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Compte rendu d’observation OVNI du 27 novembre 2017

Contexte de l’enquête: Nous avons été informé des faits par l’intermédiaire de Mme Fabienne B....., qui est une amie
commune de moi-même et du témoin. L’enquête s’est déroulée au domicile de cette dernière, le 29 novembre 2017 en
présence du témoin principal.

Signalétique du cas:

Identité des témoins: M. Bruno B., enseignant en technologies (Ayant par le passé travaillé dans le domaine de l’aérospatial,
spécialité propulsion par moteurs fusées) et son épouse.
M. Bruno B. est passionnée par tout ce qui touche au domaine de l’astronautique et en fait profiter ses élèves au
travers d’exposés didactiques (Qu’il nous a été possible de consulter dans le cadre de l’enquête).
Lieu d’observation: Depuis le domicile des témoins, situé sur la commune de Gréoux-les-bains, département des Alpes de
haute Provence (04).
Direction de l’observation: Dans l’azimut du site du chantier ITER (Prototype de réacteur à fusion nucléaire) et du centre
d’étude de Cadarache (Voir carte et illustrations photos).
Le centre d'études de Cadarache est le plus grand centre de recherche et développement en Europe sur l'énergie
nucléaire (la fission et la fusion), les nouvelles technologies de l'énergie et la biologie végétale. Il comprend
19 installations nucléaires de base (INB) et une installation de base secrète (INBS) et emploie en moyenne 5 000
personnes1 dont 2 400 salariés du CEA. Le reste de l'effectif est constitué d'agents d’AREVA, de l’institut de
radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), et de celui des divers sous-traitants.
Compte rendu d’observation OVNI du 27 novembre 2017

Distance d’observation: Estimée entre 3 et 9 kms à vol d’oiseau pour les phases statiques.
Durée de l’observation: Environ 4 minutes, entre 18h36 et 18h40.
Nature de l’observation: Phénomènes lumineux, mobiles (Au nombre de 2).
Enregistrements disponibles: 6 photos et une courte séquence vidéo réalisées à l’aide du smartphone (Samsumg Galaxy S6)
du témoin principal.
Suite prévue: M. Bruno B. m’a confié son intention d’aller déposer témoignage en gendarmerie, ce qui devrait donner lieu à
un PV, et une procédure de remontée d’information auprès du GEIPAN.
(Il est possible qu’à cette occasion d’autres témoins soient éventuellement découverts).
Narration des faits:

Le témoin principal est sorti à l’extérieur de son domicile, accompagné de son épouse, pour préparer son véhicule, car il doit
remonter sur la région grenobloise pour ses obligations professionnelles. Il a alors son attention attirée par une forte lumière
jaune dans le ciel, qui semble se rapprocher de sa position. La lumière se fige au bout de quelques secondes dans une position
statique. Elle semble à ce moment là être positionnée à la verticale du site ITER qui est situé dans cette direction.
Sa hauteur angulaire par rapport à l’horizon est estimée à une dizaine de degrés.
Pour ce qui est de la taille apparente, le témoin l’évalue initialement à environ 3 cm à bout de bras.

Le calcul donnerait alors, selon la formule (Distance du phénomène x taille apparente) / longueur du bras = taille du phénomène,
soit (9000 x 0,03) / 0,68 = 397 mètres!!!! (Remarque: 0,68m est la longueur du bras pris pour référence).

On peut considérer que l’une ou l’autre des données prises pour hypothèse de départ, distance du phénomène ou taille
apparente, sont probablement largement surestimées.

Ce qui paraît le plus vraisemblable c’est que cela soit la taille apparente (Si on considère les photos disponibles).
Imaginons qu’elle est été surévaluée d’un facteur 3, on arrive encore à une taille de plus de 133 mètres pour la partie lumineuse,
mais nous allons voir que l’étude détaillée des images va révéler une structure porteuse encore plus grande!!!

On peut donc également supposer que la distance est plus courte que celle envisagée initialement, d’autant qu’entre Gréoux-les-
Bains et le site ITER, il y a une vaste plaine couverte de champs, qui serait un site plus approprié pour un atterrissage en toute
discrétion, et auquel cas, on serait dans des fourchettes de distances de l’ordre de 3 à 4 kms.
Dans cette seconde hypothèse, le calcul de taille donnerait une dimension pour la source lumineuse de l’ordre de 44 mètres (On a
pris dans ce cas une distance de 3 kms, et une taille apparente à bout de bras d’un centimètre).
M. Bruno B. et son épouse contemplent le spectacle, assez perplexes, se demandant de quoi il peut bien s’agir.
Aucun feu de signalisation réglementaire pour un aéronef n’est visible. Il n’y a pas de bruit particulier audible en provenance de
cette source lumineuse. Leur chien, également présent à leurs côtés, ne manifeste aucune réaction particulière.
M. Bruno B. s’empare alors de son Smartphone, Samsung Galaxy S6, équipé d’un capteur de 16 mégapixels de résolution et il
réalise 3 images respectivement à 18h36 et 47 secondes (Image 1), 18h36 et 52 secondes (Image 2), 18h36 et 58 secondes (Image
3). (Voir dossier photographies et leur analyse ci-après).
Le phénomène lumineux semble alors s’éloigner dans la direction d’où il est venu et disparait dans le lointain en quelques
secondes, selon une trajectoire rectiligne, à l’opposée de la position du témoin, soit en direction sud-ouest, ce qui a dû l’amener à
passer à proximité, voir survoler le site ITER ainsi que le village de Saint-Paul-Lez-Durance.
Aucun bruit particulier n’est perçu en provenance du phénomène, que cela soit pour la phase statique, ou les phases de
mouvement.

Les témoins ont alors la surprise de voir une seconde source lumineuse décoller du sol, d’une position approximativement située
à verticale de celle où la première lumière avait stationné.
En moins de 3 secondes la lumière gagne la position précédemment occupée par la première lumière.
M. Bruno B. va alors réaliser 3 clichés supplémentaires, avant d’enchainer par une courte séquence vidéo d’une durée d’une
minute et quatorze secondes au cours de laquelle cette seconde lumière se met en mouvement pour disparaître à son tour dans
le lointain (Images réalisées respectivement à 18h38 et 2 secondes, 18h38 et 29 secondes et 18h38 et 57 secondes. Le film a
démarré a été enregistré à 18h39 et 38 secondes).
L’intensité lumineuse semble connaitre quelques fluctuations, à moins que cela ne soit dû aux turbulences atmosphériques en
basse couche. On peut dans la seconde moitié de cette séquence vidéo voir plusieurs flashs dans le ciel, dissociés de l’OVNI en
cours d’éloignement. Peut-être sont-ils produits dans le lointain par le premier OVNI à moins qu’il ne s’agisse de bruit
électronique ou autre artéfact, voir l’effet induit par le scintillement d’étoiles…
Il serait intéressant d’aller prospecter la zone des champs s’étendant au sud de Gréoux-les-Bains, en quête d’éventuelles traces au
sol.
L’étude des images disponibles va révéler des détails fort intéressants, laissant entrevoir une structure porteuse possiblement en
forme de soucoupe (!).
Au vu du rapport de proportions entre la partie éclairée et le reste de la structure sombre on peut spéculer sur une taille au
moins trois fois plus importante, soit une fourchette entre 100 à 130 mètres dans le plan horizontal, compte tenu des diverses
estimations de distances (Celles paraissant les plus plausibles, mais cela reste malgré tout très subjectif).
Quant à la lumière, on peut plutôt spéculer qu’il s’agisse d’un plasma peut-être en rapport avec un quelconque système de
sustentation et propulsion plutôt qu’un gros phare. Quand on zoome fortement sur la lumière, on peut noter en périphérie
comme des flammèches et avoir la sensation d’une espèce de tourbillonnement.
On note sur plusieurs clichés un faisceau ténu qui part de cette source lumineuse en direction du sol (Ce qui renforce le sentiment
qu’il s’agit là d’un moyen de propulsion).
Pour ce qui concerne la direction d’arrivée et de départ du phénomène, on peut donc émettre, qu’à défaut d’avoir stationné
directement à la verticale du chantier ITER, ou des installations mitoyennes du CEA à Cadarache, ces deux objets les ont
probablement survolées.
Eu égard à la nature particulière et hautement sensible de ces deux sites (Même si pout ITER l’installation n’est pas encore
opérationnelle), on ne manquera pas d’envisager la possibilité qu’il puisse s’agir là d’un nouvel épisode à verser au chapitre déjà
très fourni des OVNI et du nucléaire.
Au vu des éléments révélés par l’analyse et les divers traitements appliqués aux images, on peut convenir que les objets ayant
évolué ce soir là au sud de la commune de Gréoux-les-Bains ne sont pas conventionnels.
A chacun de se faire son opinion.
D’autres éventuels témoins pourraient contribuer à apporter un éclairage utile sur ces étranges manifestations.

Jeudi 30 novembre 2017.


Denis Alarcon
Enquêteur.
Carte des lieux
La direction d’observation est matérialisée sur la carte par la ligne graduée avec échelle des distances
Gréoux-
les-Bains

Chantier
ITER
Plan réalisé par le témoin avec les directions d’observations
Vues du chantier ITER
Vues du chantier ITER
Etude image n°
n° 1

Samsung Galaxy S6, Cadrage d’origine, image non retouchée.


16 Mégapixels de résolution
Etude image n°
n° 1

On peut noter sur l’image retraitée


l’apparition d’une structure porteuse
de la source lumineuse. La silhouette
visible à la forme d’une ellipse, très
sombre, avec de part et d’autre ce qui
pourrait être un dôme. Cela pourrait
évoquer la forme d’une soucoupe
volante vue en contre-plongée…
On peut noter 2 petites excroissance
sur la partie supérieure gauche…

Image retravaillée en luminosité et contraste


Etude image n°
n° 1

Image retravaillée en courbes de niveaux


Etude image n°
n° 1
Etude image n°
n° 1

Image retraitée en auto-niveaux


Un faisceau ténu est clairement visible sous l’objet, comme rayonné par la
source de lumière, genre plasma
Etude image n°
n° 2

Cadrage d’origine, image non retouchée.


Etude image n°
n° 2

Image retravaillée en luminosité et contraste


Etude image n°
n° 2
Etude image n°
n° 2

Image retravaillée pour mieux faire ressortir la silhouette de l’objet porteur.


La source lumineuse donne l’impression d’un plasma tournoyant sur lui-même…
Etude image n°
n° 2

Un faisceau lumineux ténu est visible sous l’objet, pointé en


direction du sol
Etude image n°
n° 3

Cadrage d’origine, image non retouchée.


Etude image n°
n° 3

Image retravaillée en luminosité et contraste


Etude image n°
n° 3

Image retravaillée en courbe de niveaux


Cette vue permet de discerner le dôme de la partie supérieure et inférieure, car la source
lumineuse est moins intense. Celle-ci paraît provenir d’une partie située sous le disque positionné
sur le plan médian.
Etude image n°
n° 3

Sur ce traitement (Auto-niveaux),


la forme de l’objet apparait encore
plus distinctement.
On note toujours la présence d’un
ténu faisceau sous l’objet, et qui
semble émis par la source
lumineuse.
Image recadrée et zoomée.
Etude image n°
n° 4

Image légèrement recadrée et zoomée par rapport au document original.

On distingue les bâtiments et la seconde lumière qui vient de se stabiliser dans le ciel après avoir quitté le sol
en suivant une trajectoire verticale. Le mouvement ascensionnel a duré moins de 3 secondes selon le témoin.
Etude image n°
n° 4

Image retraitée en luminosité et contraste (Faisceau ténu toujours visible sous la structure).
Etude image n°
n° 5

Cadrage d’origine, image non retouchée.


Etude image n°
n° 5

Image retravaillée en luminosité et contraste.


On distingue toujours la silhouette sombre d’une structure porteuse.
Etude image n°
n° 5

Zoom sur la lumière.


Des flammèches et turbulences périphériques sont visibles
Etude image n°
n° 5

On distingue encore le faisceau orienté vers le bas.


Etude image n°
n° 6

Cadrage d’origine, image non retouchée.


Etude image n°
n° 6

Zoom.
Image prise peu avant la mise en mouvement de l’objet
Etude image n°
n° 6

Il semble que le plasma se soit dilaté car la silhouette


sombre ne se distingue quasiment plus derrière.
Comparaison des changements d’aspect de la source lumineuse entre les 6 prises de vues.

OVNI n°1 (18h36 et 47 secondes)


1 2 3
OVNI n°1 (18h36 et 52 secondes) OVNI n°1 (18h36 et 58 secondes)

4 5 6
OVNI n°2 (18h38 et 2 secondes) OVNI n°2 (18h38 et 29 secondes) OVNI n°2 (18h38 et 57 secondes)
Reconstitution schématique de la forme des OVNIs

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