Résumé de roman de Zamenga : Un boy au petoria

Présentation de l'auteur et de son œuvrePrésentation de l'auteur

Romancier, éducateur et philanthrope congolais (ex-zaïrois) de langue française (1993-2000), né à l'ouest du pays dans
une famille protestante. Il devient catholique, reçoit une formation aux services sociaux et commence une carrière
d'éducateur.

Instituteur et directeur des services sociaux de l'université de Kinshasa, défendant le droit des handicapés, fondateur d'une
institution pour leur venir en aide, c'est aussi par la plume que Zamenga a entrepris de militer pour ces derniers.

Son premier récit, les hauts et les bas, roman psychologique, publié en 1971, marque le début de sa collaboration avec les
éditions Saint-Paul. Il crée ensuite sa propre maison, Zabat, dans laquelle il publie Souvenirs du village (1971), mille
kilomètre à pied (1979), un croco à Luozi (1982). Ses 23 livres connaissent chacun des tirages de plusieurs dizaines de
milliers d'exemplaires tout en demeurant un inconnu à l'extérieur du pays.

La force de son écriture vient de sa connaissance précise des réalités sociales et ethnographiques du Congo. Zamenga
Batukezanga abordait les questions de la sorcellerie, des relations entre les sexes et surtout la place des sectes et des
religions dans un pays en pleine crise spirituelle et économique (Les îles Soyo, 1979).

La générosité de ses discours, la qualité de ses textes, inscrits précisément dans le milieu outre congolais, font de lui le
représentant typique d'une forme d'engagement de l'écrivain africain, trop souvent oublié à l'extérieur du continent.
Présentation de l'œuvre
Son grand lectorat se situe parmi les écoliers depuis 1971. Ces écrits ont été plusieurs fois réédites, affirme le professeur
MFAMBU NGOMBABINDA dans son ouvrage intitulé "Zamenga Batukezanga consacré à la vie et l'œuvre de l'auteur avec
son écriture facile à lire et à pénétrer".

Zamenga a séduit de nombreux congolais qui ont palpé les pages de ses romans qui abordent la vie sous ces facettes. Les
lecteurs ont découverts Zamenga à travers des romans tels que :
- les hauts et les bas, 1971
- souvenirs du village, 1971
- Bandoki, 1973
- chemin interdit
- mon mari en grève, 1986
- lettre d'Amérique, 1980
- un croco à Luozi, 1982
- mille kilomètre à pied, 1979
- pour un cheveu blanc, 2005
- la Mercedes qui saute les trous, 2005
- les îles Soyo, 1979
Résumé de l'œuvre
Cipenda Cardoso fut un jeune citadin de Maputo (Mozambique).
Né d'une famille des boys, de l'arrière-grand-père à son père, c'est de son arrière-grand-père que venait jadis, le nom de
Cipenda, puis son grand-père, son père et maintenant lui qui dès sa venue au monde portait ce nom.

De même que ces prédécesseurs Cipenda suit la vocation de boy et décida d'aller en Afrique du sud (Pretoria), en vue de
réaliser ce métier. Mais avant de réaliser ce long voyage, Cardoso se fiance à Liz, une jeune demoiselle que l'avait
présenté les membres de sa famille. Ne pouvant pas aller en Afrique du sud par la grande porte, Cipenda accompagné de
Paulisi et Nacimenta, deux autres jeunes vivants à Maputo, qui allaient aussi dans la même direction que celui-ci,
décidèrent alors d'immigrer clandestinement pour se rendre en Afrique du sud.

Le jour suivant la cérémonie d'au revoir, les trois jeunes hommes quittèrent Maputo, accompagnés de leurs parents (pères),
vers 5h du matin, et se dirigèrent vers le faubourg de Maputo déguisés en maraîchers se rendant tôt aux jardins enfin
d'éviter toutes suspicions ou de se faire intercepter par les agents de sécurité.
Arrivés aux portes de Maputo, Cipenda et ses compagnons (Paulisi et Nacimenta), se virent continuer la route tous seuls
jusqu'à atteindre Pretoria.

Les trois jeunes commencèrent leurs périples par gravir une montagne, dont il devait gravir pour atteindre l'autre côté, et
continuer leur chemin, en traversant la forêt.

Paulisi, l'ainé, en était le guide. Après quelques jours de marches et des nuits passées sous la belle étoile, ils rencontrèrent
dans la forêt une tribu qu'on appelait des "authentiques", qui au début les prenaient pour des ennemis et les
emprisonnèrent. Et quelques jours après, les soumirent à une condition afin de les libérer et les laisser continuer leur route.

Mais le trois jeunes se référant à leur foi et conscience déclinèrent cette offre qui pour eux n'était bon du tout, et furent
condamnés à mort. Mais, suite à la mort de Paulisi, qui attrapa la malaria suite à l'emprisonnement, et le village ne voulant
pas endossé cette culpabilité, relâcha Cipenda et Nacimenta, garda le corps de Paulisi, l'enduit des certains substances
inconnues afin que le corps ne puisse pas pourrir et l'accrochèrent à un tronc arbre dans la forêt. Les deux jeunes hommes
tant bien que choqués de la disparition de leur ainé et guide, continuèrent leur route accompagnés de guides du village des
authentiques qui les accompagnèrent jusqu'à la sortie de la forêt et s'arrêtèrent là, parce qu'ils ne pouvaient pas aller plus
loin.

Se retrouvant tous seuls, les deux jeunes hommes continuèrent leur route. Mais devant eux, se dressait le grand désert du
Kalahari, où, fort malheureusement, Nacimenta y resta suite à une forte tempête de sable qui l'emporta.

Le pauvre Cipenda seul, continua sa traversée malgré les situations ulcérantes vécues. Arriver à terme de sa traversée du
désert, devant lui, il y avait une grande forêt, qui était à une demi-journée de lui, et passa la nuit à mi-chemin. Le
lendemain, il continua sa route, puis lors de sa traversée de la forêt, fort heureusement, il croisa un malafoutier (tireur de vin
de palm) qui lui offrit son hospitalité et le conduit, dans son village, après du roi. Ce dernier ayant écouté l'histoire de
Cipenda, l'accueillit dans son village et décida de s'occuper de lui jusqu'à son établissement complèt avant qu'il ne
reprenne la route. Mais ce départ fut plus tôt que prévu par le roi, suite au contraint qu'a subit Cipenda venant du dauphin
(le jeune prince), qui lui escroqua tous son or et le poussa à quitter le village, en inventant tout un scénario de mensonge
enfin que l'histoire ne se fasse pas connaitre chez le roi.

De nouveau en route, il fut accompagné par un vieux voyageur (Lituli) qui prit soin de lui jusqu'à son arrivé à Pretoria où il le
laissa et reprit son chemin. Arrivé à Pretoria, en passant par la porcherie, parce qu'il ne pouvait passer par la grande porte
des Afrikaners (Blancs) suite à l'Apartheid.

En cours de route, il rencontra deux marchands, dont l'un d'eux discuté au téléphone dans le dialecte de son père, c'était
son oncle, marié à une Zulu qui était sa tante (Sarah), le prit chez lui, le logea, le nourrit, l'habilla et lui trouva, quelques
jours après, le travail de boy chez le Bogotha.

La famille de Bogotha était parmi l'une de famille les plus riches et les plus influents de l'Afrique du sud. Monsieur Bogotha,
le patron où travailla le grand-père de Cipenda, l'une de personnalité clé de l'Apartheid, avait un fils, Pius Bogotha, qui tout
comme son père était l'une de personnalité politique de l'Apartheid. Pius était marié à une afrikaner (blanche) nommée
Ursula, ce fut chez eux que Cipenda travaillera plus tard après avoir était mis en quarantaine.

Cipenda eut du travail comme boy à Pretoria. Il plaisait à sa patronne Ursula, alors cette dernière ne la quittait pas des
yeux, elle lui regardait toujours. Et un jour, le patron était allé au travail et Ursula était restée seule avec Cipenda comme
d'habitude. Passant dans la chambre pour arranger le lit de la chambre de ses patrons, alors qu'Ursula se reposait à
l'extérieur sur le Véranda. Puis soudain, elle s'introduisit dans leur chambre à coucher et commença à le séduire et Cipenda
s'enfuit.

Vu tout cela, il envoya l'argent pour son mariage avec Liz et vite la faire venir à Pretoria. Ursula était bornée de jalousie
quand elle avait vue Liz, mais elle appréciée beaucoup Liz, en dépit de sa jalousie, car elle était belle. Quelques temps
après, Cipenda comme d'habitude alla dans le château de Bogotha pour faire son travail et Ursula était venue rendre visite
à Liz, la séduit et força Liz à coucher avec elle, mais Liz refusa.

De temps après, Cipenda et Liz enfantèrent un garçon qu'ils avaient appelés Pedro. Ursula poussait de jalousie voulant
aussi mettre au monde, donna naissance à une fillette qu'elle appela Maigrit.
Ces deux enfants grandissaient ensemble. Après quelques années Liz enfanta encore une fillette du nom de Liz et Ursula
enfanta un garçon qu'elle appela Yan.

Pedro et Maigrit avait une relation fortement amoureuse qu'un jour Ursula les surpris en train de s'embrasser et dès lors il
interdit l'accès à Pedro. Mais en dépit de cette interdiction, comme les résultats scolaire de Maigrit en dépendait, parce que
Pedro était son répétiteur a la maison, Ursula leva cette mesure. Fortement lié l'un à l'autre, Pedro et Maigrit, continuèrent
dans leur relation amoureuse qui les poussa jusqu'à ce que Maigrit tomba enceinte, et maigrit sachant qui était le père de
l'enfant et ce qui allait l'arrivé au cas où Ursula le découvrirai demanda à Cipenda de faire fuir Pedro loin de Pretoria avant
qu'Ursula ne découvre la vérité.
Ursula très en colère et plaine de haine, chercha Pedro mais trop tard celui-ci avait d'ores et déjà fuit, et ce sera plus tard
que Maigrit ira rejoindre Pedro. D'un cœur pleine de Haine, elle décida de de venger, elle fut appelle à son fils cadet Yan
pour qu'il puisse violer Rosa, la petite sœur de Pedro et la fille de Cipenda et Liz afin qu'elle se retrouve, elle aussi enceinte
et qu'elle et toute sa famille subisse une profonde douleur à telle point de le voir tous dans un centre neuropsychiatrique.

Yan aidait par sa mère viola Rosa. Après l'acte, Yan repris conscience de son acte et regrette de l'avoir fait, plus tard, plus
rien n'allait entre Ursula et Yan, mais dans tout cela Rosa continuait d'aller toujours régulièrement à l'école et continuer
malgré cette événement à vivre sa vie tranquille après de ses parents.
Et Ursula prise de folie de voir que malgré sa vengeance elle n'aboutit pas au résultat escompté et bien au contraire c'est
elle qui fut admise au centre neuropsychiatrique.

En ce moment Pedro et Maigrit avaient déjà deux enfants, rejoignirent le mouvement Anti-Apartheid et créèrent un
programme dit Symbiose de réalités africaines et des apports étrangers. Ils gagnèrent leur vie et vécurent en paix avec
toute leur famille et continuer leur lutte contre l'Apartheid.

III. Itinéraire du héros

situation initiale
Cipenda jeune citadin de Maputo ne connaissant rien de la vie de la campagne vivait paisiblement sa vie ensemble avec sa
famille, jusqu'à ses dix-huit-ans d'âge quand il décida de prendre son envol pour Pretoria clandestinement, accompagné de
Paulisi et de Nacimenta, enfin de faire le job de Boy dont il en avait la vocation.

sa transformation
Après sa capture par les authentiques lui et ses compagnons, la mort de Paulisi qui s'en est suivi de Nacimenta, Cipenda
avait perdu espoir à un certain moment mais vite reprit ses esprits et se remit en route. Cette courte expérience le mit
devant ses responsabilités et lui montrèrent les vraies facettes du monde. Mais quelques temps après cela commençait à
être dans les oubliettes parce qu'il avait atteint son objectif et vivait dans un milieu confortable lui et toute sa famille.
situation finale
Tout comme la vie n'est pas un champ rempli des fleurs roses, Cipenda eut des épines sur son chemin mais malgré tous
cela ne perd jamais espoir, ne se convertit pas dans la violence afin d'abolir l'Apartheid mais continua en toute paix,
franchise, liberté et conscience sa lutte contre l'Apartheid.
IV. Étude des personnages
héros : Cardoso CipendaØ Anti-héros :Ø Objet de quête : l'objet de déplacement de Cipenda de Maputo à Pretoria est la
recherche de l'emploi de Boy à Pretoria dont il en avait déjà l'inspiration.associés (adjuvants) :
- Le vieux Cipenda : père de Cipenda, qui avait décidé de prendre sa retraite après trente ans comme boy au service des
Afrikaners en Afrique du sud (chez Mr. Bogotha le père de Pius Bogotha).
- La tante de Cipenda (Rosa) de qui est venu le nom de sa fille Rosa en souvenir de tous ce qu'elle avait fait pour lui.
- son oncle qui lui donné des directives concernant ses fiançailles avec Liz.
- Liz : épouse de Cipenda et mère de ces deux enfants (Pedro et Rosa).
- Paulisi et Nacimenta : ses compagnons qui décidèrent de l'accompagner jusqu'à Pretoria mais la nature en avait décidé
autrement.
- Papa (vieux) Lituli
- Pius Bogotha : patron de Cipenda et époux d'Ursula
- Pedro : fils ainé de Cipenda et Liz (époux de Maigrit)
- Maigrit ; fille ainée de Mr. Bogotha et de Madame Ursula (épouse de Pedro).
- Rosa : fille cadette de Cipenda et de Liz.
ennemi
- Ursula : patronne de Cipenda et épouse de Pius Bogotha (mère de Maigrit et de Yan)
- Yan : fils cadet de Mr. Bogotha et de Madame Ursula.

V. Appréciation personnelle
Dans ce roman nous constatons que l'auteur à bien exprimé ces idées c'est-à-dire les textes du roman se succèdent l'un
après l'autre.
Nous dirons que Cipenda, malgré les différents tracasseries, les intempéries qui se présentaient au cours de son voyage
pour Pretoria dans le but de trouver du travail, était toujours déterminé. Ces obstacles ne lui décourageaient pas.
L'auteur nous recommande donc d'être toujours déterminer dans nos décisions, de considérer et d'accepter tout le monde,
de donner à chacun sa valeur (le respect de travail des autres) et surtout de Bannir la jalousie car cette dernière détruit.
Je reponds au Nom de Matumona Muanda Rossy, je suis un jeune entrepreneur qui travaille dans le domaine de
l'informatique dans mon pays, la RDC-Ville Province de Kinshasa
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RDC-Ville de KINSHASA
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