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GOZZERINO L3 MUSICOLOGIE
Nous sommes tous contraint à un moment de notre existence, de regardé vers le passé
pour avancer. Ce passé fait parti des expériences. Et l’expérience a réellement quelque
chose à nous apprendre. Elle vient soit, confirmer nos connaissances soit leur donner du
contenu, dans certains domaines, dans d’autres et plus généralement elle est simplement le
lieu du réel et de l'existence que nous ne pouvons donc connaître que par l'expérience. C’est
donc toujours ambiguë de rejeter son passé et donc, ses influences. Car cela fait parti de
nous, tout comme les Traditions. Nous avons en tant qu’être humain, une identité qui relève
du milieu ou l’on vit et a vécu qui peut, crée, par la suite ce que l’on appelle des
« habitudes ».La tradition et l’habitude sont deux choses similaire. L’un paraît pourtant plus
dérangeant puisqu’il a été à l’origine de conflit, guerre, tension lorsque celle ci (la tradition)
est différente d’un groupe pensant être l’unique façon de penser à suivre dans un pays ou, le
monde. Nous pouvons penser directement à la période actuelle et à ses actes plus tourné
vers la religion et ses traditions. Nous avons à faire à ce même genre de problème dans les
domaines des Arts. Et en outre ici à la Musique. Pour chaque mouvements musical il existe
une tradition différente. Chose logique puisque c’est grâce à ces différences que l’on peut
distinguer les différents mouvements musicaux. Dans cette extrait de Philippe Albèra de
« Comment raconter le XX Siècle : une évolution non linéaire » Mr.Albèra, nous dit : « les
créateurs soient toujours « allés de l’avant » dans la recherche d’innovations de plus en plus
radicales ». On parle de moment d’invention, de révolution, ou de rupture qui alternent avec
des phases de prolongation ou de retour à des styles du passé. Cependant pourquoi ?
Pourquoi faut-il toujours se retourné au passé, pour tout simplement, avancé. Mais comme
cela a toujours crée des tensions entre ceux qui l’assume et qui en ont besoin pour avancer
et ceux ,qui préfèrent rejeter ce passé pour crée. C’est pour cela que nous allons voir en
quelle mesure le mot Tradition dans la Vie musicale du début du XX siècle est synonyme de
tension. Pour traiter de cette question, nous verrons d’abord la continuité et la modification
de la tradition Musicale. Enfin nous parlerons des Traditions Nationalistes.
Adrian GOZZERINO L3 MUSICOLOGIE
La musique “Classique” a littéralement explosé au début du 20 ème siècle. En effet à
cette époque les mœurs font que nous pouvons avoir comme questionnement en tant que
simple découvreur de ce genre les questions suivantes : Pourquoi composer avec des notes ?
Pourquoi jouer avec des instruments ? L’interprète est il essentiel ? Le son est il musique ?. Il
existe alors des musiciens qui, à partir des bases et des trames traditionnelles de la musique,
arrange le tissu sonore pour en faire une véritable matière à création en l'enrichissant
d'harmonies nouvelles et raffinées, et d'une sensibilité qui n'est pas sans rappeler les
maîtres du passé : se sont les néo-classiques. Ils s'opposent donc à la conception d'autres
créateurs qui rejettent les structures et les règles de la musique. Ceux-ci cherchent un autre
art, ils élaborent un intense travail sur le matériau sonore : à partir de Debussy et de l'école
de Viennes une véritable révolution musicale. La musique du XXème siècle prend deux
grandes directions principale : la musique "harmonieuse", qui reste dans la tradition du
classicisme et du romantisme, mais avec un texte du XXème ; et la musique "expérimentale",
qui vise à utiliser les nouvelles technologies pour créer de la musique. Prenons un exemple
avec l’œuvre de Debussy « La fille aux cheveux de Lins ». Dans cette pièce, le thème principal
est basé sur les échelles pentatoniques. Les touches noires pour le
piano.(Eb,Gb,Ab,Bb,Dd,Eb). Toutes les notes du thème font partie de l’échelle pentatonique.
Nous parlerons ici d’échelles Non traditionnels. Les accords traditionnels (Majeur – mineur)
sont ici utilisés dans un contexte ici non Traditionnels. Dans son langage musical le
compositeur utilise des accords traditionnels comme moyen pour donner des couleurs sans
imposer leurs fonction Harmonique Traditionnelle. Pour conclure, Nous avons l’utilisation
d’échelles non traditionnelles. L’utilisation des neuvièmes, onzièmes et troisièmes qui crée
des harmonies étendues. Les accords traditionnels utilisé dans un contexte non traditionnel.
L’ambigüité de la tonalité qui permette de prouver que l’œuvre est bien dans le contexte du
style de l’époque. Connaissant l’écriture Debussy toutes ces idées révolutionnaires sont
probablement volontaires. Puisqu’il a toujours cherché à briser les codes traditionnels. La
Tradition en musique est d’autant plus chamboulé que préservé. Nous avons à cette époque
une transformation du langage avec l’évolution de la théorie musicale avec l’apparition de
nouveaux termes comme : la modalité, le sérialisme, Dodécaphonisme, La musique Micro-
tonale. Mais aussi avec l’évolution des instruments dans leurs nouvelles manières
d’apprendre l’instrument ou encore plus de nouvelles manières de jouer.
Adrian GOZZERINO L3 MUSICOLOGIE