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I.

STROBOSCOPE ELECTRONIQUE

I.0. INTROCUTION

Un stroboscope est une source de lumière intermittente.

Par un dispositif mécanique ou électronique, on produit une alternance de


phases lumineuses (flashs) et de phases obscures.

Fig.I.1. Rebonds d’un ballon capturés au stroboscope à 25 images par seconde.

I.1. HISTORIQUE

Les ancêtres du stroboscope, comme le phénakistiscope du Belge Joseph


Plateau (inventeur aussi du stroboscope), 1836, sont communs avec ceux du
cinématographe et la caméra. Le mot vient du grec « στροπβος  » (« strobos »,
qui signifie « tourbillon ») et « σκοπετυ  » (« skopein », signifiant « regarder,
voir »).

Le premier stroboscope électrique est breveté en 1917 par l’ingénieur Français


Etienne GEHMICHEN. Peu après, il met au point une caméra de saisir 1.000
images par seconde.

Les images obtenues par Harold Edgerton (1903 – 1990), photographie réalisée
avec un stroboscope, sont connues de tous.

I.2. PRINCIPE ET UTILISATION

Fig.I.2. Ballet au stroboscope. Avril 2015.


Fig.I.3. Disco au stroboscope. Avril 2014

La stroboscopie permet d’observer des phénomènes périodiques dont la


fréquence est trop élevée pour l’œil qui ne perçoit pas la discontinuité : 1/1
seconde, saccades ; 1/24, film continu.

Il faut régler la fréquence des flashs sur celle du phénomène qui apparaît alors
comme fixe, on ralenti (en avant ou en arrière) et devient observable. C’est
l’effet stroboscopique, lui-même un cas particulier d’observation d’un
mouvement à partir d’images fixe comme dans le cinéma. Ses degrés de liberté
(ou paramètre) sont l’intensité de chaque flash, la durée du flash et la période
entre deux flashs.

 Un marquage spécial sur les platines tourne-disques éclairé par un


éclairage stroboscopique dépendant de la fréquence du réseau
électrique (50 ou 60 Hertz) permettant d’en contrôle la vitesse de
rotation.
 Dans le domaine des loisirs : son observation, un temps suffisamment
long, en écoutant une musique répétitive, favorise la transe. Il est utilisé
dans les boites de nuit.
 Dans le domaine industriel : les stroboscopes sont principalement utilisés
pour le contrôle visuel et les crashs test (simulations d’accidents par les
fabricants automobiles).
 Dans le domaine automobile et motocycliste : un stroboscope déclenché
par les impulsions des câbles d’allumage à haute tension des bougies
permet, en agissant sur les vis platinées (système classique) on la platine
porte-capteurs (allumage électronique) de régler finement l’avance à
l’allumage au ralenti et de tester le bon décalage d’avance (à moyen et
haut régime) sur un moteur à explosion, en illuminant des repères pré-
tracés sur le volant moteur ou la poulie en bout de vilebrequin. Le capteur
est en général une pince magnétique à induction (qui vient enserrer le fil
de bougie) et la lampe est incluse dans une sorte de pistolet avec un
interrupteur-gâchette (pistolet stroboscopique).
 Dans le domaine militaire pour le marquage infrarouge de cibles.
 Dans le domaine aéronautique sous le nom plus courant de STROBE, feu
intermittent de signalisation situé sur un aéronef (en bout d’aile ou
ailleurs).
 Dans le domaine des parcs de loisirs/parcs à thème : il peut être utilisé
pour donner une impression de mouvement à un objet fixe, le meilleur
exemple étant le yéti de l’attraction « expédition Everest » à Walt Disney
world (Floride) où l’audio animatronic a été désactivé pour des raisons de
sécurité, de ce fait, afin de conserver une expérience immensive pour les
visiteurs, un stroboscope a donc été installé et donne cette impression de
mouvement.

L’utilisation de ce système dans cet exemple est cependant très critiqué, en effet
pour beaucoup il n’est pas justifié d’avoir les flashs bancs à cet endroit précis de
l’attraction.

Note : le yéti est censé bouger de sorte à vouloir essayer d’attraper les visiteurs
à bord du train.

Initialement composé d’une lampe flash xénon (ou tube à éclair), celle-ci est
maintenant de plus en plus remplacée par des diodes électroluminescentes
(DEL).

I.3. UN STROBOSCOPE ELECTRONIQUE

I.3.1. Définition

La stroboscopie est une méthode d’observation visuelle de phénomènes


périodiques donnant l’apparence d’un ralentissement ou de l’arrêt, voire même
d’un renversement de sens de l’évolution du phénomène observé.

L’effet stroboscopique le plus connu, depuis l’avènement du cinéma, est sans


conteste celui des roues d’un chariot dans un film de western ou de cape et
d’épée. Quand le chariot roule assez vite, nous croyons voir les roues tourner à
l’envers.

I.3.2. Les champs d’application

La stroboscopie possède, à l’heure actuelle, deux champs d’application :

 Le domaine scientifique et technique : c’est une méthode visuelle de


mesure de mouvements périodiques dont nous expliquerons les grandes
lignes un peu plus loin dans notre exposé.

 Le domaine des loisirs et attractions : puisque le stroboscope (appareil


utilisé pour la stroboscopie) nous donne l’impression de décomposer les
mouvements, nous trouvons cet appareil dans les boîtes de nuit, bals,
cabarets… afin de mettre de l’ambiance (au même titre que gradateurs,
modulateurs de lumière…).
Nous vous proposons donc, dans cet article, l’étude d’un stroboscope
électronique de spectacle qui provient d’un kit « OK » que nous avons essayé.

I.3.3. Principe de la méthode de mesure stroboscopique

Il consiste à visualiser un phénomène périodique à des instants particuliers de


sa période à l’aide d’un dispositif d’obturation à ouverture périodique ou à l’aide
d’un montage dont la base serait un tube à éclat pouvant délivrer une violente
source de lumière pendant un très court instant à période fixe ou réglable.

Lors de l’observation d’un phénomène périodique avec un stroboscope (par


exemple, une roue de chariot en train de tourner), plusieurs situations peuvent
se présenter :

 Si la période des éclats (Te) est égale à celle du phénomène (Tp), alors
nous avons l’impression que le mouvement est arrêté ;
 Si Te est légèrement inférieure à Tp ou si supérieur à la fréquence du
phénomène (fp), nous observons alors une évolution lente du phénomène
dans le sens inverse du mouvement réel de celui-ci ;
 Si Te est légèrement supérieure Tp, nous observons alors une évolution
lente du phénomène dans le sens du mouvement de celui-ci.

Ainsi donc, en appelant Np la vitesse de rotation du phénomène exprimée en


tours par seconde et Ne le nombre d’éclats par seconde, la vitesse angulaire
apparente sera :

Wa=2 π ( Np−Ne) (1)


Fig.I.4. Te légèrement inférieure à Tp

Fig.I.5. Te légèrement supérieure à Tp

A l’aide de la formule (1), nous pouvons élaborer une méthode de mesure de


vitesse angulaire pour tout phénomène tournant périodique pour régler la
période des éclats de façon à arrêter le mouvement apparent de notre repère :
nous avons ainsi Wa = 0 donc Ne = Np.

Il convient néanmoins de prendre quelques précautions comme de s’assurer


que, au départ de la manipulation, les périodes Np et ne sont voisines et puis il
faut être très précis lors de la détermination du mouvement apparent arrêté
(prendre, si besoin est, un repère fixe).

Une autre méthode, lorsque nous ne pouvons pas arrêter le mouvement


apparent (appelé aussi glissement) et que les périodes Np et Ne sont voisines,
est de quantifier la période du glissement. Ensuite, nous appliquons la formule
(1).

Wa
Np= + Ne

Wa est positif quand le mouvement apparent est dans le sens du mouvement


réel. Wa est négatif quand le mouvement apparent est dans le sens inverse du
mouvement réel.

I.3.4. Applications

 Mesure de déformation d’éléments en vibration dans le domaine de la


résistance des matériaux ;
 Mesure de vitesse de rotation. De plus en plus, les platines tourne-
disques de chaîne HiFi sont équipées d’une mesure stroboscopique de la
vitesse du plateau tournant. Ainsi, lorsque le mouvement parât immobile,
le réglage de la vitesse est satisfaisant.

I.3.5. Remarque

Lampes à éclats, tubes fluorescents sont des stroboscopes élémentaires. Au


tout début de l’éclairage industriel, des accidents sont arrivées sur des machines
tournantes. Les ouvriers travaillant à des vitesses synchronisées avec la période
de la tension d’alimentation de l’éclairage avaient l’illusion que leurs machines
étaient arrêtées !

Depuis, il existe une réglementation (norme) interdisant la pose unitaire de tube


fluorescent au-dessus d’un poste de travail sur machine tournante.

I.3.6. Présentation du kit

Nous avons testé pour vous un kit «  OK 157 » de stroboscope 300 joules
utilisés pour le spectacle. Il se compose d’un circuit imprimé, des éléments
électroniques nécessaires et d’une notice.

La réalisation de ce kit ne présente aucune difficulté grâce aux schémas et


explications qui sont très clairs. Nous attirons toutefois votre attention sur la
mise en garde du constructeur au sujet du tube à éclats.

En effet, il ne faut pas le toucher avec les mains mais toujours le manœuvrer
avec une feuille de papier ou de plastique.

Lors du montage, vous pouvez placer votre tube très près du circuit, vous aurez
ainsi moins de pertes électriques dans les connexions. Nous avons monté notre
réalisation dans un boîtier plastique du commerce. Nous vous recommandons
de coller une feuille d’aluminium de mettre un miroir afin de réfléchir au
maximum la lumière.

Le schéma, montré en figure 3, est classique. Nous fabriquons, grâce aux


éléments diac, condensateurs, résistances, un circuit de relaxation. Le triac est
donc périodiquement amorcé. Le triac produit aux bornes du primaire du
transformateur des impulsions de grande amplitude. A la sortie du
transformateur, nous avons donc une tension de plusieurs milliers de volts
nécessaire à l’amorce du tube à éclats. Pour l’allumage, il faut aux bornes des
électrodes de notre tube une tension d’environ 600 V ; celle-ci est obtenue en
doublant la tension d’alimentation secteur par les diodes 4004 et la batterie de
condensateurs de 1 μF .

Comme sur tous les montages fortement capacitifs, il faut savoir qu’il peut
rester, longtemps après extinction, des tensions importantes à leurs bornes. Il
est donc nécessaire d’attendre plusieurs minutes avant de pouvoir toucher à
leur platine.
Fig.6. Schéma développé du kit OK 157

I.4. DIAC

I.4.1. La description

Le diac est un composant électronique au même titre qu’une diode ou un transistor. Il


est composé de trois couches et par conséquent de deux jonctions. Deux électrodes
permettent le lien du diac vers l’extérieur. Ces électrodes sont placées sur les
couches situées aux extrémités.

Le nom de diac provient de la contraction d’une expression anglo-saxonne :


Diode Alternative Current signifiant diode pour courant alternatif.

Fig.7. Symbole d’un diac

I.4.2. Principe de fonctionnement


Comme on peut le voir, un diac est en quelque sorte deux diodes qui auraient la
même cathode. Nous pouvons donc déduire que si nous appliquons une tension
alternative sur un tel composant, lors d’une alternance une des diodes aura une
tension direct alors que l’autre aura une tension inverse et que pour la seconde
alternance, il y aura inversion.
Ceci dit, notre diac ne se mettra pas en conduction pour autant puisque l’une des
diodes est en sens bloquée. Si je me rappelle la théorie sur la diode, il y avait deux
façon de mettre une diode en conduction, soit on la polarise en direct soit on la
polarise en inverse et on applique une tension telle que le potentiel est supérieur au
seuil de conduction inverse.

Nous allons donc ici exploiter l’avalanche de la jonction bloquée. Je peux donc dire
que si la tension atteint le seuil V BR, la jonction se mettra en avalanche et nous aurons
conduction du diac tant que le potentiel ne descendra pas en dessous du potentiel Ve
qui est le potentiel minimum pour maintenir la conduction de la jonction. Nous
pouvons avancer que le diac fonctionne aussi bien sur l’alternance positive que
négative d’un signal alternatif avec la différence que se sera l’une ou l’autre jonction
qui sera mise en avalanche.

I.4.3. Caractéristique courant-tension


Ayant une idée du principe de fonctionnement, tentons de vérifier ce
fonctionnement en traçant la caractéristique tension courant du diac.

Soit le schéma expérimental suivant :

Fig.I.8. Schéma expérimental d’un diac

Soit l’essai suivant, nous allons mesurer le courant circulant dans la résistance et le
potentiel aux bornes du diac. Nous avons choisis une alimentation continue réglable
ce qui me permet de faire varier à souhait le potentiel U. Dans un premier temps, U
étant plus petit que VBR, rien ne se passe, le potentiel aux bornes du diac augmente
proportionnellement à la tension U. Le courant lui est pour ainsi dire nul, le faible
courant qui circule est le courant de fuite de la jonction polarisée en inverse.

Lorsque la tension U atteint le seuil d’avalanche de la jonction, le diac se met à


conduire et la tension aux bornes du diac diminue alors que le courant dans la
charge augmente. Ce courant sera bien entendu limité par la résistance de la charge.

Si je diminue ensuite la tension U, je remarque que lorsque le potentiel atteint la limite


de maintien, le diac se bloque, le courant s’annule dans la charge. Le diac est donc à
nouveau bloqué. Je peux donc concevoir que sur un signal alternatif en ne prenant
qu’une des alternances, le diac sera en conduction dès que U aura atteint le seuil
d’avalanche VBR et jusqu’au moment où cette même tension passera en dessous de
Ve. Je peux donc tirer un signal carré de période fonction des caractéristiques du
diac.
Lorsque j’inverse la polarité de la tension aux bornes de mon circuit, je remarque
exactement le même phénomène avec la seconde jonction. Je peux donc conclure
que le diac est symétrique.

Fig.9. Courbe caractéristique d’un diac

L’exemple tracé ci-dessus nous montre que notre diac fonctionne entre deux seuils
de tension, 22 et 32V. Il me faudra donc un générateur capable de fournie une
tension supérieure à 32V pour permettre l’amorçage du diac et maintenir un potentiel
supérieur à 22V durant le temps souhaité pour obtenir une impulsion de courant d’une
durée souhaitée. Noter que si après l’avalanche la tension du générateur continue à
croître, la tension V12 elle restera sensiblement constante. Seul le courant de charge
va augmenter.

I.4.4. Application
Afin de bien comprendre le rôle que peut tenir un tel composant, analysons deux
types de fonctionnement.

Nous remarquons que le courant de charge apparaît pour un certain potentiel de la


source et qu’il disparaît dès que la tension source passe un seuil bas. Si cette
application ne montre pas réellement d’intérêt, imaginez-vous que la fréquence et
l’amplitude de la tension peuvent être modifiées à souhait. Vous pouvez imaginer
dans ce cas qu’il sera possible de régler la durée de la pulsation de courant mais
aussi la fréquence de ces impulsions. Nous pourrions à l’aide d’un tel système créer
un générateur d’onde alternative.

Vous comprendrez que ce schéma est peut utiliser, les réglages sont limités si le
signal source est fixe.

Comment pourrions-nous réaliser un échantillonnage plus rapide du signal. Le signal


source devra nous servir de base ou de support, mais comment au sein de ce signal
parvenir à réaliser un hachage du courant. Nous savons que notre diac peut
fonctionner en hachage si la tension qui lui est appliquée est variable entre deux
tensions précises dites d’amorçage et de blocage. Nous devons donc trouver un
artifice capable sous une tension source donnée de réaliser un tel battement. Nous
savons qu’un condensateur possède un temps de charge et de décharge variable en
fonction d’une part de sa valeur propre mais aussi des composants résistifs qui lui
sont associés. Soit le schéma suivant :

Analysons le fonctionnement, lorsque l’interrupteur est ouvert, le circuit se


compose du condensateur en série avec une résistance le tout placé sur
l’alimentation. Le condensateur va donc se charger et entraîner la circulation d’un
courant

Evolution des tensions

3,000

2,000

1,000
tension

0,000

-1,000 0 100 200 300 400 500

-2,000

-3,000

temps

tension source tension condensateur

Nous savons que le diac se mettra à conduire si le potentiel aux bornes du


condensateur arrive à VBR qui correspond au seuil d’avalanche. Pour avoir ce potentiel
de charge sur le condensateur, nous pouvons trouver la tension nécessaire à la
source.

Uc I  I

Xc .C
U I. R²( 1 )²
.C
Uc  .C  1

U
I. R²( 1 )² 1R².².C²

.C

si je pose avec cette valeur >= à 1 1R².².C²

U .Uc et pour avoir Uc=VBR la tension U devra valoir U .VBR


Si la tension générateur n’atteint pas cette valeur, le diac ne se mettra jamais en
conduction.

Prenons comme hypothèse que le générateur est capable de fournir la tension


nécessaire et supposons l’interrupteur fermé. Voyons ce que nous donne les courbes
tensions et courant.

Nous voyons que la tension aux bornes du condensateur augmente, illustrant bien la
charge du condensateur. Lorsque le potentiel Uc à atteint le seuil V BR, le diac se met en
conduction ce qui permet le passage du courant de charge en son sein et par
conséquent une chute de la tension à ces bornes. Noter que lorsque le diac conduit,
c’est le potentiel du condensateur qui est appliqué sur le diac et que ce dernier se
décharge puisque c’est lui qui fournit le courant de charge. Une fois le seuil de blocage
atteint Ve, le diac se bloque. Le condensateur ne devant plus fournir de courant à la
charge, il reprend une charge en fonction de la tension de la source jusqu’au prochain
pallier de conduction du diac. Nous pouvons donc visualiser sur le graphe ci-dessous
l’allure de la tension aux bornes du diac.

Evolution tension du diac


tension du diac

0 100 200 300 400 500

temps

tension diac tension condensateur seuil VBR seuil Ve


Evolution du courant de charge

0,6

0,4

0,2
courant

0
0 100 200 300 400 500

-0,2

-0,4

-0,6

temps

1. Page technique
VBO : tension de retournement
(VBR) V : tension de blocage (Ve)

Type VBO Ve
(V) (V)

DB3 32 28-36
BT100 32 28-36
CONCLUSION

Ce kit nous a donné entière satisfaction au niveau du montage et du


fonctionnement. Il nous a juste manqué un peu de soudure.

Si vous désirez monter ce kit, vous pourrez vous le procurer chez votre
fournisseur habituel de composants électroniques sous la références : OK office
du kit, application de l’électronique ; OK 157, stroboscope 300 joules.
BIBIOGRAPHIE

[ 1 ] Les grands centraux : Etienne ¿ Site de Centrale-histoire (Ecole Centrale


Paris).

[ 2 ] Rodrique wenzinger, « Allumage à la lampe stroboscopique sur youtube, 25


Janvier 2011 (consulté le 31 Janvier 2019).
[ 3 ] Adolphe Ganot, Georges Maneuvrier (Editeur scientifique) et Marcel
Billard (Editeur scientifique), traité élémentaire de physique, Paris,
1918, 26e ed. (lire en ligne [ arc h ive ] ), Page 1055.

[ 4 ] william F. Brinkamn et al., « A History of the invention of the transistor


and where i twill lead us », IEEE journal of solid-state circuits, vol. 32,
n°12, décembre 1997, page 1858-1865.

[ 5 ] Gérad Willemin, « Electronique – Historique, s.d. (consulté le 16 octobre


2020).

[ 6 ] outre le vocabulaire électrotechnique international, voir « A1.1.


Définition de l’électrotechnique ».

[ 7 ] J.M. Autertre, « Electrotechnique : cours », sur emse.fr (consulte le 23


octobre 2020.)

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