Livre Du Professeur - Chapitre 3 - Équations Et Inéquations Du Second Degré

Livre du professeur - Mathématiques 1re
Chapitre 3 : Équations et inéquations du second

degré
AVANT DE COMMENCER.................................................................................................................................................... 2
INFORMATIONS SUR LE CHAPITRE ............................................................................................................................................................ 2
COMMENTAIRES SUPPLÉMENTAIRES SUR CETTE PAGE : ...................................................................................................................... 3
CORRIGÉS DES EXERCICES .......................................................................................................................................................................... 3
CORRIGÉ EXERCICE 3 : ................................................................................................................................................................................ 4
ACTIVITÉS............................................................................................................................................................................... 7
ACTIVITÉ A : TOUR DE MAGIE ................................................................................................................................................................... 7
ACTIVITÉ B : SIGNE D’UN TRINÔME DU SECOND DEGRÉ ...................................................................................................................... 9
ACTIVITÉ C : SOMME ET PRODUIT DE RACINES ...................................................................................................................................10
AUTO-ÉVALUATION .......................................................................................................................................................... 12
TP/TICE ................................................................................................................................................................................. 15
INFORMATIONS UTILES POUR LE TP 1 ..................................................................................................................................................15
CORRIGÉ DU TP 1......................................................................................................................................................................................15
INFORMATIONS UTILES POUR LE TP 2 ..................................................................................................................................................16
CORRIGÉ DU TP 2......................................................................................................................................................................................16
TRAVAILLER ENSEMBLE ................................................................................................................................................. 18
INFORMATIONS UTILES POUR CE TRAVAIL ............................................................................................................................................18
CORRIGÉ PARTIE 1 ....................................................................................................................................................................................19
CORRIGÉ PARTIE 2 ....................................................................................................................................................................................19
CORRIGÉ PARTIE 3 ....................................................................................................................................................................................20
CORRIGÉ MISE EN COMMUN .....................................................................................................................................................................21
EXERCICES D’APPLICATIONS DIRECTES ................................................................................................................... 21
EXERCICES À L’ORAL .................................................................................................................................................................................21
EXERCICES...................................................................................................................................................................................................22
EXERCICES FLASH .............................................................................................................................................................. 27
EXERCICES D’ENTRAÎNEMENT PARTIE 1 ................................................................................................................. 28
EXERCICES DE SYNTHÈSE ............................................................................................................................................... 64
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1
Livre du professeur - Maths 1re - Chapitre 3 : Équations et inéquations du second degré
Avant de commencer
Informations sur le chapitre

La manipulation d’expressions algébriques et l’utilisation du calcul littéral, débutés au collège, se sont
poursuivis et renforcés en classe de seconde.
Les connaissances soulignées par le programme de la classe de Seconde sont :

➢ Règles de calcul sur les puissances entières relatives ;
➢ Règles de calcul sur les racines carrées ;
➢ Identités remarquables ;
➢ Somme d’inégalités. Produit d’une inégalité par un réel positif, négatif, en liaison avec le sens
de variation d’une fonction affine.
Les compétences associées sont :

➢ Effectuer des calculs numériques ou littéraux mettant en jeu des puissances, des racines
carrées, des écritures fractionnaires.
➢ Exprimer une variable en fonction des autres, sur des cas simples de relations entre
variables.
➢ Savoir factoriser et développer une expression algébrique et choisir la forme la plus adaptée
pour résoudre un problème.
➢ Comparer deux quantités en utilisant leur différence, ou leur quotient dans le cas positif.
➢ Modéliser un problème par une inéquation.
➢ Résoudre une inéquation du premier degré.
En classe de Première, « l’étude des fonctions polynômes du second degré réactive les
connaissances acquises en seconde (fonction carré, identités remarquables) qu’elle permet de
consolider ». Le chapitre précédent « Fonctions de référence » les étudie sous leur aspect fonctionnel
comme fonctions de référence.
Ce chapitre « Équations et inéquations du second degré » lui fait suite et, en s’appuyant sur les
compétences de la classe de seconde telles que « Résoudre une équation, une inéquation produit ou
quotient, à l’aide d’un tableau de signes », développe les connaissances suivantes :
➢ Forme canonique d’une fonction polynôme du second degré. Discriminant.
➢ Résolution d’une équation du second degré.
➢ Factorisation éventuelle.
➢ Signe d’un trinôme.
➢ Expression de la somme et du produit des racines éventuelles.
➢ Coordonnées du sommet de la parabole représentant un trinôme à l’aide du discriminant.
À la fin du chapitre, l’élève doit être capable de :

➢ Résoudre une équation du second degré.
➢ Résoudre une inéquation du second degré.
➢ Factoriser et étudier le signe d’une fonction polynôme du second degré.
➢ Déterminer la forme canonique d’une fonction polynôme du second degré.
➢ Déterminer les fonctions polynômes du second degré s’annulant en deux nombres réels
distincts.
➢ Déterminer deux nombres réels connaissant leur somme et leur produit.
➢ Choisir une forme adaptée d’une fonction polynôme du second degré dans le cadre de la
résolution d’un problème.
2
Commentaires supplémentaires sur cette page :

Ce chapitre s’appuie sur les acquis en calcul littéral des classes de collège et de seconde, notamment
la résolution d’une équation ou d’une inéquation produit, pour mettre en oeuvre les méthodes de
résolution de toutes les équations et inéquations du second degré. Les exercices d’ouverture
permettent de réactiver les connaissances et compétences en calcul littéral : factorisation,
développement, utilisation des identités remarquables. On réactive également les capacités à
résoudre une équation ou d’une inéquation produit, à utiliser des tableaux de signes et à choisir la
forme adaptée d’une expression en vue de la résolution d’une équation ou d’une inéquation. On
propose, de plus, des lectures graphiques pour réactiver le lien entre résolution graphique et
algébrique.
Corrigés des exercices
Corrigé exercice 1 :
1. Pour tout réel ,
a.
b.
c.

a.
b.
c.
Pour tout réel ,
1.
3
2.
3.
4.
1.
a. On a .
L’ensemble des solutions est donc .

b. On a ou d’après la règle du
produit nul. D’où ou , c’est à dire ou .

c. On a . D’où, d’après la
règle du produit nul, ou , c’est à dire ou .
d. On a .
D’où, d’après la règle du produit nul, et donc .

2.
a. Pour tout réel : donc
.
4
b. On a, d’après la question précédente :

. Donc, d’après la règle du
produit nul, ou , c’est à dire ou .
1. On a .

2. On dresse le tableau de signes de :

3. On a ou
4. On a pour tout réel.
Donc . Or pour tout réel car un
carré est toujours positif ou nul dans . Donc l’ensemble des solutions est .
5. On dresse le tableau de signes de :
1.
2.
3.
4.
5
1. On obtient la représentation graphique ci-dessous.
2. À l’aide du graphique, on peut tracer le tableau de signes ci-dessous.
À l’aide de cette représentation graphique, on peut conjecturer le tableau de signes ci-dessous.
3.
a. ou , d’après la
règle du produit nul. D’où ou . Et donc, l’ensemble des solutions est
.
b.
D’où, d’après la règle du produit nul, ou . Et donc, l’ensemble des
solutions est .
c.
6
Or le carré d’un réel est toujours positif ou nul donc l’équation n’admet pas de
solution réelle. Donc l’ensemble des solutions est .
d. . On dresse donc le tableau de signes de
, ce qui nous donne :
Et donc l’ensemble des solutions est .

e. . On utilise de nouveau le tableau de signes
établi à la question précédente.
Et donc l’ensemble des solutions est .
Activités
Activité A : Tour de magie

À quel moment réaliser cette activité ?
Au tout début du chapitre sur les équations et inéquations du second degré.
Ce que dit le B.O. :

Forme canonique d’une fonction polynôme du second degré. Discriminant. Factorisation éventuelle.
Résolution d’une équation du second degré.
Informations utiles sur l’activité A :

Cette première activité a pour but de montrer aux élèves qu’on peut transformer l’écriture d’un trinôme
dans le but de résoudre une équation du second degré. Ils découvrent ainsi la forme canonique d’un
trinôme.
7
Corrigé activité A :
Questions :
1. On commence par élever le nombre de départ au carré, ce qui nous donne . Le double du
nombre de départ est . On enlève à ce double ce qui nous donne . Puis on
enlève à ce résultat le nombre 3, ce qui nous donne D’où l’expression de la
fonction : pour tout réel .
2. Si on prend , on a bien .
3. . D’où, d’après la
règle du produit nul, ou . Donc –3 admet deux antécédents par : 0 et 2.
4. . D’où, d’après
la règle du produit nul, . Donc –4 admet un antécédent par : 1.
5. Soit . On a . Donc
pour tout . Le magicien ajoute donc 4 au nombre donné par le
spectateur puis prend la racine carrée du résultat (le nombre cherché est positif) avant
d’ajouter 1 pour obtenir le nombre choisi par le spectateur.
6. . Donc,
d’après la règle du produit nul, ou . L’ensemble des solutions est donc
, autrement dit 0 admet deux antécédents par : –1 et 3.
Si le spectateur annonce le nombre , le magicien a deux choix possibles d'après la
résolution de l'équation. Mais étant positif, il ne reste qu'une possibilité : 3.
Bilan :
Une transformation algébrique à l’aide d’un identité remarquable permet de donner à un trinôme du
second degré une nouvelle forme. Cette nouvelle forme obtenue - appelée forme canonique du
trinôme - revêt une importance toute particulière dans la résolution des équations du second degré.
Compléments :
Al Khwarizmi a proposé, au VIIIe siècle, une méthode géométrique pour résoudre les équations du
type . Voilà comment résoudre - par exemple - l’équation .
On commence par tracer la figure ci-dessous.
On veut que . L’aire du grand carré que l’on vient de tracer doit donc valoir
et donc le côté de ce carré doit valoir 8. Or la longueur des côtés de ce carré vaut
aussi donc on a et donc . Le nombre 3 est donc une des solutions de
l’équation .
8
Activité B : Signe d’un trinôme du second degré

Après avoir vu la première partie du chapitre, la résolution d’équations du second degré. Cette
activité a pour but de faire découvrir les éléments importants qui permettent de déterminer le signe
d’un trinôme.

Signe d’une fonction polynôme du second degré
Corrigé activité B :
Questions :
1.
a. On a donc admet deux racines réelles distinctes :
et .
b. D’après le graphique, on a le tableau de signes ci-dessous.
2.
a. On a donc admet deux racines réelles
distinctes : et .
b. D’après le graphique, on a le tableau de signes ci-dessous.
3.
a. On a donc n’admet aucune racine réelle.
b. A l’aide de Geogebra ou de la calculatrice, on obtient la courbe ci-dessous.
Et on a donc le tableau de signes ci-dessous.
9
4.
a. On a donc n’admet aucune racine réelle.
b. A l’aide de Geogebra ou de la calculatrice, on obtient la courbe ci-dessous.
Et on a donc le tableau de signes ci-dessous.
Bilan :
Le signe du discriminant indique s’il y a changement de signe ou non. Le signe du coefficient
semble également jouer un rôle.
Activité C : Somme et produit de racines

Après avoir vu la partie 1 du chapitre sur la résolution d’une équation du second degré. Cette
activité introduit le cours sur les propriétés des somme et produit des racines d’un trinôme.

Expression de la somme et du produit des racines d’une fonction polynôme du second degré.
Informations utiles sur l’activité C :

Cette activité permet de découvrir à partir d’exemples le lien entre les racines d’un trinôme et ses
coefficients en commençant par le cas où le coefficient du monôme de degré 2 vaut 1.
10
Corrigé activité C :
Questions :
1.
distinctes : et .
b. On a donc admet deux racines réelles
distinctes : et .
2. On constate dans les deux cas que et .
3.
distinctes : et .
b. On a donc admet deux racines réelles
distinctes : et .
4. On constate dans les deux cas que et .

5.
a. On a donc est bien une racine
du trinôme. On a aussi donc est
bien une racine du trinôme.
b. On a et . D’autre part et
. La relation conjecturée semble donc toujours valable.

6. On cherche et deux nombres tels que et . On a alors
et donc, à partir de la deuxième équation, soit
encore ce qui équivaut à . À l’aide d’un
raisonnement symétrique avec , on aboutit à . Donc deux tels
nombres existent si et seulement si ils sont racines du trinôme .
Pour ce trinôme, on a . Donc le trinôme n’admet pas de racine réelle. Donc il
n’existe pas de nombres réels et tels que et .
Bilan :
Si un trinôme admet des racines réelles et , alors on a les relations suivantes :
et .
Compléments :
On peut rajouter un exemple où le trinôme admet une racine double et faire constater que les
relations sont toujours valables en prenant .
11
Auto-évaluation
On calcule le discriminant : , l’équation admet donc deux solutions
réelles distinctes : et .
L’ensemble des solutions de cette équation est donc .
Réponse(s) : b.
On cherche les racines du trinôme . On a , le
trinôme admet donc deux racines réelles : et .

On dresse ensuite le tableau de signes du trinôme à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme
est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a ». On obtient :
Par lecture du tableau de signes, l’ensemble des solutions est .
Réponse(s) : c.
Si alors, d’après le cours, le trinôme est du signe de qui peut être positif. Par
exemple, le discriminant du trinôme est égal à et pour tout réel.
Donc la proposition est fausse.
Réponse(s) : b.
La proposition est vraie. En effet, si le trinôme est strictement positif sur , cela implique qu’il ne
s’annule pas et donc qu’il n’admet pas de racines réelles. Et donc que son discriminant est
strictement négatif.
Réponse(s) : a.
12
On calcule le discriminant : . Donc on peut déjà en déduire que
les réponses c. et d. sont fausses. La somme de ses racines est égale à soit ici à c’est-à-
dire . Donc la réponse a. est vraie. On détermine maintenant les deux racines de ce polynôme :
et .
Un trinôme est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a, on obtient donc le
tableau de signes ci-dessous pour le trinôme qui nous intéresse.
Donc la réponse b. est vraie.
Réponse(s) : a. et b.
Deux réels ont pour somme et pour produit si, et seulement si, ils sont solutions de l’équation
. On calcule le discriminant de ce trinôme :
donc l’équation admet deux solutions réelles distinctes et donc les réels et existent bien. Donc
la proposition a. est juste et la proposition b. est fausse.
D’autre part, les solutions de ont pour somme d’après les formules du cours et
non donc la proposition d. est fausse.
Enfin, donc
. Donc la proposition c. est juste.
Réponse(s) : a. et c.
étant de signe positif à l’extérieur de ses racines, la réponse a. est fausse car son est négatif (en
passant le trinôme proposé a un discriminant négatif et n’a de toutes manières pas de racine réelle).
La somme des deux racines de vaut . Or la somme des racines du trinôme proposé
en c. est égale à . Donc le trinôme en c. ne convient pas.
Les trinômes proposés en b. et d. ont les mêmes racines et sont de même signe car
. On commence par calculer le discriminant de

: donc le trinôme admet deux racines réelles
distinctes : et . Or un trinôme est

du signe de , sauf entre les racines s’il y en a et donc le trinôme proposé en d. convient et
donc aussi celui proposé en b.
13
Réponse(s) : b. et d.
Le produit des racines d’un trinôme , si elles existent, est égal à . Donc pour le trinôme
, si elles existent, le produit des racines vaut soit . Donc la proposition b. est juste.
On calcule maintenant le discriminant de en fonction de . On a soit

. Si , alors et donc et donc . Donc si
alors admet deux racines réelles distinctes. Donc la proposition c. est juste.
Si , alors et donc admet une racine double. Donc la proposition d. est juste.
Par contre la proposition a. est fausse. En effet, si , on a et donc admet deux
racines réelles distinctes ce qui entraîne que change de signe sur .
Réponse(s) : b., c. et d.
Corrigé problème 17 :
1. On calcule le discriminant de ce trinôme : , donc admet
deux racines réelles distinctes : et
.
2. Un trinôme est du signe de sauf entre les racines si elles existent.
Ici , on a donc le tableau de signes suivant :
3. D’après le tableau de signes établi en 2., l’ensemble des solutions de l’inéquation
est .
4. Le sommet de la parabole représentant a pour coordonnées .
Ici et .
Donc le sommet de la parabole représentant a pour coordonnées . Et comme

, on a le tableau de variations suivant :
14
TP/TICE
Informations utiles pour le TP 1

Il est nécessaire d’avoir étudié la première partie du chapitre et la résolution d’une équation du
second degré pour traiter ce TP. Ce TP permet d’illustrer l’utilisation des équations du second degré
dans d’autres domaines que les domaines scientifiques.
Corrigé du TP 1
Méthode 1
1.
2.
3.
4. On obtient la figure ci-dessous.
5. On a donc .
Méthode 2
1. On a les coordonnées suivantes : ; ; et .
2. a pour coordonnées et a pour coordonnées .
3. Les deux rectangles sont des rectangles d’or si, et seulement si, les points , et sont
alignés donc si, et seulement si, les vecteurs et sont colinéaires. Et et sont
15
colinéaires si, et seulement si, leur déterminant est nul, c’est à dire si, et seulement si,
, ce qu’on peut aussi écrire .
4. On fixe dans l’expression obtenue à la question précédente et on représente la
fonction définie sur par puis on lit graphiquement la racine de ce
polynôme . On trouve environ 1, 236 d’où .
5.
a. La question 3 nous a donné l’équation suivante . Commençons
par mettre en facteur ce qui nous donne et . Donc,

comme , on peut diviser à gauche et à droite par pour obtenir l’équation
recherchée : .
b. On pose pour obtenir l’équation .

On a donc l’équation admet deux solutions
réelles distinctes : et . Or, le nombre d’or est un
nombre positif donc .
Pour aller plus loin :

On peut citer (entre autres) « La Joconde » de Léonard de Vinci, « La naissance de Vénus » de
Botticelli ou bien encore le Parthénon.
Informations utiles pour le TP 2

Il est nécessaire d’avoir étudié la première partie du chapitre et la résolution d’une équation du
second degré pour traiter ce TP. Ce TP permet de découvrir une méthode originale permettant de
factoriser un polynôme connaissant une de ses racines.
Corrigé du TP 2
Questions préliminaires
1.
16
.
2. Soit une racine de .
Or est une racine de donc c’est à dire et donc

.
En conclusion, on a donc on a bien :

.
Méthode 1
1. L’algorithme ci-dessous fonctionne par exemple.
2. En utilisant l’algorithme de Hörner on obtient les résultats suivants :

a. ; ; .
b. ; ; .
c. ; ; .
3. Pour obtenir les coefficients de Hörner dans le cas d’une racine du polynôme, il suffit
d’ajouter l’algorithme ci-dessous à l’algorithme de la question 1.
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4. On a vu dans la question 2 que donc est une racine de .

Avec l’algorithme on trouve .
5. On cherche les racines de : on a . Ce polynôme
admet donc deux racines réelles : et . En conclusion, a
trois racines : 1, et .
Méthode 2
1. On doit entrer dans la cellule C3 la formule suivante : « = $B$2 * B4 » et dans la cellule C4 la
formule : « = C1+C3 », avant de les recopier vers la droite.
2. En utilisant la feuille de calcul, on obtient les résultats suivants :
a. ; , .
b. ; , .
c. ; , .
3. Dans la question précédente on a vu que donc est une racine de .
4. L’algorithme de Hölder appliqué à la valeur 1 (qui est une racine de ) donne une
factorisation de ce polynôme : . On cherche donc
maintenant les racines de : on a . Ce trinôme
admet donc deux racines réelles : et . En conclusion, a
trois racines : 1, et .
Travailler ensemble
Informations utiles pour ce travail

Ce travail de groupe utilise toutes les méthodes vues dans le cours et permet un travail de synthèse
sur l’ensemble du chapitre.
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Corrigé partie 1
1.
Donc est bien une racine de .
2. Pour tout réel , on a ce
qu’on peut écrire en regroupant les termes en

ensemble et les termes en ensemble.
On veut . En
identifiant les coefficients, on trouve alors qu’on doit avoir , ,
et . Et on obtient au final que , et .
D’où pour tout .
3. On connaît déjà une racine du polynôme P : . Pour trouver les autres racines on résout
. On a . Cette équation polynomiale de degré 2 admet donc
deux solutions réelles distinctes : et . Donc a trois racines réelles : , et

.
4. a pour racines , et . Le coefficient demandé est la racine entière positive de , c’est

à dire .
Corrigé partie 2
On étudie tout d’abord le signe de :
On a donc admet deux racines réelles distinctes : et
. Un trinôme est du signe de sauf entre les racines si elles

existent. Donc ce trinôme admet le tableau de signes ci-dessous.
19
On étudie ensuite le signe de :
On a donc admet donc deux racines réelles distinctes : et
. Un trinôme est du signe de sauf entre les racines si elles

existent. Donc ce trinôme admet le tableau de signes ci-dessous.
En comparant les deux tableaux de signes on en conclut que le plus petit entier naturel en lequel et
sont positives toutes les deux est 3. C’est le coefficient recherché.
Corrigé partie 3
On commence par chercher l’expression de . On pose tout d’abord avec ,
et des nombres réels. On a donc . On a donc
. Et enfin on a donc .
On doit donc résoudre le système suivant : .

On peut - par exemple - commencer par additionner la première ligne à la deuxième ligne, ce qui
nous donne : ce qui peut aussi s’écrire . En soustrayant la
deuxième ligne à la première ligne de notre système, on obtient alors : . Et enfin en
remplaçant b par sa valeur dans la troisième ligne on obtient le système suivant : .
Trouver et revient donc à trouver deux nombres dont la somme est et le produit . Il faut
donc résoudre l’équation : . On a donc cette équation admet deux
solutions réelles distinctes : et .

Il y a donc deux trinômes possibles pour : soit et et dans ce cas là on a
, soit et et dans cas là on a .
On sait de plus que l’ordonnée du sommet de la parabole représentant la fonction est un nombre
entier. On calcule donc les coordonnées du sommet de la parabole dans les deux cas et dans un seul
20
de ces cas l’ordonnée de ce sommet est un nombre entier : le cas . Et on a
alors . Donc le coefficient demandé est .
Corrigé mise en commun

1. D’après les résultat des trois parties on a : .
2. La somme de ses racines vaut et le produit , d’où . Pour

décrypter le message codé on doit donc décaler chaque lettre du message de 8 rangs vers la
gauche dans l’alphabet : par exemple la lettre T est la vingtième lettre de l’alphabet, elle se
décrypte donc en la douzième lettre de l’alphabet ( ) c’est à dire un L.
La citation à trouver est : « La rigueur vient toujours à bout de l’obstacle ».
Exercices d’applications directes
Exercices à l’oral
1. On a donc 1 n’est pas racine de .
2. donc –1 est une racine de .
3. donc 2 est une racine de .
4. donc 3 n’est pas racine de .
On applique la formule du cours donnant la forme canonique :
1. On a .
D’où .
Donc 1. correspond à b.
2. On a .
D’où .
Donc 2. correspond à d.
3. On a .
D’où
Donc 3. correspond à a.
4. On a .
D’où
Donc 4. correspond à c.
21
1. Si alors le trinôme admet une racine double et donc la parabole représentant ce
trinôme a un seul point commun avec l’axe des abscisses. La courbe représentative associée
à cette fonction trinôme est donc la courbe bleue.
2. Si alors le trinôme admet deux racines réelles et donc la parabole représentant ce
trinôme coupe deux fois l’axe des abscisses. La courbe représentative associée à cette
fonction trinôme est donc la courbe verte.
3. Si alors le trinôme n’admet pas de racine réelle et donc la parabole représentant ce

trinôme ne coupe jamais l’axe des abscisses. La courbe représentative associée à cette
fonction trinôme est donc la courbe orange.
1. La somme des racines d’un trinôme est égale à donc la somme des
racines de est égale à c’est à dire 4. Le produit des racines d’un trinôme
est égale à donc le produit des racines de est égal à c’est à dire –3.
2. De même, la somme des racines de est égale à et leur produit est égal à .
3. De même, la somme des racines de est égale à et leur produit est égal à .
Exercices
1. On a . Donc admet deux racines réelles distinctes.
2. On a . Donc n’admet aucune racine réelle.
3. On a . Donc admet deux racines réelles distinctes.
4. On a . Donc n’admet aucune racine réelle.
1. On a donc l’équation admet deux solutions réelles
distinctes : et .
distinctes : et .
distinctes : et .
22
4. On reconnaît une identité remarquable. Le calcul du discriminant est donc inutile.

.
1. On a donc l’équation n’admet aucune solution réelle.
2. On reconnaît une identité remarquable. Le calcul du discriminant est donc inutile.

distinctes : et .

distinctes : et .
L’ensemble des solutions est .
1. On a donc l’équation n’admet aucune solution réelle.
distinctes : et . L’ensemble des
solutions est donc .


23
1. On reconnaît une identité remarquable.

distinctes : et . L’ensemble
des solutions est donc .


distinctes : et . L’ensemble des solutions est donc
distinctes : et . Donc
pour tout .
pour tout .
pour tout . On peut aussi écrire :

pour tout .
4. On a donc n’admet aucune racine réelle.
Donc n’est pas factorisable dans .
5. On a, pour tout ,
.
Donc pour tout .
distinctes : et .
24
Donc pour tout .
Corrigé exercice 28:

1. On cherche d’abord les racines du trinôme . Comme
, ce trinôme admet deux racines : et . On

dresse ensuite le tableau de signes du trinôme : il est du signe de 3 en dehors des racines,
on obtient donc le tableau de signes ci-dessous.
On en déduit alors que l’ensemble des solutions est .


dresse ensuite le tableau de signes du trinôme : il est du signe de –2 en dehors des racines,
On en déduit alors que l’ensemble des solutions est .
3. On reconnaît une identité remarquable : pour tout réel.
Donc pour tout réel. Et donc
L’ensemble des solutions de cette équation est donc .

, n’a pas de racine réelle et le tableau de signes du trinôme
est donc celui tracé ci-dessous.
Donc l’ensemble des solutions de cette inéquation est .
25

, n’a pas de racine réelle et le tableau de signes du
trinôme est donc celui tracé ci-dessous.


dresse ensuite le tableau de signes du trinôme : il est du signe de –3 en dehors des racines,
On en déduit l’ensemble des solutions de cette inéquation : .
racines de est égale à c’est à dire 1. Le produit des racines d’un trinôme
est égale à donc le produit des racines de est égal à c’est à dire –2. En
conclusion on a donc et .
2. De la même manière on obtient : et .
racines de est égale à . Le produit des racines d’un trinôme est égale à
26
donc le produit des racines de est égal à . En conclusion on a donc et
.
1. On a . On calcule ensuite les coordonnées du sommet de la
parabole grâce aux formules suivantes : et .

Donc le sommet de la parabole représentant le trinôme a pour coordonnées .
2. De même on obtient que et que le sommet a pour coordonnées .

Exercices Flash
1.
2.
3.
4.
5.
1.
2.
3.
27
4.
1. Pour tout réel , .
La fonction est bien un trinôme.
2. Pour tout réel , .
La fonction n’est pas un trinôme mais une fonction affine.
La fonction est bien un trinôme.
1. On a donc 0 n’est pas solution de .
2. On a donc 1 est solution de .
3. En continuant à faire des essais sur des valeurs simples, on peut voir que . Donc
a deux solutions : 1 et 2.
1. On peut réécrire en . L’équation a donc deux solutions : 4 et –4.
2. On peut réécrire en . Or un carré ne peut pas être négatif, cette

équation n’a donc aucune solution.
3. On peut réécrire en . L’équation a donc deux solutions : 3 et –3.
4. On peut réécrire en . L’équation a donc deux solutions : et .
5. On peut réécrire en . L’équation a donc deux solutions : 0 et 1.
6. On peut réécrire en . L’équation a donc deux solutions : et .
Exercices d’entraînement partie 1

1. Pour tout réel, .
1. Pour tout réel, donc .
4. Pour tout réel,
.
28
1. Pour tout réel on a , or
donc et donc .
En conclusion .
2. Pour tout réel on a , or
donc et donc .
En conclusion .
1. On commence par calculer le discriminant . On a .

Comme alors l’équation admet deux solutions réelles distinctes :
et .
2. On a . Comme alors l’équation admet deux

3. On commence par réécrire l’équation pour la mettre sous la forme d’un trinôme égal à 0 :
.
Maintenant sous la forme d’un trinôme égal à 0, on peut résoudre l’équation à l’aide du
discriminant : . Comme alors l’équation admet
deux solutions réelles distinctes : et .
4. On commence par réécrire l’équation pour la mettre sous la forme d’un trinôme égal à 0 :
. Maintenant sous la forme d’un trinôme égal à 0,

on peut résoudre l’équation à l’aide du discriminant :
. On a donc l’équation n’admet pas de solution dans .
1. On calcule le discriminant : . On a donc l’équation
admet deux solutions réelles distinctes : et
.
2. On peut tout d’abord simplifier l’équation :
.
29
On calcule ensuite le discriminant : . On a donc
l’équation admet deux solutions réelles distinctes : et
.
3. On calcule le discriminant : . On a donc

.
1. ou d’après la règle
du produit nul. L’équation admet donc deux solutions et .
2. pour tout donc pour tout . Donc l’équation
n’admet pas de solution dans .
3. On commence par écrire cette équation sous la forme d’un trinôme égal à 0 :
.
Puis on calcule son discriminant : . On a donc
l’équation admet deux solutions réelles distinctes : et .
4. ou d’après la règle du produit nul.
Donc l’équation admet deux solutions et .
5. On peut tout d’abord simplifier l’équation :

.
On calcule ensuite le discriminant : . On a donc
.
Donc, d’après la règle du produit nul, soit soit donc l’équation admet deux
solutions et .
1. En utilisant une identité remarquable, on peut réécrire l’équation ainsi :
. Et donc,
30
Donc, d’après la règle du produit nul, soit , soit . L’équation admet donc deux
solutions réelles : et .
2. On peut tout d’abord simplifier l’équation : en
divisant par 3. On peut ensuite reconnaître une identité remarquable pour réécrire encore
plus l’équation : . Enfin, de part la règle du produit nul, on a que et
donc que l’équation admet une seule solution réelle : .

3. On peut tout d’abord simplifier cette équation en divisant à gauche et à droite par 3 :
.
En écrivant maintenant l’équation ainsi : , on peut reconnaître une identité
remarquable qui nous permet d’écrire l’équation sous la forme suivante :
c’est à dire . Donc, d’après la règle du
produit nul, ou . L’équation admet donc deux solutions réelles :
et .
4. Pour tout , et . Or, la somme de deux nombres positifs
ou nuls est égale à zéro si, et seulement si, les deux nombres sont égaux à zéro.
Donc on doit avoir et , c’est à dire qu’on doit avoir et
. Or ne peut pas être égal en même temps à 3 et à . Donc l’équation n’admet pas
de solution dans .
.
Puis on calcule son discriminant : . On a
donc l’équation n’admet pas de solution dans .
6. On peut commencer par simplifier l’écriture de cette équation :
Donc, d’après la règle du produit nul, soit , soit . Donc on sait

déjà que est une solution de cette équation. Pour trouver les potentielles autres
solutions de cette équation on doit résoudre l’équation . Calculons le
discriminant pour cette deuxième équation : . On a
donc l’équation admet deux solutions réelles distinctes : et
. En conclusion l’équation admet trois solutions : 1, et .
1. Cette équation peut être résolue sur tout et .
On calcule le discriminant : . On a donc l’équation
n’admet pas de solution dans .
2. Cette équation peut être résolue sur tout et pour tout réel on a :
. Donc d’après la règle du produit nul
ou . On sait donc déjà que 0 est solution de
cette équation, pour trouver les potentielles autres solutions on résout .
31
On calcule le discriminant de cette deuxième équation.

donc l’équation admet deux solutions réelles distinctes :
et
. En conclusion l’équation admet donc 3 solutions : 0, 1 et 4.
3. On résout l’équation dans car le dénominateur ne doit pas être égal à 0 et dans ce
cas on a . On calcule le discriminant :

donc l’équation admet deux solutions
réelles distinctes : et . Or est une valeur interdite donc l’équation
admet une seule solution : .
1. On résout l’équation dans car le dénominateur de ne doit pas s’annuler. On commence

par écrire différemment l’équation, de manière à faire apparaître un trinôme du second
degré : . Résoudre cette équation

revient donc à résoudre l’équation . On calcule le discriminant :
, l’équation admet donc deux
solutions réelles distinctes : et . Aucune n’est nulle donc
l’équation admet elle aussi deux solutions réelles distinctes : et
2. On résout l’équation dans car le dénominateur de ne doit pas s’annuler. On

commence par écrire différemment l’équation, de manière à faire apparaître un trinôme du
second degré :
Résoudre cette équation revient donc à résoudre l’équation . On calcule le
discriminant : , l’équation admet donc deux solutions
réelles distinctes : et . Aucune n’est égale à 4 donc
l’équation admet elle aussi deux solutions réelles distinctes : 2 et 3.

3. On résout l’équation dans . On doit exclure –2 pour que le dénominateur de
ne risque pas s’annuler et on doit exclure 0 afin que le dénominateur de ne risque

pas de s’annuler non plus. On commence par écrire différemment l’équation, de manière à
faire apparaître un trinôme du second degré :
. Résoudre l’équation
revient donc à résoudre l’équation . On calcule le discriminant :
donc l’équation admet deux solutions réelles
32
distinctes : et . Aucune de ces solutions
n’est égale à 0 ou à –2 donc l’équation admet elle aussi deux solutions
1. On résout l’équation dans . On doit en effet exclure –1 afin que le dénominateur de
ne puisse pas s’annuler. On commence par écrire différemment l’équation, de

manière à faire apparaître un trinôme du second degré :
.
Donc résoudre l’équation revient à résoudre l’équation . Or pour tout
donc pour tout et donc pour tout . Donc
l’équation n’admet aucune solution réelle.
2. On résout l’équation dans . On doit en effet exclure 1 afin que le dénominateur
de ne puisse pas s’annuler et exclure –2 afin que le dénominateur de ne puisse

pas s’annuler. On commence par écrire différemment l’équation, de manière à faire
apparaître un trinôme du second degré :
. Donc
résoudre l’équation revient à résoudre l’équation . On calcule le
discriminant : donc cette équation n’admet aucune
solution réelle et donc l’équation non plus.

3. On a pour tout . Donc on résout l’équation dans
. On commence par écrire différemment l’équation, de manière à faire apparaître
un trinôme du second degré :
Résoudre cette équation ça revient donc à résoudre l’équation . On

calcule le discriminant : donc cette équation
n’admet aucune solution réelle et donc l’équation non plus.
1. Chercher le domaine de définition de revient à résoudre . On calcule le
discriminant : donc l’équation admet deux solutions
33
réelles distinctes : et . Donc est définie
partout sauf là où son dénominateur s’annule, c’est à dire sur .

2. Chercher le domaine de définition de revient à résoudre . On calcule le
discriminant : donc l’équation n’admet pas de
solution réelle. Donc est définie sur .
3. Chercher le domaine de définition de revient à résoudre . On a
donc, d’après la règle du produit nul, pour
que ce produit s’annule on doit soit avoir , soit avoir .
On calcule le discriminant de la deuxième équation :
distinctes : et . Donc l’équation
admet 3 solutions réelles : 0, et 1. Donc est définie sur
4. Pour trouver le domaine de définition de la fonction on commence par résoudre l’équation

. En calculant le discriminant on obtient .
Donc donc l’équation admet deux solutions réelles distinctes : et
. De plus, la fonction racine carrée existe si, et seulement si, . Donc
est définie sur l’ensemble : .
Dans la suite de cet exercice on notera la fonction polynôme du second degré représentée par .
On note donc, pour tout réel, .
1.
a. On calcule : . Donc le point d’intersection de avec l’axe des ordonnées a
pour coordonnées .
b. Si un point appartient à et à la droite d’équation alors
. Ce nombre est unique car est une fonction donc il
n’y a qu’un point d’intersection, de coordonnées .
2.
a. a au moins un point d’intersection avec l’axe des abscisse quand s’annule, c’est-
à-dire quand admet une ou deux racines, c’est à dire quand le discriminant de est
donc positif ou nul. Donc a au moins un point d’intersection avec l’axe des
abscisse si et seulement si .
b. On cherche donc à résoudre c’est à dire ou encore
. Soit le discriminant du trinôme .
On a avec le
discriminant du trinôme . Alors :
34
- Si c’est à dire si , alors l’équation n’admet

aucune solution donc et n’ont aucun point commun.
- Si c’est à dire si , autrement dit si , alors

l’équation admet une seule solution donc et ont un seul point
d’intersection.
- Si c’est à dire si , alors l’équation admet deux
solutions réelles distinctes donc et ont deux points d’intersection.
1. On peut conjecturer que l’équation admet une unique solution environ égale à 2.
2. On obtient l’écran ci-dessous.
On peut alors conjecturer que l’équation n’admet en fait pas de solution sur
.
3. On cherche à résoudre l’équation .
On calcule le discriminant : on a donc
. On en conclut donc que l’équation
n’admet aucune solution.
Corrigé exercice 50:

1. L’algorithme ci-dessous fonctionne par exemple.
Entrées :
a, b et c des nombres réels ( )
Programme :
Delta = b² - 4ac
Si Delta < 0 alors
Retourner 0
Sinon
Si Delta = 0 alors
Retourner 1
Sinon
Retourner 2
Fin Si
Fin Si
2. La fonction Python ci-dessous fonctionne.
35
3. L’instruction elif (contraction de «else if ») correspond au cas “sinon si”, elle permet d’éviter
d’écrire plusieurs balises « if else » imbriquées.
4. La fonction Python ci-dessous fonctionne.
Il est aussi possible d’éliminer le else final comme ci-dessous.
5. On utilise les fonctions delta et discriminant créées dans les questions précédentes.
Il s’agit ici de déterminer les solutions de l’équation où et sont définies par
et . On cherche donc à trouver les solutions de l’équation
, c’est à dire les solutions de l’équation .
36
Le membre de gauche de cette équation est un trinôme du second degré, on peut donc calculer le
discriminant de cette expression : . L’équation
admet donc deux solutions réelles distinctes : et
.
On a trouvé les abscisses des points d’intersection. Pour trouver leurs ordonnées on calcule les
images des abscisses trouvées par la fonction ou la fonction (les points d’intersections se
trouvent sur la courbe représentative de la fonction et sur la courbe représentative de la fonction ,
on peut donc choisir la fonction que l’on souhaite pour effectuer ce calcul).
Le point d’abscisse a donc pour ordonnée : .
Et le point d’abscisse 2 a donc pour ordonnée : .
Une équation admet une solution double si, et seulement si, le discriminant est
égal à zéro. Dans le cas de l’équation , le discriminant vaut . On a
donc . Et donc l’équation admet une solution
double pour .
1. Le discriminant associé à l’équation du second degré s’exprime
ainsi en fonction de : .
2. Le nombre de solutions de l’équation dépend du signe de son discriminant. Pour
répondre à cette question, on étudie donc le signe de .
Grâce au tableau de signes on peut donc conclure que :
- Si , et donc admet deux solutions réelles distinctes.
- Si , et donc admet une solution.
- Si , et donc n’admet pas de solution réelle.
On calcule le discriminant de l’équation avec la formule .
Si et sont différents de zéro et de signes contraires, alors le produit est strictement négatif
(d’après la règle des signes) et donc est strictement positif. étant positif ou nul, est alors la
somme d’un nombre positif ou nul et d’un nombre strictement positif, il est donc strictement positif.
37
Donc si et sont différents de zéro et de signes contraires, l’équation admet

bien deux solutions réelles distinctes.
Tout d’abord on détermine l’aire de et l’aire de en fonction de :
on a et . Donc , l’aire totale du premier étage, est égale à
.
On cherche à déterminer afin que cette aire soit égale à 80 m2. On cherche donc à résoudre
l’équation c’est à dire à résoudre .
On a donc cette équation admet deux solutions
La valeur recherchée est une longueur donc est positive. : la valeur de recherchée est donc
m.
2. Soit et les points d’intersection de et . On lit sur le graphique

, et et .
3. Il s’agit de résoudre dans l’équation : . On commence d’abord
par écrire différemment cette équation :
Résoudre l’équation revient donc à résoudre l’équation suivante : . On

calcule le discriminant de cette deuxième équation :
distinctes : et .
38
On a donc et . On cherche désormais les ordonnées de

ces points d’intersection. Comme et appartiennent à , on a et
. Donc et .
En conclusion et , les points d’intersections de et , ont pour coordonnées
et .
1. En posant on a :
.
2. Pour résoudre l’équation on calcule le discriminant :
. L’équation admet donc deux solutions réelles
distinctes : et .
3. On a , on doit donc résoudre à présent les équations et .
ou .
ou .
Donc, en conclusion, a 4 solutions : –3, 3, et .
1. On pose : .
Le discriminant de cette équation vaut : . Comme le
discriminant est positif, cette équation admet deux solutions réelles distinctes : et
. On résout donc ensuite les équations suivantes : et .
ou .
ou .
Donc, en conclusion, l’équation admet 4 solutions : , , et .

2. On pose : .
Le discriminant de cette équation vaut : . Comme le
discriminant est positif, cette équation admet deux solutions réelles distinctes : et
. On résout donc ensuite les équations suivantes : et .
n’a aucune solution dans .
ou .
Donc, en conclusion, l’équation admet deux solutions réelles : -1 et 1.
3. On pose : .
Le discriminant de cette équation vaut : . Comme le discriminant
est positif, cette équation admet deux solutions réelles distinctes : et .
On doit donc ensuite résoudre les équations suivantes : et , mais ces
39
deux équations n’ont aucune solution dans . Donc l’équation n’a pas
de solution dans .
4. On pose : .
Le discriminant de cette équation vaut : . Comme le discriminant est négatif, cette
équation n’admet pas de solution dans . Et donc l’équation non plus.
L'aire du triangle rectangle en vaut .
L'aire du triangle rectangle en vaut . Le point a pour abscisse et pour

ordonnée , le point a pour coordonnées donc . Le point a
pour coordonnées donc . On a donc au final .

On cherche maintenant les coordonnées du point tel que l'aire du triangle soit la moitié
de celle du triangle , autrement dit tel que l’aire de ce triangle soit égale à . On cherche donc à
résoudre dans l'équation . On commence par écrire cette équation

différemment de manière à faire apparaître un trinôme du second degré :
Pour résoudre cette équation on commence par calculer le discriminant :

. Le discriminant étant positif, cette équation admet deux solutions
réelles : et . Mais donc la valeur de cherchée est
Le montant de la taxe foncière en 2017 est donné par le calcul : .
Celle de 2018 est obtenu en effectuant : .
Donc est solution de l’équation : .

On commence par écrire différemment cette équation, de manière à faire apparaître un trinôme du
second degré : .
On calcule maintenant le discriminant : . Comme alors l’équation admet deux
solutions réelles distinctes : et . On élimine la solution négative qui ne peut pas
représenter une augmentation et on peut donc conclure que .
40

1. On commence par calculer le discriminant : .
Comme , cette équation admet deux racines réelles : et
.
2. Grâce à la question précédente on sait que –1 et 4 sont racines de . Ce
polynôme peut donc être mis sous la forme factorisée suivante : .
3. est définie sur car si ou , le dénominateur de cette fonction
s’annule, on doit donc exclure ces deux valeurs. Et, au final, pour tout
on a .
1. On résout l’équation . On commence par calculer le discriminant :
. Ce discriminant est positif donc cette équation admet
deux racines réelles : et . Et donc, en conclusion,
est définie sur .
2. D’après la question précédente 2 et sont racines du polynôme , on peut

donc écrire le polynôme sous forme factorisée comme suit :
On a donc pour tout .
C’est à dire pour tout .
Et donc pour tout .
Ce qu’on peut aussi écrire pour tout .
41
deux racines réelles : et . est donc définie sur .
De plus, comme et sont racines de ce polynôme, on peut factoriser le trinôme comme
suit : . D’autre part, donc

pour tout .
On a donc pour tout .
Donc, au final, pour tout .

deux racines réelles : et . est donc définie sur . De plus,
comme –2 et sont racines de ce polynôme, on peut factoriser le trinôme comme suit :
pour tout .
On a factorisé le dénominateur, on factorise maintenant le numérateur : . On

commence par calculer le discriminant : . Ce
discriminant est positif donc cette équation admet deux racines réelles : et .
On en déduit la forme factorisée du trinôme : .
En conclusion, on a donc pour tout .
Et donc pour tout .
1. L’équation a deux solutions : –4 et 3.
2. L’équation ayant deux solutions, il existe un réel tel que
.
On sait également que . Or donc
et donc . En conclusion on a .
42
1. Pour tout , on a
.
On a donc bien pour tout .

2. Pour factoriser on commence par chercher les solutions de l’équation . Le
discriminant vaut et est donc positif, cette équation
admet donc deux racines : et . Et donc pour tout
.
3. On a
Donc, d’après la règle du produit nul, soit , soit .

On cherche maintenant les racines de . On a
, donc ce trinôme admet deux racines : et
. Donc, en conclusion, admet trois solutions : –5, –1 et 1.
1. On cherche tout d’abord les racines du trinôme . Dans ce cas le
discriminant vaut : . Comme le discriminant est positif ce
trinôme admet deux racines : et .

On dresse le tableau de signes du trinôme à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme
est du signe de , sauf entre ses racines. S’il y en a ».
L’ensemble des solutions de l’inéquation est donc .

discriminant vaut : . Comme le discriminant est positif ce trinôme admet deux racines
réelles distinctes : Il y a deux racines et .

On obtient donc le tableau de signes ci-dessous.
43
L’ensemble des solutions de cette inéquation est donc .

3. On pose . On reconnaît une identité remarquable, on peut donc
écrire , pour tout . Donc pour tout , car
un carré est toujours positif, et pour . L’ensemble des solutions de cette
inéquation est donc .

discriminant vaut : . Comme le discriminant est négatif, ce trinôme n’admet pas de
racine réelle. Or un trinôme est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a,
et ici donc pour tout . En conclusion, l’ensemble des solutions de
cette inéquation est donc .
discriminant vaut : . Comme le discriminant est négatif, ce trinôme n’admet pas de
racine réelle. Or un trinôme est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a
et ici donc pour tout . En conclusion, l’ensemble des solutions
de cette inéquation est donc .
6. On pose c’est à dire . On
reconnaît une identité remarquable, on peut donc écrire pour tout
. Donc pour tout et pour . L’ensemble des solutions
de cette inéquation est donc .
1. On pose pour tout . Or
pour tout donc les racines de sont
et . On dresse alors le tableau de signes du trinôme à l’aide du théorème du cours : « Un
trinôme est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a ».
En conclusion, l’ensemble des solutions de cette inéquation est donc

.
2. pour tout donc pour tout .
3. On commence par écrire différemment l’inéquation de façon à pouvoir comparer un trinôme
du second degré à zéro : .
On cherche maintenant les racines de . On a . Donc, comme
le discriminant est positif, ce trinôme admet deux racines : et . On dresse
44
ensuite le tableau de signes du trinôme à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme

est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a ».

4. On peut factoriser le membre de gauche de l’inégalité : .
On dresse le tableau de signes du trinôme à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme
est du signe de , sauf entre les racines s’il y en ».

5. On a .
On cherche les racines du trinôme . On a . Comme le
discriminant est positif, le trinôme admet deux racines : et .

On dresse le tableau de signes à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme
est du signe de , sauf entre les racines s’il y en a ».
L’ensemble des solutions de cette inéquation est donc :
.
6. On a ce qu’on peut écrire
, grâce à l’identité remarquable . Et on
obtient alors le tableau de signes ci-dessous.
45
L’ensemble des solutions de cette inéquation est donc : .
1. On a donc . Or
pour tout . Donc l’ensemble des solutions de cette inéquation est .
2. On sait que pour tout . Donc pour tout .
Donc l’inéquation n’a pas de solutions dans .
3. On peut réécrire en puis en

en utilisant l’identité remarquable
. Résoudre cette inéquation revient donc à résoudre l’inéquation
. On a le tableau de signes suivant :

4. On peut réécrire en puis en en
utilisant l’identité remarquable . On dresse alors le tableau de
signes ci-dessous
46
Et on en déduit que l’ensemble des solutions de cette inéquation est
1. On cherche les racines de . Le discriminant de ce trinôme vaut
. Comme , ce trinôme admet deux racines : et . On dresse

alors le tableau de signes à l’aide du théorème du cours : « Un trinôme est du
signe de , sauf entre les racines s’il y en a ».

. Comme , ce trinôme n’admet aucune racine réelle et est donc du signe de
sur . On obtient donc le tableau de signes ci-dessous.
47

. Comme , ce trinôme admet deux racines réelles : et . Ce

trinôme est du même signe que sauf entre ses racines. On obtient donc le tableau
de signes ci-dessous.

4. On cherche les racines de . Le discriminant de ce trinôme vaut :
. Comme , ce trinôme n’admet aucune racine réelle et est donc tout le temps
du signe de . On a donc le tableau de signes ci-dessous.

5. On cherche les racines de . Le discriminant de ce trinôme vaut :
. Comme , ce trinôme admet deux racines : et . De plus ce

trinôme est du signe de sauf entre ses racines. On obtient donc le tableau de
signes ci-dessous.
48
1. On cherche tout d’abord les racines de . On a . Comme
, ce trinôme admet deux racines : et . On fait de même pour

. On a . Comme , ce trinôme admet lui-aussi deux
racines : et .
On sait de plus que ces deux trinômes sont du signe de (–3 dans le cas de , 5 dans le cas
de ) sauf entre leurs racines. On a donc le tableau de signes ci-dessous.
Donc l’ensemble des solutions de cette inéquation est : .

2. On cherche tout d’abord les racines de . On a . Comme
, ce trinôme admet deux racines : et . On fait de même pour
. On a . Comme , ce trinôme admet lui aussi deux
racines : et . On sait de plus que ces deux trinômes sont du signe de (1

dans le cas de , 3 dans le cas de ) sauf entre leurs racines. On a donc le tableau de signes
ci-dessous.
L’ensemble des solutions de cette inéquation est : .

3. En reconnaissant une identité remarquable, on peut réécrire
en . Résoudre cette
inéquation revient donc à résoudre l’inéquation : .
On cherche donc les racines de . On a , donc et donc
ce trinôme admet deux racines : et . De plus on sait que ce trinôme est du

signe de sauf entre ses racines. On a donc le tableau de signes ci-dessous.
49

4. On cherche tout d’abord les racines de . On a donc
et donc ce trinôme n’admet aucune racine réelle. On fait de même pour
. On a donc et donc ce trinôme n’admet aucune racine réelle. Ces trinômes
sont donc du signe de (–1 pour et 3 pour ) et on obtient le tableau de signes ci-dessous.
1. On résout tout d’abord l’inéquation qu’on peut réécrire
. On cherche donc les racines de . On a
donc et donc ce trinôme admet deux racines : et . De
plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses racines. On a donc le
tableau de signes ci-dessous.
Donc pour .
On résout ensuite l’inéquation qu’on peut réécrire . On
cherche donc les racines de . On a donc et donc ce
50
trinôme admet deux racines : et . On obtient, pour les mêmes

raisons qu’un peu plus haut, le tableau de signe ci-dessous.
Donc pour .
L’ensemble des vérifiant est donc l’ensemble des appartenant
à la fois à et à c’est à dire
l’ensemble des appartenant à .
2. On précise tout qu’on résout cette inéquation dans car en le dénominateur du

membre central s’annule.
On résout dans un premier temps l’inéquation qu’on peut réécrire
. On cherche maintenant les racines de . On a
donc et donc ce trinôme admet deux racines : et
. De plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses

racines. On a donc le tableau de signes ci-dessous.
Donc pour .
On résout dans un second temps l’inéquation qu’on peut réécrire
. On cherche donc les racines de . On a
donc et donc ce trinôme admet deux racines : et . De

plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses racines. On a donc le
51
Donc pour .
En conclusion l’ensemble des vérifiants est donc
1. On résout cette inéquation sur . On peut réécrire en
et on cherche alors les racines de : On a
donc et donc ce trinôme admet deux racines : et
. De plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses
racines. On a donc le tableau de signes ci-dessous.
L’ensemble des solutions cette inéquation est donc : .

2. On résout l’inéquation sur . On cherche les racines de . On a
donc et donc ce trinôme admet deux racines : et . De plus

on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses racines. On a donc le
52

3. Pour déterminer l’ensemble de résolution, on cherche les racines de .
On a , donc et donc ce trinôme admet deux racines : et .
On résout donc l’inéquation dans .
On cherche désormais les racines de : On a donc
et donc ce trinôme admet deux racines : et . De plus on sait que ces

trinômes sont du signe de (1 pour et –2 pour ) sauf entre leurs racines. On a donc le
L’ensemble des solutions des solutions est donc : .

4. Pour déterminer l’ensemble de résolution, on cherche les racines de :
on a donc et donc ce trinôme n’admet aucune racine réelle. Il n’y a donc
aucune valeur interdite : on résout donc l’inéquation dans .
On cherche maintenant les racines de : on a donc donc
ce trinôme n’admet aucune racine réelle. Ces deux trinômes n’ont aucune racine, elles sont
donc tout le temps du signe de (2 pour et 1 pour ). On a donc le tableau de signes ci-
dessous.
5. On résout l’inéquation sur . On commence par réécrire l’inéquation de manière

à la ramener à la comparaison d’une expression par rapport à 0 :
. On cherche ensuite les racines de

: on a donc et donc ce trinôme admet deux
racines : et . De plus on sait que ce trinômes est du signe
53
de sauf entre ses racines. Et enfin on pose . On

obtient ainsi le tableau de signes ci-dessous.
L’ensemble des solutions est donc : .
6. On résout l’inéquation sur . On commence par réécrire l’inéquation de manière

à la ramener à la comparaison d’une expression par rapport à 0 :
. On cherche ensuite les racines de

: on a donc et donc ce trinôme admet deux
racines : et . De plus on sait que ce trinôme est du

signe de sauf entre ses racines. Et enfin on pose . On
obtient ainsi le tableau de signes ci-dessous.
L’ensemble des solutions est donc : .
1. La fonction racine carrée est définie sur . Pour savoir quand la fonction est définie
on doit donc résoudre . On cherche d’abord les possibles racines de ce
trinôme : on a , le discriminant est donc positif et donc ce trinôme admet deux
racines : et . De plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf
entre ses racines donc pour . Et donc
l’ensemble de définition de est .
2. Ici les deux problèmes qui peuvent se poser pour le domaine de définition de la fonction sont
la racine carrée (il faut que ce qu’il se trouve en dessous soit positif) et le quotient (on ne doit
pas diviser par 0). On cherche donc à résoudre l’inéquation : on a
, donc le discriminant est positif et donc ce trinôme admet deux racines :

et . De plus on sait que ce trinôme est du signe de sauf entre ses racines
54
donc pour . Le dénominateur de cette

fonction pourrait aussi s’annuler si mais cela ne change rien à l’intervalle précédent
puisque 0 y est déjà exclu : l’ensemble de définition de est donc .

3. On cherche les potentielles racines de : , donc le discriminant de ce
trinôme est positif et donc il admet deux racines : et . Ce trinôme est du signe
de sauf entre ses racines. On a donc le tableau de signes ci-dessous.
Cette fonction n’est définie que si et si ce qui se trouve sous la racine
est positif. L’ensemble de définition de est donc .

4. Cette fonction n’est définie que quand ce qu’il se trouve sous les racines est positif. On
commence par chercher les potentielles racines de : on a , le
discriminant est donc positif et ce trinôme admet donc deux racines : et . Ce
trinôme est du signe de sauf entre ses racines donc pour
. Or n’existe pas pour . Donc l’ensemble de définition
de est .
1. Pour répondre à la question on résout . On commence par réécrire cette
inéquation de manière à la mettre sous la forme d’une expression comparée à 0 :
.
On pose maintenant pour .
étant strictement positif pour tout réel, est du signe de .

Déterminons donc le signe de . On calcule : . Le discriminant étant positif,
ce trinôme admet deux racines réelles : et . Donc, ce trinôme étant du signe
de sauf entre ses racines, on obtient le tableau de signes ci-dessous.
Donc pour . Donc la concentration dépasse mg/L entre une demi-heure

et 2 heures après l’injection du produit.
55
2. Pour répondre à la question on résout on résout . On commence par réécrire cette

inéquation de manière à la mettre sous la forme d’une expression comparée à 0 :
.
On pose maintenant pour . étant strictement positif pour
tout réel, est du signe de . Déterminons donc le signe de : On a

donc pour tout réel d’après l’identité
remarquable . Donc est toujours négatif ou nul, donc ne peut
pas être strictement positif : la concentration n’est donc jamais strictement supérieure à 2.
L’aire de , notée est donnée par .
L’aire de , notée est donnée par .
Pour répondre à la question, on doit donc résoudre .

Commençons par réécrire cette inéquation pour la mettre sous la forme d’une expression que l’on
compare à 0 : . En calculant le
discriminant on obtient . Le discriminant étant positif, ce trinôme admet donc deux racines :
et . Ce trinôme étant du signe de sauf entre ses racines, on obtient

au final le tableau de signes ci-dessous.
Une longueur est toujours positive. Donc pour tout . Donc la valeur
minimale à donner à pour que le miroir ait une aire supérieure aux neuf dixièmes de l'aire
totale de est cm.
Étudier la position relative de ces deux courbes revient à étudier le signe de
. On calcule le discriminant de ce trinôme : . Ce
discriminant est positif donc admet deux racines réelles : et . Ce trinôme est du
signe de sauf entre ses racines. La fonction admet donc le tableau de signes ci-dessous.
56
Donc est strictement au-dessus de sur et sur . est strictement en-
dessous de D sur . Et et ont deux points d’intersection : le point d’abscisse et le

point d’abscisse 1.
1. Pendant le temps de réaction du conducteur, la vitesse du véhicule est de km/h. Donc il
parcourt km en une heure, soit mètres en 3 600 secondes. Donc si le véhicule a
une vitesse de km/h, il a une vitesse de m/s. On a donc où

est la distance parcourue pendant le temps de réaction et le temps mis pour effectuer cette
distance. On sait que s. Donc et donc c’est à dire
2. On a m.
3. Pour répondre à la question on cherche à résoudre c’est à dire
. Ici le discriminant vaut , il est positif donc ce trinôme

admet deux racines réelles dont on donne les valeurs approchées : km/h et
km/h. Ce trinôme est du signe de sauf entre ses racines, il admet

donc le tableau de signes ci-dessous.
On ne considère que les valeurs positives car une vitesse est forcément positive. Les
vitesses qui permettent de s’arrêter en moins de 15 m sont les vitesses inférieures à
33,64 km/h environ.
1. Pour tout réels et ,
2.
a. Si est une racine de alors . Donc pour tout
réel.
b. D’après la question précédente on sait que pour tout réel.
Donc pour tout réel et
donc
pour tout réel.
3. D’après la question précédente, pour tout
réel. Grâce à la question 1 on sait que et grâce à
57
une identité remarquable on peut écrire . Donc

et donc
pour tout réel. Donc, en conclusion,
est bien factorisable par .
1. On a donc 1 est bien une
racine de . D’après l’exercice précédent (question 2.b et 1), on a :
et . Donc
On calcule maintenant le discriminant de . On a . Le discriminant était
positif, ce trinôme admet deux racines réelles et . Donc, en conclusion, les
racines de sont 1, et 3.
racine de . D’après l’exercice précédent, on a :
d’après l’identité remarquable .

Donc les racines de sont 1 et 4.
racine de . D’après l’exercice précédent, on a :
On calcule le discriminant de : on obtient . Le discriminant est

positif, ce trinôme n’admet donc pas de racine réelle. Donc admet une seule racine : 1.

1. 1 est une solution évidente de . On appelle l’autre solution. On sait que
lorsqu’ un trinôme admet deux racines distinctes ou confondues leur somme
et leur produit vérifient : et . On a donc ici . Donc .

2. –1 est une solution évidente de . On appelle l’autre solution. Pour les
mêmes raisons on a . Donc .

3. 1 est une solution évidente de . On appelle l’autre solution.
Pour les mêmes raisons on a . Donc .
4. est une solution évidente de . On appelle l’autre solution. Pour
les mêmes raisons on a . Donc .
58
Deux réels ont pour somme 10 et pour produit 13 si, et seulement si, ils sont solutions de l’équation
. Le discriminant de ce trinôme vaut , l’équation admet donc deux

On peut vérifier qu’on a bien et .
. Le discriminant de ce trinôme vaut , l’équation admet donc deux
solutions réelles : et . On peut

alors vérifier qu’on a bien et .
. Le discriminant de ce trinôme vaut , l’équation n’admet donc pas
de solution dans : Il n’existe pas deux nombres réels dont la somme est 12 et le produit 42.
Si on note la longueur du rectangle et sa largeur, on a et . Le problème
revient donc à trouver deux réels dont la somme vaut 18 et le produit 32. Deux réels ont pour somme
18 et pour produit 32 si, et seulement si, ils sont solutions de l‘équation . Le
discriminant de ce trinôme vaut , l’équation admet donc deux solutions réelles
distinctes : et . Le rectangle a donc pour longueur

16 cm et pour largeur 2 cm.
1. Le discriminant de ce trinôme vaut . Les coordonnées du
sommet de la parabole sont donc c’est à dire . Étant

donné que , cette fonction admet comme tableau de variations celui ci-dessous.
2. Le discriminant de ce trinôme vaut . Les coordonnées du
sommet de la parabole sont donc c’est à dire . Enfin, étant

donné que , cette fonction admet comme tableau de variations celui ci-dessous.
59
3. On peut réécrire le trinôme comme suit : . On reconnaît alors

une identité remarquable, ce qui nous permet d’écrire : pour tout réel.
Ce trinôme est maintenant écrit sous forme canonique, on peut donc directement en déduire
que les coordonnées du sommet de la parabole sont . Enfin, étant donné que
, cette fonction admet comme tableau de variations celui ci-dessous.
On peut voir grâce aux tableaux de variation que ce trinôme n’admet qu’une seule racine : 5.
Le discriminant de ce trinôme est donc forcément égal à 0.
4. Le discriminant de ce trinôme vaut . Les
coordonnées du sommet de la parabole sont donc c’est à dire
. Enfin, étant donné que , cette fonction admet comme tableau de

variations celui ci-dessous.
1. Le coefficient devant est négatif, donc est croissante sur et
décroissante sur . Donc en 4, admet un maximum.
2. D’après la formule de calcul de l’abscisse de l’extremum, on a donc
et donc . La fonction s’écrit donc et ainsi

.
1. On appelle la largeur de l’enclos et sa longueur. Le périmètre de ce rectangle étant de 18
m, on a et on peut donc en déduire que . On appelle maintenant
60
l’aire de l’enclos. On a et on cherche donc

le maximum de cette fonction . On commence par trouver le discriminant de ce trinôme du
second degré : . Les coordonnées de l'extremum de cette
fonction sont donc c’est à dire . Et enfin, étant donné que

, cette fonction admet comme tableau de variations celui donné ci-dessous.
Donc l’aire est maximale quand m et donc quand m. On peut même

remarquer qu’à ce moment là l’enclos est - de plus - un carré.
2. On a . L’aire maximale vaut
donc m2
1. On note . D’après l’écran de la calculatrice, 3 est solution de l’équation
c’est à dire de l’équation . Or,
. La somme des
racines de ce trinôme est égale à , donc la deuxième racine de ce trinôme est
égale à .
2. Le produit des racines est égal à mais aussi à , d’où et

En conclusion, est définie par .
Note : On peut aussi résoudre ce problème plus simplement.

On sait que et s’intersectent en ce qui signifie forcément que . En
reprenant l’écriture , on peut donc écrire
c’est à dire et on obtient donc directement sans passer par la somme
et le produit des racines d’un trinôme.
On sait que peut s’écrire puisque et –3 sont racines de ce
trinôme. On a donc . On calcule alors le discriminant : . Donc
l’abscisse de l’extremum vaut : . Or, d’après l’énoncé, on sait que l’abscisse de cet extremum
vaut donc , d’où . Donc au final ce qu’on

peut aussi écrire .
61
On note l’aire de la partie bleue. On a, pour tout ,
.
Pour répondre à cette question on doit donc étudier les variations de ce trinôme. On a
. Donc les coordonnées de l’extremum de ce trinôme sont
donnés par et l’extremum a donc pour coordonnées . Et enfin, étant
donné que , cette fonction admet comme tableau de variations celui donné ci-dessous.
La partie bleue a donc la plus petite aire pour cm.
On appelle la somme touchée par le club de vacances pour participants. On a
pour . On commence par calculer le
discriminant de ce trinôme : . On peut donc trouver les coordonnées de l’extremum de ce
trinôme : . Et comme , on obtient le tableau de variations ci-dessous.
Le club gagnera donc le plus d’argent, soit 1600 €, pour 40 participants.
On appelle le nombre d’augmentations de 1 € réalisées et le bénéfice du sponsor. On a donc
. Pour répondre à cette
question on doit donc étudier les variations de ce trinôme. On a
. Donc les coordonnées de l’extremum de ce trinôme
sont donnés par et l’extremum a donc pour coordonnées .

Et enfin, étant donné que , cette fonction admet comme tableau de variations celui
donné ci-dessous.
62
Le nouveau prix que devra fixer le sponsor est 80 € (50 € + 30 € d’augmentation).
On note le rayon et la hauteur cherchés. On note .
On sait que soit ou encore .
Soit l’aire latérale du cylindre. On a ou encore .
On a . Donc soit . On cherche donc le maximum
de la fonction définie par . admet un maximum (car le coefficient devant est
négatif) en soit et donc .
Soit et ces deux nombres. On a . On veut que la somme de leurs carrés soit
soit minimale. On a donc la somme de leurs carrés devient :
.
admet un minimum (car le coefficient devant est positif) en c’est à dire en .

Donc et sont les deux nombres cherchés.
On note . Comme alors . Le produit des racines vaut, d’après
le cours, . Donc et donc . De plus donc soit

. Donc . On a donc au final pour tout réel.
On note . Comme alors . De plus donc
et donc c’est à dire . La somme des racines vaut,
d’après le cours, . Donc et donc . On a donc , donc
c’est à dire et donc . On a donc au final .
1. L’équation admet 2 solutions : –2 et 5. On peut donc écrire
. On sait de plus que , d’où et
donc . On a donc .
63
2. On a de même et d’où et
. Et et d’où et
donc au final .
3. On résout pour commencer l’équation , qui est la plus simple à résoudre.
On calcule ensuite pour connaître l‘ordonnée du point d‘intersection entre les courbes
représentatives des fonctions et : .
Il reste à déterminer si le point de coordonnées appartient à la courbe représentative
de la fonction : .
Les trois courbes ont donc un point commun, le point de coordonnées .
L’aire de , notée , est égale à .
L’aire de , notée est donnée par donc soit

encore .
L’aire de , notée est donnée par . On a donc
L’aire de , notée est donnée par . On a donc
et donc .
L’aire de , notée , vérifie la relation suivante :
admet donc un minimum en .

Donc l’aire est minimale lorsque est le milieu de et le milieu de .
Exercices de synthèse
1. On a donc n’a pas de racine réelle. pour tout .
On a le tableau de variation suivant :
64
et la représentation graphique :
2. On a donc a deux racines réelles distinctes : et . On

a le tableau de variation suivant :
On a le tableau de signes suivant :
65
3. On a donc a deux racines réelles distinctes : et . On a le

tableau de variation suivant :
On a le tableau de signes suivant :
4. On a donc a une racine double : . On a le tableau de variation :
et de signes suivant :
66

1.
a. La fonction est d'abord décroissante puis croissante donc . Comme le trinôme
n'admet pas de racine, . Le minimum est atteint pour un nombre strictement
négatif égal à avec donc est strictement positif.

Enfin, .
b. La fonction est d'abord croissante puis décroissante donc . Comme le trinôme

n'admet pas de racine, . Le maximum est atteint en un nombre strictement
négatif égal à avec donc est strictement négatif.

Enfin, .
c. La fonction est d'abord croissante puis décroissante donc . Comme le trinôme
admet deux racines, . Le maximum est atteint en un nombre strictement positif
égal à avec donc est strictement positif. Enfin, .

d. La fonction est d'abord décroissante puis croissante donc . Comme le trinôme
admet deux racines, . Le minimum est atteint en un nombre strictement négatif
égal à avec donc est strictement positif.

Enfin, .
2.
a. Il n’y a pas de racine.
b. Il n’y a pas de racine.
c. Les deux racines sont positives donc la somme et le produit de celles-ci sont positifs.
d. Les racines sont de signes contraires donc le produit de celles-ci est négatif. La
somme des deux racines est égale à . Or et donc . Donc la

somme des deux racines est négative.

On rappelle que et et que et
1. On résout l’équation dans .
On a et
67
et
et
On obtient une équation du second degré pour laquelle on peut déterminer . On a .
a donc deux racines réelles distinctes : et .
Les solutions éventuelles de l’équation de départ doivent se trouver dans .
Seule convient. Donc l’ensemble des solutions est .

2. Pour trouver le domaine de résolution de l’équation, on résout et
.
est toujours vrai pour réel. Pour résoudre , on détermine
. On a . Le trinôme a deux racines réelles distinctes : et
. On a le tableau de signes suivant :
On résout donc l’équation dans .
et et
et
On cherche les racines de . On a . Il y a deux racines réelles

distinctes : et . et
.
Donc l’ensemble des solutions de est .
3. Pour trouver le domaine de résolution de l’inéquation, on résout et
. La première inéquation donne . Pour l’autre inéquation, on calcule
. On a . Il y a deux racines distinctes : et . On a le tableau de signes
suivant :
La deuxième condition est donc . On doit donc résoudre

l’inéquation dans . Dans cet ensemble, on a :
et et
et
et .
On calcule le discriminant de . On a . Il y a deux racines réelles
distinctes : et . On a le tableau de signes suivant :
68
Donc l’ensemble des solutions est (on note que ces

solutions sont bien comprises dans ).
4. On résout dans .
On cherche les racines de .
On a . , donc il y a deux racines : et .

On dresse le tableau de signes suivant.
L’ensemble des solutions est : (on

note que la valeur –2 est exclue).
5. On cherche les racines de . On a . , donc il y a deux
racines : et .
On résout donc l’inéquation dans .
On a : pour tout réel. Donc les racines de
sont et soit encore et .
On dresse le tableau de signes suivant.
69
L’ensemble des solutions est : .

1. Soit . Cela revient à résoudre . On calcule
: . donc donc . Donc l’équation admet deux
solutions réelles qui sont les abscisses des points d’intersection de P et .
2.
a. On a . Donc les abscisses de et sont : et
. On a aussi et , car ces points
appartiennent à la droite donc et
b. On a et . Donc et
c. On a bien donc appartient bien à la parabole d’équation .
3.
70

1. On calcule le discriminant : . donc n’a pas de racine réelle.
2. Les coordonnées du sommet de cette parabole sont c’est à dire .

De plus , ce trinôme admet donc pour tableau de variations le tableau ci-dessous.
3.
5.
6. D’après le graphique, lorsque , et n’ont pas de point d’intersection. Lorsque
, et ont un unique point d’intersection. Lorsque , et ont
deux points d’intersection.
Cas
Cas
71
Cas
7. Lorsqu’il est unique, le point d’intersection a pour coordonnées : .
8. Pour déterminer les coordonnées des points d’intersection, on résout l’équation

. On a . On doit
donc résoudre l’équation . On calcule . On a
c’est à dire ou encore . Et on a donc le tableau de signes
suivant :
Donc :
- pour , et donc l’équation n’admet pas de solution réelle et donc et
n’ont pas de point d’intersection.
- pour , et donc l’équation admet une unique solution réelle et donc
et ont un unique point d’intersection.
- pour , et donc l’équation admet deux solutions réelles distinctes et
donc et ont deux points d’intersection.
On pose maintenant et on détermine les coordonnées du point d’intersection. On a
. Donc le point
d’intersection a pour abscisse 2. appartient à donc son ordonnée vérifie :
. Donc . Donc a pour coordonnées .
72
10. On constate que lorsque varie, décrit une demi-droite portée par la droite d’équation
.
11. Soit . Déterminons les coordonnées de . Pour les déterminer il faut déterminer les
coordonnées de et , les points d’intersections de la droite avec la parabole. On résout
en fonction de l’équation . On a . et
. Dans notre cas donc et donc il y a deux solutions :
et . On appelle le point d’intersection
d’abscisse et celui d’abscisse . On a . Donc . est le

milieu de qui est sur la droite donc appartient à et donc ses
coordonnées vérifient l’équation de . D’où . Donc a
pour coordonnées , pour .
Donc appartient à la droite d’équation et on . Donc l’ensemble
des points est l’ensemble des points de la droite d’équation dont l’ordonnée est
strictement supérieure à 3. Donc l’ensemble des points est la demi-droite .

1. Soient et deux réels. On a
2.
a. et sont solutions de l’équation .
b. On a . Donc .
c. Si , les solutions sont données par : et .

d. En remplaçant et par leurs valeurs en fonction de et on obtient :
et
73
On a donc et . Maintenant on cherche et

: on a et donc pour trouver leurs valeurs on prend la racine cubique de et
. On prend donc et et on obtient
donc comme solution : qu’on
peut encore écrire .

3. Avec la formule obtenue à la question précédente, on trouve comme solution 7. On factorise
donc le trinôme par : pour tout .
On résout à présent . On a donc il n’y a pas de solution réelle
pour l’équation . D’où l’équation admet une seule
solution réelle : 7.

1. Soient et deux réels. On a .
2. On a qui, en posant , s’écrit :
.
On peut développer le membre de gauche pour obtenir :
.
Puis on peut regrouper les termes en , les termes en ensemble :
.
On divise ensuite les deux membres de l’équation par (qui est non nul d’après l’énoncé) :
.
Et on obtient au final :
On obtient donc bien une équation de la forme avec et

1. On appelle la fonction représentée par la parabole. On pose .
On a le système suivant :
74
On a . Une équation de la parabole est .

2. On calcule . On trouve . Le code qui permet d’ouvrir le coffre
est donc 1969982.

1.
a. Soit . On a
.
.
.
b. Pour avoir , pour tout , on prend et .
On a donc où est un nombre réel quelconque. On peut

prendre par exemple.
75
c. Soit . donc
car . Et en simplifiant on a : .
Or, . D’où
et donc .
2.
a. Soit . On a
Donc . Pour avoir
, pour tout , on prend et . On a
donc où est un nombre réel quelconque. On peut

prendre par exemple.
b. Soit . donc
et donc . Or,
. Donc
. D’où
et donc et on peut
montrer, par un simple développement, que .
3. Soit un polynôme de degré 4. On note avec , , ,

et des réels tels que . Déterminons , , , et pour avoir, pour tout ,
.
On a .
Pour avoir , pour tout , on prend , , et
. Et on a donc où est un nombre réel quelconque.

On peut prendre par exemple. On a .
Or,
donc d’après l’identité remarquable
. Donc on a ou encore .

1. On résout l’équation dans . On utilise le changement de variable : . On a
. On calcule le discriminant de
76
. On a . Donc a deux solutions réelles

distinctes : et . On résout ensuite et . n’a
aucune solution car une racine est toujours positive. . L’ensemble des
solutions de est donc .
. On a . Donc a deux solutions réelles distinctes :
et . On résout ensuite et .
On a donc .
D’autre part, on a : donc .
L’ensemble des solutions de est donc .

3. On résout l’équation dans . On a :
On pose donc le changement de variable suivant : et on doit alors résoudre

l’équation . On calcule le discriminant de . On a .
Donc admet deux solutions réelles distinctes : et .
On résout ensuite et .
On a donc, d’après la règle du
produit nul, ou .Et d’autre part, on a :
. On calcule le discriminant : . Il y a donc
deux solutions réelles distinctes à l’équation : et
. Au final L’ensemble des solutions de
est donc .
. On a , il y a donc deux solutions réelles distinctes :
et . On résout ensuite les équations et .
n’a aucune solution car pour tout réel.

ou .
L’ensemble des solutions de est .
77

1. On appelle la résistance équivalente aux résistances et du premier montage. On a
donc . On a donc
.
2. On a .
3. On veut résoudre l’équation . En remplaçant et par leurs
expressions en fonction de . Et on obtient alors l’équation :
4. En sachant que ohms, on peut réécrire l’équation précédente comme suit :
. Et étant positif, on a ohms.

On pose . L’équation peut s’écrire . Si est solution de
l’équation , alors est solution de .
On va donc résoudre . On a .
. On calcule . On a . Il y a deux solutions réelles :
et . On a donc trouvé deux solutions de . Pour trouver les deux autres, on va
factoriser le polynôme . On a :
. On factorise par . On a
. On factorise ensuite par . On a
.
Donc .
On cherche les racines de . On a .
Il y a deux racines réelles distinctes : et .
Donc a 4 solutions réelles distinctes : –1, 5, et .

Soient : la vitesse du groupe en m/s, la vitesse d’Amaury, le temps aller d’Amaury et le
temps retour. On a .
La distance aller est mais on a aussi .
La distance retour est mais on a aussi .
On a donc et de là on obtient : .
De même, on a et de là on obtient : .
Comme le groupe parcourt 30 mètres pendant l’aller-retour d’Amaury, on a soit
En simplifiant par 30, on trouve .
78
En réduisant au même dénominateur, on a .
car . OU encore
Comme , on obtient :
On pose . On obtient l’équation . On trouve comme solutions :

et . On ne garde que la solution positive soit .
Donc .
La distance parcourue par Amaury est donnée par .
On a . Or est la distance parcourue par le groupe et
est de 30 mètres. Donc la distance totale parcourue par Amaury est de mètres soit
environ 72,43 mètres.
Soit et ces deux réels non nuls. Ils vérifient d’après l’énoncé : . On
résout cette équation dans :
On cherche donc à résoudre l’équation . Avec le changement de variable

, on obtient . Cette équation à deux solutions : et
. On résout enfin et .
Il y a donc quatre solutions : , , et .
Et en conclusion on a deux couples solutions pour notre problème : et
79

Livre Du Professeur - Chapitre 3 - Équations Et Inéquations Du Second Degré

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Chapitre 3 : Équations et inéquations du second

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Informations sur le chapitre

Les connaissances soulignées par le programme de la classe de Seconde sont :

Les compétences associées sont :

À la fin du chapitre, l’élève doit être capable de :

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Commentaires supplémentaires sur cette page :

Corrigés des exercices

2. Pour tout réel ,

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L’ensemble des solutions est donc .

produit nul. D’où ou , c’est à dire ou .

L’ensemble des solutions est donc .

D’où, d’après la règle du produit nul, et donc .

L’ensemble des solutions est donc .

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b. On a, d’après la question précédente :

produit nul, ou , c’est à dire ou .

L’ensemble des solutions est donc .

L’ensemble des solutions est donc .

L’ensemble des solutions est donc .

5. On dresse le tableau de signes de :

L’ensemble des solutions est donc .

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2. À l’aide du graphique, on peut tracer le tableau de signes ci-dessous.

2. Pour tout réel ,

règle du produit nul. D’où ou . Et donc, l’ensemble des solutions est

D’où, d’après la règle du produit nul, ou . Et donc, l’ensemble des

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Et donc l’ensemble des solutions est .

Et donc l’ensemble des solutions est .

Activité A : Tour de magie

Ce que dit le B.O. :

Informations utiles sur l’activité A :

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Activité B : Signe d’un trinôme du second degré

Ce que dit le B.O. :

a. On a donc admet deux racines réelles

Et on a donc le tableau de signes ci-dessous.

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Et on a donc le tableau de signes ci-dessous.

Activité C : Somme et produit de racines

Ce que dit le B.O. :

Informations utiles sur l’activité C :

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4. On constate dans les deux cas que et .

. La relation conjecturée semble donc toujours valable.

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L’ensemble des solutions de cette équation est donc .

trinôme admet donc deux racines réelles : et .

Par lecture du tableau de signes, l’ensemble des solutions est .

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Donc la réponse b. est vraie.

. On commence par calculer le discriminant de

distinctes : et . Or un trinôme est

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On calcule maintenant le discriminant de en fonction de . On a soit

deux racines réelles distinctes : et

3. D’après le tableau de signes établi en 2., l’ensemble des solutions de l’inéquation

4. Le sommet de la parabole représentant a pour coordonnées .

Donc le sommet de la parabole représentant a pour coordonnées . Et comme