Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
BÂTIMENT
Quelles sont les causes les plus fréquentes d’incendie dans une maison ?
Les dégâts
La propagation
Règlementation – Belgique
La prévention
Matériaux et incendie
Un incendie est un feu qui se déploie sans être contrôlé. Il peut s’étendre rapidement et faire des dégâts importants.
Origine
humaine (imprudence, malveillance,…)
causes techniques (matériel électrique, usage de chalumeaux ou autres appareils thermiques,…).
causes naturelles comme la foudre
Les cigarettes et les dysfonctionnements d’appareils électriques sont les origines les plus fréquentes d’un départ d’incendie.
QUELLES SONT LES CAUSES LES PLUS FRÉQUENTES D’INCENDIE
DANS UNE MAISON ?
INSTALLATION ET ÉQUIPEMENT NON-ENTRETENU
INSTALLATION ÉLECTRIQUE
Il est important de vérifier les équipements et installations d’une habitation en fonction
Provoque 25% des incendies domestiques des nouvelles normes afin d’éviter tout risque d’incendie.
Dû à une installation électrique Equipement électrique
Hors normes Éviter les surchauffes
Défectueuse Chaudière
Éviter les risques d’incendie
Système surchargé >> surchauffe
Procéder aux entretiens requis
Problème de fusible ou de connexion qui lâche
Conduit de cheminée
Éviter les risques d’incendie (feu de cheminée)
Ampoules halogènes qui chauffent très fort Installation ou gaz laissé sans surveillance Allumettes
Feu ouvert / poêles Surchauffe huile d’une friteuse >> inflammable Objets inflammables
Décorations électriques (surtout en période de Noël) >> Ne pas laisser la cuisine sans surveillance quand elle est >> Risque d’incendie involontaire
Cigarette mal éteinte utilisée
La suie
qui se déplace au-delà des limites du feu dans des pièces voisines ou des bâtiments voisins.
Elle pénètre partout notamment dans tout appareil électrique ce qui peut, si il n’est pas traité provoquer un nouvel incendie.
Les vapeurs chlorées
présentes également dans les fumées et très volatiles. Elles peuvent provoquer des problèmes de corrosion sur toutes les pièces
métalliques (éléments de structure, électroniques) ce qui peut provoquer un effondrement par la suite ou de nouveau un incendie.
>> C'est pour cette raison qu'il est indispensable de faire appel à des sociétés spécialistes de l'assainissement après
sinistre.
L’eau
utilisée pour éteindre l’incendie,
une canalisation qui explose lors de l’incendie, …
une déshumidification et le séchage du bâtiment est souvent nécessaire.
QUELLE RESPONSABILITÉ POUR L’ARCHITECTE D’INTÉRIEUR ?
Il est indispensable de connaître et respecter les normes de sécurité incendie comme architecte d’intérieur.
Il est également important d’être vigilant durant la phase chantier notamment pour des lots techniques comme le chauffage, l’électricité et la ventilation…Il
faut surveiller le chantier et contrôler le travail après exécution. il faut avertir les intervenants sur les autres interventions en cours.... Il faut aussi toujours
être au courant des travaux des entreprises.
Repris du travail de Faymonville Céline
DÉVELOPPEMENT D’UN INCENDIE
D
Le développement d’un
incendie se déroule en 5
phases de durées variables : C
1. La naissance.
2. La croissance.
3. Accélération et flach-
over ou back-draft.
B
4. Embrasement
généralisé. A
5. Déclin. 1 2 3 4 5
1- La naissance
Durant cette phase, le dégagement de chaleur est modéré, les fumées peu abondantes. La naissance du feu peut être plus ou moins
longue en fonction de la nature et de l’état des matériaux combustibles contenus dans le local et de l’apport en comburant. Une
quantité plus ou moins importante d’imbrûlés sera produite qui conduira, en fonction de la ventilation du local, soit à la phase de
flash-over, soit à la phase de back-draft qui tous deux engendreront le feu pleinement développé.
DÉVELOPPEMENT D’UN INCENDIE
2 - Croissance :
• La combustion produit de la chaleur ( réaction exothermique), le feu entretient et accroît l'énergie d'activation. Si le combustible et le
comburant sont disponibles en quantités suffisantes, l'incendie s'étend de manière exponentielle.
• On estime que pour éteindre un feu sec naissant, il faut :
• un verre d'eau durant la première minute,
• un seau d'eau au cours de la deuxième minute,
• une citerne d'eau au bout de la troisième minute.
• Dans le cas d'un feu dans un volume clos (par exemple un feu d'habitation), on estime que la température de l'air atteint 600 °C au bout
de cinq minutes alors que dans une cage d'escalier, elle peut atteindre 1 200 °C dans le même temps.
DÉVELOPPEMENT D’UN INCENDIE
Si l’apport en comburant (par exemple en air via de grandes ouvertures) est suffisant pour alimenter le feu, l’incendie se
développera rapidement et se propagera dans l’ensemble du volume. Le phénomène de flash-over constituera le début de
l’embrasement généralisé.
Si l’apport en comburant n’est pas suffisant pour alimenter le feu, l’incendie ne se développera pas rapidement et il y aura une
forte production d’imbrulés (c’est un feu couvant). Dès l’ouverture d’une porte ou de l’éclatement d’une paroi vitrée le feu peut
s’emballer via un appel d’air très important. On passera d’un feu couvant à un feu pleinement développé alimenté par les imbrûlés
En bref,
feu alimenté en air : embrasement généralisé éclair par exemple dans un local semi-ouvert ;
feu carencé en air : explosion de fumées par exemple par apport soudain d'air par ouverture rapide d'une porte.
DÉVELOPPEMENT D’UN INCENDIE Nous ne pouv ons pas afficher l’image.
5 - Extinction
C’est la décroissance du feu soit car il n’y a plus de combustible pour l’alimenter ou par intervention des pompiers.
Attention aux braises et aux foyers secondaires durant la phase.
DÉVELOPPEMENT D’UN INCENDIE
Le développement d’un C
incendie se déroule en 5
phases de durées variables :
1. La naissance.
2. La croissance.
3. Accélération et flach- B
over ou back-draft.
4. Embrasement A
généralisé. 1 2 3 4 5
5. Déclin.
La réaction au feu :
« C’est-à-dire l’aliment qui peut être apporté au feu et au développement de l’incendie »
La résistance au feu :
« C’est-à-dire le temps pendant lequel les éléments de construction peuvent jouer le rôle qui leur est dévolu malgré l’action d’un
incendie ».
LA PROPAGATION
Pour lutter contre l'accumulation des fumées et limiter leur caractère dangereux, des systèmes de
désenfumage (trappes, ouvrants ou extracteurs ) peuvent être implantés dans un bâtiment. À
défaut, une des premières actions des sapeurs-pompiers sera de pratiquer une ouverture haute,
au besoin en cassant le toit, une vitre ou bien un mur. Les portes coupe-feu limitent la propagation
des fumées et donc celle de l'incendie. Elles protègent les personnes contre l'intoxication par les
fumées.
Source : Incendie — Wikipédia
(wikipedia.org)
LA PROPAGATION
La conduction
Projection
Des objets enflammés ou incandescents peuvent :
voyager dans l'air, soit emportés par le vent s'ils sont légers (par exemple feuilles d'arbre ou de
papier, escarbilles),
soit être projetés par une explosion.
Ces objets peuvent créer de nouveaux foyers distants.
Directive européenne
Une directive européenne fixe le cadre législatif et la réglementation technique concernant la sécurité
incendie (Directive du Conseil du 21 décembre 1988 concernant les produits de construction ( 89 / 106 /
CEE ) modifiée par la Directive 93/68/CEE du Conseil du 22 juillet 1993).
Un bâtiment doit être conçu et construit pour qu’en cas d’incendie :
sa stabilité soit assurée pendant une durée déterminée,
l'apparition et la propagation du feu et de la fumée à l'intérieur de l'ouvrage soient limitées,
l'extension du feu à des ouvrages voisins soit limitée,
les occupants puissent quitter l'ouvrage indemnes ou être secourus d'une autre manière,
la sécurité des équipes de secours soit prise en considération.
RÈGLEMENTATION –DIRECTIVE ET NORMES EUROPÉENNES
Classement complémentaire
S=seconde
RÈGLEMENTATION –DIRECTIVE ET NORMES EUROPÉENNES
stabilité au feu (R) : aptitude d’un élément de construction à supporter l’exposition au feu sans perte de stabilité structurale.
étanchéité au feu (E) : aptitude d’un élément séparatif exposé au feu d’un seul côté à empêcher les flammes et les gaz chauds de le
traverser.
isolation thermique (I) : aptitude d’un élément séparatif à limiter le passage de la chaleur pour :
ne pas enflammer la surface non exposée ni aucun élément au voisinage direct.
protéger les personnes situées à proximité.
Etat fédéral établit les normes de base qui fixent les conditions minimales auxquelles doivent répondre tous les nouveaux bâtiments.
L'autorité fédérale fixe également les réglementations concernant les lieux de travail, les hôpitaux et les installations électriques.
Régions et Communautés sont compétentes pour réglementer des aspects particuliers de la sécurité, en complétant ou adaptant la
législation fédérale (sans pouvoir en réduire les exigences au niveau de la sécurité). C’est le cas d’établissement de règles spécifiques
pour les maison de repos et les hôtels.
Communes éditent des règlements de police (dont ceux relatifs à la prévention incendie).
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
Réglementations principales
Loi du 30 juillet relative à la prévention des incendies et des explosions ainsi qu’à l’assurance obligatoire de la
responsabilité civile dans ces mêmes circonstances.
L’arrêté royal du 7 juillet 1994 (12 juillet 2012) fixe les normes de base en matière de prévention contre
l’incendie et l’explosion, auxquelles les bâtiment nouveaux doivent satisfaire.
L’article 52 du Règlement Général pour la Protection du Travail (RGPT) : précautions contre les incendies, les
explosions et les dégagements accidentels de gaz nocifs ou inflammables
L’article 104 du Règlement Général sur les installations électriques (RGIE/ARAI) : mesures préventives contre
l’incendie.
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
En Belgique, le gouvernement fédéral édicte des normes de bases : ARRETE ROYAL DU 7 JUILLET 1994 FIXANT LES
NORMES DE BASE EN MATIERE DE PREVENTION CONTRE L'INCENDIE ET L'EXPLOSION, AUXQUELLES LES BATIMENTS
DOIVENT SATISFAIRE. (PDF disponible sur my intranet et dans le support de cours teams). A.R. 7.7.1994 fixant les normes
de base en matière de prévention contre l'incendie et l'explosion auxquels les bâtiments nouveaux doivent satisfaire -
Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale (belgique.be)
Ces normes sont en réalité des lois. Elles s’appliquent à toutes nouvelles constructions Pour les rénovations les normes
servent uniquement de lignes directrices pour adapter au mieux le bâtiment afin de se rapprocher un maximum de la norme.
Source : CSTC
h = hauteur entre le niveau fini du plancher du niveau occupé le plus élevé et le niveau le plus bas donnant sur les voies d’accès aux véhicules de pompier. Si la
toiture ne comprend que des locaux techniques, on ne la considère pas dans le calcul de la hauteur.
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
Les annexes 2 (bâtiments bas), 3 (bâtiments moyens) et 4 (bâtiments élevés), traitent des points
suivants :
Implantation et chemins d’accès : le maître mot est « accessibilité » pour les services d'incendie
Compartimentage et évacuation : en règle générale
un compartiment possède une surface S ≤ 2500 m², exception faite pour
les parkings
les bâtiments d'un seul niveau (S max = 3500m² et L max = 90m)
les bâtiments équipés d'installations conformes d'extinction automatique et d'évacuation de fumée et de chaleur.
En ce qui concerne la hauteur d'un compartiment, elle est en principe égale à la hauteur d'un étage sauf pour
les parkings
les duplex (deux niveaux superposés avec escalier de communication intérieure) ayant une superficie totale S ≤ 2500 m²
les locaux techniques
les atriums (plusieurs niveaux) équipés d'installations conformes d'extinction automatique et d'évacuation de fumée et de chaleur.
Les règles d'évacuation fixent le nombre et le type de sorties par compartiment en fonction de son occupation.
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
Prescriptions relatives à certains éléments de construction : les résistances au feu (Rf) des éléments
structuraux, des parois verticales et des portes intérieures, des plafonds et faux-plafonds et des façades.
Prescriptions relatives à la construction des bâtiments et des espaces d’évacuation : conception et de
résistance au feu des "voies de communication" dans le bâtiment; communication entre deux
compartiments, cages d'escalier intérieures et extérieures ainsi que les chemins d'évacuation.
Prescriptions relatives à certains locaux et espaces techniques
Equipements des immeubles : les ascenseurs, l'éclairage, les systèmes de ventilation, les évacuateurs de
fumée, les systèmes d’alarme,...
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
L'annexe 5/1 reprend les exigences de réaction au feu exprimées en classes européennes. Les exigences sont
fonction de la hauteur du bâtiments, du type de local, de la présence d'une installation de détection incendie
généralisée et du type d'occupants :
Type 1: occupants non autonomes (par exemple hôpitaux, maisons de repos, prisons, ...)
Type 2: occupants autonomes et dormants (par exemple appartements, hôtels, ...)
Type 3: occupants autonomes et vigilants (par exemple bureaux, magasins, écoles, halls sportifs, ...)
L’annexe 7 reprend les prescriptions relatives aux traversées d'éléments de construction résistants au feu.
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
Résistance au feu
Parois de
Eléments "structurels" (colonnes, poutres, compartimentage non Parois de compartimentage
murs et plancher porteurs,…) portantes portantes
Bâtiment bas
REI 30
EI 30 REI 60 (sous-sol et plancher du
d'un seul niveau R30 EI 60 (sous-sol) rez)
de plusieurs niveaux R60 EI 60
Bâtiment moyen
En sous-sol R120
Au-dessus du sol R60 EI 60 REI 60
Bâtiment élevé
R120 EI 120 REI 120
Bâtiment industriels
"Pas de R déterminé" à R 120 en fonction du type
Classe A d'élément structurel EI 60 REI 60
Classe B EI 120 REI 120
Classe C EI 120 REI 120
Les assemblages doivent présenter la même durée (R)(EI) que celle requise pour les éléments individuels.
RÈGLEMENTATION - BELGIQUE
Mur mitoyen
Réaction au feu
BE BM BB
Locaux techniques, parkings,
salles des machines, gaines
techniques Parois A2-s3, d2 A2-s3, d2 A2-s3, d2
Plafonds/faux-plafonds A2-s3, d0** A2-s3, d0** A2-s3, d0**
Sols A2fl-s2 A2fl-s2 A2fl-s2
Cl-s3, d2 Cl-s3, d2 Cl-s3, d2
Isolation thermique des conduits* C-s3, d2*** C-s3, d2*** C-s3, d2***
Chemins d’évacuation
Non-autonomes (type 1) Autonome
BE BM BB
Dormant (type Dormant Vigilant
2) Vigilant (type 3) (type 2) (type 3)
S.S.hor S.S.vert. S.S.hor S.S.vert. S.S.hor S.S.vert.
Sans détection incendie
parois A2-s1, d1 B-s1, d2 B-s1, d2 C-s2, d2 B-s2, d2 C-s2, d2 B-s1, d2 D-s3, d2 C-s3, d2
plafonds A2-s1, d0 B-s1, d0 B-s1, d0 C-s2, d0 B-s2, d0 C-s2, d0 B-s1, d0 D-s3, d0 C-s3, d0
sols A2fl-s1 Bfl-s1 Bfl-s1 Cfl-s1 Bfl-s1 Cfl-s1 Bfl-s1 Dfl-s2 Cfl-s2
Avec détection incendie
parois B-s1, d2 B-s1, d2 C-s1, d2 C-s2, d2 C-s2, d2 D-s2, d2 C-s1, d2 D-s3, d2 D-s3, d2
plafonds B-s1, d0 B-s1, d0 C-s1, d0 C-s2, d0 C-s2, d0 D-s2, d0 C-s1, d0 D-s3, d0 D-s3, d0
sols Bfl-s1 Bfl-s1 Cfl-s1 Cfl-s1 Cfl-s1 Sfl-s1 Cfl-s1 Dfl-s2 Dfl-s2
LA PRÉVENTION
2 types de prévention :
Prévention passive : moyen de
prévention en rapport avec la
conception même du bâtiment,
sa structure, son enveloppe et
son parachèvement.
Cela concerne les points abordés
précédemment (réaction et résistance
au feu)
Dans les cafés, les restaurants, les salles de réunion, salles de fêtes 1pers./m².
RÈGLES EN TERMES DE SÉCURITÉ INCENDIE POUR UN LIEU PUBLIC
?
Les escaliers extérieurs sont réalisés dans des matériaux non combustibles ou présentant des garanties suffisantes
de résistance au feu.
L'agencement intérieur ne doit pas entraver la circulation vers les sorties.
Les sorties doivent être visibles et faciles d’accès (accessibles aux PMR).
Les installations électriques doivent être aux normes et vérifiées régulièrement (obligation 1x/an).
RÈGLES EN TERMES DE SÉCURITÉ INCENDIE POUR UN LIEU PUBLIC
?
Les ascenseurs et escalators sont pourvus d’un arrêt d’urgence qu’il est impératif de déclencher en cas
d’incendie.
Des plans du bâtiment indiquant notre emplacement ainsi que les sorties de secours les plus proches doivent être
affichés.
Des extincteurs, des dévidoirs d’extinction automatique, etc. doivent être présents en nombre suffisant. Ils
doivent être en bon état d’entretien, protégés contre le gel, aisément accessibles et bien répartis. Le matériel
d’extinction doit être signalé par des pictogrammes conformes aux normes générales en vigueur.
Des détecteurs de fumée et d’alarmes incendies doivent être installés et contrôlés.
Un chemin d’évacuation doit être défini et signalé par des pictogrammes.
Une signalétique visible et compréhensible par tous (enfant/illettré/étranger…) • Informations reprises du travail de
• Oslender Lorie et Martin Suzy
• Cornot Clara et Chassagne Gill
QUELQUES RÈGLES CONCERNANT L’HABITATION
Normes électriques
La norme NF C 15-100 garantit le respect des objectifs réglementaires en termes de sécurité et de bon
fonctionnement des installations électriques. Elle concerne les nouvelles constructions et rénovations.
La norme NF C 16-600 fait l’état des lieux de l’installation électrique pour la mise en vente ou en location
d’une résidence.
« Il est important que l’électricité de l’habitation soit aux normes. En effet, la majorité des incendies sont dus
à un dysfonctionnement électrique. »
Dans le cas d’une maison, ou d’un appartement possédant plusieurs niveaux de vie, il est obligatoire de placer :
1 détecteur par niveau de vie, si la superficie n’excède pas 80m2
2 détecteurs par niveau de vie, si la superficie est supérieure à 80m2