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1 : Quel plug-in utiliserez-vous pour collecter des données de Google Search Console, Google

Analytics, Google AdSense et Google PageInsights dans un seul tableau de bord ?

  Answer the Public

  Site Kit

  Google Keyword Planner

  Ahrefs

2 : Les sociétés d'hébergement Web écologiques utilisent du diesel au lieu de l'essence pour
minimiser la consommation d'énergie dans leurs centres de données.

  faux

  vrai

3 : Qu'allez-vous utiliser pour mesurer l'empreinte carbone d'un site Web ?

  Websitecarbon

  Websitefootprint

  Ikoula

  BATIFAC

4 : Laquelle de ces propositions n'est pas vraie à propos de WordPress.org ?

  WordPress.org est open source

  Les fonctionnalités de WordPress.org peuvent être étendues avec


des plugins

  Le logiciel et l'hébergement WordPress.org sont gratuits

  WordPress.org donne accès au code source


5 : ______________ est une conférence organisée par la communauté centrée sur la plateforme de
publication WordPress.

  WordCamp

  NameCheap

  WordPress Francophonie

  a11y

6 : Qu'est-ce qui n'est pas vrai à propos des plugins WordPress ?

  Les plugins peuvent étendre les fonctionnalités d'un site Web


WordPress.

  Les plugins peuvent ajouter de nouvelles fonctionnalités à vos sites


Web WordPress.

  Un plugin est un logiciel.

  Tous les plugins sont gratuits.

7 : Un thème WordPress vous aidera à ?

  accéder au code WordPress

  gérer les plugins

  personnaliser l'apparence de votre site

  rendre votre site Web durable

8 : Qui sont les fondateurs de WordPress ?

  Matt Mullenweg et Mike Little

  Matt Mullenweg et Simon Kraft


  Simon Kraft et Mike Little

9 : Les systèmes de refroidissement représentent plus de 40% de la consommation directe


d'électricité dans les centres de données.

  faux

  vrai

10 : .com, .green, .bio, .fr, .ca sont tous des _________________.

  extensions de nom de domaine

  domaines de premier niveau

  noms de domaine

  domaines de premier niveau national

 
1 : Quelles sont les différentes composantes d’un système de télégestion ?

  Des capteurs, des serveurs, des applications logicielles et des hommes.

  Des hommes qui relèvent et analysent les consommations régulièrement.

  Des capteurs qui envoient des données énergétiques en temps réel ou non.

2 : La télégestion nécessite forcément une instrumentation détaillée des bâtiments.

  faux

  vrai

3 : D’après le cours, combien d’étapes comprend la démarche de mise en place d’un système de
télégestion ?

  3
  5

  2

  4

4 : Il faut nécessairement des compteurs intelligents pour mettre en place un système de télégestion.

  faux

  vrai

5 : Que doit-on encourager le plus pour accompagner le développement de l’efficacité énergétique ?

  Le développement d’applications intelligentes et simples d’utilisation.

  La désignation de responsable homme-énergie dans les bâtiments.

  La construction de bâtiments entièrement automatisés.

6 : Un système d’information analytique a pour rôle de :

  Toutes ces réponses

  Nettoyer, structurer puis stocker des données.

  Réaliser une série de traitements informatiques à travers des applications ad hoc.

7 : La télégestion requiert-elle toujours d’installer des capteurs intrusifs ?

  Non

  Oui

8 : A quoi sert la télégestion ?

  Superviser les consommations d’un seul équipement électrique.


  Collecter des données énergétiques et les stocker dans des serveurs

  Piloter à distance des équipements énergétiques

  Superviser et/ou piloter les différents postes de consommation d’énergie dans un


bâtiment.

9 : Pour mettre en place une société de services énergétiques viable qui exploite les opportunités de
la télégestion il faut :

  Mettre en place une équipe pluridisciplinaire.

  Avoir beaucoup de moyens financiers.

  Avoir une simple application informatique.

  Définir un modèle économique clair, identifier des clients cibles, définir des services
pertinents et créer de la valeur ajoutée.

10 : Les disciplines fondamentales évoquées dans le cours et auxquelles fait appel la télégestion
sont :

  L’informatique/L’électronique/Les télécommunications.

  Les mathématiques/L’économie/Les finances.

  L’informatique/Le génie civil/L’architecture

1 : ________________ du bâtiment est la ligne de démarcation qui sépare l'intérieur de l'extérieur.

  Les frontières

  La limite

  L'enveloppe
2 : Une ____________ est toute forme d'électricité utilisée par des appareils qui sont éteints mais
toujours branchés sur une prise électrique.

  charge fantôme

  charge hybride

  charge électrique

3 : Les ampoules LED consomment plus de _________ d'énergie en moins que l'éclairage à
incandescence.

  80%

  Aucune de ces réponses

  75%

  85%

4 : Quelle application allez-vous utiliser pour numériser vos formulaires d'audit énergétique ?

  ASHRAE

  La plateforme de recueil des audits énergétiques

  DataScope

  EnMS

5 : L’enveloppe d'un bâtiment se compose de ________ couches.

  3

  5

  2

  4
6 : Selon la norme ISO 50002, combien d'étapes comporte un audit énergétique ?

  19

  Aucune de ces réponses

  9

  7

7 : À quelle étape l'auditeur énergétique est-il tenu de se rendre sur le site afin de collecter des
données ?

  Étape 4

  Étape 6

  Étape 3

  Étape 5

8 : En général, un réservoir d’eau chaude fonctionne de 6 à 7 heures par jour.

  faux

  vrai

9 : Il existe quatre types d'audits énergétiques : A) L’audit énergétique standard ; B) L’analyse des
coûts énergétiques ; C) L'audit rapide avec visite du site et D) L’audit énergétique détaillé. Que
pouvez-vous faire sans nécessairement disposer d'instruments sophistiqués ?

  A & C

  C & D

  A & B

  B & C
10 : Quelle norme utiliserez-vous pour vous guider dans le processus d'un audit énergétique ?

  ISO 50001

  ISO 50002

  Les deux

1 : La courbe de caractéristique d’une pompe est définie par la relation :

  hauteur-distance

  débit-perte de charge

  débit-distance

  débit-hauteur

2 : Dans EPANET, la demande est paramétrée sur lequel de ces composants ?

  Les noeuds

  Les réservoirs

  Les tuyaux

  Les bâches

3 : La simulation d’un réseau AEP est nécessaire pour :

  Avoir la possibilité de conduire des scénarios

  Toutes ces réponses

  Avoir la possibilité de corriger des erreurs

  Éliminer les imporvisations


4 : Dans un réseau d’adduction d’eau potable, pour tenir compte de la variabilité de la demande
journalière on utilise :

  une courbe de modulation

  des robinets à débit variable

  un facteur de variabilité

  des tuyaux un peu plus grands

5 : La longueur des tuyaux dans le schéma du réseau dans la simulation EPANET est toujours
proportionnelle à la longueur sur le terrain.

  faux

  vrai

6 : Ces composants font partie d’un réseau AEP sauf :

  Réservoir

  Raccords

  Conduites

  Tour

7 : Un captage se fait :

  au réservoir de stockage

  aucune de ces réponses

  à la source

  à la borne fontaine

8 : Le choix de la taille des tuyaux dépend des paramètres suivants sauf :


  le débit

  la perte de charge

  la demande

  l'altitude

9 : La fenêtre de propriétés des tuyaux permet de changer manuellement les paramètres suivants
sauf :

  le débit

  la rugosité

  la longueur

  le diamètre

1 : La désinfection des conduites (tuyaux), des bassins (réservoirs) et des contenants (récipients,
bouteilles, bidons, …) vise à :

  donner la bonne odeur à l’eau ayant séjourné dans ces conduites, bassins et
contenants

  donner la couleur à l’eau ayant séjourné dans ces conduites, bassins et contenants

  éviter toute contamination (pendant le stockage de l’eau) en éliminant toute trace de


microorganismes pathogènes éventuellement présents dans ces contenants

2 : Parmi ces paramètres, lesquels servent à caractériser (mesurer, quantifier) la pollution (la charge)
présente dans l’eau usées sont :

  Coliformes Fécaux (C.F),

  toutes ces réponses


  MES (Matières En Suspension),

  Ptotal (Phosphore total),

3 : Parmi ces réponses, lesquelles sont des règles relatives à la manipulation de l'eau de javel
(hypochlorite de sodium) :

  stocker dans une pièce aérée

  toutes ces réponses

  stocker à l'abri de la lumière

  porter ses EPI -équipements de protection individuels (lunettes de sécurité, gants,


combinaisons, bottes en plastiques)

4 : Les règles pour la manipulation SÉCURITAIRE des produits chimiques (eau de javel/chlore,
chaux, soude caustique, etc.) sont regroupés dans un système d’information appelé :

  SYMDU

  SIMTUT

  SYMDUT

  SIMDUT

5 : le pH de l’eau potable distribuée est de l’ordre de :

  6.5 – 9.5

  6.0 – 8.0

  5.5 – 8.3

  6.5 – 8.3

6 : La demande de chlore est :


  la fraction du volume d’eau de javel (hypochlorite de sodium) restante dans de l’eau
après le dosage du volume initial

  la concentration de chlore (eau de javel) actuellement présente dans l’eau

  la fraction du volume total d’eau de javel (hypochlorite de sodium) immédiatement


consommée par l’eau pour «bruler» (oxyder) toute la pollution (microorganismes, métaux,…)
encore présente sous forme de trace.

  la quantité (volume) totale d’eau de javel (hypochlorite de sodium) dosée (injectée) dans
une eau

7 : Les deux principales étapes retrouvées dans un système ou unité ou procédé classique de
traitement des eaux souterraines (puits) sont :

  injection de chlore-distribution

  filtration (filtre en cartouche et/ou filtre en charbon actif granulaire)-désinfection (injection


de chlore)

  échantillonnage-filtration-injection de chlore-échantillonnage-dosage de chaux/soude


caustique-distribution.

  puits (eau brute)-réservoirs de distribution

8 : Les normes ou EXIGENCES de qualité à la sortie de la filtration (membranaire en cartouche et en


Charbon Actif Granulaire/CAG) sont :

  couleur (≤ 5UCV)

  turbidité (+/- 5 UTN), couleur (≤ 5UCV)

  turbidité (+/- 5 UTN)

  odeur-goût

9 : Dans une unité de potabilisation de l’eau souterraine (puits), la configuration hydraulique du


système DEVRAIT FAVORISER : un brassage (mélange) optimal de l’eau avec le désinfectant, un
temps de contact suffisant entre l’eau et le désinfectant, le dépôt (décantation) des solides :
  faux

  vrai

10 : L’injection (le dosage) du chlore (eau de javel) dans une eau SANS UN TRAITEMENT
MINIMUM AU PRÉALABLE comporte des risques de formation des sous-produits comme les tri-
halométhanes nocifs pour la santé humaine :

  faux

  vrai

1 : Dans un réseau d’irrigation, la sélection d’une pompe dépend de : sa force (capacité de succion
ou profondeur d’aspiration), sa hauteur de refoulement (hauteur d’élévation de l’eau), sa capacité
(galonnage ou volume d’eau qu’elle peut débiter ou fournir) :

  faux

  vrai

2 : L’estimation de la consommation en eau d’une plante (consommation théorique de la plante)


repose sur deux paramètres : l’Évapotranspiration potentielle, le Coefficient cultural (stade de
développement végétatif de la culture) :

  faux

  vrai

3 : La Réserve Utile (R.U) d’eau dans un sol (la quantité maximale d’eau pouvant emmagasiner –
retenir- un sol) dépend du : taux de matière organique dans ce sol, pourcentage de Limons et
d’Argiles :

  faux

  vrai

4 : Dans un système (montage) d’irrigation utilisant les aspergeurs, leur choix (le choix du type ou
modèle d’aspergeurs) va dépendre de :

  la grosseur
  le niveau des connaissances de l’opérateur (propriétaire-producteur agricole)

  la couleur

  les coûts d’acquisition, la capacité d’arrosage (volume d’eau délivré), l’uniformité


d’arrosage (la distribution uniforme de l’eau dans la parcelle concernée), la flexibilité (facilité
de leur utilisation-installation-opération)

5 : 80% à 90% du volume d’eau apporté aux cultures par irrigation se perd par :

  ruissellement de surface uniquement

  gel, évapotranspiration, ruissellement de surface et infiltration en profondeur

  infiltration en profondeur au-delà de la zone racinaire des cultures et par ruissellement


de surface

  évapotranspiration des cultures

6 : Le Bilan en Eau (Bilan Hydrique) de l’ensemble du système [ Sol-Plante ] est :

  les Entrées d’eau + les Apports d’eau

  les Sorties – les Prélèvements d’eau

  les Entrées d’eau + les Sorties d’eau

  les Entrées d’eau – les Sorties d’eau

7 : Le stress hydrique (pour une plante) est le point où le niveau d’eau retenue ou contenu dans le
sol est inférieur aux besoins de la culture installée :

  faux

  vrai

8 : La connaissance du Bilan en Eau du système [ Sol – Plante ] permet de planifier :


  la date de maturité des cultures et donc de récolte

  quelle quantité d'eau à apporter aux cultures

  les prochaines pluies

  quand effectuer les prochains apports en eau, quelle quantité d’eau à apporter, quand
redéployer l’arrosage à la suite d’une pluie

9 : En considérant l’expression (formule) ci-après du Bilan Hydrique (B.H) du système (ensemble)


[ Sol-Plante ] : Bilan Hydrique (B.H) = Réserve Utile (eau présente dans le sol) + Précipitations
(pluies reçues) – Besoins des Plantes Dans quel cas de figure (situation) devrait-on envisager
l’irrigation (planifier des apports d’eau aux cultures par irrigation) :

  si le B.H est négatif

  si le B.H est positif

10 : Parmi les 2 techniques utilisées pour la gestion des eaux de ruissellement (afin de minimiser les
risques d’érosion des sols), laquelle consiste à l’utilisation d’un produit de synthèse :

  application du Polyter

  agroforesterie

1 : Le coût moyen du mètre cube installé du biodigesteur vulgarisé dans les pays en développement
se situe entre :

  100.000 – 150.000 FCFA

  300.000 – 500.000 FCFA

  120.000 - 200.000 FCFA

2 : Les modèles de biodigesteur largement vulgarisés dans les pays en développement sont
construits en :
  Maçonnerie de briquettes de ciment et de sable

  Bâche

  Plastique polyéthylène

3 : La valorisation des déchets permet de répondre à plusieurs défis :

  la production d’énergie verte et d’engrais organique

  toutes ces réponses

  la préservation de l’environnement

  la création d’emplois durables

4 : On nomme « digestat » :

  les résidus de matière obtenus après le tri des déchets avant le chargement du
biodigesteur

  la matière résiduelle obtenue après la digestion des déchets, la matière liquide qu’on
récupère dans le troisième compartiment du biodigesteur

5 : La taille et le type d’un biodigesteur peuvent être adaptés :

  aux moyens financiers du bénéficiaire

  toutes ces réponses

  à la demande en énergie du bénéficiaire

  à la surface de terre disponible

6 : Les deux éléments suivants font partie des quatre grands composants d’un biodigesteur :

  Digesteur – bac de chargement de déchets


  Substrat - bac d’alimentation de déchets

  Bac de chargement – groupe électrogène

7 : L’exploitation d’un biodigesteur exige quelques bonnes pratiques. Lesquelles ?

  Tri préalable des matières organiques

  Tri préalable des matières organiques ET Ne pas dépasser la pression requise dans le
digesteur

  Chargement hebdomadaire des déchets

  Ne pas dépasser la pression requise dans le digesteur

8 : Parmi les facteurs ci-après, lequel influence le plus le coût de production du biogaz dans le cadre
d’une commercialisation :

  le nombre de clients

  la taille du biodigesteur

  le coût de matières premières

  la main-d’œuvre

9 : Au cours du processus de transformation des matières organiques, le biogaz produit dans un


biodigesteur à dôme fixe :

  est stocké dans le dôme du digesteur et un réservoir externe à gaz.

  est systématiquement stocké dans un réservoir externe à gaz

  est stocké dans le dôme du digesteur

10 : Parmi les déchets suivants, lesquels sont adaptés à une production de biogaz ?

  Sachets plastiques
  Épluchures de manioc ET Bouses de vache

  Épluchures de manioc

  Bouses de vache

1 : Quelles sont les différentes composantes d’un système de télégestion ?

  Des capteurs, des serveurs, des applications logicielles et des hommes.

  Des hommes qui relèvent et analysent les consommations régulièrement.

  Des capteurs qui envoient des données énergétiques en temps réel ou non.

2 : La télégestion nécessite forcément une instrumentation détaillée des bâtiments.

  faux

  vrai

3 : D’après le cours, combien d’étapes comprend la démarche de mise en place d’un système de
télégestion ?

  3

  5

  2

  4

4 : Il faut nécessairement des compteurs intelligents pour mettre en place un système de télégestion.

  faux
  vrai

5 : Que doit-on encourager le plus pour accompagner le développement de l’efficacité énergétique ?

  Le développement d’applications intelligentes et simples d’utilisation.

  La désignation de responsable homme-énergie dans les bâtiments.

  La construction de bâtiments entièrement automatisés.

6 : Un système d’information analytique a pour rôle de :

  Toutes ces réponses

  Nettoyer, structurer puis stocker des données.

  Réaliser une série de traitements informatiques à travers des applications ad hoc.

7 : La télégestion requiert-elle toujours d’installer des capteurs intrusifs ?

  Non

  Oui

8 : A quoi sert la télégestion ?

  Superviser les consommations d’un seul équipement électrique.

  Collecter des données énergétiques et les stocker dans des serveurs

  Piloter à distance des équipements énergétiques

  Superviser et/ou piloter les différents postes de consommation d’énergie dans un


bâtiment.

9 : Pour mettre en place une société de services énergétiques viable qui exploite les opportunités de
la télégestion il faut :
  Mettre en place une équipe pluridisciplinaire.

  Avoir beaucoup de moyens financiers.

  Avoir une simple application informatique.

  Définir un modèle économique clair, identifier des clients cibles, définir des services
pertinents et créer de la valeur ajoutée.

10 : Les disciplines fondamentales évoquées dans le cours et auxquelles fait appel la télégestion
sont :

  L’informatique/L’électronique/Les télécommunications.

  Les mathématiques/L’économie/Les finances.

  L’informatique/Le génie civil/L’architecture.

1 : Pourquoi ne faut-il pas laisser la batterie dans son carton d’emballage à l’installation d’un système
solaire photovoltaïque ?

  Pour protéger la batterie contre l’échauffement

  Pour protéger la batterie contre les dommages mécaniques externes

  Pour faciliter la manutention de la batterie

2 : Le démarrage d’une microentreprise solaire peut être financé par :

  Emprunts bancaires

  Toutes ces réponses

  Capitaux d’associés

  Soutien financier de l’Etat


3 : Parmi les équipements suivants, quels sont ceux qui peuvent être alimentés par un système
solaire photovoltaïque :

  Moulin à broyer et Groupe électrogène

  Groupe électrogène et Décortiqueuse

  Décortiqueuse et Moulin à broyer

4 : 3) Quel est le rôle important que joue la diode placée dans la boite de jonction ?

  Créer un conducteur de polarité positive

  Etablir la connexion électrique entre les chaines de cellules

  Protéger les cellules photovoltaïques contre le courant de retour

  Protéger les cellules photovoltaïques contre la chaleur extérieure

5 : Un système solaire photovoltaïque peut-il fonctionner sans batterie ?

  non

  oui

6 : Les deux types de systèmes solaires photovoltaïques présentés dans le module sont :

  connecté au réseau de distribution électrique et thermique

  autonome et connecté au réseau de distribution électrique

  thermique et autonome

7 : Les séquences de l’installation d’un système solaire photovoltaïque sont :

  Batterie, panneau solaire, régulateur de charge, puis convertisseur

  Panneau solaire, batterie, régulateur de charge, puis convertisseur


  Panneau solaire, régulateur de charge, batterie, puis convertisseur

  Panneau solaire, convertisseur, régulateur de charge, puis batterie

8 : Les composants du circuit électrique du panneau solaire photovoltaïque sont :

  Cellules photovoltaïque, feuille de fond, verre

  Cellules photovoltaïques, feuille de fond, verre et cadre

  Cellules photovoltaïques, verre et cadre

  Cellules photovoltaïques, fils conducteurs

9 : Un panneau solaire photovoltaïque transforme les rayons solaires en :

  énergie thermique

  courant électrique continu

  courant électrique alternatif

10 : Parmi les équipements suivants quels sont les composants de base d’un système solaire
photovoltaïque ?

  Régulateur, récepteurs, et câbles

  Toutes ces réponses

  Panneaux solaires, et batteries

  Convertisseur

1 : Laquelle de ces étapes ne fait pas partie des principes de la construction durable :
  La planification

  La publication

  La conception

  La rénovation

2 : Le Concept d’Analyse du cycle de vie permet :

  De connaître la durée de vie d’un bâtiment

  De déterminer l’éco-bilan du bâtiment

  De calculer la consommation énergétique d’un bâtiment

  De connaître les émissions CO2 d’un bâtiment

3 : La notion de confort hygrothermique renseigne sur :

  La sensation de bien-être physiologique ressentie dans les conditions données de


température et d’humidité

  L’activité physique menée dans un bâtiment

  La consommation énergétique du bâtiment

  Le besoin impératif de l’utilisation d’une climatisation électrique

4 : Selon le module, il est important de :

  Connaître l’usage du bâtiment pour une bonne conception écologique

  D’utiliser des matériaux locaux pour réduire l’énergie grise

  Former les utilisateurs du bâtiments écologiques pour une gestion durable

  Toutes ces réponses


5 : Lequel des énoncés complète le mieux ce début de phrase : un bâtiment à énergie positive … :

  A un effet positif sur la santé des occupants

  Produit un excédent d’énergie

  Consomme trop d’énergie

  Est neutre en carbone

6 : Selon le module, l’adhésion des populations au concept de construction écologique n’est pas
encore acquise, essentiellement pour la raison suivante :

  Parce que l’image de ces constructions est écorchée

  Parce que souvent les états de font pas la promotion de ces constructions

  Parce qu’il n’y a pas assez de personnels qualifiés en la matière

  Toutes ces réponses

7 : Lequel de ces énoncés n’est pas juste :

  Le rayonnement solaire a un impact sur la performance énergétique d’un bâtiment

  La température de l’air ambiant a un impact sur le confort hygrothermique d’un bâtiment

  A travers la ventilation transversale, la vitesse et l’intensité du vent n’ont pas d’impact


sur la performance énergétique d’un bâtiment.

  Les coûts d’investissement élevés de l’énergie solaire freinent leurs utilisations dans les
bâtiments

8 : Selon le module, lequel ou lesquels de ces énoncés est/sont juste(s) :

  Le développement des bâtiments écologiques/bioclimatiques permettra de réduire les


émissions de CO2 liées aux bâtiments
  Une planification incluant tous les acteurs, particulièrement les usagers, permettra de
répondre convenablement aux attentes de confort hygrothermique attendues dans les
bâtiments.

  Les états devront donner le bon exemple en construisant des bâtiments écologiques
pour accélérer leur adoption par les populations.

  Toutes ces réponses

9 : Selon le module de formation, lequel des points suivants ne constitue pas un défi pour la
construction écologique bioclimatique :

  Le manque de textes réglementaires

  L’absence de matériaux de construction

  Le déficit de personnels techniques qualifiés et la non-maitrise des paramètres


climatiques

  L’absence d’incitation financière

10 : Selon le module, les actions suivantes sont recommandées pour relever les défis de la
construction écologique / bioclimatique :

  Une bonne prise en compte des paramètres climatiques dans la conception, et le


renforcement des capacités des professionnels de la construction

  La mise en place d’un cadre réglementaire et légal adapté

  La mise en place d’incitations financières

  Toutes ces réponses

1 : Le bâtiment intelligent repose sur le principe de l’exploitation de données sur la vie et l’usage du
bâtiment. Selon le module, lequel de ces énoncés correspond aux sources de données exploitables
par le bâtiment intelligent :
  Les capteurs installés dans et autour du bâtiment

  La gestion technique du bâtiment

  Les services locaux (transport, météo, restaurants)

  Toutes ces réponses

2 : Divers protocoles de communication gèrent les échanges entre les systèmes équipant le bâtiment
intelligent. Lequel de ces énoncés ne correspond pas à un protocole cité dans le module de
formation :

  KNX

  BACNet

  Bali

  MBus

3 : Selon le module, le bâtiment intelligent est capable de faire coopérer une variété de systèmes
techniques intégrés dans le bâtiment, essentiellement grâce à :

  Le raccordement au réseau et le comptage intelligent

  La motorisation de l’enveloppe et l’automatisation des systèmes intégrés

  Le monitoring opérationnel et le contrôle qualitatif du bâtiment

  L’interopérabilité et la standardisation croissante des protocoles de communication

4 : Lequel des énoncés suivants ne fait pas partie des quatre étapes de conception du bâtiment
intelligent, telles que présentées dans le module :

  Partir des cas d’usages réels des futurs utilisateurs

  Rechercher l’efficacité opérationnelle


  Appliquer les standards

  Penser les fonctions

5 : Selon le module, la mise en oeuvre pratique des technologies du bâtiment intelligent s’articule sur
trois couches de fonctionnalités. Lequel des énoncés suivants traduit le mieux les trois niveaux de
fonctionnalités :

  Réseau, Applications, Infrastructure

  Matériel, Infrastructure, Service

  Applications, Service, Contrôle

  Contrôle, Réseau, Matériel

6 : Selon le module, KNX est un standard global pour lequel un grand nombre de fabricants dans le
monde développent des produits. En 2021, combien de fabricants sont concernés (choisir la
meilleure réponse) :

  Plus de 1000

  Plus de 300

  Plus de 100

  Plus de 3000

7 : Selon le module, la gestion technique du bâtiment (GTB) a pour objectif de :

  Assurer une gestion énergétique optimum

  Surveiller / fiabiliser les installations et garantir le confort des occupants

  Réduire les déplacements et permettre les interventions rapides à distance

  Toutes ces réponses

8 : Selon le module, la gestion technique du bâtiment (GTB) est constituée de :


  Un réseau

  Un logiciel et une méthodologie de gestion

  Un équipement de gestion

  Toutes ces réponses

9 : Selon le module, la gestion de l’efficacité énergétique est facilitée dans un bâtiment intelligent
parce que (choisir la bonne réponse) :

  L’usager a accès aux données de sa consommation énergétique par équipement et est


ainsi en mesure d’identifier les priorités d'intervention

  La gestion optimale de la lumière du jour peut se faire automatiquement et en temps


réel

  L’usager est en mesure d’automatiser et de programmer certains gestes : par exemple


éteindre la lumière, ajuster le thermostat

  Toutes ces réponses

10 : Selon le module, lequel des énoncés suivants fait partie des avantages du bâtiment intelligent et
durable dans le contexte de l'utilisation rationnelle de l’eau :

  Connaître ses besoins en eau tant au niveau de la qualité que des quantités

  Consommer mieux en établissant un suivi des équipements et des réseaux, et par une
sensibilisation des utilisateurs

  Consommer autrement en prévoyant un approvisionnement alternatif pour les usages


ne demandant pas d'eau potable

  Toutes ces réponses

11 : Selon le module, une des propositions suivantes ne compte pas parmi les applications et les
services intégrés dans le bâtiment intelligent en vue de permettre la bonne santé des occupants :

  Simplifier les applications de confort en augmentant le nombre de télécommandes


  Adapter un espace en fonction de la pathologie d’un collaborateur

  Adapter le traitement d’air en fonction des risques sanitaires

  Mettre en place une téléassistance.

1 : La pisciculture hors-sol est caractérisée par :

  Un très faible apport de l’aliment

  Une faible demande en eau

  Un faible investissement par rapport aux étangs en sol

  Un très fort taux de renouvellement en eau

2 : Les techniques de production piscicole intensif concernent :

  Le choix du type et l’emplacement des étangs

  Le choix du procédé de nourrissage

  Le choix de la méthode et la mise en pratique de celle-ci

3 : Les caractères d’un bon poisson de pisciculture sont :

  Rustique et difficile à manipuler

  Avoir une chair appréciée des consommateurs

  Avoir un suivi sanitaire approximatif

  Un temps d’élevage assez long pouvant aller à plus d’un an


4 : Parmi de nombreux facteurs qui interviennent de façon significative sur la production d’alevins, on
peut citer :

  L’âge et la taille des géniteurs

  La protection des étangs contre les prédateurs

  Le taux de mortalité

5 : Au cours de la sélection des géniteurs pour la reproduction artificielle des poissons chats  :

  Les femelles doivent avoir un ventre ballonné et dur

  L’injection des géniteurs se fait au moins 5 heures avant

  La papille génitale du mâle doit être bien développée et de couleur verte

6 : Le choix de la méthode de reproduction chez les poissons est fonction :

  Des facteurs biologiques et économiques

  De la disponibilité en eau et sa température

  Des moyens mis à disposition

  Des installations disponibles

7 : Lors de la reproduction artificielle, après incubation des œufs, les laves éclosent après :

  8h

  24h

  48h

  72h

8 : Dans la gestion technique d’une ferme aquacole, les fiches techniques doivent être mis à jour :
  Chaque heure

  Chaque mois

  Chaque jour

  A la fin du cycle de production

9 : Lors de l’empoissonnement en bac, il est conseillé de :

  Verser les poissons du récipient de transport vers le nouveau milieu

  Transférer graduellement les alevins du récipient de transport vers leur nouvel habitat

  Transporter les alevins sous oxygène

  Tenir compte du taux de mortalité

10 : Au cours de l’alimentation des poissons, la taille de l’aliment :

  Reste la même du début à la fin du cycle

  Représente 60 à 70% du cout de production

  Evolue au fur et à mesure des différents stades de développement des poissons

  Fournie les glucides pour le bon développement des poissons

11 : Au cours des opérations de contrôle et d’entretien de la ferme piscicole, les points critiques à
contrôler sont :

  La qualité de l’eau et sa fréquence de renouvellement

  L’enregistrement des données sur des fiches techniques

  Evaluation du marché de la région où le poisson va être vendu

  La maitrise des ressources naturelles disponibles


12 : Les procédures à suivre lors de l’échantillonnage périodiques consistent à :

  Bien alimenter les poissons immédiatement avant l’opération

  Enregistrer le poids et le nombre de poissons avant de les remettre dans le bac

  Peser les poissons un à un jusqu’à la totalité des poissons.

1 : Un système aquaponique simple classique est composé de :

  Un récipient rempli d’eau (par exemple un aquarium) où l’on élève


des poissons ;

  Un bac de culture de végétaux (qui contient un substrat) ;

  Un filtre qui héberge les bactéries (qui contient les bio-filtre et les
mousses filtrantes) ;

  Toutes ces réponses

2 : L'aquaponie demande peu d'entretien et l'économie d'eau est comprise entre 80 et 95% par
rapport à une agriculture classique :

  Vrai

  Faux

3 : Il existe deux principaux types de systèmes d’aquaponie : Les systèmes de Culture en Eaux
Profondes (CEP) ; Les systèmes de lit de culture à substrat (système d’inondation et de drainage) ; :

  Vrai

  Faux

4 : Quels sont les équipements à réunir pour mettre en place une installation aquaponique ?
  Un bassin pour l’élevage de poissons, pompe de piscine, bassin
d’engrais chimique, machette ;

  Un bassin pour l’élevage de poissons, un filtre, un bassin de


culture des légumes, une pompe submersible, un aérateur, une
plomberie et un support métallique ou en bois ;

5 : Qu’entendons-nous par cycler un système aquaponique ?

  C’est le processus qui consiste à démarrer un système


aquaponique ;

  C’est le démarrage de la pompe dans un système aquaponique ;

  Cycler le système est le processus au démarrage qui consiste à


bâtir une colonie bactérienne bénéfique, en mesure d’effectuer le
processus de nitrification essentiel à la survie des poissons.

6 : D’où viennent les nutriments consommés par les plantes en aquaponie ?

  Plusieurs familles de bactéries sont à l’œuvre pour convertir


l’ammoniac des déchets (excréments) de poissons en nitrites
(Nitrosomonas) et les autres prenant le relai pour transformer les nitrites
en nitrates (Nitrobacter ou Nitrospira). Les nitrates constituent l’Azote qui
à son tour est fourni aux plantes.

  De l’engrais chimiques ajouté quotidiennement dans le système


aquaponique ;

  De l’azote atmosphérique.

7 : Que faire pour accélérer le cyclage d’un système aquaponie ?

  En ajoutant l’engrais chimique dans l’eau du système


aquaponique ;

  En effectuant un apport extérieur en bactéries ;

8 : Quand planter en aquaponie ?

  On peut planter avant le cyclage du système ;


  On peut planter les plantes  dès le démarrage , alors même qu’on
est en train de cycler le système ;

  On peut planter après la récolte de poissons.

9 : Quelles précautions prendre pour transporter les poissons ?

  Pas de lumière, pas trop de mouvement, l’eau propre et oxygénée ;

  Introduire et acclimater les poissons, une quarantaine, manipuler


au minimum les poissons ;

  Sécuriser les poissons en les empêchant de sauter hors du bac


 pendant le transport, observez bien vos poissons ;

  Toutes ces réponses

10 : Quels poissons élever en aquaponie ?

  Seulement les poissons d’ornement du type carpes Koï ou


poissons rouges ;

  Seulement les poissons de consommation, tels que des tilapias,


poissons chats, truites, saumons, gardons ;

  Vous pouvez décider d’élever, dans votre bassin des poissons de


consommation, tels que des tilapias, poissons chats, truites, saumons,
gardons etc. ou bien d’élever plutôt des poissons d’ornement du type
carpes Koï ou poissons rouges.

 Enregistrer vos réponses

1 : Qu’est ce qu’un bio-fertilisant ?

  Les bio-fertilisants sont des solutions chimiques qui permettre à la


plante de mieux se développer.

  Les bio-fertilisants sont des produits qui dégradent


l’environnement.
  Les bio-fertilisants sont des solutions naturelles qui permettre
d’obtenir un meilleur équilibre du sol.

2 : les bactéries fixatrices d’azote, les bactéries solublisatrices de phosphore, les champignons
mycorhiziens sont des bio-fertilisants intéressants pour l’agriculture.

  Vrai

  Faux

3 : Le bokashi est un engrais organique complet en combien de jours ?

  45

  15

  26

4 : Quels sont les rôles du charbon dans le bokashi  ?

  Apporte de la vitamine B, des minéraux et des protéines

  Contribue à la diversification minérale, et apporte des protéines et


déclenche la fermentation.

  Retient l’eau, capte les minéraux, améliore la structure du sol,


apporte de l’oxygène, facilite le développement des racines, capte la
microbiologie, stabilise l’humus qui retient les micronutriments.

5 : La température normale du Bokashi a l’intérieur est :

  65°c

  54°c

  25°c

6 : Les bio-pesticides sont des substances antiparasitaire issus de source naturelles comme des
bactéries, des champignons, des virus, des plantes, des animaux et des minéraux.
  Vrai

  Faux

7 : Quels sont les bio-pesticides utiles pour l’agriculture ?

  Bactéries fixatrices d’azote et de phosphore

  Les macro-organismes, les micro-organismes et les substances


naturelles

  Le bokashi et le compost

8 : L’Appichi est :

  Une bactérie qui permet de solubiliser le phosphore présent dans


le sol

  Un phosphore qui conditionne la mise en disponibilité des


nutriments pour les conduire à la plante

  Un bio-pesticide permettant de renforcer les défenses immunitaires


des plantes

9 : Les bio-pesticides permettent-ils d’améliorer les propriétés physico-chimiques du sol ?

  Oui

  Non

10 : Quels sont les ingrédients pour préparer l’Appichi ?

  Le son de mil et le charbon de bois

  Ail, poivre noir, poudre de piment, l’alcool, bio-fertilisant et l’eau

  Le purin de l’ail et le compost liquide


11 : La mise en place du sous couvert végétal, l’utilisation des ennemis naturels de l’espèce
nuisibles sont des alternatives pour les intrants synthétiques.

  Vrai

  Faux

12 : La méthode biologique consiste :

  à utiliser des moyens manuels ou la lumière pour limiter les dégâts

  à désinfecter le sol à la vapeur dans les serres et les pépinières

  à utiliser des microorganismes, des oiseaux, et même certains


insectes contre d’autres insectes.

13 : L’utilisation des variétés résistantes, le labour de fin de cycle sont- ils des méthodes
agronomique ?

  Oui

  Non

14 : Les pratiques culturales peuvent protéger le champ ou la pépinière contre :

  Les criquets refugiés dans les hautes herbes

  Les ennemis des cultures (insectes, acariens, nématodes….)

  Le feu de brousse, le vent, l’eau pour limiter les dégâts

15 : La chaleur peut détruire les insectes de stock entre :

  55° et 70°

  20° et 85°

  45° et 72°
 Enregistrer vos réponses
1 : Qu’est ce que la semence souche « G0 » ?

  Semences du sélectionneur, au départ de toute multiplication de semences

  Semences du producteur

2 : Qu’est ce la semence certifiée R1 ou R2 ?

  Semences du sélectionneur

  Semences issues de la 1ère ou de la 2ème reproduction de la semence de base,


généralement utilisée par le producteur pour sa consommation

3 : Quelle est la contribution des semences dans l’augmentation des rendements ?

  Les semences contribuent pour 10% dans l’augmentation des rendements

  Les semences contribuent pour 80% dans l’augmentation des rendements

  Les semences contribuent pour 40% dans l’augmentation des rendements

4 : A quoi sert le Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et
l’agriculture adopté par la conférence de la FAO en 2001 ?

  A la protection de la biodiversité

  A la préservation des ressources phytogénétiques in situ et ex situ

  A la facilitation de l’accès au ressources phytogénétiques

  Toutes ces réponses

5 : Où les semences végétales sont-elles conservées in situ ?

  dans les banques de gènes de l’INERA

  dans les banques de gènes des universités


  dans les greniers de conservation des semences locales

  toutes ces réponses

6 : Où sont situées les banques de gènes ex-situ en Afrique ?

  Africa Rice en Côte d’Ivoire / IITA au Nigéria

  ICRISAT au Niger

7 : Pourquoi est-il important de conserver les semences traditionnelles ?

  Les semences locales sont adaptées aux conditions du milieu

  Elles entrent dans la création de variétés résilientes au changement climatique

  Elles sont très accessibles

  Toutes ces réponses

8 : Qu’est ce qu’une plante autogame ?

  Ces plantes s’autofécondent naturellement avec les organes mâles et femelles présents
à l’intérieur de la même fleur

  Ces plantes ont sur le même pied des organes mâles séparés des organes femelles

  Il s’agit de plantes dont le croisement se fait à partir de fleurs mâle et femelle provenant
de lignées différentes

9 : Pourquoi les hybrides sont-elles fortement demandées ?

  Ils présentent une vigueur importante et ont des rendements souvent supérieurs aux
parents

  Toutes les reproductions des hybrides conservent leur productivité

10 : Qu’est ce que le système semencier traditionnel ou « informel » ?


  la production de semences suit un schéma conventionnel depuis la semence souche à
la semence certifiée R1 ou R2

  le producteur assure lui-même la production de sa propre paysanne pour son


exploitation agricole et réutilise une partie de sa propre production comme semence

1 : Définissez ce qu’est une « société financée par le capital-risque ».

  Une société dont la dette est couverte par un investisseur en capital-investissement

  Une société dont les parts appartiennent à un investisseur en capital-investissement.

  Une société dont les parts appartiennent à un investisseur en capital-risque, qui


n’investit que dans ce domaine.

2 : Quelle est la différence entre les capital-risqueurs et les business angels ?

  Les capital-risqueurs sont des étrangers contrairement aux business angels

  Les capital-risqueurs investissent leur propre argent

  Les business angels investissent leur propre argent

  Toutes ces réponses

3 : Dans une opération de capital-risque, les fonds apportés par l’actionnaire sont définitivement
acquis pour l’entreprise qui n’est engagée d’aucune contrainte formelle de rémunération ou de
remboursement.

  Vrai

  Faux

4 : Le capital-risqueur reçoit une garantie lorsqu’il investit dans une entreprise.


  Vrai

  Faux

5 : Dans une opération d’affacturage, le factor cède ses créances à l’adhérent.

  Vrai

  Faux

6 : L’affacturage est :

  Un moyen de financement à court terme

  Une technique de garantie des risques

  Un procédé de recouvrement des créances

  Toutes ces réponses

7 : Dans l’affacturage simple et inversé le fournisseur est l’initiateur de l’opération :

  Vrai

  Faux

8 : Seules les entreprises en phase d’expansion peuvent avoir recours à l’affacturage, les start-ups
en sont exclues.

  Vrai

  Faux

9 : La finance durable est une composante de la finance verte :

  Vrai

  Faux
10 : La finance inclusive est encore appelée finance solidaire :

  Vrai

  Faux

11 : Les obligations vertes ne sont pas une forme d’investissement socialement responsable :

  Vrai

  Faux

12 : Un investissement socialement responsable tient uniquement compte de la performance sociale


et environnementale du projet.

  Vrai

  Faux

13 : Emettre une obligation verte est un moyen pour une entreprise de maximiser ses chances
d’atteindre son objectif de financement car, elle pourra bénéficier à la fois des financements
spécialisés dans le vert et des financements traditionnels :

  Vrai

  Faux

1 : Pour constituer vos fonds, qu’avez-vous premièrement besoin ?

  Des investisseurs

  Des partenaires

  Un plan de financement initial

  Une autorisation bancaire


2 : Quels sont les mécanismes du financement personnel ?

  L’épargne liquide

  L’épargne bloquée

  L’épargne salariale

  Toutes ces réponses

3 : Quel est l’un des avantages majeurs du financement personnel ?

  La capacité élevée de financement

  Le contrôle total de ses prises de décisions

  Le prêt bancaire

  L’autodiscipline

4 : Le love money est une forme d’épargne relationnelle :

  Vrai

  Faux

5 : Le love money correspond aux capitaux investis par :

  Les proches (famille, amis, entourage)

  Les banquiers

  Les fournisseurs

  Les clients

6 : Quels sont les inconvénients du love money ?


  La non réglementation dans beaucoup de pays africains, les montants investis limités

  L’absence de la vision d’un investisseur

7 : Quelle est la différence entre le love money et le financement amical / familial :

  Avec le love money, les proches deviennent associés et bénéficient des droits qui en
découlent ce qui n’est pas le cas pour le financement amical et familial

  Le financement amical / familial est réservé aux amis / familles tandis que le love
money, aux amoureux

8 : Quel formalisme devons-nous mettre en place dans le cadre d’un prêt amical / familial ?

  Une caution

  Un accord de sa banque

  Un acte écrit

  Un transfert d’argent sécurisé

9 : Qu’est-ce qui différencie les tontines personnelles des tontines entrepreneuriales ?

  L’utilisation de la cagnotte

  Les membres

  Les classes économiques

10 : Laquelle de ces assertions est fausse ?

  La tontine est un instrument financier facile d’accès

  Très souvent, le prêt amical / familial est fait sans intérêt

  La vie tontinière est un long fleuve tranquille car tous ses membres sont de bonne foi
  L’aide financière entre membres d’une même famille ou entre amis est clairement moins
contraignante qu’un contrat de prêt en bonne et due forme signé à sa banque

1 : La finance solidaire mobilise des investissements consacrés à des secteurs tels que :

  Le sport

  L'art

  L'emploi

  La culture

2 : Le social business a pour objectif :

  De partager les bénéfices entre les membres fondateurs

  De réinvestir les bénéfices dans des actions sociales et solidaires

  De remettre les bénéfices à l’État

  De refuser de faire des bénéfices

3 : La finance verte est un pan de l’Investissement Socialement Responsable :

  Vrai

  Faux

4 : Quel est l’apport le plus connu et demandé?

  L’apport en nature
  L’apport en numéraire

  L’apport en industrie

5 : Quel(s) est/sont les modes de financement externe?

  Les apports numéraires

  Les subventions et les prêts

6 : Quelle est la différence entre les fonds solidaires et les fonds ISR?

  Les fonds solidaires fonctionnent dans une perspective de retour sur investissement et
réinvestissement majoritairement leur résultat.

  Les fonds ISR fonctionnent dans une perspective de retour sur investissement.

7 : En quoi consiste un fond de partage?

  A partager les responsabilités

  A partager le travail

  A partager les revenus générés

8 : Comment est-ce que les fonds solidaires financent l’économie sociale et solidaire?

  Par les prises de participation dans le capital

  Par les subventions

  Par les dons

9 : Le crowdfunding fait-il partie en lui-même de la finance durable?

  Oui

  Non
10 : Quel(s) est/sont le(s) métier(s) du crowdfunding qui s’inscrivent dans une logique
philanthropique?

  Le crowdinvesting

  Le crowdlending

  Le don

11 : Existe-t-il déjà en Afrique francophone des projets solidaires et écologiques financés par
crowdfunding?

  Oui

  Non

1 : Caractéristique de l’Information Géographique (IG) :

  L’information géographique (IG) est toute information relative à un objet spatialement


référencé à la surface de la terre. Il s’agit d’un type d’information très répandu, décrivant des
objets, phénomènes, êtres vivants ou sociétés, dès lors qu’ils sont reliés à un territoire.

  L’IG est une donnée ayant une référence spatiale soit sous forme de : (i) Coordonnées
géographiques (ii) Nom de lieu, (iii) Adresse postale ou autres.

  L’IG est obtenue, déposée, analysée, affichée et partagée à l’aide de systèmes


d’information géographique (SIG).

  Toutes ces réponses

2 : Données spatiales :

  a. Elles déterminent les caractéristiques spatiales d’une entité géographique où sont
représentés et identifiés tous les éléments graphiques: (i) la localisation : coordonnées par
rapport à une échelle graphique de référence ; (ii) la forme: point, ligne, surface ; (iii) la taille:
longueur, périmètre, surface.

  b. Les informations font référence à des objets de trois types : (i) Point: est désigné par
ses coordonnées et à la dimension spatiale la plus petite ; (ii) Ligne: a une dimension
spatiale constituée d’une succession de points proches les uns des autres ; (iii) Polygone
(zone ou surface): est un élément de surface défini par une ligne fermée ou la ligne qui le
délimite.

  c. Les informations spatiales sont utilisées pour transmettre des informations d'un point
à l'autre bout de la Terre, notamment des communications téléphoniques ou de la
transmission de données.

  a. et b.

3 : Les données associées des entités géographiques permettent de compléter la représentation


géométrique de l’entité spatiale. Ce sont :

  Toute ces réponses

  Les données de classification

  Les données d’identification

  Les données spatiales

4 : L’utilisation des SIG dans la gestion forestière est uniquement destiné a faciliter l’accès aux
informations et aux cartes pour les missions de terrain des techniciens forestiers.

  Vrai

  Faux

5 : Mode vecteur :

  Avec le mode vecteur, pour transformer un objet réel en une donnée à référence
spatiale, on décompose le territoire en couches thématiques (relief, routes, bâtiments…)
structurées dans des bases de données numériques.

  Le mode vecteur est également appelé modèle matriciel et décrit la totalité de la surface
cartographique point par point.

6 : Les inconvénients du mode raster :

  Il n'y a aucun inconvénient


  Bonne adaptation à la représentation des détails linéaires.

  Obligation de parcourir toute la surface pour extraire un détail et impossibilité de réaliser


certaines opérations topologiques, la recherche du plus court chemin dans un réseau par
exemple.

7 : Principale(s) composante(s) d’un SIG :

  Matériel informatique (Hardware) et logiciels SIG (Software)

  Données (Information géographique)

  Personnel formé

  Toutes ces réponses

8 : Type de production cartographique via le SIG :

  Uniquement les cartes topographiques et les plans cadastraux

  Les cartes topographiques et les plans cadastraux + Les cartes thématiques et


économiques + Les cartes de navigation

  Les cartes de gestion des conflits + Les cartes thématiques et économiques + Les
cartes de navigation

  Uniquement les cartes thématiques et économiques

9 : La production des cartes via le SIG est possible avec des logiciels commerciaux, libres d’accès
ou gratuits :

  Vrai

  Faux

10 : Domaines d’application des SIG :

  Mathématique, informatique et géodésie


  Télédétection, photogrammétrie et arpentage

  Géographie et géographie forestière

  Toutes ces réponses

1 : L’agroforesterie apporte :

  a) Des avantages environnementaux ;

  b) Des avantages sociaux ;

  c) Des avantages économiques

  Toutes ces réponses

2 : L’agroforesterie est la mise en valeur du sol avec une association (simultanée ou séquentielle) de
ligneux et de cultures ou d’animaux afin d’obtenir des produits ou des services utiles à l’homme :

  Vrai

  Faux

3 : Le Sylvopastoralisme renvoie à :

  L'agroforesterie dans son ensemble ;

  Une partie de l’agroforesterie ;

  Une réalité légèrement différente de l’agroforesterie

4 : Le fait de conduire des bovins, ovins, caprins ou camélidés au pâturage sur des terrains de
parcours boisés, voire forestiers, où les troupeaux se déplacent avec les pasteurs en fonction des
ressources fourragères renvoie à :
  Le Sylvopastoralisme ;

  L’agroforesterie ;

  Aucun des deux

5 : L'agrosylvopastoralisme se rapporte à des situations où une culture saisonnière entre dans


l’association animaux-arbres.

  Vrai

  Faux

6 : Les trois composantes de base de l’agroforesterie sont :

  Arbres-cultures-habitat

  Arbres-cultures-animaux

  Arbres-animaux-hommes

  Arbres-hommes-habitat

7 : Sur la base de la structure temporelle des composantes de base de l’agroforesterie on distingue


les systèmes agroforestiers suivants : a) L’agroforesterie simultanée (composantes de
l’agroforesterie présentes en même temps) ; b) L’agroforesterie séquentielle (composantes se
succédant dans le temps, comme dans les jachères et autres rotations) ; c)
L’agrosylvopastoralisme :

  a + b + c

  a + c

  a + b

  b + c

8 : Sur la base de la structure spatiale on peut différencier les systèmes agroforestiers suivants :
  Les associations ordonnées (arbres en ligne ou autre disposition
géométrique) ;

  Les associations mélangées (arbres dispersés de manière


irrégulière dans les parcelles) ;

  Toutes ces réponses

9 : La fonction principale de l’association agroforestière peut être considérée comme un critère de


classification des systèmes agroforestiers :

  Vrai

  Faux

10 : Dans les systèmes agroforestiers le plus souvent, la fonction de quelle composante est prise en
compte ?

  La fonction des arbres;

  La fonction des cultures;

  La fonction des animaux

11 : Un système agroforestier peut avoir pour objectif :

  Produire (fourrage, des fruits, etc) ;

  Assurer un service (protéger le sol, assurer un couvert ombrage,


protéger du vent).

  Toutes ces réponses

12 : Il est possible de classer les systèmes agroforestiers sur des critères socio-économiques de
type agriculture de subsistance ou de rente.

  Vrai

  Faux
13 : Les principaux enjeux de l’agroforesterie ne portent pas sur :

  La gestion foncière et l’habitat rural

  Le développement durable

  Les changements climatiques

  La gestion des forêts tropicales

14 : Les alternatives à l'agriculture itinérante, dont les pratiques agroforestières, font partie des
solutions importantes dans les zones tropicales pour contribuer à la lutte contre le réchauffement
climatique et diminuer l'effet de serre.

  Vrai

  Faux

15 : Caféier, le cacaoyer et le théier, des ignames, des patates douces et d’autres plantes à
tubercules, de certaines variétés de haricot, de la cardamome, du gingembre, du poivrier, s’adaptent
naturellement à la :

  Croissance sous arbres d’ombrage

  Parcs agroforestiers

16 : Les arbres des parcs agroforestiers (Faidherbia., le baobab, le karité, le néré, le tamarinier, le
Sclerocarya ne sont pas utilisées en agroforesterie pour :

  Constituer une épargne sur pied pour leurs propriétaires.

  Affecter le rendement des cultures associées à proximité


immédiate des arbres,

  Modifier le microclimat de l’ensemble de la parcelle et limiter


l’érosion du sol ;

  L’exploitation forestière

17 : Association agroforestière qui consiste à planter sur une parcelle des cultures et des arbres, les
arbres constituant un couvert supérieur, plus ou moins dense ou dispersé :
  Culture sous couvert arboré ;

  Culture sous couvert arbustive ;

  Culture sous couvert arborescente ;

18 : Lorsque la composante arborée d’une association agro forestière est multi-étagée, dense,
diversifiée, et que la parcelle prend une physionomie typiquement forestière, on parle de :

  Parc agroforestier ;

  Agroforêt

19 : Une agroforêt, plus étendue, plus éloignées des habitations avec une orientation commerciale
des productions de rente, fruits, le bois d’œuvre, différentes productions des arbres, l’élevage
extensif et enrichie en espèces utiles renvoi à :

  Une forêt-jardin ;

  Un jardin-forêt ;

20 : Variante simplifiée d’agroforêt dans laquelle la composante non arborée est réduite, où les
populations rurales récoltent néanmoins des produits qui ne se trouvent pas dans les zones
strictement agricoles des exploitations (bois et charbon de bois, fibres diverses, gibier,
pharmacopée...) et où on parque souvent le bétail renvoi à :

  Une forêt-jardin ;

  Une parcelle boisée à usages multiples ;

21 : L’agroforesterie animale comprend tous les cas ou des animaux sont élevés dans un
environnement arboré ou nourris de produit arborés (feuilles, fruits, etc) :

  Vrai

  Faux

22 : e fourrage pour alimentation à l’auge lorsqu’il est produit en terrain boisé, qu’il soit brout ou
fourrage herbacé est un exemple classique d’agroforesterie animale :
  Vrai

  Faux

23 : Système agroforestier dans lequel les arbres et les cultures ne sont pas simultanément présents
sur une parcelle ou un terroir donné, mais se succèdent dans le temps. L’interaction entre arbres et
cultures est donc indirecte, par l’intermédiaire de modification du sol :

  Culture en couloir ;

  Agroforesterie séquentielle ;

  Agroforêts villageoises

24 : Il ne peut y avoir concurrence entre arbres et cultures dans un système agroforestier séquentiel :

  Vrai

  Faux

25 : Toutes les techniques de cultures en rotation qui comprennent une phase arborée appartiennent
à l’agroforesterie séquentielle ; :

  Vrai

  Faux

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