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2 : Les sociétés d'hébergement Web écologiques utilisent du diesel au lieu de l'essence pour
minimiser la consommation d'énergie dans leurs centres de données.
faux
vrai
Websitecarbon
Websitefootprint
Ikoula
BATIFAC
WordCamp
NameCheap
WordPress Francophonie
a11y
faux
vrai
noms de domaine
1 : Quelles sont les différentes composantes d’un système de télégestion ?
Des capteurs qui envoient des données énergétiques en temps réel ou non.
faux
vrai
3 : D’après le cours, combien d’étapes comprend la démarche de mise en place d’un système de
télégestion ?
3
5
2
4
4 : Il faut nécessairement des compteurs intelligents pour mettre en place un système de télégestion.
faux
vrai
Non
Oui
9 : Pour mettre en place une société de services énergétiques viable qui exploite les opportunités de
la télégestion il faut :
Définir un modèle économique clair, identifier des clients cibles, définir des services
pertinents et créer de la valeur ajoutée.
10 : Les disciplines fondamentales évoquées dans le cours et auxquelles fait appel la télégestion
sont :
L’informatique/L’électronique/Les télécommunications.
Les frontières
La limite
L'enveloppe
2 : Une ____________ est toute forme d'électricité utilisée par des appareils qui sont éteints mais
toujours branchés sur une prise électrique.
charge fantôme
charge hybride
charge électrique
3 : Les ampoules LED consomment plus de _________ d'énergie en moins que l'éclairage à
incandescence.
80%
75%
85%
4 : Quelle application allez-vous utiliser pour numériser vos formulaires d'audit énergétique ?
ASHRAE
DataScope
EnMS
3
5
2
4
6 : Selon la norme ISO 50002, combien d'étapes comporte un audit énergétique ?
19
9
7
7 : À quelle étape l'auditeur énergétique est-il tenu de se rendre sur le site afin de collecter des
données ?
Étape 4
Étape 6
Étape 3
Étape 5
faux
vrai
9 : Il existe quatre types d'audits énergétiques : A) L’audit énergétique standard ; B) L’analyse des
coûts énergétiques ; C) L'audit rapide avec visite du site et D) L’audit énergétique détaillé. Que
pouvez-vous faire sans nécessairement disposer d'instruments sophistiqués ?
A & C
C & D
A & B
B & C
10 : Quelle norme utiliserez-vous pour vous guider dans le processus d'un audit énergétique ?
ISO 50001
ISO 50002
Les deux
hauteur-distance
débit-perte de charge
débit-distance
débit-hauteur
Les noeuds
Les réservoirs
Les tuyaux
Les bâches
5 : La longueur des tuyaux dans le schéma du réseau dans la simulation EPANET est toujours
proportionnelle à la longueur sur le terrain.
faux
vrai
Réservoir
Raccords
Conduites
Tour
7 : Un captage se fait :
à la source
à la borne fontaine
la demande
l'altitude
9 : La fenêtre de propriétés des tuyaux permet de changer manuellement les paramètres suivants
sauf :
le débit
la rugosité
la longueur
le diamètre
1 : La désinfection des conduites (tuyaux), des bassins (réservoirs) et des contenants (récipients,
bouteilles, bidons, …) vise à :
donner la bonne odeur à l’eau ayant séjourné dans ces conduites, bassins et
contenants
donner la couleur à l’eau ayant séjourné dans ces conduites, bassins et contenants
2 : Parmi ces paramètres, lesquels servent à caractériser (mesurer, quantifier) la pollution (la charge)
présente dans l’eau usées sont :
3 : Parmi ces réponses, lesquelles sont des règles relatives à la manipulation de l'eau de javel
(hypochlorite de sodium) :
4 : Les règles pour la manipulation SÉCURITAIRE des produits chimiques (eau de javel/chlore,
chaux, soude caustique, etc.) sont regroupés dans un système d’information appelé :
SYMDU
SIMTUT
SYMDUT
SIMDUT
6.5 – 9.5
6.0 – 8.0
5.5 – 8.3
6.5 – 8.3
la quantité (volume) totale d’eau de javel (hypochlorite de sodium) dosée (injectée) dans
une eau
7 : Les deux principales étapes retrouvées dans un système ou unité ou procédé classique de
traitement des eaux souterraines (puits) sont :
injection de chlore-distribution
couleur (≤ 5UCV)
odeur-goût
vrai
10 : L’injection (le dosage) du chlore (eau de javel) dans une eau SANS UN TRAITEMENT
MINIMUM AU PRÉALABLE comporte des risques de formation des sous-produits comme les tri-
halométhanes nocifs pour la santé humaine :
faux
vrai
1 : Dans un réseau d’irrigation, la sélection d’une pompe dépend de : sa force (capacité de succion
ou profondeur d’aspiration), sa hauteur de refoulement (hauteur d’élévation de l’eau), sa capacité
(galonnage ou volume d’eau qu’elle peut débiter ou fournir) :
faux
vrai
faux
vrai
3 : La Réserve Utile (R.U) d’eau dans un sol (la quantité maximale d’eau pouvant emmagasiner –
retenir- un sol) dépend du : taux de matière organique dans ce sol, pourcentage de Limons et
d’Argiles :
faux
vrai
4 : Dans un système (montage) d’irrigation utilisant les aspergeurs, leur choix (le choix du type ou
modèle d’aspergeurs) va dépendre de :
la grosseur
le niveau des connaissances de l’opérateur (propriétaire-producteur agricole)
la couleur
5 : 80% à 90% du volume d’eau apporté aux cultures par irrigation se perd par :
7 : Le stress hydrique (pour une plante) est le point où le niveau d’eau retenue ou contenu dans le
sol est inférieur aux besoins de la culture installée :
faux
vrai
quand effectuer les prochains apports en eau, quelle quantité d’eau à apporter, quand
redéployer l’arrosage à la suite d’une pluie
10 : Parmi les 2 techniques utilisées pour la gestion des eaux de ruissellement (afin de minimiser les
risques d’érosion des sols), laquelle consiste à l’utilisation d’un produit de synthèse :
application du Polyter
agroforesterie
1 : Le coût moyen du mètre cube installé du biodigesteur vulgarisé dans les pays en développement
se situe entre :
2 : Les modèles de biodigesteur largement vulgarisés dans les pays en développement sont
construits en :
Maçonnerie de briquettes de ciment et de sable
Bâche
Plastique polyéthylène
4 : On nomme « digestat » :
les résidus de matière obtenus après le tri des déchets avant le chargement du
biodigesteur
la matière résiduelle obtenue après la digestion des déchets, la matière liquide qu’on
récupère dans le troisième compartiment du biodigesteur
6 : Les deux éléments suivants font partie des quatre grands composants d’un biodigesteur :
Tri préalable des matières organiques ET Ne pas dépasser la pression requise dans le
digesteur
8 : Parmi les facteurs ci-après, lequel influence le plus le coût de production du biogaz dans le cadre
d’une commercialisation :
la main-d’œuvre
10 : Parmi les déchets suivants, lesquels sont adaptés à une production de biogaz ?
Sachets plastiques
Épluchures de manioc ET Bouses de vache
Épluchures de manioc
Bouses de vache
Des capteurs qui envoient des données énergétiques en temps réel ou non.
faux
vrai
3 : D’après le cours, combien d’étapes comprend la démarche de mise en place d’un système de
télégestion ?
3
5
2
4
4 : Il faut nécessairement des compteurs intelligents pour mettre en place un système de télégestion.
faux
vrai
Non
Oui
9 : Pour mettre en place une société de services énergétiques viable qui exploite les opportunités de
la télégestion il faut :
Mettre en place une équipe pluridisciplinaire.
Définir un modèle économique clair, identifier des clients cibles, définir des services
pertinents et créer de la valeur ajoutée.
10 : Les disciplines fondamentales évoquées dans le cours et auxquelles fait appel la télégestion
sont :
L’informatique/L’électronique/Les télécommunications.
1 : Pourquoi ne faut-il pas laisser la batterie dans son carton d’emballage à l’installation d’un système
solaire photovoltaïque ?
Emprunts bancaires
Capitaux d’associés
4 : 3) Quel est le rôle important que joue la diode placée dans la boite de jonction ?
non
oui
6 : Les deux types de systèmes solaires photovoltaïques présentés dans le module sont :
thermique et autonome
énergie thermique
10 : Parmi les équipements suivants quels sont les composants de base d’un système solaire
photovoltaïque ?
Convertisseur
1 : Laquelle de ces étapes ne fait pas partie des principes de la construction durable :
La planification
La publication
La conception
La rénovation
6 : Selon le module, l’adhésion des populations au concept de construction écologique n’est pas
encore acquise, essentiellement pour la raison suivante :
Parce que souvent les états de font pas la promotion de ces constructions
La température de l’air ambiant a un impact sur le confort hygrothermique d’un bâtiment
Les coûts d’investissement élevés de l’énergie solaire freinent leurs utilisations dans les
bâtiments
Les états devront donner le bon exemple en construisant des bâtiments écologiques
pour accélérer leur adoption par les populations.
9 : Selon le module de formation, lequel des points suivants ne constitue pas un défi pour la
construction écologique bioclimatique :
10 : Selon le module, les actions suivantes sont recommandées pour relever les défis de la
construction écologique / bioclimatique :
1 : Le bâtiment intelligent repose sur le principe de l’exploitation de données sur la vie et l’usage du
bâtiment. Selon le module, lequel de ces énoncés correspond aux sources de données exploitables
par le bâtiment intelligent :
Les capteurs installés dans et autour du bâtiment
2 : Divers protocoles de communication gèrent les échanges entre les systèmes équipant le bâtiment
intelligent. Lequel de ces énoncés ne correspond pas à un protocole cité dans le module de
formation :
KNX
BACNet
Bali
MBus
3 : Selon le module, le bâtiment intelligent est capable de faire coopérer une variété de systèmes
techniques intégrés dans le bâtiment, essentiellement grâce à :
4 : Lequel des énoncés suivants ne fait pas partie des quatre étapes de conception du bâtiment
intelligent, telles que présentées dans le module :
5 : Selon le module, la mise en oeuvre pratique des technologies du bâtiment intelligent s’articule sur
trois couches de fonctionnalités. Lequel des énoncés suivants traduit le mieux les trois niveaux de
fonctionnalités :
6 : Selon le module, KNX est un standard global pour lequel un grand nombre de fabricants dans le
monde développent des produits. En 2021, combien de fabricants sont concernés (choisir la
meilleure réponse) :
Plus de 1000
Plus de 300
Plus de 100
Plus de 3000
9 : Selon le module, la gestion de l’efficacité énergétique est facilitée dans un bâtiment intelligent
parce que (choisir la bonne réponse) :
10 : Selon le module, lequel des énoncés suivants fait partie des avantages du bâtiment intelligent et
durable dans le contexte de l'utilisation rationnelle de l’eau :
Connaître ses besoins en eau tant au niveau de la qualité que des quantités
Consommer mieux en établissant un suivi des équipements et des réseaux, et par une
sensibilisation des utilisateurs
11 : Selon le module, une des propositions suivantes ne compte pas parmi les applications et les
services intégrés dans le bâtiment intelligent en vue de permettre la bonne santé des occupants :
5 : Au cours de la sélection des géniteurs pour la reproduction artificielle des poissons chats :
La papille génitale du mâle doit être bien développée et de couleur verte
7 : Lors de la reproduction artificielle, après incubation des œufs, les laves éclosent après :
8h
24h
48h
72h
8 : Dans la gestion technique d’une ferme aquacole, les fiches techniques doivent être mis à jour :
Chaque heure
Chaque mois
Chaque jour
Transférer graduellement les alevins du récipient de transport vers leur nouvel habitat
11 : Au cours des opérations de contrôle et d’entretien de la ferme piscicole, les points critiques à
contrôler sont :
Un filtre qui héberge les bactéries (qui contient les bio-filtre et les
mousses filtrantes) ;
2 : L'aquaponie demande peu d'entretien et l'économie d'eau est comprise entre 80 et 95% par
rapport à une agriculture classique :
Vrai
Faux
3 : Il existe deux principaux types de systèmes d’aquaponie : Les systèmes de Culture en Eaux
Profondes (CEP) ; Les systèmes de lit de culture à substrat (système d’inondation et de drainage) ; :
Vrai
Faux
4 : Quels sont les équipements à réunir pour mettre en place une installation aquaponique ?
Un bassin pour l’élevage de poissons, pompe de piscine, bassin
d’engrais chimique, machette ;
2 : les bactéries fixatrices d’azote, les bactéries solublisatrices de phosphore, les champignons
mycorhiziens sont des bio-fertilisants intéressants pour l’agriculture.
Vrai
Faux
45
15
26
65°c
54°c
25°c
6 : Les bio-pesticides sont des substances antiparasitaire issus de source naturelles comme des
bactéries, des champignons, des virus, des plantes, des animaux et des minéraux.
Vrai
Faux
8 : L’Appichi est :
Oui
Non
Vrai
Faux
13 : L’utilisation des variétés résistantes, le labour de fin de cycle sont- ils des méthodes
agronomique ?
Oui
Non
55° et 70°
20° et 85°
45° et 72°
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1 : Qu’est ce que la semence souche « G0 » ?
Semences du producteur
Semences du sélectionneur
4 : A quoi sert le Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et
l’agriculture adopté par la conférence de la FAO en 2001 ?
A la protection de la biodiversité
ICRISAT au Niger
Ces plantes s’autofécondent naturellement avec les organes mâles et femelles présents
à l’intérieur de la même fleur
Ces plantes ont sur le même pied des organes mâles séparés des organes femelles
Il s’agit de plantes dont le croisement se fait à partir de fleurs mâle et femelle provenant
de lignées différentes
Ils présentent une vigueur importante et ont des rendements souvent supérieurs aux
parents
3 : Dans une opération de capital-risque, les fonds apportés par l’actionnaire sont définitivement
acquis pour l’entreprise qui n’est engagée d’aucune contrainte formelle de rémunération ou de
remboursement.
Vrai
Faux
Faux
Vrai
Faux
6 : L’affacturage est :
Vrai
Faux
8 : Seules les entreprises en phase d’expansion peuvent avoir recours à l’affacturage, les start-ups
en sont exclues.
Vrai
Faux
Vrai
Faux
10 : La finance inclusive est encore appelée finance solidaire :
Vrai
Faux
11 : Les obligations vertes ne sont pas une forme d’investissement socialement responsable :
Vrai
Faux
Vrai
Faux
13 : Emettre une obligation verte est un moyen pour une entreprise de maximiser ses chances
d’atteindre son objectif de financement car, elle pourra bénéficier à la fois des financements
spécialisés dans le vert et des financements traditionnels :
Vrai
Faux
Des investisseurs
Des partenaires
L’épargne liquide
L’épargne bloquée
L’épargne salariale
L’autodiscipline
Vrai
Faux
Les banquiers
Les fournisseurs
Les clients
Avec le love money, les proches deviennent associés et bénéficient des droits qui en
découlent ce qui n’est pas le cas pour le financement amical et familial
Le financement amical / familial est réservé aux amis / familles tandis que le love
money, aux amoureux
8 : Quel formalisme devons-nous mettre en place dans le cadre d’un prêt amical / familial ?
Une caution
L’utilisation de la cagnotte
Les membres
La vie tontinière est un long fleuve tranquille car tous ses membres sont de bonne foi
L’aide financière entre membres d’une même famille ou entre amis est clairement moins
contraignante qu’un contrat de prêt en bonne et due forme signé à sa banque
1 : La finance solidaire mobilise des investissements consacrés à des secteurs tels que :
Le sport
L'art
L'emploi
La culture
Vrai
Faux
L’apport en nature
L’apport en numéraire
L’apport en industrie
6 : Quelle est la différence entre les fonds solidaires et les fonds ISR?
Les fonds solidaires fonctionnent dans une perspective de retour sur investissement et
réinvestissement majoritairement leur résultat.
Les fonds ISR fonctionnent dans une perspective de retour sur investissement.
A partager le travail
8 : Comment est-ce que les fonds solidaires financent l’économie sociale et solidaire?
Oui
Non
10 : Quel(s) est/sont le(s) métier(s) du crowdfunding qui s’inscrivent dans une logique
philanthropique?
Le crowdinvesting
Le crowdlending
Le don
11 : Existe-t-il déjà en Afrique francophone des projets solidaires et écologiques financés par
crowdfunding?
Oui
Non
L’IG est une donnée ayant une référence spatiale soit sous forme de : (i) Coordonnées
géographiques (ii) Nom de lieu, (iii) Adresse postale ou autres.
2 : Données spatiales :
a. Elles déterminent les caractéristiques spatiales d’une entité géographique où sont
représentés et identifiés tous les éléments graphiques: (i) la localisation : coordonnées par
rapport à une échelle graphique de référence ; (ii) la forme: point, ligne, surface ; (iii) la taille:
longueur, périmètre, surface.
b. Les informations font référence à des objets de trois types : (i) Point: est désigné par
ses coordonnées et à la dimension spatiale la plus petite ; (ii) Ligne: a une dimension
spatiale constituée d’une succession de points proches les uns des autres ; (iii) Polygone
(zone ou surface): est un élément de surface défini par une ligne fermée ou la ligne qui le
délimite.
c. Les informations spatiales sont utilisées pour transmettre des informations d'un point
à l'autre bout de la Terre, notamment des communications téléphoniques ou de la
transmission de données.
a. et b.
4 : L’utilisation des SIG dans la gestion forestière est uniquement destiné a faciliter l’accès aux
informations et aux cartes pour les missions de terrain des techniciens forestiers.
Vrai
Faux
5 : Mode vecteur :
Avec le mode vecteur, pour transformer un objet réel en une donnée à référence
spatiale, on décompose le territoire en couches thématiques (relief, routes, bâtiments…)
structurées dans des bases de données numériques.
Le mode vecteur est également appelé modèle matriciel et décrit la totalité de la surface
cartographique point par point.
Personnel formé
Les cartes de gestion des conflits + Les cartes thématiques et économiques + Les
cartes de navigation
9 : La production des cartes via le SIG est possible avec des logiciels commerciaux, libres d’accès
ou gratuits :
Vrai
Faux
1 : L’agroforesterie apporte :
2 : L’agroforesterie est la mise en valeur du sol avec une association (simultanée ou séquentielle) de
ligneux et de cultures ou d’animaux afin d’obtenir des produits ou des services utiles à l’homme :
Vrai
Faux
3 : Le Sylvopastoralisme renvoie à :
4 : Le fait de conduire des bovins, ovins, caprins ou camélidés au pâturage sur des terrains de
parcours boisés, voire forestiers, où les troupeaux se déplacent avec les pasteurs en fonction des
ressources fourragères renvoie à :
Le Sylvopastoralisme ;
L’agroforesterie ;
Vrai
Faux
Arbres-cultures-habitat
Arbres-cultures-animaux
Arbres-animaux-hommes
Arbres-hommes-habitat
a + b + c
a + c
a + b
b + c
8 : Sur la base de la structure spatiale on peut différencier les systèmes agroforestiers suivants :
Les associations ordonnées (arbres en ligne ou autre disposition
géométrique) ;
Vrai
Faux
10 : Dans les systèmes agroforestiers le plus souvent, la fonction de quelle composante est prise en
compte ?
12 : Il est possible de classer les systèmes agroforestiers sur des critères socio-économiques de
type agriculture de subsistance ou de rente.
Vrai
Faux
13 : Les principaux enjeux de l’agroforesterie ne portent pas sur :
14 : Les alternatives à l'agriculture itinérante, dont les pratiques agroforestières, font partie des
solutions importantes dans les zones tropicales pour contribuer à la lutte contre le réchauffement
climatique et diminuer l'effet de serre.
Vrai
Faux
15 : Caféier, le cacaoyer et le théier, des ignames, des patates douces et d’autres plantes à
tubercules, de certaines variétés de haricot, de la cardamome, du gingembre, du poivrier, s’adaptent
naturellement à la :
Parcs agroforestiers
16 : Les arbres des parcs agroforestiers (Faidherbia., le baobab, le karité, le néré, le tamarinier, le
Sclerocarya ne sont pas utilisées en agroforesterie pour :
L’exploitation forestière
17 : Association agroforestière qui consiste à planter sur une parcelle des cultures et des arbres, les
arbres constituant un couvert supérieur, plus ou moins dense ou dispersé :
Culture sous couvert arboré ;
18 : Lorsque la composante arborée d’une association agro forestière est multi-étagée, dense,
diversifiée, et que la parcelle prend une physionomie typiquement forestière, on parle de :
Parc agroforestier ;
Agroforêt
19 : Une agroforêt, plus étendue, plus éloignées des habitations avec une orientation commerciale
des productions de rente, fruits, le bois d’œuvre, différentes productions des arbres, l’élevage
extensif et enrichie en espèces utiles renvoi à :
Une forêt-jardin ;
Un jardin-forêt ;
20 : Variante simplifiée d’agroforêt dans laquelle la composante non arborée est réduite, où les
populations rurales récoltent néanmoins des produits qui ne se trouvent pas dans les zones
strictement agricoles des exploitations (bois et charbon de bois, fibres diverses, gibier,
pharmacopée...) et où on parque souvent le bétail renvoi à :
Une forêt-jardin ;
21 : L’agroforesterie animale comprend tous les cas ou des animaux sont élevés dans un
environnement arboré ou nourris de produit arborés (feuilles, fruits, etc) :
Vrai
Faux
22 : e fourrage pour alimentation à l’auge lorsqu’il est produit en terrain boisé, qu’il soit brout ou
fourrage herbacé est un exemple classique d’agroforesterie animale :
Vrai
Faux
23 : Système agroforestier dans lequel les arbres et les cultures ne sont pas simultanément présents
sur une parcelle ou un terroir donné, mais se succèdent dans le temps. L’interaction entre arbres et
cultures est donc indirecte, par l’intermédiaire de modification du sol :
Culture en couloir ;
Agroforesterie séquentielle ;
Agroforêts villageoises
24 : Il ne peut y avoir concurrence entre arbres et cultures dans un système agroforestier séquentiel :
Vrai
Faux
25 : Toutes les techniques de cultures en rotation qui comprennent une phase arborée appartiennent
à l’agroforesterie séquentielle ; :
Vrai
Faux