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Nom 

: Bilge
Prénom : Altinparmak
Classe : Sde

Bernard de Clairveaux et la violence des croisades

Note Remarque Signature

Le document est un extrait du livre « De laude novae militae » écrit par Saint Bernard
de Clairvaux en 1129. Ce dernier est un abbé de l’abbaye de Clairveaux de 1115 à 1153. Il
devient rapidement un des hommes les plus influents de son temps. Il intervient aussi dans
les affaires politiques et religieuses de son époque. Cet extrait a lieu avant la deuxième
croisade à la demande du Pape Urbain II, il appelle le peuple à la croisade pour protéger par
les armes les pèlerins en Terre Sainte.
En quoi les arguments de Bernard de Clairveaux encouragent-ils les fidèles à combattrent les
musulmans ?
Dans une première partie, nous verrons en quoi les croisés ne doivent pas craindre la mort
pour ensuite nous intéresser qu’elles ne doivent pas craindre de tuer. Ensuite, dans une
troisième partie, nous étudierons les fautes impardonnables que commettent les
musulmans.

Bernard de Clairveaux invite les chevaliers qui veulent se croiser à l'humilité, à


l'obéissance et au sacrifice. Après son prêche, on lui arrache même des morceaux de son
vêtement pour en faire des reliques. Son prestige entraîne donc le peuple de France.
Les croisés ne doivent donc pas craindre la mort, ils doivent mourir en toute sécurité pour
leur Seigneur, ni de périr, même s’il se font tuer eux-mêmes et ils gagnent aussi la grâce du
Christ. Les chevaliers meurent volontiers pour faire plaisir à leur Seigneur.
S’ils meurent eux-mêmes, ne périrons pas, ils auront atteint leur but. Dieu sera glorieux et
reconnaissant envers ces personnes en récompensant avec le paradis ou le pardon des
pêchers.
Comme observé en 1095 et 1096, les croisades n'ont pas suscité d'enthousiasme
généralisé. Cependant, Bernard de Clairvaux, l'un des hommes les plus célèbres et les plus
respectés de la chrétienté à l'époque, a eu l'idée de promettre le pardon de tous les péchés
commis par ceux qui porteraient la croix. Le pape Eugène III a envoyé Bernard de Clairveaux,
connue comme une missionnaire distinguée, pour prêcher sur la deuxième croisade, et a
accordé le même pardon que le pape Urbain II avait accordé à la première croisade.
Donc c’est pour cela que les croisés ne doivent pas craindre de tuer, ils doivent tuer leurs
adversaires en sachant que ce n’est pas un pécher, selon les chevaliers du Christ il faut tuer
un ennemi pour venger le Christ des malfaiteurs et de défendre les chrétiens. Quand un
païen (non-croyant) meurt, les chrétiens peuvent être rempli de gloire, puisque dans ce cas
ils ont atteint leur but et ont agit pour la gloire du Christ. Quand ils verront les infidèles
subirent le châtiment, les chrétiens se réjouirons. Et donc quiconque qui est en contradiction
avec la foi de Dieu, des chrétiens, en subira les conséquences.

Les musulmans commettent des fautes impardonnables ; la première raison est qu’ils
ne sont pas de la même foi que Dieu, ne respectent pas la foi de Dieu, qui est le
christianisme. Cependant, tuer des infidèles n'est pas approprié si d'autres moyens peuvent
être trouvés pour empêcher les infidèles d’harceler ou d'opprimer les croyants. Mais pour le
moment, il vaut mieux tuer l'infidèle que de laisser la menace du pécheur planer sur la tête
de celui qui est juste, de peur que le juste ne soit entraîné dans le péché.
Les musulmans sont ceux qui font le mal, ceux qui s'efforcent de priver Jérusalem de la
richesse inestimable réservée aux chrétiens, ceux qui veulent souiller la Terre Sainte et
empiéter sur le sanctuaire de Dieu.

En conclusion, l'objectif de Bernard de Clervaux consiste à permettre aux pèlerins et


aux caravanes de chrétiens de se rendre en toute sécurité vers les lieux saints de Jérusalem,
en plein monde musulman hostile. Dès lors, pour diminuer, voire annuler, la menace, il ne
faut pas craindre, au contraire, de tuer les infidèles c’est-à-dire les païens qui signifie les
non-croyants car cela devrait plaire à Dieu. Et si l'on est tué soi-même en défendant les lieux
saints, cela devrait également plaire à Dieu. Donc, Bernard de Clervaux n'hésite pas à faire
l'éloge de la violence pour galvaniser les populations et appeler de nouveaux croisés.

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