates (additifs alimentaires).
Roland Desbordes (président de la CRIIRAD) rapporte :
"Dernièrement, nous avons pu repérer la mention Pasteurisation à froid sur
certains jus de fruits vendus à la terrasse des cafés. Cette appellation (autorisée
aux Etats-­Unis) désigne le traitement par "rayonnements ionisants" mais elle est
LOOpJDOH HQ )UDQFH« ,O V·DJLW YLVLEOHPHQW G·XQH WUDGXFWLRQ OLWWpUDOH GH O·pWLTXHWWH
par des intermédiaires peu au courant de la législation. Nous avons alerté la
'*&&5) OD UpSUHVVLRQ GHV IUDXGHV  j FH VXMHW ORUV G·XQ HQWUHWLHQ TXH QRXV
DYRQV HX DYHF HX[ &HOD Q·DYDLW PrPH SDV DWWLUp OHXU DWWHQWLRQ HW LOV RQW pWp
totalement désarmés par notre interrogation !"

 
151  
Selon le &ROOHFWLI FRQWUH O·LUUDGLDWLRQ des aliments, le problème est que : "de
façon générale, les contrôles au stade de la commercialisation sont incohérents,
GLVSDUDWHV YDULDQW G·XQH DQQpH j O·DXWUH HW G·XQ SD\V j O·DXWUH HW VDQV UqJOHV
communes, ce qui rend une réelle évaluation quasiment impossible".
La libre circulation des marchandises au sein de O·HVSDFH Shengen facilite
évidemment les dérives.

Conclusion : PrPHVLO·pWLTXHWDJHHVWREOLJDWRLUHOHFRQVRPPDWHXUD
peu de moyens de savoir si un aliment a été irradié.

QUELLES ACTIONS ())(&78((6&2175(/·,55$',$7,21 ?

En 2005, le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures


0'5*)  D PDQLIHVWp GHYDQW GHV XVLQHV G·LRQLVDWLRQ GHV DOLPHQWV DYDQW GH
donner une conférence sur ce problème.
La même année, la Commission de recKHUFKHVHWG·LQIRUPDWLRQVLQGpSHQGDQWHV
sur la radioactivité (CRIIRAD) a lancé une campagne "Pas de radioactivité
dans nos assiettes" DVVRUWLHG·XQHSpWLWLRQ,OVVHVRQWIDLWHQWHQGUHDXQLYHDX
HXURSpHQUHWDUGDQWDLQVLO·DGRSWLRQGHOD nouvelle réglementation autorisant le
commerce international des aliments dits "contaminés par des radionucléides
artificiels". Hélas, en 2006, toute la procédure fut accélérée et est parvenue à
VRQWHUPHO·DQQpHVXLYDQWH
En 2007, le &ROOHFWLI IUDQoDLV FRQWUH O·LUUDGLDWLRQ GHV DOLPHQWV interpella
TXDWUHFRPPLVVDLUHVHXURSpHQVHWTXDWUHPLQLVWUHVIUDQoDLVHQV·DSSX\DQWVXU
sa lecture critique du rapport GH O·$IVVD HW VXU GHV TXHVWLRQV j OD '*&&5)
Seul Michel BarnierOHPLQLVWUHGHO·$JULFXOWXUHGHO·pSRTXHDUpSRQGX,OQ·D
cependant apporté aucune réponse concrète.
EN 2010, plus de 35 associations écologistes ont fait parvenir une lettre
ouverte aux parlementaires européens, leur demandant de "réellement évaluer
O·HQVHPEOHGHVULVTXHVOLpVjO·LUUDGLDWLRQGHVDOLPHQWV".
En 2016«WRXMRXUVULHQjO·KRUL]RQ 2QSUrFKHGDQVOHGpVHUW«

Mouvements, collectifs, et associations qui luttent contre


O·LRQLVDWLRQ (liste non exhaustive) :

 
152  
Action Consommation ² Adéquations ² $JLU 3RXU O·(QYLURQQHPHQW ² Les Amis de la
Terre ² Association Léo Lagrange pour la Défense des Consommateurs ² Association
SRXUO·,QIRUPDWLRQVXUOD'pQDWXUDWLRQGHV$OLPHQWVHWGH la Santé (AIDAS) ² ATTAC ²
Biocoop ² Collectifs Bure-­Stop ² Confédération Paysanne ² CRiiRAD ² Ecoforum ²
Ekwo ² Fédération Nature et Progrès ² Food and Water Watch Europe ² Mouvement
pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) ² RECit (Réseau des
écoles de citoyens) ² 5pVHDX´6RUWLUGXQXFOpDLUHµ

 
153  
34
RECYCLAGE DE MATÉRIAUX RADIOACTIFS

Depuis 2002OH&RGHGHODVDQWpSXEOLTXHLQWHUGLVDLWO·DMRXWRXO·XWLOLVDWLRQGH
substances radioactives pour la fabrication de biens de consommation et de
matériaux de construction.
Eh bien, depuis le 5 mai 2009, OHVPLQLVWqUHVGHO·eFRORJLHGHOD6DQWpHWGH
O·eFRQRPLH RQW RXYHUW OD SRUWH DX UHF\FODJH GHV GpFKHWV UDGLRDFWLIV LVVXV GH
O·LQGXVWULH QXFOpDLUH GDQV OHV ELHQV GH JUDnde consommation. Du ciment
radioactif peut ainsi servir désormais à bâtir des logements ou des écoles, au
grand dam des associations de consommateurs. Il va falloir bientôt se munir
G·XQFRPSWHXU*HLJHUSRXUWRXWYpULILHUDXWRXUGHYRXV

Tout cela signifie que si EDF veut se débarrasser de ses gravats faiblement
radioactifs générés par le démantèlement de la centrale de Brennilis -­ en
Bretagne (la première centrale nucléaire française à être démantelée) -­ elle aura
la possibilité de les céder ou les vendre à une cimenterie. Celle-­ci transformera
les gravats en matériaux de construction, qui serviront ensuite à bâtir des
bureaux, dHVORJHPHQWVGHVpFROHVRXGHVK{SLWDX[« Idem pour Areva. Si la
multinationale ne sait que faire de fûts en métaux contaminés suite à un
WUDQVSRUW G·XUDQLXP HOOH SHXW OHV OLYUHUj XQH IRQGHULH TXL OHV UHF\FOHUD GDQV
des produits de grande consommation : outils, véhicules, machines agricoles
RX WX\DX[ FH TX·DYDLW GpMj WHQWp GH IDLUH Areva en 2004). Seules cinq
catégories de produits restent exclues de toute dérogation : les aliments, les
cosmétiques, les parures (bijoux), les jouets et les matériaux en contact avec
les aliments et les eaux (emballages par exemple).

RADIOACTIVITE LACHEE DANS LA NATURE

Seuls les déchets radioactifs dits de "très faible activité" (TFA) sont concernés. Il
Q·HPSrFKH MXVTX·j SUpVHQW O·$JHQFH QDWLRQDOH SRXU OD JHVWLRQ GHV déchets
radioactifs (ANDRA) entrepose ces déchets dans un centre de stockage situé
GDQV O·$XEH &KDPSDJQH-­Ardenne). Les déchets sont enterrés "à quelques
mètres de profondeur dans une roche argileuse", puis le lieu de stockage est
HQVXLWH UHFRXYHUW G·XQH FRXFKH G·DUJLOH FRPSDFWpH SRXU OXL UHGRQQHU VRQ

 
154  
LPSHUPpDELOLWp G·RULJLQH (Q FDV GH UHF\FODJH VHXOV OHV DFWHXUV GH OD ILOLqUH
nucléaire sont habilités à réutiliser du béton ou les gravats contaminés pour
leurs installations. Ces précautions disparaissent avec le système de
dérogation. Une fois lâchés dans la nature, ces matériaux ne seront plus tracés
ni contrôlés. Contrôler les rayonnements radioactifs coûte très cher. Les
entreprises qui recycleront ces matériaux auront donc tendance à ne procéder
TX·j des vérifications partielles sur des échantillons de ciment ou de ferraille
"dilués". Ceci augmentera la possibilité de laisser passer un parpaing ou une
tôle trop radioactive.

DES MULTIPLICATEURS DE CANCERS

Corinne Castanier ne comprend pas pourquoi le gouvernement a pris une


GpFLVLRQ VL ORXUGH GH FRQVpTXHQFHV SRXU OD VDQWp j O·KHXUH R OHV SRXYRLUV
SXEOLFVFKHUFKHQWGDQVOHFDGUHGXSODQFDQFHUjGLPLQXHUO·H[SRVLWLRQGHV
populations à la radioactivité naturelle (notamment le radon, qui favorise les
FDQFHUV SXOPRQDLUHV VHORQ O·2UJDQLVDWLRQ PRQGLDOH GH OD VDQWp  (Q UHQGDQW
SRVVLEOH O·DMRXW GH VXEVWDQFHV UDGLRDFWLYHV GDQV GHV ELHQV HW GHV PDWpULDX[
destinés au grand public, le système de dérogation mène à augmenter la
radioactivité artificielle, et les risques de cancer.
Seuls les industriels y trouvent un intérêt. Au lieu de stocker ces déchets, ce
TXL FR€WH FKHU LOV SHXYHQW V·HQ GpEDUUDVVHU WRXW HQ UpFXSpUDQW GH O·DUJHQW
Avec le démantèlement progressif des centrales nucléaires vieillissantes, le
YROXPH GHV GpFKHWV UDGLRDFWLIV VHUD PXOWLSOLp SDU WURLV G·LFL  VHORQ OHV
SUpYLVLRQVGHO·$1'5$

&H UHWRXU HQ DUULqUH HVW G·DXWDQW SOXV LQFRPSUpKHQVLEOH TXH O·RQ FKHUFKH
pendant ce temps à réparer les erreurs commises depuis un demi-­siècle. Par
exemple, MXVTX·HQ, 50.000 paratonnerres radioactifs ont été disséminés
dans toute la France, ainsi que plus de 7 millions de détecteurs de fumée
FRQWHQDQW GH O·DPpULFLXP  UDGLRDFWLI SHQGDQW  DQV  /·LQWHUGLFWLRQ GH
2002 avait été obtenue après un long travail de la Crii-­Rad et des associations
GH FRQVRPPDWHXUV FRPPH O·8)& 4XH FKRLVLU $YDQW FHWWH UpJOHPHQWDWLRQ
presque tout était permis. Ainsi Saint-­Gobain avait introduit des déchets
radioactifs dans la fabrication de sa laine de verre (Isover) multipliant par vingt
les rayonnements. La Cogema (devenue Areva  DYDLW DMRXWp GH O·XUDQLXP
DSSDXYULGDQVODSRXGUHG·pPDLOMDXQHGHVWLQpHjODIDEULFDWLRQGHELMRX[

 
155  
0DLQWHQDQW F·HVW OH FLPHQW OH EpWRQ O·DFLHU OHV SLqFHV PpWDOOLTXHV OH
carrelage, les DSSDUHLOV PpQDJHUV OHV XVWHQVLOHV TXRWLGLHQV« TXL VHURQW
radioactifs ! Le démantèlement des installations nucléaires va générer 15
millions de tonnes de déchets. Tout est désormais à recommencer !

Source : Alterinfo

Nota : savez-­YRXVTX·HQ5RXPDQLHCeausescu faisait placer dans les murs des


FHOOXOHV GHV GpWHQXV SROLWLTXHV GX SOXWRQLXP RX GH O·XUDQLXP FH TXL OHV IDLVDLW
mourir mystérieusement en quelques mois. La technique perdure paraît-­il dans
FHUWDLQVSD\VGHO·(VW

 
156  
35
NANOPARTICULES
les apprentis-­sorciers

Pour rappel, les nanoparticules ont une taille inférieure à 100 nanomètres
(nm).
$WLWUHG·H[HPSOHXQHIHXLOOHGHSDSLHUHVWG
HQYLURQQPG
pSDLVVHXU
soit 1.000 fois plus épaisse. La nanotechnologie connaît actuellement un essor
explosif -­ bien que silencieux -­ dans la plupart des domaines (industriels, mais
aussi alimentaires). Sur le marché, on trouve des nanoparticules dans des
crèmes solaires, des jouets, des vêtements, des aliments, des médicaments, des
bonbons, des cosmétiques, de la céramique, de la peinture, et de nombreux
autres produits communs, et font déjà partie omniprésente de notre
environnement de consommation toxique.

Des chercheurs chinois ont attiré l'attention sur les dangers de la


nanoparticule de dioxyde de titane, soulignant que cet agent de blanchiment
est capable d'induire des tumeurs dans les cellules humaines. Une nouvelle
étude du MIT et de la Harvard School of Public Health (HSPH) confirme que
certaines nanoparticules peuvent endommager directement l'ADN humain, ce
qui devrait interdire immédiatement l'utilisation de nanoparticules par les
industriels dans les produits de consommation. Or on trouve du nanotitane
dans les produits fabriqués par Jello, Nestlé, M & M, Mentos, Albertson, et
Kool Aid.

Selon leurs résultats, l'Argent nanométrique, qui est ajouté aux jouets, au
dentifrice, aux vêtements -­ et d'autres produits pour ses propriétés
antimicrobiennes, peut également entraîner des dommages sur l'ADN. Ces
UpVXOWDWV VRQW G·DXWDQW SOXV DODUmants que la récente prévision de
l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est que le taux de cancers
KXPDLQVULVTXHG·DXJPHQWHUGHHQVHXOHPHQWDQV

AMBRE SOLAIRE

 
157  
Les chercheurs ont aussi constaté que l'oxyde de zinc en nanoparticules,
souvent utilisé dans les écrans solaires pour bloquer les rayons ultraviolets,
HQGRPPDJHQWFRQVLGpUDEOHPHQWO·$'1

De plus : Les protecteurs solaires "écran total" empêchent les rayons UV de


EU€OHUODSHDXPDLVLOVHPSrFKHQWDXVVLO·DVVLPLODWLRQGHODYLWDPLQH'«
A noter par ailleurs, que le fait de se doucher au savon après les bains de mer
élimine toute la production de vitamine D fabriquée dans la journée ² des
YDFDQFHV SRXU ULHQ TXL Q·DVVXUHURQW SDV OHV UpVHUYHV GH O·KLYHU« HW O·RQ
V·pWRQQH HQVXLWH TX·DXWDQW GH SHUVRQQHV DGXOWHV HW HQIDQWV  VH UHWURXYHQW
carencés en vitamine D.

ETUDES DU MIT ET HSPH SUR DES NANOPARTICULES


COURAMMENT UTILISEES
Les chercheurs se sont concentrés sur 5 nanoparticules de synthèse : l'argent,
l'oxyde de zinc, l'oxyde de fer, l'oxyde de cérium, et le dioxyde de silicium
(également connu comme la silice amorphe), qui sont utilisés industriellement.
Certains de ces nanomatériaux peuvent produire des radicaux libres -­ appelés
espèces réactives à l'oxygène -­ ce qui peut altérer l'ADN. Une fois que ces
particules pénètrent dans le corps, elles peuvent s'accumuler dans les tissus,
causant petit à petit de grands dommages.

L'étude a noté que l'oxyde de zinc nano -­ utilisé dans les écrans solaires, et
O·DUJHQW QDno, sont les deux produits qui causent le plus de dommages à
l'ADN (cassure en simples brins). Les études ont été menées en particulier sur
des cellules sanguines humaines appelées lymphoblastoïdes, et sur des cellules
ovariennes de hamster chinois.

Par contre, les études ont montré que le dioxyde de silicium, qui est
couramment ajouté dans l'alimentation et la production de médicaments, a
généré de très faibles niveaux de lésions de l'ADN. De même, l'oxyde de fer et
l'oxyde de cérium ont montré une faible génotoxicité.
Jusqu'à présent, la plupart des études de la toxicité des nanoparticules ont été
axées sur la survie des cellules après l'exposition. Très peu ont examiné la
génotoxicité ou la capacité d'endommager l'ADN, un phénomène qui ne tue pas
nécessairement les cellules, mais qui peut conduire à des mutations
cancéreuses si le dommage n'est pas réparé.

 
158  
UNE ABSENCE DE REGLEMENTATION

Depuis que nous savons que les nanoparticules peuvent provoquer des
dommages à l'ADN, il serait impératif d'évaluer rapidement leur toxicité ! Mais
le statut-­quo légal permet de mettre ces produits sur le marché et de les
écouler à grande échelle, en dépit des recherches crédibles qui indiquent leurs
dangers.

En 2010, Tom Philpot, écrivait déjà : "Comme pour les OGM, la stratégie
semble être : répandre tout d'abord les produits en masse dans l'alimentation,
puis ensuite seulement, évaluer les risques". &RPPHFHODXQHIRLVGHSOXVF·HVW
le public consommateur qui fait office de cobayes.

Sans obligation G·pWLTXHWDJH GHV QDQR-­aliments pour les fabricants, ni la


moindre volonté de leur part de le faire volontairement, il est impossible pour
les citoyens de choisir ou de refuser de manger des nano-­aliments. Les firmes
SHXYHQWG·DXWDQWSOXVIDFLOHPHQWDEXVHU de la confiance des citoyens, que les
gouvernements faillissent à leur devoir qui est de réglementer les produits
DOLPHQWDLUHV HW GH V·DVVXUHU TXH OHV HPSOR\pV OHV FLWR\HQV HW O·HQYLURQQHPHQW
ne sont pas dangereusement exposés à des nanomatériaux.
De toutHV PDQLqUHV OD IUDXGH HVW G·DXWDQW SOXV DLVpH TXH OHV VHUYLFHV GH
FRQWU{OHQHGLVSRVHQWMXVTX·LFLG·DXFXQPR\HQWHFKQLTXHSHUPHWWDQWGHGpFHOHU
V·LO\DRXSDVSUpVHQFHGHQDQRpOpPHQWV$ORUVSRXUTXRLVHJrQHU ?

DES NANOTEC DANS NOS ASSIETTES

Des aliPHQWV LQWHOOLJHQWV TXL V·DGDSWHQW DX[ JR€WV GX FRQVRPPDWHXU GHV
YrWHPHQWV TXL UHSRXVVHQW O·HDX GHV PDWpULDX[ TXL V·DXWR-­réparent, de la
"poussière intelligente" qui enregistre discrètement les conversations«
Bienvenue dans le "nanomonde" ! Un univers où la science bricole des
SDUWLFXOHV LQYLVLEOHV DX PLFURVFRSH HW HPSLOH GHV DWRPHV j O·pFKHOOH GX
PLOOLDUGLqPH GH PqWUH /HV QDQRWHFKQRORJLHV VHURQW j OD EDVH G·XQH WURLVLqPH
révolution industrielle au cours du 21ième siècle, nous promet-­on.
Mais cette révolution passe aussi par nos assiettes. Car ces nanoparticules
sont déjà bien installées dans les aliments industriels, les pesticides agricoles,
OHV HPEDOODJHV DOLPHQWDLUHV OHV UpFLSLHQWV GH VWRFNDJH« VDQV FRQWU{OH QL

 
159  
étiquetage. Des particules qui, du fait de leur minuscule taille, traversent les
EDUULqUHV ELRORJLTXHV HW SHXYHQW FLUFXOHU GDQV WRXW O·RUJDQLVPH  OD SHDX OHV
WLVVXV OH FHUYHDX« Alors, êtes-­vous prêts pour une nourriture, aux effets
totalement inconnus ?

DES CENTAINES DE NANO-­ALIMENTS DISCRETEMENT


INTRODUITS SUR LE MARCHE

Difficile de recenser les nano-­aliments existants. Les fabricants ont bien


FRPSULV TXH OHV LQFHUWLWXGHV TXL HQWRXUHQW DXMRXUG·KXL OHV QDQRSDUWLFXOHV
peuvent effrayer les consommateurs. Ils ne communiquent pas clairement sur
OHXU XWLOLVDWLRQ 6HORQ O·21* Les Amis de la Terre F·HVW WRXWH OD FKDvQH
DOLPHQWDLUHTXLHVWDXMRXUG·KXLFRQWDPLQpH
/·$JHQFHIUDQoDLVHGHVpFXULWpVDQLWDLUHGHO·HQYLURQQHPHQWHWGXWUDYDLODYDLW
dénombré tous secteurs confondus 2.000 nanoparticules manufacturées déjà
commercialisées, et plus de 600 produits de consommation concernés.
&HVFKLIIUHVVRQWGLIILFLOHPHQWYpULILDEOHVGXIDLWGHO·DEVHQFHGHWUDoDELOLWp
Le groupe de consultants Helmut Kaiser avait depuis longtemps prévu que le
recours aux nanotechnologies concernerait en 2015, 40% des aliments
industriels.

UNE TECHNOLOGIE DE CONFORT POUR LES PAYS RICHES

'XVLOLFDWHG·DOXPLQLXPSRXUHPSrFKHUO·DJJOXWLQDWLRQGHVDOLPHQWVHQSRXGUH
du ketchup épaissi avec du dioxyde de silicium, des vinaigrettes blanchies au
GLR[\GH GH WLWDQH« /HV QDQR-­aliments nous apporteraient, selon leurs
partisans, des avancées culinaires majeures : du chocolat ou des glaces sans
lipides et sans sucre, qui conservent le PrPH JR€W TXH O·RULJLQDO XQH KXLOH
(Shemen Industries  TXL LQKLEH O·HQWUpH GX FKROHVWpURO GDQV OH VDQJ XQ
substitut alimentaire (Nanotrim de Nanonutra) qui brûle les graisses. Ou la
SRVVLELOLWp GH PRGLILHU OH JR€W G·XQ DOLPHQW VHORQ QRV GpVLUV 'HV LQGXVWULHOV
comme Nestlé cherchent à concevoir les "nano-­aliments du futur".

Le géant agro-­alimentaire Kraft Foods (USA) fait partie de ces pionniers. En


2000, il avait déjà financé un consortium de 15 universités et laboratoires de
recherche, Nanotek, pour concevoir de la "nourriture intelligente et
personnalisée", tels des aliments qui contiennent des centaines de nano-­

 
160  
capsules, remplies de saveurs, de nutriments, de couleurs différentes. Un four
à micro-­ondes pourrait déclencher, selon la fréquence des ondes, telle ou telle
capsule, selon les désirs du consommateur. Une nourriture interactive en
quelque sorte, qui peut même se transformer elle-­même si une personne est
allergique à un composant, ou libérer une dose de supplément nutritif si elle
détecte des carences. Kraft Foods, le concepteur de ce projet, est propriétaire
des marques de chocolat 0LOND &{WH G·2U 7REOHURQH 6XFKDUG, et de café
Carte Noire, *UDQG·0qUH-DFTXHV9DEUHRX0D[ZHOOImaginez demain votre
café de couleur rose et au goût banane qui vous délivre votre dose quotidienne
GH YLWDPLQHV &« 2X GX FKRFRODW TXL OLEqUH GHV DU{PHV GH FDURWWH WRXW HQ
soignant votre gueule de bois. Formidable, non ?

VERS UN NOUVEAU SCANDALE SANITAIRE ?

"Dans le cas des OGM, nous avons obligé Monsanto à rendre publiques des
études partielles de toxicité dissimulées au public. Des études semblables
Q·H[LVWHQW SDV VXU OD QRFLYLWp GHV QDQRSDUWLFXOHV VRXOLJQH OD )Rndation
6FLHQFHV &LWR\HQQHV (W OHV ODQFHXUV G·DOHUWH VRQW DFWXHOOHPHQW GLVVXDGpV SDU
tous les moyens (poursuites en justice !) de briser la propagande officielle".
Pour Rose Frayssinet : "Nous sommes face à un risque encore plus grand que
les OGM. Les 2*0 F·HVW XQ VHFWHXU DORUV TXH OHV QDQRWHFKQRORJLHV
FRQFHUQHQW WRXV OHV VHFWHXUV /HV ULVTXHV VRQW G·DXWDQW SOXV GLIILFLOHV j
analyser. On ne peut pas avoir une vision globale des implications".

Difficile en effet de contrôler le comportement de nanoparticules. Elles ne


répondent pas aux lois de la physique classique, mais à celles de la mécanique
quantique.
Construire des particules, atome par atome, manipuler la matière au niveau
GHV PROpFXOHV F·HVW HQWUHU GDQV XQ PRQGH G·LQFHUWLWXGH UDGLFDOH Les
propriétés des particules, comme leur toxicité ou leur persistance biologique,
varient selon leur taille. De fait, les connaissances actuelles sur les effets
toxiques des nanoparticules manufacturées sont très limitées.

"Les données disponibles indiquent que certaines nanoparticules insolubles


peuvent franchir les différentes barrières de protection, se distribuer dans le
FRUSV HW V·DFFXPXOHU GDQV SOXVLHXUV RUJDQHV HVVHQWLHOOHPHQW j SDUWLU G·XQH
exposition respiratoire ou digestive", prévient une étude de O·$IVVHW en 2006.
Les nanoparticules se diffusent dans les alvéoles pulmonaires, le sang, la

 
161  
barrière hémato-­encéphalique qui protège le cerveau, ou le placenta. Fin 2008,
XQ QRXYHDX UDSSRUW GH O·$JHQFH MXJH TXH OD QDQRWR[LFRORJLH IRXUQLW GHV
résultDWV HQFRUH SHX QRPEUHX[ GLVSDUDWHV HW SDUIRLV FRQWUDGLFWRLUHV HW TX·LO
Q·HVWFHSHQGDQWSDVSRVVLEOHG·H[FOXUHjFHWWHGDWHO·H[LVWHQFHG·HIIHWVQpIDVWHV
SRXUO·KRPPHHWO·HQYLURQQHPHQW
4XDQW j O·$JHQFH IUDQoDLVH GH VpFXULWp VDQLWDLUH GHV DOLPHQWV $IVsa), après
avoir rappelé que des études extérieures montrent de possibles altérations de
O·$'1SDUOHVQDQRSDUWLFXOHVHOOHFRQIHVVHO·LPSRVVLELOLWpG·pYDOXHUO·H[SRVLWLRQ
GXFRQVRPPDWHXUHWOHVULVTXHVVDQLWDLUHVOLpVjO·LQJHVWLRQGHQDQRSDUWLFXOHV
Très rassurant !

1$123$57,&8/(6/·$0,$17('8 IEME SIECLE ?

8QH pWXGH EULWDQQLTXH GpPRQWUH O·H[LVWHQFH G·XQ HIIHW LQGLUHFW GHV


QDQRSDUWLFXOHV TXL HQGRPPDJHUDLHQW j GLVWDQFH O·$'1 Marie-­Claude
JaurandGLUHFWHXUGHUHFKHUFKHjO·,16(50SRLQWHGXdoigt les nanotubes de
FDUERQH PDWpULDX XOWUD UpVLVWDQW XWLOLVp GDQV O·LQGXVWULH SRXU OHXUV HIIHWV
VLPLODLUHVjFHX[GHO·DPLDQWHFRQFHUQDQWODSURGXFWLRQGHOpVLRQVGHO·$'1
HWODIRUPDWLRQG·DEHUUDWLRQVFKURPRVRPLTXHV
Face à ces risques, que font les instances compétentes ? Pas grand-­chose. Les
instruments réglementaires sont inadaptés.
Ministères et agences sanitaires sont complètement dépassés (les documents
les plus récents publiés sur le site du ministère de la Santé datent de 2007).
/·pYDOXDWLRn des risques doit être totalement repensée.

/HVV\VWqPHVG·DXWRULVDWLRQGHPLVHVXUOHPDUFKpUHSRVHQWVXUODFRPSRVLWLRQ
chimique des produits. Pour les nanoparticules, cela ne suffit pas, car les effets
GpSHQGHQW DXVVL GH O·RUJDQLVDWLRQ VSDWLDOH GHV pOpPHQWV DWRPLTXHV HW GH OHXU
taille. Un élément QRQWR[LTXHSHXWOHGHYHQLUjO·pFKHORQQDQRPpWULTXH

Rose Frayssinet explique : /HGLR[\GHGHWLWDQHHWOHVGLR[\GHVG·DUJHQWQ·RQW


pas les mêmes propriétés au niveau nanométrique et au niveau macroscopique.
,OV Q·RQW SDV OHV PrPHV SURSULpWpV VHORQ TX·ils mesurent 20 nano ou 60 nano.
Pour étudier les risques, il faudrait donc mener des études pour toutes les
échelles". Mais cela coûte cher. Et les outils manquent.

Elle ajoute  '·DSUqV OHV WH[WHV HXURSpHQV GqV TX·RQ PRGLILH XQ DOLPHQW XQH
pWXGHG·LQnocuité est obligatoire. Mais personne ne sait le faire. Il y a encore un

 
162  
DQLOQ·\DYDLWDXFXQILOWUHYUDLPHQWV€USRXUUpFXSpUHUOHVQDQRSDUWLFXOHV6DQV
FRPSWHUTXHOHVGpODLVG·pWXGHVpWDQWWUqVORQJVOHVUpVXOWDWVDUULYHURQWDSUqVOD
mise sur le marché. On demande aux fabricants de travailler dans des salles
blanches, avec des scaphandres. Et juste derrière, on met les produits sur le
PDUFKp&·HVWDEHUUDQW

Concernant la production et la mise sur le marché, les industriels se réfèrent à


la directive européenne REACH. Celle-­ci est pourtant insuffisante. Seules les
substances chimiques produites en quantité supérieure à une tonne par an y
sont soumises. Vu la taille des nanoparticules, cette quantité de production
Q·HVWSDVWRXMRXUVDWWHLQWH(WSRXUOHPRPHQWDXFXQHREOLJDWLRQG·pWLTXHWDJH
Q·H[LVWH PrPH VL OH 3DUOHPHQW HXURSpHQ FRPPHQFH j VH VDLVLU GH FHWWH
question.

/·e7$7),1$1&(6$166·,148,(7(5'(6&216(48(1&(6

"No data no market" (pas de données, pas de marché). Telle est la position
défendue par de nombreuses associations écologistes, qui espèrent être
rejointes par les syndicats de salariés. Elles demandent un moratoire sur les
nano-­SURGXLWV(WGHVSURFpGXUHVG·pYDOXDWLRQGHVULVTXHVDGDSWpHV/HV21*
VRXKDLWHQW DXVVL GpEDWWUH GH O·utilité sociale des nanotechnologies, en
particulier dans le secteur alimentaire.

Le gouvernement français a lancé en 2009 le plan Nano-­Innov, qui vise à


placer la France parmi les pays les plus en pointe sur les nanosciences, en
encourageant la recherche fondamentale à travailler "avec les entreprises pour
mettre au point des technologies, déposer des brevets, créer des produits". 70
PLOOLRQVG·HXURVRQWpWpFRQVDFUpVO·DQGHUQLHUjFHSURMHW(QSDUDOOqOH aucun
IRQGV Q·HVW GpGLp DX[ pWXGHV WR[LFRORJLTXHs et aux impacts sanitaires et
environnementaux.

Valérie PécressePLQLVWUHGHO·(QVHLJQHPHQWVXSpULHXUHWGHOD5HFKHUFKHD
VRXOLJQp j O·RFFDVLRQ GX ODQFHPHQW GH FH SODQ O·H[FHOOHQFH GH OD UHFKHUFKH
nationale sur les nanotechnologies (5e rang mondial) mais se désole que
seulement 290 brevets aient été déposés en 2005, ce qui représente moins de
2% des brevets mondiaux. Car le secteur peut rapporter gros.

 
163  
La National Science Foundation (NSF) américaine évalue le marché des
nanotechnologies à mille milliards de dollars en 2015. Selon la Fondation
Sciences Citoyennes, les investissements en recherche et développement ont
été quasiment multipliés par dix entre 1997 et 2003 (3,5 milliards d·HXURV 
avec une prévision de croissance de 40% par an.

Rose Frayssinet commente : "Les chercheurs nous disent souvent : il suffit


TX·RQ SDUOH GH QDQRWHFKQRORJLHV GDQV QRV SURMHWV SRXU DYRLU GH O·DUJHQW SRXU
mener des recherches",
Les multinationales GHODSKDUPDFLHHWGHO·DJURFKLPLHVRQWVXUOHVUDQJVSRXU
fabriquer davantage de nano-­DOLPHQWV ­ O·RSSRVp GHV V\VWqPHV DOLPHQWDLUHV
organisés localement et écologiquement soutenables, se prépare une nouvelle
UpYROXWLRQ DOLPHQWDLUH EDVpH VXU O·DFFDSDUHPHnt par quelques firmes privées
des éléments constitutifs de la matière et de notre alimentation. Après la
malbouffe, nous voici transformés en cobayes de la nanobouffe, avec le silence
FRPSOLFHGHO·eWDW

Nota :
-­ 7DLOOHGHO·DWRPHGL[LqPHGHnanomètre ² ADN : 10 nm ² Protéines : 20 nm
-­ "Certaines nanoparticules peuvent traverser et/ou altérer les membranes
plasmiques, nucléaires et mitochondriales, induire une peroxydation lipidique et
OD JpQpUDWLRQ G·HVSqFHV UpDFWLYHV GH O·R[\JqQH HOOHV-­mêmHV j O·RULJLQH G·XQ
VWUHVVR[\GDWLISRXYDQWDOWpUHUGHVSURWpLQHVHWO·$'1

6RXUFH1DQRWHFKQRORJLHVHWQDQRSDUWLFXOHVGDQVO·DOLPHQWDWLRQKXPDLQHHW
animale, AFSSA

Adaptation Agnès Rousseaux

 
164  
36
HISTORIQUE DES FOURS A MICRO-­ONDES

Lors de la dernière guerre mondiale, les ouvriers travaillant dans les usines qui
IDEULTXDLHQW GHV UDGDUV DYDLHQW UHPDUTXp TX·LOV SRXYDLHQW VH FKDXIIHU OHV
mains à proximité du magnétron, pièce maîtresse du système. En 1945,
O·$PpULFDLQ Percy Spencer, ingénieur électronicien, emballa un magnétron de
radar dans une boîte métallique : le four à micro-­ondes était né. À partir de
1970, la cuisson au four micro-­ondes fit une percée en tant que révolution
technologique de la cuisine pour le réchauffement des plats surgelés et des
plats préparés.

COMMENT ÇA CHAUFFE ?

2Q DSSUHQG HQ SK\VLTXH TXH O·DXJPHQWDWLRQ GH WHPSpUDWXUH GH OD PDWLqUH
HQWUDvQHXQHDJLWDWLRQPROpFXODLUHG·XQHIDoRQSURSRUWLRQQHOOH,QYHUVHPHQWLO
est possible de créer de la chaleur en induisant une agitation moléculaire.
Chaque élément a, au niveau moléculaire, une fréquence vibratoire qui lui est
propre. Si nous injectons une pulsation de la même fréquence que celle de
O·pOpPHQW H[SpULPHQWp LO VH SURGXLW XQ SKpQRPqQH GH UpVRQDQFH (Q ce qui
FRQFHUQH O·HDX OD IUpTXHQFH SURSUH G·DJLWDWLRQ PROpFXODLUH HVW GH 2,45
gigahertz (2,45 milliards par seconde). Tout produit hydraté subit donc sous
micro-­RQGHV DFFRUGpHV O·H[DOWDWLRQ GH  PLOOLDUGV HW GHPL GH IULFWLRQV SDU
seconde, entraînant un échauffement immédiat.

UN PRINCIPE AUSSI GENIAL QUE PRATIQUE, MAIS...

Les militaires et les divers utilisateurs de radars (aviation, marine...) savent


TX·LOQ·HVWSDVUHFRPPDQGpGHVWDJQHUGDQVOHFKDPSUD\RQQDQWGHVDQWHQQHV
Aussi sait-­on depuis longtemps que de nombreux utilisateurs professionnels
RQWVXELGHVDOWpUDWLRQVWHVWLFXODLUHVDOODQWMXVTX·jODVWpULOLWp6XUODQRWLFHGHV
premiers fours à micro-­ondes américains, il était notifié : "Ne consommer que 8
jPLQXWHVG·DWWHQWHDSUqVODVRUWLHGXfour" GRQFTXDQGF·HVWUHIURLGLW 

 
165  
DES EXPERIENCES EDIFIANTES

Le physicien Marc Henry a réalisé par RMN (Résonance Magnétique Nucléaire)


SRXUOHFRPSWHGX&,5'$9j3DULVGHVH[SpULHQFHVRO·RQFRQVWDWHTXHGDQV
GHO·HDXSDVVpHDXIRXUPLFUR-­RQGHVO·DQJOHGHODOLDLVRQK\GURJqQH+-­O-­H était
perturbée de 30% environ. On obtient une eau bio-­incompatible. Par exemple,
GH O·HDX FKDXIIpH DX[ PLFUR-­ondes à 2,4 GHz est déstructurée. Refroidie, elle
inhibe la germination des graines et devient toxique pour la survie
G·RUJDQLVPHVDTXDWLTXHV

Il est très facile de réaliser soi-­même une expérience avec des fleurs coupées.
,O VXIILW GH IDLUH GHX[ ERXTXHWV LGHQWLTXHV HW GH SODFHU O·XQ GDQV GH O·HDX
QRUPDOH GX URELQHW HW O·DXWUH GDQV GH O·HDX ERXLOOLH DX[ PLFUR-­ondes puis
refroidie. On pourra noter que le second bouquet se flétrit rapidement pendant
qXHO·DXWUHSHUGXUH

3DUDLOOHXUVRQQHVDLWSDVUpJpQpUHUXQHWHOOHQRXYHOOHHDXTXLQ·DSOXVULHQ
j YRLU DYHF O·HDX QDWXUHOOH PrPH VL OD FRPSRVLWLRQ FKLPLTXH HVW UHVWpH OD
PrPH &HX[ TXL RQW OH SDODLV ILQ UHPDUTXHQW O·DOWpUDWLRQ GX JR€W GH O·HDX
chauffée aux micro-­ondes même dans le thé ou les tisanes.

LA CHAUFFE DU LAIT : CATASTROPHIQUE !

Les mères qui chauffent les biberons par ce procédé effectuent sans le savoir
une lente dégradation de la santé de leur enfant. Les chats rechignent souvent
devant du lait chauffé aux micro-­ondes. Des expériences autrichiennes ont
montré que la proline du lait subissait une isomérisation provoquant un nouvel
DUUDQJHPHQW VSDWLDO GH OD PROpFXOH HW DERXWLVVDQW j OD V\QWKqVH G·XQH DXWUH
molécule neurotoxique : la D proline.

Jean-­Pierre GarelFKHUFKHXUDPRQWUpODWUqVLPSRUWDQWHSHUWHG·LQIRUPDWLRQ
des produits chauffés aux micro-­RQGHV &·HVW G·DLOOHXUV XQH PpWKRGH HIILFDFH
pour effacer la trace homéopathique dans des flacons. Or, il est connu que les
aliments pauvres en information sont bio-­incompatibles. Le même chercheur a
réalisé des cristallisations sensibles de lait chauffé aux micro-­ondes pendant
TXHOTXHV PLQXWHV /·LPDJH REWHQXH HVW EURXLOOpH HW LQFRKpUHQWH (OOH HVW
pTXLYDOHQWHjFHOOHG·XQODLWSXWUpILp.

 
166  
NOTA : La méthode de cristallisations sensibles consiste à mélanger quelques
JRXWWHVG·XQHVXEVWDQFHELRORJLTXH VDQJYLQMXVGHIUXLWRXGHOpJXPHODLW 
à du chlorure de cuivre et laisser sécher le tout sur une plaquette dans des
conditions de neXWUDOLWpG·DPELDQFHDEVROXH
,O VH SURGXLW XQH FULVWDOOLVDWLRQ HQ IRUPH G·LULV GH O·±LO  G·DXWDQW PLHX[
VWUXFWXUpHTXHOHSURGXLWHVWVDLQ,OVHUDLWG·DLOOHXUVVRXKDLWDEOHTXHODSKRWR
GHFHWWHFULVWDOOLVDWLRQVHQVLEOHDSSDUDLVVHVXUO·pWLTXHWWHGHGLYHUs produits de
consommation.

INCIDENCES GENERALES SUR LA SANTE

Un rapport complet paru dans le journal suisse Franz Weber n° 19 en mars


1992, provenant de l'École polytechnique et de l'Université Génie Biochimique
de Lausanne, expose que, sur un groupe de sujets volontaires nourris avec du
lait chauffé aux micro-­ondes, on a pu observer chez eux :

‡   une augmentation de la vitesse de sédimentation,


‡   une modification de la structure des graisses,
‡   XQHPRGLILFDWLRQGHO·DFLGHIROLTXH
‡   XQHDXJPHQWDWLRQGHO·D]RWHQRQSURWpLTXH
‡   XQHGLVSRVLWLRQKpPDWRORJLTXHjO·DQpPLHDXERXWG·XQPRLV
‡   une dégradation des paramètres sanguins et une élévation du taux de
cholestérol au bout de deux mois,
‡   OHWDX[G·KpPDWRFULWHGHYLHQWFKDQJHDQWWpPRLJQDQWG·XQHLQWR[LFDWLRQ
aiguë,
‡   O·DXJPHQWDWLRQGHVOHXFRF\WHVV·DFFpOqUHDYHFOHWHPSV

EN CONCLUSION

&HUWDLQV GLVHQW TX·LOV PDQJHQW GHV PLFUR-­ondes depuis plusieurs années et


TX·LOVQHUHVVHQWHQWDXFXQWURXEOHSDUWLFXOLHU-HSHQVHTX·LOVIRQWO·REMHWG·XQH
fausse adaptation, la vigilance du corps se trouvant endormie, et ne suscitant
GH FH IDLW DXFXQH UpDFWLRQ &·HVW VRXYHQW OH FDV GH SHUVRQQHV SURIRQGpPHQW
intoxiquées. CHX[GRQWO·RUJDQLVPHHVWVDLQHWSURSUHRQWLPPpGLDWHPHQWGHV
réactions désagréables. Ceux qui se moquent plus ou moins de votre fragilité
apparente -­ TX·LOV LQWHUSUqWHQW FRPPH XQ GpIDXW G·DGDSWDWLRQ -­ sont souvent

 
167  
les mêmes qui se retrouvent avec un cancer subit. Le syndrome du cancer est
évidemment multifactoriel, mais la part réelle de la cuisson aux micro-­ondes à
long terme -­ V·DMRXWDQWjWRXWOHUHVWH-­ Q·\HVWSDVSRXUULHQ

Le petit four si pratique prend rang dans les mortelles facilités du modernisme.
$XVVL OH SULQFLSH GH SUpFDXWLRQ Q·HVW-­il pas de se débarrasser de cette "arme
GRPHVWLTXHDYDQWTX·LOQHVRLWWURSWDUG"
$PRLQVTXHYRXVQHO·RIIULH]jTXHOTX·XQTXHYRXVQ·DLPH]SDV"«

 
168  
37
AVEZ-­VOUS LE WIFI CHEZ VOUS ?

Avez-­vous réalisé que toute la gamme FREE BOX, LIFE BOX et autres BOX
que la plupart acceptent par ignorance sur les bonnes recommandations des
fournisseurs sont du WiFi ? Tous ces gens vivent alors dans un grand four à
micro-­ondes permanent avec peut-­être un bébé (le pauvre) qui pleure tout le
WHPSV LODPDOjODWrWH XQJDPLQLQIHUQDOHWK\SHUDFWLITXHO·RQYDPHWWUHHQ
prime sous Ritaline, et des grands qui étant sans cesse à cran pour rien, sont
malades -­ ERQMRXUO·DPELDQFH !

$K ELHQ V€U OH :L)L F·Hst pratique, mais à quel prix de la santé ! Il y a eu
pendant un moment un petit interrupteur derrière la BOX que vous pouviez
PHWWUHVXU2))PDLVF·pWDLWWURSVLPSOH2QIDLWWRXWSRXUTXHWRXWOHPRQGH
passe à la trappe. Maintenant, on a compliqué les choses, cela se déprogramme
jSDUWLUGHO·RUGLQDWHXU² ODPDQLSQ·HVWSDVpYLGHQWHVDXIVLYRXVRXTXHOTX·XQ
GHYRWUHHQWRXUDJHHVWXQDVGHO·LQIRUPDWLTXH LO\HQDGHSOXVHQSOXV VLQRQ
LOYDXWPLHX[V·DGUHVVHUjXQLQVWDOODWHXUGpSDQQHXUHQLQIRUPDWique et ne pas
RXEOLHU TX·LO IDXW DORUV FRQQHFWHU SDU ILO WpOpSKRQLTXH YRWUH RUGLQDWHXU j OD
BOX.

0DLVTXDQGO·RSpUDWLRQHVWUpDOLVpHFHQ·HVWSDVV€UTX·HOOHWLHQGUDORUVGHO·XQH
des mises à jour automatiques  VL ELHQ TX·LO IDXW UpJXOLqUHPHQW YpULILHU si la
déprogrammation est toujours pérenne. Cela se vérifie simplement en
GpEUDQFKDQW OH ILO GH OD %2; j O·RUGLQDWHXU SRXU FRQWDFWHU ,QWHUQHW 6L oj
PDUFKHTXDQGPrPHF·HVWTXHOH:,),DpWpUHPLVVXU21

Bonne nouvelle ! Je suppose que suite à de nombreuses réclamations, un tout


petit interrupteur "avec ou sans WIFI" a été réinstallé derrière les nouveaux
décodeurs...

A Paris, la Bibliothèque Nationale de France a renoncé à l'installation du WiFi


au profit de connexions filaires. Les syndicats, après avoir constaté par eux-­
mêmes les effets physiologiques négatifs du rayonnement WiFi, se sont
appuyés sur une étude américaine "Lee & Al" qui prouve les effets génotoxiques
(altération dans la réplication ADN) des ondes de 2,4 GHz (fréquence du WiFi,
de la molpFXOH G·HDX HW GHV IRXUV j PLFUR-­ondes), sur le rapport alarmant de

 
169  
BioInitiative produit par quatorze scientifiques internationaux, et sur une
étude de l'Université de Clermont-­Ferrand. Par ailleurs une guerre est en cours
pour refuser la tentante implantation du WiFi dans les écoles au niveau
européen.

3DUFRQWUHLODpWpTXHVWLRQG·XQHJpQpUDOLVDWLRQG·LPSODQWDWLRQGX:L)LGDQV
O·HQVHPEOH GHV K{SLWDX[ -H QH VDLV SDV FH TX·LO HQ HVW Dans ce cas, tant pis
pour les nerfs à fleur de peau, les céphalées, les insomnies des malades, et
autres cadeaux tel que tachycardie, etc., bref, une ambiance peu propice à la
guérison !

3$6'·$6685$1&(3285/(6'(*$76'(67(/(3+21(6
PORTABLES, DES ANTENNES ET DU WIFI
La téléphonie mobile sera-­t-­HOOH OH IXWXU VFDQGDOH VDQLWDLUH j O·LQVWDU GH
O·DPLDQWHRXGXWDEDF"$YDQWG·DYRLUODUpSRQVHOHVDVVXUHXUVSUXGHQWVRQW
déjà pris les devants. Contrairement aux opérateurs téléphoniques, aux
IDEULFDQWV GH WpOpYLVLRQV G·Rrdinateurs et de jeux vidéo, les compagnies
G·DVVXUDQFH SUHQQHQW WUqV DX VpULHX[ OHV HIIHWV QpIDVWHV GHV RQGHV
électromagnétiques sur la santé. En toute discrétion, elles ne les assurent
plus.

Dans un document daté de 1997, intitulé "Les champs électromagnétiques, un


risque fantôme", le réassureur Swiss Re, qui assure les compagnies
G·DVVXUDQFH PHW HQ JDUGH VHV FOLHQWV 'H VRQ F{Wp $[D UDQJH OHV RQGHV
pOHFWURPDJQpWLTXHV DX PrPH UDQJ TXH O·DPLDQWH RX OH SORPE (Q FODLU $[D
Q·DVVXUH SOXV VHV FOLHQWV FRQWUH les dégâts que pourraient éventuellement
provoquer les ondes émises par votre téléphone portable, votre télévision ou
YRWUHRUGLQDWHXU&HUWHVODFRPSDJQLHG·DVVXUDQFHVHJDUGHELHQGHSDUOHUGH
danger. Mais elle se couvre au cas où il pourrait y en avoir un, au nom du
SULQFLSHGHSUpFDXWLRQHWHOOHQ·HVWSDVODVHXOH

,PDJLQH]GHVFHQWDLQHVGHPLOOLHUVG·XWLOLVDWHXUVGHWpOpSKRQHVPRELOHVDWWHLQWV
de tumeurs du cerveau, du nerf auditif ou des glandes salivaires qui
gagneraient leur procès contre Orange6)5%RX\JXHVRX7pOpFRP«

 
170  
38
TELEPHONES PORTABLES
info dernière : confirmés super dangereux

Ils détruisent lentement le cerveau des adultes.


Ils détruisent rapidement le cerveau des enfants.

Une récente étude pilotée par Ronald L. Melnick pour le compte du


gouvernement américain a alerté O·$FDGpPLH DPpULFDLQH GH SpGLDWULH pour
resserrer les recommandations TX·HOOH IDLVDLW DX[ SDUHQWV FRQFHUQDQW O·XVDJH
du cellulaire par leurs enfants -­ ainsi que par eux-­mêmes. Cette étude a
stupéfié de nombreux sceptiques -­ dont ceux du NTP qui prétendait les GSM
inoffensifs, et qui ont alors fait un virage à 180 degrés.

/·$PHULFDQ&DQFHU6RFLHW\ a reconnu la valeur scientifique de cette étude, et


le magazine Consumer Reports la juge assez révolutionnaire pour désormais
recommander à son lectorat de se protéger de ce type de Radio Fréquence.
(Q HIIHW O·pWXGH UpYqOH -­ hors de tout doute -­ que ces radiofréquences micro
ondes (autour de 2,4 Giga Hertz) causent les mêmes types de tumeurs chez les
UDWVTXHFHOOHVGRQWO·LQFLGHQFHHVWSOXVpOHYpHFKH]OHVKXPDLQVTXLFROOHQWleur
*60jO·RUHLOOHPLQXWHVSDUMRXUHQPR\HQQHDXERXWG·XQHGurée de10 ans.
Evidemment, les risques augmentent encore en fonction de la dose
G·H[SRVLWLRQ

$QRWHUTXHO·pWXGHGX173HVWGpMjGpSDVVpHHWQHSRXUUDSDVrWUHUpSOLTXpH
SXLVTXHO·H[SRVLWLRQFRUUHVSRQGDLWjODWHFKQRORJLHGHGHX[LqPHJpQpUDWLRQ *
ou GSM pour Global System for Mobile Communications) employée il y a
17 DQVF·HVW-­à-­GLUHDXPRPHQWGHODFRQFHSWLRQGHO·pWXGH$YHFOHVQRXYHOOHV
technologies (UMTS pour Universal Mobile Telecommunications System), on
arrive déjà à la 5G, ce qui inquiète encore davantage les experts.

Mille fois moins puissante que la technologie 2G,


la 3G présente pourtant trois fois plus de risques
de développer un gliome,
(forme très agressive de cancer du cerveau).

 
171  
"La puissance moyenne du rayonnement 2G/GSM est 1.000 fois plus élevée que
celle des téléphones cellulaires modulés 3G/UMTS de troisième génération ;; et
SRXUWDQW SRXU  KHXUHV G·XWLOLVDWLRQ OH ULVTXH GH FDQFHU GX FHUYHDX SDU
O·XWLOLVDWLRQ G·XQ WpOpSKRQH FHOOXODLUH * 8076 HVW  IRLV SOXV pOHYp TXH
O·XWilisation de 2G" ² F·HVWFHTXHQRXVDH[SOLTXpSDUFRXUULHO Lloyd L. Morgan,
VXUYLYDQWGXFDQFHUGXFHUYHDXFKHUFKHXUjO·Environmental Health Trust et
directeur représentant des patients au registre national américain des
tumeurs.

/·DIILFKH présentée à la conférence BIOEM 2016 LOOXVWUDLW TX·DSUqV 


KHXUHVG·XWLOLVDWLRQFXPXODWLYHOHULVTXHGHFDQFHUGXFHUYHDXG·XQWpOpSKRQH
*8076 HVW GH  IRLV OD QRUPDOH DORUV TX·DYHF XQ WpOpSKRQH **60 OH
risque est de 1,5 fois. Mais comment une puissance 1.000 fois plus faible peut-­
elle causer un risque plus élevé ? Explication probable : "la modulation UMTS
LQKLEHOHVJqQHVGHUpSDUDWLRQGHO·$'1HQGRPPDJp

APPEL AUX ADOS DE 20 EXPERTS INTERNATIONAUX


)DFH j O·pWXGH GX 173 O·$PHULFDQ $FDGHP\ RI 3HGLDWULFV $$3  GLW V·LQTXLpWHU
du fait que des enfants de plus en plus jeunes adoptent le cellulaire alors que
leur corps et leur intellect sont en plein développement. Ronald L. Melnick
affirme :

"Pour les enfants, les risques de cancer du cerveau sont bien supérieurs à ceux
GHV DGXOWHV HQ UDLVRQ G·XQH SOXV JUDQGH SpQpWUDWLRQ HW DEVRUSWLRQ GX
rayonnement du téléphone cellulaire dans leur cerveau, et parce que leur
système nerveux en développement est beaucoup plus sensible".

/·$$3 rappelle que la norme fédérale américaine (de la Federal


Communications Commission ou FCC) limitant le rayonnement des
WpOpSKRQHV FHOOXODLUHV Q·D SDV pWp PLVH j MRXU GHSXLV . Cette limite
autorisée aux États-­Unis -­ de 1,6 W/kg -­ vise seulement à prévenir
O·pFKDXIIHPHQW GHV WLVVXV GX FRUSV G·XQ DGXOWH HW QRQ OHV HIIHWV -­ non
thermiques -­ FRPPH OHV GRPPDJHV j O·$'1 HW OH FDQFHr, car "les crânes des
enfants sont plus minces et peuvent absorber plus de rayonnement".

LES GLIOMES EN HAUSSE


3RXUPLQLPLVHUOHVULVTXHVGHO·XWLOLVDWLRQGXWpOpSKRQHFHOOXODLUHOHVFULWLTXHV-­
TXL VRQW VRXYHQW HQ FRQIOLW G·LQWpUrWV FDU ILQDQFpV SDU O·LQGXVWULH -­ affirment

 
172  
VRXYHQWTXHO·LQFLGHQFHJOREDOHGHVWXPHXUVFpUpEUDOHVHVWVWDEOH &·HVWIDX[ !
Le Dr Adlkofer souligne : /·LQFLGHQFHGXFDQFHU augmente de 1 à 2 % par année
chez les enfants depuis 30 ans et celle des glioblastomes hautement mortels
augmente sans cesse dans la population générale depuis la fin des années
1980 (de 3,1 % par année aux Pays-­Bas entre 1990 et 2010 et similairement aux
États-­Unis, et pour des cancers localisés principalement dans le lobe frontal, le
plus exposé aux ondes des cellulaires)".

'H SOXV VHORQ O·RQFRORJXH HW pSLGpPLRORJLVWH VXpGRLV Lennart Hardell -­ pour
la Suède -­ les tumeurs cérébrales de type inconnu ont augmenté de 157% de
 j  SURXYDQW TXH OHV UHJLVWUHV GHV WXPHXUV V·DYqUHQW LQFRPSOHWV HW
peu fiables. Ce médecin HVWO·DXWHXUGHVpWXGHVOHVSOXVFRQQXHVVXUOHVXMHWTXL
ont contribué au classement 2B des radiofréquences. Il a notamment découvert
TXHOHVJHQVTXLXWLOLVHQWOHFHOOXODLUHGHPDQLqUHLQWHQVLYHDYDQWO·kJHGH ans
vont MXVTX·j à multiplier par 5 leur risque de cancer du cerveau.

$XMRXUG·KXLOHDr Hardell affirme, tout comme plusieurs autres experts, dont


O·DQFLHQ SDWURQ GX NTP, Chris Portier TX·LO IDXW UHFODVVHU OHV 5) FRPPH
cancérogènes $/·RSLQLRQGHHardell Q·HVWSDVjSUHQGUHjODOpJqUH : depuis la
ILQ GHV DQQpHV  OHV IDEULFDQWV GH O·DJHQW RUDQJH GHV %3& ELSKpQ\OHV
polychlorés) puis du glyphosate (Roundup) avaient aussi critiqué ses études sur
ODWR[LFLWpGHFHVSURGXLWVPDLVO·KLVWRLUHOXLDGRQQpUDLVRQ6RQDYLVVXUOH$
est aussi partagé par le Dr Anthony B. Miller, GLUHFWHXU GH O·XQLWp
G·pSLGpPLRORJLHjO·,QVWLWXWQDWLRQDOGXFDQFHUj7RURQWRGHj

Si ces avis ne vous suffisent pas encore, vous pouvez vous fier à la législation
IUDQoDLVH VXU O·H[SRVLWLRQ DX[ &(0 et aux consignes de sécurité des
fabricants de cellulaires qui recommandent de NE JAMAIS LE TENIR CONTRE
VOTRE CORPS.

RAPPEL :
Aucune assurance ne couvre ce risque ² concluez vous-­même.

LES TELEPHONES PORTABLES SONT CANCEROGENES

La publication officielle presque en catimini des premiers résultats


LQWHUPpGLDLUHV GH O·pWXGH ,QWHUQDWLRQDOH ,QWHUSKRQH GX CICR (Centre
,QWHUQDWLRQDO GH 5HFKHUFKH VXU OH &DQFHU  GpSHQGDQW GH O·OMS, apporte la
FRQILUPDWLRQ GH O·DXJPHQWDWLRQ GHV FDV GH FDQFHUV OLpV j O·XWLOLVDWLRQ GHV
WpOpSKRQHVPRELOHV/·pWXGHpSLGpPLRORJLTXHLQWHUQDWLRQDOHDUHJURXSpSD\V

 
173  
(Allemagne, Australie, Canada, Danemark, Finlande, France, Israël, Italie,
Japon, Norvège, Nouvelle-­Zélande, Royaume-­Uni, Suède) qui ont utilisé le
mrPH SURWRFROH DILQ G·pWXGLHU OD UHODWLRQ SRVVLEOH GHV WXPHXUV DYHF OHV
irradiations des hyperfréquences micro-­RQGHVOLpHVjO·XWLOLVDWLRQGXWpOpSKRQH
mobile.

&HV WXPHXUV VRQW SULQFLSDOHPHQW OHV QHXULQRPHV GH O·DFRXVWLTXH


méningiomes, gliomes, tumeurs de la glande parotide, etc. Globalement la
SXEOLFDWLRQ GHV SUHPLHUV UpVXOWDWV FRQILUPH O·DXJPHQWDWLRQ VLJQLILFDWLYH HW
avérée des tumeurs.

Martine Hours confirme : "Ces plus gros consommateurs comprennent des


utilisateurs de téléphone mobile depuis plus de 46 mois, les personnes ayant
déjà utilisé en 2001 plus de deux téléphones mobiles ou cumulé plus de 260
heures de conversation et ceux qui parlent plus de cinq minutes par appel" -­ ce
TXLYHXWGLUHHQG·DXWUHWHUPHVSOXVFODLUVTXHODTXDVLWRWDOLWpGHVXWLOLVDWHXUV
de téléphones mobiles rentrent dans la catégorie dite des gros utilisateurs telle
TX·HOOH D pWp GpILQLH GDQV OH SURWRFROH GH OD PpJD pWXGH LQWHUQDWLRQDOH
Interphone du Centre International de Recherche sur le Cancer.

Les Opérateurs de téléphonie mobile, les Organisations et les Autorités de


Santé font tout pour nous cacher la vérité, mais le téléphone cellulaire est bien
cause de cancers.

La téléphonie mobile va-­t-­elle GHYHQLUOH IXWXUVFDQGDOHVDQLWDLUHjO·LQVWDUGH


O·DPLDQWH RX GX WDEDF " /HV pWXGHV VFLHQWLILTXHV V·DFFXPXOHQW HW VH
FRQWUHGLVHQW HQFRUH VHORQ TX·HOOHV VRLHQW LQGpSHQGDQWHV RX SDV  0DLV IDXW-­il
V·HQ pWRQQHU " ,O D IDOOX  DQV SRXU UHWLUHU OH SORPE GHs peintures et 50 ans
pour établir de façon convaincante le lien entre la cigarette et le cancer du
SRXPRQ«0DLVOHVFRPSDJQLHVG·DVVXUDQFHVRQWQHWWHPHQWSOXVUDSLGHVSRXU
VHPHWWUHjO·DEUL

Source : www.next-­up.org

DIX PRECAUTIONS IMPERATIVES A PRENDRE


 1·DXWRULVH] SDV OHV HQIDQWV GH PRLQV GH  DQV j XWLOLVHU XQ WpOpSKRQH
SRUWDEOH VDXI HQ FDV G·XUJHQFH (Q HIIHW OHV RUJDQHV HQ GpYHORSSHPHQW GX
I±WXV RX GH O·HQIDQW  VRQW OHV SOXV VHQVLEOHV j O·LQIOXHQFH possible de
O·H[SRVLWLRQDX[FKDPSVpOHFWURPDJQpWLTXHV

 
174  
2. Lors de vos communications, essayez autant que possible de maintenir le
WpOpSKRQHjGLVWDQFHGXFRUSV O·DPSOLWXGHGXFKDPSEDLVVHGHIRLVjFP
et elle est 50 fois inférieure à 1 m de distance).

Utilisez impérativement soit le mode "haut-­parleur", soit un kit mains libres,


VRLW OD QRXYHOOH RUHLOOHWWH EOXHWRRWK TXL pPHW PRLQV G·H GH O·pPLVVLRQ
électromagnétique du téléphone).

5HVWH]jGLVWDQFHG·XQHSHUVRQQHHQFRPPXQLFDWLRQHWpYLWH] G·XWLOLVHUYRWUH
téléphone portable dans des lieux publics comme le métro, le train ou le bus où
vous exposez passivement vos voisins proches au champ électromagnétique de
votre appareil.

4. Evitez le plus possible de porter un téléphone mobile sur vous, contre vous,
même en veille. Ne pas le laisser à proximité la nuit VRXV O·RUHLOOHU RX VXU OD
table de nuit) et particulièrement dans le cas des femmes enceintes ² ou alors
OH PHWWUH HQ PRGH DYLRQ RX KRUV OLJQHRII OLQH TXL D O·HIIHW GH FRXSHU OHV
émissions électromagnétiques.

5. Si vous devez le porter sur vous, assurez-­vous que la face "clavier" soit
dirigée vers votre corps et la face "antenne" (puissance maximale du champ)
YHUVO·H[WpULHXU

NOTA : il existe des pochettes blindées à rayonnement GLUHFWLIYHUVO·H[WpULHXU


uniquement.

 1·XWLOLVH] YRWUH WpOpSKRQH SRUWDEOH TXH SRXU pWDEOLU OH FRQWDFW RX SRXU GHV
conversations de quelques minutes seulement (les effets biologiques sont
GLUHFWHPHQW OLpV j OD GXUpH G·H[SRVLWLRQ  ,O HVW SUpIpUDEOH GH UDppeler ensuite
G·XQ WpOpSKRQH IL[H ILODLUH SOXW{W TXH G·XQ WpOpSKRQH VDQV ILO -­-­DECT-­-­ qui
utilise une technologie à micro-­ondes apparentée à celle des portables GSM.
&HV WpOpSKRQHV G·DSSDUWHPHQW VRQW QpDQPRLQV EHDXFRXS PRLQV GDQJHUHX[
puisque leur puissaQFHG·pPLVVLRQHVWHQPR\HQQHGHP:DXOLHXGH
P:VXUOHV*60F·HVW-­à-­dire 200 fois moindre.

7. Quand vous utilisez votre téléphone portable, changez de côté régulièrement,


HW DYDQW GH PHWWUH OH WpOpSKRQH SRUWDEOH FRQWUH O·RUHLOOH DWWHQGH] TXH Yotre
correspondant ait décroché (il y a une baisse importante de la puissance du
champ électromagnétique émis).

 (YLWH] G·XWLOLVHU OH SRUWDEOH ORUVTXH OD IRUFH GX VLJQDO HVW IDLEOH RX ORUV GH
déplacements rapides comme en voiture ou en train (augmentation maximale

 
175  
et automatique de la puissance lors des tentatives de raccordement à une
nouvelle antenne relais ou à une antenne distante)

9. Communiquez par SMS plutôt que par téléphone (limite la durée


G·H[SRVLWLRQHWODSUR[LPLWpGXFRUSV 

10. Choisissez un appareil avec le DAS le plus bas possible par rapport à vos
EHVRLQV OH'pELWG·$EVRUSWLRQ6SpFLILTXHPHVXUHODSXLVVDQFHDEVRUEpHSDUOH
corps). Un classement des DAS des téléphones contemporains des différents
fabricants est disponible sur www.guerir.fr HWG·DXWUHVVLWHVLQWHUQHW

CONCLUSION
Depuis ces dernières années les tumeurs et cancer de la tête sont en très forte
augmentation chez les utilisateurs du téléphone portable collé à l'oreille... sans
compter que les jeunes cumulent par ignorance les risques : réveil matin sur la
WDEOH GH QXLW WpOpSKRQH VRXV O
RUHLOOHU FRPPXQLFDWLRQV VDQV ILQ« -·DL GpMj
VRXOHYp SOXVLHXUV IRLV FH SUREOqPH HW M·\ UHYLHQV FDU MH FRQVWDWH TXH O·HIIHW
"Shaddok" est une consternante réalité !

 
176  
39
SIDA : LA COLOSSALE IMPOSTURE

Rappelez-­vous cette boutade de Coluche : "Un mensonge assené


suffisamment longtemps devient une vérité"... &·HVW SRXU FHOD TXH MH
Q·KpVLWH SDV j UHYHQLU XQH IRLV GH SOXV VXU OHV PHQVRQJHV GX SIDA, que je
dénonce depuis des années.

Savez-­vous que le seul fait de recevoir un vaccin, vous rend séropositif


SHQGDQWSOXVLHXUVMRXUVSOXVLHXUVVHPDLQHVRXSOXVLHXUVPRLVVHORQO·pWDWGH
vos défenses et de votre WHPSV GH GLJHVWLRQ GH O·DJUHVVHXU ? Et quand la
"sentence-­pSRXYDQWH 6(52 326,7,) WRPEH VXU YRXV TX·HVW-­ce que cela veut
dire ? Simplement que vous êtes en train de fabriquer des anticorps face à un
SUREOqPHGHVDQWpULHQGHSOXV$QRWHUTXHO·RQXWLOLVHjGpIDXWGHPLHX[OHV
mêmes tests pour essayer de détecter la maladie de Lyme !

/RUVTXH O·XQH GH PHV ILOOHV V·HVW PDULpH VRQ IXWXU PDUL V·HVW IDLW pSLQJOHU
séropositif à la visite prénuptiale. Or il traînait une bronchite tenace depuis un
ERQPRLV-HOXLGLVGHQHSDVV·DIIROHUHWG·DWtendre que sa bronchite soit réglée
avant de refaire le test. Il fut de fait négatif la seconde fois.

DES TEST NON FIABLES POUR FAIRE BOUILLIR LA MARMITE

Sachez que les tests "Mélisa" et "Western Blot" pour la séropositivité ne sont
absolument pas spécifiques au VIH (en outre pour lequel le rapport avec le
6,'$Q·DMDPDLVSXrWUHSURXYp mais répondent à près de 80 pathologies... Par
exemple, une simple grippe peut donner un test positif. Il en va de même pour
XQH FULVH G·KHUSqV XQH KpSDWLWH RX -­ comme cité plus haut -­ à une simple
vaccination. La tuberculose, la malaria, certains parasites intestinaux,
O·DOFRROLVPH GHV PDODGLHV GX IRLH RX XQ VDQJ R[\Gp SDU O·DEXV GH GURJXHV
illégales ou pharmaceutiques, même une grossesse, émettent des anticorps qui
peuvent vous classer dans les séropositifs. Les journaux Today et Wall Street
(USA) ont pourtant publié un rapport de la FDA (Food and Drug
$GPLQLVWUDWLRQ  PRQWUDQW TX·LO \ D EHDXFRXS GH IDX[ SRVLWLIV DYHF FH WHVW
officiel.

En 1996,  GHV FDV GH 6,'$ UDSSRUWpV Q·DYDLHQW DXFXQ VLJQH GH PDODGLH

 
177  
De nombreuses personnes ont ainsi eu leur vie professionnelle ou familiale
FDVVpHjFDXVHGHFHWHVWELGRQHWVRQWHQWUpHVGDQVOHSLqJHPRUELGHGHO·$=7
et de la tri ou quadrithérapie. ActXHOOHPHQWOH6,'$HVWO·pWLTXHWWHFROOpHj
maladies anciennes, telles que la candidose, la diarrhée, la pneumonie, le
cancer, la tuberculose, et surtout la malaria qui est en réalité la première
maladie dévastatrice du tiers monde.

NOTA : Il est en ouWUH FXULHX[ GH QRWHU TXH G·XQ SD\V j O·DXWUH HW G·XQ
ODERUDWRLUH j O·DXWUH HQ IRQFWLRQ GHV WHVWV XWLOLVpV HW GX FXUVHXU GH OHXU
interprétation, on peut passer de séropositif à séronégatif ou inversement.

VIH et SIDA

/H UDSSRUW GX 6,'$ DYHF OH 9,+ Q·HVW TX·XQH K\SRWKqVH TXL D pWp pULJpH HQ
certitude, puis en dogme, enfin en idéologie de dictature (purement politico-­
commerciale).
&HWWH VLPSOH K\SRWKqVH GH WUDYDLO D pWp LQWURGXLWH HQ  ORUV G·XQH
conférence de presse internationale par le Dr Robert Gallo 86$ « TXL DYDLW
passé 20 ans de sa carrière à essayer de prouver que le cancer était une
maladie virale transmissible  $LH  WRXW IDX[  %LHQ TX·DXFXQH SUHXYH
VFLHQWLILTXH Q·DLW pWp pWDEOLH GHSXLV j FH VXMHW OH IRUPDWDJH PpGLDWLTXH D
tellement bien fonctionné que même beaucoup de professionnels en médecines
naturelles continuent à annoncer des remèdes "contre le VIH".

Des centaines de scientifiques dans le monde réclament une réévaluation totale


GHV FULWqUHV GX 6,'$« 0DLV ULHQ QH ERXJH« %XVLQHVV is business ! Les
grandes Association pour le soutien des malades du SIDA, qui organisent à
JUDQGV IUDFDV GHV MRXUQpHV G·DFWLRQV DYHF OD FRPSOLFLWp GH OD WpOp VRQW HQ IDLW
des bastions de surveillance, monitorés par des valets du sinistre business
pour gaUDQWLUTXHULHQQHERXJH/DUHFKHUFKHVXUOHYLUXVGX6LGDQ·DERXWLUD
MDPDLV SXLVTXH F·HVW XQH IDXVVH SLVWH Luc Montagnier, co-­auteur de ladite
IDXVVHSLVWHO·DDYRXpjGHPL-­PRWVHWDPrPHRVpDYDQFHUTXHO·RQREWHQDLWGHV
guérisons avec simplement des régimes alimentaires et des compléments
alimentaires, ce qui lui a valu depuis une "excommunication" douce (vu son
âge).

UNE MALADIE CONTAGIEUSE ?

 
178  
La MST (Maladie Sexuellement Transmissible) est une invention à but
SXUHPHQWFRPPHUFLDO(QDIILUPDQWTXHO·RQSHXWrWUHSRUWHXUVDLQVXVFHSWLEOH
GHWUDQVPHWWUHOHIDPHX[UpWURYLUXVO·RQPHWHQFDXVHWRXVFRQWDFWVVH[XHOV -­
même anciens -­ si bien que presque tout le monde se trouve ainsi avec une
pSpH GH 'DPRFOqV VXU OD WrWH« WRXMRXUV OD WHFKQLTXH GH OD SHXU ! 10% de la
population américaine serait homosexuelle. Parmi ceux-­là, seulement 5% ont le
SIDA.

Dans mon expérience personnelle de cabinet M·DLYXGHVFRuples homos dont


O·XQVHPRXUDLWGX6,'$SHQGDQWTXHVRQFRQMRLQWHVVD\DLWSDUDPRXU YUDL GH
FRQWUDFWHU DXVVL OD PDODGLH SRXU PRXULU DXVVL HQ VH PpODQJHDQW WRXW VH TX·LO
SRXYDLW VDQJ VDOLYH VSHUPH«  ² M·DL YX DXVVL XQH PqUH TXL VH PpODQJHDLW OH
sang (comme dans les mariages gitans) avec sa fille mourante du SIDA.
Mais que nenni ! Impossible de passer seulement séropositifs ! Comme quoi
Q·DSDVOH6,'$TXLYHXW«

Il se dit aussi que les femmes enceintes séropositives transmettent le SIDA à


leurs bébés. Or, 76% des bébés qui présentent un test positif à la naissance
deviennent séronégatifs dans les 18 mois qui suivent sans aucune intervention
médicale. Malgré cela, les femmes enceintes séropositives (test aléatoire) sont
LQYLWpHV j DYRUWHU RX j SUHQGUH GHV PpGLFDPHQWV WHOV TXH O·$=7 TXL DWWDTXH
GLUHFWHPHQW O·$'1 &HV PROpFXOHV GpWUXLVHQW OD PRHOOH pSLQLqUH R VRQW
élaborées les cellules du système immunitaire. Elles provoquent chez les mères
des affaiblissements musculaires, une anémie sévère, des dommages du
système nerveux, des reins et du foie, des lymphomes, des nausées, des
GLDUUKpHVGHODGpPHQFHGHVFRQYXOVLRQVEUHIWRXWFHTXHO·RQUHWURXYHGDQV
le SIDA. LHI±WXVOXLHVWH[SRVpjXQDYRUWHPHQWVSRQWDQpRXjGHVGLIILFXOWpV
de toutes sortes.

CONCLUSION
Je rappelle que SIDA signifie : Syndrome Immunitaire de Déficience Acquise et
non pas Attrapée. /·HIIRQGUHPHQWLPPXQLWDLUHSUHQGVDVRXUFHOHSOXVVRXYHQW
dans la consommation habituelle de drogues autant illégales que
pharmaceutiques ;; mais cela peut aussi être potentialisé par des transfusions
VDQJXLQHVLUUHVSRQVDEOHV RQO·DYXGDQVXQVFDQGDOHEien connu), des vaccins
criminels (les enfants étant en première ligne), ou même des conditions
psychologiques dramatiques.

 
179  
Le classement MST du SIDA est une version culpabilisante facile, concernant
EHDXFRXS GH PRQGH« 4XH FHOXL TXL Q·D MDPDLV IDXWp PH MHtte la première
pierre  0DLVODWKpRULHGHVSRUWHXUVVDLQVTXLLQIHFWHQWWRXWFHTX·LOVWRXFKHQW
ne tient guère la route. Cela arrange même certains intégristes religieux qui
SDUOHQW GH SXQLWLRQ GLYLQH GH O·DGXOWqUH MH O·DL HQWHQGX VXU GHV UDGLRV
canadiennes).

'RQFVLO·RQHVWWHVWpVpURSRVLWLIVHUDSSHOHUTXHFHODQHYHXWSDVGLUH6,'$²
qui lui est normalement associé au syndrome de Kaposi. Simplement mener
XQHVWUDWpJLHGHWRXWFHTXLSHXWERRVWHUOHVGpIHQVHVLPPXQLWDLUHV LOQ·\DTXH
O·HPEDUUDV du choix en naturopathie) et une alimentation bio végétarienne de
SUpIpUHQFH« HW VXUWRXW QH SDV FpGHU j OD WHQWDWLRQ GH O·DVVLVWDQDW GHV WUL HW
quadrithérapies, un abonnement à la déchéance lente, par une pollution grave
et permanente de votre organisme, aORUV TXH OD VDJHVVH HVW GH IDLUH O·LQYHUVH :
c'est-­à-­dire un grand nettoyage.

LES DOCUMENTS SCIENTIFIQUES ASSOCIANT LE VIH AU SIDA


SONT DES FAUX !

Trente-­sept professionnels appartenant au médico-­légal et à la recherche ont


envoyé à la revue Science une lettre lui enjoignant de retirer officiellement les
quatre documents faisant du VIH la cause du Sida. Selon les auteurs de la
OHWWUH G·LPSRUWDQWHV SUHXYHV RQW GpVRUPDLV pPHUJp PRQWUDQW TXH QRQ
seulement les études ont été mal effectuées, mais en plus leurs conclusions ont
été falsifiées.

En 1984, Robert Gallo publiait quatre articles dans la revue Science,


DIILUPDQW TX·LO DYDLW LVROp OH YLUXV GX 9,+ HW FRQFOXDQW TXH F·pWDLW OD "cause
probable du sida." 4XRL TX·LO HQ VRLW Janine Roberts, une journaliste
G·LQYHVWLJDWLRQ D GpFRXYHUW TXH Gallo avait retouché en dernière minute le
document et ses conclusions. Janine Roberts, auteur de Fear of the Invisible
/D SHXU GH O·LQYLVLEOH  D GpFODUp  -·DL pWp FKRTXpH TXDQG M·DL OX OH EURXLOORQ
original du document scientifique clef, qui est maintenant largement cité comme
prouvant que le VIH est la cause du Sida."

Les changements de dernière minute de Gallo dans les manuscrits ont inversé
ce que les scientifiques avaient initialement conclu dans leur laboratoire. Cela
démontre un mépris accablant envers la démarche scientifique et un
PDQTXHPHQWWUqVLQTXLpWDQWHQYHUVODFRQILDQFHGXSXEOLF$FFRPSDJQpHG·XQH
FRSLH PDQXVFULWH GHV DOWpUDWLRQV OD OHWWUH GHV  H[SHUWV HVW FRPSOpWpH G·XQH

 
180  
lettre de Gallo lui-­PrPHTXLDGPHWDXSUqVG·XQDXWUHFKHUFKHXUTXHOH9,+QH
SHXW rWUH LVROp GHV pFKDQWLOORQV KXPDLQV VHXOV HW GH OD OHWWUH G·XQ H[SHUW HQ
microscopie électroQLTXH GLVDQW TX·LO Q·\ DYDLW DXFXQ YLUXV 9,+ GDQV OHV
échantillons de Gallo en 1984.

La recherche de Gallo V·pWDLWYXHDWWDTXpHDXSDUDYDQWGDQVOHVDQQpHVSDU


des investigations du gouvernement étasunien qui concluaient que le principal
document de travail était "UHPSOL G·DIILUPDWLRQV PHQVRQJqUHV HW HUURQpHV",
et que OD QpJOLJHQFH HW OH PDLQWLHQ LQDFFHSWDEOH GHV GRVVLHUV GH UHFKHUFKH«
reflètent une gestion irresponsable des laboratoires, qui nuit en permanence à
la traçabilité des importantes mesures prises."

David CroweOHSUpVLGHQWGHO·RUJDQLVDWLRQLQWHUQDWLRQDOHRethinking AIDS, a


déclaré :
*UkFHjGHQRXYHOOHVGpFRXYHUWHVTXLPLQHQWO·LQWpJULWpVFLHQWLILTXHHWODYpUDFLWp
des quatre documents de Gallo, les fondements de la théorie selon laquelle le
VIH provoque le Sida peuvent désormais être remis en question." -­
(Mondialisation ca, le 7 mars 2009)

Source : David Gutierrez

Des références :
La "cuisine" diabolique des croyances
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2010/11/27/la-­cuisine-­diabolique-­des-­
croyances.html
6,'$/·,0326785(
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2010/11/27/sida-­l-­imposture.html
AZT, le Sida sur ordonnance
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2011/01/03/a-­z-­t-­le-­sida-­sur-­ordonnance.html
Sida, GARRETTA, virus fantôme, politique et MANIPULATION.
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2010/11/27/sida-­garretta-­virus-­fantome-­
politique-­et-­manipulation.html
Affaire Beljanski
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2010/04/09/affaire-­beljanski.html
Le virus machin
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2006/12/01/le-­virus-­machin.html
Sida, le dossier
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2006/12/02/le-­dossier.html
Ces virus imaginaires qui nous manipulent.
http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2007/03/01/ces-­virus-­imaginaires-­qui-­nous-­
manipulent.html

 
181  
40
CANCER DU SEIN : LES FAUX DEPISTAGES

/·XWLOLWpGX'pSLVWDJHGXFDQFHUGXVHLQ '02 ² pratique médicale qui repose


sur le singulier postulat que WRXWELHQSRUWDQWHVWXQPDODGHTXLV·LJQRUH fait
DFWXHOOHPHQW O·REMHW G·XQH UHPLVH HQ TXHVWLRQ j la Fédération Nationale des
Collèges de Gynécologie Médicale. Elle a été provoquée par le recoupement
entre les résultats négatifs de la méta-­analyse Cochrane, et la publication des
essais comparatifs randomisés anglais sur le dépistage du cancer du sein par
mammographie, qui a étudié le suivi de 160.000 femmes âgées de 39 à 49 ans
SHQGDQW SOXV GH  DQV &HV UpVXOWDWV G·DERUG SXEOLpV HQ GpFHPEUH  QH
relèvent aucune diminution statistique de la mortalité par cancer du sein, et de
SOXV WpPRLJQHQW G·XQH UpFXUUHQFH FRQVWDQWH GH IDX[ GpSLVWDJHV SRVLWLIV GH
cancer.

Les "sur-­diagnostic" comprennent à la fois des cancers non évolutifs qui


Q·DXUDLHQW MDPDLV pWp SHUoXV VDQV GpSLVWDJH HW GHV DOWpUDWLRQV KLVWRORJLTXHV
étiquetées comme "cancer" mais sans conséquence. En pratique, sur 1.000
femmes soumises au dépistage officiel, 14 auront un diagnostic de cancer du
sein ;; sur ces 14 femmes, en raison du manque de spécificité, 4 seulement ont
une vraie maladie cancéreuse évolutive. EN REALITE 10 FEMMES SUR 14
SERONT DONC OPEREES POUR RIEN. Inutilement ? Pas si sûr, car cela
alLPHQWHO·DSSDUHLOGHGpSLVWDJHOXL-­PrPH/DUpDFWLRQHQFKDvQHHVWDPRUFpH«

/HVFDVGHPDODGLHFDQFpUHXVHYpULWDEOHGRQWO·pYROXWLRQHVWGpIDYRUDEOHYRQW
GRQFVHWURXYHUGLOXpVDYHFOHVIDX[GLDJQRVWLFV/·pYROXWLRQIDYRUDEOHGHFH
que le médecin crovWrWUHXQYUDLFDQFHUVRLJQpjWHPSVOXLGRQQHO·LOOXVLRQGH
O·HIILFDFLWpGHODPpWKRGH/HSDWLHQWUHFRQQDLVVDQWQHVDLWSDVQRQSOXVTX·LOD
pWpWRXWVLPSOHPHQWYLFWLPHG·XQHHUUHXU/·LOOXVLRQG·HIILFDFLWpLQFLWHjVRQWRXU
jGpSLVWHUSOXV«

Bref, comme O·D SURFODPp André Roussin "Dans la maladie, ce qui sauve,
F·HVWODVDQWp

,O IDXW HQILQ DGPHWWUH TXH O·H[DPHQ PLFURVFRSLTXH QH SHXW GLVWLQJXHU XQ
pseudo-­FDQFHU G·XQ FDQFHU pYROXWLI. Les histologistes sont mis dans cette
difficile posture par la traque effrénée de lésions de plus en plus petites, donc
censées être de plus en plus précoces à traiter. Or, le prélèvement ponctuel

 
182  
G·XQH SHWLWH WXPHXU HVW EHDXFRXS PRLQV SUpGLFWLI G·XQH pYROXWLRQ GpIDYRUDEOH
que pour une tumeur plus volumineuse.

Par ailleurs ce sur-­dépistage nuit gravement à la santé des pseudo-­malades,


SDU OHV WUDLWHPHQWV ORXUGV TX·LO HQWUDvQH /HV ULVTXHV LDWURJqQHV OLpV j OD
chirurgie, à la chimiothérapie et à la radiothérapie pour les 10 patientes
traitées à tort ne sont pas pris en compte (sans compter les dégâts
psychologiques). (Q IDLW OD SUpFRFLWp GH O·LQWHUYHQWLRQ FKLUXUJLFDOH VHPEOH
associée à une surmortalité par cancer du sein trois ans plus tard. Il est dit
aussi que la chirurgie peut entraîner une "angiogénèse" et la prolifération de
métastases à distance en particulier chez les patientes jeunes qui présentent
des ganglions positifs.

Sources : JL SIMENEL, Président du Collège de Gynécologie de Normandie

NOTA :

(QFRUH XQH SUHXYH TXH OH FDQFHU GX VHLQ HQ SDUWLFXOLHU IDLW O·REMHW G·XQ sinistre
business. Pendant que la sécu fait la chasse aux médecins qui dépassent de 20
euros le quota autorisé pour des prescriptions courantes, non seulement elle
encourage le sur-­dépistage par une pression psychologique constante sur les
femmes, elle esW G·XQH VXUSUHQDQWH WROpUDQFH SRXU GHV PLOOLHUV GH WUDLWHPHQWV
hyper-­FR€WHX[ GH  j  ½ HQWUH OD PXWLODWLRQ OD FKLPLR HW OD
radiothérapie), donc effectués 10 fois sur 14 pour rien (jackpot : 1,2 millions
G·HXURVHQPR\HQQH !), et cela sur le dos de nos prélèvements obligatoires. Alors,
pour les intérêts de qui travaille vraiment cet ogre soi-­disant sécuritaire, qui
génère légalement la plus grosse hémorragie financière de notre pays ?

/·$51$48('835(-­CANCER
La médecine avait inventé la PRE-­ménRSDXVH OD PpQRSDXVH Q·pWDQW
probablement pas suffisamment rentable, elle a maintenant institué le PRE-­
cancer, ce qui est financièrement très intéressant dans la mesure où les gens
qui ne sont pas encore malades sont censés être beaucoup plus nombreux que
les malades eux-­PrPHV6LMHP·LQVXUJHF·HVWHQUDLVRQGXQRPEUHGHIHPPHV
PrPH MHXQHV TXL PH FRQWDFWHQW SRXU PH GHPDQGHU FRQVHLO SDUFH TX·XQ
cancérologue insiste et les presse pour leur effectuer une mammosectomie (de
précaution), car disent-­ils, elles présentent un terrain précancéreux. Or ce
fameux terrain consiste la plupart du temps en un banal kyste mammaire -­ en
outre souvent dû aux produits laitiers -­ mais ne présentant aucun caractère
GDQJHUHX[ j O·DQDO\VH HW HQ SDUWLFXOLHU DXFXQH YHOOpLWp G·DGKérences. Ces

 
183  
femmes qui paraissent en pleine forme se trouvent alors très déstabilisées
PRUDOHPHQW DXWDQW SDU O·LQVpFXULWp GH OHXU DYHQLU TXH SDU OD SHUVSHFWLYH GH
cette mutilation dégradante de leur féminité.

Or, les tests complémentaires ont chaque fois SURXYpTX·HOOHVQ·DYDLHQWDXFXQ


cancer.

$ORUVFKqUHVGDPHVXQERQFRQVHLOGHPrPHTX·RQQHVHILHMDPDLVjXQVHXO
devis pour des travaux, ne vous fiez jamais à un seul avis médical. Les
cancérologues paient cher des assurances pour les "bavures", au cas où des
clients se rebifferaient. Sachez que la soi-­GLVDQW 35(9(17,21 Q·HVW TX·XQ
service de rabattage, et que chaque faux cancéreux rapporte -­ comme les vrais
-­ 150.000 euros minimum aux labos de la chimio.

Qui paye ? Nous tous, contribuables à souhait ;; et ce sinistre busines de la


PXWLODWLRQ HW GH O·HPSRLVRQQHPHQW OpJDOLVpV HVW XQH YpULWDEOH KpPRUUDJLH
financière de la nation via la Sécu qui y collabore gaiement. Par ailleurs, il faut
JDUGHUjO·HVSULWTX·DX-­delà de ces chirurgiens indélicats qui coupenWG·DERUGHW
discutent ensuite, il existe des approches diagnostiques et curatives non
invasives et que des milliers de personnes guérissent du cancer par des
moyens dont on ne parle pas à la télé.

Encore faut-­LORVHUFKDQJHUG·pJOLVH«HWSD\HU !

 
184  
41
CHIMIO : MENU UNIQUE

9RLOjXQHpWXGHTXLGHYUDLWIDLUHGXEUXLW«­FRQGLWLRQELHQV€UG·HQSDUOHU
Cet article de trois professeurs australiens est paru dans la revue Clinical
Oncology, sous le titre : The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5 year
Survival in Adult Malignancies ,O pWXGLH OHV GRQQpHV G·pWXGHV FOLQLTXHV DYHF
chimiothérapie au cours des 20 dernières années en Australie et aux USA. Les
résultats relevés sur un lot de 72.964 patients en Australie et 154.971 aux
USA, tous traités par chimiothérapie, sont tout simplement consternants :

Concernant la survie de 5 ans en Australie


seuls 2,3 % des patients et 2,1 % aux USA
ont obtenu un résultat positif.

Malgré cela, on continue à imposer cette "charlatanerie"


à tous les cancéreux !!!
/HVDXWHXUVV·LQWHUURJHQWDYHFUDLVRQVXUOHIDLWTX·XQHWKpUDSLHTXLDVLSHX
contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, ait dans le
même temps connu un tel succès commercial.

Et cela devient totalement incompréhensible, lorsqXH O·RQ FRQVLGqUH XQH SDU


une, les différentes sortes de cancer. &·HVWDLQVLTX·DX[86$GHSXLVLO\
a eu exactement 0% de progrès dans les cancers suivants : Cancer du
pancréas, Sarcome des parties molles, Mélanome, Cancer des ovaires et de la
prostate, Cancer des reins et de la vessie, Tumeurs cérébrales, Myélomes
multiples. Et ceci au bout de 20 années de recherches "intensives" dans le
GRPDLQH GH OD FKLPLRWKpUDSLH HW O·LQYHVWLVVHPHQW GH PLOOLDUGV SURYHQDQW GH
fonds pour la recherche et de dons faits aux grandes organisations bien
connues pour le cancer.

Logiquement, tout un chacun devrait maintenant changer sa façon de penser.


Mais à quelle réaction devons-­nous nous attendre ? Tout porte à croire que les
pouvoirs publics continueront à affirmHU VDQV OD PRLQGUH UHWHQXH TXH O·RQ D
IDLW FH TX·LO IDOODLW DX FRXUV GHV GHUQLqUHV GpFHQQLHV HW TXH OD UHFKHUFKH D
englouti des milliards de dollars dans la bonne direction. Car dans le cas

 
185  
contraire, la perte de prestige serait immense et dévastatrice, et les
conséquences économiques et financières catastrophiques pour tous ceux qui
YLYHQWG·XQHIDoRQpKRQWpHGXV\VWqPH

Et tant pis pour le consommateur (malheureux patient), qui se trouve bien seul
ORUVTX·LOQ·DSDVDFFqVjO·LQIRUPDWLRQOXLSHUPHWWDQWde prendre conscience de
cette autre réalité de la maladie, au moins autant physique que psychologique
et spirituelle.

On peut trouver sur le site www.cancerdecisions.com les chiffres des effets


cytotoxiques de la chimiothérapie sur les cinq années de survie.
A travers ces chiffres, on peut mesurer les conséquences de ces traitements,
DFFHSWpV OH SOXV VRXYHQW DX SUL[ GH WHUULEOHV VRXIIUDQFHV GDQV O·HVSRLU XOWLPH
G·XQHJXpULVRQHQUpDOLWpELHQLOOXVRLUH

LA CHIMIO : UN TRAITEMENT BIDON


Voici quelques déclarations de spécialistes, qui ne sont évidemment pas
UpSHUFXWpHV GDQV OHV PpGLDV UpVROXPHQW VHUYLOHV DX[ LQWpUrWV GH O·LQGXVWULH
pharmaceutique :

‡/HDr en Médecine Allen Levin : "La plupart des patients atteints de cancer
dans ce pays meurent de la chimiothérapie. La chimiothérapie ne fait pas
disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis
SOXVG·XQHGpFHQQLHHWSRXUWDQWOHVGRFWHXUVXWLOLVHQW toujours la chimiothérapie
pour traiter ces tumeurs" (in "The Healing of Cancer" ["Guérir le cancer"], 1990).

‡ Le Dr en médecine Thomas Dao : 0DOJUp O·XVDJH UpSDQGX GH OD


FKLPLRWKpUDSLH OH WDX[ GH PRUWDOLWp SDU FDQFHU GX VHLQ Q·D SDV FKDQJp FHV 
dernières années" (in "New England Journal of Medicine", mars 1975, vol. 292,
p.707).

‡ /H Dr en Médecine Albert Braverman : "De nombreux cancérologues


recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un
optimisme non découragé par un échec quasi immanquable" (La Cancérologie dans
les années 1990, Ed. Lancet 1991, vol. 337, p.901).

ENQUETE INTERNATIONALE DU Dr. ULRICH ABEL


Épidémiologiste allemand de la Heidelberg-­Mannheim Tumor Clinic, le Dr.
Ulrich Abel a réalisé une analyse détaillée de tous les essais cliniques jamais
effectués sur la chimiothérapie. Il a écrit à plus de 350 centres médicaux à

 
186  
travers le monde, en leur demandant de OXL HQYR\HU WRXW FH TX·LOV DYDLHQW
publié sur le sujet. Puis il a passé en revue tous les documents publiés sur la
chimiothérapie (iOHVWSHXSUREDEOHTX·LO\DLWTXHOTX·XQDXPRQGHTXLHQVDFKH
SOXV TXH OXL VXU OH VXMHW  /·DQDO\VH OXL D SULV SOXVLHXUV DQQpHV PDLV OHV
résultats sont stupéfiants ² il écrit :

"Le taux de réussite global de la chimiothérapie à travers le monde est


consteUQDQWHWLOQ·\DWRXWVLPSOHPHQWDXFXQHSUHXYHQXOOHSDUWLQGLTXDQWTXHOD
chimiothérapie peut prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des
cancers organiques les plus courants".

Le Dr Abel décrit la chimiothérapie comme un "terrain vague scientifique" et


DIILUPHTX·DXPRLQVGH la chimiothérapie administrée à travers le monde
est inutile ;; or curieusement, ni le médecin ni le patient ne souhaitent
généralement renoncer à la chimiothérapie, même si rien ne prouve que ça
marche !!! (Lancet, 10 août 1991).

8QFRQVWDWTXLHQGLWORQJ« /HVLWHGHODFKDvQHG·LQIRUPDWLRQVOLEDQDLVHV
a publié des enquêtes et questionnaires qui montrent que 3 médecins sur 4
refusent toutes chimiothérapies sur eux-­mêmes, en cas de cancer, en raison
GHVRQLQHIILFDFLWpHWGHVHIIHWVGpYDVWDWHXUVVXUODWRWDOLWpGHO·RUJDQLVPH

/·,187,/,7('(/$CHIMIO

Inutile et même plutôt dangereux. A en croire les découvertes de cette étude, le


WUDLWHPHQW FKLPLR DFWLYH VXUWRXW OD FURLVVDQFH HW O·pWHQGXH GHV FHOOXOHV
cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la
chimiothérapie a déjà été démarrée.
On savait déjà que les traitements jEDVHG·XQHFKLPLRQ·pWDLHQWTX·XQHYDVWH
escroquerie, mais à travers cette étude nous pouvons en avoir la preuve
décisive. Non seulement la chimiothérapie, étant la méthode standard de
WUDLWHPHQW GX FDQFHU HOOH HVW VHORQ O·pWXGH XQ ILDVFR WRWDO 3XEOLpHs dans le
journal "Nature Medicine", ces très dérangeantes découvertes qui, en outre, ont
été soigneusement ignorées par la communauté scientifique dominante,
éclairent en détail la manière dont la chimiothérapie oblige les cellules saines à
libérer la protéine qui en vérité alimente les cellules cancéreuses et les fait
prospérer et proliférer.

 
187  
Ce scandale a été dénoncé par le Dr. André Gernez depuis des
décennies !

LA CHIMIO ET /·ADN FONT UNE LIAISON FATALE

&·HVW DFFLGHQWHOOHPHQW TXH GHV FKHUFKHXUV $X[ (WDWV-­Unis ont découvert la


vérité fatale sur ce mystère de la chimiothérapie en cherchant pourquoi les
cellules cancéreuses de la prostate sont si dures à éradiquer par les méthodes
conventionnelles de traitement.
Selon cette étude, la chimiothérapie tend en fait à induire la libérDWLRQ G·XQH
protéine (WNT16B) dans les cellules saines qui favorise la survie et la
croissance des cellules cancéreuses.
«(WFRPPHVLFHODQHVXIILVDLWSDVODFKLPLRHQGRPPDJHHQSOXVO·$'1GHV
cellules saines de façon irréversible, préjudice à long terme qui persiste
ORQJWHPSV DSUqV OD ILQ GX WUDLWHPHQW SDU FKLPLR /·DFWLRQ FRPELQpH GH OD
destruction des cellules saines et la promotion des cellules cancéreuses fait
techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer
TX·XQ SURWRFROH GH WUDLWHPHQW FDQFpUHX[ &H IDLW GHYUDLW UHWHQLU O·DWWHQWLRQ GH
quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-­même en ayant un
FDQFHUVRLWSDUFHTX·LOFRQQDvWTXHOTX·XQG·DXWUHTXLHQHVWDIIHFWp

Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagit avec les cellules
cancéreuses proches et les fait grossir et se multiplier PDLVOHSOXVJUDYHF·HVW
que ces mêmes tumeurs deviennent plus résistantes à une thérapie ultérieure.

Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, un des plus grands spécialistes du


cancer aux États-­Unis disait :
"Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste
pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce
poison valent mieux que trois doses de ce poison".

SE DISPENSER DE LA CHIMIO AUGMENTE BEAUCOUP LES


CHANCES DE RECUPERER SA SANTE

En effet, cela signifie que la techniquH GH OD FKLPLRWKpUDSLH Q·D\DQW HQ UpDOLWp
DXFXQH YDOHXU HOOH V·DYqUH DX FRPSOHW GpWULPHQW GX SDWLHQW FDQFpUHX[ 8QH

 
188  
pWXGH VLPLODLUH SXEOLpH O·DQQpH GHUQLqUH UpYpODLW GpMj TXH WRXWH PDQLSXODWLRQ
dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de
WXPHXUV PpWDVWDWLTXHV HW F·HVW FHOD TXL DX ERXW GX FRPSWH tue les patients;;
cette autre étude a confirmé que les drogues anti-­cancer, qui sont
habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des
métastases.

3RLQW Q·HVW TXHVWLRQ GH QH ULHQ IDLUH PDLV G·DUUrWHU GH GpFKDUJHU OD
responsabilité de notre santé sur des spécialistes souvent désabusés qui se
proclament seuls compétents et sérieux en dépit des médiocres résultats
VWDWLVWLTXHV TX·LOV REWLHQQHQW ,O IDXW FHUWHV EHDXFRXS G·DSORPE SRXU UHVWHU
insensibles à leur arrogance et leurs injonctions indélicates voire leurs
menaces.
Pire encore sont les peureux qui vous aiment et vous exhortent à avoir la
VDJHVVH GH YRXV VRXPHWWUH DX VpULHX[ GH O·RUWKRGR[LH PpGLFDOH HQ RXWUe
remboursé par la sécu !).

REFUSER DE MOURIR PAR POLITESSE

9RWUHFRUSVQHUHOqYHSDVGHODFRSURSULpWpLOQ·DSSDUWLHQWTX·jYRXV vous êtes


le seul à avoir le droit imprescriptible de décider de vos options, quel que soit
votre âge, même si elles paraissent folles aux autres ! Les statistiques prouvent
TXH OHV PDODGHV TXL V·HQ VRUWHQW OH PLHX[ VRQW OHV SOXV UHEHOOHV OHV SOXV
LQGLVFLSOLQpV TXL Q·RQW SDV SHXU HW TXL GpFLGHQW GH SUHQGUH HQ PDLQ
personnellement leur problème sous leur responsabilité.
CelXLRXFHOOHTXLFKHUFKHYUDLPHQWjJXpULUG·XQFDQFHUDWRXWLQWpUrWjRSWHU
selon son propre choix intellectuel ou sensitif, pour des voies alternatives qui
RQWIDLWOHXUVSUHXYHVVXUOHWHUUDLQHW QRQSDVDXQLYHDXG·H[SpULPHQWDWLRQV
de laboratoires sur des animaux dont la validation porte trop souvent à
FDXWLRQ«

Alors quel choix a-­t-­on vraiment du côté alternatif ? (je ne connais pas
WRXW« PDLV VHXOHPHQW FH TXH M·DL G€PHQW WHVWp  /H SULQFLSH HVW WRXMRXUV OH
même :
1 -­ 1HWWR\HUO·RUJDQLVPHGHIRQGHQcomble.
2 -­ Dégorger le foie.
2 -­ Aider le pancréas.

 
189  
4 -­ Supprimer toutes les viandes et tous les produits laitiers.
5 -­ Adopter un régime strictement végétarien, en plus des jus se fruits et
de légumes.
6 -­ Remettre en question les options, les soumissions et les croyances de
notre vie.
7 -­ Se faire libérer des blessures psy profondes qui ont fermenté et
somatisé.

ET ALORS QUOI FAIRE ?

Il y a des tas de tuyaux sur Internet, bons, moyens ou nuls, mais au moins
jamais toxiques. Le jeûne en est un, surtout VLO·RQDGHVNLORVjSHUGUHPDLVLO
y a des règles à connaître, et il ne faut pas improviser ² un bon naturopathe
SHXWYRXVJXLGHUSRXUPHQHUjELHQFHWWHDYHQWXUH%RQF·HVWFKDFXQTXLYRLW
3RXUPDSDUWDSUqVYLQJWDQVG·H[SpULHQFHHWOHVXLYLGHEHDucoup de malades,
M·DL SX VpOHFWLRQQHU une boîte à outils Cancers équipée des principaux best of
alternatifs actuels ² Bien sûr, on ne gagne pas à tous les coups car on ne peut
rien contre des destins prédéterminés ou des auto-­sabotages inconscients,
mais je peux affirmer que les chances de guérison définitives offertes sont de
loin bien meilleures que celles offertes par le "protocole" (rappel : 2% de survie
jDQVSDUODFKLPLRVHORQO·206 
-·DLpGLWpdepuis 2015 un e-­book téléchargeable gratuitement en SDJHG·DFFXHLO
sur mon site :

www.micheldogna.fr qui décrit en détail différentes méthodes ignorées ou


ER\FRWWpHV TXH M·HPSORLH FRXUDPPHQW 2Q \ SURSRVH PrPH -­ depuis la 4ième
édition -­ trois autotests simples de kinésiologie permettant à chacun de trouver
le ou les remèdes personnalisés les plus adéquats.

 
190  
42
UNE PANDÉMIE DE PROFITS PHARAONIQUES«
«HWUpJXODWLRQGpPRJUDSKLTXHHQYXH

-­ Actuellement, 260 millions de personnes dans le monde sont atteintes de la


PDODULD SDOXGLVPH  HW G·DSUqV O·KRUORJH PRQGLDOH  PLOOLRQV SDU DQ HQ
meurent. /HVMRXUQDX[Q·HQSDUOHQWSDV !

-­ Près de 300 millions de personnes sont atteintes de maladies respiratoires et


2,5 millions en meurent chaque année. /HVMRXUQDX[Q·HQSDUOHQWSDV

-­ 3UqV GH  PLOOLRQV G·HQIDQWV PHXUHQW FKDTXH DQQpH GH OD GLDUUKpH Les
MRXUQDX[Q·HQSDUOHQWSDV

Mais il y a 10 ans, quand la fameuse grippe aviaire est (mystérieusement)


DSSDUXHOHVMRXUQDX[PRQGLDX[QRXVRQWLQRQGpVG·LQIRUPDWLRQVjFHVXMHW 
/·pSLGpPLHODSOXVGDQJHUHXVHGHWRXWHV«8QH3$1'e0,( On ne nous
SDUODLWTXHGHODWHUULILDQWHPDODGLHGHVYRODWLOHV«
(WSRXUWDQWODJULSSHDYLDLUHQ·DFDXVpODPRUt que de quelque 250 personnes
en 10 ans, soit 25 morts par an. La grippe commune, banale, elle, tue bon an
PDO DQ VDQV pWDW G·kPH un demi-­million de personnes dans le monde. Un
demi-­million contre 25 morts !

Derrière ce remue-­ménage opportuniste, le très puissant labo pharmaceutique


mondial Roche avec son fameux Tamiflu, et qui a depuis réalisé des millions
de dollars de bénéfices en vendant des millions de doses aux pays asiatiques, y
compris en Angleterre, en dépit de la rare médiocrité de son efficacité.

Mais si nous nous tournons vers une autre réalité qui est celle de la population
PRQGLDOH LO HVW LQFRQWHVWDEOH TX·LO \ DLW XQ SUREOqPH TXL HVW FHOXL GH VD
croissance continue. En effet, DORUVTXH O·RQUHFHQVHDFWXHOOHPHQWHQJURVVXU
terre 139 millionVGHQDLVVDQFHVHQXQDQLOQ·\DTXHPLOOLRQVGHPRUWVHQ
dépit des maladies, des accidents, des guerres et autres calamités.
&HFLGRQQHXQH[FpGHQWDQQXHOGHSUqVGHPLOOLRQVG·LQGLYLGXVVRLWIRLV
ODSRSXODWLRQGHOD)UDQFH« Soucis ! Alors, on me dit que la planète pourrait
QRXUULUPLOOLDUGVG·kPHV

 
191  
2.PDLVjFRQGLWLRQGHFKDQJHUGHPRGHGHQRXUULWXUHF·HVW-­à-­GLUHG·DUUrWHU
de consommer de la viande, sinon, on voit déjà ce que cela donne sur le plan
écologique. Personnellement, je pense que 80% des gens ne sont pas prêts à
cela, et que la souffrance des animaux, ils ne veulent pas le savoir. Alors ?

$ORUVRHVWODVDJHVVHXOWLPHGHYDQWWDQWG·LPPDWXULWpGHQRQ-­respect de la
9LHHWG·LQDGDSWDWLRQ"-HSRVHGRXORXUHXVHPHQWODTXHVWLRQjFKDFXQG·HQWUH
vous, chers lecteurs : vaut-­il mieux aller inéluctablement vers la destruction
FRPSOqWH GH OD SODQqWH FH TXL DERXWLUD j O·H[WLQFWLRQ SURJUHVVLYH GH WRXWH YLH
WHUULHQQHRXIDLUHGqVPDLQWHQDQWGHVFRXSHVVRPEUHVSDUPLO·Hspèce qui est
GHYHQXHOHSDUDVLWHQXPpURXQO·KXPDLQFHODDILQGHUHGRQQHUXQHFKDQFHj
notre magnifique berceau de Vie ? Mais sur quelle initiative, naturelle, céleste,
ou humaine ?

$FWXHOOHPHQWO·LQLWLDWLYHSDUWGXQLYHDXKXPDLQPDLVOHVEXWVUpHOVQ·RQWULHQ
GH QREOHV FDU O·HVFODYDJH YLUWXHO DYHF GHV LQGLYLGXV-­robots télécommandés
DWWHQGOHVVXUYLYDQWVDXERXWGXFKHPLQ&·HVWDLQVLTX·DSUqVOHVRLVHDX[«FH
sont les porcs qui prennent la vedette (seconde tentative) ! Tous les médias du
monde (aux ordres) ne parlent plus que de la nouvelle psychose.

Comme par hasard, en association avec un mystérieux vaccin "Terminator" en


cours de fabrication, le Tamiflu est à nouveau présenté en tant que panacée
LQFRQWRXUQDEOH SDU O·HQWUHSULVH DPpULFDLQH Gilead Sciences, dont le principal
actionnaire est le sinistre Donald Rumsfeld, VHFUpWDLUHG·eWDWjOD'pIHQVHGH
George BushO·DUWLVDQGHODJXHUUHFRQWUHO·,UDT

Mais ne nous méprenons pas sur la réelle finalité de toutes ces opérations :
afin de détourner O·DWWHQWLRQ GX SHXSOH HW VD PpILDQFH UHODQFHU O·pFRQRPLH
XOWUDOLEpUDOHDYHFOHVPrPHVSHUVRQQHVTX·DYDQWLOIDXWXQHVLWXDWLRQGHFULVH
visant les gens dans leur intégrité physique. Une guerre mondiale ne pouvant
être raisonnablement déclarée, rien de teOTX·XQHERQQHSDQGpPLH

 
192  
43
TERRORISME GRIPPAL
les peureux iront en enfer

A PROPOS DU Dr HOROWITZ
Le Docteur Leonard Horowitz est un expert international en matière de santé
publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de terrorisme
bactériologique. Diplômé de Harvard, il est membre de l'équipe de chercheurs
de cette université. Il est connu pour plusieurs livres à succès, dont un best-­
seller : "Emerging Viruses : AIDS & Ebola -­ Nature, Accident or Intentional
?" (Les virus émergents, SIDA et Ebola -­ Naturels, accidentels ou intentionnels
?) Ce livre a permis l'ouverture d'une enquête officielle aux Etats-­Unis pour
vérifier les hypothèses avancées par le Dr Horowitz.

-­ Les travaux du Dr Horowitz concernant les risques associés aux vaccinations


ont poussé au moins trois pays du Tiers-­Monde à modifier leurs politiques en
matière de vaccination. Le Dr Horowitz a eu l'occasion de donner un
témoignage retentissant devant le Sénat des Etats-­Unis.

-­ Une semaine avant les attentats à l'anthrax, le Dr Horowitz avait officiellement


averti le FBI de cette menace précise, mais il n'avait pas été écouté.

-­ Trois mois avant les attaques du 11 septembre, le Dr Horowitz avait publié


son treizième livre, intitulé, d'une manière plutôt prophétique : "Death in the
Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare" (Mort dans l'air :
Mondialisation, Terrorisme et Guerre bactériologique).

-­ Dans ce livre, le Dr Horowitz s'en prend au "cartel pétrolier et


pharmaceutique", qu'il accuse de préparer un nouveau génocide programmé.

/(d216'·81(+,672,5(5(&855(17(
Le Dr Horowitz explique :

Pour résumer l'essentiel de mon livre, j'y expliquais comment une certaine
forme de "bioterrorisme" d'Etat était parfaitement compatible avec une guerre

 
193  
bactériologique officiellement menée par un Etat. Saddam Hussein avait lui-­
même fait subir à certaines des populations de l'Irak et des Etats voisins les
effets destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. Pour moi, il est
clair que la pneumonie atypique, tout comme la grippe aviaire actuelle, se sont
produites avec le consentement et l'appui de certains milieux des industries
médicale, pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant de manière
illégale. C'est ce que j'ai pu prouver maintes fois.

Ayant eu l'occasion de témoigner devant le Congrès Américain, j'ai pu me


rendre compte directement de quelle manière l'industrie pharmaceutique
influence et contrôle nos représentants économiques et politiques au niveau du
gouvernement. Les épidémies émergentes complètent les effets de la guerre
politique contre le terrorisme, et correspondent à notre culture actuelle
influencée par le bioterrorisme. Un tel programme secret répond à deux
objectifs essentiels :

-­ la recherche du profit,
-­ la réduction de la population mondiale.

MIEUX QUE LES GUERRES


La folie croissante du monde qui nous entoure correspond étrangement aux
recommandations des penseurs du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les
"désastres sans guerre". De quoi s'agit-­il exactement ?

Dès la fin des années 60, dans les principaux milieux industriels, on a
commencé à réfléchir à des "substituts économiques à la guerre classique".
Comparés aux effets des première et seconde guerres mondiales, les dégâts qui
pouvaient être provoqués par les désastres naturels, les super ouragans, les
épidémies, ou la guerre bactériologique et génétique, ont commencé à
apparaître comme politiquement et économiquement "rentables." Ces
"désastres sans guerre" étaient manifestement beaucoup plus "gérables"
politiquement, et plus "rentables" économiquement.

Pour ces raisons, et tout particulièrement pour leur rentabilité économique, les
dirigeants politiques Anglo-­américains du Nouvel Ordre Mondial ont considéré
ces "désastres sans guerre" comme des options de tout premier choix.

Par exemple, le protégé de Nelson Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que


Conseiller pour la Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé en fait la
politique extérieure des Etats-­Unis, tout en considérant la réduction de la

 
194  
population mondiale comme une "nécessité" pour les Etats-­Unis, la Grande-­
Bretagne et leurs alliés. C'est ce même Kissinger qui a été nommé par George
W. Bush pour présider le comité d'enquête sur les événements du 11
septembre. Kissinger est pourtant un criminel de guerre avéré, qui avait
ordonné à la CIA de développer des armes bactériologiques, selon les archives
du Congrès Américain de 1975. Parmi ces armes bactériologiques fabriquées
par l'homme, il existe des germes bien plus mortels que celui de la grippe
aviaire !

Par exemple aussi, avant 1968, Kissinger ordonna une enquête concernant les
agents bactériologiques synthétiques existants, qui pourraient être utilisés en
matière de guerre bactériologique et de contrôle de la population mondiale. Or
une équipe de chercheurs (O'Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d'autres),
venait juste de fabriquer en laboratoire de nouveaux virus mutants de la
grippe, capables de propager certains cancers. A l'occasion de ce programme,
certains virus grippaux furent combinés artificiellement avec d'autres virus de
la leucémie aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux germes capables
de répandre ce cancer à la vitesse d'une épidémie de grippe, par simple contact
direct avec des personnes infectées.

Ces mêmes chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du poulet, un
sarcome, pour les inoculer à des hommes et à des singes, afin de tester leur
capacité à produire un cancer chez ces derniers. Raucher, et d'autres, ont aussi
employé les radiations pour augmenter la puissance du virus du cancer du
poulet. Ces faits scientifiques incroyables ont été officiellement reconnus, mais
largement négligés par les principaux médias.

De même, l'Institut Londonien IOSS (Institute of Science in Society), a


officiellement évoqué la possibilité que le virus de la pneumonie atypique ait été
fabriqué en laboratoire. Il a posé la question suivante : "Est-­il possible que des
expériences de génie génétique aient pu créer le virus de la pneumonie
atypique, même par inadvertance ?"

Cette hypothèse n'a même pas été examinée par les experts virologues appelés
pour aider à résoudre la crise, experts qui furent par la suite encensés par les
sociétés pharmaceutiques soucieuses de produire les vaccins. Ceux qui
habitent des maisons de verre n'ont pas l'habitude de jeter des pierres !
J'ajoute que l'IOSS aurait pu aussi examiner l'hypothèse d'une création
intentionnelle du virus de la pneumonie atypique, dans leur étude censée être
scientifique et objective.

 
195  
Les "conflits sans guerre," tels que la "guerre contre le SIDA", la "guerre contre
la drogue", la "guerre contre le terrorisme", la "guerre contre le cancer", et aussi
la "guerre contre la grippe aviaire", exigent des programmes très sophistiqués
de propagande, ayant recours à des campagnes visant à stimuler la crainte au
sein de l'opinion publique, afin qu'elle accepte et soutienne les lois supprimant
les libertés publiques. Ces opérations psychologiques sont nécessaires pour
contrôler ces conflits sans guerre, et constituent la caractéristique essentielle
de la nouvelle "révolution militaire" en cours.

Cette "révolution militaire" cherche à instaurer une nouvelle forme d'esclavage


humain, par lequel les populations humaines ne se rendent même plus compte
qu'elles sont soumises à un esclavage !

Cette nouvelle "révolution militaire" fait appel, sans aucun doute, à des armes
bactériologiques et chimiques très puissantes. &HVDUPHVVRQWPLVHVHQ±XYUH
par les fabricants de vaccins et de médicaments, pour leur plus grand profit. Il
existe un exemple classique, celui des pesticides très toxiques et cancérigènes
largement utilisés dans des zones habitées, sous prétexte d'éradiquer les
moustiques responsables de la "fièvre du Nil..." Ces produits, selon les termes
militaires, ne sont pas directement mortels. Mais ils agissent à long terme, en
provoquant une mort lente par empoisonnement chronique, ce qui génère
encore plus de profits pour les sociétés pharmaceutiques chargées d'inventer
de nouveaux médicaments pour (soi-­disant) lutter contre ces maladies. Les
victimes de ces campagnes d'éradication des moustiques meurent lentement de
maladies chroniques débilitantes. Les centres de soins et les hôpitaux
construits pour traiter ces malades ne sont que des camps de concentration
virtuels.

Parmi toutes ces maladies nouvelles provoquées artificiellement figurent un


grand nombre de maladies touchant le système immunitaire, ainsi que de
nombreux cancers pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple fait,
à lui seul, suffit à suggérer l'existence d'un véritable génocide socio-­
économique programmé par certaines autorités politiques.

UNE GRIPPE TRES RENTABLE !


Face à l'épidémie de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à
l'Institut Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse économique, qui
ressemble à celle que je développe dans cet article. Cette thèse a été publiée
dans le Canadian National Post. On a demandé aux Canadiens de se mettre

 
196  
eux-­mêmes en quarantaine, de porter des masques et, dans certains cas, de
rester chez eux. Le Ministre de la santé de l'Ontario a décrété un "état
d'urgence sanitaire," alors que les médias parlaient de la "super pneumonie,
cette tueuse mystérieuse".

Refusant de se laisser gagner par cette hystérie, Fumento posait un certain


nombre de vraies questions... Cette épidémie était-­elle réellement aussi
mortelle et aussi contagieuse qu'on le disait ? Il concluait en ces termes : "Les
réponses à ces questions ne laissent aucune place à l'excitation, encore moins à
la panique." On pourrait en dire tout autant pour cette nouvelle épidémie de
grippe aviaire.

Grippe Mortelle ?
A l'heure actuelle, la grippe aviaire serait responsable d'environ 65 décès dans
toute l'Asie du Sud-­est, au cours des deux dernières années ! Encore connaît-­
on peu de faits précis sur les victimes, qui présentaient en général des troubles
de leur système immunitaire. En outre, tous ces décès se sont produits dans
des pays de l'Asie du Sud-­est dont les services sanitaires laissent beaucoup à
désirer.

A titre de comparaison, les formes ordinaires de grippe tuent plus de 40.000


Américains chaque année, en général des personnes âgées au système
immunitaire affaibli.

Grippe Contagieuse ?
Selon le magazine "USA Today" -­ du 9 octobre 2005, "les services de santé
européens travaillent à contenir le virus de la grippe aviaire qui, jusqu'à
présent, n'a touché personne dans cette région du monde." Cependant, plus de
140 millions de volatiles seraient déjà décédés ou auraient été supprimés. Les
pertes financières, pour le secteur de la volaille, représentent déjà plus de dix
milliards de dollars. Selon les termes de cette propagande, "le virus actuel,
baptisé H5N1, n'a pas encore muté au point de pouvoir se transmettre facilement
d'homme à homme." En fait, il est probable que ce virus ne se soit jamais
transmis d'homme à homme, si ce n'est au cours de manipulations de
laboratoire !

Grippe Difficile à soigner ?


Selon un rapport du "Business Week", "Le Sénat Américain a déjà voté un
budget de 3,9 milliards de dollars pour acheter des vaccins et des médicaments

 
197  
antiviraux.
Le gouvernement prépare aussi une nouvelle demande de crédits de 6 à 10
milliards de dollars."

Y a-­t-­il réellement une vie intelligente sur notre planète ? La réponse à cette
question permettrait d'expliquer pourquoi le public accepte aussi facilement de
tels mensonges ! Même "USA Today" affirme "qu'il n'existe pas actuellement de
vaccin pour l'homme." Comment se fait-­il donc que le Sénat Américain puisse
voter dans la précipitation la dépense d'autant de milliards pour acheter un
vacFLQFRQWUHODJULSSHDYLDLUHTXLQ·H[LVWHSDV"

Ce nouveau virus que le monde craint tant est :

1) soit en train d'être fabriqué dans des laboratoires financés par des
industriels puissamment motivés à laisser "accidentellement" se
répandre ce virus,

2) soit a déjà été fabriqué dans ces laboratoires, pour profiter de la


panique mondiale actuelle, en prévision des énormes profits qui seront
dégagés par la lutte contre ce virus.

DES VACCINS LANCES SANS ETUDES VALABLES


Il faut savoir que l'efficacité d'un vaccin exige des années, ou du moins des
mois de contrôles et de vérifications au sein de la population visée. Pendant
cette période, on doit soigneusement réunir toutes les informations sur les
effets secondaires ou les accidents thérapeutiques provoqués par ce vaccin,
afin de s'assurer qu'il ne tue pas, ou ne rende pas malades, plus de personnes
que celles qu'il prétend sauver ! Pouvez-­vous sérieusement croire que le
gouvernement -­ ou l'industrie pharmaceutique -­ pourra réunir toutes ces
garanties, au milieu de l'hystérie provoquée par cette "pandémie" ? La réaction
désastreuse des autorités face à l'ouragan Katrina sera avantageusement
comparée au désastre sanitaire et humanitaire certain, provoqué par un vaccin
mal testé et des mesures de santé publique inadaptées !

Je parle de désastre certain, parce que nous disposons de précédents. La liste


est longue de vaccins préparés à la hâte, qui ont entraîné, une fois mis sur le
marché, des conséquences humaines horribles. On peut citer le premier vaccin
contre la peste porcine, les vaccins contre la polio, le vaccin contre la variole, le
vaccin contre l'anthrax, le vaccin contre l'hépatite B et, plus récemment, le

 
198  
vaccin contre la maladie de Lyme, qui a handicapé près de 750.000 personnes
en quelques mois, avant d'être retiré du marché par les autorités !

La plupart des gens ignorent que tous les vaccins comportent toute une série
d'ingrédients qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et même
mortels. On peut citer, parmi ces ingrédients, des produits chimiques toxiques
comme le mercure, l'aluminium, le formaldéhyde et le formol (employés pour
conserver les cadavres), des produits génétiques étrangers à l'homme, des
protéines à haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou
d'animaux, et qui ont été scientifiquement associés au déclenchement de
certaines maladies du système immunitaire ou de certains cancers.

DES VACCINS INEFFICACES ET SEMEURS DE MALADIES

Nous disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer


que les vaccins sont en grande partie responsables de nombreuses maladies,
comme l'autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en
plaques, l'arthrite rhumatoïde, l'asthme, le rhume des foins, les infections
chroniques de l'oreille, le diabète de type 1, et bien d'autres maladies encore.
Ces maladies chroniques et débilitantes nécessitent des traitements à long
terme, qui eux-­mêmes entraînent de nombreux effets secondaires. En réalité, la
principale cause de mortalité en Amérique est représentée par les maladies
iatrogéniques, c'est-­à-­dire les maladies produites par le système médical, ou
contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins, comme bien d'autres
inventions de l'industrie pharmaceutique, handicapent et tuent littéralement
des millions de personnes, sans que ni le gouvernement ni l'industrie
n'interviennent pour arrêter ce fléau.

D'après tout ce que nous savons, ce sont les gouvernements qui sont en train
de fabriquer un vaccin contre la grippe aviaire, dont l'effet sera précisément de
répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de réduire la population
mondiale. Cette hypothèse vous semble-­t-­elle absurde ? Lisez donc la suite.

Business Week pense que l'accumulation de vaccins par les gouvernements ne


peut que profiter aux sociétés pharmaceutiques, comme Sanofi-­Pasteur,
Sanofi-­Aventis ou Chiron. On considère que le Tamiflu, un antivirus fabriqué
par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les Etats-­Unis possèdent
déjà 4,3 millions de doses de Tamiflu, et d'autres commandes dont en cours.
Voici toutefois ce que Business Week n'a pas révélé :

 
199  
L'efficacité et l'innocuité du Tamiflu n'ont pas été prouvées pour ce qui
concerne les populations souffrant de maladies chroniques, ce qui est le cas
d'une bonne partie de la population américaine. Il faut aussi noter que ce
médicament provoque de nombreux effets secondaires : nausées,
vomissements, diarrhées, bronchite, douleurs gastriques, étourdissements,
PDX[GHWrWHHWFHWF«

En 1999, les Laboratoires Roche (Hoffman-­LaRoche) ont été reconnus


coupables de malversations en ce qui concerne la fourniture de vitamines sur
le marché mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique et
pharmaceutique issu de l'I.G. Farben, l'un des piliers industriels de
l'Allemagne Nazie.

L'un des partenaires industriels de Sanofi-­Aventis est la Société Merck... Cette


entreprise avait reçu la part du lion, lors de la distribution des dépouilles de
l'économie nazie, à la fin de la deuxième guerre mondiale. Le chiffre d'affaires
de la Société Merck a fortement chuté quand elle a dû retirer du marché l'un
de ses médicaments de lutte contre l'arthrite, le Vioxx, aux effets dévastateurs.
Merck est aussi tristement célèbre pour avoir produit le premier vaccin contre
l'hépatite B, responsable du déclenchement de l'épidémie de SIDA, selon des
rapports scientifiques que j'ai publiés dans l'un de mes livres, qui est
actuellement un best-­seller.

Au cours des semaines et des mois qui ont suivi les attaques du 11 septembre
aux Etats-­Unis, j'ai réussi à démontrer que les courriers contenant de l'anthrax
provenaient d'entreprises qui produisent des armes bactériologiques, qui
avaient conclu des contrats avec la CIA, et qui avaient aussi des liens avec les
services secrets anglais, ainsi qu'avec ce même cartel pharmaceutique Anglo-­
américain déjà cité.

Ces courriers chargés d'anthrax avaient provoqué dans toute l'Amérique une
vive crainte du terrorisme bactériologique, qui a profité largement aux
fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques, les mêmes qui sont
aujourd'hui associés à tous ceux qui profitent de la grippe aviaire.

Confrontés à de telles craintes, la plupart des gens n'hésitent pas à renoncer à


leurs droits civiques et à leurs libertés individuelles. En Amérique, le vote de la
loi scandaleuse sur la Sécurité Nationale (Home Security Act), ainsi que d'une
loi similaire au Canada, sont des exemples classiques de cette dérive sociale, et
de cette manipulation à grande échelle aboutissant à une législation forcée.

 
200  
/(60(1621*(6'(/·,1FORMATION
Pourquoi les principaux médias continuent-­ils à prédire l'arrivée d'une
pandémie mondiale causée par un virus grippal humain, qui provoquera des
millions de morts, comme la "grippe espagnole" en 1918-­1919 ? Pourquoi ces
mêmes médias ne parlent-­ils pas des faits indubitables concernant les
individus, les organisations ou les laboratoires qui travaillent à produire ces
agents de destruction massive ? On a même tout fait pour "déterrer" le virus de
la grippe espagnole, soi-­disant pour l'étudier et, éventuellement, le répandre à
nouveau !

Pourquoi dit-­on que le virus de la grippe espagnole est apparu au Tibet en


1917, d'après les données historiques officielles ? On a raconté que les
journaux espagnols avaient été les seuls à publier des articles concernant cette
grande épidémie, en raison de leur neutralité au cours de la première guerre
mondiale. Toutefois, les relations entre l'Espagne et les Etats-­Unis, à l'époque,
n'étaient pas meilleures que les relations entre la Chine communiste et les
Etats-­Unis aujourd'hui. On avait décidé de baptiser cette épidémie "grippe
espagnole", suite à deux décennies de disputes entre l'Amérique et l'Espagne, à
SURSRV GH OD FRORQLVDWLRQ GHV &DUDwEHV G·+DZDLL HW GHV 3KLOLSSLQHV DSUqV OD
guerre hispano-­américaine, qui s'était terminée en 1902 aux Philippines. En
fait, la grippe espagnole avait commencé dans des camps militaires américains.
L'Histoire n'est-­elle pas en train de se répéter ?

LA GRANDE PANDEMIE ANNONCEE


Vous savez sans doute que l'OMS est l'une des organisations qui dépendent de
l'ONU, et qu'elle a été accusée de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert de
campagnes de vaccination contre l'hépatite B et la poliomyélite. Il existe un
certain nombre de faits précis qui étayent cette accusation.

John D. Rockefeller s'est joint à Prescott Bush (le grand-­père de George W.


Bush), ainsi qu'à la famille royale anglaise, pour financer les initiatives
"d'amélioration de la race" qui ont donné naissance aux programmes
"eugéniques" d'Adolf Hitler.

Au cours de cette même période, la famille Rockefeller a pratiquement


monopolisé l'industrie pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires
de lutte contre le cancer et de recherche génétique.

 
201  
Aujourd'hui, la famille Rockefeller, la Fondation Rockefeller, les Nations
Unies et l'OMS sont responsables de "programmes démographiques" visant à
réduire la population mondiale à un niveau jugé plus "acceptable". Comme l'a
écrit "Foreign Affairs", un périodique politique prestigieux publié par le CFR
(Council on Foreign Relations), dirigé par David Rockefeller, l'objectif serait de
réduire la population des Etats-­Unis de 50 %.

A savoir que les réseaux de surveillance des maladies infectieuses sont


contrôlés par les Rockefeller.

 
202  
44
LE BUSINESS DU SANG

Une fois de plus, je vais aborder un sujet tabou : les transfusions sanguines et
le don du sang.

Oui on sauve de nombreuses vies avec la transfusion, suite à des hémorragies


opératoires, des accidents graves, des chimios, des leucémies, mais cela
prouve-­t-­il que ce soit la seule façon de faire "-·DIILUPHTXHQRQHWTXHF·HVWGH
plus la formule la plus compliquée (groupes sanguins), la plus coûteuse
(conditionnement), la plus discutable au niveau de la collecte, la plus invasive
pour les receveurs, bref, la plus mauvaise en tous points. Le plus incroyable,
F·HVWTXHGHSXLVXQVLqFOHQRXVGLVSRVRQVGHELHQPLHX[PDLVFHODHVWGHYHQX
illégal en 1984 pour des raisons purement mercantiles. Seuls les témoins de
-pKRYDKUHIXVHQWODWUDQVIXVLRQHWF·HVWXQGHVUares points sur lesquels je les
rejoins ;; ils ont raison à 100%, bien que leur approche essentiellement biblique
Q·DLWULHQjYRLUDYHFPHVFRQVLGpUDWLRQVSOXVSUDJPDWLTXHV

POURQUOI HALAL et CACHERE ?


%LHQV€UMHQHVXLVSDVG·DFFRUGDYHFFHWWHEDUEDULH\D\DQWDVVLVWpHQOLYH
dans ma jeunesse, mais le raisonnement froid est que le but est de faire battre
OHF±XUMXVTXHODGHUQLqUHJRXWWHGHVDQJFHODDILQG·H[SXOVHU7287OHVDQJGH
la bête. Si les adeptes de ces deux religions pourtant ennemies sont à la même
HQVHLJQH VXU FH VXMHW F·HVW TXH OHV GHX[ pFULWXUHV VDFUpHV VH UHMRLJQHQW
LPSOLFLWHPHQW SRXU pYRTXHU TXH OH VDQJ YpKLFXOH OD FRQVFLHQFH GH O·DQLPDO HW
F·HVWYUDL«,OHQYDGHPrPHSRXUO·DQLPal humain !

UN PROBLEME INFORMATIQUE
Pour être plus technique, disons que le sang est le disque dur support de notre
SURJUDPPH GH SHQVpH ,O HVW ORJLTXH TXH O·LQMHFWLRQ G·XQ SURJUDPPH pWUDQJHU
dans un organisme soit détectée en tant que virus informatique, ceci générant
FHTX·RQDSSHOOHGHVFRQIOLWVHWGHVEXJVFRPPHGDQVXQRUGLQDWHXU&·HVWDX
foie que revient la tâche de nettoyer le programme immigrant par un formatage

 
203  
complet du sang, et il va sans dire que ce gros travail entraîne
systématiquement une fatigue, donc un retard dans la convalescence.

$LQVL EHDXFRXS RQW SX UHPDUTXHU TX·j RSpUDWLRQ pJDOH OHV SDWLHQWV TXL
UHIXVHQWODWUDQVIXVLRQGDQVODPHVXUHRHOOHQ·HVWSDVDEVROXPHQWREOLJpHVH
remettent bien plus vite que les transfusés.

Mais il y a un autre problème qui est au niveau de la collecte. Il ne faut pas


croire que tout le sang vient de généreux donneurs lors du passage des
camions spécialisés dans les villes et villages. On ne parle guère des
prélèvements dans les prisons parmi les prisonniers de droit commun, et pire,
des populations de pays pauvres qui vendent leur sang pour pouvoir nourrir
OHXUIDPLOOHSHQGDQWTXHOTXHWHPSV« Imaginons ces "merveilleux" programmes
de guérison et de Paix intérieure qui sont introduits et mélangés ensuite dans
OHVDQJGHVSDWLHQWV«3RXUDLGHUOHWUDYDLOGXIRLHYRLFLDQVTXHMHSUpFRQLVH
deux élixirs de cristaux : celui de QUARTZ CLAIR et celui de BLENDE (diffusés
par Source Claire 01 64 58 64 82) -­ 10 gouttes sous la langue de chaque par
jouUO·XQDXOHYHUO·DXWUHDXFRXFKHU

LE SERUM DE QUINTON
La solution de remplacement du sang depuis un siècle
Citation :
/·RUJDQLVPHHVWO·DTXDULXPYLYDQWRULJLQHOGDQVOHTXHOOHVFHOOXOHVRQWPDLQWHQX
les conditions de vie de leur origine (Pr Aubert).

/·(;3(5,(1&(813(8)2//(68581&+,(11200(62',80
(extrait de rapport de René Quinton)

Chien de 10 kg, saigné à blanc VDQV SUpFDXWLRQ G·DVHSVLH GH  J SDU
O·DUWqUH IpPRUDOH HQ  PLQXWHV VRLW  GX SRLGV GH O·DQLPDO /H UpIOH[H
cornéen est aboli. 'HYDQW O·LPSRVVLELOLWp G·H[SULPHU SOXV GH VDQJ O·LQMHFWLRQ
G·HDXGHPHUFRPPHQFHHWV·HIIHFWXHHQPLQXWHVPOjƒVRQWDLQVL
transfusés.
-H UpVXPH OD VXLWH « $SUqV XQ SDVVDJH j YLGH GUDPDWLTXH SDU PDQTXH
G·R[\JpQDWLRQ FDUHQFH JUDYH GH JOREXOHV rouges) et manque de défenses
(suppuration et fièvre à 40° par carence de globules blancs), 6RGLXP V·HVW
rétabli complètement au bout de 8 jours et a survécu 5 ans en pleine santé.

 
204  
RAPPEL DU VIDAL 1975

,O HVW LQWpUHVVDQW GH FRQVWDWHU O·DQDORJLH GX VpUXP GH Quinton confectionné à
O·pSRTXH SDU René Quinton DYHF O·HDX GH PHU WUDLWpH SDU microfiltration
stérilisante. Aussi, doit-­on insister sur la QpFHVVLWp DEVROXH G·REWHQLU FHWWH
stérilisation sans chauffage, FDU LO Q·HVW TXHVWLRQ G·pOLPLQHU VpOHFWLYHPHQW TXH
OHV pOpPHQWV S\URJqQHV HQ SUpVHUYDQW O·pTXLOLEUH PROpFXODLUH HW OH FDUDFWqUH
YLYDQW GH O·HDX GH PHU VDQV OHTXHO DXFXQH DFWLRQ WKpUDSHXWLTXH Q·HVW
envisageable.

En 1907V·RXYULWj3DULVOHSUHPLHUGLVSHQVDLUHPDULQUXHGHO·$UULYpHSUqVGH
la gare Montparnasse. Il connut immédiatement une grande affluence. Du
FRXS XQ VHFRQG GLVSHQVDLUH RXYULW VHV SRUWHV UXH G·2XHVVDQW 500 malades
enfants et adultes furent soignés chaque jour dans ces deux dispensaires.
'·DXWUHV GLVSHQVDLUHV PDULQV IOHXULUHQW DORUV à Toulouse, Lyon, Nancy,
Dunkerque, Rennes, Brest, Saint-­Denis, Creil/·HQJRXHPHQWpWDLWH[WUrPH
0DLV OD 3UHPLqUH *XHUUH PRQGLDOH DUULYD HW O·RQ RXEOLD WRXV FHV VXFFqV
merveilleux remportés par la méthode Quinton. Les dispensaires furent fermés
les uns après les autres. On en ignore encore les raisons.

/DPpGHFLQHIUDQoDLVHDXQHSURGLJLHXVHFDSDFLWpG·RXEOLYLV-­à-­vis de ses plus


JUDQGV SUpFXUVHXUV FHX[ TXL RQW ODLVVp j O·KXPDQLWp GHV WKpUDSHXWLTXHV
simples fondées sur des découvertes révolutionnaires. Qui se souvient
DXMRXUG·KXLGHRené Quinton, mort le 13 juillet 1926 avec tous les honneurs ?
Ses travaux, qui ne méritaient pas un tel oubli, devraient reprendre le dessus
GHO·DFWXDOLWpIDFHDX[SUREOqPHVGHFRQWDPLQDWLRQGXVDQJWUDQVIXVp

ARCHIVES

9RLFL XQ H[WUDLW G·DUWLFOH pFULW SDU OH Dr Albert Poret, paru dans Vie et
Action, la revue du Dr Passebecq :
 -·HVWLPH TX·DXMRXUG·KXL R O·RQ IDLW GHV DEXV GDQJHUHX[ GH WUDQVIXVLRQV
sanguines, particulièrement dans les services chirurgicaux, il y aurait le plus
grand intérêt à les remplacer par des injections de Plasma de Quinton. On
éviterait ainsi les méfaits et les drames si fréquents qui suivent les transfusions
GH VDQJ (W MH Q·HQYLVDJH SDV VHXOHPHQW OHV DFFLGHQWV EUXWDX[ PDLV DXVVL WRXV
OHV GpVRUGUHV TX·HQWUDvQHQW OHV UHMHWV GHV FHOOXOHV pWUDQJères, les intoxications
par impuretés des humeurs des donneurs, et aussi les perturbations du

 
205  
SV\FKLVPHHWGXFDUDFWqUHGpWHUPLQpHVSDUO·LQWURGXFWLRQG·pOpPHQWVKptérogènes
dans un milieu vital.
0XOWLSOLFDWLRQ DXVVL GHV FDV G·HPEROLHV SRVWRSpUDWRLUHV 0DLV O·LGpH HVW WURS
VLPSOH HW WURS pFRQRPLTXH HW DXVVL F·HVW XQH GpFRXYHUWH TXL D OH WRUW G·rWUH
française. Nos maîtres attendront probablement, SRXU O·DGRSWHU TX·HOOH
UHYLHQQHG·$PpULTXH".

A noter que les témoins de Jéhovah sont autorisés à recevoir des


transfusions de sérum de Quinton (Quinton isotonique) aux Etats
8QLV« PDLV SDV HQ )UDQFH R O·RQ FRQWLQXH j FRQVLGpUHU -­ en dépit
GHV DQQpHV G·H[SpULHQFH -­ TX·LO HVW GpUDLVRQQDEOH G·LQMHFWHU XQ
produit vivant, donc non stérile.

Il existe 2 sortes de Quinton dont les applications sont très


différentes :

Le Quinton hypertonique (eau de mer à concentration intégrale) -­


buvable,

Le Quinton isotonique (eau de mer diluée à 1/5) ² EXYDEOHHWLQMHFWDEOH«


0DLVO·LQMHFWLRQQ·HVWSOXVOpJDOHGHSXLV

QUINTON ISOTONIQUE

0pWKRGHG·REWHQWLRQ

/·LVRWRQLTXH HVW GH O·K\SHUWRQLTXH GLOXp  IRLV DYHF GH O·HDX GH VRXUFH 0RQW
Roucous).
&·HVW XQ SURGXLW QDWXUHO GRQW OD FRQFHQWUDWLRQ HVW UDPHQpH j O·LVRWRQLH
physiologique (sans dessodation électrolytique). La concentration à 9°/oo en
sels totaux (pas seulement en chlorure de sodium) est identique à celle du
plasma sanguin. Le Quinton isotonique est préparé sans aucune élévation de
WHPSpUDWXUH&·HVWFHODO·DQFLHQ"Plasma de Quinton".

NOTA : les globules blancs vivent deux fois plus longtemps dans le Quinton que
dans le sérum physiologique.

 
206  
Actions générales du Quinton isotonique
(Buvable, mais en injectable devenu illégal en 1984)

‡   'pVLQWR[LTXDQWJpQpUDOGHO·RUJDQLVPH

‡   Solvant des antibiotiques et drogues en tous genres,

‡   Régulateur général du terrain,

‡   Stabilise les paramètres organiques (homéostasie),

‡   Réhydratant cellulaire puissant,

‡   Équilibrant de la nutrition cellulaire.

‡   Restaure la formule sanguine.

Posologie : 2 à 6 ampoules par jour

Un témoignage significatif
 /H JUDQG VFDQGDOH GH OD WUDQVIXVLRQ VDQJXLQH F·HVW TX·HOOH VRLW GHYHQXH XQ
article de la société de consommation. Il y a moins de 10 % de transfusions
indispensables (pour le moment).
3XLVTXH O·RQ VDLW TXH OH VDQJ LQMHFWp Q·HVW SDV XWLOLVp WHO TXHO TXH OH IRLH VH
fatigue à le "débobiner" pour se servir de ses constituants, pourquoi ne pas le
remplacer par du Sérum de Quinton ou similaire ? Le maçon qui dispose de
briques neuves construit une maison plus vite qXH V·LO QH GLVSRVH TXH GH
matériaux de démolition...
Dans les années 1934-­F·pWDLWOHVODERUDWRLUHVG·DQDO\VHVTXLIDLVDLHQWOHV
transfusions, directement du donneur au malade. /RUVTXHQRXVQ·DYLRQVSDVGH
GRQQHXUGXJURXSHLQGLTXpDYHFO·DVVHQWLPHQW du médecin traitant, nous avons
maintes fois fait du Quinton qui contient tous les minéraux et autres inconnus
GRQW O·RUJDQLVPH D EHVRLQ SRXU UHIDLUH GX VDQJ (W OH PDODGH V·HQ WURXYDLW IRUW
bien.
&·pWDLW DOOHUjFRQWUH-­courant de ceux qui venaient de décRXYULUTXHOOH PLQHG·RU
était à la portée de leurs mains."
Madeleine Héry ² ancienne infirmière

 
207  
ATTENTION AUX IMITATIONS "METHODE QUINTON"
(low cost)

Diverses entreprises diffusent dans les magasins des produits "méthode


Quinton" PRLQV FKHUV TXH OH YUDL 4XLQWRQ G·(VSDJQH SUpWHQGDQW TXH F·HVW
exactement le même processus de fabrication. Mais elles refusent toute
HQTXrWH SURXYDQW TX·RQ \ SURFqGH ELHQXQH microfiltration à froid et non une
chauffée. Le vrai Quinton est un produit vivant dont on a épuré les pyrogènes
responsables des putréfactions, leur taille étant supérieure à 0,4 microns.
À noter que le procédé de stérilisation par la chauffe délivre un produit mort et
même toxique par le fait de la présence résiduelle des cadavres et de leurs
exsudats de tous les micro-­organismes (bons et mauvais). En outre on notera,
TX·DXFXQH PDUTXH FRQFXUUHQWH QH SDUOH GH SRVVLELOLWp G·LQMHFWLRQ GH OHXU
produit "méthRGH4XLQWRQHQFDVG·XUJHQFHPrPHHQVRXVFXWDQpSUpWH[WDQW
TXHGHWRXWHVPDQLqUHVF·HVWGHYHQXLOOpJDO

NOTA : Tous les détails sont dans "27 remèdes majeurs actuels » ou dans
"Prenez en main votre santé » tome 1

CURIOSITE UTILE : LE LAIT DE COCO


8QHpTXLSHPpGLFDOHLVROpHHWGpPXQLHHQ$IULTXHGDQVXQFRQWH[WHG·XUJHQFH
pour une hémorragie grave en pleine nature, a tenté de transfuser à la victime
OH ODLW G·XQH QRL[ GH FRFR ² /D SHUVRQQH D pWp VDXYpH HW Q·D HX DXFXQH
complication. Comme quoi, on se complique bien la vie alors que la nature
QRXVRIIUHJUDWXLWHPHQWWRXVOHVUHPqGHV«jFRQGLWLRQG·rWUHDXERQHQGURLW

 
208  
45
/·($8(1%287(,//(
ruineuse ineptie ² mensonge publicitaire

6,;%211(65$,621632851(3$6%2,5('(/·($8(1
BOUTEILLE

1/ /·HDXHQERXWHLOOHSHXWrWUHFRQWDPLQpHEDFWpULRORJLTXHPHQW/HVFRQWU{OHV
ORUVGHO·HPERXWHLOODJHQHJDUDQWLVVHQWSDVODTXDOLWpDSUqVSOXVLHXUVVHPDLQHV
G·HQWUHS{W«RXSOXVLHXUVKHXUHVVXUODWDEOHGHODFXLVLQH

2/ /·HDX HQ ERXWHLOOH SHXW rWUH FRQWDPinée chimiquement par le PET qui la
FRQWLHQW  DQWLPRLQH WpUpSKWDODWH GH SRO\pWK\OqQH pWXGH GH O·XQLYHUVLWp GH
Heidelberg datant de 2006).
(Q RXWUH FKDFXQ D SX UHPDUTXHU TXH ORUVTX·XQH ERXWHLOOH D VWDJQp j OD
FKDOHXUO·HDXDXQVDOHJR€WGHSODVWLTXH En fait ce sont des microparticules
de plastique qui se sont libérées et qui vont aller ensuite se stocker dans le foie
SRXUORQJWHPSV«/HVERXWHLOOHVHQYHUUHVRQWjODOLPLWHELHQPLHX[PDLVF·HVW
devenu un luxe.

3/ /·HDXHQERXWHLOOHHVW1.000 fois plus chère«IRLVWURSFKqUH

4/ /·HDXHQERXWHLOOHHVWORXUGHjWUDQVSRUWHUHWHQFRPEUHQRVDSSDUWHPHQWV

5/ /·HDXHQERXWHLOOHHVWSROOXDQWHGpYRUHXVHG·pQHUJLHHWGRQFQRQ
UHVSHFWXHXVHGHO·HQYLURQQHPHQW

6/ Contrairement à ce que dit la publicLWp O·HDX IRUWHPHQW PLQpUDOLVpH HVW


néfaste à la santé, en particulier celle des enfants. /·HDX HQ ERXWHLOOH FRQGXLW
Nestlé et autres grandes firmes à mettre la main sur les sources qui alimentent
OHVUpVHDX[G·HDXSRWDEOH pour la commercialiser.

/·HDXpotable ne doit pas être un produit commercial .

 
209  
0$,6/·($8'852%,1(7(67-­ELLE POTABLE ?
6·LOHVWXQGRPDLQHROD)UDQFHjWHQGDQFHjIDLUHODFRXUVHGDQVOHSHORWRQGH
WrWH F·HVW ELHQ OD FRQVRPPDWLRQ GH PpGLFDPHQWV $LQVL en 2012, quelques
175.500 tonnes de médicaments ont été vendues en France, dont environ
 WRQQHV GpGLpHV DX[ DQLPDX[ G·pOHYDJHV &H WRQQDJH GH FKLPLH
pharmaceutique qui fait de la France la première consommatrice de
PpGLFDPHQWV HQ (XURSH HVW pJDOHPHQW j O·RULJLQH G·XQH FRQWDPLnation de la
ressource en eau potable.
En effet, plus de la moitié des 48 boîtes de médicaments, que chaque Français
LQJXUJLWHHQPR\HQQHFKDTXHDQQpHQ·HVWSDVUHWHQXHSDUQRVRUJDQLVPHVHW
se retrouve au final dans les eaux de surface, via des stations G·pSXUDWLRQQRQ
conçues pour les traiter 'DQV FHV FRQGLWLRQV ULHQ G·pWRQQDQW TXH les rares
études existantes relèvent trois grandes familles de molécules dans les eaux de
surface :
-­ GHV±VWURSURJHVWDWLIV (pilules contraceptives),
-­ des tranquillisants (les Français : premiers consommateurs
G·DQWLGpSUHVVHXUVDXPRQGH 
-­ des anticancéreux.

Or, bien que connue et de plus en plus souvent dénoncée, cette contamination
Q·HVW TXDVLPHQW SDV pWXGLpH HW HQFRUH PRLQV FRPEDWWXH ,O \ D SRXUWDQW
urgence. Ces médicaments sont actifs à très faible dose et certains peuvent
V·DFFXPXOHU GDQV O·HQYLURQQHPHQW OD ELRGpJUDGDELOLWp PpGLFDPHQWHXVH RVFLOOH
entre 10 et 90%). Mais, outre leur potentielle nocivité, le cocktail de leur
dissémination dans le milieu naturel inquiète. Plusieurs études soulignent
DLQVLG·RUHVHWGpMjODIpPLQLVDWLRQG·HVSqFHVDQLPDOHV
4XDQW j O·KRPPH RIILFLHOOHPHQW O·DQQpH GHUQLqUH XQ UDSSRUW GpGLp GH O·$QVHV
$JHQFHQDWLRQDOHGHVpFXULWpVDQLWDLUHGHO·DOLPHQWDWLRQGHO·HQYLURQQHPHQWHW
du travail) a estimé le risque négligeable, tout en reconnaissant un manque de
GRQQpHVVXUO·H[SRVLWLRQHWO·pYDOXDWLRQGHODWR[LFLWpDGKRF VHXOHVPROpFXOHV
G·RULJLQHPpGLFDPHQWHXVHVRQWpWpDQDO\VpHVDORUVTXHO·RQHQWURXYHSOXVGH
 GDQV O·HDX   Néanmoins, dans les pays occidentaux, on relève
habituellement trois grands risques :
-­ féminisation des caractères sexuels,
-­ résistance aux antibiotiques,
-­ dérèglement du système endocrinien.

 
210  
Face à cette situation, plusieurs causes explLTXHQW O·DEVHQFH GH UpDFWLRQ
pWDWLTXH HW GH QRQ SULVH HQ FRPSWH GDQV OHV FULWqUHV GH SRWDELOLWp GH O·HDX
$XMRXUG·KXL OHV FULWqUHV VRQW REVROqWHV HW LO HQ YD GH PrPH GHV PpWKRGHV
G·DQDO\VHVHWGHO·LQWHUSUpWDWLRQTXLHQHVWpYHQWXHOOHPHQWIDLWH6LOHULVque est
considéré comme négligeable, car ORUVTX·RQ QH FKHUFKH SDV RQ QH SHXW SDV
trouver, la non prise en compte de la toxicité à de très faibles doses, le
FDUDFWqUHUHGRQGDQWGHO·H[SRVLWLRQHWO·HIIHWFRFNWDLOGHVPXOWLSOHVVXEVWDQFHV
présentes font TX·Ll est impossible de définir des critères de potabilité
exhaustifs, et encore moins de les évaluer. ,OHQYDG·DLOOHXUVGHPrPHSRXUOHV
pesticides.

$WLWUHG·DQHFGRWHGDQVXQYLOODJHGHO·(VVRQQHRM·DLYpFXSHQGDQWDQVXQ
EHDXPDWLQO·HDXGXURELQHWpWDLWGHYHQXHPDUURQ-·DLWpOpSKRQpjODPDLULH²
DLQVLTXHEHDXFRXSG·DXWUHV ² pour demander ce qui se passait ;; la secrétaire
P·DVVXUDTX·LOVDYDLHQWHQPDLQODGHUQLqUHDQDO\VHGXMRXUSDUOHVHUYLFHGHV
eaux et que tout était normal. Je me suis insXUJp HQ UDSSHODQW TXH O·HDX HVW
par définition incolore inodore et sans saveur. Prévenu, le maire adjoint se
UHQGLW LPPpGLDWHPHQW DX ODERUDWRLUH G·DQDO\VHV HW LO DSSULW DLQVL TXH OH
SURWRFROH GH O·DQDO\VH QH SRUWDLW TXH VXU XQ HQVHPEOH GH WR[LTXHV
statistiquement possibles ² bien sûr que faire le tour du tableau de Mendeleïev
chaque jour serait aussi compliqué que coûteux. Or, une enquête serrée sur les
LQGXVWULHV GX FRLQ SHUPLW GH GpFRXYULU UDSLGHPHQW TX·XQ DWHOLHU GH
galvanoplastie avait, la veille, purgp HQ GRXFH  XQH FXYH G·XQ VHO GH FKURPH
dans la rivière attenante ;; cette rivière desservait entre autres le bassin de
WUDLWHPHQW TXL DOLPHQWDLW OH YLOODJH /·DQDO\VH GX FKURPH Q·pWDLW SDV SUpYXH
SXLVTXHFHWWHSROOXWLRQQ·pWDLWMDPDLVDUULYpH«

Il est évLGHQW TX·LO VHUDLW GpUDLVRQQDEOH G·DOLPHQWHU OHV PDLVRQV DYHF OD PrPH
eau pour la lessive et les WC que celle pour boire, et ce pour un coût identique.
/H YROXPH G·HDX SRXU OD FRQVRPPDWLRQ HVW PLQLPH HQ UDSSRUW DYHF FHOXL j
XVDJHGRPHVWLTXH$FKHWHUGHO·HDXHQERXWHLOOHQ·HVWSDVXQHERQQHVROXWLRQ :
F·HVW FR€WHX[ SpQLEOH j WUDQVSRUWHU HW SHX V€U HQ VpFXULWp VDQLWDLUH HQ
particulier dans les bouteilles en plastique qui risquent de contenir des
molécules en suspension de plastique et de dioxine, si elles ont été exposées au
soleil ou chauffées durant leur transport.

NOTA  /H WUDLWHPHQW GH O·HDX j O·RVPRVH LQYHUVH TXL D pWp LQYHQWpH SRXU
UHF\FOHULQGpILQLPHQWO·HDX«PrPHO·XULQHjERUGGHVFDSVXOHVVSDWLDOHV YRXV
SUpPXQLW G·DGGLWLIV WR[LTXHV DX ORQJ FRurs prévus par des réglementations

 
211  
VWXSLGHV YRLUH PDOYHLOODQWHV WHOV TXH O·DOXPLQLXP SRXU pFODLUFLU O·HDX RX
éventuellement du fluor soit disant pour protéger les dents ² mais en fait pour
rendre les consommateurs facilement manipulables et partiellement soumis...

QUE FAIRE EN PRATIQUE ?

Peut-­rWUH Q·DYH]-­vous pas la chance comme les habitants des montagnes,


G·DYRLU GH OD ERQQH HDX QRQ WUDLWpH j YRWUH URELQHW QRQ FKDUJpH HQ FKORUH RX
DXWUHV SURGXLWV FKLPLTXHV -·HQ SURILWH LFL SRXU VRXOLJQHU OD stupidité de
FHUWDLQV YDFDQFLHUV TXL DFKqWHQW SDU KDELWXGH HQ PRQWDJQH GH O·HDX HQ
ERXWHLOOH DORUV TX·LOV GLVSRVHQW DX URELQHW HW DX[ IRQWDLQHV SXEOLTXHV G·XQH
merveilleuse eau gratuite en direct des glaciers.
Bref, il y a des solutions multiples et variéeVSRXUUHQGUHO·HDXVDLQHYLYDQWHHW
DJUpDEOHjERLUHPrPHSURYHQDQWG·XQ URELQHWGHYLOOHSHXV\PSDWKLTXH H[
hyperchlorée).
'·DERUG OH PR\HQ OH SOXV VLPSOH SRXU GpFKORUHU JUDWXLWHPHQW O·HDX HVW GH OD
ODLVVHUjO·DLUOLEUHSHQGDQWKHXUHV F·HVWFH que font les maraîchers qui ont
un bassin de transition SRXUQHSDVEU€OHUOHVSODQWHVjO·DUURVDJH

Pour ce qui est des nitrates, métaux lourds, antibiotiques, hormones et autres
cochonneries, il se vend des filtres type Brita dans le commerce et en boutique
diététique. Inconvénients : ils ne filtrent pas tout et reviennent chers en
recharges.

/D VHXOH VROXWLRQ YUDLPHQW V€UH SDVVH SDU O·DFKDW G·XQ appareil à osmose
inverse SRXUODFXLVLQH/·HDXTXLHQVRUWHVWFRPSOqWHPHQWGpSURJUDPPpHFH
qui est une bonne chose, puisque débarrassée de toutes mémoires toxiques,
PDLV HOOH HVW WURS SXUH GRQF WURS GpPLQpUDOLVpH  ,O VXIILW G·\ LQWURGXLUH XQ
TXDUW]RXXQHFXLOOqUHjFDIpG·argile à boire, ou encore de la stocker dans un
pot en biocéramique.

5HVWH OH SUREOqPH pQHUJpWLTXH GH O·HDX VDFKDQW TXH SDU H[HPSOH GH O·HDX
RVPRVpHHVWFRPSOqWHPHQWGpVLQIRUPpH­QRWHUG·DLOOHXUVTXHWRXWHHDXPrPH
LVVXH G·XQH VRXUFH SUHVWLJLHXVH HVW PRUWH DX ERXW GH  MRXUV G·DXWDQW SOXV
ORUVTX·HOOHHVWHQERXWHLOOHVSODVWLTXH
/HV DQFLHQV JDUGDLHQW VRXYHQW O·HDX GDQV GHV UpFLSLHQWV RX GHV DPSKRUHV HQ
WHUUH FXLWH HW F·pWDLW WUqV ELHQ &·HVW SRXU FHOD TX·XQH PpWKRGH VLPSOH SRXU
UHGRQQHUODYLHjO·HDX HVWG·\LQFRUSRUHUXQHFXLOOqUHjFDIpG·DUJLOHjERLUHTXH

 
212  
O·RQYDODLVVHUGpFDQWHUDSUqVO·DYRLUVHFRXpHXQHIRLV2QSHXWDXVVL\ODLVVHU
WRPEHUJUDLQVGHJURVVHOF·HVWWUqVpFRQRPLTXHHWHIILFDFH

Nota : il existe aussi une "cruche à vortex" vendue par ALTERNATURE,


03.89.68.13.47 DYHFXQHKpOLFHHQDUJHQWTXLGHSOXVGpVLQIHFWHO·HDX

*DPPHG·DSSDUHLOVjRVPRVHLQYHUVHj :
TERRE DE JADE www.terre-­de-­jade.com T 02 38 30 03 47

/(0$/'(/·($8

4XLQ·HVWSDVFRQYDLQFXTX·LOIDLOOHDEVROXPHQWERLUHDXPLQLPXPjOLWUHV
G·HDXSDUMRXU"(WFHODQHSHXWrWUHTXHYUDLSXLVTXHOHVPpGHFLQVOHGLVHQW(W
moi, je suis consterné lorsque je vois tous ces "boit-­sans-­soif" obéissants, la
bouteille plastique à la main.

'DQVOHVSD\VWUqVFKDXGV ƒ&jO·RPEUH OHVDXWRFKWRQHVHQSOHLQHVDQWpQH


boivent que quelques petits thés bien chauds dans la journée, et les vieux ne
PHXUHQWSDVGHGpVK\GUDWDWLRQDORUVWURXYH]O·HUUHXUFKH]QRXV«/HVDGHSWHV
de la macrobiotique (parmi lesquels on ne relève aucun gros), boivent très peu,
généralement du thé Mu (yang). Tous ceux qui ont suivi une formation en
QDWXURSDWKLH VDYHQW TXH O·RQ QHWWRLH OD O\PSKH GH VHV FROORwGHV SDU XQ MH€QH
sec (sans manger ni boire SHQGDQW  KHXUHV  HW TXH O·RQ UHVWDXUH GHV UHLQV
(néphrite) en les mettant au repos par la même méthode.

&RPPH SDU KDVDUG OHV EXYHXUV G·HDX VRQW WUqV VRXYHQW YLFWLPHV GH jambes
ORXUGHV GH SULVH GH SRLGV UpWHQWLRQ G·HDX  GH FHOOXOLWH GH SHVDQWHXU
abdominale, de sensation de gonflements, EUHIWRXWFHTX·RQFKHUFKHjpYLWHU
en suivant les dogmes médico-­SXEOLFLWDLUHV«
Nous avons deux machines à laver le sang qui sont les reins, et une machine à
ODYHU OD O\PSKH TXL HVW O·LQWHVWLQ /RUVTX·XQH PDFKLQH j laver est un peu
défaillante, aucun technicien ne vous conseillerait de faire plus de lessives !

Il y a un test simple, au-­delà de vos sensations de soif, pour savoir si vous


buvez assez en fonction de votre activité physique : votre urine doit être jaune
paille. Si elle est foncée et peu abondante, voire un peu brûlante, vous ne
EXYH] SDV DVVH]  VL HOOH HVW FRPPH GH O·HDX YRXV EXYH] WURS  HQILQ VL YRXV
buvez beaucoup et que vous urinez peu vous faites de la rétention, alors
arrêtez le massacre !

 
213  
Le Dr Georges Pourtalet, une autorité médicale, conseille lui aussi de ne
VXUWRXW SDV ERLUH EHDXFRXS G·HDX 2XI MH PH VHQV PRLQV VHXO  3RXU WRXW
savoir, consulter son excellent ouvrage : Le corps a ses raisons que la
médecine ignore (Éd. Dauphin).

 
214  
46
/·$17,%,25(6,67$1&((148(67,21

&·(67482,(;$&7(0(17/(6$17,%,27,48(6 ?

Au départ, antibiotique signifie "contre la vie" (pas rassurant).


&·HVW XQH IDPLOOH GH FKDPSLJQRQV PLFURVFRSLTXHV DX[ SURSULpWpV
EDFWpULRVWDWLTXHV FH TXL YHXW GLUH TX·LOV HQGRUPHQW PRPHQWDQpPHQW OHV
bactéries sans les tuer vraiment. Ceci est très rentable pour le cartel médico
SKDUPDFHXWLTXHTXLHVWDLQVLDVVXUpG·XQDERQQHPHQWDXORQJFRXUVGHOHXU
FOLHQWqOH TXL Q·HVW MDPDLV JXpUie définitivement. Second inconvénient pour les
malades, les antibiotiques estourbissent la flore intestinale ;; avant les
PpGHFLQVDVVRFLDLHQWO·RUGRQQDQFHjGHV\DRXUWVQDWXUHOVSRXUUp-­ensemencer
la flore. Troisième inconvénient, non seulement les antibiotiques ne sont pas
%$&7(5,2&,'(6 LOV Q·RQW DXFXQH DFWLRQ VXU OHV YLUXV GRQF OHV PDODGLHV
virales -­ TXL VRQ OpJLRQ (QILQ LO VXIILW GH MHWHU XQ ±LO VXU OHV PXOWLSOHV HIIHWV
indésirables possibles, être motivé à essayer de trouver autre chose.

A retenir qXHO·RQSHXWIDFLOHPHQWVHQHWWR\HUO·RUJDQLVPHHQTXHOTXHVMRXUVG·XQH
antibiothérapie avec du QUINTON ISOTONIQUE de Source Claire.

LA RANCON DES ABUS


$ FURLUH TXH O·LQWHOOLJHQFH GHV EDFWpULHV HVW VXSpULHXUH j FHOOH GX V\VWqPH
PpGLFDOFDUDSUqVV·rWUHIaite avoir une fois ou deux, elle prend "des mesures"
plus efficaces que celles de nos ministres. Elles se fabriquent un système
GLJHVWLIDGDSWpDX[FKDPSLJQRQVHQQHPLVHWILQLVVHQWSDUV·HQQRXUULU ;; en fait,
F·HVW SLUH TXH O·DQWLELR-­résistance, puisque cela devient une culture ou plutôt
un élevage !

La récente étude Burden BMR, conduite par O·,QVWLWXW QDWLRQDO GH YHLOOH
sanitaire (InVS), nous permet, pour la première fois, de mesurer les
FRQVpTXHQFHV GH O·DQWLELRUpVLVWDQFH. Nous savons désormais que près de
160.000 patients contractent, chaque année, une infection par un germe dit
multi-­résistant, et que près de 13.000 patients en meurent directement.

 
215  
Marisol Touraine, ministre de la santé a déclaré dans son intervention
concernant le rapport du Dr Jean Carlet sur la préservation des
antibiotiques (extrait) :
>«@ Après une relative stabilisation au cours des années 2000, la consommation
JOREDOHG·DQWLELRWLTXHVHVWjQRXYHDXHQKDXVVHGHSXLV En ville comme à
O·K{SLWDO OHV PROpFXOHV j ODUJH VSHFWUH sont trop largement prescrites et
IDYRULVHQWO·DSSDULWLRQGHUpVLVWDQFHV/DSUpYDOHQFHFURLVVDQWHHWSDVVHXOHPHQW
jO·K{SLWDOGHEDFWpULHVUpVLVWDQWHVjODTXDVL-­WRWDOLWpGHVFODVVHVG·DQWLELRWLTXHV
connues est inquiétante. /H ULVTXH F·HVW G·HQWUHU dans une ère post-­
DQWLELRWLTXHV« (Mais nous y sommes déjà madame Touraine !).

Texte intégral de la déclaration ministérielle : (23 septembre 2015)

http://www.social-­sante.gouv.fr/actualite-­
presse,42/discours,2333/intervention-­de-­marisol-­touraine,18065.html

'(60(685(6%,'21328512<(5/(32,6621«(76$89(5
LE MARCHE
1 ² /HV PHVXUHV TXH OD PLQLVWUH QRXV IDLW PLURLWHU VRQW G·XQ genre plus que
sibyllin. On admire le grand art à pouvoir écrire autant pour ne rien dire de
FRQFUHWVLFHQ·HVWGHVPHVXUHVGHFKLSRWDJH-­ au demeurant un peu infantiles.

2 ² &RPPHG·KDELWXGHQHMDPDLVDOOHUjODVRXUFHGXPDOHVWOD
UqJOH G·RU, surtout ORUVTXH FHOD PHWWUDLW HQ GDQJHU G·pQRUPHV LQWpUrWV
commerciaux. Or, la principale source du mal que nous dénonçons depuis des
DQQpHV F·HVW O·LQGXVWULH GH OD YLDQGH TXL HQJRXIIUH DX WRWDO SOXV GH 
WRQQHV SDU DQ G·DQWLELRWLTXHV 6HORQ O·,QVWLWXW GH 9Hille Sanitaire, 50% des
antibiotiques produits dans le monde sont destinés aux animaux pour les
VRLJQHU HW VRXV IRUPH G·DGGLWLIV DOLPHQWDLUHV SRXU DFFpOpUHU OHXU FURLVVDQFH
augmentant ainsi considérablement le rendement en viande et aussi essayer de
les JDUGHUYLYDQWVMXVTX·jO·DEDWWDJH«&HWWHSUDWLTXHFRQFHUQHODTXDVL-­totalité
des porcs, des veaux, des lapins, les deux tiers des poulets et un tiers des
bovins destinés à la filière de la viande.

Il est évident que les consommateurs de viande non Bio se prennent la ration
TXRWLGLHQQH G·DQWLELRWLTXHV TXL QRQ VHXOHPHQW OHV IRQW HQWUHU HQ
DQWLELRUpVLVWDQFHPDLVSDUWLFLSHjOHXUIDLUHSUHQGUHDXVVLGXSRLGV«FRPPH
les animaux !

 
216  
(QILQ WRXW OH PRQGH VDLW TX·LO Q·H[LVWH DXFXQ PR\HQ SRXU pUDGLTXHU -­ entre
autres -­ OHVDQWLELRWLTXHVGHO·HDXGXURELQHWHWFHX[TXLODFRQVRPPHQWVDQV
ODWUDLWHUjGRPLFLOHSDUXQDSSDUHLOjRVPRVHLQYHUVHV·HQUDMRXWHQWHQFRUHXQH
ration quotidienne supplémentaire.

3 ² Marisol Touraine a parlé de promouvoir des études pour


remplacer les antibiotiques à large spectre (si bien sûr les brevets
UDSSRUWHQW DXWDQW G·DUJHQW TX·DXSDUDYDQW«  'pVROp PDGDPH OD PLQLVWUH OHV
pWXGHV VRQW IDLWHV GHSXLV XQ VLqFOH SpULRGH SHQGDQW ODTXHOOH O·LQGXVWULH
pharmaceutique a mené une guerre sans relâche contre leurs promoteurs,
ainsi que les moyens naturels efficaces qui sont eux, sans inconvénients
collatéraux, et qui en sont réduits à exister discrètement à condition de ne
jamais évoquer officiellement à quoi ils servent !
La liste est longue. Je peux ici en rappeler au hasard quelques éléments les
plus connus qui ont largement fait leurs preuves, même et surtout quand les
antibiotiques ne marchent pas (ou plus) :

-­ O·DURPDWKpUDSLH SDVPRLQVG
XQHTXDUDQWDLQHG·KXLOHVHVVHQWLHOOHV TXLELHQ
ciblée, fonctionne parfaitement même contre les attaques virales, pour
lesquelles les antibiotiques ont toujours été reconnus impuissants,

-­ le chlorure de magnésium, dont les multiples études et les services


SURSK\ODFWLTXHVH[FHSWLRQQHOVRQWIDLWGHVFHQWDLQHVGHPLOOLHUVG·DGHSWHV
GHSXLV SOXV G·XQ VLqFOH 6RQ GpFRXYUHXU  Pierre Delbet (1861-­1957)
O·DYDLW GpMj ODUJHPHQW H[SpULPHQWp GXUDQW OD JXHUUH GH -­18,

-­ O·DUJHQW FROORwGDO plus agréable au goût, mais que la médecine


RIILFLHOOH IDLW IDXVVHPHQW SDVVHU SRXU GDQJHUHX[ DUJ\ULVPH TXL Q·HVW
même pas une maladie),

-­ le Citrobiotic, en formule interne ou externe (concentré) dont


O·HIILFDFLWpFRQQXHQ·HVWSOXVjUHPHWWUHHQTXHVWLRQ

-­ O·(FKLQDcéa -­ Teinture Mère, un des meilleurs super "boosters" phyto


GHVGpIHQVHVLPPXQLWDLUHVTXHO·RQGHYUDLWWRXMRXUVHPSRUWHUHQYR\DJH
dans les pays chauds humides, plutôt que de se conformer à des
vaccinations toxiques et souvent traumatisantes,

-­ la Vitamine C -­ et mieux encore la nouvelle Vit C liposomale, qui offre


des applications sanitaires tous azimuts de plus en plus admises malgré

 
217  
un barrage constant depuis Linus Pauling -­ son promoteur initial (deux
fois prix Nobel),

-­ le MMS 1, sauvagement combattu par Big pharma, bien que Jim


Humble ait permis par ce procédé de sauver des milliers de vies (nota :
un peu délicat à manipuler),

-­ les bactériophages, antécédents aux antibiotiques (1905), et bien que


plus efficaces, ont été enterrés et interdits, sauf eQ5XVVLH F·HVWOHULGHDX
de fer inversé !),

-­ etc ² etc...

4 ² 3UHQGUHOHVSUREOqPHVjO·HQYHUV est une caractéristique de base de


notre système médical interventionniste DXOLHXG·HVVD\HUG·DJLUG·HPEOpHVXU
les infections par des moyens externes chimiques (non reconnus par le vivant),
Q·HVW-­LO SDV SOXV LQWHOOLJHQW HW UHVSHFWXHX[ GH O·LQWpJULWp Ges organismes
G·DFWLYHU OHXUV GpIHQVHV SURSUHV FHOD SRXYDQW rWUH HIIHFWXp DXVVL ELHQ j WLWUH
préventif que curatif ? En plus de ce qui est plus haut, il y a par exemple :

-­ la Zéolite K ou le Panacéo à titre préventif et utilisée avec bonheur dans les


élevages Bio pour ne pas avoir à utiliser les antibiotiques.

Il est opportun de rappeler une fois de plus, que les antibiotiques ne sont pas
bactéricides FHQVpV WXHU OHV EDFWpULHV SDWKRJqQHV« HQQHPLHV  PDLV
seulement bactériostatiques (qui endorment pour un temps les bactéries
SDWKRJqQHV«PDLVYLWDOHVDXVVL !) ² cette particularité est très rentable pour les
ODERV IRXUQLVVHXUV DLQVL TXH OHV PpGHFLQV SXLVTXH O·RQ Q·REWLHQW MDPDLV OD
guérison définitive, abonnant ainsi les malades à des visites et une médication
récurrentes.

CONCLUSION
1RQ VHXOHPHQW Q·\ D SDV OLHX GH V·LQTXLpWHU GH O·DQWLELRUpVLVWDQFH HOOH V·DYqUH
être en quelque sorte une aubaine qui met le système pharmaco-­médical le dos
DXPXUSRXUO·REOLJHUjDFFHSWHUGHOLEpUHUFHTX·LODHQIHUPpMDORXsement dans
ses tiroirs : les vraies solutions qui entrent en concurrence avec la pérennité de
VRQ FRORVVDO EXVLQHVV GH O·DQWLELRWKpUDSLH 6L %LJ SKDUPD Q·REWHPSqUH SDV LO
VXIILWG·DOOHUYRLUDLOOHXUV ² F·HVWG·DLOOHXUVFHTXHWRXVOHVSDWLHQWVIXWpVIRnt
depuis longtemps.

 
218  
Il faut choisir entre : "remboursé mais pas satisfait"
ou "satisfait mais pas remboursé !"

 
219  
47
/·+,672,5('8&+,.81*81,$
les services médicaux en flagrant délit de
malveillance

Marie Billi était Conseillère Municipale à la ville de Nice. Elle a régulièrement


participé à des missions en Afrique, en particulier au Mali, où le palu fait des
ravages. Que faire pour ces gens pauvres et démunis, dont les crises répétitives
les mettaient dans un état de terrible faiblesse ? Adepte convaincue du
chlorure de magnésium ² dont je chantais déjà les louanges dans mon
premier ouvrage en 1979 ² HOOH HVVD\D FH WUDLWHPHQW WUqV pFRQRPLTXH G·DERUG
sur la mairesse du village de Soumpou (au Sahel). Celle-­ci fut complètement
rétablie en moins de 24h, après avoir absorbé 1 litre de chlorure de
magnésium, en solution 20g/ l. Depuis, Marie Billi dispose de près de 5.000
témoignages de guérison en provenance du Mali. Rappelons que Marie Billi
Q·HVWSDVPpGHFLQPDLVVLPSOHPHQWXQHSHUVRQQHEDWWDQWHDXJUDQGFRHXU

/RUV GH O·pSLGpPLH GH &KLNXQJRXQia, un ami réunionnais, responsable de


région, lui téléphona pour lui exposer son désarroi, étant lui-­même touché
ainsi que sa famille par le nouveau fléau. Marie Billi OXL FRQVHLOOD G·HVVD\HU OH
traitement standard de chlorure de magnésium. 24 heures après, il la rappela
SRXU OXL DQQRQFHU TXH WRXWHV VHV GRXOHXUV DYDLHQW GLVSDUX HW TX·LO VH VHQWDLW
parfaitement rétabli. Du coup, le traitement fut appliqué à sa famille, qui se
rétablit également dans les 12 à 48h. Un remède aussi simple, il fallait y
SHQVHU1·pFRXWDQWTXHVRQHQWKRXVLDVPH Marie Billi contacta des maires de
O·,OH GH OD 5pXQLRQ SRXU OHXU DQQRQFHU OH UHPqGH PLUDFOH PDLV FHX[-­ci se
rétractèrent prudemment derrière les autorités médicales.

Devant cette perte de temps regrettable, notre Don Quichotte de la Santé


HQYR\D  ID[ DX[ GLIIpUHQWHV DVVRFLDWLRQV GH VDQWp GH O·vOH GRQW EHDXFRXS
sont rattachées à "Vie et Action" de Passebecq. Cette fois, la réaction ne se fit
pas attendre, et ce fut la ruée dans les pharmacies pour acheter le fameux petit
SDTXHW GH  J RX OD ERvWH GH 1LJDUL FKORUXUH GH PDJQpVLXP QDWXUHO G·DOJXH
japonaise). Tous ceux qui prenaient le traitement se vidaient les intestins
(réaction normale et connue) et se trouvaient améliorés ou complètement
libérés de leurs douleurs et de leur prostration dans les 24 heures.

 
220  
Les pharmaciens se trouvèrent rapidement en rupture de stock. Une très
grosse commande de réapprovisionnement fut donc lancée vers la pharmacie
FHQWUDOHGHODPpWURSROHHWF·HVWOjTXHODVRQQHWWHG·DODUPHGHO·(VWDEOLVKPHQW
se déclencha. De quoi se mêlait cette "irresponsable" qui se déguisait en St
Bernard pour conseiller des traitements non reconnus par la science ! Le
centre anti-­poisons de Marseille fut mandaté pour envoyer une lettre
menaçante à Marie Billi, O·DFFXVDQWG·H[HUFLFHLOOpJDOGHODPpGHFLQH

/HVUpVXOWDWVFRQVWDWpV"3HUVRQQHQHV·HQRFFXSD$XFRQWUDLUHRQYRXOXWOHV
ignorer. Les médecins locaux drapés dans leur suffisance médicale,
SUREDEOHPHQWYH[pVGDQVOHXURUWKRGR[LHLQFRPSpWHQWHSOXW{WTXHG·DFFXHLOOLU
la solution miracle avec bonheur et humilité, ont préféré le jeu pervers du
dénigrement, mettant en garde leur clientèle contre la dangerosité du chlorure
de magnésium qui pouvait -­ soi-­disant -­ abîmer le foie et bloquer les reins
(produit en vente libre depuis un siècle !). Misérablement, médecins et
pharmaciens tentèrent de contourner la reconnaissance des guérisons en
invoquant le placebo.

A quoi donc ont rimé les appels au secours médiatisés concernant les
SRSXODWLRQVIUDSSpHVSDUO·pSLGpPLHDORUVTX·HQIDLWQRXVDYLRQVLFLODSUHXYH
TXHOHVVHUYLFHVVDQLWDLUHVDXSRXYRLUQ·DYDLHQWULHQjIDLUHGHOHXUVRXIIUDQFH"
Pensez un peu, uQ VDFKHW GH  J GH SRXGUH j  ½ TXL DOODLW IDLUH UDWHU XQ
FKLIIUHG·DIIDLUHVMXWHX[HQDQWL-­inflammatoires chimiques et annexes.

Alors que Marie Billi DXUDLW G€ rWUH HQFHQVpH GpFRUpH HQ WDQW TX·+pURwQH
Nationale, elle fut au contraire poursuivie et menacée. Peut-­être après tout, a-­t-­
elle mis à mal un plan secret de pandémie, pour être si mal accueillie ?
1H V·DJLUDLW-­il pas de moustiques volontairement infestés par des laboratoires
VSpFLDOLVpV GDQV OD JXHUUH EDFWpULRORJLTXH " &H QH VRQW TXH GHV TXHVWLRQV«
mais indubitablement pertinentes, vu les très étonnantes réactions des services
RIILFLHOVGHO·pWDW5HPDUTXH]OHVLOHQFHWRWDOTX·LO\DHXVXUWRXWHFHWWHDIIDLUH

 
221  
48
/·+,672,5('(/$),(95(38(53(5$/(
et l'arrogance médicale

/·XQ GHV FKDSLWUHV OHV SOXV DIIUHX[ OHV SOXV WUDJLTXHV GH O·KLVWRLUH GH OD
médecine et qui aurait pu être facilement évité, est celui de la fièvre puerpérale.
&·HVWOHQRPGRQQpjXQHLQIHFWLRQJUDYHTXLDDIIHFWpGHQRPEUHXVHVPDPDQV
peu de temps après l·DFFRXFKHPHQW'HVGRXOHXUVLQWHQVHVGHVDEFqVSHOYLHQV
des septicémies, de fortes fièvres et des morts atroces ont été provoqués par
une infection ascendante causée par les mains contaminées des médecins,
ainsi que par des instruments non stérilisés. Les bactéries les plus
fréquemment isolées étaient les streptocoques hémolytiques bêta, Landefeld
Groupe A.

Dans les pays comme les Etats-­8QLVO·(XURSHOD1RXYHOOH=pODQGHHWOD6XqGH


où le métier de sage-­femme avait été abandonné et repris par les nouveaux
DFFRXFKHXUV FRQQXVVRXVOHQRPG·REVWpWULFLHQV  -­ souvent des étudiants en
médecine -­ OD ILqYUH SXHUSpUDOH HQ D pWp OD FRQVpTXHQFH« /H PpWLHU
G·DFFRXFKHXUpWDLWXQHSUDWLTXHLQFHUWDLQHPDLVGHSOXVHQSOXVjODPRGHHW
très lucrative pour les médecins. Les chirurgiens se sont taillés une place
LPSRUWDQWH GDQV FH GRPDLQH SDUFH TX·HOOH pWDLW SHUoXH FRPPH XQH H[WHQVLRQ
naturelle de leurs activités professionnelles. De fait, les accoucheuses faisaient
appel à eux dans des cas difficiles quand il fallait exWUDLUHXQI±WXVPRUWSRXU
pouvoir sauver la vie de la mère.

3XLVDXFRXUVGXqPHVLqFOHOHVFKLUXUJLHQVRQWWURXYpOHVPR\HQVG·pWHQGUH
OHXUV SUDWLTXHV GDQV OH GRPDLQH GH O·DFFRXFKHPHQW KDELWXHO /H PpWLHU
G·DFFRXFKHXUDDLQVLSXrWUHSHUoXFRPPHXQH occasion de faire carrière et de
JDJQHUGHO·DUJHQW'HOHXUF{WpOHVDFFRXFKHXVHVELHQTXHUHFRQQXHVSDUOD
société pour leur position respectable comme aussi pour leur expérience, virent
peu à peu leur statut se restreindre.

&·HVW j FHWWH pSRTXH TXH O·KpFDWRPEH GH OD ILqYUH SXHUSpUDOH FRPPHQoD /H
document le plus élaboré et le plus complet sur le problème est de la plume
même du Dr Ignaz Semmelweis : "Etiologie, concept et prophylaxie de la fièvre
puerpérale". Après avoir observé que les mères qui étaient soignées par des

 
222  
médecins présentaient des taux de décès trois fois supérieurs à celles qui
étaient soignées par des sages-­femmes et que celles quL Q·pWDLHQW SDV
examinées du tout vivaient normalement, il commença à soupçonner un agent
contagieux. Les médecins de cette époque touchaient des cadavres infectés au
cours de dissections, puis se rendaient à la maternité où ils examinaient des
femmes et procédaient à des accouchements sans se laver les mains.

Pendant longtemps le Dr Oliver Wendell Holmes des Etats-­Unis et le Dr


Ignaz Semmelweis G·$XWULFKHpWDQWWpPRLQVGHEHDXFRXSGHVRXIIUDQFHVRQW
été les principaux défenseurs des femmes. Tous deux se sont efforcés de faire
comprendre aux médecins-­DFFRXFKHXUV TX·LOV GHYDLHQW VH ODYHU OHV PDLQV HW
V·LQVSLUHU GDYDQWDJH GH OD SUDWLTXH GHV DFFRXFKHXVHV traditionnelles. Tous
deux ont été ignorés et même professionnellement attaqués pour leurs
opinions. AprèV GHV DQQpHV G·DQJRLVVH SDUFH TX·LOV YR\DLHQW TXDQWLWpV GH
IHPPHVPRXULUVWXSLGHPHQWF·HVWSDUGpJR€WTX·LOVRQWTXLWWpODPpGHFLQH
Le Dr Holmes est devenu écrivain. En 1865, on a trompé et piégé le Dr
Semmelweis SRXUOHIDLUHUHQWUHUGDQVXQDVLOHG·DOLénés. Quand il a essayé de
V·pFKDSSHULODpWpJUDYHPHQWEDWWXSDUGHVJDUGHV8QHSODLHJDQJUHQHXVHjOD
PDLQ SUREDEOHPHQW FDXVpH SDU VRQ SDVVDJH j WDEDF O·D FRQGXLW j XQH PRUW
prématurée deux semaines plus tard.

La raison pour laquelle il est imSRUWDQW GH QH MDPDLV RXEOLHU O·KLVWRLUH GH OD
ILqYUH SXHUSpUDOH F·HVW TXH OHV GpFqV PDVVLIV GH FHV PqUHV RQW HX GH JUDYHV
impacts sur les époux, les nourrissons survivants, les enfants plus âgés, les
IDPLOOHV HW WRXWH OD VRFLpWp« DLQVL TXH VXU OHV VWDWLVWLTXHV GH O·HVSpUDQFH GH
YLH $ QRWHU TXH O·RQ Q·pYRTXH TXH WUqV UDUHPHQW OH VXMHW SHX JORULHX[ GH OD
"fièvre puerpérale". /·pSLGpPLHGHVGpFqVGHIHPPHVHWGHEpEpVHVWFRQVLJQpH
dans des documents à partir de 1746, où plus de 50% des mères ayant
accouché VRQWPRUWHVGDQVO·XQRXO·DXWUHK{SLWDOSDULVLHQ

Le Dr Semmelweis Q·D SDV FHVVp GH VXJJpUHU DX[ PpGHFLQV GH VRQ K{SLWDO
G·XWLOLVHU XQH VROXWLRQ FKORUpH SRXU VH ODYHU OHV PDLQV DYDQW GH WRXFKHU OHV
femmes. Or, dès que les médecins et les étudiants en médecine eurent accepté
de suivre les recommandations du Dr Semmelweis, le taux de mortalité qui
atteignait 32% tomba brusquement à zéro. En utilisant une technique
antiseptique similaire, le Dr Breisky GH 3UDJXH D UDSSRUWp TX·HQ  LO D
DFFRXFKpIHPPHVVDQVTX·LO\DLWOHPRLQGUHGpFqV

Le Dr Semmelweis a occupé plusieurs postes successifs, et partout où sa


PpWKRGHG·K\JLqQHpWDLWVXLYLHOHWDX[GHPRUWDOLWpGHVPqUHVFKXWDLW0DLVOD

 
223  
plupart de ses contemporains ont voulu ignorer ces scandaleux et ridicules
"non-­VHQV/HVPpGHFLQVVHVHQWDLHQWLQVXOWpVjO·LGpHTXHOHXUVPDLQVpWDLHQW
VDOHVHWQRPEUHX[VRQWFHX[TXLSRXVVpVSDUO·DUURJDQFHRQWYRXOXFRQWLQXHU
à ignorer ces faits, ces preXYHV TX·LOV pWDLHQW HX[-­mêmes la cause des
souffrances et des décès de mamans, et ce, jusque dans les années 1940 où les
antibiotiques sont arrivés sur le marché.
Après la mise au point des antibiotiques, les cas de fièvre puerpérale ont
considérablement chuté, mais les dossiers de Semmelweis et de Breisky ont
pu démontrer que les médecins auraient pu empêcher presque tous les décès
SDUILqYUHSXHUSpUDOHTXLV·pWDLHQWSURGXLWVGHSXLVOHVDQQpHVV·LOVDYDLHQW
accepté de se laver les mains, de désinfecteU OHXUV LQVWUXPHQWV HW G·DUUrWHU
G·DYRLUUHFRXUVLQXWLOHPHQWjGHVWHFKQLTXHVLQYDVLYHVG·DFFRXFKHPHQW

/H UpVXOWDW ILQDO GH OD ILqYUH SXHUSpUDOH VH FRPSWH HQ PLOOLRQV G·HQIDQWV
orphelins de mère, souvent destinés à mourir, ou à être mal-­nourris et
malades. Souvent ces enfants étaient obligés de travailler dans des mines, des
XVLQHVRXGHVDWHOLHUVFODQGHVWLQV/DILqYUHSXHUSpUDOHQ·DIDLWTX·DWWLVHUXQIHX
qui, sur le plan social, a fait des dégâts incommensurables. Si ces nourrissons
avaient pu avoir une mère pour les allaiter, les aimer, la maladie et la misère
des années 1700 à 1900 auraient été beaucoup moins importantes.

A noter que les partisans des vaccins ne mentionnent jamais cette tragédie
dans leur histoire des maladies infectieuses. En lieu et place, les vaccins sont
ORXDQJpVFRPPHUHSUpVHQWDQWXQpQRUPHFDGHDXSRXUO·KXPDQLWpDORUVTX·HQ
IDLWVLOHVPpGHFLQVV·pWDLHQWGRQQpODSHLQHGHVLPSOHPHQWVHODYHUOHVPDLQV
ils auraient pu empêcher des millions de décès.

+pODVDSUqVSOXVGHWURLVVLqFOHVULHQQ·DFKDQJpGDQVODVWXSLGHREVWLQDWLRQ
de la médecine à nier ses erreurs et son fanatisme orgueilleux à ne pas se
remettre en question, même suite à des centaines de milliers, voire des millions
de victimes. En outrH O·RQ QH SDUOH SOXV JXqUH GX CALOMEL (chlorure
mercureux TXLHQWDQWTXHSXUJDWLIHWGLXUpWLTXHDHQYR\pVXUSOXVG·XQVLqFOH
des milliers de malades "ad patres" par intoxication fatale au mercure, cela
sans que les médecins ne se posent de questions. Il y a pourtant eu, rapportée
par le Dr William H. Hammond, la célèbre "Rébellion du Calomel" pendant la
guerre de Sécession.

Depuis, la liste des médicaments de la mort lente est devenue longue, sans
TX·LOVRLWTXHVWLRQGHOHVUHPHWWUHHQFDXVH(QGpSLWdes scandales récurrents,

 
224  
la plupart du temps, ces poisons ne sont même pas supprimés du marché sous
SUpWH[WH TX·LOV VRQW PLV VRXV VXUYHLOODQFH HW EHDXFRXS GH PpGHFLQV
continuent à les prescrire en toute irresponsabilité.

Un exemple majeur OHV67$7,1(6GRQWOHVHIIHWVQ·RQWMDPDLVpWpGpPRQWUpV


HW TXL URQJHQW O·RUJDQLVPH j SHWLW IHX ;; elles sont toujours prescrites
(inutilement) contre le cholestérol à 7 millions de personnes actuellement en
France. 1RQULHQQ·DFKDQJp !
Et que dire des vaccins sans cesse dénoncés inefficaces et dangereux par des
sommités scientifiques (indépendantes !), qui ont abîmé et même tué tant de
PRQGHSUHXYHVHQPDLQGHSXLVSOXVG·XQVLqFOH ? Malheur à qui le dénonce !
(vous êtes alors une secte). 1RQULHQQ·DFKDQJp !
Ceci a amené un ami médecin à dire : "Le doctorat en médecine est un
permis de tuer légalement".

Source ([WUDLWGHO·RXYUDJH'LVVROYLQJ,OOXVLRQVGX'U6X]DQQH+XPSKULHV0'
néphrologue

Citations :
"Presque toutes les découvertes et presque chaque avancée ont été accueillies
SDUXQHWHOOHRSSRVLWLRQIXULHXVHGHODSDUWGHODIUDWHUQLWpPpGLFDOHTXHO·RQVH
demande vraiment comment la médecine ait jamais pu progresser."

"Des années, des décades et parfois des siècles se sont écoulés entre les
GpFRXYHUWHV HW OHXU DSSUREDWLRQ &HOD D FR€Wp OD YLH j GHV PLOOLRQV G·rWUHV
humains. Les pionniers de la médecine ont été poursuivis, emprisonnés, exécutés
ou rendus fous à cause de leur découverte. Leurs noms sont maintenant connus
de tous ;; ce sont des noms de héros." S.J. Haught

 
225  
49
MALADIES PSYCHIATRIQUES INVENTEES
pour vendre de la drogue légalisée

3HQGDQW TXH O·RQ GLDEROLVH OHV GURJXHV LOOpJDOHV HQ WDQW TXH nouveau
phénomène de société, les apôtres de la moralité politico-­orthodoxe font le
grand silence sur le marché honteux des drogues psychotropes légales du
créneau pharmaceutique. Cette langue de bois est évidemment en rapport
direct avec les fausses statLVWLTXHV GH O·DOFRROpPLH DX YRODQW OD SOXSDUW GHV
accidents actuels étant dus aux effets des tranquillisants émoussant
JUDYHPHQW OHV UpIOH[HV GHV FRQGXFWHXUV 2XL XQH IRLV GH SOXV O·K\SRFULVLH HVW
au rendez-­vous, rendant du même coup les victimes coupables.

LA BIBLE DES MALADIES PSYCHIATRIQUES

3RXU YHQGUH GHV GURJXHV LO IDOODLW WRXW G·DERUG LQYHQWHU XQ UpSHUWRLUH GH
diagnostics reconnus.
$LQVL HQ  O·$VVRFLDWLRQ $PpULFDLQH GH 3V\FKLDWULH SXEOLD VRQ SUHPLHU
manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (le DSM).
Cet ouvrage contenait une liste de 112 problèmes psychiques.
En 1968, la liste a été portée à 168 troubles.
En 1990, la 3e édition (DSM III) répertoriait 224 troubles.
En 1994, on atteignait 374 troubles.

Mais cette bible ne parvint pas à obtenir ses lettres de noblesse car, pour la
SOXSDUW GHV WURXEOHV pQXPpUpV O·pWLRORJLH FDXVH  UHVWH GDQV OH EURXLOODUG
$XVVL LO Q·\ D DXFXQH SUHXYH TXH Q·LPSRUWH OHTXHO GHV  WURXEOHV
SV\FKLDWULTXHV H[LVWH EHO HW ELHQ (Q IDLW LOV Q·H[istent que parce que la
SV\FKLDWULH GLW TX·LOV H[LVWHQW &·HVW FH TXL D IDLW GLUH DX SV\FKLDWUH $O 3DULGHV
TXH OH '60 Q·HVW HQ DXFXQ FDV XQ PDQXHO VFLHQWLILTXH PDLV ELHQ XQ FKHI-­
G·±XYUHGHPDQ±XYUHSROLWLTXH

'(6'52*8(648,6·$33(//(170e',&$0(176

 
226  
AloUV TX·XQ PpGLFDPHQW HVW FHQVp VRLJQHU XQH PDODGLH XQH GURJXH
SV\FKLDWULTXHQ·HVWVRXYHQWTX·XQHEpTXLOOHjODTXHOOHRQVHUDSDUODIRUFHGHV
choses, fidélisé à vie. La drogue devient si intimement liée à la vie de la
SHUVRQQHTX·HOOHQHSHXWFRQFHYRLUGH V·HQSDVVHU
Un article paru dans le Washington Post en juillet 2001 rapporte que,
G·RUGLQDLUH OD FUpDWLRQ GH QRXYHDX[ PpGLFDPHQWV UpSRQG j GHV WURXEOHV
H[LVWDQWV DORUV TX·HQ SV\FKLDWULH WRXW O·DUW FRQVLVWH j WURXYHU GH QRXYHDX[
troubles pour des médicaments existants".

/H GUDPH HVW TXH O·RQ SUHVFULW PDLQWHQDQW GHV GURJXHV SRXU Q·LPSRUWH TXRL 
SUREOqPH G·DSSUHQWLVVDJH GH FRPSRUWHPHQW GpOLQTXDQFH MXYpQLOH WDEDJLVPH
peur, angoisse, réinsertion, et comble... décontamination des toxicomanes. Le
leitmotiv est que cette médication aide à prendre la vie en main. Mais aucun de
ces médicaments ne guérit les problèmes, et encore moins les causes, créant
par ailleurs systématiquement des effets secondaires parfois bénins, parfois
horribles.

Alors que lHV PpGLFDPHQWV V·DGUHVVHQW SULQFLSDOHPHQW DX FRUSV OHV GURJXHV
SV\FKLDWULTXHVPRGLILHQWO·KXPHXUHWVRQWVXVFHSWLEOHVGHFKDQJHUGHPDQLqUH
LPSUpYLVLEOH QRQ VHXOHPHQW QRWUH IDoRQ GH SHQVHU GH VHQWLU HW G·DJLU PDLV
aussi de voir.

Liste des effets secondaires physiques et mentaux pouvant être


générés par les psychotropes :

Attaque,
Cauchemars,
Confusion,
Dysfonctionnements sexuels,
Faible concentration,
Grande agitation,
Hallucinations,
Hostilité,
Mouvements grimaçants,
Pensées suicidaires,
Psychose,
Réactions maniaques,
Sentiment de panique,
Spasmes,

 
227  
Troubles de la mémoire.

Ils sont aussi générateurs de dépendance et le sevrage peut être encore plus
difficile que celui des drogues illégales.

/·DUUrWGHFHVSV\FKRWURSHVSHXWSURYRTXHU
Agitation,
Agressivité,
Anxiété,
Dépression sévère,
Hallucinations,
Insomnie,
Réactions hautement émotives.

La preuve la plus éclatante de la similarité entre les drogues psychiatriques et


OHVGURJXHVLOOpJDOHVHVWXQHPrPHGpSHQGDQFHHQYHUVO·XQHHWO·DXWUH

NOTA : Les benzodiazépines, surnommées "la drogue des ménagères",


manifestent leur effet de dépendance au bout de 14 jours de consommation
régulière. Les médecins attestent que les patients pharmacodépendants se
comportent comme tout consommateur de drogues illégales. Le sevrage de tels
PpGLFDPHQWV HVW VRXYHQW SOXV GLIILFLOH HW SOXV ORQJ TXH SRXU O·KpURwQH
(déclaration du Dr Conway Hunter J.).

Facteurs pouvant rendre un enfant hyperactif :

-­ Alimentation fast-­food (action directe sur la violence).


-­ Réactions allergiques.
-­ Taux elevé de mercure (vaccins multiples).
-­ Taux elevé de pesticides (aliment non biologiques).
-­ Taux elevé de plomb dans le sang.
-­ Trop de sucre.

$ORUV TXH OHV PpGLFDPHQWV V·DGUHVVHQW SULQFLSDOHPHQW DX FRUSV OHV GURJXHV
psychiatriques PRGLILHQWO·KXPHXUHWVRQWVXVFHSWLEOHVGHFKDQJHUGHPDQLqUH
LPSUpYLVLEOH QRQ VHXOHPHQW QRWUH IDoRQ GH SHQVHU GH VHQWLU HW G·DJLU PDLV
aussi de voir.
Mais il y a aussi les enfants indigo, nouvelle race de petits mutants. Beaucoup
de ces petits génies ont été littéralement massacrés par camisole chimique.

 
228  
Voir les ouvrages :
‡Indigo... ces êtres différents, Sélène et Cyrille Odon ² Éd. I.E.R.O.
‡Indigo... terre nouvelle, Sélène et Cyrille Odon ² Éd. I.E.R.O.
‡/·HQIDQW,QGLJR, Arthur Colin ² Éd. du Rocher.
‡/·±LOGXPRQGHHWO·HQIDQW,QGLJR, Arthur Colin ² Éd. du Rocher.

DES CHIFFRES ALARMANTS

‡   Entre 1990 et 1996, les benzodiazépines ont provoqué 1.810 décès en


$QJOHWHUUH FKLIIUH VXSpULHXU j FHOXL RFFDVLRQQp SDU O·KpURwQH OD FRFDwQH
et la méthadone réunies, lesquelles ont causé la mort de 1.623
personnes.
‡   En 1999, SOXV GH  PLOOLRQV G·RUGRQQDQFHV SRXU GHV WUDQTXLOOLVDQWV
mineurs ont été rédigées en Angleterre. À noter que 1,6 million de
patients qui ont suivi un traitement de 4 semaines sont devenus
dépendants.
‡   En Suisse, entre 1985 et 1998 OH FKLIIUH G·DIIDLUHV GH OD YHQWH
G·DQWLGpSUHVVHXUVV·HVWPXOWLSOLpSDU
‡   Par ailleurs, entre 1995 et 1998 OD YHQWH G·DQWLGpSUHVVHXUV
tranquillisants et neuroleptiques rassemblés a augmenté de 40%.
‡   Entre 1992 et 1998, les ordonnances de stimulants ont triplé en
Colombie Britannique (Canada). Plus de 21.000 jeunes entre 6 et 15 ans
ont été mis sous stimulants psychiatriques en 1999.
‡   Entre 1997 et 2001, les ordonnances de drogues employées pour traiter
le soi-­GLVDQW WURXEOH G·K\SHUDFWLYLWp DYHF GpILFLW GH O·DWWHQWLRQ OH
THADA) ont connu une croissance de 37% aux États-­Unis. Depuis 1994,
la consommation allemande de stimulants pour le THADA été multipliée
par 10.
‡   En 2000, elle était le double de celle de 1999. En Amérique latine,
pendant ce même temps, les ventes de neuroleptiques ont connu un
accroissement de 20%.
‡   Entre 1990 et 1998, les importations de stimulants pour le THADA ont
triplé au Mexique, ce qui donne 159 millions de doses par an.
‡   Depuis, LOHVWGHSOXVHQSOXVGLIILFLOHG·DFFpGHUDX[FKLIIUHVTXLHQRXWUH
VRQWFHQVpVrWUHHQKDXVVHFRQVWDQWH«

'(6*e1e5$7,216'·(1)$176'52*8e63$5/$0e'(&,1(

 
229  
'H QRV MRXUV UDUHV VRQW OHV SDUHQWV HW OHV HQVHLJQDQWV TXL Q·RQW SDV pWp
confrontés à la mode des psychotropes pour enfants. Des millions de parents
dans le monde dont les enfants prennent des drogues, ont fait confiance à des
FRQVHLOOHUV /D FLEOH SULQFLSDOH GH FH PDUFKp  OH 7+$'$ 7URXEOH G·+\SHU
$FWLYLWpDYHF'pILFLWGHO·$WWHQWLRQ 
On DIILUPHDX[SDUHQWVTX·LOV·DJLWG·XQGpVpTXLOLEUHFKLPLTXHELHQFRQQXGDQV
OHFHUYHDX  TXLQpFHVVLWHXQUHPqGHFRQVWDQW$LQVLGHVPLOOLRQVG·HQIDQWV
sont forcés de prendre une drogue plus puissante que la cocaïne pour une
maladie au diagnostic frDXGXOHX[GRQWO·H[LVWHQFHQ·DMDPDLVpWpSURXYpH (voir
O·pWXGH SXEOLpH en 2001 par le -RXUQDO GH O·$VVRFLDWLRQ $PpULFDLQH GH
Psychiatrie).

Selon le Physician Desk Reference Guide (équivalent américain du Vidal


français), les effets possibles du principal médicament pour "traiter" le THADA
sont :

‡$XJPHQWDWLRQGHODWHQVLRQDUWpULHOOH
‡$XJPHQWDWLRQGXU\WKPHFDUGLDTXH
‡ )DFWHXU FRQWULEXDQW j SURYRTXHU SOXV WDUG XQH GpSHQGDQFH j OD
cocaïne.
‡ 5LVTXH GH VXLFLGH HQ FDV GH VHYUDJH GH PrPH TX·DYHF OHV
amphétamines.

ATTENTION PARENTS :
VOICI LES SYMPTÔMES INCRIMINÉS DANS LE THADA

Selon le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), le


THADA inclut les symptômes suivants :

‡)DLWGHVIDXWHVG·pWRXUGHULHGDQVVHVGHYRLUVVFRODLUHVRX G·DXWUHV
activités.
‡1HSDUYLHQWSDVjSUrWHUDWWHQWLRQDX[GpWDLOV
‡7UDYDLOVRXYHQWEURXLOORQ
‡'RQQHO·LPSUHVVLRQG·DYRLUO·HVSULWDLOOHXUVHWGHQHSDVpFRXWHU
‡0DQTXHGHFRQFHQWUDWLRQGDQVOHVMHX[
‡1HSDUYLHQWSDVjPHQHUjELHQVHVobligations scolaires ou
domestiques.

 
230  
Ceci associé à certains troubles comportementaux :
‡5HPXHVRXYHQWOHVPDLQVHWOHVSLHGV
‡6HOqYHVRXYHQWGDQVGHVVLWXDWLRQVRLOHVWVXSSRVpUHVWHUDVVLV
‡&RXUWHWJULPSHSDUWRXWGDQVGHVVLWXDWLRQVLQDSSURSULées.
‡(VWVRXYHQWVXUODEUqFKH
‡$JLWFRPPHV·LOpWDLWPRQWpVXUUHVVRUWV
‡3DUOHVDQVFHVVH

Selon le Dr Sydney Walker, psychiatre et neurologue, auteur du livre The


Hyperactivity Hoax /·LPSRVWXUH GH O·K\SHUDFWLYLWp   /RUVTX·XQ HQIDQW
consulte un PpGHFLQTXLV·HQUHPHWDX'60LOHVWSUHVTXHV€UGHUHVVRUWLUDYHF
une étiquette SV\FKLDWULTXHHWXQHRUGRQQDQFHGHFLUFRQVWDQFHPrPHV·LOYDWRXW
à fait bien. Cette politique de coller, bon gré mal gré, une étiquette de malade
mental sur tout le monde UHSUpVHQWH XQ VpULHX[ GDQJHU SRXU O·HQIDQW VDLQ En
effet, presque tous les gamins présentent des symptômes suffisants pour
recevoir une étiquette de DSM et un médicament psychiatrique."

Le Dr Fred Banghman JrSpGLDWUHHWQHXURORJXHGLWTX·LOV·DJLWG·XQHDEMHFWH


trahison de la part des parents et des enseignants que de qualifier de "maladie"
XQVLPSOHFRPSRUWHPHQWG·HQIDQW&HVHQIDQWVFURLHQWDORUVTXHTXHOTXHFKRVH
QHYDSDVGDQVOHXUFHUYHDXHWTX·LOVVRQWLQFDSDEOHVGHVHFRQWU{OHUVDQVXQH
pilule.

CONSTAT SCOLAIRE DANS LE MONDE

En Angleterre, en Australie, au Canada, aux États-­Unis et maintenant au


0H[LTXH GH SOXV HQ SOXV G·pFROHV IRQW SHQVHU j GHV FOLQLTXHV SV\FKLDWULTXHV
Des enfants attendent en file leur stimulant quotidien. À quand la même chose
en France ?
Le congrès sur le THADA, des instituts nationaux américains de la santé, fait
pourtant part du constat que les enfants soumis aux prescriptions de
psychotropes continuent à présenter des problèmes de comportement. Mais le
plus grave, F·HVW TXH GH UpFHQWHV pWXGHV PRQWUHQW TXH  GHV HQIDQWV TXL
consomment des stimulants psychiatriques pour le THADA sont susceptibles
GH FRPPHWWUH XQ FULPH HW SRXU  G·HQWUH HX[ FH VHUD SOXW{W GHX[ TX·XQ
seul !

 
231  
6HORQ O·DGPLQLVWUDWLRQ DQWL-­drogue améULFDLQH OD FRQVRPPDWLRQ VDXYDJH G·XQ
médicament classique conseillé pour le THADA est devenue un problème
majeur. On augmente ses effets en le réduisant en poudre, puis en le sniffant
RXHQVHO·LQMHFWDQW,OVHYHQGPDLQWHQDQWDXPDUFKpQRLUHQWUHHW0 dollars
la pilule sous les noms de "Vitamine R" ou "R-­ball", ou "Cocaïne du pauvre".

Presque tous les criminels célèbres du XXe siècle sont passés entre les mains
de psychiatres avant de commettre leur meurtre. Nous épargnerons ici aux
lecteurs une longue liste de carnages érigés en exemple, où différentes drogues
psychiatriques ont été reconnues déterminantes par les tribunaux.

NOTA : 'DQVO·86$LU)RUFHOHVFDQGLGDWVSLORWHVTXLRQWpWpWUDLWpVSRXUOH
THADA dans leur jeunesse ne sont pas acceptés.

 
232  
50
DEPRESSION : LE PIEGE MORTEL

Au départ, il est intéressant de constater que OD GpSUHVVLRQ Q·H[LVWH SDV dans
OHV SD\V R UqJQHQW OD JXHUUH OD YLROHQFH OH GUDPH EUHI O·LQVpFXULWp HW OD
survie : on hurle, on pleure, on souffre, mais on ne déprime pas... En fait, elle
HVWO·DSDQDJHGHVSD\VULFKHVROHVJHQVVRQWVXU-­sécurisés, anesthésiés par
O·DVVLVWDQDW /HV JODQGHV VXUUpQDOHV TXLVRQW JpQpUDWULFHV G·DGUpQDOLQH HW VRQW
là pour faire face aux VLWXDWLRQVG·XUJHQFHVRQWVRXYHQWLQKLEpHVSDUGHVSHXUV
ou les pollutions alimentaires. Il en résulte une chute des défenses
LPPXQLWDLUHVTXLV·DFFRPSDJQHG·XQHFKXWHGHVGpIHQVHVSV\FKLTXHV

2XLOHQ±XGGXSUREOqPHHVWELHQDXQLYHDXSV\FKLTXHHWLOQe faut pas perdre


GHYXHTX·XQHGpSUHVVLRQQHUYHXVH PDLQWHQDQWDSSHOpHEXUQRXW HVWSRXUOD
plupart du temps un "sabotage" provenant du Maître Intérieur (Soi supérieur)
IDFHjXQHVLWXDWLRQG·LQVDWLVIDFWLRQSURIRQGHGHIUXVWUDWLRQHWG·HQQXLIDLVDQW
EDUUDJH j XQ LQFRQWRXUQDEOH EHVRLQ G·pYROXWLRQ SHUVRQQHOOH HW QH WURXYDQW
DXFXQH LVVXH VDWLVIDLVDQWH &H V\QGURPH UpVXOWH G·XQ QRQ DJLU G·XQ PDQTXH
G·LQLWLDWLYH GHYDQW XQH VLWXDWLRQ LQDFFHSWDEOH /HV SHXUV GH SHUGUH GH
PDQTXHU G·rWUH UHMHWp SXQL RX condamné sont les causes principales de ce
blocage. On manque de courage pour affronter les aléas et le prix de la
OLEpUDWLRQ $ORUV LQFRQVFLHPPHQW O·RQ V·LQYHQWH XQH SHWLWH PRUW XQH
GpFKpDQFHTXLYDHQILQREOLJHUO·HQWRXUDJHjXQHDWWHQWLRQSDUWLFXOLqre, même si
cela ne résout pas le problème de fond.

UN EXEMPLE TYPE

Une personne effectue un travail peu valorisant, dans une ambiance peu
V\PSDWKLTXHHQFRPSDJQLHGHJHQVTX·HOOHQ·DSSUpFLHJXqUH0$,6VRQVDODLUH
PHQVXHO HVW GH  ½ $ XQH pSRTXH où chaque jour il y a mille nouveaux
FK{PHXUVSUHQGUHOHULVTXHG·XQHGpPLVVLRQSDUDvWGpUDLVRQQDEOHDORUVTX·HOOH
doit assumer ou co-­assumer les traites de la maison, de la voiture et nourrir les
enfants. Cette démission serait condamnée par toute la famille et les amis -­ qui
en outre ne gagnent peut-­être pas autant -­ pour la mise en difficulté du foyer
G·XQHIDoRQGpVLQYROWH

 
233  
$/256V·LQVWDOOHXQHFHQVXUHLQWpULHXUH GHODSHQVpHHQDPRQWGHODSULVHGH
conscience objective, qui bloque à la racine ce désiUFRQGDPQDEOHG·pFKDSSHUj
cette situation en cul-­de-­sac.
Lorsque ce genre de personnes venaient dans mon cabinet et que je leur
GHPDQGDLV TX·HVW FH TXL QH YD SDV : le couple ? Le travail " /·HQYLURQQHPHQW
familial ? Etc. ² elles me répondaient :
-­ "Non, rLHQ GH WRXW FHOD PDLV MH VXLV 75(6IDWLJXp H  pSXLVp H  MH Q·DL SOXV GH
JR€WjULHQ«
Je demandais pourquoi, et elles me répondaient : "je ne sais pas"...
Je répliquais : "Vous ne me dites pas tout, quel problème secret avez-­vous ? Que
refusez-­vous ?"
Et elles me répondaient en pleurnichant : 0DLVULHQ«
-·HQIRQoDLVOHFORX : "Partez-­vous au travail le lundi avec joie et enthousiasme ?"
-­ Et là, la barrière de la censure tombait enfin avec un NON hésitant souvent
DFFRPSDJQpG·XQHODUPH«
$ORUVM·HQWDPDLVXQSHWLWGLVFRXUVFRQFHUQDQWOHWRXUG·KRUL]RQGHVUHPqGHVj
la situation.

IL Y A TROIS SOLUTIONS, DEUX BONNES ET UNE MAUVAISE


:
‡   9RXVDFFHSWH]GHWRXWF±XUYRWUHVLWXDWLRQSUpVHQWHDYHFO·LGpHTX·HOOHHVW
j YRWUH PHVXUH HW TX·HOOH IDLW SDUWLH GHV épreuves que vous avez à gérer
victorieusement au service de votre évolution et peut-­être aussi de celle
de votre entourage. Vous quittez votre habit de victime pour prendre
FHOXLG·DFWHXUSRVLWLIH[HPSODLUH

‡   Vous cherchez activement dès maintenant un autre job pour préparer un


départ fracassant qui plombera tout ce petit monde de médiocrité.

‡   /D PDXYDLVH YRLH TXL HVW O·DFFHSWDWLRQ VWDWLTXH j FRQWUH F±XU O·DXWR
destruction passive, celle que vous avez choisie ! Bref, "du thé tiède, la
boisson du diable" VHORQ O·H[SUHVVLRQ FRQVDFUpH GDQV Le Guerrier
Pacifique" (Dan Millman).

/DYLHQ·HVWIDLWHTXHGHULVTXHV² F·HVWFHTXLODUHQGDWWUD\DQWHYRLUH
passionnante.
Optez pour les solutions 1 ou 2, celle des gagnants, mais jamais la 3 qui est celle
des perdants.

 
234  
Mais alors, direz-­YRXVRSXLVHUFHWWHpQHUJLHTXHO·RQDSHUGXH ?
-H UpSRQGV TXH QRXV Q·DYRQV DXFXQH pQHUJLH SURSUH HW TXH FRPPH WRXW rWUH
YLYDQWQRXVQHVRPPHVHQIDLWTXHGHV FDSWHXUVG·pQHUJLHFHOOH-­là même qui
est appelée selon les cultures CHI, QI, PRANA, etc., et que F·HVWODSHQVpHTXL
en tient le robinet.
,OHVWODUJHPHQWPRQWUpHWDGPLVTXHQRWUHpQHUJLHYLWDOHV·pFURXOHORUVTXHO·RQ
EURLHGXQRLUHWTXHUpFLSURTXHPHQWHOOHDXJPHQWHQRWDEOHPHQWORUVTXHO·RQ
"broie du blanc".
Alors le simple fait de prendre une décision nous rebranche à cette Energie
Universelle.

LA TENTATION FATALE : ALLER VOIR UN MEDECIN

Que fera le médecin ? Il se contentera de vous prescrire une pilule "magique"


GHFRQIRUWQRPPpHDQWLGpSUHVVHXUTXLQ·HVWHQIDLWTX·XQHFDPLVROHFKLPLTXH
SRXUpWRXIIHUGDQVO·±XIODUpYROWHGHYRWUHVDJHVVHLQWpULHXUHYRXVVFRWFKDQW
GpILQLWLYHPHQW GDQV OHV UDQJV GHV YDLQFXV -·HQ DL YX WHOOHPHQW WRPEHU GDQV
cette facilité menant à la déchéance et au désastre -HP·H[SOLTue :
Savez-­vous que si étant plein de joie de vivre, vous essayez par curiosité de
SUHQGUH XQ DQWLGpSUHVVHXU DX ERXW G·XQH VHPDLQH YRXV SRXYH] DYRLU GHV
envies de suicide ? On croit rêver ! Et non ! Nous avons été plusieurs, dont des
PpGHFLQV j O·HVVD\HU &HV GURJXHV LQVWLOOHQW G·DERUG XQH SHXU LUUDLVRQQpH GH
WRXWGHVRUWLUGDQVODUXHGHFRQGXLUHXQHYRLWXUHHWFHWVXUWRXW«G·DUUrWHU
le traitement (WDYHFOHILOGXWHPSVO·LGpHGHODPRUWGHYLHQWGHSOXVHQSOXV
pesante, obsédante. Certains passenW j O·DFWH G·DXWUHV QRQ ;; ceux là peuvent
finir dans des établissements psychiatriques.

Je conseille un ouvrage remarquable de Philippe Labro, ancien directeur de


5DGLR/X[HPERXUJTXLUDFRQWHVDGHVFHQWHDX[HQIHUVHWFRPPHQWLODSXV·HQ
sortir ;; le titre "Tomber sept fois, se relever huit" (proverbe chinois) Ed. Folio.

)$&($81/2%%<'·(;3/2,7$7,21'('52*8(6/(*$/(6

Entre 1980 et 2001, ODYHQWHG·DQWLGpSUHVVHXUVDpWpPXOWLSOLpHSDUSOXVGH.


Mais en 2007 les données montrèrent un ralentissement de la progression de
ce marché. Alors un plan de redressement a été lancé par une campagne
massive sur la dépression par lequel les lobbies pharmaceutiques et
psychiatriques devaient faire remonter la consommation de ce qui est leur

 
235  
gagne-­pain. A savoir quH OHV UHVVRXUFHV GH O·$JHQFH IUDQoDLVH GH VpFXULWp
sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), dont les études ont toujours occulté
les dangers décriés par les experts du monde entier, proviennent pour 83% de
O·LQGXVWULHSKDUPDFHXWLTXHHWVHXOHPHQWGHO·eWDW

Or, les antidépresseurs ont été dûment diagnostiqués comme étant la cause de
nombreux suicides en France et dans le monde entier. Les dernières études ont
montré que tous les tueurs en série de ces dernières années, étaient sous suivi
psychiatrique et consommaient les antidépresseurs prescrits par leurs
SV\FKLDWUHV,OVQ·pWDLHQWSDVGHVWXHXUVHQVpULHDYDQWOHXUWUDLWHPHQW

Y A T-­IL DES AIDES NON CHIMIQUES ?

Aucun remède ne peut résoudre une situation psychologique bancale. Par


contre, il est possible de donner à ceux qui sont en mal de vivre le punch leur
SHUPHWWDQWG·RVHUOHVGpFLVLRQVQpFHVVDLUHVSRXUOHVVRUWLUGHO·RUQLqUH

Voici deux remèdes naturopathiques remarquables :

NATURASTEM + AFA ² 3 gélules de chaque en même temps au lever ² Cde à :


http://www.energie-­terre.com/?CodeCourtier=editex
Tél 05.40.12.40.27
SOUFRE ORGANIQUE MSM -­ 1 Cuillère à café rase 2 fois par jour ² à prendre
au lever et au coucher ou entre les repas ² Cde à :
https://www.apoticaria.com/produit-­44-­soufre-­organique-­msm-­methyl-­
sulfonyl-­methane.html?affiliation=MS16
Tél 05 62 66 50 76

Et diverses aides en homéopathie :

Sérum anti-­colibacillaire 30 CH, remède de dépannage peu connu et


pourtant très efficace en urgence homéopathique.
‡   1 ampoule avant le repas matin et soir.
Phosphoric acid 30 CH, spécial dépression des jeunes par épuisement
nerveux.
‡   1 dose, 2 fois par semaine.
Tourmaline lithique 8 DH.
‡   1 ampoule au lever et coucher.

 
236  
Griffonia ou 5 HTP.
‡   3 gélules avant le repas du soir.
Ferrum (dépression des anémiques).
‡   doses 1.000K ² 5.000K ² 10.000K à une semaine G·LQWHUYDOOH
Plumbum (dépression par vieillissement prématuré).
‡   doses 1.000K ² 5.000K ² .jXQHVHPDLQHG·LQWHUYDOOH
Stanum (dépression des rigides).
‡   doses 1.000K ² 5.000K ² .jXQHVHPDLQHG·LQWHUYDOOH

Et même un nouvel outil de médecine quantique :

x   Plaquette CEF Indi FRUUHFWHXUG·pWDWVIRQFWLRQQHOV ²


https://www.correcteur-­‐etat-­‐fonctionnel.com/accueil/66-­‐masque-­‐piokal.html?scaid=fgKEfdE                  
Tél    06  06  48  92  05

 
237  
51
/·,172/(5$1&($8*/87(1
un mal sournois dû aux céréales trafiquées

Ce nutriment que vous consommez quotidiennement pourrait être le coupable


GHYRVPLVqUHVFKURQLTXHVGHVDQWp«0DLVTXLSHQVHUDjcela ?

De nombreuses personnes judicieusement conseillées par leur médecin ont


retrouvé la santé, souvent après des années de souffrances et de lutte contre
une maladie mal identifiée, seulement en cessant de consommer les aliments
contenant du gluten. Pour d'autres personnes, le problème peut-­être plus
étendu que le seul gluten. De nombreuses personnes ayant un problème de
sensibilité au gluten sont également sensibles aux produits laitiers. Pourquoi ?
Parce que ces glutens -­ et particulièrement la gluténine du blé -­ bloquent les
enzymes responsables de la digestion intestinale des produits lactés.

Si vous souffrez d'un problème de santé tel que :

-­ des douleurs articulaires, des irritations ou affection de la peau,


-­ des maux de tête ou migraines,
-­ G·Xne irritabilité du côlon ou tout autre problème intestinal,
-­ d'un problème de thyroïde,
-­ d'allergie,
-­ de diabète,
-­ d'une maladie auto-­immune,
-­ de grande fatigue,
-­ de douleurs musculaires ou fibromyalgie.

«$ORUVLOYDIDOORLUYRXVLQWpUHVVHUjFHTue vous mangez !

72876(3$66($81,9($8'(/·,17(67,1*5È/(

/D SDURL LQWHVWLQDOH HVW XQ ILOWUH j GRXEOH VHQV TXL YHUV O·H[WpULHXU QH GRLW
ODLVVHU SDVVHU TXH OHV QXWULPHQWV WUDQVIRUPpV HW GLJpUpV HW YHUV O·LQWpULHXU
draine les colloïdes résiduels du système lymphatique. Mais cette paroi, à force

 
238  
d'être confrontée continuellement à des centaines, voire des milliers de
molécules chimiques de synthèse (additifs alimentaires, pesticides, irritants,
PpGLFDPHQWV HW DXWUHV SROOXDQWV GLYHUV  TXL Q·H[LVWHQW SDs dans la nature et
donc qui ne sont pas reconnues par le vivant, de multiples petites nécroses se
perforent, laissant passer des molécules alimentaires indésirables ou non
transformées.

Justement, parmi les molécules dangereuses, il y a celles de certains


nutriments difficiles à digérer telles les agglutinines, la gliadine et surtout la
gluténine des glutens. En raison de la perméabilité anormale de ladite paroi
LQWHVWLQDOH FHV SURWpLQHV DLQVL TXH G·DXWUHV QRQ WUDQVIRUPpHV VH UHWURXYHQW
dans le sang qui les véhicule dans le rhino-­pharynx, dans des articulations, au
FHUYHDX DX F±XU HWF FUpDQW GHV IR\HUV LQIODPPDWRLUHV HW GHV V\PSW{PHV
chroniques associés.

LE COUPABLE NUMERO 1 : LE BLE


Différents nutriments que nous consommons quotidiennement peuvent être
mis en cause ² le problème est de trouver le fautif. Mais actuellement l'accusé
n°1, pointé du doigt par un nombre de plus en plus important de médecins, est
le gluten, dont le plus redoutable est celui du blé avec sa gluténine, justement
la céréale majoritaire utilisée en Europe TXH O·RQ UHWURXYH VRXV GH PXOWLSOHV
formes alimentaires (farines, pains, pâtes, gâteaux secs, etc.). Or ne
consommons-­nous pas du blé depuis des millénaires ? Oui mais le blé
d'aujourd'hui n'a plus grand chose à voir avec le blé que consommaient les
Anciens. Le blé était originellement composé de 14 chromosomes et d'un seul
génome, et en raison des hybridations multiples, il est aujourd'hui composé de
42 chromosomes et 4 génomes. Un changement trop rapide et trop important
pour que notre organisme puisse s'adapter à ce nouveau combustible.

,O IDXW WRXW GH PrPH QRWHU TX·LO H[LVWH HQFRUH GHX[ VRUWHV GH EOp DQWLTXH TXL
sont généralement vendus en boutique diététique :

/·pSHDXWUH : GRQFO·DQFrWUHVDXYDJHGXEOpDYDQWTX·LOQHVRLWWUafiqué.

Le Kamut : qui a été retrouvé dans les pyramides et qui a germé après des
PLOOLHUVG·DQQpHVGHVWRFNDJH

/DVHQVLELOLWpDXJOXWHQQ·HVWSDVHQFRUHODPDODGLHF±OLDTXH F·HVWGLVRQVXQH
prémice. On estime que 1% de la population souffre de la PDODGLHF±OLDTXHHW
6% d'intolérance au gluten, ce qui fait tout de même des millions de personnes

 
239  
affectées, et la grande majorité ne sont pas diagnostiqués. Mais selon certains
médecins ces chiffres sont bien en-­dessous de la réalité. Les personnes
intolpUDQWHV DX JOXWHQ GH EOp ORUVTX·HOOHV OH VDYHQW  VH YRLHQW LQWHUGLUH OD
consommation de tous produits à base de blé, seigle, orge et avoine, alors que
OH JOXWHQ GH O·DYRLQH HVW EHDXFRXS PRLQV DJUHVVLI 'H IDLW LO H[LVWH GDQV OH
monde céréalier différents types de gluten, or, c'est de loin celui du blé qui est
le plus dommageable pour la paroi intestinale.

QUELLES CEREALES AVEC ET SANS GLUTEN ?


Au départ il faut savoir que les céréales échauffantes (des pays froids) sont à
gluten : blé, seigle, orge, avoine. Elles sont les plus difficiles à digérer et
peuvent être irritantes pour les intestins fragiles.
Par contre, les céréales rafraîchissantes (des pays chauds) sont sans gluten :
riz, millet, quinoa.
Une particularité : le sarrasin et le sésame qui sont semi-­céréales/semi-­
légumineuses, sont aussi exemptes de glutens. La farine de châtaigne est aussi
exempte de gluten.

Voici un classement socio-­énergétique des différentes céréales :

Sans gluten
Le riz (complet ou non) : &·HVWODFpUpDOHGHODSDix intérieure.
Le millet : Céréale qui rend volubile (voir les Africains).
Le quinoa : Céréale qui favorise la méditation.

Avec gluten

Le blé : Céréale des peuples sédentaires.


/·pSHDXWUHAncêtre du blé, le petit épeautre est préférable mais cher.
/·RUJH: La céréale des montagnards et en particulier des Tibétains (tsampa).
Le seigle : La céréale des conquérants et en particulier des Vikings.
/·DYRLQH/DFpUpDOHG·KLYHU² celle qui chauffe le plus.
Le maïs : La céréale des civilisations précolombiennes (Incas, Aztèques, Mayas).

A PROPOS DE L'AVOINE

 
240  
Il faut préciser ici que l'avoine ne contient pas de gluten semblable à celui du
blé, mais de l'avénine et de l'avénaline. C'est probablement la raison pour
laquelle 90% des personnes intolérantes au gluten, n'ont pas de problème en
consommant de l'avoine. Mais il faut préciser que très souvent l'avoine est
cultivé en rotation avec le blé, ou à proximité de celui-­ci, avec pour
conséquence que les produits de l'avoine sont souvent "contaminés" par le
gluten du blé. En Amérique du Nord et dans certains autres pays, il est
possible de se procurer de l'avoine qui est garanti sans gluten de blé.

COMMENT SAVOIR SI VOUS ÊTES INTOLERANT AU GLUTEN ?


Les analyses pratiquées pour détecter une sensibilité ne sont pas suffisamment
complètes, ni fiables et ne sont quasiment jamais demandées par les médecins.
Il arrive régulièrement que des personnes sensibles au gluten ne soient pas
diagnostiquées suite à un test sérologique Anti-­gliadine IgA et IgG. Le meilleur
moyen est de tester sa sensibilité en suivant une diète sans gluten pour un
certain temps. Des malades souffrant depuis des années ont changé leur vie en
suivant ce type de diète. Pas besoin de dépenser une fortune en médicaments
ou quelque produit miracle, il suffit d'essayer, c'est gratuit et le bénéfice
possible vaut largement le coup.

Mais LO VH GLW TX·LO IDXW DX PLQLPXP XQ DQ SRXU UpSDUHU XQ LQWHVWLQ
endommagé.

&200(176·25*$1,6(5 ?
Toute reconversion demande toujours un travail provisoirement
supplémentaire. Le riz étant la première céréale dans le monde, il est aisé de se
mettre à la mode asiatique ² ce ne sont pas les recettes qui manquent ! Dans
toutes les grandes surfaces, on trouve des pâtes sans gluten et autres produits
MXVWHPHQW j O·LQWHQWLRQ GHV JHQV DWWHLQWV GH OD PDODGLH F±OLDTXH %LHQ V€U LO
FRQYLHQW G·DFFRPPRGHU DJUpDEOHPHQW ces produits avec des recettes
V\PSDWKLTXHV TXH O·RQ WURXYH Oj HQFRUH GDQV GH SHWLWV RXYUDJHV VRXYHQW
distribués en boutiques diététiques ou sur Internet.

Les problèmes de santé ne se résolvent pas forcément avec le réflexe "petites


pilules" qui ne VWRSSHQWMDPDLVODVRXUFHGXPDO«

 
241  
52
INTOLERANCES ET ALLERGIES
ALIMENTAIRES...
ne pas confondre !

Les allergologues ont longtemps ignoré la différence entre les deux. Maintenant,
O·RQ VDLW TXH VXU  FDV FODVVpV DOOHUJLHV  VRQW HQ IDLW GHV intolérances
alimentaires.

QUELLE EST DONC LA DIFFERENCE ?

-­ La réaction allergique est immédiate, quelquefois violente, pouvant aller


MXVTX·DX FKRF SURSK\ODFWLTXH (OOH FRQFHUQH HVVHQWLHOOHPHQW OHV PXTXHXVHV
(du rhino-­pharynx, gastro-­intestinales, respiratoires, oculaires, et de la peau -­
GHUPDWRVH  VRXV IRUPH G·±GqPH LQIODPPDWRLUH RX non ;; le phénomène reste
SpULSKpULTXH /·RUJDQLVPH DWWDTXH YLROHPPHQW FH TX·LO FURLW rWUH XQ HQQHPL
DYHFOHVLPPXQRJOREXOLQHV(/·pSpHGH'DPRFOqVHVWO·±GqPHGH4XLQFNHDYHF
OHTXHOLOQHIDXWSDVEDGLQHUORUVTX·LOV·DPRUFH

Le premier geste en urgence eVWXQHGRVHG·$3,60(//,),&$&+ jWRXMRXUV


avoir chez soi en "spare") ² Peut-­être cela peut suffire ;; on a la réponse dans les
jPLQTXLVXLYHQW6·LOQ·\DDXFXQHIIHWVHUHQGUHUDSLGHPHQWjO·K{SLWDO
le plus proche qui donnera de la cortisone.

NOTA  /·DOOHUJLH j O·DUDFKLGH KXLOH  HW FDFDKXqWHV  HVW OD SOXV UHGRXWDEOH TXL
SHXWHQWUDvQHUODPRUWHQTXHOTXHVPLQXWHV«

A noter aussi que le terrain allergique peut être héréditaire. Dans ce cas, il
FRQYLHQWDILQG·HVVD\HUG·pFKDSSHUjODFRUWLVRQHVystématique, de se procurer
-­ toujours à disposition : FORMULE ALERG de Corbiopharm en Belgique ²
Tél. 0032/61 46 72 32.

-­ /·LQWROpUDQFHDOLPHQWDLUH HVWPRLQVGDQJHUHXVHGDQVO·LPPpGLDWPDLV
HOOHSHXWIDLUHGHVGpJkWVPXOWLSOHVHWYDULpVDYHFOHWHPSVG·DXWDQWSOXVTXH
OHV YLFWLPHV IRQW UDUHPHQW OH UDSSRUW DYHF FH TX·HOOHV FRQVRPPHQW HW GRQF
récidivent souvent quotidiennement leur "infraction inconsciente". Il y a plus de
300 produits alimentaires répertoriés qui déclenchent diverses intolérances,

 
242  
dont les principaux sont le lactose (10% des français sont intolérants aux
produits laitiers, souvent sans faire le rapport avec leurs misères) et le gluten
TXHO·RQUHWURXYHGDQVWRXWHVOHVFpUpDOHVGHVSD\VIURLGVVDXIO·DYRLQH 

7RXW SDUW GH O·LQWHVWLQ JUrOH  &H TX·RQ DSSHOOH FRPPXQpPHQW OD
EDUULqUH LQWHVWLQDOH HVW VLPLODLUH j QRV IURQWLqUHV IDFH j O·LPPLJUDWLRQ
clandestine. Il y a carence soit de lactase qui casse les molécules des laitages,
soit de peptidases qui cassent les molécules alimentaires en général ;; il se
produit alors des mini putréfactions qui génèrent un terrain inflammatoire de
O·LQWHVWLQJUrOHTXLJpQqUHQWjOHXUWRXUGHVPLFUR-­perforations laissant passer
dans la lymphe et le sang des particules alimentaires.

Le foie, est le filtre de deuxième chance , qui fait plus ou moins bien
VRQWUDYDLOYXTX·LOHVWSDVPDOVXUPHQpDYHFODSROOXWLRQDFWXHOOH

La barrière hémato-­encéphalique, "contrôle dernière chance" pour


protéger notre organe le plus précieux et le plus fragile. Lorsque cette barrière
est endommagée, il y a destruction massive au niveau des neurones.

Il suffit de mettre les pieds dans une maison de retraite pour constater que
SDUPL OHV SHQVLRQQDLUHV O·RUJDQH OH SOXV DWWHLQW F·HVW PDMRULWDLUHPHQW /(
CERVEAU. ,O\DFKDTXHDQQpHQRXYHDX[FDVGHPDODGLHG·$O]KHLPHU
HQ)UDQFHHWGDQVGHVWUDQFKHVG·kJHGHSOXVHQSOXVSUpFRFHV

Ainsi les jeunes ne sont pas épargnés, car eux sont victimes des poisons
vaccinaux ;; or il a été mis en évidence par diverses sommités de la recherche
LQGpSHQGDQWHTXHODVRXUFHSULPRUGLDOHGHO·DXWLVPHGHODVFKL]RSKUpQLHHWGH
O·K\SHUDFWLYLWp GHV HQIDQWV VH WURXYH GDQV O·LQWHVWLQ JUrOH FHOXL-­ci ayant été
endommagé par les vaccinations. Tous les traitements proposés par la
médecine officielle -­ qui se borne avec acharnement à ignorer cet aspect -­ sont,
du coup, inefficaces.

0DLVDYDQWG·DUULYHUDXFHUYHDXLO\DGLIIpUHQWHVFLEOHV RUJDQHOHSlus faible)


qui peuvent être atteintes, et personne ne fait la corrélation avec une
intolérance alimentaire. Ainsi, qui penserait que la plupart du temps :

‡   /HV UKXPDWLVPHV HW O·DUWKURVH qui peuvent passer au stade de maladies


auto-­immunes type polyarthrite rhumatoïde ou spondylarthrite
ankylosante«VRQWGXVjGHVLQWROpUDQFHVDOLPHQWDLUHV !
‡   La migraine   GHV  PLOOLRQV GH IUDQoDLV TXL HQ VRQW DWWHLQWV«
VHUDLHQWYLFWLPHVG·LQWROpUDQFHVDOLPHQWDLUHV !

 
243  
‡   Les colopathies telles que troubles du transit, colites, pouvant dégénérer
en UHFWRFROLWHV KpPRUUDJLTXHV PDODGLH GH &URKQ« seraient dues à des
intolérances alimentaires !
‡   Les sinusites chroniques WRXMRXUV HQ UDSSRUW DYHF O·LQWHVWLQ «
intolérances alimentaires !
‡   Des maladies auto-­immunes de la thyroïde telles que la maladie de
%DVHGRZ HW OH +DVKLPRWR« HQFRUH VRXYHQW GHV LQWROpUDQFHV
alimentaires !
‡   (W OD IDPHXVH ILEURP\DOJLH GLWH LQFODVVDEOH DOOH] FKHUFKHU O·LQWHVWLQ«
intolérances alimentaires !
‡   Même O·REpVLWp ! et là, çà se complique en raison du phénomène
G·DGGLFWLRQ OHV SURGXLWV UHVSRQVDEOHV DSSRUWDQW GHV HQGRUSKLQHV-­like -­
DORUVORUVTXHO·RQWHQWHG·pUDGLTXHUOHUHVSRQVDEOHRQHVWWUqVPDO

-H SRXUUDLV FRQWLQXHU OD OLVWH« 5DSSHORQV TX·LO \ D  PLOOLRQV GH IUDQoDLV
actuellement atteints de 60 maladies auto-­immunes.

3285482,7$17'·,172/(5$1&(60$,17(1$17 ?
1 -­ Nous vivons dans un monde de plus en plus stérilisé et les organismes
PDQTXHQWG·HQWUDvQHPHQWSRXUVHGpIHQGUH

2 -­ La cuisson aux micro-­ondes, les produits pasteurisés modifient le schéma


moléculaire des aliments, les polymérisent, les rendant bio-­incompatibles.

3 -­ /·DJUR-­alimentaire pour la grande distribution est horriblement pollué par


des produits chimiques toxiques scandaleusement homologués "sans danger" à
condition de limiter leur usage à des valeurs plus ou moins élastiques, qui sont
en vérité, arbitraires.

4 -­ Les nouveaux fruits et les nouvelles céréales hybridées ont un nombre de


FKURPRVRPHV GLIIpUHQW GH O·RULJLQH QDWXUHOOH HW O·RUJDQLVPH QH OHV UHFRQQDvW
pas.

COMMENT DETECTER LES ALIMENTS HOSTILES ?


Le moyen le plus simple et de plus gratuit est de se prendre le pouls à jeun et
GHQRWHUV·LO\DXQHDFFpOpUDWLRQGDQVOHVjPLQXWHVDSUqVOHUHSDV² elle
peut être modérée (75 à 80) ou plus violente ² Par exemple, moi qui présente
une intolérance aux produits laitiers et lactose depuis près de 25 ans, mon

 
244  
pouls peut monter à 100 voire 130 pendant une durée variant entre 20
minutes et 2 heures. Si plusieurs aliments sont mélangés, il conviendra de les
absorber ensuite un par un afin de repérer le fautif.

3$5(5(185*(1&($8;'(625'5(6'·,172/(5$1&(6121
ENCORE REPEREES
Au départ il existe un produit qui en urgence peut aider en adoucissant les
troubles au niveau symptomatique  F·HVW IMMUNOREGUL de Phyt-­inov
(Suisse) -­ Tél. 0041/32    0DLV LO QH IDXW SDV RXEOLHU TXH FH Q·HVW
TX·XQSURGXLWGHFRQIRUWTXLQHUpVRXWSDVODFDXVH,OIDXWGRQFV·HPSOR\HUj
trouver le coupable.

5(3$5(5/·,17(67,1*5È/(
/jHVWODYUDLHVROXWLRQ«3RXUFHODLOIDXWFKRVHV :

‡   Supprimer le ou les aliments ou médicaments responsables du désordre.


‡   Faire des cures de pré et pro biotiques de qualité (minimum 12 millions
de bactéries par gélule).
‡   Consommer de la bonne propolis ² ex : celle de Phyt-­inov est excellente
La régénération est possible, mais cela YDSUHQGUHSOXVLHXUVPRLV«

4XDQGO·LQWHVWLQQHYDSDVULHQQHYD SOXV 

 
245  
53
ANTIOXYDANTS : ABUS DANGEREUX

'HSXLVTXHOTXHVDQQpHVF·HVWODQRXYHOOHPRGH² TXLQ·DSDVVRQDQWLR[\GDQW ?
/·DQWLR[\GDQWHVWGHYHQXO·DUJXPHQWGHYHQWHQXPpURGH multiples produits
GH VDQWp 'H IDLW RQ D ERXUUp OH FUkQH GHV JHQV DYHF O·DQDORJLH : "oxydation =
vieillissement précoce". En jargon professionnel, on vous parle de "stress
oxydatif" (qui vous "oxy"   5HVWRQV VpULHX[ O·R[\GDWLRQ HVW XQ SKpQRPqQH
naturel UpVXOWDQW GH OD SUpVHQFH G·R[\JqQH et la peroxydation est une
R[\GDWLRQYLROHQWHSDUXQSURGXLWOLEpUDQWGHO·R[\JqQHWUqVUpDFWLI'DQVOHELR-­
électronigramme de Vincent, la bonne santé se trouve dans la zone légèrement
oxydée et légèrement alcaline du VDQJGHO·XULQHHWGHODVDOLYH

Mais revenons au fameux stress oxydatif et voyons comment cela se passe. Un


LQWUX DUULYH GDQV XQ RUJDQLVPH HW V·\ GpSODFH ,O ILQLW SDU WRPEHU VXU XQH
patrouille de contrôle (cellules tueuses NK) ² &·HVWTXRLWRL ?" ² "Ben... euh !" -­
"Code non-­FRQIRUPH W·HV SDV G·LFL WRL !" -­ "Ben... euh !" -­ (W F·HVW OH WLU j YXH
VDQV VRPPDWLRQ FH TXL YHXW GLUH XQH JLFOpH G·XQ YLWULRO PDLVRQ SHUR[\GDQW
puissant) en pleine poire. Et couic  0LVVLRQ DFFRPSOLH F·HVW GH OD SpGDJRJLH
médico-­scientifique moderne). Continuons : aussitôt, la présence du produit
corrosif étant détectée localement par les surveillances nerveuses, déclenche
XQHDODUPHFHTXLHVWORJLTXHSXLVTXHOHVWLVVXVYRLVLQVULVTXHQWG·rWUHEU€OpV
DXVVL&·HVWXQSHXODPrPHFKRVHTXHORUVTX·RQXWLOLVHGHO·HDXGH-DYHOSRXU
enlever des tâches  LO IDXW ULQFHU DERQGDPPHQW DSUqV O·RSpUDWLRQ VLQRQ OH
tissu est cuit !

/·RUJDQLVPH OXL Q·HIIHFWXH SDV GH ULQoDJH PDLV XQH QHXWUDOLVDWLRQ FKLPLTXH
ORFDOH DYHF« XQ DQWLR[\GDQW naturel, le L-­Glutathion fabriqué à partir du
sang. Or, il est vrai que pour des raisons de déprogrammations diverses -­ due à
la pollution par des métaux lourds et des poisons chimiques dont beaucoup
sont victimes sans le savoir -­ O·RSpUDWLRQ*OXWDWKLRQHVt devenue aléatoire chez
certains, avec les dégâts que cela entraîne.

Prenons par exemple le cas de la cataracte et de son associée la DMLA


GpJpQpUHVFHQFHPDFXODLUH /·±LOD\DQWGpYHORSSpXQHDOOHUJLHjODOXPLqUHVH
met à traiter celle-­ci comme un agresseur, et déclenche une sécrétion
LQWHPSHVWLYH GH SHUR[\GDQW HQ O·RFFXUUHQFH GH O·HDX R[\JpQpH &HFL QH VHUDLW
SDVWURSJUDYHVLO·DQWLR[\GDQWTXLGRLWVXLYUHVHSUpVHQWDLWjO·DSSHO0DLVTXH

 
246  
nenni /·HDXR[\JpQpHJULJQRWHDORUVSHWLWjSHWLWOHFULVWDOOin ou pire la rétine.
Et le processus est enclenché.

6LQRXVFRQVLGpURQVOHFRQFHSWJpQpUDOGHVDQWLR[\GDQWVLODSSDUDvWTX·LOVIRQW
O·REMHW G·XQH QRXYHOOH OXELH FRPSDUDEOH j FHOOH GHV PLFUREHV GH 3DVWHXU TXL
après les avoir découverts, les a rendus responsables de toutes les maladies de
la terre. Depuis, les avancées de la science nous ont fait découvrir que nous
hébergeons naturellement en microbes le double du nombre de nos cellules,
soit à peu près 5 kg pour un homme adulte. Il faut réaliser que sans les
populations microbiennes harmonieusement équilibrées, la plupart de nos
PpWDEROLVPHV V·DUUrWHUDLHQW FH TXL HQWUDvQHUDLW OD PRUW GDQV OHV SOXV EUHIV
délais.

La guerre aux peroxydants est aussi pernicieuse que la guerre aux microbes.
&·HVWXQSHXFRPPH VLO·RQH[WHUPLQDLWO·KXPDQLWpSDUFHTXHSDUPLHOOHLO\D
des voyous et des criminels.

'HPrPHTXHORUVTX·RQDEVRUEHXQDQWLELRWLTXHjODUJHVSHFWUHRQH[WHUPLQH
ODIORUHLQWHVWLQDOH TXLHVWHQSUHPLqUHOLJQH ORUVTX·RQSUHQGGHVDQWLR[\GDQWV
au long FRXUV RQ HPSrFKH O·RUJDQLVPH G·HIIHFWXHU VRQ WUDYDLO GH VpFXULWp HQ
QHXWUDOLVDQW G·DYDQFH WRXWH VpFUpWLRQ GH peroxydant. Le résultat, vous
O·HQWUHYR\H] GpMj cela revient à une mise hors service des défenses
immunitaires ! Alors attention, comme toujours, tout est dans le dosage : si
XQH DFWLRQ SRQFWXHOOH SHXW V·DYpUHU EpQpILTXH OD PrPH DFWLRQ SURORQJpH SHXW
être catastrophique. Méfiez-­vous des modes ² F·HVWYRXVTXLHQIDLWHVOHVIUDLV

 
247  
54
ECHOGRAPHIES DE GROSSESSE
... et ses séquelles éventuelles

L'échographie est une technique indolore pour le patient et considérée sans


GDQJHUSRXUOHI±WXV0DLVFHODUHVWHVDQVGDQJHUORUVTXHO
DSSDUHLOHVWXWLOLVp
FRUUHFWHPHQW SDU O·RSpUDWHXU HW FHOD OHV SDUHQWV QH SHXYHQW V·HQ UHQGUH
compte. En eIIHW LO IDXW VDYRLU TXH VL O·RQ V·DWWDUGH VXU XQH ]RQH SUpFLVH GX
I±WXV OHV XOWUDVRQV SHXYHQW HQWUDvQHU GHV GpJkWV WLVVXODLUHV SDU XQH
augmentation de la température locale. Pour éviter cela, il faut effectuer un
balayage permanent en particulier au niveau du cerveau et des parties
JpQLWDOHVGXI±WXVTXLVRQWOHVRUJDQHVOHVSOXVIUDJLOHV

L'échographie ne peut pas être complètement fiable, car 20 à 30% des


malformations ne sont pas identifiables avec cette technique, et elle ne permet
pas souvent de mettre en évidence le mauvais fonctionnement de certains
RUJDQHV(Q)UDQFHO
pFKRJUDSKLHI±WDOHSHUPHWHQIDLWGHGpSLVWHUHQYLURQ
à 80% des malformations, ce qui laisse une large marge d'erreur et un risque
pour les parents de ne pas savoir à l'avance si leur bébé sera "différent". De
plus, on connaît aussi des cas de mauvais diagnostics, ce qui mène à des
avortements qui ne devraient pas avoir lieu d'être.
L'origine de cette marge d'erreur peut être un appareil défectueux, comme par
exemple en France lors de l'affaire Perruche :
L'affaire Perruche a été une multitude de plaintes de parents accusant les
radiologues de n'avoir pas décelé des anomalies graves chez leurs enfants qui
sont nés handicapés ;; ceci tire le signal d'alarme sur le défaut de fiabilité des
machines, et comme le dit le Dr Alain Choux, échographe : "C'est scandaleux,
on surveille moins ces équipements que les voitures, obligées, elles, de passer au
contrôle technique !" En effet ces machines défectueuses -­ le plus souvent
anciennes -­ sont dangereuses et sont incapables de détecter des malformations
cardiaques.

ÉCHOGRAPHIES 3D : AMUSANTES POUR LES PARENTS,


MAIS DANGEREUSES POUR L'ENFANT

 
248  
/HQRPEUHGHVLWHV,QWHUQHWSURSRVDQWGHVpFKRJUDSKLHVI±WDOHVHQRX'VH
multiplie. Les médecins membres du CNOGF (Collège National des
Obstétriciens et Gynécologues Français) attirent l'attention sur les risques de
ces échographies "commerciales".
Le Dr Jacques Lansac, gynécologue président du collège, Q·KpVLWH SDV j
déclarer carrément :
"Les ultrasons utilisés lors des échographies en 3D
RQWGHVHIIHWVQpJDWLIVVXUOHI±WXV
Normalement, lorsque les médecins procèdent à une échographie médicale, ils
PHWWHQWO·DSSDUHLOjPRLQGUHLQWHQVLWpGHIDoRQjDYRLUXQHLPDJHFRQYHQDEOH
Le faisceau ultrasonore est constamment déplacé HWO·H[SRVLWLRQDX[XOWUDVRQV
GHFKDTXH]RQHGXI±WXVHVWEUqYH
Lors des échographies dites "commerciales", afin d'obtenir une bonne image du
bébé, ceux qui les pratiquent restent un certain temps sur la zone du crâne ou
OHVRUJDQHVJpQLWDX[2UO·±LOHt le cerveau sont particulièrement sensibles. Il
SHXW \ DYRLU GHV H[SRVLWLRQV SURORQJpHV G·XQH GHPL-­KHXUH FH TXL Q·HVW SDV
anodin.
Les ultrasons entraînent les effets suivants :
‡   Un effet mécanique O·H[SRVLWLRQSURORQJpHGHVRUJDQHVIUDJLOHVFRPPH
les yeux et le cerveau est dangereuse pour eux. Les effets sur le
GpYHORSSHPHQW GX I±WXV GpSHQGHQW QRQ VHXOHPHQW GH OD GXUpH PDLV
DXVVLGXUpJODJHG·LQWHQVLWpGHVXOWUDVRQV%HDXFRXSSDUPLQRXVRQWSX
FRQVWDWHU TXH OH GpWDUWUDJH GHV GHQWV DX[ XOWUDVRQV Q·HVW Sas
spécialement agréable, et devient carrément douloureux quand le
GHQWLVWHSUHVVpDXJPHQWHO·LQWHQVLWp«
‡   Un effet thermique : une exposition prolongée aux ultrasons peut
DXJPHQWHU OD WHPSpUDWXUH GX I±WXV GH ƒ& FH TXL SHXW rWUH GpOpWqUH
pour son cerveau. Si la température du corps de la maman est à 38°C on
arrive vite à 41°C, le bébé peut alors convulser. Une publication sur le
sujet dans la revue Nexus GLWTXHOHFHUYHDXGXI±WXVV
pFKDXIIHIRLV
plus que le reste du corps pendant une échographie, car enfermé dans la
boîte crânienne !
‡   Mais l'argument des médecins, c'est que les fréquences des ultrasons
pour l'échographie sont trop faibles pour être dangereuses ² F·HVWHX[
TXLOHGLVHQW8QHDERQQpHP·pFULW : J'ai toujours pensé que c'est la raison
de la mort dans mon ventre de mon deuxième bébé. J'avais une

 
249  
pFKRJUDSKLHWRXVOHVOXQGLVPDWLQSRXUVXLYUHO·pYROXWLRQGXEpEpSOHLQGH
vie (ou de souffrance?) et un lundi plus rien -­ plat -­ Mais j'avais 20 ans et je
ne connaissais pas tous ces risques (j'en ai maintenant 67).
‡   Des chercheurs russes ont sorti des études sur les dangers des
pFKRJUDSKLHV GHV EpEpV PDLV LO Q·\ D ULHQ HQ )UDQFH $ VDYRLU TX·LO \ D
une technique de liposuccion utilisant des ultrasons pour faire
exploser les cellules graisseuses, et ces ultrasons sont aux mêmes
fréquences. Donc chez les adultes on s'en sert pour détruire la graisse et
chez le bébé ce serait inoffensif, alors que le système nerveux est
majoritairement constitué de graisses fines.
‡   Ceux et celles qui se font détartrer les dents chez des dentistes utilisant
OHVXOWUDVRQVVDYHQWTXHVHORQOHUpJODJHGHO·LQWHQVLWpDXPLHX[FHQ·HVW
SDVWUqVDJUpDEOHDXSLUHF·HVWLQWHQDEOH«
‡   On peut aussi noter que certains dauphins tuent leurs proies avec des
XOWUDVRQV«

POURQUOI CET ENGOUEMENT DES ECHOGRAPHIES 3D ?

Bien sûr une échographie réalisée en trois dimensions présente une bien
PHLOOHXUH UpVROXWLRQ GH O·LPDJH /
DSSDUHLO GLVSRVH HQ SOXV G
XQH VRQGH ' HW
d'un logiciel de reconstruction d'images. L'image montre l'enveloppe externe du
bébé tel qu'elle est réellement. Une échographie 4D permet même faire tourner
OHYLVDJHGHO·HQIDQWDILQGHYRLUVRQQH]HWVHVOqYUHV(OOHSHUPHWGHVHUHQGUH
compte du comportement du bébé et même de ses émotions in utero.

Il suffit de cliquer sur Internet pour trouver des offres commerciales


G·pFKRJUDSKLHSRXUOHVIHPPHVHQFHLQWHV&·HVWGXSXUEXVLQHVV ! Les médecins
réalisent une échographie à des fins médicales, FHVFHQWUHVG·pFKRJUDSKLHV'
font uniquement dans le spectDFOH HW ODSKRWRJUDSKLH &HV pFKRJUDSKLHV Q·RQW
aucune finalité médicale et sont uniquement destinées à donner aux parents
une vidéo anténatale de leur enfant. Les personnes qui réalisent ces
pFKRJUDSKLHV QH VRQW SDV IRUPpHV SRXU O·H[HUFLFH HW Q
RQW DXFXQH formation
médicale.

/HFRPLWpWHFKQLTXHG·pFKRJUDSKLHDDWWLUpO·DWWHQWLRQGHVDXWRULWpVVDQLWDLUHV
VDQV VXFFqV VXU FH SUREOqPH GqV  HW VXLWH j O·DYLV GpIDYRUDEOH GH
O·Académie de Médecine ainsi qu'j OD SXEOLFDWLRQ GX UDSSRUW GH O·AFSSAPS,

 
250  
TXL PHW HQ DYDQW OHV GDQJHUV G·XQH H[SRVLWLRQ SURORQJpH DX[ XOWUDVRQV /·RQ
peut présager de la parution d'une étude dans une dizaine
d'années, démontrant une pathologie commune à des individus dont le point
commun serait ces échographies commerciales...

Le Dr François Lallemand confirme cela en déclarant :


"Je constate une nouvelle génération de "cerveaux brûlés" par les ultra-­sons des
échographies pendant la grossesse. Impossible de faire tenir tranquilles ces
enfants, qui ne tiennent pas en place. Curieusement, ce syndrome des enfants
hyperactifs est apparu en même temps que les échographies de surveillance des
grossesses. -·DXUDLVVRXKDLWpOHYHUOHOLqYUHHWDYHUWLUOHVSDUHQWVGHFHODPDLV
LOQ·H[LVWHDXFXQHSXEOLFDWLRQjFHVXMHWVXUODTXHOOHMHSRXUUDLVP·DSSX\HU

 
251  
55
/·$&&28&+(0(170(',&$/,6(
et ses inconvénients

/·DFFRXFKHPHQWPpGLFDOLVpDpWpWHOOHPHQWEDQDOLVpSDUODSUHVVHIpPLQLQHTXH
OHV IHPPHV Q·RQW PrPH SOXV LGpH TX·HOOHV SHXYHQW UHIXVHU WRXWHV FHV
techniques qui les rendent totalement dépendantes des médecins et qui les
dépossèdent du vrai vécu de leur accouchement.

(QWUpHV j O·K{SLWDO HOOHV VH VRXPHWWHQW j WRXWHV OHV GLUHFWLYHV TXL OHXU VRQW
LPSRVpHVSHQVDQWTXHSOXVO·DFFRXFKHPHQWVHUDFRQWU{OpSDUXQHWHFKQRORJLH
ultramoderne, plus il aura de chanFH G·rWUH UpXVVL (OOHV VH OLYUHQW FRUSV HW
kPHVDX[WHFKQRFUDWHVGHO·DFFRXFKHPHQWTXLG·XQERXWjO·DXWUHGXWUDYDLO
décideront de tout sans laisser au corps de la femme, ni au bébé lui-­même,
O·RFFDVLRQGHV·H[SULPHU (OOHVVHUpVLJQHQWjrWUHGHVSatientes allongées sur
GHV OLWV G·K{SLWDO SOXW{W TXH GHV IXWXUHV PqUHV HQ WUDLQ G·DFFRXFKHU
activement. Il serait temps que les femmes reprennent, elles-­mêmes, les
GpFLVLRQV FRQFHUQDQW OHXU DFFRXFKHPHQW ,O VHUDLW VRXKDLWDEOH TX·HOOHV
reprennent le contrôle de leur corps et la responsabilité de leur bébé après la
naissance. Pour cela, elles doivent être correctement informées sur la réalité
des protocoles couramment employés dans les hôpitaux, sur leurs
inconvénients et leurs effets secondaires, afin de choisir en conscience,
O·DFFRXFKHPHQWTXLOHXUFRQYLHQWOHPLHX[

LA PREPARATION
Les statistiques montrent que les accouchements difficiles sont la plupart du
temps liés à une absence de préparation psychologique. Cà se passe comme
dans le sport de haut niveau où la réussite est programmée au niveau du corps
SDU XQ ILOP LQWpULHXU GH O·pSUHXYH GDQV WRXV VHV GpWDLOV HW FHOD G·XQH IDoRQ
UpSpWLWLYH 2U FHUWDLQHV IHPPHV DX FRQWUDLUH SDUFH TX·HOOHV RQW SHXU GH
O·DFFRXFKHPHQW UHIXVHQW G·\ SHQVHU FHFL OHV SULvant de la programmation
cellulaire indispensable au déroulement paisible de cet acte naturel.

 
252  
&RQFHUQDQWODSKDVHFRQWUDFWLRQVSUpOLPLQDLUHVHWGLODWDWLRQGXFROM·HQSURILWH
pour rappeler le bain chaud bien connu qui atténue considérablement les
douleurs et accélère la dilatation ² PDLVLOIDXWGLVSRVHUG·XQHEDLJQRLUH

$ QRWHU DXVVL TX·LO H[LVWH -­ pour les perfectionnistes -­ une méthode


G·DFFRXFKHPHQW VDQV GRXOHXUV G·RULJLQH DPpULFDLQH : O·K\SQR-­naissance
enseignée en mini stages près de Toulouse, par François et Julie Gerland au 05
61 68 33 82 ou 05 61 68 33 02.

LA PÉRIDURALE
Ah la péridurale ! Cette "merveilleuse" invention qui facilite la naissance reflète
très bien la société dans laquelle nous vivons où tout fonctionne par le biais
G·pFUDQV  protecteurs de la réalité du "live". Ce menu séduisant,
systématiquement proposé aux femmes, est de nature à les rassurer et les
sécuriser. Pourtant cette technique délicate consistant à injecter un
DQHVWKpVLDQWGDQVODPRHOOHpSLQLqUHHVWORLQG·rWUHDQRGine. Aussi constate-­t-­
on de temps en temps des femmes se retrouvant paralysées du bas du corps
sur des périodes pouvant aller de 8 à 15 jours, ou avec des migraines intenses
sur les mêmes périodes HWWDQWSLVSRXUFHOOHVVXUTXLFHODWRPEH«

'·DSUqVO·$Perican Journal of Obstetrics and Gynecology", qui a fait


SDUDvWUHXQHpWXGHFRQFHUQDQWGHVIHPPHVD\DQWFKRLVLG·DFFRXFKHUVRXV
péridurale :

¤ La première phase du travail a duré en moyenne deux heures de plus,


¤ la deuxième phase a duré une heure de plus,
ʜSOXVGHODPRLWLpGHFHVIHPPHVRQWHXEHVRLQG·RF\WRFLQHSRXULQWHQVLILHU
le travail,
¤ quatre fois plus de femmes ont eu des bébés se présentant mal,
¤ deux fois plus de femmes ont eu recours aux forceps et ventouse,
ʜXQTXDUWG·HQWUHHOOHV  DDFFRXFKpVRXVFpVDULHQQH FRPSDUpDX[
pour le groupe qui avait choisi un accouchement sans médication !).

0DLVFHQ·HVWSDVWRXW/HDr Michel Odent -­ TXLDG€V·H[LOHUHQ$QJOHWHUUHHQ


UDLVRQ GH VHV WUDYDX[ WURS GpUDQJHDQWV SRXU OHV SRQWHV GH O·(VWDEOLVPHQW ² a
WpPRLJQp G·H[SpULHQFHV HIIHFWXHV VXU GHV EUHELV HW GHV WUXLHV TXH O·RQ D IDLW
DFFRXFKHUVRXVSpULGXUDOH(OOHVQHV·RFFXSDLHQWSDVGHOHXUVSetits, et parfois
même les tuaient. Bien sûr, cela ne veut pas dire que ceci soit valable pour la
IHPPH PDLV TXDQG PrPH LO VHPEOH TX·LO VXEVLVWH XQ UHOLTXDW GH GpVRUGUH
KRUPRQDO pPRXVVDQW TXHOTXH SHX O·LQVWLQFW PDWHUQHO /HV PqUHV FRQILHQW

 
253  
beaucoup plus facilement leur bébé à une autre personne comme si elles ne
YLYDLHQWSDVYUDLPHQWFHWLQVWLQFWIXVLRQQHOTXHO·RQUHWURXYHHQRXWUHFKH]OD
SOXSDUW GHV DQLPDX[« TXL Q·RQW SDV DFFRXFKp VRXV SpULGXUDOH !
Quand aux nouveau-­QpVDFFRXFKpVVRXVSpULGXUDOHO·RQconstate très souvent
chez eux une grande agitation qui peut perdurer plusieurs semaines, comme si
leur système nerveux avait été intoxiqué par la drogue au travers du placenta.

LA POSITION LITHOTOMIQUE
En fait, la généralisation de la péridurale est la cRQVpTXHQFHGHO·DFFRXFKHPHQW
en position dite lithotomique (allongée sur le dos, les jambes relevées) imposée
DX[IHPPHVSDUOHFRUSVPpGLFDOSDUFHTX·HOOHSHUPHWXQHPHLOOHXUHYLVLELOLWp
Très inconfortable pour la parturiente, cette position multiplie au moins par dix
OHV GRXOHXUV GH O·DFFRXFKHPHQW &RQWUDLUHPHQW j FH TXL HVW GLW FRXUDPPHQW
GDQV OD SUHVVH OD SpULGXUDOH QH UHQG SDV O·DFFRXFKHPHQW SOXV UDSLGH HW SOXV
facile. Elle est plutôt un facteur de complication.

Si les risques liés à la péridurale ont diminué au fil du temps pour la mère
GRXOHXUV FKURQLTXHV GX GRV QRWDPPHQW  RQ Q·HQ FRQQDvW SDV HQFRUH OHV
FRQVpTXHQFHV HW HIIHWV VHFRQGDLUHV SRXU O·HQIDQW Les fabricants américains
G·DQHVWKpVLTXHV XWLOLVpV SRXU OHV SpULGXUDOHV VH FRQWHQWHQW GH VLJQaler que
OHXU DFWLRQ j ORQJ WHUPH VXU OH I±WXV Q·D SDV pWp pWXGLpH SDV SOXV TXH OHXU
LPSDFW VXU OD YLH XOWpULHXUH GH O·HQIDQW Pour ce qui est des effets immédiats,
des études récentes ont montré de très nombreux effets négatifs sur les bébés
dont les mères ont reçu des antalgiques : atteinte du système nerveux central,
diminution des réactions sensori-­motrices (qui peuvent affaiblir la création de
OLHQVDYHFO·HQIDQW SHUWXUEDWLRQGHFRPSRUWHPHQWDOLPHQWDLUH ODPDMRULWpGHV
bébés souffrent de reflux gastrique), perturbation du réflexe de succion,
abaissement du score aux tests de développement infantile, augmentation de
O·LUULWDELOLWp

Il a été institué que les femmes ont besoin de médicaments pour résister aux
VRXIIUDQFHVGHO·DFFRXFKHPHQWPDLVHOOHVRnt le droit de les accepter ou de les
refuser. Durant le travail, il suffit de quelques mesures simples : marcher,
changer de position et ne pas rester sur le dos afin de diminuer le besoin de
médicaments. Le soutien et les encouragements des proches et des
"accompagnants" jouent également un très grand rôle. Les sages-­femmes, outre
leur compétence médicale, assurent un soutien psychologique important.

 
254  
/·e3,6,2720,(
7RXW FRPPH OD UXSWXUH GH OD SRFKH GHV HDX[ O·pSLVLRWRPLH IDLW SDUWLH GX
SURWRFROH2UFRQWUDLUHPHQWjXQHLGpHUHoXHO·pSLVLRWRPLHQHGLPLQXHSDVOH
risque de complications périnéales. Au contraire, elle le majore. Une étude
parue dans le Lancet (décembUH   PRQWUH TXH O·pSLVLRWRPLH HVW
systématique, elle concerne 83% des accouchées et on observe, post-­partum,
davantage de réparations chirurgicales, de douleurs périnéales et de
FRPSOLFDWLRQV GH FLFDWULVDWLRQ /RUVTXH O·LQGLFDWLRQ HVW UpIOpFKLH  GHs
parturientes la subissent. /HV LQMHFWLRQV G·RF\WRFLQH SRXU DFFpOpUHU OD
GLODWDWLRQ GX FRO QH ODLVVHQW SDV DX[ WLVVXV OH WHPSV GH V·LPSUpJQHU
G·KRUPRQHV HW GH VH GpWHQGUH FRUUHFWHPHQW &·HVW FHWWH PpGLFDWLRQ GH JHQV
pressés qui implique systématiquement OH UHFRXUV j O·pSLVLRWRPLH. Pour que la
PqUHpFKDSSHjODGpFKLUXUHSpULQpDOHHWjO·pSLVLRWRPLHLOIDXWTX·HOOHVRLWHQ
position verticale (accroupie, à quatre pattes) pour travailler avec la pesanteur
et non contre elle. De cette manière, la tête du bébé étire lentement le périnée,
sans provoquer de déchirure.

/·(;38/6,21
/RUVTX·XQHIHPPHDFFRXFKHGDQVXQHSDUIDLWHLQWLPLWpRQDVVLVWHDXPRPHQW
GHV GHUQLqUHV FRQWUDFWLRQV SUpFpGDQW O·DUULYpH GX EpEp j XQ UpIOH[H G·pMHFWLRQ
GX I±WXV 6RXYHQW MXVWH DYDQW O·RUDJH GH OD QDLVVDQFH OHV IHPPHV H[SULPHQW
XQHSHXUG·XQHIDoRQSOXVRXPRLQVGLUHFWH M·DLSHXUMHYDLVPRXULURXTX·HVW-­
FHTXLVHSDVVH" 6LSHQGDQWFHWWHEUqYHSKDVHGHWUDQVLWLRQLOQ·\DDXFXQH
interférence, si la femme peut exprimer sa peur librement, les fortes
FRQWUDFWLRQVG·pMHFWLRQVXUJLVVHQWGDQVWRXWHOHXUHIILFDFLWp&·HVWFHTXHMichel
Odent appelle "la peur physiologique". Lors de la dernière contraction, la future
mère est souvent debout, penchée en avant, appuyée sur un meuble,
suspendue à quelque chose ou a quatre pattes. Les déchirures sont très rares
DSUqVXQYpULWDEOHUpIOH[HG·pMHFWLRn car les femmes trouvent des positions qui
permettent une distension harmonieuse de la vulve.

LA SEPARATION DE LA MERE
/D SUpRFFXSDWLRQ PDMHXUH ORUV G·XQH QDLVVDQFH GRXFH GRLW rWUH GH QH SDV
perturber le couple mère-­EpEpHWGHQHSDVDYRLUG·DWWLWXGHDgressive envers le

 
255  
nouveau-­né. Dans les hôpitaux, on est généralement pressé de couper le
FRUGRQDORUVTX·RQGHYUDLWDWWHQGUHTXHOHVDQJQHEDWWHSOXVjO·LQWpULHXUSRXU
le faire.

2Q DVSLUH OH EpEp PrPH V·LO FULH pQHUJLTXHPHQW DORUV TX·LO Q·\ D DXFXQ
inconvénient à le laisser crachoter des glaires pendant un jour ou deux.

2QpYDOXHOHVFRUHG·$SJDU : on lui met des gouttes dans les yeux, on le pèse,


RQ UHFKHUFKH GHV PDOIRUPDWLRQV« HW SHXW-­rWUH TX·RQ OXL IDLW XQH GLVFUqWH
piquouse de je ne sais quel vaccin mystérieux. ?...

3XLV RQ OH VpSDUH GH VD PqUH SRXU TX·HOOH VH UHSRVH 7RXWHV FHV SUDWLTXHV
réduisent, de façon subtile, le contact mère-­bébé. Après une naissance
QDWXUHOOH OD PqUH HVW pYHLOOpH HW FRQVFLHQWH G\QDPLVpH SDU O·DFFRXFKHPHQW HW
désireuse de passer du temps avec son bébé sur son ventre, pour le toucher, le
regarder, le nourrir, tandis que le bébé a besoin de la présence réconfortante de
VDPqUHHWGHVDFKDOHXUGHVRQFRQWDFWGHVDYRL[GHVRQRGHXU/·H[DOWDWLRQ
TX·pSURXYHQW EHDXFRXS GH femmes après leur accouchement les aide à
dépasser leur épuisement.

QUAND LA SAGE-­FEMME EST REMPLACEE PAR UN


OBSTÉTRICIEN
Celui-­FLQHGHYUDLWLQWHUYHQLUTX·HQFDVGHSUREOqPH«

-­ Les pays qui ont les plus faibles taux de mortalité maternelle et périnatale
VRQW FHX[ TXL RQW OHV WDX[ OHV SOXV pOHYpV G·DFFRXFKHPHQWV VXLYLV SDU GHV
sages-­femmes (Pays-­Bas, pays scandinaves, Japon).

-­ /HVSD\VTXLRQWOHVWDX[OHVSOXVpOHYpVG·REVWpWULFLHQVRQWOHVWDX[OHVSOXV
élevés de césariennes (USA 25%).

-­ /·206 FRQVHille de faire appel à des sages-­femmes pour le suivi de la


grossesse, la naissance et les soins du nouveau-­né. Les résultats sont alors
meilleurs pour les mères et pour les bébés car les sages-­femmes proposent une
surveillance prénatale personnalisée. Elles respectent la naissance en tant que
processus normal et encouragent à faire des choix éclairés. Elles offrent aux
femmes désirant des accouchements normaux, naturels et doux, une
surveillance compétente de la grossesse.

 
256  
/·+Ñ3,7$/(67-­,//·(1'52,7/(3/8S SÛR POUR
ACCOUCHER ?
-­ 8QH pWXGH DPpULFDLQH SRUWDQW VXU  QDLVVDQFHV j O·K{SLWDO HW 
QDLVVDQFHVjODPDLVRQPRQWUHXQWDX[GHPRUWDOLWpLQIDQWLOHGHÆGDQVOHV
K{SLWDX[ FRQWUH Æ GDQV OHV QDLVVDQFHV j GRPLFLOH SODQLILpHV &HQWUH
américain de surveillance des maladies).

-­ Une autre étude menée par le Dr Lewis Mehl prouve que les complications et
OHVLQWHUYHQWLRQVVRQWEHDXFRXSSOXVIUpTXHQWHVjO·K{SLWDOTX·jODPDLVRQ

-­ Parmi les mères accouchant à la maison, 5% seulement reçoivent une


médication contre 75% parmi les mères hospitalisées.

-­ ,O\DIRLVSOXVGHFpVDULHQQHVjO·K{SLWDOTXHGDQVOHVQDLVVDQFHVSODQLILpHV
j GRPLFLOH SXLV WUDQVIpUpHV j O·K{SLWDO $ O·vOH 0DXULFH SUHVTXH WRXWHV OHV
IHPPHV TXL DFFRXFKHQW j O·K{SLWDO SDUFH TXH F·HVW JUDWXLW  RQW GURLW j XQH
césarienne. La raison est paraît-­il que les médecins accoucheurs, qui sont des
IRQFWLRQQDLUHV WRXFKHQW XQH SULPH G·LQWHUYHQWLRQ GX JRXYHUQHPHQW j FKDTXH
FpVDULHQQH« 'H SOXV FRPPH HOOHV VRQW VRXYHQW PDO UHFRXVXHV FHFL OHXU
entraîne un gros ventre disgracieux à vie... et un abonnement à la césarienne
pour les enfants suivants...

-­ /H WDX[ GH GpWUHVVHV I±WDOHV G·LQIHFWLRQV QpRQDWDOHV HW GH OpVLRQV GXHV j
O·DFFRXFKHPHQWHVWSOXVpOHYpFKH]OHVEpEpVQpVjO·K{SLWDO

-­ Le taux G·pSLVLRWRPLHV HVW  IRLV SOXV pOHYp FKH] OHV PqUHV KRVSLWDOLVpHV HW
elles souffrent 2 fois plus souvent de déchirures périnéales graves dues à
O·XWLOLVDWLRQGHVIRUFHSVHWjODSRVLWLRQOLWKRWRPLTXH

-­ /·206HVWLPHTXHOHVK{SLWDX[TXLRQWXQWDX[GHcésariennes supérieur à
 LQWHUYLHQQHQW WURS VRXYHQW GDQV OH GpURXOHPHQW GH O·DFFRXFKHPHQW &HV
pWXGHV FRPPH ELHQ G·DXWUHV VRXOLJQHQW TX·LO IDXW UpH[DPLQHU OD FUR\DQFH
JpQpUDOHTXLIDLWFURLUHTXHO·K{SLWDOHVWOHOLHXOHSOXVV€USRXUDFFRXFKHU Et
pHQGDQW FH WHPSV RQ IDLW OD JXHUUH DX[ VDJHV IHPPHV HW j O·DFFRXFKHPHQW j
domicile !

 
257  
56
CADDIES DES SUPERMARCHES
sont²ils dangereux pour les bébés ?

Selon une étude menée en Corée du sud, le point névralgique de ces chariots
est la barre de prise en main qui serait encore plus contaminée que les
SRLJQpHVGHSRUWHGHVWRLOHWWHVSXEOLTXHV SOXVG·XQPLOOLRQGHJHUPHVGHWRXWHV
sortes et de multiples traces de choses dégoûtantes type pipi -­ FDFD« /·pWXGH
PHW O·DFFHQW VXU OHV GDQJHUV GH FRQWDPLQDWLRQ TX·HQFRXUHQW HQ SDUWLFXOLHU OHV
petits enfants qui adorent se faire trimballer en tenant bien la barre avec leurs
SHWLWHV PDLQV HW PrPH TXHOTXHIRLV HQ OD VXoDQW« (Q O·RFFXUUHQFH OH UDSSRUW
conseille fortement de frotter la barre avec une lingette désinfectante à chaque
prise en compte.

Bien sûr, cette précaution peut paraître sage ;; pourtant je ne suis pas tout à
IDLWG·DFFRUG3DUH[HPSOHTXRLGHSOXVVXVSHFWSOXVVDOHTXHGHYLHX[ELOOHWV
de banque ? Un vrai bouillon de culture ! Qui met des gants pour les
manipuler ? Et alors, sommes-­nous pour autant décimés par des maladies
infectieuses ?

,VVX GX PLOLHX SD\VDQ M·DL SDVVp XQH ERQQH SDUWLH GH PD MHXQHVVH SDUPL OHV
vaches, les chevaux, les poules et les cochons, manipulant fumiers, purins et
crottes en WRXV JHQUHV PH EOHVVDQW UpJXOLqUHPHQW MXVTX·DX VDQJ HQ PLOLHX[
souvent très souillés (sans être vacciné du tétanos) et pas toujours la
SRVVLELOLWp GH PHWWUH XQ GpVLQIHFWDQW HW XQ  SDQVHPHQW VXU O·KHXUH« $ SDUW
quelques courtes réactions inflammatoires, il QH P·HVW MDPDLV ULHQ DUULYp GH
fâcheux.

En fait, le bébé qui joue à quatre pattes dans la poussière et les saletés,
FRQVWUXLWVHVGpIHQVHVLPPXQLWDLUHVG·XQHIDoRQELHQPRLQVGDQJHUHXVHHWELHQ
SOXV HIILFDFH TX·XQ SHWLW HQIDQW EDUGp GH YDFFLQV YLYDQW GDQV un milieu
aseptisé. Mais comparativement, la barre des caddies est²elle plus répugnante
que les additifs vaccinaux, où selon les vaccins on peut trouver :

GHV FHOOXOHV G·HPEU\RQV KXPDLQV GH O·DOEXPLQH KXPDLQH GX VDQJ GH
porc, de cheval, de mouton, de la cervelle de lapin ou de cobaye, des
UHLQV GH FKLHQ RX GH VLQJH GX F±XU GH E±XI GHV HPEU\RQV GH SRXOHW

 
258  
du sérum de veau, de la mort aux rats (borate de sodium dans le
*DUGDVLO GHO·DQWLJHO SKpQRO-­phénoxy-­éthanol), de la gélatine de peau de
porc, du polysorbate 80 (cancérigène), du glutaraldéhyde (vecteur de
malformations néonatales chez les animaux), sans parler du mercure et
GH O·DOXPLQLXP ELHQ FRQQXV GH WRXV HWF HW FH ERXLOORQ j OD
Frankeinstein en injection, pour être bien sûrs de contourner les
barrières de défenses naturelles !

A tout prendre, ne vaudrait-­il pas mieux laisser les gamins lécher les barres de
caddies plutôt que de les vacciner ?

 
259  
57
MARTYRE DES ANIMAUX DE BOUCHE
personne ne veut le savoir !

GHO·pOHYDJHHQFrance est pratiqué de façon intensive.


80% des poules pondeuses ne voient jamais le jour.
82% des poulets sont élevés dans des bâtiments clos et grandissent de
façon accélérée.
90% des cochons vivent confinés dans des bâtiments en béton.
et 99% des lapins VRQWpOHYpVHQEDWWHULHVDQVOLWLqUH«

/DJD]HOOHTXLILQLUDGDQVO·HVWRPDFGXOLRQQHVXELWSDVGXUDQWVRQH[LVWHQFHOH
triste sort réservé à la plupart des bêtes dites de boucherie. Celle-­ci aura
profité de la joie de vivre au grand air et de la liberté avant que son destin ne
V·DFFRPSOLVVH VXELWHPHQW 0DLV O·KRPPH GDQV VD FXSLGH LQVHQVLELOLWp V·DVVRLW
sur cet aspect, et maltraite les animaux comme de la vulgaire marchandise. Un
seul objectif : la rentabilité !

/·KRUUHXU HVW DX UHQGH]-­vous de enfer du GpEXW MXVTX·j OD ILQ GH YLH pFRXUWpH
DEDWWDJH +DODO HQ SULPH  5LHQ Q·HVW pSDUJQp : mutilations en règle, privation
de lumière du jour, impitoyable concentration au m², gavage, absence de
litière, immobilisation dans des barres de fer (truies), compléments
DOLPHQWDLUHV FKLPLTXHV YRLUH 2*0 KRUPRQHV G·DFWLYDWLRQ GH FURLVVDQFH
DQWLELRWLTXHV j RXWUDQFH« HW WUDQVSRUWV ORQJXH GLVWDQFH GDQV GHV FRQGLWLRQV
épouvantables.

Selon un sondage SRXUOHFRPSWHGHO·DVVRFLDWLRQGHSURWHFWLRQDQLPDOHL214,


SDUX HQ   GHV )UDQoDLV VRQW RSSRVpV j O·pOHYDJH LQWHQVLI ELHQ TX·LO
permette de consommer de la viande à bas prix. Ceci impliquerait de payer la
viande un peu pOXV FKHU RX VXUWRXW G·HQ UpGXLUH VD FRQVRPPDWLRQ WRXW OH
PRQGHDGPHWTX·RQHQPDQJHbeaucoup trop).

3RXUPHWWUHILQjO·pOHYDJHLQWHQVLIFRQFHQWUDWLRQQDLUH
F·HVWDX[FRQVRPPDWHXUVGHUHMHWHUWRXWSURGXLW
non garanti issu du plein air en liberté (relative)

 
260  
3UpWHQGUHjXQHVDQWpGXUDEOHHQVHUpJDODQWGHYLDQGHPDUW\ULVpHUHOqYHG·XQH
FRXSDEOHGpVLQYROWXUHTXLDPDLQWHQDQWSHXGHFKDQFHG·rWUHH[DXFpHGDQVOH
cadre de la nouvelle conscience planétaire. Le genre humain ne peut prétendre
DX[\HX[GHO·8QLYHUVjDXFXQHUHVSHFWDELOLWpDXFXQHpYROXWLRQSURIRQGHWDQW
TX·LO QH YHLOOH SDV j FH TXH VRLHQW DVVXUpV OH ELHQ-­être des animaux et leur
intégrité dans la dignité de leur programme biologique.

La cruauté entre humains ne cessera jamais


WDQWTX·HOOHSHUGXUHUDYLV-­à-­vis des animaux

NOTA VLYRXVrWHVDGHSWHGHODYLDQGHV·LOYRXVSODLWD\H]OHFRXUDJHGH
consulter le site http://www.l214.com/.

LA BARBARIE DE /·e/(9$*(,17(16,)

'HSXLVXQHFLQTXDQWDLQHG·DQQpHVO·DJULFXOWXUHIUDQoDLVHSRXUVXLWVDFRXUVHj
OD SURGXFWLYLWp G·R OH GpYHORSSHPHQW GHV pOHYDJHV LQGXVWULHOV /D JUDQGH
PDMRULWp GHV DQLPDX[ HVW DXMRXUG·KXL pOHYpH LQWHQVLYHPHQW« FH TXL HVW
catastrophique pour leurs conditions de vie.
Toujours plus de bêtes, plus de production, plus de rentabilité... En élevage, la
SROLWLTXH GX WRXMRXUV SOXV HVW j O·RULJLQH GH FULVHV VDQLWDLUHV ELHQ FRQQXHV 
vache folle, épizooties, pollutions des eaux, introduction aveugle des OGM dans
O·DOLPHQWDWLRQ DQLPDOH HWF 0DLV FHWWH LQWHQVLILFDWLRQ VRXOqYH DXVVL XQ
problème éthique : ODFUXDXWpHQYHUVOHVDQLPDX[«

7RXWH OHXU YLH OHV DQLPDX[ G·pOHYDJHV LQGXVWULHOV VXELVVHQW GHV WUDLWHPHQWV
épouvantables : confinePHQW j O·LQWpULHXU PXWLODWLRQV WUDQVSRUWV VWUHVVDQWV
DEDWWDJHVHQPDVVH«FHTXHGpQRQFHOD3URWHFWLRQ0RQGLDOHGHV$QLPDX[GH
Ferme (PMAF)  ­ O·LQYHUVH O·DVVRFLDWLRQ GpIHQG GHV SUDWLTXHV VRXFLHXVHV GX
bien-­rWUH DQLPDO WHOOHV O·DJULFXOWXUH ELRORJLTXH ou Label Rouge, qui
garantissent notamment une litière et un accès en plein air, mais aussi les
pOHYHXUV IHUPLHUV TXL IRQW GHV HIIRUWV PrPH VDQV FHUWLILFDWLRQ« YRLUH FUpHQW
leur propre marque "durable", tel Thierry Schweitzer éleveur de porcs, salué
par la SPA.

 
261  
LE CALVAIRE DES VACHES

(QpOHYDJHLQWHQVLIOD30$)GpSORUHO·DXJPHQWDWLRQDUWLILFLHOOHGHODSURGXFWLRQ
de lait des vaches, par une alimentation trop riche et des années de sélection
JpQpWLTXH 3UqV G·XQ WLHUV GHV YDFKHV ODLWLqUHV HQ )UDQFH VRXIIUHQW DLQVL GH
mammites (infections souvent douloureuses des pis) et 25% de boiteries dues
notamment à des mamelles bien trop grosses. Leurs aliments, concentrés et
hyper protéiniques, peuvent également leur causer des problèmes digestifs, des
acidoses et aussi des boiteries.

Les bébés veaux destinés à la viande sont quant à eux enlevés à leur mère trois
MRXUVDSUqVODQDLVVDQFHDYDQWG·rWUHHQJUDLVVpVVXUFDLOOHERWLVGDQVGHVER[
VDQVOLWLqUHHWPDLQWHQXVHQVXUYLHMXVTX·jO·DEDWWDJHDYHFGHVDQWLELRWTXHV«
Régalez-­vous !

LE CALVAIRE DES LAPINS

En France plus de 40 millions de lapins vivent en cage sur un sol grillagé,


VRXUFH G·LQFRQIRUW SHUPDQHQW HW GH EOHVVXUHV DX[ SDWWHV /HV pOHYDJHV
comptent en moyenne plus de 6.000 animaux. Les lapins sont très craintifs.
Ces malheureux animaX[ GLVSRVHQW GH OD VXUIDFH G·XQH IHXLOOH GH SDSLHU $
chacun, durant toute leur courte vie. Il leur est impossible de se dresser, de se
FDFKHUGHERQGLUGHURQJHUGHIRXLQHU«
La nourriture des lapins est supplémentée en vitamines, minéraux,
antibiotiques et autres médicaments. Pourtant, 25% des lapins meurent avant
G·DWWHLQGUHO·kJHRLOVVRQWDEDWWXV (au bout de deux mois et demi).

LE CALVAIRE DES POULES

Plus de 89% des 50 millions de poules pondeuses élevées chaque année en


France et 80% des 830 millions de poulets de chair vivent dans des hangars
pFODLUpVDUWLILFLHOOHPHQWSRXYDQWFRQWHQLUGHjYRODWLOHV« Les
poulets y sont entassés à raison de 15 à 24 par m2 et les poules se serrent à 4
RXGDQVGHVUDQJpHVGHFDJHVVXSHUSRVpHV«

 
262  
"Chaque poule ne dispose pas de plus de 550 cm2,
F·HVW-­à-­GLUHSDVPrPHO·pTXLYDOHQWG·XQHIHXLOOH$

Ne pouvant se mouvoir normalement, ni étendre les ailes, la plupart des


volailles ont les os fragilisés, voire brisés. Dans ces élevages industriels, les
poulets sont abattus à 40 jours au lieu de 80 en bio ou en label Rouge. Il faut
DXVVL GLUH TXH O·DJULFulture intensive utilise des souches de poulets à
croissance rapide, interdites en bio et label Rouge, qui font que le corps des
animaux se développe très rapidement, mais pas le coeur, ni les poumons, ni
OHVSDWWHV«
De ce fait, des millions de poulets connaissent de douloureuses déformations
GHVSDWWHVHWGHVLQVXIILVDQFHVFDUGLDTXHV« Zoé Busea)

PAIX À VOTRE CONSCIENCE ET À VOTRE VENTRE !


(W«%211(6$17e­9286

Nota : pour mettre fin rapidement à toutes ces horreurs, pas besoin de pétitions,
ni de lois à voter,

$55È7(=6,03/(0(17'·$&+(7(5(7'(&216200(5&(6352'8,76
DE LA HONTE QUI NE CORRESPONDENT PAS À NOTRE CIVILISATION.

9RLFLXQERXWG·DUWLFOHUXEULTXH$LJOHPRTXHXUTXHM·DLpFULWLO\DTXHOTXHV
années dans le journal Pratique de santé :
Je connais une baroudeuse médecin, le Dr Florence T. qui a effectué (entre
autres) un merveilleux travail de terrain pour la défense des orangs-­outangs
dans les zones reculées de la forêt vierge de Sumatra. Son guide surnommé
Tarzan est marié avec une MHXQH IHPPH XQ SHX« DQWKURSRSKDJH TXDQG XQH
RFFDVLRQVHSUpVHQWH(OOHHVWDXGHPHXUDQWDVVH]MROLH M·DLVDSKRWR HWJHQWLOOH
fume des cigarettes américaines, bref, paraît aussi moderne que vous et moi.
Alors pourquoi ce penchant en outre dépourvu de toute culpabilité malgré sa
récente conversion religieuse ? Traditions ancestrales ? Religion ? Croyances ?
Pas du tout ! Tenez-­YRXV ELHQ F·HVW SDU VLPSOH *2850$1',6(  6RQ PRUFHDX
préféré, les pieds !

6LM·pYRTXHFHODF·HVWSRXUIDLUHXQSDUDOOqOHDYHFle comportement actuel de la


SOXSDUWG·HQWUHQRXV/·RQDEHDXH[SOLTXHUTX·DYHFPLOOLDUGVG·KXPDLQVVXU
la planète nous ne pouvons plus nous offrir le luxe de manger des animaux,
TXH FKDTXH DQQpH SOXV GH  PLOOLRQV G·HQIDQWV HW G·DGXOWHV PHXUHQW GH
malnutrition ou de famine dans les pays pauvres, simplement parce que leurs

 
263  
terres leur ont été confisquées pour cultiver des céréales (OGM) devant nourrir
OHVYDFKHVjO·XVDJHGHVFDUQLYRUHVRFFLGHQWDX[TX·jFDXVHGHVFDUQLYRUHV
hectares de forêt tombe chaque minute, que la consommation de viande utilise
GHVUpVHUYHVG·HDXPRQGLDOHVHWF

/·RQDEHDXH[SOLTXHUTXHOHVOpJXPLQHXVHVVRQWELHQSOXVULFKHVHQSURWpLQHV
TXHQ·LPSRUWHTXHOOHYLDQGHTX·LO\DHQ(XURSHPLOOLRQVGHYpJpWDULHQVTXL
se porWHQW PLHX[ TXH OHV DXWUHV HW TXL RQW  IRLV PRLQV GH FDQFHUV /·RQ D
EHDX GpQRQFHU OHV FRQGLWLRQV DWURFHV GH O·pOHYDJH HQ EDWWHULH OD SROOXWLRQ
chimique de la viande, etc., ULHQQ·\IDLW ! On ne veut pas le savoir !

Ceux qui osent encore démontrer que consommer des animaux est
LQGLVSHQVDEOH j OD VDQWp HVVD\HQW GH VH GpGRXDQHU G·XQH pGXFDWLRQ GX JR€W
rétrograde qui se veut aveugle de tous les malheurs et les souffrances
SODQpWDLUHVTX·HOOHHQJHQGUH

Tu dis que tu aimes les fleurs et tu leur coupes la queue, tu


dis que tu aimes les chiens et tu leur mets une laisse, tu dis
que tu aimes les oiseaux et tu les mets en cage, tu dis que tu
m'aimes, alors moi j'ai peur.
Jean Cocteau

e/(9$*('(6325&6/·,1',*1$7,21

,O\DTXHOTXHVDQQpHVGHSDVVDJHDXVDORQGHO·DJULFXOWXUHBruno Le Maire, à
O·pSRTXHPLQLVWUHGHO·DJULFXOWXUHDGpFODUp
"1RWUHPRGqOHDJULFROHHWDOLPHQWDLUHHVWXQIDFWHXUG·LGHQWLWpGDQVQRWUHSD\V,O
doit être aussi un exemple et un modèle pour le monde".
(Q GpFRXYUDQW OD YLGpR G·HQTXrWH tournée récemment dans des élevages de
FRFKRQV IUDQoDLV O·DQFLHQ PLQLVWUH GH O·DJULFXOWXUH VRXWLHQGUDLW-­il encore sa
GpFODUDWLRQ VXUWRXW IDFH DX[ LPDJHV G·XQ DEDWWRLU CHARRAL tournées par
L214 ? Pleurez en regardant : www.214.com

/DJUDQGHXUG·XQHQDWLRQHVWjO·LPDJHGHODIDoRQGRQWHOOH
traite les animaux. (Gandhi)

En France, plus de 25 millions de cochons sont abattus chaque année dans les
abattoirs. 96% Q·RQW MDPDLV IRXOp OH VRO H[WpULHXU pWDQW HQIHUPpV VXU GHV

 
264  
caillebotis de leur naissance à leur mort. Les caillebotis sont des sols ajourés
TXLSHUPHWWHQWDX[H[FUpPHQWVGHV·pYDFXHUOHOLVLHUHVWHQVXLWHUpFXSpUpGDQV
des fosses et est utilisé en épandage.
$VDYRLUTXHO·HQVHPEOHGXOLVLHUEUHWRQUHSUpVHQWHO·pTXLYDOHQWGHVH[FUpPHQWV
de toute la population française. La Bretagne, qui réalise 50% de la production
SRUFLQH IUDQoDLVH HW TXL FRQFHQWUH pJDOHPHQW G·DXWUHV pOHYDJHV FRQQDvW OH
problème des DOJXHVYHUWHV&·HVWODSUHPLqUHUpJLRQpPHWWULFHG·DPPRQLDF

'·DSUqV OD ILOLqUH OHV pOHYDJHV IUDQoDLV FRPSWHQW HQ PR\HQQH  WUXLHV SDU
élevage. Certains élevages comptent plus de 500 truies. Les cochons sont dopés
aux antibiotiques pour pouvoir tenir dans ces univers concentrationnaires.
56% des antibiotiques vétérinaires sont utilisés dans les élevages porcins, soit
675 tonnes de matière antibiotique active (que vous allez consommer !).

3RXU OLPLWHU OHV SHUWHV OLpHV j FHV FRQGLWLRQV G·pOHYDJH LQWHQVif, les porcs
subissent peu après leur naissance des mutilations telles que la coupe des
queues ou le meulage des dents. Les porcelets sont également castrés à vif. Ces
opérations intensément douloureuses sont quasi systématiques en France.
Pour les porcelHWV FKpWLIV FRQVLGpUpV FRPPH QRQ YLDEOHV O·HXWKDQDVLH SDU
DVVRPPDJH FRQWUH XQ PXU RX j O·DLGH G·XQH PDVVH ELHQ TX·LOOpJDOH HVW
couramment pratiquée.

GHVSRUFV  PHXUHQWDYDQWO·kJHGHGpSDUWSRXU


O·DEDWWRLU
Les autres ne sont que des malades survivants.

/·DVVRFLDWLRQ GpQRQFH O·HQIHUPHPHQW HQ)UDQFH GH SOXV G·XQ PLOOLRQ GH WUXLHV
en gestation dans des stalles individuelles. Les truies mettent bas dans des
sortes de cages en gros barreaux de fer (stalles) où elles ne peuvent effectuer
aucun déplacement sauf se lever ou se coucher. De nombreuses truies passent
O·LQWpJUDOLWpGHOHXUYLHGDQVFHVVWDOOHV0DLQWHQLUGHVWUXLHVHQVWDOOHSHQGDQW
la majeure partie de leur gestation devait être interdit en 2013 ! Mais cela est²
il réellement appliqué ?
Dans le reportage http://www.l214.com, O·RQ YRLW FRPPHQW OD PDPDQ WUXLH
complètement entravée essaye de lécher ses petits sans y parvenir. Quelle
misère ! Comment des gens peuvent-­ils avoir le coeur suffisamment insensible
pour gagner leur vie par de telles procédures ?

Lorsque vous mangez du porc, voilà à quoi vous participez !

 
265  
RACISME ENVERS LES ANIMAUX

-·DSSUpFLH JpQpUDOHPHQW ORUVTX·LO P·HVW SRVVLEOH GH OD UHJDUGHU O·pPLVVLRQ GH
Michel Druker "Vivement dimanche prochain", que je trouve généralement
très sympathique, drôle et enrichissante. Pourtant, dans celle du dimanche 9
MDQYLHU  M·DL pWp GpUDQJp SDU XQH LQFRPSDWLELOLWp IODJUDQWH HQWUH GHX[
personnages en présence : celle de la présidente madame veuve Hutin de 30
PLOOLRQVG·DPLV (qui sont en fait 45 millions actuellement), et de celle de Jean-­
Pierre Coffe DYHF VD ELGRFKH j WRXWHV OHV VDXFHV JRXUPDQGHV G·DQLPDX[-­
PDUFKDQGLVH TXL Q·RQW SDV OD FKDQFH G·DYRLU XQ VWDWXW G·LPPXQLWp FRPHVWLEOH
comme nos petits chéris de compagnie, les nantis de la gent animale.

-·DLG·DLOOHXUVELHQVHQWLjXQPRPHQWXQFHUWDLQPDODLVHGHMichel Drucker qui


Q·DMDPDLVFDFKpVRQJUDQGDWWDFKHPHQWSRXUOHVDQLPDX[G·DXWDQWSOXVTXH
son épouse Dany Saval mène un sacerdoce légendaire pour cette cause. Moi
TXLVXLVYpJpWDULHQGHORQJXHGDWHM·DLWURXYpGpVDVWUHXVHPHQWUpWURFHWpWDODJH
UpFXUUHQWGHUHFHWWHVJDVWURQRPLTXHVG·XQDXWUHkJHGH3DS\&RIIH 3DL[jVRQ
âme, maintenant).

3RXU rWUH LQQRYDQW Q·DXUDLW-­il pas été plus opportun, cher Michel Drucker, de
VH PHWWUH GDQV OH YHQW GH O·pYROXWLRQ IXWXULVWH HW GX FLYLVPH SODQpWDLUH HQ
enseignant plutôt de merveilleuses recettes végétariennes, (et il y en a à la pelle
  FDU EHDXFRXS GH IHPPHV VRXV O·LPSXOVLRQ GH QRV DPLV JHUPDQLTXHV HW
autres européens, sont actuellement en recherche de tuyaux pour convertir
progressivement leur cuisine familiale.
Merci pour les poulets, les canards, les oies, les lapins, les petits veaux, les
SHWLWV DJQHDX[ OHV SRUFHOHWV PLOOLDUGV G·LQQRFHQWV TXL RQW GHV yeux pour
UHJDUGHU OHXUV ERXUUHDX[ HW DXVVL OHV PLOOLDUGV GH SRLVVRQV TXL Q·RQW SDV OD
chance de savoir crier !

DES CROQUETTES VEGETALES POUR CHIENS ET CHATS

,O HVW XQ SHX DEVXUGH ORUVTX·RQ HVW YpJpWDULHQ GH GHYRLU DOOHU FKH] OH ERXFKHU
pour nourrir nos petits compagnons soi-­disant carnivores. Sacrifier des
millions de bêtes élevées pour nourrir nos 45 millions de chats et chiens en

 
266  
)UDQFH F·HVW XQ SHX IRX DORUV TXH GHV PLOOLRQV G·KXPDLQV PHXUHQW SOXV RX
moins de famine à cause de notre maudit élevage bovin (1,4 milliard sur la
planète) qui assure le marché mondial de la viande.

-·DYDLV GRQF UpGLJp HQ  XQ DUWLFOH GDQV OH -0' DQQRQoDQW O·H[LVWHQFH GH
croquettes végétariennes pour chiens (AMIDOG) et chats (AMICAT  G·RULJLQH
italienne, et qui EpQpILFLDLHQW G·XQH H[SpULHQFH GH SOXV GH  DQQpHV 1RXV
possédions un berger allemand qui est allé jusqu'à 14 ans, et qui était
totalement sous régime végétarien. À noter que cette race de chiens dépasse
rarement les 11 ans et se paralyse du train arrière ;; le notre -­ malgré un
affaiblissement progressif -­ GHFHF{WpWURWWLQDLWHQFRUHG·DXWDQWSOXVTXHMHOXL
donnais HEKLA LAVA en 12 CH pour dissoudre les calcifications éventuelles
des trous de conjugaison de son bassin.

%UHIOHFULWqUHGHYDOLGLWpG·XQSURGXLWDOLPHQWDLUHUpVLGHG·DERUGGDQVODVDQWp
des animaux mais aussi dans la pérennité de leur faculté de reproduction. Or,
des essais qui ont été réalisés avec une nourriture exclusive de croquettes du
marché courant sur des chats et des chiens montrHQW TX·HQ SUHPLqUH
génération leur vie se termine souvent par un cancer, en deuxième génération,
il se développe tôt dans leur vie diverses maladies allergiques ou génétiques, en
WURLVLqPH JpQpUDWLRQ EHDXFRXS GH I±WXV Q·DUULYHQW SDV j WHUPH HW HQ
quatrième génération les animaux sont stériles. Ceci ne se produit pas avec les
croquettes AMIDOG et AMICAT.

Nota : les croquettes Amicat contiennent de la taurine en plus, élément


indispensable sans lequel les chats deviendraient aveugles et mourraient
prématurément.
Enfin, il est bien sûr conseillé de mélanger ces croquettes à du riz/carottes pour
le ballast intestinal.
Fournisseur : ALTERNATURE
Tél. : 03.89.68.13.47 www.alternature.com

 
267  
58
NOUS SOMMES DEVENUS DES "OGRES"
«jQRWUHLQVX

'DQV OH FpOqEUH ILOP G·DQWLFLSDWLRQ DPpULFDLQ de 1973 "Le soleil vert", des
publicités vantaient continuellement les bienfaits de ce nutriment magique
pour la santé, cette poudre nommée : SOLEIL VERT qui était en fait très
secrètement obtenue à partir du recyclage des morts.

(WELHQRQ\YLHQWGRXFHPHQWHQFRPPHQoDQWSDUOHVI±WXVDYRUWpV² Rien ne
se perd ! Même les végétariens sont maintenant devenus des cannibales
nécrophages TXLV·LJQRUHQW. Alors que la nature nous offre tant de merveilleux
aliments de santé à bon marché, nous sommes tous invités aux tentations de
la table du Diable, qui séduit par des plaisirs factices du goût, au mépris de
toute morale, rabaissant ainsi notre société au niveau des bas-­fonds
PDUpFDJHX[G·XQHGpFDGHQFHFUDVVH

OUI, les principales sociétés alimentaires utilisent des tissus de bébés avortés
pour fabriquer des additifs aromatisants dans les aliments transformés.

En particulier, une société Californienne spécialisée, connue sous le nom de


Senomyx, utilise des cellules embryonnaires avortées pour tester des
nouveaux produits chimiques aromatisants artificiels, à la fois salés et sucrés,
HQ YXH G·rWUH DMRXWpV j GHV ERLVVRQV JD]HXVHV GHV ERQERQV HW GHV ELVFXLWV
HWF«Senomyx a conclu un partenariat avec de grands fabricants de produits
alimentaires pour introduire ses additifs dans toutes sortes de produits
alimentaires industriels que des millions de consommateurs consomment
chaque jour.

NOM DE CODE : "HEK-­293"


&·HVW OD OLJQpH FHOOXODLUH GH I±WXV KXPDLQV DYRUWpV XWLOLVpH SDU Senomyx, qui
est manipulée pour évaluer comment le palais humain réagira aux saveurs
synthétiques utilisées dans la production d'aliments transformés. Etant donné
que la plupart des aliments transformés sont généralement dénués de toute
saveur ou d'attrait gustatif, des entreprises chimiques se sont spécialisées pour

 
268  
développer des saveurs artificielles goûteuses (qui sont d'ailleurs souvent
étiquetées "saveurs naturelles").

Comme ces ingrédients peuvent être légalement déguisés avec des descriptions
vagues comme "arômes artificiels" et même "arômes naturels," la plupart des
FRQVRPPDWHXUVQ·LPDJLQHUDLHQWMDPDLVTXHFHVDGGLWLIVXWLOLVHQWGHVWLVVXVGH
EpEpVjQDvWUHTXLRQWpWpDYRUWpV&DUF·HVWWHOOHPHQWJURVTXHO·RQDGXPDOj
le croire ! Oui, des vaccins, des produits de beauté, des boissons et produits
alimentaires, des bonbons, contiennent des produits chimiques fabriqués à partir
de bébés à naître. 0DLV j TXRL VHUYLUDLW FHWWH DOHUWH PDFDEUH VL QRXV Q·DOOLRQV
SDV MXVTX·DX ERXW HQ GpQRQoDQW SUpFLVpPHQW OHV SULQFLSDX[ DFWHXUV de cette
VLQLVWUHFXLVLQHTXLQRXVWUDLWHQWFRPPHGHVDQLPDX[G·pOHYDJH5LHQQHVHUW
GHV·LQGLJQHUGHSHVWLIpUHUGHSpWLWLRQQHUGHX[VHXOHVDFWLRQVVRQWHIILFDFHV :

1 ² La transmission au plus grand nombre,

2 ² le boycott total de tous les produits et fournisseurs cités.

Il y a probablement beaucoup plus de produits concernés -­ votre


PHLOOHXUREMHFWLIHVWG
pYLWHUSDUSULQFLSHOHPD[LPXPG·DOLPHQWVHW
produits transformés en général.

VACCINS CONTENANT DES TISSUS DE BEBES AVORTES


‡005,, GH0HUFN -­ rougeole, oreillons, rubéole
‡3UR4XDG GH0HUFN -­ MMR + varicelle
‡9DULYD[ GH0HUFN -­ Varicelle
‡3HQWDFHO GH6DQRIL3DVWHXU -­ Polio + DTaP + Hib
‡9DTWD GH0HUFN -­ Hépatite A
‡+DYUL[ GH*OD[R6PLWK.OLQH -­ Hépatite A
‡7ZLQUL[ GH*OD[R -­ Hépatite A et B
‡=RVWDYD[ GH0HUFN ² Zona
‡,PRYD[ GH6DQRIL3DVWHXU -­ Rage

MÉDICAMENTS CONTENANT DES TISSUS DE BEBES AVORTES


‡3XOPR]\PH GH*HQHWHFK -­ Fibrose kystique
‡(QEUHO GH$PJHQ -­ Polyarthrite rhumatoïde

 
269  
MARQUES UTILISANT DES TISSUS DE BEBES AVORTES
POUR AFFINER LE GOÛT

LES BOISSONS PEPSI

‡7RXWHVOHVERLVVRQVJD]HXVHV3HSVL
‡/HVERLVVRQVJD]HXVHV6LHUUD0LVW
‡/HVERLVVRQVJD]HXVHV0RXQWDLQ'HZ
‡/D Mug Root Beer
‡%RLVVRQV1R)HDU
‡/HVERLVVRQV2FHDQ6SUD\
‡/H%HVW&RIIHHGHSeattle
‡/HVERLVVRQV7D]R
‡/HVERLVVRQV$03(QHUJ\
‡/
HDX$TXDILQD
‡/HVERLVVRQVDURPDWLVpHV$TXDILQD
‡%RLVVRQVpQHUJpWLTXHV'RXEOHVKRW
‡/HVERLVVRQV)UDSSXFFLQR
‡/HWKp/LSWRQHWDXWUHVERLVVRQV
‡/HVERLVVRQV3URSHO
‡/HVERLVVRQV6R%H
‡/HVERLVsons Gatorade
‡/HVERLVVRQV)LHVWD0LUDQGD
‡/HVMXVHWERLVVRQV7URSLFDQD

LES PRODUITS NESTLE

¤ Toutes les crèmes au café


¤ Les soupes instantanées Maggi
¤ Les cubes de bouillons
¤ Ketchups
¤ Sauces
¤ Assaisonnements
¤ Nouilles instantanées

LES PRODUITS KRAFT -­ CADBURY ADAMS

‡/HFKHZLQJJXP%ODFN-DFN
‡/HEXEEOHJXP%XEEDORR

 
270  
‡/HEXEEOHJXP%XEEOLFLRXV
‡/HV&KLFOHWV
‡/HV&ORUHWV
‡'HQW\QH
‡/HFKHZLQJJXP)UHVKHQ8S
‡/HFKHZLQJJXP6RXU&KHUU\ OLPLWp
‡/HFKHZLQJJXP6RXU$SSOH OLPLWp
‡6WULGH
‡7ULGHQW

LES BONBONS CADBURY ADAMS

‡/HV6RXU&KHUU\%ODVWHUV
‡/HV)UXLW0DQLD
‡/HVUpJOLVVHVGH%DVVHWWGHWRXWHVVRUWHV
‡/HV0D\QDUGV:LQH*XP
‡6ZHGLVK)LVK
‡6ZHGLVK%HUULHV
‡-XLF\6TXLUWV
‡2ULJLQDO*XPPLHV
‡)X]]\3HDFK
‡6RXU&KLOOHUV
‡6RXU3atch Kids
‡0LQL)UXLW*XPV
‡&HUWVEUHDWKPLQWV
‡+DOOV&RXJK'URSV

LES PRODUITS DE "BEAUTE" NEOCUTIS

Neocutis utilise des cellules de bébés mâles avortés après une période de
gestation de 14 semaines dans leurs crèmes anti-­rides. Les crèmes suivantes
TX
LOVYHQGHQWFRQWLHQQHQWGHVFHOOXOHVI±WDOHVGHEpEpVDYRUWpVPDLVQRXV
devons boycotter tous leurs produits.

‡/H%LR-­Gel Prevederm Journée


‡/H%LR-­Serum Lumière
‡/D%LR5HVWRUDWLYH6NLQ&UHDP

Sources http://www.endalldisease.com                http://www.ewg.org


http://www.naturalnews.com

 
271  
59
NOUS NE SOMMES PAS DES OMNIVORES
OHVSUHXYHV«

La grande majorité des gens a été éduquée pour croire que nous sommes
omnivores. Pourtant, O·DQDWRPLH KXPDLQH PRQWUH TXH QRXV Q·DYRQV SDV pWp
SK\VLRORJLTXHPHQW SUpYXV SRXU PDQJHU GH OD FKDLU G·DQLPDX[ QL PrPH GH
poisson.
En particulier, il faut remarquer que :
‡   /·+RPPH D H[DFWHPHQW OHV PrPHV FDUDFWpULVWLTXHV DQDWRPLTXHV HW
physiologiques que les herbivores et non celles des omnivores ou des
carnivores.
‡   1RV FDQLQHV RQW OD PrPH WDLOOH TXH OHV DXWUHV GHQWV  F·HVW OH FDV GHV
herbivores.
‡   De plus, contrairement DX[RPQLYRUHVHWFDUQLYRUHVO·+RPPHGRLWFXLUH
la viande et inventer des recettes pour la rendre plus digeste et anonyme
-­ HWODYXHG·XQFDGDYUHGpJR€WHOHVJHQVQRUPDX[SOXW{WTXHGHOHVIDLUH
saliver.
‡   Les enfants en bas âge détestent généralement la viande. Il faut les forcer
RX OHV IRUPDWHU SRXU GHYHQLU JUDQG HW IRUW FRPPH SDSD« RX OH FKHI
comme maman !).
9RLFLOHVUpVXOWDWVG·XQHpWXGHVFLHQWLILTXHFRPSDUDWLYHVXUSRLQWVHQWUH
Carnivores/Omnivores/Herbivores et Humains, qui donne à réfléchir :

&$3$&,7('(/·(6720$&
Carnivore : 60-­GXYROXPHWRWDOGHO·DSSDUHLOGLJHVWLI
Omnivore : 60-­GXYROXPHWRWDOGHO·DSSDUHLOGLJHVWLI
+HUELYRUHPRLQVGHGXYROXPHWRWDOGHO·DSSDUHLOGLJHVWLI
+XPDLQjGXYROXPHWRWDOGHO·DSSDUHLOGLgestif.

$&,',7('(/·(6720$&
Carnivore : pH inférieur ou égal à 1.
Omnivore : pH inférieur ou égal à 1.
Herbivore : pH variant entre 4 et 5.

 
272  
Humain : pH variant entre 4 et 5.

SALIVE :
Carnivore : Acide, Glandes salivaire peu développées, Pas de ptyaline.
Omnivore : Acide, Glandes salivaire peu développées, Pas de ptyaline.
Herbivore : Alcaline, Beaucoup de ptyaline, Glandes salivaires développées.
Humain : Alcaline, Beaucoup de ptyaline, Glandes salivaires développées.

CANINES :
Carnivore : Très longues, fortes, grosses.
Omnivore : Très longues, fortes, grosses.
Herbivore : Taille réduite ou inexistantes.
Humain : Taille réduite.

FOIE :
&DUQLYRUH'pVLQWqJUHWUqVELHQO·DFLGHXULTXHHWODYLWDPLQH$
2PQLYRUH'pVLQWqJUHWUqVELHQO·DFLGHXULTXHHWOa vitamine A.
+HUELYRUH'pVLQWqJUHXQLTXHPHQWO·DFLGHXULTXHSURGXLWSDUOHFRUSVHWPDOOD
vitamine A.
+XPDLQ'pVLQWqJUHXQLTXHPHQWO·DFLGHXULTXHSURGXLWSDUOHFRUSVHWPDOOD
vitamine A.

PEAU :
Carnivore : Pas de pores. Refroidissement par halètement.
Omnivore : Pas de pores. Refroidissement par halètement.
Herbivore : Beaucoup de pores. Transpiration par la peau.
Humain : Beaucoup de pores. Transpiration par la peau.

INTESTIN GRELE :
Carnivore : 3 à 6 fois la longueur du corps.
Omnivore : 4 à 6 fois la longueur du corps.
Herbivore : 10 à 12 fois la longueur du corps.
Humain : 10 à 11 fois la longueur du corps.

ONGLES :
Carnivore : Griffes (fortes, dures).
Omnivore : Griffes (fortes, dures).
Herbivore : Ongles mous (ou sabot).
Humain : Ongles mous.

 
273  
MÂCHOIRE :
Carnivore : Mobile verticalement (pour déchirer, lacérer).
Omnivore : Mobile verticalement (pour déchirer, lacérer).
Herbivore : Mobile verticalement et latéralement (pour mastiquer, broyer).
Humain : Mobile verticalement et latéralement (pour mastiquer, broyer).

MUSCLES MACHOIRE :
Carnivore : Muscle temporal.
Omnivore : Muscle temporal.
Herbivore : Muscle masséter.
Humain : Muscle masséter.

URINE :
Carnivore : Acide.
Omnivore : Acide.
Herbivore : Alcaline.
Humain : Alcaline.

VITAMINE C :
Carnivore : Capable de synthétiser avec son organisme.
Omnivore : Capable de synthétiser avec son organisme.
Herbivore : Nécessite un apport quotidien par la nourriture.
Humain : Nécessite un apport quotidien par la nourriture.

URASE :
Carnivore : PréseQFHG·XUDVH GpFRPSRVHO·DFLGHXULTXHGHODYLDQGH 
2PQLYRUH3UpVHQFHG·XUDVH GpFRPSRVHO·DFLGHXULTXHGHODYLDQGH 
+HUELYRUH3DVG·XUDVH
+XPDLQ3DVG·XUDVH GpFRPSRVHPDOO·DFLGHXULTXHWR[LTXH 

COLON :
Carnivore : Court, simple et lisse.
Omnivore : Court, simple et lisse.
Herbivore : Long, complexe avec villosités.
Humain : Long, complexe avec villosités.

MUSCLES DU VISAGE ET DE LA BOUCHE :


Carnivore : Réduit pour une grande ouverture de la bouche.
Omnivore : Réduit pour une grande ouverture de la bouche.
Herbivore : Bien développé. Petite ouverture de la bouche.

 
274  
Humain : Bien développé. Petite ouverture de la bouche.

REINS :
Carnivore : Urine très concentrée.
Omnivore : Urine très concentrée.
Herbivore : Urine modérément concentrée.
Humain : Urine modérément concentrée.

9RXVDYH]ELHQYXOHVSRLQWVFRPPXQVHQWUHOHV+HUELYRUHVHWO·+XPDLQ"

7286OHVVFLHQWLILTXHVD\DQWpWXGLpOHVXMHWVRQWG·DFFRUG/·+XPDLQQ·HVWSDV
XQRPQLYRUHFRPPHO·pFROHQRXVO·DDSSris mais un strict végétarien !
1RXV IRQFWLRQQRQV GRQF WHOV GHV PRWHXUV TXH O·RQ DOLPHQWHUDLW DYHF XQ
carburant mal adapté ² ce qui entraîne inéluctablement : encrassement, perte
de puissance et de longévité.
Voici en aparté une information qui donne à réfléchir : entre les deux guerres
(14/18 et 39/45), les boucheries ont ouvert leurs portes dans les villages. Les
archives rapportent que dès ce moment, la clientèle des médecins a doublé en
fréquentation.
%RQ MH GLVDLV WRXW FHOD SRXU PHXEOHU OD FRQYHUVDWLRQ PDLV MH Q·HQ VXLV SDV
encore à changer de trottoir lorsque je croise des "nécrophages" ² je suis
seulement un peu triste pour eux, concernant leur conscience spirituelle, dont
OH UHOLTXDW V·DYqUH GH SOXV HQ SOXV DQDFKURQLTXH DX UHJDUG GH O·HQYROpH
technologique fulgurante actuelle, après tant de siècles de stagnation et de
barbarisme.

LES MALADIES DE LA VIANDE

Du point de vue de la physiologie alimentaire, la viande est un aliment inutile.


'H OHXUV F{WpV GH QRPEUHX[ VFLHQWLILTXHV UHFRQQDLVVHQW GpVRUPDLV TX·XQH
alimentation végétarienne équilibrée (avec des légumineuses : haricots en
grains, pois, lentilles, pois chiches) couvre tous les besoins en substances
nutritives essentielles et assure le bon équilibre du corps.
Ceci est valable à tous les âges de la vie. De plus, dans le cas de certaines
PDODGLHV FRPPH O·K\SHUWHQVLRQ OHV UKXPDWLVPHV OHV WURXEOHV GX
PpWDEROLVPH O·DOLPHQWDWLRQ YpJpWDULHQQH HVW XQH GHV PHLOOHXUHV WKpUDSLHV TXL

 
275  
VRLW&KDFXQHVWOLEUHGHPDQJHUGHODYLDQGHRXSDVPDLVLOVHUDLWMXVWHG·rWUH
informé au SUpDODEOHGHVFRQVpTXHQFHVG·XQWHOFKRL[

La viande favorise le diabète


Une alimentation riche en acides gras saturés peut causer une résistance à
O·LQVXOLQHFHTXLIDYRULVHOHGpYHORSSHPHQWGXGLDEqWH'HPDQLqUHJpQpUDOHOHV
produits à base animale cRQWLHQQHQWEHDXFRXSG·DFLGHVJUDVVDWXUpV

/DYLDQGHHVWVRXUFHG·REpVLWp
/HVDFLGHVJUDVVDWXUpVIDYRULVHQWO·H[FpGHQWGHSRLGV/·H[FpGHQWGHSRLGVHVW
un facteur de risque augmenté pour les maladies cardiovasculaires, les
infarctus, les attaques cérébrales, les problèmes circulatoires, etc.

La viande est mauvaise pour les os


Les produits à base animale contiennent généralement plus de phosphore que
de calcium. Un rapport phosphore/calcium trop élevé cause une forte
déperdition du calcium des os.
&HUWDLQHVpWXGHVRQWPRQWUpTX·LO\DXQHUHODWLRQpWURLWHHQWUHXQHDEVRUSWLRQ
de phosphate élevée à travers la nourriture et un risque élevé pour
O·RVWpRSRURVHHWOHVIUDFWXUHVGHVRV

La consommation de viande est un facteur de cancer


Le plus grand institut de recherche médicale du monde, la NIH, a constaté en
2001 que le fait de manger de la viande rouge élève le risque de cancer.
/·$UJHQWLQHHWO·8UXJXD\VRQWSDUPLOHVSOXVJUDQGVFRQVRPPDWHXUVGHYLDQGH
GHE±XIGXPRQGH3DUDOOqOHPHQWLOVSRVVqGHQWO·XQGHVWDX[GHFDQFHUGXVHLQ
HWGHO·LQWHVWLQOHSOXVpOHYpGXPRQGH8QHpWXGHGHO·XQLYHUVLWpGX0LQQHVRWD
SXEOLpHHQVHSWHPEUHGpPRQWUHTXHO·DEVRUSWLRQGHYLDQGHURXJHJULOOpH
favorise le cancer du pancréas.

La viande favorise les inflammations et les douleurs


/HVSURGXLWVjEDVHDQLPDOHFRQWLHQQHQWEHDXFRXSG·DFLGHDUDFKLGRQLTXH2U
celui-­ci a tendance à générer des éléments inflammatoires qui peuvent causer
de la neuro-­GHUPDWLWH GHV LQIODPPDWLRQV GH O·LQWHVWLQ JUrOH HW GX F{ORQ GH
O·DVWKPHGHO·DUWKULWHGHO·DUWKURVHHWGHVUKXPDWLVPHV

/DYLDQGHIDYRULVHOHVLQIDUFWXVHWO·DUWpULRVFOpURVH
La consommation de viande génère un apport de fer trop important dans le
FRUSV FH TXL VXVFLWH O·DSSDULWLRQ GH UDGLFDX[ OLEUHV TXL HQGRPPDJHQW les

 
276  
vaisseaux sanguins. Chez les hommes cela augmente considérablement le
ULVTXHG·LQIDUFWXV

La viande entraîne des dépressions


/DYLDQGHDXQHIIHWQpJDWLIVXUO·pWDWSV\FKLTXHGHO·KRPPH8QHpWXGHGH
démontre que les personnes consommant de la viande sont plus souvent
victimes de peurs et de dépressions que les végétariens.

La consommation de viande est mauvaise pour le cerveau


Une alimentation riche en protéines produit une augmentation de cortisone
dans le plasma sanguin et dans la salive. Un taux de cortisone trop élevé
HQGRPPDJH O·KLSSRFDPSH FH TXL GpWpULRUH OD PpPRLUH 6HORQ XQH pWXGH GH
O·XQLYHUVLWp /RPD /LQGD de Californie, les consommateurs de viande sont
GDYDQWDJHVRXPLVDX[ULVTXHVGHGpPHQFHTXHFHX[TXLQ·HQFRQVRPPHQWSDV
"Manger de la viande est un acte cruel".

LE CARNIVORISME DEVENU INADAPTE A NOTRE EPOQUE

(WDQW GRQQp TXH M·DL VRXYHQW O·LPSUHVVLRQ GH P·DGUHVVHU j GHV


SHADOKS (une info qui en chasse une autre, vous vous rappelez ?),
M·HQ YLHQV j SUDWLTXHU OD PpWKRGH &RXp HQ DMRXWDQW FH SUpFHSWH :
&H TXH WX QH YHX[ SDV DSSUHQGUH SDU OD VDJHVVH WX O·DSSUHQGUas
par la douleur". (W WDQW SLV VL FHUWDLQV PH WUDLWHQW G·LQWpJULVWH
UDGRWHXU«1DYUp0DSURIHVVLRQF·HVWGpUDQJHXU

8QPLOOLDUGPLOOLRQVG·DQLPDX[HQ)UDQFH (et 60 milliards dans le monde)


sont chaque année "EXECUTES" pour subvenir à nos soi-­disant besoins
QXWULWLRQQHOV PDLV VXUWRXW j QRV KDELWXGHV JXVWDWLYHV HQUDFLQpHV DLQVL TX·j
notre irresponsable gourmandise ² PDLV WRXW OH PRQGH V·HQ IRXW  /·DEDWWDJH
Halal des vaches devenu presque systématique, aussi cruel soit-­LOQ·DSDVO·DLU
QRQ SOXV GH GpUDQJHU EHDXFRXS GH PRQGH« SDV SOXV TXH OH FKHPLQ GH FURL[
GHV SDXYUHV DQLPDX[ pOHYpV HQ EDWWHULH DYDQW G·DUULYHU j O·pSRXYDQWH GX
VDFULILFH ILQDO« XQH IRLV OH PRUFHDX GDQV O·DVVLHWWH RQ RXEOLH WRXW« PDLV OH
YHQWUH OXL Q·Rublie pas ! Alors je vais changer de registre et plutôt travailler
VXUODILEUHGHO·pJRwVPH : la santé du consommateur.

 
277  
Le Dr William C. Roberts, rédacteur en chef de O·$PHULFDQ -RXUQDO RI
Cardiology a écrit : "Quand nous tuons les animaux pour les manger, ce sont eux
TXL ILQLVVHQW SDU QRXV WXHU FDU OHXU YLDQGH «  Q·D MDPDLV pWp GHVWLQpH j O·rWUH
humain". Une étude britannique de 1986 a en effet démontré que sur une vie
entière, les végétariens coûtaient aux services de santé environ 5 fois moins, en
termes de coûts de traitements, que les consommateurs de viande. C'est
probablement la qualité de son régime végétarien qui fit de Christian
Mortensen (16 août 1882 -­ 25 avril 1998), Américano-­danois, un super
centenaire et le doyen de l'humanité de 199jPRUWjO·kJHGHDQV

6·DSSX\DQWVXUGHQRPEUHXVHVVWDWLVWLTXHVJohn Robbins confirme dans son


ouvrage The Food Revolution que les végétariens vivraient en moyenne 6 à 10
ans de plus que le reste de la population. Bien sûr, l'activité physique, une vie
sage, calme et "heureuse" (quand on le peut !), le renoncement au tabac,
l'usage très modéré de l'alcool et du café, sont autant d'agents qui jouent un
rôle essentiel en faveur de la santé et de la longévité. Mais tout cela ne suffit
pas forcément. L'addiction à la viande expose à tous les problèmes cardio-­
vasculaires graves, que seuls connaissaient les gens de la noblesse d'antan, de
O·DULVWRFUDWLHHWGHODERXUJHRLVLH
Actuellement, les maladies cardio-­vasculaires tuent quelque 180.000 Français
par an, 17 millions de personnes entre l'Europe et les États-­Unis, ce qui en fait
le premier motif de mortalité du pays selon les années. Juste après le cancer, il
s'agit de la deuxième cause de décès chez l'homme et la première cause chez la
femme. L'OMS les évalue à un tiers des décès dans le monde !
A noter TX·XQRPQLYRUHG·kJHPR\HQDIRLVSOXVGHULVTXHVGHPRXULUG·XQH
PDODGLHFDUGLRYDVFXODLUHTX·XQYpJpWDULHQ

Mes grands parents qui étaient des paysans allaient chaque semaine au village
pour acheter du pot-­au-­feu. Pour le reste, ils tuaient de temps en temps une
poule ou un lapin  LOV Q·DYDLHQW QL FRFKRQV QL PRXWRQV HW FHWWH IUXJDOLWp
carnée ne les empêchait pDV GH WUDYDLOOHU GXU RQ V·HQ GRXWH GDQV XQH IHUPH
DYHFO·RXWLOODJHUXVWLTXHGHO·pSRTXH«Alors, soyons clair VDFKH]TX·DX-­delà de
500 gr maximum par semaine, la nutrition carnée sous toutes ses formes
équivaut à un lent suicide. La plupart des consommateurs en sont conscients,
mais ils sont "accros" ! Le danger est connu, reconnu, mais les lobbies en place
s'opposent à une campagne préventive, voire offensive (business oblige), à
l'image de celle qui fut si salutaire pour marginaliser le tabac. Le boucher-­
charcutier est un véritable dealer de substances toxiques, avec une
circonstance aggravante pour le secteur de la charcuterie aux conservateurs

 
278  
ajoutés : jambon, bacon, salami, saucisson, pâtés agissent tels des poisons,
hélas estimés délicieux pour beaucoup de gourmets.

Autre aspect peu connu lié à la viande rouge : les effets de la carnitine qui ont
été récemment révélés et publiés par des chercheurs de la Cleveland Clinic : la
carnitine est cette molécule présente en grande quantité dans la viande rouge
et par ailleurs utilisée dans certaines boissons énergisantes et maints
compléments alimentaires. Ces recherches ont prouvé qu'une bactérie vivant
dans notre tube digestif transformait cette carnitine en oxyde de
triméthylamine, un composé organique qui augmente le taux de cholestérol
dans le corps. Cette modification serait la source du durcissement et de
l'obstruction des artères.

Le cancer du gros intestin, nommé colorectal, est celui qu'ont toutes les
chances de gagner les mangeurs de viande. Tout le monde le sait. Des
HVWLPDWLRQVUpFHQWHVRQWFRQFOXTX·HQFKDQJHDQWGHPRGHG
DOLPHQWDWLRQSUqV
de 70% des cancers colorectaux pourraient être évités dans les pays
occidentaux. Mais même les cancéreux s'obstinent à faire la queue au rayon de
la boucherie-­charcuterie. Au cancer du côlon, directement induit par
l'alimentation carnée, il convient d'ajouter les cancers -­ générés par une
masse graisseuse corporelle trop importante -­ qui sont ceux du pancréas, de
O
±VRSKDJH GX SRXPRQ GH O·XWpUXV GX VHLQ HW GHV RYDLUHV 4XDQW DX[
aliments grillés et fumés d'origine animale, ainsi que la viande cuite au
barbecue, on sait depuis très longtemps qu'ils sont très cancérogènes en raison
dHV K\GURFDUEXUHV DURPDWLTXHV SRO\F\FOLTXHV JpQpUpV 0DLV FHFL Q·HPSrFKH
SDVO·HQJRXHPHQWWHQDFHGHVJULOODGHVGDQVOHVUHVWDXUDQWVHWOHVEDUEHFXHVGX
dimanche.

Parmi les nombreux dangers de la viande figurent ceux résultant des dérives et
malversations du conditionnement, avec, par exemple la viande dite enrichie. Il
V·DJLW HQ IDLW VRXV FRXYHUW G·RIIULU GHV PRUFHDX[ SOXV JR€WHX[ GH WUDLWHU OD
YLDQGH DYDQW HPEDOODJH HQ OD SDVVDQW GDQV XQ EDLQ G·HDX GH VHO HW GH
phosphate de sodium, mélange qui en augmente artificiellement le poids. Le
consommateur, sans le savoir, achète un produit constitué pour au moins un
GL[LqPHG·HDXVDOpH Voilà qui est catastrophique pour les risques de surcharge
SRQGpUDOH/HVSDSLOOHVJXVWDWLYHVGHO·KRPPHDSSUpFLDQWO·DU{PHGXsel, on lui
HQ GRQQH j VDWLpWp (W QH SDUORQV SDV GX JD] TXL G·DERUG DOORQJH
FRQVLGpUDEOHPHQWO·HVSpUDQFHGHYLHGXPRUFHDXGHELGRFKHOHTXHOSHXWUHVWHU
MXVTX·jGHX[VHPDLQHVHQUD\RQDORUVTX·XQHHQWUHF{WHQRQWUDLWpHYRLWVDGDWH

 
279  
limite de consommatioQGpSDVVpHDSUqVTXDWUHjFLQTMRXUVHWTXLG·DXWUHSDUW
au contact de la viande attise et fixe la couleur du morceau qui garde sa teinte
rouge vif, tant appréciée des consommateurs.

(YLGHPPHQW SRXU VRUWLU GH O·RUQLqUH LO IDXW UHPHWWUH HQ TXHVWLRQ OHV menus
routiniers et les recettes de cuisine de mamie ² toute conversion demande un
SHWLW HIIRUW &KDQJHU G·HPSORL G·DFWLYLWp GpPpQDJHU VH PDULHU GLYRUFHU HWF
GHPDQGHQW DXVVL XQ HIIRUW G·DGDSWDWLRQ REOLJp &·HVW OH SUL[ LQFRQWRXUQDEOH GH
O·pYROXWLRQ  (W O·pYROXWLRQ HVW OD VHXOH UDLVRQ G·rWUH GH OD YLH /D PDvWUHVVH GH
maison est la gardienne de santé de la famille  F·HVW HOOH TXL GRLW WURXYHU OHV
bonnes recettes ² il y en a des milliers (les livres et les sites Internet sur ce sujet
ne manquent pas). Je vous propose de taper RECETTES VEGETARIENNES sur
*RRJOH&·HVWODFDYHUQHG·$OL%DED !

$ORUVSDVG·H[FXVH : rien de plus facile !


Votre corps et le monde animal vous remercieront.

,O\DPLOOLRQVGHYpJpWDULHQVULHQTX·HQ(XURSH«
«HWTXLVHSRUtent bien mieux que les autres.

Un livre excellent : NOSTEAK G·$\PHULF&DURQ ² chez Fayard


Ce journaliste (végétarien) a été grand reporter à Canal + et Europe 1.

/·2%6(66,21 6783,'( DES PROTEINES

/·RQ P·D DSSULV TX·LO IDXW FRQVRPPHU GHV protéines ² sous-­entendu de la


viande ² pour avoir des forces et être en bonne santé. La plupart des gens sont
G·DFFRUGDYHFFHSRstulat et le croient fermement.

%HDXFRXSFURLHQWWRXMRXUVTXHOHVpSLQDUGVVRQWERXUUpVGHIHUDORUVTXHO·RQ
V·HVWDSHUoXdepuis des années, que le mythe "Popeye" a été construit sur une
HUUHXUGHYLUJXOHG·XQHVHFUpWDLUHTXLDpWpUHFRSLpHVDQVYpULILFDWLRQSHQGDQW
un demi-­siècle. Même croyance indécrottable selon laquelle le lait est
indispensable à la calcification des os ² ce sont les médecins (perroquets) qui
O·DIILUPHQW j OHXUV SDWLHQWV DORUV TX·HQ IDLW LO OHV GpFDOFLILH« /D OLVWH GHV
croyances de ce genre est longue... alors revenons plutôt aux protéines.

 
280  
/D SUHPLqUH FKRVH j VDYRLU F·HVW TXH OHV SURWpLQHV QH VHUYHQW TX·j FRQVWUXLUH
RX UpSDUHU O·RUJDQLVPH /HV PXVFOHV Q·XWLOLVHQW SDV GH SURWpLQHV SRXU
fonctionner mais uniquement du glucose (issu des glucides alimentaires). La
FRQVWUXFWLRQODSOXVLQWHQVHGXFRUSVV·HIIHFWXHDXVWDGHGHEpEp ;; considérant
que le lait PDWHUQHOHVWO·DOLPHQWOHPLHX[DGDSWp² à moins que Dieu ne se soit
trompé ² savez-­vous quelle en est la proportion de protéines ? 5% seulement !
&HFL YHXW GLUH TX·HQ YLHLOOLVVDQW QRXV HQ DYRQV EHDXFRXS PRLQV EHVRLQ 3DU
ailleurs, ce peu de protéines, on le trouve partout, même dans les salades. Les
SURWpLQHV VRQW G·DERUG GpPRQWpHV SDU OD SURWpDVH SDQFUpDWLTXH HQ DFLGHV
aminés ;; ceux-­ci sont acheminés via la paroi intestinale vers le foie qui en
utilise 20% pour réassembler "le lego" en protéines humanisées et les envoyer
dans le sang, les 80% restants servant à diverses synthèses métaboliques. A
noter que les régimes sur-­protéinés en vogue parmi les carnivores sont très
acidifiants, donc pro-­inflammatoires avec à la clé, toutes sortes de maladies en
"ite" TXL QH VRQW SDV XQH IDWDOLWp /·XUpH -­ qui contient normalement 3 à 4%
G·DPPRQLDTXH-­ risque fort, avec le temps, une augmentation de sa teneur, ceci
entraînant une corrosion progressive des reins«

Rappelez-­ vous que les grands sportifs de haut niveau


sont soumis à un régime végétarien !

CITATIONS DE CÉLÉBRITÉS

Albert Einstein, physicien :


"Rien ne peut être plus bénéfique à la santé humaine ni accroître les chances de
VXUYLHGHODYLHVXUOD7HUUHTX·XQHpYROXWLRQYHUVXQUpJLPHYpJpWDULHQ

G.B. Shaw, écrivain : "Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes
amis."

Thomas Edison, LQYHQWHXUGHO·DPSRXOHpOHFWULTXH


"Je suis végétarien et anti-­alcoolique par passion, car cela me permet de mieux
utiliser mon cerveau."

Pythagore, philosophe et mathématicien :


«7RXWFHTXHO·KRPPHIDLWDX[DQLPDX[UHYLHQWYHUVOXL

Michelet, historien :
/HUpJLPHYpJpWDULHQQHFRQWULEXHSDVSRXUSHXjODSXUHWpGHO·kPH

 
281  
Bryan Adams, chanteur :
-H VXLV YpJpWDULHQ GHSXLV  DQV HW MH Q·DL HQFRUH jamais été sérieusement
malade. La nourriture végétarienne renforce le système immunitaire. Moi, je crois
que manger de la viande rend malade."

Lamartine, écrivain :
-·DLFRQVHUYpXQHUpSXJQDQFHUDLVRQQpHSRXUODFKDLUFXLWHHWLOP·DWRXMRXUVpWp
difficLOH GH QH SDV YRLU GDQV O·pWDO GX ERXFKHU TXHOTXH FKRVH GH FHOXL GX
bourreau."

Léonard de Vinci, génie universel :


/·KRPPH HVW YpULWDEOHPHQW OH URL GH WRXV OHV DQLPDX[ FDU VD FUXDXWp GpSDVVH
celle des animaux. Nous vivons de la mort des autres. Nous sommes des tombes
marchantes."

Albert Schweitzer, médecin, prix Nobel de la paix :


"À mon avis nous devons nous engager pour la protection des animaux et cesser
complètement de manger de la viande. Je le fais moi-­PrPHHWF·HVWDLQVLTXHELHQ
des personnes deviennent attentives à ce problème qui a été posé si tard."

Paul McCartney, chanteur : "On ne doit pas manger ceux qui ont des yeux."

Claude Levi-­Strauss, anthropologue :


/HV SUREOqPHV SRVpV SDU OHV SUpMXJpV UDFLDX[ UHIOqWHQW j O·pFKHOOH KXPDLQH XQ
problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui
GHVUDSSRUWVGHO·KRPPHDYHFOHVDXWUHVHVSqFHVYLYDQWHV«/HUHVSHFWTXHQRXV
VRXKDLWRQVREWHQLUGHO·KRPPHHQYHUVVHVVHPEODEOHVQ·HVWTX·XQFDVSDUWLFXOLHU
GXUHVSHFWTX·LOIDXGUDLWUHVVHQWLUSRXUWRXWHVOHVIRUPHVGHYLH«

Mahatma Gandhi, prix Nobel de la paix :


-H FURLV TXH O·pYROXWLRQ VSLULWXHOOH LPSOLTXH j XQ FHUWDLQ PRPHQW G·DUUrWHU GH
tuer les êtres vivants que sont les animaux, simplement pour satisfaire nos
désirs physiques."

Franz Kafka, écrivain :


"Maintenant je peux vous regarder en paix, car je ne vous mange plus." (En
regardant des poissons dans un aquarium)

Ornella Muti, comédienne :

 
282  
-·DL WURXYp PRQ pTXLOLEUH LQWpULHXU HW H[WpULHXU JUkFH j XQH SKLORVRSKLH qui
privilégie la simplicité des aliments. Elle est fondée sur une alimentation
naturelle et végétarienne."

TOUS VÉGÉTARIENS, UNE URGENTE NECESSITE

Il suffirait de renoncer à la viande pour éradiquer sans délai la faim dans le


monde tout en préservant O·HQYLURQQHPHQW HW QRWUH VDQWp. Tout le monde
V·LQTXLqWHGHODVXUSRSXODWLRQGDQV le monde, mais ODYUDLHVXUSRSXODWLRQF·HVW
celle du bétail avec 1,4 milliard de vaches.

 
283  
60
VACHE FOLLE /·+,672,5(5((//(

(QM·DLFRQQXOHVSUHPLqUHVYDFKHVYLFWLPHVGHWRXUQLVpSLOHSWLTXHV² on
QHVDYDLWSDVjTXRLFHODpWDLWG€HWO·RQDEDWWDLWFHVErWHVTXLpWDLHQWHQVXLWH
HQYR\pHV j O·pTXDUULVVDJH &RwQFLGHQFH " &·HVW j FHWWH pSRTXH TXH OD VRFLpWp
Sanders DLQQRYpGHVDOLPHQWVSRXUOHEpWDLOFRQWHQDQWGHVIDULQHVDQLPDOHV«
&HQ·HVWTXHELHQSOXVWDUGTXHO·RQDSDUOpGHYDFKHIROOHHWpWDEOLXQHUHODWLRQ
Puis il y a eu en 1997 O·HIIUR\DEOH "Saint Barthélémy" des troupeaux qui a
généré des milliers de tonnes de farines animales. Celles-­ci ont été vendues
pour des prix attractifs dans des pays pauvres qui ne se posent guère de
questions pour nourrir leurs cochons et leurs volailles.

Chaque année, 20.000 tonnes de divers poissons de mer ramenés dans les
dizaLQHVGHNLORPqWUHVGHILOHWVGHVEDWHDX[XVLQHVVRQWWUDQVIRUPpVHQIDULQH«
SRXUQRXUULUG·DXWUHVSRLVVRQVHQSLVFLFXOWXUH(WSXLVFRPPHLOHVWFODLUSRXU
WRXW OH PRQGH TXH O·RQ HVW HQ WUDLQ GH YLGHU GDQJHUHXVHPHQW OHV PHUV O·8( D
cherché des solutions complémentaires. Du coup, alors que le gouvernement
DYDLW IDLW VHPEODQW G·HQWHUUHU O·LGpH GHV IDULQHV SURWpLQLTXHV LO D UHVVRUWL OD
UHFHWWH GLDEROLTXH GH GHVVRXV O·DUPRLUH OH GpODL G·RXEOL GX SHWLW SHXSOH pWDQW
DWWHLQW&·HVWDLQVLTXHODGpFLVLRQGHOD Commission européenne de Bruxelles
est tombée : les poissons d'élevage pourront à nouveau être nourris avec des
farines de porc et de volailles (mode d'alimentation qui était prohibé dans l'UE
depuis la crise de la "vache folle"). Mieux, ayant trouvé la recette géniale, la
FRPPLVVLRQ HXURSpHQQH D SUpYX G·pWHQGUH O
XWLOLVDWLRQ GHV 3$7 3URWpLQHV
$QLPDOHV7UDQVIRUPpHV GHSRUFHWGHYRODLOOHV«SRXUOHVYRODLOOHVHWOHVSRUFV
eux-­mêmes dès 2014.

Juste en extrapolant un peu, je trouve que tous nos morts que nous incinérons
RXHQWHUURQVF·HVWGXYUDLJkFKLV ;; nous pourrions remédier à la faim dans le
PRQGH HQ HQ IDLVDQW GHV IDULQHV GH 3+7 SURWpLQHV KXPDLQHV WUDQVIRUPpHV «
On y viendra à la solution finale de "Soleil Vert" ! FINDUS trouvera de bonnes
recettes...

 
284  
61
PANGA : POISSON DE M..de
Le panga est un nouveau poisson asiatique qui est en train d'envahir le marché
à cause de son bas prix et que nous trouvons chez CARREFOUR et PICARD,
surtout sous forme de filets. $X 9LHWQDP FH SRLVVRQ IDLW O·REMHW G·XQ élevage
industriel intensif dans le delta du Mékong. Or il faut savoir que le Mékong
est l'un des fleuves les plus pollués et contaminés de la planète. Ceci fait que
les pangas sont infectés, à haut niveau :

-­ de venins,
-­ de bactéries pathogènes,
-­ G·DUVHQLF
-­ de résidus industriels toxiques,
-­ de métaux contaminés,
-­ de phénols polychlorés (PCB),
-­ de DDT et leurs DDTs,
-­ G·LVRPqUHVFKORUDWpV &+/V 
-­ G·KH[DFKORURFLOR[DQH,
-­ G·KH[DFKORUREHQ]qQH +&% 

/·$/IMENTATION DES PANGAS ECHAPPE A


TOUTE REGLEMENTATION

/HVSDQJDVTXLVRQWFRQQXVSRXUOHXUH[WUrPHYRUDFLWpPDQJHQWQ·LPSRUWHTXRL
et se complaisent à la sortie des égouts. Même les excréments dont on les
gratifie copieusement ne les dérangent pas. On complémente leur nourriture
avec des poissons morts, des restes d'os, des farines de manioc d'Amérique du
Sud, et des résidus de soja.

Il est évident que ce type d'alimentation peu salubre n'a rien à voir avec celle
G
XQ HQYLURQQHPHQW QDWXUHO &HOD UHVVHPEOH EHDXFRXS j O·DOLPHQWDWLRQ GHV
vaches folles (qui furent QRXUULHV DYHF GHV IDULQHV GH YDFKHV«  9RXV HQ
rappelez-­vous ?

$LQVLOHVSDQJDVG·pOHYDJHJUDQGLVVHQWIRLVSOXVYLWHTXHGDQVODQDWXUH.

 
285  
&200(/·$335(17,625&,(5'$16)$17$6,$'(
W. DISNEY
'HV VFLHQWLILTXHV RQW GpFRXYHUW TXH VL O·RQ LQMHFWDLW j GHV femelles panga des
hormones féminines dérivées d' urine déshydratée de femmes enceintes, la
IHPHOOHSDQJDSURGXLVDLWVHV±XIVSOXVUDSLGHPHQWHWHQWUqVJUDQGHTXDQWLWp-­
XQH IHPHOOH SDQJD DUULYH DLQVL j SURGXLUH  ±XIV HQ XQH VHXOH SRQWH
&·HVWDLQVi que ces poissons reçoivent des hormones injectables produites par
une entreprise pharmaceutique chinoise pour accélérer le processus de
croissance et de reproduction.

En achetant du panga, nous collaborons avec des entreprises gigantesques


sans aucun scrupule, qui ne se préoccupent pas de la santé des humains.

NOTA : Etant donné la prodigieuse quantité de pangas disponible,


ils WHUPLQHURQWpJDOHPHQWGDQVG·DXWUHVDOLPHQWVVXULPL FHVSHWLWV bâtonnets
faits avec de la chair de poisson), poisson en boîte et probablement dans
quelques aliments pour animaux (chiens et chats).

« HW %21-285 &$1&(5 3285 /(6 ,0358'(176 48, 6( /$,66(17 6('8,5(
PAR LES PROMOTIONS !

Sources : François HARMEGNIES ² centre Ifremer de Brest -­ Département


REM

 
286  
62
LE PÉRIL VERT À QUATRE PATTES

/·pOLWH LQWHOOHFWXHOOH GDQV OHV SD\V GpYHORSSpV WURXYH SDUIDLWHPHQW QRUPDO GH
V·LQTXLpWHUGHODVXUSRSXODWLRQGDQVOH PRQGH PDLVHOOHRXEOLHWRXMRXUVXQIDLW
/DYUDLHVXUSRSXODWLRQF·HVWFHOOHGXEpWDLO
/·DXWHXUGHFHVSKUDVHVQ·HVWSDVXQYDFKRSKREHH[FHQWULTXHRXXQ végétarien
IDQDWLTXH PDLV O·pFRQRPLVWH DPpULFDLQ Jeremy Rifkin, auteur, entre deux
essais sur le travail ou les nouvelles technologies, du passionnant "Beyond
BeefXQHVVDLVXUO·LPSDFW GpYDVWDWHXUGHO·LQGXVWULH GHO·pOHYDJH

SURPOPULATION ?

Avec 1,4 milliard de vaches, notre planète croule en effet littéralement sous le
bétail : le poids cumulé de tous ces ruminants est supérieur à celui de toute la
SRSXODWLRQKXPDLQHDYHFVHVPLOOLDUGVG·KDELWDQWV&HFLnous amène donc à
O·pTXLYDOHQWGHPLOOLDUGVG·KXPDLQV (WF·HVWGHSLUHHQSLUH/DSURGXFWLRQ
de viande a été multipliée par 5 depuis les années 1950, pour passer à 265
millions de tonnes par an. Et devrait encore doubler sur les vingt années à
venir. De quoi affoler les experts en alimentation, qui se demandent bien
FRPPHQWODWHUUHSRXUUDQRXUULUOHVPLOOLDUGVG·KXPDLQV supplémentaires de
FHV SURFKDLQHV GpFHQQLHV /D FRQFXUUHQFH HQWUH OHV DQLPDX[ G·pOHYDJH et les
KRPPHV V·DQQRQFH WUqV UXGH &DU  GH O·DOLPHQWDWLRQ DQLPDOH SURYLHQQHQW
de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine.

$YHF O·pOHYDJH LQGXVWULHO OHV ERYLQV DFFDSDUHQW j HX[ VHXOV  GH OD
production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui
VXIILUDLW DPSOHPHQW j QRXUULU OHV  PLOOLRQV G·rWUHV KXPDLQV VRXIIUDQW GH
malnutrition. En IDLW G·XQ SRLQW GH YXH PDOWKXVLHQ OD YLDQGH Q·HVW SDV
"rentable".
2Q HVWLPH TX·XQ YpJpWDULHQ consomme en moyenne 180 kg de grains par an
DORUVTX·XQFRQVRPPDWHXU de viande en gaspille 930 kg par an. Et encore, on
ne compte pas les besoins en eau : pour produire JUDPPHVGHE±XILOIDXW
OLWUHVG·HDX

 
287  
*ORXWRQ QRWUH FKHSWHO HVW DXVVL H[SDQVLRQQLVWH $X WRWDO O·pOHYDJH HW OD
production des aliments pour le bétail squattent 78% des terres agricoles
PRQGLDOHV VRLW  GH WRXWH OD VXUIDFH GX JOREH WURLV IRLV SOXV TX·HQ 
"Sur un hectare de terrain, un agriculteur peut nourrir une trentaine de
SHUVRQQHV V·LO OH FRQVDFUH j OD FXOWXUH GH OpJXPHV RX GH IUXLWV 6·LO SURGXLW GHV
±XIVRXGHODYLDQGHOHUDWLRSDVVHjFLQTSHUVRQQHV(WjEHDXFRXS beaucoup,
PRLQVV·LOQHV·DJLWTXHGHYLDQGHURXJH, nous dit Bruno Parmentier, auteur
de 1RXUULU O·KXPDQLWp HW GLUHFWHXU GH O·eFROH VXSpULHXUH G·$JULFXOWXUH
G·$QJHUV

/HSOXVLQVHQVpF·HVWTXHWRXWHFHWWHELGRFKHHVWHQSULRULWpGHVWLQpHjGH
OD SRSXODWLRQ GH OD SODQqWH O·LQILPH SHWLWH PLQRULWp GHV ULFKHV GH FH PRQGH
Notre consommation de viande est passée de 30 kg par personne et par an en
1920 à pluV GH  NJ DXMRXUG·KXL &·HVW WURLV IRLV SOXV TXH OD TXDQWLWp
préconisée par les organismes de santé. Non seulement notre régime carnivore
affame la planète, mais il nous tue aussi par la recrudescence des maladies de
"trop biens nourris" : accidents cardLRYDVFXODLUHVGLDEqWHREpVLWp« $SUqVWRXW
est-­ce vraiment un inconvénient ?)

(WSRXUQHULHQDUUDQJHUVHORQXQUDSSRUWSXEOLpHQSDUOD)$2O·pOHYDJH
est responsable de 18% des émissions de gaz à effet de serre, soit plus que le
secteur des transports tous réunis ! En Amérique centrale, 20% des zones
sylvestres ont déjà été ratiboisées. (W F·HVW HQFRUH SLUH DX %UpVLO R  GH
O·$PD]RQLH RQW pWp VDFULILpV SRXU OHV ERYLQV 8QH GpIRUHVWDWLRQ TXL V·DFFpOqUH
avec les immenses plantations de soja destinées à nourrir les vaches, encore
elles !

 
288  
63
POISSON : SURPÊCHE COUPABLE

,OQ·\DSDVTXHOHSRLVVRQPDQJpLO\DDXVVLOHSRLVVRQUHMHWp6DQVFRPSWHU
les milliers de cétacés tués chaque année et rejetés en douce.

Savez-­vous que la Cour européenne a condamné la France à payer une


DPHQGHGHPLOOLRQVG·HXURV TXLVHUDSD\pHSDUOHVFRQWULEXDEOHV SRXUQH
pas appliquer depuis plus de 20 ans un règlement européen visant à la
conservation des ressources de la pêche et protéger les différentes espèces de
poissons ? (Vérification des tailles minimales du maillage du filet de pêche,
FRQWU{OHGHVYHQWHVGHSRLVVRQVVRXVWDLOOH«

Savez-­vous que les dauphins, victimes collatérales de la pêche au bar, sont


éventrés pour les faire couler et ainsi ne pas laisser de trace ? Greenpeace
HVWLPH TX·DX PRLQV  GDXSKLQV PHXUHQW DLQVL FKDTXH DQQpH GDQV OD
0DQFKH DSUqV DYRLU pWp SULV DFFLGHQWHOOHPHQW GDQV OHV FKDOXWV ­ O·pFKHOOH
mondiale, tous les ans plus de 10.000 cétacés seraient des "prises accessoires"
des chalutiers.

Savez-­vous que chaque année, des centaines de dauphins et autres petits


FpWDFpVV·pFKRXHQWVXUOHVSODJHVGHVF{WHVIUDQoDLVHVHWGXVXGGHO·$QJOHWHUUH
La moitié des dauphins communs retrouvés porte des marques et blessures
FDUDFWpULVWLTXHVG·XQHFDSWXUHGDQVXQILOHWGHSrFKHEHFVFDVVpVQDJHRLUHV
coupées, muscles déchirés. Ces blessures constituent une preuve formelle des
dégâts causés par nos pêcheries. Rappelons que les dauphins sont des espèces
protégées !

Les poissons sont les oubliés de la cause animale


SDUFHTX·LOVQHVRQWSDVDWWLUDQWVjFDUHVVHU

QUELQUES CHIFFRES A MEDITER

‡   Plus de la moitié des prétendus végétariens admettent manger du


poisson. Certains animaux marins, comme les crustacés, coquillages,

 
289  
calamars, oursins, etc., sont aussi appelés "fruits de mer", une autre
IDoRQGHGpQLHUOHIDLWTX·LOV appartiennent au monde animal.

‡   On comptabilise les poissons par tonne, les animaux terrestres par


tête.

‡   /D )UDQFH HVW OH SUHPLHU SURGXFWHXU PRQGLDO GH WUXLWHV G·pOHYDJH /H
quota des truites, dans des réservoirs en pisciculture, est de 60 kg de
SRLVVRQ SDU PqWUH FXEH G·HDX ce qui équivaut à mettre 27 truites
dans une baignoire de salle de bains.

‡   "Gloria", qui est le plus grand filet de pêche au monde, a une


ouverture de 35.800 mètres carrés -­ assez grand pour contenir plus
G·XQHGL]DLQHG·DYLRQV.

‡   Grâce aux derniers outillages informatisés de monitorage des chaluts,


OHV SrFKHXUV FDSWXUHQW MXVTX·j 17 tonnes de poissons en deux
minutes de pêche.

‡   On estime que la flotte mondiale de pêche présente un potentiel de


2,5 fois la capacité de reproduction que les océans peuvent fournir de
façon durable.

‡   $XFXQH DVVRFLDWLRQ DQLPDOH QH V·HVW MDPDLV pPXH GH O·XWLOLVation des
poissons vivants pour la pêche au vif (technique de pêche la plus
SUDWLTXpHHQ)UDQFH jO·H[FHSWLRQGHOD/LJXH)UDQoDLVHGHV'URLWVGH
O·$QLPDOTXLGHPDQGHO·DUUrWGHFHWWHSUDWLTXH

Visitez le site : http://psychanalyse-­et-­animaux.over-­blog.com/

Pour clouer le bec aux dinosaures de la barbarie, voici Extrait de Coups de


sang, de François Cavanna, 1991 :
/HFRQQDUGQHPDQTXHSDVGHEUDQGLUO·DUJXPHQWPDVVXHGHVFKDVVHXUVGHV
DILFLRQDGRV GHV SrFKHXUV j OD OLJQH RX ´DX JURVµ GHV YLYLVHFWHXUV HW GHV
arracheurs des ailes des mouches :"
´2FFXSRQV-­QRXV G·DERUG GHV PLVqUHV KXPDLQHV Kélas encore si nombreuses !
4XDQGLOQ·\DXUDSOXVXQVHXOSHWLWHQIDQWDIIDPpGDQVOH7LHUV-­monde, plus un
seul opposant torturé, plus une seule injustice chez les hommes, plus une seule
JXHUUH«DORUVSHXW-­être pourrons-­nous nous offrir le luxe de nous inquiéter de la
VRXIIUDQFHDQLPDOHµ

 
290  
dDoDIDLWWRXMRXUVVRQSHWLWHIIHWoD/·DVVHPEOpHVHWDLWHWKRFKHODWrWH«
Demande-­OXLVHXOHPHQWDXWDUWXIHFHTX·LOIDLWSRXUOHVSHWLWVHQIDQWVDIIDPpV
OXLHWSRXUOHVGURLWVGHO·KRPPHOXL
1·DLHSDVSHXU il restera comme un con. Dis-­lui alors que, toi, qui te bats pour
les bêtes, tu te bats AUSSI pour les enfants affamés et pour les droits de
O·KRPPH&DULOQ·HVWTX·XQFRPEDWXQVHXOFRQWUHXQHQQHPLXQVHXOHWFHW
HQQHPLV·DSSHOOHVRXIIUDQFHSHXUPRUW/DSLWLpO·DPRXUQHVHGLYLVHQWSDV«

 
291  
64
VALITOX
ELHQPLHX[TXHO·H[SpULPHQWDWLRQDQLPDOH

/(6&+,))5(6$))2/$176'(/·(;3(5,0(17$7,21
ANIMALE
/HV FKLIIUHV SXEOLpV SDU O·8( VXU OH QRPEUH G·DQLPDX[ XWLOLVpV GDQV
O·H[SpULPHQWDWLRQ DQLPDOH VRQW DXVVL DODUPDQWV TXH FRQVWHUQDQWV /HV
animaux sont toujours aussi nombreux à être torturés dans les laboratoires, et
HQ )UDQFH SOXV TX·DLOOHXUV 3RXUWDQW GHpuis des années, One Voice poursuit
VRQFRPEDWSRXUOHGpYHORSSHPHQWG·XQHUHFKHUFKHpWKLTXHHWUHVSHFWXHXVHGX
vivant.
Selon le 7ième rapport de la Commission Européenne sur les statistiques
FRQFHUQDQW OH QRPEUH G·animaux utilisés à des fins expérimentales et à
G·DXWUHVILQVVFLHQWLILTXHVGDQVOHVeWDWVPHPEUHVGHO·8QLRQHXURSpHQQHprès
GHPLOOLRQVG·DQLPDX[RQWpWpWXpVGDQVOHVODERUDWRLUHVHXURSpHQV FKLIIUH
 /D)UDQFHDYHFSUqVGHPLOOLRQVG·DQimaux tués en 2010 arrive en
tête de ce palmarès macabre. Depuis, rien ne paraît avoir évolué notablement.
(Q (XURSH OD FDWpJRULH G·DQLPDX[ OD SOXV XWLOLVpH GDQV OHV ODERUDWRLUHV HVW
constituée par les rongeurs et les lapins, représentant 80% des individus. La
répartition se fait ainsi : souris (60,9%), rats (13,9%), autres rongeurs (1,96%)
et lapins (3,12%). On trouve ensuite les animaux à sang froid (reptiles,
amphibiens et poissons), qui représentent près de 12,5% des animaux utilisés.
Viennent ensuite les oiseaux avec 5,9%. Les chevaux, les ânes, les porcins, les
caprins, les ovins et les bovins représentent quant à eux 1,2% de ce total, les
carnivores (qui incluent les chiens et les chats) représentent 0,25% de ce total
et les primates non humains 0,05%. Depuis 1999, aucun grand singe tel que
les gorilles, les chimpanzés et les orangs-­RXWDQV Q·D pWp RIILFLHOOHPHQW XWLOLVp
GDQVO·H[SpULPHQWDWLRQDQLPDOHHQ(XURSH
(Q)UDQFHVXUOHVPLOOLRQVG·DQLPDX[XWLOLVpVjGHVILQVVFLHQWLILTXHVRQ
compte plus de 1,3 million de souris, près de 354.000 poissons, 253.000 rats,
126.000 lapins, 357.000 animaux à sang froid, 3.000 chiens, 569 chats et
1.810 primates non humains.

 
292  
Vidéo BD pédagogique (non violente)
http://www.natura-­sciences.com/environnement/experimentation-­animale-­
europe745.html

A QUOI SERVENT LES ANIMAUX DE LABORATOIRE ?

3OXVGHGHVPLOOLRQVG·DQLPDX[XWLOLVpVHQ(XURSHHQO·RQWpWpj
des fins de recherche et de développement dans les études de biologie
fondamentale et dans les domaines de la médecine humaine, de la médecine
vétérinaire, de la dentisterie. 14% de ces animaux ont été destinés à la
production et au "contrôle qualité" de ces mêmes médecines, 8,75% ont servi à
des essais toxicologiques et autres évaluations de sécurité. Enfin, 9% ont
FRXYHUW XQ ODUJH pYHQWDLO G·XWLOLVDWLRQV H[SpULPHQWDOHV WHOOHV TXH OD YLURORJLH
O·LPPXQRORJLHSRXUODSURGXFWLRQG·DQWLFRUSVPRQRFORQDX[RXSolyclonaux, la
SK\VLRORJLH GH O·LQWHUDFWLRQ PDWHUQR-­I±WDOH GDQV OD WUDQVJpQqVH GHV JqQHV GH
souris, les traitements oncologiques, la recherche et le développement
SKDUPDFHXWLTXHVOHVHVVDLVG·DVVRFLDWLRQVGHPpGLFDPHQWVHWODJpQpWLTXH
Officiellement, les tests sur les animaux pour les cosmétiques sont interdits
depuis 2009, mais est-­ce réellement appliqué ?

/·(;3(5,0(17$7,21$1,0$/(HVW-­elle VRAIMENT UTILE ?

Ces chiffres soulèvent à nouveau la question de la pertinence de


O·H[SpULPHQWDWLRQ DQLPDOH 'H nombreux laboratoires utilisent déjà des
PpWKRGHVDOWHUQDWLYHVFDUOHVUpVXOWDWVGHO·H[SpULPHQWDWLRQDQLPDOHV·DYqUHQW
GLIILFLOHPHQW WUDQVSRVDEOHV j O·+RPPH j FDXVH GHV GLIIpUHQFHV ELRORJLTXHV TXL
existent entre les différentes espèces.
6HORQO·DVVRFLDWLon One Voice, de nouvelles méthodes sont prêtes pour tester la
toxicité de substances, ouvrant de nouveaux horizons sur des cultures de
FHOOXOHVGHWLVVXVG·RUJDQHVDYHFUHFRXUVjGHVPLFUR-­organismes, en biologie
moléculaire, pour des études de tissus post-­mortem, des simulations sur
ordinateur, des études statistiques et épidémiologiques sur les populations, des
recherches cliniques sur patients volontaires, et des dissections virtuelles !"

 
293  
5DSSHORQV TX·HQ WKpRULH OD directive européenne 2010/63/UE doit inciter
dès que possible au développement de méthodes substitutives à
O·H[SpULPHQWDWLRQDnimale.

LA TECHNIQUE VALITOX
Valitox est un test de toxicité réalisé sur des cellules humaines en culture.
%DVp VXU O·pPLVVLRQ GH OXPLqUH IOXRUHVFHQFH  LO PHVXUH OH QLYHDX G·DOWpUDWLRQ
FHOOXODLUHVXLWHjO·HIIHWG·XQDJHQWWR[LTXHRXVXSSRVpO·rWUH ,O fonctionne sur
tout type de cellules, permet un usage haut débit associé à un coût de
réalisation totalement concurrentiel.

/DSUpGLFWLYLWpGH9DOLWR[SRXUODWR[LFLWpDLJXsSRXUO·KRPPHHVWGHFRQWUH
63% pour les tests réalisés sur souris ou sur rat.

APPLICATIONS DIRECTES
Le principe du test étant basé sur le processus de mort cellulaire, il peut
V·DSSOLTXHUDX[PHVXUHVGHWR[LFLWpDLJXsRXFKURQLTXH

Valitox peut remplacer les tests cruels de DL50 (augmentation des doses
MXVTX·jGHPRUWV HW CL50 en toxicologie et écotoxicologie concernant les
domaines pharmaceutiques, cosmétiques, alimentaires, agro-­chimiques et des
substances chimiques.

9$/,72; SHXW V·DSSOLTXHU HQ SDUWLFXOLHU GDQV OH FDGUH GH OD 'LUHFWLYH
européenne REACH (Registration, Evaluation, Autorisation of Chemicals) :
140.000 substances doivent être testées entre 2013 et 2018. En appliquant les
LJQREOHVSURWRFROHVFODVVLTXHVGHVPLOOLRQVG·DQLPDX[VRQWVDFULILpV

HISTORIQUE
2006-­2011 : Recherche et Développement. Premières démonstrations sur la
pertinence du concept, puis plusieurs années de travail pour la mise au point
de la technique.

2009 : Publication dans la revue scientifique ALTEX (mars 2009) et


présentation au Congrès mondial sur les méthodes alternatives (WC8, Rome,
août 2009).

 
294  
Avril 2011  'pS{W GX GRVVLHU 9DOLWR[ DXSUqV GH O·(&9$0 O·RUJDQLVPH
européen en charge de la validation des alternatives aux expérimentations
animales (dépôt IHCP / 103/ (ARES) 2011).

2012 : /D)RQGDWLRQ%ULJLWWH%DUGRWV·LQIRUPHGHVGRVVLHUVDXSUqVGHO·(&9$0
et obtient un courrier de John Dali, commissaire européen à la Santé ;; suite à
O·DQDO\VH GpWDLOOpH UpDOLVpH VXU OH GRVVLHU HQ  GHV DMXVWHPHQWV VRQW
demandés.

Septembre 2013 : /HGRVVLHUHVWUHSULVHQPDLQVRXVO·LPSXOVLRQGHChristophe


Furger.

Octobre 2014 1RXYHDXGpS{WGHGRVVLHUDXSUqVGHO·(&9$0DSUqVODPLVHHQ


conformité demandée (TM2014 : 05).

2015 : 1RXYHDX[pFKDQJHVWHFKQLTXHVDYHFO·RUJDQLVPHGHYDOLGDWLRQ

Partenaires : La Ligue suisse contre la vivisection (LSCV), la Société Nationale


de Défense des Animaux (SNDA), la Fondation Brigitte Bardot, la SPA,
O·DVVRFLDWLRQ %RXUGRQ OD )RQGDWLRQ  0LOOLRQV G·$PLV RQW ILQDQFp FH SURMHW
unitaire piloté par Pro Anima. De nombreuses organisations soutiennent Valitox
en termes de communication.

NOTA  2Q FRQVWDWH LFL TXH PrPH ORUVTX·LO V·DJLW G·pFRQRPLVHU EHDXFRXS
G·DUJHQW FXULHXVHPHQW OHV V\VWqPHV WRUWLRQQDLUHV HQ SODFH UHFKLJQHQW j VH
remettre en question ² ,OSDUDvWTXHODFUXDXWpGHYLHQWXQHGURJXH« HWFRPPH
tout le monGHV·HQIRXWDXQLYHDXGXSXEOLFOHVDQQpHVSDVVHQWjSLpWLQHUGH
commissions stériles en commissions stériles !!!
/HPRQGHYLYDQWHVWVRXVODFRXSHG·XQHPDFKLQHVRXUGHHWDYHXJOHLQVHQVLEOH
HW VDQV SLWLp R OD ORL GH O·DUJHQW HVW PDvWUH DEVROX 0DLV Dttention,
O·LQGLIIpUHQFHJpQpUDOHGHYDQWFHWHQIHUGXPRQGHDQLPDOHVWGpMjHQWUDLQGH
GpULYHU YHUV OH PRQGH KXPDLQ '·DLOOHXUV O·H[SpULPHQWDWLRQ VHFUqWH VXU OHV
SRSXODWLRQVKXPDLQHVQ·HVW-­HOOHSDVGpMjHQFRXUVFUHVFHQGRGHSXLVSOXVG·XQ
siècle sans notre consentement ? Ce que nous acceptons pour les animaux,
nous sera inéluctablement appliqué ² F·HVWODORLGXFKRFHQUHWRXU !

 
295  
65
OGM (transgénique)
Organisation du Génocide Mondial

UNE LOI CONTRE LE PEUPLE

La loi sur les OGM a été adoptée le 20 mai 2008 au Parlement et le 22 mai au
6pQDWHQO·DEVHQFHGHGpILQLWLRQFODLUHGX"sans OGM" GDQVO·DUWLFOHHU
6LOHUHFRXUVFRQVWLWXWLRQQHOQ·DERXWLWSDVjO·DQQXODWLRQGHFHWH[WHHQJDJHDQW
notre avenir et celui des générations futures de manière irréversible, alors il ne
UHVWHUD TXH O·DFWLRQ GH GpVREpLVVDQFH FLYLTXH /HV VHPHQFLHUV« VH VRQW
IpOLFLWpV GH O·DGRSWLRQ GpILQLWLYH GX WH[WH HW RQW GHPDQGp OD SXEOLFDWLRQ UDSLGH
GHV GpFUHWV G·DSSOLFDWLRQ Challenges.fr   F·HVW ELHQ SDUFH TXH OH
texte leur consacre la part belle, bafouant ainsi le droit des Français de
produire et consommer sans OGM.

/DUpVLVWDQFHQ·HVWSOXVXQHRSWLRQ

LE CHEVAL DE TROIE NOMME OGM

TERMINATOR BIS
Sous prétexte de biosécurité (empêcher les contaminations de
O·HQYLURQQHPHQW  OH SURJUDPPH 75$16&217$,1(5 ILQDQFp SDU O·8QLRQ
Européenne a mis au point de nouveaux "OGM" rendus clandestins par des
JqQHVVXLFLGHVTXLGLVSDUDvWURQWGHODSODQWHDYDQWTX·HOOHQHVRLWYHQGXe aux
consommateurs, ou des plantes "zombies" qui sont stériles si elles ne sont pas
arrosées par des produits chimiques brevetés.

"OGM" CLANDESTINS

$ORUVTXHOHEUHYHWVXUOHVYDULpWpVLPSRVHGHUHQGUHSXEOLTXHO·LQIRUPDWLRQVXU
les méthodes de sélectioQXWLOLVpHVOH&HUWLILFDWG·2EWHQWLRQ9pJpWDODXWRULVHj
garder secrètes les techniques de modification génétique autres que la

 
296  
transgénèse. Des plantes manipulées telles que les OGM, sont ainsi vendues
DX[ FRQVRPPDWHXUV TXL Q·HQ YHXOHQW SDV 3DU H[HPSOH mutations génétiques
SURYRTXpHVSDUUDGLRDFWLYLWpQXFOpDLUHIXVLRQVGHFHOOXOHVG·HVSqFHVGLIIpUHQWHV
nanoparticules.

SEMENCES CONTAMINEES

/·LQGXVWULH VHPHQFLqUH IDLW GH PXOWLSOHV SUHVVLRQV SRXU LPSRVHU XQ VHXLO GH
contamination des semences.
Or, en cDV GH FXOWXUH PDVVLYH G·2*0 WRXWH FRQWDPLQDWLRQ GHV VHPHQFHV QH
SHXWTX·DXJPHQWHUDXIXUHWj mesure des saisons de culture.
$FFHSWHU OD PRLQGUH FRQWDPLQDWLRQ GHV VHPHQFHV F·HVW DFFHSWHU
O·DXJPHQWDWLRQ FRQWLQXH HW LUUpYHUVLEOH GH OD FRQWDPLQDWLRQ GH QRV champs et
de nos aliments.

UN BIOPIRATAGE LEGALISE

/H&HUWLILFDWG·2EWHQWLRQ9pJpWDO &29 SHUPHWGHSURWpJHUOHVHFUHWVXUO·RULJLQH


GHV SODQWHV TX·LO SURWqJH $LQVL OHV YDULpWpV SD\VDQQHV LQWHUGLWHV SDU OH
catalogue peuvent être "bio piratées" par O·LQGXVWULHTXLSHXWSUHQGUHQ·LPSRUWH
TXHOOHJUDLQHGDQVXQFKDPSGpSRVHUXQ&29GHVVXVHWV·DSSURSULHUDLQVLXQ
bien commun.
Des connaissances traditionnelles sur les vertus thérapeutiques et
nutritionnelles des plantes sauvages sont déjà "piratées" grâce au brevet sur le
gène et sa fonction.

VERS UN FICHAGE GENETIQUE GENERALISE DU VIVANT

$ORUV TXH OHV SURPHVVHV GHV WKpUDSLHV JpQLTXHV Q·RQW SDV pWp WHQXHV O·DSSRUW
HVVHQWLHO GH OD JpQpWLTXH LQWHUYHQWLRQQHOOH FKH] O·KRPPH HVW OD JpQpUDOLVDWLRQ
du fichage génétique qui renforce le contrôle des populations par les
gouvernements. Au niveau de la biodiversité, les OGM sont un échec
agronomique patent. Mais la génétique a apporté, avec la sélection assistée par
PDUTXHXUV PROpFXODLUHV O·RXWLO WHFKQLTXH TXL PDQTXDLW j O·LQGXVWULH SRXU
généraliser le fichage génétique des plantes et des animaux et retrouver dans
les champs et les fermes les gènes marqués de ses brevets ou COV : elle
marque ainsi sa propriété pour supprimer les droits collectifs des paysans
sur leurs propres semences et sur les animaux nés dans les fermes.

 
297  
UN OGM PEUT EN CACHER UN AUTRE

8QHGpSrFKHGHO·$)3GX13 août 2008 illustre à merveille la fourberie qui se


joue sur les semences : quelque 600 scientifiques et cultivateurs ont été invités
SDU O·$,($ $JHQFH QXFOpDLUH RQXVLHQQH  j H[DPLQHU SHQGDQW TXDWUH MRXUV j
9LHQQH HQ $XWULFKH OHV PR\HQV G·DPpOLRUHU   OHV FXOtures de produits
alimentaires grâce aux radiations. Cette technique, par le bais de laquelle "on
XWLOLVH O·LUUDGLDWLRQ SRXU UpRUJDQLVHUOD FRPSRVLWLRQ JpQpWLTXH GHV SODQWHV DILQ
de les rendre plus résistantes aux maladies ou augmenter leur rendement" est
pudiquement baptisée "la mutation incitée des plantes".

En effet, devant la résistance des Européens aux OGM, loin de renoncer à son
SURMHWGHPDLQPLVHVXUOHYLYDQWO·LQGXVWULHFKHUFKHPDLQWHQDQWjSURPRXYRLU
plus largement une méthode ne faisant pas intervenir de gènes étrangers et qui
permet donc de commercialiser des plantes brevetées sans les soumettre aux
contraintes réglementaires qui pèsent sur les OGM. La modification génétique
QH SRUWDQW SOXV VXU O·LQWURGXFWLRQ G·XQ JqQH pWUDQJHU PDLV VXU OD
"réRUJDQLVDWLRQGXJqQHH[LVWDQWRQGLUDTX·LOQHV·DJLWSOXVG·XQ2*0

%LHQHQWHQGXODGpSrFKHV·HPSUHVVHG·DMRXWHUTXHODWHFKQLTXHHQTXHVWLRQQH
ODLVVH SDV GH UDGLDWLRQ UpVLGXHOOH GDQV OD SODQWH FRPPH F·HVW OH FDV GDQV OD
technique OGM". En somme, grâce aux deux hémisphères de son puissant
FHUYHDXO·KRPPHUpXVVLWjIDLUHHQXQFODTXHPHQWGHGRLJWFHTXHODQDWXUHD
PLVGHVPLOOLRQVG·DQQpHVjDFFRPSOLU«HWQRXVDVVXUHODPDLQVXUOHFRHXU
TX·LOIDLWULJRXUHXVHPHQWODPrPHFKRVHVLPSOHPHQWYUDLPHQt beaucoup plus
YLWH ,O D MXVWH RXEOLp GH SUpFLVHU TX·LO QH FRQQDvW GX JqQH TXH VHV VpTXHQFHV
codantes, F·HVW-­à-­GLUH TX·LO RPHW 2K  3as grand-­chose : seulement ses
séquences non codantes, soit environ 70% du génome de la plante, qui
demeure à ce jour une inconnue !

1(67/(9(873/86'·2*0

1HVWOpGpWLHQGUDLWDXMRXUG·KXL VDXIHUUHXURXRPLVVLRQ OHVPDUTXHVVXLYDQWHV


:

-­ Boissons : Dolce Gusto, Ricoré, Nescoré, Lion, Tonimalt, Caro, Bonjour,


Nestlé,
Nesquik, Nescafé.
-­ Culinaires : Maggi, Buitoni, Mousline.

 
298  
-­ Chocolats et confiserie : Nestlé dessert, Nestlé, After Eight, Lanvin, Nuts,
Menier,
Galak, Quality Street, Smarties, Crunch, Nestlé Noir, KitKat.
-­ Charcuterie et traiteur : Herta.
-­ Glaces : La Laitière, Glaces Nestlé, Extrème, Yoco, Smarties, Movenpick.
-­ Surgelés : Maggi, Buitoni, Hot Pockets, Sveltess.
-­ Nutrition infantile : Nestlé, Guigoz, Nidal.
-­ Nutrition clinique : Nesvital, Clinutren, Sondalis, Peptamen, Modulis Amino
5,
Modulis Anti OX.
-­ Céréales : Natéo, Chocapic, Nesquik, Chokella, Cookie crisp, Crunch, Lion,
Clusters, Cheerios, Golden Grahams, Fitness.
-­ Produits laitiers frais : Nestlé, La Laitière, Sveltesse, Yocco.
-­ Nespresso : Nespresso
-­ Eaux embouteillées : Nestlé Waters France, Vittel, Aquarel, Contrex, Perrier,
S.
Pellegrino, Acqua Panna, Quézac, Hépar, Valvert.
-­ Produits pour animaux de compagnie : PURINA = One, Gourmet, Felix,
Friskies,
Fido, Beneful, Pro Plan, Veterinary Diets, Dog Chow, Cat Chow.
-­ Hors domicile : Nestlé Food Service, Davigel, Nestlé Glaces, Davifrais,
Nescafé, Chef, Nestlé, KitKat, La Laitière, Maggi, Nesquik.

Imposons-­OXLXQHFXUHG·DPDLJULVVHPHQW

IMPASSE DES OGM (7'(/·$*5,&8/785(&+,0,48(

Céréales à très haut rendement, fruits énormes, nouveaux légumes, récoltes


UpVLVWDQWHV DX[ PDODGLHV DQLPDX[ PDJDVLQV SRXU OD JUHIIH G·RUJDQHV
LQYHQWLRQ GH QRXYHOOHV HVSqFHV YLYDQWHV WRXV D]LPXWV« G·KXPDLQV SRXUTXRL
pas, de zombies-­robots aussi, ça peut être très utile, les scientifiques ont un
terrain de jeu illimité, se donnant la sensation grisante de concurrencer le
Créateur, de le surpasser peut-­être, mais quel prix allons-­nous, nous et nos
enfants, payer cette folie ?

-·DYDLV VLJQDOp LO \ D TXHOTXHV DQQpHV GDQV XQ QXPpUR GH Vérités Santé
Pratique OHV UHPDUTXDEOHV WUDYDX[ G·XQ FKHUFKHXU SOXULGLVFLSOLQDLUH Jean-­
Pierre Perez DXWHXU GH O·RXYUDJH Planète transgénique (Édition Espace Bleu)
TXL D PLV HQ pYLGHQFH HQ  O·DUFKLWHFWXUH PDWKpPDWLTXH GH O·$'1

 
299  
(Q HIIHW LO D SX PRQWUHU TXH OHV EDVHVGH O·$'1 VH VWUXFWXUDLHQW VXLYDQW XQH
curiosité mathématique (1-­1-­2-­3-­5-­8-­13-­21-­34-­55-­89-­144...) nommée suite de
Fibonacci. On remarquera que 1+1=2 ;; 2+1=3 ;; 3+2=5 ;; 5+3=8 ;; 8+5=13... et
TXH G·DXWUH SDUW OD SURSRUWionnalité entre deux nombres successifs est
constante et égale approximativement à 1,618 ² TXLHVWOHIDPHX[QRPEUHG·RU

Cette règle de construction est appliquée à tous les règnes du vivant. Lorsque
O·RQLQWURGXLWXQHVpTXHQFHGDQVXQHFKDvQH$'1DYHFXn gène extérieur, son
SRVLWLRQQHPHQW VH IDLVDQW GH IDoRQ DOpDWRLUH HW LQFRQWU{ODEOH O·KDUPRQLH GH
)LERQDFFLHVWIDXVVpHHWERLWHXVH/DQDWXUHQ·DXUDHQVXLWHGHFHVVHSHQGDQW
les mois, les années voire les siècles qui suivront, de reconstruire le schéma
initial, ou un schéma harmonieux.
0DLV FHWWH PXWDWLRQ SDVVHUD SUREDEOHPHQW SDU GHV YLUXV F·HVW-­à-­dire par des
PDODGLHVHWGHVVRXIIUDQFHV«

Par ailleurs, si nous nous référons aux travaux de Jacqueline Bousquet,


chercheur honoraire au CNRS, nous apprenons que chaque cellule comportant
un centriole -­ à la fois mini-­ordinateur et mini-­internet -­ dialogue en
permanence avec des références extérieures, générant ainsi à tout moment des
UpDFWLRQV G·DGDSWDWLRQ HW G·pYROXWLRQ &·HVW OH SULQFLSH GHV FKDPSV
morphogéniques.

Mais une fois le système génétique falsifié, détraqué, les récepteurs génétiques
intercellulaires deviennent incapables de décoder les informations extérieures.
Le système devient figé et fermé sur lui-­même par privation de références.

Un tel système vivant ne peut subsister dans ces conditions que par
O·LQWHUPpGLDLUHG·XQFKDPSPDJQpWLTXHTXLVHUWGHFLPHQWHQ quelque sorte, à
sa cohérence.
Or, nous avons déjà évoqué la chute progressive du magnétisme terrestre.
&HWWHGpPDJQpWLVDWLRQULVTXHG·rWre fatale à tout ce qui est coupé des références
vibratoires ambiantes alimentant la vie.

Curiosité de préconfirmation : LE SYSTEME PLOCHER, activateur biologique


naturel, capable de rendre un lisier inodore, de nettoyer des lacs, et
G·DXJPHQWHUODYLWDOLWpGHVSODQWHVHWGHVDQLPDX[et qui fait périr les fruits
et légumes issus de groupes hybrides et poussés hors sol dans des liquides
chimiques. 7RXWFHTXLQ·DSDVpWpUHWHQXSDUODQDWXUHHVWYRXpjXQDYHQLU
précaire. La riposte de la planète à la folie des hommes est déjà en train de
V·DFFRPSOLU

 
300  
Par ailleurs, les engrais chimiques ont dégradé la qualité nutritive des céréales.
(Q PHWWDQW HQ SODFH O·XWLOLVDWLRQ IRUFpH GHV HQJUDLV FKLPLTXHV j SDUWLU des
années 60 SXLV GHV FURLVHPHQWV DQDUFKLTXHV VXUSURGXFWLIV HW HQILQ O·DUULYpH
des multiples hybrides (automatiquement stériles) en 1985, les industriels-­
cultivateurs céréaOLHUV Q·RQW DSSRUWp j OHXUV FOLHQWVFRQVRPPDWHXUV TX·XQH
ELHQSLqWUHTXDOLWpSURWpLTXH ODSDUWLHQRXUULVVDQWHGHO·DOLPHQW  Cette qualité
SURWpLTXHHVWSDVVpHGHHQjPRLQVGHHQ$XMRXUG·KXLRQ
WURXYHGHVFpUpDOHVjSOXVGHG·DPLGon pour moins de 10% de protéines !

On ne peut qualifier ceci que par le terme de vol, subtilisation, tromperie,


SXLVTXH G·XQ F{Wp RQ D ODLVVp FURLUH j OD SRSXODWLRQ TXH F·pWDLW "de la bonne
farine issue de bon blé", WDQGLV TXH O·eWDW IDLVDLW VRLJQHXVHPHQt disparaître la
notion du rapport gluten/protéines des critères des mesures officielles. Depuis
SUqV GH  DQV RQ  QH SDUOH SOXV TX·HQ WHUPHV G·LQGLFHV =pOpQ\ +DJEHUJ
Chopin... Mais qui comprend ces termes ?

&HTXLHVWV€UF·HVWTXHWRXWFHTXLHVWDUtificiel
QHVDXUDLWrWUHTX·XQSDOOLDWLIVDQVDYHQLU

OGM ET STERILISATION

Une étude russe montre que les OGM


SRXUUDLHQWVWpULOLVHUO·KXPDQLWpDXERXWGH générations

On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves


dégâts occasionnés, or une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si
HOOH Q·HVW SDV pWRXIIpH pourrait avoir un grand impact sur les décisions à
SUHQGUHjO·DYHQLU

Le dossier des OGM alimentaires ² dont de très nombreuses pages restent


encore floues à ce jour ² YD GRQF V·DORXUGLU DORUV G·XQH QRXYHOOH SLqFH HQ
SURYHQDQFH GH 5XVVLH TXL HVW VXU OH SRLQW G·\ rWUH DMRXWpH &·HVW XQH pWXGH
dont les résultats frappants ont été présentés à la presse Russe dans le cadre
des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même
évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de "O·Institute for Responsible
Technology" aux États-­Unis et "référence" dans le monde des OGM avec son

 
301  
ouvrage Seeds of Deception (littéralement "les semences de la tromperie"),
publié en 2003.

35272&2/('(/·(;3(5,0(17$7,21
/·pWXGH UXVVH PHQpH FRQMRLQWHPHQW SDU O·$VVRFLDWLRQ 1DWLRQDOH SRXU OD
6pFXULWp *pQpWLTXH HW O·,QVWLWXW GH O·eFRORJLH HW GH O·eYROXWLRQ D GXUp deux
ans, avec des hamsters de race Campbell, qui se caractérisent par un taux de
reproduction très élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri
SHQGDQW GHX[ DQV HW G·XQH PDQLqUH FODVVLTXH OHV SHWLWV PDPPLIqUHV j
O·H[FHSWLRQSUqVTXHFHUWDLQVG·HQWUHHX[RQWpWpSOXVRXPRLQVQRXUULVDYHFGX
soja OGM résistant à un herbicide, et régulièrement importé en Europe.

Au départ, 4 groupes de 5 paires (mâles / femelles) ont été constitués :

‡   le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja,
‡   le second a, quant à lui, suivi un régime alimentaire qui comportait du
soja conventionnel (non OGM),
‡   le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM,
‡   le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja
transgénique était plus élevée que dans ceux du troisième.

À la fin de cette SUHPLqUH SKDVH O·HQVHPEOH GHV TXDWUH JURXSHV D HX HQ WRXW
SHWLWV/·pWXGHV·HVWSRXUVXLYLHGDQVXQHGHX[LqPHSKDVHSDUODVpOHFWLRQ
de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et, dans la
logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont,
elles aussi, eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de
FRED\HV&·HVWDLQVLTXH :

-­ GDQVOHSUHPLHUJURXSH TXLQ·DSDVFRQVRPPpGXWRXWGHVRMD LO\DHXDX


final 52 naissances à la troisième génération,

-­ dans le second groupe (qui a consommé du soja conventionnel) il y a eu 78


naissances,

-­ dans OHWURLVLqPHJURXSH FHOXLTXLDpWpQRXUULDYHFGXVRMD2*0 LOQ·D


eu que 40 petits, dont 25% sont morts,

-­ dans le groupe qui a consommé le plus de soja OGM, une seule femelle a
réussi à donner naissance à 16 petits au total, dont 20% sont finalement
morts.

 
302  
Le résultat est clair :
La troisième génération des hamsters
qui ont eu dans leur menu une part importante de soja OGM,
Q·pWDLWSUDWLTXHPHQWplus capable de se reproduire.

Nota : une autre surprise de taille a été observée :


Certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés
avec des poils dans la bouche, XQSKpQRPqQHG·XQHH[WUrPHUDUHWp
Selon Jeffrey Smith, O·pWXGH GX Dr Surov et de son équipe pourrait
bien "déraciner" une industrie mondiale très florissante.
/·DIIDLUH HVW GRQF j VXLYUH PDLV TXRL TX·LO HQ VRLW GHSXLV O·LQWURGXFWLRQ HQ
GDQVO·HQYLURQQHPHQWHWGDQVODFKDvQHDOLPHQWDLUHGHSURGXLWVagricoles
transgéniques, les risques qui y sont liés restent encore très largement
inconnus car (volontairement) très peu observés, FHOD IDXWH G·pWXGHV
suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des
semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) -­
bien sûr pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales.

QUESTION "CARTON ROUGE" :

Et si les promoteurs des OGM étaient déjà depuis longtemps secrètement au


IDLWGHVUpVXOWDWVGHO·pWXGHUXVVHFHTXLHVWWUqVSUREDEOHQHV·DJLUDLW-­il pas là
G·XQH ERWWH VHFUqWH D\DQW SRXU EXW XQHGpSRSXODWLRQ-­retard massive face à la
FURLVVDQFH GpPRJUDSKLTXH JDORSDQWH DFWXHOOH  PLOOLRQV G·KXPDLQV HQ SOXV
chaque année, soit en gros un milliard tous les 10 ans, cela en dépit des
PDODGLHVGHVDFFLGHQWVHWGHVJXHUUHV Q·pSDUJQDQWHQIDLWTXHOHVGLVVLGHQWV
méfiants qui arrivent à échapper à la moulinette.
/DVROXWLRQORJLTXHFRQVpTXHQWHVHUDLWTXHOHVJHQVQHV·DXWRULVHQWOHVDOLPHQWV
2*0TX·jSDUWLUGXPRPHnt où ils ne sont plus en âge de procréer ² bien sûr à
FRQGLWLRQ TXH OD WUDQVSDUHQFH GH O·pWLTXHWDJH GHV SURGXLWV DOLPHQWDLUHV
LQGXVWULHOVVRLWUHVSHFWpH«
Déjà, les milieux médicaux affichent discrètement une augmentation
LQTXLpWDQWH G·DYRUWHPHQWV QRQ GpVLrés et de bébés mort-­nés, relevée dans les
maternités. Mais le pire à craindre est le développement des dérives génétiques
donnant lieu à des malformations dramatiques et des dégénérescences
neurologiques ² XQH FDODPLWp SUHQDQW OD IRUPH G·XQH SXQLWLRQ JpQprale de la
part des lois de la vie face aux graves infractions faites à la nature.

 
303  
/$35(89((67)$,7(48('(/·$'1'(6&8/785(62*0
PASSE DANS LE GENOME HUMAIN
La revue "Public Library of Science", a publié une nouvelle étude dans
laquelle les chercheurV VRXOLJQHQW TX·LO H[LVWH PDLQWHQDQW GHV SUHXYHV
VXIILVDQWHV VHORQ OHVTXHOOHV GHV UHSDV D\DQW GHV IUDJPHQWV G·$'1
génétiquement modifiés portent des gènes qui peuvent entrer dans le système
humain, confirmant ce que beaucoup de gens ont soupçonné depuis des
années. "Public Library of Science" est une revue scientifique à libre accès, très
respectée, qui couvre la science et la médecine. Pour établir cela, 4 études
indépendantes ont été effectuées sur plus de 1.000 échantillons humains.

Depuis 22 ans que la YHQWHFRPPHUFLDOHG·DOLPHQWVJpQpWLTXHPHQWPRGLILpVD


pWp ODQFpH RQ V·HVW SHX LQTXLpWp GHV HIIHWV j ORQJ WHUPH VXU OHV DQLPDX[
G·pOHYDJH HW HQFRUH PRLQV VXU OHV KXPDLQV HQ ERXW GH FKDvQH DOLPHQWDLUH /H
généticien David Suzuki a récemment exprimé son inquiétude, en disant que
OHV rWUHV KXPDLQV IRQW SDUWLH G·XQH H[SpULHQFH JpQpWLTXH PDVVive" pour de
nombreuses années.
Avant, on pensait que les gènes pouvaient être échangés uniquement entre les
LQGLYLGXV G·XQH PrPH HVSqFH SDU Oa reproduction. $XMRXUG·KXL OHV
scientifiques reconnaissent que les gènes peuvent être transmis aussi entre
différentes espèces.

Notre système sanguin est un environnement bien séparé du monde extérieur


et du tube digestif. Normalement, des macromolécules consommées dans la
nourriture sont bloquées par la paroi intestinale et ne peuvent pas passer dans
le système circulatoire. Au cours de la digestion, les protéines et leur ADN sont
censés être dégradés en petits constituants appelés acides aminés et acides
nucléiques, puis sont ensuite absorbées par un processus actif complexe et
distribués à différentes parties du corps par le système circulatoire. Or, dans
des échantillons sanguins étudiés, RQ D WURXYp GHV FRQFHQWUDWLRQV G·$'1
végétal supérieures à cellHVG·$'1KXPDLQ Normalement, on ne peut imaginer
un être humain échangeant des gènes avec une pomme, une banane ou une
FDURWWH &H TXH OHV VRFLpWpV HQ ELRWHFKQRORJLH FRPPH 0RQVDQWR RQW IDLW F·HVW
TX·HOOHV RQW IRUFp FH WUDQVIHUW GH JqQHV GH O·XQ j O·DXWUH sans aucun égard
concernant les limites ou les contraintes biologiques. ,OV·DJLWGRQFHQIDLWG·XQH
science à la Frankenstein.

 
304  
Il y a aussi des études qui démontrent que quand les humains ou les animaux
digèrent les aliments génétiquement modifiés, les gènes artificiellement créés
WUDQVIqUHQW HW PRGLILHQW OD QDWXUH GHV EDFWpULHV EpQpILTXHV GDQV O·LQWHVWLQ
/HV FKHUFKHXUV UDSSRUWHQW TXH OHV PLFUREHV WURXYpV GDQV O·LQWHVWLQ JUrOH GH
personnes ayant certains désordres intestinaux, peuvent abriter des séquences
G·$'1 SURYHQDQW GH SODQWHV JpQpWLTXHPHQW PRGLILpHV 2U FKH] GHV DQLPDX[
soumis à une alimentation OGM, des études avaient déjà établi un lien
probable avec des inflammations graves de leur estomac et à des utérus élargis
chez les porcs.

En clair, le pUREOqPH HVW TXH O·$'1 GH OD QRXUULWXUH 2*0 GHV DQLPDX[
G·pOHYDJHSHXWDERXWLUQRQVHXOHPHQWGDQVOHXUVWLVVXVPDLVVXUWRXWOHXUODLW
qui génère de multiples gammes alimentaires à base de produits laitiers dans
la grDQGHFRQVRPPDWLRQLQGXVWULHOOH«

Moralité : Choisissez toujours BIO si possible !

 
305  
66
POUVOIR ABSOLU DE MONSANTO
contre tout contradicteur

Gare si vous osez publier une étude contre les biotechnologies : Monsanto va
vous diffamer, vous discréditer. Pour la première fois, un employé de Monsanto
D UHFRQQX SXEOLTXHPHQW TX·DX VHLQ GH O·HQWUHSULVH XQ VHUYLFH HQWLHU D SRXU
seul but de "discréditer" et "dégommer" les scientifiques qui critiquent les OGM.
Avec une seule phrase rendue publique, cet homme a reconnu que les données
scientifiques financées par Monsanto ne sont que de la propagande pure et
simple. En fait, cette entreprise emploie des douzaines, voire des centaines de
SHUVRQQHVSRXUV·DVVXUHUTX·DXFXQHpWXGHVFLHQWLILTXHTXLGLWODYpULWpVXUOHV
produits de Monsanto et leur caractère cancérigène, ne puisse être jugée
crédible.

/·2UJDQLVDWLRQPRQGLDOHGHOD6DQWp 206 DUpFHPPHQWFODVVple glyphosate ²


qui est présent dans le Roundup, le produit en tête des ventes chez Monsanto ²
comme cancérigène, une information qui enflamme le débat sur les
biotechnologies.
Monsanto D WRXW VLPSOHPHQW H[LJp TXH O·2UJDQLVDWLRQ PRQGLDOH GH OD VDQWp
(OMS) et le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) reviennent
sur leur position concernant le caractère toxique de ce produit pour la santé
humaine. $ORUVTX·XQHpWXGHFRQWU{OpHSDUGHVSDLUVHWSXEOLpHHQPDUV-­
dans le très respecté journal "The Lancet for Oncology" -­ présentait des
analyses qui prouvaient que le glyphosate était en fait "probablement
cancérigène". 'DQVO·pWXGHRQSHXWOLUH :

"On a mis en évidence la présence de glyphosate dans le sang et les urines de


WUDYDLOOHXUV DJULFROHV FH TXL LQGLTXH TX·LO D pWp DEVRUEp /HV PLFUREHV GX VRO
dégradent le glyphosate en acide aminométhylphosphonique (AMPA). La
UHFKHUFKHG·$03$GDQVOHVDQJDSUqVXQHLQWR[LFDWLRQVXJJqUHXQPpWDEROLVPH
microbien chez les humains. Le glyphosate et les formules à base de glyphosate
SURYRTXHQW GHV OpVLRQV GH O·$'1 HW GHV FKURPRVRPHV GDQV GHV FHOOXOHV LQ YLWUR
de mamPLIqUHV HW G·KXPDLQV 8QH pWXGH IDLW pWDW GH OpVLRQV FKURPRVRPLTXHV
(micronoyaux) des marqueurs sanguins, chez les habitants de plusieurs
FROOHFWLYLWpVDSUqVO·pSDQGDJHGHIRUPXOHVFRQWHQDQWGXglyphosate."

 
306  
Les enjeux sont particulièrement élevés. Toute O·LQGXVWULH GHV VHPHQFHV 2*0
(Monsanto détient actuellement le monopole sur plus des trois quarts de ces
semences) repose sur leur tolérance au Roundup (Roundup Ready). Le
glyphosate est le produit phare de Monsanto et représente des milliards de
dollars dHYHQWHVLRQ\DMRXWHOHVVHPHQFHVTXLVRQWYHQGXHVSRXUV·DGDSWHUj
O·KHUELFLGHOHSOXVYHQGXSDU0RQVDQWR
NOTA : De nombreuses sous marques du Roundup sont maintenant vendues
dans les jardineries sous des noms de désherbants qui peuvent laisser croire
TX·LOV·DJLWGHSURGXLWVGLIIpUHQWVGXSRLVRQ0RQVDQWR«
(Source : Les amis de la Terre)

PRODUITS AUX OGM DE MONSANTO


De nombreux articles de consommation courante contiennent des produits
issus de cultures OGM. Des plantations dont les semences sont, pour
beaucoup, brevetées par Monsanto, géant américain de l'industrie biochimique.
L'ONGI Greenpeace a établi la liste des marques susceptibles de
commercialiser ces produits OGM.

L'étiquetage des produits alimentaires conventionnels concernant la présence


ou non d'OGM est quasi inexistant. Pour pallier ce manque, l'organisation
Greenpeace a soumis les industriels de l'agro-­alimentaire à un questionnaire
portant sur leur utilisation de plantes génétiquement modifiées. Les éléments
recueillis ont permis à l'ONGI de classer ces marques selon un code couleur.
Vert pour celles qui garantissent ne pas utiliser d'OGM. Orange pour celles qui
disent avoir entamé une démarche pour exclure les organismes génétiquement
modifiés de leurs préparations. Et Rouge pour les fabricants ayant refusé de
répondre ou ne pouvant pas assurer que leurs produits soient exempts
d'éléments transgéniques.
Voici quelques une des marques susceptibles de recourir à la filière OGM :

BOISSONS
‡   Les boissons de la marque Coca-­Cola: Coca-­Cola, Fanta, Dr Pepper,
0LQXWH0DLG«
‡   Les jus de fruits Capri-­Sun et Topricana.

 
307  
‡   Les boissons Ocean Spray, les sodas Pepsi-­Cola, Seven Up, Schweppes
ou les boissons énergisantes Gatorade.
‡   Les thés Lipton et les cafés Maxwell.
‡   Le lait Gloria de la firme Nestlé

PRODUITS SUCRÉS
‡   Les chocolats 3RXODLQ/LQGW&{WHG·2U'DP0LOND6XFKDUGHW
Toblerone.
‡   Les biscuits Lu, Oreo, Cadbury et les cookies Pepperidge Farm.
‡   Les produits Brossard ou Savane.
‡   Les bonbons Carambar, Krema et La Vogienne.
‡   Les chewing-­gums Hollywood ou Malabar.
‡   Les barres de chocolat Bounty.
‡   Les glaces Häagen Dazs, Miko et Ben & -HUU\·V
‡   Les céréales .HOORJJ·VSDUPLOHVTXHOOHV6SHFLDO.7UpVRU0LHO3RS·V
Froties ou encore All Bran.
‡   Les yaourts Yoplait.

PRODUITS SALÉS
‡   Les chips /D\·V3ULQJOHVHW'RULWRV
‡   Les biscuits apéritifs Benenuts et Bahlsen.
‡   Les spécialités fromagères Philadelphia.
‡   Les plats préparés Marie, Findus, Tipiak.
‡   Les pains Jacquet.
‡   Les soupes et bouillons Liebig, Knorr, Royaco, Alvale.
‡   Les préparations mexicaines Old El Paso.
‡   Les sauces Heinz, Amora, Benedicta.
‡   Les produits 8QFOH%HQ·V

HYGIÈNE ET ENTRETIEN
‡   Les couches pour bébé Pampers.
‡   Les protections féminines de la marque Always.

 
308  
‡   Les gels douche, shampoings et déodorants Pantene, Axe, Monsavon,
Dove, Rexona ou Timotei.
‡   Les dentifrices Signal.
‡   Les produits nettoyants Cif, Omo, Dash, Skip, Cajoline et Sun.
‡   Les désodorisants Febreze.

$5&+('(12e9e*e7$/('$16/·$5&7,48(
PREUVE DE LA CONFISCATION DE LA BIODIVERSITE

,OV·DJLWG·XQHFKDPEUHIRUWHj-­ƒ&SHUPHWWDQWG·HQWUHSRVHUGHVpFKDQWLOORQV
de toutes les variétés de semences de la planète. Cette chambre à
FU\RJpQLVDWLRQHVWVLWXpHj6YDOEDUGVXUO·vOHQRUYpJLHQQHde Spitsbergen, sur
ODPHUGH%DUHQWVSUqVGHO·océan Arctique, à quelque 1.100 kilomètres du pôle
Nord.
7URLVPLOOLRQVG·pFKDQWLOORQVGHJUDLQHV\VRQWUpFROWpVGDQVOHVEDQTXHV
de gènes existant déjà à travers le monde. Ce projet international ambitieux,
appelé "Voûte internationale des semences", vise à préserver un reliquat de
la biodiversité PRQGLDOHDFWXHOOHPHQWGDQVXQHSKDVHG·LPSORVLRQGUDPDWLTXH
Les échantillons de VHPHQFHV \ VRQW GpSRVpV j O·DEUL GHV FDWDVWURSKHV
planétaires éventuelles.

Cette initiative financée par la Fondation Bill et Melinda GATES (30 millions
GH GROODUV  VHUDLW ORXDEOH VL OHV SULQFLSDX[ SDUWHQDLUHV GH %LOO *DWHV Q·pWDLHQW
pas Monsanto, la plus grande société mondiale de biotechnologie, la
Fondation SygentaJpDQWGHVVHPHQFHV2*0HWGHVSURGXLWVGHO·DJURFKLPLH
ainsi que la Fondation Rockefeller. Également associé au projet est le géant
DPpULFDLQ GH O·DJUR-­alimentaire DuPont/Pioneer Hi-­Bred, impliqué dans le
EUHYHWDJHG·RUJDQLVPHVJpQpWLTXHPHQWPRGLILpV 2GM).

1( 9286 75203(= 3$6 ,/ 1( 6·$*,7 18//(0(17 '·81 352-(7
HUMANITAIRE, BIEN AU CONTRAIRE !
Car les promoteurs de ce projet sont impliqués -­ parmi de nombreux pays -­
GDQV GHV DFWLRQV OD SOXSDUW GX WHPSV LOOpJDOHV j O·HQGURLW GHV DJULFXOWHXUV
visant le développement à outrance des semences OGM, ceci au total mépris de
la biodiversité, sans compter la généralisation galopante de la famine et des
maladies dégénératives des populations par empoisonnement. Ce projet permet
HQIDLWjXQHSRLJQpHG·HQWUHSULVHV de la biotechnologie, de prendre le contrôle

 
309  
total des semences biologiques de la planète, et vise la privatisation de la
biodiversité mondiale au détriment des peuples.

Que la participation de Monsanto à ce projet ne soit pas officiellement


mentionnée relève de la pure désinformation, sachant que Monsanto fut le
SURPRWHXU G·DFWLRQV PRQGLDOHV OHV SOXV FRQGDPQDEOHV GRQW OD FULPLQHOOH
Poudre orange à la dioxine déversée sur le Vietnam, le très dangereux PCB des
transformateurs électriques, le Roundup faussement biodégradable, la
diabolique semence Terminator, etc.
2XL0RQVDQWRHWOHVSULQFLSDX[JpDQWVGHO·DJUR-­alimentaire OGM disséminent
SHQGDQWFHWHPSVOHXUVVHPHQFHV2*0EUHYHWpHVGDQVWRXWHO·$IULTXHHWGDQV
OHPRQGHVRXVO·pWLTXHWWHWURPSHXVHGH"Biotechnologie".

/RUVTXH FHV JpDQWV GH O·DJUR-­alimentaire OGM auront épuré la planète de la


plupart des plantes naturelles en obligeant à rendre illégale leur culture, ils
ressortiront de leur bunker -­ SRXUYHQGUHjSUL[G·RU -­ ce dont la nature avait
toXMRXUVIDLWJpQpUHXVHPHQWFDGHDXGHSXLVO·DXEHGHVWHPSV%UHIXQVDFFDJH
SODQpWDLUHjKDXWHUHQWDELOLWpTXLVHGUDSHG·XQHLOOXVLRQKXPDQLWDLUHIDFHDX[
FDWDVWURSKHVDFWXHOOHVHWjYHQLUTX·LOVRQWHX[-­mêmes programmées envers et
contre tous.
Extrait de Michel Chossudovsky

 
310  
67
ABEILLES DECIMEES
une attaque organisée des lobbies

Les abeilles du monde entier sont en train de mourir, ce qui menace toute la
chaîne alimentaire et la biodiversité. La cause majeure de cette disparition : des
pesticides tels le GAUCHO de Merck.

&HV SRLVRQV Q·RQW MDPDLV HX G·$00 PDLV GHV DXWRULVDWLRQV SURYLVRLUHV
reconduites chaque année. Malgré les alertes récurrentes des apiculteurs et de
QRPEUHXVHV VRPPLWpV VFLHQWLILTXHV« LQGpSHQGDQWHV OHV SXLVVDQWV OREELHV
producteurV QLHQW HQ EORF HW VDQV SUHXYHV GHSXLV GHV DQQpHV O·LPSOLFDWLRQ GH
OHXU SRLVRQ GDQV O·KpFDWRPEH PRQGLDOH GHV DEHLOOHV ,OV RQW PrPH OH FXORW GH
IDLUHOHFKDQWDJHGXFK{PDJHWHFKQLTXHGHPLOOLHUVG·HPSOR\pVVLO·RQVXSSULPH
leurs produits du marché !

Le 11 mars 2014, le Parlement européen a adopté en catimini


un texte qui demande la réhabilitation massive
des insecticides NEONICOTINOÏDES "tueurs G·DEHLOOHV
partiellement interdits en Europe depuis Mai 2013.

Cette décision :

-­ Remettait en question le UDSSRUW GH O·()6$, O·DXWRULWp VDQLWDLUH


européenne, préconisant le retrait pur et simple des néonicotinoïdes de tout
O·HVSDFHHXURSpHQ

-­ 7LUDLW XQ WUDLW VXU SOXV G·XQH FHQWDLQH G·pWXGHV dénonçant la toxicité
exceptionnelle de ces insecticides et leurs effets catastrophiques sur les
DEHLOOHV O·HQYLURQQHPHQW HW O·DYHQLU PrPH GHV FXOWXUHV TXL QRXV QRXUULVVHQW
DXMRXUG·KXL

-­ Méprisait les efforts acharnés des apiculteurs et des millions de citoyens à


WUDYHUV O·(XURSH SHQGDQW SOXV GH GL[ DQV SRXU VDXYHU OHs pollinisateurs et les
cultures qui en dépendent.

 
311  
-­ 5pYpODLWO·LQIOXHQFHLQFUR\DEOHGHVOREE\LVWHV (ils sont des milliers) auprès
des institutions européennes, et le détournement du processus démocratique
SRXU OHV SURILWV SKDUDRQLTXHV G·XQH SXLVVDQWH LQGXstrie chimique
irresponsable.

&·HVW GLIILFLOH j FURLUH PDLV OD JUDQGH PDMRULWp GHV GpSXWpV TXL RQW YRWp SRXU
que les néonicotinoïdes soient à nouveau utilisés sans restriction en Europe,
Q·HVWPrPHSDVFRQVFLHQWHGHO·DYRLUIDLW3RXUTXRL"9RLOjFRPPHQWles lobbies
V·\VRQWSULVSRXUPDQLSXOHUOHVLQVWLWXWLRQVHXURSpHQQHV

/·HXURGpSXWpH Anthea Mc Intyre, membre suppléante de la Commission


agriculture et connue pour relayer les intérêts des industriels britanniques au
sein du Parlement européen, a commencé par déposer un texte intitulé
/·$YHQLUGXVHFWHXUKRUWLFROHHQ(XURSH -­ stratégies pour la croissance".
Juste avant que le texte ne soit soumis au vote du Parlement, une série de
propositions directement dictées par les firmes agro-­chimiques ² les seules à
avoir été consultées pour la rédaction de ce texte ² a été ajoutée en catimini,
noyées au milieu d·XQH FLQTXDQWDLQH GH UHFRPPDQGDWLRQV SRXU VRXWHQLU OHV
entreprises européennes de la filière horticole.

Le texte a été adopté à la va-­YLWH HQ PrPH WHPSV TX·XQH WUHQWDLQH G·DXWUHV
textes complexes votés en moins de deux heures ce jour-­là... Et voilà comment,
DYHF OH VRXWLHQ G·XQ PLQLPXP GH GpSXWpV OHV OREELHV RQW pWp FDSDEOHV
G·LPSRVHUOHXUSODQDQWL-­abeilles qui devient, du jour au lendemain, la position
officielle du Parlement européen. Les forces en jeu sont colossales : La vente du
seul imidaclopride, O·XQ GHV néonicotinoïdes WXHXUV G·DEHLOOHV UDSSRUWH j OXL
seul plus de 2,6 milliards de dollars chaque année à la sinistre firme Bayer qui
le commercialise -­ de quoi payer des bataillons de scientifiques soumis,
G·DYRFDWVHWGHMXULVWHVSRXUIDLUHSDVVHUOes intérêts à court terme des firmes
agro-­chimiques avant celui des centaines de millions de citoyens à travers le
PRQGH 6L FHV SURGXLWV UHYLHQQHQW VXU OH PDUFKp F·HVW OD PRUW DVVXUpH GH
GL]DLQHVGHPLOOLRQVG·DEHLOOHVVXSSOpPHQWDLUHV

Rappelez-­vous :
Il y a quelques temps, un document interdisant trois pesticides notoirement
meurtriers pour les pollinisateurs (la Clothianidine, le Thiaméthoxame et
O·,PLGDFORSULGH) pour deux ans, le temps de voir si les abeilles se portent
PLHX[$O·pSRTXHWRXVOHVGpfenseurs des pollinisateurs avaient crié victoire :
on débarrassait enfin les champs et les cultures de ces pesticides si nocifs
pour les abeilles capables de décimer des colonies entières en quelques jours.

 
312  
Mais cette interdiction était un leurre ! Car Bayer et Syringa avaient en sous
main le plan tordu que voici : La régulation de la Commission européenne
GHYDLWGpFUpWHUTXHOHVSHVWLFLGHVWXHXUVG·DEHLOOHVVHUDLHQWLQWHUGLWVVHXOHPHQW
quelques mois par an... MAIS seraient largement utilisés tout le reste de
O·DQQpH (sur près de 85% des céréales, et sur une grande partie des cultures de
fruits, légumes et herbes aromatiques) empoisonnant largement les sols et
O·HDXDEVRUEpVHQVXLWHSDUOHVFXOWXUHVVRL-­disant non traitées.

Par ailleurs, de nombreuses études ont montré que ces substances ultra
toxiques peuvent rester SUpVHQWHV GDQV OH VRO MXVTX·j  DQV DSUqV OH
traitement, et dans de grosses concentrations les premières années. Du coup,
les cultures non traitées replantées sur le même terrain révèlent des traces de
néocotinoïdes jusque dans leur pollen... que viennent ensuite butiner les
abeilles ! A la fin de la période-­test de deux ans, les multinationales pourront
SURXYHU TXH OHV DEHLOOHV FRQWLQXHQW G·rWUH GpFLPpHV PDOJUp O·LQWHUGLFWLRQ GH
leurs produits, HW GRQF TX·LOV Q·\ VRQW SRXU ULHQ. Ils auront réussi à blanchir
leurs saloperies et à maintenir leurs profits pour longtemps encore !

'HVFHQWDLQHVGHWRQQHVGHQpRQLFRWLQRwGHVYRQWDLQVLSRXYRLUFRQWLQXHUG·rWUH
XWLOLVpHVHQSXUHSHUWHGDQVO·DJULFXOWXUHGpWUXLVDQWO·pFRV\VWqPHHWPHWWDQWHQ
SpULOO·DOLPHQWDWLRQHWODsurvie des générations futures.

Le réseau Pollinis précise que bon nRPEUH G·pWXGHV HW G·DQDO\VHV RQW PRQWUp
TXH OHV SHVWLFLGHV QpRQLFRWLQRwGHV VRQW ORLQ G·rWUH LQGLVSHQVDEOHV j
O·DJULFXOWXUH FRPPH YRXGUDLHQW OH IDLUH FURLUH OHV ILUPHV DJUR-­chimiques, ils
VRQW EHDXFRXS WURS SXLVVDQWV SDU UDSSRUW DX[ LQVHFWHV TX·LOV VRQW FHnsés
combattre (on a multiplié par 900 la toxicité des pesticides en quelques années,
F·HVWWRWDOHPHQWGpPHQWLHO ,OVVRQWXWLOLVpVGHIDoRQV\VWpPDWLTXHHQGpSLWGX
ERQ VHQV PrPH VL OHV FXOWXUHV QH ULVTXHQW SDV G·rWUH DWWDTXpHV SDU GHV
parasites  ils FR€WHQWWUqVFKHUFDULVVXVG·XQHWHFKQRORJLHFR€WHXVH FHOOHGH
O·HQUREDJHGHODJUDLQHVSpFLDOLWpGHMonsanto).

Pollinis DMRXWHTX·XQHpWXGHPRQWUHQRLUVXUEODQFTX·HQWHUPHVGHUHQGHPHQW
SRXUO·DJULFXOWHXUO·XWLOLVDWLRQGHFHVSHVWLFLGHVGHIDoRQVystématique ou non
QH IDLW DXFXQH GLIIpUHQFH 0DLV YX OHXU FR€W pOHYp O·DJULFXOWHXU IHUDLW SOXV GH
SURILWV V·LO QH OHV XWLOLVDLW SDV ,O HVW FODLU TXH j SDUW OHV JURVVHV HQWUHSULVHV
agro-­FKLPLTXHV SHUVRQQH Q·D LQWpUrW j ODLVVHU FHV SRLVRQV VXU OH PDUFKp : la
QDWXUH HQ PHXUW O·KXPDQLWp HVW PHQDFpH HW VHXOH XQH PRELOLVDWLRQ PDVVLYH
GHV FLWR\HQV j WUDYHUV WRXWH O·(XURSH SRXUUD VWRSSHU FH SODQ GHVWUXFWHXU GH
O·LQGXVWULHFKLPLTXH

 
313  
$ QRWHU WRXW GH PrPH TX·DXFXQ SURGXFWHXU DJULFROH Q·HVW REOLJp G·XWLOLVHU FHV
SRLVRQVPrPHV·LOVVRQWDXWRULVpVYRLUHUHFRPPDQGpVFHTXLYHXWGLUHTX·LOV
sont aussi coupables que les députés, voire plus coupables encore en tant
TX·H[pFXWDQWV GLUHFWV VRXYHQW DX PpSULV GHV DJULFXOWHXUV ELR pYHQWXHOOHPHQW
DXWRXU DLQVL TX·DX[ UXFKes des environs ! Eux aussi, pour beaucoup, sont
SOXV SUpRFFXSpV SDU OHXUV UHYHQXV TXH SDU O·DYHQLU GH O·KXPDQLWp ² peut-­être
Q·RQW-­LOVSDVG·HQIDQWVQLGHSHWLWVHQIDQWV«jPRLQVTX·LOVne soient totalement
stupides !

Pour en savoir plus : http://www.pollinis.org

DES MILLIERS DE RUCHES EXTERMINEES CHAQUE ANNEE

"Aux premiers froids du mois de novembre, les abeilles meurent en masse


devant les ruches ou disparaissent au fil des jours. Sur les ruchers impactés,
c'est partout le même scénario avec une poignée d'abeilles et la reine au
milieu."
/HV V\QGLFDWV G·DSLFXOWHXUV OH *'6$ HW O·86$5 UpFODPHQW GHV DQDO\VHV /HV
résultats sont sans appel : des molécules neurotoxiques ont été retrouvées
dans toutes les ruches. Re-­Pointés du doigt par la profession une nouvelle fois :
les pesticides ! Alertée, la chambre d'agriculture prône des recherches plus
poussées (ben voyons   DYDQW G
HQYLVDJHU GHV PHVXUHV (OOHV VRQW HQ FRXUV«
(et çà risque de durer le plus longtemps possible !). Ici, pas de mesure de
précaution (WWDQWSLVSRXUOHVDEHLOOHVHWWDQWSLVSRXUOHVDSLFXOWHXUV«RQ
achètera du simili-­miel trafiqué aux chinois ou on embauchera pour polliniser
à la main !
1RQ FRQWHQWH GH FHOD O·DGPLQLVWUDWLRQ Irançaise a autorisé un nouveau
poison mortel pour les abeilles : le LUZINDO. CrLG·DODUPHGHVDSLFXOWHXUVDX
Pian²Médoc (sud ouest). Frédéric Wielezynski, président pianais du Saga
explique :
"Cet insecticide larvicide et adulticide, destiné à lutter contre la cicadelle de la
flavescence dorée ainsi que le metcalfa ou les vers de la grappe, est à base de
thiaméthoxam et de chlorantraniliprole." Le thiaméthoxam est un néonicotinoïde
dont la très forte toxicité à l'égard des abeilles est reconnue, ce qui lui a valu
d'être interdit récemment par la Commission européenne sur les cultures
de colza, maïs, tournesol et coton. Pour preuve la fiche technique du fabricant
indique : "dangereux pour les abeilles".

 
314  
Il semble que les instances françaises jouent sur le IDLW TXH O·LQWHUGLFWLRQ
HXURSpHQQHQ·DSDVFLWpOHVYLJQREOHV0DLVHQSOXVG·HPSRLVRQQHUOHUDLVLQ«HW
OHYLQTXHQRXVDOORQVERLUHOHSUREOqPHGHVGpERUGHPHQWVGHO·pSDQGDJHVXU
la flore environnante est le même. Entre des hauts fonctionnaires corrompus
SDU OHV OREE\LVWHV HW GHV YLJQHURQV TXL Q·RQW TXH IDLUH GHV DEHLOOHV HW GHV
FRQVRPPDWHXUV  SDUFH TX·LOV RQW IDLW DX GpSDUW OH PDXYDLV FKRL[ GX
UHQGHPHQWFKLPLTXHLOQ·\DYUDLPHQW48(GXPDOjSUHQGUH

Alors çà suffit de discuter avec cette mafia industrielle, qui de plus tient nos
JRXYHUQDQWV j FRXS GH SRWV GH YLQ« YRLUH GH UHSUpVDLOOHV /·DIIDLUH HVW JUDYH !
(W OD WpOp DX[ RUGUHV FRPPH j O·KDELWXGH pGXOFRUH $ORUV WHO OH *pQpUDO GH
*DXOOH M·HQ DSSHOOH DX[ IUDQoDLV HW DX[ HXURSpHQV HQ JpQpUDO GH VH mobiliser
une bonne fois, par des actions de résistance massive afin que nos
gouvernements soient pris en tenaille entre leurs "maîtres" et les peuples, dont
ils sont censés défendre la sécurité vitale.

6DFUHEOHXLOV·DJLWGHODVXUYLHGHODSODQqWHHWGHO·DYHQLUGH
nos enfants !
(LQVWHLQQ·D-­t-­LOSDVGLWFDUUpPHQW3OXVG·DEHLOOHV SOXV
G·KXPDLQV ?

 
315  
68
/·+80$1,7e(127$*('(66(0(1&,(56
inadmissible et révoltant !

Les semenciers rachetés par les lobbies pharmaco-­chimiques sont


responsables du plus grand déluge planétaire qui est en cours, "semant" la
maladie, la désertification, la famine et la mort lente par empoisonnement de
tous les règnes.
Ils développent une science folle qui ne vise TX·j GHV SURILWV JLJDQWHVTXHV DX
PpSULV GH WRXWH FRQVLGpUDWLRQ PRUDOH LJQRUDQW OHV WUDJpGLHV TX·HOOH HQJHQGUH
7RXVOHVJRXYHUQHPHQWVVRQWWRPEpVGDQVOHXUVJULIIHVHWVRQWWHQXVG·pGLFWHU
des lois qui les protègent.
Nous allons ici mettre en évidence les mensonges de leur fausse science en
exposant les mécanismes de base de la vie végétale au naturel.

LA MERVEILLEUSE SYMBIOSE SOL-­PLANTE

/DSKRWRV\QWKqVHSHUPHWjODSODQWHGHFDSWXUHUOHFDUERQHHWO·K\GURJqQHSRXU
les fixer dans ses racines, qui à leur tour vont les transmettre à une foule de
champignons (les mycorhizes).
Ceux-­ci en échange lui cèdent les minéraux indispensables à sa constitution.
La plante fixe ces minéraux dans sa végétation aérienne sous forme de fibres et
de sucres et les dispense aux milliards de microbes du sol. Ceux-­ci en retour
OXL RIIUHQW VRXV IRUPH DVVLPLODEOH O·D]RWH GH O·DLU LQGLVSHQVDEOH j VD
FURLVVDQFH /·D]RWH SHUPHW j OD SODQWH GH IDEULTXHU OHV SURWpLQHV 6HXO O·D]RWH
SHUPHW OH GpYHORSSHPHQW GH OD YLH SDU O·DLU TX·LO DVVDLQLW O·pQHUJLH HW OHV
SURWpLQHVDOLPHQWDLUHVTX·LOGLVSHQVHODYLHpWDQWIDLWHG·pFKDQJHVKDUPRQLHX[

3OXVODSODQWHDG·D]RWHjVDGLVSRVLWLRQ
plus sa croissance est rapide.

8Q VRO WUDYDLOOp VWLPXOH OHV EDFWpULHV IL[DWULFHV G·D]RWH &HV EDFWpULHV
consomment alors plus de carbone que la plante ne peut en libérer, et le sol
V·pSXLVHHQKXPXV/HSD\VDQGRLWODLVVHUOHVROVHUHSRVHUF·HVWODMDFKqUH,O
peut aussi pratiquer des transferts de fertilité en apportant des fumiers,

 
316  
composts, broyat de UDPHDX[/·pTXLOLEUHHQWUHOHFDUERQHIL[pSDUOHVSODQWHV
et celui restitué par les animaux et les hommes est resté constant depuis le
FRPPHQFHPHQWGHODYLHMXVTX·jFHTXHjODILQGXVLqFOHGHUQLHUODUXSWXUHVH
SURGXLVHHQUDLVRQGHO·LQWHUYHQWLRQFKimique massive.

$87236,('·810(8575($*5,&2/(

'DQV QRWUH VRFLpWp LQGXVWULHOOH O·DUPH GX FRQTXpUDQW DJULFROH HVW OD
UHSURGXFWLRQjO·LGHQWLTXHDXPRLQGUHFR€WGHVHVSqFHVDXWDQWGHIRLVTXHOH
PDUFKp O·H[LJH &HWWH QRUPDOLVDWLRQ HVW FRQWUDLUH j OD YLH qui ne se reproduit
MDPDLVjO·LGHQWLTXH/HPDLQWLHQGHVpTXLOLEUHVUpJXODQWOHVpFKDQJHVQpFHVVLWH
XQH UHODWLYH pYROXWLRQ G·DGDSWDWLRQ FDU VXLYDQW OHV WHUURLUV HW OHV FOLPDWV OHV
SODQWHVVRQWGRXpHVG·XQHJUDQGHYDULDELOLWpGDQVODGLYHUVLILFDWLRQ

PRXU FRPEDWWUH FHWWH IDFXOWp G·DGDSWDWLRQ LQVXSSRUWDEOH SRXU OH PDUFKp


O·LQGXVWULH GH OD VHPHQFH D GpYHORSSp GHV WHFKQLTXHV GHVWLQpHV j PXOWLSOLHU j
O·LGHQWLTXHXQHPrPHSODQWH
&HUWDLQHV V·\ SUrWHQW  PXOWLSOLFDWLRQ YpJpWDWLYH GHV DUEUHV GH OD YLJQH GHV
IUDLVHV GHV SRPPHV GH WHUUH« GRQQDQW GHV FORQHV LVVXV GH ERXWXUHV G·XQH
même plante ou de sa descendance.
$YHF O·DXWRIpFRQGDWLRQ QDWXUHOOH GHV SODQWHV DXWRJDPHV EOp VRMD«  OD
VpOHFWLRQ GH OD GHVFHQGDQFH G·XQ PrPH pSL RX G·XQH VHXOH JUDLQH GRQQH GHV
lignées pures.

Mais chacun sait que tout excès de "consanguinité" provoque plus ou moins
vite la dégénérescence des organismes qui y sont soumis. Une plante,
SDUWLFXOLqUHPHQW YLYDFH VXSSRVH TX·HOOH HVW ELHQ DGDSWpH 5HSURGXLWH j
O·LGHQWLTXH HOOH QH VHUD Slus nécessairement adaptée aux autres
environnements dans lesquels elle devra pousser. Elle perdra alors de sa
vigueur et augmentera sa sensibilité à la maladie.

Les sélections paysannes ont pendant des siècles adapté les plantes à leur
environnement.
Le VpOHFWLRQQHXU PRGHUQH OXL H[LJH OD VWDQGDUGLVDWLRQ HW O·DGDSWDWLRQ GHV
environnements aux besoins de sa plante. Alors on intensifie le travail du sol et
on multiplie les apports en fumure sur la même surface, à moindre coût (les
intrants de synthèse ne sRQWSRXUWDQWSDVGRQQpV /DVWLPXODWLRQGHO·DFWLYLWp
GHV EDFWpULHV IL[DWULFHV G·D]RWH HW VHV fumures font remonter les racines en

 
317  
surface et du coup le labour détruit les mycorhizes, et ceux-­ci ne stockent plus
les substances de réserve dont la plante à besoin dans les périodes difficiles.

Chassés du sol où se trouve leur place, les champignons sont contraints de se


QRXUULUGDQVODSDUWLHDpULHQQHGHODSODQWHVXLYLVG·LQVHFWHVGHEDFWpULHVRX
GH YLUXV FHFL G·DXWDQW SOXV TXH OHV VROV DXURQW pWp GpVpTXilibrés par des
apports surabondants en potasse et une carence en magnésie. Contrairement
aux mycorhizes, ces organismes se comportent en parasites : ils se contentent
GHSUHQGUHjODSODQWHFHTX·HOOHDHQWURSPDLVQHOXLUHVWLWXHQWULHQ/DSODQWH
en bonne santé se défend en durcissant ses cellules et en produisant des
substances anti-­R[\GDQWHV TX·HOOH V\QWKpWLVH JUkFH DX[ PLQpUDX[ TXH OHV
P\FRUKL]HV SUpOqYHQW SRXU HOOH GDQV OHVRO 0DLV O·H[FqV G·D]RWH O·HPSrFKH GH
durcir ses cellules et la disparition des mycorhizes de produire des
antioxydants ;; et la plante succombe !

Si les pesticides (tueurs de la maladie) fournis par la chimie permettent de


combattre le parasitisme, ils ne suppriment pas le déséquilibre qui le nourrit.
'·DXWUHV SDUDVLWHV SUHQQHQW OD SODFH JpQpUDQW O·DSSDULWLRQ GH QRXYHDX[
pesticides sur le marché, puis de nouvelles maladies sur les plantes.
&·HVW DLQVL TX·HVW Qp HQ DJULFXOWXUH OH FHUFOH YLFLHX[ "semences
améliorées/maladies/pesticides"G·ROHFRPPHUFHWUqVOXFUDWLIGH O·LQGXVWULH
semencière et phytosanitaire.

LES HYBRIDES F1 : DES MULETS VEGETAUX

/D UHSURGXFWLRQ j O·LGHQWLTXH HVW SOXV GLIILFLOH SRXU OHV SODQWHV DOORJDPHV TXL
ont besoin de se croiser à chaque génération. Toute autofécondation provoque
chez elles une dpSUHVVLRQ LPPpGLDWH GpSUHVVLRQ TXL V·DFFHQWXH j FKDTXH
génération et rend la semence qui en est issue sans intérêt pour les cultures
suivantes. Pour corriger cette dépression, les sélectionneurs font appel à un
SKpQRPqQHQDWXUHOTXLYHXWTXHjO·LQYHUVH un organisme né de parents trop
pORLJQpVQHVRLWSDVYLDEOH&·HVWFHTXLSHUPHWODGLIIpUHQFLDWLRQGHVHVSqFHV

/·RUJDQLVPHQpGHSDUHQWVjODOLPLWHGHO·pORLJQHPHQWOXLSHUPHWWDQWHQFRUHGH
survivre doit compenser ce déséquilibre génétique par une grande vigueur de
croissance juvénile, au détriment de sa maturité et de sa fertilité : cas du mulet
dans le règne animal. &·HVW MXVWHPHQW FHWWH FRPSHQVDWLRQ PRUELGH TXL
augmente la vigueur de croissance et la masse végétale des hybrides F1, qui

 
318  
sont le produit du croisement de deux lignées consanguines dégénérées les
plus éloignées possibles.

Le bénéfice est double pour le semencier car la descendance non stabilisée et


peu fertile de ces plantes est trop hétéroclite pour avoir un quelconque intérêt
agronomique ;; le paysan est alors obligé de racheter, chaque année, la
semence. Ces hybrides ont toutefois dû attendre la première moitié du siècle
dernier pour se développer, leur grande vigueur végétative nécessitant une
disponibilité en azote que peu de sols offrent naturellement. Cette disponibilité
HVWRIIHUWHSDUO·LQGXVWULHDJUR-­FKLPLTXHQpHGHODWUDQVIRUPDWLRQGHO·LQGXVWULH
GHO·DUPHPHQW

2XL OHV H[SORVLIV VRQW UHF\FOpV VXU OHV VROV DJULFROHV VRXV IRUPH G·HQJUDLV
D]RWpV FDU LOV VRQW FRQVWLWXpV G·D]RWH DWPRVSKpULTXH IL[p SDU O·XWLOLVDWLRQ
G·pQHUJLH IRVVLOH /HXU IDEULFDWLRQ UHVWLWXH j O·DWPRVSKqUH XQH TXDQWLWp GH
carbone supérieure à celle que les plantes peuvent fixer elles-­mêmes
ORUVTX·HOOHVVRQWQRXUULHVGHFHVHQJUDLV
Le carbone autrefois fixé par les plantes se retrouve en quantité excessive dans
O·DWPRVSKqUH /·DSSRUW GH FHV HQJUDLV SURYRTXH O·H[SORVLRQ GHV UHQGHPHQWV
PDLV DXVVL GHV PDODGLHV LVVXHV GH FHWWH QRXYHOOH UXSWXUH GH O·pTXLOLEUH GHV
pFKDQJHVGHFDUERQHHWG·D]RWHHQWUHO·DLUHWOHVRl.

3DUDLOOHXUVULHQQHVHSHUGFDUO·LQGXVWULHPLOLWDLUHUHF\FOHVHVJD]GHFRPEDW
en insecticides, puis en défoliant (herbicides). Les premiers antioxydants issus
GHUpDFWLRQVFKLPLTXHVVLPSOHV VXOIDWH GHFXLYUH RXGHO·LQGXVWULHGXSpWUROH
(soufre) sont maintenant remplacés par des pesticides capables de pénétrer
durablement dans la plante (que nous consommerons ensuite).

UNE LEGISLATION SCELERATE

Au-­delà de la toxicité directe des pesticides, la généralisation des semences


dites "améliorées" a ELHQ G·DXWUHV HIIHWV VXU OD VDQWp /·XVDJH LQWHQVLI GHV
engrais diminue la qualité nutritionnelle des plantes par un appauvrissement
de leur teneur en oligoéléments et antioxydants, lesquels sont nécessaires au
système immunitaire du vivant qui ne peut les fabriquer ni les trouver ailleurs
sous une forme assimilable.

 
319  
Est-­FH SRXU JDUDQWLU DLQVL VHV YHQWHV TXH O·LQGXVWULH SKDUPDFHXWLTXH D
UpFHPPHQW DFKHWp O·HQVHPEOH GHV HQWUHSULVHV VHPHQFLqUHV HW SK\WRVDQLWDLUHV
(terme hypocrite) de la planète entière ?
Malgré les rendements élevés, dans les premiers temps, le coût de ces produits
devrait inviter les paysans à sélectionner leurs semences à partir de leurs
UpFROWHV0$,6«

Premier verrou technique OHVK\EULGHV)DQFrWUHVGHO·2*07(50,1$725


ne sont pas exploitables à la reproduction ;; les lignées pures dégénèrent en
quelques générations.

Deuxième verrou législatif OHVSD\VDQVQ·RQWSOXVOHGURLWGHFRQVHUYHUOHXUV


YDULpWpV WUDGLWLRQQHOOHV /·pFKDQJH RX OD YHQWH QH VRQW DXWRULVpV TXH SRXU OHV
semences des variétés inscrites au catalogue officiel. Pour cela elles doivent
être stables (figées donc inadaptables) et homogènes ;; pour les céréales leur
rendement doit atteindre au moins celui des dernières variétés inscrites. Ces
critères nécessitent une sélection reposant sur des engrais chimiques et des
pesticides dont elles ne peuvent plus se passer par la suite.

Les variétés paysannes, ni stables, ni homogènes ne peuvent être inscrites et


donc disparaissent inéluctablement. Pour couronner le tout, le brevet et le
&HUWLILFDWG·2EWHQWLRQ9pJpWDOLQWHUGLVHQWDXSD\VDQGHUHVVHPHUXQHSDUWLHGX
JUDLQ TX·LO D UpFROWp RX O·REOLJHQW j SD\HU GHV UR\DOWLHV DX VHPHQFLHU La loi
Q·DXWRULVHTXHOHVVHPHQFHVLQGXVWULHOOHVTXLLPSRVHQWO·XVDJHGHVSHVWLFLGHVHW
interdit leV VHPHQFHV SD\VDQQHV FDSDEOHV GH V·HQ SDVVHU &·HVW SURSUHPHQW
scandaleux !

85*(1&('·815()(5(1'80'·,1,7,$7,9(3238/$,5(

À partir de 1950, la chimie de synthèse et la radioactivité ont permis de faire


muter les plantes, puis les cellules, pour faire apparaître des caractères
nouveaux. Avec la chimie on peut "sauver" les embryons invivables issus de
croisements de parents trop éloignés ou de mutagenèse, de provoquer des
IXVLRQV FHOOXODLUHV HQWUH HVSqFHV GLIIpUHQWHV G·REWHQLU GHV SODQWHV HQWLqUHV j
parWLUGHODPXOWLSOLFDWLRQLQYLWURG·XQHVHXOHFHOOXOH
La multiplication cellulaire et les marqueurs moléculaires permettent ensuite le
développement de la transgénèse, de la mutagenèse dirigée, sans compter les
nouvelles nanotechnologies.

 
320  
La complexité de la sexualité végétale, rebelle aux désirs des sélectionneurs est
contournée par les manipulateurs de génomes. Les plantes deviennent elles-­
PrPHVSURGXFWULFHVG·LQVHFWLFLGHV RXUpVLVWDQWHVDX[pSDQGDJHVG·KHUELFLGHV
Ces méthodes donnent des plantes dépendantes des pesticides et à la
descendance de moins en moins stable.
Les contrôles scientifiques révèlent leurs effets néfastes sur la santé. Pourtant
HOOHV IRXUQLVVHQW O·HVVHQWLHO GH FH TXH QRXV PDQJHRQV +RUPLV OHV 2*0 HOOHV
sont considérées comme traGLWLRQQHOOHV HW Q·LPSRVHQW DXFXQH pYDOXDWLRQ QL
étiquetages spécifiques.

/DORLGLFWpHSDUOHVOREELHVV·HQSUHQGjO·XVDJHGHODVHPHQFHSDUOHVSD\VDQV
Les prétextes de la protection de la propriété intellectuelle, de la "sécurité
sanitaire", de la traçabilité et de la "coexistence" se mettent en place pour
interdire à jamais la renaissance des semences paysannes. Celles-­ci sont
considérées par le législateur comme des contrefaçons, alors que depuis des
temps immémoriaux elles assurèrent la subsistance despeuples, et la liberté
paysanne.

,QVSLUpG·XQUDSSRUWGHGuy Kastler, chargé de mission à Nature & Progrès.

 
321  
69
AGRICULTURE BIO LOCALE :
la France, lanterne rouge !

/·DVVRFLDWLRQ 7HUUH GH /LHQV 1RUPDQGLH D ODQFp XQ RXWLO sur internet qui
évalue le nombre de producteurs nécessaires pour que les français puissent
consommer à la fois bio et local. Le convertisseur Terre de Liens a évalué la
relocalisation pour les communes, écoles, maisons de retraite, hôpitaux,
UHVWDXUDQWVG·HQWUHSULVHVHWDXWUHVTXDUWLHUVRXKDPHDX[­O·DLGHGHFHWRXWLO
RQ DSSUHQG TX·XQH YLOOH LPSRUWDQWH FRPPH /LOOH TXL FRPSWH 
habitants) nécessiterait 4.145 paysans si ses habitants relocalisaient leur
alimentation. De plus, 80.000 hectares de terre agricoles seraient protégés par
une agriculture biologique.

­ O·pFKHOOH QDWLRQDOH  PLOOLRQV G·KHFWDUHV GH WHUUH seraient préservés et 1,2
million de producteurs bio seraient indispensables pour nourrir les 65 millions
de bouches françaises, qui auraient décidé de manger bio et local.

Actuellement, le bio est une technique de culture reconnue, mais qui a encore
du chemin à faire pour devenir une référence nationale. En 2013, la France
FRPSWDLW  SURGXFWHXUV ELR HW FXPXODLW XQ SHX SOXV G·XQ PLOOLRQ
G·KHFWDUHV En 2007 OD )UDQFH FRQVDFUDLW  KHFWDUHV j O·agriculture
biologique FKLIIUH TXL D TXDVLPHQW GRXEOp HQ  DQV SXLVTX·LO DWWHLJQDLW 
million en 2012. Un accroissement de taille, mais qui est très insuffisant. Il
suffit de regarder chez nos voisins européens pour le comprendre : alors que
QRWUH SD\V FRQVDFUH  GH VHV WHUUHV FXOWLYDEOHV DX ELR O·,WDOLH HQ D  OD
6XLVVHO·$XWULFKH

Par ailleurs, les agriculteurs sont de moins en moins nombreux à opter pour
O·DJULFXOWXUHELRORJLTXH : ils étaient environ 4.000 en 2010 contre seulement un
peu plus de 1.000 en 2014 /·pFDUW GH SUL[ HQWUH SURGXLWV ELR HW QRQ ELR VH
réduit de plus en plus, et beaucRXS G·DJULFXOWHXUV VH GpFRXUDJHQW j FKDQJHU
leurs méthodes de production pour un profit de misère. Enfin, autre constat, la
FRQVRPPDWLRQ GH SURGXLWV LVVXV GH O·DJULFXOWXUH ELRORJLTXH UHVWH UHODWLYHPHQW
IDLEOH HQ )UDQFH 6HORQ XQH pWXGH UpDOLVpH SDU O·$JHQFe bio, seuls 8% des

 
322  
français consomment bio chaque jour, alors que 36% de la population
déclarent ne jamais en consommer.

Comme disait déjà Voltaire : "En France on arrive tard à tout !"

 
323  
70
LUNETTES ET CREMES SOLAIRES
comment bronzer idiot !

LES LUNETTES DE SOLEIL


Au début du 20ième siècle, on a beaucoup parlé de guérisons quasi
miraculeuses de la tuberculose et de nombreuses autres maladies par
O·KpOLRWKpUDSLH VROHLO  1pDQPRLQV RQ D PLV GX WHPSV SRXU IDLUH XQ UDSSRUW
statistique entre les échecs et les patients qui portaient des lunettes de soleil.
En fait, les yeux donnent une information de luminosité à notre système
hormonal endocrinien qui se trouve, par les lunettes, complètement minimisé,
donc faussé.

1 -­ /·K\SRSK\VH (glande pituitaire) qui est responsable de la production de


mélanine, le pigment qui bronze la peau et la protège contre les coups de soleil,
croit que la luminosité extérieure est plus sombre et, par conséquent ne
SURGXLW SDV DVVH] G·KRUPRQHV VWLPXODQW OHV PpODQRF\WHV TXL IRQW EURQ]HU ²
donc danger pour votre peau. 1·DYH]-­vous pas remarqué que les aveugles ont
pratiquement toujours le teint très blanc ?

2 -­ La glande pinéale TXLVHFUqWHODPpODWRQLQHQ·HVWSDVDFWLYpHFRUUHFWHPHQW


Or la mélatonine travaille en synergie avec une autre hormone activée par les
UV, OHVROLWUROSRXUUpJXOHUO·KXPHXUHWOHVU\WKPHVELRORJLTXHV

3 -­ Le port de lunettes de soleil, peut être responsable de certaines maladies


GpJpQpUDWLYHVGHO
±LOFRPPHOD'0/$GpJpQpUHVFHQFHPDFXODLUHOLpHjO
kJH
La plupart des gens qui portent habituellement des lunettes de soleil
constatent un affaiblissement régulier de leur vue.

NOTA : La seule exception à la règle est dans le cadre de la neige au soleil qui
reflète 100% des UV, ceci présentant une overdose pour les yeux.

A partir de tout cela, nous arrivons au fait que les crèmes solaires sont en
SDUWLH O·DERXWLVVHPHQW GHV OXQHWWHV GH VROHLO SXLVTXH OH FRUSV PDO LQIRUPp

 
324  
Q·DGDSWH SDV VHV DXWRGpIHQVHV Et nous allons voir que la première erreur en
entraîne une seconde, plus grave encore. Une réception insuffisante de rayons
ultraviolets par l'intermédiaire de vos yeux peut avoir de graves conséquences
pour votre peau et même présenter un risque pour votre santé. L'augmentation
considérable des lésions de la peau apparemment causées par le soleil (en
SRUWDQWGHVOXQHWWHVGHVROHLO HVWH[SORLWpHSDUOHVIDEULFDQWVGHFUqPHVRODLUH«
et les laboratoires mettant au point des médicaments contre le cancer. Le
secteur de la dermatologie favorise surtout les produits de protection solaire
parce qu'il est fortement financé par les fabricants d'écrans solaires.

LES CREMES SOLAIRES FILTRANTES


Celles-­ci bloquent une partie importante du rayonnement de la lumière solaire
dont le corps a besoin pour les fonctions biologiques essentielles. Il n'y a pas
une seule étude scientifique qui peut prouver que le soleil peut causer des
cancers de la peau ou G
DXWUHV PDODGLHV 3RXUWDQW FHOD Q·HPSrFKH SDV OHV
autorités de santé -­ pour de mauvaises raisons -­ de faire courir "des mises en
garde" contre les risques des bains de soleil déraisonnables. Le soleil est
maintenant considéré comme le principal coupable dans le cancer de la peau,
de certaines cataractes conduisant à la cécité et du vieillissement de la peau.
Comment comprendre alors que le pourcentage du mélanome (cancer de la
peau) sur les îles Orkney et Shetland, au nord de l'Écosse, est dix fois plus
élevé que sur les îles de la Méditerranée ? Par ailleurs, le plus dangereux des
cancers de la peau, le mélanome, apparaît généralement sur les zones de la
peau qui ne sont jamais exposées au soleil.

Une étude du CDC (Center for Disease Control) a montré que 97% des
Américains sont contaminés par un produit chimique extrêmement toxique
appelé Oxybenzone contenu dans les crèmes solaires. Ce produit chimique se
trouve dans près de 600 articles de protection solaire, y compris dans les
formules pour enfants.

La plupart des crèmes et lotions solaires contiennent également de


l'Avobenzone, qui permet une protection à large spectre contre le rayonnement
UVA, considéré à tort comme le principal responsable de dommages à long
terme causés à la peau. La plupart des écrans solaires contiennent également
un cocktail d'une dizaine ou plus de parfums chimiques cancérigènes et de
nombreuses substances synthétiques dérivées de la pétrochimie. Or beaucoup
de ces produits chimiques (cancérigènes) sont facilement absorbés par la peau.

 
325  
Les fabricants de ces produits prétendent que la plupart des produits toxiques
se dégradent en présence de la lumière du soleil et sont donc sans danger pour
OH FRQVRPPDWHXU &·HVW XQH DIILUPDWLRQ PHQVRQJqUH SXLVTXH VHORQ OH &'&
presque chaque américain est contaminé par des produits chimiques de
protection solaire (en France, on ne sait rien !). L'avobenzone, et
particulièrement l'oxybenzone pénètrent très rapidement dans la peau.

Mais il y a aussi d'autres "friandises" chimiques dans les écrans


solaires comme :
‡   Le dioxybenzone,

‡   le PABA (éthyle dihydroxy propyle),

‡   le PAB de glycéryle,

‡   O·DFLGHS-­aminobenzoïque,

‡   le padimate-­O (ou octyl diméthyl PABA),

‡   les cinnamates (cinoxate, éthylhexyle p-­methoxycinnamate,


octocrylene, octyle méthoxycinnamate),

‡   les salicylates (ethylhexyle salicylate, homosalate, octyle salicylate),

‡   le digalloyl trioléate,

‡   le menthyl anthranilate.

Aucun test de sécurité adéquat n'a pratiquement été réalisé sur ces produits
chimiques. Les cosmétiques en contiennent eux aussi, et le corps les absorbe
comme une éponge.

Par ailleurs, beaucoup de filtres solaires largement utilisés sont générateurs de


radicaux libres, et c'est la principale cause du cancer de la peau. Ils sont si
dangereux que ceux qui les manipulent en laboratoire doivent veiller à ce qu'ils
ne soient pas en contact avec leur peau !!!

Sachant que les cancers de la peau ont augmenté de façon spectaculaire


depuis la promotion massive des écrans solaires, cela aurait dû interpeller les
consommateurs, mais au lieu de cela, ils ont continué à se tartiner la peau
avec ces dangereuses crèmes chimiques. Pourquoi ? Parce que les médias de

 
326  
masse, financés par les géants du médicament, ont tout fait pour que la
population n'entende pas parler des études alarmantes qui ont été menées.

Le plus grand argument de l'industrie médicale en faveur de l'utilisation de


crèmes solaires est qu'elles protègent du cancer de la peau car elles évitent les
coups de soleil, ce qui implique que les cancers de la peau sont causés par les
coups de soleil. Mais c'est une affirmation gratuite ! Des études plus
récentes effectuées en Angleterre et en Australie ont même trouvé un taux de
cancer de la peau beaucoup plus élevé chez les personnes qui vivent surtout à
l'intérieur par rapport à ceux qui passent leur temps à l'extérieur.

LA VITAMINE D EN QUESTION

1RXV YLYRQV DXMRXUG·KXL XQH SV\FKRVH RUJDQLVpH VXU OD FDUHQFH JpQpUDOH HQ
vitamine D. Est-­ce vrai "-HQ·HQVDLVULHQ&HTXHMHVDLVF·HVWTXHOHVOXQHWWHV
de soleil et les agents de protection solaire bloquent l'absorption des rayons
ultraviolets dont la peau a besoin pour produire de la vitamine D. Or, la
carence en vitamine D est associée à la dépression, au cancer de la prostate, à
celui du sein, à l'ostéoporose et à beaucoup de maladies dégénératives. Inutile
de se demander pourquoi tant de personnes âgées souffrent de troubles
osseux.

Une étude menée par des scientifiques du Centre de Recherche Allemand sur
le Cancer -­ Deutsches Krebsforschungszentrum (DKFZ), en collaboration avec
des chercheurs des Hôpitaux Universitaires de Hambourg-­Eppendorf,
montre clairement que les femmes ménopausées ayant un faible taux sanguin
de vitamine D ont un risque accru de cancer du sein. Parmi d'autres effets
d'inhibition du cancer, la vitamine D induite par la lumière du soleil augmente
l'autodestruction des cellules mutées et réduit la propagation et à la
reproduction des cellules cancéreuses.

Des résultats de recherche (publiés dans les Archives of Internal Medicine, le


9 Juin 2008;; 168 (11) : 1174-­1180) s'ajoutent à un nombre croissant de
preuves montrant TX
XQ QLYHDX DGpTXDW GH YLWDPLQH ' SHXW V·REWHQLU HQ
s'exposant 20 minutes en moyenne au soleil chaque jour (les personnes à la
peau foncée peuvent avoir besoin d'une heure ou plus). On a trouvé que les
hommes qui manquent de vitamine D ont un risque deux fois plus grand
d'avoir une crise cardiaque, même si l'on exclut tous les autres facteurs
possibles de risque tels que l'hypertension, l'obésité et les niveaux élevés de
lipides sanguins. De fait, les populations des pays nordiques (où la lumière du

 
327  
soleil est moins intense et les niveaux de vitamine D inférieurs) ont un
pourcentage plus élevé de maladies cardiaques que les pays ensoleillés du sud.
En plus, le nombre de crises cardiaques pendant les mois d'hiver, alors que le
VROHLOVHIDLWUDUHV·DYqUHSOXVpOHYp

ALORS QUELLES BONNES PRECAUTIONS SOLAIRES ?

L'huile de coco ou l'aloe vera peuvent apporter une protection correcte et


simple.

Pendant des années, nous utilisions personnellement, surtout en début de


YDFDQFHV TXDQG OH EURQ]DJH Q·HVW SDV HQFRUH pWDEOL XQ PpODQJH GH QRWUH
confection avec de O·KXLOHG·ROLYHHWGXFLWURQ

Enfin, je ne résiste pas à rappeler une botte secrète qui a permis à bien des
naufragés de ne pas être grillés par le soleil : O·XULQH SHUVRQQHOOH ² elle peut
rWUHXWLOLVpHHQSUpYHQWLI VLO·RQQHVHEDLJQHSDV HWHQFXUDWLI FRXSGHVROHLO 
Cà ne sent pas mauvais du tout ;; la peau prend même une bonne odeur de
foin.

NOTA 1 : Les aliments hautement acidifiants, comme la viande, la charcuterie,


OHV ±XIV OH IURPDJH OHV IULWXUHV HW OH VXFUH, fragilisent la peau, en raison de
OHXUVGpFKHWVPpWDEROLTXHVTXLV·\DFFXPXOHQWHWTXLIHUPHQWHQWjO·H[SRVLWLRQ
au soleil.

NOTA 2 : Après les bains de soleil (et de mer), la plupart des gens se douchent
et se savonnent, ce qui décape toute la vitamine D neuve qui vient de se former
à fleur de peau ² LOIDXWKSRXUTX·HOOHSDVVHGDQVOHVFRXFKHVSURIRQGHVGX
derme. La douche oui, le savon non !

Bronzer intelligent, F·HVWSRVVLEOH«

 
328  
71
MAIGRIR "28,0$,6«

9RLOjELHQXQVXMHWTXLP·DJDFHYXTXHSRXUPRLODKDQWLVHHVWGHSHUGUHNJ
(WSXLVF·HVWOHVXMHWEDWHDXIDYRULGHODSOXSDUWGHVUHYXHVGHNLRVTXHTXL
ont un art consommé pour aligner des banalités au milieu de belles images.
Pourtant, je vois régulièrement des personnes qui me contactent en disant, "Je
ne comprends pas, je mange normalement, équilibré, et je grossis sans cesse".

UN FORMATAGE GENERAL CONSTERNANT


'·DERUGMHVXLVFXULHX[GHVDYRLUFHTX·HVW"manger normalement" (en quantité
ou en qualité ?) et "équilibré PRW GpQXp GH VHQV SUpFLV  /·LQWHUSUpWDWLRQ
conventionnelle est parfaitement résumée dans le règlement interne -­
totalement arbitraire -­ de la chaîne AUTOGRILL des autoroutes : celui-­ci
interdit, par mesure de sécurité routière, de vendre du vin aux clients qui ne
prennent pas un repas chaud et complet, c.à.d. avec de la viande ou du
poisson (business oblige !) ² &HFL HVW G·DXWDQW SOXV VWXSLGH TXH VL SDU
soumission, vous preniez un morceau de leur "barbark", personne ne viendra
YpULILHU VL YRXV OH PDQJH] YUDLPHQW RX QRQ  1RWH] TXH ULHQ GH WHO Q·HVW
SURPXOJXpGDQVOHVDXWUHVFKDvQHVG·DXWRURXWHFRPPH/·$5&+(&HFLSURXYH
O·LQFXOWXUH FUDVVH GH FHUWDLQV GpFLGHXUV LQFRPSpWHQWV GH OD UHVWDXUDWLRQ TXL
exploitent des FUR\DQFHV SRSXODLUHV G·XQ DXWUH kJH SRXU V·pULJHU HQ
"moralisateurs à quatre sous". Bref, soyons clair, un végétarien est un bizarre
TXLQ·DOHGURLWGHERLUHTXHGHO·HDX«(WGHSXLVTXDQGOHV±XIVHWOHVIURPDJHV
ne sont plus des bonnes protéines ? Sans compter les protéines végétales telles
que les légumineuses scientifiquement reconnues bien plus concentrées que
GDQVQ·LPSRUWHTXHOOHYLDQGH !

UNE REGLE BASIQUE DE LA NATUROPATHIE


Mais revenons à la question initiale :

Des repas dits "équilibrés", ce qui sous-­entend "variés" sont-­ils de nature à


empêcher de grossir ? Pas du tout %LHQDXFRQWUDLUHG·DLOOHXUVSRXUPDLJULULO
faut manger déséquilibré  (Q QDWXURSDWKLH FHOD V·DSSHOOH OH 5(*,0(

 
329  
DISSOCIE" (une seule chose à chaque repas) -­ F·HVW OD VWULFWH DSSOLFDWLRQ GX
principe de Marchesseau qui dit :

Plus on mélange, moins on digère et plus on assimile.


Moins on mélange, mieux on digère mais moins on assimile.
'HVUHSDVRO·RQQHPDQJH : que des pommes de terre, que du poulet, que des
carottes, que des haricots verts, que des pommes cuites, que du poisson, que
GHV QRXLOOHV TXH GX IURPDJH HWF« -·DMRXWH TXH SRXU PDLJULU LO IDXW
absolument supprimer le pain, le vin et les alcools forts (ex : un whisky baby,
F·HVWcalories !)

ANECDOTE : Demis Roussos qui pesait à un moment 150 kg, en a perdu 50


HQ PDQJHDQW SDU H[HPSOH  SRXOHWV GDQV XQ UHSDV« PDLV VDQV DXFXQ
accompagnement !

NOTA : Si je prends pour exemple la population mauricienne qui consomme


généralement de la cuisine indienne très saine, on y trouve néanmoins 70% de
diabétiques. Pourquoi ? Parce que ces gens consomment majoritairement des
sodas, des jus et du Coca-­Cola (de plus "LIGHT" -­ j O·DVSDUWDPH  HW TX·LOV
grignotent régulièrement entre les repas toutes sortes de beignets et des
JkWHDX[ VXFUpV TXH O·RQ YHQG SDUWRXW GDQV OD UXH &·HVW DLQVL TXH VXUWRXW
parmi les femmes de souche africaine -­ RQWURXYHEHDXFRXSG·REqVHVDYHFGHV
cuisses énormes. Mais peut-­être que leurs hommes aiment cela (vive le
confort !).

DE LA MACROBIOTIQUE AU TAO
Autre chose, vous rappelez-­vous du célèbre régime macrobiotique n°7 de
Oshawa " &·HVW XQ UpJLPH SURYLVRLUH FRQVLVWDQW j QH FRQVRPPHU TXH GX UL]
complet, ce qui est en outre censé déclencher un grand ménage organique et se
débaUUDVVHUG·XQWDVGHPDODGLHVWHQDFHV ² G·DLOOHXUVMHQ·DLMDPDLVUHQFRQWUp
XQ PDFURELRWH TXL VRLW JURV j UHPDUTXHU TXH O·RQ UHWRPEH GDQV XQH PRQR
diète, mais sans alternance cette fois).

Mais puisque nous sommes dans le concept taoïste du YIN et du YANG, je


SURSRVHLFLG·HQUDSSHOHUTXHOTXHVGRQQpHVEDVLTXHVTXLRQWDQVG·kJH :

YIN = expansé, mou, léger, humide, sucré, acide, froid, lent, violet, hiver,
légumes feuilles.

 
330  
YANG = contracté, dur, lourd, sec, salé, alcalin, chaud, rapide, rouge, été,
racines et céréales.

/(&27(36<'(/·2%(6,7(
ʜ  6L MH VXLV <LQ GH QDWXUH GHYDQW O·DGYHUVLWp GH OD YLH MH PH SURWqJH HQ PH
JRQIODQWSDUUpWHQWLRQG·HDX4XDQGMHVXLVJURVM·LPSUHVVLRQQHO·DGYHUVDLUHHW
VLO·RQPHIUDSSHPrPHSDVPDO «

Cela rappelle le liquide amniotique de la mère qui donne un sentiment de


sécurité. $XVVLMHYDLVPHJDYHUG·DOLPHQWV\LQSRXUPHIDLUHJURVVLUHQFRUHSOXV
et me rassurer.

ʜ6LMHVXLV<DQJGHQDWXUHF·HVWWRXWO·LQYHUVHMHQHVXLVSOXVO·DWWDTXpPDLV
O·attaquant. Pour cela je dois être très mobile, donc léger, dur et maigre. Aussi,
je vais être attiré par des aliments yang qui entretiennent mon état combatif.

/·$3352&+(32//87,21'(/·2%(6,7(
Avez-­vous remarqué comment les fruits et légumes et aussi les animaux dits de
bouche, poussés ou élevés industriellement fondent dans la casserole et ont
très peu de goût ",OVVRQWERXUUpVG·HDX ;; pourquoi ? Parce que la nature étant
programmée pour essayer de survivre en conditions hostiles dilue les poisons
afin de les ramener dans des concentrations moins agressives. Il faut réaliser
TX·LO HQ YD GH PrPH GH O·REpVLWp TXL HVW VRXYHQW XQ SODQ GH VXUYLH IDFH j
O·HPSRLVRQQHPHQWJpQpUDOGHO·RUJDQLVPH

Vouloir maigrir sans un drainage profond est une absurdité suicidaire. Les
WR[LQHV GH O·DOLPHQWDWLRQ HW OHV PpWDX[ ORXUGV TXL GLIIXVHQW DX WUDYHUV GH OD
paroi intestinale, vont se loger et se stockent dans les graisses et dans les
cellules étanches de la cellulite. Une libération brutale de ces indésirables va
empoisonner le sang avec possibilité de conséquences lourdes, et par ailleurs
ULVTXHG·HQJRUJHPHQWGHVGHX[ILOWUHVYLWDX[SULQFLSDX[ : le foie et les reins.

$QRWHUTXHO·RUJDQLVPHDXWRULVHVRXYHQWautomatiquement la perte de poids


dans la foulée du drainage.

/·2%(6,7(+25021$/(

 
331  
&·HVWVRXYHQWO·pFKDSSDWRLUHTXLGpUHVSRQVDELOLVHGHFHWWHLQILUPLWp-HQ·\VXLV
SRXU ULHQ F·HVW XQ GpUqJOHPHQW JODQGXODLUH &·HVW RXEOLHU TXH OHV JODQGHV
HQGRFULQHV VRQW GHV WUDQVFULSWHXUV G·RUGUHV LQIRUPDWLTXHV LVVXV GH QRWUH
moGH GH SHQVpH /D WK\URwGH HVW FRQQXH SRXU rWUH OH PDvWUH G·±XYUH GH OD
FRPEXVWLRQ7RXWK\SHUWK\URwGLHQEU€OHWRXWFHTX·LOPDQJHF·HVWXQK\SHUDFWLI
SOHLQ G·LGpHV SRUWp SDU OD MRLH GH YLYUH 3DU FRQWUH OHV K\SRWK\URwGLHQV VRQW j
O·LQYHUVH GH WRXW FHOD et ils sont de plus en plus nombreux ² il suffit de
constater le nombre de gens qui sont sous Lévothyrox. Ne cherchez pas : cela
est majoritairement induit par la pollution légale de la chaîne alimentaire.
Pour réguler une thyroïde, le meilleur produit que je connaisse est, je le
rappelle, THYREGUL de Phyt-­inov, www.phyt-­inov.com -­ Tél. : +41/32 466 89
14.

RAPPEL DE LA CURE BREUSS


La cure Breuss -­ bien connue -­ est une méthode passe-­partout vieille de 350
DQVSRXYDQWrWUHHIIHFWXpHPrPHVLYRXVQ·DYH]SDVGHFDQFHU F·HVWXQHFXUH
exclusive de jus qui se fait sur 42 jours ² elle est décrite en détail sur mon site
www.micheldogna.fr 9RXV SRXYH] WUDQTXLOOHPHQW SHUGUH .J« WRXW HQ
effectuant un grand nettoyage de la cave au grenier ² -·DL FRQQX GLYHUVHV
personnes qui ont choisi cette option (sans arrêter leur activité) et qui en ont
été enFKDQWpHV 2Q GLW TX·DYHF FHWWH PpWKRGH RQ QH UHSUHQG SDV OHV NLORV
SHUGXV«

ET LE SPORT ?
'·DERUGTXHOVVSRUWVHWMXVTX·jTXHOkJH ? Je connais bien des maigres qui ne
pratiquent aucun sport ² au contraire pour eux, le sport a tendance à leur faire
SUHQGUHGXSRLGVSDUDXJPHQWDWLRQVHQVLEOHGHOHXUPDVVHPXVFXODLUH&·HVWj
FKDFXQGHVHQWLUFHTXLOXLIDLWGXELHQ«RXGXPDO

3RXU FHOD LO HVW DX GpSDUW LQWpUHVVDQW GH VDYRLU TXL O·RQ HVW F
HVW-­à-­dire dans
quelle catégorie.

Etes-­vous un CARBONIQUE, massif, calme, à grande endurance, qui a


WHQGDQFH j V·HQFUDVVHU RX XQ 3+263+25,48( IUrOH QHUYHX[ DYHF SHX GH
UpVHUYHVTXLDWHQGDQFHjVHVFOpURVHURXO·LGpDOXQ68/)85,48(G\QDPLTXH
équilibré, qui a besoin de se défouler régulièrement ?

 
332  
Le sujet est WUqVYDVWHHWLODIDLWO·REMHWGHELHQGHVOLYUHV'·DXFXQVSRXUURQW
PH WD[HU G·rWUH SDVVp j F{Wp G·DXWUHV LQIRUPDWLRQV WUqV LPSRUWDQWHV VXU FH
sujet. Navré, je ne suis pas le Larousse Universel et je ne parle que de ce que je
FRQQDLV«

 
333  
72
LA TÉLÉVISION ET LES JEUX VIDÉO
APPRENNENT AUX ENFANTS À TUER

'XUDQW OD 6HFRQGH *XHUUH PRQGLDOH ORUVTX·LOV DYDLHQW XQ DGYHUVDLUH HQ OLJQH
de mire, seuls 20% des fusiliers tiraient vraiment. Grâce au conditionnement,
le taux de tir est monté à 55% durant la guerre de Corée, et à plus de 90%
durant celle du Vietnam.
La brutalisation des recrues vise à casser leurs habitudes et leurs normes, à
leur injecter un nouveau style de vie et à leur faire adopter de nouvelles valeurs
: la destruction, la violence, la mort.

La télévision brutalise et désensibilise de la même façon les enfants. Quand la


télévision fait son apparition dans un pays, on observe une explosion de
YLROHQFH VXU OHV WHUUDLQV GH MHX[ G·HQIDQWV SXLV  DQV SOXV WDUG XQ
doublement du nombre des meurtres. 1RXV VRPPHV HQ WUDLQ G·pOHYHU GHV
générations de barbares qui associent violence et plaisir. On assiste à une
banalisation quotidienne du crime. Ainsi, les jeunes associent la violence
WpOpYLVXHOOH DX SODLVLU GX &RFD HW GHV ULJRODGHV« /HV MHX[ YLGpR H[ercent
O·HQIDQWDXWLULQVWLQFWLIXOWUDSUpFLV3OXVWDUGORUVTXHO·H[FLWDWLRQVHUDPRQWpH
en lui et que la vasoconstriction aura bloqué son cerveau frontal, le garçon fera
exactement ce pourquoi il a été conditionné : il appuiera sur la gâchette, et
tirera avec la même précision que dans ses jeux.

2QDIDLWGHODYLROHQFHXQMHXDPXVDQWTXLWXH0DLVWXHUVRQSURFKDLQQ·HVW
SDVXQJHVWHQDWXUHOODSUHXYHHVWTXHO·RQGRLWDSSUHQGUHjOHIDLUH
,O QH V·DJLW SDV VHXOHPHQW GH V·HQ SUHQGUH DX[ SURGXFWHXUV et diffuseurs de
violence télévisuelle, ni de faire des lois interdisant aux enfants les jeux vidéo
qui exercent à tuer. Parents, vous êtes les seuls responsables de ce que
deviendront vos enfants ;; vous qui avez acheté les jeux et laissé vos enfants
regaUGHU Q·LPSRUWH TXRL j OD WpOp &·HVW YRXV DXVVL TXL rWHV UHVSRQVDEOHV GX
monde de ce demain qui ne pourra être que cruel, si de plus, vous avez obligé
vos enfants à aimer dans leur assiette la cruauté ordinaire faite sur des
DQLPDX[PDUW\UV«

JEUX VIDEO PERVERS

 
334  
Je me rends de temps à autre dans un cybercafé pour des interventions
WHFKQLTXHVVXUPHVRUGLQDWHXUV3RXUPHUHQGUHGDQVO·DWHOLHUMHWUDYHUVHXQH
VDOOH R V·DOLJQHQW XQH TXDUDQWDLQH GH ER[ DYHF FKDFXQ XQ RUGLQDWHXU HW XQ
siège. Ces postes sont majRULWDLUHPHQW RFFXSpV SDU GHV MHXQHV j SDUWLU G·XQH
GRX]DLQH G·DQQpHV Or je constate avec horreur que 80% de ces jeunes
V·H[FLWHQW VXU GHV MHX[ YLGpR GH FRPEDW GH UXH FRQVLVWDQW j WXHU OH SOXV
G·HQQHPLV SRVVLEOHV j OD PLWUDLOOHXVH On banalise le fait de tuer sans état
G·kPH GDQV XQ SODLVLU LOOXVRLUH GH VXSHUSXLVVDQFH HW VDQV ULVTXH UpHO FHFL
faisant oublier les frustrantes difficultés du quotidien.

Lorsque je me suis étonné de cet engouement pour ces "jeux à tuer" auprès des
JpUDQWV GH O·pWDEOLVVHPHQW LOV P·RQW WUqV JHQWLPHQW UpWRUTXp TXH des millions
GH MHXQHV GDQV WRXV OHV SD\V GX PRQGH V·DGRQQHQW j FHWWH IDoRQ GH IDLUH GH
O·DGUpQDOLQH /·RQ SHXW DXVVL IDLUH GH O·DGUpQDOLQH HQ SLORWDQW HQ YLUWXHO GHV
voitures à 300 km/h ou des supercoptères dans des gorges de montagne. Bref
une façon de se défouler à bon compte, et Dieu sait si les jeunes ont toujours
HXSOXVRXPRLQVEHVRLQG·H[SORLWVYLROHQWVHWGHEUDYRXUHjXQPRPHQWGRQQp
,OVHPEOHGRQFTXHSRXUEHDXFRXSWXHUVRLWXQHIDoRQG·H[RUFLVHUOHVSHXUV et
de se rassurer.

Mais ne jetons pas spécialement la pierre aux jeux vidéo ² les parents
Q·DFKqWHQW-­LOV SDV FRXUDPPHQW j OHXUV JDPLQV GqV O·kJH GH  DQV GHV IXVLOV
GHVPLWUDLOOHXVHVGHVFKDUVG·DVVDXWEUHIGHVSDQRSOLHVGHJXHUULHUVSHXW-­être
inconsciemment pour les préparer à faire la guerre ? Le problème est que
O·HQIDQFH HVW XQH pWDSH GH FRQVWUXFWLRQ GH O·rWUH GRQQDQW OLHX j XQH FHUWDLQH
fragilité psychique, en particulier au niveau des repères. Il ne faut donc pas
V·pWRQQHUTXHFHUWDLQVDGos mal dans leur peau, intoxiqués par la malbouffe,
de plus un peu abonnés à la "poudre blanche" puissent transférer leur
IRUPDWDJH YLUWXHO GDQV OH PRQGH UpHO VDQV ELHQ UpDOLVHU TX·LOV RQW IUDQFKL OD
IURQWLqUHRO·RQHVWVRXGDLQUHVSRQVDEOHGHVHVDFWHV«

 
335  
73
LA CULTURE SOCIALE DE LA VIOLENCE

7RXWOHPRQGHHVWG·DFFRUGODEDQDOLVDWLRQGHVFULPHVHWGHVJXHUUHVSDUOHV
médias quotidiens, les films violents, les jeux vidéo violents, les game-­boy
violents, etc., y sont pour beaucoup dans ce genre G·DIIDLUH0DLVLO\DG·DXWUHV
facteurs solidement installés, plus insidieux, dont on ne parle pas, et qui ont
des conséquences gravissimes sur le comportement des jeunes.

'·DERUG M·DFFXVH O·DOLPHQWDWLRQ HW OHV ERLVVRQV LQGXVWULHOOHV OpJDOHPHQW


bourrées de poisons chimiques pour le goût, la conservation et la fidélisation,
auxquelles beaucoup de jeunes sont abonnés.
5DSSHORQV LFL FHWWH H[SpULPHQWDWLRQ GH FRQYHUVLRQ DX ELR GH OD FDQWLQH G·XQ
collège suédois ² point chaud de violences récurrentes, où le calme est revenu
en quelques semaines. Je cite aussi volontiers les vaches actuelles dont on
FRXSHOHVFRUQHVSRXUTX·HOOHVQHV·pYHQWUHQWSDVOHXUIRLHHVWFLUUKRVpHWOHXU
V\VWqPHQHUYHX[HVWHQGRPPDJpSDUO·HQVLODJHHWOHVJUDQXOpVTX·RQOHXUGRQQH
;; leV YDFKHV TXL PDQJHQW GH O·KHUEH HW GX IRLQ VRQW SDLVLEOHV &XULHXVH
FRUUpODWLRQQ·HVW-­ce pas ?

(QVXLWHM·DFFXVHOHVGURJXHVPXVLFDOHVHQYRJXH KDUGURFNPHWDOPXVLFHWF 
qui atteignent le système nerveux, le psychisme, le sens moral, en plongeant
les adeptes dans une dépendance hystérique, sorte de transe qui se substitue
négativement aux formes nobles de spiritualité. En outre, les expériences de
Findehorn et de Masaru Emoto ont montré que ces musiques faisaient mourir
les plantes.

Alors, "Peace and /RYH F·HVW SRVVLEOH PDLV VXUWRXW JUkFH DX ELR PLHX[ DX
YpJpWDULVPHHWjODYUDLHPXVLTXHFHOOHTXLDGRXFLWOHVP±XUV«dDYDrWUH
dur !

DES JEUX ROMAINS ACTUALISES

"Arrêtez, arrêtez ! Laissez-­moi partir !" Un homme hurle, enfermé dans une
boule métallisée, attaché sur son siège, les poignets menottés par des fils
électriques. Il reçoit des décharges de plus en plus fortes que lui administrent
GHVTXHVWLRQQHXUVSRXUOHSXQLUGHQ·DYRLUSDVVXUpSRQGUHjOHXUVTXHVWLRQV

 
336  
&HVGpFKDUJHVLURQWMXVTX·jYROWVSURYRTXDQWODPRUWGXFRED\H&·pWDLW
OH PHUFUHGL  PDUV  VXU )UDQFH  HW LO V·DJLVVDLW G·XQ MHX WpOpYLVp GH
plus).

Son titre est "LE JEU DE LA MORT". La conclusion est que nous serions
presque tous de potentiels tortionnaires. En effet, mis en condition par la
présentatrice et incités à appuyer sur le bouton de leur manette, sur 69
participants au jeu, 53, soit près de 80%, ont REpL MXVTX·DX ERXW j OD UqJOH
VDQVVDYRLUTX·LOV·DJLVVDLWG·XQMHXWUXTXpHWVRQWDLQVLGHYHQXVGHV assassins,
16 seulement ayant renoncé.
Les candidats étaient des "Monsieur et Madame tout le monde", sélectionnés
par un organisme de recrutement de volontaires pour des sondages qualitatifs
sur la consommation, la politique ou les médias. Les 2.000 personnes qui
formaient le public étaient chauffées à blanc par la présentatrice et
encourageaient les assassins en criant "châtiment ! châtiment !" Ils avaient été
rassemblés par deux sociétés spécialisées dans les jeux télévisés.

Commentaire : '·DERUG EUDYR j )UDQFH  G·DYRLU HX OH FRXUDJH G·DERUGHU FH
VXMHW WUqV GpUDQJHDQW TXH M·DYDLV GpMj pYRTXp PDLQWHV IRLV VXU OD EDVH GXILOP
YLHX[ G·XQH WUHQWDLQH G·DQQpHV I comme Icare, avec Yves Montand. Ce film
peut toujours être loué ou acheté. Ceux qui le connaissent peuvent constater que
QRQVHXOHPHQWOHVVWDWLVWLTXHVRQWSHXFKDQJpPDLVSLUHTXHOHWUDQVIHUWG·XQH
DXWRULWpVFLHQWLILTXHjO·DVSHFWVpULHX[HWDXVWqUHDYHFGHVDFWHXUVUpPXQpUpV
vers une ambiance de divertissement public non rémunéUp Q·DOWqUH SDV
O·REpLVVDQFHVHUYLOHGHODSOXSDUWGHVERXUUHDX[

COMMENT ANALYSER CELAௗ?

Le premier facteur déterminant est probablement la dilution de la


UHVSRQVDELOLWp YRLUH O·LUUHVSRQVDELOLWp WRWDOH TXL V·LQVWDOOH GDQV OHV JURXSHV
&·HVW OH phénomène loubards ou troupes de conquérants, ou encore hordes
animales.
(WSXLVLO\DODPRQWpHHQPD\RQQDLVH G·XQHK\VWpULHFROOHFWLYHTXLHVWSRXU
chacun un véritable shoot par le fait de cette syntonisation émotionnelle entre
tous les participants ;; O·RQDVVLVWHDORUVjXQHGpSHUVRQQDOLVDWLRQSDUWLHOOHGHV
LQGLYLGXV TXL VH UHWURXYHQW DVSLUpV GDQV OD FRQVFLHQFH FROOHFWLYH TX·LOV
nourrissent. Je rappelle que ceci est le principe de fonctionnement des sectes,
et dont les adeptes deviennent esclaves.

 
337  
QUELLE LEÇON EN TIRER ?

Si cette émission a été autorisée parmi toutes celles qui sont couramment
FHQVXUpHV RX pGXOFRUpHV F·HVW SUREDEOHPHQW SDUFH TXH QRV JRXYHUQDQWV
DYDLHQW EHVRLQ G·HIIHFWXHU XQ WHVW GH FRQILUPDWLRQ &·HVW IDLW HW FHOD HVW
proprement effrayant en ce qui concerne la nature humaine.
Dieu soit loué, il reste encore 20% de gens fréquentables dans tous les cas de
figures. 20% de gens chez qui la conscience supérieure a encore son mot à dire.

Mais les autres 80% ? Ne seraient-­ils que des robots programmables à souhait,
ni méchants ni gentils, adultes dans leur corps mais infantiles dans leur âme,
et en recherche de sensations fortes pour combler leur vide spirituel ? Je pense
TXHO·LQWHOOLJHQFHGXFRHXUHVWODVHXOHYDOHXUV€UHTXHO·KRPPHDLWà cultiver -­
F·HVW HOOH TXL H[WLUSHUD FHX[ TXL OD SRVVqGHQW GH OD JDQJXH H[LVWHQWLHOOH TXH
QRXVFRQQDLVVRQVYHUVOHVFLPHVGHVVXSHUFLYLOLVDWLRQVTXLQRXVDWWHQGHQW«
&·HVW TXDQG O·pOqYH HVW SUrW TXH OH 0DvWUH DSSDUDvW  +pODV DSSDUHPPHQW
beaucoup devront encore attendre.

 
338  
74
LE GAZ DE SCHISTE
un désastre écologique programmé chez nous

Cet énorme désastre humain et écologique qui fait des ravages aux USA depuis
TXHOTXHVDQQpHVGpMjHVWHQWUDLQG·DUULYHUFKH]QRXV (QIDLWFH Q·HVWSDVOH
gaz lui-­même qui est dangereux mais la technique employée pour le récolter
qui est hyper dangereuse.

/(35,1&,3('·(;75$&7,21

3RXUOLEpUHUOHJD]GHVFKLVWHRQHIIHFWXHFHTX·RQDSSHOOH/$)5$&785$7,21
HYDRAULIQUE HORIZONTALE, qui consiste à :

-­ faire un forage vertical entre 1.200 et 3.500 mètres de profondeur ;;


-­ SXLV FUHXVHU j O·KRUL]RQWDO HW IDLUH H[SORVHU OD URFKH DYHF GH SKpQRPpQDOHV
TXDQWLWp G·HDX HQWUH  HW  PLOOLRQV GH OLWUHV  HW GHV SURGXLWV FKLPLTXHV
toxiques (benzène, etc.) ;;
-­ ensuite pomper ce mélange eau/gaz pour le récupérer à la surface.

Or, la moitié de cette eau -­ hautement toxique -­ reste dans les sols et pollue les
nappes phréatiques.
/·DXWUH PRLWLp UpFXSpUpH HVW WUDLWpH DYHF G·DXWUHV SURGXLWV FKLPLTXHV SRXU
séparHUO·HDXHWOHJD]&HWWHVHFRQGHPRLWLpG·HDXWR[LTXHVHUDDFKHPLQpHGDQV
OHV VWDWLRQV G·pSXUDWLRQ ORFDOHV TXL VRQW LQDSWHV j HIIHFWXHU FRUUHFWHPHQW
O·pSXUDWLRQVSpFLILTXHQpFHVVDLUH&HWWHHDXIDXVVHPHQWpSXUpHYDVHUHWURXYHU
dans les rivières, et chez nous, directement à la sortie des robinets, avant
G·DOOHUjODPHU
Nota : -HQHVXLVSDVV€UTXHO·RVPRVHLQYHUVHSXLVVHrWUHXWLOLVpHODPHPEUDQH
7)& ULVTXDQW G·rWUH DWWDTXpH SDU OHV VROYDQWV HW HQFRUH PRLQV OHV ILOWUHV JHQUH
BRITA®.

Ceux qui boivent de cette eau tombent rapidement malades :

Début de cancers.
Douleurs dans les membres.

 
339  
Malaises.
Migraines violentes.
Nausées.
3HUWHGXJR€WHWGHO·RGRUDW
Problèmes neurologiques.
Troubles digestifs.

Sans parler de la mort de milliers de poissons de rivières et autres dégâts sur


la flore...

3DU DLOOHXUV OHV pPDQDWLRQV G·K\GURFDUEXUHV DX[ DERUGV GHV SXLWV GH IRUDJH
causent les mêmes troubles avec en plus, des problèmes respiratoires.
À noter aussi que la logistique misHHQ±XYUHSRXUH[WUDLUHOHJD]GHVFKLVWHHW
DFKHPLQHU O·HDX QpFHVVLWH SOXV GH  FDPLRQV SRXU XQ VHXO SXLWV FHFL
impliquant une destruction totale du paysage, et une pollution aérienne et
sonore invivable pour le voisinage.

Aux USA, 36 États sont coQFHUQpV3OXVLHXUVG·HQWUHHX[RQWLQWHUGLWGHERLUH


O·HDX GX URELQHW HW PrPH GH VH ODYHU DYHF 'DQV FHUWDLQV eWDWV O·HDX HVW
WHOOHPHQWWR[LTXHTX·LOHVWSRVVLEOHG·\PHWWUHOHIHXDYHFXQEULTXHW Si vous
voulez voir des images de tout cela et en savoir un peu plus, vous pouvez aller
voir le documentaire GAZLAND (sous-­WLWUpHQIUDQoDLV jO·DGUHVVHVXLYDQWH
http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/12/21/gasland-­vostfr-­
sous-­titre-­en-­francais-­pourtout-­ les-­vraies-­infos-­sur-­les-­gas-­de-­schiste/

En France, plusieurs permis de forage ont été délivrés par le ministère de


O·HQYLURQQHPHQW HW GX développement durable : Île-­de-­France, Picardie,
Languedoc-­Roussillon, Midi-­Pyrénées, etc...

 
340  
75
CHEMTRAILS :
XQFRPSORWFULPLQHOFRQWUHO·KXPDQLWp

Peu de gens se soucient de ce qui se passe au dessus de leur tête. Pourtant, il


V·\SDVVHGHVchoses étranges et inquiétantes depuis plus de dix ans en France
et en Europe, et plus longtemps encore aux Etats-­8QLV &·HVW DLQVL TXH G·XQH
façon régulière, on peut observer haut dans ciel au dessus des grandes villes
de larges quadrillages de traînées d·DYLRQV TXL VWDJQHQW GHV KHXUHV HW VH
rejoignent lentement en une couche laiteuse diminuant notablement la
OXPLQRVLWpGXFLHO$X[FXULHX[LOHVWUpSRQGXTXHF·HVWXQSKpQRPqQHQDWXUHO
GHFRQGHQVDWLRQSDUOHIURLGGHODYDSHXUG·HDXUpVXOWDQWGHODFRPEXstion des
UpDFWHXUV G·DYLRQV HQ KDXWH DOWLWXGH GDQV FHUWDLQHV FRQGLWLRQV PpWpR ;; et
monsieur tout le monde rentre chez lui tranquillisé. Pourtant, il y a quelques
années, on ne voyait JAMAIS dans le ciel cette persistance des traînées
blanches. Pourquoi ?

De fait, les avions "honnêtes" laissent derrière eux une traînée blanche, mais
qui ne persiste que quelques minutes. Pour comprendre ce processus, il
suffit de revenir à la définition du point de rosée. Il s'agit de la température à
laquelle il faut refroidir un volume d'air, à pression et humidité constantes
SRXUTX
LOGHYLHQQHVDWXUpHQYDSHXUG·HDXFHFLGRQQDQWOLHXjODIRUPDWLRQGH
PLFURJRXWWHOHWWHVG·HDX&·HVWFHTXLVHSDVVHjODVRUWLHGHO·DLUWUqVFKDXGGHV
UpDFWHXUV TXL HVW VDLVL SDU O·DPELDQFe atmosphérique moyenne, de -­50° à
SLHGVG·DOWLWXGH0DLVGqVTXHODSUHVVLRQHWODWHPSpUDWXUHVHGLOXHQW
HW V·KRPRJpQpLVHQW GDQV O·DWPRVSKqUH RQ VH UHWURXYH UDSLGHPHQW HQ GHVVRXV
GHODYDOHXUGXSRLQWGHURVpHHWOHVJRXWWHOHWWHVUHSDVVHQWjO·ptat de vapeur ²
FHTXLQ·HVWSDVOHFDVSRXUOHVFKHPWUDLOVTXLSHUGXUHQWGHVKHXUHVHQWLqUHV
&HFLSURXYHTXHOHVFKHPWUDLOVQHVRQWSDVIDLWVGHYDSHXUG·HDX

Témoignage personnel :
Au mois de mai dernier (2015), pendant un vol au petit matin en tant que
passager, nous avons aperçu par le hublot avec mon épouse, un
quadriréacteur qui nous croisait à un niveau en dessous, c'est-­à-­dire 1.000
pieds réglementaires (300m), et dont V·pFKDSSDLWXQHpSDLVVHIXPpHEODQFKH«

 
341  
GH O·DUULqUH GH OD FDUOLQJXH DORUV TXH ULHQ QH V·pFKDSSDLW GHV UpDFWHXUV
Bizarre !!! Non ?

UN INGÉNIEUR ALLEMAND TÉMOIGNE EN PUBLIC


(QWDQWTX·LQJpQLHXUDpURQDXWLTXHM·HQWUHWLHQVHWMHUpSDUHOHVDYLRQV-HYDLV
vous UDFRQWHU FH TXL P·HVW DUULYp : je travaillais sur la base militaire spéciale
G·2EHUSIDIIHQKRIHQ R QRXV LQVWDOOLRQV GDQV XQ DYLRQ XQ PDWpULHO GHVWLQp j
HIIHFWXHU GHV SXOYpULVDWLRQV GDQV OH FLHO 1RXV GHYLRQV YLGHU WRXW O·DYLRQ
installer les réservoirs, et HIIHFWXHU WRXV OHV EUDQFKHPHQWV -·pWDLV Oj HQ WDQW
que civil sous contrôle militaire. Quand nous avons eu terminé, on nous a dit
TXH F·pWDLW XQ WHVW FRQGXLW SDU O·DpURQDXWLTXH HW O·DGPLQLVWUDWLRQ GH O·HVSDFH
allemand. Cet avion ainsi équipé était soi-­disant destiné à voler devant un
deuxième avion qXLGHYUDLWSUHQGUHGHVPHVXUHV«

Quelque chose comme : nous voulons seulement savoir comment les particules
épandues se comportent et se propagent dans le ciel...

Après avoir terminé les installations, des gars GH O·DUPpH VRQW YHQXV QRXV
conseiller de mettre des combinaisons de protection pour tout le corps et des
PDVTXHVjJD]SDUFHTX·LOVDOODLHQWUHPSOLUOHVUpVHUYRLUVDYHFGHVVXEVWDQFHV
FRPPH GX VXOIXU G·DOXPLQLXP HW GHV R[\GHV GH EDU\XP HW DXVVL GHV
polymères de nanoparticules hautement toxiques.

Scandalisé, je suis allé voir le représentant local du parti écologique, avec la


preuve en main du fait que les populations allaient être traitées ni plus ni
moins que comme des insectes nuisibles. Je lui ai dit quH M·pWDLV SUrW j
WpPRLJQHUGHYDQWXQHFRPPLVVLRQG·HQTXrWH«

&HTXLV·HVWSDVVpHQVXLWHF·HVWTXHPRQSDWURQWURLVMRXUVSOXVWDUGHVWYHQX
PH YRLU FKH] PRL HW P·D GLW : "Je suis désolé, mais je dois vous licencier. Je
reçois tellement de pressions du haut de la hiérarchie que je ne peux plus tenir".
'HSXLVMHQHSHX[DEVROXPHQWSOXVWURXYHUGHWUDYDLOGDQVO·DpURQDXWLTXHJe
tiens à préciser que nous nous dirigeons vers une catastrophe écologique. Et à
FHX[TXLQHPHFURLHQWSDVV·LOYRXVSODvWYHQHz voir, et je vous montrerai la
SUHXYHGHWRXWFHTXHM·DYDQFH-HUpSqWH : je suis prêt à témoigner devant toute
FRPPLVVLRQG·HQTXrWH

48·(67-­CE QUE LA GEO-­INGENIERIE ?

 
342  
&H TXH O·RQ DSSHOOH OD JpR-­ingénierie a officiellement SRXU EXW G·DERUG OD
manipulation du climat pour soi-­disant contrecarrer les effets du
UpFKDXIIHPHQW FOLPDWLTXH GXV j O·pPLVVLRQ GH JD] j HIIHW GH VHUUH HW G·DXWUH
part la protection des populations des rayons solaires qui ne seraient plus
suffisamment filtrés par ODFRXFKHG·R]RQHGpIDLOODQWH

/D WHFKQLTXH XWLOLVpH HVW O·pSDQGDJH DpULHQ DYHF GHV DpURVROV WRS VHFUHW $
QRWHUTXHFHVDpURVROVQHIRQWO·REMHWG·DXFXQHDXWRULVDWLRQOpJDOHHWQ·RQWpWp
votés par aucun pays des états concernés par les épandages aériens. Non
VHXOHPHQW FHOD PDLV OHV JRXYHUQHPHQWV IHLJQHQW G·LJQRUHU O·H[LVWHQFH GHV
avions épandeurs et nient avec véhémence cet état de fait. Bien sûr, les médias
officiels restent muets sur ce sujet.

Par contre en Serbie, le président du mouvement écologique serbe,


Nicolas Aleksis V·HVW OHYp SRXU DFFXVHU OH JRXYHUQHPHQW GH FRPSOLFLWp GH
génocide par empoisonnement collectif. Il veut savoir qui sont les traîtres ayant
donné le feu vert à cet empoisonnement organisé. Il en DSSHOOHjO·DUPpHSRXU
abattre ces avions épandeurs de maladies et de mort, et demande au Procureur
JpQpUDOVHUEHG·HQJDJHULPPpGLDWHPHQWGHVSRXUVXLWHVFRQWUHOHVUHVSRQVDEOHV
GHFHWWHDXWRULVDWLRQYLRODQWODFRQVWLWXWLRQTXLV·HQJDJHjSURWpJHUOHSHXSOH.

DES RETOMBEES SUSPECTES


Depuis plusieurs années, nombreuses sont les personnes de différentes régions
TXL WpPRLJQHQW VXU O·H[LVWHQFH GH UHWRPEpHV UpFXUUHQWHV GX FLHO GDQV OHXUV
MDUGLQV GH PLOOLHUV GH ILODPHQWV HQ SRO\PqUHV EODQFV &HV VHPHXUV G·DOHUWH
s·LQTXLqWHQWjSURSRVGHODVDOXEULWpGHOHXUVOpJXPHVDLQVLTXHGHSDWKRORJLHV
QRXYHOOHVTX·LOVVXELVVHQWVRXYHQWDXQLYHDXGHVEURQFKHVRXGHODSHDX

A Miserey Salines dans le Doubs, un habitant a fait procéder par le


laboratoire Qualio GH%HVDQoRQjGHVDQDO\VHVG·HDXGHSOXLHUHFXHLOOLHVWRXV
les 8 mois environ au même endroit et dans des conditions similaires. Le
UpVXOWDWHVWIRUWSUpRFFXSDQWSXLVTX·LODWWHVWHG·XQHDXJPHQWDWLRQGHGX
WDX[ G·DOXPLQLXP HQ  PRLV HQYLURQ  IRLV SOXV  HW G·XQH DXJPHQWDWLRQ GH
100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus).
&HV UpVXOWDWV G·DQDO\VH RQW IDLW O·REMHW G·XQH communication au Maire de
Miserey SalinesOHTXHODWUDQVPLVFHUDSSRUWG·DQDO\VHVjO·$JHQFH5pJLRQDOH
de Santé (ARS-­Besançon).
Des alertes officielles se multiplient, mais sans réactions au niveau des
autorités :

 
343  
‡   Pétition au Parlement européen.
‡   Film documentaire sur la géo-­ingénierie projeté en avril 2013 au
parlement européen.
‡   4XHVWLRQjO·$VVHPEOpHQDWLRQDOHSDUOHGpSXWpJoël Giraud.
‡   Article dans le journal Nexus.
‡   Courrier au député du Doubs.
‡   Extrait du rapport Case Orange Belgique sur les techniques de
manipulation de climat.

DES ANALYSES OFFICIELLES INCONTOURNABLES


Les analyses réalisées par le laboratoire ANALYTIKA représentent le chaînon
manquant pour prouver de manière irréfutable à la fois la réalité et la
dangerosité des Chemtrails. Les résultats sont éloquents. À noter que le coût
des analyses a été supporté par les citoyens, car les autorités se moquent
éperdument de la santé publique. Au contraire, on peut affirmer sans l'ombre
d'un doute qu'ils participent activement à cette mascarade.

Heureusement que certains députés ayant encore une conscience


professionnelle et une réelle envie de représenter les intérêts de la population,
tel que Gérard Bapt, ont déjà fait part du problème à l'Assemblée nationale fin
2012. &·HVWO
DVVRFLDWLRQFLWR\HQQHSRXUOHVXLYLO
pWXGHHWO
LQIRUPDWLRQVXUOHV
programmes d'intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA) qui avait
attiré l'attention de ce député sur les résultats de ces analyses afin qu'il en
parle à l'Assemblée Nationale. Mais il ne faut pas s'y tromper, des sujets
sensibles sont régulièrement abordés à l'Assemblée (comme la toxicité de
l'aluminium vaccinal) et les réponses évasives du ministère de la santé ont à
chaque fois conduit à enterrer les polémiques pour passer à autre chose«

LES CONCLUSIONS DES ANALYSES DU LABORATOIRE

On retrouve des composants non identifiés, ce qui montre bien que de la


recherche militaire a été pratiquée pour mettre au point certain de ces
composants qui sont inconnus du monde scientifique actuel. Les différents
composés organiques engendrés dans une série de huit expériences ont chaque
fois été séparés par chromatographie gazeuse et identifiés par spectrométrie de
masse (GC/MS).

 
344  
"Tous les échantillons étudiés contenaient plusieurs composés aromatiques
toxiques synthétiques (phtalates) et trois d'entre eux contenaient du DEHP, un
représentant de cette famille de produits chimiques particulièrement redouté à
cause de ses propriétés de perturbateurs endocriniens".

Toutes les molécules organiques, en particulier les composés hétérocycliques


présents dans ces échantillons de filaments aéroportés, sont préoccupantes, à
la fois sur le plan de la santé publique et celui de leur impact environnemental.
Ce rapport, DLQVL TX·XQH OHWWUH GH O·ACSEIPICA et d'une déclaration du comité
scientifique italien Galileo qui confirme la présence de métaux toxiques dans
les prélèvements ont été envoyés -­ entre autre -­ DX PLQLVWUH GH O·pFRORJLH GX
GpYHORSSHPHQWGXUDEOHHWGHO·pQHUJLHHWjFHOXLGHODVDQWp2QQHSRXUUDGRQF
SDVGLUHTX·LOVQ·pWDLHQWSDVDXFRXUDQW !

 
345  
76
DARPA
ses travaux génétiques secrets

"DARPA", signifie en Français "Agence pour les projets de recherche avancée de


GpIHQVH &·HVW XQ département de la Défense des États-­Unis chargée de la
recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage
militaire-XVTX·jDXMRXUG·KXLOD'$53$DpWpjO·RULJLQHGXGpYHORSSHPHQWGH
nombreuses technologies de pointe qui ont eu des conséquences considérables
dans le monde entier dont les réseaux informatiques QRWDPPHQWO·Arpanet qui
a fini par devenir Internet).

/HVRULJLQHVKLVWRULTXHVG·XQWHOVHUYLFHUHPRQWHQWjVDPLVHHQSODFHen 1940.
La principale raison de sa création est le lancement du satellite soviétique
Spoutnik en 1957, qui fut un coup dur pour les États-­Unis. Ainsi le 7 février
1958, le président Eisenhower signa la directive 5105.15 donnant naissance à
O·$53$ DYHF SRXU REMHFWLI GH IDLUH HQ VRUWH TXH OD WHFKQRORJLH GH O·DUPpH
américaine reste supérieure à celle de ses ennemis.

LES REALISATIONS ACTUELLES EN COURS (pour info)

‡   Boeing X-­37 (aérospatiale).


‡   Interface neuronale directe (applications aux handicapés).
‡   /·H[RVTXHOHWWHPRWRULVpXOS.
‡   Recherche sur les applications de la mémoire holographique.
‡   BigDog,(un robot capable de porter des charges).
‡   Cheetah (un robot capable dHFRXULUSOXVYLWHTXHQ·LPSRUWHTXHOrWUH
humain).
‡   Hypersonic Technology Vehicle 2, (aéronef sans-­pilote hypersonique).
‡   Boeing SolarEagle.

BIEN MIEUX QUE LES VACCINS

 
346  
0DLV FH TXL QRXV LQWpUHVVH SDUWLFXOLqUHPHQW F·HVW TXH OD '$53$ D GpYHORSSp
une technologie immunologique qui pourrait remplacer les vaccins par
l'injection de matériel génétique qui doit susciter la production de super-­
anticorps. Le système de la DARPA fonctionne de la façon suivante : de
puissants anticorps sont isolés en provenance de survivants d'une maladie
transmissible pour être codés dans l'ARN (acide ribonucléique) ou l'ADN, pour
être ensuite injectés dans les personnes susceptibles d'entrer en contact avec
la maladie. Les cellules du corps de ces personnes en contact avec le matériel
génétique commenceraient alors à lancer des anticorps performants. Cette
"innovation immunologique" est vouée à être utilisée pour l'ensemble de
l'humanité afin de la protéger des maladies émergentes. Le processus sera plus
rapide et moins cher que les méthodes précédentes de fabrication de vaccins.

81((;3(5,(1&(*(1(7,48(0$66,9(685/·+80$1,7(
Le généticien David Suzuki a récemment exprimé son inquiétude disant que
les êtres humains font partie d'une "expérience génétique massive" depuis de
nombreuses années et que les intentions de la biotechnologie vont bien au-­delà
de l'argent.

Dans une nouvelle étude publiée dans la Public Library of Science (PLoS), les
chercheurs soulignent qu'il existe des preuves suffisantes de l'effet des
fragments d'ADN -­ retrouvés dans la nourriture génétiquement modifiée. Ceux-­
ci portent des gènes complets qui peuvent entrer dans le système de circulation
KXPDLQH SDU XQ PpFDQLVPH LQFRQQX >LQFRQQX GH TXL"@ O·pWXGH D pWp EDVpH
sur l'analyse de plus de 1.000 échantillons humains provenant de quatre
études indépendantes). Les progrès de la science du génome au cours des
dernières années ont révélé que les organismes peuvent partager leurs gènes
non seulement entre les membres d'une espèce, mais aussi entre les membres
de différentes espèces.

Or, nos autorités sanitaires -­ qui prétendent défendre la sécurité et la santé des
populations -­ laissent des méga industries biotechnologiques comme
Monsanto continuer d'interférer sur la chaîne alimentaire en produisant de
plus en plus d'aliments génétiquement modifiés, dont les risques pour la santé
humaine sont inconnus et potentiellement dévastateurs ? N·\DXUDLW-­il pas une
volonté de corrompre le code génétique humain ?

 
347  
Les publications scientifiques tentent de nous faire croire que les avancées
dans le domaine du génie génétique visent à rallonger l'espérance de vie
humaine et à guérir les maladies aujourd'hui incurables.
Mais, la biogénétique, la robotique, l'intelligence artificielle, la biologie
synthétique, la nanotechnologie et la montée du "transhumanisme" obéissent
à un agenda qui vise en fait à un changement profond de la morphologie
humaine.

VERS UNE NOUVELLE ESPECE HUMAINE ?

La science veut redéfinir l'espèce humaine en la rendant "supérieure", en


augmentant les facultés de l'esprit humain, en améliorant les capacités
physiques des soldats, en réécrivant l'ADN et en créant une toute nouvelle
espèce ! Aussi apprend-­on que :

1 -­ /·RQ H[SpULPHQWH DFWXHOOHPHQW GHV DQLPDX[ FRQWHQDQW GX PDWpULHO


humain" 98% des nouveau-­nés subissent un prélèvement d'ADN dans leur
première semaine de vie.

2 -­ Il a été enregistré la naissance de 30 bébés génétiquement modifiés aux


USA (no comment).

3 -­ La DARPA et son équipe de scientifiques veulent introduire un tout nouveau


chromosome 47 dans la génétique humaine comme une plate-­forme de vecteur
pour l'insertion de bio-­modifications, et pour des "améliorations" génétiques
dans notre ADN.

Réf : http://conscience-­du-­peuple.blogspot.com/2013/06/les-­ogm-­affectent-­
notre-­adn.html

CONCLUSION

/HPRQGHGHO·$WODQWLGHHVWHQWUDLQGHUHVXUJLU/·RQSHXW constater les restes


GH FHWWH FLYLOLVDWLRQ SHUGXH VXU OHV VWqOHV GHV 'LHX[ GH O·(J\SWH DQWLTXH
KXPDLQVjWrWHG·DQLPDX[  ² une allégorie qui signifie clairement un mélange
génétique visant à associer des performances humaines et animales, cela
probablement en vue de spécialisations sociales (voir "le meilleur des mondes"
d'Aldous Huxley). Hélas, on sait que tout cela à mal tourné ! Pourtant, cela
Q·HPSrFKHSDVTXHGDQVOHSODQRFFXOWHHQFRXUVRQUHSUHQGOHVPrPHVHWRQ
UHFRPPHQFH«

 
348  
'HSOXVO·LQVWDOODWLRQ de ce futur (et ancien) Enfer terrestre -­ surtout celui de
nos enfants -­ est largement financé grâce au racket massif des banques
mondiales et des grands lobbies chimiques.

Bon, à part çà, comment allez-­vous ?

 
349  
77
NOUVEAUX EMETTEURS TNT-­GSM
un génocide de proximité a court terme

Le Gouvernement, totalement inconscient, incompétent et irresponsable a pris


une décision gravissime en terme de santé publique et d'environnement : en
effet, le Premier ministre Manuel Valls (2014) a annoncé officiellement le 10
GpFHPEUH  O·RXYHUWXUH GX PDUFKp GH OD WpOpYLVLRQ QXPpULTXH WHUUHVWUH
(TNT), aux opérateurs des fréquences micro-­ondes de 700 méga Hz ² nommées
"fréquences en or", en raison de leur extrême pouvoir de pénétration -­ allant de
420 à plus de 500 mm -­ VRLWHQYLURQPGDQVO·HQVHPEOHGHVPDWpULDX[GH
construction.

Nous sommes très loin de toutes les études scientifiques -­ sur la pénétration de
124,5 mm du 2,4 Giga Hz -­ concernant le cerveau des utilisateurs, car avec le
700 MHz, c'est carrément celui de tous les voisins (téléphonie passive) qui sera
atteint.
Cela doit être classé &5,0( &2175( /·+80$1,7(  A noter que le but
recherché, à court terme par les opérateurs, est de tout faire pour que la TNT
passe par le réseau d'antennes relais de Téléphonie Mobile, TV publique
incluse !

-XVTX·LFLOHVIUpTXHQFHVPLFUR-­ondes très nocives en 700 méga Hz sont ou ont


été exploitées par les émetteurs de TNT implantés sur des points hauts, situés
loin, souvent à 10 ou plusieurs dizaines de kilomètres des zones habitées.

Même si la puissance injectée en KW dans les émetteurs est importante, cette


SXLVVDQFHUDGLDWLYHGpFURvWWUqVYLWH DYHFOHFDUUpHGHODGLVWDQFH HWORUVTX·HOOH
atteint les zones habitées, elle est devenue très faible comme le prouvent toutes
les mesures comparatives de l'ANFR.

En conséquence, beaucoup de personnes et d'enfants résidants dans les zones


proches autour des antennes relais vont être encore plus irradiés, voire très
fortement irradiés dans la zone hyper dangereuse dite de transition, et pour
certains se trouvant carrément dans la zone de Rayleigh, ce sera encore pire -­
cela signifie dans ce cas une espérance de vie de quelques mois à quelques
années au maximum avec des cancers foudroyants, des leucémies, les enfants
étant les cibles les plus fragiles. Manuel Valls aurait été bien

 
350  
inspiré de regarder ce reportage de M6 (à partir de 4min38) sur la réalité du
nombre de cancers et de morts dans un immeuble irradié par les antennes
relais, F·HVW KDOOXFLQDQW ! Un peu plus d'un an après il a été impossible de
réaliser un autre reportage, la quasi-­totalité des intervenants où se sont
déroulés les interviews étaient morts !

CONCLUSION
Il est peu probable (sauf putsch citoyen massif) que le gouvernement aux
ordres de la dictature mondiale revienne sur sa décision criminelle. Le
rendement en morts dans les guerres conventionnelles armées est dérisoire
face à de telles mesures sournoises. Rappelez-­vous PLOOLRQVG·KXPDLQVHQ
plus chaque année sur la planète, soit 1 milliard tous les 12 ans ! Il faut des
soluWLRQVHIILFDFHVPDLVQRQEUXWDOHV«SDUH[HPSOHO·Drrosage aux micro-­ondes
de 700 méga Hertz !... et utile par-­dessus le marché !

Il va falloir quitter les villes et tous les endroits où il y a des antennes relais,
pour habiter loin de celles-­ci, peut-­rWUHPrPH HQ V·DGRVVDQW j GHV FROOLQHV GH
protection, dans des maisons anciennes dont les murs font 50 à 60 cm
G·pSDLVVHXU PLQLPXP HW équipées de rideaux blindés aux fenêtres et aux
portes (çà se vend sur Internet). Il faudra peut-­rWUHDXVVLHQYLVDJHUGHV·pTXLSHU
pour aller faire les courses, de combinaisons intégrales argentées
UpIOpFKLVVDQWHVXQSHXFRPPHOHVFRVPRQDXWHV«Les amis, on est en train de
basculer dans la survie, sur une planète de moins en moins accueillante !
4XDQWDX[DQLPDX[TXDQWDX[SODQWHVMHQ·RVHPrPHSDV\SHQVHU«
Source des données techniques :
Next-­Up, organisme indépendant, collaborant avec la Criirem

 
351  
78
RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE
GHVJUDQGVFOLPDWRORJXHVSDVG·DFFRUG !

Le GIEC a affolé le monde avec des chiffres qui ont été reconnus FAUX par
O·HQVHPEOHGHVFOLPDWRORJXHVPRQGLDX[

2QVDLWTXHO·(XURSHDFRQQXGHVWHPSpUDWXUHVPD[LPDOHVjODILQGX Moyen-­
Âge, ce qui engendra une période de prospérité économique. Le Groenland était
alors une terre verte. Puis il y eut le petit âge glaciaire qui culmina au 17ième et
au 18ième siècle. Puis, depuis le milieu du 19ième siècle, nous sommes entrés
dans une période de réchauffement. Corrélations possibles :

‡   GLPLQXWLRQGHO·pSDLVVHXUGHODEDQTXLVHGDQVO·DQWDUFWLTXH
‡   recul de 1,8 km de la mer de glace depuis 1830,
‡   diminution des neiges éternelles du Kilimandjaro.
Pourtant, depuis 12 ans, selon le Dr Mojib Latif ² climatologue, la terre est
plutôt en phase de léger refroidissement, et les pertes de glace arctiques
UpVXOWHUDLHQW G·XQ VLPSOH F\FOH QDWXUHO 9LFN\ 3RSH ² responsable des cycles
climatiques en GB).

Selon Gerlich, O·HIIHW GH VHUUH HVW XQ SKpQRPqQH indispensable sans lequel la
température moyenne, qui est actuellement de 14 à 15°, serait de -­18°C, nos
océans étant gelés des pôles aux tropiques.

9R\RQVODFRPSRVLWLRQGHVJD]GHO·DWPRVSKqUH :

‡   Oxygène (O²) : 20,54%


‡   Azote (N²) : 76,55%
‡   Gaz carbonique (CO²) : de 0,03 à 0,04%
‡   9DSHXUG·HDX : de 0 à 4%
‡   Argon : 0,91%
‡   Gaz divers (Ne, Kr, H, N²O, Xe, Ozone, CH4, CFC) : 0,01%

Pour comparaison : OH &2ò   F·HVW  JUDLQV URXJHV DX PLOLHX GH 
PLOOLRQ GH JUDLQV EODQFV 2U O·DFWLYLWp KXPDLQH HVW UHVSRQVDEOH de 3,4% de la
production terrestre totale de CO² (animale, végétale, cycles de fermentation,

 
352  
etc.). Ceci nous ramène à 14 grains rouges au milieu de 1 million de grains
blancs !

Autre comparaison : Si nous prenons comme valeurs le pouvoir de


réchauffement global (PRG) des différents gaz à effet de serre (GES) exprimés en
équivalents CO², celui-­ci étant référencé à 1, nous obtenons le tableau
suivant :

Gaz carbonique : 1
9DSHXUG·HDX : 8
Méthane : 23
Oxyde nitreux N²O : 296

En amalgamant les concentrations et le pouvoir de réchauffement global (PRG)


des gaz à effet de serre, on obtient les valeurs des PRP (pouvoir de
réchauffement pondéré), ce qui donne en fonction du PRP du CO² :

‡   PRP du CO² : 1
‡   353GHODYDSHXUG·HDX : 219 fois plus important
‡   Méthane CH4 : 10 fois moins important
‡   Oxyde nitreux N²O : 6 fois moins important
‡   CFC-­11 (gaz réfrigérant) : 107 fois moins important
‡   CFC-­12 (gaz réfrigérant) : 47 fois moins important

Le principal gaz à effet de serre est donc bien OD YDSHXU G·HDX, 27 fois plus
abondanWH TXH OH &2ò DYHF XQ SRXYRLU G·DEVRUSWLRQ GHV LQIUDURXJHV  IRLV
supérieurs à celui-­FLFHTXLIDLWTX·DXWRWDOHOOHFRQWULEXHIRLVSOXVTXHOH
&2òjFUpHUO·HIIHWGHVHUUH

$XWUHPHQWGLWODSDUWGX&2òG·RULJLQHIRVVLOHpPLVSDUOHVDFWLYLWpVKXPaines
a une influence négligeable sur le réchauffement climatique. Pour confirmation
pratique, quantité de ballons-­sondes ont été envoyés pour mesurer la fameuse
élévation de température dans des zones atmosphériques allant de 5.000 à
25.000 m ² Résultat : R.A.S. !

/D FOLPDWRORJLH *,(& Q·HVW SDV GH OD VFLHQFH F·HVW GH OD SROLWLTXH 'DQV WRXWH
95$,( VFLHQFH OD WKpRULH GH O·HIIHW GH VHUUH DXUDLW pWp LPPpGLDWHPHQW
abandonnée.

Selon les démonstrations de Gérard Gerlich et Ralph D. Tscheuscher


publiées dans "l·,QWHUQDWLRQDO -RXUQDO RI 0RGHUQ 3K\VLFV OD WKpRULH GH O·HIIHW

 
353  
de serre est incompatible avec les lois de la physique et de la
thermodynamique.

Le 20 mai 2008, 31.072 scientifiques américains dont 9.021 docteurs es


science ont établi une pétition déclarant que le réchauffement climatique est
sans fondement scientifique. Cette grande arnaque est préparée depuis 30 ans
afin de pouvoir inventer de nouvelles taxes. &·HVW O·XQ GHV SOXV JUDQGV
VFDQGDOHVVFLHQWLILTXHVGHO·pSRTXH

Mais remarquez comment dans les journaux et à la télé on nous rabâche


incessamment le même mensonge.

$IRUFHG·rWUHUpSpWpXQPHQVRQJHGHYLHQWXQHYpULWp
/HILOPG·$O*RUH"La vérité qui dérange" a été interdit dans les écoles anglaises
pour propagande et lavage du cerveau. Les juges y ont trouvé 9 erreurs
fondamentales dont celle du CO². Chez nous, monsieur Borloo a acheté 7.000
'9'GHFHILOPVXOIXUHX[SRXUQRVFKHUVpFROLHUV«0HUFLmonsieur Borloo ! Une
fois de plus nous avons la preuve que nous avons un gouvernement de
menteurs professionnels qui travaillent CONTRE le peuple français.

Jamais ne croyez le "prêt-­a-­penser" diffusé par "télé-­


mensonges"

LES NON-­CROYANTS DE CE MONTAGE SONT EXCOMMUNIES


Les récentes déclarations de John Kerry et Al Gore sonnent comme une
déclaration de guerre aux climato-­sceptiques, une guerre contre le manque de
foi en la doxa officielle.
(Contrepoints par Michel Gay dimanche 5 avril 2015). Les déclarations du
VHFUpWDLUH G·eWDW DPpULFDLQ John Kerry HW GH O·H[ FDQGLGDW j OD 0DLVRQ
Blanche, Al Gore, le 12 mars 2015 sont effrayantes. Le délit d'opinion refait
VXUIDFH«
John Kerry, enfilant sa robe de prédicateur devant le Conseil atlantique en vue
du sommet sur le climat à Paris en décembre 2015 D GpQRQFp O·LPPRUDOLWp
des "négationnistes du climat", et annoncé une pluie de catastrophes -­ rien
PRLQVTXHODILQGHO·KXPDQLWpVLQRXs nous obstinons à ignorer les signes du
malheur. En amalgamant des vocabulaires scientistes et religieux, il déduit

 
354  
arbitrairement que la menace du réchauffement climatique est purement
G·RULJLQHKXPDLQH

Al Gore déclare de son côté : "il faut punir ceux qui nient le réchauffement
climatique" et "nous devons faire payer sur le plan politique la négation de la
science admise" (il se la pète !).
Donc, douter publiquement du réchauffement climatique serait devenu un
comportement déviant immoral et, pire, ce serait un péché ! On retombe en
plein Moyen-­Âge ! Quelle compétence ont ces crétins patentés, et quel but réel
poursuivent-­ils ?
Pendant ce temps, le 4 mars 2015, Richard Lindzen qui est lui professeur
GHVVFLHQFHVGHO·DWPRVSKqUHDX0DVVDFKXVHWWV,QVWLtute of Technology" (MIT)
a publié dans le Wall Street Journal un article édifiant qui fustige ces
nouveaux prêtres de la catastrophe climatique.
Extrait :
«/HVGLULJHDQWVGXPRQGHSURFODPHQWTXHOHFKDQJHPHQWFOLPDWLTXHHVWQRWUH
plus grand problème en diabolisant le CO2. Pourtant, les niveaux
DWPRVSKpULTXHVGX&2RQWpWpEHDXFRXSSOXVpOHYpVDXFRXUVGHO·KLVWRLUHGHOD
7HUUH 'HV FOLPDWV WRXU j WRXU SOXV FKDXGV HW SOXV IURLGV TX·DXMRXUG·KXL RQW
coexisté avec des niveaux bien plus élevés. Au contraire, actuellement, les
QLYHDX[ SOXV pOHYpV GH &2 FRQWULEXHQW j O·DXJPHQWDWLRQ GH OD SURGXFWLYLWp
DJULFROH«

Oui, ces gens semblent avoir oublié la fonction chlorophyllienne des plantes
qui à la lumière du soleil décomposent le gaz carbonique en carbone et en
oxygène (programme de classe de 4ième 2UOH&2òpWDQWSOXVORXUGTXHO·DLUD
tendance à se plaquer au sol ² que du bonheur pour les plantes et les arbres,
et sur les mers ² que du bonheur pour le plancton (poumon de la planète).

Par ailleurs, ces grands inquisiteurs réalisent ils que tout ce qui vit sur terre
FRQVRPPHGHO·R[\JqQHHWUHMHWWHGX&2ò : absolument tous les animaux, même
les milliards de milliards de moustiques, sans oublier le monde inimaginable
GHV EDFWpULHV /·DFWLYLWp KXPDLQH DX PLOLHX GH WRXW FHOD F·HVW SHDQXWV !
Rien que les 1 milliards 400 millions de bovins sur la planète génèrent plus de
CO² que tous les transports réunis.

Il est en outre bizarre que ces prophètes de malheur ne se révoltent pas contre

 
355  
les gaz toxiques industrielVTXLHPSRLVRQQHQWOHVSRSXODWLRQVHWO·HQYLURQQHPHQW
ou les chemtrails qui sont sans cesse pulvérisés illégalement tels des insecticides
au dessus de nos têtes, comme si nous étions de simples parasites à éradiquer.
%LHQ V€U TX·LOV Q·HQ GLVHQW ULHQ SXLVTue ce sont leurs amis qui sont les
promoteurs de ces "saloperies" !

Soyons logiques, en tant que simples observateurs lambda : qui peut avancer
TX·LO \ DLW HX DFWXHOOHPHQW OH PRLQGUH UpFKDXIIHPHQW GH VD SURSUH UpJLRQ R
TX·LOVHWURXYH "&·HVWPrPH SOXW{WO·LQYHUVHSXLVTXHQRXVDYRQVPrPHFRQQX
FHV GHUQLqUHV DQQpHV GHV KLYHUV SOXV ULJRXUHX[ TX·j O·KDELWXGH DYHF GHV
pSDLVVHXUV GH QHLJH HQ PRQWDJQH TXH O·RQ Q·DYDLW SDV FRQQXHV GHSXLV
ORQJWHPSV2XLOHVJODFHVGHO·DUFWLTXHIRQGHQWHWODPHUGHJODFHVe rétracte à
&KDPRQL[PDLVFHODDFRPPHQFpDXGpEXWGXVLqFOHGHUQLHUHWFHQ·HVWTX·XQ
phénomène planétaire local monté en épingle. Pendant ce temps, il fait
toujours ² 40/50° durant les hivers sibériens et canadiens. Et pourquoi ne
parle-­t-­on jamais de OD EDQTXLVH GH O·$QWDUFWLTXH TXL HOOH V·pWHQG VXU GHV
milliers de km² supplémentaires chaque année "&·HVWFHODOHUpFKDXIIHPHQW ?
Donc messieurs les politiciens, je déclare que vous êtes pris en flagrant délit de
propagande mensongère !
Des milliards de dollars ont été versés dans des études bidon pour soutenir
O·DODUPLVPH FOLPDWLTXH HW PHWWUH j EDV O·pFRQRPLH GH O·pQHUJLH /H *,(&
organisme scientifique (sous contrôle) servant de référence à la cabale climatique,
a été dénoncé par la plupart de la communauté scientifique indépendante pour
mensonges et trafic de données. Nous avons à faire à des autistes qui
poursuivent leur sinistre but  VXUWD[HU O·pQHUJLH SRXU XQH SDUWLH XWLOH GH
O·KXPDQLWpHWHQpUDGLTXHUODSDUWLHLQXWLOH

/D YUDLH SROOXWLRQ Q·HVW SDV Oj R O·RQ FDSWH QRWUH DWWHQWLRQ HOOH HVW PXOWLSOH
insidieuse, souvent invisible, dont la dangerosité est cachée -­ voire niée -­ afin
de ne pas déranger des intérêts particuliers colossaux. Quant à votre CO²
messieurs les manipulateurs, désolé, je vous le dis haut et fort RQV·HQIRXW !

0DLQWHQDQWVLO·RQVHUpIqUHjO·KLVWRLUHHWQRWDPPHQWDX/\VVHQNLVPHGHO·H[-­
URSS, ou à la science des nazis en Allemagne, on reconnaît ici la même
manière autoritaire et inquisitoriale pour imposer cette "fausse évidence" : un
réchauffement climatique soi-­GLVDQW G·RULJLQH KXPDLQH HW TXL Q·H[LVWH SDV
Toute cette mise en scène ne présage rien de bon !

 
356  
79
35(/(9(0(17'·25*$1(6
il devient dangereux de "mourir"

Dès 2017, un médecin va pouvoir prélever les organes d'une personne


"décédée", sans demander l'avis des proches. Ils en seront seulement informés
au préalable.
Dès lors qu'une personne n'aura pas fait savoir de son vivant qu'elle refuse le
don d'organe, un médecin pourra pratiquer un prélèvement à sa mort, sans
demander l'avis de la famille du défunt, à partir du 1er janvier 2017. Les
proches ne pourront plus s'y opposer. Seule une information préalable à
l'intervention leur sera délivrée.
RAPPEL : On peut refuser le don d'organe de son vivant en s'inscrivant sur le
registre national des refus ² Ecrire à :

Agence de la biomédecine -­ Registre national des refus


1 avenue du Stade de France
93212 Saint-­Denis-­La-­Plaine Cedex
tel. 0155936550

En attendant l'application de ces nouvelles mesures, les règles actuelles sur le


don d'organe restent en vigueur. Si le défunt n'a pas exprimé clairement de
refus de son vivant, il est considéré comme acceptant de donner ses organes. À
son décès, le médecin qui envisage un prélèvement doit consulter les proches.
S'ils affirment que le défunt y était opposé, aucun organe ne sera prélevé.
Informer ses proches paraît donc essentiel pour faire respecter sa volonté.

)2508/$,5('·,16&5,37,21$85(*,675(1$7,21$/'(65()86

* Cocher la ou les cases correspondantes à vos choix


** Joindre une enveloppe timbrée à vos nom et adresse
www.agence-­biomedecine.fr
&HWWHLQVFULSWLRQQ·HVWSRVVLEOHTX·jSDUWLUGHO·kJHGHDQV

 
357  
NOM DE NAISSANCE :
«««««««««««««««««««««««««««««««««
NOM USUEL :
««««««««««««««««««««««««««««««««««««««
PRÉNOM(S) RUGUHG·pWDWFLYLO :
««««««««««««««««««««««««««««««
SEXE : MASCULIN ☐ FÉMININ ☐
NÉ(E) LE (jour/mois/année) :
««««««
LIEU DE NAISSANCE, VILLE :
«««««««««««««««««««««««««««««
DEPARTEMENT (si France) :
«««««««««
PAYS :
«««««««««««««««««
ADRESSE :
««««««««««««««««««««««««««««««««««««««
«
««««««««««««««««««««««««««««««««««««««
««««««
9,//(««««««««««««««««««««««
&2'(3267$/««««««««««
-(0·23326(­7287'21'·e/e0(176'(021&2536$35Ë60$
MORT * :
☐ pour soigner les malades (greffe G·RUJDQHVHWGHWLVVXV
☐ pour aider la recherche scientifique (attention : différent du don du corps à la
science)
☐ pour rechercher la cause médicale du décès : autopsie (exceptées les
autopsies judiciaires auxquelles nul ne peut se soustraire)
☐ Je souhaite recevoir une confirmation de mon inscription **
☐ &·HVWXQHGHPDQGHGHPRGLILFDWLRQGHPDSUpFpGHQWHLQVFULSWLRQ
'DWH««««««6LJQDWXUH
Retourner ce formulaire sous enveloppe affranchie au tarif lettre à :

Agence de la biomédecine
Registre national des refus
1 avenue du Stade de France
93212 SAINT-­DENIS LA PLAINE CEDEX

 
358  
-RLQGUHREOLJDWRLUHPHQWjO·HQYRL
-­ la photocopie lisible d'une pièce d'identité officielle (carte d'identité, permis
de conduire, titre de séjour, passeport...) ;;
-­ une enveloppe timbrée à vos nom et adresse pour recevoir la confirmation
GHYRWUHLQVFULSWLRQVLYRXVO·DYH]GHPDQGpH
7RXW FKDQJHPHQW G·pWDW FLYLO GRLW rWUH VLJQDOp OHV FKDQJHPHQWV G·DGUHVVH
Q·RQWSDVEHVRLQG·rWUHVLJQDOpV
Les informations nominatives vous concernant sont enregistrées dans le
système informatique du registre national des refus. Elles sont confidentielles
et, conformément à la loi n°78-­17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à
O·LQIRUPDWLTXHDX[ILFKLHUVHWDX[OLEHUWpVYRXVGLVSRVH]GXGURLWG·DFFqVHWGH
UHFWLILFDWLRQHQpFULYDQWDXUHJLVWUHQDWLRQDOGHVUHIXVjO·DGUHVVHFL-­dessus, en
MRLJQDQWODFRSLHG·XQHSLqFHG·LGHQWLWp

ATTENTION : INFORMATIONS CONFIDENTIELLES


Si vous lisez ELHQ OH IRUPXODLUH G·DXWRULVDWLRQ LO HVW PDUTXp  M·DXWRULVH OH
prélèvement de mes organes après ma mort. Et le piège se trouve là ! APRES
MA MORT. Le Docteur Paul Byrne, spécialiste de la mort cérébrale depuis
plus de 30 ans déclare : "Tout le monde PpGLFDO VDLWTX·DXFXQRUJDQHSUpOHYp
VXU XQ FDGDYUH PrPH UpFHQW Q·HVW DSWH j OD WUDQVSODQWDWLRQ. Le "après ma
mort" est donc un mensonge et une tromperie. Afin de pouvoir tricher avec
cette réalité, en 1968, la médecine a inventé le concept de "mort cérébrale" qui
est devenu la nouvelle fausse définition de la mort.

A la question  /HV RUJDQHV FRPPH OH F±XU OHV SRXPRQV OH IRLH SHXYHQW-­ils
IRQFWLRQQHUHQO·DEVHQFHGHWRXWIRQFWLRQQHPHQWFpUpEUDO"/DUpSRQVHHVW28,
'RQFXQHSHUVRQQHGRQWOHF±XUIRnctionne, le sang circule, et la respiration
est régulière peut donc aujourd'hui être déclarée en état de "mort cérébrale".
On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent,
dont la digestion, l'excrétion (évacuation des déchets), et l'équilibre des fluides.
6LOHPRUWDGHVEOHVVXUHVRQFRQVWDWHUDTX·LOFLFDWULVHHWVLF
HVWXQHQIDQW
qu'il continue à grandir. Une femme enceinte en état de "mort cérébrale" peut
continuer à porter son enfant. En revanche, une fois que ses organes vitaux
sont retirés pour être transplantés, le "donneur" d'organe devient un vrai mort.

Très souvent, les personnes en état de "mort cérébrale" sont sensibles aux
opérations chirurgicales. C'est ce que les médecins appellent "l'effet Lazare",
du nom de celui qui ressortit de son tombeau. Pour pouvoir prélever les

 
359  
organes, les médecins doivent donc pratiquer l'anesthésie, ou injecter des
substances paralysantes (qui permettent à la douleur de subsister ou pas ?) -­
pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression
sanguine, de rythme cardiaque, et d'autres réflexes protecteurs. Ces
informations sont très peu connues du grand public, et les familles à qui l'on
demande d'autoriser un prélèvement d'organe ne sont malheureusement pas
informées.

Maintenant, le tout est de savoir dans quelle mesure le refus de prélèvement


HVWUHVSHFWp(QHIIHWTXLSHXWFRQWU{OHUFHTXLVHSDVVHGDQVO·HQFHLQWHG·XQH
VDOOH G·RSpUDWLRQ ? Quand on vous rend le mort tout beau, bien préparé, bien
habillé, aurez vous le cran de le déshabiller et de vérifier les cicatrices de
O·DXWRSVLH REOLJDWRLUHTXDQGRQGpFqGHVXUODYRLHSXEOLTXH ? Qui osera aller
YpULILHUV·LOQHPDQTXHULHQjO·LQWpULHXU ? Personne, ce qui veut dire que le joli
papier que vous aurez signé ne présente aucune garantie.

Conclusion : mieux vaut ne pas avoir un accident "mortel" sur la route ou


PRXULUGDQVXQOLHXSXEOLF«VXUWRXWVLYRXVrWHVMHXQH

 
360  
80
PLAN BLUE BEAM DES ILLUMINATIS
en plein cours de réalisation

-·DL pGLWp FHOD GDQV OH -2851$/ '( 0,&+(/ '2*1$ HQ RFWREUH
2008 ;; certains plans sont déjà réalisés et vous les avez admis ou
peut-­être même, ne vous en êtes-­vous même pas aperçu«

Manipulations génétiques

 ‡ 'LIIXVLRQ PDVVLYH GDQV O·HQYLURQQHPHQW GH SHVWLFLGHV 3&%


(polychlorobiphényles), et autres polluants connus pour leurs effets
G·DXJPHQWDWLRQ GH OD VWpULOLWp PDVFXOLQH /RUVTXH VXIILVDPPHQW G·KXPDLQV
seront stériles, le seul choix sera de recourir à la procréation artificielle.
(EN COURS)

 ‡ %DQDOLVHU OH UHFRXUV DX[ WHFKQLTXHV GH SURFUpDWLRQ DUWLILFLHOOH HQ OHV
justifiant par des motivations médicales : bébés-­éprouvette, mères porteuses,
couveuses pour bébés prématurés nés à 6 mois... (EN COURS)

 ‡ %DQDOLVHU OHV PDQLSXODWLRQV JpQpWLTXHV MXVWLILpHV SDU GHV PRWLYDWLRQV


médicales (thérapies géniques, prévention génétique des maladies)...
(EN COURS)

‡3URSRVHUDX[SRSXODWLRQVG·pFKDQJHUODOLEHUWpGHSURFUpHUFRQWUHO·DFFqVj
OD SLOXOH G·LPPRUWDlité" ou de "super longévité" que les laboratoires ont
GpMj PLVH DX SRLQW j SDUWLU G·XQ FRFNWDLO G·KRUPRQHV GH YLWDPLQHV G·ROLJR-­
pOpPHQWV G·DQWLR[\GDQWV HW GH FHUWDLQV H[WUDLWV YpJpWDX[  &RPSWH WHQX GHV
problèmes démographiques que causerait cette future pilule, son accès serait
réservé aux personnes qui auront accepté de se faire stériliser.

Fin de la procréation humaine naturelle

‡&UpDWLRQG·KXPDLQVJpQpWLTXHPHQWPRGLILpVFORQDJH

 
361  
‡)LQGHODSURFUpDWLRQQDWXUHOOHHWOLEUH5pDOLVDWLRQGX"meilleur des
mondes".

‡'pYHORSSHPHQWG·XQQRXYHDXPDUFKpFHOXLGHVHQIDQWVSURGXLWVYHQGXV
sur catalogue, avec des qualités physiques et psychiques proportionnelles à
leur prix de vente (enfants beaux et intelligents vendus très cher pour les
riches, enfants laids et bêtes vendus moins cher pour les pauvres...).

 ‡ &UpDWLRQ G·KXPDLQV PXWDQWV VSpFLDOLVpV DGDSWpV DX WUDYDLO HW DX UDQJ
VRFLDOTX·RQOHXUGHVWLQH

‡0RGLILFDWLRQJpQpWLTXHGHODQDWXUHKXPDLQH

&UpDWLRQG·KXPDLQVDX[IDFXOWpVLQWellectuelles "bridées"

‡/LPLWDWLRQJpQpWLTXHGXOLEUH-­DUELWUHGHO·DQWLFRQIRUPLVPHGH
O·LPDJLQDWLRQ &·(67)$,7

‡/LPLWDWLRQGHO·DSWLWXGHDXERQKHXUGXVHQWLPHQWG·XQLRQDYHFOHVDXWUHV
ou avec la nature. (EN COURS)

Rendre floue la frontière entre le vivant et le non vivant

‡$XJPHQWHUODFRQIXVLRQGXSXEOLFVXUFHTXLGLVWLQJXHOHVrWUHVYLYDQWVHW
les machines. (EN COURS)

 ‡ %DQDOLVHU HW PXOWLSOLHU OHV PDFKLQHV TXL LPLWHQW O·DSSDUHQFH RX OH
comportement des êtres vivants : robots jouets, tamagotchis -­ réalités
virtuelles, artefacts, avatars... -­ animateurs TV virtuels ² au cinéma :
SHUVRQQDJHV DQGURwGHV RX SRUWHXUV G·LPSOants bioniques, créatures mi-­
hommes mi-­machines... &·(67)$,7

Implants

‡)DLUHHQWUHUOHVPDFKLQHVGDQVOHVFRUSV

 ‡ &RQWU{OH GHV FRUSV HW GHV HVSULWV SDU GHV LPSODQWV pOHFWURQLTXHV HW GHV
prothèses bioniques ² &UpDWLRQG·KXPDLQVDX[IRQFWLRQVPodifiées.

 
362  
 ‡ 3UpSDUHU OH WHUUDLQ SRXU TXH OH SXEOLF DFFHSWH OHV IXWXUV LPSODQWV GH
ORFDOLVDWLRQHWG·LGHQWLILFDWLRQJUHIIpVVRXVODSHDX(EN COURS)

 ‡ *pQpUDOLVDWLRQ GX UHFRXUV DX[ LPSODQWV SDU OHV VDODULpV SRXU DFFURvWUH
leurs performances professionnelles (implants neuronaux pour accroître la
mémoire et les capacités de calcul, implants bioniques pour accroître la force
RXOHVFDSDFLWpVSK\VLTXH«

 ‡ %DQDOLVHU OHV LPSODQWV j XVDJH PpGLFDO DILQ GH GLPLQXHU OD PpILDQFH
instinctive du publLF j O·pJDUG GH O·LQWUXVLRQ GH OD PDFKLQH GDQV OH FRUSV
&·(67)$,7

‡3URPRXYRLUODPRGHGHVSLHUFLQJVSRXUKDELWXHUOHSXEOLFjO·LQWUXVLRQGHV
objets matériels dans le corps. &·(67)$,7

 ‡ 5HQGUH REOLJDWRLUH OHV LPSODQWV SRXU O·LGHQWLILFDWLRQ des animaux


domestiques. &·(67)$,7

 ‡ 2UJDQLVHU RX ODLVVHU V·RUJDQLVHU  XQ DWWHQWDW QXFOpDLUH GDQV XQH YLOOH
occidentale pour rendre obligatoires les implants de localisation et
G·LGHQWLILFDWLRQ SRXU FKDTXH LQGLYLGX DX QRP GH OD VpFXULWp HW GH Oa "lutte
contre le terrorisme".

Traçabilité totale des individus

 ‡ 2EWHQLU XQH FRQQDLVVDQFH SUpFLVH GX SURILO GH FKDTXH LQGLYLGX 
opinions, comportements, déplacements, fréquentations, habitudes, standard
de vie... (EN COURS, grâce à Google et aux compteurs Linky)

‡3RXYRLUORFDOLVHUFKDTXHLQGLYLGXDYHFSUpFLVLRQHWHQWHPSVUpHORTX·LO
se trouve (&·(67)$,7, grâce aux téléphones portables et aux GPS)

 ‡ )LFKLHUV LQIRUPDWLTXHV FDUWHV GH FUpGLW WpOpSKRQHV SRUWDEOHV ,QWHUQHW


réseau. &·(67)$,7

‡3ODFHUXQHEDOLVHGHORFDOLVDWLRQSDUVDWHOOLWHVXUWRXWHVOHVYRLWXUHV

 
363  
 ‡ /·DGKpVLRQ GX SXEOLF VHUD REWHQXH j FRXS V€U JUkFH j XQH SURPHVVH GH
UpGXFWLRQ GHV FRWLVDWLRQV G·DVVXUDQFH  OD EDOLVH UpGXLUD HQ HIIHW OHV YROV GH
voitures, celles-­ci pouvant être instantanément localisées.

 ‡ 'pYHORSSHU GHV V\VWqPHV LQGLYLGXHOV GH ORFDOLVDWLRQ HW G·LGHQWLILFDWLRQ 


collier ou bracelet électronique, implant électronique placé sous la peau, ou
WDWRXDJHVXUODSHDXG·XQFRGHEDUUHLQYLVLEOHj la lumière ordinaire lisible par
un scanner).
(EN COURS) -­ Le bracelet électronique est déjà utilisé sur des prisonniers en
liberté surveillée, les malades mentaux et certains immigrés)

Généralisation de la monnaie électronique

‡7UDoDELOLWpWRWDOHGHVDFKDWVHIIHFWXpVSDUOHVLQGLYLGXV &·(67)$,7

 ‡ &RQQDLVVDQFH DFFUXH GH OHXU FRPSRUWHPHQW HW GH OHXU SURILO VRFLDO HW
culturel. &·(67)$,7

‡$VVRFLDWLRQDXWRPDWLTXHGHFRQVRPPDWHXUVLGHQWLILpVSDUOHXUFDUWHjGHV
produits identifiés par le code-­barres. &·(67)$,7, grâce aux n° 28 et 29)

 ‡ 3RVVLELOLWp GH GpEUDQFKHU XQ LQGLYLGX JrQDQW GHV V\VWqPHV


informatiques, et de lui couper tout accès à la consommation (y compris pour
les produits nécessaires à la survie quotidienne).

‡3RVVLELOLWpG·HQOHYHUWRXWHH[LVWHQFHpFRQRPLTXHjXQLQGLYLGX

‡3RSXODULVHUOHVFDUWHVGHFUpGLWHQPHWWDQWO·DFFHQWVXUOHXUIDFLOLWp
G·XWLOLVDWLRQ

 ‡ /DQFHU OH SRUWH-­monnaie électronique, appelé à remplacer totalement


O·DUJHnt liquide. &·(67)$,7

‡0HWWUHHQDYDQWOHVSUREOqPHVGHVpFXULWpHWGHFR€WOLpVDXWUDQVSRUWHWj
ODIDEULFDWLRQGHO·DUJHQWOLTXLGH

‡'pPRQWUHUTXHO·DUJHQWOLTXLGHHVWGHYHQXREVROqWHjO·kJHGXQXPpULTXH

 
364  
Abêtisation de la population

 ‡ (PSrFKHU OH SXEOLF GH UpIOpFKLU HW GH VH SRVHU LQWHOOLJHPPHQW GHV
questions sur sa condition, et sur la manière dont la société est organisée et
dirigée. &·(67)$,7

 ‡ 5HQGUH OH SXEOLF SOXV IDFLOHPHQW PDQLSXODEOH HQ DIIDLEOLVVDQW VHV
FDSDFLWpVG·analyse et de sens critique. &·(67)$,7

‡'LIIXVHUPDVVLYHPHQWGHVSURJUDPPHV79GpELOLWDQWV &·(67)$,7

 ‡ 1R\HU OHV LQIRUPDWLRQV HW FRQQDLVVDQFHV LPSRUWDQWHV GDQV XQ IORW
G·LQIRUPDWLRQVLQVLJQLILDQWHV &·(67)$,7

‡&HQVXUHSDUOHWURS-­plHLQG·LQIRUPDWLRQV &·(67)$,7

‡3URPRXYRLUGHVORLVLUVGHPDVVHGpELOLWDQWV &·(67)$,7

‡$XWRULVHUVDQVUHVWULFWLRQODFRQVRPPDWLRQG·DOFRROHWOHYHQGUHjXQSUL[
accessible aux plus défavorisés. &·(67)$,7

 ‡ )DLUH HQ VRUWH TXH O·pGXFation donnée aux "couches inférieures" soit du
plus bas niveau possible. &·(67)$,7

 ‡ 5pGXLUH OH EXGJHW GH O·pGXFDWLRQ SXEOLTXH HW ODLVVHU VH GpYHORSSHU GDQV
OHV pFROHV GHV FRQGLWLRQV GH FKDRV HW G·LQVpFXULWp TXL UHQGHQW LPSRVVLEOH XQ
enseignement de qualité. &·(67)$,7

 ‡ /LPLWHU OD GLIIXVLRQ GHV FRQQDLVVDQFHV VFLHQWLILTXHV HQ particulier dans
les domaines de la physique quantique, de la neurobiologie, et surtout de la
cybernétique (la science du contrôle des systèmes vivants ou non vivants).
&·(67)$,7

 ‡ /LPLWHU DXVVL OD GLIIXVLRQ GHV FRQFHSWV OHV SOXV SXLVVDQWV FRQFHUQDQt
O·pFRQRPLHODVRFLRORJLHRXODSKLORVRSKLH &·(67)$,7

‡3DUOHUDXSXEOLFGHWHFKQRORJLHSOXW{WTXHGHVFLHQFH &·(67)$,7

Affaiblir les énergies individuelles

 
365  
 ‡ /HV ELRORJLVWHV RQW GpPRQWUp TXH OH VWUHVV HW XQ IDLEOH QLYHDX G·pQHUJLH
SK\VLTXH HW PHQWDOH SHUPHWWHQW G·REWHQLU O·LQKLELWLRQ GH O·DFWLRQ YRLU OHV
ouvrages du neurobiologiste Henri Laborit, RX OH ILOP G·$ODLQ 5HVQDLV 0RQ
RQFOHG·$PpULTXH /·LQKLELWLRQGHO·DFWLRQGLPLQXHODFDSDFLWpGHUpDFWLRQGHV
individus, et rend leur rébellion plus improbable. &·(67)$,7

Augmenter le niveau de stress des individus

 ‡ 5HQGUH OHXU VXUYLH pFRQRPLTXe de plus en plus difficile et précaire


(renforcement de la "pression économique"). &·(67)$,7

 ‡ &UpHU GHV HQYLURQQHPHQWV XUEDLQV ODLGV HW GpVKXPDQLVpV HW G·R OD
nature est totalement absente. &·(67)$,7

‡0DLQWHQLUGHVFRQGLWLRQVVWUHVVDQWHVGDQVOHVWUDQVSRUWVHQFRPPXQHWOD
circulation automobile. &·(67)$,7

‡/DLVVHUVHGpYHORSSHUXQHYLROHQFHXUEDLQHSHUPDQHQWHGDQVOHVTXDUWLHUV
défavorisés. &·(67)$,7

‡/DLVVHUDXJPHQWHUODSROOXWLRQ. &·(67)$,7

‡5HQGUHOHVJHQVjGHPL-­PDODGHVJUkFHjO·DOLPHQWDWLRQLQGXVWULHOOH3XLV
aggraver leur état grâce aux effets secondaires des médicaments censés les
VRLJQHU/·LQGXVWULHDJUR-­DOLPHQWDLUHHWO·LQGXVWULHSKDUPDFHXWLTXHVHGRQQHQW
la main et partagent les mêmes intérêts... (Tout cela étant financé par les
SRSXODWLRQVYLDOHVV\VWqPHVG·DVVXUDQFH-­maladie). &·(67)$,7

 ‡ (QFRXUDJHU OD FRQVRPPDWLRQ GH VRPQLIqUHV HW GH WUDQTXLOOLVDQWV


&·(67)$,7

‡6DWXUHUO·HVSDFHSDUGHVUD\RQQements électromagnétiques nuisibles au


fonctionnement du cerveau : émetteurs pour les téléphones portables, ondes
hertziennes, lignes électriques à haute tension... &·(67)$,7

Anéantissement du pouvoir des états

‡*RXYHUQHPHQWVjODERWWHG·XQSRXYRLUFHQWUDORFFXOWH &·(67)$,7

 
366  
‡)DXVVHVGpPRFUDWLHV &·(67)$,7

&UpDWLRQG·DUPpHVHWGHSROLFHVSULYpHV

‡'RQQHUDX[JUDQGHVPXOWLQDWLRQDOHVODSRVVLELOLWpGHGpIHQGUHGLUHFWHPHQW
leurs intérêts dans le monde, en attaquant les états qui ne se plieront pas aux
règles du nouvel ordre économique. Une armée privée existe déjà au Etats-­
Unis.
,OV·DJLWGHVVRFLpWpVDynCorp, prototypes des futures armées privées. Dyncorp
est intervenu dans de nombreuses régions où les États-­Unis souhaitaient
intervenir militairement sans en porter la responsabilité directe (en Amérique
du Sud, au Soudan, au Koweït, en Indonésie, au Kosovo, en Irak...). Les
armées privées (appelées "sous-­traitants" par le Pentagone) représentent 10%
des effectifs américains envoyés en Irak.

‡&RPPHQFHUSDUEDQDOLVHUO·H[LVWHQFHGHSROLFHVHWPLOLFHVSULYpHVSRXUOHV
résidences ou les quartiers les plus riches. &·(67)$,7

Mind Control

‡7HFKQRORJLHVGHFRQWU{OHGHVHVSULWV(EN COURS)

‡2EWHQWLRQGHO·DFFRUGGXSXEOLFIDFLOHJUkFHjVRQLJQRUDQFHVFLHQWLILTXH
(EN COURS)

Les antennes du projet HAARP en Alaska

‡&RQWU{OHXOWLPHGHVLQGLYLGXV

‡&RQWU{OHpOHFWURQLTXHGHO·KXPHXUHWGXFRPSRUWHPHQWGHVSRSXODWLRQV
(EN COURS)

‡3RVVLELOLWpG·LQIOXHQFHUXQHIRXOHHQODUHQGDQWDSDWKLTXHRXDXFRQWUDLUH
subitement violente (des tests ont peut-­être été effectués au Rwanda, au
Burundi, et en ex-­Yougoslavie). (EN COURS)

 
367  
 ‡ (PLVVLRQ G·RQGHV SV\FKRWURQLTXHV (ondes basse fréquence ou très haute
IUpTXHQFH FDSDEOHV G·LQIOXHQFHU OH IRQFWLRQQHPHQW GX FHUYHDX HQ LQWHUIpUDQW
avec les ondes utilisées par les processus cérébraux).
(QFRXUVG·H[SpULPHQWDWLRQSDUO·DUPpHDPpULFDLQHjGakona en Alaska, et les
expériences menées sur la base américaine de Pine Gap, en Australie.

‡&RQWDPLQHUO·HDXHWOHVDOLPHQWVDYHFGHVPROpFXOHVDJLVVDQWVXUO·KXPHXU
HWVXUO·HVSULW(EN COURS)

'LIIXVHUGDQVO·HDXRXOHVDOLPHQWVGHVPLFUR-­robots

 ‡ 1DQR PDFKLQHV LQYLVLEOHV j O·±LO QX 8QH IRLV GDQV OH FRUSV GHV
centaines de micro-­URERWV SRUWHXUV G·XQH PLFUR SXFH pOHFWURQLTXH SRXUUDLHQW
aller se greffer sur les neurones pour en prendre le contrôle.
Des nano-­URERWV LQYLVLEOHV j O·±LO QX RQW GpMj pWp SURGXLWV HW O·LQWHUIDoDJH
neurone/microprocesseur a déjà été expérimenté avec succès en laboratoire. La
technologie des microprocesseurs ultra-­miniaturisés est également maîtrisée
depuis quelques années.

Destruction de la nature sauvage

‡'pIRUHVWDWLRQ(EN COURS)

‡'pVHUWLILFDWLRQ(EN COURS)

‡(PSRLVRQQHPHQWFKLPLTXHjRXWUDQFH(EN COURS)

‡3ROOXWLRQGHVHDX[ QDSSHVSKUpDWLTXHVIOHXYHVPHUV (EN COURS)

‡(PSrFKHUOHSXEOLFGHUrYHUG·XQHDXWUHUpIpUHQFHTXHO·RUGre social actuel,


HWO·HPSrFKHUG·pODUJLUVRQKRUL]RQLQWHOOHFWXHOHWFRQFHSWXHO &·(67)$,7

‡1HSDVODLVVHUOHFKDPSGHFRQVFLHQFHGHVLQGLYLGXVV·pWHQGUHDX-­delà de
notre planète et de son ordre social. &·(67)$,7

‡'pFUpGLELOLVHUOHVWpPRLJQDJHVjSURSRVGHV291, &·(67)$,7

 
368  
‡'pFUpGLELOLVHUOHVVFLHQWLILTXHVTXLVHULVTXHUDLHQWjWUDYDLOOHUVXUOHVXMHW
,QILOWUHU OHV DVVRFLDWLRQV G·XIRORJXHV DILQ TXH OHXU GLVFRXUV -­ ainsi que leur
action soit caricaturale -­ et ne puissent être pris au sérieux. &·(67)$,7

‡0DLQWHQLUOHVHFUHWPLOLWDLUHVXUOHVREVHUYDWLRQVHIIHFWXpHVSDUGHVSLORWHV
GHO·DUPpHRXFHUWDLQVDVWURQDXWHV &·(67)$,7)

 ‡ &ODVVHU WRS VHFUHW OHV FRQWDFWV GpMj pWDEOLV DYHF G·DXWUHV FLvilisations
depuis les années 50. &·(67)$,7

Au moins, maintenant vous savez à quoi on joue !

 
369  
INDEX ALPHABETIQUE

Abeilles décimées 67 311


Accouchement médicalisé 55 252
Agriculture bio locale 69 322
Aliment ionisé = aliment mort et toxique 33 148
Allergies et intolérances 52 242
Animaux de bouche : leur martyre 57 260
Antibiorésistance 46 215
Antioxydants : abus dangereux 53 246
Arômes industriels 16 80
Aspartame : arme de guerre 14 66
Caddies dangereux pour les bébé? 56 258
Café : bon ou mauvais? 21 98
Cancer du sein : les faux dépistages 40 182
Chemtrails 75 341
Chikungunia O·RG\VVpH 47 220
Chimio : menu unique 41 185
Coca cola : êtes-­vous accros? 27 125
Codex alimentarius 32 142
Darpa : travaux génétiques secrets 76 346
Décès iatrogènes 4 27
Dépression : le piège mortel 50 233
Don du sang : un business 44 203
Eau en bouteilles et eau du robinet 45 209
Echographies de grossesse 54 248
Empoisonnement légal des enfants 19 93
Fluor : une arme chimique 11 53
Fours micro-­ondes : historique 36 165

 
370  
Gaz de schiste : désastre écologique 74 339
Grippe : terrorisme organisé 43 193
Histoire de la fièvre puerpérale 48 222
Homéopathie : la guerre froide 9 45
Intolérance au gluten 51 238
-XVG·RUDQJHDXSHWLWGpMHXQHU 26 122
Lait : colle, hormones et pus 22 101
Lévothyrox : le scandale 13 60
Lunettes et crèmes solaires 70 324
Maigrir "2XLPDLV« 71 329
Maladies psychiatriques inventées 49 226
Matériaux radioactifs : recyclage 34 154
Médicaments tueurs 5 29
Monsanto : pouvoir absolu 66 306
Nanométaux des vaccins confirmés 15 75
Nanoparticules : apprentis sorciers 35 157
Nous sommes devenus des ogres 58 268
Nuggets de poulet : les aimez-­vous ? 30 138
OGM : Organisation du Génocide Mondial 65 296
Omnivores : nous ne le sommes pas 59 272
Pandémies = profits pharaoniques 42 191
3DQJDSRLVVRQGHP« 61 285
Paracétamols encore autorisés 7 38
Péril vert à quatre pattes 62 287
Perturbateurs endocriniens 17 85
Plan Blue beam 80 361
Poissons : surpêche coupable 63 289
Prélèvements d'organes : attention! 79 357
Réchauffement climatique : le GIEC a menti 78 352
Références scientifiques en question 1 16

 
371  
Santé confisquée : Stop 8 42
Saumon fûmé : en mangerez-­vous encore? 31 141
Scientifiquement éprouvés 2 19
Sel mauvais ? 25 119
Semenciers : l'humanité en otage 68 316
Sida : la colossale imposture 39 177
Soja : un pièg a veégétariens 29 131
Statines : inefficaces et destructrices 12 56
Sucre : les ravages 24 110
Tabac moderne : deal criminalisé 10 50
Tampax : arme chimique mortelle 18 87
Tarte aux cerises du supermarché 20 95
Télé et Jeux vidéo pervers 72 334
Téléphones mobiles cancérogènes 38 171
TNT émetteurs surpuissants GSM 77 350
Trust de la maladie 3 24
Uvestérol : Vit D synthétique 6 33
Vache folle O·KLVWRLUHUpHOOH 60 284
Valitox et expérimentation animale 64 292
Vins non-­bio tous empoisonnés 28 130
Violence : notre culture sociale 73 336
WIFI chez vous? 37 169
Yaourts qui rendent XXL 23 107

       

 
372  
Autres ouvrages
'H0LFKHO'RJQDHW$QQH)UDQoRLVH/·+{WH

IRELIA édition
CANCERS guérir hors protocoles -­ e-­book version 6 ² 150 pages
(téléchargement gratuit sur www.micheldogna.fr )

LE CRIME VACCINAL ²194 pages (2017) -­ e-­book et papier

Guy Trédaniel éditeur


Rubrique "Découvertes"

HYDROTHERAPIE CHEZ SOI ² 174 pages (2012)

27 REMEDES MAJEURS ignorés ou boycottés ² 300 pages (2015)

Rubrique "Révélations"

ALERTES EN VRAC ² Santé publique ² Tome 1 ² 370 pages (2013)

Rubrique "Thérapeutique générale"

PRENEZ EN MAIN VOTRE SANTÉ ² Tome 1 (Nouvelle édition) ² 580 pages (2001
-­ 2017)

PRENEZ EN MAIN VOTRE SANTÉ ² Tome 2 (4ième édition) ² 595 pages (2005)

PRENEZ EN MAIN VOTRE SANTÉ ² Tome 3 (2ième édition) ² 480 pages (2010)

MANUEL DU NOUVEAU THÉRAPEUTE ² 980 pages ² (1988)

ELIXIRS DE FLEURS HOMEOPATHIQUES ² 250 pages (1996)

Rubrique "Petits répertoires"

N° 1 ² SE SOIGNER SANS CHIMIE ² 176 pages ² (2006 -­ 2008 -­ 2012)

 
373  
N° 2 -­ REMÈDES PEU CONNUS EN HOMÉOPATHIE ² 219 pages ² (2006)

N° 3 -­ SELS SCHÜSSLER ET MÉTAUX ALCHIMIQUES ² 115 pages ² (2007)

N° 4 -­ GEMMOTHÉRAPIE ET ALCOOLATURES-­MÈRES ² 135 pages ² (2007)

N° 5 ² 100 ELIXIRS DE CRISTAUX -­ 85 pages (2009)

N° 6 ² 280 HUILES ESSENTIELLES ² Nouvelle édition ² 172 pages -­ (2009)

N° 7 ² HOMEOPATHIE COURANTE -­ par vous-­même -­ 200 pages ² (2010)

N° 8 ² LA PHARMACIE DES CHAMPS ² Efficacités oubliées ² 150 pages -­


(2010)

Rubrique "Philosophie"

/·,17(//,*(1&('8&°85(1/(d216 ² 283 pages (2014)

Rubrique "Exo-­civilisations"

+,672,5(6(;75$25',1$,5(6'·2875(-­ESPACE ² 367 pages ² (2007)

Rubrique "Détente"

RIGOLOTHERAPIE 1 ² 200 pages ² (2008)


Prescriptions magistrales contre la sinistrose
300 histoires désopilantes

RIGOLOTHERAPIE 2 ² 245 pages ² (2011)


Prescriptions magistrales contre la sinistrose
250 nouvelles histoires désopilantes

FIN

 
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375  

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